Podcasts about france amf

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radio-immo.fr, l'information immobilière
la taxe d'habitation : pourquoi l'idée d'un nouvel impôt local fait débat ? - A la Une des Quatre Colonnes

radio-immo.fr, l'information immobilière

Play Episode Listen Later May 2, 2025 8:47


Après le débat sur la fin de l'abattement de 10 % sur les retraites, en voici un autre cette semaine : la taxe d'habitation. Le ministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation François Rebsamen a lancé dimanche un nouveau ballon d'essai fiscal, au risque de brouiller complètement son message. Christine Lavarde, sénatrice LR des Hauts—de-Seine de Boulogne partage sur Radio Immo son analyse sur la taxe d'habitation, un sujet pour elle « kafkaïen ». De son côté, Emmanuel Sallaberry, maire de Talence (Gironde, 45 000 habitants) et co-président de la commission des finances de l'Association des maires de France (AMF) réagit.

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la taxe d'habitation : pourquoi l'idée d'un nouvel impôt local fait débat ? - A la Une des Quatre Colonnes

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Play Episode Listen Later May 2, 2025 8:47


Après le débat sur la fin de l'abattement de 10 % sur les retraites, en voici un autre cette semaine : la taxe d'habitation. Le ministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation François Rebsamen a lancé dimanche un nouveau ballon d'essai fiscal, au risque de brouiller complètement son message. Christine Lavarde, sénatrice LR des Hauts—de-Seine de Boulogne partage sur Radio Immo son analyse sur la taxe d'habitation, un sujet pour elle « kafkaïen ». De son côté, Emmanuel Sallaberry, maire de Talence (Gironde, 45 000 habitants) et co-président de la commission des finances de l'Association des maires de France (AMF) réagit.

RTL Matin
NIDS DE POULE - Sylvain Laval, le co-président de la commission transport à l'AMF, est l'invité de RTL Soir

RTL Matin

Play Episode Listen Later Apr 23, 2025 8:14


Les communes et leurs intercommunalités n'ont plus les moyens d'entretenir les 717.000 kilomètres de routes dont elles ont la charge, alors que leur coût d'entretien augmente, notamment du fait du dérèglement climatique, a alerté mardi l'Association des maires de France (AMF). Écoutez Sylvain Laval, co-président de la commission transport à l'AMF et maire de Saint-Martin-le-Vinoux (38) pour tout comprendre. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 23 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
NIDS DE POULE - Sylvain Laval, le co-président de la commission transport à l'AMF, est l'invité de RTL Soir

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Apr 23, 2025 8:14


Les communes et leurs intercommunalités n'ont plus les moyens d'entretenir les 717.000 kilomètres de routes dont elles ont la charge, alors que leur coût d'entretien augmente, notamment du fait du dérèglement climatique, a alerté mardi l'Association des maires de France (AMF). Écoutez Sylvain Laval, co-président de la commission transport à l'AMF et maire de Saint-Martin-le-Vinoux (38) pour tout comprendre. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 23 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage France
Une ambulance ukrainienne mitraillée fait le tour de la France

Reportage France

Play Episode Listen Later Jan 28, 2025 2:34


L'Ambulance Mitraillée France (AMF) est un projet humanitaire qui rassemble plus de 45 associations dont l'ONG Pharmaciens sans frontières. En septembre 2022, une ambulance ukrainienne dans la région de Kharkiv est prise pour cible par la Russie. Tout un symbole pour cette opération qui permet de ne pas oublier les atrocités de cette guerre qui dure depuis trois ans. Pendant deux jours, ce véhicule inattendu a fait escale sur la place du marché à Sucy-en-Brie en banlieue parisienne. Patrick Angelvy est secrétaire général de l'ONG Pharmaciens sans frontières dans le Val-de-Marne. « "Slava Oukraïni", ça veut dire "Gloire à l'Ukraine !", et les gens répondent "Heroïam slava !" ou "Héros, la gloire !", et ça montre un petit peu leur résistance et leur courage ».Résister et surtout ne pas les oublierC'est le message porté par cette ambulance qui sillonne l'Europe. Pour Patrick Angelvy c'est un témoin précieux : « Quand on voit un trou, deux trous de balle, trois impacts de balle. On peut toujours dire que ce sont des balles perdues. Là, quand il y en a, je crois, 402, on peut quand même comprendre la façon dont Monsieur Poutine lit la Convention de Genève, qui indique qu'on ne tire pas sur les ambulances. Et en même temps, cette ambulance, c'est le symbole de la résistance et le symbole du courage ukrainien. Je veux dire que cette ambulance ne parle pas, et pourtant, elle nous interpelle. Cette ambulance, c'est un véritable cri silencieux qu'elle nous lance pour nous interpeller sur le drame que vivent ces gens. À moins de deux heures d'avion de chez nous, ce n'est pas acceptable, et ça nous permet, en montrant ce qui se passe, de pouvoir lever des fonds pour acheter plus d'ambulances ». À écouter aussiGuerre en Ukraine: sur la ligne de front, des opérations d'évacuation pour les civils prochesUn spectacle qui ne laisse personne indifférentSur la place du marché, certains s'arrêtent, observent, et ont du mal à trouver les mots : « Quand je l'ai vue et que j'ai pu toucher les impacts des balles, c'est assez effrayant. Vous voyez, c'est une expérience malheureuse, mais indispensable pour les gens qui vivent loin de la guerre et des atrocités ». À quelques mètres de l'ambulance, un petit groupe d'Ukrainiens, collectent de l'argent pour financer de nouveaux véhicules de secours. Elisabeth fait partie des 50 familles qui ont été hébergées à Sucy-en-Brie au tout début de la guerre. Aujourd'hui, elle étudie à la Sorbonne. « Mon appartement est bombardé, donc je ne peux pas y retourner, et pour le moment, je suis en France, je suis à l'université et je reste ici. J'apprends la langue, et je vois mon avenir aussi en France ».Après des escales dans plusieurs villes de France, l'ambulance mitraillée repartira en avril en Espagne.À lire aussiDonald Trump parviendra-t-il à arracher la paix en Ukraine ?

C à vous
L'intégrale de C à Vous - 21/11/24

C à vous

Play Episode Listen Later Nov 21, 2024 51:46


Nos invités du jeudi 21 novembre 2024 : David Lisnard, président de l'Association des maires de France (AMF), maire LR de Cannes au sujet de l'opposition des maires de France avec le gouvernement entendue lors du congrès des maires de France. Géraldine Woessner, rédactrice en chef Environnement au Point pour évoquer la colère des agriculteurs, les pesticides… On évoquera aussi avec elle le dernier sondage sur l'antisémitisme. Elle publie "Les illusionnistes", une enquête sur les dérives de l'écologie politique chez Robert Laffont.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, La story de Mohamed Bouhafsi, Le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

C à vous
Les maires de France en colère!

C à vous

Play Episode Listen Later Nov 21, 2024 13:37


Clôture du congrès des maires, coupes budgétaires, censure du gouvernement, …David Lisnard, président de l'Association des maires de France (AMF), maire LR de Cannes.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Au Poste
Doléances! - S08E39 - 13 novembre 2024

Au Poste

Play Episode Listen Later Nov 15, 2024 112:29


Pour ce nouvel épisode du Passé faisons table basse, Mathilde Larrère invite Guillaume Mazeau, Michel Pigenet et Hélène Desplanques. Le roi convoque les États généraux. Dans tout le territoire, des membres du Tiers État, de la noblesse ou du clergé forment des assemblées pour désigner les députés et rédiger des cahiers de Doléances. 1945 : les mouvements de résistances, partis et syndicats sont appelés à tenir des assemblées patriotiques, pour désigner des délégués à des États généraux de la Renaissance française et… rédiger des cahiers de Doléances. 2019, en plein mouvement des Gilets Jaunes, l'Association des maires ruraux de France (AMRF), relayée par l'Association des maires de France (AMF) lance l'opération « Mairies ouvertes » : citoyens, citoyennes sont invité-es à se rendre en mairie pour déposer leurs doléances sur des cahiers. Trois périodes différentes, mais à chaque fois, des cahiers de doléances ! Des lignes et des lignes d'espoirs comme de colères, d'idées, de bouts de vie aussi. Et pour en parler, Guillaume Mazeau, historien de la Révolution française qui travaille actuellement sur l'année 1789 (et a également travaillé sur les cahiers de 2019), Michel Pigenet, historien des mondes du travail et des mouvements sociaux, qui vient de sortir un livre passionnant sur les États généraux de 1945, et Hélène Desplanques, autrice et réalisatrice d'un documentaire nécessaire sur les cahiers de 2019, leur devenir : Les Doléances (en replay sur France TV !!!!!). Qui a rédigé ces différents cahiers, pourquoi, dans quel contexte, pour dire quoi ? Que sont-ils devenus, que nous apprennent-ils ? Un sujet avec une actualité puisque nombreux, nombreuses se mobilisent aujourd'hui pour assurer la publication, la mise en ligne en open source des cahiers de 2019.

C dans l'air
Le retour de la taxe d'habitation? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 23, 2024 64:07


C dans l'air du 23 octobre - Budget : les élus au bord de la crise de nerfsFace aux cinq milliards d'euros d'économies que l'État demande aux collectivités locales dans le cadre du projet de budget 2025, certains élus tapent du poing sur la table et passent à l'action. Le président LR du Conseil départemental de la Haute-Marne, Nicolas Lacroix, a ainsi décidé de mettre en vente plusieurs biens immobiliers appartenant au département : la préfecture, deux sous-préfectures, le Palais de justice et une dizaine de gendarmeries."L'État doit comprendre qu'il ne peut plus asphyxier les collectivités en pensant que nous ne réagirons pas", a insisté l'élu dans un message sur X, lundi 21 octobre 2024, jour du début de l'examen du budget 2025 en séance publique à l'Assemblée nationale. Aujourd'hui, "on a plus de 20 départements en grande difficulté. Avec ces annonces, c'est plus de 60 départements qui ne pourront pas, pour certains, boucler le budget 2024 et qui ne peuvent pas se projeter sur 2025", a assuré Nicolas Lacroix.Du côté des maires, la colère gronde également. "Nous n'acceptons aucune des mesures" d'économies concernant les collectivités locales a indiqué le président de la commission des Finances et vice-président délégué de l'Association des maires de France (AMF). Pointant un effort, non pas de 5 milliards mais plutôt de "9,5 milliards d'euros", réclamé par l'Etat, si on ajoute la baisse probable déjà connue de 1,5 milliard d'euros du Fonds vert l'an prochain et les effets de l'inflation, André Laignel dénonce "une ponction sans précédent sur une seule année" et "un manquement absolu à la parole de l'Etat". D'autres maires, comme Jean-François Copé, plaident pour un rétablissement de la taxe d'habitation pour les résidences principales pour faire face à la situation. D'autres députés, à gauche, veulent eux la renforcer sur les résidences secondaires.Dans un rapport publié le 2 octobre dernier, la Cour des comptes pointe la hausse en 2024 des dépenses des collectivités locales et l'augmentation leur déficit, loin de la trajectoire à la baisse prévue dans la loi. Les Sages de la rue Cambon, chargés de suggérer des pistes d'économie en cette période de crise budgétaire, ont proposé plusieurs mesures, parmi lesquelles la suppression de 100 000 emplois en six ans. Ils préconisent ainsi de ne pas remplacer une part des agents qui partiront à la retraite, ces prochaines années, avec pour objectif de revenir aux effectifs du début des années 2010 et d'économiser plus de 4 milliards d'euros par an, à partir de 2030. Ce à quoi l'association des maires de France a réagi en disant que "le personnel territorial ne peut pas être réduit à une question comptable".Parallèlement un autre rapport de la juridiction financière et la chambre régionale des comptes, publié lundi et très critique, sur le plan "Marseille en grand" annoncé en grande pompe par Emmanuel Macron en septembre 2021 suscite de nombreuses réactions. La Cour des comptes y dénonce un suivi "indigent" du plan et regrette des "insuffisances organisationnelles" qui "pèsent sur sa mise en œuvre". Fin 2023, seulement 1,31 % du montant total annoncé - plus de 5 milliards d'euros – avait été décaissé par l'État, selon le rapport. S'il relève "des résultats avec les premières livraisons d'écoles", neuves ou rénovées pour rattraper les retards de la cité phocéenne, sur le logement, les transports, l'emploi et plus globalement, le plan "présente des insuffisances intrinsèques et organisationnelles de nature à compromettre la pleine satisfaction des besoins qu'il vise en priorité" estime la Cour.Parallèlement, les magistrats financiers soulignent les errements de la stratégie déployée par la police dans la deuxième ville de France et le manque d'effectifs. L'argent promis par l'exécutif devait notamment permettre d'affecter 300 policiers supplémentaires à Marseille. "Au total, si on compte les seuls effectifs affectés dans les circonscriptions de police, on a environ 180 agents en moins par rapport à 2016", a relevé Christian Charpy, magistrat à la Cour des comptes, lors d'un échange avec la presse. Ces dernières années, des policiers ont bien été dirigés vers Marseille à l'issue de leur formation initiale, mais dans le même temps, la police a connu de nombreux départs. Les experts :- Dominique SEUX - éditorialiste économique aux Echos et sur France Inter- Stéphanie VILLERS - économiste, spécialiste des questions de Finances, conseillère économique de PwC France, un cabinet de conseils auprès des entreprises- Brigitte BOUCHER - journaliste politique à Franceinfo TV- Cyril GRAZIANI - rédacteur en chef du service politique de France Télévisions

La Question du jour
Le gouvernement a-t-il raison de demander des économies aux collectivités territoriales ?

La Question du jour

Play Episode Listen Later Oct 8, 2024 15:47


L'exécutif réclame un effort de 5 milliards d'euros aux collectivités territoriales. «Nous n'acceptons aucune des mesures» d'économies, rétorque le vice-président délégué de l'Association des maires de France (AMF).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Question du jour
Le gouvernement a-t-il raison de demander des économies aux collectivités territoriales ?

La Question du jour

Play Episode Listen Later Oct 8, 2024 15:47


L'exécutif réclame un effort de 5 milliards d'euros aux collectivités territoriales. «Nous n'acceptons aucune des mesures» d'économies, rétorque le vice-président délégué de l'Association des maires de France (AMF).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Qui contrôle désormais les publicités dans les rues ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Jan 11, 2024 2:01


Comme tous les débuts d'année, le 1er janvier 2024 amène un certain nombre de changements. Ainsi, à partir de cette date, le contrôle de la publicité extérieure et des enseignes sera dévolu aux maires ou aux intercommunalités. Jusque là, c'était une compétence commune des préfets et des maires.Le décret d'application conférant de nouvelles compétences aux municipalités, en matière de publicité extérieure, a été pris en vertu d'une loi de 2021. Il ne change d'ailleurs rien dans certaines communes, dont les maires étaient déjà chargés de faire respecter le plan local de publicité.L'autorité des maires, sur cette question, s'étendra aussi bien, en amont, à l'étude des demandes d'autorisation visant à la mise en place d'une publicité extérieure, qu'au contrôle, en aval, de la mise en place des panneaux. Les éventuelles sanctions relèveront aussi de leur compétence.Les maires devront notamment vérifier que des panneaux n'aient pas pas été érigés sans autorisation ou qu'ils restent conformes aux lois ou au règlement local de publicité, quand il existe.Une mesure qui n'est pas du goût de tous les maires, tant s'en faut. Les édiles des petites communes estiment en effet ne pas avoir les moyens de faire appliquer ces nouvelles dispositions.En effet, il leur faudra désormais contrôler l'absence de publicité en dehors des villes et, à l'intérieur de la commune, la conformité des panneaux publicitaire à la réglementation. Les maires auront aussi à gérer les demandes d'autorisation préalable, nécessaires à l'installation de certains types de supports publicitaires.Ces maires considèrent que l'État, qui possède tous les moyens nécessaires à un contrôle efficace, n'aurait pas dû se décharger d'une telle compétence. Ils le font savoir par l'intermédiaire de l'Association des maires de France (AMF), qui a publié un communiqué en ce sens.Celui-ci déplore en outre la mise en application très rapide du décret et l'absence de compensations, malgré un évident surcroît de travail pour le personnel municipal. De leur côté, les pouvoirs publics considèrent que ce contrôle publicitaire est plus aisé pour des autorités locales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Qui contrôle désormais les publicités dans les rues ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Jan 11, 2024 2:31


Comme tous les débuts d'année, le 1er janvier 2024 amène un certain nombre de changements. Ainsi, à partir de cette date, le contrôle de la publicité extérieure et des enseignes sera dévolu aux maires ou aux intercommunalités. Jusque là, c'était une compétence commune des préfets et des maires. Le décret d'application conférant de nouvelles compétences aux municipalités, en matière de publicité extérieure, a été pris en vertu d'une loi de 2021. Il ne change d'ailleurs rien dans certaines communes, dont les maires étaient déjà chargés de faire respecter le plan local de publicité. L'autorité des maires, sur cette question, s'étendra aussi bien, en amont, à l'étude des demandes d'autorisation visant à la mise en place d'une publicité extérieure, qu'au contrôle, en aval, de la mise en place des panneaux. Les éventuelles sanctions relèveront aussi de leur compétence. Les maires devront notamment vérifier que des panneaux n'aient pas pas été érigés sans autorisation ou qu'ils restent conformes aux lois ou au règlement local de publicité, quand il existe. Une mesure qui n'est pas du goût de tous les maires, tant s'en faut. Les édiles des petites communes estiment en effet ne pas avoir les moyens de faire appliquer ces nouvelles dispositions. En effet, il leur faudra désormais contrôler l'absence de publicité en dehors des villes et, à l'intérieur de la commune, la conformité des panneaux publicitaire à la réglementation. Les maires auront aussi à gérer les demandes d'autorisation préalable, nécessaires à l'installation de certains types de supports publicitaires. Ces maires considèrent que l'État, qui possède tous les moyens nécessaires à un contrôle efficace, n'aurait pas dû se décharger d'une telle compétence. Ils le font savoir par l'intermédiaire de l'Association des maires de France (AMF), qui a publié un communiqué en ce sens. Celui-ci déplore en outre la mise en application très rapide du décret et l'absence de compensations, malgré un évident surcroît de travail pour le personnel municipal. De leur côté, les pouvoirs publics considèrent que ce contrôle publicitaire est plus aisé pour des autorités locales. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

C dans l'air
La 1ère partie - Crépol : une polémique et des questions - 23/11/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 23, 2023 58:37


C dans l'air du 23 novembre 2023 - Crépol : une polémique et des questions Un "terrible assassinat" et "des agressions qui nous ont tous marqués". C'est par ces mots que le président de la République a décrit mercredi soir le terrible drame qui s'est joué dans la nuit de samedi 18 au dimanche 19 novembre lors d'une fête de village à Crépol, dans la Drôme, durant laquelle Thomas, 16 ans, a trouvé la mort et huit autres personnes ont été blessées. Plus tôt dans la journée, plus de 6.000 personnes avaient défilé en silence à Romans-sur-Isère pour rendre hommage à l'adolescent. Une marche blanche "apolitique par respect pour la famille" avait indiqué le club de rugby de Thomas alors que depuis plusieurs jours les réactions politiques, notamment à droite et à l'extrême droite, se sont multipliées sur fond d'accélération de l'enquête. Selon le parquet, dans la nuit de samedi à dimanche tout a commencé lorsqu'une dizaine de jeunes ont tenté de s'introduire dans la salle des fêtes de Crépol. L'un d'eux a blessé d'un coup de couteau un vigile qui tentait de le bloquer. Des participants inscrits à la soirée sont intervenus, s'en est suivie "une rixe" à l'extérieur du bâtiment. Mardi, 9 personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, dans le cadre de l'enquête qui a été ouverte pour " meurtre" et "tentatives de meurtres en bande organisée". Dans un communiqué, le procureur de la République de Valence a détaillé mercredi leur profil : trois des suspects sont des " mineurs ayant plus de 16 ans " et les six autres, des majeurs. Le principal suspect du coup de couteau qui a ôté la vie de Thomas est âgé de 20 ans, habite à Romans-sur-Isère et est de nationalité française, a précisé le parquet. Depuis le drame, des partisans de droite et d'extrême droite ont multiplié les tweets et les déclarations faisant le lien entre cet acte et l'immigration. Pour Marine Le Pen, il s'agit "d'une attaque organisée, émanant d'un certain nombre de banlieues criminogènes dans lesquelles se trouvent des milices armées qui opèrent des razzias". "C'est le révélateur d'une guerre ethnique et d'une guerre civile en gestation", a affirmé, de son côté, Marion Maréchal. Le président des Républicains (LR) Eric Ciotti a, lui, estimé que Thomas avait été « victime de l'ensauvagement de la France" : "Non, Thomas n'était pas seulement là au mauvais endroit et au mauvais moment", a-t-il écrit sur X. Mercredi, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a dénoncé une "polémique politicienne" autour du drame et la Première ministre Élisabeth Borne a appelé chacun à la "retenue et à la décence". Le soir devant une centaine de maires qu'il recevait à l'Elysée le chef de l'Etat a estimé que "nous avons à affronter de plus en plus des épisodes de violences contre vous, élus de la République, mais aussi des épisodes de violences qui nous ont tous marqués". Emmanuel Macron a appelé à "ne jamais s'habituer" face aux "violences qui se réinstallent, à ce que j'ai pu qualifier de décivilisation". Le 105e congrès de l'Association des maires de France (AMF) qui s'est ouvert lundi se déroule dans un contexte difficile pour les édiles entre lassitude, montée des violences à leur égard et exigence croissante de leurs administrés. Des habitants qui seraient également de plus en plus tentés se faire justice eux-mêmes. Que s'est-il passé à Crépol dans la Drôme dans la nuit de samedi à dimanche ? Que sait-on des neuf suspects placés à garde à vue ? L'"autojustice" gagne-t-elle du terrain en France ? LES EXPERTS : - HERVE GATTEGNO - Directeur de la rédaction – Radio Classique - LOUIS HAUSALTER - Journaliste politique - Marianne - AUDREY GOUTARD - Journaliste-spécialiste des faits de société -France Télévisions - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche

Les 4 Vérités
Renaud Muselier - 22 novembre 2023

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Nov 22, 2023 8:50


La France est candidate à l'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2030. Le dossier porté par les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur a été déposé le 7 novembre dernier auprès du Comité international olympique (CIO). Mardi 21 novembre, des représentants de cette candidature ont effectué un grand oral devant la commission du CIO, une étape cruciale. « On n'a pas fait de faute. (…) On a fait une prestation fluide, efficace et je crois reconnue comme performante », se réjouit Renaud Muselier, président de la région Provence Alpes Côte d'Azur, mercredi 22 novembre, sur le plateau des 4 Vérités, sur France 2. Il se dit optimiste sur la poursuite des « discussions ciblées ». Etaient également présents,Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, et Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes. « On a additionné nos performances, nos compétences, nos Alpes françaises. Cela représente 60% de son territoire, 50% du mien. C'est une candidature autour des Alpes françaises avec une spécificité autour du développement durable, pour montrer que nous avons la capacité de développer nos montagnes en prenant soin de notre environnement », souligne Renaud Muselier, au micro de Thomas Sotto. "Les Républicains ont oublié le cap pour le pays" Il y a un an, l'ancien membre des Républicains a officiellement rejoint Renaissance, le parti d'Emmanuel Macron, qu'il avait soutenu depuis l'élection présidentielle. « J'y suis très bien, j'ai été très bien accueilli. Je suis un homme de droite qui additionne. Je le fais avec Laurent Wauquiez pour les Jeux Olympiques. C'est mon mode de fonctionnement », précise Renaud Muselier. Alors que le 105e congrès de l'Association des maires de France (AMF) s'ouvrait ce mardi 21 novembre. Le chef de l'Etat, qui avait participé au congrès 2022 et était attendu à l'édition 2023, a finalement annoncé qu'il ne s'y rendrait pas. « Le président de la République n'est pas sous le diktat de telle ou telle association. L'association des maires est très importante. Ce qui est important c'est que nous puissions travailler ensemble face à un État qui peut être centralisateur de façon à ce qu'on ait plus de marge de manœuvre. Le message de la présence obligatoire me paraît relativement peu important par rapport à ce travail collectif », réagit Renaud Muselier. Il l'assure : il a coupé les ponts avec son ancienne famille politique. « M. Ciotti et M. Marleix tombent dans toutes les dérives anti Macron dans tous les cas de figure. Ils ont oublié le cap pour le pays, ils ne font que de la politique politicienne. Ils mélangent tout et n'en sortent que des débats stériles », fustige-t-il. Sur la réforme des retraites, « les LR de l'Assemblée n'ont respecté aucun de leurs engagements ». Les réactions politiques s'enchaînent depuis la mort de Thomas, un adolescent de 16 ans, après avoir été poignardé à la sortie d'un bal, dans le village de Crépol, dans la Drôme. Le leader de Reconquête, Eric Zemmour parle notamment de « francocide », dans un message publié sur X (ex Twitter). « Il n'y a aucune dignité dans la réaction. Il faut que la Justice soit exemplaire. Et si la classe politique pouvait avoir un peu de dignité et de compassion pour la famille ça serait pas mal », estime Renaud Muselier.

C dans l'air
CDLA L'INVITÉE - CATHERINE ARENOU - 21/11/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 20, 2023 10:17


C dans l'air du 20 novembre 2023 - Catherine Arenou, maire DVD de Chanteloup et vice-présidente de l'association des élus de villes et banlieue. Le 105e congrès de l'Association des maires de France (AMF) se tiendra de ce mardi jusqu'au jeudi 23 novembre à Paris. Il portera sur le thème "Communes attaquées, République menacée". Selon une enquête conduite par le Cevipof pour l'Association des maires de France et le ministère chargé des collectivités territoriales publiée ce dimanche, les agressions à l'encontre des édiles devraient augmenter de 15 % cette année. Le ministère de l'Intérieur a révélé de son côté que les agressions envers les élus sont passées de 2.265 l'an dernier à 2.387 au 12 novembre. Une hausse d'environ 15 % par rapport à 2022. 69 % des 8 000 maires interrogés disent avoir été victimes d'incivilités, contre 53 % en 2020. Ce dimanche au JDD, la ministre déléguée chargée des collectivités territoriales Dominique Faure considérait que "cette augmentation est tout sauf une défaite", car elle illustre la " libération de la parole" sur ce sujet. Selon elle, il faut "en finir avec la banalisation des violences faites aux élus : le moindre tag, la moindre insulte doivent être signalés. Ce combat fait partie d'un choc civique global. Cela prendra du temps, mais nous le gagnerons". Catherine Arenou est maire DVD de Chanteloup et vice-présidente de l'association des élus de villes et banlieue. Elle reviendra sur le 105e congrès de l'Association des maires de France (AMF) qui débute ce mardi à Paris et qui portera sur le thème "Communes attaquées, République menacée".

Invité France
Agressions contre les maires: «Un maire sur quatre a déjà été victime d'intimidation ou de diffamation»

Invité France

Play Episode Listen Later Nov 20, 2023 6:49


« Communes attaquées, République menacée », c'est le thème cette année du Congrès des Maires de France qui s'est ouvert à Paris ce lundi. Les agressions contre les élus ont augmenté de 15% sur un an, estime une enquête Cevipof publiée dans Le Monde. Les démissions de maires aussi sont en hausse de 30%, signe d'une « fatigue républicaine » selon Martial Foucault, professeur à Sciences Po Paris et directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po. Auteur de l'enquête du Cevipof réalisée pour l'Association des maires de France (AMF).

L'Interview Politique
L'Interview Politique – David Lisnard, maire LR de Cannes et président de l'association des Maires de France (AMF), invité d'Adrien Gindre dans le 6/9

L'Interview Politique

Play Episode Listen Later Aug 30, 2023 21:08


Du lundi au vendredi à 8h30, Adrien Gindre reçoit une personnalité au cœur de l'actualité. International, politique, économie… quel que soit le sujet, le souci est le même pendant 20 minutes : prendre de la hauteur et du recul sur l'actu du jour.

L'entretien de Sonia Mabrouk
EXTRAIT - Enfant tué lors d'une fusillade : «Un sujet de société, pas uniquement de sécurité», regrette Philippe Laurent

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Aug 22, 2023 2:30


Un enfant de 10 ans a été tué dans une fusillade dans la nuit du lundi au mardi à Nîmes, ce qui témoigne du 'recul de l'État dans certains quartiers' du pays, selon Philippe Laurent, vice-président de l'Association des Maires de France (AMF) et invité d'Europe 1 Matin mardi. Ce dernier voit à travers ce drame un 'sujet de société et pas uniquement de sécurité.'

Le sept neuf
David Lisnard : "Ceux qui vont payer ne sont pas ceux qui ont commis les dégradations"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jul 12, 2023 21:09


durée : 00:21:09 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - David Lisnard, maire LR de Cannes et président de l'Association des maires de France (AMF), est l'invité du Grand entretien. Il évoque les conséquences et les circonstances des émeutes urbaines qui ont frappé les villes du pays ces derniers jours.

Les interviews d'Inter
David Lisnard : "Ceux qui vont payer ne sont pas ceux qui ont commis les dégradations"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jul 12, 2023 21:09


durée : 00:21:09 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - David Lisnard, maire LR de Cannes et président de l'Association des maires de France (AMF), est l'invité du Grand entretien. Il évoque les conséquences et les circonstances des émeutes urbaines qui ont frappé les villes du pays ces derniers jours.

Le six neuf
Sébastien Goudeau - Tiago Rodrigues - David Lisnard

Le six neuf

Play Episode Listen Later Jul 12, 2023 180:54


durée : 03:00:54 - Le 6/9 de l'été - par : Jérôme CADET - Sébastien Goudeau, maître de conférences en psychologie sociale à l'Université de Poitiers, Tiago Rodrigues, dramaturge, metteur en scène, et directeur du Festival d'Avignon, David Lisnard, maire LR de Cannes et président de l'Association des maires de France (AMF), sont les invités de la matinale.

C dans l'air
5 nuits de violence... La République sous le choc - 03/07/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 3, 2023 62:34


C dans l'air du 3 juillet : 5 nuits de violence... La République sous le choc LES EXPERTS : - Alain Bauer, professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), responsable du pôle sécurité, défense et renseignement - Raphaëlle Bacqué, grand reporter au journal Le Monde - Elizabeth Pineau, correspondante à l'Elysée et Matignon pour l'agence de presse Reuters - Jérôme Fourquet, directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "La France sous nos yeux" (Seuil) - Boris Ravignon, maire de Charleville-Mézières (LR) Les émeutes déclenchées à la suite de la mort de Nahel, 17 ans, mardi dernier, s'essoufflent nettement. Seules 137 interpellations ont eu lieu la nuit dernière pour trois policiers blessés, portant à 3200 le nombre de jeunes qui ont été interpellés depuis le début des événements. Bien qu'il reste pleinement mobilisé en matière sécuritaire, le gouvernement commence à dresser de premiers bilans et cherche la réponse appropriée pour éviter de nouvelles violences. Le président Emmanuel Macron a rassemblé ses troupes ce lundi. Avant une rencontre avec 220 maires demain, il a reçu en début d'après-midi les présidents des deux chambres parlementaires, Yaël Braun-Pivet pour l'Assemblée nationale, et Gérard Larcher pour le Sénat. Il s'agit selon l'Élysée "d'entamer un travail" pour comprendre les évènements. Mais aussi de rassurer les élus locaux, deux jours après l'attaque perpétrée au domicile du maire LR de l'Haÿ-les-Roses, Vincent Jeanbrun. Dans la nuit de samedi à dimanche, la maison de l'édile a été attaquée à la voiture bélier par un groupe d'assaillants qui auraient ainsi tenté d'y mettre le feu. Alors qu'elle se trouvait seule à la maison avec leurs deux enfants, la femme du maire a dû s'enfuir avec eux et s'est blessée à la jambe pendant sa course. Vincent Jeanbrun n'est pas le seul élu local à avoir été ciblé par les émeutiers. Selon le patron de l'Association des maires de France (AMF), David Lisnard, près de 150 mairies ou bâtiments municipaux ont été attaqués depuis mardi.... Des rassemblements de soutien aux élus ont ainsi été organisé à midi dans plusieurs villes de France. Chez les commerçants, c'est aussi la stupeur, après plusieurs nuits de pillages dans les villes de France. À Montargis (Loiret), 300 casseurs ont envahi la commune aux cris de "on va brûler Montar". Deux bâtiments se sont effondrés dans la nuit du 29 au 30 juin, à la suite d'incendies qui ont été déclenchés pendant le pillage. Au total, quatre-vingts magasins ont été dégradés et quinze pillés, dans cette ville pourtant d'ordinaire tranquille et pas habituée aux émeutes. "La dernière catastrophe, c'était en 2016, quand le Loing a quitté son lit, les poissons nageaient dans les rues. Et puis, on a eu le Covid-19, mais ça…", a déclaré le maire LR de la ville, Benoît Digeon. À Marseille, de nombreux commerces ont subi de lourdes séquelles durant ce week-end et certains ne savant pas s'ils vont s'en relever. Selon l'organisme France Assureurs, seul un commerce sur deux est assuré contre les pertes d'exploitation et pourra donc être indemnisé pour le manque à gagner lié à la fermeture, jusqu'à une réouverture. Face à cette situation dramatique, le maire socialiste de la cité phocéenne Benoît Payan a annoncé dimanche le déblocage d'un fonds de 2 millions d'euros à destination des commerçants lésés, qui passera notamment par "une exonération de la Taxe locale sur la publicité extérieure qui devrait durer tout l'été". Au niveau national, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a reçu ce samedi les commerçants et restaurateurs et a demandé aux assureurs de prolonger les délais de déclaration, de réduire les franchises et d'indemniser rapidement les professionnels : "Nous avons demandé aux assureurs de faire preuve de la plus grande simplicité dans le traitement des procédures", a-t-il déclaré. Comment mettre fin aux émeutes ? Quelle sécurité pour les élus locaux ? Et que retenir de cette semaine d'embrasement dans les banlieues françaises ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Les journaux de France Culture
Des violences en baisse et des maires en colère

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 3, 2023 12:05


durée : 00:12:05 - Journal de 7 h - Retour dans cette édition sur l'appel au rassemblement lancé par l'Association des Maires de France (AMF) après l'attaque à la voiture bélier sur le domicile du maire de L'Haÿ-les-Roses ce week-end.

Le journal de 7h00
Des violences en baisse et des maires en colère

Le journal de 7h00

Play Episode Listen Later Jul 3, 2023 12:05


durée : 00:12:05 - Journal de 7 h - Retour dans cette édition sur l'appel au rassemblement lancé par l'Association des Maires de France (AMF) après l'attaque à la voiture bélier sur le domicile du maire de L'Haÿ-les-Roses ce week-end.

Le flash éco de Capital
13 milliards d'euros investis en France par des entreprises étrangères, peut-on baisser les impôts des classes moyennes ?… Le flash éco du jour

Le flash éco de Capital

Play Episode Listen Later May 16, 2023 2:14


On commence avec le chiffre du jour. Emmanuel Macron a reçu hier plus de 200 dirigeants d'entreprises du monde entier à l'occasion du 6e sommet “Choose France”, pour discuter de l'implantation de projets en France et promouvoir l'attractivité du pays. Avant même le début des rencontres, un total de 13 milliards d'euros était déjà annoncé par une vingtaine de multinationales (Ikea, Nokia, ProLogium, Pfizer…) prêtes à investir dans l'Hexagone. Un record par rapport aux 10,8 milliards d'euros de l'an dernier. Visualisez la carte de ces futures implantations sur Capital.fr.On poursuit avec la bonne nouvelle du jour. En raison des nouvelles conditions fixées pour bénéficier des subventions au titre de la PAC 2023-2027, certains agriculteurs ne pouvaient plus percevoir les aides de la Politique agricole commune (PAC). Alerté par l'Association des maires de France (AMF), le ministère de l'Agriculture va faire évoluer cette situation. Plus d'infos via notre site.On continue avec la question du jour. Confirmant la position de Gabriel Attal, ministre chargé des Comptes publics, Emmanuel Macron a annoncé ce lundi 15 mai vouloir baisser les impôts pour les classes moyennes d'ici à la fin de son quinquennat. François Escalle, ex-magistrat à la Cour des comptes exprime toutefois ses doutes sur la capacité de l'exécutif à tenir cette promesse, au regard de l'état actuel des finances publiques. Une prise de position à retrouver sur Capital.fr.On conclut avec le résumé du jour. Le gouvernement a transmis aux partenaires sociaux une première version de son projet de loi “pour une nouvelle société du travail et de l'emploi”, dont Capital a obtenu une copie. Celui-ci prévoit une série de mesures destinées à sanctionner les demandeurs d'emploi et allocataires du RSA qui ne respecteraient pas leurs obligations. Retrouvez le détail de cet avant-projet de loi sur Capital.fr.> Réécoutez et abonnez-vous à ce podcast sur vos plateformes favorites (Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Google Podcasts, Soundcloud...) ainsi que sur les enceintes connectées Google Home, Amazon Echo et Apple HomePod.> La saga des marques, 21 millions (sur les cryptomonnaies)... retrouvez tous les podcasts de Capital et de Prisma dans notre espace dédié.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Politique, le choix de la semaine
Wauquiez, candidat en 2027? La route est encore longue

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Apr 22, 2023 2:51


Alors que le gouvernement a bien du mal à tourner la page des retraites, une échéance commence à agiter le monde politique : la prochaine présidentielle. C'est dans quatre ans et Emmanuel Macron, qui aura fait deux mandats, ne pourra pas se représenter. À droite, un nom revient pour défendre les couleurs des Républicains : celui de Laurent Wauquiez, le patron de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. C'est le candidat désigné du patron des LR Éric Ciotti. Mais la route vers 2027 est encore longue. C'était la promesse d'Éric Ciotti : si je suis élu président du parti, Laurent Wauquiez sera notre prochain candidat à la présidentielle. C'était il y a six mois. Mais depuis, le patron de région brille par son absence. Pas d'apparition dans les médias nationaux, très peu de commentaires sur la politique à l'échelle du pays. « C'est sa stratégie, nous confirme l'un de ses proches. Il se prépare sur le fond, il rencontre beaucoup de gens et c'est lui et lui seul qui décide des sujets qu'il veut aborder. ». Sauf qu'en interne, cette distance avec la politique nationale commence à inquiéter. Mais tout est sous contrôle, nous dit-on à la direction du parti : « Éric Ciotti et Laurent Wauquiez s'appellent régulièrement, il n'y a pas une semaine où ils ne se coordonnent pas. » Sauf que dans le camp présidentiel aussi, on est perplexe : « Wauquiez, c'est le plongeur qui montre les muscles, s'avance sur le plongeoir, se penche et finalement recule ! » Métaphore signée d'un visiteur régulier d'Emmanuel Macron.La réforme des statuts du parti se fait attendreEn tout cas, pour que Laurent Wauquiez soit désigné candidat des LR, il faut réformer les statuts du parti. Car, pour l'instant, c'est le principe de la primaire, qui n'a laissé que des mauvais souvenirs chez les LR, qui est inscrit dans les statuts. Il faut donc les réformer pour que le candidat soit désigné et non plus élu par les adhérents. Une mission a bien été confiée au début de l'année à l'ancien député Guillaume Larrivé mais pas de nouvelles depuis. « Ça prend un peu de temps, mais les statuts seront bientôt réformés », assure-t-on dans les couloirs du siège du parti.Xavier Bertrand, David Lisnard, Aurélien Pradié...Sauf qu'Éric Ciotti aura de la concurrence face à lui. Le patron de la région Hauts-de-France d'abord, Xavier Bertrand, qui est en train d'activer ses réseaux dans toute la France. « Son échec à la primaire de 2021 est derrière lui », nous confie l'un de ses proches. Il y a aussi le patron de la puissante Association des maires de France (AMF), le maire de Cannes David Lisnard qui ne cache pas ses ambitions sur les réseaux sociaux. Et puis une hypothèse fleurit depuis quelques semaines : et si Aurélien Pradié, le bruyant député LR qui a mené la fronde contre la réforme des retraites, était candidat en 2027 ?« Le sujet, ce n'est pas la concurrence en interne, mais le manque d'espace à droite », balaie l'entourage de Laurent Wauquiez. Car le prochain candidat LR à la présidentielle aura peut-être face à lui un macroniste venu de la droite. Édouard Philippe, Gérald Darmanin, Bruno Le Maire... La vraie menace pour Laurent Wauquiez viendra surement de l'extérieur du parti.

VA+ en podcasts
David Lisnard : espoir de la droite pour l'après 2022 ?

VA+ en podcasts

Play Episode Listen Later Jul 11, 2022 43:54


Concurrencés sur leur droite par Éric Zemmour et sur leur gauche par Emmanuel Macron, fragilisés par la faiblesse de leur candidate, les Républicains sont en pleine crise existentielle. Le maire de Cannes et président de l'Association des Maires de France (AMF), qui incarne une ligne sans ambiguïté et novatrice, en est une figure montante. Recomposition à droite, triangulation d'Emmanuel Macron, technocratie sclérosante, principe de subsidiarité, libertés, responsabilités… David Lisnard dessine le logiciel d'une nouvelle droite.

VA+ en podcasts
David Lisnard : espoir de la droite pour l'après 2022 ?

VA+ en podcasts

Play Episode Listen Later Jul 5, 2022 43:54


Concurrencés sur leur droite par Éric Zemmour et sur leur gauche par Emmanuel Macron, fragilisés par la faiblesse de leur candidate, les Républicains sont en pleine crise existentielle. Le maire de Cannes et président de l'Association des Maires de France (AMF), qui incarne une ligne sans ambiguïté et novatrice, en est une figure montante. Recomposition à droite, triangulation d'Emmanuel Macron, technocratie sclérosante, principe de subsidiarité, libertés, responsabilités… David Lisnard dessine le logiciel d'une nouvelle droite.

8.30 franceinfo:
Inflation, refus d'obtempérer à Paris et élections législatives... Le "8h30 franceinfo" de David Lisnard

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jun 8, 2022 25:25


durée : 00:25:25 - 8h30 franceinfo - David Lisnard, maire Les Républicains (LR) de Cannes et président de l'Association des maires de France (AMF) était l'invité du "8h30 franceinfo" mercredi 8 juin.

Débat du jour
Quelle est la marge de manœuvre des maires en France?

Débat du jour

Play Episode Listen Later Nov 19, 2021 29:30


Emmanuel Macron s'est exprimé, dans la soirée du jeudi 18 novembre 2021, à Paris devant des milliers de maires réunis à l'occasion du 103e congrès de l'Association des maires de France (AMF). Le président avait déjà reçu nombre d'entre eux au palais de l'Élysée, le mardi 16 novembre 2021. Ce congrès était le premier depuis les élections municipales de 2020, le dernier du quinquennat d'Emmanuel Macron et le dernier du président de l'AMF. Quand il est arrivé à l'Élysée, le chef de l'État avait braqué les élus de terrain, puis le fil s'était ensuite renoué avec la crise des « gilets jaunes » et le « grand débat national ». Il y a maintenant la question de « la nationalisation » de la facture de la crise sanitaire supportée par les communes, chiffrée aux alentours de 5 à 6 milliards d'euros par l'AMF. Ils ont été en première ligne, lors de la crise sanitaire. Ont-ils les coudées franches ou ne sont-ils que des relais de l'exécutif ? Les maires, que leur reste-t-il ? C'est la question du Débat du Jour sur RFI.   Avec :  Jean-Victor Roux, administrateur territorial, auteur du livre Les sentinelles de la République (éditions du cerf), et chargé d'enseignement à Sciences-Po Aix en Provence  Thomas Frinault, maître de conférences en Science politique à l'Université Rennes 2, a coordonné l'ouvrage Nouvelle sociologie politique de la France (Armand Colin) Sylvain Berrios, maire de Saint-Maur-des-Fossés, commune située dans le Val de Marne en Ile-de-France  Pascal Beaury, maire de la commune nouvelle Mont Lozère et Goulet de 1 084 habitants, qui regroupe six communes historiques (Bagnols-les-Bains, Belvezet, Le Bleymard, Chasseradès, Mas d'Orcières, St-Julien-du-Tournel). 

Politique, le choix de la semaine
Avant la présidentielle française, une autre élection suivie de près

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Nov 13, 2021 2:36


Plusieurs centaines de maires de petites ou de grandes villes sont attendus à Paris du mercredi 17 au jeudi 18 novembre 2021. Ce sera le dernier congrès de l'Association des maires de France sous le quinquennat d'Emmanuel Macron. Le président français y prononcera un discours jeudi, alors qu'en coulisses se joue une bataille très politique pour le contrôle de cette puissante association à cinq mois de la présidentielle.  D'habitude, l'élection du président de l' Association des maires de France (AMF) est une formalité, avec une liste unique, mais cette fois-ci il y a compétition. Deux maires veulent prendre la présidence de cette association qui a un poids politique important.  Cela fait suite au départ de son président François Baroin, figure de la droite française, qui a fait de l'AMF un bastion d'opposition au président Macron. Un chef de l'État qui, au cours de son quinquennat, a eu une relation difficile avec les élus locaux. Il les a au départ méprisés, avant de vanter leurs mérites pendant le grand débat national de 2019. Le départ de François Baroin rebat les cartes Pour lui succéder, François Baroin a adoubé le maire Les Républicains (LR) de Cannes, David Lisnard, une figure montante de la droite, qui espère gagner ses galons au niveau national en remportant cette bataille. Mais tout cela s'est fait dans la précipitation. En face, des maires - dont certains soutiennent Emmanuel Macron - ont protesté contre ce fait accompli. Ils critiquent l'opposition systématique de l'AMF au pouvoir en place. Un autre candidat s'est déclaré, Philippe Laurent, le  maire de Sceaux, en région parisienne.   Il est inconnu du grand public, mais connu en revanche parmi les élus. C'est un pilier de l'AMF. Il est centriste. Son adversaire essaye de le discréditer en présentant sa candidature comme étant pilotée par Emmanuel Macron. Lui s'en défend. Il n'empêche, des maires proches de la majorité présidentielle le soutiennent.  Cette élection est intéressante à 5 mois de la présidentielle Ce sera un bon baromètre du terrain. 35 000 maires sont appelés à voter. La droite est en perte de vitesse, mais toujours forte dans les territoires. Va-t-elle garder la main sur l'AMF ? Ou bien va-t-on assister à un basculement ? Ce sera intéressant à suivre dans la perspective de la présidentielle. Emmanuel Macron - c'est l'une de ses faiblesses - possède peu de relais sur le terrain, des élus l'accusent d'être déconnecté. Son parti n'est pas bien implanté. Une AMF plus conciliante pourrait l'aider dans sa campagne. Le vote aura lieu mardi et mercredi prochains.

C dans l'air
ET MAINTENANT, LE PRÉSIDENT GIFLÉ... - 08/06/21

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 8, 2021 63:53


ET MAINTENANT, LE PRÉSIDENT GIFLÉ... - 08/06/21 INVITÉS YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » RAPHAËLLE BACQUÉ Grand reporter – « Le Monde » JÉRÔME FOURQUET - En duplex Directeur du pôle Opinion et Stratégies d'Entreprises - IFOP DOMINIQUE REYNIÉ – En duplex Politologue - Directeur général de la Fondation pour l'innovation politique (Fondapol) Le niveau de tension et de violence de la vie politique ne baisse pas. En déplacement dans la Drôme aujourd'hui, Emmanuel Macron a reçu une gifle de la part d'un badaud. La vidéo, authentifiée, circule sur les réseaux sociaux. La scène a été confirmée par l'Élysée. Le président de la République effectuait dans le département la deuxième étape de son tour de France des territoires, débuté la semaine passée dans le Lot. C'est alors qu'il allait à la rencontre de personnes qui l'attendaient, qu'il a été victime de cette agression. L'auteur de la gifle a lancé en même temps que son geste : « Montjoie Saint-Denis à bas la Macronie !» Deux personnes ont été interpellées, a indiqué une source proche du dossier. Le chef de l'État était en déplacement dans un lycée hôtelier de Tain-l'Hermitage à la veille d'une nouvelle étape du déconfinement. L'ensemble de la classe politique a immédiatement apporté un soutien unanime au président de la République. « Aucun désaccord politique ne justifiera jamais la violence. Le respect des institutions de la République et de ses représentants est un principe cardinal de notre vie démocratique », a déclaré Xavier Bertrand. « Il est inadmissible de s'attaquer physiquement au président de la République », a appuyé Marine Le Pen. « Cette fois-ci vous commencez à comprendre que les violents passent à l'acte ? Je suis solidaire du Président », a quant à lui réagi Jean-Luc Mélenchon sur Twitter, en échos à la vidéo publié dimanche qu'il considère comme un appel au meurtre contre lui et ses partisans. Le premier Ministre Jean Castex en a lui appelé à « un sursaut républicain » devant les députés à l'Assemblée Nationale. Cette violence physique à l'encontre du chef de l'Etat n'est pas sans rappeler celle dont sont victimes de plus en plus d'élus de terrain, et notamment les maires, depuis plusieurs années. L'association des maires de France (AMF) avait d'ailleurs annoncé en octobre dernier la création d'un «observatoire des agressions envers les élus», face à «la recrudescence des incivilités et l'inquiétante multiplication des agressions». Selon la Chancellerie, 255 affaires d'atteintes aux élus ont été signalées à la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) par les parquets généraux au cours de l'année 2019 et jusqu'au 21 août 2020. Quarante-et-un pour cent de ces affaires constituent des atteintes aux personnes, ce taux atteignant 63% lorsque la victime est un maire. Plusieurs agressions ont défrayé la chronique ces derniers mois. La plus violente reste la mort violente, en août 2019, du maire de Signes (Var), Jean-Mathieu Michel, renversé par une camionnette dont il voulait verbaliser les occupants pour avoir jeté des gravats sur le bord de la route, avait provoqué l'indignation de la classe politique. C'est dans ce contexte qu'Emmanuel Macron compte remettre à l'agenda politique le dossier brûlant de la réforme des retraites, dont l'examen avait été interrompu par la pandémie de Covid-19 en février 2020. Cela reste une « priorité » du gouvernement, qui compte s'y prendre autrement qu'avant la pandémie pour finaliser ce dossier avant 2022. Les syndicats mettent en garde : « On continue de dire qu'il n'y a pas de voie de passage pour une réforme des retraites quelle qu'elle soit d'ici l'élection présidentielle », a affirmé ce lundi le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger. « Ce serait une erreur de la part du président de la République de remettre ça sur la table, il y a bien d'autres priorités », a commenté sur RMC son homologue de la CGT, Philippe Martinez. Comment expliquer la recrudescence de violence dans et autour de la classe politique ? Comment mieux protéger les élus face aux agressions dont ils sont victimes ? Macron pourra-t-il faire passer sa réforme des retraites avant 2022 ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro - Pascal Hendrick - Benoît Lemoine - Jean-François Verzele - Jacques Wehrlin PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

The Gentlemen of Crypto
The Gentlemen of Crypto EP. 109 - Robinhood is Live Uphold Partnership and Iran Central Bank

The Gentlemen of Crypto

Play Episode Listen Later Feb 22, 2018 27:44


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