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À l'occasion des 30 ans du film « Les anges gardiens » de Jean-Marie Poiré avec Christian Clavier et Gérard Depardieu. En exclusivité, le producteur Alain Terzian revient sur sa carrière et notamment sur les coulisses du tournage des Visiteurs... Vous saurez enfin pourquoi Valérie Lemercier n'a pas joué dans les Visiteurs 2. Ecoutez RTL Pop Ciné avec Vincent Perrot du 28 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:37 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Le vignoble de Saint-Pourçain dans l'Allier n'a pas été épargné par la grêle, lors de l'orage du mercredi 25 juin. Un sinistre de plus qui va plomber certains producteurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
300 tonnes de carottes jetées en un an par un producteur, juste parce qu'elles n'ont pas le bon calibre !!! C'est inacceptable et Charlotte, quand elle a créé Local en Bocal, a voulu trouver une solution pour revaloriser les invendus des producteurs autour d'Avignon (principalement à 30km et parfois elle va jusqu'à 150km). Dans cet épisode, avec Charlotte nous avons parlé de :L'anti-gaspi gourmand : Comment Local en bocal donne une seconde vie aux légumes délaissés par la grande distribution, comme ces 300 tonnes de carottes jetées chaque année par un producteur partenaire.L'artisanat et la qualité : Un processus de transformation qui demande beaucoup de main d'œuvre et de temps de travail & des recettes sans additifs pour garder toutes les saveurs des fruits et légumes.L'insertion professionnelle : Une entreprise qui emploie et accompagne des personnes éloignées de l'emploi, avec un vrai impact social.Les défis d'une entreprise engagée : Comment concilier rentabilité, éthique et bien-être au travail.
En Afrique, il n'y a pas que le Nigeria qui développe l'industrie du cinéma. La Côte d'Ivoire veut aussi se lancer dans une production audiovisuelle ambitieuse. C'est l'enjeu du 3ᵉ SICA, le 3ᵉ Salon international du Contenu Audiovisuel, qui s'ouvre ce jeudi à Abidjan avec 300 professionnels de 25 pays différents. L'un des intervenants n'est autre qu'Alex Berger, le producteur du « Bureau des légendes », la série française de langue française la plus exportée dans le monde. À quand de grandes sociétés de production africaines ? En ligne d'Abidjan, le célèbre producteur français répond à Christophe Boisbouvier. RFI: Alex Berger, c'est la deuxième fois que vous venez au Salon international du contenu audiovisuel à Abidjan. C'est une fidélité au SICA ? Alex Berger : Alors d'abord, je salue l'initiative. Pour la première fois en octobre dernier, je me suis rendu à Abidjan et j'ai pu rencontrer des gens formidables, aussi bien les autorités gouvernementales qui avaient un souhait et une vision intéressante pour justement faire de la Côte d'Ivoire un carrefour ou un hub de production sur l'Afrique de l'Ouest. J'ai trouvé ça très intéressant. En tant que producteur indépendant, nous avons beaucoup de séries et donc, l'année dernière, j'ai pu exposer à beaucoup de gens, des universitaires, des élèves, des producteurs non seulement de la Côte d'Ivoire, mais, de l'ensemble de l'Afrique. Et j'ai trouvé ça franchement extrêmement intéressant. Alors évidemment, beaucoup de gens viennent vous voir pour que vous racontiez comment est arrivé le grand succès du « Bureau des légendes ». J'imagine que vous êtes assailli par plein de jeunes producteurs ivoiriens et de toute l'Afrique qui vous demandent comment on fait, non ? Alors, j'explique quelle était notre ambition, quel était notre processus, quelle était notre exigence. Et j'explique l'absolu incroyable alignement d'étoiles que nous avons eues pour une série française en langue française qui est aujourd'hui le champion de France de l'export dans 120 pays du monde et évidemment la première franchise historique de Canal+. Et au bout de dix ans, puisqu'on a fêté le 27 avril dernier les dix ans du « Bureau des légendes », on est toujours dans le top 10 des émissions, des feuilletons et des séries de Canal+. Donc voilà, entre 95 et 100 millions de vues juste en France. À lire aussiCinéma africain: des productions ivoiriennes en quête de débouchés à Ouagadougou Alors, vous dites votre exigence, ça veut dire qu'avec Éric Rochant, vous avez travaillé et travaillé, notamment sur le narratif, c'est ça ? Évidemment, le génie d'Éric Rochant est d'avoir un muscle particulièrement développé pour trouver le romanesque à l'intérieur d'un univers fait de géopolitique, d'espionnage, de renseignement. Et donc voilà. Est-ce qu'il y a aujourd'hui de jeunes producteurs africains qui ont envie de suivre ce modèle porté par Éric Rochant et vous-même, est-ce qu'il y a des success stories possibles en Afrique centrale, en Afrique de l'Ouest ? Oui, j'en connais. D'abord, je vais mettre de côté le Nigeria qui est déjà un endroit très sophistiqué. Il y a beaucoup de producteurs. C'est le succès de Nollywood, bien sûr ? C'est Nollywood et c'est apprécié. Alors, pour répondre à ce que vous avez dit, ce qui est important pour moi, ça a été de rencontrer des gens comme Alex Ogou, des gens comme Mamane [également chroniqueur à RFI] directement à Abidjan. De voir quel était l'incroyable richesse que pouvaient apporter ces producteurs. Ils sont très talentueux, ils sont en train de faire des choses incroyables. Je n'ai aucune leçon à leur apprendre. En fait, ils sont juste limités parfois par le manque de moyens que les grands diffuseurs et les premiers diffuseurs n'ont pas. Il y a besoin d'un peu plus de formation. Je parlais avec une productrice qui s'appelle Kimberley Azria, qui fait aussi beaucoup de choses, qui m'impressionne beaucoup sur ce qu'elle fait. Elle vient de signer un accord au Bénin pour une nouvelle série. Et donc c'est très excitant, pour un vieux producteur indépendant comme moi, de voir cette richesse et cette jeunesse qui est en train de tout casser. Moi, mon ambition, c'est d'essayer d'aider à créer une ou plusieurs séries avec des producteurs ivoiriens ou d'ailleurs. Mais en tout cas, c'est mon ambition. On me dit Alex Berger que, l'an dernier, lors de votre première visite au SICA, vous avez évoqué la possibilité de créer une version africaine du « Bureau des légendes ». C'est vrai ? Absolument. Nous sommes en train de développer une version localisée, en tout cas en Afrique de l'Ouest, du « Bureau des légendes ». On a écrit un script, on a des gens qui travaillent dessus et c'est n'est pas simple. Parfois la géopolitique va plus vite que nos scénaristes et donc on est obligé d'adapter. Mais en effet, il y a une version qui est en train d'être développée du « Bureau des légendes » et donc voilà. Et qu'on pourra voir d'ici combien de temps ? Alors, j'aimerais pouvoir vous répondre vite. Je pense que ce n'est pas réaliste de dire que ce sera à l'antenne avant 2027. Vous avez déjà le titre ou pas ? « Le bureau secret » ou « Le bureau Afrique ». À lire aussiAudiovisuel en Côte d'Ivoire: des initiatives privées pour pallier le manque de main-d'œuvre
Valérie Expert et Gilles Ganzmann reçoivent Tony Comiti, Producteur pour l'émission du 26 juin 2025
durée : 00:15:02 - Bienvenue chez vous : on passe en cuisine, ici Alsace - Focus sur la conserverie des papillons, un projet solidaire qui transforme les fruits et légumes déclassés en conserves savoureuses. Stéphanie Grosjean nous en dit plus sur cette initiative locale et éco-responsable. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nade a toujours été passionnée par la musique et en a fait son métier. Mais tout a basculé quand un faux producteur lui a promis monts et merveilles. En moins d'un an, il l'a arnaquée de 18 000 euros. Nade a été profondément marquée par cette histoire, qui s'est terminée en justice. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Elisabeth Assayag reçoit Nicolas Chabanne (« C'est qui le patron ? ») et Christophe Audouin (Bio & Lo). Ensemble, ils montrent comment les consommateurs reprennent le pouvoir pour mieux rémunérer les producteurs et réinventer l'agroalimentaire. Une révolution citoyenne à écouter sans modération !
La nouvelle campagne de karité vient de débuter en Afrique de l'Ouest. Il s'agit de la collecte de fruits dont on extrait une amande, qui est transformée en beurre de karité et en d'autres dérivés utilisés par l'industrie agroalimentaire. Cette campagne débute dans un contexte inédit : jamais autant de pays producteurs n'ont règlementé leurs exportations. Tout a commencé l'automne dernier, quand le Mali et le Burkina Faso ont interdit l'exportation des noix brutes et des amandes de karité. Deux autres pays ont suivi cette année le mouvement, la Côte d'Ivoire et le Togo. Le Ghana a lui décidé de conditionner ses exportations à une autorisation supplémentaire qui n'existait pas auparavant. Les flux d'approvisionnement vont donc devoir encore cette année s'adapter. La fermeture du Mali et du Burkina, les deux principaux fournisseurs du marché, avait eu un effet immédiat sur les prix dans les pays qui restaient ouverts aux achats. Ils ont ainsi plus que triplé au Bénin, pour atteindre 600, voire 800 FCFA le kilo d'amande et sont globalement restés très hauts durant toute la saison passée. « Quatre pays qui n'exportent plus, ça ne s'est jamais vu, donc l'impact est difficile à imaginer », explique un expert de la filière. Ce qui est certain, c'est que ces restrictions vont accroître la pression sur les vendeurs qui sont moins nombreux, et exacerber la concurrence entre intermédiaires qui vont chercher à mettre la main le plus tôt possible sur la nouvelle récolte alors que la demande internationale pour le beurre de karité augmente. Hausse des prix du beurre de karité Cette hausse de la demande est liée à l'explosion des prix du beurre de cacao auquel le beurre de karité peut, plus ou moins, se substituer. Elle a inévitablement fait grimper les prix du beurre de karité. Les besoins en karité s'ajoutent à « des stocks historiquement bas » d'amandes, selon le dernier bulletin d'analyse agricole N'Kalo. Ce contexte devrait encore cette année profiter aux collectrices qui ramassent les noix brutes, surtout celles des pays où les exportations sont libres et les prix susceptibles d'augmenter, comme cela a été le cas l'année dernière. Effets difficiles à évaluer Peu de chiffres sont disponibles pour savoir si au Mali et au Burkina Faso les usines ont pu produire plus et exporter plus de beurre de karité suite aux nouvelles restrictions à l'exportation. Mais a priori, les filières locales ont eu moins de problème à se fournir à bon prix, rien ne dit en revanche qu'elles aient réussi à augmenter leur capacité de production – que ce soit d'un point de vue structurel ou économique, car acheter plus sous-entend avoir une trésorerie suffisante. Une chose est sûre, la mesure prise à l'automne dernier a provoqué d'énormes disparités entre les pays producteurs d'Afrique de l'Ouest, ce qui pourrait encore être le cas cette année.
durée : 00:20:35 - C'est bon ça, c'est fait en Isère ? - À Grenoble, la Maison des Saveurs propose une cuisine asiatique fusion ultra-fraîche et locale. Bao-burgers, mochis maison, cocktails à la chartreuse : une cuisine du monde bien ancrée dans l'Isère… avec les astuces du chef à emporter. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis l'invasion des champs par des insectes ravageurs, les jassides, il y a trois ans, les producteurs ivoiriens de coton ont été découragés. Leur nombre a chuté de 139 000 à quelque 100 000. La production de coton graine, 559 000 tonnes en 2020-2021, a plongé de 50 % selon Intercoton, l'interprofession cotonnière. Des solutions ont bien été trouvées avec l'appui du Centre national de recherche agronomique (CNRA). Mais la déprime des cotonculteurs est toujours palpable alors qu'ils s'engagent dans une nouvelle campagne. Reportage dans la région de Korhogo. Mamadou Silué est producteur de coton. Son neveu l'aide à préparer les sols : à cette étape, il utilise la force d'une charrette tractée par deux bœufs. Depuis la crise des jassides, dans le nord de la Côte d'Ivoire, ce producteur a décidé de réduire les surfaces dédiées au coton. « Avant l'arrivée des jassides, je faisais 23 ha de coton et 2 ha de riz. Mais compte tenu de l'arrivée des jassides, j'ai essayé de diminuer le champ, en faisant 15 ha de coton. Le reste est réparti sur le vivrier : une partie pour le riz et une partie pour le maïs. Il faut avoir quelque chose sous la main pour pouvoir manger. Concernant le maïs, on utilise une partie et le reste, on le vend ». Ces producteurs sont confrontés à un problème : la baisse des rendements. « Avant, si vous faisiez bien le travail, vous pouviez obtenir 2 tonnes par hectare, explique Salia Coulibaly, un autre cotonculteur. Mais l'an passé, on n'a pas eu 1,2 tonne. Ça a diminué ». Épuisement des sols Selon des scientifiques, cette baisse de rendements est en partie liée aux changements climatiques. Mais aussi à la baisse de fertilité des sols. « À force d'utiliser les mêmes parcelles, au fil des années, on a un épuisement des réserves, des éléments dont la plante a besoin pour pouvoir véritablement se développer, constate Guillaume Kouassi, assistant chercheur au Centre international de recherche en agroforesterie. Il y a aussi le fait que les applications d'engrais ne sont pas faites sur la base de l'analyse des sols : on peut apporter des éléments en trop, qui ne sont pas nécessaires, qui au fil du temps, au lieu de contribuer à la productivité, vont contribuer à la baisse de cette productivité ». Producteurs endettés Les sociétés cotonnières, qui encadrent les producteurs, ressentent fortement cette baisse des rendements et s'interrogent sur l'avenir de leur activité. « Je travaille avec près de 30 000 producteurs. Et comme ça fait deux ans que les rendements ne sont pas bons, ils sont très endettés, constate Adama Tchelibé Silué, directeur général de la Compagnie ivoirienne de coton. Ne pouvant pas rembourser sa dette, le producteur est découragé pour les campagnes à venir… En temps normal, on égrainait de novembre jusqu'en avril. Mais aujourd'hui, quand vous démarrez en novembre, en février, le coton est fini. Nos usines, nos investissements… on commence à s'inquiéter. Qu'est-ce que vont devenir nos investissements. Les bilans (financiers) commencent à être négatifs pour les sociétés cotonnières ». Autre source d'inquiétude selon ce responsable : la présence d'une autre forme de jassides, détectée dans plusieurs parcelles. À lire aussiLes prix du coton, ballotés par la guerre commerciale, pèsent sur l'Afrique
La CoVE, avec l’ICV et l’AOC Ventoux ont mis en place un nouveau dispositif en faveur du réemploi des contenants en verre pour les producteurs locaux (vins appellations Ventoux mais aussi autres appellations, producteurs de bière, de jus, etc.) répondant aux exigences du réemploi en vue de leur réutilisation après [...]
Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !
Il a travaillé avec Alain Chabat, conseillé Pierre Lescure, percé les secrets de la DGSE, et même convaincu George Clooney... Producteur visionnaire, pionnier des séries à la française, Alex Berger a toujours eu un temps d'avance. Homme de l'ombre derrière le succès du Bureau des Légendes (et de son adaptation américaine, The Agency), son parcours, c'est néanmoins bien plus qu'une série culte : d'enfant américain débarqué dans les Vosges sans parler un mot de français, il est devenu un stratège redoutable des médias, capable d'anticiper l'arrivée du mobile et du streaming avant tout le monde.Comment les rencontres peuvent-elles changer tout un parcours ?Quelle est la recette d'une série qui dure ? Comment a-t-il convaincu les plus grandes stars à le suivre dans ses projets fous ?Dans cet épisode, Alex Berger nous parle de création, de résilience et de doutes, mais aussi des stratégies invisibles, de jeux de pouvoir dans les médias, et de l'envers du décor d'une industrie en pleine mutation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les fraises du Québec sont enfin arrivées ! Entrevue avec Jasmine Sauvé, directrice générale de l’Association des producteurs de fraises du Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le marché de producteurs c'est ce vendredi au collège
Une nouvelle enquête révèle une inquiétude grandissante des consommateurs québécois face à la présence de lait américain sur les tablettes d’épicerie. Daniel Gobeil, président des Producteurs de lait du Québec, explique pourquoi cette situation soulève autant de préoccupations. Entrevue avec Daniel Gobeil, président des Producteurs de lait du Québec Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L’émission commence fort avec le chaos à la SAAQ et la grève dans la construction qui divise. Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont reviennent sur la tragédie de Liverpool, les tensions autour des tarifs de Trump, les incendies au Manitoba, et le rejet du projet de pluriparentalité. Marc Tanguay réclame la mise sous tutelle de la SAAQ, pendant que Francis Gosselin commente les pertes de Postes Canada et les profits bancaires. Félix Séguin parle de jeunes impliqués dans la criminalité à Laval et d’un vol de coffre-fort digne d’un film. Alicia Moffet dévoile son 3e album, et Louis-Philippe Dubé analyse la dégringolade du Cybertruck. L’émission se termine avec un cri du cœur d’Isabelle Maréchal contre la fermeture du REM. Dans cet épisode intégral du 29 mai 2025, en entrevue : Marc Tanguay – Chef intérimaire du Parti libéral du Québec Louis-Philippe Dubé – Chroniqueur automobile au Guide de l’Auto Alicia Moffet – Chanteuse Daniel Gobeil – Président des Producteurs de lait du Québec Une production QUB Mai 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Elle est rouge, petite, sa forme est oblongue et elle n'est surtout pas chère : 99 centimes la barquette de 250 grammes. Elle, c'est donc la tomate cerise marocaine, le cauchemar des producteurs français de tomate parce qu'elle rafle l'essentiel du marché ici dans l'Hexagone, au détriment donc de nos producteurs. Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 22 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elle est rouge, petite, sa forme est oblongue et elle n'est surtout pas chère : 99 centimes la barquette de 250 grammes. Elle, c'est donc la tomate cerise marocaine, le cauchemar des producteurs français de tomate parce qu'elle rafle l'essentiel du marché ici dans l'Hexagone, au détriment donc de nos producteurs. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Sénégal, les producteurs de Kayar, dans le nord-ouest, ont à eux seuls récolté plus de 21 000 tonnes de pommes de terre lors de la dernière récolte, mais ils font face à un problème de commercialisation. En cause : l'encombrement du marché par les multinationales et leur production intensive, mais aussi une politique gouvernementale qu'ils jugent peu anticipatrice. Assis à l'ombre d'un arbre dans son champ, le regard inquiet, Moussa Thioune se demande comment il va pouvoir vendre sa production. Il a entamé une deuxième culture de contre-saison, mais les tonnes de pommes de terre issues de sa première récolte sont toujours invendues. « J'ai utilisé plus de six tonnes de semences et produit plus de 50 tonnes de pommes de terre. J'ai récolté il y a deux mois, mais jusqu'à présent, je n'ai pas réussi à vendre un seul tubercule », se lamente-t-il.« Je n'ai pas vendu un seul tubercule »Autour de lui, des tas de pommes de terre recouverts d'herbes sèches sont disséminés dans le champ. Une protection de fortune contre le soleil… et les voleurs. Mais pour combien de temps encore ? Sans solution de commercialisation, le producteur envisage de vendre à perte, faute de mieux. « Mon souhait est de pouvoir vendre pour subvenir aux besoins de ma famille. Mais en ce moment, je ne peux rien faire. Je prie pour qu'un bon acheteur vienne. Le prix du kilo est de 140 FCFA sur le marché, alors que le coût de production s'élève à 200 FCFA. »Pour la campagne agricole 2024-2025, l'État sénégalais avait misé sur un soutien fort : semences subventionnées, engrais horticoles à prix réduits… De quoi motiver de nombreux maraîchers à se lancer ou à étendre leurs surfaces cultivées.Des mesures incitatives, mais mal coordonnéesMohamed Bachir Niang, producteur et membre du bureau de l'Association des producteurs maraîchers de Kayar, confirme l'engouement suscité par ces mesures. Lui a pu vendre une partie de sa récolte, mais n'a toujours pas récupéré l'argent.« Les années passées, on vendait au bout de 10 à 15 ours, un mois tout au plus. Mais cette année, cela fait plus de deux mois que ça dure. Le nouveau pouvoir a suscité beaucoup d'espoir dans la filière horticole. Même ceux qui ne cultivaient pas de pommes de terre s'y sont mis. Mais l'État n'a pas anticipé cette surproduction. »Ce paradoxe pourrait s'aggraver : d'ici trois mois, la pomme de terre pourrait venir à manquer sur les marchés. Les producteurs ne peuvent pas stocker indéfiniment, faute de structures de conservation suffisantes ou abordables.La plupart placent leurs derniers espoirs dans la fête de la Tabaski, qui approche. Cette période de forte consommation pourrait peut-être permettre d'écouler les stocks… avant qu'ils ne pourrissent complètement.
Programmation musicale consacrée aux archives musicales de Debs, l'un des plus grands labels afro-caribéens, fondé par Henri Debs à la fin des années 50. Emile Omar est l'un des concepteurs de la série Disques Debs International. À l'occasion de la sortie du 3è volume, le 14 mars 2025 chez Strut Records, il a sélectionné neuf chansons du répertoire culte d'Henry Debs. Daniel Forestal - Ces p'tits je t'aimeGeno Exilie - Lan misèGuy Conquette - Assez fait cancanSuper Combo - Moin domi dewoKoumit - Lage yo Midnight groovers - StrangerExperience 7 - Bel toubonmanSadi Langreot - Dou se vou ki siwo Ti Celeste - TestamanRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Programmation musicale consacrée aux archives musicales de Debs, l'un des plus grands labels afro-caribéens, fondé par Henri Debs à la fin des années 50. Emile Omar est l'un des concepteurs de la série Disques Debs International. À l'occasion de la sortie du 3è volume, le 14 mars 2025 chez Strut Records, il a sélectionné neuf chansons du répertoire culte d'Henry Debs. Daniel Forestal - Ces p'tits je t'aimeGeno Exilie - Lan misèGuy Conquette - Assez fait cancanSuper Combo - Moin domi dewoKoumit - Lage yo Midnight groovers - StrangerExperience 7 - Bel toubonmanSadi Langreot - Dou se vou ki siwo Ti Celeste - TestamanRetrouvez notre playlist sur Deezer.
durée : 00:08:22 - Info médias - Produite par George Clooney, la série d'espionnage "The Agency" reprend les codes de la version originale, avec une dose d'action supplémentaire. Elle sera diffusée sur Canal+ à partir du 22 mai.
Le Festival de Cannes ouvre ses portes ce mardi 13 mai, et si les projecteurs sont braqués sur les stars et les projections, c'est aussi en coulisses que le cinéma se joue. Chaque année, la Croisette accueille en parallèle le plus grand rendez-vous professionnel du secteur : le Marché du film. Décryptage. Oubliez le tapis rouge, les photographes et les petits fours et parlons affaires. Pendant dix jours, Cannes devient la capitale mondiale de l'économie du cinéma. 15 000 professionnels accrédités, 4000 films et projets représentés : le Marché du film est le lieu où se négocient les droits de distribution des films que vous verrez dans les mois à venir. C'est aussi là que se montent les coproductions internationales, que se repèrent les tendances de demain. Producteurs, distributeurs et acheteurs arpentent les stands et les salons pour décider quels films feront l'actualité des écrans de l'année à venir. À lire aussiSourires aux Golden Globes, grimaces en coulisses: Hollywood face à la criseUne année 2024 dynamique, mais sans boom pour le box-office Cet événement est aussi l'occasion de faire le point sur l'état du marché. RFI a pu consulter en avant-première le rapport annuel de l'Observatoire européen de l'audiovisuel. Ce que l'on peut affirmer, c'est que même si 2024 a été exceptionnelle en termes de production, l'année n'a pas été celle du rebond espéré. Le box-office mondial atteint 28,1 milliards d'euros, mais cela reste en baisse de 9 % par rapport à 2023. Deux géants connaissent une baisse significative. La Chine, avec -24 %, et les États-Unis, à -4 %, touchés par les récentes grèves à Hollywood, qui ont gelé la production et retardé la sortie des blockbusters. Côté gagnants, on retiendra l'Inde, le Royaume-Uni et la France, qui restent des places solides. Le streaming bouleverse l'équilibre des salles Mais le cinéma aujourd'hui, ce n'est plus seulement des projections en salles. Et les professionnels l'ont bien intégré. Toujours selon l'Observatoire européen de l'audiovisuel, un tiers des films disponibles en VOD sont européens. Les plateformes de streaming sont donc devenues essentielles à la diffusion des longs-métrages, qu'ils soient exclusivement destinés à ces canaux ou qu'ils aient eu une vie en salle auparavant. Pour les exploitants – c'est-à-dire les cinémas eux-mêmes – les conséquences sont bien réelles. Le temps passé devant un écran chez soi est aussi du temps en moins en salle. C'est l'un des défis majeurs du secteur. Autre tendance forte : le renforcement des partenariats public-privés pour financer les projets, ainsi que la promotion de la coproduction internationale pour mutualiser les coûts et s'ouvrir à de nouveaux marchés. Car, on l'a dit, le cinéma reste un marché. Un marché avec des acteurs importants, en concurrence, et où le premier rôle est très convoité.
durée : 00:59:09 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - La 78ème édition du Festival de Cannes s'ouvrira ce mardi 13 mai 2025. Alors qu'on prête souvent une aura mystique à l'auteur de cinéma, son succès dépend d'abord de prérequis socio-économiques et du rôle du producteur dans la course aux financements. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Jérôme Pacouret Sociologue, docteur de l'EHESS, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique; Olivier Alexandre Sociologue, chargé de recherche au CNRS (Centre Internet et Société)
durée : 00:07:19 - Info médias - La 7e saison de Mask Singer débute vendredi sur TF1. Avec un record de 19 personnalités dont trois internationales, et 7 émissions thématiques, autour de Las Vegas, de la comédie musicale ou de "Harry Potter", le producteur promet un renouvellement important.
L'Association des producteurs de coton africains, l'AProCA, a célébré ses 20 ans d'existence lors de son assemblée générale à Garoua, dans le nord du Cameroun, le bassin cotonnier du pays. Présente dans 15 pays du continent, l'AProCa a su devenir un acteur incontournable de la filière en défendant les intérêts de plus de 2 millions de producteurs de coton répartis dans plus de 31 000 coopératives. Quelque 300 participants de huit pays étaient réunis pour deux jours d'échanges intenses à Garoua afin de dresser l'état des lieux de deux décennies de travail. Et surtout débattre de la feuille de route de l'AProCa pour les dix prochaines années. Professionnaliser les cotonculteurs afin qu'ils puissent tirer le meilleur parti de leur activité, c'est le premier grand objectif de l'Association des producteurs de coton africains, l'AProCa, pour les dix ans qui viennent. L'association aimerait en particulier voir renaître son université du coton. « Il faut que ce soit une affaire régionale, défend Koussouwè Kouroufei, président de l'AProCa et président de la Fédération des producteurs du Togo. Cette université coton doit être appuyée par les États, nos partenaires, l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), etc. Pour que les enjeux et les problèmes du coton y soient traités. L'objectif serait de former les chercheurs, les agronomes, les entomologistes [spécialistes des insectes, NDLR], tout ce qui est lié au coton. Cette université du coton serait la bienvenue pour réfléchir à long terme sur la production du coton. »Relancer l'université du cotonAutre grand défi souligné à Garoua, au Cameroun : l'adaptation des cotonculteurs au changement climatique. Pluies torrentielles, sécheresses prolongées, érosion des sols, ou encore ensablements affectent les rendements. Face à cela, l'AProCa cherche des solutions et entend convaincre les autorités. « Au moins que l'on s'adapte avec les chercheurs pour trouver des variétés résistantes qui auront un bon rendement, plaide Koussouwè Kouroufei. Pourquoi ne pas aller également vers l'irrigation à contre-saison ? Nous allons faire des plaidoyers auprès de nos gouvernements. »Innover et s'assurer face aux risques climatiquesIl s'agit aussi de mieux rémunérer et de mieux protéger les cotonculteurs. « De plus en plus, nos partenaires techniques disent qu'il y a de l'argent dans le coton, rappelle Youssouf Djimé Sidibé, le secrétaire permanent de l'AProCa. Mais les recettes du coton ne sont pas contrôlées par les producteurs. Or dans la filière coton qui compte beaucoup d'acteurs, c'est le producteur qui prend le plus grand risque, mais qui est le moins bien assuré et le moins payé. Donc, nous nous battons pour permettre au producteur de vivre décemment de sa production. » L'un des chevaux de bataille de l'AProCA est la mise en place d'une assurance climatique agricole pour les producteurs de coton.À lire aussiLes producteurs africains de coton subissent les cours mondiaux et le changement climatique À lire aussiUne campagne difficile pour le coton africain plombé par ses coûts de revient
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 28 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 28 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:52 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Diane de Vanssay - Entre les temps de prières et de repos, les moines produisent du vin, du fromage, ou encore des produits d'hygiène. Vendus dans l'enceinte même de l'abbaye, ces produits représentent près de la moitié des revenus monastiques...Comment les moines donnent-ils sens à leur activité économique ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Isabelle Jonveaux Sociologue des religions, chercheuse à l'université de Graz en Autriche; Marie-Catherine Paquier Enseignante-chercheuse en sciences de gestion, responsable de recherche à l'European Business School Paris et chercheure associée au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Dans son émission média, Jean-Pierre Foucault et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui le producteur de télévision Pascal Bataille à l'occasion de la sortie de son livre “Petit traité du silence à l'usage des gens bruyants” publié aux éditions Guy Trédaniel. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui Philippe Thuillier pour l'émission « 50 ans de Numéro Un des Carpentier » diffusée vendredi 18 avril à 21h05 sur France 3 et sur france.tv.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSHarvey Weinstein : Le Huffpost, Franceinfo, Ouest-France, Le MondeOpen AI : BFMTV, The VergeSébastien Cauet : Libération, Le HuffpostCritiques Katy Perry : BFMTV, LibérationLil Nas X : Le Parisien, Le FigaroSmartphones Android : BFMTV, Presse-citronÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Samy Rabbata Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mercredi 16 avril, François Sorel a reçu Luc Julia, directeur scientifique de Renault Group, Jean Schmitt, président de Jolt Capital, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur la facture salée pour les producteurs de puces à cause des droits de douane, et l'éventuelle intelligence de Siri, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
REDIFF - La France est le premier pays exportateur de pommes de terre. Une cuture qui se développe dans le Nord de la France pour répondre à la demande mondiale de frites et de chips. Mais les producteurs sont confrontés, comme tous les secteurs agricoles, aux aléas climatiques. En 2022, la récolte a été si faible à cause de la sécheresse, qu'il a manqué de patates dans les rayons des magasins en France. Conséquence : les prix ont flambé. Virginie Garin vous emmène à Villers-Saint-Christophe, dans l'Asines, à Potato Europe, qui s'est tenu les 11 et 12 septembre. Dans le podcast "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - La France est le premier pays exportateur de pommes de terre. Une cuture qui se développe dans le Nord de la France pour répondre à la demande mondiale de frites et de chips. Mais les producteurs sont confrontés, comme tous les secteurs agricoles, aux aléas climatiques. En 2022, la récolte a été si faible à cause de la sécheresse, qu'il a manqué de patates dans les rayons des magasins en France. Conséquence : les prix ont flambé. Virginie Garin vous emmène à Villers-Saint-Christophe, dans l'Asines, à Potato Europe, qui s'est tenu les 11 et 12 septembre. Dans le podcast "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - La France est le premier pays exportateur de pommes de terre. Une cuture qui se développe dans le Nord de la France pour répondre à la demande mondiale de frites et de chips. Mais les producteurs sont confrontés, comme tous les secteurs agricoles, aux aléas climatiques. En 2022, la récolte a été si faible à cause de la sécheresse, qu'il a manqué de patates dans les rayons des magasins en France. Conséquence : les prix ont flambé. Virginie Garin vous emmène à Villers-Saint-Christophe, dans l'Asines, à Potato Europe, qui s'est tenu les 11 et 12 septembre. Dans le podcast "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien Lacroix toujours boudé par des diffuseurs! Il dit se retrouver dans un flou. Entrevue avec Julien Lacroix, humoriste.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:12 - Le grand format - Face à la concurrence accrue des tomates à bas coût venues de l'étranger, certaines coopératives, comme la Bretonne Savéol, tentent des stratégies pour se démarquer, avec notamment ce label "Cultivées sans pesticides !". Reportage dans le Finistère, près de Brest.
Bienvenue dans Entrez ! Plat, Dessert. Dans cette nouvelle série, notre journaliste Jeanne-Marie Desnos part sur le terrain et se faufile dans les cuisines des chefs !Aux côtés de Claire Heitzler, on découvre dans cet épisode les dessous d'une pâtisserie gourmande, de terroirs et de saison, qui fait honneur aux producteurs. Du choix minutieux des matières premières au montage délicat des pâtisseries, rien n'échappe à sa vigilance pour réaliser des desserts d'une grande finesse. Cette série audio est réalisée en collaboration avec Eureden Foodservice et produite par Lacmé production. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une histoire complètement folle ! L'enlèvement en 1975 à Paris, du patron de la maison de disque Phonogram, Louis Hazan, qui va se terminer par l'arrestation d'une bande de pieds nickelés !...
Une histoire complètement folle ! L'enlèvement en 1975 à Paris, du patron de la maison de disque Phonogram, Louis Hazan, qui va se terminer par l'arrestation d'une bande de pieds nickelés !...
Une histoire complètement folle ! L'enlèvement en 1975 à Paris, du patron de la maison de disque Phonogram, Louis Hazan, qui va se terminer par l'arrestation d'une bande de pieds nickelés !...
Orson Welles à la fois acteur, réalisateur, producteur et scénariste, mais également metteur en scène de théâtre, dessinateur, écrivain et illusionniste . Il est né le 6 mai 1915 à Kenosha et mort le 10 octobre 1985 à Hollywood. On l'écoute au micro d'Arlette Vincent Sujets traités :Orson Welles, acteur, réalisateur, producteur , scénariste, Hollywood, Arlette Vincent . Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Producteur franco-américain, Alex Berger a produit des centaines de programmes en tous genres : films, séries, clips, pubs…Son objectif : s'inspirer des modèles américains, et rendre la production audiovisuelle efficace grâce au rôle du 'showrunner' encore méconnu en France, et en plaçant l'écriture au centre du processus créatif.En 2008, il s'associe avec le réalisateur Eric Rochant pour fonder TOP-The Originals Productions.Ensemble, ils créent Le Bureau des Légendes, l'une des plus belles réussites françaises et la plus grosse vente des séries non-anglaises sur iTunes. C'est aujourd'hui encore la première franchise du groupe Canal+.La série a atteint les 120 millions de CA, comment ? En s'exportant et en multipliant les produits dérivés par la force de la propriété intellectuelle.Le “cœur concept” se base sur un agent du département le plus secret de la DGSE qui tombe amoureux d'une femme sous sa faute identité.Le réalisme des épisodes va jusqu'à séduire le directeur de la CIA.Dans cet épisode, Alex décortique les clés qui ont fait le succès de cette série et de ses autres projets audiovisuels :Comment faire un lancement de série réussi : le PMDC (Promo, Marketing, Digital, Comm)Les secrets pour être aussi efficaces que les AméricainsL'histoire folle du Bureau des légendes avec la DGSE et l'importance du “cœur concept”Comment s'exporter aux US sans perdre son IP (propriété intellectuelle)La méthode pour utiliser la puissance du storytelling et de la technologieComment trouver des financementsTIMELINE:00:00:00 : Le producteur français le plus américain00:18:23 : Ne plus jamais rater ses lancements avec le PMDC : promo, marketing, digital et comm00:31:52 : Pourquoi les américains sont plus efficaces que nous00:44:17 : Partir de zéro : la méthode pour réussir en 202500:54:35 : Comment trouver les financements pour la production : titrisation et “Other people's money”01:12:15 : Vendre la série à l'étranger et faire un raz-de-marée01:22:13 : L'histoire folle du Bureau des légendes avec la DGSE01:40:29 : Quand une série prophétise la réalité (attentats et difficulté du métier d'espion)01:56:17 : Utiliser la puissance du storytelling et de la technologie02:13:19 : L'enjeu de la propriété intellectuelle et l'exportation du concept aux US (The Agency)02:36:30 : La Maison : la réalité derrière les grandes familles du luxe02:50:25 : "You are what you watch" : l'influence de la fictionLes anciens épisodes de GDIY mentionnés :#400 - Arthur - Pirate de la radio, bouffon de la télé, roi du PAF#422 - Inoxtag - Vidéaste - Casser YouTube et rebattre les cartes de l'audiovisuel#233 - Pierre-Antoine Capton - Mediawan - Culot, audace et ambition pour mettre l'audiovisuel à ses pieds#429 - Nicolas Dessaigne - Y Combinator - Le berceau des futurs géants de la tech#437 - James Dyson - Dyson - “Failure is more exciting than success”#320 - Michael Horvath - Strava - You are what you do every dayNous avons parlé de :Le Bureau des légendesTOP - The Originals GroupL'organisation de la production chez TOPFederation StudioLa Maison (série)Éric Rochand (réalisateur)Les Patriotes (film)Black Doves (série)The Agency (serie)Décret SMADThe West Wing : à la Maison-Blanche (série)Les recommandations de lecture : Power PatateTechnopolitiqueYou Are What You WatchLes MouettesVous pouvez contacter Alex sur Linkedin, Instagram, et Facebook.La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.