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Le journal en français facile du vendredi 16 février 2024, 17h temps universel.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/ALpK.A
Du lundi au jeudi, Hélène Zelany reçoit un invité au centre de l'actualité.
Du lundi au jeudi, Hélène Zelany reçoit un invité au centre de l'actualité.
Noam Ohana, gestionnaire d'un fonds de Venture Capital et réserviste dans une unité d'élite de commandos parachutistes au sein de Tsahal, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Il témoigne de la réalité de la guerre contre le Hamas.
Je t'offre une double ration de musique, ce matin, avec le nouveau Green Day (et ses “hommages” très appuyés) et un artiste qui devrait faire parler de lui cette année, selon Shazam, Aupinard... ...tandis que la Poste et le groupe Ringier proposent des valses de licenciements, les responsables de la mission lunaire qui a décollé lundi ont le blues, la France joue aux chaises musicales de ministres et le WEF annonce un festival de chefs d'État à partir de lundi à Davos avec Emmanuel Macron, Volodymyr Zelensky et le Premier ministre chinois Li Keqiang.
D'intenses combats font rage vendredi dans et autour des plus grandes villes de la bande de Gaza, et 138 otages sont toujours retenus dans la bande de Gaza, deux mois après l'attaque sanglante du Hamas contre Israël. Trois familles d'otages israéliens font une tournée internationale pour implorer de l'aide. Europe 1 les a rencontrées à Paris.
D'intenses combats font rage vendredi dans et autour des plus grandes villes de la bande de Gaza, et 138 otages sont toujours retenus dans la bande de Gaza, deux mois après l'attaque sanglante du Hamas contre Israël. Trois familles d'otages israéliens font une tournée internationale pour implorer de l'aide. Europe 1 les a rencontrées à Paris.
Dans cet épisode des Fabuleux Destins nous allons vous raconter l'histoire d'un braquage qui a marqué la Suède. Il a été le premier événement criminel diffusé en direct à la télévision suédoise. Son nom : La prise d'otages de Stockholm. Du braquage au syndrome qui lui est associé, découvrez son étrange destin. Prise d'otages à Stockholm Kristin est employée de banque. Comme tous les matins elle s'installe à son bureau et se prépare à travailler. Le brouhaha et les murmures des clients emplissent l'air, lorsque soudain, son regard se fige. Une vision surréaliste prend vie sous ses yeux, tandis qu'un homme étrange, au visage masqué de crème marron et coiffé d'une perruque insolite, s'avance lentement. Avant même qu'elle ait le temps de réfléchir, il dévoile une mitraillette qu'il laisse nonchalamment glisser autour de son cou. Un seul coup de feu déchire l'air, Kristin se précipite au sol, son cœur tambourine dans sa poitrine. Soudain, le regard impitoyable de l'homme se pose sur elle… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : Napoléon Bonaparte, entre liberté et tyrannie : la genèse d'un génie militaire (1/4) Napoléon Bonaparte, entre liberté et tyrannie : à la conquête du monde (2/4) Napoléon Bonaparte, entre liberté et tyrannie : le couronnement de l'Empereur (3/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Voix : Andréa Brusque Production : Bababam (montage Gilles Bawulak, Antoine Berry Roger) Date de première diffusion : 22 août 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le Hamas annonce la mort de son plus jeune otage, Kfir Bibas, un bébé de dix mois, "dans un bombardement israélien". Faut-il croire l'organisation palestinienne ? En enlevant des civils, a fortiori de très jeunes enfants ou des personnes âgées forcément dépendantes, le Hamas et ses alliés ne sont-ils pas les premiers responsables de leur calvaire ? On va plus loin avec Richard Werly, Gauthier Rybinski et Pauline Godard à Tel Aviv.
De nouveaux otages aux mains du Hamas doivent être libérés ce mardi en échange de prisonniers détenus par Israël. Plusieurs dizaines d'otages ont été libérés depuis vendredi, dont des mineurs qui ont vécu près de deux mois de captivité et ont parfois perdu des proches. Un long parcours les attend avant de retrouver un semblant de vie normale, suite à une expérience traumatisante qui nécessite qu'ils soient accompagnés. Les explications de Milca Céline Adrey, psychologue clinicienne, spécialiste du traitement du syndrome post-traumatique et membre de l'association OneFamily. On a entendu le témoignage d'une survivante d'un des kibboutz attaqués le 7 octobre par le Hamas. Y a-t-il une différence de traumatisme entre le fait d'avoir subi une telle attaque et le fait d'avoir été otage ?Milca Céline Adrey : Oui. D'abord sur la durée de l'exposition. Evidemment que les gens qui reviennent ont non seulement été présents le 7 octobre durant le massacre, puis après, ils ont été kidnappés. Ce qui est encore une autre expérience de frayeur. Ils ont très souvent été lynchés par la foule lors du passage de la bande de Gaza, jusque dans Gaza. Ils sont restés presque deux mois en détention. Ils ont été maltraités. On sait que pour certains, ils ont été obligés de visionner les films des exactions, ils ont été frappés. C'est bien plus lourd.Comment on s'en sort justement après tout cela ?Pour comprendre comment on soigne des victimes d'attentat, il faut comprendre les ressorts psychologiques du terrorisme d'abord, et l'intention qu'il y a derrière le terrorisme. C'est évident que ce qui est recherché dans le terrorisme ce n'est pas de tuer, mais c'est bien d'immobiliser un groupe par la terreur. C'est un collectif qui est visé à travers des individus. En fait, vous tuez une personne mais c'est pour sidérer ou rendre malade des milliers d'autres qui par cercles concentriques vont en contaminer d'autres autour d'eux.La terreur, c'est donc une arme à plusieurs temps. Il y a le moment de l'exaction, de la tuerie, mais en fait ce qui est visé, c'est vraiment de sidérer les personnes qui vont être témoins.C'est-à-dire que les traumatismes ne vont pas toucher seulement les otages directement, mais évidemment aussi leurs familles, leurs proches…Oui, et c'est important d'en prendre conscience. Par exemple, quand il y a un attentat, ce n'est pas forcément les gens qui ont été victimes physiquement à l'attentat qui vont développer le plus de troubles. C'est souvent par exemple les gens qui se précipitent pour regarder ou on l'a vu ces dernières années avec l'utilisation massive de l'arme du terroriste, des réseaux sociaux et de la construction des vidéos, des gens (en particulier des adolescents) qui vont être exposés visuellement aux images et qui vont développer des troubles.Quels sont le genre de troubles de symptômes post-traumatiques que vivent ces victimes ? En général, ce qu'on appelle le trouble de stress post-traumatique, il est caractérisé par plusieurs symptômes. Un de ceux qui est le plus violent, c'est cette façon d'être pris, d'être arrêté dans le courant de la journée de façon complètement intrusive par des images qui reviennent, des odeurs qui persistent, le goût dans la bouche, cette sensation d'être là sans être là, avec une très forte incapacité à se concentrer.Par exemple, chez de jeunes enfants, on peut voir qu'il y a un trouble traumatique parce qu'ils ne vont pas être capables de regarder un dessin animé, d'accomplir des tâches habituellement simples. Évidemment, des troubles du sommeil avec des cauchemars récurrents qui vous empêchent de récupérer pendant la nuit parce que vous êtes en permanence réveillés par les cauchemars, les troubles de l'alimentation… La liste est longue.Est-ce que ces troubles peuvent parfois mettre du temps à émerger ?Oui. Très souvent. D'abord les troubles peuvent ne pas émerger, ce n'est pas systématique qu'on développe un stress post-traumatique après une agression. Certaines personnes vont le faire, d'autres pas. Et en général, il y a un temps qu'on appelle « le temps de latence ». C'est-à-dire qu'après quelques mois, un petit déclencheur qui va faire que tout d'un coup, un bruit, un son va vous rappeler et vous replonger dans cette situation et ça peut se déclencher à ce moment-là.Lors des prises d'otage, on évoque ce fameux syndrome de Stockholm. Certains l'ont évoqué lors de la libération des premiers otages du Hamas. Ils sont apparus sur les images souriants alors que les ravisseurs venaient de les libérer. Est-ce que c'est un phénomène que vous avez observé ?Je suis un peu plus réservée sur le syndrome de Stockholm... D'abord, il faut se remettre en situation. Quand on est libéré et que vous êtes sous le feu des caméras du Hamas, qui de toute façon fait une mise en scène, vous êtes tenus à faire certains gestes qu'on vous demande de faire. Et évidemment, dans des conditions où il est question de vie ou de mort, vous n'allez pas vous opposer. Donc, au moment de la libération, il y a que vous êtes tenus par vos agresseurs de vous comporter d'une certaine façon et que vous êtes aussi soulagés potentiellement.Le syndrome de Stockholm, c'est plus compliqué que cela. C'est une prise de position dans une telle adhésion à l'agresseur qu'on finit par avoir peur par exemple, comme ça s'était passé à Stockholm, les otages avaient de la suspicion à l'égard de la police qui venait les libérer. C'est comme si on avait vu des otages se retourner contre la Croix-Rouge. Mais ce n'est pas le cas.Donc, je ne parlerai pas d'un syndrome de Stockholm dans ce à quoi nous avons assisté. On a simplement des gens qui sont contraints à réagir d'une certaine façon devant les télés et qui sont aussi très certainement en train d'être quand même potentiellement libérés, soulagés en se disant : est-ce que ça va avoir lieu ou pas ? On les sent inquiets, mais ils sont quand même en train de vivre une libération.Est-ce qu'on peut ressortir plus forts d'une prise d'otages ?On ressort différents, radicalement différents. C'est la naissance d'un nouvel être en général. Les gens nous disent qu'il y a un avant et un après. La puissance de l'événement fait que parfois on est animés par une force de rage, de revanche, de nécessité de trouver une réponse à l'agression, qui fait qu'il y a une certaine force qui se révèle à l'intérieur de la personne.Mais si cette force, quand vous subissez une agression, vous êtes obligés d'y réagir. Si vous n'êtes pas capables d'y réagir et si vous restez simplement en position de la subir, à ce moment-là, vous n'êtes pas plus forts. En général, vous développez des troubles qui vous détruisent. Si par contre, vous arrivez à vous relever pour y répondre, ça peut être de façon extrêmement créative, ce n'est pas forcément par une agression. A ce moment-là, ça peut révéler une forme de vie, de créativité très positive dans sa façon d'être au monde.
durée : 00:20:38 - Journal de 12h30 - La trêve entre Israël et le Hamas a finalement été prolongée de quarante-huit heures. Un soulagement évidemment pour la libération attendue aujourd'hui de nouveaux otages israéliens, en échange de toujours plus de prisonniers palestiniens. Un répit supplémentaire également pour les civils à Gaza.
durée : 00:25:42 - 8h30 franceinfo - Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, était l'invité du "8h30 Franceinfo", mardi 28 novembre.
durée : 00:20:38 - Journal de 12h30 - La trêve entre Israël et le Hamas a finalement été prolongée de quarante-huit heures. Un soulagement évidemment pour la libération attendue aujourd'hui de nouveaux otages israéliens, en échange de toujours plus de prisonniers palestiniens. Un répit supplémentaire également pour les civils à Gaza.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 27 novembre 2023 avec Philippe Caverivière.
durée : 00:11:44 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Malgré quelques tensions ce week-end, des échanges d'otages et de prisonniers entre Israël et le Hamas ont pu avoir lieu trois jours de suite. - invités : Ariel Colonomos Directeur de recherches au CNRS, spécialiste des relations internationales.
Son visage est devenu le symbole de l'espoir, ses immenses yeux noirs et ses cheveux bouclés ont fait le tour du monde : Abigail Edan a été libérée ce week-end par le Hamas, après « avoir passé son anniversaire en captivité », écrit le Washington Post. Elle n'a que 4 ans. « Pendant 50 jours, sa famille a gardé espoir que l'enfant […] reviendrait à la maison. Et [hier], ces espoirs sont devenus réalité. » Comme 57 autres otages du groupe armé palestinien, la petite fille a remis le pied sur le sol israélien, à la faveur d'un accord négocié sous la médiation, notamment, du Qatar et des Etats-Unis.En échange, plus de 110 prisonniers palestiniens ont été relâchés par l'Etat hébreu. Alors d'un côté comme de l'autre de la frontière, la joie a éclaté ce week-end, bouffée d'air frais après des semaines passées dans un brouillard étouffant : Le Soir décrit ainsi les « manifestations de joie » en Cisjordanie, « des dizaines de personnes » rassemblées pour accueillir ces anciens prisonniers ; tandis que Süddeutsche Zeitung raconte un pays qui « vibre depuis le retour des premiers otages du Hamas, » certains même qui « font la fête », un « feu d'artifice d'images, un brouhaha de voix excitées. »Une parenthèse sur laquelle planent toujours des nuagesIl y a d'abord, en Israël, ceux qui restent étrangers au soulagement. Ceux qui ne peuvent qu'être spectateurs de « la joie des autres » selon la formule du Süddeutsche Zeitung. Ceux pour qui « la vie (…) est en état d'urgence » depuis les attaques du 7 octobre, et qui continuent d'espérer que leurs proches seront bientôt libérés. Pour cela, il faudrait que l'interruption des combats se poursuivent, que l'accord soit étendu.C'est donc la question partagée par de nombreux observateurs et journaux, et formulée par Le Soir : « la trêve pourra-t-elle être prolongée au-delà de ce lundi ? »Il y a bien un « frêle espoir » que caresse le journal belge, même si l'accord, « qui avait montré ses premières failles à peine conclu, s'est effectivement révélé fragile. » Exemple cité par le Wall Street Journal : « samedi, le Hamas a retardé la libération d'otages pendant des heures, car, au moment prévu pour le transfert, le nombre de camions d'aide humanitaire entrés dans Gaza n'atteignait pas celui prévu. »Malgré tout, les efforts diplomatiques se poursuivent, car, estime El Pais, « ils n'auront tout leur sens que si la trêve est maintenue. » Une possibilité qu'entrevoit le New York Times et pour cause : alors qu'un « effondrement de l'accord pourrait avoir mené rapidement à une reprise des hostilités, » « à la place, en réponse à une offre, par Israël, d'ajouter un jour de pause par groupe de 10 otages relâchés, le Hamas a déclaré que lui aussi était intéressé par une extension de l'accord. »Difficile d'imaginer une trêve pérenneD'abord, certains observateurs estiment que le Hamas a les cartes en mains. Ha'aretz reprend ainsi les propos d'un membre de la Croix Rouge, qui juge que : « si, le cinquième jour, et le sixième, et le septième, le Hamas choisit de continuer à libérer des otages, (…) alors Israël est prêt à étendre la pause dans les combats. Si à l'inverse le Hamas choisit de ne pas le faire, alors la responsabilité reposera entièrement sur ses épaules. »Ensuite, et comme le relève le Guardian, « l'armée israélienne a signalé, sans ambigüité, sa volonté de relancer sa campagne militaire. » Car le Premier ministre Benyamin Netanyahu a « juré d'éliminer le groupe armé », or, le journal britannique rapporte que « l'état-major estime avoir tué entre 1.000 et 2.000 combattants, sur une base qu'il pense être forte de 30.000 membres. »L'influence de la communauté internationaleCommunauté dont le poids des volontés pourrait infléchir, d'une manière ou d'une autre, la détermination d'Israël. Le Wall Street Journal note ainsi que « Netanyahu est sous pression pour limiter les victimes civiles, » et que certains partenaires souhaitent donc éviter une reprise des combats tant qu'aucune solution n'a été trouvée pour le sud de la bande de Gaza.Alors, face aux nombreux facteurs en jeu, tout tient dans cette phrase de Joe Biden, reprise là encore par Ha'aretz : « Rien n'est garanti. »
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
durée : 00:15:05 - Journal de 12h30 - Au troisième jour de trêve entre Israël et le Hamas, des otages israéliens détenus par le mouvement islamiste, et des prisonniers palestiniens, doivent être remis en liberté, dimanche. - invités : Françoise Daucé Directrice de recherche à l'EHESS, directrice du Centre d'études des mondes russe, caucasien et centre-européen (CERCEC)
Tous les samedis et dimanches soir, Pierre de Vilno reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 18h30 à 19h00.
durée : 00:12:51 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Après une seconde vague de libération d'otages, Frédéric Joli, porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et auteur du blog "L'humanitaire dans tous ses états", espère que le processus "va se poursuivre comme dans les deux jours qui ont précédé".
durée : 00:15:05 - Journal de 12h30 - Au troisième jour de trêve entre Israël et le Hamas, des otages israéliens détenus par le mouvement islamiste, et des prisonniers palestiniens, doivent être remis en liberté, dimanche. - invités : Françoise Daucé Directrice de recherche à l'EHESS, directrice du Centre d'études des mondes russe, caucasien et centre-européen (CERCEC)
durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - 2ᵉ journée de trêve entre Israël et le Hamas. De nouvelles libérations d'otages enlevés par le mouvement islamiste et de prisonniers palestiniens sont attendues.
durée : 00:09:59 - Journal de 18h - Après l'entrée en vigueur de la trêve entre Israël et le Hamas, vendredi, de nouvelles remises en liberté d'otages israéliens sont attendues, samedi. Des opérations retardées par le Hamas.
durée : 00:14:46 - Journal de 12h30 - Au deuxième jour de trêve entre Israël et le Hamas, de nouveaux échanges d'otages israéliens et de prisonniers palestiniens doivent avoir lieu, samedi. - invités : Catherine Le Magueresse Juriste et ancienne présidente de l'Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail, chercheuse associée à l'ISJPS (Panthéon Sorbonne)
durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - Deuxième journée de trêve entre Israël et le Hamas. De nouvelles libérations d'otages enlevés par le mouvement islamiste et de prisonniers palestiniens sont attendues.
durée : 00:14:46 - Journal de 12h30 - Au deuxième jour de trêve entre Israël et le Hamas, de nouveaux échanges d'otages israéliens et de prisonniers palestiniens doivent avoir lieu, samedi. - invités : Catherine Le Magueresse Juriste et ancienne présidente de l'Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail, chercheuse associée à l'ISJPS (Panthéon Sorbonne)
durée : 00:09:59 - Journal de 18h - Après l'entrée en vigueur de la trêve entre Israël et le Hamas, vendredi, de nouvelles remises en liberté d'otages israéliens sont attendues, samedi. Des opérations retardées par le Hamas.
durée : 00:20:11 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - Le grand entretien de 8 h 20 prend la forme d'un dialogue autour de la situation des otages israéliens du Hamas et de leur libération. Ali Baddou et Marion L'Hour reçoivent l'avocat Patrick Klugman et le journaliste, lui-même ancien otage, Georges Malbrunot. - invités : Patrick KLUGMAN, Georges MALBRUNOT - Patrick Klugman : Avocat, Georges Malbrunot : Grand reporter au Figaro
durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - 2eme journée de trève entre Israël et le Hamas.... De nouvelles libérations d'otages enlevés par le mouvement islamiste et de prisonniers palestiniens sont attendues.
Une trêve vient de débuter entre Israël et le Hamas ce vendredi 24 novembre, après plus de six semaines d'affrontements. Une trêve fragile, car même si les premiers convois humanitaires ont pu entrer dans la bande de Gaza, quelques tirs sporadiques ont été rapportés et l'armée israélienne accuse le Hamas d'avoir tiré plusieurs roquettes. Reste que le mouvement palestinien a confirmé «un arrêt complet des activités militaires» pendant quatre jours. Car l'enjeu est important pour les deux parties: 50 otages israéliens, des femmes et des enfants, devraient être libérés en échange de 150 prisonniers palestiniens, sous la surveillance de l'Égypte.L'accord, annoncé mercredi 22 novembre, est le résultat de la méditation du Qatar, émirat à la fois proche du Hamas –dont les bureaux de la branche politique sont à Doha– et des États-Unis, qui y ont établi de nombreuses bases militaires.L'accord de paix est encore loin, mais cette entente provisoire montre qu'une négociation entre Israël et le Hamas est possible.Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Références:«Mines, taxes, BTP... Comment le Hamas gagne des centaines de millions de dollars chaque année»«Pourquoi la Chine adopte une position de plus en plus propalestinienne»Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Christophe CarronMusique: «Sinister», Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram.
A la Une de la presse, ce vendredi 24 novembre : la libération attendue d'otages israéliens détenus par le Hamas, les réactions en Europe après la victoire de l'extrême droite aux législatives aux Pays-Bas, et les émeutes en Irlande à la suite d'une attaque au couteau.
Ce qui fait la Une de l'actualité aujourd'hui, c'est la libération d'un certain nombre d'otages par le Hamas en échange de prisonniers palestiniens détenus jusque-là en Israël. Le tout accompagné de 4 jours de trêve dans les combats qui offre un répit aux habitants de la bande de Gaza, assiégée et bombardée depuis le 7 octobre 2023 par l'armée israélienne. Des Israéliens ont retrouvé la liberté ainsi que 12 Thaïlandais. Avec- Judith Geng de la rédaction chinoise pour nous dire comment la campagne électorale à Taiwan tient compte du facteur chinois - Denis Strelkov pour la rédaction en russe, à propos de la la fermeture de la frontière entre la Finlande et la Russie à cause de la crise migratoire provoquée par le Kremlin- Et Nasser Etemadi de la rédaction persane concernant l'expulsion d'un demi-million d'Afghans par le gouvernement iranien.
Chaque jour, Céline Géraud et ses invités font un point complet sur l'actualité.
Du lundi au jeudi, Hélène Zelany reçoit un invité au centre de l'actualité.
Stéphane Amar, journaliste indépendant, auteur de 'L'exception israélienne - Enquête sur un État controversé' aux éditions de l'Observatoire, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils s'intéressent à la trêve de quatre jour et à la libération d'otages détenus par le Hamas depuis le 7 octobre grâce à l'accord conclu.
La libération d'otages détenus dans la bande de Gaza prévue par l'accord entre Israël et le Hamas n'interviendra pas avant vendredi. L'accord concerne la libération de 50 otages, femmes et enfants, aux mains du Hamas, en échange de la libération de prisonniers palestiniens et d'une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza.
Alors que la trêve humanitaire et les premières libérations des otages israéliens détenus par le Hamas devaient débuter ce jeudi à Gaza, l'accord a été repoussé à vendredi. Les explications d'Emilie Baujard.
Cette nuit du 22 novembre, le Hamas et Israël ont conclu un accord pour une pause humanitaire à Gaza et la libération d'otages. Que sait-on de cet accord ? Quand les otages seront-ils libérés ? À quoi s'est engagé Israël ? Réponses de Nicolas Burnens, reporter à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Du lundi au jeudi, Hélène Zelany reçoit un invité au centre de l'actualité.
Après 46 jours de guerre au Proche-Orient, un accord a été conclu sous l'égide du Qatar pour une trêve humanitaire à Gaza et la libération d'otages enlevés par le Hamas. Cet accord a été salué à travers le monde comme une avancée importante dans le conflit et le Qatar s'est félicité du « succès » de sa médiation conjointe avec l'Égypte et les États-Unis. L'analyse de Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen et chargé de cours à l'Université de Genève. Auteur de Moyen-Orient : le temps des incertitudes et Le Moyen-Orient selon Joe Biden, éditions Erick Bonnier.
durée : 00:34:46 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Le Hamas et l'Etat d'Israël ont négocié la libération de 50 otages israéliens en l'échange de 150 otages palestiniens et quatre jours de trêve militaire dans la bande de Gaza. Cet accord devrait être effectif à partir de jeudi 23 novembre, 8h.
L'accord est donc conclu : le Hamas doit libérer dans les prochains jours 50 femmes et enfants. En échange, Israël va relâcher 150 palestiniens, là aussi des femmes et mineurs incarcérés. Pour en parler, Patrick Klugman, avocat de 4 familles d'otages franco-israéliens. Ecoutez L'invité de RTL Soir du 22 novembre 2023 avec Marion Calais et Julien Sellier.
Du lundi au jeudi, Hélène Zelany reçoit un invité au centre de l'actualité.
Cette nuit du 22 novembre, le Hamas et Israël ont conclu un accord pour une pause humanitaire à Gaza et la libération d'otages. Que sait-on de cet accord ? Quand les otages seront-ils libérés ? À quoi s'est engagé Israël ? Réponses de Nicolas Burnens, reporter à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Cette nuit du 22 novembre, le Hamas et Israël ont conclu un accord pour une pause humanitaire à Gaza et la libération d'otages. Que sait-on de cet accord ? Quand les otages seront-ils libérés ? À quoi s'est engagé Israël ? Réponses de Nicolas Burnens, reporter à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Cette nuit du 22 novembre, le Hamas et Israël ont conclu un accord pour une pause humanitaire à Gaza et la libération d'otages. Que sait-on de cet accord ? Quand les otages seront-ils libérés ? À quoi s'est engagé Israël ? Réponses de Nicolas Burnens, reporter à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
L'accord est donc conclu : le Hamas doit libérer dans les prochains jours 50 femmes et enfants. En échange, Israël va relâcher 150 palestiniens, là aussi des femmes et mineurs incarcérés. Pour en parler, Patrick Klugman, avocat de 4 familles d'otages franco-israéliens. Ecoutez L'invité de RTL Soir du 22 novembre 2023 avec Marion Calais et Julien Sellier.
durée : 00:34:46 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Le Hamas et l'Etat d'Israël ont négocié la libération de 50 otages israéliens en l'échange de 150 otages palestiniens et quatre jours de trêve militaire dans la bande de Gaza. Cet accord devrait être effectif à partir de jeudi 23 novembre, 8h.
durée : 00:14:26 - Journal de 7 h - L'accord de trêve et d'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens a été approuvé, durant la nuit de mardi à mercredi, par le gouvernement israélien.
durée : 00:14:26 - Journal de 7 h - L'accord de trêve et d'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens a été approuvé, durant la nuit de mardi à mercredi, par le gouvernement israélien.
Chaque jour, Céline Géraud et ses invités font un point complet sur l'actualité.
Guerre Israël-Hamas. Élection à la présidence de Javier Milei un anarchocapitaliste d'extrême droite en Argentine. Discussion de Normand Lester, blogueur au Journal de Montréal Journal de Québec et animateur du balado « Normand Lester raconte » à QUB radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cette nuit du 22 novembre, le Hamas et Israël ont conclu un accord pour une pause humanitaire à Gaza et la libération d'otages. Que sait-on de cet accord ? Quand les otages seront-ils libérés ? À quoi s'est engagé Israël ? Réponses de Nicolas Burnens, reporter à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Un accord a été conclu entre Israël et le Hamas : des dizaines d'otages seront libérés en échange de prisonniers palestiniens. L'entente prévoit aussi une trêve. Au Québec, le Front commun syndical poursuit son mouvement de grève pour une deuxième journée consécutive.
durée : 00:20:11 - Journal de 12h30 - C'est un énorme dilemme pour Israël. La question des otages détenus par le Hamas. L'organisation a assuré la nuit dernière la prochaine conclusion d'un accord de trêve à Gaza. Mais les conditions de cette trêve potentielle restent floues. Des pourparlers sont en cours.
durée : 00:20:11 - Journal de 12h30 - C'est un énorme dilemme pour Israël. La question des otages détenus par le Hamas. L'organisation a assuré la nuit dernière la prochaine conclusion d'un accord de trêve à Gaza. Mais les conditions de cette trêve potentielle restent floues. Des pourparlers sont en cours.
Aujourd'hui dans 'Punchline', Laurence Ferrari et ses invités débattent de la découverte d'images relatives aux otages du Hamas par l'armée israélienne. Les otages sont-ils la clé pour la fin du conflit ?
En Israël, des familles d'otages aux mains du Hamas ont entamé une marche à plusieurs de Tel Aviv à Jérusalem, pour faire pression sur le gouvernement afin qu'il négocie et libère au plus vite leurs proches. Qu'elles participent ou pas à cette marche, les familles vivent très difficilement cette attente. Rencontre avec un groupe d'Israéliens très liés par l'épreuve qu'ils traversent. Reportage. De nos envoyés spéciaux à Tel-Aviv, Des portraits d'otages détenus à Gaza sont affichés sous une tente à Tel Aviv. Des dizaines d'Israéliens défilent et se prennent dans les bras, émus aux larmes. Tous se connaissent, car ils ont fréquenté à un moment de leur vie la même école. Elle réunit les élèves de plusieurs villages communautaires, les kibboutz, le long de la frontière avec Gaza. Et nombre d'entre eux ont disparu aujourd'hui. Illan a la cinquantaine. Il ne vit plus dans la région depuis longtemps, mais il est venu par solidarité : « Beaucoup de gens qui ont été kidnappés sont des anciens professeurs, des parents d'élèves qui étaient avec moi à l'école, des anciens élèves qui ont étudié avec moi, beaucoup de gens que je connais, c'est vraiment très dur ».« J'allais manger du houmous sur la plage à Gaza »L'école, Nofei ha-Bsor, a été touchée de plein fouet : des dizaines de morts et de personnes kidnappées dans l'attaque du Hamas, le 7 octobre dernier.« C'est toute mon enfance qui s'est brisée ce jour-là », résume Eyal qui raconte les liens très forts au sein de l'école des kibboutz. Résolument de gauche, ce sexagénaire, a toujours prôné la coexistence pacifique avec les Palestiniens. Mais après les attaques du Hamas, il semble déboussolé : « Ça me fend le cœur parce que nous avons grandi dans l'esprit que nous pouvions vivre ensemble. Je me souviens quand j'étais petit, j'allais manger du houmous sur la plage à Gaza, j'avais des amis, mon père y allait, il faisait du commerce là-bas. On était amis. Mais maintenant, et depuis plusieurs années, les enfants, on leur a lavé le cerveau. Ils ont été éduqués à haïr les Israéliens. Ce sera comme ça jusqu'à ce qu'on démolisse et qu'on reconstruise tout. »Des familles dans l'urgence de la libérationAyelet, elle, n'entre pas dans ces considérations. Elle est dans l'urgence de la libération de ses proches pris en otage : sa mère, âgée de 79 ans, et son frère, 51 ans. « Il faut libérer les otages, je m'en fiche comment. Je ne suis ni dans la politique ni dans l'armée. Je ne prends pas les décisions. La façon dont ça va se passer, ce n'est pas mon problème. Je veux juste que tous les otages soient libérés et maintenant. »Que ça soit pas la force ou par la négociation avec le Hamas, Ayelet veut le retour de ses proches au plus vite. Elle a déjà perdu un frère, tué dans les attaques du 7 octobre 2023. Elle a dû l'enterrer près de chez elle, mais espère ramener son corps, après la guerre, dans le kibboutz où il a toujours vécu.À lire aussiLe Hamas accuse Israël de «tergiverser» sur la libération des otages
En Israël, des familles d'otages aux mains du Hamas ont entamé une marche à plusieurs de Tel Aviv à Jérusalem, pour faire pression sur le gouvernement afin qu'il négocie et libère au plus vite leurs proches. Qu'elles participent ou pas à cette marche, les familles vivent très difficilement cette attente. Rencontre avec un groupe d'Israéliens très liés par l'épreuve qu'ils traversent. Reportage. De nos envoyés spéciaux à Tel-Aviv, Des portraits d'otages détenus à Gaza sont affichés sous une tente à Tel Aviv. Des dizaines d'Israéliens défilent et se prennent dans les bras, émus aux larmes. Tous se connaissent, car ils ont fréquenté à un moment de leur vie la même école. Elle réunit les élèves de plusieurs villages communautaires, les kibboutz, le long de la frontière avec Gaza. Et nombre d'entre eux ont disparu aujourd'hui. Illan a la cinquantaine. Il ne vit plus dans la région depuis longtemps, mais il est venu par solidarité : « Beaucoup de gens qui ont été kidnappés sont des anciens professeurs, des parents d'élèves qui étaient avec moi à l'école, des anciens élèves qui ont étudié avec moi, beaucoup de gens que je connais, c'est vraiment très dur ».« J'allais manger du houmous sur la plage à Gaza »L'école, Nofei ha-Bsor, a été touchée de plein fouet : des dizaines de morts et de personnes kidnappées dans l'attaque du Hamas, le 7 octobre dernier.« C'est toute mon enfance qui s'est brisée ce jour-là », résume Eyal qui raconte les liens très forts au sein de l'école des kibboutz. Résolument de gauche, ce sexagénaire, a toujours prôné la coexistence pacifique avec les Palestiniens. Mais après les attaques du Hamas, il semble déboussolé : « Ça me fend le cœur parce que nous avons grandi dans l'esprit que nous pouvions vivre ensemble. Je me souviens quand j'étais petit, j'allais manger du houmous sur la plage à Gaza, j'avais des amis, mon père y allait, il faisait du commerce là-bas. On était amis. Mais maintenant, et depuis plusieurs années, les enfants, on leur a lavé le cerveau. Ils ont été éduqués à haïr les Israéliens. Ce sera comme ça jusqu'à ce qu'on démolisse et qu'on reconstruise tout. »Des familles dans l'urgence de la libérationAyelet, elle, n'entre pas dans ces considérations. Elle est dans l'urgence de la libération de ses proches pris en otage : sa mère, âgée de 79 ans, et son frère, 51 ans. « Il faut libérer les otages, je m'en fiche comment. Je ne suis ni dans la politique ni dans l'armée. Je ne prends pas les décisions. La façon dont ça va se passer, ce n'est pas mon problème. Je veux juste que tous les otages soient libérés et maintenant. »Que ça soit pas la force ou par la négociation avec le Hamas, Ayelet veut le retour de ses proches au plus vite. Elle a déjà perdu un frère, tué dans les attaques du 7 octobre 2023. Elle a dû l'enterrer près de chez elle, mais espère ramener son corps, après la guerre, dans le kibboutz où il a toujours vécu.À lire aussiLe Hamas accuse Israël de «tergiverser» sur la libération des otages
Que va-t-il advenir des otages capturés par le Hamas lors de l'attaque meurtrière du 7 octobre en Israël ? Selon les derniers décomptes de l'Etat hébreu, 247 personnes, dont des militaires, des femmes et des enfants civils, ont été enlevées il y a un mois. Depuis cette date, cinq femmes ont été relâchées ou retrouvées. Les informations sur les autres otages, israéliens pour la plupart, restent parcellaires.Si l'ampleur de cette prise d'otages est inédite, le recours à cette technique ne l'est pas. Depuis la fin des années 1960, elle ponctue le conflit israélo-palestinien et alimente une peur collective, au sein d'un Etat pourtant fondé pour protéger ses citoyens. Les Israéliens se souviennent des issues tragiques de la prise d'otages des Jeux olympiques de Munich, en 1972, mais aussi de celle de Ma'alot, bien moins connue hors des frontières de l'Etat hébreu.Alors pourquoi les groupes palestiniens se sont-ils spécialisés dans les prises d'otages d'Israéliens ? Pourquoi cette question est-elle si sensible en Israël ? Et en quoi les enlèvements du 7 octobre représentent-ils un tournant ?Dans cet épisode de « L'Heure du Monde », Raphaëlle Bacqué et Béatrice Gurrey, grandes reporters au Monde, nous racontent, à travers trois récits, cet aspect spécifique du conflit israélo-palestinien.Un épisode de Diane Jean. Réalisation : Florentin Baume et Amandine Robillard. Musiques et habillage : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Margaux Lannuzel et Jean-Guillaume Santi. Présentation : Jean-Guillaume Santi.--- Retrouvez ici l'enquête du Monde : La prise d'otages, un traumatisme dans l'histoire israéliennePour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
durée : 00:53:12 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, les disparus du Novotel d'Abidjan - réalisé par : Stéphane COSME, Helene Bizieau, Frédéric Milano
durée : 00:06:40 - La présence d'otages à Gaza freine-t-elle l'offensive terrestre d'Israël?
Dans cet épisode des Fabuleux Destins nous allons vous raconter l'histoire d'un braquage qui a marqué la Suède. Il a été le premier événement criminel diffusé en direct à la télévision suédoise. Son nom : La prise d'otages de Stockholm. Du braquage au syndrome qui lui est associé, découvrez son étrange destin. Kristin est employée de banque. Comme tous les matins elle s'installe à son bureau et se prépare à travailler. Le brouhaha et les murmures des clients emplissent l'air, lorsque soudain, son regard se fige. Une vision surréaliste prend vie sous ses yeux, tandis qu'un homme étrange, au visage masqué de crème marron et coiffé d'une perruque insolite, s'avance lentement. Avant même qu'elle ait le temps de réfléchir, il dévoile une mitraillette qu'il laisse nonchalamment glisser autour de son cou. Un seul coup de feu déchire l'air, Kristin se précipite au sol, son cœur tambourine dans sa poitrine. Soudain, le regard impitoyable de l'homme se pose sur elle… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : Gilles Garnier, l'un des derniers loup-garous français RuPaul, la drag queen la plus influente du monde Le crash du vol Malaysia Airlines 370, le drame aérien le plus mystérieux de notre époque Un podcast Bababam Originals Voix : Andréa Brusque Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Gilles Bawulak, Antoine Berry Roger) Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le 13 mai 1993, un homme vêtu de noir entre dans une classe de maternelle à Neuilly-sur-Seine, armé d'explosifs. C'est une prise d'otages : au total, 21 écoliers et leur institutrice sont retenus par le forcené, qui communique avec l'extérieur via des écrits menaçants signés "H. B." pour "Human Bomb". Pendant 46 heures, la France retient son souffle : le RAID parviendra-t-il a sauver tous les enfants à temps ? Autour de l'école c'est la pagaille, les parents d'élèves se mêlent aux journalistes à l'affût. Alerté, Nicolas Sarkozy, alors ministre du budget et maire de Neuilly-sur-Seine, se rend sur place en urgence. Nicolas Sarkozy est la voix du crime de cet épisode. Au micro d'Agnès Bonfillon, l'ancien président de la République raconte les 46 heures de négociations pour libérer les enfants et ses face-à-face avec celui qui se fait appeler H.B.
REDIFF - Celui que "Jour J" reçoit a vu la mort en face à de nombreuses reprises et lorsque l'on lit son livre, elle est moche, la mort. Très moche. Surtout quand elle vient de la main de terroristes, de la kalach de fous fanatiques. Pendant 20 ans au service du RAID, Marc Verillotte a affronté la mort pour sauver des vies. Et tenter de garder la sienne sauve pour continuer à faire le petit déjeuner de ses enfants... "Jour J", c'est l'émission des grands entretiens d'actualité internationale, culturelle, économique et politique. Chaque jour sur RTL de 20h à 21h et en podcast, Flavie Flament reçoit un acteur de l'actualité et revient avec lui sur une date fondamentale de sa vie.
Le 24 décembre 1994, à Alger, un commando de quatre hommes armés a pris en otage les passagers d'un Airbus d'Air France. Les terroristes réclament la libération de deux prisonniers et veulent partir à Paris. Les forces spéciales algériennes bloquent l'avion et n'ont aucune intention de le laisser partir.
Pendant deux semaines, du 20 novembre au 4 décembre 1979, le lieu le plus saint de l'islam a été investi par des terroristes qui s'étaient enfermés dans l'édifice sacré avec les pèlerins. Christian Prouteau revient sur l'invasion de la Grande Mosquée al-Haram de La Mecque par des islamistes fondamentalistes, opposés à la famille voyage saoudienne. La prise d'otages, qui est intervenu dans un contexte politico-social fragile, dans le monde musulman, a nécéssité, l'intervention du GIGN.
Ce que nous allons vous raconter ce soir est une tragédie. Du sang versé par la France sur l'un de ses territoires : la Nouvelle Calédonie. D'un côté : les indépendantistes kanaks, face à eux l'Etat français et les caldoches, européens de souche qui ne veulent pas laisser partir l'île aux mains de son peuple autochtone. Des années de tension, jusqu'au drame en 1988 : une prise d'otages qui se terminera dans un bain de sang. Jour J, c'est le magazine de l'actualité du temps long. Celle que l'on décrypte et que l'on comprend. Car les évènements d'hier éclairent toujours ceux d'aujourd'hui. Chaque jour sur RTL de 20h à 21h et en podcast, Flavie Flament revient sur un sujet d'actualité. Ecoutez Jour J du 18 mai 2023 avec Flavie Flament.
Ce soir, Jour J vous raconte la prise d'otages de la grotte d'Ouvéa en 1988. Découvrez dès à présent un extrait de l'émission et rendez-vous ce soir à 20h sur RTL pour écouter la suite de ce nouveau numéro de "Jour J". Jour J, c'est le magazine de l'actualité du temps long. Celle que l'on décrypte et que l'on comprend. Car les évènements d'hier éclairent toujours ceux d'aujourd'hui. Chaque jour sur RTL de 20h à 21h et en podcast, Flavie Flament revient sur un sujet d'actualité.
Le samedi 15 mai 1993, un peu après 7 heures du matin, dans cette classe où il est retranché depuis près de 48 heures, le preneur d'otage s'assoupit. Dans sa situation, dormir c'est mourir. Il le sait. Les super flics du RAID n'attendaient que cela. Ils surgissent, trois coups de feu claquent. C'est terminé. Depuis quelques heures, on connaît la signification de ces initiales qui signaient toutes ses lettres : "H.B." pour "Human Bomb". Désormais, la bombe humaine a aussi un nom car il porte sur lui sa carte d'identité : Erick Schmitt. Dans chaque épisode, "Les Voix du crime" donne la parole à un témoin clé d'une affaire criminelle... Mais qui sont celles et ceux qu'ils ont côtoyés ? Celles et ceux qui trouvent leur place dans leur récit ? Toutes les deux semaines, Isabelle Choquet dresse le portrait d'une figure incontournable de ces crimes qui ont marqué l'histoire judiciaire.
Chaque semaine, Haim Musicant nous raconte une histoire d'un personnage historique en relation avec la date du jour. Cette semaine, il nous raconte l'histoire de la prise d'otages à l'aéroport de Lod.
30 ans après la prise d'otages d'une classe de maternelle à Neuilly-sur-Seine, Nicolas Sarkozy raconte au micro de RTL comment il a œuvré pour sauver les enfants et l'institutrice retenus par "Human Bomb".
Le 13 mai 1993, un homme vêtu de noir entre dans une classe de maternelle à Neuilly-sur-Seine, armé d'explosifs. C'est une prise d'otages : au total, 21 écoliers et leur institutrice sont retenus par le forcené, qui communique avec l'extérieur via des écrits menaçants signés "H. B." pour "Human Bomb". Pendant 46 heures, la France retient son souffle : le RAID parviendra-t-il a sauver tous les enfants à temps ? Autour de l'école c'est la pagaille, les parents d'élèves se mêlent aux journalistes à l'affût. Alerté, Nicolas Sarkozy, alors ministre du budget et maire de Neuilly-sur-Seine, se rend sur place en urgence. Nicolas Sarkozy est la voix du crime de cet épisode. Au micro d'Agnès Bonfillon, l'ancien président de la République raconte les 46 heures de négociations pour libérer les enfants et ses face-à-face avec celui qui se fait appeler H.B.
Claude Poirier met un point final au récit sur la tentative de meurtre de Michel Auger par Michel Blass et raconte comment il a appris la mort de ce dernier. Après avoir évoqué la guerre entre les clans criminels, Claude Poirier raconte à Stéphane Berthomet un moment de sa carrière qui l'a beaucoup marqué car il a été le témoin direct de la mort de Robert Brown, l'un des hommes qui avaient kidnappé une jeune femme. Il raconte enfin une prise d'otage terrifiante qui se déroule au sein de l'institut psychiatrique Philippe-Pinel et qui, grâce à lui, se termine bien. Production exécutive : GoScript Média / Société de production QUB radio-NumériQ / Musique : BAM musique / Réalisation : Alexandre Pépin / Mix sonore : Philippe Séguin / Recherchiste : Jean-Baptiste Hervé / Animation et scénarisation : Stéphane Berthomet Crédits photos : David Himbert / Graphisme : Marie-Noëlle WilliamsonPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Catherine Colonna le confirme au journal Le Parisien Dimanche : « deux autres compatriotes (…) sont également détenus » en Iran, ce qui porte à sept le nombre de ressortissants français détenus dans ce pays. Dans ce journal, la ministre des Affaires étrangères demande la « libération immédiate » de ces sept Français ou Franco-Iraniens ainsi que l'accès pour eux à « la protection consulaire ». La chef de la diplomatie française confirme également ce vrai coup de froid diplomatique sur les versants franco-italiens des Alpes résultant de l'accostage en France du navire humanitaire Ocean Viking, l'Italie lui ayant refusé l'accès à ses ports. « Si l'Italie persiste, il y aura des conséquences », prévient Catherine Colonna dans Le Parisien Dimanche. Moi, présidente (Marine Le Pen) À la Une également : Marine Le Pen. Loin de craindre une éventuelle dissolution de l'Assemblée nationale, l'ancienne présidente du Rassemblement national assure ne pas souhaiter être Première ministre. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, Marine Le Pen rappelle qu'elle vise la présidence de la République et qu'elle ne souhaite donc pas « être Première ministre ». Elle, présidente, « n'accepterai(t) pas que ces bateaux de passeurs débarquent des migrants chez nous », déclare encore Marine Le Pen dans Le JDD. Terrorisme, la menace constante Aujourd'hui, 13 novembre, sept ans jour pour jour après les attentats de Paris. Des cérémonies d'hommages à leurs victimes sont prévues ce dimanche. Et pour trois Français sur quatre, la menace terroriste demeure élevée. Selon un sondage Ifop publié par le site du Journal du dimanche, 76 % des Français le pensent, contre 24 % qui pensent le contraire. Des craintes chiffrées « en baisse » depuis novembre 2020 et l'assassinat de Samuel Paty, souligne Le JDD. Les dégâts de la marine Avant-hier, 11 novembre, c'était plutôt l'armistice de la Première Guerre mondiale que la France commémorait… Sondage Odoxa pour Le Figaro à l'appui, nous indiquions alors que l'immense majorité des Français aimaient leur armée. Ceux-là seront probablement consternés de découvrir à quel point les équipements de vie de cette armée tant aimée sont souvent délabrés. Une enquête de L'Express le souligne, « malgré l'augmentation du budget de la Défense, les militaires évoluent dans des conditions de vie et de combat parfois indignes ». Entre autres exemples signalés par le magazine, ce réserviste qui assure que « les chasses d'eau des toilettes du Charles-de-Gaulle sont hors service (…) Un porte-avions nucléaire qui coûte 800 milliards d'euros sans chasse d'eau qui fonctionne, forcément, ça fait bizarre, confie-t-il à L'Express. De quoi faire descendre Mars, dieu de la Guerre, de son paradisiaque Olympe. Nous n'irons pas tous aux paradis Les paradis, justement. Tout va très bien pour eux. « Eux », ce sont, bien entendu, les paradis fiscaux. C'est ce que dénonce Renaud Van Ruymbeke dans l'hebdomadaire L'Obs. Auteur d'un livre « coup de poing », intitulé Offshore, cet ancien juge, spécialiste des dossiers financiers, et qui a notamment instruit les affaires Boulin, Urba, Elf, Kerviel, Karachi, Clearstream ou Cahuzac, y rappelle qu'en septembre 2009, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, annonçait : « Les paradis fiscaux, c'est terminé. » Treize ans plus tard, « les paradis fiscaux n'ont jamais été aussi florissants, se navre Renaud Van Ruymbeke dans ce magazine. Les circuits de blanchiment drainent de plus en plus d'argent. Ils assèchent littéralement les comptes publics de tous les pays. » Dans L'Obs, Renaud Van Ruymbeke signale que l'économiste Gabriel Zucman « évalue à 8 700 milliards de dollars les avoirs cachés via les sociétés offshore. Rendez-vous compte, s'effare l'ancien juge, cette somme correspond à un siècle d'impôts sur le revenu payés par les Français ! C'est tout aussi délirant que scandaleux… » Les « histrions » du climat Eux se scandalisent de la dégradation de l'environnement. « Eux », ce sont les activistes du climat. Le Point, L'Express, Marianne, Valeurs actuelles, Paris Match... C'est à se demander si tous ces hebdomadaires se sont donné le mot pour la hisser en Une, cette nouvelle génération d'activistes climatiques, adeptes de la désobéissance civile, qui multiplient les coups d'éclat ; qui en s'en prenant à des œuvres d'art dans les musées ; qui en bloquant la circulation aux heures de pointe ; qui en dégradant les greens de golfs ou en perturbant les représentations théâtrales... Pour Paris Match, c'est la « génération coup de poing » ; pour Valeurs actuelles, ce sont les « bouffons du climat » ; quant aux « écolos radicaux » de la Une de Marianne ; ils deviennent les « ultra-radicaux » sur celle de l'hebdomadaire Le Point ; tandis que celle de L'Express estime qu'avec de telles actions, l'écologie « se saborde ». Mille sabords !
Celui que JOUR J reçoit ce soir a vu la mort en face à de nombreuses reprises et lorsque l'on lit son livre, elle est moche, la mort. Très moche. Surtout quand elle vient de la main de terroristes, de la kalach de fous fanatiques. Pendant 20 ans au service du RAID, Marc Verillotte a affronté la mort pour sauver des vies. Et tenter de garder la sienne sauve pour continuer à faire le petit déjeuner de ses enfants... Jour J, c'est l'émission des grands entretiens d'actualité internationale, culturelle, économique et politique. Chaque jour sur RTL de 20h à 21h et en podcast, Flavie Flament reçoit un acteur de l'actualité et revient avec lui sur une date fondamentale de sa vie.
Dans le jour où, tous les soirs du lundi au vendredi, le passé éclaire le présent : grâce à ses archives, la rédaction d'Europe 1 fait le récit d'un événement relié à l'actualité.
L'Allemagne commémorera le triste 50e anniversaire de la prise d'otages de Munich, qui avait endeuillé les JO de 1972. Le 5 septembre de cette année-là, le commando palestinien « Septembre noir » a pris en otages un groupe de onze athlètes israéliens, en plein village olympique. Une tache indélébile dans l'histoire olympique et dans celle de la ville bavaroise, pour qui le devoir de mémoire est toujours douloureux, 50 ans après les faits. Une commémoration du 50e anniversaire du drame qui a bien failli ne pas avoir lieu car les familles des victimes menaçaient de boycotter l'évènement. Mais il y a quelques jours, après des décennies de négociations, le gouvernement allemand et les familles des victimes israéliennes sont finalement parvenus à un accord prévoyant une enveloppe d'indemnisation de 28 millions d'euros, en partie versée par la Bavière et la ville de Munich.
L'Allemagne commémorera le triste 50e anniversaire de la prise d'otages de Munich, qui avait endeuillé les JO de 1972. Le 5 septembre de cette année-là, le commando palestinien « Septembre noir » a pris en otages un groupe de onze athlètes israéliens, en plein village olympique. Une tache indélébile dans l'histoire olympique et dans celle de la ville bavaroise, pour qui le devoir de mémoire est toujours douloureux, 50 ans après les faits. Une commémoration du 50e anniversaire du drame qui a bien failli ne pas avoir lieu car les familles des victimes menaçaient de boycotter l'évènement. Mais il y a quelques jours, après des décennies de négociations, le gouvernement allemand et les familles des victimes israéliennes sont finalement parvenus à un accord prévoyant une enveloppe d'indemnisation de 28 millions d'euros, en partie versée par la Bavière et la ville de Munich.
Alors que nous commémorons le 50e anniversaire du massacre des athlètes israéliens aux jeux olympiques de Munich en 1972, je voudrais revenir avec vous sur cette événement funeste par le prisme du cinéma et des séries....
Alors que nous commémorons le 50e anniversaire du massacre des athlètes israéliens aux jeux olympiques de Munich en 1972, je voudrais revenir avec vous sur cette événement funeste par le prisme du cinéma et des séries....
Elle est considérée comme l'une des plus grandes prises d'otages de l'Histoire. Le 1er septembre 2004, un groupe d'une trentaine d'hommes et de femmes envahit une école en pleine fête, dans un petit village du Caucase russe. Au total, 1.128 personnes sont retenues par des séparatistes tchétchènes. Le 3 septembre, deux très fortes explosions éclatent. Le bilan est lourd : près de 331 morts dont 186 enfants sont à déplorer.
La chronique Politique d'Annette Levy-Willard
C'est une journée en apparence banale, une journée comme toutes les autres qui commence pour Laurence, l'institutrice de maternelle de l'école du Commandant Charcot, à Neuilly-sur-Seine. Tous les élèves sont présents, ils sont 21, ont entre 3 et 4 ans, et pour la fête des mères qui aura lieu dans quelques jours, ils ont un atelier pâte à sel ce 13 mai 1993. Il est à peine 9h30 lorsqu'un homme entre dans la salle de classe. Vêtu de noir et cagoulé, il refuse de parler et tend une lettre à l'institutrice : c'est une prise d'otages. Il porte d'une ceinture d'explosifs. Ce soir dans "Jour J" de 20h à 21h retour sur 46 heures interminables qui tiennent la France en haleine. Notre invité sera Laurent Kouchner, réalisateur du documentaire "Human Bomb" et producteur.
Octobre 1973, la France ne le sait pas encore, mais elle vit la fin d'une période d'insouciance que l'on appellera plus tard les 30 glorieuses. Depuis le 6 octobre, la Guerre du Kippour embrase le Moyen-Orient. Le jeune État d'Israël est en guerre contre la Syrie et l'Égypte. Hasard du calendrier, un film s'apprête à faire une entrée fracassante au cinéma, et à exploser les compteurs au box-office. Son titre : "Les aventures de Rabbi Jacob." À la réalisation, Gérard Oury, papa du "Corniaud" et de "La Grande Vadrouille" et en tête d'affiche, son acteur fétiche : Louis de Funès. Ecoutez Jour J avec Flavie Flament du 26 janvier 2022 Texte de Bastien Robin
Par Me Oudy Bloch Lorsqu'un preneur d'otages – musulman en l'espèce – s'attaque à une synagogue, pendant l'office du Shabbat, pour exiger – au milieu de propos antisémites - la libération d'un membre d'Al Qaeda, connu pour un antisémitisme délirant, c'est bien de l'antisémitisme et ce n'est que de l'antisémitisme. Ça l'ait d'autant plus lorsque la prise d'otages a lieu à Colleyville, Texas. Parce que Colleyville, ce n'est pas Brooklyn. Pour trouver des Juifs dans cette petite ville de 22.000 habitants, il faut bien les chercher. C'est ce qu'il s'est passé samedi 15 janvier dernier, à 11h00 du matin. Alors que le caractère antisémite de la prise d'otages semble être une évidence, l'agent du FBI en charge de l'affaire, relayé certains médias, a pourtant déclaré que les faits ne seraient pas directement liés à la communauté juive. Pourquoi ces remises en cause systématiques de la nature antisémite de certains crimes de la part d'une partie de la population ? Décryptage de Me Oudy Bloch
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Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent d'une prise d'otages dans un commerce du 12ème arrondissement de Paris est en cours. Deux personnes sont actuellement séquestrées.
"BFM STORY" du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
À propos du livre : «Les lettres de Yoni Netanyahu: Le commandant de l'Opération Entebbe» paru aux Éditions Independently published - BAAKBOOK Dans la nuit du 3 au 4 juillet 1976, un petit groupe de combattants de Tsahal se met en route à bord de quelques véhicules seulement, vers le vétuste aérogare d'Entebbe. Objectif : libérer plus d'une centaine d'Israéliens détenus en otage par des terroristes arabes et allemands épaulés par des soldats ougandais. Le commandant de l'unité de sauvetage était le lieutenant-colonel Jonathan Nétanyahu, tué lors des combats qui se déroulèrent dans l'aérogare. Quelques heures après le sauvetage des otages, au moment où ceux-ci rentraient en Israël à plus de 4 000 kilomètres de distance, la nouvelle de cette glorieuse opération fut diffusée et le monde entier fut frappé de stupeur. On apprit également la mort de Yoni qui passa d'un anonymat quasi absolu imposé par ses fonctions secrètes dans l'armée, à une notoriété généralisée. Des écoles, des jardins d'enfants et des quartiers portent son nom. Yoni est devenu une gloire nationale pour le peuple juif. Les Lettres de Yoni qui constituent une sorte de journal qui couvrent plus de treizeannées de sa vie, depuis l'époque où il était lycéen aux Etats-Unis jusqu'aux quelquesjours qui précédèrent sa mort en terre ougandaise. Elles sont un témoignage de savie et de ses motivations. Le livre se lit comme un récit passionnant riche en descriptionsde la vie militaire. Il se dégage ainsi une personnalité hors du commun, d'unegrande beauté intérieure. Beaucoup d'amour, beaucoup de patience, de fidélité enversles idéaux qu'il prenait et les valeurs en lesquelles il croyait : l'homme et la nation.« Depuis l'âge de dix-sept ans jusqu'à ce qu'il tombe, en commandantl'opération de sauvetage d'Entebbe, Jonathan Netanyahu écrivit une sériede lettres qui constituent un stupéfiant autoportrait de l'évolution d'unhéros. La correspondance de Yoni est le revers de la médaille du Journal d'Anne Frank - elle, la victime qui garde la tête haute, lui, le combattant intrépide - tous deux témoignant de la grandeur de la nature humaine inextremis. »
Le 24 décembre 1994, à Alger, un commando de quatre hommes armés a pris en otage les passagers d’un Airbus d’Air France. Les terroristes réclament la libération de deux prisonniers et veulent partir à Paris. Les forces spéciales algériennes bloquent l’avion et n’ont aucune intention de le laisser partir…
Quand son mari l'a quittée, Sylvie, 53 ans, n'a pas bronché. Pourtant, la douleur est bien là, qui ravive un traumatisme ancien. Lorsque son patron la met sous pression pour lui faire faire le sale boulot envers ses collègues, Sylvie craque et fait tout voler en éclats. Après une lecture d'extraits d'Otages par la comédienne Camille Kerdellant, Nina Bouraoui évoque l'héroïne de son nouveau roman, une femme qui décide de ne plus subir la loi des hommes. • Nina Bouraoui : Otages (éd. JC Lattès) Jardins d'hiver 2020 Enregistrement : dimanche 9 février 2020 Les Champs Libres | Rennes
Un podcast par Charlotte Giorgi. Faire des grandes études, des grandes écoles, des grands diplômes donne parfois à comprendre pourquoi les ""élites"" nous font foncer droit dans le mur. Derrière des tartines de confiture intellectuelle, on trouve souvent un grand vide poussiéreux. Ça donne envie de partir loin, très loin, là où peut-être on pourrait être vraiment utile. Mais tout ça n'est pas si simple. Bonne écoute. _____________________ Retrouvez tous les textes de Vacarme des Jours sur le site Motus et Langue Pendue en cliquant ici https://motusetlanguependue.wordpress.com Rejoignez-moi sur Instagram juste ici (vdj_podcast) pour le podcast ou (@choo__p) pour retrouver mes autres aventures Explorez tout mon travail en suivant ce lien: https://linktr.ee/charlottegiorgi Si Vacarme des Jours vous plaît, n'hésitez pas à vous abonner pour ne rater aucun épisode, à mettre 5 étoiles si vous écoutez sur un appareil Apple, et à diffuser le podcast autour de vous : c'est un soutien précieux. Merci!
L'otage française Sophie Pétronin vient d'être libérée tandis que la Suissesse Béatrice Stöckli aurait été exécutée. Pourquoi certains otages recouvrent la liberté et d'autres non ? Comment négocie-t-on avec leurs ravisseurs ? L'ex-émissaire de la Suisse, de la France et de l'Espagne en Colombie, Jean-Pierre Gontard, partage ses réponses dans le Point J. Caroline Stevan Réalisation : Rino Muccigrosso Nous écrire : pointj@rts.ch
Le Dé Faussé podcast sur le jeu de société : Zephiriel présente à Alex' le jeu Négociateur Prise d'Otages! Ensemble, en 20 minutes ils explorent le jeu de cette semaine. Après une phase de présentation et une phase de jeu, il est temps de débriefer et de régler les comptes ! Négociateur Prise d'Otages Par A.J. Porfirio Illustré par Kristi Harmon Édité par Don't Panic Games De 1 à 2 joueuses Pour 14 ans et + Pour environ 30 minutes Description : Dans Négociateur Prise d'Otages, vous jouez le rôle d'un agent chargé de négocier la libération des otages retenus par un forcené. Chaque tour dans le jeu représente une conversation entre vous et le preneur d'otage. Vous allez jouer cartes et dés pour augmenter les points de conversation, diminuer le niveau de la menace et finalement libérer les otages. Il y a plusieurs chemins vers la victoire, mais le preneur d'otages a d'autres plans. Voulez-vous essayer de le calmer pour le faire céder? Voulez-vous jouez la montre avant d'envoyer l'équipe d'intervention ? Combien allez-vous sauver d'otages? Toutes décisions a son importance ! Le destin d'innocents est entre vos mains... Négociateur Prise d'Otages est un jeu solo qui peut très facilement être partagé à plusieurs. Présenté par Alex & Zephiriel Twitter @ledefausse Instagram Le Dé Faussé Facebook Le Dé Faussé