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Au Portugal, après les législatives anticipées du 18 mai, l'actuel Premier ministre Luis Montenegro doit prendre la tête d'un gouvernement minoritaire. Si son Alliance démocratique de centre-droit est arrivée en tête, elle n'atteint toujours pas la majorité absolue et va devoir composer avec un paysage politique chamboulé, où les socialistes sont en net recul et l'extrême droite bat des records. « Non, c'est non ». Luis Montenegro a martelé ce slogan à chaque fois qu'il était interrogé sur la question d'une éventuelle alliance avec le parti ultranationaliste Chega. Mais après le résultat obtenu par cette formation (58 députés, autant que le Parti socialiste, mais quatre sièges des circonscriptions de l'étranger n'ont pas encore été pourvus), ce « non » pourrait être plus nuancé. Dans un contexte où l'Alliance démocratique se retrouve sans majorité absolue au Parlement, « cette position de principe peut souffrir quelques aménagements cosmétiques », avance Yves Leonard, historien et politologue, spécialiste de l'histoire contemporaine du Portugal.La formation d'André Ventura, grand admirateur de Donald Trump, a franchi pour la première fois la barre des 20% et est en passe de devenir le premier parti d'opposition. Au sein même du Parti social-démocrate de Luis Montenegro, certains plaident pour une stratégie qui consiste à s'assurer du soutien sans participation de Chega au gouvernement. « Il y a effectivement une nuance qui se met en place parce que les alternatives pour le Premier ministre sortant ne sont pas simples et toutes désirables », souligne Yves Leonard.Jusqu'à présent, le Premier ministre sortant, à la tête d'un gouvernement minoritaire, s'est assuré de soutiens au cas par cas pour faire passer des textes de loi au Parlement. Le président Marcelo Rebelo de Sousa, qui a entamé les consultations avec les chefs des partis politiques, a déjà prévenu qu'il prendrait son temps pour s'assurer de la viabilité du prochain exécutif et de sa capacité à faire adopter son programme.Messages aux électeurs d'extrême droiteSans attendre le résultat de ce scrutin anticipé, Luis Montenegro a donné des signaux forts aux électeurs de Chega, sur les thèmes de la sécurité et de l'immigration, chères à l'extrême droite. Début mai, il a largement médiatisé l'annonce de l'expulsion prochaine de 14 000 personnes en situation irrégulière. « La droite modérée portugaise a eu, à peu près, la même stratégie que la droite et le centre-droit européen vis-à-vis du défi de la droite radicale », analyse Antonio Costa Pinto, professeur de sciences politiques à l'université de Lisbonne, relevant que le PSD sous la direction de Luis Montenegro avait adopté une position plus dure vis-à-vis de l'immigration, plaçant le parti un peu plus à droite, sur fond de défi lancé par la popularité grandissante de Chega.« Luis Montenegro est un politicien mainstream de centre-droit, mais qui, vis à vis du défi de la droite radicale, ne va pas hésiter à faire des concessions », pronostique le politologue portugais. Le chef du parti social-démocrate de 52 ans, présenté comme discret, sans charisme, mais obstiné, a appelé, au soir de l'élection, à « dialoguer et faire passer l'intérêt national au-dessus de tout ».Avocat de formation, l'homme à la carrure solide, aux yeux verts et à la fossette au milieu du menton, a longtemps été voué aux seconds rôles au sein du parti. Ce passionné de football a aussi été maître-nageur dans la station balnéaire d'Espinho, où il a grandi et vit encore avec son épouse et leurs deux enfants. Par deux fois, il s'est présenté à la mairie, mais a échoué face au candidat socialiste. Conseiller municipal à 24 ans, élu député cinq ans plus tard, ce conservateur pragmatique de culture libérale et entrepreneuriale, a essuyé plusieurs échecs avant de prendre les rênes du PSD en 2022 et de devenir Premier ministre à la tête d'un gouvernement minoritaire deux ans plus tard.« Onction du suffrage »À la suite de révélations par la presse d'une affaire de possibles conflits d'intérêt autour de contrats publics accordés à des entreprises liées à sa famille, il a perdu une motion de confiance au Parlement et a décidé de démissionner. En dépit du scandale, Luis Montenegro a réussi son pari. Il sort vainqueur de ce scrutin, obtenant une majorité plus large, mais toujours pas absolue. « Le facteur éthique n'a pas joué un rôle important. Son problème personnel n'a pas beaucoup intéressé la société portugaise », note Antonio Costa Pinto.« En sciences politiques, on sait que toutes ces questions d'affaires, de conflits, d'intérêts, et de corruption, ne pénalisent pas forcément leurs auteurs lors des élections. La liste est longue, à commencer par Donald Trump », note Yves Léonard. « Non seulement il n'est pas sanctionné pour cette affaire-là, mais les électeurs lui ont majoritairement donné quitus, permettant à son parti d'obtenir une majorité un peu plus large, un peu plus confortable. Comme c'est souvent le cas, l'onction du suffrage l'immunise d'une certaine manière », complète le politologue.Cette affaire restera quand même une épine dans le pied de Luis Montenegro, que l'opposition et en particulier, l'extrême droite de Chega ne se privera pas d'utiliser. Dans cette période de fortes turbulences et d'incertitudes sur la scène politique portugaise, qui connaitra des élections municipales en septembre et présidentielle en janvier, le Premier ministre ne peut qu'être certain d'une seule chose : il ne pourra pas y avoir d'élections législatives avant mai 2026. Le Portugal vient d'en connaître trois en trois ans.
Ricardo Costa, Bernardo Ferrão, Ângela Silva e David Dinis analisam pelas 17h00 de dia 18 de maio os números da afluência e as palavras de Marcelo Rebelo de Sousa. O Presidente da República fez novo apelo à participação dos portugueses nas eleições legislativas antecipadas de hoje e afirmou que tenciona convocar os partidos na segunda-feira, para os ouvir "calmamente, serenamente" ao longo da semana.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Chega ao fim uma campanha que quase ninguém queria, começa o dia de reflexão. O país dispensava regressar às urnas, sobretudo com o contexto internacional sem sinais de melhoria, semana após semana. Os candidatos mostraram-se em corridas, banhos de mar, passeios de mota, com entrevistas a todos menos a jornalistas. Os dias que se seguem poderão ser mais pesados, com Marcelo Rebelo de Sousa a prometer mais um discurso à nação este sábado, enquanto o país reflete. Bernardo Ferrão e Ângela Silva moderam o último debate na SIC Notícias antes do dia de reflexão, com a participação de Martim Silva, subdiretor de informação da SIC, António Gomes, diretor-geral da Gfk-Metris, Maria João Avillez, comentadora SIC, e Riccardo Marchi, investigador. O Expresso da Meia-Noite foi emitido a 16 de maio, na SIC Notícias.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Marcelo Rebelo de Sousa volta a dizer que é preciso melhorar a forma de voto dos portugueses no estrangeiro. Pelos dados disponíveis, estão a votar menos do que há um ano. Edição Isabel Gaspar Dias
Marcelo Rebelo de Sousa (que já foi votar), Nuno Melo (que teve um ataque de ciúmes) e os "ativistas" do clima (que continua a violar a lei) são o Bom, o Mau e o Vilão.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Marcelo Rebelo de Sousa levanta-se do silêncio para se meter na campanha eleitoral da forma menos correta. Ainda a paralisação da vida dos portugueses - o que é que os trabalhadores da CP querem mais?See omnystudio.com/listener for privacy information.
O Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa, recorda parecenças entre 25 de Abril e o Papa Francisco e pede a continuação da "radical humildade" que o pontífice da Igreja Católica ensinou.See omnystudio.com/listener for privacy information.
O Presidente da Confederação do Desporto em Portugal espera paz entre os dois dirigentes "a bem do futebol português". Daniel Monteiro enaltece a mais recente declaração de Marcelo Rebelo de Sousa.See omnystudio.com/listener for privacy information.
O Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa, promete falar na véspera das eleições legislativas e, quem sabe, ir "mais longe" no que vai dizer. O teor do discurso deverá variar consoante as sondagens que se conheçam daqui a pouco mais de 50 dias. Vai o presidente exigir a PS e PSD um acordo de regime?See omnystudio.com/listener for privacy information.
Antigo líder centrista é um dos nomes que apoia o ex-almirante para Belém. Considera que CDS vai ter de apoiar Marques Mendes, por "lealdade" à coligação com PSD, de quem se tornou "quase uma filial".See omnystudio.com/listener for privacy information.
Reportagem e edição por Filipa Gala - Mau tempo causa mais de seis mil ocorrências e vários estragos a nível nacional- Marcelo Rebelo de Sousa decreta dissolução da Assembleia da República- Ministério Público pede condenação de ativista que atingiu Luís Montenegro com tinta- Nova série da Netflix, ‘Adolescência', está a ser um sucesso a nível mundial e pode chegar ao Parlamento britânicoSonoplastia: Nuno Viegas Design: Carlota Real
O Presidente da República Portuguesa, Marcelo Rebelo de Sousa, dissolveu o parlamento e anunciou que as eleições gerais portuguesas, as terceiras consecutivas em modo antecipado, vão se realizar no dia 18 de Maio. O Presidente dos Estados Unidos, Donald Trump, disse que o enviado especial Steve Witkoff está em discussões sérias com a Rússia sobre o fim da guerra na Ucrânia. Estas e outras notícias no noticiário de hoje.
El presidente ucraniano, Volodímir Zelenski, cree que Vladímir Putin, va a rechazar la propuesta de EEUU para un alto el fuego en Ucrania. En cuanto a los aranceles, Trump asegura que no va a ceder en la guerra que ha provocado con las tasas al acero y aluminio mundial. El presidente de Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa, convoca elecciones legislativas anticipadas el 18 de mayo.
El presidente ucraniano, Volodímir Zelenski, cree que Vladímir Putin, va a rechazar la propuesta de EEUU para un alto el fuego en Ucrania. En cuanto a los aranceles, Trump asegura que no va a ceder en la guerra que ha provocado con las tasas al acero y aluminio mundial. El presidente de Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa, convoca elecciones legislativas anticipadas el 18 de mayo.
El presidente ucraniano, Volodímir Zelenski, cree que Vladímir Putin, va a rechazar la propuesta de EEUU para un alto el fuego en Ucrania. En cuanto a los aranceles, Trump asegura que no va a ceder en la guerra que ha provocado con las tasas al acero y aluminio mundial. El presidente de Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa, convoca elecciones legislativas anticipadas el 18 de mayo.
Marcelo Rebelo de Sousa convocou eleições legislativas para 18 de maio e logo a seguir Pedro Delgado Alves e José Eduardo Martins comentaram a atual crise política, no Antes Pelo Contrário em podcast. O Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa, anunciou eleições antecipadas para 18 de maio, após o Conselho de Estado recomendar esta solução perante a crise política desencadeada pelo chumbo da moção de confiança ao Governo. Marcelo afirmou que tentou evitar eleições, mas que a falta de entendimento entre Governo e oposição tornou essa opção inevitável. O chefe de Estado sublinhou o "choque de juízos éticos" entre os partidos, afirmando que não havia "meio caminho" para um entendimento. O Antes Pelo Contrário foi emitido a 13 de março na SIC Notícias.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dar aulas é como andar de bicicleta - nunca se esquece - e Marcelo Rebelo de Sousa voltou a ser ontem o "Professor Marcelo" na comunicação onde anunciou ao país a decisão de convocar eleições.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Em semana de queda de Governo, Belém saiu "protegido" porque a crise política "poupa" Marcelo Rebelo de Sousa, teme-se que as CPI virem "moda" e vê-se postura de Montenegro como "suicídio político".See omnystudio.com/listener for privacy information.
Como avalia o discurso de Marcelo Rebelo de Sousa sobre a crise política e a dissolução do parlamento?
O país vai a eleições legislativas no dia 18 de Maio para contornar uma crise política "inesperada", anunciou o Presidente da República, que pediu que nos próximos dois meses se faça um "debate eleitoral frontal, claro e esclarecedor, mas sereno, digno, elevado, tolerante, respeitador da diferença e do pluralismo", que "fortaleça e não enfraqueça a democracia". Marcelo Rebelo de Sousa insta os partidos a que não se abra "ainda mais a porta a experiências que se sabe como começam e se sabe como acabam”, num aviso sobre derivas populistas e extremistas. Procurando explicar o cerne da questão, o Presidente apontou que o choque que leva a este desfecho "não era tanto sobre políticas", mas mais "sobre a confiabilidade, ou seja, a ética da pessoa exercendo a função de primeiro-ministro". Marcelo soube gerir bem esta crise política?See omnystudio.com/listener for privacy information.
Portugal encaminha-se para novas eleições, as quartas legislativas em cinco anos e meio. Esta quinta-feira, o Presidente reúne o Conselho de Estado, a segunda etapa necessária para dissolver o Parlamento e convocar eleições provavelmente para 11 ou 18 de Maio. Porém, "é provável que não existam grandes alterações" com a ida às urnas, considera o politólogo António Costa Pinto, o convidado deste programa. A mais recente crise política portuguesa começou com um escândalo envolvendo uma empresa da família do primeiro-ministro, Luís Montenegro, o que provocou acusações de conflito de interesses. Depois de duas moções de censura rejeitadas em menos de duas semanas, o Parlamento chumbou, na terça-feira, uma moção de confiança apresentada pelo governo minoritário PSD/CDS-PP, um dia e um ano após a vitória da coligação AD nas legislativas antecipadas de 10 de Março.Na quarta-feira, o Presidente da República ouviu os partidos e esta quinta-feira reúne o Conselho de Estado, o segundo passo necessário para dissolver o Parlamento e convocar as eleições provavelmente para 11 ou 18 de Maio, duas datas já admitidas publicamente por Marcelo Rebelo de Sousa.O politólogo António Costa Pinto antevê como "provável que não existam grandes alterações" com a ida às urnas porque “é pouco provável que o número de partidos e o sistema partidário se altere significativamente”. Para o investigador, a questão fundamental, é saber se o Parlamento contará com uma maioria mais à esquerda ou mais à direita.António Costa Pinto aponta as eleições antecipadas como uma estratégia do primeiro-ministro Luís Montenegro para “relegitimar-se”, evitando uma Comissão de Inquérito Parlamentar que teria sido “altamente danosa para a sua imagem política”. Resta saber a direcção que toma a agenda política da campanha eleitoral e quem é que os eleitores “vão culpabilizar” por eleições antecipadas indesejadas.RFI: Numa altura em que se vive uma enorme instabilidade na Europa e no mundo, o que se passa em Portugal?António Costa Pinto, Politólogo: “Portugal é há um ano governado por um governo minoritário de centro-direita. É um governo que dependia do principal partido da oposição, que era o Partido Socialista, de centro-esquerda. Esse Partido Socialista não queria eleições, mas o caso do primeiro-ministro, associado a uma promiscuidade entre uma empresa dele próprio e a sua condição de primeiro-ministro, provocou a queda do Governo.”Que empresa era esta? O que provocou esta crise política? “Foi a comunicação social que desencadeou, através de uma série de investigações, este caso, porque o primeiro-ministro não abandonou esta empresa ou a vendeu quando iniciou funções, passou-a para a sua mulher, o que na prática quer dizer que continua dele. Entretanto, recebia uma série de avenças de casinos e de outras pequenas empresas que se veio a verificar que pertenciam à estrutura mais ou menos clientelar do PSD a nível local, ou seja, no Norte do país.”O que vimos no Parlamento, na terça-feira, foi uma troca de culpas entre o primeiro-ministro e o líder da oposição. Na verdade, quem é que tem a ganhar com isto, se é que alguém tem a ganhar com novas eleições em Portugal? “Os partidos políticos da oposição não queriam eleições. A prova disso é que o principal partido da oposição, que é o Partido Socialista, viabilizou um Orçamento e eliminou duas moções de censura. Em grande parte, estas eleições antecipadas são provocadas por um ponto específico: o primeiro-ministro não queria uma Comissão de Inquérito Parlamentar que seria altamente danoso para a sua imagem política, avançou com uma moção de confiança que a oposição obviamente não podia aprovar e assim Portugal vai ter eleições antecipadas.Quem ganha e quem perde vai depender da agenda das eleições. Se o primeiro-ministro Luís Montenegro e o Partido Social Democrata tentarem convencer os portugueses que foram derrubados porque a sua governação era de sucesso e eles mereciam governar mais, evidentemente que, neste caso, o Partido Social Democrata sairá até eventualmente reforçado. Se partidos de direita radical como o Chega, mais o Partido Socialista e outros partidos à esquerda e à direita conseguirem convencer o eleitorado que estas eleições são por causa da promiscuidade do primeiro-ministro entre interesses privados e a sua função de primeiro-ministro, eventualmente, eles sairão reforçados. Mas há um terceiro elemento, e por isso é que esta campanha eleitoral vai ser relativamente complexa, é que ela pode ser contaminada por agentes externos.” Como assim? “A Procuradoria-Geral da República acabou de dizer que ia fazer um pequeno inquérito; a Ordem dos Advogados, daqui a 15 dias ou daqui a três semanas, pode dizer que o primeiro-ministro que era advogado, que a sua empresa cometeu ilegalidades… O que eu quero dizer com isto é que, basicamente, os portugueses não queriam estas eleições, estão eventualmente irritados por terem que ir a votos nestas eleições antecipadas e quem é que vão culpabilizar? É justamente essa a dúvida que permanece ainda em Portugal.”A seu ver, de quem é a culpa? “Eu posso ter alguma opinião, mas isso tem pouca importância. Obviamente que a culpa é das actividades privadas do primeiro-ministro, mas isso tem pouca importância porque as campanhas eleitorais e os eleitores têm opiniões muito diversificadas e esse pode não ser o tema determinante na campanha.” O facto de haver eleições não vai limpar toda a suspeição à volta do caso, à volta da empresa familiar do primeiro-ministro que esteve na origem da crise política. Luís Montenegro tem condições para se recandidatar? “Sem dúvida. Essa é, aliás, a sua estratégia política. É recandidatar-se, relegitimar-se e ele já afirmou numa conferência de imprensa que mesmo que seja arguido, ele não se demite. Muitos políticos o fazem, o primeiro-ministro português não será nem o primeiro nem o último. O Governo Regional da Madeira, em Portugal, por exemplo, tem um chefe de Governo regional arguido que vai a eleições dentro de algumas semanas e que poderá continuar no cargo. Portanto, não há nenhuma novidade sobre esse ponto de vista.” Os portugueses não estão cansados? Isto não pode, de certa forma, contribuir para um aumento da abstenção? É que são as quartas legislativas em quatro anos e meio…“Poderá contribuir para algum aumento de abstenção. Poderá contribuir - ainda não sabemos - para algum voto em partidos de protesto, como por exemplo, a direita radical do Chega. Mas também poderá contribuir para um aumento pequeno do PSD e do partido do Governo porque os eleitorados - e não é apenas o português, o francês, o espanhol, o italiano - já têm, em grande parte, atitudes formadas a propósito de casos específicos. O caso do primeiro-ministro poderá ser desviado para outros temas, como o tema de que a oposição de esquerda e a direita radical quiseram derrubar o governo. Não é fácil saber, mas vamos saber nas próximas semanas qual será a tendência de voto dos portugueses.”As eleições vão mudar alguma coisa ou vai ficar tudo na mesma? “No caso português, na democracia portuguesa, é pouco provável que o número de partidos e o sistema partidário se altere significativamente. É pouco provável que exista e que saia destas eleições um governo com uma maioria de um só partido. A questão fundamental, mais uma vez, na democracia portuguesa vai ser o seguinte: no dia das eleições, vai sair no Parlamento uma maioria mais à esquerda ou mais à direita? É isso que mais uma vez vai estar em causa nestas eleições, independentemente de saber quem é o maior partido. Mas é provável que não existam grandes alterações.”Numa altura em que a Europa e o mundo estão cada vez mais polarizados, com a subida de extremismos, e em que, ano passado, nos 50 anos do 25 de Abril, 50 deputados do Chega entravam no Parlamento português, estas novas eleições podem favorecer a extrema-direita?“Em teoria sim, mas, curiosamente, o partido de extrema-direita português Chega foi atravessado nos últimos meses por um conjunto de escândalos com grande impacto na opinião pública. Desde um deputado pelos Açores que foi apanhado a roubar malas no aeroporto, até um caso de pedofilia com um candidato. Ou seja, o partido de direita radical tem sofrido, sem dúvida nenhuma, um impacto muito forte por casos no seu próprio partido. Não é provável que aumente, mas a sua bandeira é evidente. E, para dar apenas um exemplo, o partido de direita radical, ontem e logo após a queda do governo, já colocou obviamente a sua mensagem política na rua, colocando o actual primeiro-ministro igual ao ex-primeiro-ministro José Sócrates, acusado de corrupção, o seja, a mensagem de mais um corrupto a dirigir o país e a sua campanha eleitoral será muito em torno desse caso.”Este é o momento de Portugal ir a eleições? “Muitas vezes nós pensamos, não apenas em Portugal, mas a propósito de outras democracias, Macron em França e a sua decisão de eleições que não alteraram significativamente o panorama em França… Mas há um ponto interessante no caso português e esse ponto é: existe sempre a ideia de que eleições antecipadas e muitas eleições são perturbadoras da ordem económica. Ora, uma das coisas interessantes no caso português é que, muito embora não seja a Bélgica onde isso acontece regularmente, as eleições não têm tido nenhum impacto na performance económica portuguesa. Não há nenhuma diferença, antes pelo contrário, a economia portuguesa continua em bom estado.”Depois da moção de confiança chumbada, agora temos um governo em gestão com poderes limitados. O que é que o executivo pode fazer até haver novas eleições? “É exactamente o que se passou há um ano. Ou seja, o Governo tem um orçamento aprovado, as finanças públicas estão aparentemente sãs. O Governo vai passar a um governo de gestão durante dois meses.”
Marcelo Rebelo de Sousa lamenta a crise política e questiona o porquê de o Governo ter apresentado a moção de confiança. Em Belém, o PR anunciou que o país vai a eleições a 18 de maio.See omnystudio.com/listener for privacy information.
US envoy Witkoff starts talks in Qatar as Israel proposes truce extension "US presidential envoy for the Middle East, Steve Witkoff, has begun talks in Qatar to push for progress on releasing Israeli captives amid a proposal by Tel Aviv to extend a ceasefire deal in besieged Gaza for 60 days, Israel's public broadcaster KAN reported. The first 42-day phase of a three-phase ceasefire and prisoner swap deal, each of equal length, between Hamas and Israel, brokered by Qatar, Egypt and the US, ended March 1 after starting on January 19. Israel has reneged on the truce deal announced by Biden administration last year and wants to impose its own new deal on Palestine." White House puts pressure on Columbia University as it seeks to deport pro-Palestine activists "The White House says Columbia University is refusing to help federal agents find people being sought as part of the government's effort to deport participants in pro-Palestine demonstrations. In a briefing with reporters in Washington, White House press secretary Karoline Leavitt said federal authorities have been ""using intelligence"" to identify other people involved in campus demonstrations critical of Israeli aggression. She said Columbia had been given names and was refusing to help the Department of Homeland Security ""to identify those individuals on campus""." Syrians rally in support of new government after attacks by Assad loyalists "Hundreds of civilians have gathered in Syria's Latakia to express support for the government forces following recent incidents in the province. People assembled in Sheikh Dahir Square in the centre of Latakia, holding banners with Arabic messages, including: ""The forces of the deposed regime have destroyed the infrastructure"", "The Alsharaa government represents me", and ""We stand with the security forces"". Some demonstrators carried flags of the Syrian Army, while others displayed photos of security personnel who died in clashes between March 6 and 10." Portuguese government loses confidence vote, paving way for snap elections "Portugal could be heading to its third general election in three years after the centre-right government of Prime Minister Luis Montenegro lost a vote of confidence. The vote was called over conflict-of-interest accusations against Montenegro involving a family business. A last-minute attempt to avoid the vote failed when terms could not be agreed for setting up a mooted parliamentary inquiry. The country's president, Marcelo Rebelo de Sousa, must now decide whether to dissolve the assembly and call new elections." India bans Kashmir political parties days after criticising 'obscene' fashion show "The Indian government has imposed a five-year ban on two local political parties in India-administered Kashmir, declaring them ""unlawful associations"" threatening India's sovereignty, integrity and security. According to Indian Home Ministry, the Awami Action Committee (AAC) and the Jammu and Kashmir Ittihadul Muslimeen (JKIM), were accused of ""supporting terrorism, spreading anti-India narratives, and raising funds for secessionist movements in the region"". The Indian government invoked Section 3 of the Unlawful Activities (Prevention) Act, 1967 to enforce the five-year ban."
Tras la pérdida de confianza del primer ministro Luís Montenegro en la Asamblea, el presidente Marcelo Rebelo de Sousa ha comenzado este miércoles una ronda de consultas con los grupos parlamentarios. Todo apunta a que Portugal podría volver a las urnas a mediados de mayo. En el informativo '24 Horas de RNE', analizamos la situación con María Asensio, profesora de Ciencia Política y Políticas Públicas del Iscte-Instituto Universitario de Lisboa."Estamos viviendo una realidad laberíntica y compleja [...] ha sido la crónica de una muerte anunciada", apunta la entrevistada. Asensio explica que "ha habido una serie de desaciertos que han desembocado en este colapso parlamentario del Gobierno". Por eso, resalta que si el primer ministro portugués hubiese "reconocido el error cometido, podría haber puesto fin a esa gran mochila de problemas éticos que cargaba sobre sus hombros y quizás se habría zanjado ese problema". Estos desencadenantes son los que han provocado "una gran crisis política y una falta de liderazgo" en el Gobierno luso. Además, Asensio concluye que "el colapso parlamentario del Gobierno no fue por la moción de confianza, sino por esa ambición demostrada en el debate".Escuchar audio
Ucrania acepta la propuesta de EEUU de un alto el fuego total y prorrogable de 30 días. Ahora queda por saber la respuesta de Rusia. La UE anuncia aranceles a productos de EEUU por valor de 26.000 millones de euros el 1 de abril y que habrá nuevas medidas a mediados de ese mes. El presidente de Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa, debe decidir si convoca o no elecciones tras la caída del Gobierno de Luís Montenegro tras no superar una moción de confianza.
Ucrania acepta la propuesta de EEUU de un alto el fuego total y prorrogable de 30 días. Ahora queda por saber la respuesta de Rusia. La UE anuncia aranceles a productos de EEUU por valor de 26.000 millones de euros el 1 de abril y que habrá nuevas medidas a mediados de ese mes. El presidente de Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa, debe decidir si convoca o no elecciones tras la caída del Gobierno de Luís Montenegro tras no superar una moción de confianza.
Ucrania acepta la propuesta de EEUU de un alto el fuego total y prorrogable de 30 días. Ahora queda por saber la respuesta de Rusia. La UE anuncia aranceles a productos de EEUU por valor de 26.000 millones de euros el 1 de abril y que habrá nuevas medidas a mediados de ese mes. El presidente de Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa, debe decidir si convoca o no elecciones tras la caída del Gobierno de Luís Montenegro tras no superar una moción de confianza.
Estalou a crise política novamente em Portugal. Contados os votos que ditaram o chumbo da moção de censura do PCP ao governo, seguiu-se uma moção de confiança que determinaria o futuro cenário político nacional. Para Marcelo Rebelo de Sousa, no caso desta nova moção acabar por ser rejeitada, o país seguiria para eleições antecipadas em maio. Quais as consequências desta instabilidade para os próximos meses? Ouça a análise de Miguel Prata Roque e de Miguel Morgado na versão podcast do programa Linhas Vermelhas, emitido na SIC Notícias a 5 de março, antes de os resultados da moção de confiança serem conhecidos.See omnystudio.com/listener for privacy information.
O Presidente da República afirma que vai adiar a visita de Estado à Estónia, durante a próxima semana, prevendo que a moção de confiança possa ser discutida no Parlamento na quarta-feira, dia 12, já que, como Montenegro amanhã estará no Conselho Europeu, o Conselho de Ministros poderá ser na sexta-feira. Tendo em conta que as moções têm que ser discutidas três dias depois, Marcelo acredita que a moção do executivo “provavelmente poderá ser agendada para quarta-feira”. Marcelo Rebelo de Sousa admite que, caso a moção de confiança venha a ser rejeitada, as eleições antecipadas deverão decorrer em Maio, com a "primeira data possível entre 11 e 18 de Maio".See omnystudio.com/listener for privacy information.
No Antes Pelo Contrário em podcast, com Pedro Delgado Alves e José Eduardo Martins, a análise curta à visita do presidente francês, Emmanuel Macron, a Portugal. A passagem de Macro por Lisboa teve como pano de fundo a relação transatlântica e o impacto da administração Trump na NATO e na Europa. No jantar no Palácio da Ajuda, Marcelo Rebelo de Sousa criticou duramente Trump, acusando-o de "corroer a NATO" e de favorecer Putin em detrimento da União Europeia. Marcelo alertou que a NATO tem sido enfraquecida com decisões polémicas, como as intenções de anexação do Canadá ou da Gronelândia. O Antes Pelo Contrário foi emitido a 27 de fevereiro na SIC Notícias.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Podemos estar a discutir a continuação da União Europeia no futuro. Devemos pensar em “Make Europe Great Again"? Marcelo Rebelo de Sousa ainda existe e repete erros. Ainda o desfile das presidenciais.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Na semana em que ouvimos Marcelo Rebelo de Sousa falar de perceções, lembrando que é muito importante perceber o que está na cabeça das pessoas, falamos de imigração, e claro, das perceções ou de factos. O ministro da Pasta já anunciou que fará uma revisão em alta das entradas em Portugal durante a manifestação de interesse e o assunto continua a polarizar o discurso político. Numa semana que toda a direita votou favoravelmente uma proposta da Iniciativa Liberal que fará com que o relatório da segurança interna passe a incluir a nacionalidade tanto dos agentes do crime como das vítimas. A esquerda votou contra. Ricardo Costa e Bernardo Ferrão moderam o Expresso da Meia-Noite, emitido a 14 de fevereiro na SIC Notícias, com Mariana Leitão, da Iniciativa Liberal; Fabian Figueiredo, do Bloco de Esquerda; Sónia Sanfona, presidente da Câmara de Alpiarça; e Rui Armindo Freitas, secretário de Estado Adjunto da Presidência.See omnystudio.com/listener for privacy information.
A Operação Tutti-Frutti e as presidenciais de 2026 em análise no Antes Pelo Contrário em podcast, com Pedro Delgado Alves e Francisco Mendes da Silva. O Ministério Público arquivou a investigação iniciada em 2018 ao ex-presidente da Câmara Municipal de Lisboa, Fernando Medina, mas acusou 60 arguidos, incluindo autarcas, funcionários e empresários, por crimes como corrupção, prevaricação, abuso de poder, tráfico de influência e participação económica em negócio. Em reação, o Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa, defendeu que a justiça em Portugal precisa ser mais rápida, especialmente em processos que envolvem figuras públicas. O Antes Pelo Contrário foi emitido a 04 de fevereiro na SIC Notícias.See omnystudio.com/listener for privacy information.
No ano em que Marcelo Rebelo de Sousa chegou à Presidência da República propôs que a reforma da Justiça começasse, por uma vez, nos agentes do sector antes de ser concretizada pelo poder político. Na sessão solene da Abertura do Ano Judicial, o diagnóstico feito ontem não difere muito do que foi feito em 2016. A vontade parece existir, a capacidade de concretização é que tem falhado muitas vezes. O vento leva as palavras? Neste episódio, conversamos com Hugo Franco, o jornalista do Expresso que faz a cobertura noticiosa do sector da justiça e que acumula uma longa experiência em sessões solenes de abertura do ano judicial.See omnystudio.com/listener for privacy information.
No Antes Pelo Contrário em podcast, com Pedro Delgado Alves e José Eduardo Martins, o debate sobre possíveis candidatos às eleições presidenciais e os planos de Trump a abrir o ano para expandir o território dos EUA. Embora as eleições presidenciais de 2026 ainda estejam distantes, já surgem sinais claros sobre os potenciais candidatos à sucessão de Marcelo Rebelo de Sousa. Oficialmente, nenhum dos nomes já confirmou a candidatura, mas pelo menos quatro figuras destacam-se como possibilidades reais: Henrique Gouveia e Melo, António José Seguro, Mário Centeno e Luís Marques Mendes. Será que é desta que o PS terá candidato próprio? Vêm aí novas primárias socialistas? O Antes Pelo Contrário foi emitido a 09 de janeiro na SIC Notícias.See omnystudio.com/listener for privacy information.
No primeiro Antes Pelo Contrário do ano, com José Eduardo Martins e Pedro Delgado Alves, os comentadores analisam o discurso de ano novo do Presidente da República, destacando o apelo à necessidade de bom senso. Discutem ainda as expectativas para 2025 e o ataque em Nova Orleães. Oiça em podcast o programa emitido, na SIC Notícias, a 2 de janeiro.See omnystudio.com/listener for privacy information.
No último episódio do Eixo do Mal de 2024, Pedro Marques Lopes, Clara Ferreira Alves, Daniel Oliveira e Luís Pedro Nunes realizam uma retrospetiva dos principais acontecimentos de ano, incluindo a crise na presidência de Marcelo Rebelo de Sousa, a ascensão de André Ventura e a superação de expectativas por Luís Montenegro. Passam pelos tumultos urbanos, a disputa política em torno de datas históricas e o impacto das guerras em Israel e na Ucrânia na política internacional. Por fim, analisam o avanço da inteligência artificial, a influência de figuras como Trump e Musk e os desafios que essas mudanças representam para a democracia e a ordem mundial. Programa emitido na SIC Notícias a 26 de dezembro.See omnystudio.com/listener for privacy information.
O presidente Marcelo respondeu "não comento" às perguntas dos jornalistas. Será que com o fim do mandato Marcelo Rebelo de Sousa está com medo de falar? E ainda, polícia apoiada por Rui Valério.See omnystudio.com/listener for privacy information.
A nova crise política na Madeira, a relação Belém-São Bento e ainda a operação no Martim Moniz em debate no Antes Pelo Contrário em podcast, com Pedro Delgado Alves e José Eduardo Martins. O primeiro-ministro rejeitou qualquer arrefecimento nas relações com o Presidente da República, afirmando que existe uma "grande convergência de opiniões" entre São Bento e Belém. Luís Montenegro reagiu aos comentários de Marcelo Rebelo de Sousa, feitos numa cerimónia de cumprimentos de Boas Festas, salientando que o Presidente começou a sua intervenção em sintonia com as declarações do Governo. O Antes Pelo Contrário foi emitido na SIC Notícias a 19 de dezembro.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Com Daniel Oliveira e Francisco Mendes da Silva, a análise no Antes Pelo Contrário em podcast à queda do Governo da Madeira e ao aviso de Mário Centeno sobre as políticas orçamentais do Governo do continente. Nos últimos dias, a situação política na Madeira tem sido marcada pela aprovação de uma moção de censura que derrubou o governo de Miguel Albuquerque. Esta é a primeira vez que um governo regional na Madeira cai devido a uma moção de censura. O Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa, deverá decidir sobre a realização de novas eleições regionais, novamente com Albuquerque a liderar uma candidatura pelo PSD. Já no continente, Mário Centeno, governador do Banco de Portugal, alertou Luís Montenegro sobre a necessidade de ajustes orçamentais para atingir um superávite de 0,3% em 2025. O Antes Pelo Contrário foi emitido na SIC Notícias a 17 de dezembro.See omnystudio.com/listener for privacy information.
As presidenciais, essas eleições que só vão acontecer em janeiro de 2026, mas animam já há vários meses a discussão política, estão em debate na Comissão Política desta semana.Esta segunda-feira ficamos a saber que o Almirante Gouveia e Melo fica livre já no fim do mês, acelerando o calendário da mais falada candidatura. E também mais contestada. A começar pelo atual ocupante do lugar. Este sábado Marcelo Rebelo de Sousa lembrou a importância de Soares como o primeiro presidente civil. E, ainda que sem nomear Gouveia e Melo, atirou a memória do ex-Presidente contra quaisquer messianismos. O almirante quer ser suprapartidário e o atual Presidente critica quem desvaloriza o papel dos partidos. E os partidos? O Chega, que já tinha admitido o contrário, já anunciou que não apoiará o militar e terá um candidato próprio. E o líder do PS também afasta qualquer apoio. Pedro Nuno Santos, que tem dito que ainda não é o tempo dos partidos, afinal já começou os contactos com os candidatos a candidato. Além de presidenciais, a Comissão Política desta semana faz também o rescaldo do Congresso do PCP, numa edição que tem os comissários residentes, Vítor Matos e David Dinis, e o jornalista João Pedro Henriques. A sonorização é de João Martins e a ilustração de Carlos Paes.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Estamos a chegar ao fim do ano e o tema que mais paira sobre a política portuguesa é a possibilidade de, dentro de um ano, haver um militar em Belém. Há ainda muita água para correr, são muitos os pré-candidatos que podem entrar na corrida, mas a verdade é que, neste momento, os holofotes focam-se sobretudo numa possibilidade: Almirante Gouveia e Melo vai avançar com uma candidatura. Com um militar no Palácio de Belém, estamos perante uma mudança do regime ou um acontecimento normal de qualquer democracia? É sobre isso que Ricardo Costa conversa com Teresa Violante, constitucionalista e colonista do Expresso, João Gabriel, consultor de comunicação, António Gomes, faz o trabalho de campo das sondagens para a SIC e o Expresso, ICSP e ISCTE, e Vítor Matos, jornalista do Expresso e biógrafo não oficial de Marcelo Rebelo de Sousa. Ouça o Expresso da Meia-Noite em podcast, emitido a 13 de dezembro.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Marcelo Rebelo de Sousa considera que “é preciso divulgar o inquérito de caracterização das pessoas em situação de sem-abrigo, para sabermos quem são”, ao mesmo tempo que avisa que “precisamos de saber qual é a estratégia do governo”. “As autarquias devem ter planos municipais para os sem-abrigo”, defende o Presidente da República, mas “a estratégia tem de ser nacional, mesmo que a execução seja local”. Agora que vamos entrar em ano de eleições autárquicas, Marcelo entende que “um dos pontos de debate eleitoral tem de ser a habitação e, dentro do dossiê da habitação, os sem-abrigo são um tema essencial”. O Presidente da República, que tem dado uma atenção especial à questão das pessoas em situação de sem-abrigo, está preocupado com a evolução deste flagelo e avisa que, “se houver outra vez em 2024 um aumento em Lisboa e Porto na ordem dos 20%, o assunto não pode ser tratado com indiferença pelas populações e pelo Estado, local e central”. Marcelo tem vindo a dizer que, em 50 anos de Democracia, “o ponto onde falhámos mais foi no combate à pobreza”. “Com as crises, temos dificuldade em dar grande prioridade ao combate à pobreza e à condição de sem-abrigo”, lembra o presidente, e quando isso acontece “uma parte da sociedade fica irreversivelmente para trás”. “Se um quinto fica para trás, é a sociedade como um todo que sofre”, enfatiza Marcelo. O chefe do Estado lembra à “parte da sociedade que nasceu no lado da rua com sol” que “tem de dar atenção ao combate à pobreza”. Neste episódio, conversamos com o Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Com o aproximar da corrida a Belém, Marcelo terá a tendência para se afastar cada vez mais. Mas sabemos como isto funciona: não é o PR que anda atrás dos holofotes... mas os holofotes que o perseguem.See omnystudio.com/listener for privacy information.
A sessão solene que celebrou os 49 anos do 25 de novembro serviu para a extrema-direita fazer uma intervenção profundamente divisionista, bem contrariada pelos factos relatados por Marcelo Rebelo de Sousa e, sobretudo, pela intervenção conciliadora de José Pedro Aguiar-Branco. Neste episódio, olhamos para esta sessão a partir da longa experiência de jornalismo político de João Pedro Henriques.See omnystudio.com/listener for privacy information.
O estado de emergência em que parece estar mergulhado o INEM em análise no Eixo do Mal em podcast, com Daniel Oliveira, Luís Pedro Nunes, Pedro Marques Lopes e Clara Ferreira Alves. Ainda não está provada uma relação causal entre atrasos no socorro e as 11 mortes que aconteceram recentemente num período de greve no instituto. Mas há suspeitas. A ministra tem estado sob cerco apertado mas parece ter passado o fardo à sua secretária de Estado. E, esta quinta-feira, finalmente, Marcelo Rebelo de Sousa, lá de longe, desde o Equador, falou. E disse o que já tinha dito no caso de Tancos: que se apurem todas as responsabilidades, doa a quem doer. O Eixo do Mal foi emitido na SIC Notícias a 14 de novembro.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Na estante desta semana, vamos do excesso de informação a um compêndio de trica política, passando por um belo livro infantil e por uma reflexão sobre os 50 anos da Revolução. Neste caso, António Barreto reúne um conjunto de textos e intervenções no volume ‘Abril'. A respeito do mesmo período, o meio século de democracia, Liliana Valente e Filipe Santos Costa investigaram e reuniram episódios saborosos de pequena política (com um protagonista em destaque: Marcelo Rebelo de Sousa). O ensaísta francês Bruno Patino faz, num ensaio significativamente intitulado ‘Submersos', um diagnóstico preocupado da sobrecarga de estímulos e informação com que estamos confrontados na sociedade contemporânea. Por fim, para não nos acusarem de sermos (apenas) cínicos, fica a recomendação de um belo livro infantil com mais de meio século e pela primeira vez traduzido e editado em Portugal: ‘Harold e o Lápis Púrpura', de Crockett Johnson.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Os Jogos Olímpicos arrancaram com polémicas, logo desde a cerimónia de abertura. Desde encenações e representações a equívocos de interpretação, as reações não demoraram em fazer-se ouvir. Na Venezuela, Nicolás Maduro persiste na ideia de que as nações pretendem influenciar os resultados eleitorais. Já em território nacional, o partido Chega investe contra Marcelo Rebelo de Sousa. Ouça a análise de Luís Pedro Nunes, Daniel Oliveira e de Pedro Marques Lopes na versão podcast do programa Eixo do Mal, emitido na SIC Notícias no dia 1 de agosto.See omnystudio.com/listener for privacy information.