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Aujourd'hui, on plonge dans "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan", le dernier film de Ken Scott qui nous transporte dans les années 60. On y découvre l'histoire touchante de Roland aka Jonathan Cohen, né avec un pied-bot, et de sa mère Esther, incarnée par une Leïla Bekhti éblouissante, qui se bat contre vents et marées pour que son fils marche comme tout le monde. Le film oscille habilement entre comédie et drame, offrant une chronique virevoltante du Paris gouailleur de l'époque jusqu'à nos jours.Rejoignez-nous pour ce débrief chaleureux et passionné de "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan", le cinéma qui saura vous toucher en plein cœur (?) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Notre critique de la série "Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan" réalisé par Ken Scott avec Leïla Bekhti, Jonathan Cohen, Joséphine Japy. Abonnez-vous au podcast CINECAST sur la plateforme de votre choix : https://smartlink.ausha.co/cinecast --- Titre : Ma Mère, Dieu et Sylvie VartanSortie : 19 mars 2025Réalisé par Ken ScottAvec : Leïla Bekhti, Jonathan Cohen, Joséphine Japy. Synopsis : En 1963, Esther met au monde Roland, petit dernier d'une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l'empêche de se tenir debout. Contre l'avis de tous, elle promet à son fils qu'il marchera comme les autres et qu'il aura une vie fabuleuse. Dès lors, Esther n'aura de cesse de tout mettre en œuvre pour tenir cette promesse. À travers des décennies d'épreuves et de miracles de la vie, ce film est le récit d'une histoire vraie, drôle et bouleversante, celle d'un destin incroyable et du plus grand amour qui soit : celui d'une mère pour son enfant.#CINECASTHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans Culture Médias, Thomas Isle dresse le portrait sonore de l'invité. Ce mercredi, c'est Roland Perez et Leïla Bekhti, pour le film : "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" au cinéma ce mercredi. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Thomas Isle et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est le premier gros coup de cœur de Stéphane Boudsocq en ce début d'année 2025 : "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan", film réalisé par le québécois Ken Scott avec dans le rôle principal la comédienne Leïla Bekhti. Elle incarne Esther, maman juive très "maman juive", ultra protectrice envers Roland, son petit garçon né avec un pied-bot. Un handicap dont Esther veut et va faire un atout : elle en est certaine, Roland s'en sortira, il aura un destin exceptionnel, il rencontrera Sylvie Vartan que le fascine et dont les chansons rythment son enfance... Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Stéphane Boudsocq du 19 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Leila Bekhti est Esther, une mère de famille hors norme qui va réaliser un miracle. Elle jure à son petit dernier Roland, né avec un pied-bot, que le jour où il irait à l'école, il irait seul et en marchant. Et qu'il aurait une vie fabuleuse. Lui qui à 5 ans ne marche toujours pas. C'est tiré du livre du même nom « Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan », écrit par Roland Perez dont c'est la véritable histoire, Jonathan Cohen jouant son personnage à l'âge adulte dans le film qui sera en salle mercredi 19 mars. Le livre « Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan » est disponible depuis le 20 février aux éditions Les Escales.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Thomas Isle et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans Culture Médias, Thomas Isle dresse le portrait sonore de l'invité. Ce mercredi, c'est Roland Perez et Leïla Bekhti, pour le film : "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" au cinéma ce mercredi. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Par Rafael Wolf et Thomas Gerber. Blanche neige de Marc Webb, avec Rachel Zegler, Gal Gadot. Becoming Led Zeppelin documentaire de Bernard MacMahon. Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan de Ken Scott, avec Leïla Bekhti, Jonathan Cohen. Vermiglio ou La mariée des montagnes de Maura Delpero. Les conseils : Here – Les plus belles années de notre vie de Robert Zemeckis, avec Tom Hanks, Robin Wright, (aux cinémas des Grütli, les 19, 22 et 24 mars) Les négriers (1971) de Franco Prosperi et Gualtiero Jacopetti, (en DVD et BluRay)
Ils sont mère et fils dans le film « Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan » alors qu'on les imagine presque frère et soeur dans la vie tant Leïla Bekhti et Jonathan Cohen sont complices. Depuis leur rencontre il y a 13 ans sur le tournage de "main armée de Pierre Jolivet ils ne se quittent plus. "La flamme" et "le flambeau" Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Adapté dʹun roman autobiographique signé de lʹavocat et journaliste Roland Perez, " Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan " raconte lʹhistoire de Roland voué, par sa mère Esther, à un grand destin en dépit de son handicap de naissance et des pronostics médicaux. Cette histoire de famille et de relation mère-fils sur fond de passion pour Sylvie Vartan est portée par Leila Bekhti qui campe Esther au fil dʹun demi-siècle et par son ami et collègue comédien Jonathan Cohen qui incarne son fils Roland à lʹâge adulte, dans une réalisation du canadien Ken Scott. "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" à voir en salles romandes dès le 19 mars. Leïla Bekhti et Jonathan Cohen sont les invité.e.s dʹAnne Laure Gannac.
« Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan » est un film de Ken Scott. Leïla Bekhti interprète le rôle d'Esther qui attend un enfant. En 1963, celle-ci met au monde Roland, le petit dernier d'une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l'empêche de se tenir debout. Contre l'avis de tous, cette mère promet à son fils qu'il marchera comme les autres et qu'il aura une vie fabuleuse. Elle refuse qu'on le réduise à son handicap. Ce film est issu d'une histoire vraie, à la fois drôle et bouleversante. La fascination de la famille pour Sylvie Vartan apporte un vrai supplément d'âme. Photo : Copyright Marie-Camille Orlando - 2024 Gaumont - Egérie Productions – 9492-2663 Québec Inc. (filiale de Christal Films Productions Inc.) - Amazon MGM Studios
Julia Vignali présente le film 'Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan', qui retrace le parcours de Roland Pérez, un chroniqueur bien connu des auditeurs d'Europe 1. Né avec un pied bot, Roland a dû affronter de nombreux défis, mais sa mère, Esther, a toujours cru en lui et en sa capacité à mener une vie épanouie. Leïla Bekhti et Jonathan Cohen, qui incarnent respectivement Esther et Roland, nous livrent des témoignages touchants sur la genèse de ce projet. Ils expliquent avoir été profondément marqués par l'histoire de Roland, découverte à travers le scénario et le livre qui en est tiré. Leïla Bekhti revient notamment sur les défis techniques et émotionnels liés à l'interprétation d'un personnage vieillissant sur plusieurs décennies. Jonathan Cohen, quant à lui, se confie sur la manière dont cette histoire d'amour maternel l'a personnellement ému, faisant écho à sa propre relation avec sa mère.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Critic Perrine Quennesson takes us through the latest releases in the world of French cinema, with two family stories that transport us to convincing versions of France in the 1960s and 1990s. “My Mother, God, And Sylvie Vartan” tells the story of a devoted mother, played by Leïla Bekhti, who is prepared to move mountains for her son. Meanwhile “Queen Mom” charts an immigrant family's experience as they come up against stereotypes about North Africans and attempt to overcome the obstacles planted in their path; the film also offers a comical and fantastical take on one of the bogeymen of French history classes. A volcano on the brink of eruption in Guadeloupe distils social and political tensions in “Magma” and we discuss Thierry Frémaux's love letter to the Lumière brothers, as he documents the birth of cinema and its modern conventions.
A l'approche de la Cérémonie des César 2025, Beau geste vous propose de redécouvrir une série d'entretiens avec celles et ceux qui ont marqué cette année sur grand écran. C'est sans artifice que Tahar Rahim évoque avec Pierre Lescure la naissance de sa passion pour les salles obscures, son enfance devant Taxi Driver, sa rencontre avec Jacques Audiard... Un destin peu commun pour celui qui a été cette année un héros de Marvel et "Monsieur Aznavour".
Filmmaker Marco Calvani talks with Emmy Winner Charlotte Robinson host of OUTTAKE VOICES™ about “High Tide” his feature film debut that stars Marco Pigossi (Lourenço) as a Brazilian undocumented immigrant adrift Provincetown in the late summer. The film is about a young man coping after a break up & left adrift in Ptown with his travel visa running out. Lourenço then meets Maurice a Black American & a romance evolves. Though Maurice's comes with a circle of friends he's is also quite aware he's the minority in a predominantly white queer tourist mecca. Pigossi gives a haunting performance steeped in melancholy & raw pain but delivers moments of openness, optimism & joy with an affective portrait of the depths LGBTQ men experience seeking meaningful connections. As the summer season fades & with his unexpected romance with Maurice together the two reconcile the pasts they've left behind & pursue their uncertain futures. The film distributed by Strand Releasing premiered at South by Southwest & was released in NYC earlier this month followed by an expansion to Los Angeles & will begin a run at Waters Edge Cinema in Provincetown & Coolidge Corner Theater in Brookline, MA on Friday November 1st. The stellar cast also includes James Bland as Maurice, Marisa Tomei as Miriam, Bill Irwin as Scott, Sean Mahon as Bob, Mya Taylor as Crystal, Bryan Batt as Todd, Todd Flaherty as Leslie, Karl Gregory as BJ & João Santos as Dimo with a haunting score by Sebastian Plano. Marco Calvani is an Italian playwright, director, filmmaker, translator & actor. Trained as an actor since he was a teenager Calvani made his debut as a playwright in 2002 with Quasi commissioned by the European Social Forum. Prior to his first feature film High Tide which had its world premiere at SXSW in March 2024 he wrote & directed the short film The View from Up Here starring Melissa Leo & Leïla Bekhti based on his eponymous play originally commissioned by The Actors Studio & directed by Estelle Parsons. As of 2020 Marco is in a relationship with Brazilian actor Marco Pigossi. LISTEN: 600+ LGBTQ Chats @OUTTAKE VOICES
"Le sexe pour le sexe, ça ne m'intéresse absolument pas. Un nouveau corps pour moi, ce n'est pas simple, il me faut une vraie connexion. Je ne suis plus sur les applis de rencontres. Je me répare de mes histoires sentimentales qui m'ont fait du mal. L'amour romantique n'est plus du tout central pour moi. Pas d'envie, pas de besoin de retourner en couple. J'ai mes enfants, mes amis, mes passions, mon travail, un collectif syndical..."Ces mots de Valérie, fidèle auditrice de Single Jungle, également sur Instagram, devraient parler à beaucoup de célibataires. Prendre le temps de faire une pause, momentanée ou définitive des applis de rencontres (suite à une dating fatigue). Se réparer. Prendre du temps pour soi. Apprécier l'amour qu'on a déjà à foison dans notre vie, et qui n'est pas un amour romantique. Etre aidée, aidé, par des lectures, podcasts féministes. Et doucement peut-être s'ouvrir à une rencontre, à condition que la personne respecte nos valeurs. Et comme l'explique bien Valérie, un homme de son âge ou plus, qui est bien au clair avec les principes de consentement, c'est peu courant. Stats à l'appui, avec la dernière étude Elle / Opinion Way, attention les chiffres sont choquants. https://www.elle.fr/Societe/News/Sondage-exclusif-ELLE-les-hommes-et-le-consentement-4275027[voir ma story épinglée "consentement" sur Instagram : https://www.instagram.com/stories/highlights/18069625135542439/]Bonne écoute ! Si vous voulez soutenir Single Jungle, avec un don en une seule fois, j'ai ouvert un Tipeee : https://fr.tipeee.com/single-jungle. J'ai suivi le conseil d'auditrices et d'auditeurs qui ont proposé de participer à la hauteur de leurs moyens, ponctuellement, aux frais des épisodes (prise de son/montage et hébergement). Merci aux premières personnes qui ont participé ! Références citées dans l'épisodes ou en bonus ou recommandées par l'invitée :Podcasts Un podcast à soi par Charlotte Bienaimé https://www.arteradio.com/emission/un_podcast_soi/1092 Les couilles sur la table par Victoire Tuaillon https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table Le cœur sur la table https://www.binge.audio/podcast/le-coeur-sur-la-table Les ex de François par Judith Duportail https://www.binge.audio/podcast/le-coeur-sur-la-table/les-ex-de-francois-par-judith-duportail Le chagrin d'amour par Olympe de Gé https://podcasts.apple.com/fr/podcast/chagrin-damour-par-olympe-de-g%C3%AA/id1711042706 Qu'est ce qui pourrait sauver l'amour, LSD, France Culture par Ovidie et Tancrède Ramonet https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/serie-qu-est-ce-qui-pourrait-sauver-l-amour-ovidie Avoir raison avec Monique Wittig https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/serie-avoir-raison-avec-monique-wittig Lectures La chair est triste hélas, par Ovidie (à retrouver dans l'épisode 68 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-68-ovidie-et-tancrede-ramonet-nous-sommes-plus-quamis-et-moins-quamants-nous-creons-ensemble-point) Vieille fille par Marie Kock (ép.44 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-44-marie-kock-autrice-de-vieille-fille-une-proposition-celibataire-et-heureuse) King kong Théorie par Virginie Despentes (tout Despentes !) À propos d'amour par bell hooks (l'autrice tient aux minuscules au lieu de majuscules) Post Romantique par Aline Laurent-Mayard (ép.81 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-81-aline-laurent-mayard-post-romantique-sortir-de-linjonction-a-etre-en-couple Ne plus tomber en Amour par Majé (ép.91 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-91-maje-ne-plus-tomber-en-amour-la-relation-amoureuse-nous-fragilise) Sortir de l'hétérosexualité par Juliet Drouar Fragments (roman graphique) par Anaïs Schenké Féminin par Claire Touzard L'amie prodigieuse par Elena Ferrante Au-delà de la pénétration par Martin Page Une voix différente, pour une éthique du care par Carol Dilligan https://www.babelio.com/livres/Gilligan-Une-voix-differente--Pour-une-ethique-du-care/172334 La conversation des sexes : Philosophie du consentement, par Manon Garcia https://editions.flammarion.com/la-conversation-des-sexes/9782080242365 Ce que le féminisme m'a fait de Giulia Foïs https://editions.flammarion.com/ce-que-le-feminisme-ma-fait/9782080435231 Les sentiments du Prince Charles, par Liv Strömquist https://www.babelio.com/livres/Strmquist-Les-sentiments-du-prince-Charles/435711 Ressources utiles En cas de schémas répétitifs (rencontres non satisfaisantes, estime de soi défaillante...) : Self Love Project / Claudia Colombani https://www.instagram.com/selfloveprojectfr/ également disponible en livre : https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782416011139-je-reprends-le-pouvoir-sur-ma-vie-amoureuse-se-reconnecter-a-soi-pour-dire-stop-aux-relations-chaotiques-et-rencontrer-enfin-la-bonne-personne-claudia-colombani/ en podcast : https://podcast.ausha.co/selfloveproject-lepodcast et invitée dans l'épisode 82 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-82-claudia-colombani-self-love-project-se-reconnecter-a-soi-pour-dire-stop-aux-relations-chaotiques extrait du documentaire d'Ovidie "Qu'est-ce qui pourrait sauver l'amour" sur France cultur, avec l'itw de Michel Bozon, sociologue à l'INED, qui confirme l'attrait des hommes (cis hétéros) de plus de 50 ans pour les femmes plus jeunes : https://www.instagram.com/p/Co4rBsoDdd2/Toutefois rassurons-nous mesdames, statistiquement, il est faux de dire que TOUS les hommes (cis hétéros) de plus de 50 ans célibataires ne recherchent que des femmes plus jeunes qu'eux. On en parlait avec Catherine Grangeard, psy et autrice, dans l'épisode 10 https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-10-foutez-nous-la-paix-avec-notre-corps-avec-catherine-grangeard-psy-et-autrice Naya Ali (@misundergirl sur Instagram), autrice, féministe, recommande une question simple pour faire le tri lorsqu'on discute avec un homme hétéro (ou LGBTQIA+) : "Que penses-tu du féminisme ?". Vous allez voir, c'est très efficace. Livre de Francis Dupuis-Déri "Les hommes et le féminisme : faux-amis, poseurs ou alliés" https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782845979789-les-hommes-et-le-feminisme-faux-amis-poseurs-ou-allies-francis-dupuis-deri/ à retrouver dans l'ép.75 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-75-francis-dupuis-deri-les-hommes-et-le-feminisme-faux-amis-poseurs-ou-allies justice restaurative ou restauratrice Film "Je verrai toujours vos visages" de Jeanne Henry https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=299938.html avec Miou Miou, Gilles Lellouche, Leïla Bekhti, Fred Testot, Adèle Exarchopoulos, Raphaël Quenard, Elodie Bouchez, Jean-Pierre Daroussin, Dali Benssalah, Birane Ba, Suliane Brahim article de Laurène Daycard (collectif Les journalopes) pour Le Monde https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2024/02/23/la-justice-restaurative-un-lieu-de-dialogue-entre-des-auteurs-et-des-victimes-de-violences-conjugales_6218176_4500055.html AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez une dépense inutile. Episode enregistré en mai 2024, à Paris, chez Isabelle, merci à elle (et à son chat) pour son hospitalitéPrise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Nouveau générique ! Vous l'avez reconnu ? C'est le générique de la série mythique des années 90 "Code Quantum" avec Scott Bakula
Aujourd'hui, j'accueille Florence Servan-Schreiber, pour un épisode qui je l'espère, va vous faire kiffer !Avec ses livres “3 kifs par jour” ou “Power patate” et plein d'autres activités dont on va parler ensemble dans cet épisode, Florence a fait du bonheur son terrain d'expérimentation.A l'occasion de la Semaine de la Santé Mentale, nous allons voir de ce qui se cache derrière ces moments de bonheur. Parce que parfois, avant d'en arriver aux kiffs, il y a aussi des tempêtes à traverser. Nous allons découvrir son parcours entre son exil forcé en Californie à 19 ans, sa découverte de la psychologie transpersonnelle et son parcours en entreprise. Un parcours atypique qui n'a qu'un seul moteur : l'envie de défricher, de découvrir le nouveau - même en psychologie - et de le transmettre.Bienvenue dans un épisode à la fois lumineux, inspirant et intimiste.Aujourd'hui, avec Florence, nous allons parler de l'art de se faire un prénom, de ridologie (et ce n'est peut-être pas ce que vous pensez!) et de cultiver la fantaisie au quotidien.Quelques notes sur l'épisode :Le site de Florence : www.florenceservanschreiber.comLivre : “Mange Prie Aime” de Elizabeth GilbertRituel : méditer dès le réveil au litRETRANSCRIPTION DE L'EPISODE AVEC FLORENCE SERVAN-SCHREIBER00:02:14 Bonjour Florence, merci de me recevoir chez vous à Paris. Bonjour tout le monde. Merci d'être là dans La Petite Voix. J'ai souhaité vous rencontrer pour une occasion particulière, puisque c'est la semaine de la santé mentale, et il me sembla que vous étiez la parfaite interlocutrice pour en parler. Je vous explique un peu ma démarche. En fait, pour moi, vous avez deux casquettes qui sont intéressantes par rapport à ce sujet-là. C'est que d'un côté, vous avez une formation en psychologie transpersonnelle, en PNL, en psychologie positive, donc quelque chose pour moi. D'académique, mais en même temps, et c'est ce que j'aime chez vous, et c'est pour ça que je vous suis, c'est que vous avez une approche très décomplexante par rapport à ça. Plutôt fun, puisque vous êtes la mère des trois kiffes par jour, du power patate.00:02:56 Et donc, vous savez, nous amener ces sujets-là de santé mentale de manière assez fun. Donc voilà, voilà pourquoi je suis contente de vous recevoir aujourd'hui. Du coup, je suis obligée de commencer par cette question-là. Florence, c'était quoi votre dernier kiff ? Mon dernier kiff, quelque chose pour lequel je me souviens, j'ai ressenti beaucoup de choses, c'est la sortie d'une série qui s'appelle La Maison sur Apple TV+, qui a été produite par mon mari. Il y a des kiffes transitifs, c'est-à-dire que quelqu'un peut vivre quelque chose, et ça nous fait de l'effet, ça m'a fait beaucoup d'effet pour lui, pour tous ces gens qui ont travaillé là-dessus. J'aime la création, j'aime cet homme aussi, je vois la difficulté qu'il a traversée. J'éprouve beaucoup de gratitude parce que la série, le produit est magnifique, donc ça m'épathe.00:03:42 Ah, c'est beau. On va parler de vous, Florence, et de votre parcours. J'ai lu qu'à seulement 19 ans, vous avez eu envie de partir. Il y a deux choses intéressantes. Non seulement vous êtes partie en Californie, mais pour y faire des études de psychologie. Pourquoi ces deux choix-là ? Vous voulez la vérité ? S'il vous plaît, on est là entre nous. J'ai été exilée par mes parents. J'étais une adolescente bien trop turbulente et tourmentée, il n'en pouvait plus. Donc ils ont décidé de m'expédier en Californie. Je suis partie pour faire des études de cinéma, parce que ça, ça m'intéressait, ça avait l'air vivant, c'était un métier debout, c'était de l'image de la création. Et arrivée en Californie, je suis tombée sur et dans tout le mouvement du développement personnel, de la connaissance de soi, de ce vocabulaire qu'ont les Californiens pour décrire ce qui se passe à l'intérieur d'eux, décrire ce qui se passe autour d'eux.00:04:38 Et c'était en fait l'univers qui m'attendait. C'est-à-dire que c'est ça dont j'avais besoin probablement à titre personnel. J'ai trouvé ça fantastique, et étant une adolescente tourmentée, parce que c'est ce que j'étais, de me dire : 'Ah, mais en fait, ça peut s'arranger.' Et si seulement j'avais su ça plus tôt. Voilà, et c'est comme ça que j'ai changé complètement la direction de mes études, et que depuis, je me consacre à ça. Donc le départ était un peu forcé, mais finalement, c'était un cadeau que vos parents vous ont fait. Le départ était accidentel. Si on regarde, beaucoup de nos départs sont accidentels. Enfin, on tombe sur des gens, on croise des choses. Je suis persuadée que nous avons toutes et tous un radar, qui est notre radar, et qui va fonctionner où que l'on nous mette.00:05:26 Je suis obligée de revenir sur ce moment où vous me dites que vous étiez une adolescente tourmentée. Qu'est-ce qui tourmentait l'adolescente que vous étiez ? Absolument tout. La définition de moi-même, la séparation de mes parents, les exigences familiales, la difficulté à savoir ce que je voulais faire dans la vie, comment on se fait des petits copains, tout, je ne sais pas. L'adolescence ? La vie, les études, mon Dieu, les études. Vraiment, je n'aimais pas l'école. Passer son bac, ce n'est pas facile. C'est un moment vraiment de mue qui est plein de problèmes. Et vous soulignez aussi un point, vous le survolez, mais j'imagine que ça faisait partie des sujets. Vous venez d'une illustre famille. Et avec un nom très beau, mais peut-être parfois difficile à porter quand on est cette adolescente et qu'il faut prendre la relève de votre père, de vos oncles, de vos tantes.00:06:18 Vous savez, c'est comme si vous dites à un poisson « Mais comment tu fais pour nager dans l'eau ? » Le poisson, il vit dans l'eau. Mais si vous voulez savoir, en effet, dans une famille comme la mienne, l'enjeu est plutôt de maintenir son prénom. Donc, ça a des avantages et ça a des inconvénients. Bien sûr. Au collège, c'est horrible. C'est horrible quand tout le monde connaît votre nom parce qu'il y a tout le monde se moque de vous pour des raisons complètement extérieures à vous-même. Et puis ensuite, si je prends, comme j'ai depuis écrit des livres, c'est vrai que dans ma famille, c'est pas tant « Est-ce que tu vas écrire un livre ? » mais c'est « Sur quoi vas-tu écrire un livre ? ». C'est ça.00:06:57 Mais chez les cordonniers, ce sera les réparations de chaussures. Donc, il y a des avantages et des inconvénients, mais absolument comme dans toutes les familles, sauf que ça se voit un petit peu de l'extérieur. Il faut se faire un prénom, en fait, puisque le nom est déjà bien installé. Il ne faut rien, mais c'est le job possible. Donc, c'est ce que vous avez commencé à faire à 19 ans en Californie. Soudain, le fonctionnement de l'être humain, j'ai trouvé ça incroyable. J'ai trouvé passionnant de voir comment un enfant devient un adolescent, devient un adulte, comment on meurt. Parce que j'ai fait des études de psychologie transpersonnelle. Donc, on alliait de la spiritualité, avec la psychologie clinique. Donc, on traitait absolument de tous les sujets, de deuil, de la mort.00:07:45 Ce n'était vraiment pas très classique. Je ne me destinais pas non plus à être thérapeute, mais je suis intéressée, je reste profondément, profondément intéressée par nos mécanismes. Combien de temps ont duré ces études en Californie ? Ça dure quatre ans ? Non, vraiment, la chance a voulu que, en effet, je rencontre tout ça. Et puis, c'est un moment, c'est un endroit du monde qui m'inspire profondément. Nous y avons vécu en famille lorsque j'avais sept ans. Et je crois qu'il y a quelque chose. Donc, j'éprouve là-bas une liberté que je ne ressens pas ici. Et donc, quand je l'ai retrouvé en partant faire ces études, par ailleurs, il y avait aussi cet univers totalement contemporain de la psychologie. Et c'est ça qui m'a plu.00:08:30 J'ai une bêtise si je dis que c'est tout le mouvement Palo Alto qui vient de Californie ? Alors, Palo Alto, c'était plutôt dans les années 60. Mais en effet, vous parliez de Palo Alto, de PNL tout à l'heure. Je me suis formée à la PNL à Palo Alto en étant l'esclave d'une femme qui s'appelait Ginny Laborde et qui était formatrice en PNL, qui elle-même avait été formée par Grinder, John Grinder, qui était le fondateur, l'inventeur et Bandler, qui étaient les deux fondateurs de la PNL. Donc, oui, c'est géographiquement à Palo Alto. Mais l'école de Palo Alto, c'est quelque chose de très précis que j'ai plutôt appris à l'université. C'est vraiment comme un creuset là-bas. Et il y a encore, j'en reviens, j'y étais cet été, il y a encore cet esprit très particulier.00:09:19 C'est comme si on s'occupait de son âme, en fait. Donc, il y a quand même effectivement cette dimension très spirituelle à laquelle on est peu habitué en psychologie classique, j'ai envie de dire. Spirituelle et pragmatique. Joli mariage. Les Américains sont très pragmatiques. C'est pour ça qu'ils parlent beaucoup plus facilement de leurs mécaniques intérieures et de leurs émotions que nous ne savons le faire dans notre culture qui est très tenue, et j'appartiens à cette culture très tenue. Donc, quand je vais là-bas, ça me permet d'ouvrir des petits portillons qui font que l'air est plus chaud et que ça passe mieux. Il y a comme une partie de vous qui vit là-bas. C'est ce que j'entends, la manière dont vous l'abordez. Il y a absolument une partie de moi qui se définit là-bas.00:10:02 Tout à fait. De toute façon, je suis plein de gens à l'intérieur de moi. Mais la flow californienne, clairement, est très, très présente chez moi. Et là, malgré tout, je reviens à vos études. Au terme des quatre années d'études, vous avez votre diplôme en psychologie transpersonnelle. La PNL, c'est à la même époque, je crois ? Oui, parce que pendant mes études, je travaille pour Ginny Laborde. Donc, si on résume l'affaire, quand même, peu de ce dont je me sers dans ma vie professionnelle a été appris à l'école. C'est sur le terrain, c'est dans cette expérience avec Ginny Laborde que j'ai vraiment fait l'expérience de la PNL. Que j'ai fait l'expérience de la formation, que j'ai découvert ce plaisir énorme que j'ai à transmettre les choses et à manier des pédagogies.00:10:46 Personne ne m'a appris ça à l'école ou à l'université. Première question, pourquoi vous faites le choix de rentrer en France au bout des quatre années ? Parce que j'avais un petit copain à Paris. Ah, c'est une excellente raison. Donc, vous rentrez et là, vous ne faites pas le choix de vous lancer comme thérapeute. Pas du tout. Quand je rentre à Paris, la PNL n'existe quasiment pas et donc je commence par créer des premiers séminaires de PNL pour un institut de formation et puis, en fait, être thérapeute, pour moi, n'est pas du tout une valeur ajoutée que je peux apporter. Pour plein de raisons, je mémorise très, très mal les choses. Donc, l'idée de ne pas me souvenir du nom du chat ou de la sœur ou de la mère d'un patient, ça me terrifie avant même d'avoir commencé.00:11:34 Et l'autre chose, c'est que je sais maintenant que j'ai un trouble de l'attention assez manifeste et ça demande beaucoup d'attention et ça demande beaucoup de présence physique. C'est-à-dire que pour moi, il y a deux métiers qui sont vraiment géographiques. C'est tenir une boutique et être thérapeute. On est dans le même endroit et ça ne m'est pas accessible parce que j'ai trop la bougeotte. D'ailleurs, je trouve que ça vous définit bien cette notion de bougeotte parce que quand j'ai voulu préparer notre entretien, j'ai l'impression qu'il n'y a pas d'étiquette. On ne peut pas vous mettre d'étiquette. Donc, on le voit dans votre parcours. Vous faites ces études-là en psychologie, mais finalement, assez vite, vous allez être très présente dans le monde de l'entreprise. Alors, comme vous l'expliquez à travers de la transmission, de la PNL, etc.00:12:19 Mais vous êtes aussi beaucoup dans ce monde-là de l'entreprise. Je fais vraiment mes premières armes professionnelles en travaillant avec les auteurs d'un livre. Tout ça, c'était dans les années 80. Les années 80, c'était La Gagne, c'était Bernard Tapie, etc. Donc, c'est à ce moment-là que je suis rentrée en France. Je travaillais sur, je faisais de la formation à la qualité de service, c'est-à-dire que c'est vraiment le moment où Darty a développé son service après-vente. Enfin, toutes les marques commençaient à parler de ça. Et donc, nous faisions pareil, mes associés rentraient également des États-Unis. Donc, nous étions empreints de cette culture du client dont on s'occupe. Et c'était assez nouveau dans la fin des années 80. Et donc, j'ai fait ça et j'ai fait ça pendant une petite dizaine d'années.00:13:00 Donc, je connais très, très, très bien le monde de l'entreprise. Vous étiez heureuse dans ce monde de l'entreprise, justement. Oui, parce que j'enseignais un sujet qui était nouveau. Ce que je retrouve, cette image de la Californie, en fait, me va très bien parce que c'est le Far West. Et je n'aime que le Far West, c'est-à-dire que je n'aime que les idées qui ne sont pas encore complètement intégrées, parce que je les débusque, parce qu'elles m'intéressent, parce qu'elles me plaisent. Et comme je suis assez joyeux, les bons tuyaux, si j'ai découvert quelque chose, je vais vous dire. Mais est-ce que tu sais que et toute mon histoire, franchement, si je regarde maintenant, parce que maintenant, je peux regarder derrière, j'ai passé suffisamment de temps à vivre pour voir que c'est vraiment le moteur de tout ce que je fais.00:13:48 C'est... Et trois petits points... À ce moment-là, je vais vous raconter la dernière chose que j'ai apprise. Donc, je passe mon temps à aller apprendre des choses pour pouvoir vous dire, est-ce que tu sais que ? Et puis, et c'est comme ça que je partage ça. C'est ça, parce que du coup, il y a la notion d'innovation. Effectivement, que je m'étais noté à essayer de défricher, en fait, des nouveaux terrains. Mais derrière ça, vous avez ce besoin de transmettre, en fait. Une fois que j'ai découvert quelque chose, c'est en effet le premier réflexe qui me vient. Je ne sais pas si vous avez vu que dans un moment, dans ma vie professionnelle, j'ai été ridologue. Alors, ridologue, c'est non pas spécialiste des rides, mais spécialiste des rideaux.00:14:28 J'ai dû apprendre à faire des rideaux parce que je m'installais et que j'avais des fenêtres sans rideaux et qu'on n'arrivait pas à dormir. Donc, je suis allée apprendre à faire des rideaux. C'était dans un moment professionnel de burn-out total. C'est juste après cette période de qualité de service. Vous l'avez terminé sur un burn-out ? Je l'ai terminé sur un burn-out, un baby blues et un deuxième enfant. Ça commence à faire beaucoup, pour la même personne. C'était concomitant. C'était l'enfant de ma fille, qui est mon deuxième enfant. Je me suis rendu compte qu'elle était une fille, je ne savais pas quelle valeur féminine j'allais pouvoir lui transmettre. Donc, votre aîné était un garçon. Oui, c'était OK. La question, la question ne s'est pas posée. J'étais alors là, la naissance d'Arthur a rebattu énormément de cartes.00:15:18 J'en ai même fait un livre qui s'appelle Avant, je n'étais que moi parce qu'il n'y a pas plus grand séisme dans la définition de qui on est, de comment on fait. Il n'y a rien de plus grand que ça. Donc ça, c'est Arthur. Arthur a ouvert la voie. C'est comme le pisteur avec ses explosifs. Il fait exploser le truc. L'aventure se déclenche, mais je continue comme ça à travailler. Et puis, quand enceinte de Pénélope, quand même, mine de rien, la maternité d'Arthur a ébréché énormément de choses chez moi. Et c'est au moment où je suis enceinte de Pénélope que je commence à paniquer. Jusqu'à là, j'ai essayé de tenir le truc à peu près. Et surtout, vraiment avec cette histoire, il y a vraiment cette sorte de féminité, d'identité féminine qui était importante à ce moment-là.00:16:03 Pour moi, je travaillais avec des mecs dans cet univers de l'entreprise extrêmement masculin. Mes parents m'ont élevée de façon féministe. En me disant les garçons et les filles, c'est pareil. Et puis, quand même, avec mon Arthur et puis bientôt ma Pénélope. Non, les garçons et les filles, c'est pas pareil. Et je ne savais pas dire en quoi ce n'était pas pareil, mais je voyais bien que ce n'était pas pareil. Et j'avais besoin de comprendre. Enfin, je ne savais pas. Bref, de toute façon, je ne comprenais rien. J'étais au plus mal et j'étais au fond du seau. On appelle ça des burn-out, mais à cette époque-là, ça s'appelait encore une dépression. C'est ça. D'accord, une gentille dépression et que je soigne et donc que je soigne par des médicaments, par des thérapies, enfin par tout ce type de thérapie.00:16:42 Vous avez une psychothérapie très classique. Et à partir de là, c'est là qu'arrivent les rideaux. Puisque j'ai besoin de rideaux, j'apprends à faire des rideaux et je suis totalement emballée par ce que je viens d'apprendre, mais totalement. Et en fait, j'ai plein d'idées que je ne vois pas dans le commerce. En fait, des têtes de rideaux, des formes de rideaux, des compositions de rideaux. Assez rapidement, je deviens rideologue, c'est-à-dire que j'organise des ateliers chez moi où les gens viennent fabriquer leur paire de rideaux. Donc, on arrive le samedi matin, j'ai des rouleaux de tissu et j'avais une batterie comme ça de machine à coudre et on repartait le dimanche soir avec sa paire de rideaux. Et en fait, ce qu'on venait faire là, c'était ce truc, cette phrase que j'adore, que j'adore, que j'adore, qui est c'est moi qui l'ai fait.00:17:32 Et donc, sous couvert de faire un rideau, il y avait quelque chose, c'était un travail manuel, collectif, sympathique. On faisait ça ensemble. Et surtout, ça provoque de la fierté, ça provoque de la surprise. Ça, c'était en fait un atelier de développement personnel. Oui, voilà, j'allais y venir. Qui passait par un loisir créatif. C'est ça, la réideologie. Vous êtes sorti de cette dépression et de ce burn-out à l'époque. OK. Sauf que vous n'avez pas cru. Plus que ça, puisque vous êtes reparti en entreprise. Ah non, ça a duré. C'est quand même une affaire qui a duré six ans. Ah pardon, OK. Non, non, c'était une vraie, une vraie phase dans ma vie. Mais ce qui s'est passé pendant ce temps-là, c'est que tout ça m'a amené à 1999 où est arrivé Internet.00:18:21 Et pour quelqu'un comme moi, c'est irrésistible, évidemment. Et d'abord avoir d'ailleurs travaillé avec ces rideaux, de réfléchir en deux dimensions, etc., j'avais quand même besoin au bout de toutes ces années de retrouver un métier un peu plus intellectuel parce que j'avais complètement basculé dans un travail manuel. Et quand aujourd'hui je me dis j'avais une quête de ma féminité, ce n'était pas ma féminité que je cherchais tant que ma frivolité. Et j'avais besoin d'exprimer ma fantaisie dans mes histoires de qualité de service. Alors, c'est quand même moi qui arrivais, mais je me déguisais encore. J'avais des tailleurs. J'étais habillée comme on était habillé dans les années 80 pour aller dans les entreprises. J'avais besoin de libérer tout ça. Je vis dans un monde intérieur qui est extrêmement coloré et j'ai appris à le libérer.00:19:16 Chaque décennie m'a permis de libérer un peu plus encore ce monde intérieur. C'est beau, mais par contre, vous le dites, l'appel irrésistible de ce phénomène qui était génial à vivre à la fin des années 90, c'est Internet. C'était surtout ce qu'on peut faire avec Internet. Je suis néophile. Les nouveautés me plaisent. Je suis née dans les années 60. C'était une décennie de nouveautés absolues. La décennie où on a marché sur la Lune, on a été réveillé enfant. J'ai vu ce moment-là, donc je pense que c'est un fusée aussi. Donc, quand Internet est arrivé, je n'ai pas pu résister. Et puis, surtout, c'était un moment où on pouvait se déclarer absolument n'importe quoi. Et ça, c'est ma spécialité. Donc, quand on m'a demandé, parce que tout le monde voulait créer des sites Internet et personne n'a été formé puisque personne n'y avait travaillé.00:20:07 Donc, on m'a dit, on m'a demandé : est-ce que tu peux être rédactrice en chef d'un site Internet ? J'ai dit absolument. Je n'avais pas la moindre idée de ce que j'était en train de faire, mais les gens avec lesquels je travaillais non plus. Alors, c'est un site qui est né et puis qui est mort assez rapidement parce que c'était pas du tout au niveau. Mais c'était ce moment-là, c'était ce moment d'effervescence. C'était cette espèce de ruée vers l'aube. On prenait son seau et puis on partait, on faisait son trou. Et vraiment, voilà, il n'y avait pas de loi. Il n'y avait pas encore de spécialistes. Il y avait du culot, il y avait de la créativité. Il y avait des rencontres, il y avait de l'argent qui coulait à flot parce que tout le monde voulait prendre un bout de ça.00:20:47 Donc, si on croisait quelqu'un qui disait oui, moi, je veux bien essayer. Et vous étiez quoi ? Consultante ? Oui, on venait pour le contenu parce que ce que je sais faire, c'est raconter des histoires ou concevoir des expériences. Comme je n'étais pas technique, je ne savais pas développer. Ça, ce n'est pas la partie qui m'intéressait, donc c'est évidemment la partie visible, les maquettes. Quel aspect ça a ? Donc, j'ai totalement inventé de nouveau un peu de ça. Il y a quand même chez moi quelque chose de l'ordre de l'autodidacte. Comme je vous ai dit, je n'ai pas appris grand chose à l'école. Donc, ce que j'apprends, je suis en immersion permanente. J'ai trouvé le terme cet été en Californie. C'est du full body experience.00:21:30 C'est-à-dire que tout ce que je fais, tout ce que je cuisine, tout ce que je découvre, ce n'est pas tant ce que je lis, c'est ce que je fais, ce que je vis, là où je vais, etc. va me donner une information dont je vais me servir. Il y a vraiment cette notion d'action qui vous habite complètement. Et on l'entend dans votre parcours. Mais cette aventure du digital, elle va durer un petit moment, si je ne dis pas de bêtises. Mais oui, ça dure une bonne dizaine d'années. Puis, il se passe ce qui se passe à peu près toujours dans mes expériences professionnelles. C'est que un jour, les spécialistes arrivent. Et quand les spécialistes arrivent, il se passe deux choses. Mon système devient totalement obsolète parce que ça ne m'intéresse pas de me mettre à niveau.00:22:13 Je ne me mets pas à niveau d'un jeune diplômé d'HEC qui sort avec une spécialité en digital. Jamais de la vie. Mais non, oui, vous n'êtes pas du tout sur le même terrain. Oui, ils arrivent comme un troupeau galopant. Et Internet aussi a beaucoup évolué. Donc, il y a maintenant des codes et dans ces cas-là, ce n'est plus ma place. Je flaire quelque chose. Je n'ai pas flairé Internet. Tout le monde s'en est rendu compte. C'est comme si je flairais l'odeur du pain qui cuit avant qu'il soit complètement cuit. C'est ça. Et c'est ça qui me réveille. Et ça vous a porté pendant dix ans. Vous avez notamment été rédactrice en chef pour Psychologie Magazine. Alors, j'étais chargée des innovations, très exactement. Des innovations du digital de Psychologie Magazine.00:22:56 Il y avait une rédactrice en chef, il y avait une équipe en place. Mais moi, j'étais chargée de créer d'autres sites Internet et de réfléchir à comment utiliser l'interactivité, même à l'intérieur de ces sites, pour la connaissance de soi. Donc, dix années. On entend ce qui va faire que vous allez tourner cette page-là. Je l'ai tournée. Il faut savoir que les pages se tournent violemment. J'ai pris vraiment en pleine face le fait que je n'étais plus du tout au niveau, que les organisations étaient différentes, que ça ne m'intéressait pas, que je ne les intéressais pas. Enfin, c'était. Tout un mélange. La psychologie a été vendue à un grand groupe. Et j'ai dit à ce grand groupe : ce n'est pas la peine de me licencier immédiatement, parce que je ne veux pas faire d'Internet chez vous.00:23:36 Et là, je me suis posé la question du développement durable en me disant : peut-être je peux maintenant réfléchir à des choses plus collectives. Me voilà repartie en Californie pour apprendre le développement durable, puisqu'il y a des universités à San Francisco qui sont entièrement consacrées à ça. Pardon, je me permets de vous interrompre pour remettre dans le contexte. On est au début des années 2010, si je n'ai pas de bêtises. Non, c'est en 2005. Ah oui, donc on parlait très peu de ces sujets-là. Là encore, vous aviez senti le pain chaud. On commençait à parler du RSE, du RSE. On parlait un peu de l'obligation qu'auraient les entreprises à l'avenir. C'est ça, mais à l'époque, ça nous paraissait encore très lointain.00:24:15 Ah oui, non seulement c'était lointain, mais en tout cas, l'entreprise pour laquelle je travaillais n'en avait absolument rien à faire. C'est ça qui était génial. Donc, bref, je pars, je vais apprendre ça et je leur dis : Laissez-moi réfléchir à la responsabilité sociale et environnementale d'un groupe de presse, parce que c'est intéressant quand même. Et puis, alors là, ça a été le fiasco total pour plein de raisons. D'abord, aller travailler dans une très grosse boîte, c'était la première fois de ma vie et la seule. Ça, ça n'est pas mon équation ni mon biotope du tout. Ce n'était pas un endroit pour moi. Et puis surtout, ça ne les intéressait pas. Et en plus de ça, ça nous a mené jusqu'en 2008, où il y a eu une crise économique très importante.00:24:54 Et les premiers budgets, les premiers budgets qui sautent dans ces cas-là sont des budgets de publicité. Les groupes de presse vivent de la publicité. Donc, ils ont perdu 75% de leurs recettes en un trimestre. Donc, le développement durable, c'est peu de dire que ce n'était pas du tout leur délire. Au fond du tiroir, oui, bien sûr. Et donc, mon emploi me quitte. Donc, de nouveau, recrise, parce que me voilà au chômage. Et puis, à chaque fois, l'inconvénient de mon système de fonctionnement, c'est que pour m'emballer pour quelque chose, il faut d'abord que je rencontre quelque chose. Et oui, c'est ça. Et donc, il n'y a rien à se mettre sur le plan. Qu'est-ce qu'il y a là-dedans ? Il y a des plages de recherche et de désespoir. De dépression encore ?00:25:32 On se dit, je ne sais pas si c'est de la dépression, mais c'est énormément d'angoisse. C'est comme quand on attend de tomber amoureux. On ne sait pas, on ne peut pas savoir. Donc, on se dit, mais c'est quand ? C'est dans 35 ans ou c'est dans deux semaines ? Ou est-ce que c'est au coin de la rue ? On ne sait pas. Donc, ça me met comme ça dans des moments de recherche. Mais alors que je m'ennuyais ferme dans ce job précédent, où franchement, je faisais très peu de choses utiles, je m'étais inscrite au cours de psychologie positive. Donc, le premier cours qui était proposé en ligne par Tom Benchard, par l'intermédiaire de l'Université de Pennsylvanie. Donc, je faisais ça entre deux. Je faisais ça à mon bureau, ça ne se voyait pas.00:26:11 Et puis, tout à coup, n'étant plus tenue d'aller au bureau, j'ai eu plus de temps pour pouvoir m'y consacrer. Et je m'y suis engouffrée. C'était passionnant. C'était vivant. J'étais le sujet. C'était le sujet d'études, puisque les devoirs que nous avons à faire en psychologie positive, comme il ne s'agit pas d'une pathologie, de traiter quoi que ce soit comme pathologie, c'est simplement la vie à laquelle on s'adresse. Donc, nous étions nos propres cobayes. Et c'était les devoirs qui étaient exigés de nous. Je ne sais plus combien on était, 500, je crois, dans ce cours, dans le monde entier. Et c'est comme ça que j'ai rencontré tout ça. Et c'est à la suite de ça, toujours au chômage d'ailleurs, que j'ai eu envie de raconter.00:26:52 J'ai trouvé ça tellement chouette que j'ai eu envie de raconter ce que j'avais appris et ce que ça m'avait permis d'appliquer ou de comprendre. Et c'est comme ça que j'ai écrit 'Trois kiffes par jour'. Donc, là, en fait, quand vous l'écrivez, évidemment, vous n'imaginez pas la résonance que ça va avoir et la bascule que vous allez faire. D'autant que pendant ce temps-là, Hachette m'avait offert un bilan de compétences. Alors, j'ai passé des heures et des heures et des heures avec une dame. Et à la fin de tous les jours, de tous les bilans, d'avoir fait des listes, d'interroger des gens, etc. Elle me dit « Écoutez, Flan, ça va être un peu plus long avec vous. Il va falloir revenir ». Et donc, j'ai dit « Non, mais ça suffit maintenant ».00:27:35 Mais elle m'avait quand même dit, je l'ai retrouvé il n'y a pas très longtemps, ce bilan de compétences. Et elle avait dit quelque chose d'extraordinairement juste. Elle avait dit qu'il fallait que je trouve un sujet différent de ce que j'avais vécu jusqu'à présent pour le présenter à l'extérieur, et inventer les outils qui permettaient de le transmettre. Et quand j'ai lu cette phrase, je me suis dit « Ça ne veut rien dire. » J'avais l'impression de lire l'horoscope. C'était tellement abstrait. C'est quand même exactement ce que j'ai fait. Mais sauf que la réalité, rétrospectivement, c'est ça que je devais faire, et c'est ça que j'avais à faire, et c'est ça, en fait, que j'ai fait. Et que vous faites encore aujourd'hui.00:28:11 Donc, c'est là que vous avez écrit ce livre, 'Les trois kiffs par jour', qui a tout de suite été hyper intéressant. Alors, 'Trois kiffs par jour' paraît. J'arrive à la fin de mes deux ans de chômage. Et pendant ce temps-là, quand même, j'avais fait un peu de télévision. J'ai animé une première chronique dans une émission de cuisine. Parce que c'est un autre sujet qui m'intéresse. Aussi, très initié à tout ça par mon cousin David, serveur Schreiber, qui était psychiatre et donc atteint d'une tumeur au cerveau. Il a dû complètement réformer son mode de vie et son alimentation. Donc, nous avons tous modifié notre alimentation pour que David, tout simplement, puisse venir à la maison. David, pardon, je fais une parole.00:28:50 (En parenthèse, c'est lui qui a écrit « Guérir », donc, livre hyper connu, où justement, il nous a initiés aussi, à travers ce livre, à la méditation, etc. Je crois, le MDR aussi, si je ne dis pas de bêtises. Le MDR, la cohérence cardiaque. C'est ça. Et la psychologie positive. C'est là que j'ai lu, pour la première fois de ma vie, le terme « psychologie positive ». Je voulais faire juste cette parenthèse pour le resituer. Et donc, vous, évidemment, là, vous avez dit. Alors, comme j'étais vraiment, voilà, il fallait, comme je vous dis, je suis quelqu'un qui cherche, enfin, qui cherche.) Donc, il y a ce sujet-là de l'alimentation, à la fois santé et sexy, parce que c'est toujours pareil.00:29:27 Si on vous dit « il ne faut pas manger, il ne faut pas manger, il ne faut pas manger », c'est différent de dire « voilà, des recettes géniales ». J'avais, comme ça, tenu une chronique à la télévision, sur Cuisine TV. Par la suite, j'ai eu ma propre émission, qui s'appelait « Des recettes qui font du bien ». Et on a fait quatre saisons. Ça, c'était comme d'aller à la récré, quoi. J'avais un décor. On m'avait demandé ce que je voulais, comme cuisine. J'avais vraiment décrit mon décor idéal. Ils avaient créé le décor idéal. Du coup, l'intérieur de ma tête était devant moi. C'était génial. Et donc, en effet, on cuisinait. Alors, on me maquillait, on me coiffait. Enfin, j'ai adoré.00:30:03 Et donc, vraiment, j'arrive à la fin de cette période de chômage et de temps en temps, comme ça, des tournages d'émissions. Mais ce n'est pas de ça dont je vais vivre. Donc, je m'apprête à retourner à Pôle emploi. Sauf que « Trois kiffes par jour » commence à se vendre. Et « Trois kiffes par jour » commence à se vendre très vite. Et surtout, il y a eu comme ça, parce que ça s'appelait « Trois kiffes par jour », je crois, il y a eu une traction dans les médias. Et donc, je me suis retrouvée au Grand Journal de Canal+. Oui, c'était le grand rendez-vous de début de soirée. J'ai jamais eu aussi peur de ma vie. J'étais tellement stressée. J'étais très intimidée parce que c'est une émission que moi, je regardais avec ferveur.00:30:43 Donc, j'avais l'impression d'être dans la cour des grands. J'ai eu exactement 3 minutes 30 à l'antenne. Mais ça a été 3 minutes 30 formidables parce que d'abord, le sujet est passé. On a commencé, c'était Mouloud Achour qui était en face de moi et qui commence à faire des gestes comme s'il était en train de fumer un joint en disant » Moi aussi, je fume trois cigarettes par jour. Et il y avait à côté de moi Leïla Bekhti, qui est une actrice formidable. Et c'est elle qui l'a repris en lui disant « Mais non, c'est pas du tout ça. Je vais te dire un truc. J'ai eu mon frère au téléphone tout à l'heure et j'adore mon frère. Eh bien, c'est un cliché. Et quand je parle à mon frère, je ressens des choses formidables.00:31:20 » Elle l'a illustré parfaitement, c'est ça. Elle l'a expliqué avec ses mots. Et à partir de là, parce que c'est un peu organisé comme ça en France, les médias se suivent les uns les autres, le fait d'être passée à cette émission m'a ouvert les portes de tout un tas d'autres choses. Eh bien oui. Il y a eu comme ça du buzz autour du livre. Mais il faut reconnaître, c'était il y a presque 15 ans maintenant, le livre se vend toujours. Et le livre se vend toujours toutes les semaines. Donc, ce n'est pas que le buzz d'il y a 15 ans. C'était vraiment, c'est vraiment quelque chose. Je crois que le contenu du livre fait aussi partie de ces contenus qui sont accessibles, identifiables. On s'y reconnaît.00:31:56 Ces transitions de vie, parce que c'est quand même un livre qui raconte plein de transitions de vie, se présentent à n'importe quel moment dans la vie des uns, des autres, se représentent dans ma mienne. Une fois que « Trois kiffs par jour » est sorti, je commence à me demander de donner des conférences. Et ça, c'est un métier que j'avais complètement mis sous le tapis pendant 20 ans puisque c'était mon premier métier. En formation de PNL ? Oui, formation de PNL et à la qualité de service surtout. C'est ce que je faisais. Et j'ai retrouvé ce métier qui est ma vocation. C'est quand même celui-là. En résumant tout, c'est de venir raconter, de venir raconter, de venir raconter sous toutes les formes.00:32:37 Donc, depuis « Trois kiffs par jour », ça a été sous la forme, évidemment, de conférences. Ça, c'est vraiment ma vie professionnelle dans la journée. Je vais dans des entreprises et je donne des conférences. J'organise des choses dans des théâtres pour le grand public. Donc, quand j'ai une nouvelle conférence, j'en fais presque un spectacle. J'ai également créé un vrai spectacle qui s'est appelé « La fabrique à kiff ». Alors ça, vous étiez en scène. En scène, absolument. Ce n'était pas ça votre rêve d'enfant, d'ailleurs. Je n'ai pas lu ça. C'était l'un de mes rêves d'enfant. C'est Julie Androuz ? Oui, Julie Androuz, tout à fait. Pour la resituer, c'est Marie Poppins ou comment elle s'appelle ? C'est Maria dans « La mélodie du bonheur ». Maria dans « La mélodie du bonheur ».00:33:16 Donc là, quand vous faites « La fabrique à kiff », vous êtes sur scène auprès de deux amis, c'est ça ? Alors, deux femmes que j'ai rencontrées à cette occasion qui sont devenues des amies, qui étaient thérapeutes. Et on incarnait nos propres rôles. C'est-à-dire que j'étais Florence Servan-Schreiber, prof de bonheur, et elle était thérapeute. Et donc, on a écrit un spectacle hilarant. Évidemment, on s'est fait aider par des gens qui nous ont mis en scène, qui nous ont aidés dans l'écriture. C'était aussi de pénétrer un autre univers qui est celui du théâtre. On a tourné pendant trois ans avec ce spectacle incroyable où, le lundi soir, on allait jouer comme ça dans toute la France. Et puis, le reste de la semaine, on faisait notre métier comme d'habitude.00:33:56 Dites-moi si je me trompe, mais j'ai l'impression que depuis « Les trois kiffes par jour », vous avez tiré ce fil-là de vulgariser le bonheur, de le rendre accessible simplement. Il n'y a pas ce côté un peu prise de tête qu'on peut parfois ressentir dans le développement perso. Ce que vous nous offrez, c'est la psychologie positive que vous nous rendez accessible à travers des outils simples. Là, on a pas mal parlé de cet exercice des « trois kiffes par jour », mais vous parlez aussi d'écriture, de cohérence cardiaque, etc. Est-ce que c'est ça, aujourd'hui, votre activité ? Mon activité, c'est de faire des choses, de ne parler que de sujets sérieux sans me prendre au sérieux. Oui, c'est ça. Donc, tout ce dont je vous parle est fondé, vient de quelque part.00:34:40 Ce dont je me rends compte aujourd'hui, c'est que les trois kiffes par jour est un autre fondement qui me permet d'appuyer des choses que je viens raconter. C'est mon expérience. C'est-à-dire qu'à mon âge, on ne peut plus faire l'économie de son expérience. Je ne peux pas raconter mon parcours comme une étudiante qui travaille depuis 10 ans ou depuis 20 ans. J'ai la totalité d'une vie derrière moi. Donc, c'est aussi la base de tous ces apprentissages. Donc, il y a vraiment cette notion de transmission qui va prendre plein de formes, que ce soit à travers vos livres, à travers les conférences que vous donnez, ce que vous faites sur scène. Je crois que vous avez aussi sur Internet des programmes. Il y a une académie en ligne.00:35:18 Donc, ça va être par l'écriture, par la parole, par du digital. Je viens vous raconter ce que je sais. Et en effet, l'écriture, par exemple, est un des sujets sur lesquels j'ai également travaillé. J'ai publié un livre qui s'appelle Écrire pour s'épanouir et kiffer. Après avoir été chercher toutes les recherches qui ont été faites sur le pouvoir de l'économie et de l'écriture sur notre psychisme et vie psychologique. Donc, à la fois les traumatismes en thérapie, mais aussi l'épanouissement, la créativité, la façon dont on peut vraiment se développer grâce à ça. Là, je vous écoute et je me dis vraiment, c'est super de parler avec vous pour cette semaine de la santé mentale parce que souvent, on résume la santé mentale au trauma. Et puis là, en fait, vous, vous reliez ça beaucoup à une clé d'épanouissement.00:36:08 En fait, on n'est pas obligé de parler du noir tout le temps et des choses négatives. On est obligé de parler du noir au contraire, on va cultiver avec vous, on cultive le positif. Le trauma sera là, quoi qu'il arrive. Alors il, il prend toute la place, il fait tout ce qu'il veut, c'est lui qui règne. Donc, si on veut le contrebalancer, en fait, il faut en prendre la décision, c'est-à-dire qu'on apprend énormément de choses sur le trauma. Ce que je sais, c'est qu'on peut aussi apprendre énormément de choses sur l'épanouissement. Et mon job à moi, c'est ça, puisque le trauma. Alors je ne sais pas si vous savez ça, mais je suis par ailleurs présidente de l'école qu'avait créée David qui s'appelle l'Institut français de l'EMDR.00:36:49 Et donc, nous formons chaque année des centaines de thérapeutes à l'EMDR. Et l'EMDR, c'est vraiment pour le traumatisme. Donc, je suis dans mon fort intérieur, dans la partie de moi qui aime aider, celle qui est au service. J'ai les deux extrémités de l'éventail, c'est-à-dire que le traumatisme est couvert par des gens. Moi, je ne pourrais pas vous enseigner ça parce que vraiment, ce sont des gens qui sont complètement confinés, qui font ça. Et de l'autre côté, je viens nous rappeler que malgré et en plus de notre main, il y a des choses que nous pouvons faire avec légèreté. Pour moi, une journée est une composition de moments. Ce n'est pas une journée. Il y a différents instants, il peut y avoir différentes couleurs, différents goûts, différentes saveurs dans la journée.00:37:32 Avant de passer aux questions rituelles, j'aimerais savoir ce que vous aimeriez dire à cette Florence qui a 19 ans, qui n'est pas hyper bien dans sa peau, si je comprends bien, qui est sur le point de s'envoler pour la Californie. La femme que vous êtes aujourd'hui. La seule chose que j'ai à lui dire, c'est ça va aller. Et quoi qu'il arrive, ça va aller. Et c'est vrai. Et c'est aller dans énormément de directions, vers le haut, vers le bas, vers la droite, vers la gauche. Mais ça va aller. Nos ressources sont incroyables et nous avons chacune et chacun notre façon de faire. Et ce dont on se rend compte vraiment, décennie après décennie, parce que là, maintenant, j'en ai plein dans les pattes des décennies, c'est qu'en tout cas, chez moi, chacune va être traitée d'une certaine façon et permet à l'autre de se consolider et de construire dessus et qu'on n'arrête jamais cette construction.00:38:27 Heureusement. C'est fatigant, mais c'est fantastique. C'est tout ça à la fois, c'est vrai. Allez, mais quelques questions rituelles pour terminer. J'aimerais savoir, vous, Florence, si vous êtes à l'écoute de votre petite voix au quotidien. Nous sommes sept. Ça fait du monde. À l'intérieur. À l'intérieur de moi. Donc, je suis sans arrêt en dialogue avec quelque chose qui est à l'intérieur de moi. Si vous faites référence à l'intuition, au fait d'avoir pris de mauvaises décisions, bien sûr, je prends de mauvaises décisions, malgré le fait que je n'écoute pas toujours. Il y a des choses que je me dis et puis il y a des choses que je ne me dis pas, très franchement, que je découvre en marchant. Mais oui, j'ai beaucoup, beaucoup de dialogue intérieur et je suis très, très sensible à cette partie-là.00:39:09 Et j'ai, j'ai, j'aimerais qu'elle prenne encore plus de place. J'aimerais qu'elle mène la danse, en fait. Ça me ferait des vacances. Je pense qu'on en est tous là, mais que le mental prend de la place. C'est ça. Est-ce qu'il y a un livre qui a particulièrement éclairé votre chemin de vie ? Quand j'ai lu Manche Première d'Elisabeth Gilbert, ça a ouvert quelque chose de très important pour la suite, qui était, elle écrivait ce livre à la première personne et c'est au moment où je m'attaquais à Trois Kifs par Jour, c'est quelqu'un qui m'a dit « Ah, mais tu as lu Manche Première et non ? » Donc, je l'ai acheté et j'ai découvert qu'en parlant à la première personne, je m'identifiais complètement à elle et ça m'a autorisée à écrire Trois Kifs par Jour comme ça.00:39:49 Et ça a complètement libéré quelque chose dans mon écriture depuis parce que c'est là que mon écriture, ce n'était pas le premier livre, mais c'est vraiment à partir de là que j'écris quasiment tous les jours. Je ne parle même plus au singulier, je parle au pluriel, c'est-à-dire c'est nous. Je considère que tout ce qui m'arrive, tout ce qui vous arrive, m'arrive aussi. Donc, ça nous arrive. Donc, ce livre-là a ouvert ça pour moi. Est-ce que vous avez un rituel bien-être quotidien ? Le matin au réveil, la première chose que nous faisons, Alex, Marie et moi, c'est que nous méditons. OK. Au lit, alors couché, pas du tout dans les positions zen, etc. Oui. Mais nous méditons au lit. OK, d'accord. Bon, et Florence, est-ce que vous êtes heureuse ?00:40:32 À cet instant précis, oui, mais je ne sais répondre que dans l'instant. Je suis vraiment comme les dorades, c'est-à-dire que je suis vraiment que je vois là où je suis. Je peux vous le dire là maintenant. Rien ne me dit que dans un quart d'heure, je ne serais pas effondrée par un blocage. Je ne sais pas, quelque chose qui se présente là. Je suis incapable de vous dire oui, je suis heureuse. Mais là, tout de suite, maintenant ? Là, tout de suite, oui. Chouette. Vous savez quoi, Florence ? Ça a été un vrai kiff pour moi, cet entretien. Donc, je vous remercie beaucoup. Je repars avec un grand sourire. Et moi aussi. Merci beaucoup.______________________________________Semaine de la Santé Mentale • Psychologie positive • 3 kifs par jour • PNL (Programmation Neuro-Linguistique) • épanouissement personnel • psychologie transpersonnelle______________________________________Vous aimerez cet épisode si vous aimez : Métamorphose, éveille ta conscience ! (Anne Ghesquière) • Le podcast de Pauline Laigneau • Comment tu fais (Laury Thilleman) • Psychologie Positive Et Hypersensibilité (Laurie Zed) • podcast Emotions................................................La petite voix est un podcast du label Lacmé Production.
Intervista all’attrice Jasmine Trinca che ci racconta "Maria Montessori - La nouvelle femme" film fortemente biografico di cui è protagonista assieme a Leïla Bekhti, diretto da Léa Todorov.Il cinema sul cinema, apriamo con il regista francese Cédric Kahn per parlare del suo "Making of" film presentato alla Venezia nel 2023 con Denis Podalydès e Jonathan Cohen.Con la regista Cristina Comencini parliamo di cosa significa crescere con una figura paterna di grande rilievo e ovviamente del suo bellissimo e autobiografico "Il tempo che ci vuole", con Fabrizio Gifuni e Romana Maggiora Vergano.Abbiamo incontrato e intervistato la misteriosa regista Leikiè per parlare del suo "Pap Music", film di animazione con Luca Ward e Rudy Zerbi.Viaggio nella Ferrara cinematografica, dallo “Spazio Antonioni” dedicato a uno dei padri della cinematografia moderna, al Ferrara Film Festival appena concluso che ha premiato per la sua carriera l’attrice e modella Carol Alt.Torna al cinema la saga dei Transformers. Chiara Pizzimenti ha visto per noi "Transformers One", film di animazione diretto da Josh Cooley, con Chris Hemsworth e Scarlett Johansson.
Elle s'appelle Nora. Elle aurait pu être peintre, ou graffeuse, peut-être une poupée, pas vraiment un ange, une résistante, une maquisarde qui sait, qui, de fil en aiguille, de pinceau en pinceau, s'est retrouvée à écrire, puis à adapter ses romans au cinéma, discrètement, dans la catégorie cinéma d'auteur. Et forcément, de tableau en tableau, ses portraits racontent quelque chose de son auteur et pistent des questions d'identité, côté banlieue et coté grande Histoire. Donc, ce serait joli que vous preniez le thé, que vous preniez le temps. Nora Hamdi, auteure notamment de Des poupées et des anges (avec Leïla Bekhti), La maquisarde, inspiré du témoignage de sa mère pendant la guerre d'Algérie, et de La couleur dans les mains, son troisième long métrage qui vient de sortir sur les écrans français.
Elle s'appelle Nora. Elle aurait pu être peintre, ou graffeuse, peut-être une poupée, pas vraiment un ange, une résistante, une maquisarde qui sait, qui, de fil en aiguille, de pinceau en pinceau, s'est retrouvée à écrire, puis à adapter ses romans au cinéma, discrètement, dans la catégorie cinéma d'auteur. Et forcément, de tableau en tableau, ses portraits racontent quelque chose de son auteur et pistent des questions d'identité, côté banlieue et coté grande Histoire. Donc, ce serait joli que vous preniez le thé, que vous preniez le temps. Nora Hamdi, auteure notamment de Des poupées et des anges (avec Leïla Bekhti), La maquisarde, inspiré du témoignage de sa mère pendant la guerre d'Algérie, et de La couleur dans les mains, son troisième long métrage qui vient de sortir sur les écrans français.
Dans son premier film de fiction, la réalisatrice française Léa Todorov met en lumière la personnalité et la vie hors normes de Maria Montessori et rappelle son approche pionnière en matière d'enseignement et de prise en charge du handicap. Une Nouvelle femme, avec Jasmine Trinca et Leïla Bekhti, à voir dans les salles romandes dès le 27 mars. Léa Todorov est lʹinvitée dʹAnne Laure Gannac, accompagnée de : - Layla Schlonsky qui a recueilli les réactions des spectateur.ice.s à lʹissue dʹune projection spéciale de "La Nouvelle Femme" chapeautée par la direction de lʹassociation Montessori. -Sarah Clément qui propose de poursuivre la découverte du destin de Maria Montessori en BD : - "Maria Montessori, lʹécole de vie", signé Caroline Lepeu et illustré par Jérôme Mondoloni, aux éditions Marabulles - "La maison des enfants – Maria Montessori, observer pour apprendre" du scénariste Halim et de lʹillustratrice Caterina Zandonella, éditions Steinkis.
Bienvenue sur « We Love Cinema, le podcast » présenté par le journaliste Mehdi Omaïs. Il reçoit cette semaine Leïla Bekhti, à l'affiche de La Nouvelle Femme de Léa Todorov et Laurent Ott, ancien co-directeur du département décors de la Fémis et chef décorateur de Jérôme Salle (Kompromat, L'odyssée), Paul Verhoeven (Elle), Claude, Berri (Ensemble, c'est tout), Jean-Paul Rouve (Les souvenirs) et tant d'autres. Bonne écoute!Retrouvez We Love Cinema sur : We Love CinemaApple PodcastSpotifyDeezerGoogle PodcastAmazon MusicEn RSSRetrouvez les références de ce podcast sur welovecinema.bnpparibas We Love Cinema est un podcast de We Love Cinema by BNP Paribas, enregistré les 19 et 20 décembre 2023 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:12:40 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Mercredi 13 mars 2024 : La comédienne, Leïla Bekhti. Elle est à l'affiche du nouveau film de Léa Todorov : "La Nouvelle femme" qui sort aujourd'hui.
C'est sans artifice que Tahar Rahim évoque avec Pierre Lescure la naissance de sa passion pour les salles obscures, son enfance devant Taxi Driver, sa rencontre avec Jacques Audiard... Un destin peu commun pour un héros de Marvel.
Quel plaisir de retrouver Charlotte "La célibataire, la vraie" (sur Instagram), 2 ans après notre 1er épisode ensemble (le n°23). Entretemps son compte Instagram est devenu encore plus LA référence concernant l'humour et les contenus plus profonds, liés aux célibataires, avec plus de 45 000 abonnés. Et consécration : un livre ! "Célibat, mode d'emploi" (éditions Mango, illustrations @latrentainetmtc) paru en février dernier. Charlotte nous raconte comment ce projet est né, et bien sûr ce qu'elle a appris ces dernières années, en matière de célibat, rencontres/ghosting, déconstruction, estime de soi etc. Bonne écoute !Prochain épisode le 22 novembre avec un homme qui en sait long sur ce qui fait le ciment des rencontres, un lieu et une activité partagés très importants dans de nombreuses cultures... Si vous voulez soutenir Single Jungle, avec un don en une seule fois, j'ai ouvert un Tipeee : https://fr.tipeee.com/single-jungle. J'ai suivi le conseil d'auditrices et d'auditeurs qui ont proposé de participer à la hauteur de leurs moyens, ponctuellement, aux frais des épisodes (prise de son/montage). Merci aux premières personnes qui ont participé ! Retrouvez Charlotte sur Instagram : https://www.instagram.com/lacelibataire_lavraie/ et en librairies : https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782317031472-celibataire-mode-d-emploi-le-celibat-c-est-comme-la-vie-parfois-c-est-tres-cool-parfois-c-est-tres-chiant-la-celibataire-la-vraie-latrentainetmtc/Le Discord créé par Charlotte : https://discord.gg/gHtDmjMD Références citées dans l'épisode ou en bonusPodcasts Episode 23 de Single Jungle, diffusé en octobre 2021, avec Charlotte https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-23-charlotte-creatrice-de-arobase-lacelibataire-lavraie Tous les épisodes d'"Un podcast à soi" de Charlotte Bienaimé, réalisation et musique Arnaud Forest, produit par Arte Radio https://www.arteradio.com/emission/un_podcast_soi/1092 Tous les épisodes du podcast "Le coeur sur la table", de Victoire Tuaillon, Solène Moulin, Naomi Titti, Diane Jean etc. Et notamment épisode bonus enregistré en public où j'ai pu poser une question à Victoire Tuaillon et Judith Duportail : "Est-ce que ça vaut le coup de débattre avec des masculinistes [et/ou hommes pas du tout déconstruits, machistes etc], est-ce qu'on peut les "sauver" ou on laisse tomber ?" Leur réponse ici : https://twitter.com/Louisa_A/status/1415911741373001731 et ici : https://www.instagram.com/p/Cn9wHzfNX7d/ Episode entier : https://www.binge.audio/podcast/le-coeur-sur-la-table/le-coeur-en-live-avec-judith-duportail Le Coeur sur la table est disponible également en livre https://boutique.binge.audio/ Egalement cet extrait sur le sentiment de culpabilité des femmes lorsqu'elles sont victimes de violences, la psychologisation à outrance ("si elle rencontre les mauvaises personnes, c'est de sa faute, elle a des schémas répétitifs etc). https://www.instagram.com/p/CZXpaHaO9Wh/ et ici avec les sous-titres https://www.tiktok.com/@louisa_a_a/video/7297734439780601121 "La dialectique du calbute sale", en 5 épisodes, hors série du Cœur sur la table (Binge Audio), par Ovidie, avec Tancrède Ramonet et de nombreux invités https://binge.audio/podcast/le-coeur-sur-la-table/la-dialectique-du-calbute-sale Et en particulier l'épisode 3 "Tu m'impressionnes", sur ces types qui ont peur/ne savent pas faire avec les femmes intelligentes et/ou plus diplômées qu'eux, et/ou plus riches qu'eux, et/ou plus talentueuses qu'eux etc. Alors ça, comme red flag, c'est à repérer très vite. https://shows.acast.com/157bb756-66a0-4d4e-88f9-6f024403eada/626806bae1432800128676c2 "Les couilles sur la table" de Victoire Tuaillon, épisodes avec Maïa Mazaurette, sur Binge Audio. Avec cette étude : "Une étude menée par la BBC au Royaume-Uni et publiée en décembre 2019 : 38 % des femmes britanniques de moins de 40 ans ont été maltraitées pendant des rapports sexuels (giflées, étranglées, bâillonnées, et/ou se sont fait cracher dessus, contre leur gré)." Le sujet de la sodomie et du rapport anal en général, réclamé très souvent par les hommes hétéros (très influencés par le porno), avec beaucoup d'insistance, alors que la partenaire n'en a pas forcément envie. Il va y avoir ce jeu malsain, consistant à essayer de la convaincre. https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/maia-mazaurette-sortir-la-tete-du-trou-1-2Sujet évoqué aussi dans cet épisode d''Un podcast à soi" de Charlotte Bienaimé, sur Arte Radio : https://www.arteradio.com/son/61661608/sexualite_des_femmes_la_revolution_du_plaisir_18 J'espère que les femmes plus jeunes (ou moins expérimentées) pourront les écouter, se documenter, et s'écouter elles, AVANT TOUT, surtout. Combien de femmes ont accepté ce type de rapports "pour faire plaisir", "ne pas vexer", par peur etc, alors qu'elles n'en avaient pas envie, trouvaient ça douloureux, désagréable, sans intérêt etc. De même pour les hommes gay, bi, personnes non binaires, à qui on proposerait avec autant d'insistance un rapport anal. Votre corps, vos choix. "La zone grise" du podcast "Clitosaure" d'Adèle Bellanger, où je raconte un moment de non-consentement lors d'un rapport sexuel, attention Trigger Warning, merci à Adèle pour son initiative pour cet épisode et son podcast en général https://youtu.be/C-D5XPbxzN8?si=ATi3AUPS1lGiAXpx&t=1226 "168" de Pablo Mira, avec sa conclusion "prenez soin de vous et d'une autre personne, ou 2, mais pas plus après ça devient pénible", ce qui me parle beaucoup en tant qu'aidante :) Pour le moment les épisodes ne sont plus disponibles, je vais creuser le sujet auprès de l'intéressé. https://podcasts.apple.com/fr/podcast/168/id1552613986 le Discord du podcast Les Gentilshommes "Le club des Gentilshommes" https://fr.tipeee.com/lesgentilshommes Films "Et maintenant on fait quoi ? Une enquête sur les masculinités", documentaire de Pauline Sanderre https://www.instagram.com/p/CyBiCfKtPkW/?img_index=1 "Je verrai toujours vos visages" de Jeanne Herry, avec Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Adèle Exarchopoulos, Raphaël Quenard, Miou Miou, Elodie Bouchez, Dali Benssalah, Jean-Pierre Darroussin, Suliane Brahim, Fred Testot, Denis Podalydès, Birane Ba etc https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=299938.html "Make me a man" de Jerry Hyde et Mai Hua https://makemeaman.com/ Livres "Désirer comme un homme, enquête sur les fantasmes et les masculinités" de Florian Vörös https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782348045394-desirer-comme-un-homme-enquete-sur-les-fantasmes-et-les-masculinites-florian-voros/ "Sexfriends, comment (bien) rater sa vie amoureuse à l'ère numérique" de Richard Mèmeteau
Nous avons aujourd'hui le plaisir d'accueillir Charlotte LEPAISANT. Vous êtes titulaire d'un master 2 contentieux privé, obtenu en Normandie, à Caen, vous avez ensuite été assistante de justice en juridiction, juriste assistante en cabinet d'avocat, chroniqueuse justice chez ouest France, directrice d'un SPIP en milieu ouvert (contractuelle) dans le Calvados, pour présenter et réussir le concours de CPIP en 2017. En tant que CPIP, vous avez travaillé 2 ans dans l'Orne, milieu ouvert et fermé et notamment au sein de l'établissement sécuritaire de condé sur Sarthe. Et aujourd'hui vous êtes au SPIP MILIEU OUVERT de PARIS depuis septembre 2021. Si nous vous accueillons aujourd'hui dans les podcasts de l'ISP, Charlotte LEPAISANT, c'est pour parler du film sorti le 29 mars dernier dans les salles en France. C'est un réel succès : on a pu comptabiliser près de 500 000 spectateurs quinze jours après sa sortie. C'est une réussite pour la réalisatrice, Jeanne Herry qui a réussi à transpercer les spectateurs d'un sujet encore peu connu en France, à savoir la justice restaurative. Encore un sujet faisant société, tout comme son premier film, Pupille, sorti en le 26 août 2018. Pour la réalisation de son film, elle s'est entourée d'un casting qui parle de lui-même : Adèle Exarchopoulos, Dali Benssalah, Leïla Bekhti, Miou-Miou, Elodie Bouchez, Gilles Lellouche, Birane Ba, Fred Testot, Suliane Brahim et bien d'autres. Afin d'être au plus proche de la vérité, Jeanne Herry s'est inspirée de professionnels de terrain. Elle a travaillé avec l'Institut Français de la Justice Restaurative, des associations de victimes et des agents du SPIP. Ce film est poignant et traite d'un sujet dont on parle de plus en plus dans la justice française : la justice restaurative, Une notion, un concept consacré dans la loi du 15 août 2014 et mis en place par la circulaire du 15 mars 2017. Le film apporte un éclairage sur le fonctionnement et le déploiement pratique de la justice restaurative mais met également en lumière le métier de conseiller pénitentiaire d'insertion et de probation.
Lumière sur le film «Je verrais toujours vos visages» qui arrive sur grand écran aujourd'hui, réalisé par Jeanne Herry, fille de Miou-Miou et Julien Clerc à qui l'on doit notamment le film «Pupille». Avec «Je verrais toujours vos visages», Jeanne Herry propose de découvrir sous-forme de huis-clos, un dispositif méconnu : la justice restaurative. Justice qui permet d'instaurer un dialogue entre victimes et agresseurs dans le but de réparer par les mots. Un film poignant avec un casting époustouflant : Leïla Bekhti, Elodie Bouchez, Adèle Exarchopoulos, Miou-Miou, Fred Testot, Gilles Lellouche, Jean-Pierre Darroussin, ou encore Denis Podalydès…Charlie Chevasson, notre reporter Fréquence Plus a rencontré la réalisatrice Jeanne Herry lors de sa venue pour l'avant-première du film à Dijon.
Lumière sur le film «Je verrais toujours vos visages» qui arrive sur grand écran aujourd'hui, réalisé par Jeanne Herry, fille de Miou-Miou et Julien Clerc à qui l'on doit notamment le film «Pupille». Avec «Je verrais toujours vos visages», Jeanne Herry propose de découvrir sous-forme de huis-clos, un dispositif méconnu : la justice restaurative. Justice qui permet d'instaurer un dialogue entre victimes et agresseurs dans le but de réparer par les mots. Un film poignant avec un casting époustouflant : Leïla Bekhti, Elodie Bouchez, Adèle Exarchopoulos, Miou-Miou, Fred Testot, Gilles Lellouche, Jean-Pierre Darroussin, ou encore Denis Podalydès…Charlie Chevasson, notre reporter Fréquence Plus a rencontré la réalisatrice Jeanne Herry lors de sa venue pour l'avant-première du film à Dijon.
Je Verrai Toujours Vos Visages de Jeanne Herry avec Adèle Exarchopoulos, Élodie Bouchez, Leïla Bekhti, Gilles Lellouch, Dali Benssalah, Jean-Pierre Darroussin, Miou-Miou, Suliane Brahim, Denis Podalydès, Birane Ba, Fred Testot
On le surnomme depuis quelques jours "Monsieur Pancarte". Marcos Quintans, jeune acteur et réalisateur de 22 ans, a eu l'idée de se pointer à la dernière cérémonie des César en smoking avec une pancarte : "cherche rôle" et son numéro en dessous. En agissant ainsi, il espérait attirer l'attention des stars présentes à la soirée de remise de prix. Mission réussie car il a pu échanger avec Marina Foïs, Leïla Bekhti ou encore Michel Hazanavicius. Et il nous l'assure : il prévoit déjà de refaire l'opération dans d'autres cérémonies cinématographiques à venir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je verrai toujours vos visages - Trois mois sur le tournage du film
Deuxième semaine de tournage, on entre à la fois dans le dur du tournage et du sujet : la Justice Restaurative. L'équipe s'installe dans les locaux de l'Armée du Salut à Paris, un des décors les plus importants du film. Aujourd'hui débutent les scènes entre Chloé et Judith, jouées par Adèle Exarchopoulos et Elodie Bouchez. Les comédiennes vont se retrouver face à face pour la première fois sur un plateau de cinéma. A la demande de la réalisatrice, elles n'ont fait aucune préparation ensemble avant ce premier jour. Elles ont le trac mais ont hâte de se rencontrer. L'équipe a 15 jours pour tourner cette première partie du film. Mais c'est sans compter les imprévus qu'il va falloir gérer. Pour le meilleur et pour le pire... ------------------- Je m'appelle Virginie Vives et dans “Je verrai toujours vos visages - 3 mois sur le tournage du film”, je vous emmène dans les coulisses du nouveau long-métrage de Jeanne Herry. Un sujet fort, un casting cinq étoiles : Adèle Exarchopoulos, Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Dali Benssalah, Elodie Bouchez , Miou-Miou, Suliane Brahim, Jean-Pierre Darroussin, Fred Testot, Birane Ba… Et toutes les équipes qui les entourent : les techniciens, les artisans, les producteurs. Ils ne font pas le même métier, ne se connaissent pas, et pendant trois mois ils ont tous le même objectif : fabriquer un grand film, ensemble. Plongez avec moi dans l'intimité du cinéma. Le film « Je verrai toujours vos visages » sortira le 29 mars 2023 au cinéma
Je verrai toujours vos visages - Trois mois sur le tournage du film
C'est le dernier jour dans les studios de Bry-sur-Marne. Ce soir, Miou-Miou, Fred Testot, Birane Ba, Gilles Lellouche et Leïla Bekhti diront au revoir à leur personnage, au tournage et à leurs voisins de chaise dans le cercle. C'est le moment de leur demander comment ils ont vécu ce tournage si particulier. Ensuite, direction Aix-en-Provence pour le dernier acte. Mais entre les caprices de la météo et le retour intempestif du COVID, l'équipe va devoir s'armer de patience. Au moment d'éteindre mon micro, le parallèle entre le sujet du film (la Justice Restaurative) et le tournage est évident pour moi : un travail de rencontres, d'équipe où chacun est indispensable à l'autre. Un travail basé sur l'écoute, dont la réussite dépend de l‘investissement individuel pour le collectif. De l'avis de tous, il s'est passé quelque chose de fort et d'inédit. Pour moi aussi. Le cinéma, comme la justice restaurative, est un sport de combat. ------------------- Je m'appelle Virginie Vives et dans “Je verrai toujours vos visages - 3 mois sur le tournage du film”, je vous emmène dans les coulisses du nouveau long-métrage de Jeanne Herry. Un sujet fort, un casting cinq étoiles : Adèle Exarchopoulos, Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Dali Benssalah, Elodie Bouchez , Miou-Miou, Suliane Brahim, Jean-Pierre Darroussin, Fred Testot, Birane Ba… Et toutes les équipes qui les entourent : les techniciens, les artisans, les producteurs. Ils ne font pas le même métier, ne se connaissent pas, et pendant trois mois ils ont tous le même objectif : fabriquer un grand film, ensemble. Plongez avec moi dans l'intimité du cinéma. Le film « Je verrai toujours vos visages » sortira le 29 mars 2023 au cinéma
Je verrai toujours vos visages - Trois mois sur le tournage du film
Lundi 24 janvier. C'est le grand jour. Après des mois de recherches, un an d'écriture, et trois mois de préparation intense, le premier clap est dans quelques heures. Direction le 20ème arrondissement de Paris pour une journée continue : 13H30 – 21H. Trois séquences sont à mettre en boîte aujourd'hui : des scènes plutôt courtes et légères, ce qui est visiblement assez habituel pour un premier jour de tournage. Malgré tout, quand j'arrive sur le plateau, la tension est palpable. Il y a des gens partout, des fils, des caméras, des panneaux, des micros, des écrans, un bruit constant. Comme tout le monde, je passe mon temps à dire bonjour sans savoir à qui. Adèle Exarchopoulos est convoquée à 12h, elle est la première comédienne à tourner. J'aperçois Jeanne, la réalisatrice. Très concentrée, elle oscille entre un visage sérieux et des échanges déconnants avec tout le monde. Il est 13H15, le premier clap est imminent. ------------------- Je m'appelle Virginie Vives et dans “Je verrai toujours vos visages - 3 mois sur le tournage du film”, je vous emmène dans les coulisses du nouveau long-métrage de Jeanne Herry. Un sujet fort, un casting cinq étoiles : Adèle Exarcopoulos, Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Dali Benssalah, Elodie Bouchez , Miou-Miou, Suliane Brahim, Jean-Pierre Darroussin , Fred Testot, Birane Ba… Et toutes les équipes qui les entourent : les techniciens, les artisans, les producteurs. Ils ne font pas le même métier, ne se connaissent pas, et pendant trois mois ils ont tous le même objectif : fabriquer un grand film, ensemble. Plongez avec moi dans l'intimité du cinéma. Le film « Je verrai toujours vos visages » sortira le 29 mars 2023 au cinéma
Je verrai toujours vos visages - Trois mois sur le tournage du film
C'est la troisième semaine de tournage et, de l'avis de tous, un nouveau film commence. L'équipe s'installe dans le deuxième décor : une salle d'activité de prison reconstituée en studio, à Bry-sur-Marne. La réalisatrice le dit depuis la préparation : ce moment est à la fois le plus attendu et le plus stressant pour elle. Entrée en piste de Miou-Miou, Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Fred Testot, Dali Benssalah, Birane Ba, Anne Benoit et Pascal Sangla. Pendant 15 jours, les comédiens seront assis sur des chaises disposées en cercle. Ils vont devoir s'écouter, se répondre et prendre la parole tour à tour avec de longs monologues. Tout le monde le sait, ces deux semaines sont fondamentales pour le film. Le dispositif technique s'amplifie, le temps est compté, il faut que les comédiens assurent. Mais pour certains, rester immobile sera très compliqué… ------------------- Je m'appelle Virginie Vives et dans “Je verrai toujours vos visages - 3 mois sur le tournage du film”, je vous emmène dans les coulisses du nouveau long-métrage de Jeanne Herry. Un sujet fort, un casting cinq étoiles : Adèle Exarchopoulos, Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Dali Benssalah, Elodie Bouchez , Miou-Miou, Suliane Brahim, Jean-Pierre Darroussin, Fred Testot, Birane Ba… Et toutes les équipes qui les entourent : les techniciens, les artisans, les producteurs. Ils ne font pas le même métier, ne se connaissent pas, et pendant trois mois ils ont tous le même objectif : fabriquer un grand film, ensemble. Plongez avec moi dans l'intimité du cinéma. Le film « Je verrai toujours vos visages » sortira le 29 mars 2023 au cinéma
Je verrai toujours vos visages - Trois mois sur le tournage du film
Tout le monde va jouer franc jeu, alors je commence par moi : je m'appelle Virginie Vives et je suis une amie de Jeanne Herry, la scénariste et réalisatrice de “Je verrai toujours vos visages” depuis 20 ans. On s'est rencontrées il y a 20 ans au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique et on a tout de suite ri ensemble. Depuis, j'ai commencé la radio, elle s'est lancée dans la mise en scène. Théâtre, cinéma. "Elle l'adore" est sorti en 2014 et “Pupille” en 2018. Un soir de décembre 2021, alors qu'on dînait d'une bonne soupe et qu'elle me racontait la préparation de son troisième film, j'ai eu une idée: " Et si je venais avec toi sur le tournage avec mon micro ? Si on montrait aux gens ce que c'est vraiment de fabriquer un film ?" Elle m'a regardée une seconde et puis elle m'a dit : "Carrément"! Jusqu'à présent, j'ai toujours suivi ses projets de loin, mais cette fois, j'ai eu envie d'en savoir plus. Pourquoi ? Le sujet du film, la mise en scène, et le casting, tous les trois inédits au cinéma. ------------------- Je m'appelle Virginie Vives et dans “Je verrai toujours vos visages - 3 mois sur le tournage du film”, je vous emmène dans les coulisses du nouveau long-métrage de Jeanne Herry. Un sujet fort, un casting cinq étoiles : Adèle Exarchopoulos, Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Dali Benssalah, Elodie Bouchez , Miou-Miou, Suliane Brahim, Jean-Pierre Darroussin, Fred Testot, Birane Ba… Et toutes les équipes qui les entourent : les techniciens, les artisans, les producteurs. Ils ne font pas le même métier, ne se connaissent pas, et pendant trois mois ils ont tous le même objectif : fabriquer un grand film, ensemble. Plongez avec moi dans l'intimité du cinéma. Le film « Je verrai toujours vos visages » sortira le 29 mars 2023 au cinéma
Je verrai toujours vos visages - Trois mois sur le tournage du film
Comment les liens se tissent sur un tournage de film ? Les comédiens, les techniciens, les artisans, les producteurs… Tous sont indispensables. Je m'appelle Virginie Vives et je vous emmène dans les coulisses de « Je verrai toujours vos visages », le nouveau film de Jeanne Herry, réalisatrice de « Pupille ». Adèle Exarchopoulos, Gilles Lellouche, Leïla Bekhti, Birane Ba, Dali Benssalah, Suliane Brahim, Elodie Bouchez, Jean-Pierre Darroussin, Miou-Miou, Denis Podalydès, Fred Testot… Leur stress des premiers jours, le travail, les fous rires, les doutes, les tensions… vous assisterez à tout jusqu'au dernier clap ! « Je verrai toujours vos visages : 3 mois sur le tournage du film », un podcast en 5 épisodes disponible sur Spotify, Apple Podcast et toutes les plateformes.
Aujourd'hui dans Bruno sur Fun Radio, La suite : la télé de Mikka vous fait jouer au blind test flute de pan grâce à "Pékin Express". La masterclass de Soanne vous présente une artiste qui demande à ses fans... de l'hygiène ! Le #Samih a trouvé les meilleures réactions du #ParcoursSup. Max notre envoyé très spécial est avec le casting de la saison 3 de "LOL qui rit sort" (Leïla Bekhti, Géraldine Nakache, Virginie Efira, Adèle Exarchopoulos, Jonathan Cohen, Gad Elmaleh, Pierre Niney, François Damiens). La Ligue des Crampons vous présente Loury Lag, la relève de Mike Horn. Grâce à la release party découvrez toutes les sorties de la semaine.
Géraldine Nakache, vous allez voir, c'est une voix grave qui vous enveloppe. Actrice, scénariste et réalisatrice, rien que ça, elle est dans le studio de La Poudre en ce début d'automne, pour évoquer entre autres le film Vacances, de Béatrice de Staël et Léo Wolfenstein, dans lequel elle joue une mère très seule (06'50). Au micro de Lauren Bastide, elle évoque son entrée dans la vie active, d'abord par la télévision avec Groland et Canal + (09'35), puis devant la caméra avec le film Comme t'y es belle de Lisa Azuelos (26'45). Son enfance à Puteaux (11'49) est évoquée dans son film Tout ce qui brille (14'09), qui mêle vérité et fiction autour de son amitié avec Leïla Bekhti (39'56). Le temps qui passe sur les acteurs et les actrices (31'26), mais aussi le choix de ses rôles (43'06), et l'humilité, parfois proche de l'humiliation (47'29)... Géraldine Nakache parle de ces questionnements qui l'animent, mais aussi de la différence de traitement médiatique selon que l'on est une femme ou un homme (20'50). De nombreuses représentantes du domaine du care sont présentes dans ses films (51'41), peut-être une manière de rendre hommage à ses parents (16'23), eux qui lui ont laissé de la place dans la famille étant petite (16'51). Géraldine Nakache évoque enfin l'importance que prend dans sa vie la notion de transmission (57'10). La Poudre est une émission produite par Lauren Bastide, diffusée en exclusivité sur Spotify. Générique : Lauren Bastide et Marion Emerit sur un concept original d'Aurore Meyer-Mahieu. Prise de son : Gabriel de Nogent. Montage et mixage : Marion Emerit. Programmation et coordination : Marie Laurence-Chérie assistée de Claire Dizet. Crédit photo : Manuel Obadia Wills. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Laurie Cholewa plonge les auditeurs dans l'actualité du 7ème art et des sorties de l'été, en compagnie de Franck Vallières et de Victor Bonnefoy. Leïla Bekhti, Elsa Zylberstein, Claude Lelouch, Philippe Lacheau ou encore Benoît Poelvoorde partagent les films de leur vie.
Laurie Cholewa plonge les auditeurs dans l'actualité du 7ème art et des sorties de l'été, en compagnie de Franck Vallières et de Victor Bonnefoy. Leïla Bekhti, Elsa Zylberstein, Claude Lelouch, Philippe Lacheau ou encore Benoît Poelvoorde partagent les films de leur vie.
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Épisode 789 : Forcément cette semaine, nous voulions parler de l'événement qui secoue les réseaux sociaux : Le Flambeau.C'est le retour de Marc et des autres personnages de la flamme, mais dans un nouveau concept, une parodie cette fois ci de Koh-Lanta. On le sait Koh-Lanta est déjà un succès énorme sur les réseaux, notamment le live tweets, on va voir ce que donne le flambeau. On va déjà essayer d'analyser, l'activation faite autour de la série avec des choses folles !Pendant la durée de la diffusion des trois premiers épisodes sur Canal+, la série était en top tweet sur Twitter.Sur InstagramC'est le compte de la flamme qui a été repris pour le flambeau.Avec un début de communication en poste il y a deux semaines, et tous les anciennes publications supprimées.On retrouve des extraits, des scènes de making of, des affiches, Des interviews des acteurs, du format Réels…Compte Insta du FlambeauLa personnification !Jusque-là c'est plutôt du basique.Mais c'est mal connaître cette production décalée. Et la première chose qu'on peut noter, c'est la personnification de la prise de parole autour de la série.Forcément comme dans toutes les promotions audiovisuelles on retrouve les acteurs sur tous les plateaux d'interviews ça c'est le classique.Là on sent bien que le héros de la flamme, le personnage Marc, interprété par Jonathan Cohen, a lancé toute la promo ! Sur son compte Instagram, on retrouve plusieurs posts autour du Flambeau mais surtout beaucoup de prise de parole face caméra en Story pour raconter des conneries autour de la série.Campagne d'influenceEn fait c'est une véritable campagne d'influence puisque Jonathan Cohen à 703 000 abonnés sur Instagram.Compte de Jonathan CohenOn retrouve aussi Mister V, et c'est 4,5 millions d'abonnés.Compte de Mister VMais aussi tous les autres acteurs…En 1 : la notoriétéLa publicitéEnsuite on remarque qu'ils ont travaillé comme avec un funnel de conversion.Ils ont bossé la notoriété de l'émission, avec du publicitaire bien large.Mais pour ne pas tout faire comme les autres, c'est Marc qu'on a introduit à l'intérieur de publicités.On retrouve du coup son intervention dans une publicité Burger King vraiment réussi. La pub Burger KingCette pub a permis de relancer Marc dans le paysage audiovisuel du grand public. Mais ce n'est pas tout.On a retrouvé aussi le personnage Marc dans différentes parodies de publicité comme il avait fait pour la flamme.On le retrouve dans l'Oréal Men Expert, pour Samsung, et Deliveroo.Grosse émission YouTubeSur Internet, on retrouve Jonathan Cohen et d'autres acteurs de la série dans la dernière émission de Mac Fly et Carlito : nos pires anecdotes de honte.Avec Jonathan Cohen Geraldine Nakache Leila Bekhti et Adèle ExarchopoulosL'émission de Mac Fly et Carlito7 millions de vuesOn retrouvera aussi Jonathan Cohen dans la dernière émission de Kyan KhojandiLien vers l'émission2 millions de vues En 2 : la préférence de marqueUn jeu MaaaaarcPremièrement dans les 24 heures qui ont précédé la diffusion de l'émission, Canal+ a sorti un jeu pour voir les premières minutes en exclusivité.Tous les acteurs, ont partagé ce jeu dans leur Story le principe est simple mais ultra efficace.Il faut crier Marc comme Leïla Bekhti dans la saison de la flamme ! Votre iPhone en utilisant le micro fait monter une jauge en fonction de à quel point vous criez fort et longtemps.Plus vous arrivez à faire monter cette jauge au plus vous débloquez du temps du premier épisode, à regarder en exclusivité et en avant-première.Au maximum vous aurez quasiment trois minutes à regarder.C'est très drôle, fun et en plus on est content de pouvoir regarder la série avant tout le monde.Filtres InstagramIls ont fait le classique avec un petit filtre Instagram pour savoir quel personnage du Flambeau vous êtes.Là aussi tous les acteurs de la série ont joué le jeu, en Story dans les 48 heures avant la diffusion des épisodes en train de jouer en Story pour savoir quel personnage ils étaient Campagne de micros influencesDès le deuxième épisode, Mister V au moment de voter contre un autre personnage, ajoute son @ sur Instagram sur le carton. Celui du personnage.Dans les 10 minutes il y avait déjà une dizaine de comptes à cette adresse ou autour de cette adresse pour ce personnage.On peut être sur qu'il va y avoir plein de faux comptes créés autour de ce personnage.Et donc ça a fonctionné comme une campagne de micros influences puisque dans les trois prochaines semaines autour de la série, il existera tous ces faux compte Instagram autour de ce personnage, qui vont relayer des informations et parler de la série.C'est vraiment malin !. . .Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs.Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com/. Nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
Critique cinéma par François Bégaudeau du film "Chanson Douce" réalisé par Lucie Borleteau. Paul et Myriam ont deux enfants en bas âge. Ils engagent Louise, une nounou expérimentée, pour que Myriam puisse reprendre le travail. Louise se montre dévouée, consciencieuse, volontaire, au point que sa présence occupe une place centrale dans la famille. Mais très vite les réactions de Louise deviennent inquiétantes. Un film de Lucie Borleteau avec Karin Viard, Leïla Bekhti et Antoine Reinartz. Date de sortie : le 27 novembre 2019 © 2019 - StudioCanal France Musique : © Pierre Desprats - Comptine éthérée