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Ceci est un extrait de l'épisode 254 avec Charline Vermont, alias Orgasme et moi sur les réseaux. Voici le descriptif :Vous connaissez ce moment gênant où notre enfant vient nous voir en nous demandant “maman, papa, comment on fait les bébés?”Beaucoup de parents redoutent cet instant où il va falloir sortir des explications qui leur paraissent soit trop intimes, soit trop risquées.Cette question est peut-être la première d'une longue série entre l'enfance et l'adolescence qui nous met dans un malaise parfois assez profond. Si vous êtes dans ce cas là alors pas de panique, Charline Vermont, alias orgasme et moi sur les réseaux sociaux est là pour vous aiguiller face à toutes les questions que peuvent avoir vos enfants.Dans cet épisode hyper riche et pratique, vous ressortirez équipé pour affronter les conversations les plus intimes au plus pragmatiques.Charline est passionnante, à travers son best seller Corps, amours, sexualité, les 120 questions que vont vous poser vos enfants, elle vous permet de créer une connexion profonde avec vos enfants et vos adolescents.Vous êtes prê•tes ? Allez c'est parti.Je vous souhaite une très bonne écouteLES LIENS UTILES :Corps, amour, sexualité : Les 120 questions que vos enfants vont vous poser, Sophie Nanteuil, Charline VermontCorps, amour, sexualité : Le cahier d'activités (+ 150 quiz, tests & jeux) Charline VermontCorps, amour, sexualité : Y'a pas d'âge pour se poser des questions ! L'éducation à la sexualité enfin à la portée de tout le monde ! Charline Vermont
Vous connaissez ce moment gênant où notre enfant vient nous voir en nous demandant “maman, papa, comment on fait les bébés?”Beaucoup de parents redoutent cet instant où il va falloir sortir des explications qui leur paraissent soit trop intimes, soit trop risquées.Cette question est peut-être la première d'une longue série entre l'enfance et l'adolescence qui nous met dans un malaise parfois assez profond. Si vous êtes dans ce cas là alors pas de panique, Charline Vermont, alias orgasme et moi sur les réseaux sociaux est là pour vous aiguiller face à toutes les questions que peuvent avoir vos enfants.Dans cet épisode hyper riche et pratique, vous ressortirez équipé pour affronter les conversations les plus intimes au plus pragmatiques.Charline est passionnante, à travers son best seller Corps, amours, sexualité, les 120 questions que vont vous poser vos enfants, elle vous permet de créer une connexion profonde avec vos enfants et vos adolescents.Vous êtes prê•tes ? Allez c'est parti.Je vous souhaite une très bonne écouteLES LIENS UTILES :Corps, amour, sexualité : Les 120 questions que vos enfants vont vous poser, Sophie Nanteuil, Charline VermontCorps, amour, sexualité : Le cahier d'activités (+ 150 quiz, tests & jeux) Charline VermontCorps, amour, sexualité : Y'a pas d'âge pour se poser des questions ! L'éducation à la sexualité enfin à la portée de tout le monde ! Charline Vermont
-REPLAY- Dans cet épisode, Candice nous parle de naturopathie et plus précisément du concept de naturopédiatrie qu'elle a créé ! Une naturopathie au service de l'enfant, pour lui donner un maximum de clefs de santé et l'accompagner naturellement et sainement dans son développement. Cette pratique enveloppe aussi bien les femmes enceintes ou en projet de procréation, la période de l'allaitement ainsi que les premiers mois et années de vie de l'enfant, de manière holistique et naturelle. Candice nous explique le besoin qui a fait naître cette discipline, les principes de celle-ci, sa vision des femmes et de la maternité dans notre société actuelle, et son intérêt depuis toujours pour les plantes, le vert, la nature ! Pour avoir passé plusieurs journées en formation à ses côtés, je peux vous dire que Candice est un véritable puits de savoir et d'une bienveillance et douceur folles. D'ailleurs, je vais pouvoir désormais moi aussi vous proposer d'accompagner vos petits choux grâce à cette nouvelle formation à mon arc ! Toutes les infos sont à retrouver sur mon site internet ! Allez, à vos casques ! — Si vous souhaitez contacter Candice ou suivre ses actualités, rendez-vous sur son compte instagram !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Frère Michel Domini
Une chronique proposée par Amélie Aura, énergéticienne sur Radio Monaco Feel Good chaque jeudi. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme. Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant, il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ? Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.
Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme. Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant, il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ? Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.
Avec Frère Michel Domini
Le droit pénal français prévoit que certaines infractions impossibles peuvent néanmoins être sanctionnées. Cela signifie que, même si l'infraction ne pouvait matériellement pas être consommée, son auteur peut être condamné, car son intention criminelle reste punissable. L'arrêt Perdereau du 16 janvier 1986 illustre ce principe à travers le cas d'un individu condamné pour tentative d'homicide volontaire, alors qu'il avait tenté de tuer une personne déjà décédée.1. L'arrêt Perdereau et la notion d'infraction impossibleDans cette affaire, un individu avait frappé violemment une personne qu'il croyait seulement inconsciente, alors qu'elle était déjà morte à la suite d'un premier meurtre commis par une autre personne. La Cour de cassation a confirmé sa condamnation pour tentative d'homicide volontaire, affirmant que "l'état du cadavre est indépendant de la volonté de l'auteur" et que les violences exercées caractérisaient un commencement d'exécution.Cet arrêt établit donc qu'un meurtre sur un cadavre peut être qualifié de tentative d'homicide, car l'élément intentionnel (la volonté de tuer) et l'acte matériel (les coups portés) sont bien présents, même si le résultat (la mort) était déjà survenu.2. Fondements juridiques de la sanction des infractions impossiblesL'article 121-5 du Code pénal définit la tentative punissable comme un acte manifestant l'intention de commettre un crime ou un délit, si cet acte est interrompu par une circonstance indépendante de la volonté de l'auteur.L'infraction impossible est une forme de tentative punissable lorsque :L'intention criminelle est avérée : l'auteur croyait réellement commettre une infraction. Il y a un commencement d'exécution : l'auteur a accompli des actes concrets en vue de la commission de l'infraction. L'échec est dû à une circonstance extérieure (comme la mort préalable de la victime). 3. Pourquoi punir une infraction impossible ?Préserver l'ordre public : même si l'infraction n'a pas eu lieu, l'acte reste dangereux et doit être sanctionné pour dissuader d'autres comportements similaires. Réprimer l'intention criminelle : la volonté de tuer ou de commettre un crime est en elle-même répréhensible, peu importe l'issue. Assurer l'équité : il serait injuste de ne pas punir quelqu'un simplement parce qu'un élément matériel lui échappe, alors qu'un autre coupable, dans une situation similaire mais avec une victime vivante, serait condamné. ConclusionL'arrêt Perdereau montre que le droit pénal français ne se limite pas aux infractions matériellement réalisées mais prend en compte l'intention criminelle et le commencement d'exécution. Ainsi, une infraction impossible, comme une tentative de meurtre sur un cadavre, peut être punie, car l'élément moral du crime demeure. Cela illustre la volonté du droit pénal de prévenir et réprimer efficacement les comportements dangereux, même en l'absence de résultat tangible. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec Frère Michel Domini
065-Les fondements d'Ahlou Sounnah Wa Jammah (L'unicité) - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Un message de François pour l'église Connect Annecy.Passage clé : Colossiens 1:1-14
Ce texte extraordinaire, né d'une plongée intérieure, Jung l'a retravaillé, ruminé, recopié, orné, en secret durant de longues années, parallèlement à ses livres et travaux « officiels » : tentons de situer son rôle dans sa pensée.Avec Bertrand Éveno, éditeur du Livre Rouge et d'autres inédits de Jung. Discutante : Reine-Marie Halbout, psychanalyste membre de la SFPA et de l'IAAP, présidente des Cahiers jungiens de psychanalyse.À l'occasion de l'anniversaire de la naissance de Carl Gustav Jung, en 1875 en Suisse, il y a 150 ans, nous souhaitons faire découvrir à un large public sa pensée, ouverte sur la diversité du monde et d'une grande actualité. Ce colloque est un moment de rencontres, de partage et de convivialité entre conférences, ateliers et moments festifs.Un événement organisé par : Fréquence protestante, Sur les traces de Jung, la Société française de psychologie analytique, les Cahiers jungiens de psychanalyse, le Groupe C. G. Jung et l'association Marie-Louise von Franz & Carl Gustav Jung.
Avec Frère Michel Domini
Les fondements d'Ahlou Sounnah Wa Jammah - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Dans un monde en quête de repères, où les débats éthiques et moraux se multiplient, l'éthique chrétienne reste une boussole précieuse, bien au-delà des idées reçues. Mais d'où vient-elle ? En quoi diffère-t-elle des éthiques séculières ? Quel rôle jouent la Parole de Dieu, la tradition, la raison et l'expérience dans le discernement moral du chrétien ?Pour répondre à ces questions, nous recevons le Père Alain Thomasset, théologien et enseignant aux Facultés Loyola Paris, qui animera le cours en ligne "Les fondements de l'éthique chrétienne. La formation du sujet moral" du 5 février au 6 mai 2025. En avant-première, il nous dévoile les grandes lignes de cet enseignement passionnant : les origines et les spécificités de l'éthique chrétienne, la Bible et la Tradition comme sources de la morale, le renouveau de l'éthique des vertus face aux approches normatives ou encore la pertinence de l'éthique chrétienne dans un monde pluraliste et sécularisé.Un échange stimulant sur la manière dont l'éthique chrétienne éclaire nos choix et nourrit un engagement réfléchi dans la société contemporaine.Ce cours s'adresse à tous ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension de cette tradition morale millénaire et explorer ses résonances actuelles.Inscription et informations sur le cours Fondements de l'éthique chrétienne. La formation du sujet moral :https://www.loyolaparis.fr/agenda/fondements-de-lethique-chretienne-la-formation-du-sujet-moral/ Entretien réalisé par Parnel LedagaDoctorant aux Facultés Loyola Paris Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les fondements de la nouvelle cité du Prophète et des croyants Le joyau de la Prophétie #15 Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 11 janvier 2025 ____________________________________________
Avec Frère Michel Domini Thème: Les difficultés qu'a traversé le Père Sevin et le mystère de Noël
Avec Frère Michel Domini
On se retrouve aujourd'hui afin d'aborder un sujet de la plus haute importance.En effet, le Prophète ﷺ nous a informé que la communauté musulmane allait se diviser et que des égarements ainsi que des égarés allaient apparaître, il ﷺ a dit : « Celui d'entre vous qui vivra, verra de nombreuses divergences. Alors accrochez-vous fermement à ma Sunnah et celle des califes bien guidés qui suivent la bonne voie ; accrochez-vous y fermement, et prenez garde aux pratiques religieuses inventées, car toute pratique religieuse inventée est une innovation, et toute innovation est un égarement. »Et ce que le prophète a prédit s'est effectivement réalisé, les égarements ont commencé à apparaître juste après sa mort, et la communauté n'a cessé de se diviser, d'année en année.Les imams de la sounnah, les grands savants de notre communauté ont alors commencé à réfuter ces égarements et à mettre en garde contre contre les chemins menant à la perdition, de même qu'ils ont écrit des livres dans lesquels ils ont cités les points sur lesquels les gens ont divergé et se sont égarés afin de clarifier la vérité, et ils ont appelés ces points : les fondements de la sounnah, c'est-à-dire : les fondements qui distinguent le groupe qui est sur la vérité des groupes qui se sont égarés.Celui donc qui ne respecte pas un seul de ces fondements n'est pas considéré comme un adepte de la sounnah du Prophète ﷺ, et parmi ces fondements qu'ils ont cité et que nous allons aborder aujourd'hui on retrouve : 1) L'obligation de revenir à la sounnah du Prophète ﷺ.2) L'interdiction de commettre des innovations religieuses.3) L'obligation de revenir à la compréhension des pieux prédécesseurs.4) L'obligation de mettre en garde contre les innovateurs et de les boycotter.5) L'obligation d'obéir au gouverneur musulman même s'il est injuste.
Avec Frère Michel Domini
Écoutez une méditation quotidienne tirée du livre "Parle Seigneur, ton serviteur écoute". Les méditations de ce recueil proviennent d'exhortations données par Daniel Issarte dans le cadre de la vie de collaboration de la Mission Timothée : réunions d'équipe, voyages missionnaires, simples échanges fraternels. Il en ressort un ton assez personnel et une lecture du texte biblique qui se veut simple, pratique, à la rencontre des préoccupations du quotidien et de l'œuvre, en vue de la prière. Les sujets abordés sont très divers, mais chaque page et chaque sujet nous replacent devant cette interrogation cruciale : « Quand les fondements sont renversés, le juste, que ferait-il ? » (Psaume 11 : 13). Seule la révélation de l'Écriture est propre à nous guider dans une voie juste en toute circonstance. C'est en méditant le texte biblique dans un esprit d'écoute et de foi que nous la recevrons dans toute sa simplicité et sa force. Alors en ouvrant ce livre, nous pouvons disposer nos cœurs comme le jeune Samuel et dire à sa suite « Parle Seigneur, ton Serviteur écoute » (1 Samuel 3 : 10). www.missiontimothee.fr/parole-partagee-bdd/ouvrage
Avec Frère Michel Domini
Jean-Jacques HublinPaléantropologieCollège de FranceAnnée 2023-2024Colloque - Le mouvement humain des origines aux olympiades : Fondements oscillatoires du mouvement humainSession 1Colloque coorganisé par Jean-Jacques Hublin, chaire Paléanthropologie et Alain Berthoz, chaire Physiologie de la perception et de l'action.Avec le soutien de l'Institut supérieur de rééducation psychomotrice.Guy Cheron, Université Libre de Bruxelles
À l'ère des influenceurs, comment devenir quelqu'un que Dieu va utiliser pour influencer cette génération ? Dans cette vidéo, nous allons regarder à Néhémie, un influenceur de très haut niveau, et tirer des leçons de sa vie. Tu seras inspiré et activé à coup sûr. Rejoins la chaîne WhatsApp « les exponentialistes » https://www.whatsapp.com/channel/0029VaaIztX9RZAh81ra7l0uou1 438 340 5425LIENS ET RESSOURCES Formation GRATUITE pour développer ton potentiel https://exponentiel.net/potentiel Rejoins notre programme de MENTORAT https://exponentielclassroom.com Service de COACHING personnalisé https://ecoachingexponentiel.com Nos nouvelles formations https://formations.exponentiel.net/formations Notre chaine youtube - ExponentielTV https://www.youtube.com/@Exponentielnet Notre site web: https://exponentiel.net/ Instagram: https://www.instagram.com/exponentiel... https://www.instagram.com/lucdumontof...
Ce soir, Mél et Max reçoivent Julie Isabel de tantraquebec.com
Ce soir, Mél et Max reçoivent Julie Isabel de tantraquebec.com
Découvrez les fondements d'un changement organisationnel réussi dans notre dernier épisode de podcast. Nous explorons les stratégies clés et les meilleures pratiques pour piloter des transformations efficaces au sein des entreprises. Que vous soyez leader cherchant à initier un changement ou un professionnel impliqué dans l'exécution de nouvelles directives, ce contenu vous offre des perspectives précieuses et des conseils pratiques pour naviguer les défis du changement, assurer l'alignement stratégique et favoriser un engagement durable de tous les acteurs concernés. Bonne écoute! Écrivez-nous : info@professionellesinc.net Abonnez-vous à notre chaine YOUTUBE https://www.youtube.com/channel/UCxcd_WBvaCOpjUct3PdviBg PROFESSION'ELLES INC. - YouTube Suivez-nous: https://www.linkedin.com/company/profession-elles-inc-le-podcast Katty Gariepy, Adm. A https://www.linkedin.com/in/kattygariepyadma52a4836b/ Annie Mayrand, EMBA https://www.linkedin.com/in/annie-mayrand https://www.evollead.com 514.603.8683 annie.mayrand@evollead.com
Dans ce nouvel épisode, Vincent Gabriel reçoit David Camroux, spécialiste de l'Asie du Sud est et chercheur émérite au CERI de Sciences Po. Ensemble, ils étudient la situation politico-militaire au Myanmar (ex Birmanie).Dans cette première partie, ils reviennent sur l'histoire profonde de l'ancien royaume et en observent les singularités. Ils s'attardent tout particulièrement sur la parenthèse démocratique initiée en 2015 et violemment refermée par la junte militaire en 2021.Nous vous parlions justement du Myanmar la semaine passée, c'était ici.Avec : Vincent Gabriel Invité : David CamrouxSur les tumultes parcourant la société civile en Asie du Sud-Est : Camroux, D., "Southeast Asia's glocalised 1 civil society landscapes: national topographies and transnational contours" dans Routledge Handbook of Civil and Uncivil Society in Southeast Asia, 2023, disponible ici : https://www.taylorfrancis.com/chapters/oa-edit/10.4324/9780367422080-26/conclusion-david-camroux.Suivez le podcast ! Il est maintenant sur X/Twitter : @20MPC_podcast et LinkedIn !Thème : Léopold Corbion (15 ans de réflexion)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les fondements du fiqh contemporain À la lumière du fiqh contemporain - Episode 1 - Replay de l'émission live du samedi 20 avril 2024 ____________________________________________
Je reçois Nico Blier - Silvestri, People Partner chez Dreamcraft VC, ancien DRH/ Chief People Officer de start-ups et scale-ups comme Revolut, Trustpilot, Peakon, Falcon, aujourd'hui à Copenhague. Nico revient sur son parcours de DRH international en environnement startup avec la création de Platypus, une startup HR Tech, rachetée depuis.
Les fondements de la justice, du droit, de l'amour s'effondrent partout. Cependant le trône de Dieu reste inébranlable.
LAMAD est le terme hébreu qui signifie enseignement ou encore instruction. Cette chaîne a pour but d'enseigner au plus grand nombre les préceptes de la vie chrétienne avec l'appui de la Parole de Dieu qui est retranscrit dans la Bible. Dans cette épisode quoi de mieux que de commencer par la base et nous allons répondre à plusieurs questions : Quel est ton fondement ? Comment solidifier ton édifice ? Pourquoi je dois obéir à Dieu ? Comment mettre en pratique ? Mon frère, ma soeur dispose toi bien et prépare toi à recevoir la Parole que Dieu à prévu pour toi
Dans cet épisode nous allons plonger dans l'art de la Sortie Longue ! Une séance de référence pour tous ceux qui cherchent à augmenter leur endurance. Dans cet épisode, vous allez apprendre :
Pour écouter l'épisode en entier tapez " #370 - Stéphanie Delestre - QAPA et Volubile.ai - Vendre QAPA 65 millions et faire QVEMA " sur votre plateforme d'écoute.
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ [La IIIe République 1/3] Comment la république advenue en 1870 à la suite du Seconde Empire se met-elle en place ? Alors qu'elle se caractérise par une forte instabilité ministérielle, comment expliquer la si longue durée de la IIIe République ? Cette instabilité a-t-elle été pensée par la Constitution ? Par quoi est-elle régie ? Quelle est la particularité de sa constitution ? Quels découpages chronologiques peut-on faire de la période ? La IIIe République a-t-elle convaincu les Français de la république ? L'auteur : Bertrand Joly est professeur des universités, historien spécialiste d'histoire politique contemporaine. Depuis sa thèse de doctorat sur Paul Déroulède sous la direction de Jean-Marie Mayeur, il a publié des ouvrages de référence sur la IIIe République : Histoire politique de l'affaire Dreyfus, Fayard, 2014, 784 p., 41 €, Aux origines du populisme. Histoire du boulangisme (1886-1891), CNRS Éditions, 2022, 610 p., 29 €. *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Ecologie de la relation 2023-11-10 Les actes et les conditions du don fondements d'une écologie by Radio Maria France
La fin de l'analyse ? Bonne écoute :-)Bibliographie :Brunschwig, H. (2002). La «séparation» à la fin de l'analyse, du côté du patient et du côté de l'analyste. Témoignage. Imaginaire & Inconscient, (4), 37-43.Chemama, R., Lacôte-Destribats, C., & Vandermersch, B. (2016). Le métier de psychanalyste. Analyse freudienne presse, 23, 176.Ciccone 1, A. (2017). Psychanalyse ou psychothérapie psychanalytique? Fondements de la position clinique. Journal de la psychanalyse de l'enfant, 7(1), 17-44.Feder, F. (2008). Dernières séances: entre détachement et séparation. Revue française de psychanalyse, 72(1), 129-142.Godefroy, H. (2014). Comment un Sujet s' invite-t-il en analyse?. La clinique lacanienne, 175-188.Pommier, G. (2002). La fin relative de l'analyse. Figures de la psychanalyse, 6(2002/1), 123-143.Saint-Drôme, O. (1988). Comment se débarrasser de son psychanalyste: 15 scénarios possibles, plus un. FeniXX.Oreste, S. D. (1994). Comment choisir son psychanalyste.Seulin, C. (2008). Figures du transfert en fin de cure. Revue française de psychanalyse, 72(1), 175-184.Pour m'apporter votre soutien, j'ai ouvert ma page Patreon, qui est une plateforme de soutien participatif pour valoriser et permettre la continuité de mon travail :https://www.patreon.com/lecomptoirdelapsychologieN'hésitez pas à aller faire un tour et je vous remercie par avance pour tous ceux qui participeront à cette aventure
L'entrée en analyse, le début, le commencement...Bonne écoute :-)Bibliographie : Brunschwig, H. (2002). La «séparation» à la fin de l'analyse, du côté du patient et du côté de l'analyste. Témoignage. Imaginaire & Inconscient, (4), 37-43.Chemama, R., Lacôte-Destribats, C., & Vandermersch, B. (2016). Le métier de psychanalyste. Analyse freudienne presse, 23, 176.Ciccone 1, A. (2017). Psychanalyse ou psychothérapie psychanalytique? Fondements de la position clinique. Journal de la psychanalyse de l'enfant, 7(1), 17-44.Feder, F. (2008). Dernières séances: entre détachement et séparation. Revue française de psychanalyse, 72(1), 129-142.Godefroy, H. (2014). Comment un Sujet s' invite-t-il en analyse?. La clinique lacanienne, 175-188.Pommier, G. (2002). La fin relative de l'analyse. Figures de la psychanalyse, 6(2002/1), 123-143.Saint-Drôme, O. (1988). Comment se débarrasser de son psychanalyste: 15 scénarios possibles, plus un. FeniXX.Oreste, S. D. (1994). Comment choisir son psychanalyste.Seulin, C. (2008). Figures du transfert en fin de cure. Revue française de psychanalyse, 72(1), 175-184.Pour m'apporter votre soutien, j'ai ouvert ma page Patreon, qui est une plateforme de soutien participatif pour valoriser et permettre la continuité de mon travail :https://www.patreon.com/lecomptoirdelapsychologieN'hésitez pas à aller faire un tour et je vous remercie par avance pour tous ceux qui participeront à cette aventure
Laissez un message vocal à Damien ou à Olivier en suivant ce lien vers la plateforme Vodio (c'est gratuit). N'oubliez pas de mentionner si vous nous autorisez à utiliser votre message et votre voix dans un prochain épisode pour vous répondre.Vous vous dites certainement : "Mais j'écoute un podcast sur la sexualité et on me parle d'une approche de contrat conscient dans le domaine des affaires... quel est le lien ?". Avec un zeste d'imagination et de bon sens, la transposition devient tout à fait possible. S'inspirer est le mot-clé de ce podcast. Créer des ponts entre les domaines d'expertise pour créer des relations conscientes plus belles et réjouissantes. Le potentiel du Conscious Contracts® pourrait aider tant de gens que nous avons décidé de lui offrir un épisode qui pourrait bien être le premier d'une série à venir.Et si l'enthousiasme du début d'une relation pouvait être alimentée par les difficultés imprévisibles et inéluctables rencontrées au cours de l'aventure ? (Envisager même de) Pouvoir contracter et décontracter avec autant de sourires. Nous pensons que c'est possible. Et si on arrivait à transposer la sagesse du Conscious Contracts® à sa vie intime et affective ? Que ce soit pour les couples, les mariages, toutes formes de relation formelles et informelles. Et si l'aventure relationnelle affective était construite sur un nouveau paradigme plus conscient des réalités de la vie (changements, caractère imprévisible de la vie, dynamisme, valeurs, joie, vitalité, altérité, évolution, spiritualité…) pour créer des relations humaines plus riches, fructifiantes, vivifiantes où chacun est grandi et chaque partenaire souhaite faire prospérer l'autre en toute circonstance.Combien de personnes, nous y compris, se sont plaintes d'une justice froide, matérialiste et inhumaine ? Combien de fois avons-nous eu le sentiment d'être désarmés, perdus, face à un jargon incompréhensible pour les non-initiés quand un litige est porté devant la justice ? Tant de partenaires qui deviennent des opposants parce que le système ne leur propose rien d'autre de fondamentalement robuste, puissant, empuissançant, apaisant.Pourtant, nous aurions tout intérêt à comprendre ce qui se joue dans la construction d'un partenariat. D'autant plus que les impacts d'un contrat peuvent être déterminants pour de nombreuses années de vie (ex: procédure de divorce). Et si nous nous réapproprions nos contrats grâce à une implication personnelle, intime, engageante, le tout dans un langage compréhensible ? Pourquoi devrions-nous ne compter que sur des tierces personnes pour gérer un conflit ? Pourquoi attendre aussi de recourir à une procédure « copier-coller »?Ne sommes-nous pas capables de définir les conditions de notre épanouissment respectif, de créer, d'innover, de penser à la fonction vitalisante d'un contrat conçu pour nous aider? N'est-ce pas le propre de ce qui nous définit en tant qu'humain ? Alors, si avant d'entamer une relation, un mariage, un contrat de travail, une relation commerciale, nous ralentissions pour y mettre plus de conscience ? Et si, en plus, nous anticipions les moments de divergence sans recherche de reproche et de faute, mais plutôt en nous prévoyant des solutions, des canaux de dialogue qui chérissent ce qui est en devenir, ce qui sera et ce qui a été, quel que soit les imprévus de la vie ? Ne pensez pas que nous sommes des Bisounours occupés à vous dresser une utopie à la Thomas More. Dans cette capsule, nous vous proposons d'écouter Damien Dillenbourg et sa passion pour l'approche "Conscious Contracts®". Une personne inspirante qui suit la piste d'Alalá Linda, inspirée aussi et réconciliée avec le monde de la justice par les ouvrages de Kim Wright. Ancien Procureur du roi, Damien était sur le point de renoncer… Mais la vie lui a insufflé une autre mission : inspirer et semer la bienveillance. Finalement, c'est un nouveau chemin pour vivre une autre approche de la justice tout en gardant son expertise et son incroyable bagage de connaissances, qu'il va utiliser, en bon jardinier, pour semer les graines de mariages réussis. Un mariage où affaire et humain sont en harmonie… Et vous avez remarqué ? Là, je vous parle de mariage déjà…Pourla suite, il vous reste à écouter, et pourquoi pas passer à l'action, expérimenter. On ne le dira jamais assez, si ce podcast vous plait, diffusez-le. Laissez un message vocal à Damien, « likez » !Séquençage du podcast :00:20 Introduction00:35 Qui est Damien ?01:58 Les origines du Conscious Contracts®05:03 Quels sont les piliers sur lesquels repose ce paradigme et sa vision12:24 Un contrat qui suit le côté dynamique de la vie et qui sert à faire grandir la relation15:25 Une justice distante des réalités de l'humain ?20:35 Quelles sont les étapes du Conscious Contracts® ?25:13 L'empowerment27:27 Ne pas réaliser de contrat est aussi « ok »29:30 Un vocabulaire où le mot-clef est « partenaire »32:01 Un message sur l'authenticité et l'intégrité34:48 Une collaboration avec Anthemis et rendre le message contagieux…35:53 Une gratitude ?36:48 Clôture du podcastLiens Bonus:B Just, cabinet d'avocats et de médiation : B-JustLawyers as changemakers kim wrightLawyers as peacemakers kim wrightL'Homme relationnel Jean-Jacques WittezaeleIntroduction au Conscious Contract , Public cible: Avocats, médiateurs, juges, notaires, juristes d'entreprise, chefs d'entreprise ou responsables d'organisations sans but lucratif.
Cette semaine, le préparateur physique Charles Castonguay, geek en chef et athlètes d'endurance hors pair, nous donne une classe de maître sur la musculation spécifique aux sports d'endurance. «Upikapod2023» pour 10% de rabais sur https://upika.ca/ Pour suivre Charles: https://www.instagram.com/cast_charles/?hl=en Pour nous suivre: https://www.instagram.com/upikasports/?hl=en See omnystudio.com/listener for privacy information.
Invité: Mathieu Arminjon Les personnes le plus défavorisées sont souvent celles qui ont le plus de problèmes de santé. La pandémie du Covid-19 lʹa encore rappelé. Comment lʹexpliquer? Pourquoi les inégalités socio-économiques sont-elles souvent ignorées? Tribu reçoit Mathieu Arminjon, philosophe et historien de la médecine et du soin à la Haute Ecole de Santé (HESAV). Il a, en collaboration avec Sandrine Maulini, dirigé lʹouvrage "Inégalités de santé. Fondements historiques et enjeux contemporains de lʹépidémiologie sociale", chez Georg Editeur.
Celui qui appelle à Allah La da'wa, éclairer les cœurs, guider les âmes - Episode 1 Replay de l'émission live du samedi 13 mai 2023 ____________________________________________
Tous les samedis et dimanches soir, Pierre de Vilno reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 18h30 à 19h00.
Peacelam - Les fondements doctrinaux de la non-violence de Cheikh A. Bamba (A. Aziz Mbacké Majalis) --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/librairie-majalis/message
(True North Insight)
durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - La "Tribune de Paris" du 5 août 1946 était consacrée à l'Unesco avec des interventions de Léon Blum, Eve Curie, Jean Painlevé et Wladimir Porché. Une "Tribune de Paris" en 1946 consacrée à l'Unesco et à l'esprit de paix donnait à entendre Eve Curie, Jean Painlevé et Wladimir Porché délégués de la France à l'Unesco. * Léon Blum avait accepté de préfacer cette émission en présentant le but et les missions de l'Organisation des Nations Unis pour l'Education, la Science et la Culture. Il revenait sur l'importance pour la France d'avoir le siège de l'Unesco à Paris, "centre de la culture et de la spiritualité internationale" et expliquait plus largement ses objectifs : Les Nations Unies qui sont résolues à fonder et à organiser un monde pacifique se rendent compte que les fondements de la paix sont d'ordre psychique, sentimental, spirituel aussi bien que d'ordre politique économique et social. L'esprit de paix est l'une des conditions de la paix, l'esprit de paix suppose la connaissance et l'intelligence réciproque entre les peuples. Il implique la coopération et la solidarité de tous les états dans les grands domaines de l'éducation, de la connaissance scientifique et de la culture générale, et dans ce terme très large de culture ont doit faire entrer les lettres, les arts et tous les domaines de la pensée. Par Arno-Charles Brun Avec Léon Blum, Eve Curie, Jean Painlevé et Wladimir Porché Tribune de Paris - L'Unesco (1ère diffusion : 05/08/1946 Chaîne Nationale) Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
(True North Insight)
Aicha Chenna, figure emblématique de la défense des droits des femmes au Maroc, est décédée dimanche 25 septembre 2022 à l'âge de 81 ans. Elle laisse derrière elle des décennies de luttes pour la protection des mères célibataires. Serait-ce l'occasion de relancer les débats autour des enjeux féministes contemporains ? De quoi aurait besoin la société marocaine pour avancer dans ce domaine ? Dans Le Scan, le podcast de TelQuel, Landry Benoit reçoit Nouzha Skalli, ancienne ministre du développement et de la famille; Ibtissam Betty Lachgar, militante féministe et Sonia Terrab, journaliste féministe. L'équipe “Le Scan” par TelQuel Média : Présentation : Landry Benoit Interview : Mathilda Peyronie Montage et réalisation : Landry Benoit et Mathilda Peyronie
Les fondements de la foi Islamique - Imam Assane SARR by XamSaDine