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Dans un contexte marqué par la colère des taxis face à la nouvelle convention encadrant la prise en charge du transport de patients par l'Assurance maladie, Christophe Barbier et Cécile Cornudet analysent le mouvement de protestation ainsi que la position adoptée par François Bayrou. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Barbier et Cécile Cornudet débattent sur l'avenir de la droite, et reviennent sur la décision du Conseil d'Etat d'annuler l'interdiction de Gérald Darmanin des « activités ludiques » en prison.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Barbier et Cécile Cornudet livrent leur analyse de la proposition de loi sur la fin de vie débattue en ce moment à l'Assemblée nationaleMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cécile Cornudet et Christophe Barbier commentent les nouveaux coups médiatiques du président américain Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le chef de l'état passe une semaine dans l'océan Indien : Cécile Cornudet et Christophe Barbier en commentent les enjeux Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Barbier et Cécile Cornudet commentent l'actualité de ce 8 avril, notamment la déconnexion des politiques français face à un monde qui change Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Barbier et Cécile Cornudet réagissent à la condamnation de Marine Le Pen, mais aussi à la reprise du dialogue entre les présidents français et algérien Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 31 mars 2025 - Marine Le Pen inéligible... 2027 c'est fini ?Le verdict était très attendu. Ce lundi, Marine Le Pen a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires du Front national (devenu Rassemblement national). Elle a été condamnée à 4 ans de prison dont 2 ans ferme, aménageables avec bracelet électronique, 100 000 euros d'amende et 5 ans d'inéligibilité avec application immédiate. Ce jugement est proche des réquisitions du parquet à l'issue du procès qui s'est tenu du 30 septembre au 27 novembre 2024. Les deux procureurs avaient avoir listé les éléments démontrant, selon eux, la stratégie d'"enrichissement" du parti, "qui a financé avec des emplois fictifs", "sur plus de dix années", "sa propagande et son développement à hauteur de plus de 4 millions d'euros au préjudice de la vie démocratique". Les magistrats avaient rappelé que les règles entourant le rôle de l'assistant parlementaire européen ont toujours été les mêmes, balayant la thèse de "l'acharnement politique". Une manière de répondre à la ligne de défense dictée, selon la partie civile, par Marine Le Pen à ses coprévenus, à savoir que la fonction d'un assistant est "politique" et sert ainsi au parti.Vingt-quatre autres prévenus étaient jugés aux côtés de la cheffe de file des députés du RN. Huit anciens députés européens, dont Louis Aliot, Marie-Christine Arnautu, Nicolas Bay et Bruno Gollnisch, ont été condamnés pour détournement de fonds publics. Douze autres personnes, soupçonnées d'avoir bénéficié d'emplois fictifs d'assistants parlementaires, ont pour leur part été déclarées coupables de recel de détournement de fonds publics. Le parti est par ailleurs condamné à 2 millions d'euros d'amende, dont 1 million ferme.Sans attendre le quantum de sa peine, Marine Le Pen a quitté ce matin le tribunal pour se rendre au siège du RN où elle a participé à une réunion de crise avec Jordan Bardella et d'autres élus. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle s'exprimera ce lundi soir dans le JT de TF1. Son avocat a déjà annoncé qu'elle allait faire appel. Alors quels sont les recours possibles pour l'ancienne candidate à l'élection présidentielle ? Que vont faire Marine Le Pen et le RN ? Qui pour la remplacer ? Après cette condamnation avec inéligibilité immédiate de Marine Le Pen, les regards se tournent vers le jeune président du Rassemblement national Jordan Bardella. Propulsé au tout premier rang de l'extrême droite française pourrait-il être un plan B pour le RN en 2027 ?Enfin nous reviendrons dans #cdanslair aujourd'hui sur le procès sur les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007. La semaine dernière le Parquet national financier a requis sept ans de prison et 300.000 euros d'amende à l'encontre de l'ancien président de la République, accusé d'avoir noué un "un pacte de corruption inconcevable, inouï, indécent" avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi pour satisfaire ses "ambitions politiques dévorantes". L'accusation a également réclamé une peine d'inéligibilité de cinq ans. Au terme de trois mois de procès et de 10 ans d'enquête, "c'est un tableau très sombre d'une partie de notre République qui s'est dessiné", a déclaré le procureur financier Sébastien de la Touanne.Les experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion de l'Institut de sondages IFOP- Dominique ROUSSEAU - Juriste et professeur de droit constitutionnel français - Pierre-Stéphane FORT - Journaliste réalisateur, auteur de "Le grand remplaçant, la face cachée de Jordan Bardella"
C dans l'air du 31 mars 2025 - Marine Le Pen inéligible... 2027 c'est fini ?Les experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion de l'Institut de sondages IFOP- Dominique ROUSSEAU - Juriste et professeur de droit constitutionnel français - Pierre-Stéphane FORT - Journaliste réalisateur, auteur de "Le grand remplaçant, la face cachée de Jordan Bardella"
Sophie Obadia et Cécile Cornudet commentent l'actualité de ce mardi 25 mars Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cécile Cornudet et Christophe Barbier brossent le portrait du ministre des Armées, un proche d'Emmanuel Macron Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Barbier et Cécile Cornudet commentent la rencontre à Washington entre Emmanuel Macron et Donald Trump. Les deux présidents ont notamment discuté de la défense européenne, de la guerre en Ukraine et d'un accord sur les minerais du pays Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cécile Cornudet et Christophe Barbier donnent leur décryptage sur le jugement auquel fait face le Maire de Béziers. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 12 février 2025 - Retailleau : le coup de forceCe matin, au micro de France Inter, il avait esquivé la question. Finalement c'est par un courrier adressé aux militants que Bruno Retailleau a officialisé, ce mercredi, sa candidature à la présidence du parti Les Républicains. Porté par les sondages où il a bondi depuis son arrivée à Beauvau en septembre dernier, le ministre de l'Intérieur ne cache plus ses ambitions et donne un coup d'accélérateur à sa campagne avant un bureau politique crucial prévu lundi prochain pour fixer la date du Congrès. Mais cette candidature pourrait relancer une "guerre des chefs" à droite.Lors d'un dîner en tête-à-tête il y a une semaine à Beauvau, le patron des députés LR lui aurait rappelé leur "accord" sur la distribution des rôles. "A toi d'incarner la droite au gouvernement, à moi de reconstruire notre famille politique", l'aurait mis en garde le patron des députés LR qui envisage également de se lancer dans la course pour 2027, avec l'intention lui aussi d'utiliser la présidence du parti LR comme tremplin pour la présidentielle. Et ses proches ce mercredi montent au créneau pour accuser Bruno Retailleau de prendre la "lourde responsabilité d'ouvrir une guerre des chefs"."Voter ce n'est pas diviser", s'était défendu sur France Inter ce matin Bruno Retailleau, estimant que sa candidature à la tête de LR il y a un peu plus de deux ans contre Eric Ciotti n'avait pas provoqué de guerre des chefs. Il avait alors obtenu 46,3 % des voix face au député des Alpes-Maritimes, qui a quitté depuis ses fonctions à la tête du parti après avoir fait alliance en juin avec le Rassemblement national aux législatives, laissant le poste vacant.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, Bruno Retailleau multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'Etat de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Tacticien, homme d'appareil et communicant aguerri, l'ancien sénateur de Vendée s'est désormais lancé officiellement dans la bataille et défend l'idée de "refonder un grand parti de droite qui accepte de s'élargir". Mais jusqu'où ? Quel est le projet politique de Bruno Retailleau ? Qui pour succéder à Éric Ciotti à la tête des LR ? Si ces questions agitent les LR, l'idée d'une primaire à droite et au centre pour la prochaine présidentielle a également été relancée cette semaine par Gérald Darmanin alors que Marine Le Pen retrouvait samedi dernier des dizaines de dirigeants des partis d'extrême droite européens à Madrid, pour le premier sommet du nouveau groupe les Patriotes pour l'Europe. Ce mouvement, créé au Parlement européen en juillet 2024 autour du parti du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, et du Rassemblement national (RN), réunissant 86 eurodéputés, ce qui en fait la troisième force à Strasbourg, a choisi pour slogan : "Make Europe great again" ("rendons sa grandeur à l'Europe"), en référence au "Make America great again" (MAGA) de Donald Trump. C'est dans ce contexte qu'a été publiée, ce mardi, l'édition 2025 du baromètre de la confiance politique du Cevipof illustrant l'érosion très importante du crédit qu'accordent les Français à leurs responsables politiques. Ainsi 7 Français sur 10 interrogés déclarent ne pas avoir confiance dans la politique. Ils sont tout aussi nombreux à penser le personnel politique corrompu. Conséquence ou pas d'un sentiment de manque de visibilité, 73 % des sondés disent souhaiter avoir "un vrai chef en France pour remettre de l'ordre". Les experts :- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Pascal PERRINEAU - Politologue - Professeur associé au Cevipof- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
C dans l'air du 12 février 2025 - Retailleau : le coup de forceLes experts :- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Pascal PERRINEAU - Politologue - Professeur associé au Cevipof- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
Christophe Barbier et Cécile Cornudet commentent les dernières déclarations du président américain. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« C'est une victoire pour Bayrou, c'est un échec pour la France » rétorque Christophe Barbier. Nos esprits libres commentent l'actualité de ce mardi 4 février. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cécile Cornudet et Christophe Barbier commentent l'interview du Premier ministre sur LCI Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cécile Cornudet, journaliste aux Echos et Christophe Barbier, journaliste, comédien, metteur en scène, livrent leur analyse de la prise de fonction de Donald Trump, 47ème président des Etats-Unis Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 17 janvier 2025 - Budget : qui va payer la facture ?Le nouveau ministre François Bayrou a échappé jeudi à la première motion de censure. Le texte, déposé à l'initiative des Insoumis, des Écologistes et des communistes, a échoué à renverser son gouvernement, avec seulement 131 voix sur les 288 nécessaires. Le maintien du Premier ministre ne faisait guère de doute, la droite et le Rassemblement national ayant annoncé qu'ils ne voteraient pas le texte, rendant son adoption numériquement impossible. L'incertitude portait davantage sur l'attitude du Parti socialiste, divisé depuis la déclaration de politique générale, et qui a finalement tranché en dernière minute pour ne pas le censurer."Nous avons choisi de ne pas pratiquer la politique du pire parce qu'elle peut conduire à la pire des politiques : l'arrivée de l'extrême droite", lance, à la tribune, le patron des socialistes, sous les vives interpellations de ses camarades mélenchonistes. "Nous sommes dans l'opposition et nous y resterons", a expliqué Olivier Faure, avant de lister la totalité des points qui ont motivé ses troupes à ne pas voter cette motion. Parmi lesquels l'ouverture de concertations avec les partenaires sociaux sur la réforme des retraites, la création ou le maintien de 12000 postes de personnels soignants, la non-suppression des 4000 postes dans l'éducation nationale, l'annulation du ticket modérateur sur les consultations médicales, l'abandon du projet de passage de 1 à 3 jours de carences dans la fonction publique, l'augmentation de l'enveloppe budgétaire allouée aux l'hôpitaux…En comptant la réindexation des retraites au 1er janvier, le coût de ces mesures est estimé 6,5 milliards d'euros. Mais si on l'enlève, la facture est plutôt de l'ordre de 2,5 milliards d'euros, sur lesquels Bercy compte récupérer 1 milliard auprès des mutuelles qui ont augmenté leur tarif en vue de la hausse du ticket modérateur, finalement annulé.Reste 1,5 milliards d'euros qui viennent s'ajouter aux 32 milliards d'euros d'économies déjà fixées. Point sur lequel François Bayrou est resté jusqu'à présent très sobre concernant les moyens d'y parvenir. Dans son discours de politique générale mardi, le Premier ministre a dénoncé une "bureaucratie trop lourde" et s'est interrogé sur la nécessité d'avoir 1 000 agences et autres établissements publics. Mais cette volonté de simplification administrative n'est pas nouvelle. Ainsi, dans le gouvernement sortant, l'ancien ministre de la Fonction publique de Michel Barnier, Guillaume Kasbarian, souhaitait supprimer "plusieurs dizaines" de ces "comités Théodule". Alors qui est visé ? Quelles seront ces économies ? Qui va payer la facture ?Les experts : - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOPPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 17 janvier 2025 - Budget : qui va payer la facture ?Les experts : - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP
Dans la série sur les enjeux de 2025, pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités décryptent le jeu politique de l'extrême droite après une dissolution puis une censure et alors que François Bayrou a fait sa déclaration de politique générale.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en janvier 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Cécile Cornudet et Jacques Paugam (journalistes au service Politique des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Eliot Blondet/ABACA. Sons : France 24, LCP – Assemblée nationale, « Star Wars, épisode I : La Menace fantôme » (1999), RTL, « Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l'anneau » (2001), « Astérix : Le domaine des dieux » (2014), Les Inconnus, RTBF Info. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
S'il y avait un homme qui pouvait rassembler une majorité dans l'Assemblée fracturée, ce devait être lui. Michel Barnier a été censuré. Dans "La Story", le podcast d'actualité des Echos, Margaux Boulte et ses invités reviennent sur le parcours de cet éphémère Premier Ministre.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryCet épisode de La Story, un podcast des « Echos », est présenté par Margaux Boulte. Il a été enregistré en décembre 2024. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Elsa Freyssenet (enquêtrice aux Echos), Gabriel Grésillon (enquêteur aux Echos) et Cécile Cornudet (éditorialiste aux Echos). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : Le Parisien, C dans l'air (France Télévisions), LCP, Euronews, « Le Journal régional FR3 de Savoie » des Inconnus (1991). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 24 décembre - Gouvernement Bayrou : des revenants... et une majorité ?Si vous manquez de temps pour écouter l'émission en entier, nous vous donnons la possibilité d'accéder directement aux questions posées par les téléspectateurs qui sont un bon résumé de l'émission du jour.Les experts : - Marc LAZAR - Historien et sociologue, professeur à Sciences po et à l'université Luiss (Rome)- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique – Le Point
C dans l'air du 24 décembre - Gouvernement Bayrou : des revenants... et une majorité ?On prend les mêmes et on recommence. Après plusieurs jours d'intenses négociations, François Bayrou a dévoilé hier soir son gouvernement : 35 ministres et beaucoup d'anciens, à l'image d'Elisabeth Borne à l'Education, de Manuel Valls aux Outre-mer, ou encore de Gérald Darmanin à la Justice. Plusieurs figures du gouvernement Barnier sont maintenues, de Retailleau à l'Intérieur à Jean-Noël Barrot aux Affaires étrangères en passant par Rachida Dati à la Culture. À droite, peu de prises. Malgré un courrier du Premier ministre aux Républicains pour leur donner des gages sur l'autorité de l'État ou le redressement des finances publiques, Laurent Wauquiez n'a pas souhaité intégrer le gouvernement et déclare que les votes LR "se décideront texte par texte". Les nouveaux visages sont finalement minoritaires : l'ancien socialiste François Rebsamen arrive comme ministre chargé de l'aménagement du territoire, tandis qu'Eric Lombard, ancien directeur général de la Caisse des dépôts, prend le portefeuille de l'Economie. Il formera avec Amélie de Montchalin, son homologue aux finances, le duo chargé de redresser l'économie française. Une chose est sûre, François Bayrou aura échoué à élargir sa majorité au Parlement et se retrouve déjà sous la pression du RN que son prédécesseur. Marine Le Pen a d'ailleurs dénoncé sur twitter un gouvernement "qui s'appuie comme le précédent sur une absence manifeste de légitimité et une majorité introuvable".Moins de trois mois après avoir cédé sa place à Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur, Gérald Darmanin pose cette fois ses cartons à la Justice. Les deux anciens LR devraient poursuivre le coup de barre à droite sur les thèmes du trafic de drogue et de l'immigration. Une manière de couper l'herbe sous le pied au Rassemblement national. Bien qu'issus du même camp, les deux hommes portent des lignes différentes. Bruno Retailleau est un proche de Philippe de Villiers et François Fillon tandis que Gérald Darmanin s'est formé auprès de Nicolas Sarkozy, avant d'incarner l'aile droite de la macronie. Ils ont néanmoins appris à travailler ensemble lors de la dernière loi immigration, Gérald Darmanin s'appuyant sur Bruno Retailleau, alors chef des Républicains au Sénat, pour faire passer son texte. Le nouveau tandem devrait s'accorder sur une ligne de "fermeté et de rapidité dans l'exécution des réformes", comme l'assure un proche de Darmanin dans Le Parisien. Mais gare aux égos de ces deux fortes têtes.Loin de l'Élysée, des élus n'ont pas attendu la nomination du nouveau gouvernement pour "redresser les finances publiques", comme le souhaite François Bayrou. Dans les Pays de la Loire, la présidente du conseil régional, Christelle Morançais, ex-LR ralliée à Horizons, a décidé de couper 82 millions d'euros de subventions à la culture, aux sports et à l'égalité homme-femme, sur le budget 2025-2028. Bien plus que les 40 millions d'euros demandés par le gouvernement Barnier. À l'issue du vote, la numéro 2 du parti d'Édouard Philippe s'est défendue de tout excès de zèle : "C'est un budget d'économies, de choix politiques forts pour l'avenir et de recentrage sur nos compétences prioritaires". Planning familial, maisons de santé, clubs de sports, festivals… toutes ces structures ont accueilli le vote du budget avec effroi, le spectacle vivant pesant à lui seul plus de 150 000 emplois dans la région. Plus de 2 400 membres du réseau associatif et culturel local ont manifesté la semaine dernière pour dénoncer ces coupes budgétaires.Le nouveau gouvernement va-t-il pouvoir faire davantage que celui de Michel Barnier ? À quoi va ressembler la politique régalienne avec le duo Darmanin-Retailleau ? Et comment les efforts budgétaires réclamés par l'exécutif infusent déjà dans certaines régions ?Les experts : - Marc LAZAR - Historien et sociologue, professeur à Sciences po et à l'université Luiss (Rome)- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique – Le PointPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
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Tout a démarré en 1912, quand un certain Eugène Cornudet construit un casino privé à Deauville (Calvados). A sa mort en 1926, son associé, François André, prend la tête de la société et va la faire prospérer grâce à une intuition : créer des hôtels à côté des casinos. « Au début des années 1960, François André était beaucoup plus puissant que le maire de Deauville », raconte Philippe Normand, spécialiste de l'histoire de la ville.L'empire est là, mais pas encore le nom. François André n'a pas d'héritier direct. A sa mort, c'est son neveu Lucien Barrière qui hérite. C'est ainsi que l'empire devient l'empire Barrière. La tragédie viendra à la génération suivante, lorsque la fille adoptive et héritière de Lucien Barrière, Diane Barrière, sera victime d'un terrible accident d'avion.Comment s'est construit l'empire du Groupe Barrière ? Comment un drame risque-t-il d'ébranler cet empire ? Vanessa Schneider, grande reporter au Monde revient, dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », sur les origines du groupe et sur le destin tragique de son héritière.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'une interview de Diane Barrière diffusée dans l'émission “Normandie Soir” (France 3 Région) le 6 septembre 1991 ; extrait d'un reportage du journal télévisé de France 3 Nice diffusé le 18 juillet 1995.Episode publié le 23 octobre 2024.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
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« L'émergence de l'hypothèse Thierry Beaudet est la démonstration qu'Emmanuel Macron ne veut pas d'un partage du pouvoir »Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C dans l'air du 24 mai 2024 : Attal / Bardella : un gagnant...un perdant ? Il était attendu. A moins de vingt jours des élections européennes, le débat télévisé entre le Premier ministre et la tête de liste Rassemblement national aux élections européennes a été suivi par 3,61 millions de téléspectateurs (18,0 % du public) hier soir sur France 2. Un bon score pour ce rendez-vous politique qui a vu Gabriel Attal et Jordan Bardella opposer deux visions antagonistes de l'Europe, dans la dernière ligne droite avant le scrutin. "L'Europe est l'homme malade des économies développées", pour le l'eurodéputé RN. "L'Europe, c'est la prospérité", pour le chef du gouvernement. Deux convictions opposées, mais aussi deux attitudes différentes : un Premier ministre sans fiche, offensif et qui a tenté de mettre en lumière les failles du programme du candidat RN versus un président du parti d'extrême droite, favori des sondages, venu avec ses fiches, sur la défensive. Huitième face-à-face entre Gabriel Attal et Jordan Bardella, lourd d'enjeux, il est sans doute celui qui a été le plus scruté de tous. Alors quels sont les enseignements de ce débat ? Sécurité, immigration, protectionnisme économique, vision de l'UE, guerre en Ukraine, Russie… Que faut-il retenir de cet échange de plus d'une heure ? Qui a gagné ? Qui a perdu ? Enfin Raphaël Glucksman, troisième sur le podium dans les sondages pour les élections européennes, peut-il créer la surprise le 9 juin prochain ? Très loin de Jordan Bardella crédité de 33 % des intentions de vote dans une dernière enquête mais désormais à seulement un point de la tête de liste macroniste Valérie Hayer (16 %), la tête de liste PS-Place Publique concentre les attaques de ses rivaux à gauche. Nos experts : - Guillaume DARET - grand reporter au service politique à France Télévisions - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Nathalie MAURET - journaliste politique pour le groupe de presse régionale Ebra - Bernard SANANES - politologue, président de l'institut de sondages Elabe DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 24 mai 2024 : Attal / Bardella : un gagnant...un perdant ? Nos experts : - Guillaume DARET - grand reporter au service politique à France Télévisions - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Nathalie MAURET - journaliste politique pour le groupe de presse régionale Ebra - Bernard SANANES - politologue, président de l'institut de sondages Elabe
C dans l'air du 21 mars 2024 - Dette française : alerte rouge à Bercy Il veut éviter les procès en amateurisme. Alors que le déficit public pourrait atteindre 5,6 % du PIB sur l'année 2023 (contre 4,8 % en 2022), le chef de l'État a réuni hier soir à l'Élysée ses ministres et cadres de la majorité, pour tenter de trouver des solutions à l'accroissement de la dette. "On doit faire face à un choc économique conjoncturel lié notamment à la géopolitique. On assume et on dit la vérité aux Français", a déclaré Emmanuel Macron. Le gouvernement veut faire 30 milliards d'euros d'économie d'ici 2025 mais ses membres se divisent sur la manière d'y arriver. Faut-il augmenter les impôts, alors qu'Emmanuel Macron avait promis 2 milliards de baisse d'impôts aux classes moyennes en janvier dernier ? De son côté, Matignon plaide pour des réductions de dépenses publiques. Gabriel Attal a déjà annoncé vouloir durcir les règles de l'assurance chômage, malgré deux réformes en 2019 et 2023. Une chose est sûre, le temps presse : les agences Fitch et Moody's dévoileront leur notation sur la dette française fin avril. Il y a quelques semaines, le ministre en charge des comptes publics, Thomas Cazenave a évoqué une troisième voie : réduire les affectations de longue durée (ALD), ces dépenses prises en charge à 100% par la Sécurité sociale et qui représentent les deux tiers de son budget. En France, 13 millions de personnes sont touchées par ces ALD, notamment pour le diabète ou les insuffisances cardiaques. Sur les 12 milliards d'économie que le gouvernement espère faire pour boucler le budget 2025, la moitié devrait venir des réductions de dépenses de la Sécurité sociale dont les comptes sont dans le rouge. Dans un entretien accordé au journal Le Monde le 6 mars dernier, Bruno le Maire a aussi pointé les transports médicaux de malades, qui coûtent 5,7 milliards d'euros chaque année : "Je crois à un État fort, mais pas à un État qui se disperse, qui finance tout et devient une pompe à fric". Mais les dépenses publiques ne sont pas les seules à être dans le viseur de Bercy. Bruno Le Maire a fait du remboursement des prêts garantis par l'État (PGE) l'une de ses priorités pour l'année 2024. Selon le médiateur national du crédit à la Banque de France, 52 % des échéances ont été honorées à fin novembre 2023, sur un total de 144 milliards d'euros de prêts accordés. Mais du côté des chefs d'entreprise, on peine à rembourser l'État depuis la crise sanitaire : "Les trois quarts de nos adhérents disent rencontrer des difficultés pour rembourser leur PGE, qui représente pour eux une échéance moyenne de 2 000 euros par mois", a déclaré au Monde Jean-Guilhem Darré, délégué général du Syndicat des indépendants. D'autant que les faillites d'entreprises ont augmenté de 34% en 2023 par rapport à 2022, notamment en raison de la hausse des coûts de l'énergie, de l'inflation ou des taux d'intérêt. De quoi craindre une vague de faillites en 2024 ? Pour limiter le risque Bercy a allongé jusqu'à fin 2026 la possibilité, pour les entreprises ayant souscrit à un PGE, de demander un rallongement des échéances de paiement. Quels risques fait peser l'augmentation de la dette française sur l'État ? Quelles sont les pistes étudiées par le gouvernement pour revenir sous la barre des 5% de déficit public ? Les PGE sont-ils devenus un boulet pour le gouvernement ? LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-tireur - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos - Mathieu PLANE - Économiste, directeur adjoint à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) - Olivier BABEAU - Économiste, professeur à l'Université de Bordeaux, président-fondateur de l'Institut Sapiens
C dans l'air du 21 mars 2024 - Dette française : alerte rouge à Bercy LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-tireur - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos - Mathieu PLANE - Économiste, directeur adjoint à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) - Olivier BABEAU - Économiste, professeur à l'Université de Bordeaux, président-fondateur de l'Institut Sapiens
durée : 00:35:45 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Quelle première impression pouvons-nous avoir du nouveau gouvernement ? Trop à droite disent certains membres de la majorité ou de l'opposition, trop politique disent certains commentateurs. Qu'en est-il de l'évolution de la présidence Macron, lui qui rêvait de dépasser le clivage gauche-droite. - invités : Patrice Duhamel Journaliste politique; Cécile Cornudet Éditorialiste politique aux Echos
C dans l'air du 17 janvier 2024 - Macron : le virage à droite ? Lors de sa conférence de presse retransmise par six chaînes de télévision, hier soir, Emmanuel Macron avait à cœur de renouer avec la Nation, en fixant un cap politique à la nouvelle équipe gouvernementale autour de Gabriel Attal. Un exercice de plus de deux heures, suivi par 8,7 millions de téléspectateurs, durant lequel le chef de l'État a voulu confirmer le virage à droite pris par l'exécutif, dans le sillage de la nomination de plusieurs personnalités issues des Républicains, de Rachida Dati à la Culture à Catherine Vautrin à la Santé et au Travail. Dès le début de son intervention, le ton était donné. Emmanuel Macron a pioché dans le vocabulaire de la droite, vantant une « France forte », et allant jusqu'à reprendre une expression utilisée comme slogan électoral par Éric Ciotti et Éric Zemmour : « la France reste la France ». Au-delà du champ lexical, les priorités affichées par le locataire de l'Élysée ont confirmé elles-aussi le virage à droite de sa politique : « réarmement civique et démographique », uniforme à l'école, « choc de simplification », apprentissage de la morale et de la Marseillaise à l'école… Autant de promesses faites par le chef de l'Etat au nom du « bon sens ». Mais dans les faits, peu de choses vraiment nouvelles. Le chef de l'Etat a repris beaucoup de mesures déjà annoncées comme l'uniforme expérimenté cette année dans 100 établissements, avant une éventuelle généralisation en 2026, et la Marseillaise déjà enseignée en primaire. Emmanuel Macron a dit vouloir refonder l'instruction civique et doubler son volume horaire, ce qu'avait déjà indiqué Elisabeth Borne en juin dernier. Il a également évoqué la généralisation du service national universel en seconde, des cours de théâtre au collège ainsi qu'une régulation de l'usage des écrans pour les enfants, sans plus de détails pour l'instant. A l'assaut des électeurs de droite, le chef de l'Etat a accusé le Rassemblement national de Marine Le Pen et Jordan Bardella, donné dans les sondages en tête aux prochaines élections européennes, d'être le « parti de l'appauvrissement collectif », «du mensonge», et a appelé à «s'attaquer à ce qui fait voter pour eux». « Lutter contre l'immigration clandestine, c'est, je pense, une des réponses au Rassemblement national », a assuré le président de la République, qui a également mis en avant la lutte contre le « chômage de masse» et la nécessité de remédier au «sentiment de dépossession» que peuvent ressentir les Français, en particulier les classes moyennes. S'adressant à cette « France de l'angle mort » qui tient le pays, Emmanuel Macron a promis que le gouvernement allait « tout faire pour que le travail paie mieux » ainsi qu'une baisse d'impôts de deux milliards d'euros en 2025. Une semaine après le remaniement, le chef de l'Etat a également été sommé de s'expliquer sur la polémique qui touche la ministre de l'Education. Assise à quelques mètres de lui, il l'a soutenu et a appelé à l'« indulgence» après ses propos « maladroits » et ses excuses. Il a également assumé la nomination de Rachida Dati au ministère de la Culture malgré sa mise en examen pour corruption passive et a indiqué n'avoir pas parler avec elle de la mairie de Paris. Rachida Dati, de son côté, a annoncé sa candidature ce mercredi à la mairie de Paris en 2026. Des élections municipales qui dans la capitale mais aussi à Marseille et Lyon pourraient connaître un changement : le chef de l'Etat a plaidé pour que les maires de ces trois agglomérations soient désormais élus au suffrage universel direct, appelant à une réforme de la loi en ce sens. Alors que retenir de la Conférence de presse d'Emmanuel Macron ? A-t-il convaincu les Français ? Selon un sondage BVA Xsight pour RTL, 51% des Français qui ont vu ou entendu parler de son intervention n'ont pas trouvé Emmanuel Macron convaincant. 31% des répondants seulement l'ont jugé convaincant. NOS EXPERTS : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Nathalie MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
C dans l'air du 17 janvier 2024 - Macron : le virage à droite ? NOS EXPERTS : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Nathalie MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
C dans l'air du 12 janvier 2024 - Macron : à droite... et adroit ? NOS EXPERTS : - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos - Guillaume DARET - Grand reporter au service politique - France Télévisions - Louis HAUSALTER - Journaliste politique - Le Figaro - Laure SALVAING - Directrice générale de sondage Verian
C dans l'air du 12 janvier 2024 - Macron : à droite... et adroit ? Après plusieurs jours d'hésitation, l'exécutif a dévoilé hier soir la composition du gouvernement de Gabriel Attal. Une équipe pour l'instant composée de onze ministres et trois ministres délégués, soit quatorze membres mais qui devrait dans les jours à venir être complétée par la nomination de secrétaires d'Etat. Pour l'heure on trouve sept femmes, mais seulement quatre sont ministres sur les onze, et parmi elles Catherine Vautrin, ancienne ministre sous Jacques Chirac, pressentie pour être Première ministre, en mai 2022, avant qu'Emmanuel Macron ne change d'avis au profit d'Elisabeth Borne. Cette fois, elle fait son entrée au gouvernement et se voit confier un ministère aux attributions extrêmement larges : travail, santé et solidarités. L'autre femme à faire une entrée fracassante au gouvernement, c'est l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy Rachida Dati. Dans la foulée de sa nomination au ministère de la Culture, elle a été exclue de son parti, Les Républicains, par le président Eric Ciotti. L'ancien secrétaire général de Renaissance, Stephane Séjourné a lui été nommé ministre des Affaires étrangères. Amélie Oudéa-Castéra prend la tête d'un super ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques. Prisca Thévenot, jusque-là secrétaire d'Etat à la jeunesse, est promue au porte-parolat et Marie Lebec devient ministre déléguée aux Relations avec le Parlement. Surtout les poids lourds du gouvernement Borne - Gérald Darmanin, Bruno Le Maire, Éric Dupond-Moretti, Fabien Lecornu, Marc Fesneau – sont tous maintenus en poste. Un gouvernement composé de ministres qu'Emmanuel Macron souhaite "révolutionnaires" et qui n'a jamais autant penché à droite depuis 2017. Huit ministres sur quatorze ont autrefois été encarté UMP ou LR. L'Elysée continue de soutenir que le dépassement des clivages n'est pas enterré mais dans les faits Emmanuel Macron rompt avec ce qu'il restait de son aile gauche dont l'attitude l'avait ulcéré au moment de la loi immigration. De quoi faire grincer des dents à l'aile gauche de la Macronie, qui pourrait être à l'origine d'une fronde chez Renaissance mais aussi du Modem de François Bayrou qui menacerait en coulisse de présenter sa propre liste aux élections européennes. Alors comment vont réagir l'aile gauche de la macronie et le Modem de François Bayrou ? Le gouvernement Attal, un coup politique ? Le nouveau Premier ministre Gabriel Attal promet "de l'action" et "des résultats". Il est d'ores et déjà très attendu sur les questions économies et sociale en ce début d'année marqué par les négociations salariales et un nombre de faillites d'entreprises au plus haut depuis six ans. NOS EXPERTS : - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos - Guillaume DARET - Grand reporter au service politique - France Télévisions - Louis HAUSALTER - Journaliste politique - Le Figaro - Laure SALVAING - Directrice générale de sondage Verian