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Duminica, Ianuarie 26 - Cv. Xenofont, sotia sa Maria si fiii lor Arcadie si Ioan
Cette semaine, nous sommes encore plus chics que d'habitude car nous évoquons nos flatulences minute 2. Merci à Pauline pour le montage de cet épisode.Suivez Manon Bril sur YouTube et sur InstagramPour écouter le 5ème Quart d'Heure, abonnez-vous à Acast+ comme ceci :Téléchargez une application de podcasts (Apple Podcasts, Podcast Addict, Castbox...) : elles sont toutes gratuites ! (l'abonnement ne fonctionne pas sur les applications de streaming : Spotify, Deezer, Amazon Music). Cliquez sur le lien suivant : https://plus.acast.com/s/4-quarts-dheure.Attention, les formules d'abonnement proposées sont hors TVA.Les ups et downs de cet épisode :Le down de Alix : son chien qui lui fout la honteLe up de Camille : sa vie paisible et le film de Jacques Audiard Emilia PérezLe down de Kal : la pièce « Arcadie » au théâtreLe up de Louise : sa switch Ce dont on parle :Emilia PérezLe roman « Arcadie », de Emmanuelle Bayamack-Tam Le jeu « The cosmic Wheel Sisterhood »Suivez-nous sur Instagram :Louise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnKalindi : @kalramphulCamille : @camille.lorente Abonnez-vous au 5ème Quart d'heure ici : https://plus.acast.com/s/4-quarts-dheure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mathieu Brunet : président d'Arcadie et co-fondateur de WindcoopArcadie, leader des épices et des plantes séchées bio en France sous les marques Arcadie Epices Cook et tisanes Herbier de France, est co-fondateur et chargeur de la compagnie Windcoop. Ce fils d'agriculteurs décide d'importer les premières épices bio au monde dans les années 90. Installée dans le Gard près d'Alès, Arcadie emploie une centaine de salariés et réalise 18 M€ de CA. De sa rencontre avec Nils Joyeux fondateur Zéphyr et Borée et Julien Noé d'Enercoop, il s‘engage dans la construction d'un voilier porte-conteneurs de 30 M€. Mesurant 89 m de long pour près de 200 Evp de capacité, le navire reliera Marseille à Madagascar.Un podcast écrit, réalisé et monté par Nathalie Bureau du Colombier. Voix générique Eddy Creuzet Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cher•es ami•es auditeur•ices, Bienvenue dans cette nouvelle saison des podcasts du TDB ! Pour ce deuxième épisode, nous sommes en compagnie de l'autrice Emmanuelle Bayamack-Tam et de la comédienne Constance Larrieu, à l'affiche d'Arcadie - à découvrir au Théâtre de Belleville jusqu'au 30 novembre. + d'info : https://www.theatredebelleville.com/arcadie
Retrouvez Kalindi Ramphul en librairie avec « Les Jours Mauves » mais aussi dans le podcast Quatre Quarts d'Heure et sur instagram.« Arcadie » est une pièce mise en scène par Sylvain Maurice, adaptée du roman éponyme d'Emmanuelle Bayamack-Tam, à retrouver au Théâtre de Belleville. Get bonus content on Patreon Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La marque Arcadie se scinde en deux groupes : le côté « Cook » et le côté « herbier ». Au quotidien, ils fabriquent des épices et des plantes médicinales. Mais si leur raison d'être est engagée pour l'environnement, Matthieu Brunet veut aller plus loin : partager son mode de fonctionnementet inspirer.C'est l'une des raisons pour lesquelles il travaille actuellement à la création d'un voilier qui ira jusqu'à Madagascar pour importer lui-même ses produits.Un autre de ses objectifs est de mettre l'entreprise au service de l'humain. Pour cela, depuis 2017, l'holacratie est une valeur première. « Cela empêche le micro-management, où on nous donne des projets mais où on nous fait constamment des reproches cachés derrière des conseils. »Journaliste : Grace Leplat / Réalisateur : Thomas Rouvillain /Production : natif.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vineri, Ianuarie 26 - Cv. Xenofont, sotia sa Maria si fiii lor Arcadie si Ioan
À travers des enregistrements spontanés, je vous invite à explorer avec moi mon univers créatif, autour de l'élaboration de mes projets d'écriture. Pas à pas, je partage avec vous mes humeurs, mes réflexions, les problématiques que je rencontre, les questions et les doutes qui m'assaillent, les idées fulgurantes qui me traversent. Le but de ce podcast : vous faire vivre mon processus créatif en train de se faire, en passant par toutes les étapes de la création d'un livre. Si vous écrivez vous-même ou que vous êtes intéressés par les secrets de fabrication, vous pourrez donc vous y retrouver et piocher quelques conseils, des pistes de travail et de réflexion, voire même des sources d'inspiration. Dans cet épisode où je reviens sur L'essai comique, je vous parle de personnages genrés, de vie privée, de choix, d'humour, de profession en lien avec l'écriture, de lectures inspirantes, de titre de travail et de bien d'autres choses ! Les références abordées dans cet épisode : Podcast : — Écrire sans ratures de Camille David — Bookmakers d'Arte Radio – Entretien avec Frédéric Martin — La page blanche d'Emilie Deseliène – (#41-Joy Majdalani : la passion au grand jour) Livres : — L'art de la joie de Goliarda Sapienza – Éditions le Tripode — Le fou et l'assassin de Robin Hobb – Pygmalion — Le goût des garçons de Joy Majdalani – Grasset — Les gratitudes de Delphine de Vigan – JC Lattès — La vraie vie d'Adeline Dieudonné – L'Iconoclaste — Liv Maria de Julia Kerninon – L'Iconoclaste — L'autre Molière d'Ève de Castro – L'Iconoclaste — Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates d'Annie Barrows et Mary Ann Shaffer - NiL Éditions — Arcadie d'Emmanuelle Bayamack-Tam – P.O.L. — Le silence d'Isra d'Etaf Rum – L'observatoire — Croire aux fauves de Nastassja Martin – Verticale Si vous aimez ce podcast, vous pouvez vous y abonner, mettre des étoiles, me laisser des commentaires sur Apple podcast, ITunes, Spotify ou encore le partager autour de vous. Et si vous souhaitez échanger avec moi, rendez-vous sur Instagram @aureliahorner ! Je serais ravie de vous y retrouver ! Enfin, pour accéder à ma chaîne YouTube Aurelia (se) raconte c'est par ici : https://www.youtube.com/channel/UCz3tpviTkDXHOeFhWeUhimQ Bonne écoute !
C'est l'été et 4 Quarts d'Heure (et le 5ème quart d'heure) continue pendant toute la saison ! On débute la « Summer Edition » du podcast avec nos meilleures recommandations culturelles pour chiller sur la serviette ou décéder de chaleur dans sa chambre de 9m2, c'est selon.Pour écouter le 5ème quart d'heure, abonnez-vous à Acast+ comme ceci :Téléchargez une application de podcasts (Apple Podcasts, Podcast Addict, Castbox...) : elles sont toutes gratuites ! (L'abonnement ne fonctionne pas sur les applications de streaming : Spotify, Deezer, Amazon Music). Cliquez sur le lien suivant : https://plus.acast.com/s/4-quarts-dheureAttention, les formules d'abonnement proposées sont hors TVA.Toute la culture de cet épisode :La reco de Camille : la série « En Place » sur NetflixLa reco d'Alix : le livre « Star » de Guillaume PoixLa reco de Louise : le podcast « La Chamade » de Samia Miskina et le livre « La maison au milieu la mer céruléenne » de TJ KluneLa reco de Kalindi : le livre « Si tout n'a pas péri avec mon innocence » d'Emmanuelle Bayamack-TamDans cet épisode, on parle de ça :La série « Jusqu'ici tout va bien » de Nawel MadaniLes ateliers d'écriture de Guillaume PoixNicole GarciaLa pièce de théâtre « Miss None » de Guillaume PoixLa saison 4 de « Never Have I Ever » / « Mes Premières Fois »Le livre « Arcadie » d'Emmanuelle Bayamack-TamLe livre « La treizème heure » d'Emmanuelle Bayamack-TamLe livre « Les garçons de l'été » de Rebecca Lighieri (pseudo de EBT)Le film « Beau Is Afraid » de Ari AsterLe livre « La Conjuration des Imbéciles » de John Kennedy TooleLe livre « Karoo » de Steve TesichLes livres « American Psycho » et « Glamorama » de Bret Eston EllisLa série « Succession »Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur :Apple PodcastsSpotifyDeezerPodcast AddictSuivez-nous sur Instagram :Louise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnKalindi : @kalramphulCamille : @camille.lorente Abonnez-vous au 5ème Quart d'heure ici : https://plus.acast.com/s/4-quarts-dheure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue sur Aventure Humaine ! Aujourd'hui, nous avons le privilège de recevoir Matthieu Brunet, le président d'Arcadie. Matthieu nous dévoile le parcours captivant d'Arcadie, une entreprise établie par ses parents dans les années 90 et qui connaît une croissance hallucinante depuis ces trois dernières années. Matthieu nous livre une perspective exhaustive des complexités de la gestion d'une entreprise familiale dans le monde actuel, abordant des sujets tels que l'impact de la demande croissante pour les produits biologiques et les effets de la pandémie sur le secteur. Vous apprendrez notamment comment Arcadie a réussi à s'adapter brillamment au marché en évolution, en intégrant l'approvisionnement local et la résilience dans leur modèle d'affaires. Matthieu nous emmène dans un voyage historique et fascinant à travers le monde des épices et leur lien avec le commerce maritime, le capitalisme et la traite des esclaves. Tout en discutant de ces questions complexes, nous découvrons la dernière aventure d'Arcadie : la création d'un voilier coopératif pour promouvoir le transport éthique et la responsabilité sociale. Matthieu partage les défis de la mise en place de ce projet innovant et l'importance de construire des partenariats forts et de confiance avec leurs partenaires à Madagascar. Vous découvrirez comment cette méthode innovante et écologique de transport des marchandises qui, en plus d'économiser le carburant, favorise l'approvisionnement local. Enfin, nous abordons le sujet de l'holacratie, un style de gestion distinctif adopté par Arcadie qui privilégie l'autonomie et l'initiative parmi les employés. Matthieu nous ouvre sur ses expériences en tant que dirigeant d'Arcadie, en mettant en place de nouveaux outils de gestion et en encourageant le sens de l'autonomie et de l'initiative au sein de l'entreprise. Embarquez avec nous dans cet incroyable voyage pour découvrir l'esprit d'entrepreneuriat, la responsabilité sociale et la durabilité dans le monde des affaires d'aujourd'hui. Ouvre tes oreilles et ton carnet ! Avec Matthieu, on a parlé de : Windcoop L'Herbier de France & Les épices Cook MKP France Frédéric Laloux David Marquet Méthode Toscane Holacracy Nils Joyeux - Zéphyr & Borée Les Licoornes Terres de liens Cette émission est produite par Podcast Mania. Pour nous soutenir, tu peux déposer un commentaire et noter l'épisode juste ici. Cela nous aide énormément
Bienvenue sur Aventure Humaine ! Cet épisode est un extrait de notre échange avec Matthieu Brunet. L'intégralité sera publiée demain... alors patience ! Nous espérons qu'il te donne envie d'écouter toute son aventure qu'il nous partage avec beaucoup de générosité. Pour découvrir l'épisode complet, tape "#94 - Matthieu Brunet" sur ta plateforme préférée. Belle écoute à toi ! Cette émission est produite par Podcast Mania. Pour nous soutenir, tu peux déposer un commentaire et noter l'épisode juste ici. Cela nous aide énormément
Znám ho dobře už od dob studií. Ale když jsem během příprav nové výstavy po dlouhém čase pandemie a nekonečném uzavření hradu za prezidenta Zemana do něho znovu mohl vstoupit, jen tak se procházet arkádami, toulat se po okolních zahradách, vyjít nahoře na terasu a podívat se proti proudu Vltavy na jih, někam za horizont až tam, kde leží bájná Arcadie, zmocnilo se mě nadšení a radost z místa, architektury, světa, jako už dlouho ne.Všechny díly podcastu Ranní úvaha můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
Ce vendredi 16 septembre, les activités de Windcoop, une compagnie maritime militantes et bas carbone sous statut de coopérative ont été abordées par Cyrielle Hariel et Matthieu Brunet, président d'Arcadie et fondateur de Windcoop dans la chronique La pépite RSE, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:08:00 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - L'écrivaine Emmanuelle Bayamack-Tam, lauréate du prix du livre Inter 2019 pour son roman Arcadie, est invitée pour des questions autour de son nouveau livre, La treizième heure, paru le 18 août 2022 aux éditions P.O.L.
*Cet épisode a été réalisé grâce au soutien d'Arcadie, je les remercie de soutenir Basilic* Cette semaine, Jeane reçoit Mégane Forestier et Julie Raymond, toutes deux salariées de l'entreprise Arcadie. L'histoire d'Arcadie est une histoire fabuleuse qui mérite pleinement d'être racontée au micro de Basilic. Cette aventure débute à la fin des années 1970, alors que l'agriculture biologique est encore marginale. Dominique et Bernard Kimmel, deux étudiants (faculté de psychologie pour elle, sciences politiques et faculté de mathématiques pour lui), laissent tomber leur avenir tout tracé dans une société dont ils ne partagent plus les valeurs. Ils se lancent alors dans l'une des premières productions françaises de plantes médicinales et aromatiques issues de culture biologique. En 1990, Dominique et Bernard créent Arcadie, Cook et l'Herbier de France. C'est le début d'une très belle aventure. 32 ans plus tard, l'entreprise familiale existe toujours et ce sont les enfants du couple fondateur qui ont repris le flambeau. Dans cet épisode, Mégane et Julie nous partagent la belle histoire d'Arcadie. Au fil de cette conversation, vous en apprendrez davantage sur les épices et leur utilisation. Il est certain qu'après avoir écouté cet épisode, vous n'utiliserez plus vos gousses de vanille de la même façon ! Liens utiles pour suivre l'épisode : Arcadie : https://www.arcadie.fr/ Instagram : s'abonner Soutenir Basilic : instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.com Production : Jeane Clesse Musique : @Klein Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Mix : Jeane Clesse Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.
Le déclic de Mégane est arrivé lorsqu'elle est tombée enceinte. Elle s'est dit qu'elle pouvait agir positivement pour la planète dans sa vie personnelle mais aussi dans sa vie professionnelle. Elle a donc rejoint l'entreprise à impact ARCADIE comme chargée de communication digitale et elle nous partage ses apprentissages au sujet de la communication responsable : Accepter que c'est un vrai travail de fond Savoir se remettre en question Créer des liens sains et durables au sein de l'entrepriseLes réalisatrices de ce podcast : Camille Porier et Claire MarcVécus est un podcast collaboratif de Ticket for Change, fait par et pour les acteurs de changement. Pour suivre nos actualités : https://bit.ly/3eWoVRx Toi aussi tu veux apprendre à faire des podcasts et pourquoi pas devenir podcasteur Vécus ? Suis notre formation en ligne : https://bit.ly/3uYb3Nf Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, Emmanuelle Bayamack-Tam revient sur ses “lectures omnivores”, ses premiers travaux d'écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d'adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon... Emmanuelle Bayamack-Tam ressemble à un personnage de fiction. On l'imagine bien, en forçant à peine le trait, jouer son propre rôle au cinéma : celui d'une écrivaine reconnue, aussi altière et tranchante que sa plume, sur laquelle des étudiant.e.s pourraient se pencher pour rédiger leurs travaux universitaires. Elle expliquerait aux un.e.s et aux autres, comme dans ce podcast, la façon dont elle fait vivre ses personnages mutants et travaille ses obsessions romanesques depuis l'enfance. Autrice de 12 romans sous son nom et de 4 autres signés du pseudonyme Rebecca Ligheri, Emmanuelle Bayamack-Tam construit une œuvre exigeante et extravagante, qui transgresse les codes, et ne craint jamais de déranger le lecteur, voire de le transformer. L'un de ses derniers romans, “Arcadie” (POL), met en scène une adolescente de 14 ans, Farah, qui grandit dans une communauté libertaire au sein d'un lieu situé en zone blanche, nommé “Liberty house” et se lance dans une enquête très personnelle sur son identité sexuelle. On retrouve dans ce livre ce qui fait la singularité d'Emmanuelle Bayamack-Tam. Une audace subversive, un mélange d'érudition et d'humour familier et surtout une façon unique de questionner le corps, le genre, la monstruosité et la normalité. Dans cet épisode, l'écrivaine revient sur ses “lectures omnivores”, ses premiers travaux d'écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d'adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon, à 17 ans, dans des circonstances terriblement intimidantes. Nous ouvre les coulisses de sa création, en décrivant précisément ses systèmes de brouillon et son rapport, de plus en plus assumé à deux piliers essentiels de sa liberté d'écriture : d'une part le pseudonyme et d'autre part, l'emprunt. En juin 2021, Emmanuelle Bayamack-Tam avait animé à l'école Les Mots une masterclass en tandem avec le jeune romancier Hugo Lindenberg sur le thème “faire vivre ses personnages”. Elle en a tiré une autre masterclasse sur le même thème que vous pouvez visionner en replay à tout moment. https://lesmots.co/atelier/masterclass-faire-vivre-ses-personnages-avec-emmanuelle-bayamack-tam Extrait lu dans l'épisode “Arcadie” d'Emmanuelle Bayamack-Tam (POL) Page 14 Crédits pour l'épisode 21 Création et réalisation : Lauren Malka. Montage : Noémie Sudre Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout.
Dreams haunt Bradford and Shawn during their stay at Arcadie, as the weather begins to deteriorate. You can download "Et in Arcadia Ego" right here .Music by: Atrium Carceri. Used with permission from Cryo Chamber.Sponsored by: HelmgastOur Champions of the Red Moon: Martin Heuschober, Nastasia Raulerson, Simon Cooper, David, Julia, Camilla, Ludwig Manford, Bob de Lange, Julián, Cameron, Ryan F and Xabier.Web: https://www.redmoonroleplaying.comiTunes: http://apple.co/2wTNqHxAndroid: http://bit.ly/2vSvwZiYoutube: https://www.youtube.com/RedMoonRoleplayingSpotify: https://spoti.fi/30iFmznRSS: http://www.redmoonroleplaying.com/podcast?format=rssPatreon: https://www.patreon.com/RedMoonRoleplaying
Aïda l'a toujours su : elle est une patate douce. De son côté, Mathis cherche le parfait légume gentrifié mais pas de chance, Mymy l'a devancé grâce à la culture manga. Prochainement, une édition aigrie de l'émission : Laisse-moi seumer (du maïs). Au programme, coup de gueule, déceptions et mauvaise humeur.En attendant, on recherche activement les éditeurs de logiciels pour les balances à légumes dans les supermarchés. Soyons honnête, Kalindi risque de leur jeter quelques tomates ! En somme, du haut niveau dans cet épisode cinéphile, littéraire et sérivore, un des plus clivants à coup sûr.Pour rappel, vous pouvez voter sur notre compte Instagram pour trouver le mot de la fin à l'aide de la story à la une !Ce dont on parle dans ce nouvel épisode de Laisse-moi kifferLe compte instagram @la__tannerieLe bandeau pour s'endormir en musiqueRester assis jusqu'à la fin du génériqueLe film Benedetta de Paul VerhoevenLe film Jusqu'à la garde de Xavier LegrandLe film The Tree of Life de Terrence MalickLa série Gilmore Girls d'Amy Sherman-PalladinoLa série The Marvelous Mrs Maisel d'Amy Sherman-PalladinoLe livre Arcadie d'Emmanuelle Bayamack-TamLe livre Les garçons de l'été de Rebecca Lighieri (Emmanuelle Bayamack-Tam)L'autrice Capucine DelattreLa série Ted Lasso de Bill Lawrence, Jason Sudeikis, Brendan Hunt et Joe KellyCRÉDITSLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté et produit par Mymy Haegel. Avec Kalindi Ramphul, Aïda Djoupa et Mathis Grosos. Réalisation et édition : Mathis Grosos. Rédaction en chef : Mymy Haegel. Direction de la rédaction : Mélanie Wanga. Direction générale : Marine Normand.Mettez-nous 5 étoiles sur Apple Podcasts avec un commentaire pour soutenir Laisse-moi kiffer !Suis-nous sur Instagram : Laisse-moi kiffer : @laissemoikifferMymy : @mymyhglKalindi : @kalramphulAïda : @aitremadeaMathis : @mathisgrosos Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Aïda l'a toujours su : elle est une patate douce. De son côté, Mathis cherche le parfait légume gentrifié mais pas de chance, Mymy l'a devancé grâce à la culture manga. Prochainement, une édition aigrie de l'émission : Laisse-moi seumer (du maïs). Au programme, coup de gueule, déceptions et mauvaise humeur.En attendant, on recherche activement les éditeurs de logiciels pour les balances à légumes dans les supermarchés. Soyons honnête, Kalindi risque de leur jeter quelques tomates ! En somme, du haut niveau dans cet épisode cinéphile, littéraire et sérivore, un des plus clivants à coup sûr.Pour rappel, vous pouvez voter sur notre compte Instagram pour trouver le mot de la fin à l'aide de la story à la une !Ce dont on parle dans ce nouvel épisode de Laisse-moi kifferLe compte instagram @la__tannerieLe bandeau pour s'endormir en musiqueRester assis jusqu'à la fin du génériqueLe film Benedetta de Paul VerhoevenLe film Jusqu'à la garde de Xavier LegrandLe film The Tree of Life de Terrence MalickLa série Gilmore Girls d'Amy Sherman-PalladinoLa série The Marvelous Mrs Maisel d'Amy Sherman-PalladinoLe livre Arcadie d'Emmanuelle Bayamack-TamLe livre Les garçons de l'été de Rebecca Lighieri (Emmanuelle Bayamack-Tam)L'autrice Capucine DelattreLa série Ted Lasso de Bill Lawrence, Jason Sudeikis, Brendan Hunt et Joe KellyCRÉDITSLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté et produit par Mymy Haegel. Avec Kalindi Ramphul, Aïda Djoupa et Mathis Grosos. Réalisation et édition : Mathis Grosos. Rédaction en chef : Mymy Haegel. Direction de la rédaction : Mélanie Wanga. Direction générale : Marine Normand.Mettez-nous 5 étoiles sur Apple Podcasts avec un commentaire pour soutenir Laisse-moi kiffer !Suis-nous sur Instagram : Laisse-moi kiffer : @laissemoikifferMymy : @mymyhglKalindi : @kalramphulAïda : @aitremadeaMathis : @mathisgrosos See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:57:42 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Que faire si tout s'écroule ? Quand la société d’abondance est disloquée par un cataclysme, comment donner un sens à son existence ? Autour d'une grande ferme jurassienne, quelque chose fut accompli par une communauté heureuse et déterminée, la tentative de créer de la beauté dans un monde détruit.
durée : 00:57:42 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Que faire si tout s'écroule ? Quand la société d’abondance est disloquée par un cataclysme, comment donner un sens à son existence ? Autour d'une grande ferme jurassienne, quelque chose fut accompli par une communauté heureuse et déterminée, la tentative de créer de la beauté dans un monde détruit.
Bienvenue en Arcadie, le Terre des Sorcières et de tous les Mystères ! Terre des fées et de l’éternelle jeunesse, Avalon correspondait, aux yeux des sorcières, au paradis terrestre, où après leur mort les sorcières confirmées du troisième degré étaient accueillies par les fées. Avalon, situé à la lisière du monde [...] L’article Bienvenue en Arcadie, le Terre des Sorcières et de tous les Mystères ! est apparu en premier sur Wicca Podcasts Godmentica.
Alors que 80% des résidents des Ehpad ont reçu une première dose du vaccin contre le Covid-19, ceux de la résidence services seniors Les jardins d’Arcadie à Bordeaux attendent toujours de voir arriver des flacons promis depuis décembre. Vendredi, une cinquantaine de résidents ont manifesté devant leur résidence pour réclamer leur vaccin.
Marti, Ianuarie 26 - Cv. Xenofont, sotia sa Maria si fiii lor Arcadie si Ioan
Vous connaissez le concept du calendrier de l'avant ? Et bien, c'est exactement ce que je vous propose avec ce bonus de mon podcast L'écriture d'un roman. Tous les jours, jusqu'au 24 décembre, découvrez un livre que j'ai lu cette année, classé par ordre de préférence, du pire au meilleure ! Aujourd'hui, le 4ème livre de ma pile : Arcadie d'Emmanuelle Bayamack-Tam parut aux Éditions P.O.L. N'hésitez pas à me donner votre avis et à venir échanger avec moi sur Instagram @aureliahorner ! Et pour me retrouver sur ma chaîne YouTube Aurelia (se) raconte c'est par ici : https://www.youtube.com/channel/UCz3tpviTkDXHOeFhWeUhimQ Bonne écoute à vous !
Lors de la dernière édition des Video Music Awards, la chanteuse Lady Gaga a fait sensation en recommandant le port du masque à sa manière. Car oui, le masque fait désormais partie de notre quotidien. L’occasion pour nous de nous intéresser au symbole du masque dans la culture, à travers le grimage au théâtre, les doubles en littératures, les témoignages anonymes dans les podcasts ou encore les artistes et les héros masqués dans la musique ou au cinéma. C’est partie pour une semaine masquée ! Cette semaine dans Puzzle, on va vous parler de masque sous toutes ses formes. Aujourd’hui, Karen Etourneau aborde le sujet de la double identité en littérature. Un pseudonyme pour masquer son identitéDes auteurs et autrices qui utilisent des pseudonymes pendant leurs carrières il y en existent beaucoup. Molière, George Sand, Louis Ferdinand Céline, Hergé et bien d'autres ont tous publiés des livres sous un nom différent. Toutefois, ils et elles ne l’ont pas tous fait pour les mêmes raisons.Des autrices souvent dépourvues de choix Au 19eme siècle, il était mal vu pour une femme de "perdre son temps à écrire". Aurore Dupin a longtemps publié ses romans sous le nom de J. Sand. le nom de son amant Jules Sandeau, qui évoluera en G. Sand pour Georges Sand. Dans la littérature moderne aussi, certaines autrices n'ont souvent pas d'autre choix que d'utiliser un pseudonyme pour espérer être lues par un maximum de lecteurs. L'agent littéraire d’une autrice anglaise lui conseille de ne pas utiliser son prénom car, bien que son livre puisse plaire aussi bien aux filles qu’aux garçons, ces derniers pourraient rechigner à acheter des livres écrits par une femme. C’est ainsi que Joanne Rowling est devenue JK Rowling.Dédoublement de personnalité Romain Gary, se faisait passer pour un jeune écrivain débutant, Emile Ajar. Mais alors qu’Ajar est pressenti pour le Goncourt, l’auteur de La Vie devant soi pousse le jeu un peu plus loin et va jusqu’à faire endosser le rôle d’Emile Ajar à son petit cousin. Bon nombre d'auteurs et autrices contemporains publient sous deux noms : Emmanuelle Bayamack-Tam, connue notamment pour Arcadie et Si tout n’a pas péri avec mon innocence, écrit également des romans noirs sous le nom de Rebecca Lighieri, dont Il est des hommes qui se perdront toujours qui est sorti cette année.Alors est-ce que ça sert encore à quelque chose de porter un masque quand connaît l'identité de l'auteur/autrice ?Le chronique "Overbooké de Karen Etourneau est à écouter ici. Les épisodes de cette semaine sont à retrouver ici : Les masques sont-ils indissociables du spectacle vivant ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page TwitterLe Roi StephenAffaires sensibles : Boris Vian et Vernon SullivanAffaires sensibles : Ajar a-t'il tué Gary ?https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles/affaires-sensibles-26-aout-2014 See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Enfin le dernier épisode de #StarTrekPicard, nommé “Les bergers d’Arcadie : partie 2”. Et pour en parler, nous avons une équipe "All stars" : toujours avec nous le Romulien Romain Brami, le commandeur Guigui le gentil sans oublier le capitaine Manu et la Lieutenant Marina. Mais aussi les retours de Romain Nigita, Martin Winckler, Charles-Albert Lehalle, Matou et Quentin. Et pour la première fois : Yves Raducka ! ATTENTION : contrairement à ce peut être indiqué sur votre lecteur, le podcast dure 3h15. Extraits audio des trailers de CBS All Access & Amazon Prime Musique de fin : Blue Skies par Isa Briones. Bruitages issus de la banque libre de droit de iMovie et des diverses séries Star Trek.
Les Mystères du Graal La terre d’Arcadie est considérée comme la « terre promise » du Graal ; soit comme l’endroit où se trouveraient les sources du Graal, soit comme le pays où il s’est transporté, ce qui en fait le lieu de sa quête… Le Saint Graal, trésor présumé des Cathares [...] L’article Les Mystères du Graal est apparu en premier sur Wicca Podcasts Godmentica.
Nous voici arrivé à l’épisode 9, nommé “Les bergers d’Arcadie” qui est un épisode assez décevant (oui on annonce la couleur direct). Et pour en parler, nous avons toujours avec nous le Romulien Romain, le commandeur Guigui le gentil mais aussi le retour du capitain Manu. À la fin du podcast vous entendez la capsule de la Lieutenant Marina. Extraits audio des trailers de CBS All Access & Amazon Prime Musique de fin : Star Drek par Kansas of Elsass (allez voir le sketch sur YouTube). Bruitages issus de la banque libre de droit de iMovie et des diverses séries Star Trek.
Il est temps de diffuser le Vecteur Lazare et d'affronter les vagues de chrosômes envoyées par Andrew Ryan. BioShock est un jeu développé par 2K Boston et édité par 2K Games. Le let's play vidéo. Retrouvez le podcast sur Twitter et Facebook. Il est à vocation collaborative, aussi n'hésitez pas à contacter Flavien si vous voulez proposer votre let's play. Listen to the Game est un podcast du label Podcut et vous pouvez contribuer au développement du label sur Patreon.
Il est temps de diffuser le Vecteur Lazare et d'affronter les vagues de chrosômes envoyées par Andrew Ryan. BioShock est un jeu développé par 2K Boston et édité par 2K Games. Le let's play vidéo. Retrouvez le podcast sur Twitter et Facebook. Il est à vocation collaborative, aussi n'hésitez pas à contacter Flavien si vous voulez proposer votre let's play. Listen to the Game est un podcast du label Podcut et vous pouvez contribuer au développement du label sur Patreon.
Jack rencontre de nouveaux chrosômes un peu magiciens et doit, sur demande d'une botaniste, trouver une rose afin de contrer une manoeuvre gazeuse d'Andrew Ryan. BioShock est un jeu développé par 2K Boston et édité par 2K Games. Le let's play vidéo. Retrouvez le podcast sur Twitter et Facebook. Il est à vocation collaborative, aussi n'hésitez pas à contacter Flavien si vous voulez proposer votre let's play. Listen to the Game est un podcast du label Podcut et vous pouvez contribuer au développement du label sur Patreon.
Jack rencontre de nouveaux chrosômes un peu magiciens et doit, sur demande d'une botaniste, trouver une rose afin de contrer une manoeuvre gazeuse d'Andrew Ryan. BioShock est un jeu développé par 2K Boston et édité par 2K Games. Le let's play vidéo. Retrouvez le podcast sur Twitter et Facebook. Il est à vocation collaborative, aussi n'hésitez pas à contacter Flavien si vous voulez proposer votre let's play. Listen to the Game est un podcast du label Podcut et vous pouvez contribuer au développement du label sur Patreon.
Désiréby Megan Arkenberg From Albert Magazine's interview with Egon Rowley: April 2943 Egon Rowley: It was the War that changed him. I remember the day we knew it. [A pause.] We all knew it, that morning. He came to our table in the coffee shop with a copy of Raum – do you remember that newspaper? The reviewers were deaf as blue-eyed cats, the only people in Südlichesburg who preferred Anton Fulke's operas to Désiré's – but Désiré, he had a copy of it. This was two days after Ulmerfeld, you understand. None of us had any idea how bad it was. But Raum had gotten its hands on a letter from a soldier, and Désiré read it to us, out loud, right there over coffee and pastries. [Full story after the cut.] Hello! Welcome to GlitterShip Episode 73 for June 13, 2019. This is your host, Keffy, and I’m super excited to be sharing this story with you. Our story for today is Desire by Megan Arkenberg, read by Dani Daly. Before we get to it, if you’ve been waiting to pick up your copy of the Tiptree Award Honor Listed book, GlitterShip Year Two, there’s a great deal going on for Pride over at StoryBundle. GlitterShip Year Two is part of a Pride month LGBTQ fantasy fiction bundle. StoryBundle is a pay-what-you-want bundle site. For $5 or more, you can get four great books, and for $15 or more, you’ll get an additional five books, including GlitterShip Year Two, and a story game. That comes to as little as $1.50 per book or game. The StoryBundle also offers an option to give 10% of your purchase amount to charity. The charity for this bundle is Rainbow Railroad, a charity that helps queer folks get to a safe place if their country is no longer safe for them. http://www.storybundle.com/pride And now for “Desire” by Megan Arkenberg, read by Dani Daly. Megan Arkenberg’s work has appeared in over fifty magazines and anthologies, including Lightspeed, Asimov’s, Shimmer, and Ellen Datlow’s Best Horror of the Year. She has edited the fantasy e-zine Mirror Dance since 2008 and was recently the nonfiction editor for Queers Destroy Horror!, a special issue of Nightmare Magazine. She currently lives in Northern California, where she is pursuing a Ph.D. in English literature. Visit her online at http://www.meganarkenberg.com. Dani loves to keep busy and narrating stories is just one of the things she loves to do. She’s a former assistant editor of Cast of Wonders, a retired roller derby player and current soap maker and small business owner. She rants on twitter as @danooli_dani, if that’s your thing. Or you can visit the EA forums, where she moderates the Cast of Wonders boards. You can find stories narrated by Dani on all four of the Escape Artists podcasts, at Star Ship Sofa, and on Audible.com (as Danielle Daly). Désiréby Megan Arkenberg From Albert Magazine's interview with Egon Rowley: April 2943 Egon Rowley: It was the War that changed him. I remember the day we knew it. [A pause.] We all knew it, that morning. He came to our table in the coffee shop with a copy of Raum – do you remember that newspaper? The reviewers were deaf as blue-eyed cats, the only people in Südlichesburg who preferred Anton Fulke's operas to Désiré's – but Désiré, he had a copy of it. This was two days after Ulmerfeld, you understand. None of us had any idea how bad it was. But Raum had gotten its hands on a letter from a soldier, and Désiré read it to us, out loud, right there over coffee and pastries. Albert Magazine: And what did the letter say? Rowley: The usual things. Blood and, and heads blown clean off, things like that. Horrible things. I remember…[Laughs awkwardly.] I remember Baptist Vogel covered his ears. We all felt it quite badly. AM: I imagine. Why was this letter so important to Désiré? Rowley: Who can say why anything mattered to him? Guilt, most likely. AM: Guilt? Rowley: Yes. He hadn't volunteered for the army, and that was something of an anomaly in those days. Everyone was so patriotic, so nationalist, I suppose you'd say. But he had his reasons. I mean, I don't suppose Désiré could have passed the examinations for enlistment – the psychological examinations. AM: But it bothered him, that he hadn't volunteered? Rowley: Yes. Very much. [A pause.] When he read that soldier's letter…it was the oddest thing. Like he was reading a love letter, you understand. But, like I said, there was nothing romantic in it, nothing at all. It was…horrible. AM: What did Désiré say about it? Rowley: About the letter? Nothing. He just read it and…and went back to his rooms, I suppose. That was the last we saw of him. AM: The last you saw of him? Rowley: Yes. [A pause.] Before Alexander. A letter from Margaret von Banks to Beatrix Altberg: August 2892 Dearest Bea, The scene: Leonore's drawing room, around nine o'clock last night. The moment I stepped through the door, Désiré came running up to me like a child looking for candy. "Thank goodness you're here," he said. I should add that it was supposed to be a masquerade, but of course I knew him by his long hair and those dark red lips, and I suppose I'm the only woman in Südlichesburg to wear four rings in each ear. He certainly knew me immediately. "I have a bet running with Isidor," he continued, "and Anton and I need you for the violin." He explained, as he half-led, half-dragged me to the music room, that Anton had said something disparaging – typically – about Isidor's skills as a conductor of Désiré's music. Isidor swore to prove him wrong if Désiré would write them a new piece that very moment. Désiré did – a trio for violin, cello and pianoforte – and having passed the cello to Anton and claimed the piano for himself, he needed me to play violin in the impromptu concert. "You're mad," I said on seeing the sheet music. "Of course I am," he said, patting me on the shoulder. Isidor thundered into the room – they make such a delightful contrast, big blond Isidor and dark Désiré. Rumor is Désiré has native blood from the Lysterrestre colonies, which makes me wonder quite shallowly if they're all so handsome over there. Yes, Bea, I imagine you rolling your eyes, but the fact remains that Désiré is ridiculously beautiful. Even Richard admits it. Well, Isidor assembled the audience, and my hands were so sweaty that I had to borrow a pair of gloves from Leonore later in the evening. Désiré was smooth and calm as can be. He kissed me on the forehead – and Anton on the cheek, to everyone's amusement but Anton's – and then Isidor was rapping the music stand for our attention, and Désiré played the opening notes, and we were off, hurtling like a sled down a hill. I wish I had the slightest clue what we were playing, Bea, but I haven't. The audience loved it, at any rate. That's Désiré for you – mad as springtime, smooth as ice and clumsy as walking on it. We tease him, saying he's lucky he doesn't wear a dress, he trips over the ladies' skirts so often. But then he apologizes so wonderfully, I've half a mind to trip him on purpose. That clumsiness vanishes when he's playing, though; his fingers on a violin are quick and precise. Either that, or he fits his mistakes into the music so naturally that we don't notice them. You really ought to meet him, Bea. He has exactly your sense of humor. A few weeks ago, Richard and I were at the Symphony, and Désiré joined us in our box, quite unexpectedly. Richard, who was blushing and awkward as it was, tried to talk music with Désiré. "This seems to tell a story, doesn't it?" he said. "It most certainly does," Désiré said. "Like Margaret's uncle Kunibert. It starts with something fascinating, then derails itself talking about buttons and waistcoats. If we're lucky, it might work its way back to its original point. Most likely it will put us to sleep until someone rudely disturbs us by applauding." All this said with the most perfectly straight face, and a bit of an eyebrow raise at me, inviting me to disagree with him. I never do, but it's that invitation that disarms me, and keeps the teasing from becoming cruel. Désiré always waits to be proven wrong, though he never is. I should warn you not to fall in love with him, though. I'm sure you laugh, but half of Südlichesburg is ready to serve him its hearts on a platter, and I know he'd just smile and never take a taste. He's a man for whom Leonore's masquerades mean nothing; he's so wonderfully full of himself, he has no room to pretend to be anyone else. That's not to say he's cruel: merely heartless. He's like a ruby, clear and dark and beautiful to look at, but hard to the core. How such a man can write such music, I'll never know. Yours always, Maggie III. From a review of Désiré's Echidna in Der Sentinel: July 2894 For the life of me, I cannot say what this opera is about. Love, and courage. A tempestuous battle. I have the libretto somewhere, in a drawer with my gloves and opera glasses, but I will not spoil Désiré's score by putting a story to it. Echidna is music, pure music, so pure it breaks the heart. First come the strings, quietly humming. Andrea Profeta enters the stage. The drums begin, loud, savage. Then the melody, swelling until you feel yourself lifted from your chair, from your body, and you are only a web of sensations; your heart straining against the music, your blood singing in your fingertips. Just remembering it, I feel my fingers go weak. How the orchestra can bear to play it, I can't imagine. It is not Echidna but the music that is the hero. We desire, like the heroine, to be worthy of it. We desire to live in such a way that our world may deserve to hold something so pure, so strong, so achingly beautiful within it. From the Introduction of Désiré: an Ideal by Richard Stele: 2934 Societies are defined by the men they hate. It is the revenge of an exile that he carries his country to all the world, and to the world his countrymen are merely a reflection of him. An age is defined not by the men who lived in it, but by the ones who lived ahead of it. Hate smolders. Nightmares stay with us. But love fades, love is fickle. Désiré's tragedy is that he was loved. From Albert Magazine's interview with Egon Rowley AM: And what about his vices? Rowley: Désiré's vices? He didn't have any. [Laughs.] He certainly wasn't vicious. AM: Vicious? Rowley: That's what the papers called it. He liked to play games, play his friends and admirers against each other. AM: Like the ladies. Rowley: Yes. That was all a game to him. He'd wear…favors, I suppose you'd call them, like a knight at a joust. He admired Margaret von Bank's earrings at the opening of Echidna, and she gave him one to wear through the performance. After that the ladies were always fighting to give him earrings. AM: To your knowledge, was Désiré ever in love? Rowley: Never. [A pause.] I remember one day – summer of 2896, it must have been – a group of us went walking in Brecht's park. Désiré, Anton Fulke, the newspaperman Richard Stele, the orchestra conductor Isidor Ursler, and myself. It was Sonntag afternoon, and all the aristocrats were riding by in their fine clothes and carriages. A sort of weekly parade, for us simple peasants. You don't see sights like that anymore. [A long pause.] Anyway, Désiré was being himself, joking with us and flirting with the aristocrats. Or the other way around, it was never easy to tell. Isolde von Bisswurm, who was married to a Grand Duke at the time, slowed her carriage as she passed us and called… something unrepeatable down to Désiré. AM: Unrepeatable? Rowley: Oh, I'm sure it's no more than half the respectable women in Südlichesburg were thinking. Désiré just laughed and leapt up into her carriage. She whispered something in his ear. And then he kissed her, right there in front of everyone – her, a married woman and a Grand Duchess. AM: [With humor.] Scandalous. Rowley: It was, in those days. We were all – Fulke and Ursler and Stele and I – we were all horrified. But the thing I'm thinking of, when you ask me if he was ever in love with anyone, that happened afterward. When he jumped down from Isolde's carriage, he was smiling like a boy with a lax governess, and he looked so… I suppose you might say beautiful. But in a moment the look was gone. He caught sight of the man in the next carriage: von Arden, von Allen, something like that. Tall man, very dark, not entirely unlike Désiré, though it was very clear which of the two was better favored. AM: Not von Arden. Rowley: [Laughs.] Oh, no. Maggie von Banks used to call Désiré her angel, and he could have passed for one, but von what's-his-face was very much a man. Désiré didn't seem to notice. He stood there on the path in Brecht's park, staring like… well, like one of those girls who flocked to his operas. AM: Staring at this man? Rowley: Yes. And after kissing Isolde von Bisswurm, who let me tell you was quite the lovely lady in those days. [Laughs softly.] Whoever would have suspected Désiré of bad taste? But that was his way, I suppose. AM: What was his way? [Prompting:] Did you ever suspect Désiré of unnatural desires? Rowley: No, never. No desire in him could be unnatural. From the pages of Der Sentinel: May 15, 2897 At dawn on May 14, the composer Désiré was joined by Royal Opera conductor Isidor Ursler and over fifty representatives of the Südlichesburg music 'scene' to break ground in Umerfeld, two miles south of the city, for Désiré's ambitious new opera house. The plans for Galatea – which Désiré cheerfully warns the public are liable to change – show a stage the size of a race track, half a mile of lighting catwalks, and no less than four labyrinthine sub-basements for prop and scenery storage. For a first foray into architecture, Désiré's design shows several highly ambitious features, including three-storey lobby and central rotunda. The rehearsal rooms will face onto a garden, Désiré says, featuring a miniature forest and a wading pool teeming with fish. When asked why this is necessary, he replied with characteristic 'charm': "It isn't. Art isn't about what is necessary. Art decides what is necessary." VII. From a review of Désiré's Brunhilde in Der Sentinel: February 2899 For once, the most talked-about thing at the opera was not Désiré's choice of jewel but his choice of setting. Südlichesburg's public has loved Galatea from the moment we saw her emerging from the green marble in Ulmerfeld, and, at last, she has come alive and repaid our devotion with an embrace. At last, said more than one operagoer at last night's premier of Brunhilde, Désiré's music has a setting worthy of it. Of course Galatea is not Désiré's gift to Südlichesburg, but a gift to himself. The plush-and-velvet comfort of the auditorium is designed first and foremost to echo the swells of his music, and the marble statues in the lobby are not pandering to their aristocratic models but suggestions to the audience of what it is about to witness; beauty, dignity, power. However we grovel at the feet of Désiré the composer, we must also bow to Désiré the consummate showman. As to the jewel in this magnificent setting, let us not pretend that anyone will be content with the word of Richard Stele, operagoer. Everyone in Südlichesburg will see Brunhilde, and all will love it. The only question is if they will love it as much as Désiré clearly loves his Galatea. Finally, as a courtesy to the ladies and interested gentlemen, Désiré's choice of jewel for last night's performance came from the lovely Beatrix Altberg. He wore her pearl-and-garnet string around his left wrist, and it could be seen sparkling in the houselights as he stood at the end of each act and applauded wildly. VIII. From Albert Magazine's interview with Egon Rowley AM: They say that Désiré's real decline began with Galatea. Rowley: Whoever "they" are. [Haltingly:] 2899, it was finished. I remember because that was the year Vande Frust opened her office in Südlichesburg. She was an odd one, Dr. Frust – but brilliant, I'll give her that. AM: Désiré made an appointment with Dr. Frust that June. Rowley: Yes. I don't know what they talked about, though. Désiré never said. AM: But you can guess, yes? Rowley: Knowing Dr. Frust, I can guess. AM: [A long pause.] As a courtesy to our readers who haven't read Vande Frust's work, could you please explain? Rowley: She was fascinated by origins. Of course she didn't mean that the same way everyone else does – didn't give half a pence for your parents, did Vande Frust. She had a bit of… a bit of a fixation with how you were educated. How you formed your Ideals – your passions, your values. What books you read, whose music you played, that sort of thing. AM: And how do you suppose Désiré formed his Ideals? Rowley: I don't know. As I said, whatever Désiré discussed with Dr. Frust, he never told me. And he never went back to her. From Chapter Eight of Désiré: an Ideal by Richard Stele Whether or not Désiré suffered a psychological breakdown during the building of Galatea is largely a matter of conjecture. He failed to produce any significant piece of music in 2897 or the year after. Brunhilde, which premiered at the grand opening of Galatea in 2899, is generally acknowledged to be one of his weakest works. But any concrete evidence of psychological disturbance is nearly impossible to find. We know he met with famed Dr. Vende Frust in June 2899, but we have no records of what he said there. The details of an encounter with the law in February 2900 are equally sketchy. Elise Koch, Dr. Frust's maid in 2899, offers an odd story about the aftermath of Désiré's appointment. She claims to have found a strange garment in Dr. Frust's office, a small and shapeless black dress of the sort women prisoners wear in Lysterre and its colonies. Unfortunately for the curious, Dr. Frust demanded that the thing be burned in her fireplace, and its significance to Désiré is still not understood. From the report of Hans Frei, prostitute: February 12, 2900 Mr. Frei, nineteen years old, claims a man matching the description of the composer Désiré approached him near Rosen Platz late at night last Donnerstag. The man asked the price, which Mr. Frei gave him, and then offered twice that amount if Mr. Frei would accompany him to rooms "somewhere in the south" of Südlichesburg. Once in the rooms, Mr. Frei says the man sat beside him by the window and proceeded to cry into his shoulder. "He didn't hurt me none," Mr. Frei says. "Didn't touch me, as a matter of fact. I felt sorry for him, he seemed like such a mess." No charges are being considered, as the man cannot properly be said to have contracted a prostitute for immoral purposes. The composer Désiré's housekeeper and staff could not be found to comment on the incident. One neighbor, a Miss Benjamin, whose nerves make her particularly susceptible to any irregularity, claims that on the night of last Donnerstag, her sleep was disturbed by a lamp kept burning in her neighbor’s foyer. Such a lamp, she states, is usually maintained by Désiré’s staff until the small hours, and extinguished upon his homecoming. She assumes that the persistence of this light on Donnerstag indicates that Désiré did not return home on the night in question. From a review of Désiré's Hieronymus in Der Sentinel: December 2902 Any man who claims to have sat through Désiré's Hieronymus with a dry eye and handkerchief is either deaf or a damned liar. Personally, I hope he is the damned liar, as it would be infinitely more tragic if he missed Désiré's deep and tangled melodies. Be warned: Hieronymus bleeds, and the blood will be very hard to wash out of our consciousness. XII. A letter from Margaret von Banks Stele to Beatrix Altberg: March 2903 Dearest Bea, Richard says war is inevitable. His job with the newspapers lets him know these things, I suppose: he says Kaspar in the foreign relations room is trying to map Lysterrestre alliances with string and cards on the walls, and now he's run completely out of walls. That doesn't begin to include the colonies. The way Richard talks about it, it sounds like a ball game. Bea, he jokes about placing bets on who will invade whom – as if it doesn't matter any more than a day at the races! I know he doesn't need to worry, that at worst the papers will send him out with a notepad and a pencil and set him scribbling. The Stele name still has some pull, after all – if he wants to make use of it. I don't, Beatrix. If war breaks out with Lysterre, I want you to know that I am going to enlist. Yours, Margaret Stele XIII. From Chapter Eleven of Désiré: an Ideal by Richard Stele It was inevitable that the War should to some extent be Désiré's. It was the natural result of men like him, in a world he had helped create. Dr. Vande Frust would say it was the result of our Ideals, and that Désiré had wrought those Ideals for us. I think Désiré would agree. We – all of us, the artists and the critics with the aristocrats and cavalrymen – might meet in a coffee shop for breakfast one morning and lay some plans for dinner. The cavalrymen would ride off, perhaps as little as ten miles from Südlichesburg, where the Lysterrestre troops were gathered. There would be a skirmish, and more often than not an empty place at the supper table. Désiré took to marking these places with a spring of courtesan's lace: that, too, was a part of his Ideal. In this war, in our war, there was a strange sense of decorum. This was more than a battle of armies for us, the artists. Hadn't Lysterrestre audiences applauded and wept at our music as much as our own countrymen? The woman whose earring Désiré had worn one night at the opera might be the same one who set fire to his beloved Galatea. The man who wrung Anton Fulke's hand so piteously at the Lysterrestre opening of Viridian might be the same man who severed that hand with a claw of shrapnel. How could we fight these men and women, whose adulating letters we kept pressed in our desk drawers? How could we kill them, who died singing our songs? XIV. From Albert Magazine's interview with Egon Rowley AM: Do you think Alexander was written as a response to the War? Rowley: I know it was. [A pause.] Well, not to the War alone. A fair number of things emerged because of that – Fulke's last symphony, which he wrote one-handed, and Richard Stele's beautiful book of poems. Who knew the man had poetry in him, that old newspaper cynic? AM: His wife died in the War, didn't she? Rowley: Yes, poor Maggie. It seems strange to pity her – she wouldn't have wanted my pity – but, well, I'm an old man now. It's my prerogative to pity the young and dead. AM: But to return to Désiré – Rowley: Yes, to Désiré and Alexander. You must have seen it. All the world saw it when it premiered in 2908, even babes in arms…How old are you? AM: [The interviewer gives her age.] Rowley: Well, then, you must have seen it. It was brilliant, wasn't it? Terrible and brilliant. [A pause.] Terrible, terrible and brilliant. A letter from Infantryman Leo Kirsch, printed in Raum: September 2907 Gentlemen, I cannot make you understand what is happening here, less than a day's ride from your parks and offices and coffee houses. I can list, as others have, the small and innumerable tragedies: a headless soldier we had to walk on to cross through the trenches, a dead nurse frozen with her arms around a dead soldier, sheltering him from bullets. I can list these things, but I cannot make you understand them. If it were tears I wanted from you, gentlemen of Südlichesburg, I could get them easily enough. You artists, you would cry to see the flowers trampled on our marches, the butterflies withering from poisonous air. You would cry to watch your opera houses burn like scraps of kindling. Me, I was happy to see Galatea burn. Happy to know it would hurt you, if only for a day. But I don't want your weeping. If I want anything from you, it is for you to come down here to the battlefields, to see what your pride, your stupidity, your brainless worship of brainless courage has created. It is your poetry that told that nurse to shelter her soldier with her body, knowing it was useless, knowing she would die. Your music told her courage would make it beautiful. I want you to look down at the headless soldiers in the trenches and see how beautiful dumb courage really is. The Lysterrestre have brought native soldiers from their colonies, dark men and women with large eyes and deep, harrowing voices. They wear Lysterrestre uniforms and speak the language, but they have no love for that country, no joy in dying for it. Yesterday I saw a woman walking through the battlefield, holding the hands of soldiers – her people, our people, and Lysterrestre alike – and singing to them as they died. That courage, the courage of the living in the face of death, could never come from your art. For us, and for Lysterre, courage of that kind is lost. I tried to join her today. But I did not know what to sing, when all our music is lies. XVI. From a review of Désiré's Alexander in Der Sentinel: August 2908 Richard Stele has refused the task of reviewing Alexander for Der Sentinel, and it is easy to see why. Stele is a friend of Désiré, and it takes a great deal of courage – courage which Désiré brutally mocks and slanders – to take a stand against one's friends. But sometimes it must be done. In this instance, standing with Désiré is not only cowardly; it is a betrayal of what all thinking, feeling men in this country hold dear. Nine years ago, after the premier of Brunhilde, Stele famously refused to summarize its plot, saying we would all see it and love it regardless of what he said. Well, you will all see Alexander regardless of what I say. And you, my friends, will be horrified by the change in your idol. XVII. From Chapter Twelve of Désiré: an Ideal by Richard Stele The War changed Désiré. Alexander changed us all. It seems to be a piece of anti-Lysterre propaganda, at first. Alexander, a Lysterrestre commander, prepares for war against the native people of the Lysterrestre colonies. Shikoba, a native woman, rallies her people against him. The armies meet; but instead of the swelling music, the dignity and heroism Désiré's audience have come to expect, there is slaughter. The Lysterrestre fling themselves at the enemy and fall in hideous, cacophonous multitudes. At the end of the opera, Alexander is the last Lysterrestre standing. He goes to kill Shikoba; she stabs him brutally in the chest and he collapses, gasping. Shikoba kneels beside him and sings a quiet, subdued finale as he dies. This is an opera about courage, about heroism. Its heroes turn to all the other operas that have ever been written and call them lies. When audiences leave the opera house, they do so in silence. I have heard of few people seeing it twice. At some point during the writing of Alexander – in October 2907, I believe – Désiré announced at a dinner of some sort that he had native blood, and had been born in the Lysterrestre colonies. This did not matter much to the gathered assembly, and besides, it was something of an open secret. We took it, at the time, to be a sort of explanation, an excuse for the powerful hatred that boiled in him each time we mentioned the War. Not that we needed any explanations; my wife, Margaret von Banks Stele, had died at Elmerburg about a month before. Now, of course, I wonder. Why did it matter to Désiré that the world he shaped so heavily was not his by blood? What exactly had the War made him realize – about himself, and about the rest of us? It is significant, I think, that in Galatea's burning all the Lysterrestre army costumes were lost. "Fine," Désiré said. "Borrow the uniforms of our countrymen. They all look the same from where we'll be standing." XVIII. From Albert Magazine's interview with Egon Rowley AM: The War marked the end of an era. Rowley: The death of an era, yes. Of Désiré's era. I suppose you could say Désiré killed it. XIX. From the obituaries page of Raum: June 2911 The editors of Raum are saddened to report the death of the composer, architect, and respected gentleman Désiré. We realize his popularity has waned in recent years, following a number of small scandals and a disappointing opera. Nevertheless, we must acknowledge our debts to the earlier work of this great and fascinating man, whose music taught our age so much about pride, patriotism and courage. Something of an enigma in life, Désiré seems determined to remain so hereafter. He directed his close friend Egon Rowley and famed doctor Vande Frust to burn all his papers and personal effects. He also expressed a desire to be cremated and to have his ashes spread over Umerfeld, site of both his destroyed Galatea and one of the bloodiest battles in the recent War. No family is known, nor are Mr. Rowley and Dr. Frust releasing the cause of death. Désiré is leaving Südlichesburg, it seems, as mysteriously as he came to it. From a report on Native Boarding Schools in the Lysterrestre Colonies: May 2937 Following almost twenty years of intense scrutiny and criticism from the outside world, Native Boarding Schools throughout the territories of the one-time Lysterrestre Empire are being terminated and their records released to the public. Opened in the late 2870s, Native Boarding Schools professed to provide native-born children with the skills and understandings necessary to function in the colonial society. In the early years, the children learned the Lysterrestre language and farming techniques; over time, some of the schools added courses in machine operation. Criticism centers on both the wholesale repression of the students' culture and the absence of lessons in science or the fine arts. "We went around in shapeless black dresses, like criminals in a prison," Zéphyrine Adam, born Calfunaya, says of her time in the Bonner Institute. "They say they taught us to speak their language, but they really taught us to be silent. They had rooms full of books, music sheets and phonographs, but we weren't allowed to use them. Not unless we were too clumsy to be trusted by the factory machines. They understood, as we do, that stories and music give us power. They were afraid of what we would do to them if they let us into their world." In the face of such accusations, the majority of Native Boarding School instructors seem reluctant to speak, though some still defend the schools and their intentions. "The goal was to construct a Lysterrestre Ideal for them, but not to hide their natural-born talents," says Madame Achille, from the Coralie Institute in what is now northern Arcadie. "We simply made sure they expressed them in the appropriate ways. I remember one girl, one of the first we processed back in 2879. An unhappy little thing most of the time, but a budding musician; she would run through the halls chanting and playing a wooden drum. Well, we set her down one day at the pianoforte, and she took to it like a fish to water. The things she played, so loud, so dignified! She had such talent, though I don't suppose anything ever came of it. "A lot of them had such talent," she adds. "I wonder whatever became of them?" END "Désiré” was originally published in Crossed Genres and is copyright Megan Arkenberg, 2013. This recording is a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives license which means you can share it with anyone you’d like, but please don’t change or sell it. Our theme is “Aurora Borealis” by Bird Creek, available through the Google Audio Library. You can support GlitterShip by checking out our Patreon at patreon.com/keffy, subscribing to our feed, leaving reviews on iTunes, or buying your own copy of the Autumn 2018 issue at www.glittership.com/buy. 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Une co-production de Phil_Goud : Texte et narration Redscape : Mise en musique et mixage Générique : “Euphotic” Carbon Based Lifeforms (Interloper) 2010 Ultimae Records, 2015 Blood Music (remastered)Voix du générique : Karine Crédits musiques “Parabolic View” Martin Nonstatic (Ligand) 2017 Ultimae Records “Isolation” Warmth (Home) 2017 Archives “Stasis Eject” 36 (Pulse Dive) 2015 3six Recordings “Comet” Christopher Willits (Horizon) 2017 Ghostly International Les artistes Martin Nonstatic : www.domrauschen.com/nonstatic - https://ultimae.com/artists/martin-nonstatic/ Warmth : https://archivesdubmusic.bandcamp.com/ 36 : www.3six.net Christopher Willits : http://www.christopherwillits.com/ Crédit image Greg Rakozy https://unsplash.com/photos/0LU4vO5iFpM Texte de l'épisode Éclairé par la lumière de la Lune, le paysage autour de toi semble comme endormi. les lumières du village en contrebas se sont toutes éteintes. Pour avoir la meilleure visibilité possible sur la voûte céleste, imaginons que nous sommes lors d’une nuit sans Lune.Un petit peu de concentration, hop, on l’enlève et on peut admirer encore mieux les étoiles. Il ne reste plus au-dessus de toi que ce dôme brillant, ce couvercle de la Terre, comme le nommaient les anciens. La voûte céleste Tu sais que les étoiles bougent dans le ciel tout au long de la nuit ?En tout cas elles donnent l’illusion de bouger. Certaines se lèvent à l’est et se couchent à l’ouest comme le Soleil semble le faire aussi, d’autres étoiles ne se couchent jamais et semblent tourner, proche du zénith, en direction du Nord, autour d’une étoile fixe. De la même manière que le Soleil ne bouge pas vraiment, là aussi c’est la rotation de la Terre qui est à l’origine de ce ballet féérique.La voûte céleste a toujours fasciné l’espèce curieuse que nous sommes. Et en l'absence de réponse, comme souvent, l’humanité a comblé les manques avec des histoires ou des contes. Pour les Esquimaux, la terre et le ciel étaient jadis un ensemble unique qui s’est un jour détaché et les âmes servent de lien entre la voûte céleste et la terre. Pour les Gaulois, il s’agissait d’un plafond troué qui menaçait de se lézarder et de tomber sur leur tête. Pour les amérindiens, la voûte céleste a une origine bien particulière : Suite à la création de la Grande Île sur le dos de la Grande Tortue (la terre, hein), les animaux, réunis en conseil, décidèrent qu’il fallait plus de lumière. Ils chargèrent alors la Petite Tortue de trouver une solution à ce problème de ténèbres. Ingénieuse, la Petite Tortue saisit de grands éclairs et elle en fabriqua un grand feu qu’elle fixa dans le ciel. Ainsi fut créé le Soleil. Rapidement, le conseil se rendit compte que toutes les parties de la Grande Île n’étaientpas bien éclairées. Après intense réflexion, le conseil décida de donner un mouvement auSoleil. La Tortue des marais fut chargée de creuser un trou de part en part de la GrandeÎle de façon à ce que le Soleil puisse faire une rotation complète autour de la Grande Île,donnant ainsi une alternance de lumière et d’obscurité. Ainsi furent créés le jour et la nuit. Dans le but d’éviter l’obscurité totale, lors de la rotation du Soleil, la Petite Tortue futmandatée pour trouver un substitut au Soleil afin d’éclairer la nuit. Elle créa donc laLune qui devint la douce compagne du Soleil. Le Soleil et la Lune eurent de nombreux enfants, les Étoiles, qui sont dotés de vie et d’esprit comme leurs parents. En souvenir de sa participation à la création des astres, la Petite Tortue fut nommée Gardienne du Ciel. La voie lactée Regarde attentivement le ciel : tu devrais vois comme un nuage lumineux qui barre le ciel d’un côté de la coupole céleste à l’autre. Ce nuage, c’est notre galaxie, la Voie Lactée.ça ne ressemble pas à ce qu’on imaginer d’une galaxie, ces spirales lumineuses qu’on a tous vu une fois.Pourquoi ? Parce qu’on est dedans et qu’on la regarde de côté. Ce qu’on voit, c’est sa tranche. Les peuples du Nord la surnomment “le chemin des oiseaux” car c’est le chemin qu’ils semblent prendre pour rejoindre les pays chauds Pour les Tatars, peuple nomade à l’est de l’Europe, la voie lactée est la couture de la yourte que représente pour eux le ciel, et les étoiles sont autant de petits trous laissant passer la lumière. Il existe bien des mythes et des légendes sur ce bandeau féérique. Mais pourquoi la voie lactée ? Nous tenons ça des grecs et de leur mythologie. D’ailleurs tout le ciel est rempli de mythologie grecque. Il existe non pas une mais deux légendes sur l’origine de la voie lactée : La première fait appel au demi-dieu Héraclès. (oui c’est hercules) Un jour, alors qu'il était enfant, il fut placé sur le sein d'Héra endormie. Malheureusement, Héraclès ne domptant pas encore sa force, voulut se nourrir au sein de la déesse, mais il tira si fort que le lait gicla et se répandit en une grande traînée laiteuse dans le ciel : la Voie lactée. La seconde légende fait référence à la trace laissée par un incendie qui subsiste dans le Ciel et qui constitue la Voie lactée. Cet incendie fut provoqué par Phaéton qui, un jour, emprunta le chariot de feu de son père Hélios afin de prouver à tous ses origines divines.Mais, pendant sa démonstration, il mit le feu sur la Terre ainsi qu'à la voûte céleste. Zeus, très fâché, le précipita dans l'Éridan après l'avoir foudroyé.Mais le demi-frère de Phaéton, Cycnos, supplia Zeus de lui pardonner et de le sauver. Alors Zeus plaça Cycnos dans la Voie lactée comme symbole de l'amitié fidèle. On peut encore le voir sous la forme de la constellation du Cygne dans les vestiges de l'incendie provoqué par son ami Phaéton. Même de nos jours ce bandeau féérique a servi à la projection de nos croyances populaires: En 2003 à New York, une coupure d’électricité générale a plongé la ville dans le noir. Les new-yorkais, peu habitués à pouvoir admirer la voûte céleste à cause de la pollution lumineuse, ont alors appelé en masse les services d’urgence pour leur faire part de lueurs étranges dans le ciel pensant, pour certains, à une attaque venue du ciel. Ces lueurs, c’était bien évidemment la voie lactée. Les ours polaires Mais ce n’est pas la seule chose sur laquelle les humains ont projeté leurs croyances.Ils ont vu des points plus brillants que d’autres et on décidé de les relier entre eux et ont donné à ces figures géométriques des noms d’animaux, ou de personnages mythologiques. On ne va pas faire le tour de toutes les constellations, mais il y en a 2 qui sont les plus marquantes et qui sont visibles toute l’année, toute la nuit dans l’hémisphère Nord : La grande ourse et la petite ourse La grande ourse, que certains petits malins surnomment “la casserole” est surement celle la plus connue. 7 étoiles : 4 qui forment un trapèze et 3 qui forment la poignée de la casserole. Rien qu’en mythologie Grecque, il existe plusieurs versions : Cette constellation représenterait Callisto, une nymphe aimée de Zeus. Quand Héra, l'épouse de Zeus, découvrit leur relation, elle changea Callisto en Grande Ourse et son fils Arcas en Petite Ourse. Outragée par cette offense à son honneur, Héra demanda justice à l'Océan, et les ourses furent alors condamnées à tourner perpétuellement autour du pôle Nord, jamais autorisées à se reposer sous la mer. C’est pour cela que ces deux constellations sont toujours visibles, à tout heure de la nuit en toute saison. Selon une autre version, la nymphe Callisto était la fille de Lycaon, un roi d’Arcadie. Zeus l’aperçut alors qu’elle chassait en compagnie d’Artémis et il s’en éprit. Héra, jalouse, changea la jeune fille en ourse après qu’elle eut donné naissance à un fils, Arcas.L’enfant grandit, devint un homme, et un jour qu’il participait à une chasse, la déesse dirigea Callisto vers l’endroit où il se trouvait, dans l’espoir de lui voir décocher une flèche à sa mère, en toute ignorance. Mais Zeus enleva l’ourse et la plaça parmi les étoiles.Plus tard, son fils Arcas vint l’y rejoindre. Ils prirent respectivement les noms de Grande Ourse et de Petite Ourse. Selon une dernière version, Callisto était une nymphe au service d'Artémis, la déesse de la nature sauvage. Elle a juré de rester vierge tout comme Artémis.Un jour, alors qu'elle cueillait des fleurs, Zeus la vit et s'éprit d'elle. Comme il savait qu'elle était vierge, il devait jouer le grand jeu. Il eut donc l'idée de prendre l'apparence d'artémis, et, lorsque Callisto fut revenue de sa promenade, elle fut étonnée par tant de besoin de tendresse de la part de sa maîtresse. Le temps passa et la nymphe sentit son ventre grossir et, quand elle se déshabilla pour prendre un bain avec Artémis et les autres nymphes dans la mer Morte, elle vit son gros ventre et se sentit coupable de ne pas avoir remarqué tout de suite que ce n'était pas la déesse. Quand la déesse l'aperçut, elle entra dans une rage folle et transforma Callisto en ourse avant qu'elle n'accouche. Et la déesse dit aux autres nymphes : « Tuons-la avant qu'elle ne s'échappe, elle nous servira de tapis et de dîner ! » À ces mots, la nymphe courut, poursuivie par les chasseurs.Quand la chasse fut terminée, Zeus ramassa la carcasse de l'ourse qu'il avait condamnée à l'exil et la mit au ciel. C'est là qu'elle mit au monde Arcas, qui désormais la suit tout le temps. C’est pas forcément toujours gai la mythologie grecque. Mais son influence sur le ciel est sans égale. L'ours se dit arctos en grec, d'où le nom de cercle arctique qu'on donnait au cercle des étoiles toujours visibles, et le terme Arctique qui désigne la région entourant le pôle Nord de la Terre Les Romains appelaient cette constellation septem triones c'est-à-dire « les sept bœufs de labour » qui tournent toujours autour du nord et sont tenus par la constellation du Bouvier qui en représente le laboureur. C’est donc la grande ourse qui est à l'origine du terme « septentrional », qui signifie “ce qui est propre au Nord”. Les babyloniens y voyaient un grand chariot, au Royaume-Uni, il y voyaient une charrue, en Scandinavie, le wagon de Charlemagne, et en Bretagne le chariot du roi Arthur. En Inde, quand à eux, ils voyaient un cerf-volant volé par Vishnou le protecteur à Shiva le destructeur. Quand je t’ai dit qu’il y avait 7 étoiles dans la constellation de la Grande Ourse, je t’ai un peu menti. Il y en a en réalité 8. L’étoile du milieu du trio qui forme le manche de la casserole, s'appelle Mizar.On ne peux pas la manquer, c’est la plus brillante.Si on la regarde attentivement et qu’on a de bons yeux, on peut voir double. C’est normal : Cette étoile est accompagnée d’Alcor. Pouvoir les distinguer était d'ailleurs un défi traditionnel d'acuité de vision dans plusieurs cultures, Gengis Khan le Mongole en aurait fait l'un des critères de sélection de ses archers.Si tu hésitais à te mettre au tir à l’arc, tu as un test d’aptitude tout trouvé ! Comme elle est facile à repérer, la Grande Ourse est le parfait point de départ pour se diriger dans le ciel. Et c’est d’ailleurs comme ça qu’on l’on peut repérer la petite ourse. L’étoile polaire On ne va pas faire trop de repérage dans le ciel, moi-même je me perds vite. Mais une fois la grande ourse repérée, on peut facilement trouver la petite ourse et surtout l’étoile polaire, l’étoile qui indique le Nord céleste. Elle a été pendant longtemps le repère des marins et des explorateurs. Elle parait fixe parce qu’elle est simplement pile dans l’axe de rotation de la Terre. Pendant longtemps j’ai confondu j’ai cru que c’était l’étoile du berger, car elle gardait le troupeau d’étoile. ça aurait été joli, mais ça n’a rien à voir. L’étoile du berger n’en est pas une. C’est la planète Vénus et elle n’indique pas du tout le Nord. On reparlera de Venus plus tard Sachez que l’étoile polaire actuelle n’a pas toujours été celle que nous connaissons : il y a 5000 ans, lors de la construction des pyramides, l’axe de rotation de la Terre n’était pas exactement celui actuel et c’est une autre étoile, Thuban, dans la constellation du dragon qui permettait la navigation. D’ailleurs, quel est le vrai nom de l’étoile polaire ?Etoile Polaire, tout simplement avec un E majuscule à étoile et un P majuscule à polaire. tu peux l’appeler Polaris, si tu veux, cela signifie la même chose car sa particularité lui a donné son nom. Selon les estimations, elle devrait encore être valable jusqu’en l’an 3100 et sera le plus précisément positionné dans les années 2100. Alors comment trouver le Nord ? L’étoile polaire, c’est l’étoile au bout de la queue de la petite ourse. Pour repérer la petite ourse à partir de la grande ourse c’est assez simple : tu cherches un chariot un peu plus petit, tourné dans l’autre sens, donc tête en bas par rapport à la grande ourse et avec la queue de l’ours qui pointe de l’autre côté. Si tu ne trouves pas de suite, j’ai une autre méthode : Prends les deux étoiles qui forment le corps de la Grande Ourse, du côté opposé à sa queue. Reporte 5 fois la distance qui sépare ces deux étoiles, sur la même trajectoire que celle qu’elle semble former, et sans le sens du dessus de la casserole et là tu tombes directement sur l’étoile polaire. En mongolie, cette étoile est appelée “étoile d’or” car elle représente un frère parti attrapé une flèche dorée envoyée par un souverain. 8 frères avaient ensemble sauvé sa fille des griffes de Garuda, le roi des oiseaux, incarnation de Vishnou, qui voulait en faire son épouse.Plutôt que de décider qui des 8 frères il allait récompenser, il préféra laisser le sort choisir et tira en l’air. Le plus jeune fut celui qui l'attrapa mais n’est jamais redescendu. Il est suivi toute la nuit par les 7 bouddhas qui sont ses autres frères, allant rendre visite à leur frère cadet, l'étoile d'or. Ces 7 étoiles… c’est la Grande Ourse ! C’est dingue de se dire que ces légendes sont liées à des rassemblements artificiels d'étoiles qui n’ont pas fondamentalement bougé depuis des millénaires alors que les étoiles elle-mêmes sont loin d’être immobiles. Au contraire, elles se déplacent à des vitesses hallucinantes, mais elles sont si éloignées de nous qu’il faut des siècles pour pouvoir discerner la déformation des constellations. Je disais que le ciel est rempli de mythologie grecque, mais ce n'est pas tout à fait vrai. L'hémisphère sud, logiquement est moins exclusif. Leur constellation phare n'est pas un ours, mais une croix, la croix du Sud. Elle est présente sur le drapeau de l'Australie. Leurs noms sont bien plus modernes, l'horloge, la mouche … Et la machine pneumatique, ou la pompe.Mais cela est probablement dû aux européens qui, lorsqu'ils ont conquis les terres australes, en ont aussi conquis le ciel. Je crois qu’il n'y a rien de plus universel que de tenter de donner sens au ciel [horloge arrive ]et d'y repérer le passage du temps. Car des signes du zodiaque aux calendriers solaires, le ciel a été depuis toujours l'horloge de l'humanité.
L’actualité culturelle à Paris avec Arthur Dreyfus. L'actualité vue par les livres avec Nicolas Tittley; les voitures électriques. Isabelle Racicot et Martine Delvaux ont vu pour nous la série Killing Eve, d'Emerald Fennell et Phoebe Waller-Bridge. Le mot à définir avec Sébastien Doane; Noël. Une entrevue avec Christiane Vadnais pour son roman Faunes. Le club de lecture avec Rafaële Germain qui a lu Arcadie,Emmanuelle Bayamack-Tam, Émilie Dubreuil avec Janet, de Michèle Fitoussi, JC Lattès et Luis Clavis avec Ouvrir son coeur, d'Alexie Morin.
À propos du livre : "Arcadie" paru aux éditions POL "Si on n'aimait que les gens qui le méritent, la vie serait une distribution de prix très ennuyeuse." Farah et ses parents ont trouvé refuge en zone blanche, dans une communauté libertaire qui rassemble des gens fragiles, inadaptés au monde extérieur tel que le façonnent les nouvelles technologies, la mondialisation et les réseaux sociaux. Tendrement aimée mais livrée à elle-même, Farah grandit au milieu des arbres, des fleurs et des bêtes. Mais cet Eden est établi à la frontière franco-italienne, dans une zone sillonnée par les migrants : les portes du paradis vont-elles s'ouvrir pour les accueillir ? Les coup de coeur de Barbara Lambert: Les frères Lehman, de Stefano Massini aux éditions Globe. Les fruits encore verts de Wioletta Greg aux éditions intervalles.