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Et si le secret d'une vie longue et épanouie se cachait dans les petits plaisirs du quotidien ? Dans cet épisode lumineux de Long Live, Lucile Woodward reçoit Florence Servan-Schreiber, auteure du best-seller 3 kifs par jour, pour parler de bonheur, de gratitude, et surtout de la manière dont notre état d'esprit influence notre santé et notre longévité.À travers cette conversation inspirante et humaine, Florence partage les enseignements de la psychologie positive, ses outils concrets pour savourer l'instant présent, et son approche pleine d'enthousiasme pour vivre mieux, plus longtemps.Comment cultiver la joie même dans les journées ordinaires ? Pourquoi les émotions positives sont-elles un facteur clé de vitalité ? Et comment transformer nos routines en rituels de bonheur ? Un épisode qui donne le sourire, et des clés précieuses pour avancer avec légèreté et confiance !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour profiter de la promotion sur Garance & moi : http://bit.ly/3zLZlNJAujourd'hui, je vous propose de découvrir Florence Servan-Schreiber au micro de Herveline Denis, hôte de l'excellent podcast La petite voix.Avec ses livres “3 kifs par jour” ou “Power patate” et plein d'autres activités dont on va parler ensemble dans cet épisode, Florence a fait du bonheur son terrain d'expérimentation.Bienvenue dans un épisode à la fois lumineux, inspirant et intimiste.Avec Florence, Herveline parle de l'art de se faire un prénom, de ridologie (et ce n'est peut-être pas ce que vous pensez!) et de cultiver la fantaisie au quotidien.Quelques notes sur l'épisode :Le site de Florence : www.florenceservanschreiber.comLivre : “Mange Prie Aime” de Elizabeth GilbertRituel : méditer dès le réveil au litSoutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.comProduction : Jeane ClesseMusique : @KleinGraphisme : Mahaut Clément & Coralie ChauvinMix : Jeane ClesseSi cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.Pour profiter de la promotion sur Garance & moi : http://bit.ly/3zLZlNJ
Florence Servan-Schreiber est la 177ème invitée du podcast C'est quoi le bonheur pour vous? Conférencière et auteur des bests sellers “3 kifs par jour” et “Power Patate”, formée à la psychologie transpersonnelle en Californie, Florence Servan-Schreiber est diplômée de JFK University en 1986. Elle a été parmi les premiers à enseigner la programmation neuro-linguistique en France dans les années 1980. Depuis, elle a été consultante en entreprise, spécialisée dans la qualité du service et des relations humaines. Elle a été l'animatrice d'une chronique dans Psychologies, un moment pour soi sur France 5 en 2004 et 2005, la déclinaison télévisuelle de Psychologies magazine, dont elle s'est occupée de créer les sites internet. Diplômée en management du développement durable par le Presidio School of Management de San Francisco en 2008, elle rejoint le groupe Lagardère Active pour y diriger les “Innovations développement durable”. En 2009, elle quitte le groupe, se tourne vers l'étude de la psychologie positive sur laquelle elle écrit un livre : 3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science du bonheur, Marabout – 2011. Elle anime une chronique dans l'émission “Carrine et vous” sur Cuisine TV le samedi à 13h. En 2014 elle écrit le best seller “Power Patate”.
En cette semaine de fêtes et de repos, je voulais vous offrir une surprise en vous faisant découvrir un podcast que j'aime particulièrement : La petite voix, le podcast qui donne la parole à celles et ceux qui nous font du bien, par Herveline Denis. Rien d'étonnant à ce que ce podcast me plaise, me direz-vous ? J'espère qu'il vous plaira à vous aussi !Parmi les nombreux épisodes de La petite voix, j'ai choisi de vous faire découvrir l'interview de Florence Servan-Schreiber, cette autrice qui a fait du bonheur son terrain de jeu avec notamment ses livres "3 kifs par jour" et "Power patate".Dans cet épisode, Herveline et Florence explorent ce qui se cache derrière les instants de bonheur. Parce qu'avant les kiffs, il y a parfois des tempêtes à traverser.Florence Servan-Schreiber, avec son parcours atypique, incarne cette quête de découverte et de transmission. Exilée en Californie à 19 ans, elle plonge dans la psychologie transpersonnelle avant de construire une carrière en entreprise, guidée par une envie constante d'explorer et d'innover.Un épisode lumineux et intimiste où vous découvrirez :L'art de se faire un prénomLa "ridologie" (indice : ce n'est pas ce que vous pensez !)Et des clés pour cultiver la fantaisie au quotidien.Par ici pour suivre La petite voix sur Instagram. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retour aujourd'hui chez Florence Servan-Schreiber, auteure de “3 kiffs par jour” et tout simplement “enseignante de bonheur”. On se retrouve pour parler de la lettre à son futur moi, un super outil pour se projeter dans notre vie de rêve !Ecrire à son futur soi Florence Servan-Schreiber, avec professeur de bonheurRetour aujourd'hui chez Florence Servan-Schreiber, auteure de “3 kiffs par jour” et tout simplement “enseignante de bonheur”. On se retrouve pour parler de la lettre à son futur moi, un super outil pour se projeter dans notre vie de rêve !Pour en savoir plus :le site de Florence : www.florenceservanschreiber.com l'exercice de la lettre du futur soi www.florenceservanschreiber.com/3kifsacademie/produit/lettre-au-futur-soi/RETRANSCRIPTION DE L'EPISODE AVEC FLORENCE SERVAN-SCHREIBERBonjour Florence, merci à nouveau de me recevoir. On se retrouve pour cet épisode BIS où l'idée c'est de donner des conseils très concrets à nos auditeurs et là, la piste qui vous vient quand on en parle ensemble, c'est l'écriture, mais pas n'importe laquelle, c'est la lettre au futur soi.00:01:20 L'écriture déjà, c'est un sujet qui vous tient à cœur, on l'a rapidement évoqué dans le dernier entretien. Pourquoi c'est un vrai outil de développement personnel ? L'écriture est un prolongement de ce qui se passe dans notre tête, ça met à l'extérieur de nous. Ce qui en général Marine à l'intérieur. Alors quand je dis Marine, c'est parce qu'il y a des choses qui vont mariner pour avoir plus de goût et puis il y a des choses qui vont mariner pour carrément devenir rance. Donc il faut parfois, il faut souvent d'ailleurs sortir des choses de nous et l'écriture permet de le faire car on n'a pas toujours à sa disposition les bonnes oreilles pour dire ce qu'on a à dire. Quand on a un thérapeute, c'est chouette parce qu'on peut lui dire tout un tas de choses.00:01:56 Quand on a des copines, il y a des choses qu'on ne peut pas leur dire. Quand on a un conjoint, il y a plein de choses qu'on ne peut pas lui dire. Donc il nous faut un endroit où on peut être exactement comme on est. Cet endroit, c'est un journal intime et ma recommandation absolue, c'est d'en tenir un de manière régulière et régulière, en voix note, en ce que vous voulez, si vous n'avez pas envie d'écrire, taper à la machine avec un stylo. Ce n'est vraiment pas le média qui est important. Ce qui est important, c'est l'exercice de laisser sortir tout ça. Et l'avantage quand on a une pratique un peu régulière de ce genre, c'est qu'en plus de ça, on retrouve des traces de ce qu'on a vécu. Absolument.00:02:34 Je vous le confirme, moi qui ai écrit maintenant depuis plusieurs années, c'est très étonnant parfois de se replonger dans les archives de notre être le plus profond et le plus intime, effectivement. Oui, il y a maintenant des médiums qui vont consulter les archives akashiques. Oui, c'est vrai. On peut faire ses propres archives. On n'a pas besoin des akashiques. Voilà, on peut commencer par là. C'est un bon début. L'exercice dont vous voulez nous parler aujourd'hui, c'est celui de la lettre au futur soi. Alors, en quoi ça consiste ? Donc ça, c'est quelque chose, c'est un exercice qui est très, très surprenant, car nous prenons rarement le temps de nous projeter, d'imaginer les transformations ou les confirmations que nous voulons apporter à notre vie. On se débat avec le présent, on se débat avec le passé, avec ce journal intime.00:03:24 Mais qu'est-ce que j'ai envie d'être ? Comment est-ce que j'ai envie d'être ? Comment ai-je envie que mes relations soient ? Quelles sont mes relations ? Est-ce qu'il y a des créations que j'ai envie de faire ? Est-ce qu'il y a des choses que j'ai envie de comprendre, d'apprendre, de goûter, de visiter ? Et quand on écrit une lettre au futur, soi l'exercice est le suivant. C'est-à-dire que vous vous imaginez dans une période donnée, donc un an, trois mois, six mois, cinq ans. C'est vous qui décidez. Un an, c'est pas mal. C'est une unité contrôlable. Et vous vous dites d'ici un an. De quoi ai-je envie ? Mais c'est vraiment pas ce que je veux faire ? Ce n'est pas une lettre de résolution de début d'année. C'est pas une to-do list.00:04:09 Non, mais ça va prendre peut-être un peu cette forme-là. Mais on descend profondément en se disant que je me sens comment ? Si je me sens vraiment bien, qu'est-ce qui s'est produit ou passé ? Ou comme je vous disais, confirmé ou qui a changé, pour que je puisse me sentir comme ça. Donc c'est dans une espèce de projection idéale de là où j'ai envie. Peut-être dans un an. Oui, on ne va pas projeter des catastrophes. Elles viendront toutes seules, pas besoin. Alors, une fois qu'on a fait ça, c'est une lettre qui s'écrit au présent. C'est-à-dire, on se met dans cette date-là. Donc si on est dans un an, on se met à cette date-là et on écrit à notre moi d'aujourd'hui. Donc je m'écris à Florence aujourd'hui en disant : alors franchement, bravo et merci.00:04:58 Parce que depuis un an. Voilà, tout ce que j'ai vu, alors faire, devenir, advenir, goûter, etc. Et à ce moment-là, je mets ces idées-là. Et puis, cette lettre, alors il faut trouver une petite ruse. Donc, il y a deux ruses qui existent aujourd'hui. La première existe parce que la ruse, c'est que quelqu'un vous envoie cette lettre dans un an. C'est qu'on la scelle, on la ferme et dans un an, il faut la recevoir. Donc, soit quelqu'un l'emporte pour vous. Et il faut qu'il l'emporte. Ou elles s'en souviennent. Soit, j'ai donc sur mon académie qui s'appelle la 3KIF Academy, prévu un endroit qui s'appelle la lettre au futur soi, où en effet, vous venez consigner ce texte et il disparaît de votre environnement. Et à la date que vous avez décidé, moi, je ne les vois jamais vos lettres.00:05:50 À la date que vous avez décidé, vous recevez ce texte par mail. Et évidemment, vous avez oublié et vous retrouvez tout ça. L'autre possibilité, c'est qu'il y a. J'ai vu à Ouvert à Paris, un café dans lequel on se rend. Maintenant, il y a quelqu'un qui a ouvert un café où on fait ça et où on écrit sa lettre. Et ce sont eux qui vont vous les renvoyer. Vous trouvez sur Internet. Donc, c'est vraiment un. Pourquoi est-ce qu'ils ont fait ça et pourquoi est-ce que j'ai fait ça? Surtout, c'est parce qu'il y a un processus psychologique qui fait que lorsqu'on a fixé ce que l'on cherche à obtenir, notre cerveau, à partir de là, va prendre les micro-décisions qui nous emmènent vers là.00:06:34 Donc, plutôt que d'être complètement balotté par les événements, puisque de toute façon, nous le sommes, il y a une toute petite portion que nous pouvons inconsciemment contrôler. Pour qu'elle soit contrôlée, il faut les avoir posées quelque part et donc posées par écrit. Il y a deux choses qui me viennent, c'est que là, ça nous oblige à avoir une vision un peu long terme, c'est-à-dire sortie du brouhaha, du quotidien. Là, on essaie de se projeter sur plus loin. Donc, ça nous donne des axes. Et puis, il y a l'histoire de la loi de l'attractivité, non? C'est ça aussi? Alors, oui, je suis moins spécialiste parce que les preuves existent moins. Mais, oui, oui, oui, bien sûr. En fait, la loi de l'attractivité, c'est la même chose.00:07:12 C'est que dès lors que j'ai identifié ce que je souhaite, je vais m'orienter vers ça sans m'en rendre compte. Donc, on va retrouver ça, bien sûr. OK, donc on est d'accord. C'est vraiment un exercice à faire sans aucune censure. On peut tout faire. Aucune censure. Aucune censeur imaginée, tout rêvé. Donc, on ne dit pas, ah oui, mais non, parce que, ah mais non, mais parce que. Il n'y a pas de mais non, mais parce que. C'est à quoi j'aspire ? Vous avez tous les droits. C'est dans votre tête et votre esprit et votre cœur et vos muscles. Je aspire à quoi ? Et justement, ça nous libère. On retrouve la même mécanique que dans un journal intime où il n'y a pas de censure. C'est ça.00:07:53 Et quand il n'y a pas de censure, quand on peut être complètement comme on est, même dans ce journal, on peut dire des horreurs. On sent les gens, on peut dire des trucs qui ne se disent pas. On a aussi besoin de les lire parce que ça fait partie des choses qu'on se dit. Voilà, l'idée, ça prend quoi ? Dix minutes, un quart d'heure. On se pose, on fait ce courrier. Alors, si vraiment on est pressé, ça prend un quart d'heure. Si on est moins pressé, on commence une petite liste comme ça, un peu quand même sur son iPhone ou je ne sais quoi, pour ensuite s'asseoir et le formaliser. C'est pas mal de se donner un peu de temps quand même. On n'est pas obligé de le faire devant la feuille blanche intimidante.00:08:29 OK. Moi, je le fais plus tôt, en marchant. Je me dis, tiens, quelles sont les choses que j'aimerais faire ? C'est vraiment le principe. Tous les ans, à mon anniversaire, toute l'année, je pense à des trucs qui me feraient hyper plaisir et je me dis, ah bah oui, ça, ça me ferait plaisir. Tiens, à mon anniversaire, ce serait super. Et quand on me dit, qu'est-ce que tu veux pour mon anniversaire ? Je n'ai pas la moindre idée. Oui, je comprends. On peut aussi le faire comme ça. Après, on continue en notant des choses. Et puis, un jour, on se pose et on écrit la lettre. OK. Et donc, évidemment, le pro, le perso, tout. Tout mélanger, tout mélanger, tout mélanger, tout mélanger.00:08:58 Les trucs les plus inavouables, les trucs les plus fantastiques, les trucs les plus osés, les plus minables. En fait, tout a sa place dans cette lettre puisque c'est vraiment ce qui nous tient à cœur. Génial. Lettre à notre futur soi. C'est ça. Merci beaucoup, Florence._______________________________________Lettre au futur soi • Semaine de la santé mentale • journaling • écriture thérapie • écriture thérapeutique • visualisation_______________________________________Vous aimerez cet épisode si vous aimez : Change ma vie (Clotilde Dusoulier) • Grand bien vous fasse (Ali Rebeihi) • Se sentir bien (Esther Taillifet) • Salut ça va • Psychologie et Bien-être |Le podcast de Psychologue.net................................................La petite voix est un podcast du label Lacmé Production.
Aujourd'hui, j'accueille Florence Servan-Schreiber, pour un épisode qui je l'espère, va vous faire kiffer !Avec ses livres “3 kifs par jour” ou “Power patate” et plein d'autres activités dont on va parler ensemble dans cet épisode, Florence a fait du bonheur son terrain d'expérimentation.A l'occasion de la Semaine de la Santé Mentale, nous allons voir de ce qui se cache derrière ces moments de bonheur. Parce que parfois, avant d'en arriver aux kiffs, il y a aussi des tempêtes à traverser. Nous allons découvrir son parcours entre son exil forcé en Californie à 19 ans, sa découverte de la psychologie transpersonnelle et son parcours en entreprise. Un parcours atypique qui n'a qu'un seul moteur : l'envie de défricher, de découvrir le nouveau - même en psychologie - et de le transmettre.Bienvenue dans un épisode à la fois lumineux, inspirant et intimiste.Aujourd'hui, avec Florence, nous allons parler de l'art de se faire un prénom, de ridologie (et ce n'est peut-être pas ce que vous pensez!) et de cultiver la fantaisie au quotidien.Quelques notes sur l'épisode :Le site de Florence : www.florenceservanschreiber.comLivre : “Mange Prie Aime” de Elizabeth GilbertRituel : méditer dès le réveil au litRETRANSCRIPTION DE L'EPISODE AVEC FLORENCE SERVAN-SCHREIBER00:02:14 Bonjour Florence, merci de me recevoir chez vous à Paris. Bonjour tout le monde. Merci d'être là dans La Petite Voix. J'ai souhaité vous rencontrer pour une occasion particulière, puisque c'est la semaine de la santé mentale, et il me sembla que vous étiez la parfaite interlocutrice pour en parler. Je vous explique un peu ma démarche. En fait, pour moi, vous avez deux casquettes qui sont intéressantes par rapport à ce sujet-là. C'est que d'un côté, vous avez une formation en psychologie transpersonnelle, en PNL, en psychologie positive, donc quelque chose pour moi. D'académique, mais en même temps, et c'est ce que j'aime chez vous, et c'est pour ça que je vous suis, c'est que vous avez une approche très décomplexante par rapport à ça. Plutôt fun, puisque vous êtes la mère des trois kiffes par jour, du power patate.00:02:56 Et donc, vous savez, nous amener ces sujets-là de santé mentale de manière assez fun. Donc voilà, voilà pourquoi je suis contente de vous recevoir aujourd'hui. Du coup, je suis obligée de commencer par cette question-là. Florence, c'était quoi votre dernier kiff ? Mon dernier kiff, quelque chose pour lequel je me souviens, j'ai ressenti beaucoup de choses, c'est la sortie d'une série qui s'appelle La Maison sur Apple TV+, qui a été produite par mon mari. Il y a des kiffes transitifs, c'est-à-dire que quelqu'un peut vivre quelque chose, et ça nous fait de l'effet, ça m'a fait beaucoup d'effet pour lui, pour tous ces gens qui ont travaillé là-dessus. J'aime la création, j'aime cet homme aussi, je vois la difficulté qu'il a traversée. J'éprouve beaucoup de gratitude parce que la série, le produit est magnifique, donc ça m'épathe.00:03:42 Ah, c'est beau. On va parler de vous, Florence, et de votre parcours. J'ai lu qu'à seulement 19 ans, vous avez eu envie de partir. Il y a deux choses intéressantes. Non seulement vous êtes partie en Californie, mais pour y faire des études de psychologie. Pourquoi ces deux choix-là ? Vous voulez la vérité ? S'il vous plaît, on est là entre nous. J'ai été exilée par mes parents. J'étais une adolescente bien trop turbulente et tourmentée, il n'en pouvait plus. Donc ils ont décidé de m'expédier en Californie. Je suis partie pour faire des études de cinéma, parce que ça, ça m'intéressait, ça avait l'air vivant, c'était un métier debout, c'était de l'image de la création. Et arrivée en Californie, je suis tombée sur et dans tout le mouvement du développement personnel, de la connaissance de soi, de ce vocabulaire qu'ont les Californiens pour décrire ce qui se passe à l'intérieur d'eux, décrire ce qui se passe autour d'eux.00:04:38 Et c'était en fait l'univers qui m'attendait. C'est-à-dire que c'est ça dont j'avais besoin probablement à titre personnel. J'ai trouvé ça fantastique, et étant une adolescente tourmentée, parce que c'est ce que j'étais, de me dire : 'Ah, mais en fait, ça peut s'arranger.' Et si seulement j'avais su ça plus tôt. Voilà, et c'est comme ça que j'ai changé complètement la direction de mes études, et que depuis, je me consacre à ça. Donc le départ était un peu forcé, mais finalement, c'était un cadeau que vos parents vous ont fait. Le départ était accidentel. Si on regarde, beaucoup de nos départs sont accidentels. Enfin, on tombe sur des gens, on croise des choses. Je suis persuadée que nous avons toutes et tous un radar, qui est notre radar, et qui va fonctionner où que l'on nous mette.00:05:26 Je suis obligée de revenir sur ce moment où vous me dites que vous étiez une adolescente tourmentée. Qu'est-ce qui tourmentait l'adolescente que vous étiez ? Absolument tout. La définition de moi-même, la séparation de mes parents, les exigences familiales, la difficulté à savoir ce que je voulais faire dans la vie, comment on se fait des petits copains, tout, je ne sais pas. L'adolescence ? La vie, les études, mon Dieu, les études. Vraiment, je n'aimais pas l'école. Passer son bac, ce n'est pas facile. C'est un moment vraiment de mue qui est plein de problèmes. Et vous soulignez aussi un point, vous le survolez, mais j'imagine que ça faisait partie des sujets. Vous venez d'une illustre famille. Et avec un nom très beau, mais peut-être parfois difficile à porter quand on est cette adolescente et qu'il faut prendre la relève de votre père, de vos oncles, de vos tantes.00:06:18 Vous savez, c'est comme si vous dites à un poisson « Mais comment tu fais pour nager dans l'eau ? » Le poisson, il vit dans l'eau. Mais si vous voulez savoir, en effet, dans une famille comme la mienne, l'enjeu est plutôt de maintenir son prénom. Donc, ça a des avantages et ça a des inconvénients. Bien sûr. Au collège, c'est horrible. C'est horrible quand tout le monde connaît votre nom parce qu'il y a tout le monde se moque de vous pour des raisons complètement extérieures à vous-même. Et puis ensuite, si je prends, comme j'ai depuis écrit des livres, c'est vrai que dans ma famille, c'est pas tant « Est-ce que tu vas écrire un livre ? » mais c'est « Sur quoi vas-tu écrire un livre ? ». C'est ça.00:06:57 Mais chez les cordonniers, ce sera les réparations de chaussures. Donc, il y a des avantages et des inconvénients, mais absolument comme dans toutes les familles, sauf que ça se voit un petit peu de l'extérieur. Il faut se faire un prénom, en fait, puisque le nom est déjà bien installé. Il ne faut rien, mais c'est le job possible. Donc, c'est ce que vous avez commencé à faire à 19 ans en Californie. Soudain, le fonctionnement de l'être humain, j'ai trouvé ça incroyable. J'ai trouvé passionnant de voir comment un enfant devient un adolescent, devient un adulte, comment on meurt. Parce que j'ai fait des études de psychologie transpersonnelle. Donc, on alliait de la spiritualité, avec la psychologie clinique. Donc, on traitait absolument de tous les sujets, de deuil, de la mort.00:07:45 Ce n'était vraiment pas très classique. Je ne me destinais pas non plus à être thérapeute, mais je suis intéressée, je reste profondément, profondément intéressée par nos mécanismes. Combien de temps ont duré ces études en Californie ? Ça dure quatre ans ? Non, vraiment, la chance a voulu que, en effet, je rencontre tout ça. Et puis, c'est un moment, c'est un endroit du monde qui m'inspire profondément. Nous y avons vécu en famille lorsque j'avais sept ans. Et je crois qu'il y a quelque chose. Donc, j'éprouve là-bas une liberté que je ne ressens pas ici. Et donc, quand je l'ai retrouvé en partant faire ces études, par ailleurs, il y avait aussi cet univers totalement contemporain de la psychologie. Et c'est ça qui m'a plu.00:08:30 J'ai une bêtise si je dis que c'est tout le mouvement Palo Alto qui vient de Californie ? Alors, Palo Alto, c'était plutôt dans les années 60. Mais en effet, vous parliez de Palo Alto, de PNL tout à l'heure. Je me suis formée à la PNL à Palo Alto en étant l'esclave d'une femme qui s'appelait Ginny Laborde et qui était formatrice en PNL, qui elle-même avait été formée par Grinder, John Grinder, qui était le fondateur, l'inventeur et Bandler, qui étaient les deux fondateurs de la PNL. Donc, oui, c'est géographiquement à Palo Alto. Mais l'école de Palo Alto, c'est quelque chose de très précis que j'ai plutôt appris à l'université. C'est vraiment comme un creuset là-bas. Et il y a encore, j'en reviens, j'y étais cet été, il y a encore cet esprit très particulier.00:09:19 C'est comme si on s'occupait de son âme, en fait. Donc, il y a quand même effectivement cette dimension très spirituelle à laquelle on est peu habitué en psychologie classique, j'ai envie de dire. Spirituelle et pragmatique. Joli mariage. Les Américains sont très pragmatiques. C'est pour ça qu'ils parlent beaucoup plus facilement de leurs mécaniques intérieures et de leurs émotions que nous ne savons le faire dans notre culture qui est très tenue, et j'appartiens à cette culture très tenue. Donc, quand je vais là-bas, ça me permet d'ouvrir des petits portillons qui font que l'air est plus chaud et que ça passe mieux. Il y a comme une partie de vous qui vit là-bas. C'est ce que j'entends, la manière dont vous l'abordez. Il y a absolument une partie de moi qui se définit là-bas.00:10:02 Tout à fait. De toute façon, je suis plein de gens à l'intérieur de moi. Mais la flow californienne, clairement, est très, très présente chez moi. Et là, malgré tout, je reviens à vos études. Au terme des quatre années d'études, vous avez votre diplôme en psychologie transpersonnelle. La PNL, c'est à la même époque, je crois ? Oui, parce que pendant mes études, je travaille pour Ginny Laborde. Donc, si on résume l'affaire, quand même, peu de ce dont je me sers dans ma vie professionnelle a été appris à l'école. C'est sur le terrain, c'est dans cette expérience avec Ginny Laborde que j'ai vraiment fait l'expérience de la PNL. Que j'ai fait l'expérience de la formation, que j'ai découvert ce plaisir énorme que j'ai à transmettre les choses et à manier des pédagogies.00:10:46 Personne ne m'a appris ça à l'école ou à l'université. Première question, pourquoi vous faites le choix de rentrer en France au bout des quatre années ? Parce que j'avais un petit copain à Paris. Ah, c'est une excellente raison. Donc, vous rentrez et là, vous ne faites pas le choix de vous lancer comme thérapeute. Pas du tout. Quand je rentre à Paris, la PNL n'existe quasiment pas et donc je commence par créer des premiers séminaires de PNL pour un institut de formation et puis, en fait, être thérapeute, pour moi, n'est pas du tout une valeur ajoutée que je peux apporter. Pour plein de raisons, je mémorise très, très mal les choses. Donc, l'idée de ne pas me souvenir du nom du chat ou de la sœur ou de la mère d'un patient, ça me terrifie avant même d'avoir commencé.00:11:34 Et l'autre chose, c'est que je sais maintenant que j'ai un trouble de l'attention assez manifeste et ça demande beaucoup d'attention et ça demande beaucoup de présence physique. C'est-à-dire que pour moi, il y a deux métiers qui sont vraiment géographiques. C'est tenir une boutique et être thérapeute. On est dans le même endroit et ça ne m'est pas accessible parce que j'ai trop la bougeotte. D'ailleurs, je trouve que ça vous définit bien cette notion de bougeotte parce que quand j'ai voulu préparer notre entretien, j'ai l'impression qu'il n'y a pas d'étiquette. On ne peut pas vous mettre d'étiquette. Donc, on le voit dans votre parcours. Vous faites ces études-là en psychologie, mais finalement, assez vite, vous allez être très présente dans le monde de l'entreprise. Alors, comme vous l'expliquez à travers de la transmission, de la PNL, etc.00:12:19 Mais vous êtes aussi beaucoup dans ce monde-là de l'entreprise. Je fais vraiment mes premières armes professionnelles en travaillant avec les auteurs d'un livre. Tout ça, c'était dans les années 80. Les années 80, c'était La Gagne, c'était Bernard Tapie, etc. Donc, c'est à ce moment-là que je suis rentrée en France. Je travaillais sur, je faisais de la formation à la qualité de service, c'est-à-dire que c'est vraiment le moment où Darty a développé son service après-vente. Enfin, toutes les marques commençaient à parler de ça. Et donc, nous faisions pareil, mes associés rentraient également des États-Unis. Donc, nous étions empreints de cette culture du client dont on s'occupe. Et c'était assez nouveau dans la fin des années 80. Et donc, j'ai fait ça et j'ai fait ça pendant une petite dizaine d'années.00:13:00 Donc, je connais très, très, très bien le monde de l'entreprise. Vous étiez heureuse dans ce monde de l'entreprise, justement. Oui, parce que j'enseignais un sujet qui était nouveau. Ce que je retrouve, cette image de la Californie, en fait, me va très bien parce que c'est le Far West. Et je n'aime que le Far West, c'est-à-dire que je n'aime que les idées qui ne sont pas encore complètement intégrées, parce que je les débusque, parce qu'elles m'intéressent, parce qu'elles me plaisent. Et comme je suis assez joyeux, les bons tuyaux, si j'ai découvert quelque chose, je vais vous dire. Mais est-ce que tu sais que et toute mon histoire, franchement, si je regarde maintenant, parce que maintenant, je peux regarder derrière, j'ai passé suffisamment de temps à vivre pour voir que c'est vraiment le moteur de tout ce que je fais.00:13:48 C'est... Et trois petits points... À ce moment-là, je vais vous raconter la dernière chose que j'ai apprise. Donc, je passe mon temps à aller apprendre des choses pour pouvoir vous dire, est-ce que tu sais que ? Et puis, et c'est comme ça que je partage ça. C'est ça, parce que du coup, il y a la notion d'innovation. Effectivement, que je m'étais noté à essayer de défricher, en fait, des nouveaux terrains. Mais derrière ça, vous avez ce besoin de transmettre, en fait. Une fois que j'ai découvert quelque chose, c'est en effet le premier réflexe qui me vient. Je ne sais pas si vous avez vu que dans un moment, dans ma vie professionnelle, j'ai été ridologue. Alors, ridologue, c'est non pas spécialiste des rides, mais spécialiste des rideaux.00:14:28 J'ai dû apprendre à faire des rideaux parce que je m'installais et que j'avais des fenêtres sans rideaux et qu'on n'arrivait pas à dormir. Donc, je suis allée apprendre à faire des rideaux. C'était dans un moment professionnel de burn-out total. C'est juste après cette période de qualité de service. Vous l'avez terminé sur un burn-out ? Je l'ai terminé sur un burn-out, un baby blues et un deuxième enfant. Ça commence à faire beaucoup, pour la même personne. C'était concomitant. C'était l'enfant de ma fille, qui est mon deuxième enfant. Je me suis rendu compte qu'elle était une fille, je ne savais pas quelle valeur féminine j'allais pouvoir lui transmettre. Donc, votre aîné était un garçon. Oui, c'était OK. La question, la question ne s'est pas posée. J'étais alors là, la naissance d'Arthur a rebattu énormément de cartes.00:15:18 J'en ai même fait un livre qui s'appelle Avant, je n'étais que moi parce qu'il n'y a pas plus grand séisme dans la définition de qui on est, de comment on fait. Il n'y a rien de plus grand que ça. Donc ça, c'est Arthur. Arthur a ouvert la voie. C'est comme le pisteur avec ses explosifs. Il fait exploser le truc. L'aventure se déclenche, mais je continue comme ça à travailler. Et puis, quand enceinte de Pénélope, quand même, mine de rien, la maternité d'Arthur a ébréché énormément de choses chez moi. Et c'est au moment où je suis enceinte de Pénélope que je commence à paniquer. Jusqu'à là, j'ai essayé de tenir le truc à peu près. Et surtout, vraiment avec cette histoire, il y a vraiment cette sorte de féminité, d'identité féminine qui était importante à ce moment-là.00:16:03 Pour moi, je travaillais avec des mecs dans cet univers de l'entreprise extrêmement masculin. Mes parents m'ont élevée de façon féministe. En me disant les garçons et les filles, c'est pareil. Et puis, quand même, avec mon Arthur et puis bientôt ma Pénélope. Non, les garçons et les filles, c'est pas pareil. Et je ne savais pas dire en quoi ce n'était pas pareil, mais je voyais bien que ce n'était pas pareil. Et j'avais besoin de comprendre. Enfin, je ne savais pas. Bref, de toute façon, je ne comprenais rien. J'étais au plus mal et j'étais au fond du seau. On appelle ça des burn-out, mais à cette époque-là, ça s'appelait encore une dépression. C'est ça. D'accord, une gentille dépression et que je soigne et donc que je soigne par des médicaments, par des thérapies, enfin par tout ce type de thérapie.00:16:42 Vous avez une psychothérapie très classique. Et à partir de là, c'est là qu'arrivent les rideaux. Puisque j'ai besoin de rideaux, j'apprends à faire des rideaux et je suis totalement emballée par ce que je viens d'apprendre, mais totalement. Et en fait, j'ai plein d'idées que je ne vois pas dans le commerce. En fait, des têtes de rideaux, des formes de rideaux, des compositions de rideaux. Assez rapidement, je deviens rideologue, c'est-à-dire que j'organise des ateliers chez moi où les gens viennent fabriquer leur paire de rideaux. Donc, on arrive le samedi matin, j'ai des rouleaux de tissu et j'avais une batterie comme ça de machine à coudre et on repartait le dimanche soir avec sa paire de rideaux. Et en fait, ce qu'on venait faire là, c'était ce truc, cette phrase que j'adore, que j'adore, que j'adore, qui est c'est moi qui l'ai fait.00:17:32 Et donc, sous couvert de faire un rideau, il y avait quelque chose, c'était un travail manuel, collectif, sympathique. On faisait ça ensemble. Et surtout, ça provoque de la fierté, ça provoque de la surprise. Ça, c'était en fait un atelier de développement personnel. Oui, voilà, j'allais y venir. Qui passait par un loisir créatif. C'est ça, la réideologie. Vous êtes sorti de cette dépression et de ce burn-out à l'époque. OK. Sauf que vous n'avez pas cru. Plus que ça, puisque vous êtes reparti en entreprise. Ah non, ça a duré. C'est quand même une affaire qui a duré six ans. Ah pardon, OK. Non, non, c'était une vraie, une vraie phase dans ma vie. Mais ce qui s'est passé pendant ce temps-là, c'est que tout ça m'a amené à 1999 où est arrivé Internet.00:18:21 Et pour quelqu'un comme moi, c'est irrésistible, évidemment. Et d'abord avoir d'ailleurs travaillé avec ces rideaux, de réfléchir en deux dimensions, etc., j'avais quand même besoin au bout de toutes ces années de retrouver un métier un peu plus intellectuel parce que j'avais complètement basculé dans un travail manuel. Et quand aujourd'hui je me dis j'avais une quête de ma féminité, ce n'était pas ma féminité que je cherchais tant que ma frivolité. Et j'avais besoin d'exprimer ma fantaisie dans mes histoires de qualité de service. Alors, c'est quand même moi qui arrivais, mais je me déguisais encore. J'avais des tailleurs. J'étais habillée comme on était habillé dans les années 80 pour aller dans les entreprises. J'avais besoin de libérer tout ça. Je vis dans un monde intérieur qui est extrêmement coloré et j'ai appris à le libérer.00:19:16 Chaque décennie m'a permis de libérer un peu plus encore ce monde intérieur. C'est beau, mais par contre, vous le dites, l'appel irrésistible de ce phénomène qui était génial à vivre à la fin des années 90, c'est Internet. C'était surtout ce qu'on peut faire avec Internet. Je suis néophile. Les nouveautés me plaisent. Je suis née dans les années 60. C'était une décennie de nouveautés absolues. La décennie où on a marché sur la Lune, on a été réveillé enfant. J'ai vu ce moment-là, donc je pense que c'est un fusée aussi. Donc, quand Internet est arrivé, je n'ai pas pu résister. Et puis, surtout, c'était un moment où on pouvait se déclarer absolument n'importe quoi. Et ça, c'est ma spécialité. Donc, quand on m'a demandé, parce que tout le monde voulait créer des sites Internet et personne n'a été formé puisque personne n'y avait travaillé.00:20:07 Donc, on m'a dit, on m'a demandé : est-ce que tu peux être rédactrice en chef d'un site Internet ? J'ai dit absolument. Je n'avais pas la moindre idée de ce que j'était en train de faire, mais les gens avec lesquels je travaillais non plus. Alors, c'est un site qui est né et puis qui est mort assez rapidement parce que c'était pas du tout au niveau. Mais c'était ce moment-là, c'était ce moment d'effervescence. C'était cette espèce de ruée vers l'aube. On prenait son seau et puis on partait, on faisait son trou. Et vraiment, voilà, il n'y avait pas de loi. Il n'y avait pas encore de spécialistes. Il y avait du culot, il y avait de la créativité. Il y avait des rencontres, il y avait de l'argent qui coulait à flot parce que tout le monde voulait prendre un bout de ça.00:20:47 Donc, si on croisait quelqu'un qui disait oui, moi, je veux bien essayer. Et vous étiez quoi ? Consultante ? Oui, on venait pour le contenu parce que ce que je sais faire, c'est raconter des histoires ou concevoir des expériences. Comme je n'étais pas technique, je ne savais pas développer. Ça, ce n'est pas la partie qui m'intéressait, donc c'est évidemment la partie visible, les maquettes. Quel aspect ça a ? Donc, j'ai totalement inventé de nouveau un peu de ça. Il y a quand même chez moi quelque chose de l'ordre de l'autodidacte. Comme je vous ai dit, je n'ai pas appris grand chose à l'école. Donc, ce que j'apprends, je suis en immersion permanente. J'ai trouvé le terme cet été en Californie. C'est du full body experience.00:21:30 C'est-à-dire que tout ce que je fais, tout ce que je cuisine, tout ce que je découvre, ce n'est pas tant ce que je lis, c'est ce que je fais, ce que je vis, là où je vais, etc. va me donner une information dont je vais me servir. Il y a vraiment cette notion d'action qui vous habite complètement. Et on l'entend dans votre parcours. Mais cette aventure du digital, elle va durer un petit moment, si je ne dis pas de bêtises. Mais oui, ça dure une bonne dizaine d'années. Puis, il se passe ce qui se passe à peu près toujours dans mes expériences professionnelles. C'est que un jour, les spécialistes arrivent. Et quand les spécialistes arrivent, il se passe deux choses. Mon système devient totalement obsolète parce que ça ne m'intéresse pas de me mettre à niveau.00:22:13 Je ne me mets pas à niveau d'un jeune diplômé d'HEC qui sort avec une spécialité en digital. Jamais de la vie. Mais non, oui, vous n'êtes pas du tout sur le même terrain. Oui, ils arrivent comme un troupeau galopant. Et Internet aussi a beaucoup évolué. Donc, il y a maintenant des codes et dans ces cas-là, ce n'est plus ma place. Je flaire quelque chose. Je n'ai pas flairé Internet. Tout le monde s'en est rendu compte. C'est comme si je flairais l'odeur du pain qui cuit avant qu'il soit complètement cuit. C'est ça. Et c'est ça qui me réveille. Et ça vous a porté pendant dix ans. Vous avez notamment été rédactrice en chef pour Psychologie Magazine. Alors, j'étais chargée des innovations, très exactement. Des innovations du digital de Psychologie Magazine.00:22:56 Il y avait une rédactrice en chef, il y avait une équipe en place. Mais moi, j'étais chargée de créer d'autres sites Internet et de réfléchir à comment utiliser l'interactivité, même à l'intérieur de ces sites, pour la connaissance de soi. Donc, dix années. On entend ce qui va faire que vous allez tourner cette page-là. Je l'ai tournée. Il faut savoir que les pages se tournent violemment. J'ai pris vraiment en pleine face le fait que je n'étais plus du tout au niveau, que les organisations étaient différentes, que ça ne m'intéressait pas, que je ne les intéressais pas. Enfin, c'était. Tout un mélange. La psychologie a été vendue à un grand groupe. Et j'ai dit à ce grand groupe : ce n'est pas la peine de me licencier immédiatement, parce que je ne veux pas faire d'Internet chez vous.00:23:36 Et là, je me suis posé la question du développement durable en me disant : peut-être je peux maintenant réfléchir à des choses plus collectives. Me voilà repartie en Californie pour apprendre le développement durable, puisqu'il y a des universités à San Francisco qui sont entièrement consacrées à ça. Pardon, je me permets de vous interrompre pour remettre dans le contexte. On est au début des années 2010, si je n'ai pas de bêtises. Non, c'est en 2005. Ah oui, donc on parlait très peu de ces sujets-là. Là encore, vous aviez senti le pain chaud. On commençait à parler du RSE, du RSE. On parlait un peu de l'obligation qu'auraient les entreprises à l'avenir. C'est ça, mais à l'époque, ça nous paraissait encore très lointain.00:24:15 Ah oui, non seulement c'était lointain, mais en tout cas, l'entreprise pour laquelle je travaillais n'en avait absolument rien à faire. C'est ça qui était génial. Donc, bref, je pars, je vais apprendre ça et je leur dis : Laissez-moi réfléchir à la responsabilité sociale et environnementale d'un groupe de presse, parce que c'est intéressant quand même. Et puis, alors là, ça a été le fiasco total pour plein de raisons. D'abord, aller travailler dans une très grosse boîte, c'était la première fois de ma vie et la seule. Ça, ça n'est pas mon équation ni mon biotope du tout. Ce n'était pas un endroit pour moi. Et puis surtout, ça ne les intéressait pas. Et en plus de ça, ça nous a mené jusqu'en 2008, où il y a eu une crise économique très importante.00:24:54 Et les premiers budgets, les premiers budgets qui sautent dans ces cas-là sont des budgets de publicité. Les groupes de presse vivent de la publicité. Donc, ils ont perdu 75% de leurs recettes en un trimestre. Donc, le développement durable, c'est peu de dire que ce n'était pas du tout leur délire. Au fond du tiroir, oui, bien sûr. Et donc, mon emploi me quitte. Donc, de nouveau, recrise, parce que me voilà au chômage. Et puis, à chaque fois, l'inconvénient de mon système de fonctionnement, c'est que pour m'emballer pour quelque chose, il faut d'abord que je rencontre quelque chose. Et oui, c'est ça. Et donc, il n'y a rien à se mettre sur le plan. Qu'est-ce qu'il y a là-dedans ? Il y a des plages de recherche et de désespoir. De dépression encore ?00:25:32 On se dit, je ne sais pas si c'est de la dépression, mais c'est énormément d'angoisse. C'est comme quand on attend de tomber amoureux. On ne sait pas, on ne peut pas savoir. Donc, on se dit, mais c'est quand ? C'est dans 35 ans ou c'est dans deux semaines ? Ou est-ce que c'est au coin de la rue ? On ne sait pas. Donc, ça me met comme ça dans des moments de recherche. Mais alors que je m'ennuyais ferme dans ce job précédent, où franchement, je faisais très peu de choses utiles, je m'étais inscrite au cours de psychologie positive. Donc, le premier cours qui était proposé en ligne par Tom Benchard, par l'intermédiaire de l'Université de Pennsylvanie. Donc, je faisais ça entre deux. Je faisais ça à mon bureau, ça ne se voyait pas.00:26:11 Et puis, tout à coup, n'étant plus tenue d'aller au bureau, j'ai eu plus de temps pour pouvoir m'y consacrer. Et je m'y suis engouffrée. C'était passionnant. C'était vivant. J'étais le sujet. C'était le sujet d'études, puisque les devoirs que nous avons à faire en psychologie positive, comme il ne s'agit pas d'une pathologie, de traiter quoi que ce soit comme pathologie, c'est simplement la vie à laquelle on s'adresse. Donc, nous étions nos propres cobayes. Et c'était les devoirs qui étaient exigés de nous. Je ne sais plus combien on était, 500, je crois, dans ce cours, dans le monde entier. Et c'est comme ça que j'ai rencontré tout ça. Et c'est à la suite de ça, toujours au chômage d'ailleurs, que j'ai eu envie de raconter.00:26:52 J'ai trouvé ça tellement chouette que j'ai eu envie de raconter ce que j'avais appris et ce que ça m'avait permis d'appliquer ou de comprendre. Et c'est comme ça que j'ai écrit 'Trois kiffes par jour'. Donc, là, en fait, quand vous l'écrivez, évidemment, vous n'imaginez pas la résonance que ça va avoir et la bascule que vous allez faire. D'autant que pendant ce temps-là, Hachette m'avait offert un bilan de compétences. Alors, j'ai passé des heures et des heures et des heures avec une dame. Et à la fin de tous les jours, de tous les bilans, d'avoir fait des listes, d'interroger des gens, etc. Elle me dit « Écoutez, Flan, ça va être un peu plus long avec vous. Il va falloir revenir ». Et donc, j'ai dit « Non, mais ça suffit maintenant ».00:27:35 Mais elle m'avait quand même dit, je l'ai retrouvé il n'y a pas très longtemps, ce bilan de compétences. Et elle avait dit quelque chose d'extraordinairement juste. Elle avait dit qu'il fallait que je trouve un sujet différent de ce que j'avais vécu jusqu'à présent pour le présenter à l'extérieur, et inventer les outils qui permettaient de le transmettre. Et quand j'ai lu cette phrase, je me suis dit « Ça ne veut rien dire. » J'avais l'impression de lire l'horoscope. C'était tellement abstrait. C'est quand même exactement ce que j'ai fait. Mais sauf que la réalité, rétrospectivement, c'est ça que je devais faire, et c'est ça que j'avais à faire, et c'est ça, en fait, que j'ai fait. Et que vous faites encore aujourd'hui.00:28:11 Donc, c'est là que vous avez écrit ce livre, 'Les trois kiffs par jour', qui a tout de suite été hyper intéressant. Alors, 'Trois kiffs par jour' paraît. J'arrive à la fin de mes deux ans de chômage. Et pendant ce temps-là, quand même, j'avais fait un peu de télévision. J'ai animé une première chronique dans une émission de cuisine. Parce que c'est un autre sujet qui m'intéresse. Aussi, très initié à tout ça par mon cousin David, serveur Schreiber, qui était psychiatre et donc atteint d'une tumeur au cerveau. Il a dû complètement réformer son mode de vie et son alimentation. Donc, nous avons tous modifié notre alimentation pour que David, tout simplement, puisse venir à la maison. David, pardon, je fais une parole.00:28:50 (En parenthèse, c'est lui qui a écrit « Guérir », donc, livre hyper connu, où justement, il nous a initiés aussi, à travers ce livre, à la méditation, etc. Je crois, le MDR aussi, si je ne dis pas de bêtises. Le MDR, la cohérence cardiaque. C'est ça. Et la psychologie positive. C'est là que j'ai lu, pour la première fois de ma vie, le terme « psychologie positive ». Je voulais faire juste cette parenthèse pour le resituer. Et donc, vous, évidemment, là, vous avez dit. Alors, comme j'étais vraiment, voilà, il fallait, comme je vous dis, je suis quelqu'un qui cherche, enfin, qui cherche.) Donc, il y a ce sujet-là de l'alimentation, à la fois santé et sexy, parce que c'est toujours pareil.00:29:27 Si on vous dit « il ne faut pas manger, il ne faut pas manger, il ne faut pas manger », c'est différent de dire « voilà, des recettes géniales ». J'avais, comme ça, tenu une chronique à la télévision, sur Cuisine TV. Par la suite, j'ai eu ma propre émission, qui s'appelait « Des recettes qui font du bien ». Et on a fait quatre saisons. Ça, c'était comme d'aller à la récré, quoi. J'avais un décor. On m'avait demandé ce que je voulais, comme cuisine. J'avais vraiment décrit mon décor idéal. Ils avaient créé le décor idéal. Du coup, l'intérieur de ma tête était devant moi. C'était génial. Et donc, en effet, on cuisinait. Alors, on me maquillait, on me coiffait. Enfin, j'ai adoré.00:30:03 Et donc, vraiment, j'arrive à la fin de cette période de chômage et de temps en temps, comme ça, des tournages d'émissions. Mais ce n'est pas de ça dont je vais vivre. Donc, je m'apprête à retourner à Pôle emploi. Sauf que « Trois kiffes par jour » commence à se vendre. Et « Trois kiffes par jour » commence à se vendre très vite. Et surtout, il y a eu comme ça, parce que ça s'appelait « Trois kiffes par jour », je crois, il y a eu une traction dans les médias. Et donc, je me suis retrouvée au Grand Journal de Canal+. Oui, c'était le grand rendez-vous de début de soirée. J'ai jamais eu aussi peur de ma vie. J'étais tellement stressée. J'étais très intimidée parce que c'est une émission que moi, je regardais avec ferveur.00:30:43 Donc, j'avais l'impression d'être dans la cour des grands. J'ai eu exactement 3 minutes 30 à l'antenne. Mais ça a été 3 minutes 30 formidables parce que d'abord, le sujet est passé. On a commencé, c'était Mouloud Achour qui était en face de moi et qui commence à faire des gestes comme s'il était en train de fumer un joint en disant » Moi aussi, je fume trois cigarettes par jour. Et il y avait à côté de moi Leïla Bekhti, qui est une actrice formidable. Et c'est elle qui l'a repris en lui disant « Mais non, c'est pas du tout ça. Je vais te dire un truc. J'ai eu mon frère au téléphone tout à l'heure et j'adore mon frère. Eh bien, c'est un cliché. Et quand je parle à mon frère, je ressens des choses formidables.00:31:20 » Elle l'a illustré parfaitement, c'est ça. Elle l'a expliqué avec ses mots. Et à partir de là, parce que c'est un peu organisé comme ça en France, les médias se suivent les uns les autres, le fait d'être passée à cette émission m'a ouvert les portes de tout un tas d'autres choses. Eh bien oui. Il y a eu comme ça du buzz autour du livre. Mais il faut reconnaître, c'était il y a presque 15 ans maintenant, le livre se vend toujours. Et le livre se vend toujours toutes les semaines. Donc, ce n'est pas que le buzz d'il y a 15 ans. C'était vraiment, c'est vraiment quelque chose. Je crois que le contenu du livre fait aussi partie de ces contenus qui sont accessibles, identifiables. On s'y reconnaît.00:31:56 Ces transitions de vie, parce que c'est quand même un livre qui raconte plein de transitions de vie, se présentent à n'importe quel moment dans la vie des uns, des autres, se représentent dans ma mienne. Une fois que « Trois kiffs par jour » est sorti, je commence à me demander de donner des conférences. Et ça, c'est un métier que j'avais complètement mis sous le tapis pendant 20 ans puisque c'était mon premier métier. En formation de PNL ? Oui, formation de PNL et à la qualité de service surtout. C'est ce que je faisais. Et j'ai retrouvé ce métier qui est ma vocation. C'est quand même celui-là. En résumant tout, c'est de venir raconter, de venir raconter, de venir raconter sous toutes les formes.00:32:37 Donc, depuis « Trois kiffs par jour », ça a été sous la forme, évidemment, de conférences. Ça, c'est vraiment ma vie professionnelle dans la journée. Je vais dans des entreprises et je donne des conférences. J'organise des choses dans des théâtres pour le grand public. Donc, quand j'ai une nouvelle conférence, j'en fais presque un spectacle. J'ai également créé un vrai spectacle qui s'est appelé « La fabrique à kiff ». Alors ça, vous étiez en scène. En scène, absolument. Ce n'était pas ça votre rêve d'enfant, d'ailleurs. Je n'ai pas lu ça. C'était l'un de mes rêves d'enfant. C'est Julie Androuz ? Oui, Julie Androuz, tout à fait. Pour la resituer, c'est Marie Poppins ou comment elle s'appelle ? C'est Maria dans « La mélodie du bonheur ». Maria dans « La mélodie du bonheur ».00:33:16 Donc là, quand vous faites « La fabrique à kiff », vous êtes sur scène auprès de deux amis, c'est ça ? Alors, deux femmes que j'ai rencontrées à cette occasion qui sont devenues des amies, qui étaient thérapeutes. Et on incarnait nos propres rôles. C'est-à-dire que j'étais Florence Servan-Schreiber, prof de bonheur, et elle était thérapeute. Et donc, on a écrit un spectacle hilarant. Évidemment, on s'est fait aider par des gens qui nous ont mis en scène, qui nous ont aidés dans l'écriture. C'était aussi de pénétrer un autre univers qui est celui du théâtre. On a tourné pendant trois ans avec ce spectacle incroyable où, le lundi soir, on allait jouer comme ça dans toute la France. Et puis, le reste de la semaine, on faisait notre métier comme d'habitude.00:33:56 Dites-moi si je me trompe, mais j'ai l'impression que depuis « Les trois kiffes par jour », vous avez tiré ce fil-là de vulgariser le bonheur, de le rendre accessible simplement. Il n'y a pas ce côté un peu prise de tête qu'on peut parfois ressentir dans le développement perso. Ce que vous nous offrez, c'est la psychologie positive que vous nous rendez accessible à travers des outils simples. Là, on a pas mal parlé de cet exercice des « trois kiffes par jour », mais vous parlez aussi d'écriture, de cohérence cardiaque, etc. Est-ce que c'est ça, aujourd'hui, votre activité ? Mon activité, c'est de faire des choses, de ne parler que de sujets sérieux sans me prendre au sérieux. Oui, c'est ça. Donc, tout ce dont je vous parle est fondé, vient de quelque part.00:34:40 Ce dont je me rends compte aujourd'hui, c'est que les trois kiffes par jour est un autre fondement qui me permet d'appuyer des choses que je viens raconter. C'est mon expérience. C'est-à-dire qu'à mon âge, on ne peut plus faire l'économie de son expérience. Je ne peux pas raconter mon parcours comme une étudiante qui travaille depuis 10 ans ou depuis 20 ans. J'ai la totalité d'une vie derrière moi. Donc, c'est aussi la base de tous ces apprentissages. Donc, il y a vraiment cette notion de transmission qui va prendre plein de formes, que ce soit à travers vos livres, à travers les conférences que vous donnez, ce que vous faites sur scène. Je crois que vous avez aussi sur Internet des programmes. Il y a une académie en ligne.00:35:18 Donc, ça va être par l'écriture, par la parole, par du digital. Je viens vous raconter ce que je sais. Et en effet, l'écriture, par exemple, est un des sujets sur lesquels j'ai également travaillé. J'ai publié un livre qui s'appelle Écrire pour s'épanouir et kiffer. Après avoir été chercher toutes les recherches qui ont été faites sur le pouvoir de l'économie et de l'écriture sur notre psychisme et vie psychologique. Donc, à la fois les traumatismes en thérapie, mais aussi l'épanouissement, la créativité, la façon dont on peut vraiment se développer grâce à ça. Là, je vous écoute et je me dis vraiment, c'est super de parler avec vous pour cette semaine de la santé mentale parce que souvent, on résume la santé mentale au trauma. Et puis là, en fait, vous, vous reliez ça beaucoup à une clé d'épanouissement.00:36:08 En fait, on n'est pas obligé de parler du noir tout le temps et des choses négatives. On est obligé de parler du noir au contraire, on va cultiver avec vous, on cultive le positif. Le trauma sera là, quoi qu'il arrive. Alors il, il prend toute la place, il fait tout ce qu'il veut, c'est lui qui règne. Donc, si on veut le contrebalancer, en fait, il faut en prendre la décision, c'est-à-dire qu'on apprend énormément de choses sur le trauma. Ce que je sais, c'est qu'on peut aussi apprendre énormément de choses sur l'épanouissement. Et mon job à moi, c'est ça, puisque le trauma. Alors je ne sais pas si vous savez ça, mais je suis par ailleurs présidente de l'école qu'avait créée David qui s'appelle l'Institut français de l'EMDR.00:36:49 Et donc, nous formons chaque année des centaines de thérapeutes à l'EMDR. Et l'EMDR, c'est vraiment pour le traumatisme. Donc, je suis dans mon fort intérieur, dans la partie de moi qui aime aider, celle qui est au service. J'ai les deux extrémités de l'éventail, c'est-à-dire que le traumatisme est couvert par des gens. Moi, je ne pourrais pas vous enseigner ça parce que vraiment, ce sont des gens qui sont complètement confinés, qui font ça. Et de l'autre côté, je viens nous rappeler que malgré et en plus de notre main, il y a des choses que nous pouvons faire avec légèreté. Pour moi, une journée est une composition de moments. Ce n'est pas une journée. Il y a différents instants, il peut y avoir différentes couleurs, différents goûts, différentes saveurs dans la journée.00:37:32 Avant de passer aux questions rituelles, j'aimerais savoir ce que vous aimeriez dire à cette Florence qui a 19 ans, qui n'est pas hyper bien dans sa peau, si je comprends bien, qui est sur le point de s'envoler pour la Californie. La femme que vous êtes aujourd'hui. La seule chose que j'ai à lui dire, c'est ça va aller. Et quoi qu'il arrive, ça va aller. Et c'est vrai. Et c'est aller dans énormément de directions, vers le haut, vers le bas, vers la droite, vers la gauche. Mais ça va aller. Nos ressources sont incroyables et nous avons chacune et chacun notre façon de faire. Et ce dont on se rend compte vraiment, décennie après décennie, parce que là, maintenant, j'en ai plein dans les pattes des décennies, c'est qu'en tout cas, chez moi, chacune va être traitée d'une certaine façon et permet à l'autre de se consolider et de construire dessus et qu'on n'arrête jamais cette construction.00:38:27 Heureusement. C'est fatigant, mais c'est fantastique. C'est tout ça à la fois, c'est vrai. Allez, mais quelques questions rituelles pour terminer. J'aimerais savoir, vous, Florence, si vous êtes à l'écoute de votre petite voix au quotidien. Nous sommes sept. Ça fait du monde. À l'intérieur. À l'intérieur de moi. Donc, je suis sans arrêt en dialogue avec quelque chose qui est à l'intérieur de moi. Si vous faites référence à l'intuition, au fait d'avoir pris de mauvaises décisions, bien sûr, je prends de mauvaises décisions, malgré le fait que je n'écoute pas toujours. Il y a des choses que je me dis et puis il y a des choses que je ne me dis pas, très franchement, que je découvre en marchant. Mais oui, j'ai beaucoup, beaucoup de dialogue intérieur et je suis très, très sensible à cette partie-là.00:39:09 Et j'ai, j'ai, j'aimerais qu'elle prenne encore plus de place. J'aimerais qu'elle mène la danse, en fait. Ça me ferait des vacances. Je pense qu'on en est tous là, mais que le mental prend de la place. C'est ça. Est-ce qu'il y a un livre qui a particulièrement éclairé votre chemin de vie ? Quand j'ai lu Manche Première d'Elisabeth Gilbert, ça a ouvert quelque chose de très important pour la suite, qui était, elle écrivait ce livre à la première personne et c'est au moment où je m'attaquais à Trois Kifs par Jour, c'est quelqu'un qui m'a dit « Ah, mais tu as lu Manche Première et non ? » Donc, je l'ai acheté et j'ai découvert qu'en parlant à la première personne, je m'identifiais complètement à elle et ça m'a autorisée à écrire Trois Kifs par Jour comme ça.00:39:49 Et ça a complètement libéré quelque chose dans mon écriture depuis parce que c'est là que mon écriture, ce n'était pas le premier livre, mais c'est vraiment à partir de là que j'écris quasiment tous les jours. Je ne parle même plus au singulier, je parle au pluriel, c'est-à-dire c'est nous. Je considère que tout ce qui m'arrive, tout ce qui vous arrive, m'arrive aussi. Donc, ça nous arrive. Donc, ce livre-là a ouvert ça pour moi. Est-ce que vous avez un rituel bien-être quotidien ? Le matin au réveil, la première chose que nous faisons, Alex, Marie et moi, c'est que nous méditons. OK. Au lit, alors couché, pas du tout dans les positions zen, etc. Oui. Mais nous méditons au lit. OK, d'accord. Bon, et Florence, est-ce que vous êtes heureuse ?00:40:32 À cet instant précis, oui, mais je ne sais répondre que dans l'instant. Je suis vraiment comme les dorades, c'est-à-dire que je suis vraiment que je vois là où je suis. Je peux vous le dire là maintenant. Rien ne me dit que dans un quart d'heure, je ne serais pas effondrée par un blocage. Je ne sais pas, quelque chose qui se présente là. Je suis incapable de vous dire oui, je suis heureuse. Mais là, tout de suite, maintenant ? Là, tout de suite, oui. Chouette. Vous savez quoi, Florence ? Ça a été un vrai kiff pour moi, cet entretien. Donc, je vous remercie beaucoup. Je repars avec un grand sourire. Et moi aussi. Merci beaucoup.______________________________________Semaine de la Santé Mentale • Psychologie positive • 3 kifs par jour • PNL (Programmation Neuro-Linguistique) • épanouissement personnel • psychologie transpersonnelle______________________________________Vous aimerez cet épisode si vous aimez : Métamorphose, éveille ta conscience ! (Anne Ghesquière) • Le podcast de Pauline Laigneau • Comment tu fais (Laury Thilleman) • Psychologie Positive Et Hypersensibilité (Laurie Zed) • podcast Emotions................................................La petite voix est un podcast du label Lacmé Production.
Voilà un extrait du prochain épisode… Rendez-vous mardi pour le découvrir dans son intégralité !................................................La petite voix est un podcast du label Lacmé Production.
Florence Servan-Schreiber est une exploratrice des chemins de l'imagination. Ici, elle nous emmène dans un voyage inspirant pour comprendre les rouages de la créativité. En tant qu'écrivaine, conférencière et experte renommée en développement personnel, elle nous partage son expertise sur la façon de libérer le potentiel créatif qui sommeille en chacun de nous. Allez, place à cette conversation bonné écoute ! Pour en savoir plus : https://www.le-blog-du-bol.fr/comment-developper-sa-creativite/https://www.florenceservanschreiber.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Florence Servan-Schreiber, diplômée en psychologie transpersonnelle, management du développement durable et psychologie positive d'universités américaines. Elle est l'auteur de best-seller dont Trois kifs par jour et Power Patate, publiés par Marabout. Journaliste et conférencière, elle est reconnue comme une pionnière dans le domaine de la diffusion de la science du bonheur qu'elle enseigne aussi à l'ESCP. Catherine Testa, influenceuse, entrepreneuse et conférencière, auteure du best-seller Osez l'optimisme, paru chez Michel Lafon en 2019. Sylvain Seyrig, coach professionnel à Paris et en ligne, spécialisé dans le renforcement de la confiance en soi, la gestion des émotions difficiles. Elyse Lopez, préparatrice mentale pour athlètes.
Par/Avec Marc Baillet. Dans ce nouvel épisode de l'émission Heroic People vous sont proposés de courts extraits des épisodes des derniers mois. Trois invités vous livrent : *Ce que signifie pour eux qu'être l'héroïne ou le héros de sa propre vie *Ce qu'est la force d'âme *Un conseil pour améliorer dès maintenant son quotidien Avec moi dans cet épisode : *Léonard Anthony est praticien en hypnose écologique et spécialiste de la fatigue. Il est l'auteur de plusieurs livres dont le dernier, Good bye fatigue.2:25 *Florence Servan-Schreiber est formatrice en psychologie positive, auteur et conférencière, experte du bonheur par la pratique de la gratitude.6:15 *Albert Moukheiber est psychologue et docteur en neurosciences, auteur de Votre cerveau vous joue des tours.13:45 Si vous appréciez ce que vous écoutez et entendez, vous pouvez retrouver les liens vers les épisodes complets et mes invités ici : https://heroicpeople.fr/index.php/leonard-anthony-comment-dire-goodbye-a-votre-fatigue-65/ https://heroicpeople.fr/index.php/florence-servan-schreiber-le-prodigieux-pouvoir-de-la-gratitude-54/ https://heroicpeople.fr/index.php/albert-moukheiber-la-neuroscience-de-soi-chacun-est-cable-differemment-87/ Pour ne rien manquer, c'est ici ! Mettez le son ! *** Pour accéder à tous les épisodes et invités, c'est sur www.heroicpeople.fr Inscrivez-vous à la Newsletter ici : www.heroicpeople.fr et recevez régulièrement une petite dose d'inspiration à lire en 5 minutes *** Si vous avez apprécié le Podcast, laissez-moi un commentaire et quelques étoiles ici https://podcasts.apple.com/fr/podcast/heroic-people-podcast/id1510935846?mt=2&ls=1 ! Cela prend 60 secondes et permet de convaincre les invités du podcast ! Retrouvez-nous sur www.heroicpeople.fr pour découvrir le podcast plus en détails, la newsletter, mes livres, nos services d'accompagnement et de coaching d'équipe.
Par/avec Marc Baillet. M-E-R-C-I. Ces cinq lettres assemblées sèment une belle énergie dans nos relations humaines et dans notre relation à la vie. Qui n'aime pas recevoir un merci pour un service rendu, pour une aide offerte, pour une écoute donnée, pour un soutien témoigné, pour une prestation effectuée ? Le mot « merci » est doux et agréable à entendre quand il vient du cœur. La gratitude est en effet le moteur secret de l'amour et de la joie. Elle nous transforme physiquement, psychologiquement et spirituellement. Elle métamorphose nos relations à nous-même, aux autres et à la vie. Dans la vraie joie du don. Même au sein des épreuves. La gratitude a de prodigieux pouvoirs ! Quels sont ces pouvoirs ? Comment cultiver la gratitude ? Comment grandir dans la gratitude vis-à-vis de soi-même ? Comment introduire la gratitude en toutes circonstances dans notre quotidien ? Comment vivre la gratitude en temps d'épreuve ? Florence Servan-Schreiber est professeure de bonheur, conférencière, formatrice et journaliste. En France dans les années 1980, elle a été parmi les premières à enseigner la programmation neuro-linguistique. Aujourd'hui, elle anime des "Ateliers d'inspiration au bonheur" pour permettre à chacun d'introduire les enseignements de la psychologie positive dans sa propre vie. Ses enseignements se déclinent également sur scène, à travers un spectacle, et en ligne avec l'académie www.3kifsacademie.com. Elle est l'auteur de nombreux livres dont Power Patate vous avez des super pouvoirs ainsi que 3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science du bonheur devenu un best-seller. Dans cet épisode, Florence nous parle du prodigieux pouvoir de la gratitude. Dans une approche psychologique, spirituelle et nourrie d'histoires inspirantes, elle nous donne des clés, des conseils, des exercices pratiques, pour vivre la gratitude. Nous parlons également de ce qui l'anime dans la vie et de ce que signifie pour elle "être l'héroïne ou le héros de sa propre vie". Et bien plus encore… Vous souhaitez prendre une dose d'inspiration et de conseils concrets pour mettre la gratitude au coeur de votre vie ? Ne ratez pas cette conversation inspirante avec Florence ! C'est ici ! Mettez le son ! *** Si vous avez apprécié le Podcast, laissez-moi un commentaire et quelques étoiles ici https://podcasts.apple.com/fr/podcast/heroic-people-podcast/id1510935846?mt=2&ls=1 ! Cela prend 60 secondes et permet de convaincre les invités du podcast ! Retrouvez-nous sur www.heroicpeople.fr pour découvrir le podcast plus en détails, la newsletter, mes livres, nos services d'accompagnement et de coaching d'équipe.
Objectif santé, émission médicale présentée par Karen Taieb. Elle reçoit Florence Servan-Schreiber pour la réédition de son livre « 3 kifs par jour » aux éditions Marabout. À propos du livre : « 3 kifs par jour » paru aux éditions Marabout Un kif, c'est un événement, une rencontre, une sensation ou une image qui nous fait du bien et qui permet de cerner ce qui nous rend heureux. L'auteure présente dans cet ouvrage des idées, des conseils et des exercices qui proposent de voir les choses avec optimisme, de développer nos qualités plutôt que de corriger nos défauts, de nous rapprocher des autres et, surtout, de savourer la vie. Formée à la psychologie humaniste et au développement durable en Californie, Florence Servan-Schreiber a exercé les métiers de formatrice, conférencière, journaliste et chroniqueuse sur ces sujets. Elle a fondé une école de couture d'ameublement pour connecter ses élèves à leur créativité, puis a dirigé les innovations numériques du groupe Psychologies Magazine en créant ses sites Internet consacrés à la connaissance de soi. Elle a également publié chez Marabout Power Patate et La fabrique à kifs.
Par/avec Marc Baillet. M-E-R-C-I. Ces cinq lettres assemblées sèment une belle énergie dans nos relations humaines et dans notre relation à la vie. Qui n'aime pas recevoir un merci pour un service rendu, pour une aide offerte, pour une écoute donnée, pour un soutien témoigné, pour une prestation effectuée ? Le mot « merci » est doux et agréable à entendre quand il vient du cœur. La gratitude est en effet le moteur secret de l'amour et de la joie. Elle nous transforme physiquement, psychologiquement et spirituellement. Elle métamorphose nos relations à nous-même, aux autres et à la vie. Dans la vraie joie du don. Même au sein des épreuves. La gratitude a de prodigieux pouvoirs ! Quels sont ces pouvoirs ? Comment cultiver la gratitude ? Comment grandir dans la gratitude vis-à-vis de soi-même ? Comment introduire la gratitude en toutes circonstances dans notre quotidien ? Comment vivre la gratitude en temps d'épreuve ? Florence Servan-Schreiber est professeure de bonheur, conférencière, formatrice et journaliste. En France dans les années 1980, elle a été parmi les premières à enseigner la programmation neuro-linguistique. Aujourd'hui, elle anime des "Ateliers d'inspiration au bonheur" pour permettre à chacun d'introduire les enseignements de la psychologie positive dans sa propre vie. Ses enseignements se déclinent également sur scène, à travers un spectacle, et en ligne avec l'académie www.3kifsacademie.com. Elle est l'auteur de nombreux livres dont Power Patate vous avez des super pouvoirs ainsi que 3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science du bonheur devenu un best-seller. Dans cet épisode, Florence nous parle du prodigieux pouvoir de la gratitude. Dans une approche psychologique, spirituelle et nourrie d'histoires inspirantes, elle nous donne des clés, des conseils, des exercices pratiques, pour vivre la gratitude. Nous parlons également de ce qui l'anime dans la vie et de ce que signifie pour elle "être l'héroïne ou le héros de sa propre vie". Et bien plus encore… Vous souhaitez prendre une dose d'inspiration et de conseils concrets pour mettre la gratitude au coeur de votre vie ? Ne ratez pas cette conversation inspirante avec Florence ! C'est ici ! Mettez le son ! *** Si vous avez apprécié le Podcast, laissez-moi un commentaire et quelques étoiles ici https://podcasts.apple.com/fr/podcast/heroic-people-podcast/id1510935846?mt=2&ls=1 ! Cela prend 60 secondes et permet de convaincre les invités du podcast ! Retrouvez-nous sur www.heroicpeople.fr pour découvrir le podcast plus en détails, la newsletter, mes livres, nos services d'accompagnement et de coaching d'équipe.
Dans cet épisode, je reçois Florence Servan Schreiber. Florence grandit entre Paris et les Etats-Unis, au sein d'une famille de 4 enfants et plus globalement accompagnée d'une "tribu" de nombreux cousins et cousines qui composent sa constellation familiale. Dès l'enfance, l'amitié prend une place centrale pour Florence. Après une adolescence difficile, elle découvre le développement personnel en Californie et fait des études en psychologie transpersonnelle puis se forme à la programmation neurolinguistique (PNL). À son retour en France, elle rejoint un projet d'entreprise ou elle se charge de la formation et intervient dans de grandes entreprises qu'elle sensibilise à la psychologie positive. La naissance de ses enfants, notamment sa fille, changera son rapport à la féminité et au travail. Celà donnera d'ailleurs lieu à l'un de ses premiers livres: "Avant je n'étais que moi" qui parle de maternité et de féminité dans l'époque actuelle. Florence expérimentera dans son parcours le burn out et se reconvertira quelques années dans le métier assez improbable de rideaulogue, qui consiste donc à créer de A à Z des rideaux ! Ces quelques années lui procureront une immense satisfaction même si elle reviendra à la psychologie en travaillant quelques années pour le groupe PSYCHOLOGIE. Florence est aujourd'hui conférencière et autrice d'ouvrages à succès comme "3 kiffs par jour" qui présente l'importance (et les bénéfices !) de la gratitude comme pratique quotidienne. Nous avons également parlé de son rapport au risque, à l'audace et au trac. Florence nous donne d'ailleurs 5 clés très utiles pour la prise de parole en public, les "5C" qu'elle utilise comme un ancrage. Enfin, Florence revient sur l'importance des rituels amicaux avec ce qu'elle appelle "sa brigade du rire" et qui souligne l'importance de la nature de nos relations. Nous avons enfin bien entendu parlé d'ambition, comme vous pouvez vous en douter
Nous retrouvons de nouveau Florence Servan-Schreiber, grande spécialiste de la Psychologie Positive, nous explique comment appliquer son principe des 3 kifs par jours.
Florence Servan-Schreiber, formée à la psychologie humaniste et au développement durable en Californie, est "professeur de bonheur". Elle nous raconte les origines de ses écrits et nous défini sa vision du flow, de l'état de grâce, ses moments où nous perdons la notion du temps lors d'une bonne concentration.
Florence Servan-Schreiber possède mille cordes à son arc : elle est journaliste, autrice, conférencière et entrepreneuse. Avec talent, intuition et une joie communicative, elle partage ses outils au service d'une humanité plus créative et plus heureuse. Dans cet épisode pétillant et joyeux, elle nous parle d'éducation féministe, de femmes qui partent à l'aventure, de freins à la créativité et de libération du processus d'écriture. Écoutez-la nous parler d'Elizabeth Gilbert et de sa mère Claude Servan-Schreiber. Cet épisode est une pépite
Florence Servan Schreiber est professeur de bonheur, diplômée en psychologie transpersonnelle, adepte de yoga et méditation de pleine conscience, auteur de nombreux ouvrages de pensée positive et passionnée de cuisine. Son mot préféré ? KIF bien sûr !Son dernier livre « Écrire pour s'épanouir et kiffer » est une formidable invitation à écrire : quel que soit le support et l'objectif, écrire est selon elle le meilleur exercice thérapeutique et libératoire pour mieux canaliser ses pensées et ses émotions, et progresser dans sa vie … Un livre à mettre entre toutes les mains de ceux qui ont envie mais n'osent pas se lancer !Avec beaucoup de bonne humeur et d'enthousiasme, et une grosse dose de sincérité, Florence revient sur son propre parcours, ses clefs de sagesse, ses doutes, ses découvertes introspectives et ses projets… Une Conversation du Tigre #verygoodmood et très inspirante ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Par/Avec Marc Baillet. Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'émission Heroic People. Ceci est un « entre-deux épisodes » dans lequel vous sont proposés de courts extraits des épisodes des derniers mois. Je vous présente un bref clip de chaque conversation pour vous donner une première saveur de chaque épisode et invité. Voyez-le, ou plutôt entendez-le, comme un teaser. Quelque chose pour vous mettre en appétit. Si vous appréciez ce que vous entendez, vous pouvez écouter les épisodes dans leur intégralité ici : heroicpeople.fr Avec moi dans cet épisode : *Gauthier Dewas, lieutenant-colonel dans l'armée de l'air, par deux fois leader de la mythique Patrouille de France (1,22) *Florence Servan-Schreiber est formatrice en psychologie positive, auteur et conférencière, experte du bonheur par la pratique de la gratitude (4,40) *Jean-Charles Trouabal est un sprinter, champion d'Europe et du monde. Il fait des interventions en entreprise sur l'impulsion d'énergie collective (8,45) Pour ne rien manquer, c'est ici ! Mettez le son ! *** Titres des épisodes complets : https://heroicpeople.fr/index.php/gauthier-dewas-oser-la-confiance-40/ https://heroicpeople.fr/index.php/florence-servan-schreiber-le-prodigieux-pouvoir-de-la-gratitude-54/ https://heroicpeople.fr/index.php/jean-charles-trouabal-comment-developper-son-energie-et-sa-vitalite-21/ *** Pour accéder à tous les épisodes et invités, c'est sur www.heroicpeople.fr Inscrivez-vous à la Newsletter ici : www.heroicpeople.fr et recevez régulièrement une petite dose d'inspiration à lire en 5 minutes *** Si vous avez apprécié le Podcast, laissez-moi un commentaire et quelques étoiles ici https://podcasts.apple.com/fr/podcast/heroic-people-podcast/id1510935846?mt=2&ls=1 ! Cela prend 60 secondes et permet de convaincre les invités du podcast ! Retrouvez-nous sur www.heroicpeople.fr pour découvrir le podcast plus en détails, la newsletter, mes livres, nos services d'accompagnement et de coaching d'équipe.
Par/avec Marc Baillet. M-E-R-C-I. Ces cinq lettres assemblées sèment une belle énergie dans nos relations humaines et dans notre relation à la vie. Qui n'aime pas recevoir un merci pour un service rendu, pour une aide offerte, pour une écoute donnée, pour un soutien témoigné, pour une prestation effectuée ? Le mot « merci » est doux et agréable à entendre quand il vient du cœur. La gratitude est en effet le moteur secret de l'amour et de la joie. Elle nous transforme physiquement, psychologiquement et spirituellement. Elle métamorphose nos relations à nous-même, aux autres et à la vie. Dans la vraie joie du don. Même au sein des épreuves. La gratitude a de prodigieux pouvoirs ! Quels sont ces pouvoirs ? Comment cultiver la gratitude ? Comment grandir dans la gratitude vis-à-vis de soi-même ? Comment introduire la gratitude en toutes circonstances dans notre quotidien ? Comment vivre la gratitude en temps d'épreuve ? Florence Servan-Schreiber est professeure de bonheur, conférencière, formatrice et journaliste. En France dans les années 1980, elle a été parmi les premières à enseigner la programmation neuro-linguistique. Aujourd'hui, elle anime des "Ateliers d'inspiration au bonheur" pour permettre à chacun d'introduire les enseignements de la psychologie positive dans sa propre vie. Ses enseignements se déclinent également sur scène, à travers un spectacle, et en ligne avec l'académie www.3kifsacademie.com. Elle est l'auteur de nombreux livres dont Power Patate vous avez des super pouvoirs ainsi que 3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science du bonheur devenu un best-seller. Dans cet épisode, Florence nous parle du prodigieux pouvoir de la gratitude. Dans une approche psychologique, spirituelle et nourrie d'histoires inspirantes, elle nous donne des clés, des conseils, des exercices pratiques, pour vivre la gratitude. Nous parlons également de ce qui l'anime dans la vie et de ce que signifie pour elle "être l'héroïne ou le héros de sa propre vie". Et bien plus encore… Vous souhaitez prendre une dose d'inspiration et de conseils concrets pour mettre la gratitude au coeur de votre vie ? Ne ratez pas cette conversation inspirante avec Florence ! C'est ici ! Mettez le son ! *** Si vous avez apprécié le Podcast, laissez-moi un commentaire et quelques étoiles ici https://podcasts.apple.com/fr/podcast/heroic-people-podcast/id1510935846?mt=2&ls=1 ! Cela prend 60 secondes et permet de convaincre les invités du podcast ! Retrouvez-nous sur www.heroicpeople.fr pour découvrir le podcast plus en détails, la newsletter, mes livres, nos services d'accompagnement et de coaching d'équipe.
#REDIFFUSION Aujourd'hui, j'ai l'immense plaisir de recevoir Florence Servan-Schreiber, l'experte en psychologie positive, auteure des best sellers 3 kifs par jour, Power Patate et du livre bloom qui a pour ambition de donner à chacun l'envie d'écrire s'épanouir. Plus jeune, Florence cherchait sa voie dans le milieu artistique et décide de partir aux USA pour faire du cinéma. Mais la Californie et le développement personnel ont eu raison d'elle. De retour en France, elle explore des métiers divers dont la création de sites internet, fera 6 ans de rideaulogie (oui oui ca existe) avant de se tourner vers les études de psychologie positive qui deviennent sa passion. Dans cet épisode, Florence revient sur son cheminement pour trouver sa vocation, elle nous parle de manière décomplexée de ses traversées du désert. On a bien sur parler de gratitude, de résilience et de super pouvoirs. Vous allez voir Florence est une bombe d'optimisme et dynamisme, j'ai beaucoup rigolé pendant notre échange mais je ne vous en dis pas plus et vous laisse écouter ma conversation avec Florence Servan-Schreiber. Références: Site internet de Florence Son TedX sur le pouvoir de la gratitude Instagram Livres: "3 kifs par jour" Florence Servan- Schreiber Let's keep in touch! Si le podcast vous plait le meilleur moyen de me soutenir c'est de me laisser un avis 5 étoiles sur Apple Podcast pour aider les autres à découvrir le podcast, ça me donnera un coup de boost donc n'hésitez pas :) Pour me poser des questions ou suivre les actualités de Gatemeri c'est par ici: Réseaux sociaux: Instagram, Linkedin, Facebook Site internet: www.gatemeri.com S'inscrire à la Newsletter
Après des mois de pandémie, une organisation générale du travail qui a changé pour beaucoup, certaines et certains pensent à une reconversion professionnelle. Pour définir ce changement professionnel, comment, de manière juste, analyser ses compétences et ses lacunes ? Parce que je vous vois, celles et ceux qui ne voient que leurs manques, jamais leurs talents ? On en parle dans Minute Papillon! avec Marina Bourgeois, directrice du cabinet «Oser rêver sa carrière», spécialisé dans la reconversion et l'épuisement professionnels. Elle est coautrice, avec Caroline Averty, de Trouver sa voie, 10 séances d'autocoaching pour faire son bilan et oser la reconversion aux éditions Vuibert (14,90 euros), un ouvrage préfacé par Florence Servan-Schreiber.Un épisode d'Anne-Laëtitia BéraudCrédits son: Full Alchemy - LeonIllustration : Canva Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Je vous mets au défi d'écouter cet épisode et de m'envoyer un message me réclamant un paquet de céréales si vous avez regretté. Pour vous dire à quel point je suis sure que vous n'allez pas regretter de l'écouter en entier. Les enseignements que nous partage Ben dans cet épisode forcent l'humilité, le courage, la détermination ; en plus de nous ouvrir l'esprit de nous faire réfléchir sur des sujets de société tels que la masculinité, les relations amoureuses, la confiance en soi et la quête de sens. Si vous voulez une partie 2 : envoyez-nous un message sur Instagram pour nous le dire, on vous préparera ça ! Bonne écoute la mif ❤️ Pour découvrir les coulisses du podcast : https://www.instagram.com/inpowerpodcast/ Pour retrouver Ben sur les réseaux : https://www.instagram.com/bennevert/?hl=fr https://www.youtube.com/vousetesvraimentsympa Pré-commandez le livre de Ben juste ici : https://www.lalibrairie.com/livres/je-ne-suis-pas-viril_0-7539432_9782412069387.html Les livres cités : - Le mythe de la virilité, Olivia Gazalé - Power Patate, Florence Servan-Schreiber Et pour rejoindre l'aventure MyBetterSelf au quotidien : https://www.instagram.com/mybetterself/ Nouveau ! Les épisodes sont désormais disponibles avec l'image en exclusivité sur YouTube : https://www.youtube.com/channel/UChG8nxeVTk6jQJyH-_TG7xw Si cet épisode t'a plu, celui-ci te plaira surement : https://app.ausha.co/app/show/23818/episodes/preview/1003382
La gratitude est la nouvelle discipline à la mode en développement personnel. “Prenez 10 min chaque soir pour dire merci à la vie.” Cette nouvelle habitude est le sujet de centaines d’articles de blogs et de dizaines de livres. Matt et Raph tentent de décrypter cet engouement au travers du prisme de la vision biblique de la gratitude. Dans cet épisode, Raph et Matt répondent aux questions suivantes: * On entend beaucoup parler de la “discipline de la gratitude” dans tout ce qui gravite autour du développement personnel/coaching. De quoi parle-t-on? Et pourquoi une telle démarche? Qu’est-ce qu’elle sous-tend? * Quels sont les points positifs et les limites de cette démarche? * Selon notre vision biblique du monde qu'est-ce que la gratitude et quel est son sens? * Pourquoi vivre Memento Mori est un moyen de manifester notre gratitude? Ils ont parlé de: * La gratitude ça fait du bien https://cutt.ly/xvGJY8s * Le pouvoir de la gratitude: Florence Servan Schreiber at TEDxParisSalon 2012 https://cutt.ly/QvGJDHo * Notre épisode sur le développement personnel https://cutt.ly/CvGJBm9 “Memento Mori” c’est le podcast qui parle du présent en prenant la fin comme point de départ. #eschatologie Chaque semaine Matthieu Giralt et Raphaël Charrier posent un regard #biblique sur un sujet de #société, une oeuvre #culturelle ou un point de #théologie. Retrouve les autres épisodes de Memento Mori sur: https://cutt.ly/RcnpdFr Matt et Raph sont aussi blogueurs, découvre leurs derniers articles par ici: https://raphaelcharrier.toutpoursagloire.com/ https://matthieugiralt.toutpoursagloire.com/ Ce contenu est proposé gratuitement par le blog ToutPourSaGloire.com dont la mission est d'aider les #chrétiens à voir comme #Dieu voit pour vivre comme Dieu veut. • Découvre le blog ici: https://toutpoursagloire.com/ • Inscris-toi à notre newsletter hebdomadaire: https://cutt.ly/6lXuZGz • Soutien le blog: https://cutt.ly/ElXpVUX • Facebook: https://cutt.ly/mlXtuJc • Instagram: https://cutt.ly/UlXycIg • Twitter:https://twitter.com/home
Thème : Redémarrer après la crise: invités Stéphane Dieutre pour « Et maintenant que vais-je-faire ? » Chez Alisio et et Myriam Kebani pour « Construire son Réseau pour les nuls » chez First À propos du livre : « Et maintenant que vais-je faire ? » paru aux Éditions Alisio « Et maintenant que vais-je faire ? » Cette question hante nos vies professionnelles. Entre désir de reconversion et quête de sens, difficile de s’orienter dans une société qui tend à effacer nos singularités. Stéphane Dieutre nous invite au contraire à explorer ces talents uniques car ils sont à la fois notre trésor et notre boussole. Au fil d’un parcours existentiel inspiré d’Aristote et de sa philosophie de l’épanouissement heureux, découvrez quelles sont vos potentialités, prêtez attention à vos ressentis sans les minimiser, et apprenez à les mettre au service de votre vie professionnelle. Grâce à de nombreux partages d’expériences et d’exemples inspirants, ce manuel de sagesse et d’audace va réveiller votre individualité et vous permettre d’inventer un chemin d’accomplissement aussi riche pour vous-mêmes que pour le monde. « J’ai marché dans les pas de la méthode proposée par Stephane Dieutre, et en suis ressortie mieux définie, vigilante et éclairée pour filtrer mes décisions professionnelles et personnelles. » Florence Servan-Schreiber, AUTEURE ET CONFÉRENCIÈRE « Prenez garde, ce livre peut non seulement vous rendre heureux mais il pourrait aussi transformer l'entreprise et changer le monde. » Jacques Huybrechts, FONDATEUR DU PARLEMENT DES ENTREPRENEURS D’AVENIR Diplômé de l’Essec, Stéphane Dieutre a exploré différents domaines dans l’innovation et la communication avant de se former en psychologie humaniste et au coaching. En 2012, il fonde l’Institut Aristote, organisation qui accompagne des professionnels dans leurs défis d’évolution, en les aidant à développer leur singularité et leurs talents. À propos du livre : «Construire son réseau pour les nuls» paru aux Éditions First Vous voulez décrocher le job de vos rêves sans envoyer des centaines de candidatures spontanées qui resteront lettre morte ? Vous voulez faire connaître l'entreprise que vous venez de créer sans avoir à prospecter tous azimuts sur le terrain ? Vous voulez vous sentir à l'aise dans les événements professionnels ? Cet ouvrage est fait pour vous, et vous donnera toutes les clés pour devenir un as du réseautage ! Découvrez : Les différents lieux où réseauter : clubs, salons, Internet... Les principaux réseaux sociaux et leurs spécificités Des astuces pour être un réseauteur efficace Comment faire grandir et entretenir votre réseau Myriam Kebani est journaliste, réalisatrice (elle réalise notamment des reportages et documentaires pour TF1, France Télévisions et M6) et coach. Parallèlement, elle a créé Paf&Co, le premier réseau des professionnels des médias (18 000 membres). À travers Paf&Co elle organise des soirées réseau.
On lui disait qu’elle ne ferait pas de longues études, qu’elle n’était pas faite pour l’école, qu’elle ne rentrait pas dans le moule. On l’appelait aussi la ministre de la Joie de vivre. Et cette joie qui l’habite, cette relation intime qu’elle a noué avec la vie, lui ont permis d’écouter ses rêves avec plus d’importance que les avis que l’on projetait sur son avenir. Mathilde Depaulis a obtenu haut la main un master en psychologie et éveille chaque jour de nouvelles personnes à se reconnecter à leurs émotions. Ces émotions, que l’on cherche souvent à cacher, à refouler, à lisser : la peur, la tristesse, la colère. Ces émotions, Mathilde nous invite à les analyser, à les accepter, à les gérer, à les aimer même. Pour qu’elles ne soient plus un frein, mais de réels tremplins pour évoluer et s’accomplir. On parle dans cet épisode d’hypersensibilité, de l’importance de faire des erreurs, d’extraordinaire dans notre ordinaire, d’amour, et de blocages que rencontrent les jeunes aujourd’hui. Cet épisode est riche, intime, nécessaire, et j’espère qu’il vous aidera dans vos cheminements. Belle écoute !
Pour commencer l’année sur note optimiste, j’ai l’immense plaisir de recevoir Florence Servan-Schreiber, l’experte en psychologie positive, auteure des best sellers 3 kifs par jour, Power Patate et du livre bloom qui a pour ambition de donner à chacun l’envie d’écrire s’épanouir. Je devais publier cet épisode le 30 novembre et j’ai fait le choix de le reporter à la suite à la disparition de Jean Louis Servan Schreiber, le papa de Florence. J’en profite pour renouveler mes pensées affectueuses à Florence et à sa famille. Plus jeune, Florence cherchait sa voie dans le milieu artistique et décide de partir aux USA pour faire du cinéma. Mais la Californie et le développement personnel ont eu raison d’elle. De retour en France, elle explore des métiers divers dont la création de sites internet, fera 6 ans de rideaulogie (oui oui ca existe) avant de se tourner vers les études de psychologie positive qui deviennent sa passion. Dans cet épisode, Florence revient sur son cheminement pour trouver sa vocation, elle nous parle de manière décomplexée de ses traversées du désert. On a bien sur parler de gratitude, de résilience et de super pouvoirs. Vous allez voir Florence est une bombe d’optimisme et dynamisme, j’ai beaucoup rigolé pendant notre échange mais je ne vous en dis pas plus et vous laisse écouter ma conversation avec Florence Servan-Schreiber. Références: Site internet de Florence Son TedX sur le pouvoir de la gratitude Instagram Livres: "3 kifs par jour" Florence Servan- Schreiber Let's keep in touch! Si le podcast vous plait le meilleur moyen de me soutenir c'est de me laisser un avis 5 étoiles sur Apple Podcast pour aider les autres à découvrir le podcast, ça me donnera un coup de boost donc n'hésitez pas :) Pour me poser des questions ou suivre les actualités de Gatemeri c'est par ici: Réseaux sociaux: Instagram, Linkedin, Facebook Site internet: www.gatemeri.com S'inscrire à la Newsletter
De quelle façon l'écriture peut-elle nous aider en ces temps troubles et troublés ? Comment cultiver de bonnes relations avec nos proches par la magie du Journal intime ? Faut-il stigmatiser les mangeurs de chocolat au lait ? C'est - entre autres choses - ce dont nous parlons dans cet épisode dans lequel nous avons la joie d'accueillir Florence Servan-Schreiber. Experte en psychologie positive, conférencière et autrice de nombreux ouvrages dont "3 kifs par jour" et dernièrement "Bloum, écrire pour s'épanouir et kiffer" (éditions Marabout), Florence partage avec nous le fruit de ses expériences et la richesse de ses apprentissages autour de l'écriture, tant créative que thérapeutique. Avec une franchise désarmante, elle se livre sur son rapport douloureux à la dictée lorsqu'elle était enfant ; elle s'émerveille également de la puissance guérisseuse de l'écriture, qu'on la pratique à la main ou sur ordinateur. Côté chroniques : Dame Aurore (Aurore Ponsonnet) nous enseigne quand mettre - ou pas - un trait d'union dans la langue française (désolée, on ne dit pas un "tiret") ; Avec la docte Sandrine Campese, on chauffe à blanc sa matière grise en jouant avec le télescopage des expressions imagées ; "C comme... Créole" : c'est la nouvelle chronique de Jean-Philippe Molé, qui remonte aux origines des créoles - car il y en a plusieurs - et nous fait voyager de la mer des Caraïbes jusqu'au Paris des Merveilleuses ; Avec Jérémie Graine, le mot "Assertivité" n'aura plus aucun secret pour nous (tout comme la recette de la raclette, d'ailleurs !). Playlist : Zazie - Sur Toi Émilie Simon - Encre Claude Nougaro - L'amour sorcier (live à l'Olympia) Dean Martin - Let it snow ! Let it snow ! Let it snow ! Podcast enregistré au studio Penny Lane à Paris. Présentation : Marielle Lieber-Claire Prise de son : Julien Rebours Podcast monté et mixé par le talentueux Bruno Chantepie Ce programme vous plaît ? Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute préférée et mettez-nous 5 étoiles afin d'aider d'autres internautes amoureux de langue française à nous découvrir.
La gratitude est une attitude! Un des bénéfices indiscutables de la gratitude, c'est l'occasion que l'on s'offre de savourer pleinement tous les aspects bénéfiques de notre vie, développer en nous un profond sentiment de reconnaissance lorsque nous réalisons la saveur de ce que nous vivons. Florence Servan Schreiber pétillante militante de la psychologie positive parle de « vivre la même vie et en mieux ». Les bénéfices sont les suivants : - La gratitude nous permet de nous sentir moins seul. - elle rallonge notre espérance de vie et améliore notre santé - elle augmente notre niveau de bonheur ainsi que celui de nos proches Plus vous en prenez conscience et plus vous développez cette aptitude au bonheur qui sommeille en chacun de nous. Pour ceux qui le désirent, je vous propose d'expérimenter l'Hypnose avec un enregistrement « Le pouvoir illimité de la gratitude».
Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Florence Servan-Schreiber, auteure et reine française du kif. Dans son dernier livre "Bloum", Florence nous embarque dans un voyage ou l'écriture intime devient thérapeutique et ultra-bienfaisante. Un podcast rafraichissant pour tenter de percer les mystères des mots couchés sur papier... A vos écouteurs et à vos plumes ! - Épisode #115Dans cet épisode avec Florence Servan-Schreiber, j'aborderai les thèmes suivants :Tu t’inspires du verbe anglais -to bloom- éclore, s'épanouir, prendre sa place pour créer le mot bloomer. Comment est venu ce mot Bloom ? L’écriture permet-elle l’épanouissement ? En quoi l’écriture nous transforme-t-elle et que révèle-t-elle ?Quels sont les différents niveaux d’écriture (pour soi, les autres etc) ?On fait le lien entre écriture et lecture, et pourtant, l’écriture la plus thérapeutique est celle que personne ne lira jamais, pourquoi ?Qu’est-ce qui nous bloque pour écrire ? Tu nommes affectueusement ces bloquages les « pampires » !Quelles sont les bonnes conditions pour se lancer dans l’écriture ? Quel serait un bon exercice pour s’y mettre ? (tu proposes + de 30 exercices dans ton livre).Plus qu’une compétence, la créativité est un état d’esprit et une façon de se placer dans le monde ?Ton papa écrit une page par jour je crois, en quoi cela t’a t ’il inspiré depuis ton enfance ? Quel est le bon tempo au niveau régularité ?Penses-tu que l’écriture soit vraiment un exercice pour tous ?Peux-tu nous donner un exemple de situation qui s’est résolue pour toi grâce à l’écriture, ou qui t’a transformée ?Qui est mon invité de la semaine, Florence Servan-Schreiber ?Si vous avez déjà kiffés et utilisés des super pouvoirs de Power Patates, vous serez alors prêtes et prêts aujourd’hui à bloumer ! Je reçois la reine française du kif qui nous confie dans son nouveau livre « Bloum» chez Marabout que “Mieux se connaître serait notre destination et que le véhicule en serait l’écriture”. Qui n’a pas envie de déceler les mystères qui nous habitent pour vivre plus légèrement et profondément à la fois ? Elle se définit comme une élève qui partage avec nous ses explorations et son légendaire et percutant sens de l’humour nous aide à arrêter de nous prendre la tête pour avancer dans la joie.Florence Servan-Schreiber est une auteure française de livres best-sellers et notament de 3 kifs par jour, le Diner de Kifs ou Power Patate chez Marabout et la fondatrice de la 3 kifs académie. Quelques citations du podcast avec Florence Servan-Schreiber : "De l'écriture, nous guérissons""Je tiens moi-même un journal depuis 10 ans""Tenir un journal a une vraie fonction d'accompagnement""Lorsqu'on se relie, cela permet de se voir avancer...ou parfois stagner !""Aucune copine ne nous connait aussi bien qu'un journal pour nous rappeler qui nous sommes""Ecrire, c'est être le petit poucet""Pour être libre dans l'écriture, il est important de penser à ne pas être lu""Ce n'est pas une blague, il existe un festival du journal intime !""Un journal, c'est aussi le témoignage d'une époque""Nous n'écrivons pas un journal comme nous écrivons un e-mail ou un texto" Suivez Florence Servan-Schreiber sur son site : www.florenceservanschreiber.comRetrouvez Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur Apple Podcast / Google Podcasts / Spotify / Deezer / YouTube / SoundCloud / CastBox / TuneIn.Suivez les épisodes sur mon Instagram, découvrez l'invité de la semaine et gagnez des surprises ;-)Bonne écoute ! Cet épisode a été réalisé grâce au soutien de LÉA NATURE, engagée de nature et premier fabricant français de produits bio et naturels, partenaire officiel de la #Saison2 de "Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience". Merci ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Conférencière et auteure, entre autres talents, Florence Servan-Schreiber partage les pépites extraites de ses recherches autour de la psychologie positive dans plusieurs best-sellers, sur scène ou encore, via des ateliers, avec passion, humeur et créativité. Des outils pédagogiques pour nous permettent de nous épanouir et de kiffer. Pendant 35 minutes, ensemble, nous avons parlé de nos supers-pouvoirs issus de notre programmation initiales, et qu’il est confortable de connaître pour que les choses soient plus légères et pour nous permettre de savoir où est notre alignement ; de l’écriture comme méthode d’expression, en nous autorisant à écrire à notre façon et au-delà des traumatismes scolaires éventuellement ; et de la gratitude pour capitaliser nos plaisirs et les moments de flow. Florence nous explique comment notre talents naturels, l’écriture et la gratitude peuvent nous aider à nous épanouir. Bonne écoute ! ____ Site web : https://www.florenceservanschreiber.com Questionnaire pour connaître le classement de nos propres qualités : https://www.viacharacter.org (vous pouvez choisir la langue de votre choix en haut à gauche)
Même pas peur Le Podcast qui t'aide à gagner en sérénité et en liberté et t'accompagne dans ton développement personnel. Episode 012 Comment augmenter son niveau de bonheur en moins d'une minute ? Chaque semaine, je te propose de partir en quête d'inspiration, d'outils, de décortication des émotions, pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté. Je te souhaite une bonne écoute ♥ Épingle cet article sur Pinterest pour le sauvegarder Notes de l'épisode E012 – Augmenter son niveau de bonheur en moins d'une minuteTu te demandes peut-être comment c'est possible ça, d'augmenter son niveau de bonheur en moins d'une minute ?ça te paraît même peut-être être une promesse marketing bien trop alléchante pour être vraie …Et pourtant… une minute, c'est à peine le temps qu'il faut pour augmenter son niveau de bonheur. C'est pas moi qui le dit, c'est un fait. Je ne suis pas la seule à en avoir fait l'expérience. Et c'est en le pratiquant moi-même lors d'une journée un peu “bad”-“down”-“pas cool”, que j'ai eu envie de te partager cette astuce. Sûrement que toi aussi, quand tu en feras l'expérience, tu en sentiras les bienfaits et voudras le partage autour de toi :-) Allez viens, on va augmenter notre niveau de bonheur ensemble. Référence : Florence Servan-Schreiber et ses multiples apports et supports à propos du bonheur ♥PS : Florence est professeure de bonheur ! D'une part, je trouve absolument génial qu'elle ait créé son métier, mais alors en plus qu'elle soit professeure de bonheur, c'est le kiiiiiff non ??? j'adore !!! Qui est derrière le micro ? Je m'appelle Nicole, et je suis une grande émotive. Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle. Je suis photographe de famille, et j'ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu'on aime, pour qu'ils deviennent un précieux patrimoine. Et je suis également coach. J'accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l'indispensable casquette de chef d'entreprise. Tout un panel d'émotions, vous vous doutez bien. Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd'hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là. Crédit photo : Caroline Liabot Voilà donc mon intention : partager mes pistes de réflexions, mes lectures, les outils que j'ai dénichés et qui m'ont aidés,pour participer à un monde qui gagne en sérénité et en liberté. Pour aller plus loin vers la sérénité et liberté Découvrir le coaching professionnelpour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle. Je veux en savoir plus Précédent Suivant
Nous ne nous connaissions pas. Nous n’avions rien préparé. Elle sort un livre BLOUM ! et des ateliers d’écriture géniaux mais on n’en a quasi pas parlé. La saison s’appelle « ces métiers à réinventer » mais on n’a parlé que de nos vies. Je l’ai attrapée à un moment délicat de la sienne, et sa sincérité m’a touchée. Brillante, vivante, humaine, sa vie de mère, d’épouse, ses inventions, ses créations, sa fragilité, sa force. Nos vies de femmes. Sa vision dans le rétroviseur. Tout m’a attrapée. Un peu en miroir l’une de l’autre, nous avons avancé dans cet échange improvisé et le résultat de cette conversation est un bien joli morceau de musique, ou un beau tableau. Une rencontre. Merci Florence... et merci la vie.
Aujourd’hui j’accueille sur le Gratin, Florence Servan Schreiber. Florence est journaliste, auteure, et conférencière française.Vous la connaissez sans doute pour ses best sellers Power Patate ou la fabrique à Kif. Elle sort le 3 juin BLOUM, un nouveau livre avec pour ambition de donner à chacun l’envie d’écrire pour se lâcher, se trouver, se soigner, témoigner, ou raconter.Si vous voulez saluer Florence ou en savoir plus sur ses activités, retrouvez la sur son site : Florence Servan Schreiber.com ou via LinkedIn où elle est présente .Formée à la psychologie transpersonnelle en Californie, elle se tourne ensuite vers les études de psychologie positive qui devient sa passion.Vous allez voir, Florence est une bombe d’optimisme et de bonne humeur. Cette qualité, elle ne a d’ailleurs fait son métier.Avec Florence, on a bien sûr évoquer son parcours, et comment elle avait trouvé sa vocation pour la psychologie positive, de ses activités de conseil ou de formation avec la 3 kifs académie, mais aussi de sa rencontre avec Tony Robbins, de la difficulté de réinventer le métier de conférencier en pleine crise du COVID,de son nouveau livre BLOUM donc et d’écriture et enfin de ses astuces pour essayer de capter cette émotion si intime qu’est le bonheur.Mais je ne vous en dis pas plus et laisse place à ma conversation avec Florence Servan Schreiber.Notes et référencesRetrouvez Florence Servan SchreiberSur LinkedInSon SiteSes livres 1. La News du GratinLa News du Gratin est une mini newsletter pour vous nourrir en plus du podcast. C’est une newsletter très courte, à lire en 5mn top chrono de ce qui m’a marqué dans les dernières semaines : livres à lire, réflexions, applis à télécharger, citations, films ou documentaires à voir etc. Pour la recevoir, il n’y a qu’à s’abonner à la newsletter sur le blog du Gratin !2. Des conseils concrets sur ma chaîne YouTubeEnvie de lancer votre propre podcast ? De bénéficier de conseils sur quel matériel utiliser ? Ma nouvelle chaîne YouTube est faite pour vous !3. Contactez-moi ! Si le podcast vous plaît, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feed-backs (et ce qui m’aide le plus à le faire connaître) c’est simplement de laisser un avis 5 étoiles ou un commentaire sur l’application iTunes. Ca m’aide vraiment, alors n’hésitez pas
Le chemin d'une jolie vie composée d'au moins 5 carrières différentes pour prendre conscience de ce qui nous anime, de nos forces personnelles et les mettre au service du monde. Une jolie conversation dans un joli petit appartement parisien où tous les rêves semblent pouvoir se réaliser. Plus d'infos sur nos activités et conférences : www.psychoeducation.be
Eva Roque passe en revue l’actualité médiatique, culturelle et régionale en compagnie d’un invité. A ses côtés, des journalistes mettent les régions à l’honneur : initiatives locales, traditions, tourisme.
Chaque jour, Eva Roque dresse un portrait original et décalé de son invité. Aujourd'hui la journaliste et auteure Florence Servan-Schreiber, "professeure de bonheur".
Dans cet épisode, je reviens sur les circonstances de ma conversation avec Florence Servan-Schreiber pour vous parler de l’importance d’oser demander ce qui nous tient à cœur ; du plus grand risque qu’on court à oser demander ; de l'importance de muscler son audace ou encore du fait que dans la vie, on n’est jamais à l’abri d’un coup de pot !
Découvrez la troisième et dernière partie de ma conversation sur le choix avec Florence Servan-Schreiber, célèbre professeure de bonheur, conférencière, journaliste et auteure de nombreux bestsellers. Au menu, entre autres : morceaux choisis, choc post-traumatique positif (!), pendule, histoire de cape et de saut du haut de notre falaise, pour voir. De quoi vous donner la Power Patate ! Bonne écoute !
Découvrez la deuxième partie de ma conversation à haute teneur en kif-éine avec Florence Servan-Schreiber, célèbre professeure de bonheur, conférencière, journaliste et auteure de nombreux bestsellers. On y parle d'intuition, des pousses vivantes (parfois bien cachées) des plantes que nous sommes, de son idole Julie Andrews et de La Mélodie du bonheur, de psychologie positive, d'engagement, de signature et de sortie du brouillard. Bonne écoute !
Adepte du kiff qui est une religion, Florence Servan-Schreiber est entré dans notre studio et a tout modifié, même le temps qu’il fait, passant de la pluie au soleil avec une grâce magique.
Découvrez la première partie de ma conversation sur le choix avec Florence Servan-Schreiber, célèbre professeure de bonheur, conférencière, journaliste et auteure de nombreux bestsellers. Place à la mélodie du bonheur à la sauce Florence ! Bonne écoute !
« Et pourquoi pas ? » C'est par ces mots que Florence Servan-Schreiber, célèbre professeure de bonheur, conférencière, journaliste et auteure de nombreux best-sellers comme "3 Kifs par jour ", a répondu à ma sollicitation pour une conversation sur le choix pour Avez-vous choisi ? Je crois bien que mon cœur a manqué un battement à la lecture de ce message ! Au cours de notre conversation, Florence et moi avons parlé de la Mélodie du Bonheur et je l'ai questionnée sur le choix - à travers son parcours, son rapport au choix - et sur la place du choix dans la science du bonheur dont elle est l'ambassadrice en France.
“Si on veut avoir plus de chance dans la vie, il faut être une chance pour l’autre, et tout ce qui n’est pas partagé est perdu.”Si vous êtes tombé sur cet épisode, c’est que vous êtes déjà très chanceux. Et parce que l’une des caractéristiques principales du chanceux est d’être un diffuseur de chance, je vous invite vivement à partager cet épisode autour de vous pour en être.Vous l’aurez compris, dans cet épisode, Philippe Gabilliet nous parle de chance mais surtout d’optimisme et de ce qu’il peut avoir comme impact sur le travail et la vie en général. “La chance n’est pas un super pouvoir que certains ont plus que d’autres, c’est une attitude supérieure à la moyenne de rentabiliser l'inattendu et de recycler les difficultés.”Philippe est l’un des pionniers sur ce sujet très en vogue, et par ailleurs fondateur et porte parole de la ligue des optimistes de France. Il me raconte son parcours, son vécu et ce qui l’a amené à devenir le brillant conférencier et prof (à l’ESCP) qu’il est aujourd’hui.“Je suis un autodidacte hyper diplômé, je suis docteur en science de gestion mais je n’ai jamais fait de gestion.”D’anecdotes en définitions, il me parle de leadership, de FOMO (fear of missing out), d’optimisme responsable, de failles propices, de recyclage des difficultés et de développement personnel sous ses formes les plus concrètes.“Ce qui est le plus inspirant dans le monde, ce sont les exceptions invraisemblables et non les statistiques mainstream.”On évoque des questions que tout le monde se pose : comment peut-on être le meilleur entrepreneur possible, pour les autres, pour la société, et pour soi même ? Comment peut-on changer de vie et pour quoi faire ? Comment aborder les difficultés de la vie de la façon la plus constructive possible ?Et aussi les différents critères sur lesquels se baser pour évaluer et améliorer ses conditions :3 critères pour savoir si on est dans son élément :j’aime le faireje sais le faireje suis prêt à m'améliorer3 façons de penser le travail (écouter le podcast pour comprendre :) ) :labor arseopus3 clés du bien être au travail :être utileêtre respectéêtre traité équitablement"Souviens-toi que lorsque tu te lèves, le chemin t'as déjà précédé."Retrouvez tout ce qu’il y a à savoir sur Philippe sur son site web : PhilippeGabillet.comEt si, comme moi, le sujet vous intéresse, je vous conseille de lire les ouvrages de Philippe *Éloge de l'optimisme*Éloge de la chance*Éloge de l'audace et de la vie romanesque *L'art de changer de vie en 5 leçonsOu encore ceux qu’il vous recommande :* Richard Wiseman - The Luck Factor * Docteur Alain Braconnier - L’enfant optimiste * Michel Lejoyeux - Les 5 Clés du comportement - Construire soi-même son optimisme* Florence Servan-Schreiber - 3 ans de kifs - Power Patate* Christophe André - Imparfaits, libres et heureux - vivre heureuxVous pouvez aussi recevoir “La lettre optimiste” chaque semaine, en vous inscrivant à la newsletter gratuite de la liguedesoptimistes.fr
Tout le monde en parle, tout le monde le cherche mais peut-on être heureux quand le monde va mal ou que les épreuves se succèdent ? Le gène de la joie existe-t-il ? Faut-il envier l’imbécile heureux ? Quelle différence entre bonheur et plaisir ? Pour ce dernier épisode de la saison 1 d’Happiness Therapy, nous nous sommes lançées à la poursuite du bonheur avec... Florence Servan-Schreiber, « professeure de bonheur » auteure de Trois kifs par jour et Power Patate, aux Editions Marabout qui donnent de bons conseils pour aimer sa vie et profiter à fond des bons moments. Le philosophe Charles Pépin auteur de La Confiance en soi et du roman La Joie, aux éditions Allary nous invite à remplacer le bonheur par la joie et nous encourage à la cultiver, même au fond du trou. Le consultant en neurosciences Erwan Deveze décrypte la neurochimie du plaisir et du bonheur, explique la différence entre les deux. Si certaines personnes sont biologiquement plus douées pour le Nirvana que d’autres au départ, il insiste sur le fait que le bonheur reste accessible à tous. Switcher son cerveau en mode positif, le modifie en profondeur. Enfin, quelques membres de la rédaction nous racontent avec bonne humeur leurs derniers petits bonheurs. Vous pouvez écouter Happiness Therapy sur le site Madame Figaro, Apple Podcast, Soundcloud, Spotify, Deezer, YouTube ou via son flux RSS. Et suivre toute l’actualité de nos podcasts sur Facebook, Instagram et Twitter. Happiness Therapy est proposé en partenariat avec Lancôme. La vie est belle en Lancôme… Lancôme l’affirme : le bonheur est la plus belle forme de beauté. Son ambition est d’offrir à chacune la liberté de s’épanouir, de sublimer sa beauté et sa féminité, quel que soit son âge, quelle que soit sa couleur de peau, et en lui offrant le meilleur de la science, avec des innovations majeures qui marquent leur époque.
Et si le simple fait de dire merci nous aidait à aller mieux ? En posant un regard aiguisé sur la gratitude, Florence Servan-Schreiber nous invite à découvrir des pratiques pour cultiver le bonheur. Diplômée en psychologie humaniste et en développement durable d’universités californiennes, Florence a plus tard étudié la psychologie positive aux côtés de Tal Ben-Shahar. Riche d’un parcours mêlant l’académique, l’écriture et la formation, Florence revient dans cet épisode sur des sujets récurrents dans son travail : comment et pourquoi cultiver la gratitude, comment s’appuyer sur ses forces et comment aborder les tâches pour lesquelles nous rencontrons plus de difficultés. En ce faisant, Florence nous livre des clefs qui peuvent contribuer à notre épanouissement. ---- Vous pouvez apprendre davantage sur le parcours de Florence sur son site : https://www.florenceservanschreiber.com ----- Music by Bensound.com
Dans son livre Power Patate, Florence Servan-Schreiber les qualifie de "super pouvoirs", et ce n'est pas pour rien ! Dans cet épisode, je t'explique ce que sont les forces de caractère, l'intérêt que nous avons à connaitre nos forces prédominantes, comment les nourrir et les utiliser à bon escient pour donner le meilleur de nous-même ! Notes et commentaires de l'épisode : https://wp.me/paw4hL-dk 3 outils créatifs pour mieux se connaitre: https://mariemartin.coach/outilscreatifs Accompagnement personnalisé : https://mariemartin.coach/accompagnement/ La boite à questions pour contribuer aux prochains épisodes : https://forms.gle/4ruewLTEP5UYyfSA9 Instagram : https://urlz.fr/8tdg Facebook : https://urlz.fr/8tdl
Dans ce premier épisode, Fany Dalbera s'entretient avec l'inspiratrice de ce podcast : Florence Servan-Schreiber. Réalisation : Cordes Sensibles Musique originale : Guillaume Henriet Mixage : Steve Mahié
Quand écrire fait du bien ! Sur une idée de Florence Servan-Schreiber, Fanny Dalbera rencontre des écrivains pour les faire parler de l'effet que leur fait l'écriture. Stylos est proposé par Bloom, l'atelier d'écriture qui fait du bien. Les inscriptions se font en ligne à l'adresse https://www.florenceservanschreiber.com Réalisation : Cordes Sensibles Musique originale : Guillaume Henriet Mixage : Steve Mahié
Florence Servan-Schreiber est spécialiste de la psychologie positive et s'intéresse depuis longtemps à une émotion bien moins anodine qu'on ne le croit : la gratitude.Pour elle, ce n’est ni nouveau, ni naïf, ni sophistiqué : c’est juste une capacité à reconnaitre ce qu’il y a de meilleur. Florence s'est penchée sur de nombreuses études, portant sur des victimes des attentats du World Trade Center, ou encore sur des bonnes soeurs dans un couvent... Toutes ces recherches arrivent à ces conclusions : la gratitude augmente le niveau de satisfaction de la vie et la longévité.Florence Servan-Schreiber a publié '3 ans de kifs', un livre à compléter, édité aux éditions Marabout.Plus d'info sur Journaleuse.Suivez-moi sur Twitter, Facebook et Instagram. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.