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L'émission 28 minutes du 05/05/2025 Ingérences dans les élections en Europe : la Russie, coupable incontestable ?Dimanche 4 mai, le candidat d'extrême droite imprégné de l'idéologie trumpiste George Simion s'est offert un billet pour le second tour de l'élection présidentielle roumaine. Avec plus de 40 % des suffrages, il devance de loin son adversaire, le libéral et pro-européen Nicusor Dan, qui n'a réuni que 21 % des voix. En décembre 2024 déjà, un candidat d'extrême droite, Calin Georgescu, s'était démarqué à la surprise générale jusqu'à ce que la Cour constitutionnelle roumaine invalide le résultat du premier tour, après des soupçons d'ingérence russe dans l'élection. Ces ingérences inquiètent de plus en plus l'Europe. Le 17 avril, le service diplomatique de l'Union Européenne alertait sur l'élection présidentielle polonaise, dans la "ligne de mire" des services russes. Mais la Russie n'est pas la seule à se soucier des élections en Europe. Alors que les renseignements allemands assurent que l'idéologie de l'AfD n'est "pas compatible avec la démocratie", c'est cette fois-ci l'administration Trump qui vole au secours de l'extrême-droite allemande, notamment par la voix du chef de diplomatie américaine Marco Rubio qui dénonce une "tyrannie déguisée". Quelle marche peut suivre l'Europe face à ces multiples ingérences ? On en débat avec Fabrice Epelboin, enseignant spécialiste des guerres hybrides ; Yves Bertoncini, consultant et enseignant en affaires européennes et Christine Dugoin-Clément, chercheuse à la Chaire Risques de l'IAE Paris-Sorbonne. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 5 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Dans cet épisode de "La France bouge", Elisabeth Assayag nous emmène au Parlement européen à Bruxelles, où se déroule le programme Designing Europe 2025 de l'ESCP Business School. Depuis 16 ans, cette école offre à ses étudiants une expérience unique : une simulation du processus législatif européen.Léon Laulusa, directeur général de l'ESCP, explique que ce programme vise à faire comprendre aux futurs leaders les enjeux et le fonctionnement de l'Union européenne. Plus de 1300 étudiants de 136 nationalités différentes se mettent dans la peau des députés européens, débattent et votent sur des projets de loi liés à la compétitivité économique et technologique de l'Europe.Nous rencontrons Dimitar Dimitrov et Skander Mahjoub, deux étudiants entrepreneurs. Dimitar a fondé Préparationnel, une startup pour les concours des grandes écoles de commerce, tandis que Skander est cofondateur de Flip, un service de partage de véhicules électriques. Leur témoignage illustre la philosophie de l'ESCP, qui encourage l'entrepreneuriat.Yves Bertoncini, coordinateur des élèves de l'ESCP et expert des affaires européennes, souligne l'importance de cette immersion pour comprendre la négociation et l'intelligence collective dans un environnement multiculturel.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le troisième anniversaire de l'invasion russe de l'Ukraine ce lundi intervient dans un contexte de pression de l'administration Trump pour une issue à la guerre directement avec la Russie de Vladimir Poutine, au mépris de l'UE. Face à cela, la diplomatie européenne se mobilise pour tenter d'apporter une réponse coordonnée. Comment Bruxelles peut-elle s'imposer à la table des négociations ? Quels seraient les dangers d'une paix en Ukraine sans les Européens ? Pour en débattre : - Yves Bertoncini, enseignant au Corps des Mines et à l'ESCP business school, consultant en Affaires européennes- Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF, chercheur associé au Centre de géopolitique de HEC- Sylvie Bermann, ancienne ambassadrice en Chine, au Royaume-Uni et en Russie, ancienne ambassadrice au comité politique et de sécurité auprès de l'Union européenne à Bruxelles.
Le troisième anniversaire de l'invasion russe de l'Ukraine ce lundi intervient dans un contexte de pression de l'administration Trump pour une issue à la guerre directement avec la Russie de Vladimir Poutine, au mépris de l'UE. Face à cela, la diplomatie européenne se mobilise pour tenter d'apporter une réponse coordonnée. Comment Bruxelles peut-elle s'imposer à la table des négociations ? Quels seraient les dangers d'une paix en Ukraine sans les Européens ? Pour en débattre : - Yves Bertoncini, enseignant au Corps des Mines et à l'ESCP business school, consultant en Affaires européennes- Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF, chercheur associé au Centre de géopolitique de HEC- Sylvie Bermann, ancienne ambassadrice en Chine, au Royaume-Uni et en Russie, ancienne ambassadrice au comité politique et de sécurité auprès de l'Union européenne à Bruxelles.
L'émission 28 minutes du 17/02/2025 Les Américains sont-ils toujours les alliés de l'Europe ?Le vendredi 14 février, le vice-président des États-Unis J.D. Vance a longuement critiqué la politique menée par l'Union européenne. À l'occasion d'un discours à la Conférence de Munich sur la sécurité, en Allemagne, il a notamment affirmé que la plus grande menace pour l'Europe n'était "ni la Chine, ni la Russie” mais “le renoncement de l'Europe à certaines de ses valeurs les plus fondamentales”. Un véritable discours offensif contre les démocraties européennes qu'il accuse de vouloir entraver la liberté d'expression. Il a notamment dénoncé l'annulation des élections en Roumanie, après la victoire du candidat d'extrême droite qui avait mené sa campagne principalement sur TikTok. “Il ne faut pas avoir peur de son propre peuple, même quand il exprime une opinion qui n'est pas celle de ses dirigeants”, a-t-il ajouté. Un discours aux allures de sermon idéologique, deux jours après l'entretien de Donald Trump avec Vladimir Poutine pour négocier un accord de paix sur la guerre en Ukraine, excluant Kiev et l'Europe des négociations.On en débat avec Elisa Chelle, politologue et rédactrice en chef de la revue "Politique américaine", Bertrand Badie, professeur de relations internationales à Sciences Po Paris et Yves Bertoncini, consultant et enseignant en affaires européennes.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 17 février 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 10/12/2024 L'Europe valide l'accord du Mercosur : la France peut-elle encore déjouer une "trahison" ?Après 25 ans de négociations, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé la signature de l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays du Mercosur. Cet accord, qu'elle considère comme une "nécessité politique", devrait permettre de supprimer 90 % des droits de douane sur les échanges commerciaux entre l'UE et les pays du Mercosur. La France, principal réfractaire du projet, en proie à une crise politique inédite, a répondu : "L'accord n'est ni signé ni ratifié". Pourtant, de nombreux pays d'Europe ont applaudi cette annonce. "Historique" s'est félicité le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez. "Plus de croissance et de compétitivité" pour l'Europe, s'est réjoui Olaf Scholz, le chancelier allemand. On en débat avec Yves Bertoncini, consultant et enseignant en affaires européennes ; Adina Revol, ancienne porte-parole de la Commission européenne en France (2021-2024) et Sébastien Windsor, agriculteur et président des Chambres d'agriculture France. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 10 décembre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 26/11/2024 Quelles valeurs les Européens ont-ils encore en commun ? En Roumanie, le candidat populiste prorusse Calin Georgescu a créé la surprise en se plaçant en tête du premier tour de l'élection présidentielle. Avec 22,94 % des voix, il devance la candidate de centre droit Elena Lasconi (19,17 %) et le Premier ministre sortant pro-européen Marcel Ciolacu (19,15 %). Admirateur de Vladimir Poutine, Calin Georgescu a déclaré que le peuple roumain avait "crié pour la paix", après une campagne marquée par la mobilisation des jeunes notamment sur le réseau social TikTok. Il a notamment appelé à cesser le soutien à l'Ukraine. La percée du candidat pro-russe, très critique envers l'Otan, inquiète l'alliance transatlantique car la Roumanie, qui abrite plusieurs sites militaires otaniens, est pour elle un pilier majeur. Face aux dissidences prorusses qui émanent au sein de l'Europe, l'Union européenne est-elle condamnée à l'impuissance ? On en débat avec Max-Erwann Gastineau, essayiste, spécialiste des relations internationales ; Yves Bertoncini, consultant et enseignant en affaires européennes et Caroline de Camaret, rédactrice en chef Europe à France 24. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 26 novembre 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 07/10/2024 Entre l'Europe et la Chine, la guerre commerciale est déclarée ? Le Vieux Continent est-il en train de déclencher une guerre commerciale avec la Chine ? La question mérite d'être posée, alors que les États membres de l'Union européenne ont accepté l'instauration par la Commission de droits de douane supplémentaires sur les véhicules électriques fabriqués en Chine. Ces droits de douane pourront monter jusqu'à 35,3 % et s'ajouteront au 10 % déjà existants. Cette taxation supplémentaire, effective à partir du 31 octobre, ne concerne pas seulement les véhicules chinois : les entreprises exportatrices de véhicules fabriqués en Chine (qu'elles soient américaines ou européennes) devront aussi les payer, à hauteur des aides reçues par Pékin. Mais cette stratégie offensive de la part de la Commission européenne ne fait pas l'unanimité dans les pays membres, à commencer par l'Allemagne. Après ce tournant, quelle sera la nature de la riposte commerciale chinoise ? On en débat avec Françoise Nicolas, conseillère au centre Asie de l'Ifri ; Jean-Marc Daniel, économiste, professeur émérite à l'ESCP Business School et Yves Bertoncini, consultant et enseignant en affaires européennes. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 7 octobre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Le premier Conseil des ministres s'est tenu ce lundi (23 septembre 2024)pour les 39 membres du gouvernement de Michel Barnier, deux jours après l'annonce de sa formation et surtout plus de deux mois après la démission de la précédente équipe. Un gouvernement où les Macronistes et la droite se partagent les postes, alors que la gauche était arrivée en tête à l'issue des élections législatives. Comment les voisins européens accueillent-ils le nouveau gouvernement ? Qu'est-ce que cela préfigure ? Quelles comparaisons avec d'autres situations politiques à l'étranger ? Pour en débattre :- Yves Bertoncini, enseignant, consultant en Affaires européennes- Stefano Montefiori, correspondant du quotidien italien Corriere della Sera- Annika Joeres, correspondante du journal allemand Die Zeit.
Le premier Conseil des ministres s'est tenu ce lundi (23 septembre 2024)pour les 39 membres du gouvernement de Michel Barnier, deux jours après l'annonce de sa formation et surtout plus de deux mois après la démission de la précédente équipe. Un gouvernement où les Macronistes et la droite se partagent les postes, alors que la gauche était arrivée en tête à l'issue des élections législatives. Comment les voisins européens accueillent-ils le nouveau gouvernement ? Qu'est-ce que cela préfigure ? Quelles comparaisons avec d'autres situations politiques à l'étranger ? Pour en débattre :- Yves Bertoncini, enseignant, consultant en Affaires européennes- Stefano Montefiori, correspondant du quotidien italien Corriere della Sera- Annika Joeres, correspondante du journal allemand Die Zeit.
Elections européennes : « Il y a une petite poussée nationaliste »Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:15 - Journal de 22h - Des opposants à la réforme des retraites ont perturbé le discours d'Emmanuel Macron aujourd'hui à La Haye au Pays-Bas. Le président était venu défendre l'autonomie de l'Europe face aux Etats-Unis. "Où est la démocratie française ?", ont lancé les protestataires. - invités : Yves Bertoncini président du Mouvement Européen – France.
Nove anos depois de entrar na União Europeia, a Croácia trocou a kuna, a moeda nacional, pelo euro. O país passou a integrar a zona do euro, o grupo de países que adotam a moeda única europeia, e o espaço Schengen de livre circulação no bloco. O pequeno Estado dos Bálcãs ganha acesso facilitado aos mercados europeus e se prepara para receber ainda mais turistas – mas os habitantes já constatam que, como resultado imediato, a mudança fez os preços subirem no comércio. A ascensão foi das mais rápidas já vistas na União Europeia, uma recompensa de Bruxelas aos esforços de Zagreb para vencer as etapas para integrar os dois grupos – são 20 países na zona do euro e 23 no espaço Schengen. Independência do Banco Central, estabilidade dos preços e finanças públicas sob controle são alguns dos pontos que contaram a favor. Outros dois candidatos, a Romênia e a Bulgária, não tiveram a mesma sorte – o Conselho Europeu julgou que ambos ainda não eram capazes de assegurar o fluxo migratório dos Bálcãs nas suas fronteiras com a UE, e bloqueou os seus processos de adesão em 2022. O economista do Banco da França Florian Le Gallo lembra que, desde o ingresso na União Europeia, a Croácia traçou o caminho para também adotar a moeda única. A última vez que um país tinha sido aceito foi em 2015, com a entrada da Lituânia. Aos olhos de Bruxelas, a aceitação de Zagreb representa um sinal de força do euro, após a crise das dívidas iniciada em 2010 e o Brexit. “Em 2021, mais de 60% do comércio exterior da Croácia foi com a zona do euro, dentro da qual a Alemanha é o seu principal parceiro comercial. O que muda agora é a eliminação dos custos de câmbio com o euro”, afirma Le Gallo. “Isso vai facilitar as trocas comerciais e os investimentos financeiros. Uma empresa croata que já comercializava bastante com a zona do euro, por exemplo, vai poder eliminar os custos com câmbio entre a kuna e o euro.” Turismo facilitado Para um país em que o turismo representa 20% do PIB, a mudança traz boas perspectivas econômicas pela frente, na avaliação de Yves Bertoncini, consultor em assuntos europeus e professor da ESCP Business School. “Como é um pequeno país de menos de 4 milhões, que recebe quase 20 milhões de turistas, essa nova configuração vai tornar a Croácia ainda mais atrativa, em especial para os turistas europeus. Não haverá mais controles de fronteiras para franceses, alemães ou italianos, e eles poderão continuar usando a mesma moeda”, explica. Essa integração crescente não começou agora. Nos anos 1990, a economia croata era ligada ao marco alemão, devido à instabilidade monetária no pequeno país na época, em meio à guerra de independência da antiga Iugoslávia. A chegada do euro deu continuidade a este processo – a metade dos empréstimos bancários na Croácia já era na moeda europeia. “Sempre usamos euros e sabíamos qual era o valor do euro. Muitas coisas de valor na Croácia, como quando comprávamos uma casa, já se pagava em euros, e não na nossa moeda”, conta a professora de idiomas e tradutora Dubravka Jakic, de Zagreb. “Não terei saudades da kuna. Foi nossa moeda, mas vai ser mais fácil com o euro. Antes, para viajar para todos os países que têm euros, sempre tínhamos que passar no banco para pegar euros. Agora vai ter tudo aqui”, celebra. Proteção do euro A Croácia é uma das economias mais frágeis da UE e espera que a troca deixará o país mais protegido das instabilidades geopolíticas globais. No cenário atual, de inflação mundial, o índice atingiu 13,5% no país – contra 10% na zona do euro. A taxa de crescimento econômico croata, por outro lado, sinaliza uma economia dinâmica, com alta de 5,7% esperada este ano. A esperança é que, com a adoção da moeda comum, o nível de vida dos croatas se aproxime mais do restante do bloco, a começar pelo aumento dos salários, que subiram quase 70% desde 2016. Na manhã deste domingo, nas primeiras horas após o fim da moeda nacional, o estudante Vilim Kladniciki, morador de Zagreb, fez questão de participar desta nova etapa da história do seu país. “Fui comprar um almoço e me custou € 3,1, o que significou apenas algumas moedas. Eu quis já comprar alguma coisa no primeiro dia, para poder guardar a nota de recordação”, disse. Mas o estudante, de 23 anos, percebe que os comerciantes estão aproveitando a troca para corrigir os preços para cima. “Não é tão simples pensarmos se estamos gastando exatamente o mesmo valor ou se estamos perdendo de algum jeito. O aumento dos preços já começou”, garante. “A maioria dos produtos subiu exponencialmente, e acho que parte da explicação é a mudança para o euro. Espero que não vão subir muito mais.”
La Croatie a adopté l'euro pour devenir le vingtième membre de la zone euro et a intégré l'espace Schengen de libre circulation. Deux étapes majeures pour ce petit pays qui a rejoint l'Union européenne en juillet 2013. L'intégration de Zagreb à l'espace Schengen, ça fait plus que jamais de la Croatie le principal garde frontière de l'UE sur son flanc est. Les enjeux de ce nouveau statut pour Zagreb avec Yves Bertoncini, consultant en affaires européennes et enseignant au Corps des Mines et à l'ESCP Business School.
Ngày 11/12/2022, Viện Công Tố Liên Bang Bỉ thông báo bắt giữ 4 người trong đó có phó chủ tịch Nghị Viện Châu Âu và một cựu nghị sĩ châu Âu trong khuôn khổ nghi án nhận hối lộ từ Qatar. Nếu như thông báo này gây ra một cơn bão chính trị tại nghị trường châu Âu, vụ việc làm lộ rõ những khe hở trong các quy định về « đạo đức » của các nghị sĩ và cả một mạng lưới « tội phạm có tổ chức » ngay trong lòng định chế lớn nhất châu Âu. Qatargate : Cơn sóng thần ở Bruxelles Hơn một triệu euro tiền mặt bị tịch thu, một trong số 14 phó chủ tịch Nghị Viện Châu Âu, bà Eva Kaili, một trợ lý nghị sĩ, Francesco Giorgi và cũng là bạn đời bà Kaili, một cựu nghị sĩ châu Âu thuộc đảng Xã Hội – Dân Chủ Ý Pier Antonio Panzeri, cùng ba người khác đã bị bắt giam sau một loạt vụ khám xét tại Bruxelles. Nghi án « Qatargate » đang đưa ra một hình ảnh chính trị thảm hại về một khối Liên Hiệp Châu Âu 27 nước thành viên. Những người này bị cáo buộc nhận tiền từ một nước « vùng Vịnh », theo như lời lẽ từ cảnh sát Bỉ, nhằm tác động lên nhiều quyết định của Liên Âu. Thủ tướng Bỉ Alexander De Croo cho rằng cuộc điều tra do thẩm phán Michel Claise điều hành xác nhận một điểm : « Tư pháp Bỉ đang thực hiện những gì Nghị Viện Châu Âu đã không tự làm được ». Nghị trường châu Âu rúng động, nhiều cuộc tranh cãi lại dấy lên, do việc vụ bê bối này trước hết phơi bày ra ánh sáng những lỗ hổng về các quy định trong Nghị Viện Châu Âu trên phương diện đạo đức, chống tham nhũng, xử lý xung đột lợi ích và hoạt động vận động hành lang. Theo báo Bỉ L'Echo, nghi án tham nhũng này gợi nhớ lại tai tiếng « Cash for Amendments » năm 2011. Phóng viên tờ Sunday Times của Anh đã cài bẫy bốn nghị sĩ châu Âu Áo, Tây Ban Nha, Rumani và Slovenia khi đóng giả là những nhà vận động hành lang và đề nghị họ trình các sửa đổi luật lệ châu Âu để đổi lấy một khoản tiền mặt. Bộ quy tắc ứng xử và những khe hở cho tham nhũng Sau vụ tai tiếng này, Liên Hiệp Châu Âu đã thông qua một bộ quy tắc ứng xử dành cho các giới chức lãnh đạo, các nghị sĩ, cũng như các viên chức làm việc tại các định chế. Văn bản này thiết lập vài quy định ngắn gọn, đặc biệt nghiêm cấm các dân biểu nhận quà cáp có giá trị trên 150 euro. Một quy định mà Raphael Kergueno thuộc Tổ chức Minh Bạch Thế Giới (Transparency International) đánh giá là quá « nhẹ ». Trả lời báo kinh tế L'Echo của Bỉ, ông lưu ý, « bộ quy tắc ứng xử này chỉ có vài trang, không bằng bộ quy tắc ứng xử dành cho thượng nghị sĩ Mỹ phải dài đến khoảng 100 trang ». Hơn nữa, tất cả các hoạt động trong mục đích gây ảnh hưởng lên các chính sách và tiến trình ra quyết định tại các định chế của Liên Âu là được công nhận. Tuy nhiên, việc vận động gây ảnh hưởng cũng phải tuân thủ theo các quy định nội bộ của Nghị Viện, đặc biệt là những tiêu chí liên quan đến những cuộc tiếp xúc với các đại diện quyền lợi. Nhà báo Christophe Dansette, kênh truyền hình France 24 giải thích : « Từ năm 2011, các nhà vận động hành lang phải đăng ký để có thể hoạt động bên trong các tòa nhà của Liên Hiệp Châu Âu, bất kể đó là Nghị Viện, Ủy Ban hay Hội Đồng Châu Âu. Các nhà hoạt động sẽ được cấp một thẻ để có thể ra vào các khu nhà. Họ cũng phải chấp nhận một bộ quy tắc ứng xử, nghiêm cấm họ trao tặng một số kiểu quà cáp. Hiện tổng cộng có khoảng 12.500 cá nhân và cơ chế đã đăng ký hoạt động, từ các tổ chức phi chính phủ cho đến các tập đoàn đa quốc gia. Ngoài ra, các nhân vật lãnh đạo cao cấp quan trọng, chẳng hạn như các ủy viên, chủ tịch các nhóm chính trị, phải khai báo toàn bộ những nhà vận động hành lang mà họ tiếp xúc, do việc những quan chức này thường xuyên xử lý nhiều hồ sơ mà họ không chắc nắm rõ và do vậy họ cần đến sự tư vấn từ nhiều chuyên gia. » Điểm đáng chú ý ở đây là quy định này, nếu mang tính ràng buộc cho các vị trí lãnh đạo quan trọng, thì chúng chỉ có tính chất khuyến nghị cho các nghị sĩ. Kết quả là chỉ 37% trong khoảng hơn 700 số nghị sĩ châu Âu là có khai báo các cuộc tiếp xúc của họ với các nhà vận động hành lang. Trong số này, đứng đầu bảng là các nước Bắc Âu, chiếm hơn 90%, nước Pháp nằm trong khoảng 63,3%, nhưng Cộng hòa Chypre chỉ có 16,7% và Hy Lạp là thành viên tệ nhất khi chỉ có 9,5%. Đây có lẽ là nguyên nhân khiến Hy Lạp giờ bị điểm mặt ! Nghị Viện Châu Âu và « văn hóa không trừng phạt » Về điểm này, ông Yves Bertoncini, giảng viên và cố vấn các vấn đề châu Âu, trên đài truyền hình Arte, giải thích vì sao là Nghị Viện Châu Âu đã có phần chậm trễ so với Ủy Ban Châu Âu : « Bởi vì ở đây có một ý tưởng là các đại biểu phải được tự do, họ do dân bầu lên, họ không cần phải giải trình một cách cụ thể như các ủy viên châu Âu, hay như các quan chức cao cấp hoặc như các ủy viên châu Âu về các hoạt động của họ. Vào thời điểm vụ tai tiếng năm 1999, người ta đã có thể mở rộng các hoạt động của cơ quan chống tham nhũng sang Nghị Viện Châu Âu. Chính nhờ thế mà người ta mới phát hiện ra việc sử dụng sai trái nguồn quỹ của Nghị Viện Châu Âu từ một số chính đảng của Pháp. Nhưng hiện tại các nghị sĩ châu Âu là khá tự do và do vậy, hậu quả của vụ bê bối này là phải củng cố các quy tắc. » Mặt khác, nghị sĩ châu Âu thuộc đảng Xanh của Đức Daniel Freund, lưu ý thêm rằng các đại diện Nhà nước là không bị ràng buộc đăng ký minh bạch. Ông cay đắng nhắc lại : « Lần gần đây nhất, khi chúng tôi thảo luận về hoạt động vận động hành lang tại Liên Hiệp Châu Âu cách nay hai năm, tôi từng đề nghị gộp cả vấn đề vận động gây ảnh hưởng từ các Nhà nước, nhưng chỉ có một mình tôi đề xuất, các nhóm chính trị khác thì không muốn, lập luận rằng đó là hoạt động ngoại giao, chứ không phải vận động hành lang ». Theo báo Bỉ L'Echo, trong lĩnh vực này, quả thật Liên Hiệp Châu Âu phải học hỏi thêm nhiều từ Hoa Kỳ. Đạo Luật Đăng Ký Đại Diện Nước Ngoài (Foreign Agents Registration Act – FARA), đề ra những ràng buộc minh bạch cho những ai đại diện các lợi ích của nước ngoài và tìm cách gây ảnh hưởng lên các quyết định của chính phủ hay Quốc Hội. Một quy định mà ông Daniel Freund nhìn nhận tuy không thể ngăn chặn triệt để nạn mua chuộc, nhưng chí ít cho phép « giảm thiểu nguy cơ, và tạo thuận lợi cho các cuộc điều tra của cảnh sát và viện công tố khi làm lộ rõ những mạng lưới, các nguy cơ xung đột lợi ích và tham nhũng ». Cuối cùng, một lỗ thủng khác không nhỏ khiến cuộc chiến chống tham nhũng của Liên Âu trở nên kém hiệu quả : Thiếu các biện pháp trừng phạt nghiêm khắc. Việc có trừng phạt một nghị sĩ nào đó vi phạm các quy tắc « đạo đức » hay không phụ thuộc vào một « ủy ban tham vấn » gồm 5 nghị sĩ. Trong năm năm qua, dù ủy ban này đã xem xét 24 trường hợp vi phạm bộ quy tắc ứng xử, nhưng chưa có một ai phải chịu một hình phạt nào. Đến mức Transparency International đã lên án Liên Âu để hình thành một thứ « văn hóa không trừng phạt ». Tổ chức này kêu gọi nên thiết lập một cơ chế độc lập, có phương tiện tài chính và nhân lực để có thể tiến hành điều tra và ban hành các trừng phạt hay chuyển giao hồ sơ cho tư pháp. « Qatargate » và mạng lưới tội phạm có tổ chức Nếu như trong vụ việc này, tư pháp Bỉ chỉ nói có liên quan đến một nước Vùng Vịnh, thì mọi cặp mắt đang đổ dồn về phía Qatar. Liệu rằng sau vụ bê bối này cùng với những chỉ trích liên quan đến vấn đề nhân quyền trong việc tổ chức World Cup 2022 gây nhiều tranh cãi, Liên Âu có nên xem xét lại mối quan hệ với Doha? Nhà nghiên cứu địa chính trị Agnès Levallois, thuộc Quỹ Nghiên Cứu Chiến Lược (FRS), trước hết lưu ý, việc một nước như Qatar chẳng hạn tìm cách mở các kênh ảnh hưởng ở nước khác là lẽ thường tình, tất cả các nước đều làm việc này. Bà nhận định thêm : « Đừng quên rằng Qatar hiện nay là một trong số các nước cung cấp khí đốt nhiều nhất. Tất cả các nước đều ve vãn Qatar để có được hợp đồng mua khí đốt, bởi vì chúng ta hiện nay đang trong một cuộc khủng hoảng năng lượng thảm hại và bởi vì Qatar cảm thấy tự tin hơn, đang trong thế thượng phong. » Không chỉ riêng Qatar, khối 27 nước thành viên hiện đang đối mặt với những sức ép vận động nhằm gây chia rẽ Liên Âu, chủ yếu đến từ Nga, Trung Quốc, Mỹ và trong một chừng mực nào đó là Anh Quốc – đây cũng là 4 nước thành viên thường trực trong Hội Đồng Bảo An. Một điều chắc chắn, tai tiếng tham nhũng xảy ra đã làm hoen ố hình ảnh của Nghị Viện vào lúc định chế này đang có một cuộc đọ sức gay gắt với thủ tướng Viktor Orban của Hungary, cũng bị lên án là tham nhũng. Tuy nhiên, nghi án này không chỉ dừng ở cấp độ chính trị. Cảnh sát Bỉ nghi ngờ đây là một mạng lưới tội phạm có tổ chức. Ngoài bà phó chủ tịch Eva Kaili là người Hy Lạp, những người bị bắt còn lại Francesco Giorgi, Pier Antonio Panzeri, Luca Visentini – lãnh đạo nghiệp đoàn, và Niccolo Figa – Talamanca, thư ký tổ chức phi chính phủ No Peace Without Justice, đều là người Ý. Một chi tiết khiến các nhà điều tra Bỉ nêu lên giả thuyết sự hiện diện của một đường dây « Italian Connection ». Tư pháp Bỉ quyết định mở rộng điều tra theo trục Bruxelles – Milan để xác định mạng lưới quan hệ của Pier-Antonio Panzeri. Ngoài ra, trong vụ tai tiếng này, giới điều tra Bỉ ưu tiên tìm hiểu 600 ngàn euro với những tờ giấy bạc mới tinh vừa được phát hành từ đâu mà ra. Một phần trong số này được in tại Bỉ, phần còn lại đang được điều tra với nhiều câu hỏi lớn : Phải chăng Qatar có được quyền ưu tiên tiếp cận những tờ bạc mới tại Ngân Hàng Trung Ương Châu Âu ? Bằng cách nào họ có thể rút ra một khoản tiền lớn đến như thế mà không khơi dậy một chút nghi ngờ nào ?
durée : 02:59:59 - Le 6/9 - Julien Aubert, député Les Républicains du Vaucluse et Yves Bertoncini, président du Mouvement européen - France, ancien directeur de l'institut Jacques Delors, consultant et enseignant en affaires européennes sont les invités du 6/9.
durée : 00:17:54 - L'invité du week-end - par : Carine BECARD, Eric Delvaux - Yves Bertoncini, président du Mouvement européen - France, ancien directeur de l'institut Jacques Delors, consultant et enseignant en affaires européennes.
durée : 02:59:59 - Le 6/9 - Julien Aubert, député Les Républicains du Vaucluse et Yves Bertoncini, président du Mouvement européen - France, ancien directeur de l'institut Jacques Delors, consultant et enseignant en affaires européennes sont les invités du 6/9.
Pour mes deux derniers Carrefour de l'Europe, je vais poser deux fois la même question à des invités très différents : Et si l'Europe n'existait pas ? La question peut paraître saugrenue et pourtant si, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, des hommes politiques visionnaires n'avaient pas imaginé une Europe unie et non plus revancharde ? Serions-nous en paix sur le continent ? L'Europe serait-elle devenue le plus grand espace démocratique de la planète ? Un retour en arrière est-il possible ? Le modèle européen longtemps plébiscité est aujourd'hui remis en cause sur le plan intérieur par la montée des populismes et à l'extérieur par des pays autoritaires ou dictatoriaux qui voient en l'Europe un monde déclinant sur le plan moral et économique. Et si l'Europe n'existait plus ? Avec : - Yves Bertoncini, conseiller en Affaires européennes et président du Mouvement européen France. Son site : ici. - Giuliano da Empoli, président du think tank « Volta »,essayiste et écrivain. Son dernier livre « Les ingénieurs du chaos » chez J.-C. Lattès. Son compte Twitter : ici - Sébastien Maillard, directeur de l'Institut Jacques Delors. Le site : ici - Daniela Schwarzer, directrice des Open Society Foundations en Europe et Eurasie. Professeure en Science politique à la Frei Universität de Berlin. En ligne de Berlin. Le site de Open Society : ici. Avec Valentin Scholtz de Courrier International.
Retour sur les thématiques abordés avec Yves BERTONCINI, Président du Mouvement Européen-France, au micro RCF Coeur de Champagne de Gabriel Francart.
La pandémie du coronavirus a changé bien des choses dans nos vies de tous les jours. Nous avons adopté des mots, des gestes, des comportements nouveaux. Le principe de précaution généralisé à l’échelle de la planète s’est traduit par une récession quasi-mondiale. Presque partout des plans de relance en Europe, la Commission va emprunter au nom de l’Union européenne, 750 milliards d’euros, une petite révolution. Cette initiative sera-t-elle suffisante pour réconcilier les Européens avec l’Europe, après au début de la crise, un chacun pour soi généralisé et un manque de solidarité manifeste. L’Union européenne sera-t-elle en mesure de mener son ambitieux projet de Pacte vert qui devrait rendre le bilan carbone, des 27 pays de l’Union, nul en 2050. Qu’en sera-t-il des relocalisations des industries stratégiques lorsque l’impitoyable mondialisation aura repris ses droits ? À l’issue du de la crise du Covid-19, l’Europe d’après sera-t-elle vraiment différente... ou pas ? Avec : - Ulrike Guérot, professeur de sciences politique à l’Université du Danube de Krems en Autriche... et fondatrice de «European democracy Lab». En ligne de Berlin. → Plus d’infos : ici - Luuk van Middelaar, philosophe politique. Son dernier livre « Quand l’Europe improvise : dix ans de crises politiques » chez Gallimard (2018). En ligne de Bruxelles.→ Plus d’infos : ici - Yves Bertoncini, conseiller en affaires européennes et président du Mouvement européen France. → Son site : ici Avec Sasha Mitchell de Courrier International.
Il est question de l’Union européenne et de sa capacité à notamment gérer la crise du coronavirus. Analyse de ce qu'il y a à retenir de la solidarité européenne en temps de crise avec Yves Bertoncini, consultant, enseignant en Affaires européennes et président du Mouvement Européen-France
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
durée : 00:39:04 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - L’afflux massif de réfugiés aux portes de la Grèce marque un coup d'arrêt de l’accord signé en 2016 entre la Turquie et l’Union Européenne et le début du chantage migratoire. L’Union Européenne se retrouve dos au mur et face à ses responsabilités : serait-elle prise au piège de sa propre peur ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Jean Ziegler conseiller des droits de l'homme des Nations unies, vice-président du comité consultatif du Conseil des droits de l'homme jusqu'en 2019; Dzovinar Kévonian enseignante-chercheuse à l'Institut des Sciences sociales du politique à l'Université Paris Nanterre; Yves Bertoncini consultant en affaires européennes, président du Mouvement européen-France, enseignant au collège d’Europe à Bruges et à Sciences Po Paris, ancien président de l’Institut Jacques Delors
durée : 00:39:04 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - L’afflux massif de réfugiés aux portes de la Grèce marque un coup d'arrêt de l’accord signé en 2016 entre la Turquie et l’Union Européenne et le début du chantage migratoire. L’Union Européenne se retrouve dos au mur et face à ses responsabilités : serait-elle prise au piège de sa propre peur ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Jean Ziegler conseiller des droits de l'homme des Nations unies, vice-président du comité consultatif du Conseil des droits de l'homme jusqu'en 2019; Dzovinar Kévonian enseignante-chercheuse à l'Institut des Sciences sociales du politique à l'Université Paris Nanterre; Yves Bertoncini consultant en affaires européennes, président du Mouvement européen-France, enseignant au collège d’Europe à Bruges et à Sciences Po Paris, ancien président de l’Institut Jacques Delors
Les 27 chefs d'États et de gouvernements de l'Union européenne sont réunis à Bruxelles ce soir pour parler du budget de l'Union pour les années 2021 à 2027. La négociation s'annonce ardue comme à chaque fois dans ce type de situation, car cette fois il ne s'agit plus de mots, mais de chiffres et donc de choix et de choix de priorités. Des priorités qui devront tenir compte du contexte, comme le programme de la nouvelle commission, mais aussi du Brexit. Au soir du 31 janvier et du départ du Royaume-Uni, Emmanuel Macron disait qu'il s'agissait d'un « avertissement historique pour l'Europe ». Après le Brexit, l'Europe a-t-elle entendu l'avertissement ? C'est la question du jour. Pour en débattre :- Yves Bertoncini, président du Mouvement Européen- Guillaume Klossa, fondateur d'EuropaNova et de l'association Civico Europa ► À lire aussi : Union européenne : la bataille du budget commence
durée : 00:58:34 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Dans une première partie, retour de Libye avec la journaliste Julie Dungelhoeff. Ensuite, direction le Royaume-Uni, où pour la troisième fois en cinq ans, les Britanniques se sont rendus aux urnes pour renouveler leur Parlement. - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Sarah Pickard Maître de conférences en civilisation britannique contemporaine à la Sorbonne Nouvelle et spécialiste des jeunes et de la politique en Grande-Bretagne; John Henley Correspondant aux affaires européennes du Guardian; Julie Dungelhoeff Journaliste à France 24; Yves Bertoncini consultant en affaires européennes, président du Mouvement européen-France, enseignant au collège d’Europe à Bruges et à Sciences Po Paris, ancien président de l’Institut Jacques Delors
durée : 00:57:59 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Si les négociations sur les modalités du divorce sont ardues, elles ont montré des européens soudés face au Royaume-Uni. La cohésion des 27 survivra-t-elle aux négociations sur la future relation avec le Royaume- Uni ? Y a-t-il des leçons à tirer du Brexit pour imaginer l’Europe de demain ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Yves Bertoncini consultant en affaires européennes, président du Mouvement européen-France, enseignant au collège d’Europe à Bruges et à Sciences Po Paris, ancien président de l’Institut Jacques Delors; Christophe Bouillaud Professeur des universités en politique européenne à Sciences Po Grenoble; Olivier de France Directeur de recherche à l'Iris, chercheur en sciences politiques à l'université d'Oxford
Avec : Delphine Liou, envoyée spéciale à Bruxelles. Pierre-Jérôme Hénin, président de The Progressive Company et ancien conseiller de Michel Barnier. Yves Bertoncini, président du Mouvement Européen - France. Nicolas Baverez, historien, essayiste. Et Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business. - Edition Spéciale présentée par Hedwige Chevrillon, ce jeudi 17 octobre 2019 sur BFM Business, BFM Business est la 1ère chaîne française d'information économique et financière en continu, avec des interviews exclusives de patrons, d'entrepreneurs, de politiques, d'experts et d'économistes afin de couvrir l'ensemble de l'actualité française et internationale. BFM Business vous propose aussi des conseils pour vos finances par des personnalités de référence dans les domaines du patrimoine, de l'immobilier ou des marchés financiers. Retrouvez tous les jours : Christophe Jakubyszyn, Faïza Garel-Younsi, Nicolas Doze, Hedwige Chevrillon, Jean-Marc Daniel, Anthony Morel, Guillaume Sommerer, Cédric Decoeur, Karine Vergniol, Grégoire Favet, Sébastien Couasnon, Emmanuel Lechypre, Benaouda Abdeddaïm, Stéphanie Coleau... BFM Business est disponible en direct radio, en direct télé ainsi qu'en direct et replay sur www.bfmbusiness.fr. Aucun
On. Jacopo Morrone, Lega, sottosegretario alla Giustizia ; Loranzo Consoli, corrispondente Askanews da Bruxelles ; Yves Bertoncini, professore e consulente in Affari Europei.
On. Jacopo Morrone, Lega, sottosegretario alla Giustizia ; Lorenzo Consoli, corrispondente Askanews da Bruxelles ; Yves Bertoncini, professore e consulente in Affari Europei.
La Turquie devient un partenaire de l'UE pour arrêter le flux migratoire. Plus de 2 millions de migrants se trouvent toujours sur le territoire turc. Aujourd'hui, des officiels de la Commission européenne sont partis pour Ankara pour suivre le plan d'action pour la migration établi entre UE et la Turquie la semaine dernière. En même temps à Bruxelles, la ministre turque des Affaires européennes essaie de relancer le dialogue d'adhésion de son pays au club européen. La Turquie veut aussi une libéralisation des visas pour tous ses citoyens, mais l'UE pourrait accepter maintenant un compromis de libre circulation seulement pour les étudiants et les hommes d'affaires turcs.
Il faut plus d'Europe, voilà le message principal des discours prononcés par François Hollande et Angela Merkel cet après-midi à Strasbourg devant le Parlement européen. Plus d'Europe ou cela sera fini, a précisé François Hollande qui a même cité François Mitterand : « Le nationalisme c'est la guerre ». « Une fédération des Etats doit être notre horizon », a ajouté le président français. Les deux chefs d'Etat étaient invités par les eurodéputés pour s'exprimer sur la crise migratoire sans précédent qui touche actuellement l'UE. Angela Merkel a demandé des reformes, comme celle du système Dublin qu'elle a qualifié « d'obsolète ».
Om fri rörlighet över gränserna - en mänsklig rättighet eller ett privilegium för de rika? Hör om EU-medborgarna som bodde i Högdalen i Stockholm. De fick flytta när deras bostäder revs och bussades hem till Rumänien. Hör rumänske Marius om varför han älskar EU och den fria rörligheten. Hör också om de tusentals migranter som kommer över den brasilianska gränsen till den lilla staden Brasileia i Amazonas. De bussas inte hem, de får en bussbiljett till jobb och en ny framtid som väntar över hela Brasilien. I Högdalen finns ett av flera läger runt om Stockholm där rumäner har bott under torftiga förhållanden den gångna vintern. De har blivit avhysta och erbjudits bussbiljetter tillbaka Rumänien. Men flera har inget att återvända till. 22-årige David Muntaneu är beredd att ta vilket jobb som helst bara han får stanna i Sverige. Samtidigt är socialsekreterarna Jorge Castellon och Malin Torsfeldt frustrerade över sin nya arbetsuppgift att dela ut bussbiljetter istället för att erbjuda verklig hjälp. Reportage av frilansjournalisten Johanna Langhorst. I Brasilien möts migranter istället av bussar som tar dem vidare in i landet, till jobb och en ny framtid. Sveriges Radios Latinamerikakorrespondent Lotten Collin har besökt Brasileia som blivit uppsamlingsplats för människor från Haiti, Senegal, Ghana och många andra länder. Här, i Brasilien, finns plats för alla säger frivilligarbetarna som tar emot i det tillfälliga lägret. Emmanuel Fregisters från Haiti förklarar att att visum och gränser inte spelar någon roll. Vi tar oss förbi till slut ändå, säger han. En värld utan gränser – är det en orealistisk utopi, ett privilegium för de redan välbeställda eller en självklarhet som vi är på väg mot? Det är frågor vi diskuterar med Tove Lifvendahl, politisk chefredaktör på Svenska Dagbladet, Lisa Pelling, utredningschef på tankesmedjan Arena Idé och Shahram Khosravi docent på Stockholms universitet. Marius Gaspar älskar EU och den fria rörligheten. Han växte upp på barnhem i Rumänien. För fem år sedan tog han sina knappa besparingar och reste till Sverige. Han hankade han sig fram genom att samla pantburkar. Nu har han skapat sig ett nytt liv med jobb, studier och bostad. Möt Marius i Johanna Langhorsts reportage. En av de ivrigaste pådrivarna för den inre marknaden och fria rörligheten inom EU var den franske politikern Jacques Delors under sin tid som EU- kommissionens ordförande 1985-95. Efter att han lämnade sin post startade han tankesmedjan som bär hans namn. Chefen för Delorsinstitutet, Yves Bertoncini, talar gärna om den fria rörligheten som lika självklar som luften vi andas. Men riktigt där är vi inte än medger han. Den stora utmaningen är hur vi ska lyckas locka hit migranter utanför EU, när invånarna här blir allt äldre och färre. Bertoncini intervjuas av Daniela Marquardt. En intervju som inte fick rum i sändningen, men som finns här på hemsidan är med Nilson Mourão, professor i statsvetenskap vid delstatsuniversitetet i Acre. Han är kritisk till hur Europa hanterar migranterna. Lotten Collin intervjuar. Producent: Jesper Lindau Programledare: Daniela Marquardt