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Hoy hablaremos de la vida de un autor latinamericano más denso que un estudiante de Filosofía, hoy hablaremos de Jorge Mario Pedro Vargas Llosa, escritor, marqués y muy amante de su familia, sobre tó de la materna. El pequeño Mario nació en Perú, el 28 de marzo de 1936. Fue hijo único ya que sus padres se separaron antes de que él naciera, por lo que sea o porque el padre estaba con una alemana, vete tú a saber. Hasta los 10 años creyó que su padre estaba muerto porque cuando tenía un añito su abuelo consiguió un trabajo en Bolivia y como no le concedían el teletrabajo, su madre se tuvo que mudar con él y toda la familia a ese país. La familia se estableció en la ciudad de Cochabamba, que sirve como nombre de ciudad, de baile típico o de clave para hablar de mujeres que dan gustito con la Cococha. Allí aprendió a leer y a escribir hasta que en 1945 el primo de su abuelo llegó a Presidente de Perú y su abuelo a Presidente de Diputación, por lo que toda la familia pudo regresar a su país natal. Allí conoció a Dark Vader, que fitetú qué susto, y además sus padres retomaron la relación con tanta normalidad que el chiquillo no sabía si llamarlo Ernesto, papá o Julio Iglesias. En 1947 se mudaron a Lima y siguió estudiando en una congregación católica dónde había un cura que en vez de dejar que los niños se acercaran a él, era él el que se acercaba demasiado a la churrina de los niños, incluida la de Mario que dejó de creer en Dios. Con su padre se llevaba peor que Broncano con Pablo Motos, por muchas cosas pero sobre todo por su sensibilidad literaria, así que su padre lo metió en un instituto militar que eso es como hacerte una lobotomía. Acabado el instituto, en 1952, trabajó en un periódico local y en 1953 ingresó en la Universidad para estudiar Derecho y Literatura y volverse comunista. En 1955, con 19 años, se casó con la hermana de su tía materna, divorciada y 10 años mayor que él. El rechazo de la familia le hizo tener 7 trabajos simultáneos hasta que fichó por la Radio Panamericana y ya tuvo tiempo por lo menos pa cagá tranquilo y ponerse serio con la escritura, creando esas tramas cruzadas que parecen la rotonda del Arco del Triunfo. En 1962 se fue a Cuba apoyando la revolución cubana hasta que encarcelaron a un escritor y entonces se volvió de extrema derecha. Estuvo becado en Madrid y luego se mudó a París donde se divorció de su primera mujer en 1964. Al año siguiente se casó con su prima y sobrina de su primera mujer, Patricia Llosa, con la que tuvo 3 hijos. A Mario lo que más le gustaba del mundo mundial era escribir y los velatorios familiares. Ya en esta época era, de nariz pa'rriba, Ricardo Darín y de nariz a papada, José Luis García Margallo. De tó lo que escribió se le quedó letra de médico, le dieron el Premio Cervantes, el premio Nobel, la nacionalidad Española, la Dominicana, más Órdenes que la cocina de un chiringuito en julio y más premios que la barra del navegador de tu madre. En 2015 se divorció de su prima y se arrejuntó con Isabel Preysler pero luego se puso malito y volvió con Patricia porque la Preyslerl se liaba cuando se ponía el disfraz de enfermera. Desgraciadamente el 13 de abril de 2025, a los 89 años, Vargas Llosa se dio de baja en Círculo de Lectores aunque ustedes siempre podrán recordarlo cuando no puedan cagá tranquilo o vayan a un velatorio familiar.
49 Afrikaners, ces Sud-Africains blancs descendants de colons néerlandais, sont attendus ce lundi (12 mai 2025), aux États-Unis. Hier, ils ont pris place à bord d'un vol charter affrété par les États-Unis, nous apprend le New York Times qui les a suivis à l'aéroport hier, à Johannesburg. Ces Afrikaners, descendant pour la plupart de colons néerlandais, fuient, disent-ils, les persécutions, les discriminations dont ils sont victimes dans leur pays natal. Ils affirment ainsi «avoir été la cible de violence» ou «s'être vus refuser des emplois» en raison de la couleur de leur peau. Au cœur du problème, en réalité, se trouve la question des terres. Comme l'explique le New York Times, les terres agricoles des Sud-Africains blancs qui ne représentent que 7% de la population, couvrent plus de la moitié du pays. Depuis peu, une loi autorise les autorités à exproprier sans dédommager les propriétaires. Pas sûr que cela soit juridiquement faisable, souligne le quotidien. Mais cela inquiète beaucoup d'Afrikaners. En mars, les États-Unis affirmaient avoir reçu 8.000 demandes d'asile. Les Afrikaners qui arriveront ce lundi, auront en effet le statut de réfugiés. Donald Trump «a suspendu la quasi-totalité des admissions de réfugiés fuyant la famine et la guerre, en provenance de pays comme le Soudan ou la République démocratique du Congo. Mais il a créé une voix d'entrée accélérée pour les Afrikaners, une minorité ethnique blanche à l'origine du régime brutal d'apartheid en Afrique du Sud.»Une initiative de l'administration Trump qui suscite des critiques de la part d'associations qui viennent en aide aux migrants, mais aussi du gouvernement sud-africain qui y voit, comme le rapporte le New York Times, une «tentative politique visant à discréditer le pays». Les États-Unis, de leur côté, reprochent au pays dont est originaire Elon Musk, «ses relations étroites avec l'Iran et sa position ferme contre Israël.» Donald Trump n'aurait pas digéré la plainte pour génocide déposée devant la Cour internationale de justice au sujet de la guerre à Gaza. Plus de la moitié de la population haïtienne souffre de la faimEn Haïti, la presse fait état de nouvelles violences qui ont empêché la tenue d'un référendum constitutionnel annoncé pour hier. Les gangs ont de nouveau attaqué Furcy et Kenscoff et ont été repoussés par la police, nous apprend Alterpresse. Déjà, la semaine dernière, la police avait réussi à reprendre le contrôle du sous-commissariat de Furcy. Cette fois-ci, «plusieurs membres de la population, qui avaient été kidnappés par les groupes armés, ont été libérés», rapporte l'agence de presse. Depuis plusieurs semaines, les gangs «cherchent à étendre leur contrôle dans les hauteurs de la capitale» et à s'emparer de ces zones semi-rurales, ce qui soulève «des inquiétudes sur la sécurité alimentaire», souligne Alterpresse. La commune de Kenscoff, notamment, est «une importante zone de production agricole pour la capitale». Or, la faim est un problème majeur en Haïti. Désormais, près de 6 millions de personnes se trouvent en insécurité alimentaire aigüe, comme l'explique Martine Villeneuve, directrice de l'ONG Action contre la faim en Haïti, à Achim Lippold. Le Pérou, confronté à une vague de violencesNotre dossier du jour nous emmène au Pérou, pays confronté à une insécurité et une criminalité grandissantes. Les chiffres augmentent de manière exponentielle : on déplore 700 homicides depuis le début de l'année. Dans la capitale, Lima, les assassinats et les extorsions sont quotidiens. Reportage de Martin Chabal. Venezuela : inquiétudes autour du sort d'un membre de l'ONG ProveaLes proches de l'avocat Eduardo Torres, membre de l'équipe juridique de l'organisation de défense des droits humains Provea, sont sans nouvelles de lui depuis vendredi. Il était «régulièrement ciblé par des menaces et des actes de harcèlement de la part de représentant·es des forces de sécurité de l'État vénézuélien», écrit la Fédération internationale pour les droits humains dans un communiqué. La FIDH dénonce une possible disparition forcée. Andronico Rodriguez, favori de la présidentielle bolivienneLa campagne en vue de la présidentielle du 17 août débute en Bolivie. À gauche, il y a déjà trois candidats : l'actuel président Luis Arce, l'ancien chef de l'État Evo Morales et, donc, Andronico Rodriguez, 36 ans, «l'élève d'Evo Morales», comme le qualifie le quotidien argentin Infobae qui lui consacre un long portrait. Né dans la province de Cochabamba, dans une famille de paysans, Andronico Rodriguez réalise très jeune que pour s'en sortir, il faut faire des études. Il obtiendra un diplôme de sciences politiques à l'Université de Cochabamba. Enfant, il accompagne ses parents à des réunions syndicales. Une fois étudiant, il prend peu à peu des responsabilités au sein des fédérations de producteurs de coca et à 28 ans, il finit par devenir le bras droit d'Evo Morales. Les différentes périodes de turbulences que traverse le MAS, le Mouvement vers le socialisme, lui permettent de se faire connaître, raconte encore Infobae. Élu sénateur en 2020, il prend en même temps la tête de la chambre haute où il se distingue par son sens du compromis.Pour beaucoup, Andronico Rodriguez est le successeur naturel d'Evo Morales, mais lui a choisi de s'émanciper, de prendre ses distances. Aujourd'hui, il pourrait profiter du vide créé par «la guerre intestine que se livrent» Evo Morales et Luis Arce, analyse Infobae. Au sein du bloc cocalero, sa jeunesse séduit. Pour la première fois au sein du mouvement, les syndicats critiquent publiquement l'absence de renouvellement de leurs dirigeants, tout particulièrement d'Evo Morales qui est à leur tête depuis près de 30 ans. L'ex-président pourrait devoir négocier avec son ancien dauphin s'il veut survivre politiquement, estime le quotidien argentin. Journal de la 1èreAu lendemain d'un nouveau drame en Martinique, le préfet Étienne Desplanques était l'invité du journal radio de La 1ère ce lundi matin. Il a réagi à l'exécution en plein jour de trois jeunes hommes dans une rue de Fort-de-France.
El coordinador de campaña de Andrónico Rodríguez en Cochabamba reveló que la intención de Evo Morales de poner como candidato a Leonardo Loza generó molestia.
Le télescope chilien, doté d'un miroir de 39 mètres de diamètre, a pour objectif de révolutionner l'exploration, mais un complexe industriel risque d'être construit à proximité, affectant les conditions d'exploration. Dans le nord du Chili, au cœur du désert d'Atacama, le chantier du Extremely Large Telescope a débuté depuis six ans et devrait être achevé d'ici 2028. Avec ce nouveau joujou XXL, les astronomes espèrent en apprendre davantage sur les mystères les plus complexes de l'astronomie moderne, comme les trous noirs, les premières galaxies ou encore la matière noire. Mais déjà, les scientifiques s'inquiètent : un projet de méga complexe industriel pourrait voir le jour à proximité et troubler les conditions d'observations en créant de la pollution lumineuse. Naïla Derroisné, notre correspondante au Chili, a pu se rendre sur place. À la Une du Nouvelliste, en Haiti : les habitants de Petite-Rivière, en Artibonite, victimes à nouveau d'attaques des gangsLes habitants de Petite-Rivière ont été réveillés par des rafales, mercredi. L'Artibonite est encore visée par les attaques de gangs. Le bilan n'est pas encore connu, mais « il y a de nombreuses victimes civiles et parmi les forces de l'ordre », assure Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, interviewé en direct dans notre émission. « En ligne, des vidéos montrent les chefs de gangs qui pavoisent », dit Frantz Duval. Pour fuir les attaques, les habitants ont pris le chemin du fleuve, mais « beaucoup ont péri noyé, car il n'y avait pas assez de bateaux », indique Frantz Duval.Le journaliste haïtien, au micro d'Anne Cantener, est aussi revenu sur les conditions matérielles « très très très confortables » du Conseil présidentiel de transition.Le Nouvelliste fête ses 127 ans ce jeudi 1er mai. « Nous avons de moins en moins d'annonceurs et, entre 2024 et aujourd'hui, nous avons tout perdu, comme beaucoup d'institutions en Haïti », déplore Frantz Duval, rédacteur en chef.USA : Kamala Harris sort du silenceFace aux attaques de Donald Trump contre les immigrés, les universités, les juges, les scientifiques... beaucoup ont reproché aux démocrates de rester trop silencieux. L'ancienne candidate et ancienne vice-présidente Kamala Harris a donc pris la parole hier, lors d'un discours à San Francisco.Dans ce discours, elle a « fustigé » Donald Trump, écrit le Los Angeles Times. « Au lieu d'une administration qui travaille à faire avancer les idéaux les plus ambitieux de l'Amérique, nous assistons à un total abandon de ces idéaux », a notamment déclaré Kamala Harris. Pour la démocrate, le pays est entré dans « une crise constitutionnelle » et « les contre-pouvoirs s'effritent », rapporte le journal californien. Mais Kamala Harris garde espoir : « Ce que l'on observe aussi, ce sont des Américains qui donnent de la voix et montrent leur courage », a-t-elle clamé.Néanmoins, ce discours n'a pas convaincu la presse américaine. Un discours « mordant », mais trop conventionnel, tacle Politico. D'après le média en ligne, Kamala Harris n'a donné que « peu de nouveaux détails » sur sa vision du parti démocrate et du pays, « et encore moins d'indices sur la suite de sa carrière ». Politico croit tout de même savoir que Kamala Harris réfléchit à se présenter au poste de gouverneur de Californie l'an prochain ou à nouveau à la présidence en 2028, après sa cuisante défaite. De son côté, le Los Angeles Times souligne l'ambiance dans le public hier, un accueil « tel une rock star » et le journal de s'interroger : « Comment Kamala Harris parviendra-t-elle à convertir cette bonne volonté pour la suite ? »Le Canada, terre de refuge pour les AméricainsLes plus fragiles ou les plus directement visés par l'administration Trump décident de quitter leur pays. Le Canada voisin est donc devenu un possible refuge. Comme l'a constaté notre envoyée spéciale à Toronto, Marine de la Moissonnière.À lire aussiLe Canada, nouveau refuge pour les Américains inquiets depuis le retour de Donald Trump à la Maison BlancheUn 1er-Mai sous le signe des manifestations en Colombie et au SalvadorEn Colombie, le président de gauche Gustavo Petro avait appelé mercredi à voir « des millions » de Colombiens dans la rue pour ce 1er-Mai. Le chef d'État colombien soumet ce jour au Sénat les 12 questions de sa consultation populaire sur le travail. Exemple de question listé par le journal El Tiempo : « Êtes-vous d'accord pour que le travail le dimanche et les jours fériés soient payé double ? » Le Sénat aura ensuite un mois pour autoriser ou non ce référendum. El Tiempo anticipe donc des semaines de « mouvements et de calculs politiques » car ni l'opposition ni le gouvernement n'ont une majorité au Congrès.Au Salvador, de nombreux syndicats et partis ont appelé à manifester contre le président Bukele. « Ces deux derniers mois, la classe ouvrière a été frappée de plein fouet », dit le mouvement pour la défense de la classe ouvrière au journal El Salvador. Les manifestants protestent contre le licenciement de plus de 20 000 travailleurs du secteur public, le déplacement forcé d'habitants des zones rurales pour des projets immobiliers, les obstacles à la liberté de se syndiquer, mais aussi des salaires trop bas et, enfin, un système d'éducation et de santé publique à la traine.Bolivie : nouvel épisode du feuilleton judiciaire autour de l'ancien président Evo MoralesLe journal bolivien Los Tiempos donne donc la parole à l'avocat d'Evo Morales. D'après lui, « la justice est en train d'être rendue ». Mais, nous dit La Razon, le Tribunal suprême de justice s'indigne de cette décision qui permet, dit-il, « aux citoyens poursuivis pour pédophilie de se moquer de la justice. Nous devons protéger nos enfants ». Et le média Infobae nous apprend que le Conseil de la magistrature bolivien a lancé une enquête disciplinaire contre la juge à l'origine de cette décision. Une juge, souligne La Razon, proche d'Evo Morales. Cette juge a demandé à poursuivre l'enquête, mais dans le département de Cochabamba, le fief d'Evo Morales.La Razon rappelle qu'il y vit dans une maison barricadée, protégée par ses soutiens, pour empêcher son arrestation. Et d'après InfoBae, Evo Morales, pourtant inéligible, compte déposer une candidature présidentielle dans deux semaines à La Paz.
Gregorio Mamani, exdirigente del trópico de Cochabamba, hoy crítico al MAS, declaró en Erbol que el liderazgo de Evo Morales agoniza por sus propios errores, incluso en el Chapare
El gobierno de España otorgó esta semana a Mario Vargas Llosa, en forma póstuma, la mayor condecoración que confiere a personalidades destacadas en la cultura, la educación y la ciencia: la Gran Cruz de la Orden Civil de Alfonso X el Sabio. Ese fue el último galardón para el gran escritor peruano, que falleció el domingo pasado en Lima a los 89 años. Ya había recibido en 2010 el Premio Nobel, que marcó la culminación de una vasta sumatoria de reconocimientos, entre ellos el Premio Cervantes y el Premio Príncipe de Asturias de las Letras. Vargas Llosa nació en Arequipa, Perú, en 1936. Trabajó como periodista, estudió Humanidades, escribió relatos, pero su verdadera carrera comenzó en 1963, con la publicación de la novela La ciudad y los perros, considerada uno de los disparadores del Boom latinoamericano de literatura. Editó luego otras novelas, como La casa verde, Conversación en la Catedral, Pantaleón y las visitadoras, La guerra del fin del mundo, El sueño del celta y, más recientemente, Tiempos recios. También escribió ensayos, muchos sobre otros escritores (Onetti, Víctor Hugo, Flaubert, Borges) yy otros sociopolíticos, como La civilización del espectáculo y una recopilación de sus influencias liberales en La llamada de la tribu. El Comité del Premio Nobel recordó este lunes que distinguió a Vargas Llosa en 2010 "por su cartografía de las estructuras de poder y sus imágenes mordaces de la resistencia, la revuelta y la derrota del individuo". En el acto en que recibió el Nobel, Vargas Llosa realizó una de sus conferencias memorables: "Aprendí a leer a los cinco años en la clase del hermano Justiniano en el colegio de La Salle en Cochabamba, Bolivia. Es la cosa más importante que me ha pasado en la vida. Casi 70 años después, recuerdo con nitidez cómo esa magia, traducir las palabras de los libros en imágenes, enriqueció mi vida, rompiendo las barreras del tiempo y del espacio, y permitiéndome viajar con el capitán Nemo, 20.000 Leguas de Viaje Submarino, luchar junto a D'Artagnan, Atos, Portos y Aramis contra las intrigas que amenazan a la reina en los tiempos del sinuoso Richelieu, y arrastrarme por las entrañas de París convertido en Jean Valjean con el cuerpo inerte de Marius a cuestas". Los tertulianos, ¿qué libros destacan de Vargas Llosa? ¿Qué recomiendan a los oyentes? La Tertulia de los Viernes con Víctor Ganón, Juan Grompone, Carolina Porley y Ana Ribeiro.
Las cuatro. Las tres en Canarias. Última hora en Cope. Estar informado. Hola, buenos días. A los 89 años de edad, rodeado de su familia y tras una larga enfermedad, Mario Vargas Llosa ha muerto en Lima. Aprendí a leer a los cinco años en la clase del hermano Justiniano, en el colegio de La Salle, en Cochabamba, Bolivia. Es la cosa más importante que me ha pasado en la vida. Casi 70 años después, recuerdo. Con estas palabras, Vargas Llosa iniciaba su discurso de agradecimiento por la concesión del Premio Nobel de Literatura en el año 2010. El fallecimiento de Vargas Llosa lo ha confirmado en ...
April 10 marks the 25th anniversary of the people's victory in the Cochabamba Water War against the privatization of of their precious resource. Community members protested and shut down the streets for months in defense of their right to water after Cochabamba handed the municipal water supply over to a subsidiary of the US construction firm Bechtel. Rates spiked. People stood up.This is episode 18 of Stories of Resistance — a new podcast co-produced by The Real News and Global Exchange. Independent investigative journalism, supported by Global Exchange's Human Rights in Action program. Each week, we'll bring you stories of resistance like this. Inspiration for dark times.If you like what you hear, please subscribe, like, share, comment, or leave a review. You can also follow Michael's reporting and support at www.patreon.com/mfox.Written and produced by Michael Fox.If you are interested in more information on the Cochabamba Water War, we recommend you check out the 2010 movie Tambien La Lluvia, featuring Gael García Bernal. It is a tremendous look back at that time, amid a scathing critique of how the Spanish, foreign companies and white elites have always treated local Indigenous and campesino populations in Bolivia and across Latin America.Subscribe to Stories of Resistance podcast hereBecome a member and join the Stories of Resistance Supporters Club today!Sign up for our newsletterFollow us on BlueskyLike us on FacebookFollow us on TwitterDonate to support this podcast
durée : 00:05:59 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Des tonnes d'ordures s'accumulent depuis une dizaine de jours dans les rues de Cochabamba, quatrième ville de Bolivie, en raison du blocage de la principale décharge par des riverains qui souhaite sa fermeture depuis des années.
Eu bati um papo com o Ademir Paulino sobre o Camp que ele fez com os alunos em Cochabamba, na Bolivia - uma alternativa legal para ter uma experiência de treinar em altitude.O CNA NEWS vai ao ar diariamente, às 5:30.#corridaderua #corrida #corredores #corredoresderua#news #cnanews
Une traque entrée dans l'Histoire, entre l'Allemagne, la France, la Bolivie. Un long chemin pour retrouver et faire arrêter un criminel de guerre, Klaus Barbie, surnommé le boucher de Lyon, accusé de massacres, de persécutions de Juifs, d'exécutions de résistants parmi lesquels le plus célèbre d'entre eux, un jeune préfet, Jean Moulin. Il y a trente ans, en 1983, l'ancien commandant SS posait in-extremis, et après des mois de suspense, le pied sur le sol français. Appelé à être jugé pour crimes contre l'humanité, le premier procès filmé de la justice française.
Copa Airlines de Panamá podría realizar vuelos internacionales desde Cochabamba y Sucre. Actualmente, sólo opera en Santa Cruz. Sus ejecutivos están en conversaciones con autoridades bolivianas para concretar un acuerdo.
Vicente Choque, dirigente del Trópico de Cochabamba, expresó su confianza en que Andrónico Rodríguez no desafiará el liderazgo de Evo Morales. Advirtió que, de hacerlo, cometería el peor error de su carrera política, en medio de las iniciativas que buscan posicionarlo como candidato presidencial.
Escuche las repuestas que dio el gerente de Boliviana de Aviación (BOA), Ronald Casso, cuando se le pidió que explique las razones de fondo para los retrasos y los incidentes en los vuelos.
Durante todo el mes de Enero, tuvimos la oportunidad de visitar diferentes zonas de Bolivia, como lo fueron Cochabamba, Santa Cruz y La Paz. Hoy contamos con la oportunidad de hablar con David Frías Chacón, el pastor principal de la sede de la Paz, en Bolivia, quién nos cuenta sus impresiones del seminario de Jóvenes del 19 y 20 de Enero, y el seminario de parejas del 18 de Enero. Muchas gracias por escucharnos!
En esta edición revisaremos el paso del expresidente Evo Morales de la Casa grande del Pueblo a su “autoconfinamiento” en su bastión territorial y político, el Trópico de Cochabamba.
Summary En el reciente episodio de nuestro podcast, tuvimos el honor de conversar con Andy Choque, gerente general de Banacorp S.R.L. y miembro de la mesa directiva de la Unión de Bananeros (UNIBAN) en Bolivia. Andy nos compartió detalles sobre la vida cotidiana de los productores de banano en la región del Chapare, Cochabamba. Desde las primeras horas del día, los agricultores se dedican al cuidado meticuloso de las plantaciones, asegurando que cada planta reciba la atención necesaria para producir frutos de alta calidad. Este arduo trabajo refleja la dedicación y compromiso de los bananeros bolivianos con su tierra y producto. La banana boliviana ha ganado reconocimiento en mercados internacionales por su sabor distintivo y calidad superior. Andy destacó que factores como el clima favorable del Chapare y las prácticas agrícolas sostenibles contribuyen a estas características. Además, la proximidad geográfica a mercados clave en Sudamérica permite una distribución más eficiente y rápida, garantizando que el producto llegue fresco a los consumidores. La industria bananera boliviana ha enfrentado desafíos significativos en los últimos tiempos. Andy mencionó que, debido a bloqueos y conflictos sociales, se han perdido cajas de banano destinadas a la exportación, lo que representa pérdidas económicas considerables para los productores. Show Notes (00:05) Welcome & introduction. (00:51) Who is Andy Choque? (02:33) Growing in the industry. (08:05) Yearly reduction. (11:08) Personal growth. (14:24) Just like marriage. (26:39) Competition. (30:45) National blockades. (33:29) The best of times, the worst of times. (52:24) Winning qualities. Links Ignacio Balderrama Startup Junkie Kiva Northwest Arkansas
Vicente Choque, dirigente del Trópico de Cochabamba, advirtió que un intento del Gobierno por capturar a Evo Morales desencadenaría un enfrentamiento con más de mil personas dispuestas a dar su vida en defensa del exmandatario, según declaraciones dadas a ERBOL.
El viceministro de Vigilancia Epidemiológica, Max Enríquez, confirmó a ERBOL que ocho de los nueve departamentos del país registran casos de COVID-19 tras un rebrote que ya dejaron tres fallecidos. Santa Cruz concentra la mayor cantidad de pacientes con 369 casos, seguida de Cochabamba con 45, mientras que Pando es el único departamento sin contagios reportados.
Join hosts J.D. Barker, Christine Daigle, and Kevin Tumlinson as they discuss the week's entertainment news, including stories about Netflix, Jimmy Carter, and James Patterson. Then, stick around for a chat with Wendy Dale! Wendy Dale: In spite of the title of her first book, Wendy Dale has not been very good at avoiding prisons, especially the ones located in Costa Rica. A world traveler known for heading to some of the strangest places on the planet, she has also competed for jogging space in Colombia with guerrillas intent on overthrowing the government, learned to dance salsa in Cuba with the aid of a 60-year-old woman intent on starting each morning with a healthy dose of rum, and dodged bombs in Lebanon. (The good news, as she would learn later, was that they were small bombs. "Very small bombs" her optimistic guide in Beirut would helpfully point out.) She studied film in Cochabamba, Bolivia, the city she currently calls home, where she writes and directs comedic shorts in Spanish. Long ago she lived in Los Angeles, where she wrote a humorous TV special that was nominated for an Emmy ("The New Adventures of Mother Goose.") She is currently at work on a new memoir.
La Dra. Patricia Hermosa, directora nacional del SEGIP, informó en entrevista con La Tarde en Directo de ERBOL que ya es posible obtener duplicados de carnet de identidad y licencia de conducir en cajeros con tecnología de Edición Documental Automatizada (EDA), instalados en cuatro departamentos del país; La Paz, Cochabamba, Tarija y Santa Cruz.
Radicada en Cochabamba, Bolivia, la escritroas, guionista y promotora Claudia Michel Flores llega a Hablemos, escritoras para mostrarnos otra cara de la literatua boliviana. Poderosísima y refrescante su visión sobre la importancia del silencio, mismo que ve como parte del genio andino. Considera a la angustia y la tristeza como motores que inspiran a la escritura por su gran complejidad y textura. Bellísimos sus dos libros con Mantis Narrativa: Chubasco Aislados (Editorial Mantis, 2022), la historia de dos niñas, y Tríptico de Kanata (Editorial Mantis, 2024), complejo y elaborado libro que va en el entrecruce de géneros. Con Merenguitos producciones, colabora en el guión y la dirección colectiva del corto de stop motion “Dos niñas” disponible en youtube. Es parte del Proyecto mARTadero
Vicente Choque, secretario político de las Seis Federaciones del Trópico de Cochabamba, advirtió que una eventual detención de Evo Morales no será sencilla y provocará graves consecuencias. En entrevista con ERBOL, aseguró que Morales cuenta con “seguridad de élite” y vigilias, y afirmó que el intento de aprehenderlo “les va a costar mucho”.
17mo CONGRESO POR UN AVIVAMIENTO A través del pastor: Fernando Huanca Fecha: 28 de Noviembre del 2024 Desde la Iglesia : Tabernáculo de Salvación Lugar: Desde Cochabamba- Bolivia hasta el lugar donde usted está. Comunícate y conéctate con nosotros a través de Facebook y la página web Bolivia pequeña entre las nationes de ti saldrá la "Luz a las Naciones" facebook.com/tabernaculodesalvacion facebook.com/escueladecristoenbolivia App de Radio: Red Pentecostés Online: Para Android: https://play.google.com/store/apps/details?id=com.fexred.redpentecostes Para ios (iphone): https://apps.apple.com/es/app/id6473747619 www.edcnaciones.org
Es interesante como AMD ha recorrido La Paz, Cochabamba y Santa Cruz con la presentación de los nuevos procesadores AMD Ryzen 8000, AMD promete una experiencia de usuario que alcanza un nuevo nivel con la IA integrada que optimiza el rendimiento y permite realizar múltiples tareas sin problemas, sin ruido ni interrupciones.
RFI entrevistó a Humberto Claros, secretario general de la Confederación de Trabajadores Campesinos en Bolivia y coordinador de las protestas en Cochabamba, donde seguidores del expresidente Evo Morales bloquean carreteras y se enfrentan a las fuerzas de seguridad. El ex mandatario boliviano ha sido acusado de estupro, trata y tráfico de personas Fuerzas del ejército y la policía despejaron el lunes una importante carretera en Santa Cruz, el departamento más próspero de Bolivia, que había sido tomada por partidarios de Morales, quien está siendo investigado por presunto abuso de una menor en 2015.Con piedras, troncos y escombros, los campesinos mantenían en Mairana uno de los puntos de bloqueo más importantes desde el inicio de las protestas, hace ya 22 días. Estas protestas, que comenzaron el 14 de octubre, fueron iniciadas por campesinos afines al ex mandatario para exigir el "cese de la persecución judicial" en su contra.Morales, líder cocalero, es investigado por los presuntos delitos de "estupro, trata y tráfico de personas". El ex presidente afirma que el gobierno intenta "proscribirlo" como candidato para las elecciones de 2025.Las protestas están encabezadas por Humberto Claros, secretario general de la Confederación de Trabajadores Campesinos. En entrevista con RFI, Claros describe un “panorama muy complejo” y denuncia una “intervención policial y militar ilegal”. Además, acusa a la policía de “reprimir, torturar y asesinar”, citando el caso de cuatro personas que habrían fallecido en el epicentro del bloqueo, aunque esta información no ha sido confirmada por las autoridades.Claros asegura que las autoridades están realizando “intervenciones totalmente criminales, acompañadas no solo de militares y policías, sino también de grupos paramilitares, en un cerco mediático completamente nefasto”. Según él, los medios de comunicación “cubren únicamente la versión del gobierno”.El líder campesino también recordó a RFI las demandas de este movimiento de protesta: “Que el gobierno haga realmente una propuesta de diálogo sincero, transparente y formal, con todas las garantías necesarias, y que libere plenamente a todos los detenidos. Han apresado a personas que ni siquiera estaban participando en bloqueos, acusándolas de terrorismo, sedición y alzamiento armado. No hay un intermediario que pueda manejar esta situación. Hasta ahora, solo ha habido intentos engañosos de diálogo por parte del gobierno, pero no una propuesta seria”.Mientras tanto, el expresidente Evo Morales, quien continúa en huelga de hambre, pidió levantar los bloqueos para facilitar el diálogo con el gobierno. Sin embargo, los dirigentes campesinos se negaron a pausar las protestas.Al principio, los seguidores de Morales exigían el fin de lo que denominaban "persecución judicial", pero el movimiento de protesta ha evolucionado hacia una revuelta antigubernamental más amplia, marcada por llamados a la renuncia del presidente Luis Arce.
Con Evo Morales en huelga de hambre, rutas cortadas por campesinos manifestantes, y grupos paramilitares tomando cuarteles por asalto, la tensión sociopolítica en Bolivia parece estar tomando un cariz peligroso. Morales y el presidente Luis Arce, quien fue su ministro de Economía entre 2006 y 2019, y que supo ser su delfín político, ya venían fuertemente distanciados. Pero el enfrentamiento se disparó a principios de octubre, cuando el exmandatario fue acusado de abusar sexualmente de una menor de 15 años en 2016, cuando todavía ejercía el poder. Desde el primer momento Morales aseguró ser víctima de una persecución política, por lo que sus seguidores comenzaron a movilizarse con bloqueos de carreteras que han puesto en jaque el abastecimiento de alimentos y combustible. Han amenazado con “incendiar el país” si Morales es detenido. La semana pasada, la situación escaló: Morales denunció que el auto en el que se desplazaba había sido atacado a balazos en la ciudad de Cochabamba, mientras que el gobierno lo calificó de “mentiroso”; en cambio aseguró que el equipo del expresidente no quiso frenar en un control rutinario y que disparó contra la policía. Lo último ocurrió este fin de semana: el viernes, el presidente Arce denunció que grupos armados afines a Morales habían tomado tres cuarteles militares en la región del Trópico de Cochabamba. Según Arce, estos grupos retuvieron a más de 200 militares y robaron armamento y municiones. El mismo día, Morales anunció que comenzaría una huelga de hambre hasta que se pudiera instalar un diálogo con el Poder Ejecutivo, con la participación de la comunidad internacional. Y volvió a hablar de “lawfare”, con el agregado de acusar también al gobierno de Javier Milei en Argentina de estar coordinado en su contra. Profundizamos En Perspectiva sobre lo que está ocurriendo en Bolivia, y qué deriva puede tener, con el politólogo Marcelo Arequipa, docente en la Universidad Católica Boliviana “San Pablo”, Regional La Paz.
RFI entrevistó a Humberto Claros, secretario general de la Confederación de Trabajadores Campesinos en Bolivia y coordinador de las protestas en Cochabamba, donde seguidores del expresidente Evo Morales bloquean carreteras y se enfrentan a las fuerzas de seguridad. El ex mandatario boliviano ha sido acusado de estupro, trata y tráfico de personas Fuerzas del ejército y la policía despejaron el lunes una importante carretera en Santa Cruz, el departamento más próspero de Bolivia, que había sido tomada por partidarios de Morales, quien está siendo investigado por presunto abuso de una menor en 2015.Con piedras, troncos y escombros, los campesinos mantenían en Mairana uno de los puntos de bloqueo más importantes desde el inicio de las protestas, hace ya 22 días. Estas protestas, que comenzaron el 14 de octubre, fueron iniciadas por campesinos afines al ex mandatario para exigir el "cese de la persecución judicial" en su contra.Morales, líder cocalero, es investigado por los presuntos delitos de "estupro, trata y tráfico de personas". El ex presidente afirma que el gobierno intenta "proscribirlo" como candidato para las elecciones de 2025.Las protestas están encabezadas por Humberto Claros, secretario general de la Confederación de Trabajadores Campesinos. En entrevista con RFI, Claros describe un “panorama muy complejo” y denuncia una “intervención policial y militar ilegal”. Además, acusa a la policía de “reprimir, torturar y asesinar”, citando el caso de cuatro personas que habrían fallecido en el epicentro del bloqueo, aunque esta información no ha sido confirmada por las autoridades.Claros asegura que las autoridades están realizando “intervenciones totalmente criminales, acompañadas no solo de militares y policías, sino también de grupos paramilitares, en un cerco mediático completamente nefasto”. Según él, los medios de comunicación “cubren únicamente la versión del gobierno”.El líder campesino también recordó a RFI las demandas de este movimiento de protesta: “Que el gobierno haga realmente una propuesta de diálogo sincero, transparente y formal, con todas las garantías necesarias, y que libere plenamente a todos los detenidos. Han apresado a personas que ni siquiera estaban participando en bloqueos, acusándolas de terrorismo, sedición y alzamiento armado. No hay un intermediario que pueda manejar esta situación. Hasta ahora, solo ha habido intentos engañosos de diálogo por parte del gobierno, pero no una propuesta seria”.Mientras tanto, el expresidente Evo Morales, quien continúa en huelga de hambre, pidió levantar los bloqueos para facilitar el diálogo con el gobierno. Sin embargo, los dirigentes campesinos se negaron a pausar las protestas.Al principio, los seguidores de Morales exigían el fin de lo que denominaban "persecución judicial", pero el movimiento de protesta ha evolucionado hacia una revuelta antigubernamental más amplia, marcada por llamados a la renuncia del presidente Luis Arce.
durée : 00:06:25 - La Revue de presse internationale - par : Mélanie Kuszelewicz - Depuis le 14 octobre, les partisans de l'ancien président Evo Morales, qui vise la candidature à la présidentielle en 2025, bloque les routes, notamment dans le département de Cochabamba en Bolivie.
Le Journal d'Haïti et des Amériques revient sur la mort de celui que le magazine Rolling Stone appelle « le producteur inégalable ». Au programme aussi, à la veille du vote, la présidentielle américaine, vue entre autres par les envoyés spéciaux de RFI - alors que selon les sondages Donald Trump sont toujours au coude-à-coude. Ce week-end, une enquête donnait la candidate démocrate en tête dans le très républicain État de l'Iowa, mais dans les fameux « swing states », l'écart est tellement faible qu'il se trouve parfois dans la marge d'erreur des sondages.Parmi ces États clés, il y en a qui compte tout particulièrement : la Pennsylvanie, avec 19 grands électeurs en jeu. Les deux candidats seront donc ce lundi soir (4 novembre 2024) à Pittsburgh, explique Achim Lippold, un des envoyés spéciaux de RFI. Le candidat républicain tiendra son rassemblement dans un stade en centre-ville, tandis que sa rivale a choisi un ancien site sidérurgique : Kamala Harris cherche en effet à séduire les ouvriers, les fameux « blue collars », mais aussi les républicains modérés et les femmes. L'ancien président, qui n'est pas particulièrement populaire dans ce bastion démocrate, espère de son côté rallier les habitants de la « ceinture de rouille », ces banlieues autour de Pittsburgh où le vote pourrait basculer par rapport à 2020 - année où Joe Biden a remporté cet État de justesse.Une autre envoyée spéciale de RFI, Aabla Jounaïdi, se trouve elle à Messa, dans la banlieue de Phoenix, en Arizona - l'un des États où le refus des pro-Trump de reconnaître la défaite de 2020 est allé le plus loin. Les autorités locales font donc tout pour rassurer la population à l'approche des élections. Dans lecomté de Maricopa, qui concentre le plus grand nombre d'électeurs dans l'État, le bâtiment qui abrite les opérations de dépouillement est cerné de barrières, hérissés de caméras, en attendant les snipers annoncés sur les toits en cas de nécessité, disent les autorités. Objectif : empêcher que des groupes d'extrême-droite ne viennent tenter d'occuper les lieux pour faire entendre leurs voix, comme en 2020. Bolivie : grève de la faim d'Evo MoralesEn Bolivie, les blocages d'axes routier se poursuivent, organisés par les partisans d'Evo Morales, qui craignent que l'ancien président ne soit arrêté. Correo del Sur parle d'une « escalade du conflit », alors que les blocages de routes continuent, particulièrement dans les régions de Cochabamba et Santa Cruz, où les manifestations « génèrent des pertes qui se comptent en millions de dollars ». 91 policiers ont été blessés, nombre de « bloqueurs » ont été arrêtés. Et c'est dans ce contexte qu'Evo Morales a entamé une grève de la faim.« Avant-hier, j'ai publiquement appelé à une grève de la faim pour éviter un bain de sang », explique-t-il : « j'ai demandé à mes camarades un dialogue immédiat et la création de deux groupes de travail : économique et politique. Et la réponse du gouvernement a été d'arrêter 56 camarades et de les emmener à La Paz. »Los Tiempos revient de son côté sur les 200 militaires boliviens retenus en otage depuis samedi par des partisans d'Evo Morales - ils ont pris trois casernes d'assaut dans le département de Cochabamba. Le ministère de la Défense, écrit Los Tiempos, a condamné « la prise armée et violente » d'unités militaires, parlant de « délits graves contre la démocratie, la sécurité et la stabilité de l'État ». La grève de la faim d'Evo Morales elle-même a pour objectif de déstabiliser le gouvernement, affirme le ministre des Relations extérieures de la Bolivie. Risque d'inondations à Cuba « Tout le pays retient son souffle devant la possible formation d'un ouragan », titre Granma : car il y a 80% de risques que se forme une dépression tropicale qui se transformerait ensuite en ouragan en avançant vers le nord des Caraïbes, écrit Juventud Rebelde, et elle pourrait affecter Cuba. La Défense civile a donc donné l'ordre d'évacuer quatre municipalités de Guantanamo, rapporte 14 y medio, qui précise : « Les sols saturés par les pluies et les réservoirs et rivières au maximum de leur capacité augmentent le risque d'inondation à Maisí, Imías, San Antonio del Sur et Baracoa, où l'effet de deux autres phénomènes météorologiques se formant dans la mer des Caraïbes a déjà commencé à se faire sentir. » Mort d'un géantCe lundi (4 novembre 2024), a été annoncée la mort de l'immense musicien et producteur américain Quincy Jones, à l'âge de 91 ans. Et la presse n'a pas assez de qualificatifs dans ses titres pour parler de Quincy Jones : « L'icône de la musique et le gagnant de 28 Grammy Awards » pour Deadline, le « géant de la musique américaine » pour le New York Times, « le producteur inégalable derrière Thriller », rappelle Rolling Stone. Rolling Stone qui rappelle que le musicien est derrière de remarquables albums de jazz, de soul, de funk et aussi derrière les plus grands disques de pop du siècle – la trilogie Jacksonienne Off the Wall, Thriller et Bad, entre autres.Mais Rolling Stone rappelle que lorsqu'il a travaillé avec Michael Jackson, Quincy Jones « avait déjà taillé sa route à travers le jazz et la pop bubblegum du début des années 60 ainsi que de nombreuses BO de films, étudié avec la célèbre compositrice classique Nadia Boulanger, fait l'arrangement de disques de Ray Charles et conduit l'orchestre de Frank Sinatra. » Variety rappelle qu'il fut aussi le producteur de « We are the world », le disque destiné à lever des fonds contre la famine sur le continent africain. Il a aussi été le premier Africain-Américain à écrire la BO d'un film majeur, en 1964, « The Pawnbroker ». Autant de morceaux cités par le New York Times dans ses « 14 chansons essentielles » produites, arrangées ou enregistrées par Quincy Jones : cela va du jazz, « Evening in Paris », enregistré en 1957 avec des pointures comme Charlie Mingus, à « I'll be good to you », avec Ray Charles et Chaka Khan, en 1989, sur l'album Back on the block qui lui vaudra six Grammy Awards. Sans oublier, évidemment, Soul Bossa Nova, sa version « audacieuse et ludique » de la musique brésilienne, écrit le New York Times.En 2017, dans une interview accordée à Rolling Stone, Quincy Jones présentait son agitation créative comme « l'engagement d'une vie à apprendre autant de musique qu'il le pouvait : ‘vous devez espérer avoir la possibilité de faire toutes les erreurs possibles pour apprendre. Et j'ai fait toutes les erreurs. Toutes…' » Le journal de la PremièreEn Martinique, élus et socio-professionnels conviés ce lundi matin à une « conférence territoriale » consacrée à la vie chère…
En Bolivia, seguidores del expresidente Evo Morales, levantaron temporalmente al menos tres puntos de bloqueo instalados en diferentes carreteras del país por la festividad de Todos Santos. Sin embargo, no incluyeron una ruta importante en el departamento de Cochabamba, bastión del expresidente y epicentro de las protestas. La escasez de alimentos ya se siente en este territorio del centro del país, es el más afectado por los cortes de ruta. Los bloqueos de carreteras bolivianas iniciaron el 14 de octubre, generando unos 1.700 millones de dólares de pérdidas, según el Gobierno de Luis Arce.Cochabamba, feudo del exmandatario Evo Morales, es su epicentro y el departamento más afectado. Por allí pasa toda la agroindustria de exportación de Santa Cruz, el territorio más rico del país, hacia los puertos de Arica en Chile.Los productores locales tampoco pueden sacar sus productos, según explicó a RFI Rolando Morales, presidente de la Cámara Agropecuaria de Cochabamba: "Hemos calculado la pérdida en diferentes sectores de Cochabamba, como en la agricultura, industria, comercio y servicios, en más o menos 200 millones de dólares"."Hubo 20 millones de dólares (de pérdida) solamente en el sector agropecuario cochabambino. Son 20 millones de dólares divididos entre las 400.000 familias que nos dedicamos a la producción alimenticia. De pronto, es todo el patrimonio acumulado durante los últimos cinco o diez años"- Rolando Morales, presidente de la Cámara Agropecuaria de CochabambaEn la ciudad de Cercado, por ejemplo, hay escasez de alimentos. Según Morales, esta zona habitada por cerca de un millón de habitantes se ha visto "totalmente desabastecida"."Falta todo lo que son carnes rojas, carne blanca, arroz, aceite y otros productos que nos llegaban generalmente desde el Oriente boliviano, desde Santa Cruz y el Beni", precisó.Leer tambiénChoques en una protesta contra el gobierno de Arce dejan 30 heridos en BoliviaCochabamba es el bastión político y sindical de Morales. Allí se resguarda de una eventual orden de arresto, ya que es investigado por un caso de estupro ocurrido en 2016, que él niega.Una presión "significativa"¿La magnitud de las protestas de los pro Evo, podrían hacer tambalear el gobierno de Luis Arce? Según la politóloga Ana Lucía Velazco, no es tan seguro."Cochabamba es el tercer departamento más poblado del país. Si hubiera además bloqueos fuertes en Santa Cruz o en La Paz, ahí la presión ciudadana sería muchísimo más grande. Al estar en Cochabamba es significativa, pero no determinante", señaló.No obstante, la especialista subrayó que esta situación "muestra una debilidad estatal muy grande". A su juicio, lo que genera una "presión política fuerte" es el hecho de que el Estado no pueda desbloquear y asegurarle a los cochabambinos el acceso a alimentos y otras cosas "durante ya tantos días"."Más que el lugar donde se está dando los bloqueos, es la persona que los está haciendo y su capacidad de bloquear tanto tiempo de forma constante y, además, en una forma que en los últimos días se ha tornado superviolenta. Políticamente, lo que más importa es la figura de Evo Morales y no tanto el lugar donde está bloqueado", sentenció.La inflación interanual en septiembre fue de 6,2% en Bolivia, la más alta desde julio de 2014. Sin embargo, podría elevarse este mes, debido a los bloqueos que han afectado el bolsillo de los bolivianos.
En Bolivia, seguidores del expresidente Evo Morales, levantaron temporalmente al menos tres puntos de bloqueo instalados en diferentes carreteras del país por la festividad de Todos Santos. Sin embargo, no incluyeron una ruta importante en el departamento de Cochabamba, bastión del expresidente y epicentro de las protestas. La escasez de alimentos ya se siente en este territorio del centro del país, es el más afectado por los cortes de ruta. Los bloqueos de carreteras bolivianas iniciaron el 14 de octubre, generando unos 1.700 millones de dólares de pérdidas, según el Gobierno de Luis Arce.Cochabamba, feudo del exmandatario Evo Morales, es su epicentro y el departamento más afectado. Por allí pasa toda la agroindustria de exportación de Santa Cruz, el territorio más rico del país, hacia los puertos de Arica en Chile.Los productores locales tampoco pueden sacar sus productos, según explicó a RFI Rolando Morales, presidente de la Cámara Agropecuaria de Cochabamba: "Hemos calculado la pérdida en diferentes sectores de Cochabamba, como en la agricultura, industria, comercio y servicios, en más o menos 200 millones de dólares"."Hubo 20 millones de dólares (de pérdida) solamente en el sector agropecuario cochabambino. Son 20 millones de dólares divididos entre las 400.000 familias que nos dedicamos a la producción alimenticia. De pronto, es todo el patrimonio acumulado durante los últimos cinco o diez años"- Rolando Morales, presidente de la Cámara Agropecuaria de CochabambaEn la ciudad de Cercado, por ejemplo, hay escasez de alimentos. Según Morales, esta zona habitada por cerca de un millón de habitantes se ha visto "totalmente desabastecida"."Falta todo lo que son carnes rojas, carne blanca, arroz, aceite y otros productos que nos llegaban generalmente desde el Oriente boliviano, desde Santa Cruz y el Beni", precisó.Leer tambiénChoques en una protesta contra el gobierno de Arce dejan 30 heridos en BoliviaCochabamba es el bastión político y sindical de Morales. Allí se resguarda de una eventual orden de arresto, ya que es investigado por un caso de estupro ocurrido en 2016, que él niega.Una presión "significativa"¿La magnitud de las protestas de los pro Evo, podrían hacer tambalear el gobierno de Luis Arce? Según la politóloga Ana Lucía Velazco, no es tan seguro."Cochabamba es el tercer departamento más poblado del país. Si hubiera además bloqueos fuertes en Santa Cruz o en La Paz, ahí la presión ciudadana sería muchísimo más grande. Al estar en Cochabamba es significativa, pero no determinante", señaló.No obstante, la especialista subrayó que esta situación "muestra una debilidad estatal muy grande". A su juicio, lo que genera una "presión política fuerte" es el hecho de que el Estado no pueda desbloquear y asegurarle a los cochabambinos el acceso a alimentos y otras cosas "durante ya tantos días"."Más que el lugar donde se está dando los bloqueos, es la persona que los está haciendo y su capacidad de bloquear tanto tiempo de forma constante y, además, en una forma que en los últimos días se ha tornado superviolenta. Políticamente, lo que más importa es la figura de Evo Morales y no tanto el lugar donde está bloqueado", sentenció.La inflación interanual en septiembre fue de 6,2% en Bolivia, la más alta desde julio de 2014. Sin embargo, podría elevarse este mes, debido a los bloqueos que han afectado el bolsillo de los bolivianos.
El sábado Israel lanzó una serie de ataques precisos contra objetivos militares de Irán en Teherán, desde entonces ambas partes parecen haber hecho esfuerzos para reducir la escalada del conflicto, lo que ha suscitado temores de una guerra más amplia.Evo Morales y su comitiva fueron baleados mientras se transportaban en Cochabamba. Morales culpó al presidente de Bolivia, Luis Arce, en una amplía disputa que tiene en vilo al país.Además… Un conductor usó un auto robado para atropellar a una multitud que se encontraba en el centro de Guadalajara; El presidente egipcio anunció una nueva propuesta de cese al fuego en Gaza; Las elecciones para elegir al sucesor del presidente Luis Lacalle Pou iniciaron en Uruguay; Y Carlitos Sainz de Ferrari ganó el Gran Premio de México.Y para #ElVasoMedioLleno… Científicos chinos lograron reactivar la actividad cerebral de un cerdo durante al menos seis horas.Para enterarte de más noticias como estas, síguenos en nuestras redes sociales. Estamos en todas las plataformas como @telokwento. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Daniel Ardiles –periodista en Bolivia– informa sobre el ataque al vehículo del expresidente Evo Morales y las acusaciones del líder contra el gobierno actual de Luis Arce. Los encapuchados dispararon contra su vehículo, hiriendo a su chofer en Cochabamba. Morales, quien ha sido una figura central en la política boliviana y es líder del Movimiento al Socialismo (MAS), acusó al actual presidente Luis Arce de estar implicado en el ataque. Este incidente profundiza las tensiones políticas en Bolivia, donde el MAS sigue enfrentando divisiones internas, poniendo a Morales y Arce en posiciones opuestas. Programa transmitido el 28 de octubre de 2024.Escucha el Noticiero de Nacho Lozano, en vivo de lunes a viernes de 1:00 p.m. a 2:00 p.m. por el 105.3 de FM. Esta es una producción de Radio Chilango.
Andreas Preisig lebt seit 45 Jahren in Cochabamba, der viertgrössten Stadt in Bolivien. Dort leitet der Appenzeller eine Stiftung für Entwicklungsprojekte mit dem Ziel, das Leben der Menschen in Bolivien nachhaltig zu verbessern. Heimweh verspürt Andreas Preisig heute kaum noch, dafür ist er schon zu lange weg. Der Appenzeller lebt seit 45 Jahren in Bolivien. In Cochabamba führt er eine Stiftung für Entwicklungsprojekte: «Junge Menschen haben die Möglichkeit auf eine technische Berufsausbildung, einheimische Bauern bekommen Unterstützung und wir fördern lokale Kleinunternehmen.» Angefangen hat alles 1979, als sich der gelernte Förster auf ein Stelleninserat der Direktion für Entwicklung und Zusammenarbeit (Deza) meldete: «Es ging um ein Wiederaufforstungsprojekt in den Anden. In der Schweiz wurde es mir zu eng und ich wollte ein Abenteuer erleben.» Und auch nach 45 Jahren, sei immer noch jeder Tag ein Abenteuer, sagt der 70-Jährige. Eigentlich wollte er wieder zurück in die Schweiz, bis er seine bolivianische Frau kennen lernte: «Wir gehen durch dick und dünn in einem Land mit vielen Problemen. Aber wenn man die Augen aufmacht, ist es wahnsinnig schön hier!» Hühner, Hunde und viele Früchte Neben seinem Engagement für die Stiftung verbringt Andreas Preisig viel Zeit auf seiner kleinen Hacienda. Vor zwanzig Jahren kaufte er ein Stück Land, welches sich mittlerweile zu einem «Garten Eden» gewandelt hat: «Bei uns wachsen Himbeeren, Pfirsiche, Kartoffeln, Weizen und aus den Olivenbäumen mache ich feines Olivenöl.» In die Schweiz möchte er nicht mehr zurück: «Ich bin irgendwie schon zu sehr ein Bolivianer.»
Cientos de seguidores de Evo Morales bloquearon este martes 15 de octubre las principales vías de conexión del departamento de Cochabamba, centro de Bolivia, en el segundo día de protestas contra el probable arresto del expresidente por el presunto abuso de una menor durante su mandato. Radio Francia Internacional (RFI) habló con el analista Fernando Mayorga sobre este nuevo episodio de la pugna entre Evo y Arce por la presidencia del país. A Evo Morales se le investiga por estupro, trata y tráfico de personas. Según la fiscalía de Tarija, Morales tuvo una relación en 2015 con una joven que tenía 15 años y un año después nació una niña de ambos.El expresidente boliviano tilda el caso de una mentira más en su contra y recuerda que esta misma causa fue investigada y archivada por la justicia en 2020.Según Morales, el Gobierno de Luis Arce, su ex aliado y hoy rival político, reactivó el caso para impedirle que concurra a las presidenciales de 2025.“Es otra de las acciones impulsadas por el Gobierno para dañar la imagen de Evo Morales, que ya está mellada. En caso de que haya una sentencia ejecutoria en su contra, él no podría ser candidato a la presidencia. También está en riesgo la vigencia de la personería jurídica del partido, el Movimiento al Socialismo, MAS. Evo Morales, por su parte, insiste en ser candidato único del MAS”, analiza para RFI el sociólogo y politólogo Fernando Mayorga.El expresidente boliviano rechazó el jueves pasado comparecer a la citación del Ministerio Público. Ante su negativa, la fiscal del caso advirtió que podría emitir una orden de arresto contra el exmandatario. Evo Morales escogió la acción directa mediante un bloqueo de caminos.“El ex presidente tiene una defensa del tema que, en realidad, es evitarlo. Le ha solicitado a su abogado anular el caso y no se ha presentado a declarar", dice Mayorga, quien considera que lo más conveniente sería “aclarar el asunto públicamente”.“Arce, Evo y el MAS están descreditándose”Según el profesor de la Universidad Pública de Cochabamba, Morales refuerza “su liderazgo en el núcleo más duro del MAS”, con una marcha “exitosa para él como la realizada hace un par de semanas". No obstante, el experto considera que tanto Morales como Luis Arce están perdiendo en términos de opinión pública. “El MAS como partido está teniendo enorme descrédito”.Las bases que apoyan a Evo Morales en las calles no esgrimen reivindicaciones que conciernan a amplios sectores, puntualiza Mayorga. Pero, tampoco se trata de una defensa ciega del líder ante su llamado, insiste.La defensa a Evo es una defensa sindicalEl profesor explica que la defensa a Evo Morales es, sobre todo, corporativa o gremial. Se trata, en sintesis, de una lucha sindical. "Evo Morales no es como los otros líderes de izquierda de América latina, Chavez, Correa, etc. El nace del mundo sindical. Y existe un grado de control de mandato sindical que le pone límites al ejercicio de su liderazgo", explica.El experto recuerda que Morales es el dirigente principal de los sindicatos de productores de coca y que desde 1989 es presidente de la coordinadora de las seis federaciones de trabajadores cocaleros."Por eso, la defensa popular en las calles no es solo en torno a la figura de Evo Morales, sino que se trata de una defensa corporativa porque, en la medida que a su principal dirigente, que además ha sido presidente, le hacen una acción judicial o lo encarcelan, se pone vulnerable todo el sector". Sin embargo, "esta defensa corporativa, si bien cohesiona a la base social, no genera simpatía en la opinión pública”, concluye Fernando Mayorga.
Cientos de seguidores de Evo Morales bloquearon este martes 15 de octubre las principales vías de conexión del departamento de Cochabamba, centro de Bolivia, en el segundo día de protestas contra el probable arresto del expresidente por el presunto abuso de una menor durante su mandato. Radio Francia Internacional (RFI) habló con el analista Fernando Mayorga sobre este nuevo episodio de la pugna entre Evo y Arce por la presidencia del país. A Evo Morales se le investiga por estupro, trata y tráfico de personas. Según la fiscalía de Tarija, Morales tuvo una relación en 2015 con una joven que tenía 15 años y un año después nació una niña de ambos.El expresidente boliviano tilda el caso de una mentira más en su contra y recuerda que esta misma causa fue investigada y archivada por la justicia en 2020.Según Morales, el Gobierno de Luis Arce, su ex aliado y hoy rival político, reactivó el caso para impedirle que concurra a las presidenciales de 2025.“Es otra de las acciones impulsadas por el Gobierno para dañar la imagen de Evo Morales, que ya está mellada. En caso de que haya una sentencia ejecutoria en su contra, él no podría ser candidato a la presidencia. También está en riesgo la vigencia de la personería jurídica del partido, el Movimiento al Socialismo, MAS. Evo Morales, por su parte, insiste en ser candidato único del MAS”, analiza para RFI el sociólogo y politólogo Fernando Mayorga.El expresidente boliviano rechazó el jueves pasado comparecer a la citación del Ministerio Público. Ante su negativa, la fiscal del caso advirtió que podría emitir una orden de arresto contra el exmandatario. Evo Morales escogió la acción directa mediante un bloqueo de caminos.“El ex presidente tiene una defensa del tema que, en realidad, es evitarlo. Le ha solicitado a su abogado anular el caso y no se ha presentado a declarar", dice Mayorga, quien considera que lo más conveniente sería “aclarar el asunto públicamente”.“Arce, Evo y el MAS están descreditándose”Según el profesor de la Universidad Pública de Cochabamba, Morales refuerza “su liderazgo en el núcleo más duro del MAS”, con una marcha “exitosa para él como la realizada hace un par de semanas". No obstante, el experto considera que tanto Morales como Luis Arce están perdiendo en términos de opinión pública. “El MAS como partido está teniendo enorme descrédito”.Las bases que apoyan a Evo Morales en las calles no esgrimen reivindicaciones que conciernan a amplios sectores, puntualiza Mayorga. Pero, tampoco se trata de una defensa ciega del líder ante su llamado, insiste.La defensa a Evo es una defensa sindicalEl profesor explica que la defensa a Evo Morales es, sobre todo, corporativa o gremial. Se trata, en sintesis, de una lucha sindical. "Evo Morales no es como los otros líderes de izquierda de América latina, Chavez, Correa, etc. El nace del mundo sindical. Y existe un grado de control de mandato sindical que le pone límites al ejercicio de su liderazgo", explica.El experto recuerda que Morales es el dirigente principal de los sindicatos de productores de coca y que desde 1989 es presidente de la coordinadora de las seis federaciones de trabajadores cocaleros."Por eso, la defensa popular en las calles no es solo en torno a la figura de Evo Morales, sino que se trata de una defensa corporativa porque, en la medida que a su principal dirigente, que además ha sido presidente, le hacen una acción judicial o lo encarcelan, se pone vulnerable todo el sector". Sin embargo, "esta defensa corporativa, si bien cohesiona a la base social, no genera simpatía en la opinión pública”, concluye Fernando Mayorga.
El exfutbolista y técnico boliviano Mauricio Soria habló sobre si existen ventajas deportivas de jugar en la altura.See omnystudio.com/listener for privacy information.
(Día Nacional de Solidaridad con las Víctimas de Violencia Sexual en Bolivia) En el año 2004 la doctora Brisa de Angulo, quien fue víctima de violencia sexual durante su adolescencia en Cochabamba, Bolivia, creó la Fundación Una Brisa de Esperanza como una organización sin fines de lucro. Gracias a Dios y al apoyo de personas y entidades alrededor del mundo, desde su inicio no ha dejado de cumplir con creces su objetivo de erradicar los horrores de la violencia sexual contra los niños, brindándoles a los sobrevivientes un refugio seguro y trabajando en pro de la prevención, curación y justicia en cada caso. Según su sitio en la red, la violencia sexual infantil y adolescente es un problema global que afecta a comunidades independientemente de su clase social, ingresos, educación, cultura o etnia. Causa daño no sólo a las víctimas, sino también a su familia y a la sociedad en que viven. La Asamblea General de las Naciones Unidas informa que, en todo el mundo, una de cada tres niñas y uno de cada cinco niños sufren violencia sexual antes de cumplir los dieciocho años. Lamentablemente, Bolivia tiene las tasas más altas de violencia sexual contra mujeres y niños de toda América Latina, pero tiene, a la vez, una de las tasas más bajas de denuncia a las autoridades. Por lo menos tres de cada cuatro casos nunca se denuncian a la policía, y en más de ocho de cada diez casos el delito es cometido por alguien cercano o conocido de la víctima. Siete de cada diez mujeres bolivianas sufren, o han sufrido, los horrores de la violencia sexual, más de la mitad de ellas cuando eran niñas.1 Con razón entonces que, tan pronto como descubrí a la doctora Brisa de Angulo y su fundación mediante una larga búsqueda en Internet, resolví que ella era la persona más indicada para ser la segunda en recibir nuestro premio el «Compás de la Conciencia» como reconocimiento internacional en una Conferencia de Prensa. Celebrada el 8 de agosto de 2023, la conferencia comenzó con un Acto de Entrega denominado «Una ráfaga de aliento para Una Brisa de Esperanza». La bien merecida placa de mármol tallado con láser decía, en síntesis: «Otorgado por Un Mensaje a la Conciencia a la doctora Brisa de Angulo... con motivo de su labor realizada en beneficio de niñas, niños y adolescentes víctimas de violencia sexual». Y el día siguiente, que por iniciativa de Brisa el gobierno boliviano ha designado como Día Nacional de Solidaridad con las Víctimas de Violencia Sexual», marchamos solidarios en el desfile que por ese motivo se realiza cada 9 de agosto en Cochabamba. Es que creo de todo corazón que con la misma firmeza con que denunciamos y condenamos a los poderosos entre nosotros que son culpables, indiferentes o inconscientes con relación al sufrimiento y a los derechos básicos humanos de las víctimas de violencia en nuestro mundo, debemos valorar y reconocer a los valerosos y compasivos que no sólo se pronuncian con firmeza en contra de esta decadencia social y degeneración moral, sino que también trabajan incansable y abnegadamente en beneficio de esas víctimas. Carlos ReyUn Mensaje a la Concienciawww.conciencia.net 1 Una Brisa de Esperanza y Una Brisa de Esperanza, Qué hacemos En línea 29 febrero 2024.
Aux États-Unis, Kamala Harris, la candidate à la candidature démocrate pour la présidentielle, doit donner d'ici ce mardi soir (6 août 2024) le nom de son colistier. Toute la presse américaine se pose la question : qui sera l'heureux élu ? Ce dimanche, les émissions télévisées en étaient réduites à lire dans les feuilles de thé, ironise The Hill. Le même jour, trois des finalistes devaient rencontrer Kamala Harris: le gouverneur de Californie Josh Shapiro, le sénateur de l'Arizona Mark Kelly, et le gouverneur du Minnesota Tim Waltz. Ce dernier, selon The Hill, est de plus en plus soutenu par les démocrates de la Chambre – dont il a fait partie : et, précise le site d'information, « le sympathique Waltz n'était pas seulement populaire sur la colline du capitole, il a aussi été le soldat le plus gradé dans l'histoire du Congrès – un statut qui l'a rapproché des partisans du Pentagone dans les deux partis ». De son côté, le New York Times s'intéresse au gouverneur de Californie Josh Shapiro : un proche de Barack Obama, et depuis le premier mandat de ce dernier ils ont développé « une relation plus étroite qu'on ne le pense généralement ».Le parti démocrate se divise autour du nom du colistier :« La primaire compétitive et conflictuelle que, depuis longtemps, de nombreux démocrates souhaitaient éviter a quand même lieu - en grande partie à huis clos », affirme le New York Times : une lutte entre « donateurs, groupes d'intérêts et rivaux politiques des franges modérées et progressives du parti ». Les progressistes accusent ainsi Josh Shapiro et Mark Kelly d'être trop conservateurs sur des sujets-clé. Le quotidien new-yorkais évoque un « candidat de compromis » qui pourrait émerger, le gouverneur du Kentucky Andy Beshear. L'Artibonite terrorisée par les gangsEn Haïti, le département de l'Artibonite est la principale région rizicole du pays. Et les violences des gangs paralysent non seulement le déplacement des citoyens mais aussi la production agricole. Lundi dernier, des membres de la société civile ont manifesté pour réclamer du matériel adéquat pour permettre à la police nationale haïtienne de lutter contre les gangs.D'autant que, selon Bertide Horace, porte-parole de la « Commission de dialogue, réconciliation et conscientisation pour sauver l'Artibonite », interrogé par Ronel Paul, depuis l'arrivée des policiers kenyans dans la capitale haïtienne les gangs deviennent de plus en plus violents, et de plus en plus cruels – Bertide Horace prend pour exemple le kidnapping d'un enfant, qui a été tué malgré le versement d'une rançon.Une manifestante, le 29 juillet, parlait d'un « véritable génocide dans le département de l'Artibonite », affirmant aussi que tout le matériel de police est resté dans le département de l'Ouest. Contacté par RFI, le directeur départemental de la police nationale en Artibonite assure avoir demandé à ses supérieurs « un véhicule blindé robuste, des fusils, des munitions, et surtout de renforcer l'effectif des unités au sein du département, entre autres, afin de chambouler le statu quo. » Il n'a encore reçu aucune réponse.À écouter aussiHaïti : violences en Artibonite Mort d'un pompier au CanadaUn pompier de 24 ans est décédé ce week-end alors qu'il luttait contre un incendie de forêt dans l'Ouest canadien, dans le parc national Jasper, raconte Le Devoir. Il avait été grièvement blessé samedi (3 août 2024) par la chute d'un arbre. « Ça me fend le cœur », a réagi sur le réseau social X le Premier ministre Justin Trudeau. Le ministre de la Foresterie et des Parcs a de son côté indiqué que sa famille « serait admissible au Fonds des héros de la province (l'Alberta), un paiement unique et non imposable de 100 000 dollars qui reconnaît les services de premiers répondants ». 25 000 personnes ont fui la ville et le parc national le 22 juillet à cause des incendies de forêts, qui ont fini par se propager à la communauté et qui ont détruit un tiers de ses bâtiments. L'incendie, toujours incontrôlable, s'étend sur 32 000 hectares. « Les centaines de pompiers qui combattent le feu dans la région ont pris un moment, hier, pour pleurer un des leurs », écrit The Globe and Mail. L'an dernier, quatre pompiers sont morts lors de la saison record de feux qu'a connu le pays.À lire aussiCanada: incendie ravageur dans les Rocheuses, la ville de Jasper dévastée Assassinat d'un journaliste au Mexique Il s'appelait Alejandro Martinez Noguez, écrit Milenio. Il a été assassiné hier (4 août 2024) dans le département de Guanajuato, dans le centre du pays. Une camionnette s'est arrêtée à côté de son véhicule et a tiré sur ses trois occupants, raconte La Jornada. Un des deux anciens policiers qui assuraient la protection du journaliste depuis une tentative d'assassinat en 2022 a été blessé, l'autre a réussi à repousser l'attaque et à amener son collègue et le journaliste à un hôpital. Mais Martinez Noguez était mort, tué d'une balle dans la tête.Le Mexique détient un triste record, rappelle Milenio dans son éditorial : celui du pays le plus dangereux du monde pour les journalistes - il est devenu « un terrain miné pour ceux qui veulent enquêter, questionner, et dénoncer ». Et l'éditorialiste de demander au nouveau gouvernement dirigé par Claudia Sheinbaum de « prendre des mesures concrètes pour protéger les journalistes et garantir que les responsables de ces crimes affrontent la justice » : « les promesses et les discours ne suffisent pas ».À lire aussiComment protéger les journalistes au Mexique ?En Bolivie, des produits frais vendus sur les réseaux sociauxUn marché de fruits et légumes où les produits sont mis en avant sur Facebook et Tiktok… C'est à Cochabamba, dans le centre de la Bolivie que se trouve le marché «Intégration du sud». Depuis deux ans, les producteurs y vendent leurs produits directement aux consommateurs, un succès qui a été rendu possible grâce à cette présence sur les réseaux sociaux. Notre correspondant en Bolivie Nils Sabin est allé à la rencontre de l'administratrice du marché Mary Rojas Lopez qui, en direct sur Facebook, passe de stand en stand à la rencontre des vendeurs et des vendeuses.Pour de nombreux producteurs interrogés, l'absence d'intermédiaires est le principal point positif du marché. Avant d'occuper un terrain de 5,5 hectares au sud de Cochabamba, les maraîchers vendaient dans la rue et dépendaient de revendeurs qui fixaient les prix. Il y a deux ans, les producteurs de 6 municipalités situées à l'est de la ville décident de s'unir et d'acheter ce terrain. Aujourd'hui, l'association rassemble près de 2 000 maraîchers qui viennent y vendre leur récolte deux fois par semaine.Le Chili en orAux Jeux Olympiques de Paris, la Chilienne Francisca Crovetto est entrée dans l'histoire en devenant la première à remporter une médaille pour son pays dans les JO de Paris. Et c'est une médaille d'or puisqu'elle a remporté le skeet féminin en tir sportif ce dimanche (4 août 2024) – le skeet, c'est le tir au fusil sur des plateaux lancés les uns après les autres. « Je pense que c'est surtout dans les jours qui viennent que je vais me rendre compte de ce qui s'est passé », explique Francisca Crovetto, « parce que là, j'étais trop concentrée pour tirer un plateau après l'autre ! » C'est la troisième médaille d'or pour le Chili tous Jeux olympiques confondus.Au Canada, c'est au lancer du marteau que l'on s'intéresse :« Un marteau en or », titre en Une le Toronto Star, sous une photo d'Ethan Katzberg, en plein effort. « Avec un lancer de 84 mètres 12, Ethan Katzberg a remporté la médaille d'or – une première pour le Canada dans ce sport », note le quotidien. « Peu après 20 heures, il s'avance dans le cercle réservé au lancer de marteau, au Stade de France, tourne à quatre reprises sur lui-même, de plus en plus vite, lance à 84 mètres douze. Et c'est fini. Or olympique », raconte The Globe and Mail, qui poursuit : « pendant tout le reste de la soirée, personne n'est arrivé à quatre mètres de Katzberg ».Quant à la superstar américaine Simone Biles, elle se contente de l'argent ce lundi (5 août 2024) pour sa dernière épreuve, puisque c'est la gymnaste brésilienne Rebecca Andrade qui a été sacrée championne olympique du sol. À écouter les commentaires en direct d'Eric Mamruth et Sarah Daninthe.À lire aussiGymnastique artistique: la Brésilienne Andrade sacrée au sol, Biles en argent Le journal de la PremièreUn plan Marshall pour mettre à niveau les équipements sportifs en Guyane et dans les Outre-mer
El 8 de junio de 1970, en Cochabamba, Bolivia, fue asesinado el periodista chileno Elmo Catalán, uno de los integrantes del grupo que intentaba restaurar la guerrilla del "Che" Guevara.
La Justicia boliviana investiga a la Compañía de Jesús por pederastia. La asociación de víctimas calcula que unos 400 estudiantes del Colegio Juan XXIII en Cochabamba fueron violentados por sacerdotes españoles.
Andrea Moscoso-Weise, the restaurant manager and beverage director of the restaurant Gustu in La Paz, Bolivia. Born in the highland town of Cochabamba, Moscoso was trained as a sociologist, and during the pandemic created a digital platform there called De Raíz, which connected artisan producers of vegetables, wine, beer and other foods with the public. Later, after a meal at Gustu, having never worked in a restaurant before, she dropped what she was doing and decided to move to La Paz for an internship at the restaurant. When her internship was up and she was about to return to Cochabamba, she was offered a job at the restaurant and she has been there ever since.In our discussion, we talk a lot about wine. Bolivia has a burgeoning wine scene. You may have heard our interview with Jardin Oculto's Nayan Gowda, but Bolivia has some incredible wines, especially the ones coming from old vines and criolla varieties. The sommeliers of Gustu have been one of my primary means of being introduced to new Bolivian wines since the restaurant opened. First it was Jonas Andersen, who now actually runs a wine shop called Folkways beside the train station in Croton Falls north of New York City and its wonderful. I went there the other day actually and it's by far my favorite area wine shop, plus they do nationwide deliveries if you need a a good natural wine purveyor. Then there was Bertil Tøttenborg, who now lives in Brazil. And now Andrea is there and it's a really exciting moment, so there was lots to talk about her.We also talk about this pull this particular restaurant has on people. I've been going there since Gustu has opened and I have felt it every time I have been there. It has a way of taking someone in and bringing out the best in them. If you ask anyone that has ever worked there will probably tell you that. We spoke with chef Marsia Taha about it in an earlier interview. The restaurant has such a purity in what they are trying to do, in a way that is hopeful and real. And what they do is far more than just a restaurant, but have inspired culinary and human development in Bolivia in everything the long arms of gastronomy touches, and that's a lot of places.READ MORE AT NEW WORLDER.
Bruno Olmedo Quiroga (he/they) is a Miami-based, culture and technology strategist from Cochabamba, Bolivia. He is a founding partner of Maybe Ventures; a boutique design and strategy consulting firm focused on regenerative business; he is the founder of Pixiesmith, a gender fluid fashion company designed to die from the beginning; and he's a Product Researcher, Designer, and Strategist at the financial tech company Plaid. Here, he speaks to us about his experience in a fourth role he holds: Director of Strategy at Good Energy Stories (an entertainment consultancy for the age of climate change.) Bruno has guest lectured at Stanford, MIT, Harvard, Tufts, and universities across Latin America. His work has been featured at SXSL, the MIT Media Lab, and publications such as Fast Company. In his free time, Bruno dances with fire at music festivals across Southern California. Good Energy Stories is a non-profit story consultancy for the age of climate change. They support TV and film creators in telling wildly entertaining stories that honestly reflect the world we live in now—a world that's in a climate crisis. Good Energy provides consulting services, a playbook, research, and workshops. You can follow them on Instagram @goodenergystory. In this episode, Bruno talks about the career heartbreak that led them to finding Good Energy. He breaks down the company's mission, vision, and offered pillars. Host Nadine and Bruno talk about what Bruno's role of “Director of Strategy” entails and extensively breakdown the Pace Layering Framework: which based on recognizing that different parts of “the organization” change at different rates. They discuss GE's case studies, designed targeted interventions, and their presence at this year's COP28.This episode refers to the following works and companies: Good Energy Stories, the Playbook, The Pace Layering Framework. Parasite, A Quiet Place, Wall-E, How To Blow Up a Pipeline, Big Little Lies.Bruno Olmedo Quiroga (he/they) is the director of strategy at "Good Energy Stories"; a culture & technology strategist based in Miami, FL, USA.Nadine Reumer (she/her) is an actress and producer based in Amsterdam. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Une traque entrée dans l'Histoire, entre l'Allemagne, la France, la Bolivie. Un long chemin pour retrouver et faire arrêter un criminel de guerre, Klaus Barbie, surnommé le boucher de Lyon, accusé de massacres, de persécutions de Juifs, d'exécutions de résistants parmi lesquels le plus célèbre d'entre eux, un jeune préfet, Jean Moulin. Il y a trente ans, en 1983, l'ancien commandant SS posait in-extremis, et après des mois de suspense, le pied sur le sol français. Appelé à être jugé pour crimes contre l'humanité, le premier procès filmé de la justice française
(Antevíspera del Día Internacional de los Derechos Humanos) «El pongo era... [un] infeliz indio miserable y embrutecido, que venía cada semana de las haciendas [a Cochabamba] a cumplir su obligación de servicio personal.... No podía ya separarse del cuidado de la puerta en aquel tiempo de bulla y alboroto que era el de los alzados.... Los vítores de la multitud que llegaban diariamente hasta mi cuarto... las noticias que a su manera daban y comentaban los criados en la cocina, no dejaban duda de que la revolución ganaba inmenso terreno....» Así comienza a contar el autor cochabambino Nataniel Aguirre la historia de tal vez uno de los personajes más pobres, a los ojos de los demás, detrás de la historia patria de Bolivia desde la sublevación de Cochabamba del 14 de septiembre de 1810 hasta el ataque sufrido por la ciudad el 27 de mayo de 1812. Lo hace por medio del niño huérfano, protagonista de su novela histórica, a la que le pone por título su nombre: Juan de la Rosa, y por subtítulo: Memorias del último soldado de la Independencia.1 «... La casa de doña Teresa [en que yo estaba] no se había librado... de correr en parte la suerte que cupo indistintamente a todas las de los criollos ricos de la ciudad —continúa narrando el niño Juan—. Invadida por un grupo numeroso de soldados ebrios, que habían dado muerte al infeliz pongo, comenzó el saco de ella por el oratorio y la sala de recibimiento.... Encontré yo las puertas desquiciadas. El pongo yacía bañado en sangre, desnudo, sobre su estrado, a los pies del cuadro del arcángel San Miguel.... »—¡Dios mío! ¡En qué garras ha caído mi pobre país! —pensaba yo a pesar de mis pocos años. »... [Más tarde,] comencé a oír tristes plañidos cerca de mi cuarto, por la parte del jardín. Habían depositado en el corredor el cadáver del pongo, y su pobre mujer, llegada no sé cómo aquella noche del campo, [lo] velaba en compañía de Paula. Una y otra dirigían alternativamente sus quejas al muerto, en esa especie de canto monótono que usan las mujeres indias en tales casos. »—Eras mi padre y mi madre —plañía la esposa en quichua—; eras mi único arrimo y consuelo.... ¿Con qué valor me has dejado?... »—¿Cómo has tenido corazón para abandonar a tu pobre compañera? —decía a su vez la caritativa Paula.... »Debéis pensar, mis caros lectores, que entonces era apenas un niño de doce años el que hoy anciano os cuenta, con sencillez y verdad, ¡los tremendos sucesos de 1812!»2 ¡Qué reveladora es la descripción del pongo que hace el niño Juan en la pluma del autor de su vida! A pesar de lo despectiva que nos suena hoy, a Nataniel Aguirre, que llegó a ser Ministro de Guerra y Ministro de Relaciones Exteriores de Bolivia, se le recuerda por apoyar a los indígenas y por la declaración: «Hagamos del pobre indio un ciudadano como nosotros.»3 Menos mal que Dios, el Autor de nuestra vida que nos creó a todos iguales, ya hacía siglos había enviado al mundo a su Hijo Jesucristo para que los que lo reconociéramos como nuestro Salvador y Señor —cualquiera que fuera nuestra raza— pudiéramos ser hijos suyos y ciudadanos más bien del cielo.4 Carlos ReyUn Mensaje a la Concienciawww.conciencia.net 1 Nataniel Aguirre, Juan de la Rosa: Memorias del último soldado de la Independencia (Caracas: Fundación Biblioteca Ayacucho, 2005), pp. 56,75. 2 Ibíd., pp. 75,233,238-39. 3 Wikipedia, s.v. «Nataniel Aguirre» En línea 8 junio 2023. 4 Gn 1:27; 5:1-2; Nm 15:15; Job 33:6; Jn 1:12; 3:16; Hch 3:15; Ro 10:9-10; Gá 3:28; Fil 2:5-11; 3:20
C'est la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes. En Bolivie, selon les dernières études du défenseur du peuple de 2015, environ 34% des filles et des adolescentes sont victimes d'agressions sexuelles avant l'âge de 18 ans. Dans le monde, ce chiffre est d'environ 20%. À Cochabamba, « Notre maison » accueille, depuis 2005, quinze mineures qui ont été victimes d'abus ou de violences sexuelles pour les accompagner vers la réparation. De notre correspondante à La Paz, Ce lundi matin, au programme, c'est un atelier « apprendre à reconnaître et à gérer ses émotions » pour les bénéficiaires du centre Notre maison, à Cochabamba, au sud de la Paz. Ce centre met à l'abri des jeunes filles d'entre 9 et 17 ans victimes d'abus sexuels au sein de leur foyer. Au tableau, elles doivent écrire l'émotion qu'elles connaissent le mieux. Daïra choisit la honte. La jeune femme a été violée par son beau-père à partir de ses 8 ans et avant que la honte n'apparaisse, elle se confiait à sa sœur, aussi victime.« Nous en parlions quand nous étions très jeunes, nous disions “oh, il m'a fait ceci”. Puis nous avons commencé à grandir, à comprendre et nous n'en avons plus parlé, parce que nous avons commencé à avoir honte et que nous l'avons aussi normalisé », raconte Daïra.Se sentir en sécuritéÀ 17 ans, lorsqu'elle trouve le courage d'aller porter plainte, Daïra ne se sent pas soutenue, mais plutôt jugée par les autorités. « Je suis allée à la police et ils ne savaient pas quoi faire. Ils m'ont dit que je mentais, que j'inventais des choses », se souvient-elle. Les examens médicaux lui donnent raison et elle est mise sous protection au centre pour un an. Aujourd'hui, elle est partie comme prévu à sa majorité, mais elle continue de revenir de temps en temps pour voir les autres filles. Pendant l'atelier, Daïra tient la main de son amie Ariana, arrivée au foyer à l'âge de 9 ans. Ici, ensemble, elles se sentent en sécurité. « Je me suis sentie bien ici quand je suis arrivée parce que je n'avais plus à me cacher. »Chez elle, la jeune femme de bientôt 18 ans, subissait les abus sexuels de son oncle, sous le silence complice de ses parents. Son cas est loin d'être isolé. En Bolivie, 1 femme sur 3 est victime de violences sexuelles avant ses 18 ans. Et dans 8 cas sur 10, l'agresseur vit au foyer familial.Un nouveau départLe centre Notre maison cherche à recréer un espace sain pour ces adolescentes et les accompagne dans la guérison à travers les tâches du quotidien et des activités, comme l'artisanat ou la cuisine. Gemma est satisfaite de cette méthode. « Ça fait partie de la thérapie, pour qu'on puisse aller de l'avant. Moi, j'aime cuisiner, ça m'aide à me distraire », explique-t-elle.La chambre qu'elle partage avec deux autres filles de 16 ans est soigneusement décorée. Mais contrairement aux autres, Gemma n'a rien amené de chez elle. Pas une photo ou un poster. Pour elle, le centre Notre maison est un nouveau départ qui lui permet de prendre du recul sur son histoire : « Maintenant, je sais que même si c'était par peur, je ne dois pas me taire. »Des crimes impunisLa Bolivie est l'un des pays où le taux de signalements pour ces affaires est parmi les plus bas de la région. Et ce, notamment à cause de l'impunité qui y règne.Aujourd'hui, les agresseurs de Daïra, celui d'Ariana ou de Gemma n'ont pas été condamnés. Le père de Sofia a, lui, pris la fuite, après sa plainte. « Jusqu'à présent, nous ne savons pas où il se trouve. Et je dois vivre avec la crainte qu'il puisse venir. »Vers 18h, les filles commencent à préparer le dîner en musique et dans la bonne humeur. Un moment privilégié qui leur permet de retrouver un peu de normalité dans leur quotidien.
The Bolivian Water War was a series of protests that took place in the city of Cochabamba in 2000 against the privatisation of water. People objected to the increase in water rates and idea that the government was “leasing the rain”. In April 2000, President Hugo Banzer declared a "state of siege" meaning curfews were imposed and protest leaders could be arrested without warrant. During a violent clash between demonstrators and the military, teenager Victor Hugo was shot dead by an army captain. Union official Oscar Olivera tells Vicky Farncombe how Hugo's death motivated the protesters and brought about an end to the privatisation. (Photo: Demonstrators wave the Bolivian flag as they participate in a strike against water utility rate increases. Credit: Reuters)
Yo Quiero Dinero: A Personal Finance Podcast For the Modern Latina
Check out episode 231 featuring Bianca Alba of This Latina Travels as we discuss how travel can transform your life. Listen now!Bianca Alba is a proud Latina and first-generation college graduate. She was born in the heart of South America in Cochabamba, Bolivia and is the oldest of four sisters. Bianca holds a Bachelor's and Master's Degrees in Public Health. Despite many years of schooling, Bianca managed to pay off all her student loans and feels liberated by being debt-free.Bianca is the voice and creator of “This Latina Travels” — a podcast about travel through the eyes of a First Generation Latina traveler/college grad sharing all her travel experiences first-hand! As a little girl, living in a single-parent household, trips and vacations were just a dream and felt unreachable. This Latina Travels is more than just Bianca telling you about her experiences, but it is a true reflection that dreams can become reality!Follow Bianca on Instagram, Facebook, TikTok, Twitter & her podcast.For full episode show notes, visit here.Loving episode 231? Leave us a review if you're listening on Apple Podcasts and follow us on Instagram & YouTube!Until next time, stay empowered, stay inspired and #staypoderosa ✨ WANT TO KICKSTART YOUR FINANCIAL JOURNEY?Download our FREE 14-page guide covering all the topics you need to start making your dinero moves. Visit here. From money mindset, to budget basics, we've got you covered.Check out these YQD™ Partners:BetterHelp—Professional support when you need it, at the fraction of the cost of in-person therapy. Get 10% off your first month with our sponsor