Podcast appearances and mentions of jean paul delevoye

Avant de célébrer le pot de départ de Jean-Paul Delevoye, un petit résumé des épisodes précédents de la grève. Le mardi 17 décembre 2019, grosses manifestations dans toute la France. Il y avait des bonnes merguez aussi. Et des militants CFDT qui avaient un peu honte du chasuble orange, aussi. Faites un don à Radio Parleur : www.radioparleur.net/don

Depuis déjà plusieurs semaines, un bras de fer s'est engagé entre un mouvement social inédit, soutenu par la majorité de l'opinion publique, et l'exécutif Macron/Philippe, et l'enjeu principal c'est la réforme (ou contre-réforme) des retraites. On peut naïvement se demander pourquoi le pouvoir s'est mis dans cette galère impopulaire. On peut aussi essayer de comprendre les jeux d'intérêt entre public et privé, entre les conseillers de l'ombre de l'Elysée et de Matignon, et les lobbies divers et variés. Aurore Gorius, qui travaille pour le site d'information Les Jours, a travaillé sur le sujet. Dans le cadre d'une série d'articles dénommée “Les Conseillers”. Elle a enquêté pendant des mois sur des personnages comme Jean-Paul Delevoye, l'ancien haut-commissaire aux retraites dont la liste des conflits d'intérêt semble aussi longue qu'un jour sans pain, ou Jean-François Cirelli, le PDG France du fameux fonds de pension américain Black Rock. Elle raconte... ▶ Soutenez Le Média :

Intervenez à tout moment en direct : discord.me/kaleevison Musique : https://soundcloud.com/lum-in-essence/sets/itak-ep-klemsis-ft-lum-in-essence Le livre de Kaelle - Ma Bonne étoile - https://www.amazon.fr/Ma-bonne-%C3%A9toile-R%C3%A9cit-autobiographique/dp/B075MYT4DH Les épisodes sont disponibles en audio sur toutes les bonnes plateformes de Podcast : https://anchor.fm/kaleevision ________________________________ SOURCES THREAD - 25 Reporters blessé-es. https://twitter.com/REC_Collectif/status/1203256188470779905 Réforme des retraites : Jean-Paul Delevoye démissionne d'une fonction d'administrateur dans le secteur des assurances qu'il n'avait pas déclarée https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/reforme-des-retraites-jean-paul-delevoye-n-a-pas-declare-sa-fonction-d-administrateur-dans-un-institut-de-formation-de-l-assurance_3736979.html Retraites : Jean-Paul Delevoye a «oublié» de déclarer ses liens avec le monde de l’assurance http://www.leparisien.fr/economie/retraites-jean-paul-delevoye-a-oublie-de-declarer-ses-liens-avec-le-monde-de-l-assurance-08-12-2019-8212557.php LE JOLI BONUS FINANCIER QU'EMPOCHE JEAN-PAUL DELEVOYE AU GOUVERNEMENT https://www.capital.fr/economie-politique/le-joli-bonus-financier-quempoche-jean-paul-delevoye-au-gouvernement-1349749 30.000 EUROS PAR MOIS : LE DÉFENSEUR DES DROITS JACQUES TOUBON “NE COMPREND PAS” CE QUI CHOQUE https://www.capital.fr/economie-politique/avec-30-000-euros-par-mois-le-defenseur-des-droits-jacques-toubon-ne-comprend-pas-que-ses-revenus-choquent-1323855 Au gouvernement, Jean-Paul Delevoye va cumuler sa retraite et son salaire https://www.lalettrea.fr/action-publique_executif/2019/09/10/au-gouvernement-jean-paul-delevoye-va-cumuler-sa-retraite-et-son-salaire,108371909-ar1 De Bruxelles, Thierry Breton demande à Emmanuel Macron de tenir bon sur les retraites https://ruptures-presse.fr/actu/breton-macron-reforme-retraites-soutien/ (Merci Inaguapa) Grève : la CGT envisage une nouvelle journée d'action jeudi https://actu.orange.fr/france/greve-la-cgt-envisage-une-nouvelle-journee-d-action-jeudi-magic-CNT000001lXcQN.html Débarqué puis... réembauché par Malakoff-Médéric, le bon deal de Guillaume Sarkozy https://www.europe1.fr/societe/le-frere-de-nicolas-sarkozy-a-touche-1-a-2-millions-deuros-dindemnites-de-depart-3930041 https://fr.wikipedia.org/wiki/Anarchie https://fr.wikipedia.org/wiki/Inflation https://fr.wikipedia.org/wiki/Taux_de_ch%C3%B4mage_n%27acc%C3%A9l%C3%A9rant_pas_l%27inflation http://www.senat.fr/amendements/commissions/2018-2019/645/Amdt_COM-13.html https://www.insee.fr/fr/statistiques/3676777?sommaire=3696937 https://www.defense.gouv.fr/content/download/536160/9221135/RAP%202018%20-%20Exportations%20armement%20de%20la%20France.pdf

 Avant de célébrer le pot de départ de Jean-Paul Delevoye, un petit résumé des épisodes précédents de la grève. Le mardi 17 décembre, grosses manifestations dans toute la France. Il y avait des bonnes merguez aussi. Et des militants CFDT qui avaient un peu honte du chasuble orange, aussi. Faites un don à Radio Parleur

Actualités locales- Projet de réforme des retraites : jeudi 19/12/2019, la mobilisation interprofessionnelle contre le projet de Jean-Paul Delevoye a pris la forme d’une journée d’action (blocage de la circulation au niveau du tunnel Jenner, redécoration du sapin de l'hôtel de ville, grève et immobilisation d'un bateau de croisière Brittany Ferries par l'équipage, intervention d'une délégation de manifestant-e-s au conseil de la COMUH)- Elections municipale : la France Insoumise du Havre et Europe Ecologie Les Verts ont écrit une lettre ouverte au candidat PCF Jean-Paul Lecoq, pour que la gauche se présente unie aux Municipales de Mars. Contacts et rencontres entre les différentes listes- Police : la Ville a signé mardi dernier une nouvelle convention qui renforce la coopération entre les polices municipale et nationale, devant permettre aux agents municipaux d’être armés à partir de janvier 2020 - Climat et région : la Région Normandie se dote de son propre « Giec »- Sport : les arbitres normands ont exercé leur droit de retrait après que l'un d'eux a été agressé. Ce soir vendredi 20/12/19, le HAC joue contre Chambly pour la 19ème rencontre de la ligue 2 au stade océane Actualités culturelles- En 2020, le classement d’albums Billboard comptabilisera aussi le nombre de streams- Le groupe havrais Electric Shutdown sortira effectivement un premier EP, éponyme, début 2020

Tous les matins, l'actualité vue par les humoristes de la nouvelle génération - à 7h10 et 9h10 sur Rire & Chansons.

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durée : 00:11:52 - Journal de 7 h - Le député LREM du Nord succède à Jean-Paul Delevoye, qui a démissionné lundi après des révélations sur des activités et mandats non-déclarés.

Sujets traités :  - 10.000 manifestants selon les syndicats, 5.000 selon la police, hier dans les rues de Strasbourg. Ils étaient 7.500 à Mulhouse selon la CGT, 2.000 selon la police. 3ème journée de mobilisation nationale contre la réforme des retraites. Cheminots, enseignants, fonctionnaires, avocats, magistrats, salariés du public ou du privé sont mobilisés contre la mise en place d’un système universel de retraites par points. Après la démission de Jean-Paul Delevoye, c’est le député LREM du Nord Laurent Pietraszewski qui reprend le dossier. Emmanuel Macron l’a nommé dans la nuit, secrétaire d'Etat en charge des retraites. - A Colmar, les avocats étaient en grève, hier. Les salles d’audiences étaient vides. Les permanences aussi. Dans la presse locale, ce matin, le bâtonnier Joseph Wetzel déplore l’improvisation du Gouvernement et défend l’actuel régime de retraite des avocats en vigueur depuis la fin de la guerre et qui ne coûte pas un centime au contribuable. Prochaine mobilisation des robes noires, le 6 janvier, puis le 3 février avec une manifestation nationale à laquelle participera une délégation alsacienne. - Aujourd’hui, sur les rails, c’est un peu mieux que les jours précédents, selon la SNCF. Pour les TER, comptez 9 allers / retours entre Strasbourg et Bâle, 12 entre Colmar et Mulhouse et 13 entre Sélestat et Strasbourg. Le Tram Train Mulhouse / Thann circule normalement.  81 cars de substitution sont en service aujourd’hui. Sur les grandes lignes : 3 allers / retours du TGV Strasbourg / Paris. 1 aller / retour du Ouigo. 3 Alléo Stuttgart / Paris et 2 Francfort / Paris. Un aller Strasbourg / Bordeaux et 3 Lyria Paris / Mulhouse / Bâle. Pour plus d’informations, rendez-vous sur les sites et applis de la SNCF. - Le rectorat de l’académie de Strasbourg annonce pour la journée d’hier 20% de grévistes dans le premier degré. Un peu moins de 20% dans le second degré, 14% dans les lycées et 10% dans les lycées professionnels. Hier en Alsace, seulement 2 écoles étaient fermées. Dans 30 autres, les communes assuraient un service minimum d’accueil des élèves. - Un cas de tuberculose dans un lycée d’Obernai. Des tests de dépistage sont en cours chez les élèves et enseignants qui ont côtoyé cette élève du lycée Freppel, diagnostiquée en novembre. Après un test intradermique, ils vont se soumettre aujourd’hui à une radio des poumons, réalisée au lycée par une unité mobile. De son côté, la lycéenne a été hospitalisée. Elle va mieux et devrait reprendre les cours après les vacances de Noël. - Il y a un peu moins de deux semaines, le club de patinage artistique de Colmar organisait une séance d’initiation à la patinoire de Noël, sur la place Rapp. Pour Stéphanie Pierrot, depuis 38 ans sur des patins, dont 21 ans, à entraîner les jeunes du club, c’est une bonne occasion pour faire naître une vocation. Nous l'écoutons. Après le patinage artistique, c’est au tour du club de Hockey de proposer une initiation pour les enfants âgés de 3 à 7 ans. Rendez-vous demain à 13h30 à la patinoire de Noël. - Enfin, un mot de sport, puisqu’il y avait du basket, hier soir. 9ème journée de Ligue des champions. Lourde défaite de la SIG contre Torun. C’est la deuxième défaite des alsaciens contre les polonais. Score final 75-97. 

Sujets traités :  10.000 manifestants selon les syndicats, 5.000 selon la police, hier dans les rues de Strasbourg. Ils étaient 7.500 à Mulhouse selon la CGT, 2.000 selon la police. 3ème journée de mobilisation nationale contre la réforme des retraites. Cheminots, enseignants, fonctionnaires, avocats, magistrats, salariés du public ou du privé sont mobilisés contre la mise en place d’un système universel de retraites par points. Après la démission de Jean-Paul Delevoye, c’est le député LREM du Nord Laurent Pietraszewski qui reprend le dossier. Emmanuel Macron l’a nommé dans la nuit, secrétaire d'Etat en charge des retraites. A Colmar, les avocats étaient en grève, hier. Les salles d’audiences étaient vides. Les permanences aussi. Dans la presse locale, ce matin, le bâtonnier Joseph Wetzel déplore l’improvisation du Gouvernement et défend l’actuel régime de retraite des avocats en vigueur depuis la fin de la guerre et qui ne coûte pas un centime au contribuable. Prochaine mobilisation des robes noires, le 6 janvier, puis le 3 février avec une manifestation nationale à laquelle participera une délégation alsacienne. Aujourd’hui, sur les rails, c’est un peu mieux que les jours précédents, selon la SNCF. Pour les TER, comptez 9 allers / retours entre Strasbourg et Bâle, 12 entre Colmar et Mulhouse et 13 entre Sélestat et Strasbourg. Le Tram Train Mulhouse / Thann circule normalement.  81 cars de substitution sont en service aujourd’hui. Sur les grandes lignes : 3 allers / retours du TGV Strasbourg / Paris. 1 aller / retour du Ouigo. 3 Alléo Stuttgart / Paris et 2 Francfort / Paris. Un aller Strasbourg / Bordeaux et 3 Lyria Paris / Mulhouse / Bâle. Pour plus d’informations, rendez-vous sur les sites et applis de la SNCF. Le rectorat de l’académie de Strasbourg annonce pour la journée d’hier 20% de grévistes dans le premier degré. Un peu moins de 20% dans le second degré, 14% dans les lycées et 10% dans les lycées professionnels. Hier en Alsace, seulement 2 écoles étaient fermées. Dans 30 autres, les communes assuraient un service minimum d’accueil des élèves. Un cas de tuberculose dans un lycée d’Obernai. Des tests de dépistage sont en cours chez les élèves et enseignants qui ont côtoyé cette élève du lycée Freppel, diagnostiquée en novembre. Après un test intradermique, ils vont se soumettre aujourd’hui à une radio des poumons, réalisée au lycée par une unité mobile. De son côté, la lycéenne a été hospitalisée. Elle va mieux et devrait reprendre les cours après les vacances de Noël. Il y a un peu moins de deux semaines, le club de patinage artistique de Colmar organisait une séance d’initiation à la patinoire de Noël, sur la place Rapp. Pour Stéphanie Pierrot, depuis 38 ans sur des patins, dont 21 ans, à entraîner les jeunes du club, c’est une bonne occasion pour faire naître une vocation. Nous l'écoutons. Après le patinage artistique, c’est au tour du club de Hockey de proposer une initiation pour les enfants âgés de 3 à 7 ans. Rendez-vous demain à 13h30 à la patinoire de Noël. Enfin, un mot de sport, puisqu’il y avait du basket, hier soir. 9ème journée de Ligue des champions. Lourde défaite de la SIG contre Torun. C’est la deuxième défaite des alsaciens contre les polonais. Score final 75-97. 

2019 en 7 minutes festives Ma femme a plus de goût que moi Cette semaine, avant d'hiberner pendant 15 jours, Livo suit le mouvement contre la réforme des retraites, cherche un cadeau de départ à Jean-Paul Delevoye sur un marché de créateurs, et planque le mot de 2019 dans son traditionnel remix de fin d'année. Avec aussi un spécial featuring de Bernard Pivot, la fausse mort d'Aya Nakamura et le petit train des grévistes...Chaque mercredi Livo découpe l'actu avec son micro. Abonnez-vous au podcast "Dépêche" sur notre site, Apple Podcasts, SoundCloud ou Deezer.  Enregistrements : 5, 15, 16, 17 décembre 19 - Texte, voix, montage : Olivier Minot - Mix : Charlie Marcelet

Le cas de Jean-Paul Delevoye en est la parfaite illustration : jadis on démissionnait pour des motifs politiques, aujourd’hui on part pour une "affaire". Dans le premier épisode du podcast "Démissions !", Olivier Duhamel liste les différents types de démissions et pose un principe : la responsabilité de ceux qui nous gouvernent.

Qu’ils partent pour un désaccord politique de fond, la photo d'un homard reprise sur les réseaux sociaux ou… des mandats non déclarés découverts en pleine tempête sociale comme Jean-Paul Delevoye, Olivier Duhamel raconte l’étonnante histoire des démissions de ministres sous la Ve République dans "Démissions !", le nouveau podcast politique produit par Europe 1 Studio. Découvrez dès aujourd’hui la bande-annonce de cette création originale qui entre en résonance directe avec l’actualité.

1-Spagna. Socialisti e Podemos ancora alla ricerca di un maggioranza. Pedro Sanchez ha iniziato un nuovo giro di consultazioni. (Giulio Maria Piantadosi)..2-Francia. Domani un ‘altra giornata di mobilitazione contro il nuovo sistema pensionistico. La vigilia segnata dalle dimissioni di Jean-Paul Delevoye incaricato da Macron di preparare la contestata riforma. (Francesco Giorgini)..3-Libano. Il punto su due mesi di protesta contro la classe politica accusata di corruzione. Oggi per la terza volta rinviata la nomina di un primo ministro. (Luisa Nannipieri, Camille Eid - Avvenire)..4- Succede in North Carolina. Una donna afroamericana in carcere a causa di una legge razzista che protegge gli elettori bianchi. (Roberto Festa)..5-Serie Tv. Su Apple Tv+ FOR ALL MANKIND, Cosa sarebbe successo se i russi fossero approdati per primi sulla Luna? (Alice Cucchetti)

Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans 19h Ruth Elkrief à une duelliste de choc différente chaque soir : Natacha Polony, Aurélie Filippetti, Sophia Chikirou et Eugénie Bastié.

durée : 00:54:00 - Questions politiques - par : Ali Baddou - Jean-Yves Le Drian, Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Marc Semo (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions). - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean Yves LE DRIAN

1-Spagna. Socialisti e Podemos ancora alla ricerca di un maggioranza. Pedro Sanchez ha iniziato un nuovo giro di consultazioni. (Giulio Maria Piantadosi)..2-Francia. Domani un ‘altra giornata di mobilitazione contro il nuovo sistema pensionistico. La vigilia segnata dalle dimissioni di Jean-Paul Delevoye incaricato da Macron di preparare la contestata riforma. (Francesco Giorgini)..3-Libano. Il punto su due mesi di protesta contro la classe politica accusata di corruzione. Oggi per la terza volta rinviata la nomina di un primo ministro. (Luisa Nannipieri, Camille Eid - Avvenire)..4- Succede in North Carolina. Una donna afroamericana in carcere a causa di una legge razzista che protegge gli elettori bianchi. (Roberto Festa)..5-Serie Tv. Su Apple Tv+ FOR ALL MANKIND, Cosa sarebbe successo se i russi fossero approdati per primi sulla Luna? (Alice Cucchetti)

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1-Spagna. Socialisti e Podemos ancora alla ricerca di un maggioranza. Pedro Sanchez ha iniziato un nuovo giro di consultazioni. (Giulio Maria Piantadosi)..2-Francia. Domani un ‘altra giornata di mobilitazione contro il nuovo sistema pensionistico. La vigilia segnata dalle dimissioni di Jean-Paul Delevoye incaricato da Macron di preparare la contestata riforma. (Francesco Giorgini)..3-Libano. Il punto su due mesi di protesta contro la classe politica accusata di corruzione. Oggi per la terza volta rinviata la nomina di un primo ministro. (Luisa Nannipieri, Camille Eid - Avvenire)..4- Succede in North Carolina. Una donna afroamericana in carcere a causa di una legge razzista che protegge gli elettori bianchi. (Roberto Festa)..5-Serie Tv. Su Apple Tv+ FOR ALL MANKIND, Cosa sarebbe successo se i russi fossero approdati per primi sulla Luna? (Alice Cucchetti)

Le Mutiléthon de la police Dix bons points, une image Cette semaine, Livo fait la manif contre la réforme des retraites en famille. Les enfants adorent les feux d'artifice des lacrymos, les lycéens rigolent moins quand pleuvent des balles de LBD. Pendant ce temps-là, la police fait une "animation tonfa" pour le Téléthon, et Jean-Paul Delevoye, le "monsieur retraites" du gouvernement, assure ses arrières. Chaque mercredi Livo découpe l'actu avec son micro. Abonnez-vous au podcast "Dépêche" sur notre site, Apple Podcasts, SoundCloud ou Deezer. Enregistrements : 5, 6, 8, 9, 10 décembre 19 - Mix : Charlie Marcelet - Texte, voix, réalisation : Olivier Minot 

durée : 00:24:58 - Journal de 12h30 - Au cinquième jour de mobilisation contre la réforme des retraites, les syndicats semblent plus que jamais déterminés à faire plier le gouvernement. Les partenaires sociaux doivent être reçus cet après-midi par le haut-commissaire aux Jean-Paul Delevoye et la ministre des Solidarités Agnès Buzyn. - invités : François Hommeril Président de la CFE-CGC

En cette semaine sociale chargée en France, avec la grève entamée jeudi, RFI dresse le portrait du haut-commissaire aux retraites Jean-Paul Delevoye, 72 ans. Figure historique du chiraquisme, il a rejoint très tôt le mouvement En marche ! d’Emmanuel Macron et défend désormais vaille que vaille la réforme contestée des retraites, promesse de campagne du président. Entré au gouvernement en septembre dernier, Jean-Paul Delevoye est en première ligne face à la rue qui s’inquiète d’un projet dont les contours n’ont toujours pas été fixés. Preuve que sa méthode de concertation et de consultation des partenaires sociaux et des citoyens qui s’achèvent cette semaine officiellement n’a pas suffi à lever les doutes. Pour faire la pédagogie de la réforme, il a pourtant passé les deux dernières années à rencontrer les syndicats et le patronat, consulter et débattre partout en France, répondant aux internautes sur une plateforme en ligne à propos de ses recommandations pour la réforme rendues publiques en juillet. Sur sa méthode, Christian Leroux qui fut son chef de cabinet à plusieurs reprises, au temps où Delevoye était médiateur de la République, puis président du conseil économique social et environnemental - le CESE, mais aussi en 2003 en tant que ministre sous Raffarin. À l’époque, il menait déjà une réforme des retraites, celle des fonctionnaires destinée à les aligner sur le privé : « Il a fait une longue concertation avec tous les syndicats et partenaires sociaux de la fonction publique. Mais derrière, il est allé en province pour expliquer inlassablement les intérêts de la réforme et comment la réforme allait se mettre en place. C’est pour cela qu’il a mis en place pendant toutes ces années 2017, 2018, cette discussion permanente sur tous les points en mettant tous les sujets sur la table sans aucun tabou parce qu’il est convaincu qu’il faut tout mettre à plat. » Les syndicats appréciaient cette approche au départ En effet, car Jean-Paul Delevoye prend le temps de les écouter. Ce géant d’1,92 mètre tout en rondeur est apprécié pour sa bonhommie mais aussi sa connaissance du terrain et des problématiques sociales. Il y a dix ans, il alertait sur le burnout qui guettait la société française. Il a vu monter ce mal en tant que médiateur de la République, mais aussi dans son Pas-de-Calais natal en tant que maire, député et sénateur. Sur cette terre de gauche où il a été élu pendant quatre décennies, il appelle même à voter pour le PS contre son propre camp afin d’éviter la percée de l’extrême droite. Cette réforme des retraites, le haut-commissaire la voit comme l’héritière des efforts des gaullistes et des communistes pour fonder un nouveau modèle social au sortir de la deuxième guerre mondiale. Mais l’été est passé et le brouillard a recouvert le projet de réforme. Plus rien n’est clair et les syndicats - même ceux qui défendent l’idée d’une remise à plat du système comme la CFDT - ne savent plus qu’en penser. La CGT qui n’a jamais soutenu la réforme, est depuis jeudi dans la rue. Serge Mezzasalma y est responsable du dossier des retraites : « Il sait enrober les choses mais c’est un peu un bonimenteur. Il est très talentueux dans cette façon de faire. Pour autant, il n’a apporté aucune réponse à plusieurs propositions pour améliorer le système actuel. Il n’en a repris aucune. Il est de toute façon avec une feuille de route qui a été uniquement de faire jouer la montre et d’essayer de faire en sorte de disqualifier le mouvement social. Sauf qu’il est en train d’échouer. » Pour éviter l’affrontement dans la rue, déjà occupée par les « gilets jaunes », l’exécutif laisse fuiter des pistes. Appliquer la réforme seulement aux nouveaux entrants sur le marché du travail, c’est ce qu’on a appelé la clause du grand-père. « Hors de question ! » dénonce publiquement Jean-Paul Delevoye quitte à laisser paraître au grand jour les fissures dans l’exécutif. Mais c’est plus fort que lui, il faut qu’il dise ce qu’il pense, nous explique le compagnon de route de ce chiraquien historique Christian Leroux : « Il est toujours parti d’un principe : ne rien attendre, ne rien demander. D’ailleurs c’est pour cela que Chirac lui disait :"Tu m’emmerdes parce que tu ne me demandes jamais rien". Ce à quoi il répondait : "Oui, mais comme ça je peux tout te dire". Et donc, cette indépendance, il y tient beaucoup, mais à côté de ça, c’est un homme qui veut servir son pays et qui a toujours été un homme de mission. » Au cœur de l’été, alors qu’il est sur le point de remettre ses premières conclusions, les rapports se tendent une première fois avec l’exécutif, il menace de rendre son tablier. Le doyen au gouvernement, Jean-Paul Delevoye semble encore avoir la confiance d’Emmanuel Macron qu’il a rejoint dès avant la présidentielle puis aidé à faire élire de nombreux jeunes députés marcheurs en tant que responsable des investitures. La semaine prochaine, il rendra les ultimes conclusions issues de ses concertations avant que le gouvernement ne tranche. Jean-Paul Delevoye aura-t-il à avaler son chapeau ou portera-t-il le projet jusqu’au bout ? En tout cas, d’après ceux qui le connaissent, s’il échoue, ce retraité retourné aux affaires rentrera dans son Pas-de-Calais natal pour s’occuper de ses douze petits-enfants.

Le rapport Delevoye est un texte qui esquisse les contours de la réforme des retraites française, souhaitée par le président Macron. Ce rapport a été présenté en juillet 2019 par le haut-commissaire Jean-Paul Delevoye. Il prévoit des changements importants par rapport au système de retraites actuel.En France en 2019, le système de retraites peut paraître quelque peu... cahotique. Il existe 42 régimes de retraites. Selon sa profession et sa caisse de retraite, un travailleur n’a pas exactement les mêmes droits qu’un autre. Ce qui peut être compliqué quand on change de travail au cours de sa vie. C’est ce que pointe le gouvernement : il faut changer le système car il serait trop complexe, voire même injuste.Il faut aussi y voir des raisons budgétaires. Selon un rapport du Conseil d’Orientation pour les retraites, le système pourrait atteindre un déficit de 7,9 à 17,2 milliards d’euros en 2025 ! Alors, le rapport Delevoye propose à la fois d’y voir plus clair, et de faire des économies, grâce à un système de retraite universel. C’était la proposition de campagne d’Emmanuel Macron : “un euro cotisé doit donner les mêmes droits, quelque soit le statut de celui qui a cotisé”.Pour que ça fonctionne, chaque travailleur gagnerait des points, qu’il accumulerait tout au long de sa vie, sur un compte. Et ce, même pour un petit job étudiant. Chacun gagnerait un point à chaque fois qu’il cotise 10 euros. Et puis il y a des points bonus quand on a des enfants par exemple, ou des primes.Au moment de toucher sa retraite, le rapport Delevoye propose que pour 10 points, chaque retraité ait le droit à 5,50€ par an. Sachant qu'un travailleur cotise 28,5 % de ses revenus chaque mois pendant 172 semestres. Les calculs ne sont pas aisés... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Inquiet d’une résurgence des « gilets jaunes » - qui ont commémoré hier l’anniversaire du début de leur révolte – redoutant une défaite aux municipales de mars prochain, l’exécutif veut prendre son temps pour peaufiner ses réformes. Concernant celle des retraites, le président Macron indique que rien n’est encore décidé. La question de l’âge pivot n’est pas tranchée et le gouvernement a promis fin août une concertation de près d’un an. Le projet consiste à remplacer les 42 régimes de retraite existants par un système par répartition universel, dans lequel chaque euro cotisé donnerait le même droit à pension pour tous. La réforme, assure le gouvernement, ne se fera pas au même rythme pour tous. Chaque secteur concerné aura droit à sa négociation. Le basculement est prévu pour 2025. Aujourd’hui aucune date n’est sûre, toutes les hypothèses sont sur la table, y compris l’application de la « clause du grand-père », qui consisterait à n’appliquer la retraite par point qu’aux nouveaux entrants sur le marché du travail. Emmanuel Macron et Édouard Philippe estiment qu’il fautl’étudier, tandis que le Haut-commissaire chargé de la réforme, Jean-Paul Delevoye s’est déclaré contre. Ce dernier s’est fait sèchement recadrer. Selon un sondage Elabe pour Les Échos, Radio Classique et l’Institut Montaigne : 47% des Français se disent opposés à cette réforme et 29% s’y déclarent favorables. Autre front : l’hôpital. Le service public craque, après des années de restructurations mal digérées et de réductions d’effectifs mal calibrés. A Paris, ce sont des centaines de lits actuellement fermés en raison de difficultés de recrutement et de fidélisation chez les soignants. Des postes sont budgétés mais non pourvus. L’hôpital, « un sujet que je regarde avec énormément d’attention et qui me préoccupe beaucoup » a déclaré le président le 28 octobre sur RTL. « Il va falloir que l’on remette des moyens » assure-t-il. Après la mobilisation du personnel hospitalier le 14 novembre, des annonces devraient être faites lors du prochain conseil des ministres. « Le problème qu’on a c’est qu’on fait une stratégie qui va mettre 5 à 10 ans à se déployer », rappelle le président. D’ici là, le 5 décembre la CGT, FO, FSU, Solidaires et plusieurs mouvements de jeunesse ont appelé à « une première journée de grève interprofessionnelle », dans le sillage de plusieurs syndicats de la RATP. L’exécutif craint un embrasement dans la fonction publique.*** Moins d’un mois avant le 70e anniversaire de l’Alliance atlantique qui sera célébré lors du prochain sommet de l’organisation à Londres les 2 et 4 décembre prochain, le président Emmanuel Macron a jugé le 7 novembre dans, The Economist que l’Otan était en « état de mort cérébrale ». Dans un long entretien avec l’hebdomadaire britannique, le président français explique cet état par le désengagement américain vis-à-vis de ses alliés et l’intervention militaire de la Turquie, membre de l’Alliance, dans le nord de la Syrie. « Il n’y a aucune coordination dans la prise de décision stratégique entre les États-Unis et ses alliés de l’Otan » regrette le président français qui se déclare également alarmé de la « fragilité extraordinaire de l’Europe » qui « disparaitra », si elle ne « se pense pas comme puissance dans ce monde ». Pour lui, le sursaut doit passer par deux chemins : le développement d’une véritable « souveraineté militaire » et la relance du dialogue avec la Russie.​Les coups contre l’Alliance atlantique ont été portés par Donald Trump, qui après avoir considérée qu’elle était « obsolète » pendant sa campagne électorale, a introduit le doute sur sa volonté d’honorer la solidarité militaire stipulée par l’article 5 du Traité de l’Atlantique Nord en cas d’attaque contre un de ses membres.​Les propos d’Emmanuel Macron ont suscité un tollé chez les alliés. Ils ont choqué en Allemagne où Angela Merkel a déclaré : « Je ne pense pas qu’un tel jugement intempestif soit nécessaire ». Les « termes radicaux » de M. Macron a ajouté la chancelière ne correspondent pas à « mon point de vue ». Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’Otan a observé que « toute tentative d’instaurer une distance entre l’Europe et l’Amérique du Nord ne va pas seulement affaiblir l’Alliance transatlantique mais risque aussi de diviser l’Europe ». La présidente désignée de la Commission européenne, Ursula vonder Leyen a défendu « la plus puissante alliance de défense dans le monde ». Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompéo a jugé que l’Otan restait « historiquement un des partenaires stratégiques les plus important ». Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau a souligné le « rôle extrêmement important » de l’organisation internationale notamment en Irak et en Lettonie. Le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki a estimé les propos d’Emmanuel Macron « dangereux » tandis que le président turc Recep TayyiupErdogan les a qualifiés d’« inacceptables » . Moscou, en revanche, a salué des « paroles en or » et « une définition précise de l’état actuel de l’Otan ».

durée : 00:02:51 - Le mot de l'éco - La "clause du grand-père" suscite la polémique. Cette clause d'antériorité, dans le cas de la réforme des retraites, crée de la dissension au sein de l'exécutif. Envisagée par Emmanuel Macron et Edouard Philippe, c'est une clause, selon le haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, qui pourrait conduire à "renoncer à la réforme".

Era uma promessa de campanha do presidente Emmanuel Macron. Frente ao envelhecimento incontestável da população ativa, a França prepara a maior reforma de aposentadorias, desde 1945. Estudo do Instituto do Envelhecimento da Universidade de Munique, na Alemanha, mostra como as mudanças demográficas transformarão hábitos de consumo e de poupança no Velho Continente e aponta como países jovens, como o Brasil, poderão se beneficiar. Apesar da pressão dos sindicatos, o governo francês pretende criar um regime universal, em substituição aos 42 existentes no país. As várias tentativas de tratar do tema, no entanto, originaram movimentos sociais e manifestações massivas, como a greve do transporte público metropolitano de Paris, na sexta-feira (13), a maior em 12 anos, quando trabalhadores da operadora do metrô e das linhas de ônibus pararam. Na segunda-feira (16), foi a vez dos profissionais liberais protestarem nas ruas da capital. Os estudos de Jean-Paul Delevoye, alto comissário para a reforma previdenciária na França, deverão inspirar um projeto de lei, a ser avaliado pelo Conselho de Ministros e debatido com a sociedade, antes de ser analisado pelo Parlamento, em 2020, para entrar em vigor, em 2025. “O lema da França é ‘Liberdade, Igualdade e Fraternidade,’ mas não há nenhuma igualdade em se tratando de aposentadorias,” lamenta-se François Paco, 86, ex- engenheiro de soldas. “Aqueles que se aproveitam do sistema não aceitam trabalhar mais ou ganhar menos de aposentadoria. É o famoso direito adquirido. São os intocáveis”, protesta. É para acabar com privilégios e garantir aposentadorias mais equilibradas que a equipe do Palácio do Eliseu trabalha, desde 2017. A idade mínima para a aposentadoria continuará aos 62 anos, mas a reforma introduz uma "idade de equilíbrio", aos 64, para receber uma pensão completa. A adoção de um sistema de pontos, no lugar de anuidades, criará um modelo mais equânime e transparente, segundo o governo. A França quer alinhar-se aos demais parceiros da União Europeia, já que a maioria dos Estados-membros estabelece a idade legal para aposentadoria em torno de 65 anos. O novo programa francês continuará baseado na repartição, e não na capitalização individual. Ou seja, os atuais ativos financiarão as pensões dos aposentados de hoje. Porém, cada euro cotizado, não importa em que período da carreira, abrirá os mesmos direitos para todos os trabalhadores, seja do setor público ou privado, independentemente do estatuto profissional. Antes, a previdência francesa considerava para fins de aposentadoria os 25 anos de maior contribuição para o setor privado e os últimos seis meses de contribuição no setor público. A taxa de contribuição será de cerca de 28% do salário bruto, divididos entre empregador e funcionário. Do ponto de vista contábil, o sistema de aposentadorias francês está melhor atualmente do que há alguns anos. Reformas importantes e difíceis foram implementadas em 1993, 2003, 2010 e 2014. Contudo, ainda há um déficit anual considerável, que foi de € 2,9 bilhões em 2018, podendo chegar, daqui há três anos, a € 10 bilhões. Nos países industrializados – e também em muitos em desenvolvimento - a mudança esperada na estrutura etária é dramática e levará a um aumento substancial da proporção de idosos. Isso acontecerá apesar das correntes atuais de imigração e mesmo com um aumento da fertilidade. “Obviamente cria problemas quando a massa de contribuintes diminui e aumenta o número daqueles que recebem aposentadoria. Isso cria problemas de sustentabilidade, assim como os sistemas de saúde serão mais demandados pelos idosos”, explica Duarte Nuno Semedo Leite, doutor em economia pela Universidade do Porto e professor do Instituto Max Planck, na Alemanha.  Os Baby Bommers se aposentam Esse desequilíbrio está ligado ao aumento da expectativa de vida e à aposentadoria dos baby-boomers (pessoas nascidas entre 1946-1964 na Europa, em países que experimentaram um súbito aumento da natalidade, após a Segunda Guerra Mundial). Mas enquanto o envelhecimento é global, existem diferenças marcantes com relação às suas causas, velocidade e extensão, mesmo dentro da zona do euro.  Os países, portanto, enfrentarão o fenômeno de maneira diferente e em momentos distintos. Essas heterogeneidades irão engendrar caminhos diversos para o crescimento econômico, causando mudanças na hierarquia internacional. Atualmente, o envelhecimento é mais pronunciado na Alemanha e na Itália, por exemplo, do que na França, onde a taxa de natalidade é mais elevada.  Além disso, como o baby-boom do período pós-guerra não aconteceu ao mesmo tempo em todos os países, as consequências em termos orçamentários também não serão as mesmas. O diretor do Centro de Economia do Envelhecimento da Universidade de Munique, Axel Börsch-Supan, explica que o envelhecimento pode ter causas históricas. Os países mediterrâneos têm uma expectativa de vida maior do que, por exemplo, a Alemanha. Não se sabe bem porque isso acontece, já há bastante tempo. Por lá, o envelhecimento da população começou mais cedo. “Outro exemplo, novamente por razões sobre as quais há muita especulação e poucas certezas, a França e os países da Escandinávia têm uma fertilidade muito maior do que a Alemanha, a Itália, a Grécia e a Espanha”, observa o pesquisador. O terceiro fator é o baby-boom, que aconteceu muito mais tarde na Alemanha e na Holanda do que em outros países. Muitos homens, especialmente entre os alemães, estavam presos em campos de trabalho forçado e somente vieram para casa no começo dos anos 1950.  Em relação aos EUA, zona do Euro perde praticamente o dobro da população ativa Pesquisa do Instituto Max Planck, de Munique, revela que o envelhecimento da população irá moldar o desenvolvimento econômico de longo prazo, afetando profundamente os mercados de trabalho, financeiro e de bens. “Envelhecimento significa que haverá menos pessoas em idade ativa. Em essência você ainda terá a mesma quantidade de consumo, de bens e de serviços que deverão ser produzidos, mas você terá menos trabalhadores”, explica Axel Börsch-Supan. Em relação à população total, os Estados Unidos perderão, entre 2015 e 2050, cerca de 7,8% de sua população em idade ativa. Na zona do euro, a perda é mais do que o dobro (16,1%). Ela  é particularmente alta na Espanha e na Itália (24,0 e 19,3%). Enquanto a pressão antecipada nos orçamentos públicos - especialmente pensões e cuidados com a saúde - tem recebido atenção, os economistas alertam que o envelhecimento populacional irá impor outros desafios que, caso não sejam considerados, ameaçam a produtividade e o crescimento, colocando os bancos centrais sob pressão. “E quais ações são possíveis? Realmente fazer todo mundo trabalhar, aqueles que são capazes de trabalhar, promover a digitalização, e o terceiro ponto que você pode querer, como um país em envelhecimento, é ser muito aberto ao comércio exterior e aos fluxos de capital internacional”, afirma o pesquisador Börsch-Supan. Chance para países jovens Graças à globalização dos mercados de trabalho, financeiro e de bens e serviços, e com o auxílio da revolução tecnológica, os países poderão explorar em conjunto os desafios das mudanças demográficas. Assim, fluxos internacionais deverão ser mecanismos importantes no futuro, capazes de moderar os efeitos do envelhecimento da população. O aumento de capital será importante para compensar uma diminuição da mão de obra disponível. “Haverá, também, um aumento de poupança dessa população que está envelhecendo e que vai poupar ao longo da vida. Esse fluxo de capital poderá ser transferido para outros países, com influência nas taxas de juros desses países jovens, mas que ainda têm grandes oportunidades em termos de investimentos que podem ser aproveitadas”, aponta Duarte Nuno Semedo Leite. A estratégia de usar a força de trabalho jovem de outros lugares pode soar como uma nova versão de colonialismo, mas os economistas garantem que a troca é inteligente para ambos os lados. “Por bastante tempo, a Volksvagen, produziu carros no Brasil que eram imediatamente exportados para a Alemanha. Essa estratégia aumentou empregos no Brasil, tendo sido benéfica tanto para o Brasil quanto para a Alemanha. E essa é a ideia”, diz Axel Börsch-Supan. De acordo com o pesquisador, as áreas em que isso pode acontecer são, principalmente, produtos eletrônicos e softwers. Trabalhar mais, para viver mais Investimentos em tecnologia e diversificação internacional de capital, contudo, não serão suficientes e políticas públicas precisarão ser tomadas para compensar o efeito remanescente do envelhecimento da população. Ou seja, o sistema que proporcionou uma esperança de vida maior tem de ser adaptado, uma vez que produz as suas próprias contradições. É complicado entender que os ganhos do welfare state provocam, também, os seus desafios. Sentado num banco do elegante jardim do Palais Royal, o arquiteto parisiense, Jean-François Charpentier, 77, faz as contas. “Hoje, com os estudos, as pessoas começam a trabalhar aos 25 anos. Se tornam produtivos depois. Então há todo um atraso em relação à idade que as pessoas começam a produzir e à idade em que partem para a aposentadoria”, analisa. Tão importante quanto diagnosticar o problema, é a receita para a sua cura, o que passa, necessariamente, por reformas no sistema de pensões, promover a educação e cuidados com a saúde e novas ferramentas para aumentar a participação de idosos, jovens e mulheres na força de trabalho. Segundo os pesquisadores de Munique, quando o assunto é aposentadoria, o grande erro é permitir que os trabalhadores deixem o mercado de trabalho muito cedo, como acontece, na França, em certos casos. “Parei de trabalhar aos 58 anos. Na época, se considerava que estávamos velhos aos 55”, afirma François Paco, engenheiro aposentado. Atualmente, ele dirige uma instituição que distribui medicamentos em todo o mundo. “Se não somos ativos na aposentadoria é como abrir o nossa sepultura. Se você não faz nada, é morte garantida”, alerta. Manter-se ocupado é, também, um jeito de garantir o padrão de vida, diante de um sistema de aposentadorias que enfrenta problemas. “Nós trabalhamos para os nossos pais e agora são os jovens que trabalham para nós, mas como há bastante desemprego na França, virou um problema” conclui, preocupado. De acordo com os economistas do Instituto do Envelhecimento da Universidade de Munique, como a expectativa de vida difere de um país para o outro, aqueles com expectativa de vida menor deveriam ter aposentadoria mais cedo, enquanto aqueles que têm maior expectativa de vida deveriam ter aposentadoria tardia. Mas esse não é o caso, destaca Börsch-Supan.  “Tomemos o exemplo da França: os franceses vivem, em média, dois anos a mais do que os alemães. Porém, partem para a aposentadoria dois anos antes do que os alemães, fazendo uma diferença de quatro anos”, calcula. A diferença significa despesas adicionais ao sistema de pensões, o que justifica, segundo o pesquisador, porque o sistema de aposentadoria francês está em piores condições do que o alemão, apesar de uma demografia melhor. “A idade de saída do mercado de trabalho entre os franceses é, em média, 60 anos, abaixo da média da OCDE, que é de 65 anos”, compara. “Ou seja, ainda existe muita possibilidade de fazer com que as pessoas continuem trabalhando, o que aumenta as contribuições para o sistema social, diminui as despesas e possibilita a manutenção da capacidade cognitiva e física dos indivíduos”, argumenta o pesquisador Duarte Nuno Semedo Leite. “Claro que eu não me refiro ao trabalho braçal ou de risco, em que, obviamente, as pessoas tem que se aposentar mais cedo”, completa. Para o motorista de ônibus François Dufaut, trabalhar mais é o único caminho para obter os rendimentos que espera. “Eu até posso me aposentar aos 62 anos mas, financeiramente, não é um bom negócio. Então eu vou continuar trabalhando até os 67, o que não é nenhum problema, porque eu adoro o meu trabalho e eu estou em boa saúde”, diz. De acordo com o sistema de pontos do regime de aposentadoria francês, a diferença, no caso dele, compensará o esforço. “Se eu me aposentar aos 62, eu terei direito a € 800 por mês e aos 67, € 1.800 por mês. Então eu prefiro trabalhar um pouco mais. E pretendo chegar a centenário”, completa, confiante. Por mais natural que pareça aumentar a idade para a aposentadoria diante de uma expectativa de vida mais longa, a estratégia é vista como impopular. Reformas previdenciárias já realizadas criaram repercussões na França, na Itália e na Alemanha, levando a casos de aposentadorias antecipadas e mesmo à redução da oferta de trabalho, especialmente entre os trabalhadores qualificados. De acordo com os estudiosos em aposentadorias, as pessoas terão que começar a entender que os antigos modelos não funcionarão mais. “Se aumentar três anos a expectativa média de vida, o ideal seria que dois fossem de trabalho e um ano na aposentadoria”, calcula Nuno Semedo Leite. "Ou seja, o tempo que se tem a mais de expectativa de vida deveria ser dividido entre o trabalho e o descanso. A única saída é explicar isso às pessoas e chegar a acordos”, esclarece o economista. “Por mais impopular que pareça trabalhar mais, não há como evitar e ignorar o envelhecimento da população”, conclui. Essas discussões, no entanto, tendem a ser acaloradas e a gerar polêmica. “Isso é porque a maioria das pessoas não gosta do seu trabalho, trabalha porque precisa de dinheiro. Então, eu entendo que fiquem chateadas em ter que continuar trabalhando”, diz Axel Börsch-Supan. “De maneira geral, você precisa duas vezes mais tempo trabalhando para financiar um ano em aposentadoria. Isso é uma regra que funciona em qualquer país,” argumenta. Na opinião de Börsch-Supan, confiar mais nos mercados de capitais do que no mecanismo de repartição pode ter efeitos colaterais positivos significativos no crescimento econômico. Contudo, segundo expõe, a má governança, a concorrência limitada e a falta de informação e transparência causaram danos à aceitação dos planos de pensão financiados. Porém, seja qual for o modelo de previdência escolhido, como diz o ditado, não existe almoço grátis. “É preciso entender que, por mais agradável que seja a aposentadoria, são os trabalhadores que devem financiar isso. E a única maneira de financiar mais aposentadoria é trabalhar mais, se você vive mais. É como tomar um remédio amargo. Infelizmente é um pouco isso, se quisermos viver mais”, afirma. O Brasil tem mais tempo para agir O assunto desperta especial interesse atualmente no Brasil, quando o Congresso Nacional discute a Reforma da Previdência. Porém, o debate atual, centrado sobre o fechamento das contas públicas, mostra-se limitado, aos deixar de abordar outros aspectos da questão, como possíveis ganhos com a tecnologia e a globalização. Por ainda ter uma grande força de trabalho jovem, o Brasil está numa situação mais confortável do que outros países da zona do euro. Protestos contra a reforma da previdência têm ganhado as ruas do país. Contudo, a circunstância favorável para o Brasil é provisória. “As previsões para o Brasil apontam que vai haver um rápido envelhecimento da população até 2050, aproximando-se se a sua estrutura populacional da dos países europeus e países mais envelhecidos, como o Japão”, prevê Duarte Nuno Semedo Leite. Para o pesquisador europeu, aumentar a idade mínima da aposentadoria e cortar privilégios são medidas importantes e que vão no sentido do que está sendo feito nos países em envelhecimento. “A situação atual do Brasil leva a grandes déficits no sistema de aposentadorias que têm que ser compensados pelo Estado, é o que temos visto nos últimos anos, dificultando a capacidade de investimentos em outros setores essenciais para a população. E quanto mais cedo essas medidas forem tomadas, menos sérios serão os problemas no futuro”, prevê. “De um ponto de vista político, é desejável não fazer mudanças que choquem as pessoas, mas sim gradualmente, esse seria o meu conselho”, diz Börsch-Supan. “No Brasil, as reformas podem ser mais modestas, e não precisam ser imediatas. Porém, é preciso lembrar que  aposentadorias não caem do céu, que elas têm de ser pagas ou por poupança – economias - ou contribuições para o sistema. E para pagar seus impostos e fazer suas contribuições, as pessoas têm de trabalhar, ” conclui o diretor do Centro alemão de Economia do Envelhecimento.

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durée : 00:20:51 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand - Jean-Paul Delevoye, Haut-commissaire aux Retraites, délégué auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, est l'invité du grand entretien de Nicolas Demorand et Léa Salamé à 8h20.

C'est la mère de toutes les réformes, dit-on. C'est probablement pour cette raison que le gouvernement prend son temps : après avoir envoyé Jean-Paul Delevoye en discuter pendant près de deux ans avec les syndicats, Edouard Philippe vient d'annoncer que le nouveau régime de retraite serait soumis "aux Français" le temps qu'il faudrait - on parle d'une année supplémentaire. Autre nouveauté de la rentrée, la volte-face d'Emmanuel Macron sur l'âge de sortie de l'emploi: avant les vacances, son haut commissaire parlait d'un âge pivot, rejeté par l'ensemble des syndicats ; à l'occasion du G7 de Biarritz, il y a quelques jours, le président de la République a dit ses doutes à ce sujet, relançant le débat. Tout ça n'a pas contribué à éclairer un dossier compliqué. Les explications de Béatrice Mathieu et Nathalie Samson. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Au menu ce midi :-Un collectif "citoyen" dénonce les "simulations" selon lui "trompeuses" utilisées dans le rapport du haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye. -Tour de France. Entrée dans les Alpes avec une étape de montagne redoutable entre Embrun et Valloire (208 km). L’occasion de faire un zoom sur Benoît Drujon, le nettoyeur de clim' qui pourrait faire gagner le Tour à Thibaut Pinot.-La canicule frappe fort aujourd'hui. Mais quels sont les effets de la chaleur sur le corps humain? -Leonardo DiCaprio baisse son cachet de 5 millions de dollars pour Quentin Tarantino.Thibault GirardetCrédits sons : Longing – Joakim Karud/Musique libre de droits/Bisquit soul de Noodgroove – Fugue Icons8.com/Bruitages : universal-soundbank.com/Abonnez-vous à Minute Papillon! sur votre plateforme d’écoute en ligne préférée, retrouvez-le à l'onglet «Podcast» du site 20minutes.fr Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Hier, le haut commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, a dévoilé ses propositions. Selon Eric Brunet, c'est une réforme qui va plutôt dans le bon sens. Néanmoins, il reproche le fait de ne pas avoir touché aux 42 régimes spéciaux qui constitue un gros facteur d'injustice. Laurent Neumann, lui aussi, pense que c'est un projet socialement juste. - Tous les jours à 7h50, le duo Eric Brunet et Laurent Neumann commente un sujet fort de l'actualité, dans Bourdin Direct, sur RMC.

Le système universel tel que proposé par Jean-Paul Delevoye représente un changement profond des règles, avec, à terme, une harmonisation sensible des droits. Le niveau des pensions serait amélioré par rapport à l’évolution anticipée sans réforme. Mais l’équation n’est tenable qu’avec une hausse de l’âge effectif de départ, et sans attendre 2025. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Au menu, ce midi:-Retraite. Le haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, a rendu ce matin son rapport et ses préconisations pour ce futur « système universel ». -Benjamin Griveaux a qualifié d'« abrutis » ses anciens rivaux pour l’investiture de La République en Marche (LREM) aux prochaines municipales à Paris. -Cyclisme. Tour de France. Le coureur français Julian Alaphilippe peut-il ramener le maillot jaune à la maison ? -Le Baulois Emmanuel Coindre, 45 ans, vient de boucler sa sixième traversée de l’océan Atlantique sur son canot, en solo et sans assistance. Thibault GirardetCrédits sons : Longing – Joakim Karud/Musique libre de droits/Bisquit soul de Noodgroove – Fugue Icons8.com/Bruitages : universal-soundbank.com/ Ramenez la coupe à la maison - Vegedream - CMV Production - UMG Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Jean-Paul Delevoye rend son rapport sur la réforme des retraites, après de longs mois de concertation avec les partenaires sociaux. Il engage le gouvernement sur le chemin de la retraite à points, mais tâche de ne fâcher personne - ou pas trop, constate Christophe Barbier, qui y croit, à condition de changer en douceur. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Cette semaine la rédaction fait le point sur les travaux menés par Jean-Paul Delevoye, haut commissaire à la réforme des retraites et essaye d'y voir clair dans la communication gouvernementale sur ce sujet.

Les titres du flash:- Âge de départ à la retraite, qui croire ce matin ? Le Haut-commissaire chargé de la réforme des retraites Jean-Paul Delevoye, ou la ministre de la Santé Agnès Buzyn?- Affaire Benalla : le Sénat transmet à la justice les cas de Benalla, Crase et trois proches d’Emmanuel Macron à l’Elysée.- Des militaires de l’opération Sentinelle mobilisés samedi pour des manifs de « Gilets jaunes ». Une annonce du gouvernement hier qui a fait monter la température, un peu plus tard sur le plateau BFMTV lors d’un débat entre six chefs de partis.- Brigitte Macron sifflée et huée hier soir à Reims avant un match à but caritatif, rapporte RTL. A propos de leur week-end au ski écourté samedi soir après des violences sur les Champs-Elysées, l'épouse du chef de l'Etat a dit: «Dès qu'il a pris conscience de ce qui se passait il est parti. C'était évident. C'était moi qui lui avais préparé une escapade».- Avec sa harpe et ses reprises rock, elle empile les millions de vues sur YouTube. 20 Minutes a rencontré Marion Le Solliec, harpiste bretonne qui affole les compteurs avec des millions de vues sur YouTube.Anne-Laetitia BéraudCrédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits/ Bisquit soul de Noodgroove - Fugue Icons8.com/Bruitages : universal-soundbank.com Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Jean-Paul Delevoye continue sa pédagogie de la réforme sur un sujet clef : l'âge de départ. En soulignant, avec doigté, pourquoi il est nécessaire d'inciter les salariés à partir plus tard. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Dans un monde qui change et se métamorphose, que devient l’humanité de l’homme ? Comment faire face au non-sens de la société contemporaine et ses fragilités de plus en plus visibles ? Comment lutter contre la tentation de se construire sur la désespérance ? Quel usage faire du progrès et de la technologie ? Quel devenir face aux robots ? Doit-on se résoudre à cohabiter dans un monde fini ? Les défis à relever sont nombreux et renvoient à la question cruciale de la liberté de l’homme, de sa mise sous tutelle ou de son esclavage… Dans ce moment charnière que nous vivons, le dirigeant, lui aussi, a son rôle à jouer. Jean-Paul Delevoye a été nommé Haut-Commissaire à la réforme des retraites. Ancien ministre, ancien président du Conseil économique, social et environnemental, ancien Médiateur de la République, il a aujourd’hui pour mission d’organiser la concertation avec les principaux acteurs du champ des retraites et de coordonner, au niveau interministériel, les travaux de préparation de la réforme des retraites

Fabien Namias est persuadé qu'il ne va devoir marcher longtemps avant d'avoir une réponse du président de la Commission nationale d'investiture d'En Marche ! 

Mathieu Baudin, Marie Tribout, Michel Maffesoli, Stéphane Distinguin, Jean-Paul Delevoye, Julien Bayou

Mathieu Baudin, Marie Tribout, Michel Maffesoli, Stéphane Distinguin, Jean-Paul Delevoye, Julien Bayou