POPULARITY
La production du coton est comme la majorité des productions agricoles touchées négativement par le dérèglement climatique. Une situation sur laquelle alerte l'Association des producteurs de coton africain et pour laquelle les différents acteurs cherchent des solutions pour préserver leurs rendements. Dans le bassin cotonnier du Cameroun, Wagaye Amadou, petit cotonculteur, témoigne des conséquences sur ses cultures du changement climatique. « Il y a la sécheresse qui nous dérange donc le coton ne se produit pas comme auparavant. Quand il fait trop chaud, le coton ne donne pas parce que ça ne grandit pas. Ça fait déjà 2 ans ou 3 ans environ. C'est trop de perte, plus d'un tiers de la production. Qu'est-ce qu'on peut faire contre ça ? Quand il ne pleut pas abondamment, comment on peut avoir la solution ? »Alternance de fortes pluies et sécheresse Les cotonculteurs du continent expérimentent des épisodes pluvieux intenses qui noient les cultures et les font pourrir, ou des épisodes de sécheresse prolongée qui empêche la fleur de coton de se développer. « Les aléas climatiques, c'est ça qui fait que la production cotonnière est en train d'évoluer en dents de scie, explique Moussa Sabaly, président de la Fédération nationale des producteurs de coton du Sénégal, président d'honneur de l'AProCA, l'appel que je lance aux producteurs, c'est que comme on ne connaît pas si la pluie va s'installer précocement, on ne sait pas à quel moment ça va s'arrêter, il faut semer très tôt. Puisqu'il y a un moment où quand tu sèmes le coton des semis tardives, tu risques de ne pas avoir de bons rendements. Il faut adapter les périodes de plantation ».Indispensable adaptation des techniquesLe changement climatique contribue à l'appauvrissement des sols, aux phénomènes d'érosion. Un sujet de préoccupation depuis plusieurs années qui mobilise la recherche et les sociétés cotonnières. Adaptation des pratiques agricoles et recherche de semences résistantes.Au Cameroun, la Sodecoton travaille notamment avec l'Institut de recherche agricole pour le développement, l'IRAD. « Il y a des actions qui sont menées, notamment les actions agroécologiques qu'on appelle techniques agroécologiques, pour limiter l'impact de ce dérèglement sur la production agricole et donc maintenir un certain niveau de productivité », détaille le Dr Hinimbio Taïda Pierre agronome spécialisé en agro-écologie à la société cotonnière du Cameroun. « Donc, parmi cet ensemble de techniques, il y a par exemple la mise en place de l'arbre dans le système agraire qu'on appelle l'agroforesterie. Il y a également la lutte contre, par exemple, l'érosion pluviale et éolienne par la mise en place par exemple, (...) des bandes arbustives ou enherbées et même des plantations d'arbres. Voilà donc il y a beaucoup de techniques comme ça qui sont mises en place pour contrôler l'effet du dérèglement climatique », explique-t-il. Ces adaptations sont confrontées également à un certain nombre de pratiques persistantes telles que le pâturage, la culture sur brulis ou encore l'usage pas toujours approprié de certains produits phytosanitaires.
Marine Dubreuil, conceptrice-développeuse en alternance chez Yes We Dev, partage son parcours inspirant : de coach en gymnastique artistique à future experte en développement web. Burnout, reconversion, apprentissage… Elle nous raconte comment elle a osé le changement et donne ses conseils à ceux qui hésitent à sauter le pas. Un épisode motivant sur l'adaptation, la persévérance et les parallèles surprenants entre le sport et le code !Linkedin : https://www.linkedin.com/in/marine-dubreuil-link/https://www.eni-ecole.fr/formations/developpement/niveau-6-bac3-concepteur-developpeur-dapplications/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Rocket de Laval a battu les Americans de Rochester 5-0 dimanche soir, se qualifiant ainsi pour la finale de l'Association Est de la Ligue américaine de hockey (LAH). La troupe de Pascal Vincent se livrera aux Checkers de Charlotte à compter de mercredi. Les deux équipes s'affronteront deux fois en deux soirs à la Place Bell de Laval. Écoutez le journaliste de RDS, Luc Gélinas, au micro de Mario Langlois. Stéphane Waite revient sur la stratégie d'alternance des gardiens de Pascal Vincent. Selon l'ancien entraîneur des gardiens chez le Tricolore, le Rocket a «joué avec le feu» en alternant entre Fowler et Primeau. Le chroniqueur aborde également les séries de la LNH et se questionne : les Panthers seront-ils là où ils sont sans Bobrovsky? Le CF Montréal a tenu un point de presse lundi matin pour calmer la grogne, après un début de saison extrêmement difficile. Le président de l’équipe, Gabriel Gervais, a affirmé que son organisation ne déliera pas les cordons de sa bourse pour aller chercher des joueurs d'élite. L'organisation mise davantage sur le développement des jeunes joueurs, selon le journaliste sportif au Réseau Cogeco, Jeremy Filosa. Antoine Roussel discute de la performance impressionnante des Panthers de la Floride en séries éliminatoires. L'équipe de Paul Maurice se démarque du lot avec un style de jeu physique et intense qui rend la vie difficile à leurs adversaires. L’ancien joueur de la LNH est clair : «Les Panthers m'impressionnent au plus haut point. Moi je trouve qu'ils musèlent littéralement la Caroline et font en sorte qu'ils doivent changer d'identité.» Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Jérôme Marty et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Japan's Top Business Interviews Podcast By Dale Carnegie Training Tokyo, Japan
Alex previously was an analyst for Marche Industriel Europe (Alternance), Assistant Commerciaux Grand Comptes, Assistant Commercial Manager Le Jardin Gaulois. He is an alumnus of ISEAM (Institut Supérieur d'Études en Alternance du Management), Marne-la-Vallée, France. Summary Alex shares his experience leading a niche luxury brand specializing in handcrafted watch straps. His journey highlights how cultural sensitivity, trust-building, and adaptability are essential for leadership success in Japan. Arriving in Japan with limited industry experience and only basic Japanese skills, Alex quickly rose to lead the local operation. His first priority was establishing clear communication between the Tokyo team and the French headquarters. By ensuring that HQ's goals were understood and that local staff voices were heard, Alex built a foundation of mutual trust. He placed strong emphasis on listening to his Japanese team—many of whom are skilled craftsmen focused on quality and detail. To bridge the cultural gap, Alex identified key team members who could act as informal leaders, helping to convey messages and feedback in both directions. This helped align the team with company goals while respecting local work styles. Alex avoided rigid hierarchical leadership in favour of a more empathetic, collaborative approach. He promoted a family-like culture within the organization, valuing each team member's contributions and personal circumstances. This inclusive atmosphere fostered loyalty and motivation. Japanese consumer expectations for customization and perfection heavily influenced product development. The Tokyo atelier created sweat-resistant straps specifically for Japan's hot, humid summers—an innovation that was later adopted in other markets. Alex emphasized that Japan's high standards in craftsmanship and service can drive global innovation in luxury retail. Language and cultural understanding were also key. While Alex wasn't fluent in Japanese at first, he committed to improving his skills to enhance communication. He encourages foreign leaders to learn even basic Japanese and take time to understand their teams before implementing changes. For leaders new to Japan, Alex advises speaking individually with team members, understanding their motivations, and identifying trusted “captains” to serve as cultural and operational liaisons. He also recommends patience, especially given Japan's risk-averse approach to decision-making. Ultimately, Alex's leadership style blends French heritage, Japanese values, and a personal commitment to continuous learning. His experience shows that successful leadership in Japan
Ep28 - Alala la guerre de trouver une alternance... tout le monde cherche la même chose au même moment au même endroit
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Des compagnies aériennes et des entreprises de sûreté aéroportuaire sont soupçonnées d'avoir recruté en contrat d'alternance des salariés déjà diplômés, qui auraient donc dû être embauchés en CDD ou CDI. Un procès pour escroquerie doit se tenir à la mi-avril à Bordeaux et d'autres enquêtes sont en cours. Un article de Cécile Hautefeuille publié dimanche 13 avril 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l'occasion des dix ans du mouvement, le journaliste Rémi Carayol retrace dans le livre Les Sentinelles de la démocratie la genèse de Tournons la page, un réseau international qui milite pour l'alternance démocratique, sa structuration et son évolution. Nous en parlons avec Mathieu Pourchier, directeur exécutif de Tournons la page. ---------Le 15 octobre 2014, un nouveau collectif transnational, Tournons La Page, lance un appel : « En Afrique comme ailleurs, pas de démocratie sans alternance ». Les quelques activistes à l'origine de cette tribune n'imaginent pas que, dix ans plus tard, leur campagne internationale appelant à dénoncer les coups d'États institutionnels et à soutenir les alternances démocratiques se serait transformée en une puissante organisation regroupant des centaines d'associations et des milliers de militantes et de militants dans quinze pays africains et en Europe, représentant une force de contestation et de propositions reconnue sur le continent. Aujourd'hui, Tournons La Page (TLP) est une coalition avec laquelle les chefs d'États africains et les diplomaties internationales doivent compter.Alors que, dans le nouveau désordre mondial, le modèle démocratique est en déclin – en Afrique plus encore que dans le reste du monde – que dans plusieurs pays du continent, les élites politiques traversent une crise de légitimité, et que les traditionnels contre-pouvoirs se sont coupés d'une partie de la population, les sentinelles de TLP ont inventé une nouvelle forme de militantisme. Capables de mobiliser sur le terrain comme sur les réseaux sociaux, de défendre leur cause dans les chancelleries comme dans les villages les plus reculés, elles rappellent que la démocratie est un combat quotidien.TLP, est aussi l'histoire unique d'une forme de coopération Nord-Sud où les membres africains de la coalition ont progressivement pris les choses en main, en transformant le mouvement et en le façonnant à leur image. Cette évolution ne s'est pas faite sans remous. En ce sens, l'histoire de Tournons La Page est, à son échelle, une expérience démocratique unique en son genre.Ce livre retrace cette expérience inédite, en donnant la parole à celles et ceux qui l'ont animée, en retraçant leur parcours et les débats qui ont traversé ce collectif militant. C'est la tumultueuse marche du continent africain ces dix dernières années, de l'insurrection au Burkina Faso aux coups d'État au Niger et au Gabon, que cet ouvrage éclaire d'une autre lumière.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alternance au féminin : Enedis ouvre ses portes à toutes les ambitions !
CDI, CDD, freelance, alternance… Quel est le bon choix pour ta première embauche ? Mauvais choix = complications juridiques et coûts inutiles !Dans cet épisode, on passe en revue :
L'IFAG est une école de management créée en 1968, pionnière de l'alternance en France. Elle est présente à travers un réseau unique de 27 campus.Présente dans tous les territoires et au plus près des besoins des entreprises, l'IFAG propose des formations dans les domaines du commerce et des ressources humaines, de Bac à Bac+5, en initial et en alternance. L'ambition de l'école est de former ses apprenants à la fonction managériale en les dotant de compétences techniques mais également humaines, relationnelles et émotionnelles.Nous pensons que le changement durable et responsable sera porté par les nouvelles générations de managers inspirés et inspirants. Nous sommes convaincus que la performance de l'entreprise repose sur l'engagement, l'authenticité et l'ouverture d'esprit de ses collaborateurs.L'alternance est un devenu un mode d'apprentissage très prisé qui continue de séduire étudiants et entreprises. Apprendre en faisant c'est la meilleure manière de pouvoir acquérir des compétences professionnelles clefs lors de sa formation, de pouvoir toucher un salaire lors de ses études et surtout d'améliorer son employabilité.L'engouement pour l'alternance se manifeste également par le soutien renouvelé du gouvernement avec le maintien des aides financières pour 2025. Dans ce contexte favorable, l'IFAG, école de management des métiers du commerce et des RH, se distingue par son engagement historique envers ce modèle pédagogique, et ce dès la première année de BTS. Pionnière depuis plus de 60 ans, l'IFAG possède une expérience inégalée dans le domaine, un réseau solide d'entreprises partenaires et un accompagnement personnalisé de tous ses apprenants.Dans cet épisode, vous pourrez découvrir les particularités des trois formations BTS proposées par l'IFAG :- BTS MCO (Management Commercial Opérationnel) - Avec cette formation en 2 ans, vous apprenez à gérer et dynamiser la relation client, à développer l'activité grâce à la vente, au conseil et au marketing, et à fédérer et animer des équipes commerciales autour de projets. - BTS CCST (Conseil et Commercialisation de Solutions Techniques) - Avec cette formation en 2 ans, vous allierez compétences techniques et commerciales pour proposer des solutions adaptées dans des environnements à forte technicité (industrie, BTP, informatique, automobile, etc.), développer la relation client et mener des négociations. - BTS GPME (Gestion de la PME) - Avec cette formation polyvalente en 2 ans, devenez un collaborateur clé en gestion des ressources humaines, en développement d'entreprise et en soutien stratégique au dirigeant de PME.Ces trois formations sont dispensées en alternance, et la procédure d'admission se fait uniquement via la plateforme Parcoursup.Grâce aux témoignages de Pierre-Laurent Félix (directeur IFAG), Damien Ducourant (Directeur National des Programmes) et Caroline Bignon (Directrice IFAG Lyon), vous pourrez tout savoir sur la philosophie et la pédagogie IFAG, les temps forts des formations, les modalités d'admission et tout ce qui fait l'unicité des BTS en alternance IFAG.Pour plus d'informations :- Site internet : https://info.ifag.com/ecole-management-entrepreneuriat/?utm_source=azimut&utm_medium=podcast&utm_campaign=azimut-Episode-Podcast-BTS-IFAG-2025-&utm_content=audio- LinkedIn: https://www.linkedin.com/school/ifag/ - Instagram : https://www.instagram.com/ifag_national/- YouTube : https://www.youtube.com/@IFAGChannel/featuredEt vous pouvez également consulter l'agenda Azimut avec les dates des prochaines Portes Ouvertes IFAG près de chez vous : https://azimut-orientation.com/calendrier-orientation/Episode sponsoriséℹ️ SUIVEZ L'ACTUALITÉ DE L'ORIENTATIONInscrivez-vous à l'Hebdo de l'orientation : https://azimut-orientation.com/abonnez-vous-a-la-newsletter/ (vous recevrez en cadeau un guide téléchargeable)
Dans votre nouvel épisode de "LIDL avec Elles", on vous propose un grand bol d'énergie ⚡!Au menu
Au Gabon, la popularité du président de la transition, le général Oligui Nguema, est-elle en train de s'effriter ? « Oui », affirmait hier notre invité, le syndicaliste Jean-Rémy Yama. « Non », répond ce matin François Ndong Obiang, qui est le premier vice-président de l'Assemblée nationale et qui affirme que 70 % des Gabonais soutiennent l'ancien officier putschiste du 30 août 2023. La présidentielle, c'est dans deux mois, le 12 avril, mais aucun poids lourd n'a encore annoncé sa candidature. Que fera le général Oligui Nguema ? De passage à Paris, le premier vice-président de la Chambre répond à Christophe Boisbouvier. RFI : On est à moins de deux mois de la présidentielle et le général Brice Oligui Nguema reste muet sur ses intentions. Est-ce à dire qu'il hésite à être candidat ? François Ndong Obiang : Non, je ne pense pas qu'il y ait d'hésitations. Nous sommes dans les temps. Je pense que s'il a la volonté et la détermination d'être candidat, il annoncera sa candidature dans les jours prochains. Je pense que d'ailleurs cette candidature est souhaitée par le peuple gabonais, parce qu'il a commencé quelque chose qui a été perçu comme un profond changement. Et donc vous pensez qu'il annoncera sa candidature d'ici à la fin de ce mois de février ? Oui, nous sommes à deux mois, nous sommes le 14 février aujourd'hui, il faudra effectivement que, dans les jours qui viennent, monsieur Oligui se prononce sur sa candidature. Alors vous-même, François Ndong Obiang, vous avez appelé à voter « oui » à la nouvelle Constitution, c'était au mois de novembre dernier. Vous êtes député, premier vice-président de l'Assemblée nationale, est-ce que vous soutiendrez son éventuelle candidature ? Oui, nous partageons cette vision. Nous partageons une vision de tranquillité, une vision de prospérité et une vision de rupture apaisée. Vous savez, le Gabon vit une transition spécifique où il n'y a pas eu d'emprisonnement et de chasse aux sorcières, et où le chronogramme qui a été arrêté en septembre 2023 est suivi et respecté. Donc, si nous marchons dans cette voie, je suis prêt à continuer à soutenir cette logique et probablement la candidature de monsieur Oligui quand il se prononcera. Voilà 18 mois que le général Oligui préside la transition. Alors, juste après le putsch, il était très populaire. Mais aujourd'hui, avec les difficultés de la vie quotidienne, avec les pannes d'électricité qui sont nombreuses en ce moment à Libreville, est-ce que vous ne craignez pas que cette popularité s'effondre ?Elle ne peut pas s'effondrer en deçà de 50 % de l'électorat gabonais. Je peux reconnaître effectivement tous les dysfonctionnements sur la SEEG [la société d'électricité - NDLR] qui sont dramatiques, qui sont pénibles pour tous les Gabonais. C'est vrai. Encore que ces problèmes soient là depuis longtemps, la société n'a pas été restructurée. Bon, mais même le bon Dieu a des contradicteurs. Donc, Oligui Nguema, légitimement, devrait avoir des contradicteurs, mais sa popularité ne peut pas être en deçà de 70 % aujourd'hui. On ne peut pas tout faire maintenant, mais ce qui se fait au moins est visible et apprécié par les Gabonais. Donc oui, il peut y avoir des dysfonctionnements avec le courant et l'eau, mais on va réparer tout cela. À lire aussiAu Gabon, la population vit au rythme des délestages d'électricitéÀ la présidentielle d'août 2023, François Ndong Obiang, vous étiez le président de la plateforme Alternance 2023 et donc le premier soutien du candidat Albert Ondo Ossa contre le parti au pouvoir PDG et son candidat Ali Bongo. Or, aujourd'hui, vous êtes aux côtés du PDG pour soutenir le probable candidat Brice Clotaire Oligui Nguema. Pourquoi cette volte-face ?Oh, ce n'est pas une volte-face. Moi, je suis sur mes convictions. Moi, je ne suis pas PDGiste, et je crois que je ne l'ai pas été et que je ne le serai jamais. Mais, par conséquent, on peut avoir des acteurs de ce parti qui sont des hommes convenables et respectables. Donc, si le PDG soutient le candidat Oligui, c'est leur affaire, mais moi, je ne suis pas dans la logique du PDG. Moi, je soutiendrai le candidat Oligui parce que je sais que c'est un homme authentique dont on ne recherche pas l'acte de naissance pendant six jours, qui a une trajectoire scolaire établie et qui a un père et une mère qui sont visibles.À la différence d'Ali Bongo, en fait ?Je ne vous le fais pas dire... Donc, je soutiendrai Oligui pour la vision du bâtisseur qu'il a. Il ne sera pas le candidat du PDG.Au vu des conditions très restrictives de la Charte de la transition et du Code électoral, il y a très peu de figures politiques gabonaises qui seront éligibles ce 12 avril. Est-ce que vous ne craignez pas que le général Oligui se retrouve tout seul comme candidat de poids face à simplement deux ou trois figurants ?Mais il faut justement qu'Oligui ait des candidats contre lui. Il faut que l'élection soit ouverte, sinon on va proclamer autre chose. Bon, attendons voir.Hier, on a entendu sur RFI le syndicaliste Jean-Rémy Yama qui vient de créer son parti et qui semble penser sérieusement à une candidature. Qu'est-ce que vous lui conseillez ? Je lui conseillerai simplement de garder et de conserver ses énergies et de participer à un mouvement collectif qui nous permettrait de capter toutes les capacités qu'il y a de bon dans ce pays pour avancer. Vous lui conseillez de rejoindre la future plateforme pour le candidat Oligui Nguema ?Mais oui, c'est un monsieur courageux. C'est un monsieur qui a souffert dans sa chair. Je pense qu'il ne serait pas bon qu'il se disperse. À lire aussiPrésidentielle au Gabon: «C'est un mauvais signal que le président Oligui soit le candidat du PDG»
Alternance, mode d'emploi : les conditions de réussite, les bons conseils pour trouver son entrepriseLes intervenants de cette conférenceFrancisco ALVES, Directeur CFA UnionAudrey HODICQ, Directrice des admissions, Montpellier Business SchoolLes Conférences du Salon Post BacDans le cadre du partenariat conclu entre AZIMUT et le Salon PostBac, nous relayons la diffusion de l'ensemble des conférences à l'attention de notre communauté de parents. Ces conférences ont été enregistrées dans les conditions du direct lors du Salon PostBac les 10 et 11 janvier 2025.Animées par les psychologues de l'Éducation nationale, spécialistes du conseil en orientation , les conférences du Salon Postbac 2025 permettent de dresser le tableau de l'offre de formation et des choix qui se posent.Pour en savoir plus sur le Salon Postbac : https://www.reussirpostbac.fr/ℹ️ SUIVEZ L'ACTUALITÉ DE L'ORIENTATIONInscrivez-vous à la newsletter Les Clés de l'orientation : https://azimut-orientation.com/abonnez-vous-a-la-newsletter/ ( vous recevrez en cadeau un guide téléchargeable)
Cette fois, Guillaume recevait Michel Macaluso, directeur d'antenne de la Mission Locale en pays messin, pour nous parler des Mission Locales et leur rôle auprès des jeunes en situation de handicap.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous abordons l'évolution de l'alternance depuis sa création. L'alternance est le cursus qui fait de l'étudiant un salarié d'entreprise tout en lui permettant de poursuivre ses études. Apprentissage, contrat de professionnalisation, formule alternée… ✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS : les évolutions de l'alternance
Dans cet épisode, nous abordons le contrat de professionnalisation qui permet l'insertion ou le retour à l'emploi des jeunes et des adultes par l'acquisition d'une qualification professionnelle reconnue par l'État ou par la branche professionnelle, comme par exemple un diplôme, un titre ou un certificat de qualification professionnelle. ✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :qu'est ce que le contrat de professionnalisation
L'alternance est un mode de formation qui combine études théoriques et expérience professionnelle en entreprise. Cette approche particulière offre de nombreux avantages pour favoriser l'insertion professionnelle des étudiants en alternance.
L'apprentissage, souvent associé aux formations professionnelles telles que les CAP, bacs pro et BTS, est désormais également envisageable pour des cursus allant jusqu'au Bac+5, offrant ainsi une variété de choix aux étudiants. Les avantages de cette approche incluent la gratuité de la formation, une rémunération mensuelle, l'acquisition d'une expérience professionnelle concrète, la combinaison de la théorie et de la pratique, une formation personnalisée adaptée aux besoins de l'entreprise, le développement de compétences personnelles et professionnelles, l'accès à un réseau professionnel, de meilleures opportunités d'emploi et la possibilité d'évolution au sein de l'entreprise d'accueil. Choisir l'apprentissage offre donc une voie enrichissante allant au-delà de l'acquisition de connaissances académiques.
Au Togo, 2025 sera marquée par le 20e anniversaire de l'accession au pouvoir de Faure Gnassingbé. L'occasion pour quatre partis de l'opposition et le front citoyen Togo Debout de réclamer "un processus transparent d'alternance politique au sommet de l'Etat". Ce scénario est-il réalisable ? Nous lançons le débat.
durée : 00:58:07 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Margaux Leridon - Le parti démocratique du Botswana rendait en octobre dernier les clés du pouvoir, après presque 60 ans de règne ininterrompu. Une défaite électorale immédiatement reconnue, marquant une passation sans heurts avec la coalition de gauche dirigée par Duma Boko. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Thibaud Kurtz Consultant indépendant et analyste en géopolitique africaine, contributeur régulier de l'Ifri ; Christiane Rafidinarivo Politologue, chercheuse associée au Laboratoire de recherche sur les espaces Créoles et Francophones (LCF) Université de la Réunion et au CEVIPOF Sciences Po
Pour la 28ème Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées (SEEPH), les Cap emploi vous ont proposé de suivre des émissions en direct sur leur chaîne TWITCH ! Voici l'une de ces émissions en replay et en podcast.Guillaume recevait Mme Stéphanie KIS, élue au Conseil Régional et présidente de la commission formation professionnelle. Ensemble, ils vous parlerons de comment des personnes en situation de handicap peuvent accéder à des formations et comment les financer. Si vous cherchez une formation, n'oubliez pas d'en parler à votre conseiller Cap emploi ou France Travail.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu du journal des arnaques du jour : - Voiture confiée à un parking : elle découvre que son véhicule a été utilisé sans autorisation. Mais aussi, les rebondissements des cas du jour abordés de 10h à 12h : - Alternance non payée : il n'a pas été payé pour son travail, un de ses collègues a esquivé un coup de pelle... - Commande d'un téléphone neuf : il reçoit des dosettes de café à la place. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Afin d'obtenir son diplôme, Chloé a complété sa formation par un contrat en alternance au sein d'une entreprise, à partir d'octobre 2023. Mais son expérience au sein de cette dernière, déjà négative, ne se conclut pas de la meilleure des façons. Malgré une fin de contrat actée, son ancien employeur tarde à lui verser son solde tout compte d'un montant de 536,17 euros. Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 04 décembre 2024.
Après le Premier ministre et coordinateur de la campagne pour le « oui » au référendum constitutionnel prévu demain, samedi 16 novembre, RFI donne la parole à un tenant du « non », Albert Ondo Ossa, candidat lors de la dernière élection (élections générales gabonaises du 26 août 2023) qui continue de revendiquer sa victoire à ce scrutin rendu caduc par le coup d'État militaire de 2023. Ce professeur d'université, qui dénie le droit d'organiser un tel référendum au pouvoir de transition, appelle les Gabonais à lui faire barrage massivement. Il répond aux questions de Esdras Ndikumana. RFI : Pourquoi est-ce que vous vous opposez à ce projet de Constitution ?Albert Ondo Ossa : Alors, je ne veux pas faire du juridisme, il faut passer en revue les articles. Effectivement, je pense que l'homme politique que je suis repose son appréciation sur deux choses : l'esprit du texte d'une part, la procédure conduisant à son élaboration et à son adoption d'autre part. Alors, pour ce qui est de l'esprit, deux éléments sont importants à relever. Le président de la transition au Gabon manque de posture, de légitimité, de crédibilité. Il a besoin d'un texte susceptible de le crédibiliser, de le légitimer, de le légaliser. Un texte ne peut rendre légal ce qui est illégal, pas plus qu'il ne suffit pas à légitimer ce qui est illégitime, car nul ne peut se prévaloir de sa turpitude. Donc, à partir de ce moment-là, véritablement, la seule chose, c'est pouvoir dire non au référendum.L'une des dispositions qui fâchent dans son projet de Constitution, c'est la limitation de l'âge de 35 à 70 ans pour être candidat à l'élection présidentielle. Est-ce que vous vous sentez visé personnellement, vous, qui venez d'avoir justement 70 ans ?On se sent visé si on va dans leur logique, c'est-à-dire faire du juridisme. Non, je me sens pas du tout visé. Le problème, c'est que globalement, un référendum, c'est un vote qui permet à l'ensemble des citoyens d'approuver ou de rejeter une mesure proposée par le pouvoir exécutif. Dans ce genre d'opération, aucun calcul politicien n'est permis, aucune justification de bas-étage n'est plausible. Le choix à opérer est clair : ou on accepte le texte dans son intégralité ou on le rejette globalement. Et c'est en cela que toutes les arguties et autres gesticulations des partisans du « oui » sont superfétatoires, voire indécentes. Le choix est simplement facile et clair : ou la République ou la déchéance. Or, je suis un démocrate, je recommande au peuple gabonais de voter pour la République. Voilà. Et c'est clair.Je reviens encore sur cette question, quand même, c'est important. Par exemple, si le « oui » passe, la prochaine fois, vous ne pourrez pas vous présenter parce que vous aurez plus de 70 ans. Est-ce... Ça, c'est ce que vous dites, si le « oui » passe. Le « oui » ne passera pas ! Et dans le cas où il passe, le peuple gabonais qui m'a voté va se lever pour chasser les militaires, leur place est dans les casernes, pas effectivement dans la politique. Ça se passe partout ailleurs.Une des personnalités qui milite pour le « non » a estimé que ce projet allait mettre en place, je cite, « un homme fort et non des institutions fortes ». Est-ce que vous êtes d'accord avec lui ou pas ?Un homme fort ou les institutions fortes, moi, je ne rentre pas dans ce débat-là. Ma position est claire : je ne rentre pas dans ce que fait le CTRI (Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions – Ndlr), pour ou contre ; et ma formule : ni allégeance, ni défiance. Donc, je ne me mêle pas de ce débat-là. Je parle de cela parce que j'ai été interpellé par le peuple gabonais qui m'a élu en me demandant ce que je leur recommande. C'est tout. Le reste ne m'intéresse pas. Ils sont dans le non-droit. Je ne veux pas avaliser ce qui est illégal, ce qui est illégitime, ce qui procède du non-droit et du déni de droit. Voilà.À lire aussiRéférendum constitutionnel au Gabon: «On clarifie les pouvoirs du président purement et simplement»Est-ce que pour vous ce régime hyper présidentialiste est la preuve de ce que vous dénoncez depuis le coup d'État, à savoir qu'il s'agit davantage d'une évolution du système que d'une rupture ?Vous allez dans les détails. Mon appréciation du texte, quelque chose qui est mal ficelé au départ est forcément mauvais. Le coup d'État est illégal, la révolution de palais illégale. Tout ce qu'ils font, c'est du non-droit et du déni de droit. Moi, je ne peux pas l'accepter. Donc, j'ai dit aux populations de refuser cela, c'est tout. Et m'amener à regarder tel ou tel article, c'est du juridisme. Je n'en suis pas là. Il faut que les militaires retournent dans les casernes. Ils l'ont déclaré, le moment est venu pour eux de rendre le pouvoir aux civils. C'est là le débat de fond, voilà l'enjeu. Et le peuple gabonais le comprend très bien aujourd'hui.Retourner dans les casernes, cela passe notamment par l'organisation d'un référendum. Certains appellent à voter « oui », d'autres appellent à voter « non ».Ah non. Ah non. Non, non. Organiser ? Si les militaires organisent un référendum, cela revient à légaliser l'illégalité. Seul quelqu'un qui est élu dans les conditions normales peut appeler le peuple gabonais à l'élection. Nul ne peut se prévaloir de sa turpitude. C'est inacceptable dans un pays normal, dont le Gabon, aspirant à être un pays normal, ne peut pas accepter qu'un militaire lance un genre de référendum pour légaliser sa forfaiture. Ça ne se comprend pas et ça ne s'accepte pas.La quasi-totalité de vos anciens alliés dans Alternance 2023 soutiennent aujourd'hui le « oui ». Quelle est votre réaction ?Oh moi, je les comprends tout à fait. Chacun est libre de faire ce qu'il pense. Ils étaient mes alliés du moment. Ils ne sont plus mes alliés aujourd'hui. Moi, je repose ma popularité, ma crédibilité sur le peuple gabonais. Ça n'a rien à voir. Et majoritairement, le peuple gabonais me soutient. Je n'ai pas de souci par rapport à cela.Au contraire, vous vous retrouvez aujourd'hui à combattre le texte avec d'anciens cadres du régime Bongo comme l'ex-Premier ministre Bibie By Nze ou l'ex-vice-président Maganga Moussavou, n'est-ce pas étonnant ça ?Rien n'est étonnant en politique. En politique, il y a la tactique, il y a la stratégie. Et en politique, effectivement, on peut avoir des alliés du moment. Pour le moment, ils prônent le « non ». Moi aussi, je prône le « non ». Peut-être pas pour les mêmes raisons. Moi, je dis que les militaires retournent dans les casernes, leur place est dans les casernes, ils n'ont rien à faire là où ils sont aujourd'hui et, en tout cas, il ne faut pas qu'on légalise effectivement ce qui est illégal. Donc maintenant, savoir qui dit non, qui dit oui, moi, je ne rentre pas dans ces choses-là. Je sais que le peuple gabonais va voter massivement « non » pour que les militaires retournent dans leurs casernes. Voilà.Beaucoup de ceux qui prennent le « non » parlent aujourd'hui d'un texte qui va faire renouer le Gabon avec le culte de la personnalité. Est-ce que vous êtes d'accord avec ça ?Je ne suis pas là pour faire du juridisme. Je ne me lance pas là-dedans. Je m'en tiens à l'esprit et je m'en tiens à la procédure. On ne peut pas légaliser l'illégalité. Oligui Nguema est illégal. Non, je suis désolé. Ou on est un pays de droit ou on est un pays de non-droit et c'est là tout l'enjeu.Oligui Nguema, comme vous dites, est aujourd'hui reconnu par la communauté internationale comme président de transition.Un président de la transition, ce n'est pas un président de la République. L'enjeu, c'est d'avoir un président de la République qui, effectivement, dont l'action porte à conséquence, et personne ne le reconnaît comme président de la République, surtout la communauté internationale. C'est lui qui le dit. Il n'est reconnu nulle part en tant que tel, je suis désolé.Au-delà de la Constitution, vous avez gardé vos distances avec, justement, le président de transition Brice Oligui Nguema, qui s'est pourtant rapproché de vous au lendemain du coup d'État, pourquoi cela ?Mais je n'ai pas de problème personnel avec lui, n'allons pas dans les confusions. Je l'ai toujours dit, je n'ai pas de problème personnel avec lui. Il peut chercher à me voir, pas de problème. Je peux chercher à le voir, pas de problème. Donc, ce n'est pas parce qu'il est venu me voir, moi aussi, je suis parti à la présidence, j'ai même été invité à Oyem (ville dans le nord du Gabon – Ndlr) , mais ça ne porte pas conséquence. Nous sommes des citoyens gabonais, lui et moi, il n'y a pas de problème personnel entre nous, mais nous avons une différence d'options, je suis un démocrate, lui, il putschiste. On ne peut pas laisser un pays aux putschistes, voilà ma position.L'une de vos attaques qui a été relayée par la presse, c'est que vous avez soutenu qu'en un an Oligui Nguema a dépensé plus qu'Ali Bongo en 14 ans, comment est-ce possible ?Mais vous me demandez, je ne l'ai pas inventé, c'est le rapport du Fonds monétaire international, un rapport qui date du 30 avril. Je suis désolé. Et c'est ce rapport-là qui donne effectivement les chiffres, que je n'ai fait que commenter. Donc, comment est-ce possible ? Allez lui demander ! C'est lui qui dilapide les sous publics, c'est lui qui s'endette à ne plus en finir. Et le résultat, on l'a. Et il n'y a pas seulement le Fonds monétaire international, la Cemac vient d'attirer l'attention parce que le Gabon a eu une mise en demeure. Les entreprises gabonaises, les banques gabonaises sont mises en demeure. Elles doivent avoir une couverture de 100%. Ça, c'est la dernière en date, la Cemac. Donc, ce n'est pas moi. Toutes les instances sous-régionales sont là pour dire que le Gabon est le seul pays, dans la sous-région, qui ne respecte pas les critères de convergence, c'est-à-dire la surveillance multilatérale. Aucun critère. Ni les critères de premier ordre ni les critères de second ordre. Et ça, on n'a jamais vu ça. Oligui Nguema et son CTRI font courir un risque grave à notre pays. Voilà où j'en suis.Êtes-vous satisfait des conditions dans lesquelles s'est déroulée la campagne pour le référendum constitutionnel de samedi ?Je ne m'occupe pas de campagne, monsieur. Je n'en ai rien à cirer de la campagne. Je n'ai rien à faire de la campagne. Je me mets en dehors de ce qu'ils font, c'est du non-droit ! C'est une question de principe, c'est des positions de principe. Oligui Nguema et le CTRI, c'est des putschistes. Un putschiste ne peut pas organiser une élection. Je suis désolé, ce n'est pas sa fonction.Dans ces conditions, est-ce que vous pensez avoir réussi à convaincre les Gabonais de rejeter ce texte, samedi ?Eh bien, comment on le pense ? C'est la réalité des urnes qui dira si j'ai convaincu ou non. Est-ce que moi, je... je ne suis pas en train... je ne fais pas ce que fait Oligui. Il est dans tous les quartiers, il est partout, sa photo est partout. C'est les mêmes méthodes que le PDG. Pourtant, chaque fois que le PDG a fait ça, le PDG n'a jamais gagné une élection au Gabon. Voilà où nous en sommes. Il subira le même sort que ses mentors, les PDGistes, voilà.Monsieur Ondo Ossa, comment voyez-vous l'avenir du Gabon si le « oui » l'emporte ?Je répète, si le « oui », le « oui » ne peut pas l'emporter, donc ne m'amenez pas sur cette voie-là. Le « oui » ne peut pas l'emporter. Si Oligui traficote les résultats comme le PDG en a l'habitude, il subira le même sort qu'Ali Bongo, voilà ce que je dis.Vous dites à chaque fois que le pouvoir aujourd'hui est illégitime et que c'est vous le président élu. Est-ce que vous vous considérez aujourd'hui comme le président du Gabon ?Je ne me considère pas… Il y a eu un vote le 26 août, il y a eu des résultats qui ont été donnés. Oligui est destinataire des résultats par l'institution agréée dans les bonnes normes. Moi, j'ai les mêmes résultats, donc quelqu'un qui a été élu. Quelqu'un qui a été élu avec le score que j'ai eu, c'est quelqu'un qui est le président de la République. Il n'y en a pas deux. De l'autre côté, c'est un putschiste.Mais c'est lui qui est aux affaires.Ouattara n'est pas venu au pouvoir tout de suite. C'est des situations qui existent par ailleurs dans le monde, être élu et ne pas être au pouvoir. Et le peuple gabonais comprend très bien. Donc, je ne désespère pas. Je serai au pouvoir et Oligui, lui, il sera à la caserne. Voilà.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Est-ce qu'un-e stagiaire, un-e altenant-e ou un-e freelance, c'est kif-kif bourricot mon émeraude?Dans cette MM, mes réflexions sur le sujet et des pistes pour se débarrasser de l'étiquette de “précaires” qu'on nous colle trop souvent, à nous, les indépendants.Hâte d'avoir ton avis là-dessus!Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin ou laisse-moi un mot sur le
Ecoutez RTL Inside avec Agnès Bonfillon du 11 octobre 2024.
Pour retrouver notre podcast sur toutes les applications d'écoute, cliquez sur ce lien : https://audmns.com/qFLYvFcNous abordons l'évolution de l'alternance depuis sa création. L'alternance est le cursus qui fait de l'étudiant un salarié d'entreprise tout en lui permettant de poursuivre ses études. Apprentissage, contrat de professionnalisation, formule alternée… ✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS : les évolutions de l'alternance
À travers deux exemples concrets, Julie nous présente, un partenaire privilégié des Cap emploi : la plate-forme Emploi Accompagné. C'est un concept novateur d'accompagnement vers et dans l'emploi des personnes en situation de handicap. Son objectif est de permettre un soutien des personnes handicapées et de leurs employeurs qui soit souple, adapté à leurs besoins et mobilisable à tout moment du parcours. C'est un accompagnement médico-social et à visée d'insertion professionnelle qui permet l'accès, le maintien et l'évolution dans l'emploi en milieu ordinaire de travail.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Charles Consigny et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:59:30 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Comment le Labour, aux portes du pouvoir au Royaume-Uni, a-t-il entrepris de reconquérir l'électorat populaire qui avait cru aux sirènes populistes, et de rassurer les centristes déçus par les conservateurs ? Quels changements, ou améliorations possibles dans les relations avec l'Union Européenne? - invités : Hélène Rey Économiste, professeur à la London Business School; Pauline Schnapper Professeure de civilisation britannique à l'université Sorbonne Nouvelle; Agnès Alexandre-Collier Professeur en civilisation britannique à l'Université de Bourgogne; Marc Lenormand Maître de conférences en études anglophones et civilisation britannique à l'Université Paul Valéry à Montpellier; Joël Reland Chercheur Principal à UK in a Changing Europe
durée : 01:47:36 - Soft Power - par : Frédéric Martel - En 2024, plusieurs dizaines d'élections générales auront lieu à travers l'Amérique latine, en Uruguay, au Venezuela ou encore au Brésil. Tiraillée entre les extrêmes, la démocratie latino-américaine est-elle en danger ? - invités : Pablo Stefanoni Journaliste et docteur en Histoire; Jorge Castaneda Gutman Professeur de relations internationales à l'université nationale autonome de Mexico (UNAM) et à l'université de New York (NYU), homme politique et intellectuel mexicain, ancien Ministre des Affaires Etrangères et ancien Secrétaire des Relations extérieures du Mexique ; Luisa Corradini Correspondante à Paris du quotidien argentin La Nacion
En prison il y a encore deux semaines, Bassirou Diomaye Faye s'apprête à devenir le 5ème président de l'Histoire du Sénégal. Comment expliquez-vous sa victoire dès le premier tour ? Quelles doivent être les priorités du président élu ?
Le Gondwana est un pays producteur d'une électricité d'un genre très particulier…
Le Gondwana est un pays producteur d'une électricité d'un genre très particulier…
Rejoignez Gems, un outil pour la communauté Parlons Design afin de vous proposer des opportunités de rôles design pour des missions freelances, des CDIs ou stages...➡️ Inscription gratuite : https://coda.io/@romain-penchenat/parlons-design-gems
L'alternance est un système de formation fondé sur une phase pratique et une phase théorique qui se succèdent tout au long de l'apprentissage. Ce système est interessant tant pour l'entreprise que le jeune en formation, pourtant il n'est pas toujours bien employé et le processus de formation optimisé pour chaque partie. L'intégration d'un ou d'une alternante demande un réel investissement : en temps et en argent, pour accompagner l'apprentis dans la formation à son métier. Nous nous demandons aujourd'hui, pour que chacun bénéficie de ce système vertueux, pourquoi choisir l'alternance, quels engagements cela représentent-ils pour chacun, quel rôle tient chacune des parties-prenantes dans cette démarche. Dans cette nouvelle Séquence de l'Avocat avec Chloé Rezlan, spécialiste en droit du tourisme, nous avons voulu échanger avec Laura Ballester, avocate au Barreau de Paris en droit du travail afin d'en apprendre plus et sur le sujet et de vous donner quelques clés de réflexion. Bonne écoute !
Dans cet épisode on décrypte les astuces pour intégrer le monde de la comptabilité et de la gestion avec la méthode complète pour décrocher un stage ou une alternance, même sans expérience préalable : - Comprendre les besoins spécifiques des entreprises et cabinets comptables pour mieux se positionner en tant que candidat. - L'importance de personnaliser sa candidature et de mettre en avant ses expériences, même celles non liées à la comptabilité. - Stratégies pour réussir un entretien et la création d'un CV original qui retient l'attention des recruteurs. - Conseils pour utiliser les réseaux sociaux, surtout LinkedIn, afin d'augmenter sa visibilité professionnelle en ligne. - Approches pour démontrer sa capacité à contribuer activement à la création de valeur pour l'employeur potentiel. Les Geeks des Chiffres – Formez-vous en ligne au DCG et DSCG Notre école en ligne a déjà formé plus de 6 500 étudiants, avec des taux de réussite deux fois supérieurs aux moyennes nationales. Mon livre "Mon DCG Validé" Découvrez mon guide publié chez Dunod pour aider les étudiants en DCG à réussir leur diplôme du premier coup, un outil précieux aussi pour les cabinets comptables accueillant de jeunes collaborateurs.
C'est en mars 2022 que le groupe INP-HB, Institut National Polytechnique Houphouët-Boigny et le groupe Auchan ont signé un accord pour contribuer au renforcement du capital humain et économique de la Côte d'Ivoire. L'objectif : lancer une première licence professionnelle en alternance « Management de la grande distribution ». Car si, en France, l'image de la grande distribution n'est pas très appréciée, elle l'est en Afrique car la grande distribution contribue à la structuration des filières. Les cours ont commencé en janvier, quels résultats après 6 mois ? Cette émission est une rediffusion du 01/06/2023Avec :- Franck Tognini, concepteur et animateur de la licence pro en alternance conduite par l'Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny- Benoît Bouny, directeur général d'Auchan Côte d'Ivoire à Abidjan - Aurélie Koffi Diby, étudiante et déléguée de la première promotion de la licence en alternance de Côte d'Ivoire « Management de la grande distribution ». Et en fin d'émission, la chronique d'Ibrahima Giroux Parents, enfants, d'ici et d'ailleurs : l'éducation sentimentale des ados au XXIè siècle. À télécharger ici.Un rendez-vous hebdomadaire pour aider les parents, Ibrahima Giroux est psychologue à Dakar, Sénégal.
C'est en mars 2022 que le groupe INP-HB, Institut National Polytechnique Houphouët-Boigny et le groupe Auchan ont signé un accord pour contribuer au renforcement du capital humain et économique de la Côte d'Ivoire. L'objectif : lancer une première licence professionnelle en alternance « Management de la grande distribution ». Car si, en France, l'image de la grande distribution n'est pas très appréciée, elle l'est en Afrique car la grande distribution contribue à la structuration des filières. Les cours ont commencé en janvier, quels résultats après 6 mois ? Cette émission est une rediffusion du 01/06/2023Avec :- Franck Tognini, concepteur et animateur de la licence pro en alternance conduite par l'Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny- Benoît Bouny, directeur général d'Auchan Côte d'Ivoire à Abidjan - Aurélie Koffi Diby, étudiante et déléguée de la première promotion de la licence en alternance de Côte d'Ivoire « Management de la grande distribution ». Et en fin d'émission, la chronique d'Ibrahima Giroux Parents, enfants, d'ici et d'ailleurs : l'éducation sentimentale des ados au XXIè siècle. À télécharger ici.Un rendez-vous hebdomadaire pour aider les parents, Ibrahima Giroux est psychologue à Dakar, Sénégal.
Comment gagner en visibilité quand on a des choses à dire mais peu d'audience ? Je vous partage le Hack des articles invités ! Le "guest blogging" consiste à rédiger des articles pour un autre site web (marque, média ou créateur). Proposez votre expertise à des sites qui ont une belle audience dans votre secteur d'activité. Grâce à eux vous pouvez booster votre visibilité, gagner en autorité et booster votre SEO : pour 0€ ! Astuce : de plus en plus de médias (sous-staffés en journalistes) proposent des tribunes libres dans lesquelles vous pouvez prendre la parole. Pour proposer des articles invités, voici les étapes à suivre : Identifiez les sites sur lesquels vous souhaitez publier. Faites une liste de sites qui ont du sens pour votre entreprise et votre audience cible. Vous pouvez utiliser Sparktoro ou Reachmaker pour trouver des sites qui acceptent les articles invités et qui sont pertinents pour votre domaine. Comprenez les spécificités de chaque site avant de soumettre une proposition. Assurez-vous de vous familiariser avec les exigences spécifiques de chaque site : longueur, format ou thématiques. Rédigez une proposition d'article : une fois que vous avez choisi un site sur lequel publier, rédigez une proposition d'article. Incluez une brève description de l'article que vous souhaitez écrire et expliquez pourquoi il serait utile à leur audience. N'oubliez pas de négocier un lien vers votre site, un lead magnet ou votre profil LinkedIn. Envoyez votre proposition : une fois votre proposition rédigée, envoyez-la à l'éditeur du site en utilisant l'adresse de contact ou le formulaire de soumission d'articles invités. Assurez-vous de suivre toutes les consignes de soumission et de faire preuve de professionnalisme dans votre proposition. Relancez sans complexe, un partenaire est une poupée russe. Cela vaut le coup de persévérer pour attirer des centaines de clients potentiels. Si votre proposition est refusée, continuez à chercher des sites sur lesquels publier et à soumettre des propositions jusqu'à ce que vous trouviez un site qui accepte votre contenu. En suivant ces étapes, vous boostez votre visibilité en un temps record. Évidemment, le scénario inverse est tout aussi intéressant. Allez... à vous de jouer ! J'ai hâte de voir vos prochaines collabs. ❤️ Cadeau : mes modèles e-mail pour convertir.
Comment mettre le meilleur du Marketing de croissance... au service de la recherche d'emploi ? 1️⃣ Acquisition Se mettre dans le radar du recruteur. Faites-vous repérer et sortez du bois ! Affichez clairement votre valeur ajoutée et votre recherche. ➞ Optimisez votre profil LinkedIn, participez à des LIVE, participez à des événements de recrutement, etc. 2️⃣ Activation Faites en sorte d'être intégré dans les bases de données de tous vos potentiels futurs patrons. Plein d'offres ne sont jamais publiées, osez prouver votre valeur ! ➞ Publiez régulièrement sur LinkedIn ou allez vers les recruteurs avec un super message, pour vous faire répertorier ! 3️⃣ Rétention Arrangez-vous pour dormir dans la tête du recruteur ! Entretenez la relation par e-mail ou par LinkedIn. Créez du lien et intéressez-vous. ➞ Publiez sur LinkedIn et envoyez des voeux dans les commentaires ou par message privé 4️⃣ Recommandation Obtenez un maximum de recommandation de la part de vos managers, mais aussi de vos pairs, et collègues ! Bonus : Mon astuce pour marquer les esprits... à vie :D 5️⃣ Revenu Analysez ce qui marche bien - et moins bien. Demandez-vous combien de rdv vous avez obtenu et combien vous en avez transformé ! ➞ Demandez des retours approfondis aux recruteurs : "Qu'est-ce que je pourrais améliorer mes prochains entretiens ?" J'espère que cet épisode vous aidera ❤️
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les manifestations en Syrie et sur une mesure économique pour renforcer le franc guinéen. Gabon : l'opposition divisée face aux putschistes ? Au Gabon, le général Brice Oligui Nguema a prêté serment. Il a annoncé une transition, sans en préciser la durée. Comment ont réagi les principales figures de l'opposition à cette intronisation ? L'alliance Alternance 2023 est-elle toujours d'actualité ? Avec François Mazet, journaliste au service Afrique de RFI, envoyé spécial à Libreville. Syrie : la contestation contre le régime ne faiblit pas Depuis trois semaines, des manifestations contre le régime sont organisées en Syrie principalement dans le sud. Pourquoi le pays connaît-il ses plus grandes manifestations depuis la révolution en 2011 ? La colère pourrait-elle s'étendre à d'autres régions ? Quelle est la réponse du régime de Bachar al-Assad ? Avec Hasni Abidi, politologue et spécialiste du monde arabe au Centre d'études et de recherches sur le monde arabe et méditerranéen. Guinée : vers un rapatriement des recettes d'exportations Depuis le 1er septembre 2023, les sociétés minières ont l'obligation de rapatrier 50% des recettes commerciales issues de leurs exportations. Comment fonctionne ce mécanisme ? Quels sont les bénéfices attendus ? Avec Karamo Kaba, gouverneur de la Banque centrale de la République de Guinée.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur des affrontements en Éthiopie, une mission spatiale russe et sur le championnat saoudien. Gabon : vers un candidat unique de l'opposition ? À deux semaines des élections générales, l'opposition se réunit pour discuter d'une possible union. Quelles sont les chances de voir ces discussions désigner un leader unique pour représenter Alternance 2023 ? Avec Sébastien Németh, journaliste au service Afrique de RFI. Éthiopie : les milices amhara à l'assaut du gouvernement fédéral ? En Éthiopie, des affrontements ont éclaté entre les milices amhara et le gouvernement fédéral qui a décrété l'état d'urgence. Pendant la guerre du Tigré, les nationalistes amhara étaient alliés au gouvernement. Pourquoi sont-ils désormais en conflit ? Des négociations sont-elles prévues entre les deux parties possibles pour éviter une nouvelle guerre d'ampleur ? Avec René Lefort, chercheur indépendant, spécialiste de la Corne de l'Afrique. Espace : objectif Lune pour la Russie La Russie va envoyer son premier engin sur la Lune depuis 47 ans. Quels sont les objectifs de Moscou ? Est-ce un moyen pour le pays de relancer son programme spatial ? Avec Isabelle Sourbes-Verger, géographe, directrice de recherches au CNRS, autrice de Géopolitique du monde spatial, Eyrolles sortie prévue le 24 août 2023. Football : l'Arabie Saoudite à la conquête des téléspectateurs ? Un accord a été signé entre l'Arabie Saoudite et Canal+ pour diffuser les matchs du championnat saoudien pour deux saisons. Cette diffusion peut-elle créer un engouement autour de cette compétition ? L'Arabie Saoudite cherche-t-elle à concurrencer les autres championnats, notamment européens ? Avec Victor Missistrano, journaliste au service des sports de RFI.
It's been a little bit and your plaintive cries for content have carried on the wind, so here you go: a gargantuan old-style Terminus episode with 4 big records and nearly 3 hours of dense, autistic discussion thereof. This one is most certainly For The Boys, featuring 4 bands well known to fans of the show, with a selection of styles so expansive you're certain to find a new favorite in the bunch. Opening volley: the return of PASSEISME PASSEISME ARE BACK GUYS! With their first record a huge hit among Terminators in 2021, it's no surprise that they're back with their sophomore release, which manages to actually top the first but in a wildly unpredictable way. Eschewing much of the catchiest and most immediate material which defined the first record, "Alternance" is an album that seeks deeper and more difficult musical expression, with higher contrast in mood, technique, and presentation. It's Passeisme. You know you want it. Easy call for AOTY. Next up is Sammath, the primary project of Jan Kruitwagen, whose project Kaeck we covered and thoroughly enjoyed in 2021. Sammath represents one of the few remaining torches carried in the name of the much-benighted Norsecore style, with a veritable river of blast beats and crushing, atonal power chord riffs defining this as a sort of alternate universe take on war metal. It's absurdly heavy and brutal and would most certainly work as a black metal record for death metal fans, but beneath the obvious animosity and extremity lurks a tremendous appreciation for moments in the second wave long forgotten. Our second half opens with the return of Reverorum ib Malacht with "Vacuum," an album first released in 2022 but only just now given a physical edition. Fans of this band know the score: mind-melting industrial black metal with its own bizarre internal logic w/r/t song construction, but "Vacuum" takes it even further by functioning primarily as a tech death record (!) first and foremost. This is a challenging record within RiM's already challenging discography, and what ensues is a great conversation about the band's goals with this album, which are just about as academic as you're ever going to hear on our show. Finally we arrive at Kaevum's "Kultur," the long-awaited followup full length to 2011's "Natur." A well appreciated sleeper hit amongst Terminators as well as the broader black metal community, that record was defined by intensity and clarity of form. So what of "Kultur?" Well, there's some pretty big surprises in store- namely, that this is primarily a DSBM record. Join us as we go down the rabbit hole tracing the oddly intertwined lineage of NSBM and DSBM as we attempt to uncover the music's relationship with its theme (and listen to some of the coolest riffs of 2023 too.) 0:00:00 - Intro 0:01:53 - Passeisme - Alternance (Antiq) 0:49:03 - Sammath - Grebbeberg (Hammerheart Records) 01:29:39 - Interlude - Niden Div. 187 - “Funeral Pyres” fr. Impergium (Necropolis Records, 1997) 1:32:29 - Reverorum ib Malacht - Vacuum. The Mystery of Faith. We Proclaim Your Death Oh Lord, and Profess Your Resurrection, Until You Come Again. Förlåtelse och levitation. (Malacht Media/Rubeus Obex vinyl) 2:15:48 - Kaevum - Kultur (Darker Than Black Records) 2:47:06 - Outro - Abyssic Hate - “Betrayed” fr. Suicidal Emotions (No Colours Records, 2000) Terminus links: Terminus on Youtube Terminus on Patreon Terminus on Instagram Terminus on Facebook thetrueterminus@gmail.com