President of Mozambique (2015-present)
POPULARITY
Moçambique: Escândalo das carteiras escolares revela "promiscuidade entre o político e o judiciário". Tanzânia: Crime de traição pode estar a ser usado como arma para silenciar o opositor Lissu. 50 anos da redação de português para África da DW, oiça a experiência do jornalista moçambicano Orfeu de Sá Lisboa na nossa redação.
Moçambique atingiu a marca histórica de mais de 14 mil milhões de euros em dívida pública em 2024. Analistas alertam para risco fiscal. A RENAMO diz que nada teve a ver com o ataque à mão armada na Estrada Nacional 1 em Sofala. Analisamos o impacto das tarifas de Donald Trump no continente africano. No futebol, há mais dois jogos da primeira mão dos quartos de final da Liga dos Campeões.
« Daniel Chapo, président élu du Mozambique, a prêté serment hier matin dans une capitale, Maputo, placée sous haute sécurité, relève Le Monde Afrique. Après trois mois de violences, de pillages et de grèves à répétition qui paralysent le pays depuis la proclamation des résultats de l'élection du 9 octobre, le centre-ville de Maputo était quadrillé par les forces de l'ordre. Une autorisation était nécessaire pour accéder aux abords de la place de l'indépendance où se tenait la cérémonie d'investiture du successeur de Filipe Nyusi. Le premier défi de Daniel Chapo sera de sortir le pays de son marasme politique et d'une crise post-électorale qui a déjà fait plus de 300 morts. »« L'investiture de Daniel Chapo comme président du Mozambique, un événement censé marquer un nouveau départ pour ce pays d'Afrique australe, plonge en réalité le pays dans une atmosphère de tension et d'incertitude, renchérit Afrik.com. Tandis que les partisans de l'opposant Venancio Mondlane multiplient les appels à manifester, les promesses d'unité et de dialogue du nouveau chef d'État sont mises à rude épreuve. »Election volée ?Venancio Mondlane qui conteste toujours la victoire de Daniel Chapo. Et ses partisans ne faiblissent pas. « L'image est malheureusement classique en Afrique, soupire Ledjely en Guinée. Une élection à la régularité plus que douteuse. Mais un pouvoir qui s'en moque et une opposition déterminée à obtenir par la rue la victoire qui lui a été refusée par les urnes. Et une répression aveugle et sourde menée par des forces de l'ordre (…). »Pour le site guinéen, « il est évident pour tout le monde que la victoire du président a été volée. Mais puisque les institutions en charge de certifier les résultats se sont rangées du côté du mensonge, on ne peut que s'en contenter. L'élection que revendique aujourd'hui Daniel Chapo, le candidat du FRELIMO, ressemble beaucoup à celle d'Ali Bongo Ondimba en 2016 face à Jean Ping ou à la victoire attribuée en 2018 à Félix Tshisekedi face à Martin Fayulu. »Examen de conscience pour le FRELIMO ?Pour Le Pays à Ouagadougou, que l'élection ait été volée ou pas, « le soutien populaire dont bénéficie le leader de l'opposition est le signe que le parti historique au pouvoir est aujourd'hui loin de répondre aux aspirations du peuple mozambicain. » Et, « au-delà de la décision de la Cour constitutionnelle, poursuit le quotidien ouagalais, les résultats fortement contestés de ce scrutin, appellent le FRELIMO à une véritable introspection. Et ce, dans un contexte sous-régional où d'autres partis historiques comme l'ANC en Afrique du Sud ou encore la Zanu-PF au Zimbabwe connaissent un net recul au sein de leurs opinions nationales. C'est dire aussi la montagne de défis qui attendent le nouveau président, pointe encore Le Pays, à commencer par l'apaisement du climat social. Il lui appartient donc de savoir tendre la main à l'opposition à l'effet d'ouvrir un dialogue constructif ainsi que des négociations visant à mettre fin aux violences en cours dans le pays. »Vers un partage du pouvoir ?WakatSéra, toujours au Burkina s'interroge en écho : « jusqu'où ira donc le FRELIMO pour garder la main, dans un pays où son pouvoir ne fait plus recette, notamment auprès d'une jeunesse désabusée, confrontée au manque d'emploi, à une économie exsangue et à la vie chère, et guettée par un avenir sans perspective réelle ? Le FRELIMO finira-t-il par lâcher du lest pour répondre à la volonté du peuple (…) ? Le FRELIMO acceptera-t-il, ou sera-t-il contraint, d'une manière ou d'une autre, à partager le pouvoir avec son opposition, à défaut de quitter les affaires ? Qui pourra trouver les solutions à cette équation à plusieurs inconnues ? Tout porte à croire que chaque partie restera campée sur sa position, prête à tirer la corde, jusqu'à la casser ! »Enfin, on revient au Monde Afrique pour qui « Daniel Chapo ne peut aujourd'hui sortir de l'impasse politique qu'en tendant la main à l'opposition. “Il faudrait que, dans les prochains jours, Daniel Chapo nomme un gouvernement avec des ministres issus des partis de l'opposition et de la société civile mozambicaine, considère Eric Morier-Genoud, professeur d'histoire de l'Afrique à l'université Queen's de Belfast. C'est nécessaire, poursuit-il, pour créer un gouvernement inclusif et lancer une nouvelle dynamique dans le pays“. »
« Daniel Chapo, président élu du Mozambique, a prêté serment hier matin dans une capitale, Maputo, placée sous haute sécurité, relève Le Monde Afrique. Après trois mois de violences, de pillages et de grèves à répétition qui paralysent le pays depuis la proclamation des résultats de l'élection du 9 octobre, le centre-ville de Maputo était quadrillé par les forces de l'ordre. Une autorisation était nécessaire pour accéder aux abords de la place de l'indépendance où se tenait la cérémonie d'investiture du successeur de Filipe Nyusi. Le premier défi de Daniel Chapo sera de sortir le pays de son marasme politique et d'une crise post-électorale qui a déjà fait plus de 300 morts. »« L'investiture de Daniel Chapo comme président du Mozambique, un événement censé marquer un nouveau départ pour ce pays d'Afrique australe, plonge en réalité le pays dans une atmosphère de tension et d'incertitude, renchérit Afrik.com. Tandis que les partisans de l'opposant Venancio Mondlane multiplient les appels à manifester, les promesses d'unité et de dialogue du nouveau chef d'État sont mises à rude épreuve. »Election volée ?Venancio Mondlane qui conteste toujours la victoire de Daniel Chapo. Et ses partisans ne faiblissent pas. « L'image est malheureusement classique en Afrique, soupire Ledjely en Guinée. Une élection à la régularité plus que douteuse. Mais un pouvoir qui s'en moque et une opposition déterminée à obtenir par la rue la victoire qui lui a été refusée par les urnes. Et une répression aveugle et sourde menée par des forces de l'ordre (…). »Pour le site guinéen, « il est évident pour tout le monde que la victoire du président a été volée. Mais puisque les institutions en charge de certifier les résultats se sont rangées du côté du mensonge, on ne peut que s'en contenter. L'élection que revendique aujourd'hui Daniel Chapo, le candidat du FRELIMO, ressemble beaucoup à celle d'Ali Bongo Ondimba en 2016 face à Jean Ping ou à la victoire attribuée en 2018 à Félix Tshisekedi face à Martin Fayulu. »Examen de conscience pour le FRELIMO ?Pour Le Pays à Ouagadougou, que l'élection ait été volée ou pas, « le soutien populaire dont bénéficie le leader de l'opposition est le signe que le parti historique au pouvoir est aujourd'hui loin de répondre aux aspirations du peuple mozambicain. » Et, « au-delà de la décision de la Cour constitutionnelle, poursuit le quotidien ouagalais, les résultats fortement contestés de ce scrutin, appellent le FRELIMO à une véritable introspection. Et ce, dans un contexte sous-régional où d'autres partis historiques comme l'ANC en Afrique du Sud ou encore la Zanu-PF au Zimbabwe connaissent un net recul au sein de leurs opinions nationales. C'est dire aussi la montagne de défis qui attendent le nouveau président, pointe encore Le Pays, à commencer par l'apaisement du climat social. Il lui appartient donc de savoir tendre la main à l'opposition à l'effet d'ouvrir un dialogue constructif ainsi que des négociations visant à mettre fin aux violences en cours dans le pays. »Vers un partage du pouvoir ?WakatSéra, toujours au Burkina s'interroge en écho : « jusqu'où ira donc le FRELIMO pour garder la main, dans un pays où son pouvoir ne fait plus recette, notamment auprès d'une jeunesse désabusée, confrontée au manque d'emploi, à une économie exsangue et à la vie chère, et guettée par un avenir sans perspective réelle ? Le FRELIMO finira-t-il par lâcher du lest pour répondre à la volonté du peuple (…) ? Le FRELIMO acceptera-t-il, ou sera-t-il contraint, d'une manière ou d'une autre, à partager le pouvoir avec son opposition, à défaut de quitter les affaires ? Qui pourra trouver les solutions à cette équation à plusieurs inconnues ? Tout porte à croire que chaque partie restera campée sur sa position, prête à tirer la corde, jusqu'à la casser ! »Enfin, on revient au Monde Afrique pour qui « Daniel Chapo ne peut aujourd'hui sortir de l'impasse politique qu'en tendant la main à l'opposition. “Il faudrait que, dans les prochains jours, Daniel Chapo nomme un gouvernement avec des ministres issus des partis de l'opposition et de la société civile mozambicaine, considère Eric Morier-Genoud, professeur d'histoire de l'Afrique à l'université Queen's de Belfast. C'est nécessaire, poursuit-il, pour créer un gouvernement inclusif et lancer une nouvelle dynamique dans le pays“. »
Moçambique: Nos subúrbios de Maputo jovens saíram à rua para protestar contra a tomada de posse dos deputados oficialmente eleitos a 9 de outubro de 2024. Deputados eleitos pela RENAMO e pelo MDM não compareceram. Deputado Arnaldo Chalaua, da RENAMO, explica o porquê do boicote do seu partido.
Les manifestations continuent au Mozambique. Le principal opposant, Venancio Mondlane, continue de contester les résultats de l'élection présidentielle d'octobre dernier, donnant la victoire au candidat du Frelimo, Daniel Chapo. Le parti au pouvoir depuis l'indépendance, en 1975, n'avait jamais été aussi fortement remis en cause. Les manifestations frappent toutes les régions du pays, y compris ses propres bastions dans le sud. Et la répression a causé plus de 260 morts, selon l'ONG locale Plataforma Decide. L'ONU s'est dite ce 31 décembre « profondément inquiète » de l'« escalade de la violence qui a forcé des milliers de personnes à fuir » dans des pays voisins. Comment expliquer un mouvement d'une telle ampleur ? Et un tel rejet du Frelimo ? Sergio Chichava, professeur de sciences politique à l'université Eduardo Mondlane de Maputo, est notre invité. RFI : Ce n'est pas la première fois que des élections sont contestées au Mozambique, mais en quoi cette mobilisation est inédite ? Et quelles sont les images qui vous ont frappées ?Sergio Chichava : Il y a beaucoup de routes qui sont bloquées et on ne peut pas circuler normalement. Et même les péages ne sont pas payés. On ne paye plus les péages à Maputo, au Mozambique, parce que Venancio Mondlane a dit : « On ne doit pas payer de péage », donc on ne paye pas. Et les taxes dans le marché informel, les gens ne les payent pas non plus. Donc, ce sont des choses qui ne se produisaient jamais.Les manifestations ont eu lieu sur l'ensemble du territoire national, y compris dans les bastions du Frelimo. On a aussi vu le déboulonnage de la statue du général Alberto Chipande, un héros de la guerre de libération. Est-ce la fin de l'hégémonie du Frelimo ?On devrait arrêter de parler de l'hégémonie du Frelimo, depuis les deuxièmes élections que le Mozambique a connues. Parce que toutes les élections qui ont suivi ont été frauduleuses. Donc, si un régime se maintient au pourvoir à travers des élections non-transparentes, je ne sais pas si on peut parler d'hégémonie. La différence avec ce qu'il s'est passé auparavant, c'est qu'il y avait des classes sociales, il y avait des régions qui soutenaient encore le Frelimo. Mais, maintenant, il n'y a presque plus aucune région qui soutient le Frelimo. Et aussi, vous avez parlé de déboulonnage de la statue de Monsieur Chipande, mais vous avez oublié de parler du déboulonnage de la statue du président Filipe Nyusi, également déboulonnée, il me semble au mois d'octobre. Ils ont coupé la tête de cette statue à Maputo. Maintenant, on est dans une situation où des gens du Frelimo ont peur de marcher dans les rues, en portant des vêtements de leur parti. Ça, c'était impensable ! Donc, être du Frelimo aujourd'hui n'est plus à la mode, c'est un danger. Le Frelimo demeure au pouvoir juste parce qu'il contrôle l'État, il contrôle l'économie, il contrôle l'armée. Il contrôle tout au Mozambique, mais il ne contrôle plus le désir de changement des citoyens. Les gens veulent le changement, ils ont choisi leur candidat et c'est cela qui importe.Et pourquoi est-ce que la popularité du Frelimo s'est effondrée ? Est-ce avant tout à cause de son bilan économique ?C'est surtout ça ! Son bilan est négatif du point de vue économique. C'est aussi le fait qu'on voit de plus en plus de gens du Frelimo en train de s'enrichir, alors que la majorité de la population n'a aucun bénéfice. Toutes les anciennes bases sociales du Frelimo se sont écroulées. Donc, le Frelimo, avant, bénéficiait du vote des fonctionnaires. Mais les fonctionnaires ont été, eux aussi, très affectés par les mauvaises politiques du Frelimo, ils sont dégoûtés. Même au sein de l'armée, on a vu des gens de l'armée en train de protester dans l'anonymat, mais en montrant qu'ils étaient des policiers, qu'ils étaient des soldats ! Donc, moi je trouve que, aujourd'hui, il y'a très peu de gens qui soutiennent le Frelimo, sauf les gens qui bénéficient du fait que le Frelimo continue toujours au pouvoir.Venancio Mondlane, aujourd'hui en exil, a appelé à plusieurs reprises à un dialogue. Est-ce que lui et le Frelimo sont prêts à entrer en négociation ?Un dialogue est toujours possible dès lors que le dialogue est sérieux. Moi, je ne vois pas le Frelimo intéressé par un dialogue sérieux. Parce que le Frelimo veut conserver le pouvoir. Donc, il fera tout pour le conserver, même en faisant un dialogue qui n'est pas sérieux. La base sociale de Venancio Mondlane ne veut pas de négociations avec le Frelimo. Si Venancio Mondlane s'engage dans des négociations avec le Frelimo, c'est pour qu'il puisse être au pouvoir, c'est pour qu'il obtienne la vérité électorale, pas pour une autre solution. Donc, si Venancio Mondlane arrive à trouver une autre solution en accord avec le Frelimo qui soit différente, ce sera une grande déception pour sa base sociale. Je pense aussi que ce sera dramatique pour son avenir politique.À lire aussiCrise au Mozambique: des voix s'élèvent pour dénoncer le silence de la communauté internationaleÀ lire aussiCrise au Mozambique: l'Afrique du Sud nomme un envoyé spécial
Moçambicanos estão a preparar-se para piores cenários caso o Constitucional validar a vitória da FRELIMO. Daniel Chapo e a FRELIMO começam a cantar vitória e preparam festa rija em todo o país. Crise na RENAMO, ex-guerrilheiros encerram a sede principal do partido e exigem a demissão de Ossufo Momade. Por que motivo o Governo angolano também constrói em zonas de risco?
Protests have erupted across Mozambique, where a disputed election has sparked a powerful movement for change. Thousands are defying a violent government crackdown, demanding an end to decades of dominance by the governing party. But this isn’t just about politics—it’s about a generation fighting for their future. What’s driving the unrest, and how might it reshape the country’s path forward? In this episode: Zenaida Machado-Ezinteje (@zenaidamz), Senior Researcher at Human Rights Watch Episode credits: This episode was produced by Amy Walters, Sonia Bhagat, and Sarí el-Khalili with Khaled Soltan, Chloe K. Li, Phillip Lanos, Spencer Cline, Duha Mosaad, and our host, Malika Bilal. Our sound designer is Alex Roldan. Our video editors are Hisham Abu Salah and Mohannad al-Melhem. Alexandra Locke is The Take’s executive producer. Ney Alvarez is Al Jazeera’s head of audio. Connect with us: @AJEPodcasts on Twitter, Instagram, Facebook, Threads and YouTube
Terminou ontem mais uma semana de manifestação nacional contra a fraude eleitoral em Moçambique. Cabo Delgado foi palco de protestos violentos e com alegados ataques terroristas. PRM afirma que tumultos não foram provocados por insurgentes. A ativista moçambicana Anabela Lemos conta que sente a solidariedade internacional para com a atual situação pós-eleitoral no seu país.
Clima de tensão aumenta em Moçambique com a nova fase de protestos. Na Zambézia, um posto da polícia, um tribunal e a sede da FRELIMO foram vandalizados. Venâncio Mondlane diz que encontro com Filipe Nyusi só depende do Presidente. Nas alegações finais do julgamento do caso da aeronave que aterrou em Bissau com droga, Ministério Público pediu entre 17 e 20 anos de prisão para os cinco acusados.
Moçambique: Manifestações prosseguiram nesta sexta-feira, em algumas cidades do país. Moçambicanos residentes na Alemanha querem que a União Europeia e o governo alemão ajudem a apurar a verdade eleitoral. Quem é Maria Matusse, a jovem manifestante que foi atropelada por uma viatura militar? Novo medicamento contra o HIV Sida, que é muito eficaz, mas também muito caro.
Venâncio Mondlane apela que os moçambicanos pressionem Filipe Nyusi a demitir o comandante da PRM, Bernadino Rafael. Em entrevista à DW África, o general Abílio Kamalata Numa, antigo secretário-geral da UNITA, afirma que seria uma aberração se Biden não se encontrasse com Adalberto Costa Junior. Ainda em A fome e condições sociais precárias levam os cidadãos do Cunene a mudarem-se para a Namíbia.
Moçambique: Porque, até agora, o ministério da Defesa ainda não abriu um inquérito sobre a atuação das forças de segurança? Na província de Nampula houve mortos e feridos nos últimos dias nas manifestações a favor da verdade eleitoral, denuncia um dirigente do partido PODEMOS. Guiné-Bissau: Ensino público tem sofrido muito com a instabilidade política.
Em Moçambique, arranca hoje o primeiro de três dias de protestos convocado por Venâncio Mondlane pela reposição da verdade eleitoral. Ossufo Momade, líder da RENAMO, afirma que a ausência de Mondlane da reunião com Filipe Nyusi é perigosa. Neste jornal, falamos ainda sobre as eleições na Namíbia. E no futebol, arrancou a 5ª jornada da Liga dos Campeões.
Moçambique: Em Maputo carro blindado da polícia atropelou manifestante pacífica, alegadamente de propósito. Académico moçambicano considera que o caso é "matéria para o Tribunal Penal Internacional". Durante as três fases das manifestações convocadas pelo candidato Venâncio Mondlane, 30 doentes crónicos morreram por falta de atendimento hospitalar.
Filipe Nyusi recebe hoje os candidatos presidenciais para discutir a crise pós-eleitoral. E como avaliar esta iniciativa de diálogo? Em Angola: TAAG com falta de passagens de Luanda para Cabinda e vice-versa. Europa de "olhos vermelhos" pelo cobalto e cobre congoleses.
Moçambique: Reunião convocada pelo Presidente Filipe Nyusi fracassou. Venâncio Mondlane explica porque não participou no diálogo. Centro de Integriade Pública denuncia seletividade do Ministério Público moçambicano na instauração de processos-crime por ilícitos eleitorais. Guiné-Bissau: Já se esgotaram todos os meios para enfrentar o regime de Umaro Sissoco Embaló?
Moçambique: Observadores saúdam proposta de Venâncio Mondlane de abrir o debate sobre a saída do conflito pós-eleitoral a representantes da sociedade civil. Angola: Discussão em torno dos ativos de Isabel dos Santos recuperados em Portugal. Egito: Nova lei de asilo poderá ter um impacto negativo nos direitos dos refugiados.
Mozambique's presidential election runner-up Venâncio Mondlane has placed conditions on his participation in a meeting with the country's president to end weeks of political unrest over disputed elections. Mondlane delivered his proposal along with a proposed agenda and wants to meet Tuesday with President Filipe Nyusi and the three other presidential candidates. Charles Mangwiro reports from Maputo
Moçambique: Às 12 horas, os cidadãos vestiram-se de preto e, durante 15 minutos, pararam as viaturas e buzinaram em protesto, como pedira Venâncio Mondlane. Presidente Filipe Nyusi apelou ontem ao diálogo entre todos os candidatos presidenciais. Como reagem os partidos da oposição? SADC deveria atuar com mais firmeza contra violações dos direitos humanos em Moçambique, afirma analista.
Moçambique: Tem início hoje nova fase de manifestações contra processo eleitoral: enviado especial da DW à Maputo traz toda a informação. Autoridades moçambicanas estão em ações de "caça às bruxas" contra manifestantes. Angola: Após as exonerações do Presidente João Lourenço, atenções voltadas para o Novo Ministro do Interior. Somalilândia realiza hoje eleições presidenciais.
Protestos pós-eleitorais em Moçambique: Há possibilidade de diálogo entre Mondlane e o Governo? Analista Hélder Jauana comenta. Cabo Delgado: Grave crise de fome abala distrito de Mocímboa da Praia, norte de Moçambique.Rússia, China e Catar intensificam notícias falsas na África Ocidental, prejudicando o trabalho de jornalistas locais.
Moçambique: Quarta e última fase de contestação às eleições deve ser apresentada hoje por Venâncio Mondlane. Enviado especial da DW à Maputo traz as últimas informações. Em entrevista à DW, Fidel Terenciano diz que encontro entre Nyusi e "mentor espiritual" de Mondlane "não significa diálogo". Angola assinala 49 anos da sua independênca. E a Rádio Novela Learning By Ear - Aprender de ouvido.
Venâncio Mondlane anuncia "pausa" nas contestações. Filipe Nyusi quebrou o silêncio sobre os protestos violentos em Moçambique. Conselho Constitucional admitiu os recursos submetidos pela oposição com reclamações sobre o processo eleitoral, mas PODEMOS não gostou da decisão.
As últimas 24 horas em Maputo foram de protestos, violência, detenções e mortes. O que se segue? Venâncio Mondlane, candidato presidencial do PODEMOS, anunciou que o povo começa a atingir o objetivo final. O analista político, Dércio Alfazema, afirma que está a ser ameaçado de morte por apoiantes de Mondlane. Confira s reações africanas ao regresso de Donald Trump à Casa Branca.
Pelo menos 20 pessoas foram mortas ou feridas em protestos de rua liderados pelo candidato da oposição após o anúncio da vitória de seu adversário, apoiado pelo partido governista e pelo presidente atual Filipe Nyusi.
Nas presidenciais dos EUA, as projeções dão vitória ao candidato republicano, Donald Trump. Em Moçambique, ativista social classifica a retenção de jovens em trânsito no seu próprio país como uma prova inequívoca de que Moçambique vive numa "ditadura".O secretário do PODEMOS na Alemanha organiza uma manifestação que decorrerá na capital, Berlim.
Protesto pós-eleições em Moçambique: Ministro da Defesa afirma que há intenções de provocar um golpe de Estado. Ativista social Quitéria Guirengane diz que se Presidente Filipe Nyusi decretar "estado de emergência" estatá a dar "tiro no próprio pé". Guiné-Bissau em clima de incerteza após Sissoco Embaló adiar legislativas. Nos EUA, eleitores chamados às urnas para escolher entre Trump e Harris.
Venâncio Mondlane anunciou nova fase de contestação dos resultados em Moçambique. O Governo diz que o político será responsabilizado pela violência no país. Mas PODEMOS reforça que as manifestações serão pacíficas. Amnistia Internacional exige investigação "séria e imparcial" todas as denúncias de uso excessivo da força em Moçambique.
Filipe Nyusi critica Venâncio Mondlane e lança indiretas à comunidade internacional. PODEMOS apresenta recurso no Conselho Constitucional alegando que Venâncio Mondlane ganhou as eleições presidenciais. Populares invadiram posto policial em Nampula, segundo a polícia local. Reina a incerteza na Guiné-Bissau sobre a realização das eleições legislativas marcadas para o dia 24 de novembro.
*) Israeli strikes kill, injure over 150 in Gaza's Jabalia More than 150 Palestinians were killed or injured in Israeli attacks on Gaza's Jabalia refugee camp, according to the Palestinian Civil Defence agency. Israeli forces reportedly destroyed 11 houses in the al-Hawaja area last night. The agency underscored the need for help to transport the wounded from the scene. *) Türkiye celebrates UN as global beacon of hope: Erdogan President Erdogan expressed Türkiye's readiness to help reform the United Nations into a renewed symbol of hope for humanity. He emphasised the need for an effective international system rooted in justice, equality, and solidarity, free from double standards. Erdogan expressed Ankara's determination to continue contributing to peacekeeping, counter-terrorism, and sustainability efforts under the UN framework. *) Russia's Putin does not deny North Korea troops deployment in Ukraine President Vladimir Putin did not refute claims that North Korea sent troops to Russia but emphasised that Moscow has the right to manage its defence cooperation with Pyongyang. He blamed the West for escalating the Ukraine conflict and highlighted NATO's direct involvement in the war. Meanwhile, the US claimed to have evidence of 3,000 North Korean troops being sent to Russia for potential deployment in Ukraine, which could further intensify the war. *) Mozambique's Frelimo party extends five-decade rule in disputed election Mozambique's ruling party, Frelimo, has maintained its grip on power after winning the presidential election, despite opposition allegations of fraud. Daniel Chapo, 47, will succeed President Filipe Nyusi, becoming the nation's fifth president since independence. The electoral commission announced Chapo secured over 70 percent of the vote. *) Fenerbahce draw with Manchester United, Besiktas beat Lyon in Europa League Beşiktaş secured a 1-0 win against Olympique Lyon in the Europa League, thanks to a 71st-minute goal from Gedson Fernandes. The Turkish side wore black armbands in memory of victims of Wednesday's terrorist attack. In another Europa League game, Turkish Super Lig side Fenerbahce settled for a 1-1 draw with Manchester United at home.
As eleições gerais em Moçambique estão no centro da actualidade desta semana. O candidato da Frelimo, Daniel Chapo, sucede a Filipe Nyusi na presidência do país, depois de uma semana de eleições, de protestos e do homicídio de dois membros do partido Podemos. As eleições gerais em Moçambique estão no centro da actualidade desta semana. O candidato da Frelimo, Daniel Chapo, sucede a Filipe Nyusi na presidência do país, com cerca de 70% dos votos, Venâncio Mondlane chegou em segundo lugar com cerca de 20% dos escrutínios, e em terceiro lugar ficou Ossufo Momade, da Renamo, com apenas cerca de 6% dos votos. Esta sexta-feira, Daniel Chapo, eleito presidente de Moçambique, dirigiu-se à nação. Vamos passar a ser presidente de todos os moçambicanos, incluindo aqueles que estão a manifestar.Os partidos políticos da oposição PODEMOS, RENAMO e MDM não reconhecem os resultados e Venâncio Mondlane lançou um desafio a Daniel Chapo, exigindo a publicação dos editais. VE 2 O mandatário do candidato presidencial da Renamo, Geraldo de Carvalho, denunciou fraudes eleitorais (VE 2) e Lutero Simango, candidato do MDM, exigiu a "reposição da legalidade", ou alertou para uma "revolta eleitoral". (VE 2)A oposição denuncia fraudes eleitorais e a Missão de Observação Eleitoral da União Europeia afirmou ter constatado “irregularidades durante a contagem e alterações injustificadas” dos resultados eleitorais.O processo eleitoral ficou manchado pelo duplo homicídio de Elvino Dias, advogado do candidato Presidencial Venâncio Mondlane e Paulo Guambe, mandatário do partido Podemos. Os dois membros da oposição foram assassinados em Maputo a 18 de Outubro por pessoas cuja identidade ainda se desconhece.Venâncio Mondlane, candidato presidencial do partido Podemos acusou as Forças de Defesa e Segurança de serem responsáveis pelo duplo homicídio, e apelou a uma manifestação pacífica.Foram as forças de Defesa e Segurança de Moçambique que fizeram isto, temos provas disso, portanto, não se isentem. Está a jorrar sangue de dois jovens agora. Segunda-feira, todos jovens, todos nós vamos sair à rua, vamos nos manifestar com os nossos cartazes. Na segunda-feira, centenas de cidadãos saíram às ruas em todo o país. A capital moçambicana foi palco de confrontos entre manifestantes, que atiraram pedras e incendiaram pneus nas ruas perto da Avenida Joaquim Chissano, e a polícia que dispersou populares com recurso a gás lacrimogéneo e tiros para o ar. O descontentamento aumentou e na terça-feira, Venâncio Mondlane em directo nas redes sociais, convocou dois dias de paralisação do país a partir de quinta-feira, dia de anúncio dos resultados das eleições gerais pela Comissão Nacional de Eleições (CNE).Vamos decretar a abertura das portas da revolução. A partir do dia 24, vamos reactivar a segunda etapa das manifestações e do roteiro revolucionário de Moçambique. No mesmo dia, a Renamo criticou a violência e a brutalidade policial sobre cidadãos indefesos, considerando que se tratou de uma verdadeira afronta à democracia.Na quarta-feira, o presidente cessante Filip Nyusi finalmente reagiu aos acontecimentos, exigindo uma investigação séria para o esclarecimento do assassínio dos dois opositores políticos.Ainda esta semana, São Tomé e Príncipe e o Fundo Monetário Internacional (FMI) chegaram a um entendimento para assinatura do acordo que possibilita a facilidade de crédito alargado. Isto, depois de o FMI ter considerado que o programa contém as reformas necessárias para restabelecer a estabilidade macroeconómica do país. Ainda no arquipélago lusófono, os médicos iniciaram na quinta-feira uma greve por tempo indeterminado, melhorias de condições de trabalho, com destaque para medicamentos e consumíveis que o Sindicato da classe médica, faltam para garantir os serviços mínimos.Em Angola, os camionistas dizem que voltaram a ser proibidos de circular na vizinha República Democrática do Congo. As autoridades desse país agora exigirem visto de imigração para os camiões angolanos entrarem em Kinshasa, à semelhança do que seria exigido aos cidadãos do antigo Zaire desde há alguns anos, quando almejam chegar a território angolano. A Associação angolana dos Transportadores de Mercadorias, apelou o governo a elaborar um documento de facilitação de entrada para os camionistas da RDC. Na Guiné Bissau, continua a incerteza à volta da realização das eleições legislativas, previstas para 24 de Novembro. A sociedade civil exige o adiamento das eleições. Os partidos políticos preferem manter o escrutínio a 24 de Novembro. Até sexta-feira, a CNE não se tinha pronunciado.
Programa especial: A Comissão Nacional de Eleições (CNE), presidida pelo o bispo anglicano D. Carlos Matsinhe, declarou hoje oficialmente Daniel Chapo, candidato da Frente de Libertação de Moçambique (FRELIMO), como o vencedor das eleições presidenciais realizadas a 9 de outubro de 2024, resultados que ainda carecem da validação do Conselho Constitucional.
Moçambique: Dor e revolta marcaram o funeral de Elvino Dias, advogado e braço-direito de Venâncio Mondlane, brutalmente assassinado com 25 tiros. Presidente do MDM, Lutero Simango, reitera que "ninguém tem o direito de silenciar" os moçambicanos. Escritor moçambicano Mia Couto considera que as fraudes eleitorais em Moçambique "têm que ser apuradas".
Com a campanha eleitoral em Moçambique na reta final, politólogo diz que faltaram propostas inovadoras dos candidatos. Falta de fundos e de transparência mancham processo eleitoral moçambicano, considera analista. Em Angola, decorre o Censo Geral, mas muitos ainda não avistaram os recenseadores
Faltam 9 dias para Moçambique eleger o novo Presidente da República. Na Beira, o MDM promete transformar a gestão dos serviços de saúde e ensino. Em Nampula, o PODEMOS promete ensino primário e secundário gratuito a nivel nacional. Em Cabo Delgado, a FRELIMO quer alcançar a tão desejada paz. A RENAMO anunciou o apoio de 12 partidos extraparlamentares. E conflito entre Israel e o Hezbollah.
Neste programa, voltamos aos discursos, na Assembleia-Geral da ONU, dos Presidentes de Angola, Cabo Verde, São Tomé e Príncipe, Moçambique e Guiné-Bissau. João Lourenço falou num futuro acordo de paz entre a RDC e o Ruanda, José Maria Neves disse que é "vital" a restituição de bens culturais aos países africanos, Carlos Vila Nova defendeu a reforma do Conselho de Segurança das Nações Unidas para acabar com a sub-representação de África, Filipe Nyusi falou na necessidade de uma “nova arquitectura financeira internacional” e Umaro Sissoco Embaló afirmou estar "muito empenhado” no diálogo na Guiné-Bissau, na semana em que o Parlamento guineense foi novamente fechado por militares da Guarda Nacional. Nesta 79.ª Assembleia-Geral da ONU, em Nova Iorque, o presidente de Angola, João Lourenço, disse que a RDC e o Ruanda estão a negociar a assinatura de um acordo de paz. A mediação deste possível acordo está a ser feita por Angola e deve resultar numa cimeira entre estes dois países.Por sua vez, o Presidente de Cabo Verde, José Maria Neves, disse que é "vital" a restituição de bens culturais aos países africanos e que o seu país vai organizar um encontro de alto nível dedicado ao crioulo no Atlântico.O Presidente de São Tomé e Príncipe, Carlos Vila Nova, defendeu a necessidade de reforma do Conselho de Segurança das Nações Unidas para acabar com a sub-representação de África e para que seja “mais eficaz na sua missão de manter a paz e segurança global”.Quanto a Moçambique, que este ano deixa de ser membro não-permanente do Conselho de Segurança das Nações Unidas, o Presidente Filipe Nyusi defendeu a necessidade de uma “nova arquitectura financeira internacional” e a mobilização urgente de recursos para acelerar progressos na implementação das metas globais. Paralelamente à Assembleia-Geral da ONU, o Presidente de Moçambique organizou o diálogo de alto nível sobre a Iniciativa do Miombo, que juntou dezenas de empresários norte-americanos doadores do projecto e governantes africanos. Filipe Nyusi anunciou a angariação de “mais de 500 milhões de dólares” para proteger a floresta de Miombo que abrange 11 países da África austral. Em Abril, esses 11 países adoptaram verbalmente a Carta de Compromisso da Floresta do Miombo, a qual prevê um fundo a sediar em Moçambique.Numa altura em que a Guiné-Bissau está mergulhada numa grave crise política e institucional, o Presidente Umaro Sissoco Embaló disse na Assembleia Geral da ONU que está "muito empenhado no promoção do diálogo, consolidação da democracia e respeito do Estado de direito no país”. Porém, em Bissau, três dias depois da reunião dos membros da Comissão Permanente do Parlamento, este foi novamente fechado, na segunda-feira, por militares da Guarda Nacional e os funcionários e deputados impedidos de entrar. Depois, o Governo acusou o Presidente da Assembleia Nacional de tentativa de golpe de Estado.As acusações foram feitas por José Carlos Monteiro, um dirigente do Madem G15, da ala fiel ao Presidente Umaro Sissoco Embaló, que acusou Domingos Simões Pereira de ter violado a Constituição do país “ao ter abordado a situação do Supremo Tribunal de Justiça durante a Comissão Permanente”. José Carlos Monteiro, que é também secretário de Estado da Ordem Pública, anunciou que a coordenadora do Madem e 2.ª vice-presidente do Parlamento, Satu Camará, foi indigitada para substituir Domingos Simões Pereira na presidência do Parlamento. Em entrevista à RFI, Domingos Simões Pereira reiterou que continua a ser o Presidente da Assembleia nacional da Guiné Bissau.Em São Tomé e Príncipe, o primeiro-ministro Patrice Trovoada disse que o seu partido vai avançar com um projecto de revisão da Constituição para clarificar o que qualifica de “zonas de confusão” e admitiu propor a mudança para um regime presidencialista antes das eleições gerais de 2026.Em Cabo Verde, a emissão de um selo em homenagem ao centenário de Amílcar Cabral gerou crise no partido no poder. O líder do grupo parlamentar do MPD, Paulo Veiga, abandonou o cargo, afirmando que tem tido muitas dificuldades na articulação com os membros do governo. O actual vice-presidente da bancada parlamentar do MpD, Celso Ribeiro, foi o nome indicado pela Comissão Política Nacional do MpD para presidir o seu grupo parlamentar e a eleição deve acontecer na próxima semana, antes da primeira sessão parlamentar do novo ano político, que está prevista para 09 de Outubro. A liderança do MpD - tanto o presidente do partido e primeiro-ministro, Ulisses Correia e Silva como o secretário-geral do MpD, Luís Carlos Silva - tem relativizado a crise instalada no partido no poder, afirmando que o partido de centro-direita está focado na preparação das eleições autárquicas previstas para 01 de Dezembro próximo.Ainda em Cabo Verde, a presidente do Banco Alimentar Contra a Fome, Ana Maria Hopffer Almada, disse que há muita insegurança alimentar no país. Este fim-de-semana decorre a 19ª Campanha de Recolha de Alimentos nos supermercados, em três ilhas do país. “Há muita insegurança alimentar, para não dizer mesmo fome, pessoas que realmente não têm tido possibilidade de fazer três refeições diárias e o Banco Alimentar tem muitos pedidos de ajuda. Temos 200 famílias fixas, escolhidas através das associações, que são beneficiadas periodicamente. Temos mais outras tantas que procuram o Banco Alimentar, sobretudo nesta situação [de insegurança alimentar]. E é muito difícil, nós termos alimentos suficientes para doar a todas essas pessoas. Nós doamos em forma de cestas básicas”, afirmou Ana Maria Hopffer Almada.Em Moçambique, continuou a campanha para as eleições gerais de 9 de Outubro. A Sala da Paz, que junta organizações da sociedade civil para a observação eleitoral, alertou para o “agravamento de intolerância política” e pediu “menos participação” de menores na campanha. A plataforma indicou que “há actos de intolerância política que têm como protagonistas o empresariado local, especialmente os que operam no ramo de hotelaria e turismo, que têm estado a impedir e a abster-se de prestar serviços a representantes de algumas formações políticas”. A Sala da Paz denunciou, ainda, que “os casos de intolerância política tendem a agravar-se, com casos recentes ligados à destruição de material de propaganda, incêndio de viaturas e residências de membros de partidos políticos”.Esta foi, ainda, a semana em que o Presidente Filipe Nyusi disse, em Nova Iorque, que o governo moçambicano fez a sua parte para a criação de condições de segurança que permitem a retoma das actividades da francesa Total em Cabo Delgado, no norte do país. No entanto, esta quinta-feira, foi publicada no site norte-americano Politico uma investigação do jornalista Alex Perry que revela alegadas atrocidades cometidas em Afungi, durante o verão de 2021, por comandos moçambicanos que garantiam a segurança da plataforma da gigante petrolífera francesa Total.
Deslocados do terrorismo em Manica pedem ao próximo Presidente de Moçambique o fim da guerra. Navio com bandeira são-tomense envolvido em atos obscuros. Entre a fome e o medo, deslocados vivem dias difíceis no leste da República Democrática do Congo.
Nova coligação política na Guiné-Bissau surge para "contornar barreiras criadas" por Umaro Sissoco Embaló, diz analista. ONU adota "Pacto para o Futuro" que promete traçar "um futuro melhor" para a humanidade. Não perca neste jornal mais um episódio da radionovela Learning by ear - Aprender de ouvido.
Cerca de 50 chefes de Estado e de Governo africanos deslocaram-se, esta semana, a Pequim, para a cimeira China-África e as atenções estiveram voltadas para as parcerias e cooperação. Em Cabo Verde, preparam-se as cerimónias do centenário do nascimento de Amílcar Cabral, com críticas à Guiné-Bissau. Em Bissau, o Supremo Tribunal de Justiça validou o congresso que elegeu Satu Camará como líder do Madem G-15 e em Angola manifestantes tentaram protestar contra a Lei de Vandalismo de Bens Públicos. Cerca de 50 chefes de Estado e de Governo africanos deslocaram-se esta semana a Pequim, a capital chinesa, para a Cimeira China-África. A China tem sido o maior parceiro comercial de África nos últimos 15 anos, mas o défice comercial de África com a China aumentou no ano passado para 64 mil milhões de dólares, algo que alguns analistas alertam que pode ser usado para tornar os países africanos cativos dos desejos e exigências de Pequim.Entre alguns dos anúncios, ficou-se a saber que a China vai doar 25,6 milhões de euros a Cabo Verde, algo adiantado no Facebook pelo primeiro-ministro cabo-verdiano, Ulisses Correia e Silva.Por sua vez, Angola e China assinaram três memorandos de entendimento na área dos transportes, um deles para elaboração de estudos para acelerar o projecto de construção do metro de superfície de Luanda, de acordo com um comunicado do Ministério dos Transportes de Angola.O Presidente moçambicano, Filipe Nyusi, disse que a China vai apoiar no combate ao terrorismo na província de Cabo Delgado, nomeadamente assistência militar. Além disso, disse que “a visita foi um sucesso acima do normal”.Precisamente em Moçambique, uma criança morreu num no distrito da Mocímboa da Praia, em Cabo Delgado, no extremo norte do país, como pode ouvir na reportagem de Orfeu Lisboa.Também esta semana, o Governo de Moçambique aprovou um projecto para plantar 200 milhões de árvores de mangal no país nos próximos 60 anos, devendo a plantação começar em Novembro. O anúncio foi feito, esta sexta-feira, pelo promotor do projecto MozBlue que explicou que se vai “começar a plantar o primeiro dos 200 milhões de mangais em Quelimane, na Zambézia, em Novembro, em linha com o início da época das chuvas em Moçambique". Esta será a maior concessão de mangais em África, de acordo com a empresa com sede no Dubai.Ainda em Moçambique, as autoridades de saúde na Zambézia instalaram um posto de controlo sanitário junto à fronteira com o Malawi para prevenir eventuais casos de Mpox no país. A directora dos serviços distritais de saúde afirmou que se encontram no terreno equipas de técnicos de medicina preventiva. Angola: Contestação contra Lei de Vandalismo de Bens PúblicosNo sábado passado, em Angola, vários manifestantes foram detidos pela polícia no início de uma concentração em Luanda, que visava protestar contra a Lei de Vandalismo de Bens Públicos. O secretário-geral da Juventude do Bloco Democrático, Adilson Manuel, estava entre os manifestantes e foi detido pelas autoridades durante grande parte do dia. Em entrevista à RFI, Adilson Manuel prometeu levar o caso à justiça. Guiné-Bissau: Justiça valida congresso de ala dissidente do Madem G-15Na Guiné-Bissau, o Supremo Tribunal de Justiça considerou que o congresso extraordinário da ala dissidente do Madem G-15, que elegeu Satu Camará líder do partido, respeita os estatutos do partido. Pode ouvir no programa a reportagem de Mussa Baldé. Cabo Verde prepara-se para o centenário de Amílcar CabralAproxima-se o centenário do nascimento do líder da independência da Guiné-Bissau e Cabo Verde, Amílcar Cabral, que nasceu a 12 de Setembro de 1924. O presidente da Fundação Amilcar Cabral, Pedro Pires, discordou com a decisão do Presidente guineense, Umaro Sissoco Embaló, de “associar” as comemorações do centenário de Amílcar Cabral às celebrações dos 60 anos das Forças Armadas em Novembro. Pedro Pires também lamentou a alegada proibição por parte do Governo guineense de afixação de cartazes sobre o centenário.Na cidade da Praia, no âmbito da estratégia Global Gateway da União Europeia para Cabo Verde, foram assinados, na quarta-feira, dois novos financiamentos num total de 300 milhões de euros, para apoiar sectores como o digital, os portos e as energias renováveis.Ainda em Cabo Verde, um estudo sobre o diagnóstico social da ilha Brava mostra que a taxa de abandono escolar aumentou para 30 por cento no último ano lectivo e que as reprovações também ultrapassam os 30 por cento. Após publicar o Diagnóstico Social da ilha Brava, o presidente da câmara municipal local, Francisco Tavares, veio dizer que a autarquia vai trabalhar com todas as instituições e organizações para entender as razões das reprovações e dos abandonos escolares e agir para prevenção.Também em Cabo Verde, o Presidente vetou o plano de carreiras dos professores e pediu nova apreciação do diploma por considerar que ficaram por atender “questões fracturantes” que têm motivado o descontentamento e sucessivas greves dos docentes nos últimos meses. RDC recebe primeiras vacinas contra a MpoxÀ República Democrática do Congo chegou, esta quinta-feira, um primeiro lote de quase cem mil vacinas contra a Mpox, doadas pela União Europeia e fabricadas por um laboratório dinamarquês. Outro lote de cem mil doses deveria chegar este sábado. No total, mais de 560 mil doses serão doadas pela UE e destinadas à RDC e a outros países do continente afectados pelo vírus.Ainda na República Democrática do Congo, pelo menos 129 pessoas morreram durante uma tentativa de fuga, na noite de domingo, na maior prisão do país, em Kinshasa. Os números foram avançados, na terça-feira, pelas autoridades, que falam num caso com contornos pouco claros.
Em Moçambique, debate-se a possível legalização do consumo de cannabis sativa, conhecida localmente como soruma. Especialista alerta que é preciso informar sobre os perigos. Venâncio Mondlane promete reformar e despartidarizar Estado que apelida de "babilónico". Na Guiné-Bissau, o MADEM-G15 tem agora dois líderes: Braima Camará e a recém-eleita, Adja Satú Camará.
Lutero Simango acusa Filipe Nyusi de “má governação” e fala num partido fora de prazo. A paridade entre mulheres e homens no poder é uma miragem. Líderes políticas pedem para que mais mulheres apareçam na linha da frente em Moçambique. Terminaram ontem os Jogos Olimpicos de Verão em Paris e um novo episódio da radionovela Learning By Ear Aprender de ouvido.
Moçambique: No seu último discurso sobre o estado da Nação, o Presidente diz-se orgulhoso da sua governação. Desfecho do julgamento do ex-ministro moçambicano Manuel Chang nos EUA difícil de se prever, diz o CIP. Angola: País aposta na produção de fertilizantes para satisfazer demanda interna e não só.
Filipe Nyusi pode estar cada vez mais perto da barra do tribunal no caso "dívidas ocultas". No entanto, jurista moçambicano defende que ação da Privinvest não passa de "perseguição". Em Angola, chuvas destroem plantações e escassez de produtos já se faz sentir em várias províncias. Na Etiópia aumentam raptos com pedido de resgate.
Acidente envolvendo Florindo Nyusi – filho do presidente moçambicano é um teste à justiça no país? Trabalhadores angolanos denunciam maus tratos nas empresas chinesas. No Ruanda: Paul Kagame reeleito para o quarto mandato com mais de 99 por cento.
Moçambique: Filipe Nyusi poderá terminar mandato sem pôr fim aos raptos. França: Aliança de esquerda Nova Frente Popular (NFP) vence e empurra extrema-direita anti-imigração para terceiro lugar. Euro2024: Inglaterra e Países Baixos enfrentam-se na segunda meia-final. 20 anos depois, Angola conquista a Taça Cosafa. Radionovela Learning by Ear - Aprender de Ouvido.
Analista dá nota positiva à missão da SAMIM em Cabo Delgado. Na Guiné-Bissau: Criação de Batalhão anti-golpes gera polémica. No Quénia, jovens voltam às ruas para exigir da demissão do Presidente William Ruto. Euro 2024: Conhecidas as oito equipas que vão aos quartos de final.
Em Moçambique: Grupo de cidadãos submete uma queixa ao Conselho Constitucional contra Filipe Nyusi por incompatibilidade de funções. Em Angola: No município do Dirico, os preços dos produtos básicos dispararam. Alemanha vs. Espanha e Suíça vs. Inglaterra são os primeiros confrontos dos quartos de final do Euro 2024. Learning by Ear – Aprender de Ouvido.
Moçambique: Oposição boicotou a visita oficial do Presidente da Guiné-Bissau.Sociedade civil na Zambézia contesta um novo projeto de extração de areias pesadasnuma praia, em Quelimane.Depois da Coreia do Norte, o Presidente russo está no Vietname em busca de aliados. Euro2024: Tudo em aberto no Grupo C.