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Dans 2 Corinthiens 8, Paul cite les églises de Macédoine en exemple alors qu'il parle aux chrétiens de Corinthe au sujet de leurs offrandes. Il dit au verset 5 : "Au-delà même de nos espérances, ils se sont donnés eux-mêmes, d'abord au Seigneur, puis à nous, par la volonté de Dieu." Cela m'impressionne. Ils ne se sont pas contentés de donner leur argent - ils se sont donnés eux-même. Je me demande combien d'entre nous seraient prêts à écrire leur nom sur un bout de papier et à le glisser dans la boîte d'offrandes. Romains 12.1 dit que nous devons nous offrir nous-même comme un sacrifice vivant à Dieu. Cela signifie : - vivre pour Dieu également en dehors de l'église. -être prêt à donner de l'argent, mais aussi aimer tous ceux que Dieu met sur notre route. - être prêt à utiliser toutes les ressources que nous avons pour son royaume. La prochaine fois que vous irez à l'église et que le panier d'offrande passera devant vous, je vous encourage à dire à Dieu que vous désirez mettre toute votre vie dans ce panier, pour lui !
LAMAD est le terme hébreu qui signifie enseignement ou encore instruction. Cette chaîne a pour but d'enseigner au plus grand nombre les préceptes de la vie chrétienne avec l'appui de la Parole de Dieu qui est retranscrit dans la Bible. L'apôtre Paul a déclaré dans un passage que les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs lors de son passage à Corinthe ce qui est très révélateur de l'impact de nos fréquentations sur notre vie toute entière. Qui sont tes véritables amis ? Est ce que tu t'es déjà mis à réfléchir sur cette question ? Cet épisode a pour but de pouvoir de prévenir l'impact des mauvaises fréquentations sur notre destinée, de pouvoir permettre de discerner le véritable ami de celui qui ne l'est pas mais aussi de travailler nous mêmes à être de bonne compagnie aux travers 5 clés que la Parole de Dieu nous a partagés
Dagelijkse overdenking bij het She Rises Bijbelleesplan Het thema van de maand Mei is: Liefde is We lezen uit de Bijbel: 1 Corinthe 13:13
Culte en direct du Temple de Pampigny (3/3), avec Samuel Ramuz pour la prédication et Julie de Montvallon pour les lectures. Avec la participation musicale de Teresa Trachsel à l'orgue et Norbert Cuhat à la clarinette. Présentation : Paolo Mariani Lectures bibliques : 1 Corinthiens, chapitre 8, versets 1 à 13 Matthieu, chapitre 4, versets 1 à 11 Ni puissance, ni impuissance, mais non-puissance En ce dimanche entre l'Ascension et Pentecôte, nous nous mettrons à l'écoute de l'apôtre Paul, dans sa première lettre aux chrétiens de Corinthe. Au chapitre 8, Paul évoque la question des «viandes sacrifiées aux idoles». Nous nous demanderons en quoi cette thématique a priori saugrenue pose la question d'un renoncement volontaire, à vivre au nom de l'Evangile et de l'amour pour les plus «faibles» parmi nous.
Le mythe de l'Atlantide, cette île engloutie par les flots, à la suite d'un cataclysme déclenché par Zeus, a toujours enflammé les imaginations.Mais une catastrophe comme celle qui a donné naissance à cette légende ne relève pas seulement du mythe. En effet, il existe bel et bien une cité qu'un séisme, suivi d'un tsunami, envoya au fond de la mer.Cette cité se nommait Hélikè. Elle était située en Achaïe, une région du nord-ouest du Péloponnèse. Dédiée à Poséidon, le dieu de la mer, comme l'Atlantide, la ville était un véritable carrefour d'échanges.Mais son rôle politique n'en était pas moins éminent. Elle était en effet à la tête de la Ligue achéenne, qui comprenait 12 cités et contrôlait presque tout le Péloponnèse.De par sa situation, le lieu où est érigé la cité connaît des séismes réguliers. Mais aucun tremblement de terre ne s'était manifesté avec la violence de celui qui ébranle la ville en 373 avant J.-C.La secousse est si forte qu'elle détruit la plupart des bâtiments de la ville. Il est même probable que, sous le coup de ce séisme hors normes, une partie de la ville se soit retrouvée sous l'eau.Mais une autre conséquence du séisme va effacer Hélikè de la surface de la terre. Le tremblement de terre provoque en effet un tsunami. L'eau en furie aurait d'abord déferlé sur la rive opposée du golfe de Corinthe, puis serait revenue, avec une puissance décuplée, s'écraser contre la ville à demi submergée.Cette catastrophe lui porte le coup fatal et entraîne la ville et ses habitants au fond de la Méditerranée.Ce tragique destin suscite nombre de légendes. Pour certains, cette cité engloutie ne peut être que la mythique Atlantide. Il aura fallu, pour dissiper la légende, attendre qu'une archéologue grecque et un astrophysicien américain lancent, en 1988, un ambitieux projet de recherche.Et, en 2001, ces fouilles ont finalement abouti à la redécouverte de l'antique cité Elle était enfouie dans une ancienne lagune, située près d'un village d'Achaïe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il se passe plusieurs choses à la fois sur le bateau La Reine de Sabbagh. La bonne nouvelle, c'est que le navire peut tranquillement continuer son chemin à travers le canal de Corinthe. Nicolas Leroidec profite des coutumes locales et est conquis par le spectacle de clowns installés sur des barques. *** Fiction radiophonique de Pierre Dac et Louis Rognoni - Producteur : Jean Bardin - Réalisation : Jean Wilfrid Garrett - Avec : Héléna Bossis, Anne Caprile, Roger Carel, Georges Carmier, Pierre Dac, Claude Dasset, Jean Patrick, Paul Préboist, Jacques Provins, Lawrence Riesner et Alain Rolland - Première diffusion : 02/06/1966 sur France Inter - Un podcast INA.
Leroidec et Loffismodi sont toujours dans la cabine numéro 1 où Wanda Vodkamilkévitch et ses hommes de mains sont plongés dans un profond sommeil causé par la drogue de Ménerlache. Notre agent en profite donc pour y cacher un microphone. *** Fiction radiophonique de Pierre Dac et Louis Rognoni - Producteur : Jean Bardin - Réalisation : Jean Wilfrid Garrett - Avec : Héléna Bossis, Roger Carel, Maurice Chevit, Claude Dasset, Jean Patrick, Paul Préboist, Jacques Provins et Alain Rolland - Première diffusion : 25/05/1966 sur France Inter - Un podcast INA.
La Reine de Sabbagh est coincé dans le canal de Corinthe. Mais heureusement, le professeur Slalom Jérémie Ménerlache pense avoir une idée pour arranger la situation. Il s'agit à présent de convaincre le capitaine du bateau de bien vouloir suivre ses instructions. *** Fiction radiophonique de Pierre Dac et Louis Rognoni - Producteur : Jean Bardin - Réalisation : Jean Wilfrid Garrett - Avec : Nell Reymond, Pierre Dac, Jean Patrick, Paul Préboist, Jacques Provins, Lawrence Riesner, Alain Rolland et Jean Piat - Première diffusion : 27/05/1966 sur France Inter - Un podcast INA.
En 1 Corinthiens 6.2-3, Paul dit à l'Église de Corinthe qu'ils jugeront le monde et les anges. Comment comprendre cela? Dieu n'est-il pas le seul juge? "Un pasteur vous répond", c'est le podcast de Florent Varak qui t'aide à mieux comprendre la Bible, une question à la fois. Il est également disponible sur YouTube et toutes les plateformes de podcasts. Ce contenu est proposé gratuitement par le site https://toutpoursagloire.com/ dont la mission est d'aider les chrétiens à voir comme Dieu voit pour vivre comme Dieu le veut. Tu as une question à poser? Commence par consulter la liste des podcasts existants (ici: https://cutt.ly/s1pvrtpsg) et si le sujet n'a pas encore été traité, pose ta question à l'adresse contact@toutpoursagloire.com. Tu veux nous aider à poursuivre notre ministère? Tu peux nous soutenir de plusieurs façons. Pour en savoir plus: https://toutpoursagloire.com/soutenir/ Tu peux nous suivre: • En t'inscrivant à notre newsletter: https://cutt.ly/newslettertpsg • Sur YouTube: https://cutt.ly/yttpsg • Sur Facebook: https://cutt.ly/fbtpsg • Sur Instagram: https://cutt.ly/instpsg • Sur Twitter: https://cutt.ly/twittpsg Et enfin, abonne-toi à ce podcast pour ne manquer aucun épisode!
Ingrédients pour 6 personnes : 2 carottes 3 blancs de poulet 150 g de lentilles 150 g de quinoa 60 g de pignons 60 g de raisins de Corinthe (secs) 15 cl de bouillon de volaille 0.25 cuillère à café de cannelle moulue sel poivre une pincée de cardamome moulue 2 cuillères à café de coriandre moulue 4 cuillères à soupe d'huile d'olive 1 cuillère à soupe de coriandre ciselée persil plat ciselé 1 oignon Réalisation : Cuire les lentilles et le quinoa à l'eau bouillante salée (15 min). Mettre les raisins dans un bol, les couvrir d'eau et les laisser gonfler au moins 10 min. Peler et couper en petits dés les carottes et l'oignon. Émincer les blancs de poulet en lamelles, saler poivrer. Faire chauffer... • La suite sur https://www.radiomelodie.com/podcasts/11708-wok-de-lentilles-et-quinoa.html
Cw: death mention, misogyny, fatphobia, racism, Islamophobia, sex work, reference to war, alcohol abuse, imperialism, referenced eugenicism / nazism In a strange turn of events, it's back to in-person recordings as we get the history of the Corinthe, including an excellent chef, a new old man we love (RIP), some new Hugolian women, before we head over to the Brunch Before the Revolution where we drink some brandy-stout-absinthe cocktails. This podcast was produced by Nemo Martin and Julian Yap. The audio direction and intro composing is by JDWasabi. It is a Captain's Collection Creation. Bread & Barricades (@LesMisPodcast) | Twitter Bread & Barricades | Tumblr Ko-fi: https://ko-fi.com/lesmispodcast Patreon: https://www.patreon.com/LesMisPodcast
Cet été, à la place des épisodes “classiques” de Papilles, je vous propose un petit carnet de recettes. Au programme : des recettes simples et rapides mais toujours twistées et façon chef·fes pâtissier·ères ! La Tarte aux Pêches d'Alexis Beaufils
De saint Paul, l'artisan principal de la foi chrétienne et des premières communautés, on retient la conversion sur le chemin de Damas. Le théologien Jean-Marie Ploux, prêtre de la Mission de France, nous rappelle que Paul a vécu une seconde conversion à Corinthe. Il a pris conscience de la signification de la croix et a sa théologie qui en découle inverse les valeurs jusqu'à la subversion. Jean-Marie Ploux est l'auteur du livre "Paul ou la subversion chrétienne" (éd. Salvator, 2023).
Dagelijkse overdenking bij het She Rises Bijbelleesplan In de maand maart is het thema: Gods glorie we lezen uit de Bijbel 2 Corinthe 4:6
Priscille et Aquilas se sont enfuis de Rome. Nouvellement installés à Corinthe, le couple doit refaire sa vie déjà bouleversée par l'exil. Mais une rencontre avec un certain Paul leur fait entrevoir une espérance autre. Celle d'une vie à deux qui ose affronter le danger au prix de la foi.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Quinta Parte: Jean Valjean Libro primero La guerra entre cuatro paredes Cap XVIII : El buitre se vuelve presa. Insistamos en un hecho fisiológico propio de las barricadas. No debemos omitir nada de lo que caracterice esta sorprendente guerra urbana. Fuere cual fuere esa extraña tranquilidad interior que acabamos de mencionar, no por ello deja de ser la barricada, para quienes se hallan dentro, una visión. Hay algo de apocalipsis en la guerra civil; se mezclan todas las brumas de lo desconocido con esos incendios fieros; las revoluciones son esfinges, y quienquiera haya pasado por una barricada cree que ha pasado por un sueño. Lo que se siente en lugares así ya lo hemos indicado al hablar de Marius, y hemos de ver sus consecuencias; es más que la vida y menos que la vida. Cuando alguien sale de una barricada, no sabe ya qué ha visto en ella. Se ha portado de forma terrible y lo ignora. Ha tenido en torno ideas combatientes con rostro humano; ha tenido metida la cabeza en una luz de porvenir. Había cadáveres tendidos y fantasmas de pie. Las horas eran colosales y parecían horas de eternidad. Ha vivido en la muerte. Han pasado sombras. ¿Quiénes eran? Ha visto manos en las que había sangre; había un ruido ensordecedor espantoso; había también un silencio horrible; había bocas abiertas que gritaban y otras bocas abiertas que callaban; estaba dentro de un humo y quizá dentro de una oscuridad nocturna. Es como si hubiera tocado el rezumar siniestro de las profundidades desconocidas; se mira uno algo rojo que tiene en las uñas. Ya no recuerda qué es. Regresemos a la calle de La Chanvrerie. De repente, entre dos descargas, se oyó un sonido distante: estaba dando una hora. —Son las doce —dijo Combeferre. No había acabado de dar la hora y ya se erguía Enjolras en lo alto de la barricada para lanzar este clamor tonante: —Meted adoquines en la casa. Colocadlos en el repecho de la ventana del primero y de las ventanas de la buhardilla. La mitad de los hombres a los fusiles, y la otra mitad, a los adoquines. No hay que perder un minuto. Un pelotón de bomberos y zapadores, con el hacha al hombro, acababa de aparecer en formación de combate en el extremo de la calle. No podía ser sino la cabeza de una columna; y ¿de qué columna? De la columna de ataque, por descontado; los bomberos y zapadores a cuyo cargo corría derribar la barricada precedían siempre a los soldados a cuyo cargo corría trepar por ella. No cabía duda de que estaba a punto de llegar ese momento que el señor de Clermont-Tonnerre llamaba, en 1822, «el empujón». Cumplieron la orden de Enjolras con la premura pertinente, propia de los barcos y las barricadas, los dos únicos escenarios de combate de los que es imposible evadirse. En menos de un minuto, subieron al primer piso y al desván las dos terceras partes de los adoquines que Enjolras había mandado apilar a la puerta de Corinthe; y, antes de que transcurriera el segundo minuto, esos adoquines, diestramente colocados unos encima de otros, tapiaban hasta media altura la ventana del primero y los tragaluces abuhardillados. Por unos cuantos intervalos, que había previsto cuidadosamente Feuilly, el constructor en jefe, podían asomar los cañones de los fusiles. Fue tanto más fácil armar así las ventanas cuanto que había cesado la metralla. Las dos piezas disparaban ahora balas al centro de la muralla para agujerearla y abrir, si es que era posible, una brecha para el asalto. Cuando ya estuvieron en su sitio los adoquines destinados a la defensa suprema, Enjolras mandó llevar al primer piso las botellas que había metido debajo de la mesa en la que estaba Mabeuf.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Quinta Parte: Jean Valjean Libro primero La guerra entre cuatro paredes Cap XXII : Palmo a palmo. Cuando no quedaron ya más jefes vivos que Enjolras y Marius, en ambos extremos de la barricada, el centro, que habían sostenido tanto tiempo Courfeyrac, Joly, Bossuet, Feuilly y Combeferre, cedió. El cañón no había abierto ninguna brecha practicable, pero sí había rebajado sensiblemente la parte central del reducto; en ese punto, las balas habían acabado con la cresta de la muralla, que se había venido abajo, y los cascotes, que habían caído a veces dentro y a veces fuera, habían acabado por formar, a ambos lados de la barrera, algo así como dos taludes, uno interior y otro exterior. El talud exterior era un plano inclinado por el que se podía atacar. Por allí intentaron un asalto definitivo, y el asalto tuvo éxito. Llegó de forma irresistible, a paso gimnástico, una masa erizada de bayonetas y el prieto frente de batalla de la columna atacante apareció, entre el humo, en lo alto de la escarpa. Esta vez todo había acabado. El grupo de insurrectos que defendía el centro retrocedió en desorden. Entonces se despertó en algunos el sombrío amor por la vida. Cuando los apuntó aquel bosque de fusiles, algunos ya ni quisieron morir. En un minuto así el instinto de conservación aúlla y el animal aflora en el hombre. Tenían pegadas las espaldas al edificio alto, de seis pisos, que formaba el fondo del reducto. Esa casa podía ser la salvación. Esa casa estaba parapetada y como amurallada de arriba abajo. Antes de que las tropas de infantería de línea entrasen en el reducto, daba tiempo a que una puerta se abriese y se volviera a cerrar, bastaba con lo que dura un relámpago, y les iba la vida a esos desesperados en que la puerta de esa casa se entornase de pronto y se volviese a cerrar en el acto. Detrás de aquella casa había calles, la posibilidad de huir, el espacio abierto. Empezaron a golpear aquella puerta a culatazos y a patadas, llamando, gritando, suplicando, juntando las manos. Nadie abrió. En el tragaluz del tercer piso la cara muerta los miraba. Pero Enjolras y Marius, y siete u ocho hombres que se habían reunido en torno a ellos, se habían abalanzado para protegerlos. Enjolras les gritó a los soldados: «¡Quietos ahí!». Y como un oficial no obedecía, Enjolras mató a ese oficial. Ahora estaba en el patinillo interior del reducto, adosado al edificio de Corinthe, con la espada en una mano y la carabina en la otra, y sujetaba la puerta de la taberna, por la que impedía entrar a los asaltantes. Les gritó a los desesperados: «Sólo hay una puerta abierta, y es ésta». Y, cubriéndolos con su cuerpo, enfrentándose él solo a un batallón, los hizo entrar, pasando por detrás de él. Enjolras, ejecutando con la carabina, que ahora usaba como bastón, lo que los luchadores de canne francesa llaman «la rosa cubierta», hizo caer las bayonetas que lo rodeaban y fue el último en entrar; hubo un momento espantoso en que los soldados querían entrar y los insurrectos querían cerrar la puerta. Se cerró por fin con violencia tal que, al encajar en el marco, pudieron verse, cortados y pegados a la chambrana, los cinco dedos de un soldado que se había aferrado a ella. Marius se había quedado fuera. Un tiro acababa de romperle la clavícula; notó que perdía el conocimiento y caía. Y, en ese momento, con los ojos ya cerrados, sintió la conmoción de una mano vigorosa que lo agarraba, y el desmayo en que se sumió le dejó apenas un instante para pensar, al tiempo que le enviaba un supremo recuerdo a Cosette: «Me han hecho prisionero. Me van a fusilar».
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Quinta Parte: Jean Valjean Libro primero La guerra entre cuatro paredes Cap XXIV : Prisionero. Marius había caído prisionero, efectivamente. Prisionero de Jean Valjean. La mano que lo había agarrado por detrás en el preciso instante en que caía y que notó que lo cogía según perdía el conocimiento era la de Jean Valjean. Jean Valjean no había participado en el combate sino exponiéndose. Sin él, en esa etapa suprema de la agonía, nadie se habría acordado de los heridos. Merced a él, que estaba presente en la carnicería igual que una providencia, a todos cuantos caían los levantaban, los llevaban a la sala de abajo y los curaban. En los intervalos, reparaba la barricada. Pero no salió de sus manos nada que pudiera parecerse a un disparo, ni un ataque y ni tan siquiera a una defensa personal. Callaba y socorría. Por lo demás, apenas si tenía unos cuantos rasguños. Las balas no quisieron saber nada de él. Si el suicidio formaba parte de aquello en que había soñado al acudir a aquel sepulcro, había fracasado en esa pretensión. Pero no creemos que hubiera pensado en el suicidio, que es un acto contrario a la religión. Jean Valjean, en la nube densa del combate, no parecía ver a Marius; la realidad es que no le quitaba la vista de encima. Cuando un disparo derribó a Marius, Jean Valjean saltó con la agilidad de un tigre, cayó sobre él como sobre una presa y se lo llevó. El torbellino del ataque estaba en esos momentos tan centrado en Enjolras y en la puerta de la taberna que nadie vio a Jean Valjean, llevando en brazos a Marius desvanecido, cruzar por el campo desempedrado de la barricada y desaparecer detrás de la esquina del edificio de Corinthe. Recordemos que aquella esquina, que formaba algo así como un cabo que entrase en la calle, ponía unos cuantos pies de terreno al amparo de las balas y de la metralla, y también de las miradas. Existe a veces en los incendios una habitación que no se quema, y, en los mares más encrespados, pasado un promontorio o al fondo de un callejón sin salida de escollos, un rinconcito tranquilo. En esa especie de recoveco del trapecio interior de la barricada era donde había agonizado Éponine. En él se detuvo Jean Valjean, depositó en el suelo a Marius, apoyó la espalda en la pared y miró en torno. La situación era espantosa. De momento, quizá durante dos o tres minutos, ese lienzo de pared era un refugio, pero ¿cómo escapar de aquella matanza? Recordaba la situación angustiosa en que había estado ocho años antes en la calle de Polonceau y cómo había conseguido salir de ella; entonces había sido difícil; hoy era imposible. Tenía ante sí aquella casa implacable y sorda de seis pisos en que sólo parecía residir el hombre muerto asomado a la ventana; a la derecha tenía la barricada, bastante baja, que cortaba la calle de La Petite-Truanderie; salvar ese obstáculo parecía fácil, pero, por encima de la cresta de la barrera se veía una fila de puntas de bayoneta. Era la tropa de infantería de línea, que estaba apostada del otro lado de la barricada y montaba guardia. Estaba claro que cruzar esa barricada era ir en busca de los disparos del pelotón, y que cualquier cabeza que se arriesgase a asomar por encima de la muralla de adoquines serviría de blanco a sesenta tiros de fusil. A la izquierda tenía el campo de batalla. Tras la esquina de aquella pared estaba la muerte. ¿Qué hacer? Sólo un ave habría podido sacarlo de allí. Tenía que decidirse inmediatamente, dar con un recurso, tomar una decisión. A pocos pasos de él, combatían; por ventura, todos se encarnizaban contra un punto único, la puerta de la taberna; pero bastaría con que a un soldado, sólo a uno, se le ocurriera dar la vuelta al edificio o atacarlo por el flanco y todo habría acabado.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Quinta Parte: Jean Valjean Libro primero La guerra entre cuatro paredes Cap XI : El tiro de fusil que no falla y que no mata a nadie. Seguía el fuego de los asaltantes. Los disparos y la metralla se alternaban, sin causar grandes daños, la verdad sea dicha. Lo único que padecía era la parte de arriba de la fachada de Corinthe; la ventana del primer piso y las ventanas abuhardilladas del tejado, que acribillaban las postas y las balas de vizcaíno, se iban deformando poco a poco. Los combatientes que se habían apostado allí habían tenido que retirarse. Por lo demás, se trata de una táctica para atacar barricadas: se mantiene un fuego flojo pero continuo para que a los insurrectos se les agoten las municiones si cometen el error de responder. Y cuando se nota, porque van disparando menos, que no les quedan ya ni balas ni pólvora, comienza el asalto. Enjolras no había caído en esa trampa; la barricada no respondía. Con cada descarga del pelotón, Gavroche se abultaba la mejilla con la lengua, señal de supremo desdén. —Nada, nada —decía—, destrozad el lienzo. Necesitamos hilas. Courfeyrac le reprochaba a la metralla que fuera tan poco eficaz y le decía al cañón: —Te estás volviendo difuso, mi buen amigo. La batalla, igual que el baile, puede resultar intrigante. Es probable que el silencio del reducto estuviera empezando a intranquilizar a los atacantes y a hacerles temer cualquier incidente inesperado y que sintieran la necesidad de atravesar con la vista ese montón de adoquines y enterarse de qué ocurría detrás de aquella muralla impasible que recibía los disparos sin contestar. Los insurrectos vieron de pronto un casco que relucía al sol en un tejado vecino. Un bombero estaba con la espalda apoyada en una chimenea alta y parecía estar haciendo de centinela. La mirada le caía directamente dentro de la barricada. —¡Qué vigilante tan molesto! —dijo Enjolras. Jean Valjean le había devuelto la carabina a Enjolras, pero tenía su fusil. Sin decir palabra, apuntó al bombero, a quien, un segundo después, una bala le quitó el casco, que cayó ruidosamente a la calle. El soldado, asustado y pasmado, se apresuró a desaparecer. Otro observador ocupó su lugar. Éste era un oficial. Jean Valjean, que había vuelto a cargar el fusil, apuntó al recién llegado y mandó el casco del oficial a reunirse con el del soldado. El oficial no insistió y se retiró a toda prisa. Esta vez habían entendido el aviso. No volvió a aparecer nadie en el tejado y renunciaron a espiar la barricada. —¿Por qué no ha matado a esos hombres? —le preguntó Bossuet a Jean Valjean. Jean Valjean no contestó.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap III : La oscuridad empieza a tragarse a Grantaire. Era, desde luego, un sitio de lo más indicado: la entrada de la calle, de boca ancha; el fondo, más angosto y acabado en un callejón sin salida; Corinthe, formando un estrechamiento; la calle de Mondétour, fácil de cortar a derecha e izquierda; ningún ataque posible más que por la calle de Saint-Denis, es decir, de frente y al descubierto. Bossuet borracho había tenido la misma vista que Aníbal sobrio. Al irrumpir el tropel, cundió el espanto en toda la calle. Todos los viandantes se esfumaron. En lo que dura un relámpago, al fondo, a la derecha, a la izquierda, los comercios, los talleres, los corredores de entrada a las casas, las ventanas, las celosías, los sotabancos y los postigos de todos los tamaños se cerraron, desde las plantas bajas hasta los tejados. Una anciana asustada sujetó un colchón, delante de la ventana, a dos varas de tender la ropa, para amortiguar el tiroteo. Sólo el edificio de la taberna seguía abierto, y ello por un excelente motivo: el tropel de gente se había metido dentro a todo correr. —¡Ay, Dios mío! ¡Ay, Dios mío! —suspiraba la señora Hucheloup. Bossuet había bajado al encuentro de Courfeyrac. Joly, que se había asomado a la ventana, gritó: —Courfeyrac, deberías haber cogido el paraguas. Vas a acatarrarte. Entre tanto, habían bastado pocos minutos para arrancar veinte barras de hierro de la parte delantera, enrejada, de la taberna y ya habían levantado los adoquines de veinte metros de calle; Gavroche y Bahorel habían agarrado al pasar el carretón de un fabricante de cal, que se llamaba Anceau, y lo habían volcado; había en el carretón tres barriles llenos de cal, que pusieron debajo de unos adoquines apilados; Enjolras abrió la trampilla del sótano y todos los toneles vacíos de la viuda de Hucheloup acabaron alineados con los barriles de cal; Feuilly, con aquellos dedos tan mañosos para pintar las varillas delicadas de los abanicos, reforzó los toneles y el carretón con dos montones macizos de mampuestos. Mampuestos improvisados, por lo demás, y cogidos de a saber dónde. Habían arrancado unas vigas de refuerzo de la fachada de una casa vecina y las colocaron encima de los barriles. Cuando Bossuet y Courfeyrac se dieron la vuelta, una muralla más alta que un hombre cortaba media calle. No hay nada mejor que las manos del pueblo para edificar todo cuanto se edifica derribando. Matelote y Gibelotte se habían sumado a los trabajadores. Gibelotte iba y venía, cargada de cascotes. Su cansancio estaba al servicio de la barricada. Servía adoquines igual que servía vino, con cara de estar dormida. Un ómnibus del que tiraban dos caballos blancos pasó por el extremo de la calle. Bossuet saltó por encima de los adoquines, detuvo al cochero, hizo bajar a los viajeros, ayudó a bajar «a las señoras», despidió al conductor y regresó con el vehículo y los caballos, que llevaba de las riendas. —Los ómnibus —dijo— no pasan por delante de Corinthe. Non licet omnibus adire Corinthum. Poco después, los caballos desenganchados se fueron al azar por la calle de Mondétour y el ómnibus, tumbado de lado, completaba el corte de la calle. La señora Hucheloup, descompuesta, se había refugiado en el primer piso. Tenía la vista extraviada y miraba sin ver, gritando por lo bajo. Los gritos de espanto no se atrevían a salir de la garganta. —Es el fin del mundo —susurraba.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap I : Historia de Corinthe desde su fundación. Los parisinos que hoy en día, al entrar en la calle de Rambuteau por la parte del Mercado Central, se fijan, a su derecha, frente a la calle de Mondétour, en una cestería cuya muestra consiste en un cesto con la forma del emperador Napoleón el Grande y el siguiente letrero: DE NAPOLEÓN LA URDIMBRE ES TODA DE MIMBRE no sospechan ni por asomo las escenas terribles que vio ese mismo lugar hace apenas treinta años. Ahí estaban la calle de La Chanvrerie, que en los carteles antiguos se escribía Chanverrerie, y la famosa taberna llamada Corinthe. No ha caído en el olvido todo cuanto se dijo acerca de la barricada que se alzó en ese lugar y que, por lo demás, dejó eclipsada la barricada Saint-Merry. Es esa famosa barricada de la calle de La Chanvrerie, sumida hoy en la más profunda oscuridad, la que vamos a iluminar un tanto. Permítasenos recurrir, para mayor claridad de este relato, al sencillo sistema que ya empleamos en el caso de Waterloo. A quienes deseen hacerse una idea bastante exacta de las manzanas de casas que se alzaban por entonces cerca del campanario de Saint-Eustache, en el ángulo noreste del Mercado Central de París, donde desemboca ahora la calle de Rambuteau, les bastará con imaginarse, pegando con la calle de Saint-Denis por la parte de arriba y, por la parte de abajo, con el Mercado Central, una letra N cuyas dos patas verticales fueran las calles de La Grande-Truanderie y de La Chanvrerie y cuyo trazo transversal fuera la calle de la Petite-Truanderie. La antigua calle de Mondétour cortaba esos tres trazos de la forma más tortuosa, con lo que el enredado dédalo de esas cuatro calles bastaba para formar, en un espacio de cien toesas cuadradas, entre el Mercado Central y la calle de Les Prêcheurs por el otro lado, siete manzanas de forma curiosa y diferentes tamaños, situadas al bies y como al azar, y que apenas separaban, igual que si fueran unos bloques de piedra en el solar de unas obras, unas rendijas estrechas. Decimos rendijas estrechas y no podríamos dar una idea más atinada de esas callejuelas oscuras, apiñadas, angulosas, que tenían a ambos lados caserones de ocho pisos. Eran unos caserones tan decrépitos que, en las calles de La Chanvrerie y de La Petite-Truanderie, las fachadas hallaban apoyo en unas vigas que iban de una casa a otra. La calle era estrecha, y el arroyo, ancho, de forma tal que el viandante siempre iba pisando un empedrado húmedo y caminaba pegado a comercios semejantes a sótanos, gruesos mojones con aros de hierro, montones tremendos de basura y puertas de pasillos de entrada que defendían gigantescas verjas circulares. La calle de Rambuteau acabó con todo aquello. La calle de Mondétour escenifica a la perfección las sinuosidades de todas aquellas vías públicas. Un poco más allá, las representaba aún mejor la calle de Pirouette, que iba a dar a la calle de Mondétour. El transeúnte que entraba en la calle de Saint-Denis desde la calle de La Chanvrerie veía cómo se iba ésta estrechando poco a poco según avanzaba, como si se hubiera metido en un embudo alargado. Al final de la calle, que era muy corta, le cerraba el paso, por el lado del Mercado Central, una hilera alta de casas y habría creído que estaba en un callejón sin salida si no hubiera visto, a derecha e izquierda, dos zanjas negras por las que podía evadirse.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap II : Diversiones preliminares. Laigle de Meaux, sabido es, vivía más en casa de Joly que en cualquier otra parte. Tenía una vivienda igual que un pájaro tiene una rama. Los dos amigos vivían juntos, comían juntos, dormían juntos. Lo tenían todo en común, incluso a Musichetta hasta cierto punto. Eran eso que los frailes subalternos que van de acompañantes llaman bini. La mañana del 5 de junio se fueron a almorzar a Corinthe. Joly tenía la nariz tapada y un catarro tremendo que a Laigle se le estaba empezando a contagiar. Laigle llevaba un frac raído, pero Joly iba bien trajeado. Eran alrededor de las nueve de la mañana cuando abrieron la puerta de Corinthe. Subieron al primero. Matelote y Gibelotte los recibieron. —Ostras, queso y jamón —dijo Laigle. Y se sentaron a la mesa. No había nadie en la taberna; estaban los dos solos. Gibelotte reconoció a Joly y a Laigle y puso una botella de vino en la mesa. Cuando estaban con las primeras ostras, asomó una cabeza por la escotilla de las escaleras y una voz dijo: —Pasaba y desde la calle noté un aroma delicioso a queso de Brie. Aquí estoy. Era Grantaire. Grantaire cogió un taburete y se sentó a la mesa. Gibelotte, al ver a Grantaire, puso dos botellas de vino en la mesa. Con lo cual ya había tres. —¿Vas a beberte esas dos botellas? —le preguntó Laigle a Grantaire. Grantaire contestó: —Todos son ingeniosos y sólo tú eres ingenuo. Dos botellas nunca le han extrañado a un hombre. Los otros dos habían empezado por comer, pero Grantaire empezó por beber. No tardó en desaparecer media botella. —¿Tienes un agujero en el estómago? —siguió preguntando Laigle. —¿No tienes tú uno en el codo? —dijo Grantaire. Y, tras apurar el vaso, añadió: —Por cierto, Laigle de las oraciones fúnebres, muy viejo tienes el frac. —Por supuesto —saltó Laigle—. Por eso nos llevamos tan bien mi frac y yo. Se ha amoldado a mí del todo, no me molesta nada, se adapta a mis deformidades, se aviene a todos los ademanes que hago; sólo noto que lo llevo puesto porque me abriga. Los abrigos viejos son como viejos amigos. —Es verdad —exclamó Joly, metiendo baza—. Un abrigo viejo es un viejo abigo. —Sobre todo —dijo Grantaire— cuando lo dice un hombre con la nariz taponada. —Grantaire —preguntó Laigle—, ¿vienes del bulevar? —No. —Joly y yo acabamos de ver pasar la cabeza del cortejo. —Es un espectáculo baravilloso —dijo Joly. —¡Qué tranquila está esta calle! —exclamó Laigle—. ¿Quién se pensaría que París está manga por hombro? ¡Cómo se nota que por aquí antes no había más que conventos! En Du Breul y Sauval viene la lista, y en el padre Lebeuf. Los había por todos los alrededores, pululaban, calzados y descalzos, rapados y barbudos, grises, negros y blancos, franciscanos, mínimos, capuchinos, carmelitas, agustinos mayores, agustinos reformados, agustinos viejos… Pululaban.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap IV : Intento de consolar a la viuda de Hucheloup. Bahorel, encantado con la barricada, gritaba: —¡Ya tenemos la calle escotada! ¡Qué bien queda! Courfeyrac, mientras desguazaba un tanto la taberna, intentaba consolar a la tabernera viuda. —Señora Hucheloup, ¿no se quejaba el otro día de que le habían hecho un atestado y le habían puesto una multa porque Gibelotte había sacudido una alfombrilla por la ventana? —Sí, señor Courfeyrac. ¡Ay, Dios mío! ¿Va a poner también esa mesa en ese espanto suyo? Y sabrá que por la alfombrilla, y también por un tiesto que se cayó desde la buhardilla a la calle, el gobierno me cobró cien francos de multa. ¡No me diga que no es una vergüenza! —Pues, mire, señora Hucheloup, la estamos vengando. A la señora Hucheloup no parecía quedarle muy claro qué beneficio sacaba ella de aquella reparación que le estaban brindando. La satisfacción que sentía era como la de aquella mujer árabe que, tras darle una bofetada su marido, fue a quejarse a su padre, clamando por que la vengase y diciendo: «Padre, le debes a mi marido, que te ha afrentado, otra afrenta». El padre le preguntó: «¿En qué mejilla te ha dado la bofetada?». «En la izquierda.» El padre le dio una bofetada en la mejilla derecha y dijo: «Así quedas satisfecha. Vete a decirle a tu marido que él le ha dado una bofetada a mi hija, pero que yo le he dado una bofetada a su mujer». Había dejado de llover. Habían llegado más voluntarios. Unos obreros habían traído bajo los blusones un barril de pólvora, un cesto con botellas de vitriolo, dos o tres antorchas de carnaval y una canasta llena de farolillos que habían «sobrado de las fiestas del rey». Unas fiestas muy recientes, pues se habían celebrado el 1 de mayo. Decían que esas municiones procedían de un tendero de ultramarinos del barrio de Saint-Antoine, que se llamaba Pépin. Rompieron el único farol de la calle de La Chanvrerie, el farol correspondiente de la calle de Saint-Denis y todos los de las calles colindantes, la de Mondétour, la de Le Cygne, la de Les Prêcheurs y las de La Grande-Truanderie y La Petite-Truanderie. Enjolras, Combeferre y Courfeyrac lo dirigían todo. Ahora estaban construyendo dos barricadas a un tiempo, las dos apoyadas en el edificio en que estaba Corinthe y formando escuadra; la más grande cortaba la calle de La Chanvrerie; la otra cortaba la calle de Mondétour, por el lado de la calle de Le Cygne. Esta última barricada, muy estrecha, estaba hecha nada más de toneles y de adoquines. Había en ella alrededor de cincuenta hombres trabajando, de los cuales unos treinta iban armados con fusiles, porque, de camino, habían tomado un préstamo en bloque de la tienda de un armero. Nada podía haber más raro y más abigarrado que aquella tropa. Uno llevaba un frac de faldones cortos, un sable de caballería y dos pistolas de arzón; otro iba en mangas de camisa y llevaba un sombrero redondo y un cebador de pólvora colgado a un costado; otro más se había hecho un plastrón con nueve hojas de papel gris e iba armado con una lezna de guarnicionero. Había uno que gritaba: «¡Exterminemos hasta el último y muramos en la punta de nuestra bayoneta!». Era de los que no llevaban bayoneta. Otro lucía, encima de la levita, un correaje y una cartuchera de guardia nacional cuya tapa adornaba la siguiente inscripción de lana roja: Orden público.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap VI : Mientras esperaban. ¿Qué hicieron en esas horas de espera? Tenemos que contarlo, porque es historia. Mientras los hombres hacían cartuchos, y las mujeres, hilas; mientras una cazuela grande, llena de estaño y plomo fundido destinados al molde de balas, humeaba en un infiernillo encendido; mientras los vigías velaban con el arma al brazo en la barricada; mientras Enjolras, a quien no había forma de distraer, vigilaba a los vigías, Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel y unos cuantos más se buscaron y se reunieron, como en los días más sosegados de sus charlas de estudiantes, y, en un rincón de aquella taberna convertida en casamata, a dos pasos del reducto que habían levantado, con las carabinas cebadas y cargadas apoyadas en el respaldo de las sillas, estos jóvenes rozagantes, tan próximos a una hora suprema, empezaron a decir versos de amor. ¿Qué versos? Éstos: ¿Recuerdas qué jóvenes fuimos hace años? ¡Qué vida tan dulce llevamos los dos! Era nuestro anhelo y nuestra ambición ser tan elegantes cuanto enamorados. Tu edad y la mía sumaban cuarenta; e incluso sumaban quizá algo menos. En aquella casa, aunque fuese invierno, era por entonces siempre primavera. ¡Qué tiempos aquellos! Asistía París a banquetes santos. Manuel era digno, rezongaba Foy; y tú en el corpiño llevabas un broche en que yo me herí. ¿Quién no te miraba? Letrado sin toga, a almorzar al Bois contigo me iba y eras tan bonita que yo suponía que, cuando pasabas, se volvían las rosas. Las oía decir: ¡Qué guapa! ¡Qué pelo! ¡Y lo bien que huele! En la manteleta esconde unas alas, y es una flor nueva, apenas abierta, su airoso sombrero.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap VII : El hombre que se había sumado en la calle de Les Billetes. Ya era completamente de noche y no sucedía nada. Sólo se oían rumores confusos y, a ratos, ráfagas de disparos, pero escasas, poco nutridas y lejanas. Esta tregua, que se iba alargando, era síntoma de que el gobierno se lo estaba tomando con calma y estaba haciendo acopio de fuerzas. Aquellos cincuenta hombres estaban esperando a sesenta mil. Enjolras notó que se adueñaba de él esa impaciencia que se apodera de las almas fuertes en el umbral de los acontecimientos tremendos. Fue a buscar a Gavroche, que se había puesto a hacer cartuchos en la sala de abajo a la luz incierta de dos velas de sebo, colocadas en el mostrador por precaución, ya que había pólvora por encima de las mesas. No se veía desde fuera nada del resplandor de aquellas velas. Los insurrectos, además, habían tenido buen cuidado de no encender luz alguna en los pisos de arriba. Gavroche estaba en esos momentos muy preocupado, pero no eran los cartuchos lo que lo preocupaba. El hombre de la calle de Les Billetes acababa de entrar en la sala de abajo y había ido a sentarse a la mesa menos iluminada. Le había correspondido un fusil de munición de calibre grande y lo tenía colocado entre las piernas. A Gavroche, hasta entonces, lo habían tenido entretenido cien cosas «divertidas» y ni siquiera se había fijado en aquel hombre. Cuando entró, Gavroche lo siguió mecánicamente con la vista, admirando su fusil; luego, de pronto, cuando el hombre se hubo sentado, el golfillo se levantó. Quienes hubieran espiado al hombre hasta entonces habrían visto cómo lo miraba todo en la barricada, y al grupo de insurrectos, con singular atención; pero, desde que había entrado en la sala, había caído en una especie de ensimismamiento y parecía no ver ya nada de cuanto ocurría. El golfillo se acercó a aquel hombre pensativo y empezó a dar vueltas alrededor de puntillas, como quien anda cerca de alguien a quien teme despertar. Al tiempo, por aquel rostro infantil, tan descarado y tan serio a la vez, tan alocado y tan profundo, tan alegre y tan acongojante, iban pasando todas esas muecas de viejo que quieren decir: «¡Caramba! ¡No puede ser! ¡Veo visiones! ¡Estoy soñando! ¿A ver si va a ser…? ¡No, no es! ¡Que sí, que sí que es! ¡Que no!», etc. Gavroche se columpiaba en los talones, crispaba los puños dentro de los bolsillos, movía el cuello como un pájaro y prodigaba en un mohín desmesurado toda la sagacidad del labio inferior. Estaba estupefacto, inseguro, incrédulo, convencido, deslumbrado. Tenía la misma cara que el jefe de los eunucos en el mercado de esclavas al descubrir una Venus entre un montón de gordas y la expresión de un aficionado que reconoce un Rafael entre un montón de pintarrajos. Todo en él estaba activo, el instinto que olfatea y la inteligencia que combina. Estaba claro que a Gavroche le pasaba algo muy importante. Cuando más preocupado estaba fue cuando se le acercó Enjolras. —Tú eres pequeño y no te verán —dijo Enjolras—. Sal de las barricadas, vete pegado a las casas, mira por todas las calles y vuelve a decirme qué está pasando. Gavroche se puso muy tieso. —¡Así que los pequeños valemos para algo! ¡Pues menos mal! Ya voy. Mientras tanto, fiaos de los pequeños y no os fiéis de los grandes… Y Gavroche, alzando la cabeza y bajando la voz, añadió, indicando al hombre de la calle de Les Billetes: —¿Ve al grandullón ese? —Sí. ¿Y qué? —Pues que es de la pasma. —¿Estás seguro? —No hace ni quince días que me bajó por una oreja de la cornisa del Pont-Royal, donde estaba yo tomando el aire.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap VIII : Varios signos de interrogación referidos a un tal Le Cabuc que a lo mejor no se llamaba Le Cabuc. El cuadro trágico que hemos empezado no quedaría completo y el lector no vería con el relieve exacto esos minutos mayores de dolores de parto social y de nacimiento revolucionario, en que la convulsión se mezcla con el esfuerzo, si omitiésemos, en el esbozo que aquí estamos trazando, un incidente que rebosa un espanto épico y fiero y que ocurrió casi inmediatamente después de irse Gavroche. Las aglomeraciones, sabido es, son como una bola de nieve y en ellas se acumulan, según van rodando, muchos hombres tumultuosos. Esos hombres no se preguntan unos a otros de dónde vienen. Entre los transeúntes que se habían unido al grupo que dirigían Enjolras, Combeferre y Courfeyrac, había un individuo que llevaba la chaqueta, desgastada en los hombros, de los descargadores, que gesticulaba, que vociferaba y que tenía la pinta de un borracho asilvestrado. Aquel hombre, que se llamaba Le Cabuc, a menos que ése fuera su apodo, y a quien por lo demás no conocía ni poco ni mucho ninguno de los que decían que sí sabían quién era, muy borracho o fingiendo estarlo, se había sentado con otros cuantos a una mesa que habían sacado de la taberna. El tal Cabuc, al tiempo que hacía beber a los que se enfrentaban a él, parecía mirar atentamente, con expresión muy pensativa, la casa grande del fondo de la barricada, cuyos cinco pisos dominaban toda la calle y estaban enfrente de la calle de Saint-Denis. De repente, exclamó: —¿Sabéis una cosa, compañeros? Desde esa casa es desde donde deberíamos disparar. ¡Cuando estemos en esas ventanas, a ver quién es el guapo que se mete por esta calle! —Sí, pero la casa está cerrada —dijo uno de los bebedores. —¡Pues vamos a aporrear la puerta! —No nos abrirán. —¡La hundimos! Le Cabuc corre hacia la puerta, que tenía un llamador muy recio, y llama. La puerta no se abre. Llama otra vez. Nadie contesta. Un tercer golpe. El mismo silencio. —¿Hay alguien? —grita Le Cabuc. Nada se mueve. Entonces agarra un fusil y empieza a pegar culatazos en la puerta. Era una puerta vieja, de las que dan paso a un corredor de entrada, cimbrada, baja, estrecha, sólida, toda ella de roble y forrada por dentro con una chapa y un armazón de hierro; una auténtica poterna de fortaleza. Con los culatazos temblaba la casa; pero no podían con la puerta. Es probable, no obstante, que los vecinos se hubieran dado por enterados, porque, por fin, vieron que se encendía y se abría un tragaluz cuadrado del tercer piso y que asomaba por ese tragaluz una vela y la cabeza bondadosa y asustada de un buen hombre de pelo gris, que era el portero.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro decimotercero Marius se interna en las tinieblas Cap III : En el filo. Marius había llegado al Mercado Central. Allí estaba todo más tranquilo, más oscuro y más quieto aún que en las calles aledañas. Hubiérase dicho que la paz del sepulcro había brotado de la tierra y se había extendido bajo la capa del cielo. Un resplandor rojizo, no obstante, perfilaba sobre aquel fondo negro los tejados elevados de las casas que cortaban la calle de La Chanvrerie por la zona de Saint-Eustache. Era el reflejo de la antorcha encendida en la barricada de Corinthe. Marius se encaminó hacia ese resplandor rojizo. Lo condujo hasta la calle de Le Marché-aux-poirées y ya divisaba la entrada tenebrosa de la calle de Les Prêcheurs. Se metió por ella. El centinela de los insurrectos, que estaba vigilando la otra punta de la calle, no lo vio. Marius notaba que estaba muy cerca de lo que había ido a buscar y caminaba de puntillas. Llegó así al recodo de ese tramo corto de la calle de Mondétour que era, como recordaremos, la única comunicación que había dejado Enjolras con el exterior. En la esquina de la última casa de la izquierda asomó la cabeza por el tramo de Mondétour y miró. Algo más allá de la esquina oscura de la callejuela con la calle de La Chanvrerie, que proyectaba una capa extensa de sombra donde él estaba también hundido, divisó alguna luz en los adoquines, una parte de la taberna y, detrás, un farolillo que hacía guiños en algo así como una muralla informe; y a unos hombres sentados a lo moro y con los fusiles encima de las rodillas. Todo ello a una distancia de veinte metros. Era el interior de la barricada. Las casas que flanqueaban la callejuela, a la derecha, le tapaban el resto de la taberna, la barricada grande y la bandera. Marius no tenía ya sino un paso más que dar. Entonces, el desventurado joven se sentó en un mojón, se cruzó de brazos y pensó en su padre. Pensó en aquel heroico coronel Pontmercy que había sido un soldado tan valiente, que había defendido, en tiempos de la República, la frontera de Francia y llegado con el emperador hasta las fronteras de Asia; que había visto Génova, Alejandría, Milán, Turín, Madrid, Viena, Dresde, Berlín y Moscú; que se había dejado en todos los campos de victoria de Europa unas cuantas gotas de esa misma sangre que él, Marius, llevaba en las venas; que había encanecido prematuramente en la disciplina y el mando; que había vivido sin desabrocharse el cinturón, con las charreteras colgándole sobre el pecho, con la escarapela tiznada de pólvora, con el casco arrugándole la frente, en barracones, en campamentos, en vivaques, en ambulancias; y que, al cabo de veinte años, había vuelto de esas guerras mayores con un tajo en la mejilla y el rostro sonriente, sencillo, tranquilo, admirable, puro como un niño, tras hacer por Francia todo cuanto estuvo en su mano y nada en contra de ella. Se dijo que a él también le había llegado su día; que su hora había sonado por fin; que, tras los pasos de su padre, iba él también a ser valiente, intrépido, osado, a correr hacia las balas, a ofrecer el pecho a las bayonetas, a derramar la sangre, a buscar al enemigo, a buscar la muerte; que le había llegado la vez de pelear y de ir al campo de batalla; y que ese campo de batalla al que iba era la calle; ¡y que esa guerra en que iba a luchar era la guerra civil! Vio la guerra civil abierta como un abismo ante él y vio que en ese abismo era en el que iba a caer.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro decimocuarto Las grandezas de la desesperación Cap I : La bandera — acto primero. Desde que habían llegado a Corinthe y se habían puesto a construir la barricada nadie había vuelto a fijarse en Mabeuf. Sin embargo, el señor Mabeuf no se había apartado del grupo. Entró en la planta baja y se sentó detrás del mostrador. Y allí se anonadó en sí mismo, por decirlo de alguna manera. Era como si ya ni viese ni pensase. Courfeyrac y algunos otros se le habían acercado dos o tres veces para avisarlo del peligro y lo habían instado a que se apartase, pero no parecía haberlos oído. Cuando nadie estaba hablando con él, movía la boca como si contestase a alguien, y en cuanto alguien le dirigía la palabra los labios ya no se le movían y los ojos no parecían ya vivos. Pocas horas antes de que atacasen la barricada, adoptó una postura y no se volvió a mover, con los dos puños en las rodillas y la cabeza gacha, como si estuviera mirando al fondo de un precipicio. Nada pudo hacerle cambiar de postura; era como si su pensamiento no estuviera en la barricada. Cuando se fueron todos a sus puestos de combate, no quedaron ya en la sala de abajo más que Javert, atado al poste, un insurrecto con el sable desenvainado, que lo vigilaba, y Mabeuf. Cuando ocurrieron el ataque y la detonación, la sacudida física llegó hasta él y pareció que lo despertaba; se puso de pie de repente, cruzó la sala y cuando estaba Enjolras repitiendo la llamada: «¿Nadie se ofrece?», vieron aparecer al anciano en el umbral de la taberna. Su presencia causó en los diversos grupos algo semejante a una conmoción. Se alzó un grito: —¡Es el votante de la Convención! ¡Es el convencional! ¡Es el representante del pueblo! Él probablemente no los oía. Se dirigió en derechura hacia Enjolras; los insurrectos le abrían paso con temor religioso; le quitó de las manos la bandera a Enjolras, que retrocedía, petrificado; y entonces, sin que nadie se atreviera ni a detenerlo ni a ayudarlo, aquel anciano de ochenta años, de cabeza temblona pero de pie firme, empezó a subir despacio la escalera de adoquines que habían hecho en la barricada. Era todo tan sombrío y tan tremendo que cuantos lo rodeaban gritaron: «¡A descubrirse!». A cada peldaño que subía, y era algo espantoso, el pelo blanco, el rostro decrépito, la frente ancha, calva y arrugada, los ojos hundidos, la boca asombrada y abierta y el brazo anciano que enarbolaba la bandera roja iban saliendo de las sombras y crecían en la claridad sanguinolenta de la antorcha; y era como ver al espectro de 1793 brotando del suelo con la bandera del Terror en la mano. Cuando llegó al último peldaño, cuando aquel fantasma trémulo y terrible, de pie encima de ese montón de escombros en presencia de mil doscientos fusiles invisibles, se irguió de cara a la muerte como si fuera más fuerte que ella, la barricada toda adquirió entre las tinieblas un aspecto sobrenatural y colosal.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro decimocuarto Las grandezas de la desesperación Cap II : La bandera — acto segundo. Desde que habían llegado a Corinthe y se habían puesto a construir la barricada nadie había vuelto a fijarse en Mabeuf. Sin embargo, el señor Mabeuf no se había apartado del grupo. Entró en la planta baja y se sentó detrás del mostrador. Y allí se anonadó en sí mismo, por decirlo de alguna manera. Era como si ya ni viese ni pensase. Courfeyrac y algunos otros se le habían acercado dos o tres veces para avisarlo del peligro y lo habían instado a que se apartase, pero no parecía haberlos oído. Cuando nadie estaba hablando con él, movía la boca como si contestase a alguien, y en cuanto alguien le dirigía la palabra los labios ya no se le movían y los ojos no parecían ya vivos. Pocas horas antes de que atacasen la barricada, adoptó una postura y no se volvió a mover, con los dos puños en las rodillas y la cabeza gacha, como si estuviera mirando al fondo de un precipicio. Nada pudo hacerle cambiar de postura; era como si su pensamiento no estuviera en la barricada. Cuando se fueron todos a sus puestos de combate, no quedaron ya en la sala de abajo más que Javert, atado al poste, un insurrecto con el sable desenvainado, que lo vigilaba, y Mabeuf. Cuando ocurrieron el ataque y la detonación, la sacudida física llegó hasta él y pareció que lo despertaba; se puso de pie de repente, cruzó la sala y cuando estaba Enjolras repitiendo la llamada: «¿Nadie se ofrece?», vieron aparecer al anciano en el umbral de la taberna. Su presencia causó en los diversos grupos algo semejante a una conmoción. Se alzó un grito: —¡Es el votante de la Convención! ¡Es el convencional! ¡Es el representante del pueblo! Él probablemente no los oía. Se dirigió en derechura hacia Enjolras; los insurrectos le abrían paso con temor religioso; le quitó de las manos la bandera a Enjolras, que retrocedía, petrificado; y entonces, sin que nadie se atreviera ni a detenerlo ni a ayudarlo, aquel anciano de ochenta años, de cabeza temblona pero de pie firme, empezó a subir despacio la escalera de adoquines que habían hecho en la barricada. Era todo tan sombrío y tan tremendo que cuantos lo rodeaban gritaron: «¡A descubrirse!». A cada peldaño que subía, y era algo espantoso, el pelo blanco, el rostro decrépito, la frente ancha, calva y arrugada, los ojos hundidos, la boca asombrada y abierta y el brazo anciano que enarbolaba la bandera roja iban saliendo de las sombras y crecían en la claridad sanguinolenta de la antorcha; y era como ver al espectro de 1793 brotando del suelo con la bandera del Terror en la mano. Cuando llegó al último peldaño, cuando aquel fantasma trémulo y terrible, de pie encima de ese montón de escombros en presencia de mil doscientos fusiles invisibles, se irguió de cara a la muerte como si fuera más fuerte que ella, la barricada toda adquirió entre las tinieblas un aspecto sobrenatural y colosal.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro decimocuarto Las grandezas de la desesperación Cap V : Acaban los versos de Jean Prouvaire. Todos rodearon a Marius. Courfeyrac se le echó en los brazos. —¡Estás aquí! —¡Qué alegría! —dijo Combeferre. —¡Qué a punto has llegado! —dijo Bossuet. —De no ser por ti, estaría muerto —siguió diciendo Courfeyrac. —De no ser por usted, me habrían dado para el pelo —añadió Gavroche. Marius preguntó: —¿Dónde está el jefe? —Eres tú —dijo Enjolras. Marius había tenido todo el día una hoguera en el cerebro; ahora era un torbellino. Le parecía que ese torbellino que llevaba dentro estaba fuera y lo arrastraba. Le daba la impresión de que estaba ya a una distancia inmensa de la vida. Los dos meses luminosos de júbilo y amor que había tenido desembocaban de pronto en ese abismo espantoso: la pérdida de Cosette, aquella barricada, el señor Mabeuf eligiendo la muerte en defensa de la República y él convertido en jefe de los insurrectos; todas esas cosas le parecían una pesadilla monstruosa. Tenía que hacer un esfuerzo mental para acordarse de que cuanto lo rodeaba era real. Marius había vivido aún demasiado poco para saber que nada es más inminente que lo imposible y que lo que hay que tener siempre previsto es lo imprevisto. Presenciaba su propio drama como una obra de teatro que no entendiera. En esa bruma por la que pasaban las ideas, no reconoció a Javert, quien, atado al poste, no había movido ni la cabeza durante el ataque a la barricada y miraba bullir la revuelta en torno con la resignación de un mártir y la majestad de un juez. Marius ni se fijó en él. En tanto, los asaltantes ya no se movían; se los oía andar y pulular al final de la calle, pero no se aventuraban a meterse en ella, bien porque estuvieran esperando órdenes, bien porque esperasen refuerzos antes de correr otra vez hacia aquel reducto inexpugnable. Los insurrectos apostaron centinelas, y unos cuantos, que eran estudiantes de medicina, empezaron a curar a los heridos. Habían sacado las mesas de la taberna, con la excepción de dos mesas reservadas para las hilas y los cartuchos y de la mesa donde yacía Mabeuf; las añadieron a la barricada y las sustituyeron, en la sala de abajo, por los colchones de las camas de la viuda de Hucheloup y de las criadas. En esos colchones pusieron a los heridos. En cuanto a las tres infelices que vivían en Corinthe, nadie sabía qué había sido de ellas. Acabaron por encontrarlas escondidas en el sótano.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Cuarta Parte: El idilio de la calle de Plumet y La epopeya de la calle de Saint-Denis Libro duodécimo Corinthe Cap V : Los preparativos. Los periódicos de entonces que dijeron que la barricada de la calle de La Chanvrerie, esa construcción casi inexpugnable, como la llamaban, llegaba al nivel de un primer piso se equivocaron. En realidad, no pasaba de una altura media de seis o siete pies. La construyeron de forma tal que los combatientes podían, a voluntad, o desaparecer detrás de ella, o estar en una zona superior, e incluso trepar a lo más alto por una hilera cuádruple de adoquines superpuestos y colocados por dentro como gradas. Por fuera, la parte frontal de la barricada, compuesta de adoquines apilados y de toneles que unían vigas y tablones que se cruzaban en las ruedas del carretón de Anceau y del ómnibus volcado, tenía un aspecto erizado e impenetrable. Habían previsto entre la pared de las casas y el extremo de la barricada que caía más lejos de la taberna una abertura que bastase para que pudiera pasar un hombre, de forma tal que pudiese llevarse a cabo una salida. La vara del ómnibus se erguía, sujeta con cuerdas, y una bandera roja, atada a ella, flotaba en lo alto de la barricada. La barricada pequeña de la calle de Mondétour, oculta tras el edificio de la taberna, no se veía. Las dos barricadas juntas formaban un auténtico reducto. A Enjolras y Courfeyrac no les había parecido oportuno cortar el otro tramo de la calle de Mondétour, que tiene, por la calle de Les Prêcheurs, acceso al Mercado Central, pues no querían, seguramente, quedarse sin comunicación con el exterior y, por lo demás, no tenían gran temor de que los atacasen por la peligrosa y dificultosa calle de Les Prêcheurs. Con la única excepción de esa salida que estaba expedita y formaba lo que Folard, en su sistema estratégico, hubiera llamado un pasadizo, y sin olvidarnos del estrecho paso que daba a la calle de La Chanvrerie, el interior de la barricada, donde la taberna formaba un saliente, consistía en un cuadrilátero irregular cerrado por todas partes. Había alrededor de veinte pasos de intervalo entre la barricada grande y las casas elevadas que estaban al fondo de la calle, de forma tal que podía decirse que la barricada estaba adosada a esas casas, en todas las cuales vivía gente; pero lo tenían todo cerrado de arriba abajo. Todo aquel trabajo se llevó a cabo sin trabas en menos de una hora y sin que aquel puñado de hombres atrevidos viera asomar ni un colbac ni una bayoneta. Los pocos vecinos que se atrevían aún en ese punto de los disturbios a pasar por la calle de Saint-Denis le echaban una ojeada a la calle de La Chanvrerie, divisaban la barricada y apretaban el paso. Tras concluir las dos barricadas e izar la bandera, sacaron de la taberna una mesa y Courfeyrac se subió a ella. Enjolras trajo el cofre cuadrado y Courfeyrac lo abrió. El cofre estaba lleno de cartuchos. Cuando salieron a relucir los cartuchos, los más valientes se estremecieron y hubo un momento de silencio. Courfeyrac, sonriente, los repartió. Todos recibieron treinta cartuchos. Muchos llevaban pólvora y se pusieron a hacer más con las balas fundidas. En cuanto al barril de pólvora, estaba en una mesa aparte, cerca de la puerta, y lo dejaron en reserva. El toque de rebato que recorría todo París no cesaba, pero había acabado por convertirse en un ruido monótono en el que nadie se fijaba. Ese ruido ora se alejaba, ora se acercaba, ondulando de forma lúgubre.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Tercera Parte: Marius Libro cuarto Los amigos del A B C Cap I : Un grupo que estuvo a punto de convertirse en histórico. En aquella época, indiferente en apariencia, corría más o menos un estremecimiento revolucionario. Había en el ambiente bocanadas que volvían de las profundidades de 1789 y de 1792. La juventud estaba, que se nos consienta la expresión, mudando. Se transformaba casi sin darse cuenta, con el propio pasar del tiempo. La aguja que va avanzando por la esfera del reloj avanza también por las almas. Todos daban el paso adelante que tenían que dar. Los monárquicos se hacían liberales; los liberales se hacían demócratas. Era como una marea que fuese subiendo complicada con mil resacas; eso es lo propio de las resacas, que lo revuelven todo; de ahí todas aquellas combinaciones de ideas tan singulares; adoraban a un tiempo a Napoleón y la libertad. Aquí estamos haciendo historia. Eran los espejismos de aquellos tiempos. Las opiniones pasan por diversas fases. Las teorías monárquico-volterianas, variedad muy rara, tuvieron una compañera simétrica no menos rara: el liberalismo bonapartista. Hubo grupos con mentes más serias. En unos se sondeaban los principios; en otros se atenían al derecho. Se apasionaban por lo absoluto; se vislumbraban realizaciones infinitas; lo absoluto, precisamente porque es tan rígido, impele los espíritus hacia lo alto y los hace flotar en un cielo sin límites. No hay nada como el dogma para dar a luz el sueño. Y no hay nada como el sueño para engendrar el porvenir. Hoy; utopía; mañana, carne y hueso. Las opiniones avanzadas tenían dobles fondos. Un comienzo de misterio amenazaba «el orden establecido», que era sospechoso y solapado. Síntoma revolucionario a más no poder. Las segundas intenciones del poder coinciden en la zanja con las segundas intenciones del pueblo. La incubación de las insurrecciones dialoga con la premeditación de los golpes de Estado. Aún no existían en Francia esas extensas organizaciones subyacentes, como el tugendbund alemán y el carbonarismo italiano; pero acá y allá se iban ramificando excavaciones turbias. Aparecía en Aix el esbozo de La Cougourde; había en París, entre otras afiliaciones del mismo tenor, la Sociedad de los Amigos del A B C. ¿Quiénes eran los Amigos del A B C? Una sociedad cuya finalidad era, en apariencia, educar a los niños; y, en realidad, poner en pie a los hombres. Se decían Amigos del A B C[33], es decir, del rebajado, del humillado. El rebajado era el pueblo. Querían ponerlo de pie. Un retruécano que habría sido un error tomarse a broma. A veces los retruécanos son muy serios en política; sin ir más lejos, el Castratus ad castra que convirtió a Narsé en general de un ejército; sin ir más lejos, Barbari et Barberini; sin ir más lejos, Fueros y fuegos[34]; sin ir más lejos: Tu es Petrus et super hanc petram, etc., etc. Los amigos del A B C eran pocos. Era una sociedad secreta en estado embrionario; un corrillo de amigos, podríamos decir casi si de los corrillos de amigos salieran alguna vez héroes. Se reunían en París en dos sitios diferentes: cerca del Mercado Central, en una taberna que se llamaba Corinthe, que saldrá a relucir más adelante, y cerca de Le Panthéon, en un café pequeño de la plaza de Saint-Michel llamado café Musain, hoy derruido; el primero de esos lugares de cita les caía cerca a los obreros; el segundo, a los estudiantes. Los conciliábulos habituales de los Amigos del A B C se celebraban en una sala trasera del café Musain.
L'Eglise de Corinthe est privilégiée dans la Bible : 2 lettres au moins lui ont été adressées et par Paul lui-même. Mais celui-ci est obligé de défendre son ministère tant la remise en question de ses membres est grande à son encontre. Bonne découverte ! http://spiritcookie.org
Les croyants de Corinthe sont des vrais adolescents. Leurs réactions sont exacerbées. Finalement, peut-être pas loin des nôtres... Bonne découverte ! http://spiritcookie.org
Ds. Arjan Markus over Matheus 28 vers 16 t/m vers 20; 1 Johannes 4 vers 7 t/m vers 16 en 2 Corinthe 13 vers 11 t/m vers 13; Thema : Drie-eenheid.
La mythologie grecque. Un monde mystérieux et héroïque, dans lequel des générations d'enfants se sont plongés. C'est le cas de Petit-Pouce, garçon à la curiosité insatiable, et aux questions sans limites. Et ça tombe bien, son grand-père connaît plein d'histoires, qu'il est ravi de partager. Dans cet épisode, Sisyphe raconte la sécheresse effroyable qui frappe sa ville, Corinthe. À force de ruse, il obtient le soutien du fleuve Asopos et s'attire en même temps les foudres de Zeus, avec qui il devra jouer de sa filouterie. Bonne écoute.Crédit illustration: Ouest-FranceCrédit musique : Universal Production Music
2 Corinthiens 1 Louis Segond Bible 1Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, à l'Eglise de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l'Achaïe: 2que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ! 3Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, 4qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l'objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque affliction! 5Car, de même que les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde par Christ. 6Si nous sommes affligés, c'est pour votre consolation et pour votre salut; si nous sommes consolés, c'est pour votre consolation, qui se réalise par la patience à supporter les mêmes souffrances que nous endurons. 7Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation. 8Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie. 9Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu, qui ressuscite les morts. 10C'est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d'une telle mort, lui de qui nous espérons qu'il nous délivrera encore, 11vous-mêmes aussi nous assistant de vos prières, afin que la grâce obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grâces à notre sujet. 12Car ce qui fait notre gloire, c'est ce témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec sainteté et pureté devant Dieu, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. 13Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez, et ce que vous reconnaissez. Et j'espère que vous le reconnaîtrez jusqu'à la fin, 14comme vous avez déjà reconnu en partie que nous sommes votre gloire, de même que vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. 15Dans cette persuasion, je voulais aller d'abord vers vous, afin que vous eussiez une double grâce; 16je voulais passer chez vous pour me rendre en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et vous m'auriez fait accompagner en Judée. 17Est-ce que, en voulant cela, j'ai donc usé de légèreté? Ou bien, mes résolutions sont-elles des résolutions selon la chair, de sorte qu'il y ait en moi le oui et le non? 18Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n'a pas été oui et non. 19Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, et par Silvain, et par Timothée, n'a pas été oui et non, mais c'est oui qui a été en lui; 20car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c'est en lui qu'est le oui; c'est pourquoi encore l'Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu. 21Et celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c'est Dieu, 22lequel nous a aussi marqués d'un sceau et a mis dans nos coeurs les arrhes de l'Esprit. 23Or, je prends Dieu à témoin sur mon âme, que c'est pour vous épargner que je ne suis plus allé à Corinthe; 24non pas que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie, car vous êtes fermes dans la foi. Version Louis Segond 1910
Paul, appelé à être apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et le frère Sosthène, 2l'Eglise de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, appelés à être saints, et à tous ceux qui invoquent en quelque lieu que ce soit le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre: 3que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ! 4Je rends à mon Dieu de continuelles actions de grâces à votre sujet, pour la grâce de Dieu qui vous a été accordée en Jésus-Christ. 5Car en lui vous avez été comblés de toutes les richesses qui concernent la parole et la connaissance, 6le témoignage de Christ ayant été solidement établi parmi vous, 7de sorte qu'il ne vous manque aucun don, dans l'attente où vous êtes de la manifestation de notre Seigneur Jésus-Christ. 8Il vous affermira aussi jusqu'à la fin, pour que vous soyez irréprochables au jour de notre Seigneur Jésus-Christ. 9Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur. 10Je vous exhorte, frères, par le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, à tenir tous un même langage, et à ne point avoir de divisions parmi vous, mais à être parfaitement unis dans un même esprit et dans un même sentiment. 11Car, mes frères, j'ai appris à votre sujet, par les gens de Chloé, qu'il y a des disputes au milieu de vous. 12Je veux dire que chacun de vous parle ainsi: Moi, je suis de Paul! et moi, d'Apollos! et moi, de Céphas! et moi, de Christ! 13Christ est-il divisé? Paul a-t-il été crucifié pour vous, ou est-ce au nom de Paul que vous avez été baptisés? 14Je rends grâces à Dieu de ce que je n'ai baptisé aucun de vous, excepté Crispus et Gaïus, 15afin que personne ne dise que vous avez été baptisés en mon nom. 16J'ai encore baptisé la famille de Stéphanas; du reste, je ne sache pas que j'aie baptisé quelque autre personne. 17Ce n'est pas pour baptiser que Christ m'a envoyé, c'est pour annoncer l'Evangile, et cela sans la sagesse du langage, afin que la croix de Christ ne soit pas rendue vaine. 18Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. 19Aussi est-il écrit: Je détruirai la sagesse des sages, Et j'anéantirai l'intelligence des intelligents. 20Où est le sage? où est le scribe? où est le disputeur de ce siècle? Dieu n'a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde? 21Car puisque le monde, avec sa sagesse, n'a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication. 22Les Juifs demandent des miracles et les Grecs cherchent la sagesse: 23nous, nous prêchons Christ crucifié; scandale pour les Juifs et folie pour les païens, 24mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs. 25Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes.
Pamira: Katia Ricciarelli Ismène: Eva Saurova Néoclès: Martine Dupuy Cléomène: Curtis Rayam Mahomet II: Ferruccio Furlanetto Hiéros: Jean-Philippe Courtis Omar: Harry Peters Conductor: Arnold Östman Palais Garnier, Paris 15 November 1985 In-house recording
durée : 00:23:04 - Orthodoxie - par : Alexis Chryssostalis - La parution récente aux éditions Apostolia du deuxième volume de la nouvelle traduction française de la Philocalie, florilège édité en 1782 par Nicodème l'Hagiorite et Macaire de Corinthe. - invités : Yvan Koenig Ancien chargé de recherche au CNRS, traducteur de nombreux ouvrages de spiritualité et théologie orthodoxe
C'est pourquoi, nous aussi qui sommes entourés d'une telle foule de témoins, débarrassons-nous de tout fardeau, et du péché qui nous cerne si facilement de tous côtés, et courons avec endurance l'épreuve qui nous est proposée. Romains 12.1 Dans 2 Corinthiens 8, Paul cite les églises de Macédoine en exemple alors qu'il parle aux chrétiens de Corinthe au sujet de leurs offrandes. Il dit au verset 5: "Au-delà même de nos espérances, ils se sont donnés eux-mêmes, d'abord au Seigneur, puis à nous, par la volonté de Dieu." Cela m'impressionne. Ils ne se sont pas contentés de donner leur argent - ils se sont donnés eux-même. Je me demande combien d'entre nous seraient prêts à écrire leur nom sur un bout de papier et à le glisser dans la boîte d'offrandes. Romains 12.1 dit que nous devons nous offrir nous-même comme un sacrifice vivant à Dieu. Cela signifie : -vivre pour Dieu également en dehors de l'église. -être prêt à donner de l'argent, mais aussi aimer tous ceux que Dieu met sur notre route. -être prêt à utiliser toutes les ressources que nous avons pour Son royaume. La prochaine fois que vous irez à l'église et que le panier d'offrande passera devant vous, je vous encourage à dire à Dieu que vous désirez mettre toute votre vie dans ce panier, pour Lui! Ma prière pour aujourd'hui : Seigneur, je veux Te donner tout ce que j'ai et tout ce que je suis. Je m'offre à Toi comme un sacrifice vivant. Montre-moi de quelle manière Tu désires que j'utilise les ressources que Tu m'as données pour Ta gloire.
“Je vous adresse une recommandation instante, et c'est au nom de notre Seigneur Jésus-Christ que je le fais. Vivez tous ensemble en pleine harmonie ! Ne laissez pas de division s'introduire entre vous ! Soyez parfaitement unis en ayant une même conviction, une même façon de penser !” 1 Corinthiens 1.10Les chrétiens de Corinthe étaient déchirés par des clans. Aujourd'hui encore, dans l'Église du Christ-Jésus, certains s'affrontent au sujet d'un vaccin, d'une guerre, des élections, mais aussi de convictions théologiques, de choix alimentaires, ou que sais-je encore ?
La célebre escuela de cocina Le Cordon Bleu se sube al carro vegano y de comida sana proponiendo una serie de talleres denominados Cordon Vert y que buscan adaptarse a las nuevas exigencias alimenticias. RFI asistió a uno de estos talleres impartidos en la escuela de París. Le Cordon Bleu propone, desde hace más de un siglo, transmitir las técnicas y los secretos de cocina de los chefs de la gastronomía francesa. Con más de 35 escuelas implantadas en 20 países, Le Cordon Bleu es la primera red mundial privada de institutos dedicados a las artes culinarias que cada año capacita a 20 mil estudiantes de diversas nacionalidades. De todas las escuelas, la más emblemática es sin lugar a dudas la que está en París, en el barrio de Beaugrenelle, a orillas del Sena, frente a la réplica de la estatua de la libertad y no muy lejos de la Torre Eiffel. Los modernos locales proponen diferentes cursos de repostería, alta cocina o panadería. Pero en esta ocasión, asistimos a uno consagrado a los vegetales, "Cordon Vert, cocina vegetariana." y nos pusimos manos a la obra. Escuche aquí el reportaje de RFI: Nick Potter viene de Boston, y aprovecha su estadía en París para aprender más sobre cómo cocinar los vegetales: “En estos momentos, la persona con la que me estoy quedando en París es vegetariana y hemos hablado mucho de ello. Me interesa la comida vegetariana porque es más saludable, ésa es la razón que me motivó para tomar este taller...” El taller vegetariano es impartido en francés por el chef Patrick Caals y traducido simultáneamente en inglés, ya que una buena parte de los asistentes son extranjeros. Primer plato L'oeuf parfait, crème d'asperges blanches à la rélgisse, petits pois et pousses La primera receta es un “huevo perfecto” sobre una crema de espárragos blancos con petit pois y un toque de regaliz. Primero, saber escoger los espárragos, explica el Chef Patrick. Tienen que hacer un pequeño ruido al frotarlos. Después, pelarlos, quitarles las fibras exteriores y trozar el extremo. Lo que se retira se guarda ya que va a servir para hacer un caldo con el que vamos a cocinar después los espárragos. Los espárragos cortados se cocinan primero en poca mantequilla, para hacerlos “sudar” y luego se agrega el agua de cocción, no mucha. Después licuar y colar. Agregar a este puré de espárragos crema líquida, aunque si se busca cocinar de manera sana, mejor no agregarla. El montaje del plato lo hace el chef Patrick, quien lleva impartiendo cursos en el Cordon Bleu desde hace 14 años. Primero la crema de espárragos, con las puntas que fueron cocinadas aparte. Después el huevo perfecto, los guisantes, los croutones, unos toques de regaliz y hierbitas. Resultado final: Segundo plato Carottes fanes de couleurs au curcuma frais, marinade aux raisins de Corinthe, palets de riz frits aux graines de sésame noir El segundo plato propuesto en este curso son unas zanahorias marinadas con pasas y cúrcuma, cocinadas en poca agua y acompañadas de unas rebanadas de arroz frito con ajonjolí negro. Y una vez montado el plato : Cursos verdes, Cordon Vert Estos dos platos vegetarianos forman parte de los cursos Cordon Vert que propone este instituto culinario para responder a la demanda de platos más saludables. El Chef Patrick Caal: "Trabajamos con los vegetales, la idea es tener un producto que sea relativamente natural y sano y también cocinarlos de manera sencilla para extraer todos los aromas...... las personas que vienen a estos cursos "verdes" están más en la llamada tendencia vegana, que les gusta el aspecto sobrio del plato preparado, ese lado vegetal, el gusto puro, sin muchas grasas, y es lo que proponemos en este tipo de curso". El huevo perfecto De lo más interesante en este curso fue aprender más sobre el oeuf parfait, “el huevo perfecto”, el summum de la gastronomía. Ni duro, ni blando, un huevo "perfecto" tiene una textura muy particular que se obtiene gracias a una temperatura de cocción muy precisa de entre 63 y 65°, durante una hora en un horno de vapor. La clara está ligeramente cuajada, y la yema es cremos. Este "invento" fue realizado por el físico-químico francés Hervé This quien descubrió que la clara cuajaba a partir de los 63 grados mientras que la yema lo hacía a 65. A partir de ahí llego el boom de cocinar los huevos a baja temperatura, a 64 grados durante una hora aproximadamente. La técnica japonesa Onsen Tamago Pero si no se tiene un horno de vapor para lograr este huevo perfecto, o si no se quiere esperar tanto y gastar tanta energía, la asistente y traductora del Chef Patrick nos dio el secreto de la técnica japonesa Onsen Tamago que aquí se los compartimos: poner a hervir un litro de agua (para ser exactos, 1003 ml) al llegar al punto de ebullición apagar, agregar 177 milímetros de agua fría. Sumergir el huevo en el agua, tapar la cacerola y dejarlo ahí durante 17 minutos. Sacarlo. Y ya está, ya tiene su "huevo perfecto". Para servir, romper el huevo como si fuera un huevo fresco, con mucho cuidado, sobre un cuenco. También está el truco escuchado en algún lugar en Marruecos: “Sumerja huevos grandes en agua a 75ºC. Cuente 12 minutos. Retire los huevos. Sirva los huevos.” Entrevistados: Nick Potter turista proveniente de Boston, el chef Patrick Caals y Florian Le Minoux, responsable de reclutamiento de estudiantes para el Cordon Bleu.
15 Ceux qui étaient chargés de conduire Paul l'amenèrent jusqu'à Athènes. L'apôtre leur demanda d'inviter de sa part Silas et Timothée à venir le rejoindre au plus tôt, puis ils repartirent.16 Pendant qu'il attendait ses compagnons à Athènes, Paul bouillait d'indignation en voyant combien cette ville était remplie d'idoles.17 Il discutait donc, à la synagogue, avec les Juifs et les païens convertis au judaïsme et, chaque jour, sur la place publique, avec tous ceux qu'il rencontrait.18 Quelques philosophes, des épicuriens et des stoïciens, engageaient aussi des débats avec lui. Les uns disaient : - Qu'est-ce que cette pie bavarde peut bien vouloir dire ? D'autres disaient : - On dirait qu'il prêche des divinités étrangères. En effet, Paul annonçait la Bonne Nouvelle de « Jésus » et de la « résurrection».19 Pour finir, ils l'emmenèrent et le conduisirent devant l'Aréopage. - Pouvons-nous savoir, lui dirent-ils alors, en quoi consiste ce nouvel enseignement dont tu parles ?20 Les propos que tu tiens sonnent de façon bien étrange à nos oreilles. Nous désirons savoir ce qu'ils veulent dire.21 Il se trouve, en effet, que tous les Athéniens, et les étrangers qui résidaient dans leur ville, passaient le plus clair de leur temps à dire ou à écouter les dernières nouvelles.22 Alors Paul se leva au milieu de l'Aréopage et dit : - Athéniens, je vois que vous êtes, à tous égards, extrêmement soucieux d'honorer les divinités.23 En effet, en parcourant les rues de votre ville et en examinant vos monuments sacrés, j'ai même découvert un autel qui porte cette inscription : A un dieu inconnu. Ce que vous révérez ainsi sans le connaître, je viens vous l'annoncer.24 Dieu, qui a créé l'univers et tout ce qui s'y trouve, et qui est le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples bâtis de mains d'hommes.25 Il n'a pas besoin non plus d'être servi par des mains humaines, comme s'il lui manquait quelque chose. Au contraire, c'est lui qui donne à tous les êtres la vie, le souffle et toutes choses.26 A partir d'un seul homme, il a créé tous les peuples pour qu'ils habitent toute la surface de la terre ; il a fixé des périodes déterminées et établi les limites de leurs domaines.27 Par tout cela, Dieu invitait les hommes à le chercher, et à le trouver, peut-être, comme à tâtons, lui qui n'est pas loin de chacun de nous.28 En effet, « c'est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être », comme l'ont aussi affirmé certains de vos poètes, car « nous sommes ses enfants».29 Ainsi, puisque nous sommes ses enfants, nous ne devons pas imaginer la moindre ressemblance entre la divinité et ces idoles en or, en argent ou en marbre que peuvent produire l'art ou l'imagination des hommes.30 Or Dieu ne tient plus compte des temps où les hommes ne le connaissaient pas. Aujourd'hui, il leur annonce à tous, et partout, qu'ils doivent changer.31 Car il a fixé un jour où il jugera le monde entier en toute justice, par un homme qu'il a désigné pour cela, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant d'entre les morts.32Lorsqu'ils entendirent parler de résurrection des morts, les uns se moquèrent de Paul, et les autres lui dirent : - Nous t'écouterons là-dessus une autre fois.33 C'est ainsi que Paul se retira de leur assemblée.34 Cependant, quelques auditeurs se joignirent à lui et devinrent croyants, en particulier Denys, un membre de l'Aréopage, une femme nommée Damaris, et d'autres avec eux. 1 Après cela, Paul partit d'Athènes et se rendit à Corinthe.
Actes 18 verset 1:11
Actes 18 verset 24:28
Gioachino Antonio Rossini was Born 29 February 1792, Died 13 November 1868, was an Italian composer who gained fame for his 39 operas. He also wrote many songs, some chamber music , piano pieces, and some sacred music. He set new standards for both comic and serious opera before retiring from large-scale composition while still in his thirties, at the height of his popularity. Born in Pesaro to parents who were both musicians. His father was a trumpeter and his mother a singer. Rossini began to compose by the age of 12 and was educated at music school in Bologna. His first opera was performed in Venice in 1810 when he was 18 years old. In 1815 he was engaged to write operas and manage theatres in Naples. In the period 1810–1823 he wrote 34 operas for the Italian stage that were performed in Venice, Milan, Ferrara, Naples and elsewhere. His productivity necessitated an almost formulaic approach for some components , such as overtures and a certain amount of self-borrowing. During this period he produced his most popular works, including the comic operas L'italiana in Algeri, Il barbiere di Siviglia (known in English as The Barber of Seville) and La Cenerentola. His works of this period brought to a peak the opera buffa tradition he inherited from masters such as Domenico Cimarosa and Giovanni Paisiello. He also composed opera seria works such as Otello, Tancredi and Semiramide. All of these attracted admiration for their innovation in melody, harmonic and instrumental colour, and dramatic form. In 1824 he was contracted by the Opéra in Paris, for which he produced an opera to celebrate the coronation of Charles X, Il viaggio a Reims , later cannibalised for his first opera in French, Le comte Ory. Revisions of two of his Italian operas, Le siège de Corinthe and Moïse, and in 1829 his last opera, Guillaume Tell. Rossini's withdrawal from opera for the last 40 years of his life has never been fully explained. Contributary factors may have been ill-health, the wealth his success had brought him, and the rise of spectacular grand opera under composers such as Giacomo Meyerbeer. . In the early 1830s to 1855, when he left Paris and was based in Bologna, Rossini wrote relatively little. On his return to Paris in 1855 he became renowned for his musical salons on Saturdays. Regularly attended by musicians and the artistic and fashionable circles of Paris. for which he wrote the entertaining pieces Péchés de vieillesse. Guests included Franz Liszt, Anton Rubinstein, Giuseppe Verdi, Meyerbeer and Joseph Joachim. Rossini's last major composition was his Petite messe solennelle (1863). He died in Paris in 1868.
Why We Should Expose Our Kids To Classical Music https://ourtownlive.net #herbw79The William Tell Overture was written to open an opera by Gioachino Rossini. The opera is based on a legend about the Swiss hero William Tell. According to the legend, William Tell was an expert with a bow and arrow who shot an apple off his son's head.Gioachino Antonio Rossin (29 February 1792 – 13 November 1868) was an Italian composer who gained fame for his 39 operas, although he also wrote many songs, some chamber music and piano pieces, and some sacred music. He set new standards for both comic and serious opera before retiring from large-scale composition while still in his thirties, at the height of his popularity.Born in Pesaro to parents who were both musicians (his father a trumpeter, his mother a singer), Rossini began to compose by the age of 12 and was educated at music school in Bologna. His first opera was performed in Venice in 1810 when he was 18 years old. In 1815 he was engaged to write operas and manage theatres in Naples. In the period 1810–1823 he wrote 34 operas for the Italian stage that were performed in Venice, Milan, Ferrara, Naples and elsewhere; this productivity necessitated an almost formulaic approach for some components (such as overtures) and a certain amount of self-borrowing. During this period he produced his most popular works including the comic operas L'italiana in Algeri, Il barbiere di Siviglia (known in English as The Barber of Seville) and La Cenerentola, which brought to a peak the opera buffa tradition he inherited from masters such as Domenico Cimarosa and Giovanni Paisiello. He also composed opera seria works such as Otello, Tancredi and Semiramide. All of these attracted admiration for their innovation in melody, harmonic and instrumental colour, and dramatic form. In 1824 he was contracted by the Opéra in Paris, for which he produced an opera to celebrate the coronation of Charles X, Il viaggio a Reims (later cannibalised for his first opera in French, Le comte Ory), revisions of two of his Italian operas, Le siège de Corinthe and Moïse, and in 1829 his last opera, Guillaume Tell.
Si l'épître aux Galates est une ode à la charité, celle destinée aux Thessaloniciens nous encourage à vivre d'espérance. Dans ce troisième épisode de la série d'Avent sur saint Paul et le dessein de Dieu, Régis Burnet reçoit le père Éric Morin et Roselyne Dupont-Roc, bibliste, pour évoquer l'épître aux Corinthiens, témoin d'une crise entre l'apôtre et la communauté de Corinthe. Comment se comporter dans le monde alors qu'on a la certitude du projet de Dieu pour l'humanité ? Comment participer à l'unité de l'Église ? Où l'on voit que la communauté n'a de sens que fondée sur le Christ.