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Pour ce dernier épisode de l'année, des membres de l'équipe ont décidé de vous partager ses moments autour de 3 questions : - son meilleur moment de l'année, - son moment le plus difficile, - ce qu'il en a appris et comment il s'en est sorti. Vous allez entendre : Constance, Myriam, Séverine, Armelle, Camille, Sophie P., Valérie, Sandra, Caroline L., Maïta, Marie, Stéphanie R., Agathe, Annick, Stéphanie D., Caroline T.,Agnès, Sophie C. et Delphine. Un florilège d'émotions et de good vibes avant de démarrer 2025. Vous avez aimé cet épisode ? N'hésitez pas à le diffuser autour de vous ! Et si vous avez envie de nous soutenir ou d'être accompagné rendez-vous sur www.laviekintsugi.com Musique @Matt Slowden
This episode is a mess and is lowkey crazyyyyy!
Hi everyone :) Not sure why I went on a tangent talking about my goals I made in December but you are welcome. Also, I am almost done with HIMYM and I just have a few things to say. Love y'all! Sophie P
Nachhaltigkeit erfolgreich umsetzen - mit dem Sustainability Podcast für Leader: Gewinne Zukunft.
In dieser Folge erfährst Du, worauf es ankommt, wenn Du für Dein Unternehmen zum ersten Mal einen CSRD-Report anfertigst. Lerne mit welcher Strategie Du Dich einerseits effizient an die doppelte Wesentlichkeitsanalyse machst und andererseits auch einen prüfsicheren Nachhaltigkeitsbericht nach dem ESRS-Reportingstandard auf die Beine stellst. Podcast-Host Zackes hat extra eine Nachhaltigkeitsexpertin eingeladen, die den Prozess bestens kennt und eine frische Nachhaltigkeitsreferentin, die einen exklusiven Einblick in das Vorgehen ihres Unternehmens gewährt. Elisabeth Kraut ist Gründerin und Gesellschafterin bei 7stepsolution, einer Boutique-Nachhaltigkeitsberatung. Nicht nur begleitet sie zahlreiche Unternehmen bei ihrer Nachhaltigkeitsstrategie, sondern war selbst bereits Sustainability Managerin bei Würth. Von ihr lernst Du: ✅ Warum kann man von den Nachhaltigkeitsberichten der Konkurrenz viel lernen? ✅ Warum sollten Wirtschaftsprüfer von Anfang in den Berichtsprozess involviert sein? ✅ Braucht man für den ersten CSRD-Bericht direkt eine ESG-Software? Sophie Pönitz ist direkt vom dualen Studium in die Rolle der Referentin für nachhaltige Unternehmenentwicklung gesprungen. Und das bei Südhessens größtem Immobiliendienstleister, der bauverein AG. Ihre Aufgabe ist nicht nur die CSRD-Compliance, sondern vor allem auch die strategische Arbeit an Nachhaltigkeit. ✅ Welche Rolle spielt das C-Level für neue Nachhaltigkeitsverantwortliche? ✅ Wie gewinnt man Mitarbeitende anderer Abteilungen für das ESG-Reporting? ✅ Wie groß ist der Unterschied von einem DNK-Bericht zu einem CSRD-Bericht? Zudem hörst Du warum andere Abteilungen wie z.B. die Risikoabteilung oder das Controlling direkt in die ESG-Strategie eingebunden werden sollten. Eine ideale Folge für alle Sustainability Manager, die gerade in großen oder kleinen Unternehmen die Nachhaltigkeitsstrategie auf die Beine stellen und hierfür zuerst die CSRD-Compliance sicherstellen wollen.
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Changement de décor - Sophie Pérez (1ère diffusion : 04/09/2011)
Sophie Pène est une figure du monde académique sur l'innovation numérique. Professeure à l'Université Paris Descartes en sciences de l'information et de la communication, elle est une sociolinguiste spécialiste des pratiques numériques.Ancienne directrice de la Recherche de l'ENSCI-Les Ateliers et commissaire de l'exposition "Le monde sinon rien", Sophie Pène a construit un long compagnonnage avec le design, dont elle est une ambassadrice reconnue. Son enseignement porte sur les littératies numériques, incluant les controverses éducatives autour des données, des algorithmes et des compétences numériques en éducation. Elles a suivi de nombreuses thèses.Sophie Pène travaille dans le champ croisé de la recherche sur les pratiques numériques et les processus d'apprentissage. Elle fait partie de nombreuses instances influentes, telles que le Conseil pour les Générations Futures, le Conseil scientifique de l'Institut Mines Telecom et l'Académie des technologies. Ancienne membre du Conseil National du Numérique, elle a contribué à de nombreuses réflexions sur les politiques publiques numériques.Avec son parcours et son engagement pour l'innovation éducative et numérique, Sophie Pène nous fera découvrir dans ce podcast les enjeux de la recherche et les manières dont elle peut faire progresser le design . --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/nodesignstudio/message
This episode is dedicated in loving memory to Thais America Guirigay Aparicio de Sanguinetti. Thais made her earthly transition after this recording on Friday October 6, 2023.Sophie P. Jupillat Posey was born in Venezuela, adopted by French parents, residing in the United States from three to 28 years of age and now currently residing in Franc. Sophie's life has been as complex and rich as her heritage. Her childhood and teenage years were full of amazing adventures such as raising raccoons, learning dual curriculums at the same time and traveling extensively throughout the US and France. However, those years were full of pain due to psychological and physical abuse. She was exposed to the arts early on; which resulted in her falling in love with writing and music. Sophie went to Rollins College in 2011, and graduated with a Bachelors in English with Honors, as well as minors in both Music and Creative Writing. She started publishing short stories, and her orchestral and piano pieces in literary magazines while she was still in college. She is now an indie author, publishing novels and novellas, in the fantasy and science fiction genres mainly (also some poetry and kid lit). She is also an indie composer and singer-songwriter with three albums in the neoclassical and jazz genres under her belt. She has also scored the soundtracks for a few short films.Sophie is also a teacher with experience teaching Special Ed and ESE students in English and French. Like most things in her life it was a happy accident that led her from doing private tutoring during and after college, to teaching full-time and getting her certifications and Masters in Elementary Education with a focus on Dual Language writer.https://linktr.ee/spjposeyhttps://www.youtube.com/watch?v=WU9l2wYoh_AMusic by Corey Quinn
Omggggg this episode is ALL over the place. I am so sorry. But here is what an average weekend looks like for me
Aujourd'hui on reçoit, Anne-Sophie Pépin, pharmacienne au CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal et représentante de la division Québec de l'organisme Pharmaciens sans frontières (PSF). On discute entre autres de la mission de l'organisme et de leurs missions en cours à l'international. Bonne écoute!Pour rejoindre PSF : https://psfcanada.orgRemerciements : Association étudiante des étudiants en pharmacie de l'Université de Montréal (AÉPUM)Le podcast est présenté par :- PR. com, mieux connu sous le nom de PharmaciensRemplacants.comVous êtes pharmaciens ou vous connaissez une pharmacie ayant besoin des services en remplacement ? Faites confiance à cette équipe professionnelle. Pour plus d'information rendez-vous sur : https://pharmaciensremplacants.com/index.html ou par courriel info@pharmaciensremplacants.com- Question pour un pro est un site web permettant la mise en relation entre un patient et un professionnel de la santé. Vous avez une question en santé ? Rendez-vous sur https://askyourpro.com/fr . C'est simple, gratuit et confidentiel !Si vous êtes un professionnel de la santé Question pour un pro est le bon moyen pour vous d'avoir accès à un plus grand bassin de patients ayant besoin de vos services.- Léa Solutions propulsé par Nora Pharma (entreprise pharmaceutique générique) est une entreprise spécialisée dans le domaine des services professionnels en pharmacie. Ils offrent des services de recrutement de personnels, formations pour le personnel de laboratoire, gestion des réseaux sociaux et bien plus encore. Pour en savoir plus : leasolutions.caPour ne rien manquer, suivez-nous sur Instagram : @enventelibre.podcast https://www.instagram.com/enventelibre.podcast/
OLIVIER DUBOIS : LES COULISSES D'UNE LIBÉRATION ÉTIENNE DIGNAT Chercheur associé au Centre de recherches internationales de Sciences-Po (CERI), auteur de “La Rançon de la terreur : gouverner le marché des otages” A midi aujourd'hui, Olivier Dubois a été accueilli par le président de la République Emmanuel Macron. Ce journaliste indépendant a été libéré hier lundi 20 mars après 711 jours de captivité au Sahel. Il a été enlevé à Gao, dans le nord du Mali, le 8 avril 2021, où il s'était rendu pour interviewer un cadre jihadiste. Olivier Dubois était le seul otage français recensé non retenu par un Etat dans le monde depuis la libération, en octobre 2020, de Sophie Pétronin, également enlevée au Mali. Sur les conditions de sa libération, on ne sait rien d'officiel. “Les choses se sont faites dans le secret de la diplomatie. Il n'y a plus d'ambassadeur officiel de France. Les choses ont dû se jouer sous le manteau, sous la table comme on dit. Visiblement, les autorités nigériennes ont joué un rôle. C'était sur la table depuis octobre dernier. Il semblerait, selon les premiers mots d'Olivier, qu'ils ont pu jouer un rôle”, a déclaré hier Marc de Boni, le porte-parole du Comité de soutien pour la libération d'Olivier Dubois. Hier aussi, l'Américain Jeffery Woodke est lui aussi apparu libre à l'aéroport de Niamey, au Niger, après plus de six ans de captivité. Présent aux côtés d'Olivier Dubois, cet humanitaire chrétien venait en aide aux populations nomades avec une ONG à Abalak au Niger, avant d'être enlevé le 14 octobre 2016 par des groupes jihadistes et conduit au Mali. Étienne Dignat est chercheur associé au Centre de recherches internationales de Sciences-Po (CERI), enseignant en éthique de la guerre. Il a publié le 8 février “La Rançon de la terreur : gouverner le marché des otages” aux Presses universitaires de France. Payer ou ne pas payer une rançon ? C'est la question que se pose Étienne Dignat dans son ouvrage où il propose une réflexion sans tabou sur ce monde méconnu. D'après lui, “en France, on a des ex-otages qui témoignent, des familles, des journalistes. Mais on n'a aucune réflexion qui prend du recul sur la tendance longue, sur les évolutions des prises d'otage, sur ce que nous disent les chiffres, sur les différentes approches”. Étienne Dignat, chercheur associé au Centre de recherches internationales de Sciences-Po (CERI) et auteur de “La Rançon de la terreur : gouverner le marché des otages” aux Presses universitaires de France reviendra sur les différentes approches qui conduisent au dénouement de la libération d'un otage.
Chacun cherche son sens. Dans cet extrait, la psychanalyste Sophie Péters revient sur la mécanique de la perte de sens dans le travail. Pour elle, la perte de sens est à relier à la perspective, au but de son travail dans l'ensemble social et économique et comment on estime y contribuer. Sophie Péters souligne que la définition du sens est très personnelle, elle varie pour chacun d'entre nous. Si vous avez apprécié cet extrait, et voulez en savoir plus sur Sophie Péters, je vous propose d'écouter l'épisode 3 de "Ces voix qu'il faut entendre".Dans cet épisode, nous parlons de la quête de sens dans le travail, de la vague de démissions qui touche certains emplois, du mal-être de la jeunesse dans cette période de pandémie et du "Plaisir d'être soi", l'ouvrage que Sophie Péters a publié aux éditions "J'ai lu." Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi est-il si important de donner du sens aux choses que l'on entreprend ? Que signifie le “plaisir d'être soi” ? Aujourd'hui, j'ai appelé Sophie Péters, elle est psychanalyste, sa voix a animé les nuits de la radio Europe 1, pendant dix ans. Elle écoutait les auditeurs qui se confiaient à elle dans sa libre-antenne. L'écoute, elle en a fait sa mission de vieDans cet épisode, nous parlons de la question du sens dans le travail que se posent tant de Français depuis la pandémie, nous revenons sur le sujet difficile du mal-être de la jeunesse qui gagne dangereusement du terrain.Avec Sophie Péters, je cherche aussi à comprendre sa définition du “plaisir d'être soi” qu'elle nous invite à éprouver. À la fin de l'émission, elle répond à ma question bonus et me parle d'une de ces voix qu'elle nous conseille d'entendre. Je m'appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !POUR ALLER PLUS LOINSophie Péters est l'auteure ‘Du plaisir d'être soi - Petit traité de navigation intérieure' (éditions J'ai lu)À PROPOS Ces voix qu'il faut entendre, c'est un podcast qui donne la parole à ces gens qui nous font réfléchir, nous aident à mieux comprendre le monde et notre époque.Des lanceurs d'alerte, des experts ou de simples témoins avec qui je souhaite dialoguer. Ils nous bousculent parfois, nous surprennent toujours et cela ne laisse jamais indifférent ! Choisissez votre plateforme d'écoute préférée : *Apple Podcasts : https://apple.co/3Bo94YM Acast : https://bit.ly/3bdefjG Deezer : https://bit.ly/3zdWfhc Spotify : https://spoti.fi/3S8Puph *Si vous avez aimé cet épisode, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous ! Cela permet de faire découvrir l'émission et surtout de donner à entendre à votre réseau, ces voix qui y participent ! __Pensez à vous abonner gratuitement pour ne manquer aucun nouvel épisode.https://linktr.ee/cesvoixpodcastÀ bientôt, Simon.Me suivre :https://linktr.ee/simonicard Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Register for the workshop & GET THE REPLAY at this link. Yes, you can get the replay even if you find this link after the workshop took place. You deserve to be entirely in love with your life. That has been my mantra and my North Star ever since I started Codependent Millennial Coaching. So many of our experiences in life make us forget that we do deserve to be in LOVE with our lives. Remember what you know, Sophie. Have you lost the spark, joy, passion, direction, and power in your life? It's time to take it all back. That's what we're going to do tomorrow at 2pm EST. Join us for my Springtime Reset Workshop for only $36. This price is quite frankly nuts, but I like it that way. See you soon. ~Sophie P.S. The only way to get the replay is to register. Trust me; you're going to want the replay.
Die Dramaturginnen und Dramaturgen sind die Denkfabrik des Theaters. Unser Publikum kennt sie von den abendlichen Einführungen vor den Vorstellungen im Foyer, bei denen Andreas Frane, Mirjam Meuser und Sophie Püschel ihnen Konzept und Ideen der Inszenierung, geschichtliche Hintergründe und viel Wissenswertes charmant vermitteln. Doch was genau macht ein Dramaturg eigentlich? Darüber berichten die Kolleginnen und Kollegen der Dramaturgie in der aktuellen Podcastfolge.
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Pascal Praud du 22 novembre 2021 / Jet de bouteille sur le joueur marseillais Dimitri Payet : comment en finir avec ces actes de violence ? Faut-il arrêter automatiquement les matches ? / "La situation très explosive" en Guadeloupe a déclaré Emmanuel Macron / "Qu'elle y reste" : la réaction de Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères, au sujet du retour de Sophie Pétronin au Mali
C'est que le début: le trou de Tolochenaz réveille la jalousie romande pour les Zurichois et leurs trains // Éric Zemmour est-il le bienvenu à Genève? // Après 4 ans de détention, l'ex-otage suisse au Mali y retourne // Sébastien Chadaud-Pétronin, le fils de Sophie Pétronin, témoigne à son retour du Mali // D'Istanbul à Minsk: le périple des migrants piégés par le régime biélorusse // Un hôpital pour animaux sauvages en sursis
En décembre 2016, Sophie Pétronin, une humanitaire française, est enlevée par un groupe terroriste affilié à Al-Qaïda au Mali. Cela fait alors plusieurs années qu'elle vit dans la région. Elle habite dans le nord du pays, et elle a adopté une petite fille. Sophie Pétronin est détenue pendant 4 ans. Le 8 octobre 2020, elle est libérée avec d'autres otages. Elle est rapatriée en France et sur le tarmac, entourée par son fils et ses petits-enfants, elle affirme sa volonté de retourner au Mali, là où elle se sent chez elle. En octobre 2021, les français apprennent que Sophie Pétronin a décidé de repartir au Mali, et qu'elle est installée à Bamako, depuis le mois de mars. Le porte-parole du gouvernement condamne un comportement qu'il juge dangereux, et les commentaires indignés se multiplient. Cet épisode de Code source est raconté par Anthony Fouchard, journaliste et auteur du livre-enquête “Il suffit d'un espoir” (Les Arènes).Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Présentation : Thibault Lambert - Production : Clara Garnier-Amouroux, Raphaël Pueyo et Sarah Hamny- Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : Europe 1, CNews, France 5, France Info, RFI, AFP, TV5 Monde, BFM TV. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Coup de projecteur aujourd'hui sur la française Sophie Pétronin
durée : 00:04:34 - Le mix de l'actualité - par : Claire Servajean - Retour des masques dans les écoles, Sophie Pétronin au Mali... C'est le mix de l'actualité de la semaine. - réalisé par : Violaine BALLET
Chaque matin, Nicolas Beytout analyse l'actualité politique et nous livre son opinion. Ce jeudi 4 novembre, elle revient sur le retour de Sophie Pétronin, ancienne otage de djihadistes au Mali, à Bamako, la capitale du pays.
Ecoutez L'oeil de... avec Philippe Caverivière du 04 novembre 2021
L'ancienne otage française Sophie Pétronin s'est défendue mercredi d'avoir agi de manière irresponsable en retournant au Mali, où elle dit être "chez elle", alors que le gouvernement français a vivement critiqué cette décision.
Ecoutez Le débrief des auditeurs ont la parole avec Laurent Tessier du 03 novembre 2021 / Comprenez-vous le retour de l'ex-otage Sophie Pétronin au Mali ? Pour Théo "c'est une traître". Jean est militaire en exercice : "Si on doit à nouveau risquer des vies pour aller la chercher on le fera" / Prix Goncourt : notre Mr Boobook est-il vraiment un amoureux des livres ? / Une nouvelle rubrique : la question inattendue de Benjamin Sportouch / Après "Pascal Praud chante la Bretagne", le nouveau tube de Julien Courbet.
Avec : Kaouther Ben Mohamed, présidente de l'association "Marseille en colère". Benjamin Cauchy, auto-entrepreneur et ex-gilet jaune. Didier Giraud, agriculteur. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Au programme : Édito de Patrick - Égalité salariale : c'est pas gagné ! Invités : Alice, dessinatrice à Charlie Hebdo, et, Riss, directeur de la rédaction de Charlie Hebdo • Charlie Hebdo et ses drôles de dames • Charlie Hebdo et le combat féministe • Comment Charlie Hebdo s'est féminisé La Story - Des mères de famille se mobilisent pour défendre un policier. Un reportage de Louis Amar et d'Audrey Paillasse. Invités : Thierry Coste, conseiller politique de la Fédération nationale des chasseurs, et, Matthieu Orphelin, député EELV, porte-parole de Yannick Jadot • Élysée 2022 : la chasse dans la ligne de mire • Faut-il interdire la chasse le week-end ? • Peut-on être chasseur et écologiste ? • Faut-il instituer un délit de « chasse en état d'ivresse » ? • Emmanuel Macron, président pro-chasse • Élysée 2022 : la chasse aux électeurs • Le parti animaliste va-t-il trop loin ? Le 5/5 : • Prix Goncourt : le sacre de Mohamed Mbougar Sarr. Un reportage d'Iban Raïs et Anaïs Recouly. • L'ex-otage Sophie Pétronin de retour au Mali • Afghanistan : la famine conduit des familles à vendre leurs enfants, avec Maryse Burgot, grand reporter à France 2 • Éric Adams, deuxième maire afro-américain de New York • Auf Wiedersehen Angela Merkel
L'ex-otage Sophie Pétronin est de retour au Mali où elle a été détenue pendant 4 ans, pour retrouver sa fille adoptive. Entrée illégalement sur le territoire au mépris du danger, cinq mois à peine après avoir été libérée, la travailleuse humanitaire de 76 ans est activement recherchée par la gendarmerie malienne. On vous explique !
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Pascal Praud du 03 novembre 2021 / Comprenez-vous le retour de l'ex-otage Sophie Pétronin au Mali ? / Vive polémique autour d'une campagne européenne célébrant "la liberté dans le hijab" / Le Prix Goncourt / C'est la journée mondiale de la gentillesse
Avec : Kaouther Ben Mohamed, présidente de l'association "Marseille en colère". Benjamin Cauchy, auto-entrepreneur et ex-gilet jaune. Didier Giraud, agriculteur. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
durée : 00:15:29 - Journal de 8 h - L'ex-otage française au Mali Sophie Pétronin est de retour dans le pays. Elle y est entrée de manière irrégulière, révèle la rédaction internationale de Radio France.
durée : 00:15:29 - Journal de 8 h - L'ex-otage française au Mali Sophie Pétronin est de retour dans le pays. Elle y est entrée de manière irrégulière, révèle la rédaction internationale de Radio France.
durée : 00:15:16 - Journal de 22h - Détenue pendant quatre ans par des groupes djihadistes, Sophie Pétronin est retournée au Mali, cinq mois seulement après sa libération en octobre 2020. Les autorités maliennes étaient à sa recherche depuis la semaine dernière.
Sophie Pétronin à nouveau disparue ? L'humanitaire avait été délivrée par la France en octobre 2020 en échange de la libération par le Mali de 200 prisonniers djihadistes… A son retour elle avait parlé d'une retraite spirituelle de quatre ans...Le magazine Marianne est en kiosques chaque vendredi, également disponible en ligne dès le jeudi. "Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti". Albert CamusMarianne TV : https://tv.marianne.net/Marianne.net : https://www.marianne.net/ Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:15:16 - Journal de 22h - Détenue pendant quatre ans par des groupes djihadistes, Sophie Pétronin est retournée au Mali, cinq mois seulement après sa libération en octobre 2020. Les autorités maliennes étaient à sa recherche depuis la semaine dernière.
Vom 21. Oktober bis zum 7. November 2021 nimmt das Theater Heilbronn an dem bundesweiten Theaterprojekt »Kein Schlussstrich!« teil, das sich in künstlerischen und zivilgesellschaftlichen Interventionen mit den Taten des NSU-Komplex beschäftigt. In der heutigen Podcastfolge stellt Katja Schlonski das vielfältige Heilbronner Programm vor – im Gespräch mit Intendant Axel Vornam, und den Dramaturginnen Mirjam Meuser und Sophie Püschel. Natürlich erfahrt ihr auch mehr über das Gesamtprojekt, die Beweggründe »Kein Schlussstrich!« ins Leben zu rufen, über das polytopische Oratorium MANİFEST(O) oder über das große Abschlusskonzert »Auf dem Karussell fahren alle gleich schnell«. Es werden 17 Tage volles Programm, die die Erinnerung und Auseinandersetzung mit den Taten des NSU-Komplex in vielfältigen Formaten wach und in der Diskussion halten werden. Das Heilbronner Programm gibt es hier im Überblick: https://www.theater-heilbronn.de/programm/kein-schlussstrich/termine.php Das bundesweite Programm gibt es unter: https://kein-schlussstrich.de/
Qu'est-ce qu'un laboratoire de biologie ? Un tout petit laboratoire sur papier peut-il être considéré comme un laboratoire ? Une communauté peut-elle « faire laboratoire » ? Marguerite Benony nous invite au cœur de ces questions entre design et ethnographie de sa thèse de doctorat. Dans cette release de CPU : Des objets non qualifiés De jolies boîte de pétri Une discipline à inventer Un manuscrit de thèse soumis Notre invité est Marguerite Benony, chercheuse et designeuse, nous allons discuter des pratiques de design dans les laboratoires de biologie. L'équipe aujourd'hui : Elise Rigot et DaScritch
Avec les archives sonores de RFI et de Radio France, L'Atelier des médias montre le rôle vital qu'a eu la radio pour certains otages et leurs familles. Jean-Paul Kauffmann au Liban, Ingrid Betancourt en Colombie, Olivier Denis et Olivier Frappé au Soudan, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier en Afghanistan, Sophie Pétronin au Mali : toutes et tous ont en commun d'avoir été otages mais ils ont aussi en commun d’avoir pu écouter la radio durant leur captivité. Cette émission a été produite en pensant à chaque instant à Olivier Dubois, journaliste français enlevé le 8 avril 2021 à Gao, au Mali. Dans Mondoblog audio, le blogueur sénégalais Mamadou Magarem Fall explique ce que représente RFI pour lui qui vit au Sahel. Cet Atelier des médias a été diffusé dans le cadre de la Fête de la radio, un événement qui célèbre le centenaire de la première diffusion d’une émission radiophonique, en France, depuis la tour Eiffel.
durée : 00:14:16 - La Fabrique médiatique - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - "Il suffit d'un espoir", une enquête d'Anthony Fouchard aux éditions Les Arènes sur les coulisses de la libération de l'ex-otage française Sophie Pétronin - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Anthony Fouchard journaliste pour RFI et France 24 en Centrafrique
Edith Blais, québécoise de 36 ans, a été pendant 15 mois l'otage de djihadistes au Sahel. Un an après son évasion, elle raconte cette épreuve dans un livre, "Le Sablier" (Éd. de l'Homme). Sa captivité, ses espoirs, sa rencontre avec Sophie Pétronin ou encore sa conversion à l'islam, jusqu'à son évasion, elle se confie dans Paris Direct.
Elle est restée captive trois ans et neuf mois dans le désert. Sophie Pétronin a été libérée, le 8 octobre dernier, avec trois autres captifs, dont l’ancien opposant malien Soumaila Cissé. Son histoire est au centre du livre Il suffit d’un espoir, écrit par le journaliste Anthony Fouchard, ancien correspondant de RFI au Mali. Un livre qui raconte à la fois les 45 mois de captivité de cette septuagénaire et le combat de son fils pour tenter de la faire libérer. RFI : Dans ce livre passionnant, vous racontez avec force détails les trois ans et neuf mois de captivité de Sophie Pétronin. Elle a accepté de se confier à vous, qu’est-ce qu’elle a retenu de cette épreuve ? Anthony Fouchard : C’est assez difficile de dire ce qu’elle a retenu de cette épreuve, en tout cas elle n’a pas de rancœur. Elle n’a pas d’amertume, elle n’a pas de haine… Et c’est cela qui est assez impressionnant, quand on discute et quand on rencontre Sophie Pétronin… C’est près de quatre ans dans les sables et elle n’éprouve aucune colère vis-à-vis de ceux qui l’ont kidnappée, vis-à-vis de ceux, aussi, qui l’ont abandonnée… En tout cas, c’est comme cela qu’elle parle des autorités françaises. Elle est reconnaissante vis-à-vis du gouvernement malien et surtout très impressionnée par le combat de son fils, puisqu’elle a eu vent de tout ce que son fils a fait, ces quatre dernières années, pour la sortir, et cela, c’est ce qui l’a aidée à tenir. En tout cas, c’est ce qu’elle dit. On ne voit pas beaucoup de ses souffrances, dans ce livre. Elle ne parle pas des moments les plus durs, des moments où elle a peur… De cela, elle en parle assez peu, finalement… Mais c’est tout à fait son caractère et j’ai mis un peu de temps à le comprendre. C’est-à-dire que, Sophie, durant toute sa détention, elle ne retient que les petits moments de lumière. En revanche, pour lui soutirer, lui arracher tout ce qui a été dur : les tempêtes de sable, les privations, la chaleur… Tout cela, ce sont des choses qu’elle tait, parce que c’est une vieille femme - 75 ans- qui a de la pudeur, de la retenue… Qui est très malienne, finalement. Après vingt-cinq ans dans ce pays, elle a adopté en tout cas cette retenue et cette façon de taire la souffrance et plutôt de magnifier ce qui lui a permis de tenir, cela a été sa stratégie et c’est ce qu’elle a continué de me donner. C’est-à-dire, les belles choses qui lui ont permis de sortir de là, avec toute sa tête. Il y a plusieurs moments marquants dans sa captivité. Racontez-nous un de ces moments qui vous a marqué… Pour moi, son projet d’évasion est stupéfiant. Parce que, vraiment, quand on voit ce que Sébastien Pétronin -son fils- a fait pour la sortir de là, on se rend compte que la mère c’est pareil. Quand elle prévoit ce plan d’évasion, elle analyse les nuits, elle attend la pleine lune, elle calcule le temps qu’elle aura pour s’échapper du campement, elle essaie de voir comment effacer ses traces laissées derrière elle… Ce n’est pas du tout une évasion à l’emporte-pièce. C’est quelque chose qu’elle a préparé avec Edith Blais -l’otage canadienne- pendant des mois, et qui malheureusement est tombé à l’eau, parce que les ravisseurs la déplacent de campement très régulièrement. Dans ce livre, vous ne faites pas que le récit de ses années de captivité. Vous racontez aussi le combat d’un fils Sébastien Pétronin, qui a -on peut le dire- remué ciel et terre pour tenter de faire libérer sa mère… Oui. Ce qui est inédit, dans cette histoire, c’est que, pour la première fois, l’État français a délégué la gestion d’une affaire d’otage au fils de la victime. Ils ont missionné Sébastien, jusqu’à ce que Sébastien apporte tout ce que Sébastien réussit à nouer comme contacts et jusqu’à ce que ces contacts ne leur conviennent plus. C’est cette rupture de décembre 2018, parce qu’il entre en contact avec l’imam Mahmoud Dicko, un haut prédicateur malien, qui à l’époque est responsable du Haut Conseil islamique, qui fait cette offre de rançon et qui lui dit : « Pour libérer ta mère, Sébastien, c’est un peu moins de 500 000 euros ». Et là, l’État français dit non. L’intermédiaire ne leur convient pas, ils ne croient pas en la fiabilité de la proposition. Et à partir de là, ils interrompent toute collaboration active avec Sébastien. Et il a continué pendant deux ans à mener ses démarches ! Mais seul. Sophie Pétronin est finalement libérée en octobre dernier -vous le disiez- en échange de près de 200 jihadistes et vous racontez une histoire assez incroyable : un de ses ravisseurs a été libéré à ce moment-là en échange… Ce n’est peut-être même pas tant cela le plus incroyable, mais ça vient clôturer en fait. Sophie est enlevée par trois ravisseurs. Deux de ces ravisseurs sont tués lors de différentes opérations et un est arrêté. Pas, parce qu’il est le ravisseur de Sophie. Il est arrêté lors d’une opération assez importante et puis il avoue, lors de son interrogatoire. Et malgré ses aveux, les Français décident de le remettre aux autorités maliennes. Surtout, elles n’avertissent pas le Parquet national antiterroriste et effectivement Hamdi Ould Khalifa, puisque c’est son nom est libéré en échange de Sophie. Certains mots que Sophie Pétronin va prononcer à son arrivée à l’aéroport de Bamako, au moment de sa libération, vont faire polémique. Vous revenez justement sur cet épisode, à la fin de votre livre… Oui, sur les épisodes des polémiques… Parce que, quand on se penche sur l’histoire de Sophie, on relative beaucoup plus. Quand elle dit : « Je veux retourner au Mali », il faut mettre cela en perspective avec ses vingt-cinq années de vie et de travail dans ce pays. Elle a construit sa vie là-bas ! Et elle compte y rester, elle compte y mourir et elle veut, d’ailleurs toujours, continuer de terminer sa vie au Mali. Ensuite, sur ce refus catégorique de qualifier ses ravisseurs de « jihadistes », on est dans une posture d’une femme, encore une fois, qui a travaillé en essayant de ne pas faire de distinction d’ethnies ou de religions, pendant un quart de siècle, et qui, quand elle sort, entre dix-huit caméras, trois avions et quatre ans dans le sable… Eh bien, elle se raccroche à ce qu’elle peut. Donc je ne dis pas que ce sont des paroles précipitées, parce qu’elle les pense et elle les pense toujours. Mais en tout cas, ce livre essaie de les expliquer et de les nuancer, parce que, ce serait trop simple d’essayer de résumer cette histoire de manière manichéenne en fait. Dans votre livre, on voit apparaître à un moment Olivier Dubois, ce journaliste français qui est retenu en otage depuis maintenant plusieurs semaines. Alors, s’il nous entend qu’il sache qu’on ne l’oublie pas. Non, personne ne l’oublie, ni ses collègues ni ses proches. Et s’il est encore bon de le préciser, Olivier ne faisait que son travail. Il n’a fait que son travail depuis plusieurs années, au Mali, et il continuait de le faire lorsqu’il est monté à Gao pour ce reportage. C’est quelqu’un d’expérimenté, de professionnel… Et moi, je lui souhaite la même issue que pour Sophie, c’est à dire, que ce soit positif et qu’il puisse sortir le plus rapidement possible. Le livre Il suffit d'un espoir est paru le 20 mai 2021 aux éditions Les Arènes.
durée : 00:40:00 - Un Jour dans le monde - Ancien correspondant au Mali, Anthony Fouchard signe "Il suffit d'un espoir" aux éditions Les Arènes. Une enquête sur la libération de l'ex-otage française Sophie Pétronin, libérée en octobre 2020 après avoir été retenue plus de trois ans par un groupe djihadiste au Mali.
durée : 00:40:00 - Un Jour dans le monde - Ancien correspondant au Mali, Anthony Fouchard signe "Il suffit d'un espoir" aux éditions Les Arènes. Une enquête sur la libération de l'ex-otage française Sophie Pétronin, libérée en octobre 2020 après avoir été retenue plus de trois ans par un groupe djihadiste au Mali.
J'aurais aimé vous servir un dimanche matin douceur mais les hebdos en ont décidé autrement. Il y a tout d'abord les violences faites aux femmes. « Ça suffit ! », crie la Une du Parisien Aujourd'hui En France Week-end, qui nous livre l'interview de Valérie Bacot. Son histoire, très médiatisée, est celle d'une femme de 40 ans qui « risque la prison à perpétuité pour avoir abattu, en 2016, son ex-beau-père devenu son mari. Un pervers manipulateur qui l'a violée dès ses 12 ans, et avec lequel elle aura quatre enfants », nous dit Aujourd'hui en France. Il la battait, la prostituait. Valérie Bacot publie un livre témoignage : « J'étais un objet qui lui appartenait », raconte-elle. Son procès s'ouvrira le 21 juin. « Elle s'appelait Chahinez », affiche également Aujourd'hui en France. Le magazine revient sur un sinistre fait divers. « Le 4 mai dernier, cette mère de trois enfants a été brûlée vive par son mari, près de chez elle en Gironde. Déjà condamné pour violences conjugales, l'homme n'avait pourtant pas le droit de l'approcher », apprend-on. C'est le 39e féminicide en France depuis janvier. Des faits divers omniprésents dans le débat public On parle de la problématique sécuritaire dans son ensemble, peut-être un peu trop présente, voire carrément surreprésentée selon certains. « Violence, vous avez dit violence ? », c'est même « l'hyperviolence », souligne Marianne. « Les spécialistes se déchirent » depuis des années. « Deux camps s'opposent pour savoir si, oui ou non, une hausse réelle est enregistrée » dans notre pays, explique l'hebdomadaire. Mais entre surmédiatisation, récupération politique de tout bord et avis d'experts divergents, une chose est sûre en tout cas pour Marianne : même si cela ne se vérifie pas toujours dans les statistiques : les Français ont le sentiment que la violence augmente. Forcément, « les images se bousculent à un rythme accéléré, elles s'empilent. Puis s'effacent », lit-on. « Qui se souvient encore, nous demande l'hebdomadaire, de ce maire de Signes, abattu en août 2019 parce qu'il tentait de s'opposer à une décharge sauvage sur sa commune ? Qui sait qui est Paul Voise, un retraité tabassé par des cambrioleurs en 2002 ? Le nom de Stéphanie Monfermé, égorgée dans le sas du commissariat de Rambouillet il y a à peine un mois s'estompe déjà », déplore Marianne. Et cette semaine, c'était donc la mort de Chahinez et celle d'un policier, « abattu en plein Avignon », qui ont « bouleversé la France ». Pendant ce temps, avec le discours sécuritaire justement - cause ou conséquence -, dans Le Point, le politologue Dominique Reynié, professeur à Sciences Po, directeur de la Fondapol et ancien candidat de l'UMP aux Régionales en 2015 constate que « la droitisation des idées est un mouvement profond » dans notre société. Et pour lui, cette poussée des valeurs de droite « est une réalité non seulement française, mais européenne ». La violence des fins de vie difficiles face au droit de mourir dignement C'est un débat éminemment d'actualité là-aussi, qui touche à la morale et à l'éthique : le droit à l'euthanasie. L'Obs apporte sa pierre à l'édifice avec le témoignage de Nicolas Bedos, le fils de l'humoriste aujourd'hui décédé. « Mon père voulait mourir autrement », explique-t-il dans un texte rédigé de sa plume. À lire pour mieux comprendre, « le choix de Joseph », ce reportage photo vraiment saisissant et rare. « Joseph habitait dans le massif du Vercors. Atteint d'une maladie dégénérative, il a décidé de mourir en Suisse le jour de son 72e anniversaire le 20 août 2020 ». L'Obs a suivi ses derniers jours. La dernière fête entre amis, le voyage avec ses proches, l'ingestion des barbituriques mortels, et puis le dernier souffle entouré de sa femme et ses deux fils. Cependant, Joseph est parti heureux. Il a pu regarder, une dernière fois, le film Les Invasions Barbares, souligne L'Obs, probablement son préféré. Il a même pu revoir avant de partir le sommet de la colline sur laquelle son père l'emmenait cueillir des morilles quand il était enfant. Joseph est mort, et c'était son choix. Les vivants privés de choix Comment ne pas avoir de pensées pour notre confrère Olivier Dubois, otage des jihadistes au Sahel. Le Point, l’un de ses employeurs, lui adresse cette semaine les siennes. S’il nous écoute comme Sophie Pétronin ou Ingrid Betancourt en leur temps – et nous espérons qu’il nous écoute – nous nous joignons au Point pour lui apporter notre soutien. Comment ne pas avoir un mot également pour Véronique Roche et Véronique Pénotet ? M, le magazine du Monde nous les présente. Deux inconnues qui, à force de courage et d'abnégation ont vaincu leur addiction aux opioïdes. Mais combien d'autres encore pris dans les filets médicamenteux des anti-douleurs, du tramadol de l'oxycodine et autres fentanyl ? C'est « un cauchemar sur ordonnance », écrit Le Magazine du Monde. « Après les États-Unis », c'est désormais « un mal français », affiche-t-il en Une. Comment ne pas parler, enfin, de la violence sociale et économique que vivent de nombreux étrangers en France. L'Express nous décrit « la grande hypocrisie » qui règne autour de l'immigration de travail. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : l'année passée, 220 000 titres de séjours ont été délivrés contre un maigre total de 27 000 visas de travail. Quant aux autres ? Un grand nombre se retrouvent coincés « dans des situations précaires, à la merci d'employeurs parfois peu scrupuleux » ou de l'administration. « Les difficultés ont beau être connues, rien n'évolue », par « peur de l'opinion publique », observe L'Express sur un sujet politiquement délicat. En somme : courage, fuyons ! Physique, morale, sociale… Oui, il y a beaucoup trop de violence dans la presse cette semaine.
Minter Dialogue sur les marques et le marketing digital (minterdial.fr)
Minter Dialogue Episode #115Sophie Péters est psycho-practicienne, thérapeute systémique, consultante en entreprise, en plus d'être une journaliste, animatrice pendant plus de 10 ans sur Europe 1, chroniqueuse au Monde et auteur, dont Du Plaisir d'Etre Soi, paru en 2015 aux nouvelles éditions François Bourin. Dans cette conversation, nous discutons du plaisir, les voies pour se donner un sens et être soi-même, et cela au travail. On décortique pourquoi la performance est une valeur factice et bien d'autres sujets essentiels pour le bien-être en entreprise.Si vous avez des commentaires ou questions, merci des les envoyer pour courriel à nminterdial@gmail.com. Et si le podcast vous a plu, merci de prendre quelques instants pour laisser une revue/notation sur Apple Podcast. Sinon, vous pourrez me trouver @mdial ou en VF @mdialFR sur Twitter.
Combien de temps l'armée française doit-elle encore rester au Sahel ? Cette question sera au cœur du débat public qui se tiendra ce mardi 9 février au Sénat français, en présence des ministres français de la Défense et des Affaires étrangères. À l'origine de ce débat, il y a le sénateur Les Républicains (LR), Christian Cambon, qui préside - à la Chambre haute - la commission des Affaires étrangères, de la défense et des forces armées. Partir ? Rester ? Il donne son point de vue au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous aimez citer cette formule d’un officier français : « Les opérations militaires extérieures, c’est comme les autoroutes. À un moment, il faut trouver la bonne sortie ». Est-ce que la sortie du Sahel, c’est maintenant ? Christian Cambon : Non, je ne pense pas. Je ne crois pas qu’on a encore trouvé la bonne sortie, parce que la présence de nos forces est encore nécessaire, parce que la situation militaire et politique au Mali ne permet pas d’envisager ce départ, même si, à un terme que nous espérons rapproché, cette solution viendra inévitablement. Janvier 2013-février 2021, voilà huit ans que les soldats français opèrent au Sahel et le bilan s’alourdit, 50 morts. Au début, l’opinion française soutenait massivement cette intervention, mais est-ce qu’elle n’est pas en train de se retourner ? Effectivement, c’est un souci que nous avons perçu. Un certain nombre de sondages ont montré l’effet d’émotion que provoquent naturellement les décès tragiques d’un certain nombre de soldats, que nous avons enregistrés. Cela dit, si au Mali s’était installé un califat ou un État utilisant les méthodes terroristes, nous aurions de très grandes craintes aujourd’hui pour un certain nombre de pays du Maghreb. Et les pays du Maghreb, c’est juste la frontière sud de la France, de l’autre côté de la Méditerranée. Et vous, en tant qu’élu du peuple, peut-on dire que vous êtes écartelé entre l’opinion publique qui voudrait que les soldats rentrent et les sécurocrates qui voudraient que les soldats restent ? Faire rentrer les soldats aujourd’hui serait le type même de la fausse bonne solution, puisqu’immédiatement, on déstabiliserait ce pays et on en reviendrait à ce qui s’était passé il y a huit ans. Je vous le rappelle, les jihadistes étaient à 80 kilomètres de Bamako. Je crois que ce qui est important que les gens comprennent, c’est qu’il faut maintenant qu’il y ait une solution politique, car vous pouvez mettre 5 000, 10 000, 50 000 hommes, vous n’y arriverez pas s’il n’y a pas la volonté politique de faire renaître l’État au Mali. Il faut que ce pays se réconcilie et, à ce moment-là, on aura réuni les conditions pour faire partir nos soldats. Par ailleurs, le Parlement va bien sûr insister sur les conditions de sécurité qui doivent être données à nos soldats. Il faut renforcer les blindages, il faut ne les exposer que dans les conditions les plus sûres de sécurité. Cela, c’est au Parlement de le dire. Il y a trois ans, en février 2018, devant vos collègues de l’Assemblée nationale, le chef d’État-major français, le général François Lecointre, a eu cette phrase : « Je ne pense pas qu’il soit possible de régler le problème au Mali en moins de 10 ou 15 ans ». Sous-entendu, les troupes françaises vont peut-être devoir y rester jusqu’en 2028 ou en 2033… Ce n’est pas le rôle de la France de jouer les gendarmes, mais nous conduisons cette action qui est nécessaire encore une fois pour la stabilité de l’Afrique. Et vous qui allez régulièrement sur le terrain au Sahel, sentez-vous monter un sentiment anti-Français ? Non. Je pense qu’il y a des forces, y compris étrangères, qui essayent de susciter cette réaction contre la présence française. Vous parlez de la Russie ou de la Turquie… C’est vous qui le dites (rires). Donc, je crois effectivement qu’il y a un certain nombre de gens qui ne nous veulent pas que du bien pour des raisons d’implantation dans ces pays. Ils souhaitent étendre leurs réseaux, c’est leur affaire. Mais, d’une manière générale, je pense que la population a bien compris l’aide que nous tentions de leur apporter pour refaire naître un peu plus de sécurité. Mais à force de rester, les Français ne risquent-ils pas d’apparaître comme une force d’occupation ? C’est le danger, c’est justement ce pourquoi nous plaidons pour qu’une solution politique émerge le plus vite possible pour que nous n’ayons pas justement à rester jusqu’en 2028 ou en 2030, ce qui n’est le souhait de personne. Vous parliez d’une politique nécessaire. En octobre 2020, après la libération des otages Soumaïla Cissé, le chef de l'opposition malienne enlevé en mars 2020, et Sophie Pétronin, l'humanitaire française kidnappée en 2016, vous vous êtes inquiétés de la contrepartie, à savoir la libération de plus de 200 jihadistes maliens. Qu’avez-vous pensé de la déclaration de Sophie Pétronin qui qualifiait ses ravisseurs jihadistes de combattants comme les autres ? J’ai été assez choqué, je dois le dire. J’ai été choqué par cette déclaration, de même que j’ai été choqué par le fait qu’à peine ayant touché le sol français, elle ait manifesté l’intention d’y retourner. Moi, je sais simplement que lorsqu’il y a des otages, il y en a eu par le passé, nos forces se sont beaucoup exposées pour libérer ces femmes et ces hommes qui avaient été pris. Nous avons eu du reste des pertes très lourdes et très douloureuses. Et donc, ses paroles ont été blessantes et douloureuses pour nous. Il y a l’action politique, il y a aussi l’action économique. Pensez-vous qu’au Sahel, et notamment au Mali, l’Agence française de développement (AFD) en fait assez ? Non. Nous pensons qu’elle pourrait faire mieux. Il y a déjà beaucoup de choses qui sont faites, mais nous pensons qu’il faudrait dépenser peut-être plus, mais sûrement mieux. C’est le rôle du Parlement de signaler ce souci et je crois que nous commençons à être entendus. Et des annonces vont être faites peut-être au cours de ce débat [parlementaire] et peut-être à Ndjamena [au G5 du 15 février] par le ministre et par le président de la République. C’est comme un petit plan Marshall qu’il faudrait faire pour ces Etats, parce qu, sans cela, ils ne vont jamais s’en sortir, et les guérillas et le terrorisme demeureront. Pensez-vous que l’Agence française de développement devrait donner moins à d’autres pays et plus aux pays du Sahel ? Nous pensons effectivement qu’il faut mieux équilibrer, c’est en cours, la répartition des aides entre 19 pays les plus pauvres et les pays qui sont sur la voie du développement. Et c’est aussi assurer notre propre sécurité que d’aider ces pays à se sortir de la pauvreté et du sous-développement.
Dan, Bill and Maddie talk about their holidays and discuss Skills Ontario programs and initiatives for January 2021. Dan welcomes Gold Partner Fix Auto to the podcast and sits with Rob Blenkarn, Owner of Fix Auto Brockville, to discuss Rob's pathway into becoming an Auto Body Technician. Dan also speaks with Sophie Pépin, National Training Manager for Fix Auto, to discuss various training opportunities with Fix Auto.
Sophie Pétronin, otage au Sahel, a été libérée le 15 octobre 2020. Son fils, Sébastien Chadaud Pétronin a lutté 4 ans pour sa libération. Il parle des retrouvailles avec sa mère au micro de Gabrielle Desarzens et revient notamment sur la conversion de celle-ci à lʹislam et sur le décès présumé de la Suissesse Béatrice Stockly. Nouvelle diffusion de l'émission du 25.10.2020
Ses militants l’appelaient « Soumi ». Il avait été libéré en octobre dernier en même temps que l’humanitaire française Sophie Pétronin. Il était présenté comme le plus sérieux prétendant à la magistrature suprême lors de la future élection présidentielle attendue en 2022 au Mali. Il avait 71 ans. Ses dernières confidences à la presse seront en kiosque dans six jours, le 31 décembre, et elles seront à lire dans le trimestriel La Revue. « Être libre est un privilège. Je l’ignorais. Maintenant, je le sais », dit Soumaïla Cissé à ce magazine, dans lequel l’ex-otage raconte les tribulations du captif des jihadistes qu’il fut dans les sables, du 25 mars au 8 octobre derniers, et dit sa volonté de « se remettre à jour » politiquement dans la perspective de ladite élection présidentielle annoncée pour 2022 par la junte militaire au pouvoir à Bamako, énonce La Revue… « Cette épreuve ne m’a pas domestiqué, elle m’a renforcé. Sans doute fallait-il que je la vive pour savoir que j’étais vraiment capable d’être un homme libre », disait-il encore à ce magazine, en évoquant poétiquement la beauté « sublime dans le désert » de la voûte céleste qu’il contemplait durant ses nuits de captif à la belle étoile… Ses ravisseurs n’ont pas eu raison de lui. Un certain virus, si. Le coronavirus, justement. Tandis que la souche découverte en Angleterre vient d’être détectée en France, une nouvelle variante sud-africaine a été repérée. Elle aussi préoccupe les chercheurs C’est dans la bonne ville de Tours, centre-ouest de la France que, pour la première fois, vient en effet d’être repérée la souche - disons « britannique » - du coronavirus, chez un patient résidant en Angleterre. Quant à la nouvelle variante du virus en provenance d'Afrique du Sud, elle « est soupçonnée de causer des formes graves chez les jeunes adultes », pointe Le Parisien. Et ce quotidien le remarque, si le virus de type sud-africain « pose question », c'est qu'il est du genre « conquérant ». Comme l’a récemment souligné un scientifique sud-africain de l'Université du KwaZulu-Natal, « jamais nous n'avions vu une seule lignée dominer ainsi », ni « se répandre aussi vite (…) Deux mois, c'est ce qui lui a suffi pour supplanter toutes les autres souches en circulation »,rapporte encore Le Parisien. Une belle histoire pour se remonter le moral en ces fêtes de Noël, un épisode de la Bible même, celui qui a fait entrer Salomé dans l’Histoire : la cour du trône d'Hérode a été retrouvée. Or c’est là qu’en dansant pour le roi, la fille d’Hérodiade aurait demandé (et obtenu) la tête de Saint-Jean-Baptiste ! Bienvenue en Jordanie, sur un piton au sommet d'une immense falaise surplombant la mer Morte. C’est là qu’il y a plus de deux mille ans, a été érigé le palais du tétrarque Hérode Antipas, au cœur de la forteresse de Macheronte. Fouillant les vestiges, une équipe hongroise d’archéologues a découvert la salle du trône. « Une cour de près de 650 mètres carrés bordée par un péristyle, raconte Le Figaro. Dans un coin de cet espace, une niche semi-circulaire : un espace pour un trône, peut-être celui d'Hérode le Grand ou de son fils Hérode Antipas.» Foi d’archéologues (et du Figaro), c’est là que « plusieurs épisodes majeurs de la Bible et des temps bibliques se seraient déroulés ». Selon les Saintes Écritures, Salomé, fille de la princesse Hérodiade, « subjugue Hérode en dansant pour lui » (et les artistes qui s’empareront de cet épisode inouï de la Bible imaginerons la fameuse Danse des sept voiles de Salomé). « Demande-moi ce que tu voudras… Ce que tu me demanderas, je te le donnerai, fût-ce la moitié de mon royaume », lui dit alors le roi (qui avait manifestement perdu la tête). Ce que demande Salomé ? Justement. Rien moins que « la tête de Jean le Baptiste »,rappelle Le Figaro, en évoquant le prophète qui, selon la Sainte Bible, avait lui-même baptisé le Christ dans les eaux du Jourdain ! Sa tête servie sur un plateau ? Ça n'est plus de la danse, c'est de l’outrecuidance…
“Europeus metem o Reino Unido de quarentena” é a manchete de Le Figaro que ecoa com as primeiras páginas dos diários franceses. “Numa altura em que a Europa se prepara para autorizar a primeira vacina anti-covid, uma mutação do vírus obriga Londres a novo confinamento e o continente a suspender as ligações com a Grã-Bretanha”, resume Le Figaro. “Vacinação e mutação: a corrida a contra-relógio” é o título de capa do Libération, acompanhado pela frase “A Europa deve validar a vacina Pfizer esta segunda-feira, mas uma variante britânica do vírus está a assustar os estados-membros, nomeadamente a França que acaba de fechar a fronteira com o Reino Unido por, pelo menos, 48 horas. O diário explica que “a agência europeia dos medicamentos deverá hoje autorizar a comercialização da vacina Pfizer-BioNtech e que a França prevê lançar a campanha de vacinação a 27 de Dezembro. As pessoas que estão nos lares são a prioridade do executivo, mas as problemáticas da distribuição e armazenamento são muito complexas.” Em chamada de primeira página, Aujourd’hui en France avisa que a Grã-Bretanha está cortada do mundo. Nas páginas interiores, pode ler-se que “os europeus estão a isolar-se dos ingleses” porque preocupados com o aparecimento de uma nova estirpe da Covid, aparentemente mais contagiosa, vários países europeus, incluindo a França, decidiram fechar provisoriamente as fronteiras. O diário avisa ainda que devido à Covid-19, “ a incerteza está a afundar a moral dos franceses”, com uma crise que não acaba, perda de relações sociais, ou seja, efeitos pesados sobre o estado psicológico e “um mal invisível que preocupa os profissionais de saúde”. Le Monde resume que no Reino Unido, a mutação do coronavírus conclui um ano catastrófico e questiona se não se deveriam adoptar medidas de confinamento mais drásticas em França. A manchete do Aujourd’hui en France é o plano do ministro do Interior Gérald Darmanin para desmantelar o tráfico de droga. O ministro revela a lista dos locais de revenda de droga e promete comunicar mensalmente sobre o seu fecho. L’Humanité chama à capa o resgate de refugiados no Mediterrâneo, com uma reportagem a acompanhar pilotos voluntários que ajudam a salvar pessoas que saíram da Líbia a bordo de barcos pneumáticos através dos voos de observação. O Libération publica, ainda, uma entrevista ao deputado maliano Ahmada Ag Bibi que fala, pela primeira vez, sobre a troca de prisioneiros e as condições para a libertação da refém francesa Sophie Pétronin e de três outros reféns. La Croix fala nas “tensões a uma semana das eleições na Republica Centro-Africana”. “O antigo Presidente François Bozizé é acusado de estar a fomentar um golpe de Estado” e “a oposição pede o adiamento das eleições”. Na cultura, o Libération publica uma entrevista exclusiva ao romancista japonês Haruki Murakami, que chama para a primeira página, enquanto L’Humanité destaca o espectáculo “Fado na veias” descrito como “um poema-odisseia sobre o exílio português cujo eco impressiona”. O espectáculo é da criadora Nadège Prugnard e conta, entre outros, com a cantora e compositora de fado Carina Salvado. Algo para ver de 18 a 23 de Janeiro na região de Paris e de Fevereiro a Abril em digressão pela França. La Croix faz manchete com os avanços na Igreja de Notre-Dame de Paris, cujas obras de restauro depois do incêndio vão avançar em 2021 depois de se ter garantido a segurança no estaleiro. No desporto, o destaque do L’Équipe é o empate do Lille com o PSG na primeira liga francesa de futebol, assim como a derrota da selecção francesa de andebol na final do campeonato da Europa por 20-22 contra a Noruega, perdendo o seu título de campeãs europeias.
Dans cet épisode spécial de L'ENVOL, deux experts, Sophie Péters et Matthieu Dardaillon, répondent aux questions de candidats au changement de vie.