La Combinaison est un podcast qui part à la rencontre de personnes exceptionnelles qui ont réussi dans leur domaine. Sommes nous tous égaux face aux succès ? Quelle est la combinaison de faits, de rencontres, d’opportunités, de succès ou peut-être d’échecs… qui ont porté des personnes à devenir des entrepreneurs d’exception, des sportifs de haut niveau, des écrivains de renom ou des artistes qui rencontrent le succès? Frédéric Azoulai, passionné de podcasts, entrepreneur et dirigeant de Papeo.fr, sillonne la France pour aller à la rencontre de personnalités incroyables et tenter de répondre à ces questions. Tous les 9 jours, retrouvez ses conversations, ce making off de la réussite, avec des personnes au destin hors du commun, pour tenter de comprendre la combinaison d’éléments qui a fait leur réussite !
Chers amis, Ça y est, le dernier épisode. Ça me fait drôle. La Combinaison c'est : • 100 invités • 2 ans et demi d'enregistrement • Des dizaines de déplacements surtout à Paris pour rencontrer ces personnes passionnantes, • Des centaines de milliers d'écoutes • Des milliers de messages • Des centaines d'heures, des week-ends à découvrir des parcours, fouiller, creuser pour essayer de faire la meilleure interview possible, alors que je ne suis pas journaliste, mais en tout cas j'ai essayé de donner ou d'offrir le meilleur de moi-même. Un très bon ami à moi, Eric qui se reconnaîtra m'a dit au début de l'aventure « Qu'est-ce que tu veux en faire de ce podcast et où tu veux aller ? » Questions et réponses difficiles ! J'ai toujours parlé d'aventure, et pour moi l'aventure c'est on sait où ou est, mais on ne sait pas où on sera demain, alors je me suis laissé porter. Au début je me suis dit « allez tu montes le podcast, puis tu t'arrêtes à 30, puis à 50 puis à 80… » mais la curiosité, l'envie d'en savoir plus de découvrir, cette inertie, comme en train lancé, je ne voulais pas la stopper tant que je n'étais pas rassasié. Ce n'est pas que je le suis aujourd'hui, mais je ne voulais pas m'arrêter, tant que j'avais encore cette envie cette flamme…. Initialement je voulais faire découvrir ces parcours d'entrepreneurs, de startupeurs, d'inventeurs, de sportifs, ingénieurs, incroyables, qui ont un but commun : changer le monde. Je voulais absolument mieux les connaître, et vous les faire découvrir. Ça a été passionnant de s'intéresser à eux, de tenter de comprendre leur quotidien, comment ils sont arrivés là, bref de partager un moment ce qu'ils vivent, et ce qu'ils ont vécu. Moi l'hyper curieux et l'hyper actif ça m'a passionné. Alors où je voulais aller ? Je n'en sais rien, certainement jusqu'au point d'avoir envie de faire autre chose, envie d'arrêter, d'être rassasié. En toute modestie, je suis fier de tous mes épisodes, fier de tout ce travail. Assez régulièrement on m'a dit : on sent une passion dans tes questions. C'est vrai. J'ai monté ce podcast par passion, avec 0 financement, 0 pub. Je n'ai jamais accepté de sponsors, je ne voulais pas polluer cette passion par de la pub. Vous savez, c'est comme si vous allez dans un super endroit, avec une vue imprenable, et que vous avez un panneau publicitaire. A quoi ça sert ? Et puis je dois vous avouer je déteste les spots de pub qu'on entend un peu partout. Pour moi, c'est le podcast, le moment entre mon invité et moi, le moment entre mon invité et vous, un moment entre nous. Rien d'autre. Alors pour conclure, pourquoi j'arrête ? Parce que je pense avoir fait, un peu le tour, j'ai envie de faire autre chose. Le podcast prend énormément de temps (à peu près un week-end complet sur 2 de travail), plus tout le temps dans la semaine. J'ai besoin de retrouver un peu de temps pour faire autre chose, écrire par exemple… Puis pour être plus terre à terre, mon imprimerie Papeo, mon job, a souffert avec le Covid, et même maintenant. Ma boîte a besoin de moi, j'ai besoin de me concentrer sur mes affaires. C'est le moment de dire merci : • Évidemment, merci à vous tous qui m'avaient suivi pendant plus de 2 ans et demi • Merci à tous les invités qui ont participé, qui ont donné de leur temps • Merci pour votre accueil à chaque épisode et pour toutes ces écoutes, votre assiduité et votre fidélité. • Merci pour vos milliers de messages • Merci à Séverine, Anne Claire, Mélanie et Johanne qui m'ont aidé à promouvoir les épisodes et le podcast. Pour tous ceux qui sont déçus que l'aventure s'arrête, je leur dis à bientôt. De toutes façons, je suis un aventurier dans l'âme, j'adore, explorer, découvrir, me balader en terre inconnue. Vous allez me retrouver bien plus vite que ce que vous croyez dans un nouveau format. Vous verrez, on verra… A bientôt, merci infiniment.
La 100e, quel plaisir de la partager avec cet immense auteur : Mac Levy. À la fin de l'épisode, je lui demande à quel personnage il aurait aimé ressembler, il me répond directement Gary Grant. Après cette rencontre cette 1h50 passée en sa compagnie ; ça ne m'étonne pas du tout. Marc est élégant, simple et attentif. Malgré le fait d'avoir lu tous ses livres, je connaissais peu Marc. Ce ne sont pas les quelques lignes de la lodiciquarte (j'ai appris un mot, perso je disais la 4ème de couverture) ou un Wikipédia qui font qu'on connaît une personne. J'ai pris beaucoup de plaisir à discuter et surtout à écouter sa vie. Sans spoiler l'épisode, voici quelques faits de sa vie qui m'ont passionné : • Marc a écrit « Et si c'était vrai » pour son fils, sans aucune intention d'être publié. • Steven Spielberg a acheté les droits de son premier livre avant même qu'il soit publié • Marc a bossé dans la tech dans la Silicon Valley dans les années 80 • Il a créé un cabinet de design de bureau, juste avant de devenir écrivain. C'est vrai que c'est son métier, mais il a une façon de raconter, de décrire sa vie, son parcours, sa façon d'écrire qui captive dès ses premières paroles. J'ai adoré cet épisode, et je suis fier de lui avoir consacré ma 100ème. Bonne écoute
Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Eric Carreel. Un formidable chef d'entreprise, ingénieur et inventeur, qui a créé plusieurs sociétés dont la plus connue est Withings. Le titre de cet épisode paraît ambitieux, mais en écoutant Eric vous allez comprendre que c'est déjà une réalité. Eric a débuté dans les objets connectés avec un premier produit : la balance connectée. Withings a continué sur la santé avec toute une gamme de montres, tensiomètre, capteurs de sommeil, Grâce à ces objets et leurs capteurs Withngs remontent énormément de datas, pour prévoir, anticiper et diagnostiquer des maladies. Associée à l'intelligence artificielle, cette nouvelle façon de diagnostiquer est en quelque sorte la médecine de demain. Une médecine plus prédictive et moins invasive. WIthings avec son écosystème sans équivalent couvre les éléments clefs du spectre de la santé, dont l'activité sportive, le sommeil, le poids et le cœur. Chaque produit contribue à une expérience à 360° de la santé. Des sujets passionnants dont Eric nous livre quelques secrets. Par ailleurs, dans cet épisode, nous revenons sur : • Son parcours, dans le domaine des télécoms • Les débuts de Withings, • La vente et le rachat à Nokia (un aller retour 2 ans jour pour jour). • Ses autres entreprises comme Sculpteo dans le domaine de l'impression 3D, Invoxia dans les télécom, ou Zoov dans la mobilité urbaine… Se référant souvent à Pierre Teilhard de Chardin, Eric Carreel veut participer à la création d'un demain diffèrent alliant progrès et harmonie. Il nous l'explique parfaitement bien tout au long de l'épisode. Un épisode passionnant à ne pas rater… Bonne écoute
27 millions d'utilisateurs !!! C'est dingue surtout pour une boîte de 10 personnes. A-t-on besoin de présenter Yuka ? Vous savez l'app avec le logo en forme de carotte qui vous dit si c'est bon pour vous, ou pas ! Une app sortie en 2017, et les chiffres donnent le tournis. Pour vous dire, ils ont un compteur dans le bureau qui totalise les like sur les réseaux sociaux. Le compteur n'a pas assez de chiffres, ils ont rajouté un 2 devant. Donc Yuka, qu'est-ce que c'est pour ceux qui reviennent de la lune et qui ne connaisse pas. Vous scannez un aliment ou votre shampoing, ça vous donne un nutriscore, et surtout si c'est bon pour vous ou pas. Julie revient sur des débuts de Yuka, l'envie de bouger les lignes du système alimentaire, faire en sorte que les industriels de l'agroalimentaire fabriquent de meilleurs produits, plus sains, et respectant l'environnement. Comment être droite dans ses bottes, et faire trembler les géants de l'agroalimentaire ? La réponse dans cet épisode. Un épisode passionnant avec Julie, droite dans ses bottes, déterminée, et passionnée. Bonne écoute
Aujourd'hui je reçois Cyril Seghers le CEO de Skilleos, une boîte qui me fascine. En deux mots Skilleos, c'est le Netflix de la formation. Formez quand vous voulez sur tout. Aussi bien sur Excel, la Guitare, la cuisine, le jardinage, Yoga… Que sur de la cornemuse ou du jardinage. Vous me direz, on trouve partout des solutions vidéo pour la formation. Oui et non. Oui pour une question précise, genre "Détourer une image avec Photoshop". Non, pour une formation complète sur Photoshop. Mais le plus du plus, c'est la qualité des formations. Tout ce que je vous dis, ça fait placement de produits... mais non, c'est réel, et c'est mon coup de cœur 2022, d'avoir une app qui me sert tous les jours, pour mes activités aussi bien pro que perso. Puis, tant qu'on y est, ce n'est pas cher. 20 € par mois, vous vous formez à tout. Dans l'épisode, nous retraçons le parcours de Cyril, son idée, les débuts de Skilleos, et son fonctionnement. C'est passionnant. Donc si vous êtes comme moi, un fou d'autoformation, un autodidacte, alors foncez d'abord pour écouter l'épisode et découvrir les entrailles de cette super boîte. Bonne écoute ! Nous citons les épisodes : #79 – Philippe Bourguignon – Diriger le Club Med, Disneyland Paris, et côtoyer les plus grands à Davos #67 – Nathalie Balla et Eric Courteille – Codirigeants de la Redoute. #54 – Pierre Dubuc - CEO d'OpenClassrooms (Site du Zero) #45 – Jean-Claude Bourrelier – Fondateur de Bricorama. #22 – Wilfried Granier – CEO de Superprof
« Le buzz est le marketing du Pauvre ». Stéphane en a fait sa spécialité. C'est à peu prés l'agence Tous Risques du buzz à lui tout seul. Vous le connaissez forcément avec : - Faismesdevoirs.com : un site qui permettait de faire faire ses devoirs à distance. Résultat, il s'est mis à dos toute l'éducation nationale, la moitié de la classe politique, et une partie des français, pour un site Internet qui n'a jamais vu le jour. - Mailorama : Pour une opération de street marketing, il a organisé une distribution d'argent de 100 000 € au pied de la Tour Eiffel, ça aucune contrepartie. Encore une fois, buzz incroyable - Le Hot Dog DSK non coupable (double saucisse Cacher, avec du pain dur), en pleine affaire DSK - La fausse BO du dernier James Bond, avec Clip video, Daniel Craig… à l'appui. Il le dit, et je le pense aussi : ce mec est fou. Tout au long de cet épisode, Stéphane raconte sa vie, ses opérations hyper médiatiques, sa rencontre avec Bill Clinton, ses premiers pas dans la comédie musicale avec « Robin des bois » … Ses échecs, ses coups médiatiques. Ce type est incroyable pour un épisode incroyable. Sans doute un des meilleurs que j'ai réalisés, et en plus on s'est bien marré. Cerise sur le gâteau ! Cet épisode a été filmé, et vous pouvez retrouver la vidéo sur ce lien : https://youtu.be/E_7QN1LVcmk Amusez-vous bien, et bonne écoute
Aujourd'hui je reçois Elodie Carpentier, la cofondatrice du Rouge Français, qui propose une gamme de cosmétiques à la pigmentation végétale, et vous l'avez compris avec un engagement Végan fort. J'ai appris dans cet épisode qu'une femme ingère 4 kilos de rouge à lèvres par an, lorsqu'elle se maquille puis mange après. C'est dingue. L'importance d'un rouge à lèvres, sain, sans pétrole, sans produits chimiques, bon pour la santé prend alors tout son sens. 95% de la coloration cosmétique est obtenue par la synthèse chimique issue du pétrole, les récentes alternatives naturelles restent éthiquement controversées par les conditions de leur extraction minière. C'est le constat qu'à fait Elodie lorsqu'elle était enceinte. Ne pas s'empoisonner et ne pas empoisonner son bébé. Les questions que l'on pourrait se poser sont : Est-ce que le Végan est à la mode ? Est-ce une affaire de bobo ? Est-ce réservé uniquement à la nourriture ? Le Rouge Français est la première start-up à développer ses produits respectueux de la biodiversité et de la santé de chacune des femmes avec la coloration végétale. Bravo à son initiative qui fonctionne très bien, puisque le Rouge Français a déjà vendu plus de 300 000 produits en 2 ans et demi… Alors Mesdames, sublimez vos lèvres, et écoutez attentivement… Bonne écoute
Avant toute chose, je vous préviens j'ai adoré cet épisode, ça se voit sûrement par la durée de l'épisode. Vous allez vous dire « 2h30, c'est trop long… ». Écoutez les premières minutes simplement, et vous m'en direz des nouvelles. Qui est Axel Dauchez ? Diplômé de l'école Polytechnique, et un début de carrière dans le marketing Axel se lance dans la production audiovisuelle avec Moonscoop qui produit des séries d'animation. En 2010, il devient président de Deezer qui est en pleine ascension qu'il quitte en 2014, cette fois pour prendre la direction de Publicis. Le Wkipédia d'Axel « Homme d'affaires », et pourtant Axel a un besoin de s'engager, d'agir face à des valeurs et une démocratie (je le cite) qui est à bout de souffle. En novembre 2015, il crée make.org pour agir pour la démocratie en lançant de grands débats, de grandes consultations sur de grandes clauses. Comme ça, ça à l'air bobo, théorique, mais les chiffres sont impressionnants : Près de 6,5 millions de participants, plus de 200 000 propositions, 900 entreprises ou associations engagés Alors pourquoi j'ai adoré cet épisode : car Axel a un regard sur les choses, une réflexion, une certaine sagesse, et un recul sur la vie qui m'a impressionné, et le tout avec humour. Faites-moi confiance, détendez-vous, et écoutez. J'attends comme d'hab vos messages pour me dire ce que vous en pensez ! Bonne écoute
Changer la déco de sa boutique en ligne en 3 clics et en 3 lignes de code, c'est magique ! Imaginez un bouton rouge qui serait à droite pour la moitié des visiteurs du site, et bleu en et bas pour l'autre moitié. Comment c'est possible sans refondre tout le site. C'est ce qu'ont imaginé et réussi à faire Alix de Sagazan et Rémi Aubert avec AB Tasty. L'AB test aujourd'hui c'est connu, mais en 2010, ils étaient pionniers, permettre avec des milliards de combinaisons de tester la créativité des designers ou marqueteurs. C'est passionnant. Dans cet épisode Alix nous parle de son parcours. Vous allez voir, je pose assez peu de questions, elle déroule toute seule les débuts, les galères, les levées de fonds (64 millions d'euros)… et surtout son installation à New York. En s'ouvrant à l'international, AB Tasty n'échappe pas à la règle : pour s'implanter aux US, il faut y être. Pari réussi car en 3 ans (avec le Covid au milieu), ils sont passés de 4 collaborateurs à 40, rien qu'aux US, et 250 dans le monde. Alix est déterminée, très ambitieuse et brillante. Un épisode que j'ai particulièrement apprécié. Bonne écoute
Aujourd'hui je vous propose un grand écart et des montagnes russes. Mon invité du jour est Nicolas Gaume. Vous avez sûrement entendu parler des 12 bouteilles de Château Prétus envoyées sur la station spatiale internationale (ISS). Et oui c'est lui ! Pourquoi je vous parle de grand écart et de montagnes russes ? Car dans cet épisode nous parlons de jeux video, avec d'énormes succès, de voyages officiels avec Jacques Chirac, de contrat avec Apple, et aussi d'un retournement de situation avec une introduction en bourse ratée, et les huissiers à la maison, alors qu'il était milliardaire à 25 ans… Cette longue période de vache maigre qu'il a transformée en opportunité, et qui lui a permis de bosser pour Ubisoft puis Microsoft… En 2013, ce travailleur acharné, dingue d'espace, crée Space Cargo Unlimited, qui étudie le comportement de l'espace sur des pieds de vigne, soumis au choc de l'espace et au manque de gravité. En même temps, il envoie 12 bouteilles de Château Prétus pour observer le vieillissement du vin pendant 2 ans plus tard, l'espace. Est-il différent de celui que l'on observe sur Terre ? La réponse est : clairement oui ! En 2019, avec l'avènement du New Space accéléré par Elon Musk et Space X, Virgin Galactic de Richard Bronson et Blue Origin de Jeff Bezoz, Nicolas se dit que le tourisme de l'espace, c'est bien beau, mais ne faudrait-il pas une préparation physique et mentale adaptée ? Autrement dit, il faut créer le Houston ou le Baïkonour du touriste. Orbite va proposer aux futurs touristes une structure hôtelière, accompagné d'un entraînement intensif pour préparer ces futurs voyageurs. Allez, je n'en dis pas plus. Je vous laisse écouter l'épisode, Nicolas est brillant, et raconte sa vie, ses étapes, ses galères… C'est passionnant… Bonne écoute
Aujourd'hui je reçois Armand Thiberge le CEO de Sendinblue, une solution qui permet de faire de l'envoi d'emails et de SMS que ce soient pour des campagnes marketing, ou de d'emails transactionnels. Une superbe boite qui envoie 100 millions de mails par jour, évidemment pour le compte de vos clients, qui emploient 550 personnes. Nous allons parler email, vous savez ce truc qui nous pourrit la vie depuis que le web existe, mais aussi qui nous permet, aussi de communiquer le plus simplement du monde, gratuitement et immédiatement. Dans cet épisode, Armand nous explique comment il est arrivé dans ce secteur, qui a l'ait tellement simple, et en même temps, tellement pointu. L'email a été créé même avant le Web, et finalement a peu évolué. Dans l'e-commerce, l'email représente le premier point de contact entre une entreprise et un client. Il est aussi quasiment une identité numérique qui permet de vous connecter à votre banque, vos impôts, la sécu… Dans l'épisode, Armand nous décrit son parcours, depuis son voyage en Inde ou il a eu l'idée de créer MailInblue (Ancien nom de SendinBlue), jusqu'aujourd'hui. Sendinblue emploie 550 personnes, a levé plus de 170 millions d'euros, et envoie plus de 100 millions de mails par jour. Mais ça n'a pas été facile, loin de là. Armand a plusieurs fois voulu renoncer, mais sans spoiler ses paroles et l'épisode, l'adversité, les problèmes, la concurrence l'excite et le motive. Nous élargissons la discussion sur le marketing, l'email, le CRM…. Un épisode technique mais ultra-bien expliqué et simplifié par Armand. Bonne écoute
Bonnard, c'est que qui caractérise mon invité du jour : Martin Ohannessian, le fondateur du Petit Ballon, le leader de l'abonnement de vin en ligne. Martin est fils et petit-fils de musicien. Chaque réunion en famille est l'occasion de faire un bœuf qui anime leurs soirées. C'est en grandissant dance cette atmosphère, que Martin s'est lancé dans la musique, plus précisément dans la Brit'Pop. Martin et son groupe ont publié un album, ont fiat plusieurs tournées en France, mais également aux US. Parallèlement à cette musique, cette convivialité, Martin et ses amis se réunissaient les dimanches pour organiser des repas, où tout le monde cuisinait, goûté, et dégusté de bons vins. Mais après quelques années, Martin s'est rendu compte qu'il choisissait un peu le vin par hasard, et qu'il ne connaissait pas les règles des accords, comment choisir le vin, quel cépage… Perfectionniste, Martin a tenté de se former, mais sans trouver de bons livres, simples… Martin a l'idée de créer le Petit Ballon, en s'associant avec Jean-Michel Deluc, l'ancien sommelier du Ritz…. L'idée est de proposer des vins de petits producteurs sélectionnés, avec abonnement. Vous me direz, il y avait à l'époque Vinatis, ventealapropriete.com, Millesima, Chateauonline…que pouvaient proposer Martin et Jean-Luc de plus que ses concurrents. Je vous la fais courte… Mais vous verrez, en écoutant l'épisode, que Martin a débuté le Petit Ballon avec des apéros découverte tous les vendredis à l'image exacte de ses dimanches entre potes. Le succès du Petit Ballon s'explique entre autres choses, par cette proximité avec les clients, bien plus que le simple concept : Customer Centrics. Je n'en dis pas plus, je ne vous parle pas non plus de la revente à Veepee (Vente Privée), ou COGIP… Je vous laisse le soin de déguster cet épisode sans modération. Bonne écoute
Un robot à Pizza ? Vous voulez dire un distributeur de Pizza ? Et non pas du tout… ! Pazzi a développé un robot qui fabrique des pizzas, en reprenant les gestes d'un vrai pizzaïolo. Philippe Goldman est mon invité, et nous décrit dans cet épisode comment cette idée est née, et ce qui fait qu'il est lancé. Après 12 ans dans la cosmétique, chez l'Oréal, Philippe a rejoint un fond de capital-risque « Otium », où il a rencontré Cyril Hamon et Sébastien Roverso qui recherchent des investisseurs. En un instant, Philippe y voit une idée révolutionnaire, sur un marché énorme : la Pizza. Mais en quoi ce robot est révolutionnaire ? Pazzi a étudié les gestes d'un pizzaïolo pour les reproduire. Il prend la pâte, l'aplatie, étale la sauce tomate, garni la pizza avec les ingrédients choisis (des tonnes de possibilités), l'enfourne, l'insère dans une boîte, et la coupe. J'ai eu le plaisir de visiter un des restaurants Pazzi, c'est spectaculaire. Je parle de spectacle, car les gestes des 2 robots, orange et gris, sont théâtraux. De temps en temps, ils vont même jusqu'à faire de petites danses. Et le tout, tenez-vous bien en 47 sec aux yeux de tous dans une cuisine ouverte ! L'intelligence de Pazzi est de ne pas avoir fait un simple robot, mais d'avoir étudié tous les gestes d'un vrai pizzaïolo, et de les reproduire. Ces routines permettent de proposer un goût qui est totalement équivalent à celui d'une pizza traditionnelle. J'ai goûté les pizzas Pazzi. Sans blague, un régal ! Dans l'épisode, Philippe nous parle de son parcours ! Des étapes très difficiles qui ont permis d'élaborer le robot. C'est passionnant. Plus que quelques mots, je vous propose de voir la vidéo des robots en action Qu'en pensez-vous !!!? Bonne écoute
Passionné de F1 , ça fait belle lurette que je rêvais d'avoir un pilote de F1 ou un patron d'écurie. Malgré tous mes appels du pied à quelques-uns de nos pilotes tricolores, je n'ai jamais réussi. Alors que la série Netflix « Formula One : Drive to survive » me narguait à chaque saison pour presque me dire « Et alors, toujours pas d'épisode avec un pilote !??? », à la dernière saison, j'ai eu l'idée de contacter Cyril Abiteboul, le patron de l'écurie Renault, pour lui demander d'être mon invité. Enthousiaste, il a accepté immédiatement, et nous voilà… Je me suis régalé à réaliser cet épisode, tellement Cyril raconte bien, les coulisses de ce sport d'excellence. On sent qu'il a l'habitude des médias. Nous revenons sur son parcours, ses débuts chez Renault Sport. En 2015, Cyril convainc Carlos Ghosn de revenir en F1, coté constructeur, et non plus simplement motoriste. C'est le reboot de Renault en Formule 1. En 6 ans, Cyril va porter l'écurie de la 9ème place jusqu'à la 5ème. Dans la discussion, nous élargissons le sujet à l'évolution de la Formule 1, une course type, les calendriers de courses, le rythme, la culture de la précision, de l'excellence et du détail, les relations avec les autres écuries… la pression de la course et des médias, la série Netflix… Nous faisons un tour complet de ce magnifique sport. C'est passionnant. En 2021, Cyril a quitté ses fonctions pour rejoindre le fond de capital risque HCVC (Hardware Club), comme partner Pour cette dernière partie, Cyril nous parle de son job, et de la mobilité en général, sa spécialité. J'ai adoré réaliser cet épisode, vous ne verrez pas le temps passer. Ah, j'oubliais, Cyril à proposer de me présenter Alain Prost. Je croise des doigts pour qu'Alain accepte d'être mon invité
Avez-vous déjà goûté des nuggets, des steaks ou des merguez végétales ? Que vous soyez Vegan ou pas, c'est bon et surtout en termes de goût bluffant. Aujourd'hui je reçois Guillaume Dubois le CEO d'Happyvore (nouveau nom des Nouveaux Fermiers) dont vous connaissez sûrement les produits. Je me suis intéressé à leur parcours. Ils ont créé leur boîte en plein confinement. Quel succès ! Leur ascension est incroyable. J'adore leur produit, leur emballage… Et en plus qu'on soit vegan ou pas, c'est bon. J'avais envie de voir qui était derrière Happyvore. J'ai interviewé pas mal de sociétés à impact, ou à mission. Happyvore est un mix des deux. Guillaume Dubois et son associé, Cédric Meston ne dirigent pas simplement une foodtech de l'agroalimentaire. Ensemble, ils veulent vraiment avoir de l'impact sur la santé et sur l'environnement. Rappelons que l'élevage de bovins représente 15% de la consommation totale de CO2 dans le monde et que la viande végétale 11 fois moins. Dans l'épisode, Guillaume nous raconte son parcours, sa vision de la future alimentation, et nous élargissons la discussion sur le marché du Vegan, la santé, l'environnement. Nous terminons, comme à l'accoutumée avec des questions personnelles. Un épisode que j'ai adoré monter. Bonne écoute ! Nous citons les épisodes : #72 – Justine Hutteau – CEO de Respire #70 – Bertrand Piccard – Solar Impulse #58 – Antoine Hubert – CEO d'Ynsect #36 – Brigitte Gothière – Cofondatrice de L214 #12 – Anthony Bourbon – CEO de Feed
Aujourd'hui j'ai l'immense honneur d'accueillir notre Riton National, j'ai nommé Henri Leconte. Avant de décrire son parcours, deux petits mots sur le personnage : dès les premières secondes on se marre. Il est cash, direct et hyper sympathique. J'avais l'impression de le connaître depuis toujours. Revenons à l'épisode : Peut-être êtes-vous plus jeune que moi, mais perso j'ai vibré devant ma télé. Combien de fois j'ai revu ses matchs en replay, à l'époque c'était bien sûr la casette VHS dans le magnétoscope… Je me suis régalé à voir son jeu de gaucher, ses coups, son match où il bat Yannick Noah, la coupe Davis qu'il remporte avec Guy Forget en 1991. Mais Henri Leconte, comme il le dit, s'est pris des taules : le match perdu contre Mats V-Wilander en 1988, très difficile moralement. Il nous raconte cette période où la France lui a presque tourné le dos, lui qui portait l'espoir d'une victoire à Roland Garros. Puis, il revient aussi sur son retour en 1991, cette fois-ci pour gagner contre les meilleurs joueurs mondiaux en double à la Coupe Davis. C'est un épisode dont je suis très fier. Henri nous parle de son enfance, sa carrière, ses moments de joie, ses moments très difficiles. Puis nous élargissons la discussion sur le Tennis en général, les champions d'hier et d'aujourd'hui. Un épisode collector que je vous conseille, même si vous n'êtes pas fan de Tennis. Bonne écoute ! Nous citons les épisodes : #82 – Taïg Khris – CEO de OnOff, Sportif #81 – Stéphane Soumier – Journaliste #70 – Bertrand Piccard – Explorateur #52 – Myriam Lamare – Championne du monde de boxe #18 – Morgan Bourc'his – Triple Champion du monde d'apnée.
Jusqu'à il y a quelques années, on parlait de piratage, de hack... aujourd'hui on a l'impression que c'est omniprésent, et surtout ça a évolué. Il semble que rien, ni aucun système ne soient à l'abri. Aujourd'hui, je suis avec Kevin Polizzi, le fondateur de Jaguar Network, et en charge de la division Pro de Free. On ne va pas revenir sur son parcours, puisque ça a fait l'objet d'un épisode (le N°6). Avec Kevin, nous avons tenté de répondre à pas mal de questions qu'on se pose pour comprendre la cyber sécurité, les risques, est-ce que ça n'arrive qu'aux autres ? Que faire en cas d'attaque ? Peut-on s'en prémunir, prévoir, lutter, être assuré, tout perdre.... Et pour ceux qui trouvent que Kevin est brillant, précis et concis, écoutez son parcours dans l'épisode 5 : Episode 05 – Kevin Polizzi – Fondateur de Jaguar Network Un de mes premiers épisodes ! Bonne écoute ! Quelques outils cités dans l'épisode et que Kevin nous a rassemblés. https://github.com/NationalSecurityAgency/SIMP https://www.wireshark.org/ https://nmap.org/ http://www.squid-cache.org/ https://play.google.com/store/apps/details?id=com.google.android.apps.authenticator2&hl=fr&gl=US https://keepass.info/ https://cirt.net/nikto2 https://openvpn.net/ Nous citons les épisodes : Episode 55 – Charles Cohen – CEO de Bodyguard Episode 40 – Jean-Charles Samuelian – CEO d'Alan Episode 33 - Eric Larchevêque - Fondateur de Ledger Episode 29 – Alexandre Prot – CEO de Qonto Episode 05 – Kevin Polizzi – Fondateur de Jaguar Network
Aujourd'hui j'ai le plaisir d'accueillir Marcel Nakam, le DG de Jonak. Je n'ai pas l'habitude de recevoir des personnalisés autres que les fondateurs. Pour être franc, j'y suis presque allé à reculons, puis j'ai travaillé l'épisode et j'ai compris l'immense tâche qu'ont accomplie Marcel et sa sœur Lisa avec Jonak. Un peu d'histoire : Jonak a été créé en 1964 par le grand-père de Marcel. À l'époque l'entreprise créait des chaussures confortables pour les « bonnes sœurs ». Quand le père de Marcel et Lisa a repris l'entreprise, il a voulu que l'entreprise soit plus « généraliste », et crée des modèles pour femmes. Ça a tout de suite fonctionné, et Joseph a multiplié les ouvertures. Lisa et Marcel, programmés pour reprendre à leurs tours l'entreprise ont fait le choix de la rejoindre après avoir fait leurs armes ailleurs, dans d'autres entreprises comme le groupe Beaumanoir pour Marcel par exemple. À leur arrivée, il fallait se faire une place, arrêter ce qui ne fonctionnait pas, améliorer ce qui fonctionnait, et surtout digitaliser l'entreprise. Aujourd'hui Jonak est considérée, presque comme une DNVB (Digital Native Vertical Brand), une marque en grand partie digitale, avec une communauté, des process de fabrication qui permettent de fabriquer une chaussure de la conception à la mise en rayon en 3 semaines. J'ai particulièrement aimé cet épisode pour plusieurs raisons : - Je me suis retrouvé dans de nombreuses valeurs que Marcel cite dans l'épisode : travail, parole donnée, famille, sérieux… - Nous avons largement parlé du fait de travailler en famille, les avantages, les problèmes et surtout le fait d'arriver à faire la part des choses, quand les problèmes surgissent. Une vraie histoire de famille avec ses moments de joie et son lot de difficultés. - Démontrer que les DNVB ne sont pas réservées aux start-ups actuelles, ou comment digitaliser une boîte vieille de près de 60 ans Allez, chausser vos écouteurs, et bonne écoute
Monsieur Intuition, ça pourrait être le nom de scène de Marc Ménasé. Marc est partout, et surtout dans tous les bons coups : Ludovic Huraux d'Attractive, Teads, October, Lydia, Yuka, Memo Bank, le Petit Ballon, Epicery… Aujourd'hui j'ai le plaisir d'être accueilli dans les bureaux de Marc avec un bon café pour deux heures où nous allons parler tech, d'impact et investissement. Depuis tout jeune, où il montait les PC pour les copains et se faire 4 sous, Marc n'a cessé de tout voir en business. Alors qu'il commence sa vie pro aux côtés du fameux Pierre Chappaz (Kelkoo), où il rentre assez jeune, et apprend très vite. En 2004, il crée Nextedia qu'il revendra au groupe Largardère. En 2010, il crée Mensquare et Menlook (site d'e-commerce pour homme). Alors que tout lui sourit, Marc connaît son premier échec avec Menlook. Il revient sur cet épisode qui lui a coûté de l'argent mais lui a donné une expérience marquante. Depuis 2018, il dirige Founders Future qui a deux principales activités : L'investissement dans des start-up La création de start-up avec les idées propres de Founders Future. Tout au long de l'épisode, Marc nous explique ses valeurs : le financier est accessoire, l'important c'est l'impact. Je n'en dis pas plus et vous laisse savourer cet épisode. Bonne écoute
J'ai interviewé des sportifs, des chefs d'entreprise, des animateurs télé… Dans cet épisode avec Taïg Khris, nous faisons un condensé, puisqu'il a eu toutes ces casquettes : Triple champion du monde de roller sur rampe, et vainqueur des X- Games, animateur télé : Danse avec les stars… Chef d'entreprise redoutable avec l'appli OnOff, et plus récemment un réseau social Albums. Il a remporté les XGames Je ne mâche pas mes mots, quand je dis que Taïg, l'autodidacte, le petit du Trocadero, a eu une vie incroyable. Je ne vais pas du tout spoiler l'épisode, mais voici quelques flashs : Il n'est jamais allé à l'école, pas une seconde, même enfant Petit, pendant plusieurs mois, il ne chaussait que des rollers aux pieds. Pas de chaussures ! Il a remporté les X-Games Il a sauté du 1er étage de la tour Eiffel Il a participé à plusieurs émissions : Koh Lanta, Danse avec les stars, Fort Boyard, Pekin Expres Il a écrit un scénario de film Il a créé une super appli OnOff et un opérateur téléphonique Il a créé un réseau social, le WhatsApp de la photo : Albums Et des dizaines de choses plus passionnantes les unes que les autres… Je connaissais bien le Taïg Khris de la télé et des exploits, mais surtout, il est comme il a l'aire, gentil, simple et brillant. Vous allez voir dans cet épisode, pas de chichi… mais ça envoie. Bonne écoute
Aujourd'hui j'ai le plaisir d'accueillir Stéphane Soumier, ex-rédacteur en chef de BFM Business, et cofondateur de BSmart Tv, une chaîne de TV dédiée à l'actualité des entreprises. Vous le connaissez tous Stéphane a animé la fameuse émission « Good Morning Business » pendant 14 ans. Connaissez-vous sa voix ? Elle est très particulière. Ce n'est pas simplement un son. Elle a une tonalité, et une intensité indéfinissable, et c'est sans doute la voix de la passion. Dans notre épisode, il revient sur son parcours dont voici quelques étapes : Il a décidé d'être journaliste après avoir vu le film Underfire avec Nick Nolte. Très jeune dans la vie comme dans le métier, il couvre la première guerre du Golfe pour Europe 1, comme grand reporter. Il animera la matinale d'Europe 1, pendant 4 ans. En 2005, il quitte Europe 1 pour BFM qui n'est à l'époque qu'une radio. Il animera pendant 14 ans Good Morning Business En 2020, il cofonde BSmart TV, une chaîne sera consacrée à l'actualité des entreprises de toute taille. Dans l'épisode nous élargissions la discussion au métier de journaliste. Avec son expérience, Stéphane nous donne quelques tuyaux, quelques astuces sur l'art d'interviewer. C'est hyperintéressant, même pour quelqu'un qui n'a pas vocation à devenir journaliste. J'avais déjà interviewé Franz Olivier Gisbert dans l'épisode 10. Je me suis retrouvé dans la même situation, avec une certaine pression : celle de poser de mauvaises questions, celles de passer à côté du sujet… Bref de dire n'importe quoi. Je dis souvent que je ne suis pas journaliste, il m'a mis tout de suite à l'aise, et je le remercie. Vous allez voir Stéphane Soumier a une énergie, une passion pour l'entrepreneuriat qui s'entend dès qu'il prend un micro. Je l'ai écouté pendant tant d'années, et pour moi c'est un des plus grands journalistes du PAF, et sans aucun doute l'un des meilleurs intervieweurs. Dites-moi ce que vous en pensez… Place à la voix de Stéphane. Bonne écoute
Comme J'aime est au régime, ce que Carglass est au parebrise. Vous me direz quel rapport ? Aucun, effectivement si ce n'est qu'il est impossible de parler de régime sans penser à Comme Jaime tellement cette marque, qui a seulement 10 ans est omniprésente dans nos têtes et sur nos écrans. En moins de 10 ans, Comme Jaime a su s'imposer comme un programme minceur incontournable, bien devant le leader Weight Watchers, en France. Aujourd'hui j'ai la chance de recevoir son sympathique dirigeant, Bernard Canetti. Je dis sympathique, vous l'entendre très vite, dans la chaleur de son ton, lors de cet épisode. Bernard a une façon de parler, un charisme une chaleur, une couleur dans sa voix, qui donne envie de l'écouter. Lui qui a régulièrement présenté ses publicités, m'a confié qu'il était très attiré par le Stand Up. J'ai hâte de voir ses premiers pas qui ne sauraient tarder. Mais revenons à son parcours. Bernard a dirigé les éditions Atlas pendant 25 ans, et sur la fin, ils ont eu l'idée de distribuer un programme minceur. Ça ne s'est pas fait. En 2010, en quittant ses fonctions, Bernard a eu l'idée de reprendre cette idée, et surtout continuer ce qu'il a toujours fait : l'abonnement. Comme J'aime est en train de naître. Dans l'épisode Bernard nous raconte ses débuts avec sa fille Mathilde, et sa collaboratrice, Géraldine. C'est très compliqué, ils vont s'y reprendre plusieurs fois pour lancer le produit optimal, en peaufinant le programme alimentaire, le packaging, la vente à distance, le marketing, la fidélisation… Grâce à ses années Atlas, Bernard maîtrise le côté abonnement. Avec beaucoup d'argent investit, la troisième tentative sera la bonne. En 2011, Comme J'aime part sur des chapeaux de roues. Aujourd'hui, c'est 500 000 clients, 30000 envois tous les mois, une réussite qui a créé 350 emplois. Bernard, 72 ans a une pêche d'enfer. Pas question de partir à la retraite. Travailler c'est sa passion, et ça se sent tout au long de l'épisode. Un épisode à consommer sans modération. Bon appétit !
Aujourd'hui j'ai la chance d'accueillir un grand Patron : Philippe Bourguignon. Grand par son parcours, grand par ce qu'il a accompli et grand par sa simplicité. Après une longue carrière au groupe Accor, qu'il a contribué à construire avec Paul Dubrule et Gérard Pélisson, il est rentré chez Disney et à diriger Disneyland Paris, puis le Club Med, et enfin Davos : le World Economic Forum où il a côtoyé les grands chefs d'Etat ou tous les grands de ce monde. À la suite d'un congé sabbatique, il rencontre Steve Case, le fondateur d'AOL, et ensemble ils travaillent dans un fonds d'investissement Revolution aux Etats-Unis. Philippe m'a fait l'amitié d'interrompre ses vacances, pour me recevoir dans sa maison varoise, dans son bureau, où trônent des dizaines de photos avec ses amis : Bill Clinton, Mickaël Jackson, Julia Roberts, Elton John… Son Wall of Fame est impressionnant ! Mais ce que j'ai le plus apprécié, c'est sa sympathie, son humour, sa précision. Nous parlons évidemment de sa carrière, ses hauts et ses bas, notamment à la direction du Club Med, où ça n'a pas été facile. Vous imaginez une société cotée qui perd de l'argent, un fleuron français, des investisseurs étrangers… Ils nous racontent également la mise en place de Disneyland Paris. Les premiers coups de pioche, le choix des attractions, des hôtels, un concert privé avec Mickaël Jackson… Aujourd'hui, Philippe est sur le papier à la retraite, mais continue à travailler, et à faire uniquement ce qui lui plaît. Quel vie riche que j'ai la chance de vous faire partager dans cet épisode Régalez-vous !
« Moi aussi j'ai envie de devenir entrepreneur, besoin d'aventure...» Est-ce que vous vous penseriez à quitter le board d'Orange, à quitter le post d'Exécutive Vice Présidente, pour vous lancer dans l'aventure entrepreneuriale ? Lutter contre la maxime RATP (Reste Assis T'es Payé), comme le dit si bien Stéphanie… Dans cet épisode, Stéphanie nous raconte son parcours depuis son enfance, ses études jusqu'à OneRagtime. Stéphanie est restée chez Wanadoo (Orange) à la direction pendant 13 ans. Elle a assisté à la transformation numérique d'Orange et aux multiples investissements : Alapage, Marcopoly, Top achat, Cityvox. Elle a vu arriver les géants du numérique : Google, Facebook, Whatsapp… Dans l'épisode, Stéphanie nous parle de cette fameuse tentative de revendre Daily Motion à Yahoo, avorté, car l'État s'en est mêlé. On se souvient que Pierre Moscovici et Arnaud Montebourg avaient mis leur veto arguant que c'est une des rares sociétés connues que la France ait réussi à faire émerger. Lors d'un voyage à New York, Stéphanie rencontre Jean-Marie Messier. Elle travaillait déjà avec le banquier d'affaires, mais sans jamais l'avoir rencontré. Le courant passe, et Jean-Marie lui dit « Si un jour tu te lances, appelle-moi ! » En 2014, forte de quelques rencontres et notamment celle de Jean-Marie Messier, Stéphanie lance OneRagtime, une plateforme ultra-digitalisée qui permet à des investisseurs privés d'avoir accès à un portfolio d'investissement. Cette plateforme permet aux investisseurs de « faire leur course » en quelques clics et choisir sur quelle start-up ils souhaitent investir. OneRagtime investit très tôt en seed (amorçage), sur des tickets dès 100 000 € Aujourd'hui, OneRagtime a des dizaines de participation comme dans OneOff, Jellysmack, Medium, marke.org… Je n'en dis pas plus… Bonne écoute !
La création de votre boîte en 3 clics, ce n'est plus un fantasme ! Ce rêve américain où l'on crée son business en quelques minutes, c'est possible, et c'est ce que propose notre invitée du jour : la start-up Legalstart. Aujourd'hui je reçois l'un de ses fondateurs : Timothée Rambaud. Après avoir fait des études dans la finance, il bosse à New York chez BNP Paribas et à Londres chez Goldman Sach, puis dans le private equity. Rapidement, il se rend compte que monter une boîte est un parcours du combattant, et avec Pierre Aidan, ils décident de créer Legalstart. Nous sommes en 2012. Entre le CFE (Centre de Formation des Entreprises), le greffe, les experts-comptables, les impôts… Créer une boîte est une véritable galère, qui prend du temps et qui coûte cher. Leur mission, simplifier, accélérer, et diminuer les coûts, pour créer et gérer une boîte, en y ajoutant de la tech. Ils vont travailler 2 ans d'arrache-pied pour automatiser et simplifier les démarches en créant un parcours ultra-simple. Nous sommes en 2014, Legalstart est née. La start-up va évoluer de façon incroyable avec une croissance à 3 chiffres chaque année. Legalstart aujourd'hui, c'est plus de 300 000 entrepreneurs accompagnés et 10% de part de marché sur la création d'entreprise. Au fur et à mesure, Legalstart va étoffer son offre, en rajoutant d'autres services comme : la tenue d'assemblée, les modifications de statuts la rédaction de contrats l'assistance juridique, la comptabilité… Legalstart est devenu le compagnon juridique de l'entreprise : l'incontournable. Au cours de l'épisode, nous élargissons le sujet, à la Legaltech en général, à l'intérêt d'une entreprise de ne pas négliger le juridique, et ce que ça peut coûter si on se trompe. Ce nouvel épisode est super intéressant, qui va vous montrer que le juridique dans l'entreprise est aussi important que l'opérationnel. Bonne écoute
C'est sans doute de très loin, l'épisode le plus dingue que j'ai réalisé. Aujourd'hui je reçois Barbara Belvisi, la CEO d'Interstellar Labs. À l'heure où tout le monde parle de l'espace, où très prochainement nous allons retourner sur la Lune. 2021 est un tournant majeur dans la nouvelle conquête spatiale. Citons, les fabuleuses images que nous renvoie Perseverance de Mars. Nous avons vu en direct le décollage de Blue Origin (Jeff Bezos) et Virgin Galactic (Richard Branson) qui ouvrent la voie au tourisme spatial. Certes, ça coûte un peu cher, mais c'est quand fou ! Sans oublier Elon Musk, avec son ambition pour 2030 d'envoyer des humains vers la planète rouge… Moi qui suis un geek de l'espace, un terrien frustré, quand on m'a présenté Barbara, j'ai sauté sur l'occasion pour l'interviewer. Quel est le job de Barbara ? En 2 mots : ce n'est pas tout de partir dans l'espace, il faut penser à se loger, à vivre. Barbara construit des stations spatiales modulaires bio génératives. Un peu d'explications : Quand on parle de la lune, c'est facile : 385 000 km, une paille pour amener de l'eau, de la nourriture, de l'oxygène… Mais quand il s'agit de Mars, 3 mois de voyage, 220 millions de kms, c'est une autre histoire. On ne pourra pas envoyer des tonnes de nourriture, oxygène, eau… c'est trop encombrant, trop lourd, trop cher. Il faut impérativement fabriquer sur place. Interstellar Lab en partenariat avec la Nasa est un train de résoudre une par une ses équations complexes pour recycler le CO2, les déchets, fabriquer de la nourriture… Et bien sûr créer un habitat agréable pour loger dans un premier temps des missions spatiales, et plus tard des colonies. Objectivement, après ces quelques lignes… Connaissez-vous un projet aussi ambitieux ? Tout au long de cet épisode, Barbara nous décrit son parcours hors du commun. Elle a rencontré Elon Musk, Jeff Bezos… Les ingénieurs de la Nasa, Robert Zubrin, la Mars Society… En ce moment Interstellar Labs est en train de finaliser deux prototypes sur Terre dont un en Californie. Prochaine étape : la base lunaire, et enfin Mars. Évidemment, nous détaillons son parcours, mais nous élargissons la discussion sur : Est-ce que Mars serait un back-up de la Terre, quand celle-ci sera sur- polluée ? Que serait la vie sur Mars ? Et quand pourrait-on partir ? Est-ce Mars sera réservée aux milliardaires ? Est-ce que le spatial est de nouveau à la mode comme dans les années 60 ? J'ai rarement rencontré une personne aussi ambitieuse qui a réponse à tout. Elle connaît parfaitement son sujet. C'est un épisode collector, passionnant, à ne surtout pas rater. Bonne écoute
« La Belle Vie », cette jolie chanson de Sacha Distel, Paul a mis vraiment beaucoup de temps pour y arriver et ce n'est pas fini. Quand on m'a proposé de rencontrer Paul, je ne savais pas où j'allais. Je ne connaissais pas Paul, ni la Belle Vie… Puis en écoutant deux ou trois interviews, je me suis dit « Il est intéressant, ce gars ». Mais j'étais à cent lieues d'imaginer l'épisode que nous allions faire. Nous avons eu une conversation simple et authentique, où Paul nous raconte ses joies, ses difficultés, ses doutes. Une véritable tranche de vie qu'il décrit formidablement bien Je vous en dis quelques passages : Après ses études, et quelques jobs notamment dans le restaurant de ses parents, ou à la Mairie d'Evry avec Manuel Valls, Paul est parti aux USA à l'université UCLA. Il a découvert la Californie, les États-Unis et en est tombé amoureux. Son rêve était d'y rester et a failli se réaliser en bossant chez Shopzilla. Ça ne s'est pas fait. Déçu, Paul rentre en France, cherche du boulot. Il va trouver assez rapidement, occupe différents jobs, notamment dans le sud de la France, chez Icare, puis chez Rentabiliweb avec l'iconique et énigmatique patron : Jean-Baptiste Descroix-Vernier En 2012, il quitte Rentabiliweb, pour se lancer dans les Apps. Avec ses associés ils vont créer une app comme Hungry now, qui permet de cartographier des fast-foods bien mieux que Google Map. Ça cartonne, mais ça ne paye pas ! Ils dupliqueront le modèle avec d'autres verticales comme Cash Now (Localisation de distributeurs de billets), ou Gazole Now (localisation de stations-service) Paul s'en lasse assez vite, en en 2015 avec Alban Wienkoop ils lancent une société de livraison de petits déjeuner et apéro en heure à Paris : Miamtag L'affaire prend bien, et rapidement ils voient l'intérêt d'étoffer la gamme et de proposer des produits, des recettes. Le but de la Belle Vie est de « ramener les gens en cuisine. » Vous souhaitez un plat particulier, la Belle Vie vous livre tous les ingrédients associés, en 1 heure. Ça cartonne. C'est incroyable. Comme vous allez pouvoir l'écouter, son parcours a été loin d'être un long fleuve tranquille, mais à force de travail, persévérance, la Belle Vie emploie aujourd'hui 550 salariés, avec plus de 80 millions de CA, et arrive bientôt dans votre ville. Après 75 épisodes, j'ai vu, rencontré, écouté toutes sortes d'invités, mais Paul ne m'a pas laissé indifférent. Un épisode à ne rater sous aucun prétexte ! Bonne écoute ! Episode 58 – Antoine Hubert – CEO de Ynsect https://podcasts.apple.com/fr/podcast/58-antoine-hubert-ceo-dynsect-des-insectes-pour-vos/id1488165313?i=1000514323356 Episode 39 Loïc Souberyand – CEO de Swile – Fondateur de Teads https://podcasts.apple.com/fr/podcast/39-lo%C3%AFc-soubeyrand-ceo-swile-fondateur-de-teads/id1488165313?i=1000493593793 Episode 37 – Cyril Chiche – CEO de Lydia https://podcasts.apple.com/fr/podcast/37-cyril-chiche-ceo-de-lydia-tu-me-fais-un-lydia/id1488165313?i=1000491526484 Episode 35 – Carole Juge – CEO de Joone https://podcasts.apple.com/fr/podcast/35-carole-juge-ceo-de-joone-cheffe-dentreprise-aux/id1488165313?i=1000489530032 Episode 12 – Antony Bourbon – CEO de Feed https://podcasts.apple.com/fr/podcast/12-anthony-bourbon-ceo-de-feed-la-foodtech-%C3%A0/id1488165313?i=1000464668918
Quand on m'a présenté Alexandre, j'ai tout de suite « Googleliser » le nom de sa startup « Simplébo », pour comprendre à quoi correspondait ce nom au demeurant « audacieux ». En creusant un tout petit peu, j'ai totalement compris pourquoi il avait appelé sa société Simplébo, car ce qu'ils proposent est tout simplement Simple et beau, la création de site Internet ultra-simplifié. Vous allez me dire « Oh non, pas encore une agence Web, ou des petits jeunes qui montent des sites, c'est ultra-connu ! » Mais à la différence près, c'est que Simplébo propose la création de site à 80% automatisée en répondant à quelques questions. Mais avant d'expliquer ce phénomène quasiment inédit, remontant un peu le temps. Alexandre est un bon élève, il obtient un double diplôme : ESCP Paris et Central Supelec. Pendant leurs études, comme souvent, avec 2 copains, ils ont la super idée « Grapstor », qui permet de proposer à des marques de leur ramener des clients. Cette idée ambitieuse ne fonctionne pas, trop compliquée ! Les 3 associés s'acharnent, et pour payer leur développement et leurs ambitions, ils ont l'idée de créer des sites Internet pour les petites entreprises, sans vraiment les faire payer. Chaque client paye ce qu'il veut. Ils créent des dizaines de sites par mois, et se rendent vite compte que le boulot est hyper répétitif, et qu'il y a sûrement un moyen d'automatiser tout ça. Simplébo est né. Le principe est un formulaire de plusieurs dizaines de questions et spécialisé dans chaque profession. L'idée géniale est que par exemple, un avocat qui a ses bureaux à la même adresse qu'un confrère, avec la même spécialité se verra proposer un site complètement différent. Le tout avec un système d'abonnement sans engagement de quelques euros. Tout au long de l'épisode, nous détaillons le parcours d'Alexandre, la création de Simplébo, l'accélération… Un épisode qui fait la démonstration de la disruption. Même sur des activités jeunes comme la création de site Internet qui évolue tous les jours, on peut encore disrupter ce métier pour lui offrir une version 4.0 Un épisode à ne pas rater, avec un chef d'entreprise brillant ! Bonne écoute ! Episode 71 : Hors Série : Tout savoir sur la levée de fonds avec Adrien Chaltiel Episode 65 : Adrien Chaltiel – CEO d'eldorado.co Episode 61 : David Bitton – Fondateur d'Oreka, Wengo…. Episode 53 : Thibaud Elzière – Fondateur de Fotolia et d'eFounders Episode 51 : Jonathan Lefèvre : l'obsession du service client Livres cités : Le génie du Leadership de Eric Jean Garcia L'autoroute du millionnaire de MJ DeMarco
Marcher dans les pas de Balzac, Hugo, Baudelaire, Lamartine, Flaubert… Proust, c'est ce que j'ai fait en entrant dans le Shack, le lieu qui a abrité l'imprimerie des éditions Calmann-Levy. Après être accueilli par un ours doré, quand vous pénétrez dans le Shack, il ne passe quelque chose. Ce n'est pas simplement par le lieu empli d'histoire, mais on ressent une quelque chose d'indéfinissable et d'assez puissant. Le Shack, comme le définit sa fondatrice, Emilie Vazquez Bourguignon, est une oasis urbaine en plein Paris. 1500 mètres carrés, avec de grandes bibliothèques, un endroit boisé, chaleureux, atypique. Là, où vous regardez, il y a quelque chose à voir ! Ce lieu est surprenant, mais je n'ai pas voulu recevoir Emilie pour uniquement décrire un lieu. Émilie a un parcours atypique. Elle est la fille de Philippe Bourguignon (ancien dirigeant du Club Med, Disneyland Paris, Word Economic Forum / Davos…), une carrière sans faux pas. Émilie et son père avaient un contrat « tu fais les études que tu veux, à condition que tu sortes 3ème au classement toutes les années). Après avoir respecté ce contrat en étant diplômée de la Sorbonne à 21 ans, elle envoie ses CV un peu partout pour trouver un job, sans l'aide de Papa. Émilie a beaucoup d'ambitions, mais elle veut se faire seule. Elle commence sa carrière chez Noos TV, puis chez Bouygues Telecom, gravit les échelons, pour devenir Directrice du pôle multimédia. En 2008, elle rentre au groupe Accor, pour y rester 12 ans jusqu'au poste de Senior Vice President en charge de l'e-commerce et du digital. Après avoir fait des dizaines de fois le tour du monde, elle quitte ce poste prestigieux pour créer le Shack, avec quelques actionnaires comme son père Philippe Bourguignon, Steeve Case (le fondateur d'AOL), ou l'iconique Jean-Marie Messier. Quitter une place comme SVP d'Accor est selon moi un pari risqué, je ne sais pas si je l'aurais fait, mais Emilie a une vraie vision, celle d'une oasis urbaine. Un lieu de détente où l'on peut lire, travailler, écouter de la musique. Un espace qui casse les codes du travail, une alternative au coworking, un endroit qui insère de la détente au fameux « Métro / Boulot / Dodo ». J'ai été impressionné par la beauté du lieu, les boiseries, le sens du détail. C'est une mosaïque de pièces et de lieux différents. Imaginez-vous qu'on a enregistré cet épisode dans un studio de podcast, au Shack ! Nous élargissons la discussion sur plusieurs sujets comme : Travailler dans les hautes sphères du groupe Accor Ouvrir un lieu recevant du public 2 jours avant le confinement. Quitter un super job, pour se lancer dans une PME L'évolution du travail, l'arrivée du télétravail… Que sera le travail de demain. Émilie est brillante, elle sait de quoi elle parle, et j'ai vraiment passé un super moment. Au tout début, elle m'a dit qu'elle était un peu timide, et je suis flatté qu'elle soit livrée aussi facilement. Longue vie au Shack, et bonne écoute !
Vous avez déjà certainement vu une story, ou une vidéo de Justine Hutteau parlant de sa société Respire ? Vous n'avez pas pu la rater, elle est partout, avec une pèche et une gaîté qu'on n'oublie pas. Comme de nombreux hommes, je ne suis pas particulièrement fan des produits de beauté, mais il y a 2 ans je m'étais abonné à sa page, parce que j'aimais bien les messages, et l'énergie qu'elle dégageait. Puis un jour, je suis dit « il faut absolument la programmer dans la Combinaison ! ». C'est chose faite, et comme vous pouvez le voir ça à la pêche. Non vous n'êtes pas en train d'écouter l'épisode en x1,5 ou x2, c'est Justine qui parle vite, mais elle sait de quoi elle parle ! Après un problème de santé, Justine a eu l'idée avec son cofondateur Thomas Meheut de créer un déodorant naturel, bio, éco responsable. Après avoir fait le tour de France pour trouver un labo qui pourrait les aider, après avoir essuyé des tonnes de refus, ils sont tombés sur Véronique qui a cru dans leur projet, et les a aidés à sortir le MVP (Prototype). Et là, la success story débute… Justine et Thomas, lance un crowdfunding (Ulule), avec l'espoir de vendre 3000 déodorants sur un mois. Pour promouvoir le projet, Justine a enregistré une vidéo qui a été visionnée plus de 2 millions de fois. Et comme vous l'imaginez, ils ont pulvérisé leurs espérances. Ils ont atteint 3000 préventes en 3 heures, et ont terminé leur crowdfunding avec 21 000 ventes. L'aventure Respire décolle, en sortant quasiment un nouveau produit par semaine, ils ont été référencés chez Sephora, Nocibé, Monoprix… La petite entreprise qui n'a que 2 ans a déjà vendu 3 millions de produits. Un chiffre qui fait envie pour tous ceux ou celles qui rêvent de lancer une marque. Dans cet épisode Justine revient sur son histoire personnelle, son parcours, ses débuts et nous donne quelques conseils pour lancer sa marque et être présent sur les réseaux sociaux. Comme je l'ai dit : elle a craqué le truc. Je vous conseille cet épisode, plein de bonne humeur et hyper inspirant ! Bonne écoute
Lever des fonds ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Je pourrais remonter à l'étymologie de l'expression qui s'inspire de l'expression « lever une armée » avant une bataille, mais ce n'est pas ce que vous attendez. Au cours des 70 épisodes précédents, plus de la moitié de mes invités sont des entreprises ou des startups qui ont utilisé la levée de fonds comme boost pour leur entreprise. Allez plus vite, se développer à l'international, embaucher, prendre des parts de marché, absorber un concurrent… La levée de fonds n'est pas la seule solution qui permet à une entreprise de se développer. Nous pourrions parler de prêt bancaire, de crowfunding (financement participatif : Kickstarter, Uule, KissKissBankBank…), de subvention, de concour bancaire… bref il y a pléthore de solutions qui sont d'ailleurs détaillées dans l'excellent livre de mon invité Andrien Chaltiel « Obtenez les meilleurs financements pour votre projet », paru chez Vuibert. Dans cet épisode, nous allons nous concentrer sur la levée de fonds, qui est de très loin la solution la plus technique, mais aussi celle qui peut vous amener le plus de ressources, et vous faire décoller. Le podcast « La Combinaison » existe depuis 2019, et j'ai eu énormément de commentaires positifs, d'encouragements, de gentils messages… Mais, j'ai eu également des reproches, et notamment, par exemple de parler de levée de fonds comme si tous les auditeurs en connaissaient les rouages. On m'a également souvent reproché d'utiliser trop d'anglicismes : pitcher, VC, disrupter, closer, IPO, product market fit, CEO, scalabilité, traction… La liste peut être longue, et j'ai donc décidé de réinviter Adrien pour un deuxième épisode, car c'est un grand spécialiste de la levée de fonds. Avec eldorado.co, et ses investissements personnels, il connait les processus sur le bout des doigts. Nous avons monté cet épisode, en essayant de répondre à vos questions, avec des mots simples, qui j'espère vous apporteront pas mal de réponses : une sorte de Wiki. Le sujet est tellement vaste, que nous aurions pu discuter 10 heures. Ce n'est pas exhaustif, mais objectivement on couvre pas mal de sujets comme : A quoi ça sert de lever des fonds ? A quoi correspondent les phases de Seed, Séries A, B… Combien faut-il lever ? Quand lever des fonds ? Quels sont les cycles de levées de fonds ? Comment calcule-t-on une valorisation ? Vaut mieux lever ou boostraper ? Comment se passe un tour de table ? Que faut-il fournir comme pièces aux Venture Capital ? La prise de participation, et la dilution Comment close t-on une levée de fonds ? Qu'est-ce qu'une terme sheet ? Et si ça se passe mal ? Et plein d'autres…. J'espère que vous apprécierez cet épisode. C'est pour vous. Je l'ai monté pour vous aider, car pour moi avant de côtoyer ce milieu, c'était du chinois. Perso, j'ai appris plein de choses. N'hésitez pas à écrire à Adrien ou à moi, si vous avez des questions, ou si vous voulez plus de précisions sur un sujet. Bonne écoute ! On cite les épisodes : Episode 61 : David Bitton – Partner chez Serena Capital Episode 59 : Jean Daniel Guyot : Fondateur de Captain Train et Memo Bank Episode 53 – Thibaud Elzière – Fondateur de Fotolia et eFounders Episode 40 – Jean-Charles Samuelian – CEO d'Alan Episode 29 – Alexandre Prot – CEO de Qonto Episode 22 – Wilfried Granier – CEO de Superprof
Vous vous souvenez de cet avion immense qui volait à l'énergie solaire et qui a fait le tour du monde ? Non / Oui ? Je vous rafraichis la mémoire : l'avion Solar Impulse, un projet fou initié par mon invité du jour, l'immense Bertrand Piccard. Mais remontons un peu en arrière, pour voir comment tout a commencé. Bertrand Piccard né en Suisse, est le fils de Jacques Piccard océanographe qui a été le premier homme à descendre à 11 000 mètres (fosse des Mariannes) avec le Bathyscaphe « Trieste ». Bertrand est aussi le petit fils d'Auguste Piccard l'inventeur du ballon stratosphérique, de la cabine pressurisée, et le premier homme à observer la courbure de la terre à la frontière de l'Espace, en 1931. Auguste Piccard a inspiré Hergé pour le personnage du professeur Tournesol. La ressemblance est frappante ! Le père de Bertrand travaillait sur des projets avec la Nasa ce qui lui a permis d'assister aux décollages de plusieurs fusées dont celle d'Apollo 11, et de rencontrer Armstrong, Collins ou Aldrin, et même l'aviateur Charles Lindberg. En voyant ces décollages, le petit Bertrand s'est fait une promesse, celle de devenir Explorateur. Bien qu'il soit psychiatre de formation, Bertrand Piccard se lance dans l'aventure, avec un premier projet : Brietling Orbiter. Après 3 tentatives, il réussit à faire le tour du monde en ballon en 20 jours (45 000 km), sans escale de la Suisse vers l'Égypte. A l'arrivée, Bertrand observe qu'il lui reste très peu de carburant. Immédiatement il a l'idée de remonter un projet de vol à énergie solaire. Plus précisément un avion qui volerait à l'énergie solaire, et bien sûr qui ferait le tour du monde. En 1998, il initie le projet, et créé le prototype Solar Impulse. Le tour du monde sera fait avec Solar Impulse 2, le fameux avion énorme qui a l'envergure d'un 747, le poids d'une petite voiture et la puissance d'un scooter (4 moteurs électriques) Dans cet épisode, Bertrand raconte ses galères, ses joies, le vol qu'il alterne avec André Borschberg. Avec André, ils ont publié le livre de leur aventure « Objectif Soleil » C'est un exploit incroyable, il démontre, ainsi, qu'un avion peut voler la nuit et se recharger le jour grâce au soleil. Cette aventure lui a permis de devenir l'ambassadeur de l'énergie renouvelable et de reocntrer les plus grands chefs d'Etat et personnalités de notre planète ? Aujourd'hui la fondation Solar Impulse lutte contre le gaspillage, le réchauffement climatique, et les besoins énergétique, à court terme, sans hypothéquer l'avenir des générations futures. Sa fondation propose 1182 alternatives qui vont permettre de préserver notre monde, et ce qui est intéressant c'est qu'en face de chaque solution, il y a la notion de rentabilité. Préserver notre planète ne coutera pas plus cher, bien au contraire. Sans rentabilité, sans retour sur investissement, il ne sera pas possible de convaincre les entreprises ou les Etats. J'ai beaucoup aimé son approche, moins théoriques ou philosophiques que la plupart des solutions proposées par les écologistes. Je n'en dis pas plus, je vous laisse découvrir cet épisode hors du commun avec une personnalité extraordinaire. Un grand monsieur ! Bonne écoute ! #66 – Nacer Chahat – Ingénieur à la Nasa (JPL) #62 – Bertrand Duplat – un micro-robot pour réparer le cerveau. #47 – Patrick Dutartre – Leader de la Patrouille de France #38 – Claudie Haigneré - Astronaute #13 – Franky Zapata – L'homme volant
Vous imaginez faire remarcher une personne paraplégique, lui offrir les sensations qu'il a perdu, ou qu'il n'a jamais eues ? C'est le pari réussi de Nicolas Simon et son équipe Wandercraft, une startup qui a créé cet exo squelette. Ça semble incroyable, pourtant ça existe et c'est déjà même commercialisé. Comment ça marche ? La personne enfile cet exo squelette comme un pantalon. Immédiatement, la machine lui permet de garder sa verticalité, et surtout de faire tous les mouvements des jambes qu'une personne valide peut faire : marcher, reculer, monter des escaliers, un pas de côté… et bientôt danser. 12 moteurs par jambe plus une télécommande permettent de rendre à ces personnes extraordinaires, souvent courageuses une vie ordinaire La famille de Nicolas Simon souffre d'une maladie proche de la maladie de Charcot, qui paralyse les membres. Depuis tout jeune, Nicolas s'est lancé le defi d'aider les personnes qui ne peuvent plus marcher à se déplacer. C'était inconcevable, presque impossible, et pourtant toute l'équipe de Wandercraft a travaillé d'arrache-pied, pour rendre l'impossible possible. Le premier produit s'appelle Atalante, et est destiné à la ré-eduction. Le deuxième qui arrive bientôt sera Eve, et sera destiné au grand public. Plus léger, moins cher, il pourra être porté tous les jours pour permette aux personnes handicapées de retrouver une vie « presque » normal. Wandercraft, c'est beaucoup de tech, beaucoup de recherche, d'intelligence, et quel plaisir de voir la joie d'une personne en fauteuil se déplacer. Tout au long de l'épisode, Nicolas revient sur son parcours, la création de Wandercraft, c'est passionnant. Nous abordons également les thèmes plus généraux : comment marche t-on ? la robotique, le handicap… Je vous laisse le découvrir tout ça, Bonne écoute
Je ne sais pas vous, mais moi la compta, ça me fait horreur ! Les factures qui arrivent de tous les côtés : mails, courriers, téléchargement, facture collé sur le carton… Je me suis toujours dit qu'il fallait que je penche sur ce problème, jusqu'à ce que je rencontre Pierre Dutaret le fondateur de Libeo. Libeo est une solution ultra simple qui permet de simplifier le flux des factures fournisseurs, en quelques clics. Pierre nous en parle tout au long de l'épisode, et ça donne franchement envie d'y adhérer, surtout que c'est gratuit pour le 1er plan. Mais avant de monter Libeo, Pierre a eu plusieurs vies : banquier d'affaires en se spécialisant en M&A (Fusion & Acquisition), et aussi restaurateur. Avec son bagage de banquier d'affaires, on imagine bien que Pierre ne s'est pas lancé à l'aveuglette, il a voulu monter un business scalable. Savoir de quoi il parle, mettre les mains dans le cambouis, et tout naturellement, il s'est formé à être chef de cuisine, œnologue, management hôtelier… Une fois formé, il est passé à la pratique en créant le groupe Farago, et multiplié les ouvertures de restaurants avec des spécialités complétement différentes : traditionnelle, tapas, pizza, crêperie, burger, canard & champagne… Puis en tant que restaurateur, c'est là qu'il a rencontré ces problèmes de factures qui arrivent dans tous les sens. Puis on ne sait plus si elles ont les a payées ou pas, ou 2 fois. « Il faut que ça change, ça bricole, ça ne peut pas durer ». Il a cherché sur Internet des solutions, en utilisant plusieurs logiciels, mais c'était du bricolage. Dans sa tête Libeo était née, et il n'y avait plus qu'à mettre l'application. Bien sûr, je ne vais pas tout vous raconter, je vous laisse découvrir Pierre et son parcours, et la formidable réussite de Libeo, unique en Europe. A titre personnel, Pierre nous livre quelques secrets de son enfance, son côté explorateur, et son envie de découvrir l'inconnu… Bonne écoute ! Je ne sais pas vous, mais moi la compta, ça me fait horreur ! Les factures qui arrivent de tous les côtés : mails, courriers, téléchargement, facture collé sur le carton… Je me suis toujours dit qu'il fallait que je penche sur ce problème, jusqu'à ce que je rencontre Pierre Dutaret le fondateur de Libeo. Libeo est une solution ultra simple qui permet de simplifier le flux des factures fournisseurs, en quelques clics. Pierre nous en parle tout au long de l'épisode, et ça donne franchement envie d'y adhérer, surtout que c'est gratuit pour le 1er plan. Mais avant de monter Libeo, Pierre a eu plusieurs vies : banquier d'affaires en se spécialisant en M&A (Fusion & Acquisition), et aussi restaurateur. Avec son bagage de banquier d'affaires, on imagine bien que Pierre ne s'est pas lancé à l'aveuglette, il a voulu monter un business scalable. Savoir de quoi il parle, mettre les mains dans le cambouis, et tout naturellement, il s'est formé à être chef de cuisine, œnologue, management hôtelier… Une fois formé, il est passé à la pratique en créant le groupe Farago, et multiplié les ouvertures de restaurants avec des spécialités complétement différentes : traditionnelle, tapas, pizza, crêperie, burger, canard & champagne… Puis en tant que restaurateur, c'est là qu'il a rencontré ces problèmes de factures qui arrivent dans tous les sens. Puis on ne sait plus si elles ont les a payées ou pas, ou 2 fois. « Il faut que ça change, ça bricole, ça ne peut pas durer ». Il a cherché sur Internet des solutions, en utilisant plusieurs logiciels, mais c'était du bricolage. Dans sa tête Libeo était née, et il n'y avait plus qu'à mettre l'application. Bien sûr, je ne vais pas tout vous raconter, je vous laisse découvrir Pierre et son parcours, et la formidable réussite de Libeo, unique en Europe. A titre personnel, Pierre nous livre quelques secrets de son enfance, son côté explorateur, et son envie de découvrir l'inconnu… Bonne écoute ! Je ne sais pas vous, mais moi la compta, ça me fait horreur ! Les factures qui arrivent de tous les côtés : mails, courriers, téléchargement, facture collé sur le carton… Je me suis toujours dit qu'il fallait que je penche sur ce problème, jusqu'à ce que je rencontre Pierre Dutaret le fondateur de Libeo. Libeo est une solution ultra simple qui permet de simplifier le flux des factures fournisseurs, en quelques clics. Pierre nous en parle tout au long de l'épisode, et ça donne franchement envie d'y adhérer, surtout que c'est gratuit pour le 1er plan. Mais avant de monter Libeo, Pierre a eu plusieurs vies : banquier d'affaires en se spécialisant en M&A (Fusion & Acquisition), et aussi restaurateur. Avec son bagage de banquier d'affaires, on imagine bien que Pierre ne s'est pas lancé à l'aveuglette, il a voulu monter un business scalable. Savoir de quoi il parle, mettre les mains dans le cambouis, et tout naturellement, il s'est formé à être chef de cuisine, œnologue, management hôtelier… Une fois formé, il est passé à la pratique en créant le groupe Farago, et multiplié les ouvertures de restaurants avec des spécialités complétement différentes : traditionnelle, tapas, pizza, crêperie, burger, canard & champagne… Puis en tant que restaurateur, c'est là qu'il a rencontré ces problèmes de factures qui arrivent dans tous les sens. Puis on ne sait plus si elles ont les a payées ou pas, ou 2 fois. « Il faut que ça change, ça bricole, ça ne peut pas durer ». Il a cherché sur Internet des solutions, en utilisant plusieurs logiciels, mais c'était du bricolage. Dans sa tête Libeo était née, et il n'y avait plus qu'à mettre l'application. Bien sûr, je ne vais pas tout vous raconter, je vous laisse découvrir Pierre et son parcours, et la formidable réussite de Libeo, unique en Europe. A titre personnel, Pierre nous livre quelques secrets de son enfance, son côté explorateur, et son envie de découvrir l'inconnu… Bonne écoute ! Notes de l'épisode : Episode 64 avec Romain Paillard : fondateur du Wagon Episode 60 avec Rodolphe Ardant : CEO de Spendesk Episode 56 : Arthur Waller : CEO de Pennylane Episode 29 : Alexandre Prot : CEO de Qonto Episode 27 : Céline Lazorthes : Fondatrice de Leetchi et Mangopay
Alors qu'elle perdait 50 millions d'€, à l'agonie, Nathalie Balla et Eric Courteille ont ressuscité la Redoute, cette icone qui a bercé notre enfance. En 2020, grâce à leurs efforts, et leur détermination, la Redoute a dépassé les 1 milliard d'€ CA, pour devenir un des leaders du e-commerce français. En préparant cet épisode, je me suis posé une question simple, comme le leader incontesté de la vente à distance, peut se planter dans l'e-commerce. Pourtant le commerce en ligne, c'est de la vente à distance, non ? A première vue, pour moi ce sont des métiers très proches, mais en écoutant Nathalie et Eric, on s'aperçoit très vite que ce n'est pas tout à fait vrai. L'e-commerce c'est l'immédiateté, on clique, pour recevoir son colis le lendemain. La vente à distance de l'époque, c'est un métier où le temps compte moins : on passe sa commande par téléphone, on envoie le chèque par courrier… ça prend du temps. On ne s'attend pas à avoir son colis le lendemain. Sans spoiler l'épisode, voici les grandes lignes : Nathalie a été recrutée en 2009, pour diriger la Redoute. Elle travaille avec Eric qui est directeur financier. Dès qu'elle prend les rênes de cette grande dame, le constat est édifiant, la Redoute n'a plus la côte. Il faut moderniser l'outil, changer les habitudes, stopper le catalogue, accélérer les livraisons, bref s'adapter au digital pour faire face aux géants comme Amazon, Cdiscount… Mais même avec les efforts déployés, ça ne prend pas. Le CA s'écroule. La Redoute perd de l'argent. En 2014, François Henri Pinault (dirigeant de Kering - PPR), charge Nathalie et Eric de trouver des repreneurs. Ils se rendent très vite compte que les offres ne sont pas assez ambitieuses pour remonter la Redoute. Ensemble il propose à François Henri Pinault de racheter la Redoute (51% pour Nathalie et Eric, 49% pour les salariés), pour 1 euro symbolique. Comme nous allons le voir dans l'épisode, le projet très ambitieux va s'accompagner de préalables, comme la recapitalisation de la Redoute à hauteur de 500 millions d'€, ou le licenciement de 1200 personnes. Dans cet épisode, Nathalie et Eric nous détaille la reprise, les problèmes rencontrés, le plan social, les méthodes utilisées, les oppositions… et bien sûr la réussite. Ce qui est édifiant également, c'est qu'ils avaient élaboré un plan, et qu'ils n'ont quasiment pas déroger. Je n'en dis pas plus, je vous laisse écouter cet épisode. Comme d'habitude, j'attends avec impatience vos commentaires… Bonne écoute
Ils sont à peu près 10 français à bosser à la Nasa, et j'ai la chance de croiser le chemin de l'un d'entre eux, Nacer, ingénieur spécialisé dans les télécommunications. Le soleil de Californie, un job incroyable, ça fait rêver ! Nacer nous raconte son parcours, comment il est arrivé à la Nasa. Dans cet épisode, nous abordons des sujets plus passionnants les uns que les autres, comme : travailler au sein du JPL (Jet Propulsion Laboratory), ce prestigieux centre où l'on a élaboré les principales fusées, les LEM comme ceux des missions Apollo, les lanceurs, les sondes, les orbiter, les rover comme Curiosity ou Perseverance, et évidemment le fameux drone Ingeniuty qui nous envoie des images magnifiques de Mars les systèmes de communication : comment communique-t-on à 385 millions de km depuis la terre ? les contraintes techniques comme par exemple le système radio du drone qui ne pèse que 13 grs, alors qu'il devrait peser 2 kg la mission la plus prometteuse de la Nasa, envoyer un rover sur Europa, une lune de Jupiter. S'il y a bien un endroit dans notre système solaire où la vie s'est développée, c'est sur Europa. Toutes les spéculations sont permises. la nouvelle conquête de la Lune les premiers pas de l'homme sur Mars est-il pour demain ? doit-on croire les promesses d'Elon Musk ? aller sur Mars, quelles sont les contraintes ? à quoi sert la mission Persévérance ? Et que nous amène l'hélicoptère Ingeniuty ? Ce qui est marrant c'est que dans les 65 épisodes qui précèdent, je ne pense pas avoir posé autant de questions à un invité. Moi, le geek de l'espace, le dingue d'astronomie, je me suis retrouvé dans mon élément. Quel plaisir ! Quelle chance d'avoir pu croiser la route de Nacer, et surtout qu'il ait prit 2h30 de son temps pour nous expliquer formidablement bien son métier qui est aussi sa passion ! Bonne écoute, et j'ai hâte de lire vos commentaires. Nous citons les épisodes : Episode 62 avec Bertrand Duplat : un robot dans le cerveau Episode 49 avec Idriss Aberkane Episode 38 avec Claudie Haignéré – Astronaute Episode 30 avec Marc Batard – Alpiniste de l'Everest Episode 13 avec Franky Zapatta
Un jour je serai avocat… C'est ce que disait Adrien Chaltiel, mon invité du jour après son stage de 3ème, quand il avait 16 ans. 1er année, 2ème année… Adrien enchaine les années jusqu'au CAPA, mais au milieu il a l'idée de créer un business : Un journal « Le petit juriste » de vulgarisation de droit. Comme il ne fait pas les choses à moitié, il va tellement monter la mayonnaise, qu'il va devenir le 1er journal gratuit de France, devant Métro… Lancé, il va le décliner dans d'autres pays, dans d'autres domaines comme la comptabilité, les sciences sociales… et comme ça ne suffit pas, il va créer une régie pub, un site d'offres d'emplois (carrrieres-juridiques.com). Et tout ça étudiant. Il revend le tout à un groupe de presse, et se lance dans l'investissement. Il se rend compte très vite, que financer des startups c'est bien plus compliqué que ce qu'on pense. Là, encore, il veut bouger les lignes. Il décide de créer Eldorado, un site internet qui permet d'aider les startups à lever des fonds. Au milieu des solutions éclatées : business angel, fonds d'investissement, family office, corporate venture, club d'investissement… Adrien rassemble ces centaines de possibilité dans une base de données, et crée une plateforme simple qui permet de les recenser. Dans la suite de l'épisode, Adrien nous parle avec passion de cette aventure, le fonctionnement, les possibilité, les société qu' il a aidées, comme la fameuse Yuka, ou Welcome to the jungle par exemple… Il vient également de publier un livre « « Obtenez les meilleurs financements pour votre projet » (Vuibert). J'aimerais vous en dire plus, mais je préfère que vous écoutiez l'épisode. Vous allez voir, Adrien nous raconte son aventure passionnante comme un roman, l'épisode s'écoute d'un trait ! Bonne écoute ! Dans cet épisode nous citons : Episode 64 avec Romain Paillard du Wagon Episode 53 avec Thibaud Elzière d'eFounders Episode 46 avec Alexandre Pachulski de Talentsoft Episode 40 avec Jean-Charles Samuelian d'Alan Episode 27 avec Céline Lazorthes de Leetchi
Si je vous dis « Le Wagon », vous pensez à une école où on apprend à coder ? Et pourtant, le « Wagon » est un bootcamp de programmation pour apprendre à coder en 9 semaines en intensif, ou en 24 semaines, à la cool. Présent dans 43 villes dans le monde, cette école fait un carton pour ceux qui veulent être codeur. Dans cet épisode, j'ai le plaisir de recevoir Romain Paillard un de ses fondateurs qui nous parlent de son parcours. Le début du podcast est passionnant. Dans sa première vie, Romain était avocat en droit des affaires, puis au pénal. Puis lance un réseau social dans la musique « Mupiz », avant de monter le Wagon avec son frère et un autre associé en juillet 2013. Tout au long de cet épisode, Romain nous raconte : Comment il a eu l'idée ? Les débuts du Wagon, les premières sessions Le programme et le type d'enseigment La montée en puissance et le développement du Wagon à l'international La récente levée de fonds pour aller plus encore plus vite. Romain est ce qu'on appelle quelqu'un de cool. Vous allez l'entendre dans l'épisode, on se marre, et j'ai passé un super moment en sa compagnie. Comme d'habitude, on termine l'épisode avec des questions personnelles… Bonne écoute
C'est sympa vie en coloc, mais de temps en temps on a envie d'être tranquille, seul chez soi. C'est exactement ce que propose Colonies la startup d'Alexandre Martin. Avoir un chez soi, mais pourvoir profiter d'une coloc avec des supers services comme un spa, une salle de cinéma, une salle de sport… Colonies propose des logements tout inclus, une nouvelle expérience de vie, dans des résidences cool et design. Alexandre nous explique ce nouveau concept qui est le coliving un cousin du coworking, que l'on connait avec WeWork, mais pour le particulier. C'est un super épisode, dans lequel Alexandre revient sur son parcours : ses études (Essec), son enfance, ses premières armes en fusion acquisition (M&A) en banque d'affaires chez Rothschild, sa première boite dans la création d'App pour mobile. les débuts de Colonies en 2017, comment l'idée est apparue ? Puis nous détaillons le produit Colonies, et pourquoi il faut choisir un appart chez Colonies, les résidences, la roadmap, le parcours du combattant pour trouver un terrain… les metrics… C'est un épisode particulièrement intéressant dans lequel nous parlons immobilier, investissement, vie en communauté… Nous terminons par des questions personnelles, Bonne écoute
Nous ne sommes pas dans la science-fiction, ou dans l'aventure intérieure, mais bien avec Bertrand Duplat le génial inventeur est concepteur d'un micro robot pour explorer et réparer notre cerveau. Imaginez un robot qui se déplace, qui peut libérer un médicament, réparer une zone, faire une image… et ce avec une taille 3 fois plus petite qu'un grain de riz. Ingénieur de formation (ENSTA), il a grandi avec Pif Gadget et Métal Hurlant, c'est peut-être de là qu'il tire ses géniales inventions (40 brevets à son actif). Dans une première partie, nous retraçons son parcours, son enfance, la création du logiciel Virtools qu'il a revendu à Dassault Systems. Dans une seconde partie, Bertrand nous parle de son robot, des perspectives, des possibilités, et répond à plusieurs questions : Quelles sont les contraintes techniques (tailles, poids) ? Comment le robot se déplace ? Quelles sont les lois de la physique dans le cerveau ? Les cerveaux sont-il tous différents ? Comment ce robot va aider la médecine ? Que pourrait-il soigner ? Quelles sont les autres techniques pour opérer un cerveau ? Où en est son élaboration ? la roadmap Vous l'imaginez, c'est un épisode rare où on ne voit pas e temps passé. Bertrand explique simplement des choses compliquées. Je vous laisse écouter cet épisode, vous allez voir c'est passionnant. Bonne écoute
Aujourd'hui je reçois David Bitton qui a eu un parcours riche dans l'entreprenariat, dans le web et dans la tech. Avec Oreka, David a été le premier à proposer de l'internet gratuit, en 1999, puis avec le Wengo Phone, il a créé un Skype avant l'heure, pour faire de l'audio, et de la visio. Il a créé, également MyBestPro une market de place de services, et aujourd'hui il est Operating partner chez Serena Capital, un VC spécialisé dans la tech. C'est quasiment impossible de résumer son parcours tellement il est riche en expérience, innovations et rebondissements. On a l'impression que David était un générateur d'idées : l'internet gratuit le téléphone façon Skype avant que Skype n'existe les maketplaces de services mesrendezvous.fr un doctolib avant l'heure mesdepanneurs.fr La liste est longue... C'est un vrai Entrepreneur qui nous parle avec passion de son parcours, ses idées novatrices, ses échecs… Aujourd'hui il est Operating Partener chez Serena Capital, où il offre toute sa compétence et son énergie aux startups naissantes. C'est un super épisode qui va vous rappeler plein de souvenirs si vous avez connu les débuts d'internet dans les années 2000. Nous terminons comme à l'accoutumé par des questions personnelles, Bonne écoute Dans cet épisode nous citons : épisode 51 : avec Jonathan Lefevre épisode 41 avec Ludovic Huraux – Fondateur d'Attractive World et Shapr épisode 33 avec Cyril Chiche – CEO de Lydia épisode 14 avec Fred Potteur – CEO de Netatmo
Aujourd'hui je reçois Rodolphe Ardant, le CEO de Spendesk, une solution de gestion des dépenses en entreprise, ultra simplifiée. L'avance de frais est souvent problématique pour un collaborateur qui est sur le terrain. Rodolphe avec Spendesk résout ce problème. Accéléré par le startup studio efounders, Spendesk est une incroyable réussite avec 300 collaborateurs, plusieurs levées de fonds à hauteur de 58 millions d'euros. Spendesk va vite, très vite… Dans notre entretien, Rodolphe revient sur son parcours : ses études en tant que polytechnicien ses jobs avant Spendesk et notamment sa startup Wozaik revendue à Solocal Group sa rencontre avec Thibaud Elzière et le startup studio efounders sa création de Spendesk en 2015, les débuts ses levées de fonds, les metrics et l'accélération de Spendesk Enfin, nous terminons par des questions personnelles, Bonne écoute…
Aujourd'hui je reçois Jean Daniel Guyot le fondateur de Captain Train revendue près de 200 millions d'euros à Trainine et de Memo Bank, banque nouvelle génération (pas une néobanque) destinée aux entreprises. Dans cet épisode, Jean Daniel revient sur ces débuts, fan absolu d'Apple, il s'est mis à coder très tôt des applications pour iPhone. Un jour avec ses deux futurs associés, des codeurs : Martin Ottenwaelter et Valentin Surrel, ils s'amusent à critiquer les sites internet et leurs fonctionnalités. Ils font le tour des sites qu'ils utilisent, et dans ce palmarès, le site voyage-sncf.com occupe la pole position. Le marché de la concurrence vient de s'ouvrir. Ils sautent sur l'occasion, et 3 jours plus tard, ils décident de créer Capitaine Train, qu'ils rebaptiseront plus tard Captain' Train.L'idée est de proposer un service client, et une expérience d'achat incroyable et complètement différente de celle que propose la SNCF. Dans notre discussion, Jean Daniel nous raconte : ses débuts, la création de Capitain'Train, la croissance incroyable, le service client hors du commun, La revente en 2016 à Trainline pour 200 millions d'euros En 2017, Jean Daniel se lance dans un nouveau projet encore plus complexe : créer une banque, la première banque indépendante depuis 50 ans, et dans la suite de l'épisode, Jean Daniel nous raconte sa toute nouvelle aventure passionnante. Nous terminons l'épisode par des questions personnelles. Bonne écoute ! Nous citons : Episode 56 – Arthur Waller – CEO de Pennylane Episode 51 – Jonathan Lefèvre, l'Obsession du service client Episode 40 – Jean-Charles Samuelian – CEO d'Alan Episode 31 – Olivier Goy – CEO d'October Episode 29 – Alexandre Prot – CEO de Qonto
Êtes-vous prêt à manger des insectes pour l'apéro ? Aujourd'hui je reçois Antoine Hubert, le CEO et cofondateur d'Ynsect, qui propose des protéines et des huiles pour nourrir les animaux d'élevage et nos animaux de compagnie ? Créée en 2011, Ynsect, présente au Next 40 a levé déjà 425 millions de dollars, et s'apprête à conquérir le monde. Une des plus importantes levées de fonds de la frenchtech Ynsect n'est pas une startup comme une autre, elle a une mission, celle d'aider les populations à se nourrir, et pallier aux manques de ressources alimentaires des générations futures. Dans cet épisode exceptionnel, Antoine Hubert, nous parle : de son enfance, ses études, de son engagement pour la planète, l'environnement, des débuts d'Ynsect et de sa mission du processus d'élevage des insectes
Êtes-vous heureux dans votre job ? Avez-vous envie de faire ce job toute votre vie, vous vous faites partie du 1/3 des français qui veulent changer de job, mais qui n'osent pas. Chance, une psytech allie psychologie et technologie pour vous aider à passer le pas, et faire enfin ce que vous êtes. Aujourd'hui je reçois, Ludovic de Gromard, le CEO de Chance.co. Je suis fier de cet épisode, vous allez voir, on avait l'impression qu'on se connaissait depuis toujours. Dans cet épisode, Ludovic nous parle de : son enfance, ses études, ses différentes expériences professionnelles, et en particulier chez Saverglass où il a recruté plus de 1000 personnes, et ce qui lui a permis d'imaginer Chance la création de Chance.co en 2015 à Rio au Brésil le pivot en 2018, où il change son business model complètement son burn out à la même période Dans une autre partie, nous élargissons la discussion, et nous parlons du travail, en général, bien-être ou malaise Enfin, nous terminons comme à l'accoutumé par des questions personnelles. Bonne écoute
Je reçois aujourd'hui Arthur Waller, de CEO de Pennylane, une startup qui propose une comptabilité augmentée 3.0. Arthur a été également le cofondateur de Pricematch spécialisée dans le Yield Management (ou Pricing Dynamique). Un système qu'on utilise tous quand vous réservez votre chambre d'hôtel ou votre Uber, et qui fait varier les prix en fonction de l'horaire, la date ou la période. En moins de 3 ans, après avoir signé avec le groupe Accor, Arthur et ses cofondateurs cède leur startup au géant Booking.com. Dans cet épisode nous détaillons : le parcours d'Arthur : études, enfance, stage la création de Pricematch en 2012 qu'il a lancé alors qu'il était encore étudiant le développement fulgurant de PriceMatch la vente à Booking.com en 2015, et ses années au sein du géant mondial de la réservation ce qu'est le Yield Management dans notre vie de tous les jours les débuts de Pennylane en septembre 2019 le fonctionnement de la plateforme et ce qu'elle apporte par rapport à un logiciel de comptabilité classique l'accélération de Pennylane Nous terminons enfin par des questions personnelles Nous avons cité les épisodes : #53 – Thibaud Elzière – Fondateur de Fotolia, et CEO d'eFounders : le générateur d'idées #51 – Jonathan Lefèvre
Aujourd'hui nous allons parler haine en ligne, cyber harcèlement, réseaux sociaux. Charles Cohen a créé Bodyguard qui lutte contre ce fléau. Révolté de voir les échanges sur les réseaux sociaux, Charles est parti en croisade contre le cyber harcèlement. Tout au long de l'épisode, il nous parle de ses valeurs, et de sa mission, rendre l'internet plus propre. Il y arrive avec Bodyguard, une technologie unique au monde. Dans cet épisode, avec Charles nous abordons plusieurs sujets : son enfance, où il codait ses premières apps mobiles à 15 ans les débuts de sa startup Bodyguard le fonctionnement de son application, on parle algorithme la topologie du harcèlement, et les différents types de cyber harcèlement la censure et l'auto censure quels sont les comportements des harceleurs ? Nous terminons par des questions personnelles Bonne écoute
Aujourd'hui je reçois Pierre Dubuc le CEO d'OpenClassrooms (Le Site du Zero). Qui peut dire qu'il a eu l'idée de se lancer dans un business à 11 ans ? C'est qu'on fait Pierre Dubuc et Mathieu Nebra, 2 geeks collégiens qui ne trouvaient pas à l'école ou sur internet des cours qui leur convenaient. Dans cet épisode Pierre nous détaille son parcours et Openclassrooms: les débuts du Site du Zero en 1994 la rencontre avec Mathieu Nébra (cofondateur) les premiers cours en ligne la montée en puissance du Site du Zero, avec plusieurs centaines de milliers d'utilisateurs la création de leur société le pivot en 2004, où ils changent complètement le modèle économique. Exit les pubs, et bienvenue aux parcours diplomants le type d'enseignement proposé les métrics impressionnants d'Openclassrooms Enfin, nous terminons par des questions personnelles. Une Je vous conseille cet épisode, pour comprendre cette aventure passionnante, et cette trajectoire hors du commun. Bonne écoute
Dans cet épisode, je reçois Thibaud Elzière le fondateur de Fotolia et le CEO d'eFounders, un startup studio en vogue spécialisé dans le Saas. Thibaud a une réussite incroyable tout en gardant une simplicité très agréable. Dans cet épisode, Thibaud nous raconte : sa vie d'étudiant, ses études ses premiers pas avec le code, les sites internet, et notamment son site monsosie.com monté et revendu pendant ses études la création de Fotolia, et la galère d'argent pour monter le projet, en 2004 l'accélération puis le décollage incroyable de Fotolia la vente de Fotolia en 3 fois, et notamment à Adobe pour 800 Millions d'euros la création de eFounders en 2011, et startup studio le fonctionnement d'efounders (recrutement de l'équipe, création des projets, accompagnement pendant 18 mois, puis exit) Folk, la dernière pépite de Thibaud dans laquelle il est personnellement investi Enfin nous terminons par des questions personnelles, J'ai passé un peu plus de 2h15 en sa compagnie, qui j'ai l'impression ont duré, moitié moins, tellement sa vie est passionnante. Envoyez-moi un petit message si vous aussi vous avez trouvé cet épisode, collector ! Bonne écoute !
12 fois championne du monde en boxe française et boxe anglaise, c'est le palmarès impressionnant de mon invité du jour : Myriam Lamare. Quel plaisir d'avoir réalisé cet épisode. Myriam est une personnalité exceptionnelle, pleine de sensibilité, de bienveillance. Durant cette rencontre, Myriam nous détaille son parcours : son enfance ses premiers pas de sportifs dans l'athlétisme, le sport de haut niveau sa rencontre avec la boxe française plus anglaise son physique hors norme son palmarès, ses combats son retour en 2011 Puis nous élargissons le sujet en parlant de la boxe en général, des combats, ses doutes… Nous terminons comme d'habitude par des questions personnelles. Nous apprenons que Myriam est passionnée entre autre par la peinture et le dessin, qu'elle a participé à l'émission Koh-Lanta Un super épisode à ne pas rater ! Bonne écoute
Aujourd'hui j'ai le plaisir d'accueillir Jonathan Lefèvre, l'auteur du livre « L'obsession du Service Client » paru chez Dunod. C'est un livre que je vous conseille que j'ai lu au moins trois fois, et offert une dizaine de fois. Nous croyons tous bien faire, avoir un service client au top, alors lisez ce livre ! Personnellement, j'ai appliqué ses conseils dès la 10ème page. C'est livre pratique, drôle, efficace. Jonathan a dirigé le service client de Captain Train une startup qui vendait des billets de train, de différentes compagnies dont la SNCF. Sachant que les prix étaient fixés par la SNCF, il n'avait pas d'autres solutions que d'offrir un meilleur service, visant plutôt la rétention que l'acquisition. Dans cet épisode, Jonathan nous parle de son parcours, et plus particulièrement : de ses études, de son arrivée chez Captain Train en 2006, de la refonte du service client, et les défis rencontrés pour y arriver, de l'ergonomie du site, UX, facilité d'utilisation, du choix de l'email comme canal de support principal, bien plus efficace que le téléphone, les chat bots… on parle d'asynchrone vs synchrone, de la façon que Captain Train s'exprimait pour répondre au client, de Clearwage, de son livre « L'obsession du service cllient », de Memo Bank, la banque en ligne montée par Jean Daniel Guyot que je reçois bientôt, Nous terminons par des questions personnelles. Je suis très fier de cet épisode, Jonathan nous donne plein de trucs et de retours d'expérience qui vont vous permettre d'améliorer votre service client. Bonne écoute