POPULARITY
Retour sur la carrière de comédienne de Marlène Jobert avec des films qui ont compté pour elle et pour nous: "Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" de Michel Audiard et "Nous ne vieillirons pas ensemble" de Maurice Pialat.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité en direct de Cannes.
Pour ce nouvel épisode des Bobines le Podcast, la "Bobine Team" (Lou Bobin, Marcelle Ratafia et Julien Guimon) était en direct au Festival PodRennes le 20 avril 2025. À cette occasion, nous avons choisi de vous parler d'une comédienne qui a toujours souffert de l'oubli : Annie Girardot. L'actrice à la coupe garconne qui fut l'une des comédiennes les plus populaires des années 60,70 a foncer dans le tas du cinéma Français et italien et a laissé une liste de films inoubliables. Celle qui regrettait que le cinéma Français l'ait oublié lors des Césars 1996, est injustement oublié par les spectateurs de 2025, c'est pourquoi nous nous replongeons avec plaisir dans sa filmographie riche. Crédits des extraits :03'13 Extrait de la cérémonie des Césars, 1996.09'29 Extrait Rocco et ses frères, Luchino Visconti, 1960.23'08 Extrait Elle cause plus... elle flingue, Michel Audiard, 1972.29'06 Extrait de Erotissimo, Gérard Pirès, 1969.32'50 Bonhomme chantée par Annie Girardot, extrait de la comédie musicale Revue et corrigée, 1981.41'34 Extrait du spectacle Madame Marguerite de Roberto Athayde.Si vous aimez Les Bobines le Podcast, parlez en autour de vous et likez notre page insta : https://www.instagram.com/lesbobines.podcast/Et surtout abonnez-vous sur votre plateforme favorite !Bonne écoute !Les Bobines le Podcast Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:41 - Le coup de cœur, ici Orléans - À Chécy, le restaurant Le Week-end lance ses soirées apéro avec un concept inédit mêlant gastronomie et artisanat : les visiteurs pourront faire mouler leur main par le sculpteur Michel Audiard pour créer un objet unique et porteur de mémoire ce jeudi 24 avril.
Michel Audiard, un pur régal pour les fans de cinoche et de dialogues cultes ! Au micro de Vincent Perrot, le journaliste / cinéphile Philippe Lombard commente les 10 meilleures répliques parmi les plus savoureuses d'Audiard, et nous les écoutons ensemble avec les voix de Ventura, Gabin, Belmondo, Serrault... Philippe Lombard est l'auteur de « Sous la casquette de Michel Audiard » sorti chez Dunod Poche. Ecoutez RTL Petit Matin Week-end avec Vincent Perrot du 19 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:43 - Si j'osais - Ce lundi dans le Si j'osais, il est question des prochaines municipales, du rôle du maire, de baffe, d'engagement et de Michel Audiard.
durée : 00:57:46 - Toute une vie - par : Maylis Besserie - "Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière" dit Michel Audiard. La citation célèbre ne passe pas inaperçue, elle laisse, elle aussi, paraître la lumière, vive comme l'esprit et la plume de son auteur. Michel Audiard, toute une vie à dialoguer le cinéma. - réalisation : Marie Plaçais
durée : 00:58:51 - Toute une vie - par : Maylis Besserie - "Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière" dit Michel Audiard. La citation célèbre ne passe pas inaperçue, elle laisse, elle aussi, paraître la lumière, vive comme l'esprit et la plume de son auteur. Michel Audiard, toute une vie à dialoguer le cinéma. - réalisation : Marie Plaçais
Depuis 221 jours, la Belgique patiente, sans gouvernement fédéral. Une habitude ? Peut-être, mais une habitude très coûteuse : 1117 euros par seconde, selon les experts. Et surtout, un risque pour l'avenir. Entre ironie et analyse incisive, découvrez les solutions recensées et leurs limites pour sortir de cette spirale infernale. Aujourd'hui ça fait 221 jours que les Belges ont voté, 221 jours et toujours pas de gouvernement fédéral. Alors certes, ce n'est pas la première fois qu'on a ce genre de record. Souvenez-vous, en 2010-2011, on a tenu 541 jours sans gouvernement et à l'époque, on était même devenu une attraction internationale avec des concours de barbes entre politiciens pour marquer le coup. Quelle fierté ! Mais trêve d'ironie, ce n'est plus amusant du tout. En fait, selon certains politologues belges, la Belgique a passé un quart des 20 dernières années sans gouvernement de plein exercice. Vous avez bien lu un quart du temps. Alors imaginez une entreprise ou un poste clé resterait vacant pendant 25% du temps. Vous pensez bien qu'elle ne tiendrait pas très longtemps. Ce blocage coûte cher, très cher. On parle même de 1117 € par seconde selon certaines estimations, c'est vertigineux. Et pendant ce temps-là, la dette publique gonfle comme un ballon de baudruche. Les réformes nécessaires attendent et les Belges continuent d'attendre. Alors que fait-on ? Mots-Clés : éternel, bras de fer, communautaire, économique, politique, institutionnel, option, portefeuille, dotation publique, partis politiques, négociations, travailleur, boulot, salaire, pénaliser, partis d'opposition, blocages, politologue, allocations de chômage, chômeurs, emploi, urne, danger, alerte, danger, score, résultat, instabilité, minoritaire, abaisser, seuil de confiance, voter des lois, chance, solutions, limite, routine, ingouvernabilité, force, spécialité nationale, chocolat, frites, Michel Audiard, police, Sainte Vierge, résumé, situation, film, réalité, euros, normalité, compteur. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Extrait : « … Le film incarne parfaitement le style des comédies policières françaises de l'époque, mélangeant suspense, action, humour noir et beaucoup de baffes qui font du bruit, le tout porté par des répliques piquantes et inoubliables de Michel Audiard. Avec lui, même les crapules en marcel et autres voyous en costume parlaient mieux que notre pouffe olympique, quant aux forces de l'ordre, c'était du Flaubert mon vieux … »Pour commenter les épisodes, tu peux le faire sur ton appli de podcasts habituelle, c'est toujours bon pour l'audience. Mais également sur le site web dédié, il y a une section Le Bar, ouverte 24/24, pour causer du podcast ou de musique en général, je t'y attends avec impatience. Enfin, si tu souhaites me soumettre une chanson, c'est aussi sur le site web que ça se passe. Pour soutenir Good Morning Music et Gros Naze :1. Abonne-toi2. Laisse-moi un avis et 5 étoiles sur Apple Podcasts, ou Spotify et Podcast Addict3. Partage ton épisode préféré à 3 personnes autour de toi. Ou 3.000 si tu connais plein de monde.Good Morning Music Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand le patron d'une société cotée en Bourse vend ses actions, est-ce un signal qu'il faut aussi vendre les actions de cette société ? Après tout ces patrons savent ce qui se passe à l'intérieur de leur entreprise et donc ils ont des infos que nous n'avons pas. Doit-on donc les imiter et vendre aussi nos actions ? Souvent ce signal est un faux signal et c'est un peu plus compliqué que ça. En bourse, il n'y a pas 26.000 manières de gagner de l'argent. Soit vous faites des raisonnements basés sur des chiffres, des prévisions, des rapports et suite à ça vous faites des paris raisonnables. Mais voilà, le raisonnement logique ne suffit pas, sinon tous les professeurs et les conseillers en finances seraient milliardaires. Et c'est loin, très loin d'être le cas. Soit vous avez des informations que les autres n'ont pas, des informations confidentielles évidemment, mais outre le fait qu'il est très difficile d'obtenir ce genre d'informations internes, vous risquez aussi de vous faire alpaguer par les gendarmes de la Bourse qui vous accuseront de délit d'initié avec la case prison ou la case amende après la case profits. Mais certains s'estimant être plus malins que les autres, un défaut terriblement humain, regardent de près les transactions des patrons des sociétés cotées en Bourse. Ils scrutent le fait de savoir s'ils ont vendu ou pas leurs actions. En clair, s'ils vendent leurs actions, c'est que ces patrons, en principe au courant de ce qui se passe au sein de leur entreprise, c'est que ces patrons, s'ils vendent leurs actions, c'est qu'ils estiment que l'avenir de leur société est un petit peu moins rose. Et voilà pourquoi certains analystes et investisseurs privés s'amusent à regarder les transactions en actions des PDG des grandes sociétés cotées. C'est un petit peu comme le marc de café. Ils espèrent déceler une tendance avant les autres. Et sur ce plan, les amateurs d'actions de sociétés technologiques américaines sont gâtés. L'agence d'information financière Bloomberg a remarqué en effet, par exemple, que le patron de Nvidia a empoché 700 millions de dollars en vendant récemment des actions de la société qu'il a fondée… Mots-Clés : société, capitalisation boursière, mondial, milliard, dollars, intelligence artificielle, fonctionner, sommet, prendre ses bénéfices, raisonnement, simple, amplifié, dirigeant, Tim Cook, Apple, comité de direction, preuve, sociétés technologiques, arbre, ciel, revanche, contrôlé, autorités financières, délits d'initiés, gendarme financier, avance, pic, valorisation boursière, facile, raison, signal, diversifier, portefeuille, esprit, parts, passage, nouvelles technologies, Sam Altman, OpenAI, maison mère, Chatgpt, naissance, milliardaire, sentiment, inégalité, populations, signe, cygne, canards, Michel Audiard, superbe, dialogue, truand, bénéfice, partage, réclusion, additionne. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Deux photos, deux époques pour une figure emblématique du cinéma français qui vient de tirer sa révérence comme une mauvaise blague dont il n'aurait pas été fier tant son exigence était grande.Il est pour les gens Jean Claude Dusse dans les bronzés font du skiIl est (pour la haute, les politiques et ceux qui se croient plus importants que l'importance qu'on leur donne) ce personnage marginal dans Marche à l'ombre et cet acteur en pleine crise dans Grosse Fatigue (ce film qui met en abime les excès , les déboires, les dangers et les turpitudes de la célébrité.A la différence que pour le public les deux ne sont pas incompatibles et font toute la richesse de cet artiste.Mais au delà de sa carrière de comédien il est scénariste, réalisateur, producteur mais aussi dialoguiste.A l'instar de Michel Audiard celui dont les mots resonnent souvent dans nos têtes, les répliques, fines, acerbes qui nous accompagnent depuis la sonnerie de la récrée jusqu'à cette époque qui parfois nous rend nostalgique.Parlez des bronzés, du Père Noël est une ordure, de marche à l'ombre... il y a forcément une réplique que vous dites, dont vous ignorez parfois que c'est Michel Blanc qui a couché sur le papier certaines joutes verbales que vous menaient parfois entre pote à coup de "oublie que t'as aucune chance vas y fonce, on sait jamais sur un malentendu ça peut marcher" ou de "là je crois que...je vais conclure"Vous en avez en tête, les commentaires ci dessous sont là pour ça ! Ecrivez la réplique d'un film avec Michel Blanc qui vous vient en tête#cinema, #michelblanc #lesbronzesfontduski #jeanclaudedusse #nostalgietu veux créer ton podcast et tu as des difficultés ?Je t'accompagne de A à ZClique sur ce lien on en parle https://calendly.com/lionel-estanHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:26:16 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Roland Auguet - Avec Alain Corneau et Jean-Pierre Mocky (réalisateurs), Michel Audiard (dialoguiste, scénariste, réalisateur), Claude Beylie (critique), Alain Garsault (professeur de Lettres, critique), François Guérif (éditeur), Pascal Mérigeau (journaliste) et Jean Tulard (historien) - Avec des extraits de films noirs - Réalisation Chantal de Béchade - réalisation : Massimo Bellini
La citation de Michel Audiard s'imposait comme titre ce matin. Il faut quand même bien se rendre compte que les marchés financiers vivent au rythme des chiffres économiques et qu'à chaque nouvelle publication, on nous annonce une nouvelle stratégie d'investissement. L'automatisation de tout cela nous rend gentiment toxico dépendant des publications à la mode, publications … Continued
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 Minutes du 22/03/2024 Ce vendredi, l'historien Pascal Blanchard, l'écrivain et philosophe Nathan Devers, la rédactrice en chef au “Point” Géraldine Woessner et le dessinateur Pascal Gros reviennent sur l'actualité de la semaine. Souvenez-vous : on est en octobre 2016, lors de la Fashion Week. La star de la téléréalité Kim Kardashian est de passage à Paris pour l'occasion. Alors qu'elle se trouve à l'hôtel, cinq voleurs séniors en gilet fluo forcent la porte de sa chambre, dérobent sa bague de fiançailles et une flopée de bijoux, puis repartent à vélo avec le butin de neuf millions d'euros. Le braquage improbable du siècle, la rencontre entre des gangsters pépères tout droit sortis des films de Michel Audiard et une influenceuse planétaire. C'est ce que raconte la journaliste indépendante Patricia Tourancheau dans son livre-enquête “Kim et les papys braqueurs. Main basse sur les bijoux de la Kardashian”. Elle est notre invitée. Retour sur deux actualités de la semaine : Brandir ou bannir le drapeau européen : tout un programme politique ? “C'est la France d'abord, l'Europe ensuite, le drapeau européen passera toujours au second plan”. Voilà les mots de Jordan Bardella, qui, lors de son premier meeting à Marseille, est apparu avec le seul drapeau tricolore. Un choix partagé par Manon Aubry de LFI, qui a décidé de se passer du drapeau bleu étoilé en meeting. Une façon de “rompre” avec l'Europe telle qu'elle est aujourd'hui : “Le drapeau européen, ça a un sens historique. J'assume de dire qu'il faut rompre avec le tout austérité, avec les accords de libre-échange (...) J'assume de dire que ces dogmes-là conduisent au chaos”. Quel est le poids politique et symbolique de cette absence du drapeau européen ? Les émissions de CO2 ont baissé de 4,8 % en France en 2023 : cocorico ? C'est un chiffre dont le gouvernement se félicite : il représente une baisse deux fois plus importante qu'en 2022 (-2,7 %), et la plus forte diminution annuelle depuis 2015. Tous les secteurs sont concernés par cette baisse : l'énergie grâce à la montée en puissance du nucléaire, l'industrie avec le recul de la production, et les transports avec le recul des voitures diesel et la montée de l'électrique… Pour Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, “c'est la preuve que la planification écologique commence à produire des effets” mais pour certaines ONG, ce serait davantage liée à une sobriété “non choisie”, et à une baisse des émissions de CO2 “subie”. Faut-il crier victoire ? Ou cette baisse de 4,8 % est-elle encore trop faible ? Dans son duel de la semaine, Frédéric Says oppose le ministre de l'Agriculture Marc Fesneau à la sénatrice Cécile Cukierman. Cinq ans après son adoption à l'Assemblée, l'accord de libre-échange CETA avec le Canada va être voté au Sénat. Un vote négatif serait un coup dur pour le gouvernement, en pleine campagne des européennes et en pleine crise agricole. La une du "Gorafi" ? Une photo générée par intelligence artificielle ? Oui, l'ancien ministre de la Santé Olivier Véran souhaite se reconvertir à la chirurgie esthétique et Emmanuel Macron s'essaye effectivement à la boxe. Deux nouvelles qui n'ont pas manqué d'amuser les internautes, nous raconte Alix Van Pée ! “On n'est pas bien ? paisibles, à la fraîche, décontractés du gland... et on bandera quand on aura envie de bander.” En 1974, Gérard Depardieu et Patrick Dewaere se donnaient la réplique, en inoubliable duo du film de Bertrand Blier “Les Valseuses”, qui fête ses cinquante ans cette année. Une œuvre autant mythique que problématique, tant elle regorge de scènes et de dialogues sexistes et violents. Un tel film pourrait-il sortir aujourd'hui ? Claude Askolovitch se le demande. Notre Une internationale est celle du quotidien suédois “Svenska Dagbladet”, qui titrait lundi : “Tout le monde sait qu'il va gagner” à propos de la prochaine élection présidentielle russe. Pas moins de vingt-deux millions de faux bulletins auraient été comptabilisés pour permettre à Vladimir Poutine d'obtenir une réélection “record” selon Golos, une ONG spécialisée dans la défense des droits des électeurs. Une élection truquée mais le chef du Kremlin renforcé ? Retrouvez enfin les photos de la semaine sélectionnées avec soin par nos clubistes et la Dérive des continents de Benoît Forgeard ! Enregistrement : 22 mars 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
Dans la vie, il faut parfois se méfier des évidences, notamment dans le monde de l'entreprise. L'une d'elles voudrait par exemple que les jeunes générations aient moins d'ardeur au travail et soient davantage préoccupées par l'équilibre vie privée et vie professionnelle. C'est ce que pense la grande majorité des patrons d'entreprises que je côtoie ou que je rencontre quotidiennement. En réalité, ce n'est peut-être pas le cas. Il ne suffit pas de contredire un sentiment général, surtout lorsqu'il est bien ancré. Encore faut-il le prouver. C'est ce qu'a fait en France, par exemple, l'association Terranova via un sondage qui montre que ce ressenti n'est au fond qu'un ressenti et qu'au contraire, les jeunes générations sont tout aussi intéressées par leur boulot que les anciennes générations y compris. Et c'est étonnant en termes d'horaires. Mais c'est vrai que pour les jeunes, donner du sens à leur travail n'est pas une chose négociable. De même, certains peuvent aussi avoir le sentiment qu'on met sur un piédestal les jeunes générations. Et plutôt que de parler de recrutement ou de recherche d'emploi, tout le monde vous parle depuis plusieurs années déjà de guerre des talents. Sous entendu que les jeunes d'aujourd'hui auraient du talent alors que leurs aînés, en creux, auraient dû se contenter d'avoir juste des compétences. Mais au-delà de cette polémique sur les mots, d'autres études récentes montrent qu'en la matière, il y a aussi des idées fausses qui circulent en circuit fermé dans le monde de l'entreprise sur cette fameuse guerre des talents du genre… Mots-Clés : performance, stars, réalité, études, sujet, corrélation, dispersion, salaires, performance, activité, coopération, employés, dialoguiste, cinéma, français, Michel Audiard, humour, personne, personnages, con, intellectuel, postulat, améliorer, employabilité, salarié, concurrent, turn-over, intuitif, PDG, américain, dilemme, dégâts, légende, histoire, réalité. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Le cinéma français se souvient de " Un Singe en hiver" réalisé par Henri Verneuil et adapté du roman d'Antoine Blondin, comme de la première rencontre, et la seule, de deux monstres sacrés du cinéma : Jean-Paul Belmondo et Jean Gabin.Dialogué par Michel Audiard, le film est sorti en 1962, la même année que "West Side Story" et "Le Jour le plus long". 60 ans après il est devenu culte pour ses répliques, célèbres, l'alchimie parfaite entre les deux acteurs, pour l'ivresse synonyme de voyages et de fraternité et pour sa bande-originale, reconnaissable entre toutes. Elle est signée de Michel Magne, génial compositeur et fidèle collaborateur d'Henri Verneuil pour lequel il signera également la musique du film "Mélodie en sous-sol", l'année d'après.Retour sur l'une des musiques les plus célèbres du cinéma français. Crédits musique- Michel Magne "Un singe en hiver"- Extraits du film "Un singer en hiver"
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Qu'est-ce que c'est que ces bonbons ? Ils vous flinguent l'estomac ? Bien au contraire, c'est une douceur inspirée par le célèbre film de Georges Lautner avec ses répliques ciselées par Michel Audiard. C'est Jérôme Allamigeon, pâtissier, qui en a eu la bonne idée. Ecoutez La spécialité du vendredi du 10 novembre 2023 avec Patrick Tejero.
Stéphane Bern raconte un auteur aux punchlines devenues cultes, l'un des plus célèbres dialoguistes, qui a donné ses répliques aux plus grands noms du 7e art . Ou la véritable histoire de Michel Audiard, le phénix du cinéma français. Comment a-t-il marqué l'histoire du cinéma français ? Pourquoi a-t-il été boudé par une partie du métier ? Qui sont, aujourd'hui, ses héritiers au cinéma ?Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Thibaut Bruttin, historien du cinéma spécialiste de la culture populaire, auteur d'une nouvelle édition commentée des scénarios de Michel Audiard cosignés avec le dialoguiste Jean Vautrin (Institut Lumière et Actes Sud)
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de Michel Audiard.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de Michel Audiard.
C'était la France de Michel Audiard, d'«Intervilles», de Poulidor, de Claude François. En 1965, les Français vont élire le président au suffrage universel direct. C'est la première fois depuis plus d'un siècle. Dans ce nouvel épisode du Moment Histoire, Guillaume Perrault, rédacteur en chef au Figaro, vous raconte les débuts de cette élection, un mois seulement avant le premier tour de la présidentielle. Vous pouvez retrouver Le Moment Histoire sur Figaro Radio, lefigaro.fr et toutes les plateformes d'écoutes. Montage : Antoine Lion-RantyHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, durant l'été, Cyprien Cini remonte le temps pour vous raconter "Un jour pas comme les autres". Vendredi 28 juillet, retour 38 ans en arrière sur la mort du cinéaste Michel Audiard. Ecoutez Un jour, une histoire du 28 juillet 2023 avec Cyprien Cini.
Chaque jour, durant l'été, Cyprien Cini remonte le temps pour vous raconter "Un jour pas comme les autres". Vendredi 28 juillet, retour 38 ans en arrière sur la mort du cinéaste Michel Audiard. Ecoutez Un jour, une histoire du 28 juillet 2023 avec Cyprien Cini.
Fuck fiction Bookmakers #25 - L'auteur du mois : Laurent ChalumeauNé en 1959 à Paris, Laurent Chalumeau a démarré comme critique, reporter et intervieweur du magazine « Rock&Folk », taillant le bout de gras avec Johnny Cash, Ice-T ou Al Green. Un coup de fil d'Antoine de Caunes l'embarque dans l'aventure Canal+ où sa plume mordante fait rire chaque soir des millions de Français·es. Il a signé une douzaine de romans, dont, récemment, « VNR » et « Vice » (Grasset).Se définissant parfois comme « un couteau suisse contrefait », Laurent Chalumeau est également scénariste (pour Alain Corneau, Éric Rochant ou la série « Le Train ») et parolier (pour Michel Sardou, Michèle Torr, Patrick Bruel, Bertrand Burgalat ou l'un des premiers boys-band de l'Hexagone, G-Squad). Il vit et travaille près de Pigalle. Laurent Chalumeau (2/3)De 1990 à 1995, Laurent Chalumeau signe cinq fois par semaine l'une des séquences les plus vues de l'émission la plus branchée de l'époque : le sketch final de « Nulle Part Ailleurs » sur Canal+. Grâce à Antoine de Caunes et José Garcia, le critique rock qui se rêvait « grantécrivain » crée pour le petit écran des personnages franchouillardement mythiques, tels Didier l'Embrouille, Pine d'huître, Gérard Languedepute ou Raoul Bitembois – ce dernier patronyme résumant bien l'un des sujets principaux des blagues délivrées sur le joyeux plateau animé par Philippe Gildas. L'humour noir, la saleté et le mauvais esprit éclaboussent la téloche, et ça réveille. Au sujet de cette expérience, le comique de l'ombre dira cependant qu'elle fut à la fois « une très bonne école et une malédiction ». Ce que Chalumeau nous explique au cours de ce deuxième épisode, avant de revenir sur ses quatre premiers romans publiés aux éditions Grasset. Son coup d'épée initial au titre provoc', « Fuck », montre qu'il était possible en 1991 de déconstruire avec rage la culture du viol et la bêtise virile tout en étant un homme hétéro blanc cisgenre amateur de guitares braillardes ; il s'en vendra, tous formats confondus, 30 000 exemplaires. Trois ans après, « Anne Frank 2 : le retour ! », brûlot bizarre sur les compromissions de la Mitterrandie, nous renseigne sur ses indignations. Chalumeau enchaîne avec deux romans de gare imbibés de n'importe nawak (mais pas du tout nuls, par ailleurs), « Neuilly brûle-t-il ? » suivi de « Topodoco ! », et la critique commence à le citer en disciple de Michel Audiard. Le flingueur répliquera, via l'un de ses personnages de scribouillard « au physique de radio » nommé Régis Grognon : « Audiard, Audiard, par moments, on croirait que les gens parlent de Shakespeare. Après, on s'étonne que les téléspectateurs soient ce qu'ils sont. Mais quand leur idée du beau style procède exclusivement d'Audiard, tout s'explique. J'en peux plus d'Audiard. J'en peux plus des intellos qu'aiment pas Audiard. J'en peux plus des gros cons qu'adorent Audiard. J'en peux plus de vos gueules de cons d'Audiard de merde, et je vous jure que si j'entends un mot de plus sur Audiard, j'en bute un au hasard. » Enregistrement : mai 2023 - Mise en ligne : 19 juillet 2023 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son, montage : Mathilde Guermonprez - Réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Lectures : Chloé Assous-Plunian, Arnaud Forest, Mathilde Guermonprez - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Clarisse Le Gardien - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
Et si les Etats-Unis faisaient faillite? Poser la question comme ça a l'air totalement saugrenu. Comment la première puissance économique mondiale pourrait faire faillite? C'est rigoureusement impossible, direz vous. Et pourtant, c'est la question qui se pose en ce moment et qui rend d'ailleurs très nerveux les marchés financiers. Et cette faillite pourrait techniquement avoir lieu pas plus tard que ce 1ᵉʳ juin prochain. En tout cas, c'est ce qu'a laissé entendre Janet Yellen, la secrétaire américaine au Trésor ou, si vous préférez, l'équivalent du ministre des Finances aux États-Unis. Ce scénario fait peur et on voit déjà des tradeurs se positionner sur le franc suisse, la valeur refuge suprême, exactement comme en 2011, lorsque le gouvernement américain avait aussi frôlé la faillite. On peut mesurer cette nervosité des marchés financiers aux coûts des CDS. Ces trois petites lettres désignent des produits financiers qui jouent un petit peu le rôle d'une assurance contre le défaut de paiement d'un emprunteur, que ce soit une société ou un Etat. Or, justement, ces CDS, ces instruments de protection donc, ont vu leur prix augmenter. Pour les Etats-Unis, cela coûte plus cher en ce moment de s'assurer contre une faillite de l'Etat américain que contre une faillite de la Grèce, du Brésil ou du Mexique. C'est donc complètement dingue. Et pourquoi cette nervosité aujourd'hui ? Parce que, justement, les deux partis qui dirigent les Etats-Unis ne sont pas d'accord entre eux pour relever ce que l'on appelle le plafond de la dette américaine. Ce plafond, c'est le montant maximum que peut représenter l'endettement des États-Unis. Or, on devrait l'atteindre d'ici le 5 juin, au grand plus tard, selon certains calculs. Quand ce plafond est atteint, c'est simple, l'Etat américain ne peut plus emprunter d'argent sur les marchés financiers et donc il ne pourra plus payer ses fonctionnaires, ni ses créanciers, ni ses fournisseurs. En bon français, ça s'appelle une faillite. Les démocrates disent qu'il faut donc relever ce plafond sans discuter. Et les Républicains disent qu'il n'en est pas question, sauf s'il y a des concessions. Autrement dit, les Républicains estiment que les démocrates sont des dépensiers et qu'ils doivent absolument baisser les dépenses publiques. C'est un dialogue de sourds qui a lieu en ce moment. Et pendant ce temps, là bas, l'horloge fait tic tac, tic tac, tic tac. Au fond, les marchés financiers sont très nerveux, mais on estime qu'un accord sera tout de même trouvé au dernier moment, comme cela a été le cas toutes les autres fois par le passé. Bref, que ce psychodrame fait partie d'une négociation serrée, mais ni les démocrates ni les républicains ne voudront que leur pays fasse officiellement faillite. Et dehors, le calcul a déjà été fait. Si le plafond n'est pas relevé et que techniquement les Etats-Unis tombent en faillite, le chômage passerait de 3,5 % à 9 %, le PIB national, donc la richesse nationale, chuterait de 4 % et les actions plongeraient de 30 %. Sans oublier que les taux d'intérêt monteraient en flèche et que plus personne ne voudrait acheter des obligations de l'Etat américain. Ce scénario de l'horreur du relèvement du plafond de la dette se pose pour la 421ᵉ fois dans l'histoire des Etats-Unis. Il montre que le vrai problème, au fond, c'est la taille de l'Etat. Jusqu'où peut-il grandir sans cesse ? C'est comme si un ménage venait voir son banquier parce qu'il est à sec et lui promet de mieux gérer ses économies pour ne plus être dans le rouge. Promis, juré, monsieur le banquier! Oui, sauf que ce ménage a donc menti 421 fois à son banquier. Que pensez-vous que ferait un vrai banquier ? Il fermerait le compte du ménage en question et enverrait un huissier saisir la voiture ou/et l'habitation du ménage en question. Mais ça, c'est dans la vraie vie. En revanche, les États ont cette capacité d'être hors sol, de ne pas respecter les règles qu'ils imposent eux mêmes aux ménages. Et donc ce mauvais film d'horreur va continuer aux Etats-Unis, mais aussi chez nous, en Belgique ou en France. C'est ce que disait Michel Audiard « À force de vivre à crédit, les ardoises deviennent des tuiles ». --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.
durée : 00:05:03 - L'ami.e du vendredi - C'est un roi, c'est le roi Arthur. Son premier prénom, c'est Alexandre Astier, le cerveau de "Kaamelott", cette série incroyable qui, de 2005 à 2009, a remis au goût du jour les Chevaliers de la Table ronde avec un humour digne d'un mélange de Michel Audiard et des Monty Python.
C'est le regretté Michel Audiard qui disait ''Les cons ça ose tout et c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît''. En cause, la déclaration de Cathie Wood chez mes confrères de l'agence d'information financière Bloomberg, alors que le cours du bitcoin et des autres cryptomonnaies a plongé depuis quelques mois et encore plus depuis la faillite de FTX, donc la deuxième plateforme d'échanges de cryptomonnaies, voilà que Cathie Wood, qui est donc considérée comme la grande prêtresse de la crypto à Wall Street, ne se démonte pas, elle ne demande pas pardon, elle ne s'excuse même pas pour son optimisme béat et délirant. Non, pas du tout. Elle en redemande, du Bitcoin. Elle n'en a pas assez malgré sa chute libre. Elle vient d'ailleurs de prédire que le bitcoin sera à 1 million de dollars d'ici à 2030. Oui, vous avez bien entendu. Vous ne rêvez pas, 1 million de dollars d'ici sept ans, quoi. Et quant aux difficultés actuelles, voici ce qu'en pense Cathie Wood, notre gourou des cryptomonnaies. Je vous la cite ''On a besoin de se confronter à des crises, tout d'abord pour voir qui survit, mais aussi pour tester l'infrastructure et les thèses. Nous pensons encore une fois que le bitcoin s'en sortira très bien.'' fin de citation. Alors je traduis ces propos hallucinogènes en français courant : j'ai toujours confiance dans ces monnaies qui n'en sont pas encore… ''Si vos attentes augmentent au même rythme que vos résultats, il n'y a aucun sens à vous évertuer à faire toujours mieux. Une fois l'effort supplémentaire fourni, vous éprouverez encore un sentiment d'insatisfaction. Il y a danger lorsque le fait d'avoir goûté au plus d'argent, plus de pouvoir, plus de prestige démultiplie votre ambition au lieu de démultiplier votre satisfaction. Cela signifie que quand vous avancez d'un pas, eh bien vos espérances avancent de deux. Et donc, au fond, cet auteur a raison. Et comme il l'écrit lui-même, le bonheur, c'est la réalité, moins les attentes.'' Sujets évoqués : prévisions antérieures, perdu de l'argent, Darwin, l'argent, drame, histoire, cryptoactifs, cauchemar, attitude, déni, réalité, professeur, psychologie, management, Etats-Unis, Philippe P'tit Luc, monde prévisible, contrôlable, prof d'université, maîtrise, convaincant, réalité, incertitude, commandes, psychologie, Morgan Hawes, auteur, Psychology of Money, livres, confusion, logique, monde, base, se lever le matin, perdre de l'argent, bourse, cryptomonnaies, La clé, apprendre, stopper, inflation, désirs, presse anglo saxonne, --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.
Dans cet épisode, une fois n'est pas coutume, nous nous livrons à un exercice de style pour le plaisir, à savoir vous raconter la fonction RH à partir de citations de Michel Audiard.
durée : 00:01:45 - Si j'osais de France Bleu Béarn Bigorre - Réécoutez le si j'osais de ce jeudi où il est question de départ, du Béarn, de la Polynésie Française, de préfet et à la fin de Michel Audiard
durée : 00:04:25 - Voyage en Comédie - par : Thomas CROISIERE - L'histoire d'un flic aux méthodes de voyou, d'où le titre, sur des dialogues de Michel Audiard qui connaît son Belmondo sur le bout de la plume. - invités : Marie Laforêt, Georges Lautner - Marie Laforêt : Chanteuse et actrice, Georges Lautner : Réalisateur et scénariste français - réalisé par : François AUDOIN
durée : 00:02:39 - Fier de mon 37 France Bleu Touraine - Il fait partie de ces artistes incontournables en Touraine
C'est le grand titre de La Croix et la question taraude la presse ce matin. « Et maintenant, que peut-il faire ? », s'interroge en écho Le Parisien avec cette photo d'un Emmanuel Macron plus que songeur… Libération relate la soirée électorale dans le jardin d'hiver de l'Élysée dimanche soir : autour de ses proches et des conseillers, « "la mine défaite", Emmanuel Macron, lui, fait bonne figure. Mieux, il tente de détendre l'atmosphère en détournant, comme il le fait toujours dans les situations délicates, du Michel Audiard : "On entre dans le bizarre", déclare-t-il. Traduction d'un témoin de la scène : '"Il voulait dire que se retrouver dans une situation type IVe République avec les institutions de la Ve, c'est entrer dans le bizarre". De fait, raconte encore Libération, le chef de l'État enchaîne les coups de fil et commence à compter et recompter. "À ce moment-là, il est déjà dans l'après. Il s'attache à regarder quel parlementaire peut cohabiter pacifiquement avec son groupe", dit un de ses proches. » Où est le pouvoir ? Alors, s'interroge Le Parisien : « où trouver des alliés pour gouverner, sachant que les Marcheurs ne croient guère possible des accords d'appareils avec d'autres formations, notamment LR ? Comment organiser une majorité relative étriquée et sans chefs après la chute de Richard Ferrand et de Christophe Castaner ? Comment remplacer les ministres battus ? En somme, comment rebondir ? » « Où est le pouvoir ? », s'interroge en écho La Dépêche du Midi. « Un gouvernement qui n'a plus les mains libres peut-il encore gouverner ? Un président, isolé à l'Élysée, peut-il assumer pleinement toutes ses prérogatives et donner le ton du débat politique ? Une Assemblée nationale aussi éclatée peut-elle combler ce vide sidéral ? » Vers une renaissance du parlementarisme à la française ! Eh bien oui, répond La Croix : « bien sûr, notre pays ne va pas renouer subitement et comme par miracle avec la culture parlementaire », estime le quotidien catholique. Mais, « pour éviter la crise de régime, tout le monde a intérêt – et nos députés les premiers – à suivre une formation accélérée aux bonnes pratiques du parlementarisme, en allant regarder ce qui se fait chez la plupart de nos voisins européens. Règle n°1 : le compromis n'est pas nécessairement compromission avec le camp adverse ou trahison de ses électeurs. Il est même honorable s'il permet de faire un pas vers l'intérêt général. Règle n°2 : en politique, on a rarement raison tout seul, a fortiori dans la période qui s'ouvre devant nous. » Et on revient à Libération pour qui il faut s'attendre à une « vraie Renaissance du parlementarisme à la française, avec ses débats houleux, ses deals de couloirs, ses compromis tard dans la nuit, ses stars des séances plénières et ses Machiavel des commissions en chambre. » Et Libération de s'interroger : « en quoi est-ce si grave ? En quoi est-ce qu'une France "gouvernable" pourrait améliorer le quotidien de ses citoyens, alors même que son président a maintes fois prouvé qu'il ne sait pas changer ? La refondation tant voulue va devoir commencer par l'Élysée. Après tout, conclut Libération, il est grand temps qu'Emmanuel Macron donne l'exemple. » La vertu des arrangements nécessaires… « De l'optimisme, Marianne ! », lancent Les Dernières Nouvelles d'Alsace : « jamais l'Assemblée nationale n'a reflété à ce point la diversité politique et sociologique du pays. (…) Que cela plaise ou non, les électrices et les électeurs ont restauré l'autorité du Parlement au cœur d'une Ve République qui s'est présidentialisée depuis le référendum de 1962 sur l'élection au suffrage universel direct. Les coalitions à géométrie variable vont faire vivre le palais Bourbon dont le centre de gravité se déplacera à droite malgré le retour en force de l'union de la gauche. Les députés godillots se feront plus rares et la politique gagnera en intensité. Les répercussions de la gifle du 19 juin 2022 sont (encore) insoupçonnées. » En effet, renchérit Sud-Ouest, « sans aller d'emblée jusqu'à un contrat de coalition à l'allemande ou à la scandinave, ne peut-on exiger des élus qu'ils pensent à l'intérêt du pays en lançant des passerelles plutôt que des anathèmes ? (…) La législature qui s'ouvre nous plonge en terre inconnue, à deux doigts de la crise de régime. Mais elle pourrait, estime Sud-Ouest, après des turbulences inévitables, commencer à changer la culture politique française en lui enseignant, au pied du mur, la vertu des arrangements nécessaires. »
durée : 00:03:19 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Daniel Morin adore voir Rachida Dati sur les plateaux télé ! Il l'imagine en personnage de Michel Audiard...
durée : 00:03:19 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Daniel Morin adore voir Rachida Dati sur les plateaux télé ! Il l'imagine en personnage de Michel Audiard...
Wapx075 Dans cet épisode : Lord Vinheteiro et le poulet en plastique There is no game Queen & David Bowie : Cool cat Under pressure Mercury & Bowie a capella L'histoire racontée par Waxx Covers : Dave Winkler : Zombie Leo Moracchioli : Say say say Cody Fry : Eleanor Rigby Amazing Buskers : Take five Stacy Ryan : September Des voix : Michael Jackson : Thriller (voix déconstruites) Jacob Collier : Remixes Sons zarbi : Laurent Bernadac : ClimaX Device Orchestra : Ghostbusters A.G. Cook : Start up The Kiffness : Techno Horse David Bennett : 10 chansons "piquées" par les Beatles Trucs en vrac : Classical with drums Bob Marley vs Soft Cell : Is this tainted love ? Mission Impossible live à la guitare La +BCdM : Cat Stevens : Father & Son Version live par Sandie Shaw - Johnny Cash & Fiona Apple - Me first and the gimme gimmes - Yusuf / Cat Stevens - en duo avec lui-même Cat Stevens : Matthew and son Cat Stevens : The first cut is the deepest Cat Stevens : Lady d'Arbanville The Flaming lips : Flight Test La Playlist de la +BCdM : sur le Tube à Walter sur Spotify (merci John Cytron) sur Deezer (merci MaO de Paris) sur Amazon Music (merci Hellxions) et sur Apple Music (merci Yawourt) Voter pour la Plus Belle Chanson du Monde Le son mystère (41'30) : Bernard Blier interviewe Michel Audiard et réciproquement Avec : Agent Dagguy Aude David Ward MaO Pat Hogun Armos Arno Doucet Karine Pincho Christophe Pop goes the WZA Grincheux Merci à : Guillaume David M. Phil Goud K Rot LYC Barberouss Kobal Thomas Crayon Dewey Didier Niko Krisquette Aymeric Agent Dagguy Podcasts et liens cités : Les Yeux Clos Galaxie Pop Oxymut Le générique de fin est signé Cousbou walter@linaudible.com
It's time for us to start our three-episode look at Victor Hugo's Les Misérables, which concludes in our 100th episode! With today's episode 98, we're look at the book, and six major French- and English-language adaptations from 1934 to 1967. In this episode we discuss: Victor Hugo's original 1862 novel The 1934 French three-part movie, directed by Raymond Bernard, written by Bernard and André Lang, and starring Harry Baur and Charles Vanel The 1935 American movie, directed by Richard Boleslawski, written by W.P. Lipscomb, and starring Fredric March and Charles Laughton The 1937 American radio drama, directed by, written by, and starring Orson Welles The 1952 American movie, directed by Lewis Milestone, written by Richard Murphy, and starring Michael Rennie, Robert Newton, and Edmund Gwenn The 1958 French movie, directed by Jean-Paul Le Chanois, written by Michel Audiard and René Barjavel, and starring Jean Gabin and Bernard Blier The 1967 British television series, directed by Alan Bridges, written by Giles Cooper and Harry Green, and starring Frank Finlay and Anthony Bate Footnotes: Les Misérables and France's Many Revolutions from Khan Academy You can follow Adapt or Perish on Twitter, Instagram, and Facebook, and you can find us and all of our show notes online at adaptorperishcast.com. We're also on Patreon! You can find us at patreon.com/adaptcast. We have multiple reward levels, which include access to a patron-only community and a patron-only, biweekly bonus show! We hope to see you there. If you want to send us a question or comment, you can always email us at adaptorperishcast@gmail.com.
Détour aujourd'hui par le cinéma d'Henri Verneuil avec "Cent mille dollars au soleil". La synthèse parfaite entre divertissement et vision d'auteur, rythmé par les éclairs de génie d'un Michel Audiard en grande forme. Retrouvez nous également par écrit sur lesrefracteurs.fr Sur Facebook: https://www.facebook.com/lesrefracteurs Sur Twitter: https://twitter.com/lesrefracteurs N'hésitez pas à vous abonner et partager si vous aimez nos chroniques.
Au cinéma, 1985 est l'année des sorties d'After Hours de Scorsese, de Rocky IV, de L'année du dragon de Cimino, des Goonies et de Retour vers le futur de Zemeckis. Sidney Pollack reçoit l'oscar du meilleur film pour Out of Africa et Kusturica la palme d'or pour Papa est en voyage d'affaire. Cette année-là disparaissent l'actrice Simone Signoret, l'écrivain, scénariste et surtout immense dialoguiste Michel Audiard. L'acteur et cinéaste américain Orson Welles meurt à Hollywood, terrassé par une crise cardiaque, le même jour que l'acteur américain Yul Brynner qui lui décède à New-York. Concernant la musique, les premières "Victoires de la Musique" se sont déroulées le 23 novembre 1985 au Moulin Rouge. Retour en musique sur cette année 1985 Amebix/Fear Of God Clan Of Xymox/Stranger Fifth Column/Where Are They Now Corrosion Of Conformity/Loss for Words Killing Joke/Eighties Meat Puppets/Too Real New Model Army/Ambition Rites of Spring/For Want Of The Sisters of Mercy/Marian (Version) Red Lorry Yellow Lorry/Talk About The Weather
“Les lois de Michel Audiard”
“Les lois de Michel Audiard”
Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 19851, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse. S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite, un des seuls regrets qu'on lui connaisse est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.
Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 1985, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse. S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite, un des seuls regrets qu'on lui connaisse est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard
Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 19851, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse. S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite2, un des seuls regrets qu'on lui connaisse3 est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard
Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 1985, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse. S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite2, un des seuls regrets qu'on lui connaisse3 est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard
Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 1985, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse. S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite, un des seuls regrets qu'on lui connaisse3 est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard
Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 1985, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse. S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite2, un des seuls regrets qu'on lui connaisse3 est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard
Ce dimanche, Vincent Perrot va célébrer le double anniversaire des deux amis Mireille Darc et Michel Audiard avec une interview inédite de la belle Mireille ! et puisque les cinémas rouvrent enfin, qu'irez-vous voir au ciné dès mercredi ? C'est à découvrir dans RTL POP CINE dimanche à 14h sur RTL !
Michel Audiard est né à Paris, dans le 14e arrondissement, qu'il ne quittera jamais vraiment. Il arrête les études après le certificat d'études et passe son temps à dévorer les grands classiques comme Zola et Balzac, dont il a déjà tout lu 14 ans ! Le vélo est sa seconde passion, et lors de la Seconde Guerre mondiale, il participe à l'exode sur deux roues. Il est vite ramené à Paris, où les privations de l'occupation allemande sont pour lui une épreuve insupportable. A la Libération, il rentre au journal L'étoile du soir, dans lequel il tient une chronique, puis devient critique cinéma. En 1949, André Hunebelle lui propose de scénariser un film policier : Mission à Tanger, puis d'autres propositions suivent rapidement : Le Passe-muraille (1951) ou L' Ennemi public N°1 (1953), et les dialogues font mouche auprès des critiques comme du public. Le style Audiard est un mélange de langage imagé entendu dans la rue ou dans les bistrots du 14e arrondissement et de sa culture littéraire. Les personnages qui "parlent l'Audiard" s'embarquent dans des tirades qui mêlent argot, humour moqueur et périphrases pour la plus grande joie de ses interprètes et du public. Dans les années 50 et 60, l'auteur est omniprésent sur les écrans, signant de son nom ou aidant anonymement un ami scénariste en panne d'inspiration. La comédie et le film policier sont ses genres de prédilection, et ses sujets de scénarios sont régulièrement issus de ses lectures. Une rencontre va être déterminante pour sa carrière, celle de Gilles Grangier. Alors qu'ils viennent de terminer Poisson d'avril (1964), les deux hommes travaillent ensuite sur Gas-oil (1955), qui marque la rencontre entre Audiard et Gabin. Futé, le premier comprend vite que le second est l'homme qui lui manquait pour asséner des dialogues tirés au cordeau. S'ensuit une collaboration de 17 films entre les deux hommes, tous des succès populaires comme Le Cave se rebiffe (1961) ou Un Singe en hiver (1962). Le triomphe arrive avec Les Tontons flingueurs (1963) dont Audiard signe les dialogues. Dès lors, les classiques s'enchainent : Les Barbouzes, Cent mille dollars au soleil (1964), La Métamorphose des cloportes (1965). Dès lors, la réputation d'Audiard dépasse celle des metteurs en scène pour qui il travaille, et parfois même, il les efface. Alors même qu'il n'est que dialoguiste, on l'assimile parfois au scénariste du film. Sur les affiches des films auxquels il collabore dans les années 60-70, la taille de son nom dépasse parfois celui du réalisateur. L'idée de passer derrière la caméra commence alors à l'effleurer, et en 1968, il signe sa première réalisation : Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. C'est la naissance des titres à rallonge chers à Audiard, et d'une carrière riche de huit films, dont Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques et Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! (1970). Parmi ses acteurs fétiches Bernard Blier, André Pousse, Michel Serrault, Jean Carmet, Mireille Darc ou Annie Girardot. Il cessera la direction d'acteurs en 1974, après la perte d'un de ses fils, François, qui se destinait lui aussi à la réalisation. Après ce drame, Audiard se fait plus rare, mais reprend son métier de dialoguiste au service de la nouvelle génération, notamment Jean-Paul Belmondo. Ainsi, il signe des tirades mythiques dans L' Incorrigible, Le Corps de mon ennemi (1975), L' Animal (1977), Le Guignolo (1980) ou Le Professionnel (1981). L'œuvre d'Audiard se fait parfois plus sombre, comme pour Garde à vue (1981), pour lequel il reçoit le César du meilleur scénariste, ou encore Mortelle randonnée (1983) de Claude Miller. Audiard écrit également. Il avait rédigé des polars dans les années 50 et rédige en 1978 "La nuit, le jour et toutes les autres nuits", roman un peu autobiographique, pour lequel il reçoit le prix des Quatre jurys. Il collabore à certains scénarii avec son fils Jacques , devenu lui aussi réalisateur. Son dernier scénario sera celui de La Cage aux folles III, réalisé par Georges Lautner. Michel Audiard s'éteint en 1985, à l'âge de 65 ans
Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 19851, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse. S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite, un des seuls regrets qu'on lui connaisse est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline.il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer.
Ce matin, Nicolas revisite la langue de Molière avec l'aide de Michel Audiard et Albert Simonin dans une chronique de punchlines...
Starsky et Hutch en Renault Scénic arrêtés par la gendarmerie ; un chauffard qui venait d'acheter une Ferrari a été interpellé au bout d'un kilomètre et demi, privé de permis et à vu sa voiture confisquée ; un koala qui provoque un carambolage et qui prend le volant ; un chien qui dénonce sa maîtresse pour non-respect du couvre-feu ; des cochons qui savent jouer avec un joystick à un jeu vidéo ; un appel au secours, une porte défoncée par la maréchaussée et une surprise ; un maître chanteur hackeur un peu jeune en Inde ; un avocat qui ne sait pas se débarrasser de son filtre chat pendant une audience au Texas ; l'histoire incroyable du chat « chasseur de souris en chef » pour le gouvernement de Sa Majesté Britannique à la longévité exceptionnelle, il est là depuis dix ans, a publié un livre et à 430 000 abonnés de plus que moi sur Twitter ; des rencontres pour célibataires dans un supermarché ; un mec recherché pour avoir volé une bague de fiançailles à sa fiancée pour l'offrir à une autre femme ; un zoo de New-York qui propose d'offrir des cafards géants pour la saint Valentin ; les conséquences fâcheuses de l'absorption de gel hydroalcoolique ; un gars qui transforme des armes en instruments de musique ; un igloo à vendre au Royaume-Uni ; et un gars qui installe un écran géant devant la maternité pour communiquer avec sa compagne à qui la famille ne peut rendre visite ; voici les infos insolites de la semaine. Merci à Starsky & Hutch (évidemment), à Francis Cabrel, Dominique Dimey, Sébastien Patoche, Michel Audiard, France Gall, les Simpson, les Nuls, Talia Shire, Burgess Meredith, Burt Young, Carl Weathers & Mr. T, Steve Waring, Gilbert Bécaud, Hughes Aufrey, les Inconnus, Audiard et les Tontons Flingueurs, Full Metal Jacket, Natalie Tual… (Tous les extraits sonores sont utilisés ici gratuitement soit à titre de citation dans un but d'illustration, de parodie et très rarement sérieusement – comme ce podcast qui est lui aussi gratuit, illustratif, peu sérieux quoique sourcé et non monétisé. Si ça embête un ayant-droits qu'il n'hésite pas à me contacter.) Contact baltique chez gmail.
Chaque samedi dans CLAP !, Matthieu Charrier revient sur l'actualité du Septième art, en compagnie d'invités.
Chaque samedi pendant une heure, le spécialiste cinéma d'Europe 1 Mathieu Charrier et ses chroniqueurs font le tour de l'actualité du septième art.
durée : 00:03:11 - Dans le prétoire - Parfois, le juge est énervé, fatigué, ou s'est juste levé du pied gauche. Et cela donne des audiences où les dialogues semblent signés Michel Audiard.
Avec « Oh pardon, tu dormais », Jane Birkin revient avec un nouvel album intime, doux et délicat composé avec ses amis de toujours, Étienne Daho et Jean-Louis Piérot. Jane Birkin a une voix reconnaissable entre toutes. Son timbre, son accent, sa sensibilité ont fait de cette Londonienne l'une des grandes interprètes de la scène artistique francophone. Au théâtre, au cinéma avec Claude Zidi ou Michel Audiard, et bien sûr dans la chanson avec l’homme à la tête de chou, Serge Gainsbourg. Douze ans après « Enfants d’hiver », elle vient nous présenter un nouvel album de chansons originales. Le second seulement de sa carrière. Entre ombre et lumière, elle met des mots sur le temps qui passe, sur ses doutes, sur ses douleurs les plus intimes. Et sur les arrangements et symphonique d’un ami de la famille, Étienne Daho, et de son complice Jean-Louis Piérot. « Oh pardon, tu dormais », le nouvel album de Jane Birkin est disponible chez Kachalou/Barclay/Universal. → Jane Birkin sur RFI Musique En fin d'émission, la chronique musique d'Alain Pilot. Il présente « Amor bay », le nouvel album d’Animal Triste, sorti sur le label M2L.
Il était une fois est l'une des nombreuses émissions d'ERFM. Cette petite émission musicale vous conte une histoire à sa manière. Matériel requis : enceintes haute fidélité, lumière tamisée, fauteuil club et verre de whisky. Bonne écoute ! Pour ce quinzième épisode, nous partons à la redécouverte du dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse, Michel Audiard. Source: https://bit.ly/3oBfieH
durée : 00:58:49 - Toute une vie - par : Maylis Besserie - "Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière" Michel Audiard. La citation célèbre ne passe pas inaperçue, elle laisse, elle aussi, paraître la lumière, vive comme l’esprit et la plume de son auteur. Michel Audiard, toute une vie à dialoguer le cinéma. - réalisation : Marie Plaçais
Scénariste et réalisateur, Michel Audiard reste le dialoguiste numéro 1 du cinéma français. Ses répliques spécialement écrites pour ces monstres sacrés que furent Jean Gabin, Lino Ventura ou encore Jean-Paul Belmondo, font aujourdʹhui partie intégrante de notre patrimoine culture. Philippe Lombard, auteur de cet ouvrage "Le livre petit mais costaud" paru aux éditions Hugo Image, vous propose de (re)découvrir la vie et lʹœuvre de ce génie en verbe, né il y a tout juste 100 ans. Philippe Lombard est lʹinvité de Rafael Wolf.
Mon invité a vécu plusieurs vies. Il a été mécanicien, pilote et même… vendeur d'engins de chantier ! Puis il est devenu un journaliste automobile à l'humour décapant et à la une plume reconnaissable entre mille. Au fil des années, vous avez pu le lire dans Auto Hebdo, Échappement, 4X4 Magazine, Sport Auto… et j'en oublie. Forcément, avec un parcours aussi incroyable, préparez-vous à entendre de sacrées histoires ! Et narrées avec talent, car mon invité est un peu le Michel Audiard des journalistes auto ! Je reçois dans cet épisode Yves Bey-Rozet. Et Yves, c'est un personnage, un garçon à la langue bien pendue ! Si bien qu'exceptionnellement, je vais lui consacrer deux épisodes. Dans cette deuxième partie, il rend hommage à quelques unes des plus belles plumes de la profession qu'il a eu la chance de croiser, et évoque aussi ses meilleurs (et moins bons !) souvenirs d'essai. Vous aimez cet épisode ? Abonnez-vous ! Et n'hésitez pas à laisser une note et un commentaire sur la plate-forme où vous récupérez ce podcast ;-) Merci ! Vous pouvez aussi retrouver Histoires d'autos sur Facebook et Twitter. Photo © Yann Lefebvre
Mon invité a vécu plusieurs vies. Il a été mécanicien, pilote et même… vendeur d'engins de chantier ! Puis il est devenu un journaliste automobile à l'humour décapant et à la une plume reconnaissable entre mille. Au fil des années, vous avez pu le lire dans Auto Hebdo, Échappement, 4X4 Magazine, Sport Auto… et j'en oublie. Forcément, avec un parcours aussi incroyable, préparez-vous à entendre de sacrées histoires ! Et narrées avec talent, car mon invité est un peu le Michel Audiard des journalistes auto ! Je reçois dans cet épisode Yves Bey-Rozet. Et Yves, c'est un personnage, un garçon à la langue bien pendue ! Si bien qu'exceptionnellement, je vais lui consacrer deux épisodes. Dans celui-ci, on remonte aux sources de sa passion pour l'auto, à ses débuts en compétition et à sa carrière dans le journalisme automobile. Vous aimez cet épisode ? Abonnez-vous ! Et n'hésitez pas à laisser une note et un commentaire sur la plate-forme où vous récupérez ce podcast ;-) Merci ! Vous pouvez aussi retrouver Histoires d'autos sur Facebook et Twitter.
C'est le nouveau rendez-vous proposé pendant ce (re)confinement. Après une première demi-heure de réflexion, toute l'équipe d'On est fait pour s'entendre vous invite à vous faire du bien. Au programme tous les jours à partir de 15h, du cinéma, de la culture, de la musique, mais aussi de la cuisine. Bref, un beau programme pour se concentrer sur, et seulement sur ce qui nous plaît et nous fait du bien. Et aujourd'hui, on parle du célèbre croque-monsieur, et de l'un de plus grands scénaristes français au cinéma, Michel Audiard. Invités : - Sonia Ezgulian, cuisinière, auteur et journaliste - Stéphane Boudsocq, journaliste cinéma à RTL
Dans ce deuxième numéro, feuilletons la vie et l’œuvre de Michel Audiard, le plus célèbre dialoguiste du cinéma français. Une personnalité attachante et paradoxale, hier décriée, aujourd’hui consacrée. Musiques : Bande originale du film Un Singe en Hiver composée par Michel MagneSerge Gainsbourg : Requiem pour un con (extrait de la bande originale du film Le Pacha)Bande originale du film Les tontons flingueurs composée par Michel MagneBande originale du film Garde à vue composée par Georges Delerue
Dans cet épisode, le trio Gravlax – Papa(Gubi)da – Casa se penche sur la trilogie de livres « Le Cinéma Français, C’est de la Merde ! » du collectif Distorsion. Chacun y a pioché un film qu’il voulait voir mais qu’il n’avait pu visionner jusqu’alors. Bon voyage dans quelques pépites du cinéma francophone. Les films proposés dans cet opus sont : - 2’40 / Le film de Gravlax : « L’homme qui voulait savoir » de George Sluizer ( 1987 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=115820.html - 30’ 45 / Le film de Gubi : « Le Créateur » d’Albert Dupontel ( 1999 ; SPOILERS à partir de 45:50 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=19527.html - 55’30 / Le film de Casa : « L’Auberge Rouge » de Claude Autant-Lara ( 1951 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=3652.html Recommandations ( vers 1h23 ) et films évoqués : - Gravlax : « La Disparue » ( The Vanishing ; son remake américain ) de George Sluizer ( 1993 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=32602.html « Rue Barbare » de Gilles Béhat ( 1984 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=49139.html « Le retour de Martin Guerre » de Daniel Vigne ( 1982 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1958.html La vraie reco : « À droite toute » de Marcel Bluwal ( 2009 ) http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=3622.html - Gubi : La vraie reco : « Au revoir là-haut » d’Albert Dupontel ( 2017 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=230699.html « Enfermés dehors » d’Albert Dupontel ( 2006 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=58967.html « Barton Fink » des Frères Coen ( 1991 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=7017.html « Un baquet de sang » de Roger Corman ( 1959 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=21880.html « Une veuve en or » de Michel Audiard ( 1969 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=52303.html « Le Daim » de Quentin Dupieux ( 2019 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=261030.html - Casa : « L’Auberge Rouge » de Gérard Krawczyk ( 2007 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=119641.html Musique diffusée durant l’épisode : - Générique « Loud Pop » ( Gravlax ) - Henny Vrienten « Theme from Spoorloos » - Henny Vrienten « Outro from Spoorloos » - Jerry Goldsmith « Diane and Jeff » - Jerry Goldsmith « Scomparsa » - Mozart « Piano Concerto n°21 in C Major, K 467 » - Edvard Grieg « Peer Gynt – Suite N°1, opus 46 / In the Hall of the Mountain King » - Claude Debussy « Nocturnes – Sirènes » - René Cloarec : « La Complainte de l'Auberge Rouge » / « Marguerite de la Nuit – Thème dramatique » / « Le Diable au Corps – Générique et finale » / « Le Meurtrier – Concerto pour piano et orchestre » / « Le Meurtrier - Prologue » / « En cas de malheur - Romantique » - Éric Volpatti « Blunted Scalpel » - Hector Drand « Générique Rue Barbare » - Antoine Duhamel « Générique et outro d’ À droite toute » - Christophe Julien « Albert Swing » - Alexandre Azaria « L’attaque du carosse » - Perry Pregler « Superhero Swagger Instrumental » Bonus : - Différences “L’homme qui voulait savoir” et son remake américain “La Disparue” ( à voir si vous avez déjà vu le film ; en anglais ) : https://www.youtube.com/watch?v=063Ka3HzXHA - Interview de Bernard-Pierre Donnadieu sur « Rue Barbare » et son implication dans le personnage de Mathias Hagen : https://www.dailymotion.com/video/x325rpm - Épisode de « Pellicules et Pourritures Nobles » de Gravlax sur « Rue Barbare » de Gilles Béhat ( 1984 ) : https://podcloud.fr/podcast/pellicules-et-pourritures-nobles/episode/episode-04-rue-barbare-de-gilles-behat-1984-slash-du-sang-de-la-chique-et-du-mollard - Épisode de « Hondelatte raconte » sur l’auberge de Peyrebeille : https://www.youtube.com/watch?v=oMqayDpvbMg - Les 3 volumes du « Cinéma français, c’est de la merde ! » : Volume 1 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=152&controller=product&id_lang=1 Volume 2 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=161&controller=product&id_lang=1 Volume 3 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=168&controller=product&id_lang=1 Lien Twitter du podcast : https://twitter.com/TLVPodcast Page Facebook du podcast : https://www.facebook.com/M.Gravlax/ Page du podcast : https://podcast.ausha.co/tu-l-as-vu
Dans cet épisode, le trio Gravlax – Papa(Gubi)da – Casa se penche sur la trilogie de livres « Le Cinéma Français, C’est de la Merde ! » du collectif Distorsion. Chacun y a pioché un film qu’il voulait voir mais qu’il n’avait pu visionner jusqu’alors. Bon voyage dans quelques pépites du cinéma francophone.Les films proposés dans cet opus sont :- 2’40 / Le film de Gravlax : « L’homme qui voulait savoir » de George Sluizer ( 1987 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=115820.html- 30’ 45 / Le film de Gubi : « Le Créateur » d’Albert Dupontel ( 1999 ; SPOILERS à partir de 45:50 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=19527.html - 55’30 / Le film de Casa : « L’Auberge Rouge » de Claude Autant-Lara ( 1951 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=3652.html Recommandations ( vers 1h23 ) et films évoqués :- Gravlax : « La Disparue » ( The Vanishing ; son remake américain ) de George Sluizer ( 1993 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=32602.html« Rue Barbare » de Gilles Béhat ( 1984 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=49139.html « Le retour de Martin Guerre » de Daniel Vigne ( 1982 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1958.html La vraie reco : « À droite toute » de Marcel Bluwal ( 2009 )http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=3622.html- Gubi :La vraie reco : « Au revoir là-haut » d’Albert Dupontel ( 2017 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=230699.html « Enfermés dehors » d’Albert Dupontel ( 2006 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=58967.html « Barton Fink » des Frères Coen ( 1991 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=7017.html « Un baquet de sang » de Roger Corman ( 1959 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=21880.html « Une veuve en or » de Michel Audiard ( 1969 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=52303.html « Le Daim » de Quentin Dupieux ( 2019 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=261030.html - Casa :« L’Auberge Rouge » de Gérard Krawczyk ( 2007 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=119641.htmlMusique diffusée durant l’épisode :- Générique « Loud Pop » ( Gravlax )- Henny Vrienten « Theme from Spoorloos »- Henny Vrienten « Outro from Spoorloos »- Jerry Goldsmith « Diane and Jeff »- Jerry Goldsmith « Scomparsa »- Mozart « Piano Concerto n°21 in C Major, K 467 »- Edvard Grieg « Peer Gynt – Suite N°1, opus 46 / In the Hall of the Mountain King »- Claude Debussy « Nocturnes – Sirènes »- René Cloarec : « La Complainte de l'Auberge Rouge » / « Marguerite de la Nuit – Thème dramatique » / « Le Diable au Corps – Générique et finale » / « Le Meurtrier – Concerto pour piano et orchestre » / « Le Meurtrier - Prologue » / « En cas de malheur - Romantique »- Éric Volpatti « Blunted Scalpel »- Hector Drand « Générique Rue Barbare »- Antoine Duhamel « Générique et outro d’ À droite toute »- Christophe Julien « Albert Swing »- Alexandre Azaria « L’attaque du carosse »- Perry Pregler « Superhero Swagger Instrumental »Bonus :- Différences “L’homme qui voulait savoir” et son remake américain “La Disparue” ( à voir si vous avez déjà vu le film ; en anglais ) :https://www.youtube.com/watch?v=063Ka3HzXHA - Interview de Bernard-Pierre Donnadieu sur « Rue Barbare » et son implication dans le personnage de Mathias Hagen :https://www.dailymotion.com/video/x325rpm - Épisode de « Pellicules et Pourritures Nobles » de Gravlax sur « Rue Barbare » de Gilles Béhat ( 1984 ) :https://podcloud.fr/podcast/pellicules-et-pourritures-nobles/episode/episode-04-rue-barbare-de-gilles-behat-1984-slash-du-sang-de-la-chique-et-du-mollard - Épisode de « Hondelatte raconte » sur l’auberge de Peyrebeille :https://www.youtube.com/watch?v=oMqayDpvbMg - Les 3 volumes du « Cinéma français, c’est de la merde ! » :Volume 1 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=152&controller=product&id_lang=1 Volume 2 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=161&controller=product&id_lang=1 Volume 3 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=168&controller=product&id_lang=1 Lien Twitter du podcast : https://twitter.com/TLVPodcastPage Facebook du podcast : https://www.facebook.com/M.Gravlax/Page du podcast : https://podcast.ausha.co/tu-l-as-vu
Fille d’une famille bourgeoise athénienne, Melina Mercouri (1920-1994) s’est d’abord émancipée par le théâtre avant de devenir une actrice de cinéma en 1955, dans un film qui lui a donné une renommée internationale : Stella, de Michael Cacoyannis. Elle devient ensuite l’égérie de Jules Dassin, qui l'a fait notamment tourner dans Jamais le dimanche en 1960, avec lequel elle remporte le prix d’interprétation féminine à Cannes. Elle est également chanteuse et a été ministre de la Culture en Grèce après la dictature des colonels. Mais aussi : - Un entretien avec Carine Girac-Marinier, directrice du Département Dictionnaires et Encyclopédies chez Larousse. Elle nous parle de l’édition 2021 du Petit Larousse, avec ses 150 nouveaux mots et les 50 noms propres qui ont fait leur entrée dans le dictionnaire, cette année.- La chronique « La Puce », de Lucie Bouteloup se fait une toile, sur le cinéma de Michel Audiard qui aurait eu 100 ans cette année.
Le vendredi 15 mai dernier, le scénariste et réalisateur français Michel Audiard aurait eu 100 ans. Il n'en fallait pas plus à Nicolas pour lui dédier sa chronique...
Lundi 8 avril, Jacques Audiard, invité d’honneur du festival Rendez-vous organisé par l’Institut français, présentait son dernier film, Sisters Brothers. Il évoque cet étonnant western lors de la conférence de presse, et dévoile les recommandations littéraires de son père, le grand dialoguiste et réalisateur Michel Audiard, en répondant aux questions des journalistes.
Une voix grave et gouailleuse, une plume sincère, stylée façon poète du zinc, un homme engagé et délicatement bourru : Venez découvrir Govrache, slammeur, bientôt en concert à la Cigale le 16 mars 2019 (Album "Des murmures et des cris"). Dans cet entretien, on parle rimes et rythme, bars et balades, Michel Audiard et Bernard Dimey,... et on se demande comment se prononce le "e" dans l'"o" de "oenologue" ! Entre fous rires et pédagogie, nos chroniqueurs prouvent une fois de plus l'agilité de leur langue : Aurore Ponsonnet fait résonner les liaisons fatales (dites aussi "mal-t-à-propos") ; Mateusz Kukulka, notre francophoniste bruxellois, explique d'où vient l'expression belge "une fois" ; Sandrine Campese nous enseigne les rudiments de l'art du Calembour ; et Jean-Philippe Molé nous dévoile les secrets immémoriaux de la tradition orale... Vous aimez ce podcast ? Mettez-nous 5 étoiles dans Itunes, un moyen simple (et gratuit !) d'encourager notre travail et de nous stimuler pour vous donner - encore et toujours - le meilleur de nous-même. Et si vous souhaitez être informé.e en temps réel de l'actualité de La Langue bien pendue, abonnez-vous et rejoignez-nous sur la page Facebook de La Langue bien pendue Podcast. Logo : Myriam Blanchard Montage et mixage : Bruno Chantepie
Les mots de Michel Audiard, ceux du film « La Haine », le langage des cours de lycée, des rappeurs, des cours d’immeuble de nos banlieues…, bref cette langue verte déroutante, insaisissable et changeante, d’où vient-elle ? Comment s’enracine-t-elle durablement dans la culture populaire ? Est-elle une sous-langue à bannir ou, au contraire, une richesse pour notre langue française ? La Langue bien pendue reçoit aujourd’hui Aurore Vincenti, linguiste passionnée et lexicographe. Elle partage avec nous le fruit de ses recherches sur cette langue du bitume qu’elle affectionne. Déjà sur France Inter – avec sa chronique « Qu’est-ce que tu m’jactes ? », elle défendait ces mots de la rue, la créativité de ceux qui les emploient, en s’appuyant sur la musique urbaine par excellence : le rap. Ardente avocate de ce parler populaire, elle a d’ailleurs écrit un ouvrage intitulé « Les mots du bitume : de Rabelais aux rappeurs, petit dictionnaire de la langue de la rue » (Editions Le Robert) qui reprend et explicite avec espièglerie et gourmandise ces mots qu’on entend parfois sans les comprendre et dont les racines proviennent - pour certains d’entre eux – d’époques ou de pays lointains… Nos chroniqueurs ne sont pas en reste pour vous éblouir : Aurore Ponsonnet crée pour nous un arc-en-ciel avec sa chronique sur les facétieux adjectifs de couleur ; Sandrine Campese se veut la traductrice émérite des expressions codées liées aux chansons de rap (vous saurez enfin ce que c’est que le flow et le mic) assistée par un rappeur qui gagne à être (in)connu ; et enfin Jean-Philippe Molé nous fera descendre en rappel dans les bas-fonds mystérieux et interlopes où jadis, naquit l’argot… Vous aimez La Langue bien pendue ? Dites-le nous (on adore les mots doux !) - En nous rejoignant sur la page Facebook du podcast : https://fr-fr.facebook.com/lalanguebienpendue/ - En nous mettant des étoiles plein les yeux et de suaves commentaires sur Apple Podcasts
En librairie le 12 septembre 2018 et sur https://www.lesbelleslettres.com/livre/3742-l-effroi-mousquetaire. Nous sommes en 1673. Elevé en Normandie par sa tante la comtesse Janine de Bavelle, Lucien de Médebigne rêve de devenir mousquetaire. Le jour où le marquis de Verragnac se montre indélicat avec sa tante, c’est l’occasion ou jamais pour lui de monter à Paris et de laver l’affront. Duels, amours, rebondissements sont au rendez-vous. Le tout dans un genre et un style particuliers, écrit en langage argotique à la Michel Audiard.
Hyper présent sur la scène française depuis qu’il a annoncé arrêter le rap, l’artiste fascinant et ultra productif, pour qui livrer de nouvelles rimes semble toujours être une partie de plaisir, sort son nouvel album “Inferno”. On retrouve dans son projet tous les ingrédients de la recette Alkpote : de nombreuses références à la pop culture, de la vulgarité gratuite et jouissive, des rimes multisyllabiques tranchantes et toujours cette furieuse envie de rapper. Pas de suite, pas de featuring dans ce nouvel album très brut et sans artifice. Pas non plus de tube mais plutôt une succession de morceaux archi-techniques qui peut rendre le projet parfois un peu difficile à suivre. Alkpote donne peut-être l’impression de se cantonner à une démonstration de force technique mais semble toujours autant s’amuser et son plaisir est communicatif. Inépuisable, le rappeur qui ne vieillit jamais prouve encore une fois qu’il fait partie des meilleurs de sa génération. Podcast animé par Mehdi Maïzi avec Ouafa Mameche, Raphael Da Cruz et Aurélien Chapuis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONOl Kainry & Dany Dan (Ol Kainry & Dany Dan, 2005), Katana, Inferno (Alkpote, 2018), Traquenard (Alkpote, 2018), Myth Syzer, Sadisme et perversion (Alkpote, 2016), Gucci Mane, Survet' noir (Alkpote, 2018), Les Marches de L'Empereur (Alkpote, 2017), Unité 2 Feu (Alkpote & Katana, 2012), Juicy J, Who Run It (Three 6 Mafia, 2000), Caballero & JeanJass, Mike WiLL, Wiz Khalifa, Drake, Nekfeu, Rachid Taha (Alkpote, 2018), Dobermann (Jan Kounen, 1997), Michel Audiard, La Vengeance (Morsay, 2013), Philippe Katerine, Roméo Elvis, Nathalie Marquay, Hedi Yusef, GRANTURISMO, Grems, Lomepal, 2Pac, Freddie Gibbs, G Perico, & Mozzy, League of Starz, Knxwledge, TrafficRECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEURSLA RECO DE WAFFA : Hedi Yusef, un producteur-rappeur de Montpellier et son nouveau projet “PLMP”, ainsi que son groupe GRANTURISMO.LA RECO DE NEMO : Un nouveau projet sur la scène californienne, “Outcall” l’album de ALLBLACK.LA RECO DE RAPHAËL DA CRUZ : Deux morceaux de rap californien, “Colors” de League of Starz et “Relapse” de Knxwledge avec Traffic.CRÉDITSEnregistré le 2 mai 2018 à L’Antenne Paris (10 rue la Vacquerie, Paris 11ème). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Éditrice : Albane Fily. Générique : extrait de "Tyra Banks" de Nodey (Atrahasis EP) par Nodey. NoFun est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
A l’occasion de sa ressortie en salle, retour sur “Série Noire”, un film d’Alain Corneau qui en dit long sur la France de la fin des années 70. Adapté du roman de gare “Une femme d’enfer” de Jim Thompson, le long-métrage nous emmène sur les traces de Franck, représentant de commerce au bord de la crise de nerfs interprété par Patrick Dewaere. Il rencontre Mona, alias Marie Trintignant, une jeune prostituée avec laquelle il s’embarque dans une virée criminelle romanesque. Sorti après les trentes glorieuses et le premier choc pétrolier, le film est empreint de la morosité de cette période grise de la fin du 20ème siècle. Comme de nombreux long-métrages de la même époque, “Série Noire” se réapproprie une littérature jugée bas de gamme pour insuffler quelque chose de très français à cette ambiance de roman noir. Un film français emblématique qui n’a pas vieilli. Podcast animé par Thomas Rozec avec David Honnorat RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONSéries Noires (Alain Corneau, 1979), Patrick Dewaere, Marie Trintignant, Une femme d’enfer (Jim Thompson, 1954), Georges Perec, Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Myriam Boyer, John Cassavetes, Les Valseuses (Bertrand Blier, 1974), Guet-apens (Sam Peckinpah, 1972), Coup de torchon (Bertrand Tavernier, 1981), À bout de souffle (Jean-Luc Godard, 1961), Tirez sur le pianiste (François Truffaut, 1960), Pottsville, 1280 (Jim Thompson, 1964), Michel Audiard, Bernard BlierCRÉDITSEnregistré le 11 avril 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Jules Krot. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio.POUR ASSISTER AUX ENREGISTREMENTSPour assister à notre prochain enregistrement en public à L'Antenne Paris, rendez-vous sur notre page bingeaudio.eventbrite.com See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
En flagrant délitre...Un peu de choucroute - Alsace oblige, dites-vous -, quelques aristocrates déglingués, le 95 ème anniversaire de Blondin, des voyages tous azimuths, des femmes à demi rêvées, Fernando Pessoa, des marées de Riesling, des ingénieurs-son improvisés, une cantate de Bach, Rabelais chez les Cosaques, Michel Audiard, poésie bretonne, browning et drôle d'idée, grutier mystique... OLIVIER MAULIN DANS LES MOTS A LA BOUCHE !... Animateur: Yves DelafoyChroniqueurs: Théo Torrecillas, Olivier FrançoisIngénieurs du son: Erwan Quéré-Santucci, Matthieu Padulazzi
Pour ce 8ème épisode, notre invité est normand : c’est Xavier De Mazenod, patron d’Adverbe et éditeur de ZeVillage. — Parmi les références citées dans l'épisode : ► Adverbe, société de conseil et de formation spécialisée la transition numérique et organisationnelle des entreprises et des territoires : www.adverbe.com ► ZeVillage : www.zevillage.net - www.facebook.com/zevillage - https://twitter.com/zevillage ► Les explorateurs du web : https://fr-fr.facebook.com/explorateursduweb ► Groupe Facebook des Tiers Lieux Libres et Open Source Francophones : www.facebook.com/groups/447051701993005 ► Faisons décoller vos projets - Les Propulseurs : www.propulseurs.com ► L’Écloserie numérique, située au télécentre de Boitron, dispose d'un espace de coworking et d'un fablab ouverts à tous pour travailler, créer, apprendre : www.ecloserie-numerique.com ► Simplon.co, la fabrique de codeurs solidaires : https://simplon.co ► Création de nouvelles écoles numériques à la campagne – Appel à projets national : https://zevillage.net/future-of-work/creation-de-nouvelles-ecoles-numeriques-la-campagne-appel-projets-national ► Formation de 6 mois de développeurs informatiques pour l’Internet des Objets : http://ecloserie-numerique.com/project/formation-de-6-mois-de-developpeurs-informatiques-pour-linternet-des-objets ► Grande École du Numérique, un réseau de plus de 400 formations ouvertes à toutes et à tous pour se former aux métiers de demain : www.grandeecolenumerique.fr ► "Tour de France du télétravail & des tiers-lieux = le bilan" : http://www.lbmg-worklabs.com/worklabs/tourtt/tour-de-france-du-teletravail-des-tiers-lieux-le-bilan ► Architecte du travail de demain, LBMG conçoit des solutions originales et collaboratives pour travailler autrement Télétravail, coworking, tiers-lieux : www.lbmg-worklabs.com ► Baptiste Broughton | LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/baptistebroughton ► Nathanael Mathieu | LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/nathanael-mathieu-4426351 ► Les Grands Voisins – Saint-Vincent-de-Paul : https://lesgrandsvoisins.org ► Worklab Paris - Incubateur des nouveaux modes de travail : www.worklab.community ► Worklab rural – Accélérer le développement rural grâce au numérique : www.worklab.community/rural ► Le wiki Movilab, capital informationnel commun des Tiers Lieux : http://movilab.org ► La Poudrière Châtenois - Afin d'accompagner les mutations du travail dans la Plaine des Vosges et en milieu rural, nous vous accueillons dans notre espace de travail collaboratif situé à Châtenois : www.poudriere.org/chatenois ► Bienvenue dans le média du Future Of Work : http://bit.ly/2G9tULH ► Le corpoworking, un état d'esprit à insuffler chez les grands groupes : http://bit.ly/2BoUSQg ► Patrick Beja : http://patrickbeja.com/a-propos ► « La désobéissance civile » de Henry-David Thoreau (1997) : https://www.amazon.fr/d%C3%A9sob%C3%A9issance-civile-Henry-David-Thoreau/dp/2842050622 ► La citation de Xavier : « On est gouverné par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser des radis » (Michel Audiard). ► Seesmic was a suite of freeware web, mobile, and desktop applications which allowed users to simultaneously manage user accounts for multiple social networks, such as Facebook and Twitter : https://en.wikipedia.org/wiki/Seesmic ► Catherine Créhange - Blog "Un dessin par jour" : https://undessinparjour.wordpress.com ► « On voulait des voitures volantes, et on a eu 140 caractères », Peter Thiel. Vous pouvez découvrir et suivre Xavier sur : ► Twitter : www.twitter.com/xm ► Facebook : www.facebook.com/xdemazenod Vous pouvez découvrir et suivre la Poudrière sur : ► notre site web : www.poudriere.org ► notre page Facebook : www.facebook.com/poudriere.coworking ► notre compte Twitter : www.twitter.com/CoworkingNancy
Earl Stevens. Son argot vicelard, théâtral et ses mots inventés. Son écriture verbeuse aux tournures étranges et pleine de métaphores. Son flow qui joue avec le tempo, comme en improvisation permanente, laissant filer la prod pour mieux la rattraper. Mythique Earl Stevens, E-40, qui fête cette année ses 50 ans et qui prouve par là même qu’il est possible de bien vieillir dans le rap. L’occasion de se replonger dans “In a major way”, son premier album studio sorti en 1995. Un album sans concession, une heure de mob music, de groove lent, de funk ralentie, cousine sombre du G-funk. Un pied de nez aux majors jusque dans son titre, affirmation de l’indépendance de l’artiste après un deal parfait avec Jive Records, qui lui permet de sortir de Californie pour vendre partout au USA, sans renier la culture de la Bay Area. Animé par Mehdi Maïzi avec Nicolas PellionRÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONAlkapote, Pierre-Yves Bocquet (aka Pierre Evil), San Antonio, Michel Audiard, Barry Weiss, Jive Records, Pens & Pixels, Snoop Dogg, Gucci Mane. CRÉDITSEnregistré le 26 octobre 2017 au Bar à Bulles (4bis Cité Véron, Paris 11ème). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Brice Tahar. Générique : extrait de "Tyra Banks" de Nodey (Atrahasis EP) par Nodey. NoFun est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
4 minutes pour aborder les plus grandes répliques du cinéma, vous êtes bien dans Ma ligne de chance sur Radio Campus Paris. On redécouvre aujourd’hui un classique des classiques, Les Tontons Flingueurs, de Georges Lautner. C'est une célèbre phrase de Lino Ventura sur les cons que nous allons analyser. « Les cons, ça ose tout ; c’est même à ça qu’on les reconnaît. » Cette réplique de Lino Ventura nous a donné à penser, et voici notre interprétation, subjective bien sûr, de cette trouvaille du dialoguiste Michel Audiard. https://www.youtube.com/watch?v=HmI6co3ensE Fernand Naudin, joué par Lino Ventura, est persuadé que les frères Volfoni viennent de tenter de le tuer. En conséquence, il est allé se venger par un coup de poing bien placé dans la tête de Raoulf Volfoni, joué par Bernard Blier. Naudin, chez lui, se demande si les Volfoni vont venir jusqu’à son domicile. C’est la raison de sa célèbre réplique. Alors comment l’aborder ? « Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. » Ce n'est pas une définition du con par sa nature, par ce qu’il est. C'est une définition du con par ses actes, par ce qu’il fait. Et en ce sens, on peut penser à ce que dit Sartre dans L’existentialisme est un humanisme : « L’homme n’est rien d’autre que son projet, […] il n’est rien d’autre que l’ensemble de ses actes. » Ici, le con est un audacieux téméraire : il a de l’audace – il « ose » – mais il en a trop – il ose « tout ». Il ne sait pas limiter son audace, qui est irréfléchie. Le con ressemble au téméraire du dialogue de Platon, Lachès, qui ne sait pas battre en retraite du champ de bataille. Or le vrai courageux, celui qui possède une audace réfléchie, ne se jette pas à corps perdu dans toutes les combats. Si bien que le con est un téméraire qui ne comprend les limites : il manque d’à-propos. Il ne sait pas ne pas oser. Mais cette réplique de Lino Ventura nous indique autre chose d’important. En effet, non seulement le con se définit par ses actes, mais il est reconnu grâce à ses actes. Reconnu – et non pas connu. C’est à chaque une nouvelle connaissance que l’on acquiert lorsque l’on voit le con agir. On ne peut pas le reconnaître avant qu’il ait « osé tout ». La nature du con est une vérité a posteriori, après l’expérience. Ainsi, le con montre à chaque fois, à chaque nouvelle audace irréfléchie, qu’il est un con. La connerie ne se manifeste que dans l’acte irréfléchi supplémentaire. La réplique est riche : car ce ne sont pas les Volfoni qui ont tenté de tuer Naudin. Donc, l'ironie qui se cache dans la réplique se retourne contre Lino Ventura. Et lui-même finit par apparaître comme un con. Et en définitive, nous sommes tentés, à la lumière de cette analyse, de revoir Les Tontons Flingueurs, pour redécouvrir des dialogues qui n’ont pas pris une ride. Les références de l'émission: Pour aller plus loin: Sur l'homme qui se définit par ses actes (son existence) et non par ce qu'il est (son essence), L'Être et le Néant de Sartre A propos de la distinction entre témérité, courage et lâcheté, Ethique à Nicomaque d'Aristote, surtout le livre III. Quant à la reconnaissance comme une connaissance nouvelle, L'Irréversible et la nostalgie de Jankélévitch sur le retour d'Ulysse à Ithaque.
Tropical Club #43 Le Tropical Club devrait bientôt compter autant d'épisodes que la série Magnum. C'est bien parce que si Georges et Andy ne portent pas encore la moustache et qu'ils n'ont pas de Ferrari, le mini short en jean pourrait leur aller à merveille. Reste à trouver un rôle pour Xavier le plagiste, dont l'humour n'est pas sans rappeler les bonnes vieilles plaisanteries d'Higgins. Quant à Robin Master, on vous laisse découvrir qui c'est.En attendant comme chaque semaine, George et Andy vous ont préparé une belle programmation musicale très très estivale. Jean-Kevin viendra défendre les couleurs de l'été tricolore avec celle qui fut "la petite fille de français moyen", et Xavier le plagiste nous fera croire qu'il parle avec des gens du monde extérieur. Mais personne n'est dupe. Alors c'est parti pour la livraison musicale de la semaine à écouter dans son cabriolet ou dans son canapé.La playlistThe Beach Boys - Kokomo ( Cela faisait longtemps qu'on ne l'avait passé )Gavin Turek - Good look for you ( Une nouveauté qui va faire bouger vos fesses frénétiquement quand vous l'entendrez )La pépite tropicale de Jean-Kevin : Sheila - En maillot de bain ( Après avoir chanté l'école et ses bienfaits, elle chantait aussi les vacances )The wild tchoupitoulas - Hey Hey ( Indians comin'... De la musique de la Nouvelle Orléans très carnavalesque )La "dédicasse" des auditeurs par Xavier le plagiste : Yellow Magic Orchestra - Day Tripper ( De la new wave japonaise très très barré et de fait très tropical club compatible )Stevie Wonder - Don't you worry 'bout thing ( Un titre conseillé par notre ami de France Inter, programmateur de talent, monsieur Thierry Dupin )Hawaï Tau-Moe - On the beach at Waikiki ( Un vrai concentré d'exotisme à base d'océan pacifique, de ukulele et grain de sable façon début du XXe siècle )Rejjie Snow - Pink beetle ( Snow, un nom prédestiné pour passer chez nous. Mais ne t'y trompe pas. C'est de la bombe bébé )Sangally - Sunshine ( Le retour de notre ami Sangally qui sort un nouveau single qui devrait vous faire bouger tout l'été )et Gabe the dog en cadeau bonus fil rouge de l'émission... Et n'oubliez pas L’été : les vieux cons sont à Deauville, les putes à Saint-Tropez et les autres sont en voiture un peu partout.Michel Audiard[caption id="attachment_50648" align="aligncenter" width="1024"] L'équipe a un nouveau livreur de mojito.[/caption]
Hugo Frey‘s new book, Nationalism and the Cinema in France: Political Mythologies and Film Events, 1945-1995 (Berghahn Books, 2014) distinguishes between a national cinema (films made in France) and a nationalist cinema motivated by the specific agenda to promote une certaine idee de la France. Working with ideas about “political mythology” and the “film event,” Frey analyses a series of films and filmmakers, including: Michel Audiard, Jean-Luc Godard, Claude Lelouch, Jean-Pierre Melville, Marcel Pagnol, Jean Renoir, Jacques Tati, and Francois Truffaut. Contributing to a vast and complex field of work on the cinema in France since 1945, Nationalism and the Cinema in France offers readers an analysis of French “metafilms” (films about film and filmmaking) in the postwar period; the representation of French history and modernity; the conversation between French cinema and Hollywood (and France and the United States more generally); the complex relationship between French film, nationalism, and empire; antisemitism; and the politics of the extreme Right up to the mid-1990s. In our conversation, Hugo and I consider the legacies of the fifty year period covered in the book, including the links between the issues discussed in its pages and more contemporary struggles over national identity and difference. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Hugo Frey‘s new book, Nationalism and the Cinema in France: Political Mythologies and Film Events, 1945-1995 (Berghahn Books, 2014) distinguishes between a national cinema (films made in France) and a nationalist cinema motivated by the specific agenda to promote une certaine idee de la France. Working with ideas about “political mythology” and the “film event,” Frey analyses a series of films and filmmakers, including: Michel Audiard, Jean-Luc Godard, Claude Lelouch, Jean-Pierre Melville, Marcel Pagnol, Jean Renoir, Jacques Tati, and Francois Truffaut. Contributing to a vast and complex field of work on the cinema in France since 1945, Nationalism and the Cinema in France offers readers an analysis of French “metafilms” (films about film and filmmaking) in the postwar period; the representation of French history and modernity; the conversation between French cinema and Hollywood (and France and the United States more generally); the complex relationship between French film, nationalism, and empire; antisemitism; and the politics of the extreme Right up to the mid-1990s. In our conversation, Hugo and I consider the legacies of the fifty year period covered in the book, including the links between the issues discussed in its pages and more contemporary struggles over national identity and difference. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Hugo Frey‘s new book, Nationalism and the Cinema in France: Political Mythologies and Film Events, 1945-1995 (Berghahn Books, 2014) distinguishes between a national cinema (films made in France) and a nationalist cinema motivated by the specific agenda to promote une certaine idee de la France. Working with ideas about “political mythology” and the “film event,” Frey analyses a series of films and filmmakers, including: Michel Audiard, Jean-Luc Godard, Claude Lelouch, Jean-Pierre Melville, Marcel Pagnol, Jean Renoir, Jacques Tati, and Francois Truffaut. Contributing to a vast and complex field of work on the cinema in France since 1945, Nationalism and the Cinema in France offers readers an analysis of French “metafilms” (films about film and filmmaking) in the postwar period; the representation of French history and modernity; the conversation between French cinema and Hollywood (and France and the United States more generally); the complex relationship between French film, nationalism, and empire; antisemitism; and the politics of the extreme Right up to the mid-1990s. In our conversation, Hugo and I consider the legacies of the fifty year period covered in the book, including the links between the issues discussed in its pages and more contemporary struggles over national identity and difference. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les toxicos ont une vie passionnante (3/10) Notre rockeur au grand coeur - quelle formule à la con - raconte cette semaine la vie passionnante des pauvres et des toxicos. Thierry Pelletier est l'écrivain vrai qui manque à la France, le fils de Michel Audiard et de Iain Levison. Vous n'avez pas encore lu Levison ? Lisez-le, ainsi que 'Les rois du rock' (éditions Libertalia) de Thierry Pelletier. Cru, tendre, rock et politique comme cette nouvelle chronique 'Les deux pieds dans la France'. Enregistrement : 16 mai 13 - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Texte & voix : Thierry Pelletier
Michel Audiard né le 15 mai 1920