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Siempre que hay noticas importantes os las contamos, convocamos el gabinete de crisis. Kowe, Marcos, Pepe y Cedric analizan lo sucedido con este sorpresivo traspaso. Como se queda la situación del equipo y que ha podido desencadenar esta situación. Quien gana y quien pierde con este movimiento del equipo.
Siempre que hay noticias estamos para contar lo que pensamos y todo lo sucedido. La sorpresa de este traspaso al poco de terminar el draft nos ha pillado a todos fuera de juego. Kowe, Marcos, Pepe y Ced han convocado gabinete de crisis para dar sus opiniones y poner todo en contexto. Adios George Pickens
Les pays du Golfe pourraient-ils s'imposer comme un hub du raffinage des métaux, activité aujourd'hui largement dominée par la Chine? C'est une des questions abordée dans un rapport à paraître de l'Observatoire de la sécurité des flux et des matières énergétiques (OSFME). Les minerais et les métaux sont avant tout un moyen pour les pays du Golfe de se préparer à l'après-pétrole, rappellent les auteurs du rapport de l'OSFME, mené pour le compte de la Direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS) du ministère des Armées, en partenariat avec Enerdata et Cassini Conseil.La dépendance des recettes publiques de ces États aux hydrocarbures varie, elle est au minimum de 40% pour les Émirats arabes unis et va jusqu'à 80 % pour le Qatar et le Koweït. Dans la perspective d'une demande en pétrole qui pourrait être divisée par quatre entre 2025 et 2050, selon l'Agence internationale de l'Énergie, les pays du Golfe ont commencé à chercher d'autres sources de revenus. Énergies renouvelables, mines et métauxCes dernières années, ils ont développé une batterie de projets et de plans nationaux pour diversifier leur économie avec deux grands axes : les énergies renouvelables et les mines et les métaux, explique Candice Roche, chercheuse en économie prospective à IFPE Énergies nouvelles, la baisse de la consommation d'énergie fossile s'accompagnant d'une montée des besoins en métaux. L'extraction minière est un des piliers de la stratégie saoudienne, mais plus globalement les pays de la région se sont engouffrés dans le secteur du raffinage, de leurs propres ressources quand ils en ont, ou de minerais importés. L'atout commun de ces pays-là est unique : ils disposent d'énergie bon marché pour faire fonctionner des fonderies qui traitent le minerai pour le transformer en métal. Pour le raffinage de lithium, les Émirats ont signé un accord avec un producteur, le Zimbabwe, l'Arabie saoudite raffine, elle, du lithium d'Autriche. Les pays du Golfe disposent aussi de capacité de raffinage de bauxite et sont devenus des producteurs d'aluminium qui comptent sur le marché, explique Frederic Jeannin, chercheur à l'Iris.Grâce à la bauxite qu'ils importent de Guinée, les Émirats, qui sont loin de concurrencer la Chine sur la production d'aluminium primaire, sont devenus les premiers exportateurs d'alliage d'aluminium avec une production et se distinguent par leur production de métal de qualité militaire très prisée par l'industrie américaine de la défense.Production pour le secteur de la défenseLe royaume saoudien fabrique lui un des aluminiums les moins chers du monde grâce à sa propre mine de bauxite. Un atout qui pourrait cependant ne pas durer, en raison du manque de réserves d'eau, explique Fréderic Jeannin. Le recours à plus d'eau de mer dessalée est très énergivore et pourrait réduire l'avantage concurrentiel du pays, voire limiter sa capacité à augmenter sa production, explique le chercheur.L'Arabie saoudite se positionne aussi sur le créneau du titane de qualité aéronautique, produit à partir de minerai importé du Mozambique et d'Australie. Ce titane saoudien a fait l'objet fin avril d'un accord d'approvisionnement pour Airbus, pour un montant de 585 millions d'euros.Aux yeux des Occidentaux, les pays du Golfe peuvent être une alternative intéressante à la Chine qui domine largement l'activité mondiale du raffinage. Ils constituent aussi un levier à actionner : les États-Unis encourageraient les investissements des États du Golfe dans les zones minières trop risquées pour les occidentaux, et dans l'activité de raffinage pour précisément limiter la mainmise de la Chine. Les intérêts en jeu sont différents : là où l'Empire du milieu sécurise ses approvisionnements, via l'achat de mine et la production de métaux, pour servir ses intérêts, les pays du Golfe, eux, jouent avant tout leur diversification et leur positionnement dans le système international. « Ils apparaissent comme une puissance intermédiaire, capable d'investir pour récupérer des métaux et les transformer, avec une position moins menaçante que celle de la Chine, qui n'est pas dans une logique d'approvisionnement collectif », explique un des auteurs du rapport de l'OSFME.
Blanche-Neige censuré à cause de Gal Gadot : l’antisémitisme décomplexé Le film Blanche-Neige est interdit au Liban et au Koweït en raison de la nationalité israélienne de l’actrice Gal Gadot .La rencontre Durocher-Dutrizac avec Sophie Durocher et Benoît Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Wasze historie pokazują, że warto czytać i warto też inspirować się historiami, które odkrywamy w książkach. Zachęcam Was do wysłuchania nowego odcinaka. Mam nadzieję, że znajdziecie w nim inspirację do kolejnej lektury.Odcinek nadaję do Was dzięki współpracy z marką InPost. InPost ma nową, bardzo wygodną usługę InPost Pay. Są to zakupy na skróty, bo cały proces zakupowy od zapłaty po potwierdzenie otrzymania przesyłki macie w jednym miejscu, w aplikacji InPost Mobile. Jednym z ponad 1700 sklepów, które w ofercie posiadają InPost Pay jest księgarnia online Tantis.pl. Z kodem JUSTYNA15, przy zakupach w tym sklepie z InPost Pay otrzymujecie 15 zł zniżki. Kod ważny jest do 29.04.2025 lub do wyczerpania puli kodów. Minimalna wartość zamówienia to 100 zł. Kod jest jednorazowy. Regulamin akcji na InPost.pl/regulaminy w zakładce "Promocje"źródło badań, o których mówię w odcinku: https://www.bn.org.pl/raporty-bn/stan-czytelnictwa-w-polsce/stan-czytelnictwa-w-polsce-w-2023/
Zapraszamy do najnowszego odcinka gdzie odpowiemy na kilka pytań o treści "Jak żyć?", rzucimy garść ciekawostek i pogratulujemy jednostkom szczególnie wybitnym :)Ponadto zapraszamy do naszego sklepu:www.bulwarpodlaski.pl Do usłyszenia,Bulwar Podlaski
Primer episodio de la nueva temporada, empezamos con el arranque de la agencia libre. Marcos y Kowe analizan lo acontecido en las primeras horas. Los movimientos que han hecho los Steelers, cuales podrían ser los siguientes. Cuales nos convienen mas y que podemos atisbar sobre lo que esta buscando el equipo.
durée : 00:05:32 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le Koweït a déchu 42 000 personnes de leur nationalité, signe d'un durcissement de la monarchie pétrolière du Golfe qui stagne sur le plan économique, comparé à ses voisins. Les citoyens naturalisés servent de boucs émissaires selon la presse, dans un pays où le parlement a été suspendu.
A la Une de la presse, ce lundi 10 mars, le recul démocratique inquiétant du Koweït. Le rejet, hier, par la commission électorale roumaine, de la candidature du candidat d'extrême droite Calin Georgescu à la présidentielle. L'annonce de négociations entre les Etats-Unis et l'Ukraine pour tenter de parvenir à la paix avec la Russie. Et l'heureux gagnant d'un grand concours de toutous.
Retour sur la fin de la guerre du Golfe en 1991, avec le retrait des troupes irakiennes du Koweït et le rôle de la France aux côtés des États-Unis.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.En 2025, Europe 1 célèbre ses 70 ans. 70 ans d'histoire, de rires, de partages et d'émotions.Pour marquer cet anniversaire, découvrez une collection inédite de podcasts : "70 ans d'Europe 1".
„Światy lękowe” to najnowsza książka Mateusza Grzeszczuka, która łączy literacką wyobraźnię z wręcz psychoanalizą. Znajdziecie tam rozważania o zmywarkach, półprzewodnikach oraz geopolityce i uniwersalnych wartościach. Jak powstawał ten (nie)kontrolowany chaos opowiada Mateusz Grzeszczuk. Rozmawiała Marta Boroń
Muzyka z takich produkcji jak "Silent Hill", "Minecraft", "Final Fantasy", "Resident Evil", "Diablo" czy "The Last of Us" - a to wszystko w niegodzinnej i eksperymentalnej formie. W Warszawie w Studiu Koncertowym Polskiego Radia im. Witolda Lutosławskiego odbędzie się koncert zatytułowany "Sounds of Gaming". To jednak niejedyne miejsce, w którym będzie można posłuchać muzyki znanej z gier.
Niektóre parki rozrywki są wyjątkowo do siebie podobne - te same atrakcje i wysłużone sprzęty. Gorzej, jeśli ten konkretny, który właśnie odwiedza twoje miasteczko, już ci się objawił we śnie. Bardzo złym śnie. Być może jednak tym razem wszystko potoczy się choć trochę inaczej? A może będzie jeszcze gorzej? W Mielcu bowiem, znikają kolejne osoby a podejrzane typy kręcą się z bliżej nieznaną intencją. I bynajmniej nie jest to przyjazne kręcenie się.
“Sumadyaa kanggo ngrungokake pitutur saka wong liya. Aja rumangsa menawa dudu urusan saka sedulur-sedulurmu ngenani carane kowe nggulawenthah anak-anakmu” ”Ora ana siji-sijia kajaba Sang Kristus sing diparingaké kanggo kita minangka tuladha.“
“Roti kudu dipanggang kanthi apik, njaba lan njero” ”Gusti Allah bakal nguji umate”
Tym razem grabari solo, a jak bez Irene, to czas na plejadę mniej i bardziej odpowiedzialnych rad. Doradzanko w sprawie zdrady, rozstania i dywagacje: czy chłopak jest bi, bo lubi bawić się dildosem?! Zapraszamy do dyskusji!
Witajcie w nowym roku! Ale zanim się w nim na dobre rozgościmy, podsumujmy poprzedni. Nie będziemy rozmawiać o naszych ulubionych książkach zeszłego roku, ale zamiast tego przypomnimy najważniejsze dyskusje, tematy i dramy, które rozpalały sekcje komentarzy do czerwoności. Przeżyjmy 2024 rok jeszcze raz – książkowo! Życzymy miłego słuchania! Czytu Czytu prowadzą: Magdalena Adamus (Catus Geekus) Katarzyna Czajka-Kominiarczuk (Zwierz Popkulturalny)
Tercera derrota consecutiva del equipo, esta vez frente a los KC Chiefs. El día de navidad dejo bastantes dudas en el equipo de cara a PO. Pepe y Kowe nos desgranan todo lo ocurrido en el partido, como ven al equipo y si realmente es tan dramática esta racha negativa. Aún hay tiempo de reacción, para poder llegar al PO de la mejor manera posible.
Derrota difícil en Philadelphia, el equipo no estuvo a la altura del partido. No podemos pasar por alto algunas decisiones arbitrales. Kowe y Pepe nos analizan lo acontecido en el partido. Lo que puede suceder en los partidos venideros y como nos coloca de cara a tener mejor seed en playoffs. Todo ello como siempre en cortina de acero.
Gran victoria en casa frente a los Cleveland Browns, casi ya clasificados de forma matemática para playoffs. Esto significa que seguiremos jugando mas allá de la temporada regular. Ced y Kowe analizan todo lo acontecido en el partido del domingo. Russell Wilson esta jugando a un gran nivel, lo que nos permite soñar con cosas grandes.
En este episodio conozco mas a fondo a uno de mis amigos que el mundo de la NFL y mas concretamente de los Steelers ha traído a mi vida. David Kowe llegó a la NFL en una Super Bowl, enamorándose de los Steelers y del juego en general. Transformando su afición en una pasión y formando parte de la familia de los Alcobendas Cavaliers.
711 Koffi Olomidé - Koweït, Rive Gauche
Début septembre, les pays de l'Opep+ avaient décidé d'attendre début décembre pour relancer leur production. Le délai est à nouveau prolongé d'un mois. Faute de demande et dans l'attente des élections américaines, l'Opep+ joue la prudence. En septembre, les pays de l'Opep+ avaient prévenu que leur décision pourrait être revue à tout moment et c'est ce qui s'est passé, à l'initiative de huit des 22 membres de l'organisation. L'Arabie saoudite, la Russie, l'Irak, les Émirats arabes unis, le Koweït, le Kazakhstan, l'Algérie et Oman ont jugé que le contexte n'était pas encore propice à une réouverture des vannes.Ni les coupes de production reconduites de mois en mois, ni le conflit au Proche-Orient ne semblent avoir de réelles prises sur les cours. Depuis des mois, les facteurs macroéconomiques reprennent le dessus après chaque sujet de tension et maintiennent les prix des deux références américaine (WTI) et européenne (Brent) autour de 70 dollars le baril.À lire aussiPrix du pétrole: une tendance de fond à la baisse malgré la guerreUne offre abondante hors de l'Opep+Ce qui empêche les cours de remonter depuis plusieurs mois, c'est la peur de ne pas voir la demande repartir durablement en Chine, premier importateur de brut, et dans le monde, même si le dernier rapport de l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), a constaté la semaine dernière un sursaut de la demande aux États-Unis, que ce soit pour l'essence, le kérosène, ou dans l'industrie.En face, l'offre n'est finalement pas si restreinte que ce que voudrait l'Opep+ : car si les membres du cartel pétrolier gardent sous terre près de 6 millions de barils/jour pour ne pas inonder le marché, les pays non membres ne s'imposent pas de limites.L'Opep+ voit son poids diminuerC'est en particulier le cas des États-Unis où la production de brut a atteint un record de 13,4 millions de barils par jour au mois d'août. Au fil des mois, l'Opep+ a perdu des parts de marché et ne représente désormais qu'à peine la moitié de la production mondiale, d'où sa difficulté à orienter les cours.Attendre un mois de plus, jusqu'à fin décembre, pour remettre des barils sur le marché, est pour le cartel pétrolier un moyen aussi de temporiser jusqu'aux résultats des élections américaines : leur issue pourrait avoir un impact significatif sur l'économie, la demande en pétrole et donc sur les prix, selon un analyste de Rystad Energy.À lire aussiLes pays de l'Opep+ échouent à faire remonter les cours du pétrole
Victoria importante contra los Giants, Kowe y Wane analizan todo lo sucedido en MNF. Un ataque volvió a mover bien las cadenas con carencias en la red zone. La defensa estuvo muy bien en los momentos claves, con un gran Alex Highsmith y un excelso T.J. Watt. Sin duda alguna nos dejan sensaciónes muy buenas de cara a la Bye.
”Wiwit tumibane manungsa jroning dosa, turune sing sakbanjure nduweni kecondhongan sing terus-terusan mudun” ”Gusti Allah nuntut umate supaya njaga integritas” –
“Roti kudu dipanggang kanthi apik, njaba lan njero” ”Gusti Allah bakal nguji umate”
¡Vótame en los Premios iVoox 2024! Primer partido de la titularidad de Russell Wilson, donde cosecho una buena victoria. Pepe a los mandos acompañado de su fiel compañero Kowe nos analizan todo lo ocurrido el en SNF. Contando con la aparición estelar de uno de los emperadores Wane y Edu que se paso para dar la cara frente a su mal pronostico vertido en Tertulias de Acero.
Jestem bardzo szczęśliwy! Moja książka pt. "Światy lękowe" już dostępna.
Esta semana ha llegado la primera derrota, un partido muy disputado que pudimos ganar. Pero los repetidos fallos de la defensa y el no entrar en el partido hasta la segunda parte nos hizo perder. Podemos hacer lecturas positivas, con la gran actuación una semana más de Justin Fields Esta semana presentando Cedric, acompañado de Kowe y Marcos.
Nueva victoria y esta vez en casa, Pepe y Kowe nos desgranan el partido a la perfección. Todo aquello que ven mejorar en el equipo y todo aquello que falta por pulir. Esperamos vuestros comentarios y que opináis de la evolución del equipo. Arthur Smith, Mike Tomlin y Justin Fields.
Le secteur de l'intelligence artificielle (IA) est désormais reconnu pour ses besoins colossaux en capitaux, nécessaires au développement d'infrastructures et à l'entraînement de modèles de plus en plus performants. Et les investisseurs ne manquent pas à l'appel. La dernière levée de fonds orchestrée par OpenAI illustre bien cette dynamique. Parmi les acteurs les plus en vue, les fonds souverains des grandes nations productrices d'hydrocarbures du Moyen-Orient se distinguent particulièrement.Parmi eux, MGX, un fonds émirati créé il y a moins d'un an pour investir spécifiquement dans l'IA, fait parler de lui. Ce fonds s'est rapidement associé à Microsoft et BlackRock pour soutenir des projets dans le domaine et envisage maintenant de prendre une participation dans OpenAI. D'autres fonds de la région suivent la même voie. Le fonds souverain d'Abou Dhabi, Mubadala, qui gère 302 milliards de dollars, a déjà investi dans Anthropic, l'entreprise derrière Claude, et a réalisé huit transactions dans l'IA au cours des quatre dernières années. Quant à l'Arabie saoudite, son fonds souverain, le Saudi Public Investment Fund (PIF), gérant 925 milliards de dollars d'actifs, a lancé la Saudi Company for Artificial Intelligence (SCAI) pour se positionner dans ce secteur en plein essor.Cet engouement n'est pas surprenant. Depuis des années, les pays du Moyen-Orient cherchent à diversifier leurs économies, traditionnellement dépendantes des hydrocarbures. Les Émirats arabes unis, précurseurs dans ce domaine, ont déjà réduit la part des hydrocarbures à un tiers de leur PIB. L'Arabie saoudite, sous la houlette de Mohammed Ben Salmane, suit cette voie, tandis que le Koweït a lancé en 2017 son programme « New Kuwait 2035 » pour diversifier son économie. L'IA, comme d'autres secteurs technologiques, représente une opportunité clé dans cette transition économique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Celebramos la segunda victoria del equipo con la presencia de los emperadores Ced y Wane. Pepe y Kowe nos analizan todo lo ocurrido en la semana 2 frente a Broncos. Russell Wilson si o Justin Fields si. Broderick Jones se merece mas oportunidades. Y muchas cosas mas en el mejor contenido sobre Steelers en castellano.
”Ibu-ibu sing nganggoake sandangan anakke miturut mode mbebayani kesehatan lan uripe anakke” ” Nalika kowe dadi kagungane Kristus, awakmu dudu duwekmu dhewe maneh, kowe wis dituku lan regane wis lunas dibayar”
”Pakulinan resik sing ketat kudu dilakokake” ” Nalika Sang Roh Suci nguripake kekuwatan rohani jroning pikiranmu, kowe bakal ndeleng kepiye kuwate, alane lan cilakane dosa”
Paso la primera semana, y la podemos contar como una victoria. En el partido pasaron muchas cosas interesantes que debemos analizar. Pepe presentado y Kowe a su lado desgranan todo lo ocurrido el domingo frente a Falcons. ¿Justin fields hizo una buena actuación? ¿Arthur Smith ha cambiado el ataque por completo?
L'Opep+ change de stratégie et décide d'attendre deux mois de plus pour relancer sa production. Le nombre de barils mis sur le marché chaque jour ne devrait remonter qu'à partir de décembre et non plus octobre. Mais la demande est si morose que même cette décision n'a pas bousculé les cours du baril de brut. L'Opep+, qui regroupe aujourd'hui 22 membres, avait prévu de rouvrir ses robinets à partir d'octobre dans l'idée de remettre sur le marché progressivement d'ici à un an 2,2 millions de barils par jour.Mais l'été est passé par là et la relance de la consommation portée par les vacances et ce qu'on appelle aux États-Unis la « driving season » n'ont pas réussi à redresser les prix du brut. Le WTI, référence du pétrole américain, est passé sous la barre des 70 dollars et le Brent, référence européenne de l'or noir, a atteint début septembre son plus bas niveau depuis décembre 2023. Une tendance qui a incité huit des 22 membres du cartel (l'Arabie saoudite, la Russie, l'Irak, les Émirats arabes unis, le Koweït, le Kazakhstan, l'Algérie et Oman) à ne pas rouvrir les vannes aussitôt que prévu.Signaux économiques négatifsLa raison économique l'a emporté mais n'a pas réussi à donner un coup de fouet au marché. Au contraire, puisque la baisse des prix s'est poursuivie après l'annonce du cartel. Les prix n'avaient pas non plus été impactés ces derniers jours par l'annonce de la baisse massive des stocks américains. Peut-être parce qu'elle était moins forte que prévue ou parce que la baisse des volumes d'essence livrés au marché américain à ce moment-là l'avait emporté dans les esprits.Les indices d'une demande qui fléchit aux États-Unis font écho à une consommation mondiale morose, en lien avec une détérioration de la situation macro-économique. En particulier en Chine, moteur principal de la croissance de la demande en pétrole.Une stratégie à double tranchantL'évolution de la consommation est si incertaine que l'organisation se réserve déjà la possibilité de revoir son nouveau calendrier si nécessaire. Cette stratégie de l'Opep+, focalisée sur une remontée des prix, interpelle des observateurs : à force de retenir son pétrole sous terre, « l'organisation perd des parts de marchés face à d'autres pays qui ne sont pas membres du cartel, tels que les États-Unis et de nouveaux acteurs, comme Brésil ou le Guyana », relève Hamad Hussain un analyste de Capital Economics, cité par l'AFP. À lire aussiPétrole: l'Opep+ va prolonger sa baisse de production pour soutenir les prix jusqu'à fin 2025
Chciałbym by ten komunikat, który usłyszycie teraz był częścią mojego podcastu zawsze. Jedną z zasad, którymi się kieruję wybierając swoich gości jest ta, że warto rozmawiać z każdym. Harrari w jednym z wywiadów powiedział, że dzisiaj największą siłę i moc na świecie ma rozmowa. Dzisiaj rozmową możemy zacząć piękną przyjaźń i zakończyć wielki konflikt. Tylko musimy mieć chęć wysłuchać drugiego człowieka. Dlatego ja rozmawiam z każdym. Chcę poznać historię życia mojego rozmówcy bądź rozmówczyni. Nie chcę nikogo wybielać, tak samo nie chcę nikogo upokarzać, bo tego żądają ludzie w komentarzach. Nie pomijam trudnych tematów, ale nie rozmawiam tylko o nich. Dlatego każdy kto ze mną rozmawia, rozmawia na tych samych zasadach. Czy jest politykiem, artystą czy biznesmenem. Dlatego może dzisiaj usłyszycie w moim podkaście kogoś kogo kochacie, a jutro kogoś kogo nienawidzicie. I niezależnie jakie to emocje, postaram się pomóc Wam poznać tego człowieka. Dziękuję, że ze mną jesteście, bo to dzięki Wam zostałem najczęściej odsłuchiwanym podcastem w Polsce w 2023 roku.
L'émission 28 Minutes du 16/07/2024 Marine Jacquemin a dû faire toutes les guerres pour être aussi forte aujourd'hui L'Afghanistan, le Koweït, la Tchétchénie, les Balkans, le Liban, le Rwanda, le Proche-Orient ou encore l'Ukraine : autant de pays frappés par des conflits meurtriers que Marine Jacquemin a sillonné pour la rédaction de TF1. Rare femme à l'époque à couvrir les zones de guerre, la journaliste a su témoigner, à travers ses reportages, les principaux soubresauts qu'a connu le monde ces dernières décennies. Pourtant, sa vocation n'était pas d'être reporter de guerre. “Moi je rêvais d'avoir un beau couple d'amour, d'avoir des enfants [...] mais reporter de guerre, franchement, non.” Souffrant d'endométriose et ne pouvant pas avoir d'enfants, elle s'est lancée à corps perdu dans son métier, frôlant la mort à plusieurs reprises. Aujourd'hui, Marine Jacquemin a 72 ans et publie “Mes guerres. Mes confidences d'un grand reporter” aux éditions de L'Observatoire : son autobiographie pour faire revivre tous ceux qu'elle a croisés. Dette, déficit : un cadeau empoisonné pour le prochain gouvernement ? Les comptes publics de la France sont dans le rouge : 5,5 % de déficit l'an dernier et une dette à 111 % du PIB. Le pays risque la paralysie. C'est l'avertissement lancé par les magistrats de la Cour des comptes dans un rapport publié ce lundi. À qui la faute ? Au pouvoir actuel, estime Pierre Moscovici, le Premier président de la Cour des comptes, qui considère que le gouvernement n'a pas su profiter du contexte favorable en 2023, au sortir de la crise inflationniste, pour tenter d'assainir les comptes. Quel que soit le futur gouvernement, celui-ci va donc hériter d'une situation financière compliquée. Alors que faire ? De manière schématique, il y a deux façons de chercher à renouer avec l'équilibre : réduire les dépenses ou augmenter les impôts. À moins bien sûr d'emprunter une troisième voie, qui consisterait à ne pas tenir compte des règles européennes. Voilà qui promet un sacré casse-tête pour le prochain gouvernement, dont un des principaux actes sera d'élaborer le budget pour 2025. Enfin, retrouvez également les chroniques de Marjorie Adelson et Justin Morin ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 16 juillet 2024 - Présentation : Jean-Mathieu Pernin - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:02:47 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Depuis un an, suite à un meurtre particulièrement horrible d'une d'entre elles, les domestiques et nounous philippines ne pouvaient plus obtenir de visa de travail pour le petit émirat du Golfe : les deux pays sont enfin parvenus à un accord.
durée : 00:02:47 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Depuis un an, suite à un meurtre particulièrement horrible d'une d'entre elles, les domestiques et nounous philippines ne pouvaient plus obtenir de visa de travail pour le petit émirat du Golfe : les deux pays sont enfin parvenus à un accord.
In this insightful episode, listeners are introduced to the fascinating journeys of Jennifer Otiano and Kowe Kadoma, two emerging scholars in the field of Information Science. Their stories unravel against the backdrop of their shared passion for human-centered technology and their individual quests for understanding its socio-cultural implications. Diving deep into the heart of computing research, Jennifer and Kowe discuss their academic pursuits and personal growth, painting a vivid picture of resilience and innovation in a field that constantly evolves.
Le Journal en français facile du mercredi 12 juin 2024, 18h00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AggZ.A
Un PIB multiplié par cinq en 20 ans, une politique d'investissements géants, une diversification économique tous azimuts : les Émirats Arabes Unis et leur fleuron Dubaï sont devenus une puissance majeure au carrefour de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe. RFI vous propose un dossier spécial avec deux émissions tournées dans cette ville en pleine expansion et qui tente de répondre aux nombreuses critiques notamment sur son opacité financière ainsi que sur sa dépendance aux hydrocarbures. La première de ces deux émissions s'intéresse aux investissements de grande ampleur passés, en cours ou à venir aux Émirats arabes unis et plus largement dans les États du Golfe, notamment l'Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, Bahreïn, le Koweït ou l'Irak. Parmi leurs grands partenaires, la France dont de nombreuses entreprises ont décidé de se lancer sur ces marchés attractifs bien que très concurrentiels. À l'occasion du sommet Vision Golfe, les 4 et 5 juin 2024 au ministère de l'Économie à Paris, nous avons décidé de leur donner la parole pour qu'elles expliquent leur choix, leurs réussites mais aussi leurs difficultés pour s'implanter dans cette région, malgré les risques géopolitiques.NOS INVITÉS :- Axel Baroux, directeur de Business France pour le Proche et le Moyen-Orient- Pascal Dufour, vice-président de Digital Virgo chargé du Moyen-Orient, de la Turquie et de l'Afrique du Nord- Valérie Hawley, directrice du Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de l'Université Sorbonne - Abu Dhabi (SCAI).Transition énergétique, finance, fiscalité, tourisme, technologie, recherche, recrutement de talents : les sujets sont multiples pour cet échange rythmé par plusieurs témoignages d'acteurs économiques installés aux Emirats arabes Unis : François Dao (vice-président d'EDF Renouvelables pour la région Moyen-Orient et Afrique), Geoffrey Bunetel (directeur de cabinet du président du Groupe Chalhoub), Nathalie Martial-Braz, vice-chancelière de l'Université Paris Sorbonne Abu Dhabi, Zakaria Elabid (étudiant-chercheur au Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de la Sorbonne Abu-Dhabi).Cette émission enregistrée dans les locaux de Business France est l'un des éléments d'un large dossier que vous propose RFI à l'occasion de Vision Golfe. Reportages, analyses et vidéos pour comprendre comment Dubaï est devenue un hub économique incontournable, au carrefour de l'Asie, de l'Europe et de l'Afrique. Le samedi 1er juin 2024, Éco d'ici Éco d'ailleurs sera ainsi totalement consacré aux liens économiques entre Dubaï et le continent africain.
Un PIB multiplié par cinq en 20 ans, une politique d'investissements géants, une diversification économique tous azimuts : les Émirats Arabes Unis et leur fleuron Dubaï sont devenus une puissance majeure au carrefour de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe. RFI vous propose un dossier spécial avec deux émissions tournées dans cette ville en pleine expansion et qui tente de répondre aux nombreuses critiques notamment sur son opacité financière ainsi que sur sa dépendance aux hydrocarbures. La première de ces deux émissions s'intéresse aux investissements de grande ampleur passés, en cours ou à venir aux Émirats arabes unis et plus largement dans les États du Golfe, notamment l'Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, Bahreïn, le Koweït ou l'Irak. Parmi leurs grands partenaires, la France dont de nombreuses entreprises ont décidé de se lancer sur ces marchés attractifs bien que très concurrentiels. À l'occasion du sommet Vision Golfe, les 4 et 5 juin 2024 au ministère de l'Économie à Paris, nous avons décidé de leur donner la parole pour qu'elles expliquent leur choix, leurs réussites mais aussi leurs difficultés pour s'implanter dans cette région, malgré les risques géopolitiques.NOS INVITÉS :- Axel Baroux, directeur de Business France pour le Proche et le Moyen-Orient- Pascal Dufour, vice-président de Digital Virgo chargé du Moyen-Orient, de la Turquie et de l'Afrique du Nord- Valérie Hawley, directrice du Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de l'Université Sorbonne - Abu Dhabi (SCAI).Transition énergétique, finance, fiscalité, tourisme, technologie, recherche, recrutement de talents : les sujets sont multiples pour cet échange rythmé par plusieurs témoignages d'acteurs économiques installés aux Emirats arabes Unis : François Dao (vice-président d'EDF Renouvelables pour la région Moyen-Orient et Afrique), Geoffrey Bunetel (directeur de cabinet du président du Groupe Chalhoub), Nathalie Martial-Braz, vice-chancelière de l'Université Paris Sorbonne Abu Dhabi, Zakaria Elabid (étudiant-chercheur au Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de la Sorbonne Abu-Dhabi).Cette émission enregistrée dans les locaux de Business France est l'un des éléments d'un large dossier que vous propose RFI à l'occasion de Vision Golfe. Reportages, analyses et vidéos pour comprendre comment Dubaï est devenue un hub économique incontournable, au carrefour de l'Asie, de l'Europe et de l'Afrique. Le samedi 1er juin 2024, Éco d'ici Éco d'ailleurs sera ainsi totalement consacré aux liens économiques entre Dubaï et le continent africain.
durée : 00:53:49 - Affaires sensibles - par : Christophe Barreyre, Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, l'histoire d'une fake news. En août 1990, alors que la guerre froide s'achève, l'Irak attaque son petit voisin le Koweït. La région du Golfe s'embrase avec une attaque signée Saddam Hussein, le dictateur irakien. - réalisé par : Marion Le Lay
Początek roku to zwykle czas podsumowań i nagradzania książek, które wybiły się na listy bestsellerów. Goodreads Choice Awards za rok 2023 już rozdano, po Gali Empiku ledwo posprzątano, a na dniach rozstrzygnie się plebiscyt Lubimy Czytać na Książkę Roku 2023. Co łączy te imprezy? Zdaje się, że wszystkie spotykają się z podobnie skrajnymi reakcjami i niezrozumieniem miłośników książek. Dlatego w najnowszym odcinku podcastu rozmawiamy o idei plebiscytów, omawiamy ciekawostki z list nominowanych, najgłośniejsze kontrowersje i zmiany, jakie w ostatnich latach wszystkie wspomniane imprezy wprowadziły. W segmencie torebkowym Kasia poleca najnowszą książkę Serhija Żadana „Będzie wojna” (Wydawnictwo Czarne, tłumaczenie: Michał Petryk), a Megu rozprawia na temat „Nocy szpilek” Santiago Roncagliolo (ArtRage, tłumaczenie: Tomasz Pindel). Życzymy miłego słuchania! Czytu Czytu prowadzą: Magdalena Adamus (Catus Geekus) Katarzyna Czajka-Kominiarczuk (Zwierz Popkulturalny)
#TataMariusz, czyli Mariusz Rzepka. Czytam dla dzieci, ale jeśli lubisz wiersze, bajki czy opowiadania - zostań ze mną, dla rodziców też się coś znajdzie. ;) A co? Np. wesołe wierszyki (często z przesłaniem), poważniejsze opowiadania i bajki edukacyjne, fragmenty książek, lektury i wiersze pisane przez najmłodszych. W każdym z nas siedzi dziecko. Odkryj je na nowo słuchając moich nagrań! ;) Zapraszam! https://tatamariusz.pl;
Pour venir en aide à l'Ukraine, les Occidentaux sont prêts à saisir les avoirs de la Banque centrale de Russie déposés à l'Ouest. Cette option jusqu'alors taboue commence à être sérieusement envisagée au sein du G7. C'est une demande pressante de l'Ukraine. Dans sa vidéo quotidienne adressée à la nation, Volodymyr Zelensky a confirmé dimanche 17 décembre avoir abordé le sujet lors de sa visite aux États-Unis, spécifiant que le G7 était le mieux placé pour intervenir. Selon l'une des sources américaines du Financial Times, le club des pays riches pourrait faire une annonce en ce sens en février, autour du deuxième anniversaire du début de la guerre déclenchée par la Russie.David Cameron, l'ancien Premier ministre britannique et actuel ministre des Affaires étrangères, plaide en faveur d'une confiscation de ses avoirs. En visite lui aussi aux États-Unis, il a indiqué que son pays était prêt à travailler sur le sujet avec Washington, c'est-à-dire sans attendre l'Union européenne, beaucoup plus timorée sur la question.IncertitudeLa France, l'Allemagne et la Belgique sont les plus réservés. Ces trois pays redoutent que la saisie ne fasse fuir les capitaux des États autoritaires refroidis par ces décisions unilatérales. Et ils craignent bien sûr d'être les premiers à en faire les frais parce que les deux tiers des réserves en devises de la Banque centrale russe gelées dorment dans des établissements européens. 200 milliards d'euros environ sont déposés en Europe, on parle au total d'un pactole de 275 milliards d'euros, de quoi faire rêver les Ukrainiens.C'est deux fois plus que ce que les Occidentaux leur ont déjà accordé. Et c'est très proche du coût de la reconstruction. Les avoirs russes pourraient donc financer ce chantier dès aujourd'hui. Moscou est censé payer les dommages causés par son armée, une fois la paix revenue. Mais cette hypothèse parait bien improbable tant que Vladimir Poutine reste au Kremlin.De quoi aussi soulager Américains et Européens qui ont aujourd'hui le plus grand mal à débloquer les 100 milliards de dollars promis à l'Ukraine pour 2024. Aux États-Unis, le congrès ralentit le processus et en Europe c'est la Hongrie qui met son veto. Dans cet environnement très incertain, où le mouvement de solidarité en faveur de l'Ukraine commence à s'essouffler, le recours à une nouvelle source de financement qui ne pèsera pas sur les comptes publics est donc politiquement plus que bienvenu. Trouver un accordAprès l'invasion du Koweït par l'Irak, les États-Unis avaient bloqué des fonds irakiens pour les transférer à l'organe des Nations unies chargé de venir en aide aux victimes de cette guerre. Pour le moment, les 27 étudient la possibilité de transférer les profits réalisés sur les avoirs gelés. De son côté, la Belgique a promis de taxer ces profits et de reverser la recette à l'Ukraine. Les solutions techniques sont sur la table, reste à trouver un accord, comme pour les sanctions sur le pétrole ou les diamants russes, il faudra sans doute encore des mois et des mois de tractations pour aboutir.À lire aussiRussie: la gestion de l'aéroport international de Saint-Pétersbourg reprise en main par le Kremlin
On dit souvent que la première victime d'une guerre, c'est la vérité. Dans le business et la haute finance, il est tout aussi difficile de démêler le vrai du faux. Il suffit que le patron de la plus grande banque du monde vende un million d'actions de sa propre banque pour qu'aussitôt certains se disent que c'est le signal que tout va mal et qu'un ouragan économique nous attend. Alors que tous les grands banquiers du monde sont auscultés à la loupe ces derniers jours, Jimmy Diamond, le patron de JP Morgan la plus puissante banque du monde, le seul d'ailleurs à avoir survécu à la crise bancaire de 2008, a annoncé qu'il vendait pour la première fois de sa vie un paquet d'un million d'actions de cette dernière, ce qui devrait lui rapporter la petite bagatelle de 140 millions de dollars. Il a encore en portefeuille sept autres millions d'actions de sa propre banque, qui ne sera donc pas à la rue. Mais quand le patron emblématique de la première banque des États-Unis vend des actions de sa propre banque, ça suscite des interrogations. Il y a ceux et celles qui se contentent de lire le communiqué officiel lié à cette vente. En gros, Jimmy Diamond est comme vous et moi, il a des besoins d'argent pour sa famille et c'est en gros d'ailleurs ce qu'il a déclaré. Ce qui prouve que les multimillionnaires sont des gens comme les autres. D'autres se disent au contraire que si le banquier le plus puissant de la planète vend des actions de sa propre banque, c'est qu'il se prépare à quitter sa banque et donc qu'une succession est ouverte. Reste évidemment une troisième thèse, celle choisie par des commentateurs boursiers que je ne vais pas qualifier de complotiste. Ils disent et surtout ils écrivent à leurs abonnés que c'est quand même bizarre que le patron d'une très grande banque vende ses titres. Comme Jimmy Diamond est supposé être un initié et un homme prudent, les auteurs de ces commentaires boursiers en profitent pour faire indirectement peur à leurs abonnés en leur expliquant ce qu'ils doivent faire pour se protéger contre cet ouragan économique à venir… Mots-Clés : menaces, guerre, Ukraine, Moyen-Orient, crise énergétique, inflation, record, États, surendettés, taux d'intérêt, hausse, faillites, entreprises, climat social, récession, société, investissement, Invesco, conflits, stress, bourse, augmenter, crise, missiles, Cuba, guerre des Six Jours, Kippour, Afghanistan, Malouines, Irak, Koweït, 11 septembre, 2001, Golfe, attentats, Paris, Ukraine, drames, humains, marchands, peur, raisonnement. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
n°295 / 30 avril 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à la Fondation Jan Michalski, à Montricher, en Suisse, le 28 avril 2023.Avec cette semaine :Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. QUE SE PASSE-T-IL AU SOUDAN ? Depuis le 15 avril, les forces armées soudanaises (FAS), menées par le général Abdel Fattah Al-Bourhane, et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), dirigées par le général Mohammed Hamdan Daglo, dit « Hemetti », s'affrontent à Khartoum. Les pertes civiles s'aggravent chaque jour, dépassant jeudi les 500 morts et plusieurs milliers de blessés, selon le ministère de la santé soudanais. Le conflit déclenché par le refus de Hemetti d'accepter l'intégration à l'armée de ses troupes, véritable force autonome, ruine l'espoir de l'instauration d'un régime civil, quatre ans après le soulèvement populaire qui a mis fin au règne du dictateur islamiste Omar Al-Bachir.Al Bourhane, militaire de carrière formé en Egypte, fait partie de ces élites du nord et de la vallée du Nil qui ont appuyé Omar al Bachir. Hemetti vient d'une petite tribu d'éleveurs de chameaux du Darfour, vivant de part et d'autre de la frontière avec le Tchad. Sa milice, force puissante, bien armée et très motivée lui a permis de devenir l'homme le plus riche du pays en contrôlant notamment des mines d'or. Le général Al Bourhane peut compter sur le soutien de l'Égypte, tandis qu'Hemetti espère avoir l'appui des Émirats et des Saoudiens : ses hommes ont participé à leurs côtés à la guerre du Yémen puis aux affrontements en Libye avec les troupes du général Haftar, le chef de l'est libyen longtemps protégé de Riyad et de Moscou. Hemetti entretient aujourd'hui des relations d'affaires avec Evgueni Prigojine, le patron du groupe de miliciens russes Wagner, qui contrôle des mines d'or au Soudan. On évalue à quelque 140.000 hommes les forces de l'armée régulière et à plus ou moins 100.000 hommes celles des FSR. Au Soudan, l'appareil de sécurité accapare les 4/5ème du budget de l'État. Troisième pays le plus vaste d'Afrique, peuplé de 45 millions d‘habitants, le Soudan est frontalier de sept pays. Il influence et subit les dynamiques de la Corne de l'Afrique, de la mer Rouge et du Sahel. Sa déstabilisation pourrait s'étendre à toute la région. La revue Oil and Gas Journal estime les réserves soudanaises de pétrole situées à la fois au Soudan et au Soudan du sud à 1,5 milliards de barils.Un rapport des Nations unies craint que les « pénuries de nourriture, d'eau, de médicaments et de carburant ne deviennent extrêmement graves, en particulier à Khartoum et dans les régions avoisinantes » tandis que l'Organisation mondiale de la santé s'inquiète d'un risque biologique « énorme » après la prise « par l'une des parties combattantes » d'un « laboratoire public de santé » de Khartoum, qui renferme des agents pathogènes de la rougeole, du choléra et de la poliomyélite. Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a annoncé, lundi, que les généraux rivaux dans le conflit au Soudan avaient accepté un cessez-le-feu de trois jours dans tout le pays pour tenter de mettre fin aux violences. Plus de 1.000 ressortissants de l'Union européenne ont été évacués. ***LA SUISSE PEUT-ELLE RESTER NEUTRE ? En 1815, le traité de Vienne a fait officiellement de la Suisse un état neutre. Mais c'est en 1899 et 1907, lors des conventions de La Haye, que le droit et les obligations des états neutres ont été formellement codifiés. Ce droit stipule qu'un État neutre ne participe pas activement aux conflits et ne met pas son territoire à la disposition d'un belligérant. L'industrie d'armement peut vendre des armes, mais l'Etat doit veiller à l'équilibre. En 1920, le juriste Max Huber, va théoriser cette neutralité qu'il qualifie de « différentielle », en indiquant qu'elle permet de participer à des sanctions économiques, mais pas à des sanctions militaires. Pour la première fois, en 1990, Le Conseil fédéral a pris la décision d'appliquer les sanctions économiques de l'ONU, à la suite de l'invasion du Koweït par l'Irak. La Suisse, qui n'appartient ni à l'Union européenne ni à l'OTAN, a rejoint les Nations unies en 2002. Le 9 juin dernier, elle a été élue membre non permanent du Conseil de sécurité pour deux ans à compter du 1er janvier 2023.Dès l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le 28 février 2022, la Suisse a suivi les sanctions européennes contre Moscou - poussant les Russes à désavouer le pays, qu'ils ne considéreraient plus totalement comme un État neutre. Mais depuis, Berne hésite à aller plus loin, tiraillée entre les tenants d'une « neutralité traditionnelle » interdisant de s'impliquer davantage dans le conflit, et les défenseurs du droit international « prônant la solidarité avec l'Ukraine ». Dans ce contexte, Ignazio Cassis, président libéral-radical de la Confédération helvétique, a fait rédiger pendant l'été un rapport proposant la mise en œuvre d'une « neutralité coopérative ». Cette nouvelle doctrine permettrait, selon la Radiotélévision Suisse de « faciliter les exportations d'armes » ou de « renforcer la collaboration militaire avec l'OTAN, par exemple en participant à des exercices communs » sans entrer en guerre en cas d'attaque contre un membre de l'Alliance atlantique. Mais la droite populiste de l'Union démocratique du centre et les socialistes se sont opposés à une telle mesure, et le Conseil fédéral - l'exécutif suisse - a refusé d'aller plus loin.Ainsi, les blessés ukrainiens ne seront pas soignés en Suisse, le gouvernement n'ayant pas donné suite à une demande de l'OTAN pour éviter de se mettre en porte-à-faux avec le principe de neutralité, a confirmé le 18 juillet le Département fédéral des Affaires Étrangères. En mars, la Confédération helvétique a, pour la troisième fois, interdit à l'Allemagne d'envoyer en Ukraine les munitions de fabrication suisse destinées aux blindés de défense antiaérienne allemands Gepard, cruciaux pour Kyiv. Sans nommer explicitement la Suisse, la ministre allemande des Affaires étrangères a déclaré que « la neutralité n'est plus une option. Être neutre, c'est prendre le parti de l'agresseur. » Selon l'institut de recherche Sotomo, les Suisses âgés de 18 à 35 ans se montrent plus critiques que leurs aînés face à l'engagement de la Confédération en faveur de l'Ukraine : 35% des Suisses de 18-35 ans estiment que la reprise par la Suisse des sanctions de l'UE contre la Russie viole le principe de neutralité, contre 22% chez les 55 ans et plus. Avant la guerre en Ukraine, 97% des Suisses étaient en faveur de la neutralité.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.