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Sobre los estilos de instalación como electo Presidente de Gabriel Boric y de José Antonio Kast; además del reciente hito histórico de conservación privada en la Patagonia chilena, Iván Valenzuela conversó con las editoras Paula Comandari y Paloma Ávila en una nueva edición del Rat Pack de Mesa Central.
En Équateur, plusieurs membres de la famille de Daniel Noboa, dont son père, sont accusés d'être impliqués dans le trafic de drogue. Si le pays n'est pas producteur de cocaïne, il est, en revanche, le premier exportateur mondial de cette substance, ainsi que de bananes. Or, bien souvent, la cocaïne est cachée dans les conteneurs transportant ces fruits. Ces dernières semaines, plusieurs enquêtes journalistiques, dont une publiée au début du mois, ont mis en lumière des liens entre l'entreprise familiale du président conservateur au pouvoir depuis 2023 et ce trafic illégal. 700 kilos de cocaïne auraient été saisis dans des chargements de Noboa Trading, depuis 2020. Le président et ses proches nient toute responsabilité. Mais l'affaire révèle les contradictions entre les ambitions en matière de sécurité affichées par le dirigeant équatorien et les intérêts économiques de l'entreprise familiale. C'est un dossier de Melissa Barra de la rédaction en espagnol de RFI, avec Justine Fontaine. En Haïti, la fin du CPT provoque des remous Comme tous les jeudis, nous faisons le point sur l'actualité haïtienne avec notre confrère Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste. Le Conseil présidentiel de transition a présenté ses vœux de fin d'année hier (mercredi 17 décembre 2025) devant les diplomates en poste à Port-au-Prince. Si le président du Conseil a loué l'action accomplie ces derniers mois, affirmant qu'elle avait permis de maintenir l'administration publique debout, l'ambassadeur du Canada a appelé à faire plus, et souligné que le statu quo n'était pas une option. Le diplomate a également rappelé que le mandat du CPT devrait se terminer le 7 février 2026, comme prévu. «Il n'est pas le seul à le dire ces derniers temps», précise Frantz Duval. «À chaque fois, les membres du Conseil présidentiel de transition s'offusquent. Mais cette indignation n'a aucune suite», fait remarquer le journaliste. Les attaques des gangs restent quotidiennes. Ces dernières heures, ils ont incendié des camions à l'entrée de la commune d'Arcahaie. «C'est une façon de dire qu'ils contrôlent les routes et qu'ils ont la mainmise sur ce qui circule dans le pays», décrypte Frantz Duval (Le Nouvelliste). Dernière actualité en Haïti, après la soupe joumou ou le konpa qui ont fait leur entrée au patrimoine mondial de l'Unesco, les autorités veulent mettre en valeur les «vèvè», ces «dessins mystiques et religieux» qui sont vraiment très importants dans le pays, explique Frantz Duval. «C'est une très vieille tradition qui remonte aux premiers habitants de l'île», précise le journaliste. Les vèvè sont des «signes très puissants» qui «figurent même sur le maillot de l'équipe de football d'Haïti». Quand Jair Bolsonaro va-t-il sortir de prison ? Mercredi (17 décembre 2025), le Congrès brésilien a adopté une proposition de loi visant à réduire la peine de prison de l'ancien président. C'est un «pas crucial vers la révision de sa condamnation», estime le quotidien argentin Infobae. Mais il reste encore du chemin à parcourir : le président brésilien peut opposer son veto à ce texte qui «permet des réductions de peine et un passage plus rapide à un régime carcéral moins strict», comme le détaille le journal. Et c'est bien ce qu'il compte faire, selon Folha de Sao Paulo. Mais ce veto, il peut, à son tour, être annulé par le Congrès. Et une fois promulguée, cette loi peut encore faire l'objet de recours devant le Tribunal suprême fédéral, la plus haute instance du pouvoir judiciaire du pays, précise Infobae. Selon O'Globo, Jair Bolsonaro sortira de prison au plus tard début 2029. Mais tous les journaux ne font pas le même calcul. Jair Bolsonaro a été condamné à 27 ans de prison en septembre 2025, pour tentative de coup d'État. Une peine qu'il ne purgera pas dans sa totalité. Avec les remises de peine, il devrait faire environ six ans de prison, selon O'Globo. Maintenant, si cette loi est appliquée, il ne ferait que deux à quatre ans de prison. Calcul difficile à faire car cela dépend de la manière dont la loi sera interprétée. La législation brésilienne prévoit également que le temps consacré aux études, au travail et même à la lecture permet de raccourcir la sentence. O'Globo nous apprend que lire un livre, c'est quatre jours de prison en moins, à condition quand même d'avoir fait une fiche de lecture. Après des mois de tractations, les partisans de Jair Bolsonaro ont réussi leur pari. Enfin pas tout à fait car ils voulaient obtenir l'amnistie totale pour tous les émeutiers du 8 janvier 2023, afin de «pacifier et de réconcilier la nation», explique Folha. Ils ont, donc, dû revoir leurs ambitions à la baisse. Jair Bolsonaro et ses acolytes ne verront «que» leurs peines réduites. «Le Congrès a corrigé les excès du pouvoir judiciaire», s'est tout de même réjoui Tereza Cristina, la cheffe du Parti populaire au Sénat, rapporte le journal. Au Chili, des frictions entre l'ancien et le nouveau président Au Chili désormais, La Tercera nous apprend que le nouveau président commence déjà à énerver la gauche. «Lundi (15 décembre 2025), lors d'une réunion avec les partis de sa coalition, Gabriel Boric a reconnu que la droite avait réussi à imposer le récit selon lequel son gouvernement a mal géré les questions de sécurité» et cela le contrarie, raconte le quotidien chilien. Il s'efforce, donc, de rétablir sa vérité, à savoir que sous son mandat, la situation a été «stabilisée». Pas besoin d'un «gouvernement d'urgence», comme l'annonce le nouveau président, José Antonio Kast. Des élus de gauche montent au créneau pour faire passer le message. Dans les colonnes du journal, plusieurs d'entre eux affirment ainsi que le Chili va bien, qu'il a retrouvé «la stabilité démocratique, économique et sociale» ou bien encore que José Antonio Kast, avec son futur gouvernement d'urgence, commence déjà à menacer les institutions et la démocratie. Bref, au Chili, le camp Boric se prépare déjà à être dans l'opposition. José Antonio Kast, lui aussi, s'active. Il dévoilera la liste des membres de son gouvernement le 15 janvier 2026, indique La Tercera. Le journal de la 1ère 16.000, c'est le nombre d'airbags Takata qui seraient encore en circulation en Guadeloupe.
José Antonio Kast, candidato del Partido Republicano, ganó este domingo las elecciones presidenciales chilenas con una ventaja contundente en la segunda vuelta. Obtuvo el 58% de los votos frente al 42% de Jeannette Jara, de la coalición de izquierda Unidad por Chile. Esta diferencia de más de 16 puntos representa una de las mayores en una segunda vuelta desde el retorno a la democracia en 1990, lo que convierte a Kast en uno de los presidentes más votados de la historia del país. La trayectoria de Kast ha sido ascendente: en 2017 quedó cuarto y no pasó a segunda vuelta; en 2021 llegó al balotaje pero perdió ante Gabriel Boric por 11 puntos. Esta vez, tras quedar segundo en la primera vuelta del pasado 16 de noviembre, arrasó en la segunda. Lo ha conseguido gracias a que supo entender las principales preocupaciones de los chilenos: la delincuencia, la inmigración ilegal y el estancamiento económico. Chile, tradicionalmente uno de los países más seguros de Hispanoamérica, ha asistido en los últimos años a un incremento notable de la violencia que se atribuye a bandas criminales asociadas a la inmigración ilegal, básicamente la venezolana. Los extranjeros representan ya el 10% de la población. Kast prometió en campaña mano dura. Una mano dura que se traducirá en deportaciones, el endurecimiento de la vigilancia fronteriza con Perú y Bolivia y medidas punitivas contra el crimen. Para superar la crisis económica ha propuesto reducir impuestos, suavizar las regulaciones, recortar el gasto público en 6.000 millones de dólares en solo 18 meses y fomentar la inversión extranjera. En su discurso de la noche electoral insistió en la seguridad y el crecimiento, asegurando que "sin seguridad no hay paz, sin paz no hay democracia y sin democracia no hay libertad". Adoptó también un tono inclusivo y conciliador. Se presentó como presidente de todos los chilenos, renunció a la presidencia de su partido, rindió homenaje a ex presidentes de distintas inclinaciones políticas y reconoció la valía de su rival, Jeannette Jara. Ha evitado radicalismos y el populismo fácil tratando de hacer ver a los chilenos que los cambios requerirán tiempo y perseverancia. Aunque algunos lo etiquetan como ultraderechista por su pasado, Kast no representa un regreso al pinochetismo nostálgico. Es un conservador clásico, católico practicante (padre de nueve hijos), opuesto al aborto, al matrimonio homosexual y al divorcio, pero todo indica que priorizará agenda económica y la mejora de la seguridad ciudadana frente a la famosa batalla cultural. En este aspecto parece que se inspira más en Giorgia Meloni que en Trump o Bukele. La victoria de Kast consolida la ola de triunfos que ha ido cosechando últimamente la derecha hispanoamericana. Para Chile supone todo un giro conservador, pero Kast necesitará a un congreso que no controla y vigilar que sus hoy socios no se conviertan en oposición. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:55 Kast arrasa en Chile 38:51 "Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 40:50 Judeofobia y antisemitismo 46:50 Judeofobia en España 54:11 Polarización política · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #kast #chile Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
En un nuevo Block de notas, Paty Venegas nos contó los mitos y verdades sobre la economía que dejará el Gobierno del presidente Gabriel Boric al presidente electo José Antonio Kast.
Se acabó la incertidumbre: José Antonio Kast es el nuevo Presidente electo con un contundente 58%, mientras Jeannette Jara reconoce la derrota sin perder estatura política. En este episodio de Informe Chile en Pauta, Felipe Herrera y el ciudadano Christian Jorquera diseccionan el discurso de victoria del republicano (¿un Presidente o un predicador?), la "orfandad" de la base de Boric tras una seguidilla de errores no forzados, y la incómoda pregunta que la izquierda debe responderse: ¿Qué defiende el proyecto después del octubrismo?Si fueras asesor de la futura oposición, ¿qué lección sacarías de esta derrota para reconstruir la izquierda antes del 2030? Te leemos en los comentarios.00:00 Reflexiones sobre la Elección y el Futuro Político02:54 Análisis de Resultados Electorales05:28 El Clivaje Político en Chile08:25 El Rol de Gabriel Boric en la Derrota10:56 Errores del Gobierno de Boric14:05 La Necesidad de Introspección en la Izquierda17:03 Clivajes y la Izquierda en Chile21:45 Identidades y Demandas Sociales22:41 El Discurso de José Antonio Kast29:52 Gestos de Unidad y Responsabilidad31:05 La Carga de la Presidencia31:09 La Soledad del Poder33:25 La Identidad Política de José Antonio Kast35:16 Análisis de la política chilena y su contexto histórico37:14 Perspectivas desde Alemania sobre la ultraderecha39:42 Comparaciones entre líderes políticos en Latinoamérica41:56 La percepción internacional de Kast y su legado43:35 El impacto de la elección en la izquierda chilena46:43 Desafíos futuros para el gobierno de Kast50:20 Reflexiones finales y proyecciones para el futuroConviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/informe-chile--4167430/support.
Convidado: Demétrio Magnoli, comentarista da GloboNews e colunista de O Globo e da Folha de S.Paulo. José Antonio Kast foi eleito presidente do Chile com uma vantagem expressiva: teve mais de 58% dos votos ao derrotar a candidata de esquerda Jeannette Jara no 2° turno. Durante a campanha, Kast prometeu reforçar a segurança pública e endurecer as regras de imigração. Alinhado à direita conservadora, Kast moderou seu discurso nos últimos meses. Eleito, ele se encontrou com o atual presidente de esquerda Gabriel Boric, e iniciou o processo de transição - sua posse será em março de 2026. A vitória de Kast reforça um movimento recente de avanço da direita na América do Sul. Em outubro, a Bolívia — país tradicionalmente governado pela esquerda — rompeu um ciclo de quase duas décadas. Para analisar o resultado da eleição chilena e explicar o status do mapa ideológico do continente sul-americano, Natuza Nery recebe Demétrio Magnoli, comentarista da GloboNews e colunista do jornal O Globo e da Folha de S. Paulo. Demétrio avalia quais mudanças de Kast – e do eleitorado – levaram à vitória dele em sua terceira disputa presidencial. Ele analisa a lógica da “eleição por rejeição” e responde se este fenômeno se repete em outros países do continente. Por fim, Demétrio conclui como ficam as forças da direita e da esquerda na América do Sul – e quais os traços em comum entre os países governados por presidentes dos dois espectros políticos.
Los responsables de Defensa y de Exteriores de la administración Trump, Pete Hegseth y Marco Rubio, han dado esta tarde pocas explicaciones a una comisión parlamentaria sobre las operaciones militares estadounidenses contra narcolanchas y el despliegue naval y aéreo en aguas del Caribe.Vamos a estar de nuevo en Chile para conocer las promesas de José Antonio Kast cuando suceda a Gabriel Boric al frente del gobierno. También en Honduras donde la tensión política sigue aumentando a falta de resultados definitivos.Seguiremos pendientes de las negociaciones entre Estados Unidos y Ucrania en torno a un acuerdo que pueda presentarse a Moscú. Vamos a hablar de los galardonados con el Premio Sájarov a la Libertad de Conciencia que otorga anualmente el Parlamento Europeo a contribuciones excepcionales a la lucha por los derechos humanos. También de las protestas en Francia y Grecia y de la posible firma definitiva del acuerdo Unión Europea-Mercosur.Además estará con nosotros Julieta Ramírez, doctora de la Universidad Autónoma de Puebla en México, para analizar la relación entre India y Rusia. Escuchar audio
El pasado domingo hubo elecciones presidenciales en Chile, y ya hay nuevo presidente electo: el ultraderechista, José Antonio Kast. ¿Qué significa este giro político hacia la derecha tras la administración de Gabriel Boric? ¿Cómo reaccionó el país? Paz Zárate, analista internacionalista y profesora de la Academia Diplomática de Chile, nos habla al respecto. En otros temas: Marcelo Ebrard asegura que nuevo paquete arancelario busca proteger empleos ante competencia desleal de importaciones / ¡Huachicolero… pero solo un poquito! Raúl Rocha Cantú admite participación “parcial” en red de este delito.
Quinze horas depois da confirmação da vitória, o presidenteeleito, José Antonio Kast, se reuniu com o atual presidente, Gabriel Boric, para dar início a uma transição de três meses, até a posse em março. E mais:- Trump, assina decreto que classifica o fentanil ilegal como arma de destruição em massa e abre caminho para o uso das Forças Armadas no combate ao tráfico do opioide. O decreto prevê penas mais duras para traficantes e associa a produção e distribuição do fentanil a organizações criminosasclassificadas como “terroristas estrangeiras”- Líderes europeus se reúnem com Zelensky para discutir possível acordo de paz com a Rússia e defendem compromisso legal de resposta militar em caso de agressão e o envio de uma força multinacional para apoiar a segurançaucraniana Notícias em tempo real nas redes sociais Instagram @mundo_180_segundos e Linkedin Mundo em 180 SegundosFale conosco através do redacao@mundo180segundos.com.br
Il nuovo presidente cileno sarà José Antonio Kast, di estrema destra. Ma com'è possibile passare da Gabriel Boric al suo opposto in quattro anni? Poi torniamo in Italia, dove Repubblica e La Stampa stanno probabilmente per essere vendute, o forse svendute, a un editore greco. E infine, pochi giorni fa è stato il decennale dell'accordo di Parigi e allora ne approfittiamo per fare il punto e capire se è stato un fallimento o se ha davvero cambiato qualcosa nel mondo dell'energia.INDICE:00:00:00 - Sommario00:00:50 - Come si spiega la svolta a destra del Cile00:08:16 - La vendita di Repubblica e La Stampa00:13:17 - Dieci anni dall'accordo di Parigi: tiriamo le sommeFonti: https://www.italiachecambia.org/podcast/svolta-a-destra-cile/Iscriviti alla newsletter: https://bit.ly/3ZcEwVuoi sostenere Io Non Mi Rassegno? Abbonati a Italia che Cambia.
José Antonio Kast se impuso en la segunda vuelta presidencial a la comunista Jeannette Jara con un 58,16 por ciento contra un 41,84 por ciento de los votos con un 99,97 por ciento de los votos escrutados hasta ahora. Kast, de la derecha más conservadora y radical, reemplazará al izquierdista Gabriel Boric que lo derrotó en la elección presidencial del 2021.
Tras conocerse su victoria, Kast se reunió con el presidente saliente, Gabriel Boric, en el Palacio de la Moneda, calificando el encuentro como "muy positivo" y "muy republicano". La reunión se centró en coordinar el proceso de transición que se extenderá hasta el 11 de marzo, fecha en la que el nuevo presidente tomará posesión oficialmente.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Son élection était attendue, elle a largement été confirmée dans les urnes : avec 58% des suffrages, José Antonio Kast a été élu président du Chili. Succédant à la gauche de Gabriel Boric, il devient le premier chef d'État d'extrême droite depuis la fin de la dictature d'Augusto Pinochet, que José Antonio Kast ne se cache d'ailleurs pas d'admirer. Alors pourquoi les Chiliens ont-ils fait ce choix ? Après l'Argentine, le Salvador et l'Équateur, jusqu'où le populisme et l'extrême droite s'étendront-ils en Amérique latine ? Comment expliquer cette tendance ? Avec notre invité : - Olivier Compagnon, professeur d'Histoire contemporaine à l'Université Sorbonne Nouvelle/Institut des Hautes Études d'Amérique latine, chercheur au CREDA - Mathilde Allain, enseignante chercheuse à l'Institut des Hautes Études de l'Amérique Latine et au Centre de Recherche et de Documentation sur les Amériques et au CREDA.
O conservador José Antonio Kast derrotou ontem a candidata comunista Jeannette Jara no segundo turno e foi eleito presidente do Chile. Ele toma posse em março de 2026, sucedendo ao esquerdista Gabriel Boric. O resultado mostrou uma vitória folgada, refletindo o que mostravam as pesquisas. Ele obteve 58% dos votos. Jara ficou com 42%. Em entrevista à Rádio Eldorado, Roberto Uebel, professor de Relações Internacionais da ESPM São Paulo, disse que pautas como redução de gastos sociais e deportação de imigrantes ilegais devem ganhar força no futuro governo. No entanto, ele observou um tom mais ameno no discurso de Kast após a vitória e avaliou que o presidente eleito precisará de uma coalizão, inclusive com a esquerda e a centro-esquerda no Congresso para aprovar medidas, principalmente na área econômica.See omnystudio.com/listener for privacy information.
À Santiago au Chili, où les bureaux de vote sont ouverts, le second tour de l'élection présidentielle se joue entre la candidate de gauche, Jeannette Jara, arrivée en tête au premier tour et le candidat d'extrême droite, José Antonio Kast. Celui-ci est favori puisqu'il pourrait bénéficier du report des voix de la droite. José Antonio Kast sera-t-il le prochain président du Chili ? Antoine Maillet, professeur à la faculté de gouvernement de l'université du Chili et chercheur au Centre d'études du conflit et de la cohésion sociale, est l'Invité international de ce dimanche 14 décembre. À lire aussiAu Chili, l'extrême droite part favorite du second tour de la présidentielle
Si la candidate de gauche, Jeannette Jara, est arrivée en tête du premier tour de l'élection présidentielle chilienne, le report des voix devrait favoriser José Antonio Kast, le candidat d'extrême droite, arrivé second. Admirateur assumé du dictateur Augusto Pinochet (1973-1990), fils d'un ancien soldat ayant servi dans l'armée d'Hitler et émigré au Chili après la seconde guerre mondiale, l'avocat de 59 ans devrait vraisemblablement être élu président, dimanche 14 décembre.José Antonio Kast a fait campagne sur un programme conservateur et sécuritaire, liant la hausse de l'immigration à celle de la criminalité. Il promet des expulsions massives, la construction d'un mur à la frontière et des coupes budgétaires massives.Comment expliquer la défaite promise à la candidate de la gauche, malgré le bilan plutôt positif de l'actuel président de gauche, Gabriel Boric ? Et que réserve José Antonio Kast au Chili ?Un épisode de Garance Munoz. Réalisation : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits d'un débat télévisé entre les candidats à l'élection présidentielle, le 10 novembre 2025 ; prises de parole de José Antonio Kast, candidat de l'extrême droite, le 12 et le 14 décembre 2025 ; archives (INA) des manifestations au Chili, le 19 novembre 2019, de l'élection de Gabriel Boric, le 19 décembre 2021 et du plébiscite qui a mis fin à la dictature d'Augusto Pinochet, le 6 octobre 1988.Cet épisode a été publié le 9 décembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Buenos días. Sólo nueve días quedan para elegir a quien dirigirá el país por los próximos cuatro años y el escenario no ha variado mucho desde la primera vuelta: la derecha muestra amplia ventaja sobre la izquierda y las campañas ya preparan sus cierres para la próxima semana. Los últimos cartuchos se quemarán en el debate Anatel del próximo martes (que podrás seguir por El Líbero) y todo indica que las estrategias se mantendrán: Jeannette Jara ha seguido emplazando a José Antonio Kast, mientras que el republicano sigue con la mira en la administración de Gabriel Boric.“El Presidente, lamentablemente, está desconectado de la realidad del país”; afirmó el abanderado tras la declaración del Mandatario sobre que Chile “no se cae a pedazos”.
Este domingo Chile vivió una importante jornada electoral. Más de 13 millones de votantes, el 86% del censo, acudieron a las urnas. Se elegía en primera vuelta al presidente y se renovaba toda la cámara de diputados y la mitad del Senado para los próximos cuatro años. No hubo sorpresas. Las encuestas acertaron. Ningún candidato alcanzó el 50% requerido para evitarse el balotaje, que tendrá lugar el próximo 14 de diciembre. Concurrirán los dos más votados este domingo. Por un lado la oficialista Jeannette Jara, que obtuvo el 26,8% de los votos, y por otro el republicano José Antonio Kast, que obtuvo el 23,9% de los votos. El tercer puesto se lo quedó Franco Parisi, seguido de Johannes Kaiser y Evelyn Matthei. La fragmentación de la derecha impidió que un único candidato conservador superara a Jara en primera vuelta. Sumados Kast, Kaiser y Matthei habrían superado el 50%. En el Congreso también se produjo un claro giro a la derecha. Aunque la coalición de izquierdas unidad por Chile fue la más votada, las tres alianzas en la derecha lograron juntas 76 diputados, quedándose así a un paso de la mayoría absoluta. Es la primera vez en muchos años que los partidos de derecha está tan cerca de controlar ambas cámaras. El resultado dice mucho sobre el descontento con el gobierno de Gabriel Boric, cuya tasa de aprobación ronda el 25%. Como consecuencia directa del estallido social de 2019, Boric llegó al poder dos años más tarde con una agenda de reformas muy ambiciosa que habría de acompañar el proceso ya en marcha que traería una nueva constitución más afín sus intereses. Pero ese proceso constituyente fracasó. Hace dos años los chilenos rechazaron la nueva constitución en plebiscito. Entretanto la inflación se disparó, el crecimiento económico se estancó y la delincuencia se incrementó de forma notable. La vuelta al voto obligatorio, una de las pocas reformas que han prosperado durante el mandato de Boric, ha movilizado a millones de abstencionistas, pero en vez de beneficiar a la izquierda, parece haber premiado a los partidos de derecha y a los populistas como el de Parisi. Chile cierra de esta manera un ciclo de seis años muy convulsos, que comenzó con el estallido social y la voluntad por parte de la izquierda de reinventarse desde cero la democracia chilena. Fue esa misma izquierda la que apostó por fragmentar la sociedad confiándose a una nueva constitución que nunca vio la luz. El resultado lo tenemos a la vista. La derecha chilena ha crecido y se ha diversificado dando cabida a corrientes antes inexploradas y que, naturalmente, no comparecían en las cámaras. El próximo 14 de diciembre se enfrentarán dos ideas de Chile irreconciliables. Jara representa el continuismo del gobierno de Boric, mientras que Kast significa el regreso al orden y el rechazo frontal a todo lo que esa izquierda representa. Las encuestas dan ventaja a este último, lo cual es perfectamente lógico ya que resulta difícil imaginar a los votantes de Kaiser o Matthei entregando su voto a una candidata comunista. Salvo sorpresa mayúscula lo más probable es que José Antonio Kast sea el próximo presidente de Chile. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:40 Pasó Kast 31:28 “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 33:27 La privatización de la TVP argentina 35:52 La huída del centro de las ciudades - https://youtu.be/6Wjklc7hyfE 43:40 ¿Destruirá empleo la IA? · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #chile #kast Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Chile se encamina a una crucial segunda vuelta presidencial el próximo 14 de diciembre, enfrentando la continuidad del oficialismo con la comunista Jeannett Jara o el cambio radical propuesto por el líder de extrema derecha José Antonio Kast. ¿Apuestan los chilenos por la ultraderecha? ¿Es un rechazo al presidente Gabriel Boric? ¿Qué logros resalta el oficialismo? En El Debate analizamos a fondo esta encrucijada y discutimos el peso que tendrá la nueva configuración del Parlamento en la próxima Administración.
El país sudamericano vota presidente con una segunda vuelta en el horizonte que enfrentará a izquierda y derecha Hubo elecciones en Chile y la derecha encontró todo a pedir de boca. Realizaron sus primarias en la primera vuelta y ahora rumbo a diciembre a plena sonrisa. Chile hace años que no mantiene estabilidad ideológica presidencial y reparte a izquierda y derecha su lugar en el Palacio de la Moneda. Jeannette Jara, vencedora en primera vuelta tenía poco que hacer en campaña para buscar otro electorado que no sea el propio. Trató de despegarse de Gabriel Boric, que saludaba en retirada, y no mucho más. La derecha tenía la mesa servida y el cuchillo en la mano. Un electorado cuya mayor preocupación era la economía y casi por sobre eso: la seguridad ECDQEMSD podcast episodio 6176 Elecciones en Chile Conducen: El Pirata y El Sr. Lagartija https://canaltrans.com Noticias del Mundo: Jara vs Kast a segunda vuelta - Diciembre define presidente en Chile - Victoria de Bezos sobre Elon - Sigue la campaña - Semana de la SRD San Luís - Campeonato de auroras boreales Historias Desintegradas: Mi madre me balconeaba - Ignorando a la familia - Ejercicios de pronunciación - El hijo de la maestra - Disparos en Xochimilco - Puros desastre - Terremotos y festejos - Todo pastel es bienvenido - Café Popotla - Renuncié al Gym - Espectro autista - Actual en sociedad - Agotador - La obra de arte - Narco cultura - A los niños prematuros - Estudiantes del mundo - Tiempo de construcción otra vez y más... En Caso De Que El Mundo Se Desintegre - Podcast no tiene publicidad, sponsors ni organizaciones que aporten para mantenerlo al aire. Solo el sistema cooperativo de los que aportan a través de las suscripciones hacen posible que todo esto siga siendo una realidad. Gracias Dragones Dorados!! NO AI: ECDQEMSD Podcast no utiliza ninguna inteligencia artificial de manera directa para su realización. Diseño, guionado, música, edición y voces son de nuestra completa intervención humana.
La candidate de la coalition de gauche, Jeannette Jara (issue du parti communiste) est arrivée légèrement en tête du premier tour de l'élection présidentielle. Elle affrontera au second tour, le 14 décembre 2025, José Antonio Kast (extrême-droite), qui a de fortes chances de bénéficier d'un report important de voix des autres candidats des droites. Comme anticipé par les instituts de sondage, c'est bien Jeannette Jara qui a remporté le premier tour de l'élection présidentielle au Chili. Mais elle a obtenu un score un peu moins important qu'attendu (26,8%), tandis que la droite dans son ensemble a fait un très bon score. José Antonio Kast, nostalgique de la dictature du général Augusto Pinochet (1973-1990) décroche son ticket pour le second tour (23,9%). Johannes Kaiser l'ultra-libertarien (d'extrême-droite lui aussi) est arrivé en quatrième position. À la cinquième place, Evelyn Matthei, la candidate de la coalition de droite traditionnelle est la grande perdante de ce scrutin. Ensemble, Matthei et Kaiser ont réuni environ 26% des voix. Tous deux ont appelé hier soir (16 novembre 2025) à voter pour José Antonio Kast, qui se positionne ainsi comme favori du second tour, explique notre correspondante à Santiago, Naïla Derroisné. «Ce sera l'élection la plus importante de notre génération. Ce sera un choix entre deux modèles de société, a asséné le candidat d'extrême-droite après l'annonce des résultats. Le modèle de l'actuel gouvernement et qui a conduit le Chili vers la destruction, la stagnation, la violence et à la haine. Et l'autre projet, le nôtre, qui parle de vérité, qui promeut la liberté, l'espoir et le progrès !», a-t-il martelé devant ses partisans. Pour Jeannette Jara en revanche, le scénario du second tour est beaucoup moins favorable. Car les autres candidats de gauche n'ont pas obtenu de résultats suffisants pour espérer un report de voix qui pèserait dans la balance face au bloc de droite. L'ancienne ministre du Travail du président Gabriel Boric va donc devoir adopter une nouvelle stratégie pour élargir sa base électorale. Elle pourrait annoncer sa démission du Parti Communiste (où elle milite depuis son adolescence) et qui n'a cessé d'être un frein lors de sa campagne, explique Naïla Derroisné. «Quasiment la moitié des Chiliens et des Chiliennes n'ont pas voté pour moi, c'est vrai. Mais ils et elles n'ont pas voté non plus pour Kast ! Et c'est à eux que dès demain nous irons parler et que nous écouterons attentivement», a réagi Jeannette Jara dimanche soir. Elle pourrait chercher à séduire notamment les électeurs du candidat populiste Franco Parisi, arrivé en troisième position (19%). En Haïti, le sort des familles contraintes de quitter Port-au-Prince à cause des gangs En Haïti, les gangs contrôlent près de 80% de la capitale, selon l'ONU, et imposent leur loi dans des zones comme Bas-Delmas, Croix-des-Bouquets, Mariani ou encore Gressier. Des milliers de familles sont donc forcées de fuir Port-au-Prince. Menacées par la violence, certaines ont trouvé refuge dans le département du Sud, où elles tentent tant bien que mal de reconstruire leur vie, expliquent-elles à notre correspondant Peterson Luxama. Si ceux qui retrouvent leur ville natale arrivent parfois à se réadapter, d'autres, sans attaches ni soutien, vivent dans des conditions extrêmement précaires. C'est le cas de Dany, un octogénaire qui erre dans la ville des Cayes et dort à même le sol à la belle étoile. La violence des gangs a coûté la vie à ses deux enfants. «Les bandits m'ont chassé et j'ai atterri ici. Je n'ai personne pour m'accompagner, je suis seul. Je fais mon petit lit à même le sol sur la place avec des draps que la mairie m'a offerts», témoigne-t-il. Face à l'afflux croissant de personnes déplacées venues de Port-au-Prince, le maire de Saint-Jean-du-Sud, Dupont Estimé, reconnaît l'ampleur de la crise et les moyens limités de la commune. «Certaines organisations ont l'habitude de soutenir les déplacés, salue-t-il. Elles exigent toutefois le respect de certains critères, comme la présentation d'une liste accompagnée des cartes d'identité des bénéficiaires», ce que n'ont pas toujours les déplacés. «Nous ne pouvons pas repousser ces personnes ni demander qu'on les chasse, poursuit le maire. Tant que ces personnes vivent paisiblement, elles resteront ici jusqu'à ce qu'un changement permette à tout le monde de rentrer chez soi», conclut-il. L'Équateur dit quatre fois «non» aux référendums proposés par le gouvernement «No», le mot s'affiche à la Une de la presse équatorienne... C'est la réponse des électeurs équatoriens aux quatre questions qui leur étaient posées, ce dimanche 16 novembre, par référendum, par le gouvernement de Daniel Noboa. Une «première défaite électorale», souligne Primicias. Un «net revers» pour le pouvoir en place, selon La Hora. Un «coup dur», même, pour le président de droite, estime le journal Expreso, qui souligne la forte participation : 80% des électeurs sont allés voter, notamment les jeunes. «Le pays ne cautionne pas le projet autoritaire de Noboa», estime le quotidien, pour qui les électeurs ont refusé de donner un chèque en blanc au président pour réformer la Constitution. Le site Vistazo rappelle que les électeurs devaient décider s'ils souhaitaient réduire le nombre de parlementaires (non à 53%), mettre fin au financement public des partis politiques (non à 58%), changer de constitution (non à 61%) et autoriser à nouveau les bases militaires étrangères dans le pays (non à 61%). Les États-Unis n'étaient pas mentionnés directement, mais c'est bien ce pays qui aurait pu être invité à réinstaller des bases militaires en Équateur, notamment pour lutter contre le trafic de drogue. C'est ce que souhaitait le président Daniel Noboa, allié de Donald Trump. Depuis les États-Unis, l'agence Bloomberg parle de son côté d'une «défaite cuisante» et «surprenante», car les sondages laissaient présager une victoire du «oui». Mais le journal La Hora n'y voit pas uniquement un succès de l'opposition, car le «non» a été soutenu par différents courants, analyse le journal dans un éditorial. Y compris par des jeunes qui se tiennent à l'écart «de l'influence des gourous du marketing politique», estime encore La Hora. qui questionne par la même occasion la stratégie de Daniel Noboa de communiquer presque uniquement via les réseaux sociaux. Dans les Outre-mer françaises Six femmes ont perdu la vie en Guadeloupe l'an dernier (2024), sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint, explique Alex Leveillé de La 1ère.
Tras el resultado de la primera vuelta de las elecciones presidenciales de Chile, el candidato de ultraderecha José Antonio Kast, lidera las opciones para convertirse en el nuevo presidente. Según el investigador principal para América Latina del Real Instituto Elcano, Carlos Malamud, Kast podría "concentrar el voto de las 3 derechas" del país ya que el sus candidatos le han dado su apoyo públicamente. Aún así, Malamud recuerda que "las elecciones hay que ganarlas" y cree que Kast "no está exento de cometer errores" antes de la cita electoral del 14 de diciembre. Ante el avance de la ultraderecha en Chile, Malamud apunta a que se debe a un "descontento" con el gobierno de Gabriel Boric y a que los jóvenes ven la dictadura de Pinochet como algo "remoto" y dan la democracia por "conquistada".Escuchar audio
O Chile vai polarizado para o segundo turno da eleição presidencial, marcado para 14 de dezembro. A candidata Jeannette Jara, do Partido Comunista, vai enfrentar o ultradireitista José Antonio Kast, do Partido Republicano. As diferentes forças da direita que se apresentaram nas urnas conseguiram, juntas, um apoio majoritário no primeiro turno, realizado ontem. Com mais de 80% das urnas apuradas, a candidata do governo, apoiada pelo presidente Gabriel Boric, se impunha com 26,7% dos votos, seguida de perto por Kast, com 24,1%. Em terceiro lugar, estava o populista Franco Parisi, do Partido de La Gente, com 19,4%, à frente do libertário Johannes Kaiser, com 13,9%, e de Evelyn Matthei, de centro-direita, com 12,7% dos votos. Kaiser e Matthei declararam apoio a Kast após a divulgação dos resultados parciais. Em entrevista à Rádio Eldorado, Roberto Uebel, professor de Relações Internacionais da ESPM São Paulo, disse que “tudo indica que Kust deve ganhar mais apoio”. Ele não descartou, no entanto, a possibilidade de uma reviravolta para conter o avanço da extrema-direita. Na entrevista, Uebel também foi questionado sobre o anúncio feito na semana passada pelo secretário de Guerra dos Estados Unidos, Pete Hegseth, de uma operação militar na América do Sul, denominada “Lança do Sul”, com o objetivo de combater o que chamou de “narcoterroristas”, tendo como alvo principal a Venezuela. Para Uebel, ainda não está claro se a intenção americana é derrubar o governo de Nicolás Maduro. “Quem faz mudança de regime não anuncia, executa”, afirmou.See omnystudio.com/listener for privacy information.
In Chile neigt sich die Amtszeit des linksgerichteten Präsidenten Gabriel Boric dem Ende zu. Heute Sonntag findet der erste Wahlgang für dessen Nachfolge statt. In den Umfragen liegen die gemeinsame Kandidatin der Linksparteien und zwei Kandidaten des Rechtslagers in Führung. (00:00) Intro und Schlagzeilen (01:18) Nachrichtenübersicht (06:18) Drei Spitzenreiter für das Präsidentenamt in Chile (13:22) Estland: ein Vorbild in Sachen Digitalisierung (17:40) Volksinitiative will für mehr Wohnraum sorgen (22:28) Auch das Tessin verbietet Fischen mit Live-Sonar
Ce dimanche 16 novembre 2025 se déroule le premier tour de l'élection présidentielle au Chili. Damien Larrouqué, maître de conférences en science politique et membre du Centre de recherche multidisciplinaire de l'université de Cergy, est l'Invité international de la mi-journée. RFI : Avant d'aborder les points précis de cette élection, pouvez-vous nous présenter un cadre général de ce scrutin, avec les forces en présence et les enjeux ? Damien Larrouqué : Tout à fait. Il y a huit candidats en lice, mais quatre qui vont véritablement compter. En premier lieu, la favorite pour le premier tour, qui est Jeannette Jara, qui est issue du Parti communiste, qui a été ministre du gouvernement de Gabriel Boric et qui incarne donc cette coalition de centre-gauche Unité pour le Chili. Vous avez ensuite, à droite, Evelyn Matthei, qui est la candidate de la droite conservatrice – dont le père était l'un des cadres du régime militaire – et maire d'une commune importante de la région de Santiago. Et vous avez ensuite deux candidats à l'extrême droite. José Antonio Kast, qui est un partisan d'une ligne à la fois ultra-libérale sur le plan économique et ultra-conservatrice sur le plan des mœurs – frère lui aussi, par ailleurs, d'un des cadres du régime militaire – qui était membre des fameux économistes « Chicago Boys » et dont c'est la troisième présidentielle, vraisemblablement, au second tour. Et vous avez ensuite le dernier en lice, Johannes Kaiser, qui est, lui aussi, un candidat de la droite ultralibéral, partisan d'un libertarianisme à la Miller et un peu le trublion qu'on n'attendait pas de dernière minute. Mais qui a eu une ascension assez exceptionnelle au cours des quelques dernières semaines et qui risque aussi d'avoir un impact sur cette élection. L'extrême droite pourrait revenir au pouvoir pour la première fois depuis la fin de la dictature de Pinochet. Qu'est-ce qui explique cette progression et son attrait auprès d'une grande partie de la population ? Les thèmes de campagne qui ont été mobilisés, in fine. On y reviendra peut-être, mais les questions d'insécurité, de l'immigration. Il faut savoir que le Chili a connu une immigration massive, notamment de migrants vénézuéliens, à la suite de la faillite de l'État du Venezuela. Cela entretient un certain nombre de frustrations vis-à-vis d'eux, parce qu'on accuse les Vénézuéliens de non seulement récupérer des emplois et de concurrencer les Chiliens sur le marché du travail, mais aussi, bien sûr, d'entretenir une forme de criminalité. Alors certes, cela a augmenté, il ne faut pas le nier, mais cela reste quand même monté en épingle par des médias dans un pays qui est historiquement assez tranquille sur ces questions. Pour aussi répondre à votre question, ce sont les contrecoups de cette grande révolte sociale qui a eu lieu en 2019 et 2020, juste avant le Covid. Une révolte dont l'objectif était de mettre à terre le système néolibéral qui est, au Chili, un modèle international. Parce qu'il faut savoir que sous Pinochet, c'est avec un mandat législatif d'avance sur Reagan et Thatcher que Chili a mis en place les premières mesures de néo-libéralisation échevelée. Le pays n'en est toujours pas sorti. Il y a eu une révolte sociale en 2019 et 2020, puis un processus constituant. Aujourd'hui, le jeu électoral se fait sur ces différents rebondissements de ces dernières années. Criminalité, immigration, deux thèmes importants au cours de la campagne. Il y a aussi la question fiscale qui semble primordiale au Chili, où le taux d'imposition est très faible. Les candidats se saisissent-ils de cette question ? Effectivement, c'est un enjeu qui est fondamental, mais totalement absent de la campagne alors qu'il est déterminant. Le problème du Chili, ce n'est pas son niveau de criminalité. Ou même le niveau d'immigration, qui n'a rien à voir, par exemple, si on le compare, avec la Colombie, voisine du Venezuela, qui, elle, a absorbé massivement cette immigration économique et politique vénézuélienne. On n'est pas du tout sur ces ordres de grandeur. En revanche, le Chili est malade de ses inégalités sociales. C'est l'un des pays où les inégalités sociales et socio-économiques sont les plus grandes au monde. C'est un pays où l'élite économique ne paye pas d'impôts, il faut le dire clairement. Un impôt qui est résiduel. La charge fiscale par rapport à la production, au PIB, à la richesse nationale est de l'ordre de 22 ou 23 %. Avec cela, vous financez les activités régaliennes et peu ce qui pourrait être l'éducation publique, le système de santé, etc. C'est un système fiscal qui est largement régressif, c'est-à-dire que le budget de l'État est supporté par les classes populaires, en particulier sur la TVA. Toutes les mesures qui auraient dû être conduites depuis le retour à la démocratie ne l'ont jamais été. Si bien que c'est un pays qui reste structurellement inégalitaire et économiquement fragile. À lire aussiLes Chiliens élisent un successeur à Gabriel Boric, gauche et extrême droite en tête des sondages
Près de 16 millions de Chiliens sont appelés à se rendre aux urnes ce dimanche (16 novembre 2025) pour élire le successeur du président sortant Gabriel Boric, auquel la Constitution interdit de briguer un second mandat consécutif. 8 candidats sont en lice, mais 2 favoris se détachent : Jeannette Jara, 51 ans, communiste et candidate d'une coalition de 9 partis de gauche et centre gauche, est en tête des sondages pour le 1er tour, talonnée par le candidat d'extrême droite José Antonio Kast, 59 ans, avocat, fondateur du parti républicain, battu il y a 4 ans par Gabriel Boric. Si ces deux favoris se retrouvent au second tour, le 14 décembre 2025, Jeannette Jara ne partira pas forcément gagnante. L'outsider Johannes Kaiser, 49 ans, fondateur du parti national libertarien, lui aussi d'extrême droite et nostalgique de la dictature militaire, pourrait bien jouer les faiseurs de rois en permettant à José Antonio Kast de l'emporter. Comment le Chili en est-il arrivé là ? Quel bilan laisse Gabriel Boric ? Le jeune président de gauche a-t-il tenu sa promesse de réduire les inégalités et d'apporter plus de justice sociale ? Comment expliquer la montée en puissance d'une extrême droite décomplexée ? Pourquoi la société chilienne n'arrive-t-elle pas à tourner la page de l'ère Pinochet au point de regretter le dictateur mort, il y a 20 ans ? Alors que l'immigration irrégulière et l'insécurité, mais aussi le narcotrafic ont été au cœur de la campagne présidentielle, le Chili risque-t-il de basculer à l'extrême droite ? 3 invités : - Franck Gaudichaud, professeur en Histoire et Études latino-américaines à l'Université Toulouse-Jean Jaurès, auteur de «Découvrir la révolution chilienne 70-73», paru en 2023 aux Éditions sociales - Olivier Compagnon, professeur d'Histoire contemporaine à l'Université Sorbonne Nouvelle/Institut des Hautes Études d'Amérique latine, chercheur au CREDA - Pablo Barnier-Khawam, docteur en Sciences Politiques associé au CERI et au CREDA, spécialiste de la Bolivie et du Chili.
Los chilenos están llamados este domingo a elegir al sucesor de Gabriel Boric. Analizamos las claves de las elecciones con el politólogo Aldo Mascareño, del Centro de Estudios Públicos de Chile y la enviada especial de RNE a Santiago, Sara Alonso. Escuchar audio
Aunque su gobierno quedó marcado por el fracaso del proceso constituyente, el presidente Gabriel Boric obtuvo avances sociales y destacó en política exterior, especialmente por sus firmes posiciones en defensa de la democracia y los derechos humanos tanto en Venezuela como en Gaza, explica el analista político Guillermo Holzmann. El presidente de Chile, Gabriel Boric, terminará su mandato en marzo de 2026. La Constitución de ese país no prevé la posibilidad de reelección consecutiva del jefe de Estado. Su administración estuvo caracterizada, justamente, por el proceso constituyente para reformar la Carta Magna heredada de la época de Pinochet. Su fracaso en dos ocasiones en este propósito empañó un gobierno que, desde el comienzo, aspiraba a concretar varias transformaciones después de realizar esa reforma. Guillermo Holzmann, analista político y académico de la Universidad de Chile, considera que esa derrota marcó los cuatro años de Boric. "Primero, Boric fundó todos sus proyectos políticos en la aprobación de una nueva Constitución. Esto finalmente no sucede. Segundo, nunca tuvo la capacidad para avanzar en los acuerdos legislativos necesarios que permitiesen impulsar una segunda transición". El balance de su administración, sin embargo, va mucho más allá de las aspiraciones constitucionales. A pesar de todo, Boric se apuntó algunos logros en el frente social, aunque muy lejos de su primera agenda. "Boric también logra avances sociales importantes, como las 40 horas laborales. Hay cambios en la legislación para permitir la inclusión laboral de todos aquellos que tienen diversos puntos de vista sexual, capacidades, etc. También en la defensa de los derechos de los trabajadores, así como una reforma de las pensiones que, aunque no fue lo que él quería, finalmente establece nuevos parámetros respecto del salario mínimo y de qué manera el Estado debe desempeñar un rol solidario a partir del aporte de los propios empresarios". Boric no reconoció la elección de Maduro En el balance económico, Holzmann señala las acusaciones de corrupción y un crecimiento bajo del PIB que, según afirma, depende de un gasto público muy elevado. En el plano internacional, el analista destaca las firmes posiciones del presidente saliente en defensa de los derechos humanos. "Probablemente, en lo que más se destacó el mandato de Boric fue en el rol que desempeñó a nivel internacional en la defensa de la democracia y los derechos humanos. Estos puntos se convirtieron en los dos pilares que lo llevaron a criticar la elección de Maduro. Boric, en efecto, no reconoció la elección de Maduro en el proceso electoral del año pasado. En cuanto a los derechos humanos, esto se ve claramente en la posición de Chile sobre Gaza". Durante la 79ª Asamblea General de la ONU, Boric afirmó: "Me niego a elegir entre el terrorismo de Hamás o la masacre y conducta genocida del Israel de Netanyahu. No tenemos por qué elegir entre barbaries. Yo elijo la humanidad". En el plano doméstico, Holzmann también recuerda las dificultades en materia de seguridad y el uso del estado de excepción para desplegar a las Fuerzas Armadas en el norte de Chile para controlar la inmigración y, en el sur, para detener la acción de grupos violentos.
Aunque su gobierno quedó marcado por el fracaso del proceso constituyente, el presidente Gabriel Boric obtuvo avances sociales y destacó en política exterior, especialmente por sus firmes posiciones en defensa de la democracia y los derechos humanos tanto en Venezuela como en Gaza, explica el analista político Guillermo Holzmann. El presidente de Chile, Gabriel Boric, terminará su mandato en marzo de 2026. La Constitución de ese país no prevé la posibilidad de reelección consecutiva del jefe de Estado. Su administración estuvo caracterizada, justamente, por el proceso constituyente para reformar la Carta Magna heredada de la época de Pinochet. Su fracaso en dos ocasiones en este propósito empañó un gobierno que, desde el comienzo, aspiraba a concretar varias transformaciones después de realizar esa reforma. Guillermo Holzmann, analista político y académico de la Universidad de Chile, considera que esa derrota marcó los cuatro años de Boric. "Primero, Boric fundó todos sus proyectos políticos en la aprobación de una nueva Constitución. Esto finalmente no sucede. Segundo, nunca tuvo la capacidad para avanzar en los acuerdos legislativos necesarios que permitiesen impulsar una segunda transición". El balance de su administración, sin embargo, va mucho más allá de las aspiraciones constitucionales. A pesar de todo, Boric se apuntó algunos logros en el frente social, aunque muy lejos de su primera agenda. "Boric también logra avances sociales importantes, como las 40 horas laborales. Hay cambios en la legislación para permitir la inclusión laboral de todos aquellos que tienen diversos puntos de vista sexual, capacidades, etc. También en la defensa de los derechos de los trabajadores, así como una reforma de las pensiones que, aunque no fue lo que él quería, finalmente establece nuevos parámetros respecto del salario mínimo y de qué manera el Estado debe desempeñar un rol solidario a partir del aporte de los propios empresarios". Boric no reconoció la elección de Maduro En el balance económico, Holzmann señala las acusaciones de corrupción y un crecimiento bajo del PIB que, según afirma, depende de un gasto público muy elevado. En el plano internacional, el analista destaca las firmes posiciones del presidente saliente en defensa de los derechos humanos. "Probablemente, en lo que más se destacó el mandato de Boric fue en el rol que desempeñó a nivel internacional en la defensa de la democracia y los derechos humanos. Estos puntos se convirtieron en los dos pilares que lo llevaron a criticar la elección de Maduro. Boric, en efecto, no reconoció la elección de Maduro en el proceso electoral del año pasado. En cuanto a los derechos humanos, esto se ve claramente en la posición de Chile sobre Gaza". Durante la 79ª Asamblea General de la ONU, Boric afirmó: "Me niego a elegir entre el terrorismo de Hamás o la masacre y conducta genocida del Israel de Netanyahu. No tenemos por qué elegir entre barbaries. Yo elijo la humanidad". En el plano doméstico, Holzmann también recuerda las dificultades en materia de seguridad y el uso del estado de excepción para desplegar a las Fuerzas Armadas en el norte de Chile para controlar la inmigración y, en el sur, para detener la acción de grupos violentos.
En este programa comenzamos con la actualidad en Venezuela. Allí, el portaviones más moderno de la Armada de Estados Unidos ha llegado al mar Caribe para apoyar, según justifica la Casa Blanca, la lucha contra el narcotráfico. Por su parte, el gobierno de Venezuela ha elevado la alerta militar. Hablamos también de los candidatos favoritos a suceder a Gabriel Boric como presidente de Chile en las elecciones con voto obligatorio de este domingo. Además, ponemos el foco en las manifestaciones de un grupo de activistas e indígenas que han irrumpido en la cumbre climática, COP30, en Brasil, pidiendo que su voz sea escuchada y exigiendo impuestos a los milmillonarios.Después, conocemos el proyecto '100 mil Pisos para Jugar' de la ONG Hábitat para la Humanidad. Esta iniciativa reemplaza pisos de tierra por cemento de viviendas en comunidades vulnerables. En concreto, conoceremos los casos de América Latina. El proyecto ha conseguido premio social de la Fundación Mapfre por su impacto social. Nos lo cuenta la directora de Hábitat para la Humanidad en República Dominicana, Cesarina Fabián.Escuchar audio
Chile lleva tres meses sumido en campaña electoral de cara a las presidenciales del próximo domingo 16 de noviembre. Ese día se celebrará la primera vuelta, pero todo indica que habrá balotaje porque ninguno de los favoritos consigue superar el 30% de intención de voto en las encuestas. La segunda vuelta, de ser necesaria, está prevista para el 14 de diciembre. Estas elecciones ponen fin al mandato de Gabriel Boric, que en 2021 ganó en segunda vuelta a José Antonio Kast por 10 puntos de diferencia. Aquellos comicios parecían cerrar el ciclo que se abrió con el estallido social de 2019, pero no fue así. Los ecos de aquellas protestas que paralizaron el país durante meses duraron hasta el rechazo del plebiscito constitucional hace dos años, cuando Boric se encontraba ya a mitad de mandato. Eso fue lo que marcó el final de este periodo tan convulso en la historia reciente de Chile. La popularidad de Boric es relativamente baja, pero un tercio de los chilenos aprueban de forma muy entusiasta su gestión. La Constitución de 1980 le impide la reelección inmediata, por lo que busca continuidad en Jeannette Jara, una candidata que hasta abril fue su ministra de trabajo. En Chile el voto es obligatorio desde hace tres años, lo que anticipa una alta participación. La campaña dio comienzo en agosto, ha sido muy intensa y el panorama político se presenta realmente fragmentado. Hay ocho candidatos y cuatro grandes temas de debate: la inseguridad, los problemas económicos, la inmigración y las reformas del gobierno Boric. La inseguridad lidera con mucho las preocupaciones de los chilenos. En torno al 80% considera que el país es inseguro y solo el 39% se siente tranquilo caminando de noche por la calle. Aunque Chile sigue siendo más seguro que la mayor parte de países de Sudamérica, el crimen organizado ha crecido en los últimos años. Todos los candidatos proponen mano dura (cárceles, policía y leyes más duras), un terreno claramente favorable a la derecha. En economía, la inflación del 4% y el desempleo del 8% es también motivo de preocupación junto a las listas de espera hospitalarias, la vivienda y la corrupción, pero el eje central del debate es la delincuencia. Jeannette Jara representa al oficialismo. Lidera las encuestas con un 25-30% de esperanza de voto y ha prometido acabar con el secreto bancario y un ingreso mínimo de 750.000 pesos (unos 700 euros) para familias vulnerables. Tras ella hay otros tres candidatos que podrían pasar a segunda vuelta: Evelyn Matthei, alcaldesa de Providencia y exministra de Sebastián Piñera, de centro derecha, José Antonio Kast, líder del Partido Republicano, de derecha conservadora y el nacional libertario Johannes Kaiser, diputado y hermano del Axel Kaiser, que se estrena como candidato con una receta que recuerda mucho a Javier Milei y a la derecha identitaria europea. A la primera vuelta la izquierda llega formando un bloque tras la candidatura de Jeannette Jara. La derecha, por el contrario, está dividida entre Matthei, Kast y Kaiser. Las encuestas apuntan a una segunda vuelta prácticamente segura. Lo más probable es que Jara pase sin problema. La pregunta es saber si Kast o Kaiser competirán con ella. El 14 de diciembre saldremos de dudas, pero sólo después una campaña que se promete muy caliente tras la criba del domingo. En La ContraRéplica 0:00 Introducción 4:00 Chile: Jara, Kast o Kaiser 34:51 “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 36:50 El peronismo y el PSOE 44:22 México y Perú rompen relaciones · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #chile #kast Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
À quelques jours du premier tour de l'élection présidentielle chilienne, un mégaprojet minier vient de franchir une étape cruciale. La Chine a approuvé la création d'une co-entreprise entre Codelco, grand groupe public chilien, et SQM, une société privée. À terme, cette joint-venture exploitera du lithium dans le désert de l'Atacama. En 2023, Codelco, grand groupe public chilien d'exploitation minière, annonçait un accord avec une société privée, la SQM, afin de créer une co-entreprise. L'objectif était clair : extraire ensemble du lithium dans le désert de l'Atacama. Le Chili est le deuxième producteur au monde de ce métal, utilisé entre autre dans la production de batteries. À l'époque, le président Gabriel Boric présentait ce projet comme stratégique pour extraire encore plus de lithium et surtout pour que l'État contrôle mieux cette industrie. Mais il s'est heurté à de nombreux obstacles, venus principalement de la Chine. Tianqi, géant chinois du lithium et propriétaire de 22% de SQM avait intenté plusieurs actions en justice. Il y a deux jours et après un an d'attente, le régulateur chinois a finalement donné son feu vert avec quelques conditions, la principale étant que cette coentreprise doit garantir un approvisionnement stable à la Chine en carbonate de lithium. « Tous les feux verts ont été obtenus au niveau international », s'est réjoui Codelco dans un communiqué. Craintes environnementales Désormais, il ne manque plus qu'une dernière validation côté chilien pour que le projet voie le jour. Mais il fait toujours face à un certain nombre de critiques. Et parmi elles, celles des candidats à l'élection présidentielle, dont le premier tour se déroulera le 16 novembre prochain. Jeannette Jara, à la tête de la coalition de gauche, a déclaré que si elle était élue, elle chercherait une autre solution. « Je pense qu'il est bon d'essayer de promouvoir une entreprise nationale de lithium », a-t-elle déclaré, ajoutant tout de même qu'elle se conformerait à l'accord, s'il était conclu avant sa prise de fonction. Son rival d'extrême-droite, José Antonio Kast a lui mis en doute la « fiabilité » de l'accord. Le gouvernement, par la voix de son ministre de l'Économie, a déjà assuré que la coentreprise sera finalisée avant l'arrivée du ou de la prochaine présidente. L'autre inquiétude qui accompagne ce projet est d'ordre environnemental, bien que Codelco assure appliquer « des standards très stricts en matière de durabilité ». L'extraction de lithium est très gourmande en eau et le désert d'Atacama en manque cruellement. Il y a quelques mois, des scientifiques ont également montré que l'exploitation des gisements de lithium provoquent l'affaissement du sol.
A una semana de las elecciones presidenciales, Chile vive una campaña dominada por la preocupación en torno a la inseguridad y el auge del crimen organizado. Este domingo 16 de noviembre, más de 15 millones de chilenos votarán de manera obligatoria en unos comicios donde la extrema derecha podría salir fortalecida de cara a la segunda vuelta.
Chile entra en la recta final de su campaña presidencial que ha estado dominada por la inseguridad y la irrupción de bandas de crimen organizado como tema central. La primera vuelta será el domingo 16 de noviembre. Con voto obligatorio, más de 15 millones de ciudadanos están llamados a las urnas. La extrema derecha podría sumar más votos en segunda vuelta y hacerse con La Moneda. Esta semana ponemos el foco en Chile que decide su destino político y la sucesión de Boric. Nos acompañan: -Pierre Lebret, politólogo de la Universidad Diego Portales -Paola Martínez Infante, periodista independiente -Pablo Barnier-Khawam doctor en ciencia política de Sciences Po Paris e investigador asociado al Centro de Investigación y Documentación sobre las Américas. Coordinación editorial: Florencia Valdés y Julia Courtois Realización: Robin Cussenod, Yann Bourdelas, Vanessa Loiseau Presenta: Carlos Herranz.
Chile entra en la recta final de su campaña presidencial que ha estado dominada por la inseguridad y la irrupción de bandas de crimen organizado como tema central. La primera vuelta será el domingo 16 de noviembre. Con voto obligatorio, más de 15 millones de ciudadanos están llamados a las urnas. La extrema derecha podría sumar más votos en segunda vuelta y hacerse con La Moneda. Esta semana ponemos el foco en Chile que decide su destino político y la sucesión de Boric. Nos acompañan: -Pierre Lebret, politólogo de la Universidad Diego Portales -Paola Martínez Infante, periodista independiente -Pablo Barnier-Khawam doctor en ciencia política de Sciences Po Paris e investigador asociado al Centro de Investigación y Documentación sobre las Américas. Coordinación editorial: Florencia Valdés y Julia Courtois Realización: Robin Cussenod, Yann Bourdelas, Vanessa Loiseau Presenta: Carlos Herranz.
Les New-Yorkais sont appelés à élire ce mardi 4 novembre leur nouveau maire. Face à l'ancien gouverneur Andrew Cuomo, le jeune Zohran Mamdani, 34 ans, candidat sorti victorieux de la primaire démocrate, fait figure de favori. Quasiment inconnu, il y a encore quelques mois, Zohran Mamdani se revendique socialiste et s'est rendu populaire grâce à une campagne très active sur les réseaux sociaux, mais aussi grâce à son programme politique, entièrement consacré à la lutte contre la vie chère. Loubna Anaki a suivi sa campagne et rencontré ses électeurs à New York. Ce mardi 4 novembre 2025, des élections ont aussi lieu dans deux États pour renouveler les gouverneurs (en Virginie et dans le New Jersey), ainsi qu'en Californie, pour un référendum qui propose un redécoupage électoral particulièrement favorable aux démocrates. COP30 au Brésil, comment relancer la coopération internationale ? J-2 avant le grand sommet des chefs d'État et de gouvernement à Belém au Brésil. À quelques jours de la COP30, la grande conférence onusienne sur le changement climatique, le président Lula da Silva y accueillera ses homologues pour tenter de relancer la coopération internationale. Car l'ambition climatique mondiale est actuellement mise à mal, notamment par les États-Unis de Donald Trump, explique notre journaliste environnement Stefanie Schüler. En Haïti, la «question électorale» encore «en suspens» Plus de la moitié du pays est en état d'urgence après le passage de Melissa. Le bilan provisoire dans le pays est toujours de 30 morts, 20 disparus et au moins 15 000 sinistrés. Malgré la catastrophe, le Premier ministre réaffirme sa volonté d'accompagner le processus électoral. Alix Didier Fils-Aimé, à la tête du conseil présidentiel de transition depuis presque un an dit vouloir «remettre, dans les plus brefs délais, le pays entre les mains d'autorités démocratiquement choisies», rapporte l'agence Alterpresse. Les dernières élections remontent à 2016. Le mandat du conseil de transition doit s'achever le 7 février 2026. Mais «la question électorale demeure en suspens», poursuit Alterpresse. Car aucune date de scrutin n'a été avancée pour l'instant. Malgré la violence des gangs, qui contrôlent près de 90% de la capitale Port-au-Prince, «l'année 2026 sera une année électorale», assure le conseiller présidentiel Emmanuel Vertilaire, cité par Le Nouvelliste. Les élections auront lieu dans une «ambiance de sécurité», selon lui. Mais pour Rezo Nodwes, il ne peut y avoir d'élections libres tant que les gangs contrôlent les rues. Le journal s'adresse ainsi au conseil électoral provisoire, et lui lance l'avertissement suivant : «aucune élection n'est valide si la liberté du vote est compromise», écrit le média haïtien. Au Chili, la fin d'une prison dorée pour criminels de la dictature Au Chili, la campagne pour l'élection présidentielle est très polarisée, avant le premier tour prévu le 16 novembre. Les deux favoris pour l'instant sont une communiste - la candidate de la gauche Jeannette Jara - et le candidat d'extrême droite José Antonio Kast. C'est le moment qu'a choisi le président sortant de gauche Gabriel Boric pour annoncer qu'à partir de ce lundi 3 novembre 2025, «au Chili, il n'y a plus de [...] prison spéciale pour les criminels de la dictature qui a dévasté notre pays pendant 17 ans. Cette prison devient définitivement une prison de droit commun.» La prison de Punta Peuco, construite en banlieue de Santiago après la fin de la dictature dans les années 90, comptait un espace barbecue, ou encore des terrains de tennis, «bien loin des conditions réservées aux prisonniers de droit commun», rappelle l'édition chilienne du Monde Diplomatique. La prison de Punta Peuco a été une «concession accordée au pouvoir militaire dont l'ombre planait encore sur [une] démocratie naissante» et «incarnait l'impunité», écrit la chercheuse Rossana Carrasco. Parmi les détenus, un ancien membre des services de renseignements chiliens, Miguel Krasnoff condamné à près de 1 000 années de prison pour des crimes commis sous la dictature. Le candidat d'extrême droite José Antonio Kast lui a rendu visite, il y a quelques années, et n'exclut pas de le gracier s'il est élu. Il a critiqué hier (3 novembre 2025) le changement de statut de la prison au motif que la décision arrive en toute fin de mandat, rapporte El Dinamo.
Les habitants du nord des Caraïbes se réveillent dans les décombres du passage de l'ouragan Melissa. Le nombre de victimes ne cesse d'augmenter. L'ouragan Melissa se dirige désormais vers les Bermudes qu'il devrait atteindre ce soir (30 octobre 2025). L'ouragan a déjà dévasté plusieurs îles des Caraïbes. Haïti paye le plus lourd tribut. En Haïti, le dernier bilan est de 24 morts, 18 disparus et de nombreux blessés, rapporte Le Nouvelliste. Le bilan peut encore évoluer, affirme Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste sur notre antenne. «Le gouvernement semble pris de court, affirme-t-il. On n'a pas encore annoncé de mesures concrètes. Ils sont comme le reste de la population, ils ne savent pas vraiment ce qu'il s'est passé dans les villes de province». Cuba, entre ouragan et blocus Cuba est donc le dernier pays touché par Melissa. Les inondations sont le principal problème pour l'île, estime le site 14 y medio. Des torrents d'eau emportant tout sur leur passage. Les pluies abondantes ont continué même après le passage de Melissa. Le fournisseur d'électricité national a annoncé qu'une grande partie de la population se trouvait sans électricité, mais aussi sans réseau téléphonique. Le pays traverse une grave crise économique et certains habitants des zones sinistrées se sentent abandonnés. «Avant l'arrivée de l'ouragan, les autorités sont venues nous dire de trouver nous-mêmes un endroit où nous mettre à l'abri parce que le gouvernement n'avait pas de lieux où nous évacuer», témoigne Elsa Listy Isacc Reyes jointe par RFI. Cette mère d'un adolescent de 17 ans vit à 40 km de Santiago de Cuba. Sa maison a été détruite. «Moi, je suis allée me réfugier chez ma voisine, ajoute-t-elle. Je n'ai pas reçu d'aide pour l'instant : ni du gouvernement, ni de personne. Je n'ai pas de proches vers qui me tourner. Ma famille et moi, on est vraiment, vraiment désespérés.» Au Brésil, la polémique grandit après l'opération policière à Rio Au Brésil, la population et les autorités tentent encore de comprendre ce qui a transformé une intervention policière contre le crime organisé en bain de sang mardi (28 octobre 2025) dans des favelas de Rio. Le bilan provisoire officiel est de 119 morts dont quatre policiers. C'est l'opération policière la plus meurtrière de l'histoire dans le pays. Pour l'heure, l'identité des morts n'a toujours pas été révélée, mise à part celle de policiers. On ne sait donc pas s'ils étaient visés par le mandat judiciaire de cette opération. Certains habitants dénoncent des exécutions et un juge de la Cour suprême brésilienne a convoqué une audience lundi prochain (3 novembre 2025) pour que le gouverneur de l'État de Rio, Claudio Castro, commanditaire de l'opération fournisse des détails. Mais dans la presse, le débat a déjà commencé. Dans un éditorial de la Folha de Sao Paulo, le journaliste Vinicius Torres Freire accuse la droite d'avoir simplement voulu relancer sa campagne par le sang. Claudio Castro est, en effet, un allié de l'ancien président Bolsonaro. «La droite était acculée, sur la défensive», développe l'éditorialiste. «Les gouverneurs de droite «expriment aujourd'hui leur solidarité» à Claudio Castro — ils tentent de diffuser l'idée que Castro et la sécurité de Rio sont abandonnés par le pouvoir fédéral, par le président Lula notamment.» La Folha précise également que «la gauche n'a jamais été capable de présenter un plan de sécurité, laissant le champ libre à une nouvelle invasion barbare des démagogues de la mort.» Le média O Globo, de son côté, a interviewé l'ancien secrétaire national de la Sécurité publique. Ricardo Balestreri reconnait que le crime organisé exerce «un pouvoir tyrannique sur une large partie du territoire de Rio» mais «aucun criminel important n'habite dans une favela», affirme-t-il. Autrement dit, combattre le crime organisé uniquement dans les quartiers les plus pauvres revient à tromper la population. Chili : Jeannette Jara, candidate de la gauche à la présidentielle Dans deux semaines (dimanche 16 novembre), le Chili se rendra aux urnes pour le premier tour d'une élection présidentielle très polarisée. Les deux candidats qui sont, pour le moment, en tête dans les sondages sont à l'opposé l'un de l'autre. D'un côté, José Antonio Kast à l'extrême droite, face à lui Jeannette Jara, communiste et candidate de la gauche réunie. Il ne leur reste plus que quelques jours pour faire campagne et tenter d'élargir leur base électorale. Jeannette Jara qui a créé un certain engouement surtout chez les femmes. Elle qui est issue d'une famille pauvre et a gravi les échelons un à un, jusqu'à devenir ministre du Travail dans l'actuel gouvernement du président Gabriel Boric. Écoutez le reportage de notre correspondante Naïla Derroisné à Santiago.
Rodrigo Ubilla aseguró este lunes en El Primer Café que el de Gabriel Boric es "uno de los peores, si no el peor" Gobierno de la historia de Chile. El exsubsecretario RN dijo que la actual Administración no ha hecho sino "agravar" los problemas en educación, vivienda y salud. Ricardo Solari (PS) calificó su análisis como "extremadamente sesgado" y aseveró que Piñera "no dejó ningún legado político, excepto un inmenso vacío". Conduce Cecilia Rovaretti.
En una declaración inédita, el presidente chileno Gabriel Boric vinculó directamente al régimen de Nicolás Maduro con el asesinato del exteniente venezolano Ronald Ojeda, asilado en Chile y secuestrado en febrero de 2024.
Buenos días. Es lunes y el foco de atención estará puesto en lo que ocurra a contar de las 16:30 horas en la Cámara de Diputados, donde se definirá el futuro de dos proyectos clave: el que fija una multa para quienes no concurran a votar en las elecciones de noviembre, y el que aumenta las restricciones para los votantes extranjeros avecindados en Chile (de ser aprobado, este último comenzaría a regir después de los comicios de este año). Pareciera haber acuerdo entre el oficialismo y la oposición para sacar adelante ambas iniciativas, pero hasta anoche algunos diputados ponían en suspenso su voto. La semana tendrá otro hito: mañana, a más tardar, el gobierno de Gabriel Boric deberá presentar la Ley de Presupuesto para 2026, que seguramente tendrá una tramitación difícil tras los cuestionamientos que han levantado Chile Vamos y Evelyn Matthei. Uno de los ítems en donde la oposición pondrá especial atención es en los recursos que destinará Cancillería para la campaña de Michelle Bachelet a la ONU.
Hablamos del papel que está jugando América Latina y España en la Asamblea General de las Naciones Unidas, que celebra su 80 aniversario. Prestando especial atención a las intervenciones del presidente brasileño Lula Da Silva que ha coincidido con su homólogo estadounidense Donald Trump, enfrentados desde el mes de julio. También, comentamos los discursos del rey de España, Felipe VI, y las propuestas del presidente de Chile, Gabriel Boric, y el de Argentina, Javier Milei. Además, hablamos de la asistencia de México y la ausencia de Venezuela, Cuba o Nicaragua.A continuación, Nico Gómez nos cuenta la primera gira por España del grupo argentino Nice Guys, que rinde tributo a la reconocida banda estadounidense Green Day.Escuchar audio
Repasamos la actualidad que nos lleva de nuevo a Nueva York donde líderes de todo el mundo exponen su postura frente a los desafíos actuales, como el Felipe VI, rey de España, que imploraba el fin de la masacre en Gaza y defendía los valores de la ONU. También el presidente de Chile, Gabriel Boric, quien criticaba el discurso negacionista de Trump cuestionando a la propia ONU. Después, llevamos otras noticias desde México, Colombia o Argentina. Y a continuación, nos sumergimos en la gastronomía de Ecuador, con el chef Miguel Xavier Monar, que presenta su recetario el recetario El país donde se cocina lento. Escuchar audio
Confira os destaques do Jornal da Manhã desta segunda-feira (22): O presidente Luiz Inácio Lula da Silva (PT) desembarcou em Nova York neste domingo (21) para participar da Assembleia Geral da ONU. Como manda a tradição, o Brasil abrirá os discursos na terça-feira (23). Já na quarta (24), Lula participa da segunda edição do evento Em Defesa da Democracia e Contra o Extremismo, ao lado de líderes de cerca de 30 países, incluindo Gabriel Boric e Pedro Sánchez. Reportagem: Igor Damasceno. A 80ª sessão da Assembleia Geral da ONU começa nesta terça-feira (23), em Nova York, reunindo chefes de Estado de todo o mundo. Entre os principais temas estão o reconhecimento do Estado da Palestina, a busca por um cessar-fogo em Gaza, os esforços pelo fim da guerra na Ucrânia, além de debates sobre paz e segurança internacional.Reportagem: Luca Bassani | Comentarista: Thulio Nassa. O presidente da Argentina, Javier Milei, se encontrará com o presidente dos Estados Unidos, Donald Trump, nesta terça-feira (23), em Nova York. O encontro ocorre em meio a turbulências no mercado financeiro argentino após derrota em eleição local. Reportagem: Eliseu Caetano. Essas e outras notícias você acompanha no Jornal da Manhã. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Au Chili, des actes de vandalisme ont eu lieu à l'extérieur de la synagogue Bicur Jolim dans le centre de Santiago. Depuis les attaques du 7 octobre, ce n'est pas la première fois qu'elle est prise pour cible et d'autres lieux de cultes juifs ont également été vandalisés. Dans une lettre adressée au président chilien, la rapporteuse spéciale des Nations unies sur la liberté de religion ou de conviction se dit préoccupée face à une possible augmentation de l'antisémitisme au Chili. De notre correspondante à Santiago, Les murs de la plus vieille synagogue de la capitale ont retrouvé leur couleur jaune originelle. Il y a quelques jours, trois individus, le visage caché, ont jeté de la peinture rouge sur la façade extérieure du bâtiment alors qu'une vingtaine de fidèles était réuni pour la célébration de Shabbat. Cet homme, qui préfère témoigner anonymement, est chilien de confession juive, il était présent ce soir-là : « Ils ont aussi lancé des pamphlets contre Netanyahu. Ils n'étaient que trois, donc on n'a pas vraiment eu peur ». Mais quelques jours plus tard, lors d'un évènement non-religieux organisé à la synagogue où il est encore présent, une quinzaine de personnes s'était réunie à l'extérieur de l'édifice. « Ils criaient qu'ils étaient pour la Palestine et contre Israël, qu'on était des génocidaires et qu'on devait partir du Chili. Mais ici, la majorité d'entre nous, on est chiliens ! », poursuit-il. « Il serait temps qu'on commence à parler d'actes antisémites » Selon Gabriel Silber, porte-parole de la Communauté juive du Chili, ce type d'attaque n'est pas nouveau dans le pays. Mais après le 7 octobre, il y a eu un tournant. « Il y a une escalade des actes antisémites. Et très souvent, ces actes se cachent derrière un discours anti-israélien ou même antisioniste. Mais au bout du compte, les destinataires de ces attaques, ce sont les membres de la communauté juive locale, affirme Gabriel Silber. On peut comprendre la légitime position que chacun peut avoir par rapport à ce qu'il se passe au Moyen-Orient. Mais ce qu'on ne peut pas faire, c'est importer le conflit et installer des discours de haine, que ce soit de la part d'autorités ou d'influenceurs, qui finalement vont affecter la communauté juive du Chili. » Le président chilien a condamné « sans nuances » le vandalisme contre la synagogue de Santiago. Gabriel Boric qui fait partie des leaders internationaux qui se positionnent fermement sur le conflit au Moyen-Orient. Il le faisait encore en juin dernier face aux parlementaires chiliens. « Je vous exhorte à ne pas vous battre entre vous, entre peuples, car le responsable ici est un gouvernement, un gouvernement génocidaire, et non le peuple d'Israël. Nous condamnons catégoriquement le terrorisme du Hamas et exigeons la libération de tous les otages », avait-il alors déclaré. Malgré ces mots, les juifs du Chili ne se sentent pas suffisamment soutenus et protégés. « Il serait temps qu'on commence à parler d'actes antisémites au Chili, reprend Gabriel Silber. Nous sommes aussi chiliens, il faut le comprendre ! Et nous méritons le respect de la part de nos autorités. » Un appel qui semble avoir été entendu, car après le deuxième indicent survenu à l'extérieur de la synagogue de Santiago, le ministre chilien de la Sécurité publique s'est entretenu en privé avec des représentants de la Communauté Juive du Chili. À lire aussiAu Chili, la communauté palestinienne demande des sanctions contre Israël
Latin America expert Ian Bezek returns for a deep dive into Chile's presidential election. Timestamps 0:00: Intro begins 0:35: Venezuela invasion 1:35: Intro ends 3:36: Interview begins 4:38: Polymarket odds 4:55: Chilean history 5:45: Pinochet 8:06: Chilean democracy 9:19: Ideologies of Chilean candidates 10:09: 2021 election 11:19: Boric's failures 12:20: Regional waves 13:43: First round 14:51: Left-wing primary 15:47: Kast 19:47: Kast's electability 20:16: Kast's professional bio 21:47: Kast's political skill 22:20: Jara 23:43: Latin American left 27:17: Jara's view on mining 29:57: Comparisons to other Latin American leftists 31:48: Matthei 32:39: Parisi 33:18: Kaiser 34:28: Kaiser polling 35:00: Latin American libertarians and immigration 36:02: First round winner 38:47: Polling 39:45: Bezek's recommended combo play 40:01: Overall winner 42:32: Why Polymarket underpricing Kast 43:41: Potential surprises 44:04: Financial markets 44:45: Tariffs 48:44: Venezuela invasion 50:15: Equity plays 51:35: ETFs 52:01: Banco de Chile 52:21: Chilean peso 52:34: How to follow election 53:16: How to interpret polls 54:31: Implications for other Latin American candidates 54:57: Follow Bezek 55:46: Interview ends 56:00: Upcoming meetups Follow Star Spangled Gamblers on Social Twitter/X: @ssgamblers YouTube: https://www.youtube.com/@starspangledgamblers1029 Tiktok: https://www.tiktok.com/@starspangledgambl7 Bet on Latin American politics at Polymarket.com, the world's largest prediction market. Forecasting Meetup Network Join the community of prediction market traders, rationalists, effective altruists, sports bettors, and other forecasters coming together to improve humanity's ability to predict the future. Upcoming meetups: DC: Thu, Sep 18th at 6pm. Details and RSVP here. Boston: Mon, Sep 22nd at 6pm. Details and RSVP here. https://forecastingmeetupnetwork.kit.com/eb6374e5e8
Deux mois de meetings, de distribution de tracts et d'interventions dans les médias jusqu'à la présidentielle du 16 novembre... La campagne électorale commence ce mercredi (17 septembre 2025) au Chili. Comme l'explique la correspondante de RFI à Santiago, Naïla Derroisné, les Chiliens qui sont obligés de voter sous peine d'amende, devront choisir entre huit candidats. Deux d'entre eux sont en tête des sondages : la candidate de la gauche, la communiste Jeannette Jara, et José Antonio Kast, représentant de l'extrême droite. Jeannette Jara fait la course en tête. «Issue d'une famille pauvre, elle s'est politisée très jeune», raconte Naïla Derroisné. Avant de lancer sa candidature à la présidentielle, elle était ministre du Travail sous l'actuel gouvernement. Elle a notamment fait approuver la semaine des 40 heures, l'augmentation du salaire minimum ou encore la difficile réforme des retraites. Pour l'emporter, il lui faudra parvenir à élargir sa base. Ses adversaires ne manqueront pas de souligner qu'elle est communiste quand elle se présente avant tout comme la candidate de la gauche réunie. José Antonio Kast la talonne dans les sondages. Les Chiliens le connaissent bien. Il avait surpris en 2021 en se qualifiant pour le second tour, avant de s'incliner face à l'actuel président Gabriel Boric. Élu député deux fois, il a fondé le parti républicain, à l'extrême droite, et n'a jamais caché son admiration pour Augusto Pinochet. En quelques années, il a gagné en popularité auprès des Chiliens, s'inspirant de figures comme Donald Trump, Jair Bolsonaro ou encore Javier Milei, tout en se différenciant d'eux par son respect des institutions. La candidate de la droite traditionnelle et conservatrice, Evelyn Matthei, pourrait, toutefois, lui faire de l'ombre. Des programmes totalement opposés José Antonio Kast met l'accent sur les sujets de sécurité, de délinquance et de narcotrafic, au cœur des préoccupations des Chiliens. Il promet des peines plus lourdes et des prisons de haute sécurité, quand Jeannette Jara prône plutôt la prévention et un État social fort. Sur l'immigration – en hausse depuis plusieurs années dans le pays – et le rôle de l'État, là aussi les deux candidats s'opposent. La difficile rentrée scolaire en Haïti La rentrée des classes aura lieu le 1er octobre, à Port-au-Prince. Cette date, tout comme les conditions dans lesquelles les élèves vont reprendre les cours font débat. Plusieurs établissements publics ne sont pas en mesure d'ouvrir, et les autres privés auraient préféré démarrer plus tôt pour ne pas perturber encore un peu plus l'année scolaire. Jean Gérard Fleuriot, directeur du Lycée Jean-Jacques Dessalines qui se trouvait à l'Avenue Christophe, zone aujourd'hui contrôlée par les gangs, ne sait pas où les cours auront lieu. «Sans local, il est impossible de parler de préparatifs. Même les inscriptions, nous ne pouvons pas les faire», regrette-t-il au micro de notre correspondant Peterson Luxama. Sans attendre la date officielle, d'autres établissements, notamment privés, ont déjà ouvert leurs portes et commencé les cours. Ils se sont vu rappeler à l'ordre par le ministère de l'Éducation nationale. Marguerite Clérié, membre de l'Association des écoles privées d'Haïti, estime qu'il est urgent de retrouver le chemin de l'école, notamment pour les enfants défavorisés qu'il faut «protéger des rues et de l'emprise des gangs.» Certains parents d'élèves sont également pour un retour en classes, à l'image de Jean-Fritz, chauffeur de taxi-moto et père d'une fillette. Non seulement ça donnerait plus de temps aux enfants pour apprendre, mais en période scolaire, il gagne beaucoup plus d'argent avec sa moto, a-t-il raconté à Peterson Luxama. Mais d'autres regrettent une éducation à plusieurs vitesses. Certaines écoles ont ouvert leurs portes avant la date fixée par le ministère, tandis que les autorités peinent à intervenir. Une réalité reflétant les fragilités du système éducatif national. Le journal de la 1ère En Guadeloupe, l'association de l'aide à l'enfance et à l'adolescence (AAEA) fondée en 1981, est pointée du doigt et sera bientôt placée sous administration provisoire. Certains de ses membres ont touché des primes et des avantages non prévus par la loi.
"Yasna Lewin, Mirna Schindler y Alejandra Matus conversan con el presidente Gabriel Boric sobre los principales hitos de su gestión: liderar en tiempos de crisis global, la defensa de la democracia, el riesgo de la desinformación y las fake news, sus políticas sociales y de seguridad, los aprendizajes de su trayectoria y los avances del Plan Nacional de Búsqueda. También comentan la red de desinformación en favor de Kast revelada por CHV, presuntamente encabezada por un director ejecutivo de Canal 13, y el debate sobre voto obligatorio, sufragio de migrantes y multas por no votar."
"Fue un fracaso, fue una farra y no había poco de embriaguez y borracheras", reflexionó el periodista y exconvencional Patricio Fernández, a tres años del plebiscito constitucional en el que la opción "rechazo" se impuso sobre el "apruebo" con un 62%. En entrevista con El Diario de Cooperativa, sostuvo que las pasiones "se volvieron caricaturescas" dentro y fuera de la Convención, y que la derrota "determinó" al Gobierno de Gabriel Boric, que "cambió de corazón y de enfoque" para dar paso a una nueva etapa política. Conduce Verónica Franco y Rodrigo Vergara.
Il 3 luglio, la Camera dei rappresentanti degli Stati Uniti ha approvato One big beautiful bill, il vasto disegno di legge su tasse e spesa pubblica voluto dal presidente Donald Trump. Con Alessio Marchionna, editor di Stati Uniti di Internazionale. In Cile la comunista Jeannette Jara, ex ministra del lavoro del presidente Gabriel Boric, ha vinto il 29 giugno le primarie della coalizione di centrosinistra. Con Elena Basso, giornalista, da Buenos Aires.Oggi parliamo anche di: Scienza • “La cultura cambia il modo in cui vediamo il mondo“ di Nala Rogershttps://www.internazionale.it/magazine/nala-rogers/2025/07/03/la-cultura-cambia-il-modo-in-cui-vediamo-il-mondoLibro • Giò Stajano, Roma capovolta (Feltrinelli)Ci piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti
Trouxemos uma conversa com o jurista palestino Muhammad Dahleh, além de observamos o movimento das peças no sempre complicado tabuleiro do Oriente Médio.Demos aquele tradicional pião pela nossa quebrada latino-americana, com destaque para as eleições judiciais no México e a última "cuenta pública" do presidente chileno Gabriel Boric.Por fim, repercutimos os desdobramentos da guerra na Ucrânia, com o ataque contra a aviação estratégica russa e as conversas de cessar-fogo.Aprenda tecnologia com a Alura com nosso desconto: https://alura.tv/xadrezverbalAgende uma reunião com a Rio Claro Investimentos: http://rioclaro.com.br/xadrezverbalCampanha e comunicado sobre nosso amigo Pirulla: https://www.pirulla.com.br/