POPULARITY
Categories
A semana foi quente no universo benfiquista!O Benfica mexe forte no mercado: Rafa Obrador já foi apresentado, Thiago Almada diz-se que está a caminho da Luz e Orkun Kökçü já foi apresentado no Besiktas. Álvaro Carreras será apresentado no Real Madrid.Ricardo Lemos, Rui Pedro Braz e e Lourenço Coelho deixam a estrutura e Rui Costa anuncia recandidaturaNeste vídeo, fazemos o ponto de situação do plantel e analisamos o que pode mudar nos próximos dias.
Conversas de Café à Mesa da Rádio, com António Apolinário Lourenço e João Pedro Gonçalves.
Donald Trump reune-se com cinco presidentes africanos para falar de comércio e segurança. Em Angola: João Lourenço condecora José Eduardo dos Santos a título póstumo. Ativistas guineenses apresentam, na justiça portuguesa, queixa-crime contra Umaro Sissoco Embaló. Falta material hospitalar, no município da Conda, província do Cuanza-Sul.
Le projet « Alianza Paraguay » a été révélé aujourd'hui par Forbidden Stories, l'ONG Organized Crime and Corruption Reporting Project et 10 médias d'Amérique latine et d'Europe. Trois enquêtes parties de la mort d'un journaliste Leo Veras, qui révèlent l'imbrication du crime organisé avec les pôles de pouvoir du pays. => Forbidden Stories. Le projet « Alianza Paraguay » nous emmène au Paraguay et plus précisément dans la ville de Pedro Juan Caballero à la frontière avec le Brésil. Un point stratégique au cœur de l'Amérique du Sud, point-clé des circuits de trafics illégaux d'armes, de cigarettes et de drogue et lieu de danger pour les journalistes dans un pays où l'impunité et la corruption font loi. C'est dans cette ville que collaboraient deux journalistes, le Paraguayen Candido Figueredo et le Brésilien Lourenço « Leo » Veras. Après avoir travaillé pendant des années de l'autre côté de la frontière sur le crime organisé et les réseaux de trafiquants de la région, Leo Veras était venu poursuivre ses recherches à Pedro Juan Caballero. Il y a finalement été tué le 12 février 2020 de douze balles dans le corps. Son collaborateur a été obligé de quitter le pays. « Ils ont offert des milliers de dollars à qui rapporterait ma tête », témoigne Candido Figueredo pour le projet « Alianza Paraguay ». Mais qui sont- « ils »? Qui sont ceux qui ont tué Leo Veras ? Qui sont ceux qui font la loi à Pedro Juan Caballero, et plus largement au Paraguay ? « Il n'y a jamais eu ni justice ni d'enquête », affirme Cinthia Gonzalez, la veuve de Leo Veras pour « Alianza Paraguay ». Poursuivre l'enquête de Leo Veras C'est donc là que le consortium Forbidden Stories entre en scène. Son objectif est de finir les enquêtes de journalistes réduits au silence. De nombreux médias latino-américains et européens ont participé au projet « Alianza Paraguay ». « C'est un sujet qui touche à beaucoup de pays », explique Mariana Abreu, l'une des journalistes qui a mené l'enquête pour Forbidden Stories. Les conséquences sont particulièrement ressenties dans les pays d'Amérique latine où des membres du crime organisé agissent dans le cadre du trafic d'armes. Il y a beaucoup d'armes qui partent d'Europe, des États-Unis. Elles sont importées au Paraguay puis trafiquées dans des pays d'Amérique du Sud, au Brésil principalement, mais en Bolivie aussi, en Argentine… Ces armes sont utilisées par le crime organisé dans des opérations de trafic de drogue, d'armes ou dans des assassinats. In fine, ce sont les civils et parfois les journalistes qui en font les frais. » Le résultat de ce travail mené depuis un an et demi est donc publié aujourd'hui par Forbidden Stories et d'autres médias collaborateurs tels que la Nacion en Argentine, Révista Piaui au Brésil ou encore La Diaria en Uruguay et IrpiMedia en Italie. Un système criminel tentaculaire L'enquête est segmentée en trois chapitres, l'un est donc le prolongement du travail de Leo Veras et Candido Figueredo, l'autre est l'enquête menée sur la mort de Leo Veras et enfin le dernier tourne autour de la mort d'un député et homme d'affaires paraguayen corrompu. « Leo Veras est le lien entre toutes nos enquêtes, développe Mariana Abreu. Il y a d'abord le sujet sur lequel il enquêtait, le trafic d'armes à la frontière, d'autre part rien n'a véritablement été fait par la justice au Paraguay pour retrouver, incarcérer et juger les hommes qui l'ont tué. Aujourd'hui ils sont tous en liberté. Il y en a même qui ont pris la fuite après avoir été libérés. Enfin le troisième volet porte sur un grand personnage politique du Paraguay qui a été tué en fin d'année dernière. Eulalio « Lalo » Gomes Batista avait beaucoup de liens et avec le pouvoir au Paraguay, et avec les gangs de crimes organisés à la frontière. Il a notamment influencé des juges au Paraguay pour que l'assassin de Leo Veras puisse être libéré. » Derrière le meurtre de ce journaliste, l'un des plus gros groupes criminels d'Amérique Latine Primeiro Comando do Capital. Venu du Brésil, le PCC est très installé dans la région frontalière et possède de nombreuses alliances avec des figures paraguayennes dans la justice comme dans la politique. Au total, 19 journalistes ont été tués au Paraguay en un peu plus de 30 ans, dont sept à Pedro Juan Caballero. Deux autres journalistes ont été tués au Brésil de l'autre côté de la frontière. Après avoir lutté pour mener l'enquête pendant un an et demi, l'objectif d'« Alianza Paraguay » est d'être lu à travers le monde. Car « le Paraguay est actuellement dans un angle mort médiatique, souligne Mariana Abreu. Le pays est coincé entre de grandes puissances d'Amérique latine auxquels l'actualité internationale s'intéresse. Cet angle mort a aussi permis que cette impunité se développe et que tous ces meurtres de journalistes restent impunis. » Haïti- Gonaïves dans l'enfer du Black-out La ville des Gonaïves, chef-lieu du département de l'Artibonite est privée de courant depuis 5 ans déjà. Pas d'électricité malgré la présence dans la ville d'une centrale électrique, cadeau de l'ancien président vénézuélien Hugo Chavez. Depuis 2020, il n'y a pas de carburant pour faire tourner la centrale. Ronel Paul a joint les habitants qui se débrouillent comme ils peuvent face au silence des autorités. Salvador – la répression contre les ONG La situation des droits de l'homme est de plus en plus critique au Salvador, nouvelle illustration il y a quelques jours, avec l'arrestation d'un avocat connu pour son opposition au président Nayib Bukele. Les interpellations sont de plus en plus nombreuses. Le pouvoir étouffe les voix dissidentes et a même fait voter une loi désignant les ONG comme agents étrangers. On en parle avec Achim Lippold.
“Os meus editores nunca me cortaram texto”, revela Lourenço Seruya, escritor, ator e professor de expressão dramática, que lança “Morte nas Caves”, e fala da sua vida, inspiração e homossexualidadeSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Utiliza o código ACONTECER15 para teres 15% de desconto no site https://farmaspot.pt/?utm_source=Youtube&utm_campaign=podacontecer Esta semana contamos com a presença de uma das caras mais célebres da representação em Portugal - Heitor Lourenço.Com uma licenciatura em psicologia e um mestrado em teatro, o Heitor não tem parado. Seja em televisão, no cinema ou no teatro, a sua carreira conta com múltiplos projetos de sucesso, entre os quais "Morangos com Açúcar", "Rebelde Way" ou "Floribela". Sabias que o Heitor foi dos primeiros atores a fazer anúncios publicitários? Estreou-se, vê bem, num anúncio para a Donuts!Vegetariano e adepto do budismo tibetano, é uma pessoa muito positiva e se há coisa que o tira do sério é a ignorância.Uma curiosidade acerca do Heitor é que em 2010 partiu para Nova Iorque, onde viveu durante 4 meses para fazer um curso de stand-up comedy, tendo atuado no mesmo sítio onde começou a apresentadora de televisão Elen DeGeneres.Bom episódio e lembra-te... também #podacontecer contigo!
Fala Carlão conversa com Lourenço Nyssen, da Holantec Consultoria, direto do estande da GreenHas TechFertil na Hortitec 2025. Com mais de 35 anos de estrada na fruticultura, Lourenço compartilhou sua paixão pela agricultura e a importância de nunca parar de aprender. Falamos sobre inovação, mudanças climáticas, o papel das feiras como a Hortitec na busca por soluções, e também sobre sua trajetória como consultor. Uma conversa com quem vive o agro de perto e entende que o futuro do campo se constrói com tecnologia, curiosidade e muita escuta. Fala aí, Lourenço!
Palavra do Culto de Domingo a noite da Igreja Bola de Neve Mogi das Cruzes
Em Moçambique, refugiados e requerentes de asilo no Centro de Refugiados de Maratane denunciam fome. João Lourenço saúda acordo de paz entre República Democrática do Congo e Ruanda e apela ao cumprimento dos compromissos. Não perca ainda mais um episódio da radionovela Learning by ear - Aprender de Ouvido.
Emissão a partir do Estúdio 3 da RUC, dado que o Estúdio 1 está em remodelação técnica, como nos conta a Sofia Relvão.Esta conversa de Café à Mesa da Rádio é animada, como vem sendo hábito nos últimos tempos, pelo António Apolinário Lourenço e pelo João Pedro Gonçalves.
Camilo Lourenço é o profeta de um novo tempo. Um vírus que tenta contaminar a democracia, uma bactéria que se infiltrou. As suas palavras sobre Lídia Jorge são a prova de que se sente forte
O juiz Lourenço Migliorini Fonseca Ribeiro disse que não teve intenção de afrontar o STF ao determinar a soltura do homem responsável por quebrar o relógio de Dom João VI no 8 de janeiro.Segundo Lourenço, a decisão foi um "equívoco" de sua parte, cometido por causa de um erro de cadastramento.O juiz, da Vara de Execuções Penais de Uberlândia (MG), prestou depoimento à Polícia Federal (PF) na segunda-feira, 23, no âmbito do inquérito instaurado, por ordem do ministro Alexandre de Moraes, do STF, para apurar a conduta dele no caso.Ao determinar a investigação, Moraes disse que o juiz "proferiu decisão fora do âmbito de sua competência, não havendo qualquer decisão desta Suprema Corte que tenha lhe atribuído a competência para qualquer medida a não ser a mera emissão do atestado de pena”.Felipe Moura Brasil e Wilson Lima comentam:Papo Antagonista é o programa que explica e debate os principais acontecimentos do dia com análises críticas e aprofundadas sobre a política brasileira e seus bastidores. Apresentado por Felipe Moura Brasil, o programa traz contexto e opinião sobre os temas mais quentes da atualidade. Com foco em jornalismo, eleições e debate, é um espaço essencial para quem busca informação de qualidade. Ao vivo de segunda a sexta-feira às 18h. Apoie o jornalismo Vigilante: 10% de desconto para audiência do Papo Antagonista https://bit.ly/papoantagonista Siga O Antagonista no X: https://x.com/o_antagonista Acompanhe O Antagonista no canal do WhatsApp. Boletins diários, conteúdos exclusivos em vídeo e muito mais. https://whatsapp.com/channel/0029Va2SurQHLHQbI5yJN344 Leia mais em www.oantagonista.com.br | www.crusoe.com.br
Moçambique assinala neste 25 de Junho de 2025, os 50 anos da sua independência. Por esta ocasião, a RFI propõe-vos um percurso pela história do país e a sua luta pela liberdade. No primeiro episódio desta digressão, abordamos a presença portuguesa e em particular a escravatura em Moçambique. Chegados em 1497 num território constituído por diversos reinos e comunidades, os portugueses vão-se fixando no litoral através de acordos com as autoridades locais ou à custa de lutas. Eles constroem fortalezas designadamente em Sofala em 1505 e na ilha de Moçambique dois anos depois e ao cabo de outras conquistas militares, instalam mais tarde uma feitoria em Sena em 1530 e em Quelimane em 1544. Em jogo estão recursos como o ouro mas também a mão-de-obra escrava, conta o historiador e antigo vice-ministro da educação de Moçambique, Luís Covane. “Moçambique, como território com fronteiras próprias é produto da colonização. Antes da chegada dos portugueses e nos finais do século XV, Moçambique era caracterizado pela existência de reinos, chefaturas, sultanatos, várias unidades políticas independentes umas das outras. Até tivemos impérios. A partir do século XV, principalmente a partir do século XVI, estabelecem-se relações comerciais entre Portugal e as diferentes unidades políticas que existiam no território. Primeiro foi o comércio do ouro no interior, principalmente na zona centro. Estava lá um grande império. E depois, com a exigência de produção de matérias-primas como mão-de-obra ultra barata, entramos no ciclo dos escravos. Depois, prosperou também o comércio de marfim”, começa por recordar o universitário. Ao referir que praticamente desde a chegada dos portugueses em Moçambique que se instaura esse regime, o estudioso detalha que “é em meados do século XVIII que se incrementa a captura de mão-de-obra para as plantações do Brasil e 1752 em diante. Chama-se a isso, na periodização da história de Moçambique, como o ciclo de escravos. Mas este ciclo de escravos termina em 1836-42, quando houve uma primeira abolição e uma segunda abolição”. Questionado sobre o número de pessoas que poderão ter sido capturadas para serem forçadas ao trabalho escravo, o historiador esclarece que “não havia registos, mas sabe-se que houve zonas em Moçambique, como o Niassa, de onde saíram muitos escravos. Na zona de Nampula, também saíram muitos.” Ao evocar o derramamento de sangue que as capturas ocasionavam, Luís Covane cita em particular “a introdução maciça de armas de fogo para alguns grupos que se especializaram quase na caça ao homem e as populações que viviam em Moçambique nas suas unidades políticas”. Nesse tempo, no século XVIII até meados do século XIX, quase até finais, o estudioso refere que “foram momentos terríveis. Agora, esse passado que nós às vezes classificamos como período pré-colonial, em que a presença europeia era mais mercantil, não dominavam as populações, politicamente, não havia (colonização). Fazia-se um negócio só com os produtos negociados que chegou a incluir o próprio o homem”. Muito embora não fossem os primeiros a praticar o comércio de escravos naquele território, ele ganhou uma importância substancial com a chegada dos portugueses que “exportaram” essa força de trabalho para colónias francesas, ou ainda o Brasil, refere Benigna Zimba, historiadora ligada à Universidade Eduardo Mondlane em Maputo, que estudou de forma aprofundada o período da escravatura. “Moçambique tem um papel central na história da escravatura na região e no complexo do Oceano Índico. Nós temos, a partir do Norte, a primeira capital que é a ilha de Moçambique. A ilha de Moçambique não produzia escravos. Ali ficavam escravos de passagem, vindos do interior. Nós temos Quelimane, temos Inhambane, nós temos aqui a zona do antigo Lourenço Marques, que hoje é Maputo, nós temos Sofala, nós temos em Cabo Delgado, vários portos pequenos. Estes portos foram tendo a sua importância consoante as oportunidades de exportação, não só para o oceano Indico, mas também para o Norte de África. Em algum momento, um dos grupos que desenvolviam as suas economias locais com base nos escravos, é o grupo do Norte de Moçambique, actual Niassa. Este grupo exportou nos meados da década de 1880 a 1890, cerca de 5000 escravos, caravanas bem escoltadas e chegavam a maior parte aparentemente andando. Saíam escravos de Moçambique. Outros, não só por via marítima, mas para o Quénia. Também havia capturas do Malawi que vinham para Moçambique para poder sair e dos pontos onde iam, eles espalhavam-se. Ficaram conhecidos como os “Moçambiques”, que não eram necessariamente naturais de Moçambique. À medida que ia se desertificando, houve uma decapitação total de população. É por isso que iam cada vez mais para as costas do interior e não para a costa marítima para ir buscar pessoas”, refere a historiadora. Por outro lado, Benigna Zimba explica que havia um tratamento diferenciado para homens e mulheres. “A diferença está mais ligada à função da força de trabalho. Aqueles que compravam escravos, normalmente diziam ‘nós estamos a comprar escravos para levar para as plantações de cana de açúcar ou de cacau', então precisavam de força de trabalho. E também precisavam de reproduzir a população escrava, através de escravas. De tal maneira que nos preços de compra, muitas vezes as mulheres eram mais caras, compradas por dois tecidos, duas cangas, dois panos. E se elas tivessem bebé ou criança, dependendo da idade e da maturidade, sabiam que aqui nós já temos um escravo bebé masculino. Era mais barato. Bebé feminino porque é uma outra fonte de reprodução, era mais caro”, refere a universitaria. “Muitas delas preferiam não resistir à captura para não serem mortas, não serem violadas, não as separarem dos filhos. Havia escravas que eram compradas para ir reproduzir com os escravocratas. Faziam um filho, depois levavam o filho. E a escrava nunca mais via aquela criança. Quando falamos da demografia da escravatura, se formos a ver, o papel da mulher é extremamente importante, porque sem ela não há reprodução de escravos e também não há reprodução do sistema no nível da cúpula e ao nível das bases”, explicita ainda Benigna Zimba. Questionada sobre o trabalho forçado, pratica que veio a seguir à abolição oficial da escravatura, a estudiosa refere que “a escravatura termina naturalmente, na medida em que ela já não responde às demandas dos sistemas coloniais imperialistas. Para o caso de Moçambique, nós temos os famosos sistemas dos prazos, que são uma outra forma de continuação da escravatura. Quem eram os senhores Prazeiros? Eram os senhores e as senhoras Donas Prazeiros, muitas deles, principalmente na região da Zambézia, que sustentaram os sistemas neo escravocratas a partir da continuidade. O escravo é liberto. Aqui em Moçambique não houve muitas cartas de alforria, isto é mais para a África do Sul, Tanzânia, Quénia, para as antigas colónias britânicas. As portuguesas nem tanto. Havia portugueses que nem sabiam o que é que se passava no mundo em termos de não poderem trabalhar com uma base de mão-de-obra escrava. Então a escravatura continua”, detalha ainda Benigna Zimba. Podem ouvir os nossos entrevistados na íntegra aqui:
Moçambique assinala neste 25 de Junho de 2025, os 50 anos da sua independência. Por esta ocasião, a RFI propõe-vos um percurso pela história do país e a sua luta pela liberdade. No sexto episódio desta digressão, evocamos a chamada ‘Geração de 8 de Março'. Depois da independência, as autoridades moçambicanas enfrentaram vários desafios. O mais imediato era o de fazer funcionar um aparelho de Estado com verbas limitadas. Helder Martins que foi o ministro da saúde do primeiro governo de Moçambique recorda como foram os primeiros tempos. “A primeira coisa que eu fiz quando cheguei ao ministério, depois de tomar posse, foi perguntar ao funcionário responsável da administração e Finanças qual é que era o orçamento, porque o orçamento tinha sido aprovado em Fevereiro durante o governo de transição. Eu não tive conhecimento naquela altura. Era 1,7 Dólares por habitante, por ano. Mas metade daquele dinheiro era gasto no Hospital Central de Lourenço Marques naquela altura. Só se passou a chamar Maputo mais tarde. Os outros hospitais, todos juntos, tinham 0,85 Dólares. Quando você tem um orçamento desta natureza, tem que ver o que é que pode fazer com o melhor resultado e o menor custo. Então, para isto, eu acho que um dos grandes sucessos da minha administração foi ter sabido fazer uma investigação sobre os determinantes da saúde, saber quais são as influências positivas e quais são as influências negativas. Porque uma correcta política de saúde, seja em que parte do mundo for, tem que tentar eliminar -e se não conseguir, eliminar- minimizar os factores negativos. A questão mais importante -e isto era uma experiência que a gente tinha da luta armada- eu também fui o criador do serviço de saúde durante a luta de libertação, portanto, tinha a experiência, que era a participação popular. Você, por exemplo, pode ter o programa mesmo mais medicalizado que quiser. Um dos programas preventivos mais medicalizado são as vacinações. Se você não mobilizar as pessoas, pode criar um programa muito bonito, mas não vai ter uma taxa de cobertura alta. Segundo, nós tivemos que dar a máxima prioridade à medicina preventiva e pôr a ciência no posto de governação. Nós fizemos um estudo sobre os determinantes da saúde e definimos uma política nessa base científica. Nós criamos estruturas no ministério para estudar os problemas. Tivemos também uma comissão técnica para a área farmacêutica. Criamos um Formulário Nacional de medicamentos. Foi publicado no Boletim da República no dia 25 de Dezembro de 1976. A OMS publicou a lista de medicamentos essenciais em Outubro de 1977, dez meses depois. Os critérios da lista eram os mesmos que os nossos critérios”, sublinha o antigo governante. Outro desafio era a necessidade de formar técnicos para as mais diversas áreas que eram necessárias para o funcionamento do país. Foi neste contexto que no dia 8 de Março de 1977, o Presidente Samora Machel lançou um repto aos jovens moçambicanos para suprir as falhas que existiam naquela altura. Yolanda Mussá, então jovem militante -hoje Presidente da Associação da Geração 8 de Março- respondeu ao chamamento. “Depois do golpe de Estado de 25 de Abril de 1974, e sobretudo depois da assinatura dos Acordos de Lusaka e a tomada de posse do Governo de transição a 20 de Setembro do mesmo ano, assistiu-se, sobretudo aqui em Moçambique, a uma fuga massiva de técnicos portugueses que trabalhavam em diferentes áreas, não só no sector público como também no sector privado. Então, havia a necessidade de suprir essa lacuna que foi deixada por esses especialistas e por esses técnicos portugueses. Então, desde essa altura, a Frente de Libertação de Moçambique e o Governo moçambicano, posteriormente, chamou adolescentes e jovens para serem formados, para serem treinados para suprir essas lacunas. Este processo foi formalizado no dia 8 de Março de 1977, quando o Presidente Samora Machel incitou os jovens a responderem ao chamamento à Pátria. E naquela altura estamos perante uma situação que exige que nos manifestemos na essência daquilo que era o nosso patriotismo. O país é nosso e como o país é nosso, nós é que temos que assegurar a edificação da Nação moçambicana. Portanto, esse é que era o desafio. Havia carências nas diferentes áreas. Havia carências na área de educação, na área da economia, na área da administração pública. Então, os jovens e os adolescentes foram chamados a interromper, sobretudo aqueles que estavam na 9.ª classe, na 10.ª, na 11.ª classe, os seus estudos. E nós fomos orientados para as tarefas que foram consideradas prioritárias pelo governo moçambicano. A nível da cidade de Maputo, criou-se o Centro 8 de Março, onde nós fomos orientados e internados. Uns foram para o Propedêutico. Eu, por exemplo, fui orientada para o curso de formação de professores. E qual era a nossa função? Fomos formados, portanto, na Escola central do partido, mas sobretudo para aprender a história de Moçambique, porque sabe-se perfeitamente que, quer no ensino primário, quer no ensino secundário, o que se estudava era a história portuguesa. Então nós fomos orientados para estudar sobretudo a história de Moçambique e estudar a política de Moçambique para, a partir daí, podermos defender aquilo que eram os ideais da Nação moçambicana”, recorda Yolanda Mussá. Questionada sobre os critérios adoptados para orientar os jovens para determinada area, a dirigente associativa refere que as preferências de uns e de outros nao eram decisivos. “No dia em que fui para o painel de Orientação, estava com um colega. Nós éramos provenientes do antigo Liceu António Enes, que agora é Escola Secundária Francisco Maianga. Ele queria seguir matemáticas. A verdade é que depois das entrevistas, eles simplesmente disseram que ele não ia ser orientado para as matemáticas, mas que ele tinha que ser integrado no curso de formação de português. Então, o que contava naquela altura não era o que nós queríamos, mas é o que era considerado prioritário”, conta Yolanda Mussa. Alberto Simão, então jovem estudante de 19 anos, destinava-se à área de engenharia, mas acabou por enveredar por outra área, sendo actualmente economista. “Na altura tinha 19 anos e era estudante, digamos, no ensino técnico. Era do interesse dos meus pais, essencialmente, que eu seguisse a área de engenharia. Portanto, quando eu sou solicitado a integrar as tarefas do 8 de Março, fui exercer as tarefas de docência. Foi a minha primeira profissão. Mais tarde, quando eu voltei e retomei os meus mesmos estudos, decidi-me por uma outra área que foi a área económica”, começa por recordar o antigo docente. “Foi uma fase muito intensa, por assim dizer, e marcante também para os jovens estudantes, porque, na verdade, quase que sem nos apercebermos, passamos para a vida adulta, independentemente da nossa idade cronológica. Nessa altura, ficou claro que as responsabilidades a que nós tínhamos que fazer face, eram responsabilidades de adultos e tínhamos que responder como adultos e, sobretudo, também responder pelos resultados. Portanto, tivemos que crescer muito depressa em termo de crescimento ou em termos comparativos. O tempo de juventude foi relativamente curto, comparativamente com os tempos de hoje”, considera Alberto Simão que diz não ter sentido frustração naquela altura, mas antes uma “sensação de insegurança, porque, na verdade, ninguém estava preparado para assumir responsabilidades de tão alto nível.” Arão Nhacale, antigo autarca da Matola, também respondeu ao apelo de Samora Machel. Apesar de ter uma preferência pela química, acabou por ser dirigido para o ensino. “Eu lembro-me que quando, lá no bairro onde vivia com os meus pais, chegou a convocatória para me apresentar num determinado sítio aí do partido a nível central, eu fui dizer à minha mãe que ‘olha, eu fui chamado pela Frelimo'. E a minha mãe chorou. Não quis deixar que eu fosse, porque não sabia o que é que iria acontecer comigo. Para onde é que eu iria? O que é que eu fiz de errado? Mas eu disse à minha mãe que ‘olha, não se preocupe, porque não há nada de mal aqui. E se me chamam, eu saberei lá.' E fui, deixando a minha mãe triste. Cheguei lá, fui recebido por uma senhora e a conversa foi de muito pouca duração. Quis certificar se era eu. Era. E então deu-me uma guia para me apresentar na Escola Comercial de Maputo. Eu, na altura, era estudante do curso de Química. O meu sonho era formar-me em Química, tornar-me engenheiro de Química, com muita paixão por Química Tecnológica. E queria me formar ao mais alto nível na área de Química. E isso não aconteceu porque recebi esse chamamento e fui dar aulas em 1977, com cerca de 20 anos, na Escola Comercial de Maputo. É a disciplina que me coube. Isto marcou-me muito, porque é com uma certa dose de patriotismo que assumi e aceitei. Tive várias formações na área da educação. Dediquei-me ao ensino durante muitos anos e eu, felizmente, hoje posso dizer que muitos quadros seniores, jovens quadros seniores que temos no país em diversas áreas, alguns ministros, alguns directores na área de defesa de segurança, relações internacionais, industriais, em muitas áreas, alguns deles foram meus alunos. Isso cria em mim um certo -não é orgulho só, não é suficiente- muito mais do que orgulho, porque vejo que valeu a pena o chamamento”, considera o antigo professor. Esta operação que durou até ao começo dos anos 90 envolveu centenas e centenas de jovens, bem como formadores nacionais e estrangeiros, recorda Yolanda Mussa. “Havia formadores moçambicanos, mas para além dos formadores moçambicanos, o governo, na altura, contou com a colaboração de vários países. Por exemplo, eu tive professores de matemática que eram da Guiné-Conacri. Falo da Guiné-Conacri, como também poderia falar de outros países, na altura, de orientação socialista. Tivemos professores que vinham da antiga RDA, que vinham da Bulgária, que vinham da antiga União Soviética”, recorda a dirigente associativa ao referir que foram orientados para “quase todas as áreas”. Olhando retrospectivamente para aquela época, Alberto Simão considera que os jovens da sua geração amadureceram sob o impulso da urgência. “Impelia-nos o sentimento de que esta obrigação era eminentemente nossa, porque o processo de descolonização foi um processo visível. Foi um processo que nós vivenciamos e acompanhámos porque inclusivamente colegas nossos, que eram colegas de carteira, estudantes, etc, uns despediam-se, outros iam embora sem se despedir. E praticamente todos abalavam em massa. Então nós sentíamos que havia um vazio. Aliás, nessa altura, alguns dos serviços que deveriam ter sido prestados por alguns sectores do Estado e mesmo até privados, começaram a entrar assim numa espécie de falência. (…) E os tais quadros potenciais na altura, na verdade éramos nós então. Lá fomos porque também uma coisa vantajosa em ser jovem é que as situações apanham-nos às vezes de surpresa, mas fica também patente a ideia de que o espírito de aventura, também de participação, de fazer as coisas acontecerem e de mostrar um pouco do nosso valor, está lá, presente. Isso impele-nos e não temos tanto as hesitações que talvez o adulto normalmente tem. O jovem vai para a frente. Foi o que nós fizemos”, conclui o economista moçambicano. Podem ouvir os nossos entrevistados na íntegra aqui:
Confira nesta edição do JR 24 Horas: O premiê israelense Benjamin Netanyahi afirmou que o país destruiu pelo menos metade dos lançadores de mísseis iranianos. Segundo ele, o principal objetivo de Israel é impedir que o Irã tenha acesso a armas nucleares. O premiê também admitiu que a guerra pode levar a queda do regime do aiatolá Ali Khamenei. E ainda: Ministro Alexandre de Moraes manda investigar juiz Lourenço Ribeiro, de Uberlândia (MG).
Nesta Conversa de Café à Mesa da Rádio, o Apolinário fala da inauguração da Feira do Livro de Coimbra, neste dia, da presença no espaço do GAAC e do lançamento do N.ª 3 da Munda.Além dos vários trabalhos que se podem ver neste número da revista Munda, a figura de Fernando Pessoa vem à baila e lembram-se os lançamentos, nesta feira, no dia 25 de junho, das edições do António Apolinário Lourenço da Mensagem e do Livro do desassossego, com a presença deste pessoano e habitué da Clepsidra
António Apolinário Lourenço e João Pedro Gonçalves dinamizam esta Conversa de Café à Mesa da Rádio Universidade de Coimbra.A nova realidade política saída das últimas eleições legislativas em Portugal merece grande parte dos minutos desta emissão. A terminar o caso Elan Musk e Donald Trump ou "zangam-se as comadres..."
No novo episódio do videocast Perimetral, Juliana Bublitz e Guilherme Gonçalves conversam com três representantes de bancas tradicionais do Mercado Público de Porto Alegre que expandiram fronteiras e se tornaram referência fora do estado: Sérgio Lourenço, da Banca do Holandês, Gabriel Mendo, da Japesca, e Clóvis Althaus, do Café do Mercado. O papo mergulha nas histórias dessas marcas familiares que começaram no centro histórico da cidade e cresceram sem perder identidade — virando indústria, exportando para fora do país e reinventando a experiência de mercado. Uma conversa sobre tradição, inovação e o futuro do que é bem daqui.
A PortugalDC e o Banco de Fomento apresentaram uma candidatura nacional para receber uma das sete gigafactories de inteligência artificial que a União Europeia vai instalar. Segundo Rita Lourenço, vice-presidente da PortugalDC e Iberia Critical Power Sales Manager na Legrand Data Center Solutions, o país tem uma oportunidade histórica para afirmar-se como destino estratégico de centros de dados e infraestruturas críticas da economia digital.Até 2030, o investimento acumulado em data centers pode ultrapassar os 11 mil milhões de euros e representar 4% do PIB nacional, criando cerca de 17 mil empregos por ano.
No episódio de hoje do Bat-Yur, Batata e Yuri Moraes recebem o multitalentoso Lourenço Mutarelli — escritor, ator, dramaturgo e um dos grandes nomes dos quadrinhos alternativos brasileiros. Uma conversa que mistura humor, filosofia, literatura, existencialismo e bastidores da arte no Brasil. Mutarelli fala sobre seu processo criativo, a solidão do artista, a experiência com teatro e cinema, e ainda arranca boas risadas com histórias inusitadas da vida e da carreira. Se você curte papo cabeça com gente genial, mas sem perder o absurdo e o bom humor, esse episódio é pra você.
Médicos residentes do Hospital Central de Maputo anunciam paralização das horas extraordinárias. Será o pedido de desculpas de João Lourenço sobre os acontecimentos de 27 de Maio genuíno? Josehp Kabila está em Goma, depois do Senado ter lhe retirado a imunidade.
Kate Adie presents stories from Turkey, the South China Sea, Ukraine, the US and Angola.Outlawed Kurdish group the PKK, which has waged a 40-year insurgency against Turkey, has announced it's disbanding. More than 40,000 people were killed during its fight for an independent Kurdish state - now the group says the Kurdish issue 'can be resolved through democratic politics'. Orla Guerin reports from Diyarbakir, in the Kurdish heartland.In the South China Sea, the tiny island of Pagasa is at the centre of a dispute between the Philippines and China. For the past 10 years, China has been expanding its presence in the region - but the Philippines is one of the few southeast Asian countries to stand its ground. Jonathan Head gained rare access to the island.Over the last decade, the Ukrainian Orthodox church gradually distanced itself from the Moscow Patriarchate, until it formally severed ties in 2022. But some priests and parishioners are reluctant to give up the traditions that were so familiar to them. Nick Sturdee reports from Western Ukraine.In Arizona, we meet the Native American 'knowledge keepers', who are now willing to share some of their secrets, as part of a cultural project which is uniting some of the major tribes, including the Navajo, the Hopi and the Apache nations. Stephanie Theobald went to find out more about their vision.Angolan president, João Lourenço, has made it his mission to claw back millions of dollars stolen by corrupt past leaders. At the National Currency Museum in the capital Luanda, Rob Crossan reflects on the meaning of money - asking where has it all gone?Series Producer: Serena Tarling Production Coordinators: Sophie Hill & Katie Morrison Editor: Richard Fenton-Smith
Verba servirá para ampliar a voz da África no Financiamento para Saúde Sustentável; anúncio foi feito pelo presidente do país, João Lourenço, durante Assembleia Mundial da Saúde, em Genebra, no início da semana.
Por ocasião da visita do presidente de Angola, João Lourenço, o governo brasileiro assinou memorandos de entendimento nas áreas de saúde, direitos humanos, energia renovável, petróleo e gás, enfrentamento ao crime organizado e cibernético, agropecuária, agricultura familiar e sustentabilidade ambiental. Sonoras:
Joana Marques apresenta-nos Lourenço Amaral, o rosto de uma geração
Neste episódio, o PodDelas PodCast recebe um trio cheio de humor, deboche e autenticidade. Um verdadeiro fenômeno da internet! Eles dominam as redes, estão bombando no YouTube e ainda conciliam com carreiras individuais. Se separados já causam, juntos é simplesmente imperdível!Os convidados são os apresentadores do “Pograma”, um dos programas mais irreverentes e “nonsense” da internet brasileira. Misturando fofoca, exposed, tretas, pronunciamentos e muita torta na cara, eles entregam tudo o que a internet ama e ainda parecem dividir o mesmo neurônio!Diretamente de Recife, São Lourenço do Oeste e Roraima, eles conquistam com carisma, sinceridade e muito riso. Com vocês, Sofia Santino, Doarda e Ciclopin--------------------------------------------------------------------------------------✅ Canal de Cortes Oficial - https://www.youtube.com/channel/UCab-x2Tf0zK3WLkKXG9Ot5Q✅ Instagram Oficial @poddelas - https://www.instagram.com/poddelas/✅ Facebook Oficial - https://m.facebook.com/POD-DELAS-101517452551396/✅ Shorts - https://www.youtube.com/channel/UCItcEi_6J6l2iuhABXq1OTg✅ PodDelas Melhores Momentos - https://www.youtube.com/channel/UCYa1bLsG-RumuKrrznSdRHg✅ Playlist oficial com todos os episódios - https://youtube.com/playlist?list=PLXEx5PB_zX1qkkx06VRZFepiRHheozMSRANFITRIÃ:
Confira nesta edição do JR 24 Horas: A polícia procura o suspeito de matar um policial civil na Cidade de Deus, no Rio de Janeiro. Pelo segundo dia, os agentes foram à comunidade em busca de informações que ajudem a identificar o responsável pelos disparos. Apesar do reforço no policiamento, barricadas voltaram a ser incendiadas e houve bloqueio no trânsito. No início da tarde, o corpo do policial José Antônio Lourenço foi enterrado. E ainda: Estado de Alagoas sofre com temporais e interdição de estradas.
Confira nesta edição do JR 24 Horas: Um policial civil morreu durante uma operação na Cidade de Deus, no Rio de Janeiro. O policial dava apoio ao cumprimento de mandados de busca na comunidade, quando houve um intenso tiroteio. José Antônio Lourenço era agente da Core e também já foi subsecretário de Ordem Pública do Rio de Janeiro. Por causa do tiroteio, a linha amarela, uma das principais vias expressas da cidade, foi bloqueada. E ainda: Elevador de obra despenca em São Paulo; três operários morreram.
Em Moçambique, os desmobilizados da Renamo tomaram de assalto e ocuparam a sede nacional, na cidade de Maputo, exigindo a demissão de Ossufo Momade da liderança do partido.Em declarações à imprensa, Raól Novinte, que regressou à Renamo, afirmou que Ossufo Momade já deu sinais de querer deixar o seu cargo.Os antigos secretários-gerais do partido, Manuel Bissopo, André Magibiri, Manuel de Araújo, Elias Dhlakama, Alfredo Magumisse e Ivone Soares são os nomes apontados para a sucessão de Ossufo Momade. Os Governos de Angola e Moçambique assinaram cinco instrumentos jurídicos, para o reforço da cooperação, nas áreas dos transportes, cultura, acção social e turismo.O Presidente de Moçambique, Daniel Chapo, termina neste sábado, 17 de Maio, uma visita de dois dias a Angola. O Sindicato dos Jornalistas manifestou "profundo repúdio" pela expulsão da equipa da RTP destacada para a cobertura de um evento na sede da Presidência angolana, em Luanda. Em comunicado, o SJ considerou esta expulsão "um atentado à Liberdade de Imprensa, ao acesso às fontes e ao direito a informar", e afirmou que "estas acções configuram interferências e pressões políticas inaceitáveis sobre os jornalistas que vivem e trabalham no país". Luísa Rogério, jornalista e presidente da comissão de carteira e ética de Angola, descreveu um acto hostil.A presidência angolana acusou hoje a RTP de “vitimização”, salientando que o acesso ao Palácio Presidencial foi barrado devido às “notícias tendenciosas” e que a cadeia de televisão “ignorou” a decisão previamente comunicada.Uma equipa da RTP em Luanda foi “expulsa” na terça-feira do Palácio Presidencial, antes de um encontro entre o Presidente da República, João Lourenço, e o líder da UNITA Adalberto Costa Júnior. Decisão repudiada veementemente pela estação televisiva e pelo Governo português, que “lamentou seriamente a situação, salientando que "Portugal respeita profundamente a liberdade de imprensa".A Missão de Avaliação do FMI reviu em baixa a economia angolana em 2025 e alertou sobre os riscos do desempenho orçamental. Abebe Aemro Selassie, director do FMI para África, esteve esta semana em Luanda e encontrou-se com João Lourenço. Avelino Miguel.Ainda no país, a organização independentista de Cabinda FLEC-FAC emitiu um comunicado onde relata os "intensos confrontos", na madrugada desta quinta-feira, entre a FLEC e as Forças Armadas Angolanas, que terão alegadamente causado 21 mortos.Cabo Verde vai implementar, este ano, o sistema de pulseira electrónica para monitorizar reclusos em prisão domiciliária ou em trabalho comunitário, uma garantia dada à imprensa pela ministra da Justiça, Joana Rosa, explica que a pulseira electrónica, para além de reduzir a presença física dos reclusos nas prisões, que tem acarretado muitos custos para o estado, alivia os tribunais.A França doou à Guiné-Bissau quatro milhões de euros para reabilitar um liceu e construir, de raiz, um pavilhão multiusos. A primeira pedra destas obras foi lançada esta semana, em Bissau, pelo Presidente Umaro Sissoco Embaló, na companhia do embaixador da França.
Mulheres que não conseguem admirar seus maridos por julgarem que eles têm uma vida espiritual fria: esse é o cenário deste Debate 93!! Não perde!!!
Olá! O Matéria Bruta de hoje te convida a mergulhar na história de um dos grupos vocais mais importantes da música brasileira: o Boca Livre. Formado no final dos anos 1970, o grupo ficou conhecido pelos arranjos vocais sofisticados, pela liberdade criativa e por parcerias marcantes com grandes nomes da MPB. Na conversa com o Curta!, os integrantes David Tygel, Maurício Maestro, Zé Renato e Lourenço Beata relembraram como tudo começou. Eles contaram como surgiu o Boca Livre e também falaram sobre o primeiro disco do grupo, lançado em 1979 — um trabalho independente que surpreendeu pelo sucesso e trouxe composições autorais e de outros nomes da MPB, além de arranjos que mesclam música regional e folk. Ao longo da trajetória, eles colaboraram com artistas como Milton Nascimento, Edu Lobo, entre outros. E claro, falamos também sobre o presente. Depois de uma separação durante a pandemia, o Boca Livre voltou aos palcos com shows e novos projetos — entre eles, a turnê Rasgamundo.
Angola: Encontro entre João Lourenço, e o líder da oposição, Adalberto Costa Júnior, poderá ajudar a amenizar os ânimos na sociedade angolana. Moçambique: Polícia da República de Moçambique celebra 50 anos desde a sua criação. Impactos dos cortes na USAID (Agência norte-americana para o Desenvolvimento Internacional) já são visíveis no continente africano.
NAPA's band members — Diogo Góis, Francisco Sousa, João Guilherme Gomes, João Lourenço Gomes, and João Rodrigues — join us on stage at the House of Helvetia. The band, formerly known as Men on the Couch, explain how their song “Deslocado” speaks of dislocation and the experience of so many people from their home island of Madeira. We also discuss the creation of their song, how they were rejected from Festival da Canção 2024, and how they share hateful and shady comments from social media in a private WhatsApp group for laughs. Interviewer: William: http://instagram.com/williamleeadams
É psicóloga, professora do Método DeRose e mãe da Julieta e do Lourenço. Aos 19 anos, apaixonou-se por este método e decidiu transformar esse caminho em profissão, que segue há mais de 20 anos. Viveu 8 anos em São Paulo, onde casou e foi mãe pela primeira vez. Mais tarde, de regresso a Portugal, sentiu que tinha de fechar um ciclo e voltou à faculdade, terminando o Mestrado em Psicologia em 2024.Fez um estágio transformador que a levou até até Londres, onde se especializou em Parentalidade Reflexiva. Hoje, mantém duas áreas profissionais aparentemente distintas — Psicologia e o Método DeRose — mas que se cruzam num mesmo ponto: o desenvolvimento pessoal.Hoje N'a Caravana recebemos a Mariana Nunes Rodrigues.@parentalidade_reflexivahttps://www.clinicamnrpsicologia.pt/https://www.parentalidadereflexiva.ptPatrocínio:Ultra Suave da Garnier - A hora do Banho.A Hora do Banho chegou com Ultra Suave para transformar a rotina do banho num momento especial mais divertido e em família. Cantem com o Abacate, a Aveia, o Alperce e a Camomila e tornem este momento do dia–a–dia em pura alegria!Ultra Suave, cuida do que é importante.Podes cantar a música aqui: https://www.youtube.com/watch?v=9poK-KGOU50E saber mais da campanha: https://www.garnier.pt/hora-do-banhoPodem seguir @ritaferroalvim no instagramSupport the show
Pour essayer de résoudre le conflit meurtrier dans l'est de la RDC, l'Union africaine va chercher aujourd'hui un médiateur qui vient d'un pays très éloigné du théâtre des opérations. Il s'agit de Faure Gnassingbé, le président du Togo. Pourquoi ce choix ? A-t-il plus de chances de réussir que son prédécesseur, l'Angolais Joao Lourenço ? Pour l'Institut Ebuteli, Pierre Boisselet est responsable des recherches sur les violences en République Démocratique du Congo. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : L'attaque des quartiers ouest de Goma le week-end dernier est-elle le signe que le M23 ne contrôle pas la totalité du territoire qu'il a conquis ces trois derniers mois dans l'est du Congo ? Pierre Boisselet : Oui, en tout cas, c'est certainement le signe que leM23 n'est pas totalement en mesure d'assurer la paix et la sécurité dans le territoire sous son contrôle. Alors les événements du week-end dernier sont probablement les plus spectaculaires qui ont eu lieu, au moins depuis que le M23 a pris les villes de Goma et Bukavu, au début de l'année… Mais il y en a eu d'autres. On pense notamment aux explosions qui ont eu lieu à Bukavu peu après la conquête de cette ville, en marge d'un meeting de Corneille Nangaa. Il y a aussi eu ces derniers jours des incursions de miliciens wazalendo aux abords de la localité de Kavumu, au Sud-Kivu, où l'on trouve le principal aéroport de cette province du Sud-Kivu. Donc, on voit que, à plusieurs endroits et à plusieurs moments, le M23 a montré que son contrôle de la situation n'était pas total.Il y a un mois, le M23 s'est emparé aussi de la ville de Walikale, sur la route de Kisangani. Et puis, quelques jours plus tard, le mouvement rebelle s'est retiré de cette position importante. Est-ce un retrait stratégique ou politique ? Alors, c'est probablement un peu des deux. Ce qu'on peut dire, c'est qu'on a constaté que le M23 avait beaucoup de difficultés à maintenir ses lignes logistiques jusqu'à cette localité de Walikale qu'il venait de conquérir, notamment la route entre Masisi et Walikale n'était pas du tout sécurisée et les convois étaient à la merci d'attaques de harcèlement. Mais par ailleurs, ce retrait est aussi intervenu au moment où les discussions étaient relancées par le Qatar. Une des conséquences de la prise de Walikale, ça a été la fermeture de la mine d'Alphamin qui est contrôlée par des capitaux américains. Et donc voilà, le fait qu'il se soit retiré, ça a permis l'annonce au moins de la reprise de la production dans cette mine. Donc on peut imaginer qu'il y a pu aussi avoir des pressions politiques qui ont abouti à ce retrait.Et le retrait du M23 de Walikale a coïncidé avec la visite d'un émissaire américain à Kigali ?Tout à fait, Monsieur Boulos, qui d'ailleurs a lui-même annoncé la reprise des activités d'Alphamin dont je parlais à l'instant. Donc voilà, on peut imaginer qu'il y a eu un message de passé à cette occasion.Y a-t-il eu un deal entre messieurs Trump et Kagame ?Alors… Là, je ne saurais m'avancer jusque-là. Ce qu'on sait, c'est qu'il y a eu des discussions. Alors en réalité, surtout entre le gouvernement congolais et le gouvernement américain sur l'accès aux immenses ressources minérales congolaises. Alors est-ce qu'il y a eu d'autres négociations parallèles ? Ça, je ne le sais pas.Du côté des médiations internationales, le Qatar a réussi un joli coup, c'était le 18 mars dernier, quand il a réuni les présidents Tshisekedi et Kagame à Doha. Mais est-ce que cela n'a pas été un succès sans lendemain ? Alors c'est peut-être un tout petit peu tôt pour l'affirmer, mais c'est vrai que ça n'a pas forcément embrayé avec un processus très convaincant, je dirais. On sait que, depuis ce 18 mars, il y a eu des délégations du M23 et du gouvernement congolais qui devaient se rencontrer à Doha pour poursuivre sur la lancée du sommet. Mais à ce stade, il y a vraiment peu d'écho. Il semblerait qu'il y ait assez peu d'avancées dans ces discussions qui ont donc suivi le sommet.Dernière surprise, c'était le week-end dernier : l'Union africaine a désigné le président togolais Faure Gnassingbé comme nouveau médiateur à la place de l'Angolais João Lourenço. Est-ce que João Lourenço se heurtait à la méfiance de Paul Kagame ? Ce qui n'est peut-être pas le cas du nouveau médiateur togolais ? Alors ce qui est certain, c'est que le Togo entretient de très bonnes relations avec le Rwanda. Ce qui était peut-être un peu moins le cas de João Lourenço. Donc ça, ça peut être un point positif.Faure Gnassingbé s'entend bien aussi avec Felix Tshisekedi ?Oui, il semblerait. Et donc, l'arrivée fracassante du Qatar dans cette médiation n'avait pas forcément été anticipée par l'Union africaine et l'a quelque peu marginalisée. Donc probablement qu'il s'agit aussi, au moins en partie, de replacer l'Union africaine dans cette médiation.En allant chercher un pays en Afrique de l'Ouest, très loin du théâtre des opérations ?Oui, notamment. Alors c'est vrai que, contrairement à João Lourenço d'ailleurs, le président togolais ne siège dans aucune de ces deux organisations que sont la SADEC et l'EAC, dont on connaît les tensions. Et donc ça pourrait lui donner un avantage en termes de neutralité. Mais peut-être que la difficulté, par contre, ça sera pour le président togolais d'arriver à convaincre les deux présidents d'arriver à un compromis. On ne voit pas forcément de quel moyen de pression, il dispose pour leur tordre le bras et y arriver.À lire aussiConflit dans l'est de la RDC: le président togolais désigné médiateur par l'Union africaine
Deus é pai, mas como O enxergar como Pai quando o nosso pai da terra foi péssimo?! Não perde este Debate 93!!
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur la loi sur la chefferie traditionnelle au Bénin et les négociations entre Washington et Téhéran sur le nucléaire. RDC/Rwanda : un nouveau médiateur ?Le président angolais à la tête de l'Union africaine, également ancien médiateur entre Kinshasa et Kigali, a proposé le nom de Faure Gnassingbé pour poursuivre la médiation. Pourquoi le choix de João Lourenço s'est-il porté sur son homologue togolais ? Quelles relations Faure Gnassingbé entretient-il avec les deux parties ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Bénin : les chefs traditionnels réduits au silence politique ?Les députés ont adopté une loi visant « à clarifier et structurer » la chefferie traditionnelle au Bénin. Le texte interdit désormais aux rois et chefs traditionnels de s'impliquer dans la vie politique du pays sous peine de sanctions. Comment expliquer cette nouvelle disposition ? Comment les principaux concernés réagissent-ils ?Avec Jean-Luc Aplogan, correspondant de RFI à Cotonou.Iran/États-Unis : des discussions en cours sur le nucléaireAlors que Washington et Téhéran n'ont plus de relations diplomatiques depuis 45 ans, Donald Trump a annoncé des discussions « directes » sur le nucléaire iranien. Quelle est la position de l'Iran concernant ces négociations ? Pourquoi reprendre le contact maintenant alors que Donald Trump avait, lors de son premier mandat, retiré les États-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien ?Avec Thierry Coville, chercheur à l'Iris (Institut de relations internationales et stratégiques), spécialiste de l'Iran.
Parlamento moçambicano debate hoje proposta de lei do acordo político para pacificar o país. RENAMO lamenta que acordo não preveja amnistia de Venâncio Mondlane. Presidente João Lourenço volta a estar na mira em Angola por autorizar demasiados "ajustes diretos". Fugas nas prisões da Nigéria revelam falhas nos serviços secretos, defende analista.
Cultura e tradição portuguesas foram celebradas com todo o fulgor, no Festival do Bairro Português, em Sydney. A SBS em Português marcou presença no evento e entrevistou participantes portugueses. No episódio de hoje, apresentamos-lhe João, Vanessa, Jacinta, Otília, Lourenço, Gonçalo e Francisco.
Notre Grand Invité Afrique aujourd'hui est Christophe Lutundula, président de la Commission des Affaires Étrangères du Sénat de la République démocratique du Congo. L'ancien ministre des Affaires étrangères du Congo-Kinshasa est de passage Paris, où il séjourne dans le cadre d'une mission de travail conduite par le président du Sénat français. Mercredi, il a été reçu par les sénateurs de la commission des Affaires Étrangères. Christophe Lutundula est interrogé par Esdras Ndikumana. RFI : Vous venez d'être auditionné par la commission des Affaires Étrangères du Sénat français. Quel message leur avez-vous adressé ? Christophe Lutundula : Notre message est simple. Il y a nécessité pour la communauté internationale de renforcer les sanctions contre le Rwanda et son président pour obtenir que la résolution 2773 du Conseil de sécurité, la demande unanime de la communauté internationale de cessez-le-feu, le retrait des troupes rwandaises de la RDC et de mise en œuvre du plan de démantèlement des FDLR, que tout cela soit appliqué, que ça devienne des réalités. La France est un pays membre permanent du Conseil de sécurité. La France est un pays qui participe au leadership de l'Union européenne et avec lesquels nous nous retrouvons au sein d'une communauté, la Francophonie. Donc c'est normal que nous puissions visiter nos collègues pour les sensibiliser afin que la France assume totalement ses responsabilités. Que le gouvernement français participe activement à cette démarche-là.Alors, vous êtes ici pour donner ce message, alors que le processus de Luanda que vous aviez entamé en tant que chef de la diplomatie congolaise vient de se conclure par un échec. Pourquoi selon vous ? Je ne pense pas que c'est un échec. Le président Lourenço a accompli sa mission. Je crois que tout le monde oublie rapidement la mission qui a été confiée par l'Union africaine. C'était de maintenir le dialogue entre le Rwanda et la RDC pour résoudre les conflits qui les opposent. Et aujourd'hui, le président de Lourenço, grâce à lui, on a obtenu des solutions acceptées par toutes les parties. Si le président Kagame n'avait pas refusé de venir en Angola le 15 décembre, on aurait signé, on serait passé maintenant à la phase d'exécution.À lire aussiEst de la RDC: l'Angola annonce abandonner sa médiation entre Kinshasa et KigaliJusqu'ici, en fait, on avait un médiateur, le chef de l'État angolais, un président très influent sur le continent africain, qui a finalement jeté l'éponge et qui va être remplacé cette fois par un panel de cinq anciens chefs d'État qui vont suivre une feuille de route qui a été concoctée par l'EAC et la SADEC. Est-ce que cela n'a pas rendu caduc ce qui avait été convenu avant ? Ce n'est pas un nouveau processus qui commence maintenant ?C'est ce qu'il faut éviter. Effectivement, le danger est réel, de recommencer. Et là, vraiment, on ne le souhaite pas, c'est une crainte qui est réelle. L'autre crainte, parce que ça fait quand même un peu trop de cuisiniers, je crois que c'est une première en Afrique, qu'on ait une médiation à cinq. Il faut craindre de la lenteur alors qu'il y a une urgence à la fois politique, sécuritaire et humanitaire.Je ne sais pas si vous avez constaté que, en fait, il n'y a plus de Nairobi à part. Il n'y a plus de Luanda à part. Il y a un processus qui est fusionné aujourd'hui. Il y a une nouvelle feuille de route qui parle de négociations directes entre le gouvernement congolais et l'AFC/M23, aujourd'hui, c'est comme ça qu'il s'appelle. Est-ce que le gouvernement congolais ne sera pas obligé de s'y plier ? La fusion n'est pas une bonne chose à mon avis. Luanda et Nairobi sont complémentaires, certes, mais sont distinctes. Donc, vous les fusionnez, première conséquence et qui est dangereuse : c'est que cela veut dire qu'on légitime les arguments du président Kagame qui a toujours dit « pas de problème, c'est un problème entre Congolais » et lui, il est dédouané. La deuxième conséquence, elle n'est pas des moindres, si ou tant qu'on n'a pas encore trouvé un compromis avec le M23. L'Armée rwandaise est fondée à rester en RDC alors que nous savons que le compromis avec le M23 ne peut passer que si le président Kagame avalise, c'est-à-dire que s'il contient les désidératas, le président Kagame notamment d'avoir un espace d'exploitation économique, un espace d'influence. C'est ça les conséquences qu'on ne peut pas minimiser.Et la question de la négociation directe entre le gouvernement et le M23, vous êtes pour ou contre ? C'est un problème qui ne se pose pas. Pour quelle raison ? Parce que, si on entreprend une opération pour humilier le président Tshisekedi, pour humilier le peuple congolais, certainement, je ne peux pas accepter.Comment est-ce que le gouvernement congolais, selon vous, pourrait contraindre le M23 à rendre les parties qu'il a conquises sans négocier ? Le M23 n'existe pas. C'est l'armée rwandaise, c'est une évidence qui ne se discute plus. Que le Rwanda sorte de la RDC parce qu'on nous dit que c'est un problème congolo-congolais et qu'on nous laisse résoudre nos problèmes !À écouter aussiEchec du sommet de Luanda: «On est une nouvelle fois dans l'impasse»
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur la fin de la médiation angolaise entre la RDC et le Rwanda, un cessez-le-feu accepté en mer Noire pour l'Ukraine et la Russie et des informations militaires confidentielles envoyées par erreur à un journaliste américain. Sénégal : le FMI confirme la dette « cachée » de Macky Sall Le Fonds Monétaire International a confirmé le rapport de la Cour des comptes publié en février 2025, attestant alors que l'administration de Macky Sall a délibérément camouflé une datte de sept milliards de dollars entre 2019 et 2024. Comment une dette aussi importante a-t-elle pu être cachée pendant plusieurs années sans être détectée plus tôt ? Que risque l'ancien président ? Depuis ces révélations des autorités sénégalaises, le programme d'aides du FMI au Sénégal est suspendu. Quelles conditions le pays doit-il remplir pour que ce programme soit rétabli ?Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. RDC/Rwanda : clap de fin pour la médiation angolaise Après plus de deux ans de médiation entre la République démocratique du Congo et le Rwanda, le président João Lourenço renoncé à poursuivre sa médiation censée aboutir à un accord de paix durable entre les deux pays. Comment expliquer une telle décision ? Quel autre pays africain pourrait prendre la relève de l'Angola ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.Guerre en Ukraine : fin des hostilités en mer Noire ? Après de longues discussions à Riyad sous la médiation américaine, Moscou et Kiev ont conclu un accord de cessez-le-feu en mer Noire, où 30% de la flotte russe a été détruite par l'Ukraine. Comment les Ukrainiens ont-ils pris le dessus sur ce front alors qu'ils ne possèdent pas une marine de guerre ? Quelles conséquences pour Moscou ?Avec Ulrich Bounat, analyste en géopolitique, spécialiste de l'Europe centrale et de l'Est, chercheur associé à l'Institut Open Diplomacy. États-Unis : des plans militaires envoyés par erreur à un journaliste Le numéro de téléphone du rédacteur en chef du magazine américain The Atlantic a été ajouté par erreur à un groupe de discussions dans lequel se trouvaient le secrétaire d'État américain, le vice-président ou encore le patron de la CIA. C'est ainsi que ce journaliste a reçu le plan détaillé des frappes que les États-Unis allaient mener deux heures plus tard contre les rebelles Houthis au Yémen. Comment la Maison Blanche justifie-t-elle une telle erreur ?Avec Jérémy Ghez, professeur en Affaires internationales à HEC Paris, spécialiste des États-Unis.
Jorge Jardim admira James Bond e tenta copiar o agente secreto britânico em tudo. A casa onde mora com a família em Moçambique é digna de um filme do espião mais famoso do mundo, com torre de controlo e uma pista de aterragem para o seu avião privado. Em janeiro de 1961, Jardim viaja para o Brasil para tentar resolver um caso que centra todas as atenções do mundo: o impasse do sequestro do paquete Santa Maria. Nesse mesmo ano, segue para Angola para combater no início da guerra em África. Anos mais tarde, quando o conflito se estende finalmente a Moçambique, recebe uma nova missão. Tem de entrar em contacto com um poderoso homem em África. "O Misterioso Engenheiro Jardim" é o novo Podcast Plus do Observador. É narrado por Lourenço Ortigão e a banda sonora original é de HMB. Pode ouvir semanalmente os episódios de "O Misterioso Engenheiro Jardim" na playlist própria do podcast na Apple Podcasts, Spotify, Youtube ou outras plataformas de podcast. Os assinantes standard e premium do Observador têm acesso antecipado a todos os episódios no site do Observador. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Revirement de dernière minute… La délégation de l'AFC-M23 ne se rendra pas ce mardi dans la capitale angolaise pour parler de la paix dans l'est de la RDC.La rébellion justifie cette annulation, précise Jeune Afrique, « par l'annonce, hier, de nouvelles sanctions imposées par l'Union européenne. Ces mesures visent plusieurs membres du M23, dont le président de sa branche politique, Bertrand Bisimwa, qui avait été officiellement invité par l'Angola à participer au dialogue. Outre des officiers rwandais sanctionnés pour leur soutien aux rebelles, ces mesures ciblent aussi différents cadres du mouvement, dont le “colonel“ John Imani Nzenze, chargé du renseignement au sein du M23, ou encore John Musanga Bahati, alias “Erasto“, nommé “gouverneur“ du Nord-Kivu après la prise de Goma ». « Sabotage ! »« L'AFC-M23 évoque (donc) un sabotage du processus de paix, pointe le site congolais Actualité CD. Le groupe rebelle estime que ces décisions (notamment les sanctions européennes) renforcent la position du président Félix Tshisekedi, qu'il accuse de poursuivre une politique belliciste. L'AFC-M23 affirme également que les forces congolaises et leurs alliés poursuivent leurs offensives sur plusieurs fronts, notamment par des bombardements aériens et l'utilisation de drones de combat CH-4. Selon le mouvement, ces attaques rendent toute négociation impossible ».« Presque simultanément aux sanctions européennes, relève pour sa part Le Monde Afrique, le Rwanda a décidé de “rompre les relations diplomatiques avec effet immédiat“ avec la Belgique. Kigali accuse l'ex-puissance coloniale d'avoir “pris parti [pour Kinshasa] bien avant et pendant le conflit en cours [en RDC]“ ».Le M23 en position de force…Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC s'interroge : « le choix de l'Union européenne d'annoncer des sanctions contre le M23 et le Rwanda la veille de négociations à Luanda était-il vraiment judicieux ? Et est-ce que l'annulation de la rencontre entre le M23 et le gouvernement congolais n'arrange finalement pas tout le monde ? Sur le carambolage de calendrier entre l'annonce de l'Union européenne et les négociations de Luanda, on peut clairement dire qu'il s'agit d'une erreur, estime Afrikarabia, permettant d'offrir, sur un plateau, un prétexte idéal au M23 pour claquer la porte. D'autant que les Européens planchent sur ces sanctions depuis plusieurs semaines. On peut également se demander, pointe encore le site, si les rebelles et Kinshasa avaient vraiment envie de cette rencontre surprise, organisée dans la précipitation par João Lourenço ? Le M23 est dans une telle position de force militaire qu'il peut tout se permettre en restant maître du jeu et des horloges ».En effet, « gagner du temps est plutôt favorable aux rebelles, qui continuent d'avancer sur le terrain, notamment en progressant vers la ville de Walikale. Face à une armée congolaise qui n'est plus offensive, le M23 peut espérer s'emparer de nouveaux territoires, au Nord, à l'Ouest et au Sud, laissant ainsi Kinshasa avec des marges de manœuvre de plus en plus limitées lorsqu'il sera venu le temps de négocier. Quant au pouvoir congolais, relève encore Afrikarabia, on sait que le président Tshisekedi, qui a répété à l'envi pendant de longs mois qu'il ne négocierait jamais avec le M23, semble vouloir retarder le moment fatal où il sera bientôt obligé de s'asseoir en face de la rébellion ».Responsable…Pour Ledjely en Guinée, « le M23 porte l'entière responsabilité de cette autre occasion manquée. Si les autorités congolaises avaient réussi à surmonter leurs réticences à dialoguer directement avec les rebelles, ce sont finalement ces derniers qui ont opté pour le boycott et la chaise vide. Ce choix du M23 est d'autant plus condamnable qu'il révèle le manque d'intérêt du mouvement rebelle pour le rétablissement de la paix et de la tranquillité. En particulier, se cacher derrière les sanctions adoptées hier par l'Union européenne pour refuser de participer aux négociations relève d'un chantage malsain ».Qui sera le « bon sapeur-pompier » ?Alors « et maintenant ? », s'interroge WakatSéra au Burkina Faso. « Que vaudra la “feuille de route“ accouchée par les ministres des Affaires étrangères de la Communauté de l'Afrique de l'Est et de la Communauté de développement d'Afrique australe, au cours de leur rencontre conjointe d'Harare, hier, sur la base des recommandations des chefs d'état-major des deux régions ? Luanda reviendra-t-il encore à l'ordre du jour, avec les sanctions prises et celles en vue, et que l'AFC-M23 pointe du doigt comme un frein à la marche vers la sortie de conflit ? (…) Pour le moment, soupire WakatSéra, la RDC attend toujours le bon sapeur-pompier, alors que les ingrédients s'accumulent dans la marmite et la rendent davantage explosive ! »
Aéroport fermé, système bancaire paralysé… « L'économie de la capitale du Nord-Kivu, (dans l'est de la RDC), conquise fin janvier par le M23 et ses alliés rwandais, est au point mort. »C'est ce que constate l'envoyé spécial du Monde Afrique. « Un mois et demi après la prise de la ville (…), les affrontements ont cessé. Mais le désespoir, faute de clients, gagne les cœurs des commerçants du marché de Birere comme d'une grande partie des habitants de la capitale provinciale, suspendue dans une situation d'entre deux. Certes, ce ne sont plus les explosions de la guerre. Elle s'est déplacée plus au sud, vers les hauts plateaux d'Uvira. Mais ce n'est pas non plus la paix. »L'activité économique de Goma est paralysée. L'aéroport est toujours fermé. Impossible d'importer des marchandises, notamment les biens de première nécessité qui transitaient principalement par les airs. Le système bancaire est bloqué. Impossible de retirer de l'argent liquide.Et « parallèlement, relève encore Le Monde Afrique, il faut des talents de funambule pour traiter avec ce nouveau pouvoir aux contours incertains ». « On ne sait pas qui fait quoi au sein des nouvelles autorités ?, explique un activiste de la société civile. Qui des militaires – rwandais ou du M23 – ou des politiques de l'AFC de Corneille Nangaa décide quoi ? Il vaut mieux n'en froisser aucun et être extrêmement prudent ». « La sécurité s'est améliorée, mais la nuit, dans les quartiers, on entend le bruit des balles, témoigne un habitant. Des bandits, comme avant ? Des prisonniers évadés ? Des anciens FARDC ou miliciens Wazalendo traqués par le M23 ? Là-dessus non plus, on ne sait pas où on va“. »Des négociations mal engagées…Demain mardi, des négociations de paix doivent s'ouvrir à Luanda en Angola. Mais l'heure n'est guère à l'optimisme… Kinshasa annonce qu'elle va envoyer une délégation sur place, mais sans en préciser la composition et surtout sans s'engager à rencontrer directement la délégation du M23.De son côté, rapporte Jeune Afrique, le mouvement rebelle accuse le gouvernement congolais « d'utiliser des avions de chasse et des drones pour bombarder ces derniers jours “des zones densément peuplées. Cette escalade meurtrière […] témoigne de la volonté du régime de Kinshasa de torpiller le dialogue tant attendu“, affirme le porte-parole du M23 et de l'AFC, Lawrence Kanyuka. »Et pour sa part, pointe encore Jeune Afrique, « le président angolais João Lourenço, médiateur du conflit, a appelé samedi à un cessez-le-feu dès dimanche minuit, un appel auquel aucun des belligérants n'a répondu. »Résultat, les médias congolais restent très prudents… « À la veille des négociations, incertitudes sur le cessez-le-feu et tensions persistantes sur le terrain », titre le site Actualité CD. « La méfiance demeure entre les parties, et les affrontements se poursuivent. (…) Dans le territoire de Kabare, au Sud-Kivu, un affrontement entre des combattants Wazalendo et des éléments du M23 a été signalé vendredi à Cirunga. Au Nord-Kivu, la situation s'est également dégradée. Les rebelles du M23 se sont emparés, mercredi dernier, de la localité de Kashebere, dans le territoire de Walikale. »La rébellion en position de force ?Alors, « une chose est sûre, relève Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, les négociations de Luanda demain mardi, si elles ont réellement lieu, se dérouleront dans un rapport de force très déséquilibré, et très favorable au M23 et à son soutien rwandais. Même si un cessez-le-feu a été demandé par le médiateur angolais, la rébellion a (donc) poursuivi ces derniers jours son avancée vers l'Ouest, et la ville de Walikale, rencontrant toujours une résistance extrêmement faible de l'armée régulière congolaise et de ses milices supplétives. Une situation militaire qui laisse à Kinshasa une marge de manœuvre extrêmement réduite autour de la table des négociations. »En tout cas, résume Afrik.com, « la RDC se trouve à un moment charnière de son histoire. La position du Rwanda, accusé de soutenir le M23, demeure un facteur clé, tout comme la volonté des différents acteurs d'aboutir à une paix durable. Le gouvernement congolais devra jongler entre les aspirations des populations locales, les exigences diplomatiques et les contraintes militaires pour trouver une issue favorable à cette crise. Une chose est certaine, conclut Afrik.com : la stabilité et l'avenir de l'est de la RDC dépendront largement des décisions qui seront prises dans les prochains jours à Luanda. »
En RD Congo, c'est une semaine de rendez-vous pour le dossier du conflit dans l'est du pays. Les ministres de la SADC et de l'EAC doivent se réunir lundi. Les autorités congolaises et le mouvement armé M23 sont, eux, invités pour des discussions mardi 18 mars à Luanda, en Angola. Entre-temps, le médiateur João Lourenço a appelé à un cessez-le-feu dans l'Est de la RDC.
Esta é a história de Jorge Jardim, o agente secreto que parecia um simples homem de negócios, mas liderou missões perigosas em todo o mundo, tentou criar um país e foi pai de um clã de mulheres aventureiras. “O Misterioso Engenheiro Jardim” é o novo Podcast Plus do Observador. É narrado por Lourenço Ortigão e tem banda sonora original dos HMB. Estreia a 18 de março Pode ouvir semanalmente os episódios de “O Misterioso Engenheiro Jardim” na playlist própria do podcast na Apple Podcasts, Spotify, Youtube ou outras plataformas de podcast. Os assinantes standard e premium do Observador têm acesso antecipado a todos os episódios em www.observador.pt.See omnystudio.com/listener for privacy information.