Podcast appearances and mentions of carole delga

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Politique, le choix de la semaine
Le congrès du Parti socialiste, clé de l'union de la gauche?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later May 18, 2025 2:46


À partir du 27 mai, les adhérents du parti socialiste sont appelés à choisir leurs nouveaux dirigeants, avec comme point d'orgue le congrès de Nancy mi-juin, quelques jours après la désignation du Premier secrétaire. Et le choix des socialistes pourrait être déterminant dans une éventuelle union pour la présidentielle. Les trois candidats, Olivier Faure, Boris Vallaud et Nicolas Mayer-Rossignol semblent alignés en faveur d'une candidature commune en 2027, mais sur le papier seulement. Tout le monde au PS semble désormais d'accord : il faut une union de la gauche en 2027 sans les Insoumis. Après avoir longtemps défendu le rapprochement avec LFI, Olivier Faure a finalement rendu les armes ces derniers mois, « pour ne pas perdre son poste », persifle une de ses opposantes internes. Le nouveau périmètre va donc de la gauche radicale façon François Ruffin aux sociaux-démocrates de Raphaël Glucksmann, voire à la maigre aile gauche de la Macronie, en passant par les alliés écologistes et communistes. Consensus aussi sur l'espoir que le candidat commun en 2027 soit issu des rangs socialistes, mais la stratégie pour y arriver en revanche diffère.À lire aussiLes militants du Parti socialiste face aux divisions de leur partiDeux salles, deux ambiancesIl y a d'un côté les partisans du jeu ouvert et de l'autre, ceux qui prônent le passage en force. Olivier Faure par exemple reste sur la ligne qu'il tient depuis son arrivée à la tête du PS en 2018 : un candidat socialiste si possible, mais pas d'opposition de principe à céder la place. En revanche, du côté de Nicolas Mayer-Rossignol et ses alliés, François Hollande, Carole Delga ou Anne Hidalgo, la prééminence socialiste est une priorité. Une ligne qualifiée d'« identitaire » par les Fauristes et qui passerait par le rassemblement sous un même drapeau de toute la galaxie socialiste aujourd'hui dispersée : Bernard Cazeneuve, Raphaël Glucksmann ou certains ministres et élus macronistes.À lire aussiFrance: au sein du Parti socialiste, ces voix qui s'élèvent pour rompre avec LFILes alliés moyennement intéressés« Si c'est pour se faire marcher dessus comme avec les Insoumis, non merci », cingle un élu communiste. Pas beaucoup plus d'enthousiasme côté Écologistes, où les multiples alliances passées avec le PS n'ont pas laissé que de bons souvenirs. Beaucoup défendent donc l'idée d'une primaire très large, c'est-à-dire pas seulement avec des candidats désignés par les partis. « Sinon personne ne jouera le jeu », estime une ancienne Insoumise. Les Insoumis justement, qui regardent l'agitation avec amusement : « plus il y a de divisions au PS, mieux je me porte », rigole un député LFI. À moins qu'une position centrale émerge à l'occasion du congrès socialiste : le 3ème homme de l'élection, Boris Vallaud plaide pour « une union à toute force mais pas à tout prix ». Un peu flou pour certains : « tu ne pourras pas être éternellement la Suisse », a lancé cette semaine une haute dirigeante du PS au patron des députés socialistes.

Le brief politique
Réarmement de la France : la région Occitanie prévoit un plan de 200 millions d'euros pour soutenir les entreprises de défense sur son territoire

Le brief politique

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 1:51


durée : 00:01:51 - Le brief politique - Ce plan, dont la répartition des fonds est en train d'être discuté sera voté en juin au conseil régional d'Occitanie, présidé par Carole Delga. L'objectif est de renforcer les entreprises de défense et d'encourager les investissements.

Le brief politique
La suspension du chantier de l'A69 entre Toulouse et Castres, un revers politique

Le brief politique

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 2:21


durée : 00:02:21 - Le brief politique - Ce chantier est devenu un terrain d'affrontement politique depuis deux ans. Des élus de tout bord se sont pressés sur les lieux avec, en première ligne, Carole Delga, la présidente socialiste de la région Occitanie qui défend le projet bec et ongles.

C dans l'air
Carole Delga - PS: Avec Mélenchon c'est fini?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 13, 2024 11:06


C dans l'air l'invitée du 12 décembre : Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, ancienne secrétaire d'Etat chargée du Commerce.Les Français sont toujours dans l'attente de la nomination d'un Premier ministre, une semaine après le vote de la motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier. En visite en Pologne, le président Emmanuel Macron a décidé d'écourter son séjour pour "rentrer à Paris le plus tôt possible". Une nomination serait attendue dans la soirée. Les noms de François Bayrou, Bernard Cazeneuve, ou encore Sébastien Lecornu ont souvent été cités, même si selon un macroniste cité dans Le Parisien aujourd'hui, "le président prépare une surprise".Une chose est sûre, la censure du gouvernement Barnier a remis au centre du jeu le Parti socialiste, membre du nouveau Front populaire, arrivé en tête des dernières législatives. Olivier Faure, le premier secrétaire du parti, réclame toujours un Premier ministre "de gauche", mais montre des signes d'ouverture. "On ne peut pas simplement trépigner et attendre que le président veuille démissionner", a-t-il déclaré sur Public Sénat. Il dit pouvoir "faire l'effort de ne pas censurer", dans "une recherche de compromis". Une ligne sur laquelle Carole Delga, présidente de la région Occitanie, est depuis longtemps. Elle avait affirmé dès cet été qu'il fallait que la gauche s"ouvre aux autres forces republicaines", avant de réitérer dans une interview accordée à la Tribune du Dimanche. "Les Français nous en veulent, ils sont désespérés par le spectacle que donne la classe politique", affirme-t-elle, appelant à "un accord de non-censure", "seul moyen de gouverner le pays", selon elle.Les désaccords de méthode sont donc nombreux au sein du nouveau front populaire, qui pourrait imploser. Mardi, socialistes, communistes et écologistes ont participé à une réunion à l'Elysée, mais pas la France insoumise. Dans un sondage Odoxa pour le Figaro magazine et Sud radio parue hier, Jean-Luc Mélenchon reste le mieux placé à gauche dans l'éventualité d'une élection présidentielle.Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, ancienne secrétaire d'Etat chargée du Commerce, est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur la nomination attendue d'un Premier ministre. Elle qui estime que la gauche "a rendez-vous avec l'histoire", nous expliquera comment le parti socialiste, dans un accord de non-censure, pourrait travailler avec les "forces républicaines". Elle reviendra aussi avec nous sur la colère des Français, et notamment leur défiance face aux politiques. Le mouvement des agriculteurs de l'hiver dernier, notamment, avait débuté en Occitanie.

Les matins
Carole Delga, Karim Bouamrane, Raphaël Glucksmann : la social-démocratie française en ordre de bataille

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 5, 2024 15:26


durée : 00:15:26 - Journal de 8 h - Après Carole Delga et Karim Bouamrane, Raphaël Glucksmann rassemble ses soutiens ce weekend en Gironde. L'eurodéputé cherche à convaincre que l'avenir de la gauche se fera hors du Nouveau Front populaire et se positionne à nouveau comme une alternative à Jean-Luc Mélenchon.

Le journal de 8H00
Carole Delga, Karim Bouamrane, Raphaël Glucksmann : la social-démocratie française en ordre de bataille

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Oct 5, 2024 15:26


durée : 00:15:26 - Journal de 8 h - Après Carole Delga et Karim Bouamrane, Raphaël Glucksmann rassemble ses soutiens ce weekend en Gironde. L'eurodéputé cherche à convaincre que l'avenir de la gauche se fera hors du Nouveau Front populaire et se positionne à nouveau comme une alternative à Jean-Luc Mélenchon.

Les journaux de France Culture
Carole Delga, Karim Bouamrane, Raphaël Glucksmann : la social-démocratie française en ordre de bataille

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Oct 5, 2024 15:26


durée : 00:15:26 - Journal de 8 h - Après Carole Delga et Karim Bouamrane, Raphaël Glucksmann rassemble ses soutiens ce weekend en Gironde. L'eurodéputé cherche à convaincre que l'avenir de la gauche se fera hors du Nouveau Front populaire et se positionne à nouveau comme une alternative à Jean-Luc Mélenchon.

8.30 franceinfo:
Hausses d'impôts, non-remplacement des fonctionnaires, motion de censure... Le "8h30 franceinfo" de Carole Delga

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Oct 4, 2024 25:08


durée : 00:25:08 - 8h30 franceinfo - La présidente de la région Occitanie et présidente de Régions de France était l'invitée du "8h30 franceinfo", vendredi 4 octobre 2024.

Le Média
Le Président hors-jeu ? Barnier inquiète jusque chez les macronistes

Le Média

Play Episode Listen Later Sep 13, 2024 16:06


Michel Barnier n'a pas encore nommé de gouvernement que celui-ci pourrait déjà virer au couac. A presque une semaine de sa nomination à Matignon, on n'a toujours pas l'ombre d'un nom de futur ministre. Et pour cause, ladite nomination divise. L'ancien commissaire européen envisagerait carrément la mise en place d'un ministère de l'immigration. Une idée qui inquiète jusque dans les rangs des macronistes. Selon Le Parisien, 23 députés du groupe Ensemble pour la République se sont réunis sur Telegram, créant une boucle intitulée “les progressistes”. Un proche du Premier Ministre assure auprès de nos confrères de Public Sénat, que le Président de la République n'est “plus dans le jeu”. Le chef de gouvernement aurait-il mis Macron à l'écart ? Rien n'est moins sûr. On rappelle que le Président voulait pouvoir nommer lui-même les portefeuilles régaliens… Pas sûr qu'il lâche le bout de gras. Du côté du PS, deux camps, comme toujours : les pro-Faure, et les anti-Faure qui contestent le rapprochement avec la France insoumise, Carole Delga en tête. Mais l'aile droite du PS, si prompte à la trahison et les compromissions avec le centre et la droite, ne veut pas y aller. Du côté des chefs de fil du NFP, ça joue la carte du rapport de force à fond. Toujours plus d'ignominies dans le procès Pelicot, ce mari accusé d'avoir drogué et fait violer sa femme par plus d'une cinquantaine d'hommes dénichés sur internet, et ce pendant 10 ans. "Il y a viol et viol et, sans intention de le commettre, il n'y a pas viol". Voici l'un des arguments de la défense durant l'audience d'hier. Le 10 septembre, le tribunal d'Épinal a statué sur une des plus grandes fraudes environnementales en France, impliquant le géant Nestlé Waters. Pour échapper à un procès public, la multinationale a accepté de payer une amende de 2 millions d'euros. Les associations se disent déçues par cette sanction jugée insuffisante. Surtout comparé au bénéfice réalisé par Nestlé, avec cette fraude organisée, estimé à 3 milliards d'euros. C'est le flash été du Média.

Les 4 Vérités
Gouvernement Michel Barnier, Bernard Cazeneuve, congrès du PS... Carole Delga est l'invitée du 11 septembre 2024

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Sep 11, 2024 9:20


Toujours pas de nouveau gouvernement. Depuis sa nomination, Michel Barnier poursuit les discussions avec la classe politique. « Ça ne sera pas seulement un gouvernement de droite », a-t-il déclaré lors de sa première interview à TF1. Il a également évoqué la possibilité de compter dans son gouvernement des personnalités issues de la gauche. « Je souhaitais que ce soit un Premier ministre de gauche, conformément au vote des Français, donc je ne participerai pas à un gouvernement qui ne respecte pas le vote des Français et qui ne va pas répondre à l'urgence sociale et à la nécessité d'accélérer la transition écologique », réagit Carole Delga, présidente socialiste du Conseil Régional d'Occitanie, invitée des 4 Vérités, mercredi 11 septembre 2024, sur France 2, en maintenant que ce gouvernement était « soutenu par l'extrême droite ». Parmi les sujets de discorde ? La réforme des retraites à 64 ans, que la gauche souhaite révoquer. Dans ses premières prises de parole, le nouveau locataire de Matignon a notamment déclaré qu'il était ouvert à l'idée de rediscuter de certains aspects notamment pour les plus fragiles ou encore qu'il était favorable à une plus grande justice fiscale. « Il y a eu un déni, un irrespect du vote des Français par le président de la République », affirme Carole Delga. « Je ne remets pas en cause la personnalité de Michel Barnier mais nous devons avoir une clarté. Les Français ont envoyé un message au président de la République », renchérit-elle, ajoutant qu'elle aurait voté la motion de censure si elle était députée. Premier ministre de droite : la faute au PS ? À gauche, les cadres socialistes comme Olivier Faure ou Boris Vallaud, refusent de se rendre à Matignon pour échanger avec le Premier ministre. « Je pense qu'il vaut mieux toujours avoir la volonté de dialogue et surtout d'apporter des solutions. Nous avons la nécessité, nous socialistes, de transformer la vie des gens. II est nécessaire d'être dans la discussion respectueuse mais surtout dans la proposition de solutions », tempère l'intéressée. Pourtant, avant la nomination de Michel Barnier, l'ancien Premier ministre socialiste, Bernard Cazeneuve, avait été consulté par le chef de l'Etat, mais cette candidature n'aurait finalement pas été soutenue par son propre camp à gauche. « Au sein du parti socialiste, je défendais qu'il y ait un affichage très clair à la candidature de Bernard Cazeneuve, un homme de gauche. Cela n'a pas été décidé par la direction du parti socialiste », regrette Carole Delga. Un congrès du PS est-il nécessaire ? « On doit avoir une position claire. On ne peut pas accepter que Jean-Luc Mélenchon et d'autres soutiennent des terroristes, on doit avoir une position très claire de priorité dans la lutte contre l'antisémitisme. On doit être cette gauche qui fait des services publics une arme pour lutter contre le désespoir et cette gauche qui aime l'entreprise ».

K6FM Podcasts
François Sauvadet : « La France va mal, il faut que le président s'exprime »

K6FM Podcasts

Play Episode Listen Later Aug 30, 2024 11:40


Cela fait plusieurs semaines, depuis le second tour des élections législatives le 7 juillet, que la France est sans gouvernement avec seulement un premier ministre et des ministres « démissionnaires » qui gèrent les affaires courantes. Emmanuel Macron n'a pas encore pris de décision sur la nomination du nouveau locataire de Matignon et a poursuivi ces derniers jours ses consultations avec les responsables de partis. Le chef de l'Etat recevait aussi ce jeudi la présidente des régions de France, Carole Delga, et le président des départements de France, François Sauvadet, également président du conseil départemental de la Côte-d'Or. Nous avons pu échanger avec lui ce jeudi soir pour revenir sur son entretien avec Emmanuel Macron. A noter que cette interview a été enregistrée en marge du showcase K6FM, nous avons donc commencé par parler de musique avant d'évoquer l'actualité politique. Ecoutez ci-dessous le podcast de cette interview :

Les 4 Vérités
Matignon : cherche Premier ministre désespérément - Renaud Muselier est l'invité des 4V du 29 août 2024

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Aug 29, 2024 9:07


Deux jours après avoir définitivement fermé les portes de Matignon au Nouveau Front Populaire, Emmanuel Macron poursuit la série de consultations. Et ce jeudi 29 août 2024, le chef d'État reçoit Renaud Muselier. Le président de la Région Sud est attendu à l'Élysée en qualité de responsable des régions de France, aux côtés de Carole Delga, présidente de la Région Occitanie. Vont-ils enfin parvenir à dégoter le futur Premier ministre ? « On veut que le territoire soit traité […] qu'on puisse avoir une décentralisation qui peut s'appliquer sur l'éducation, le logement et la santé. On va lui apporter une réponse politique », explique notre invité. Un véritable exercice d'équilibriste dans lequel cette figure de la macronie espère trouver un compromis avec la gauche. Le portrait idéologique de celui qui succédera à Gabriel Attal commence à se dessiner petit à petit, et semble ressembler davantage à un personnage fictif voire imaginaire, sorte de prototype capable de rassembler les groupes majoritaires et de mettre fin aux querelles partisanes qui paralysent le débat. Dans le déni d'une défaite lors des législatives anticipées, Renaud Muselier refuse d'admettre une majorité relative à gauche : « Il s'est dégagé trois gros groupes et c'est le groupe central qui est majoritaire. Comment fédérer ce groupe central ? Il faut éviter la censure immédiate » poursuit le président de la Région Sud. À gauche, la décision du président de la République qui a exclu l'hypothèse d'un Premier ministre issu du NFP, a du mal à passer. Ces derniers crient à un coup d'État et préparent déjà la riposte. En effet, il dénonce une « dérive autoritaire » du gouvernement, accusant le président de marginaliser les voix dissidentes et de refuser tout dialogue constructif avec l'opposition. Selon les représentants du NFP, cette exclusion est symptomatique d'une volonté délibérée de la majorité présidentielle de museler l'opposition et de gouverner sans concertation. « Nous assistons à une fermeture progressive des espaces démocratiques en France », a déclaré un porte-parole du mouvement. « Répéter un mensonge en permanence avec force, voire violence, n'est en aucun cas la vérité », argue Renaud Muselier tandis que François Hollande invoque « une faute constitutionnelle » de la part d'Emmanuel Macron suite à l'exclusion de Lucie Castet. Quant à Carole Delga qui accompagnera Renaud Muselier en consultation, elle estime que le prochain président de Matignon doit venir de la gauche. « La réalité c'est ce pacte de gouvernance qui doit s'appuyer sur les différents présidents de groupes. Le problème c'est la non-censure et ce sont les Socialistes qui n'arrivent pas à se décramponner des Insoumis », martèle notre invité. De son côté, l'Élysée ne semble reculer devant rien et assume parfaitement sa décision en invoquant des « propos inadmissibles » tenus par certains membres du NFP, considérés comme une menace à l'ordre républicain. Le gouvernement a affirmé rester ouvert au dialogue, mais à condition que celui-ci se déroule dans un cadre respectueux des institutions et de leurs représentants.2030 : les Jeux de retour en France ! Aux lendemains des Jeux de Paris 2024, qui ont rencontré un franc succès et éclipsé pendant quelque temps les dissonances politiques, la ferveur olympique ne désemplit pas. La France devrait renouveler l'expérience dans les Alpes-Maritimes en 2030 sous couvert de plusieurs conditions, à commencer par l'obtention d'une lettre de garantie signée par le Premier ministre. Et l'attente interminable dans laquelle Emmanuel Macron a plongé l'Hexagone pourrait avoir de sérieuses conséquences sur l'organisation de ces Jeux. Mais ce n'est pas la seule raison qui pourrait compromettre le déroulé de l'événement sur les domaines skiables. En effet, Les Écologistes dénoncent une aberration écologique par temps de réchauffement climatique. « Nous avons voté le premier budget vert d'Europe […] on compte bien l'appliquer dans la politique de la montagne » rassure Renaud Muselier.

C à vous
Législatives anticipées : Carole Delga est l'invitée de C à vous

C à vous

Play Episode Listen Later Jun 25, 2024 12:48


Quel coût pour le programme économique du Nouveau Front Populaire? Quelle réponse aux mots du présidents de la république hier qui a parlé de "guerre civil" possible à cause des extrêmes? Quelle place pour Jean-Luc Mélenchon dans les semaines à venir? Carole Delga la présidente de la région Occitanie est l'invitée de C à vous dans l'émission diffusée le mardi 25 juin 2024 à 19h sur France 5. Au programme : Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Le Barbier du matin
Carole Delga - Le Barbier du matin du 25/06/24

Le Barbier du matin

Play Episode Listen Later Jun 25, 2024 9:17


Tue, 25 Jun 2024 09:13:27 GMTRadioJRadioJnonofull09:17

C à vous
Le RN entretient le flou sur le coût de son programme

C à vous

Play Episode Listen Later Jun 25, 2024 6:38


Le RN a dévoilé son programme mais sans aucun chiffre, aucun coût. Pour quelle raison? décryptage dans l'édito de Patrick Cohen suivi de l'avis de Carole Delga pour le nouveau front Populaire. Diffusé le mardi 25 juin 2024 à 19h sur France 5. Tous les jours Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.

Les Grandes Gueules
L'outsider du jour : "Je pense que Carole Delga peut être Première ministre", Matthieu, auditeur - 14/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 14, 2024 6:14


Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le 13/14
Une union de la gauche est-elle possible ?

Le 13/14

Play Episode Listen Later Jun 11, 2024 58:54


durée : 00:58:54 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Nous recevons aujourd'hui Carole Delga, présidente du conseil régional de la région Occitanie pour parler de l'avenir de la gauche française notamment pour les prochaines élections législatives.

24H Pujadas - Les partis pris
Les partis pris : "Gauche, le divorce est consommé", "Réacteur EPR, le feu vert !" et "Allemagne, le choc politique"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later May 7, 2024 16:15


Les accrochages se multiplient à gauche. Ersilia Soudais, députée La France insoumise, a déclaré dans un post sur X (Twitter) que "le débat aujourd'hui sur la laïcité est un leurre". "Profond et respectueux désaccord avec ma collègue @ErsiliaSoudais !", lui répond le communiste Pierre Ouzoulias. Hier déjà, Carole Delga, présidente socialiste du conseil régional d'Occitanie, et Aymeric Caron, député LFI, ont exprimé des avis opposés sur après le discours de Sophia Aram sur la guerre entre Israël au Hamas depuis 7 mois. Pour Ruth Elkrief, "la gauche est plus déchirée que jamais". Ça y est ! L'Agence de Sûreté Nucléaire donne son feu vert à l'EPR, la nouvelle génération du nucléaire. Budgété à la base à 3,3 milliards d'euros, l'EPR de Flamanville pourrait coûter jusqu'à 19 milliards d'euros. Selon Marc Touati, "le coût est énorme. Mais d'un autre côté, il y a un enjeu formidable parce que la France fait heureusement ce choix de garder le nucléaire, au contraire des Allemands (...) Si on continue comme ça, on pourra également exporter notre énergie nucléaire". C'est le choc en Allemagne. Vendredi 3 mai, alors qu'il collait des affiches électorales à Dresde, l'eurodéputé Matthias Ecke a subi une agression très violente. Un jeune homme de 17 ans s'est rendu à la police dans la nuit de samedi à dimanche, s'accusant des faits. Le parquet a indiqué que trois autres agresseurs avaient été identifiés. Juste avant cette agression, un homme de 28 ans collant des affiches pour le parti des Verts, dans la même rue, a aussi été frappé à coups de pied et de poing. "Ce qui est ahurissant", réagit Abnousse Shalmani. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.

C dans l'air
Dette, déficit : qui va payer ? - L'intégrale

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 29, 2024 64:02


C dans l'air du 29 mars 2024 - Dette, déficit : qui va payer ? Sur le front économique les mauvaises nouvelles s'accumulent. Après l'annonce du déficit de 5,5% sur l'année 2023, l'agence de notation Moody's juge "improbable" que la France tienne son objectif de réduction du déficit d'ici à 2027. Mais qui va payer la note ? La piste la plus claire semble celle de l'assurance chômage. Gabriel Attal a confirmé mercredi soir au JT de TF1 qu'il comptait procéder à une nouvelle réforme de l'assurance chômage d'ici l'automne, pour combler le déficit de l'État qui vient d'être confirmé par l'Insee à 5,5 % du PIB en 2023. Trois pistes sont donc à l'étude : réduire la durée d'indemnisation, actuellement de dix-huit mois, revoir la période de travail ouvrant droit à indemnisation et réduire le niveau d'indemnisation. Ce serait donc la troisième réforme de ce type depuis 2019, mais qu'importe pour le gouvernement qui espère encore tenir sa promesse de ne pas augmenter les impôts des classes moyennes. De leur côté, les syndicats des travailleurs ne comptent pas se laisser faire : "Il est hors de question pour nous d'envisager un euro de nouvelles baisses sur l'indemnisation des chômeurs", prévient ainsi le Membre du bureau confédéral de la CGT Denis Gravouil dans Le Monde. Pendant ce temps, le débat sur les superprofits continue. Interrogé sur le sujet à la télévision, Gabriel Attal a déclaré n'avoir "jamais eu de dogme sur le sujet". De quoi faire réagir immédiatement le patron de Total, Patrick Pouyanné qui a balayé l'idée d'une taxe supplémentaire pour son groupe : "Les profits de TotalEnergies en France ne sont pas des superprofits (…) TotalEnergies a payé l'année dernière plus de 23 milliards d'euros à l'étranger". On l'aura compris, le sujet de l'assurance-chômage devrait animer les débats jusqu'à l'automne prochain. Pour Le Premier ministre, il faut qu'"il y ait plus de Français qui travaillent parce que ce sont des recettes supplémentaires" pour l'État. En première ligne, les séniors qui ont déjà vu leur durée d'indemnisation diminuer de 36 à 27 mois en février dernier. En 2022, 1,5 million des demandeurs d'emploi avaient plus de 50 ans, soit un quart des inscrits à Pôle emploi. Souvent perçus comme trop chers par les employeurs et moins malléables que les jeunes, leur âge est un vrai frein au retour à l'emploi. "Par ailleurs, expliquait la députée Renaissance Astrid Panoysan-Bouvet dans une tribune au Monde, la France est, avec le Portugal, le pays qui taxe le plus le retour à l'emploi d'un senior par rapport aux revenus d'inactivité". Résultat, cette catégorie d'âge a une durée moyenne d'inscription deux fois plus longue que les autres. Alors pour certains, c'est la débrouille, on cumule les petits emplois en attendant le départ à la retraite. Une situation à laquelle le gouvernement veut remédier avec la signature du "nouveau pacte de la vie au travail". Mais signe de la complexité du dossier, les négociations entre syndicats et patronat ont été rallongées jusqu'au 8 avril. Il n'y a cependant pas que les chômeurs qui vont être mis à contribution pour redresser la barre du déficit. Déjà visées par un premier plan d'économie de 10 milliards d'euros sur les dépenses de l'État, les collectivités locales risquent de nouveau d'être appelées à contribution. "Nous sommes tous dans le même bateau", a ainsi prévenu Gabriel Attal. D'autant que les administrations publiques locales accusent, selon l'Insee, un accroissement du déficit de 8,9 milliards d'euros en 2022. Dans un communiqué, le rapporteur général du budget Jean-René Cazeneuve (Renaissance) a appelé à "questionner chaque poste de dépense publique dont les dépenses des collectivités territoriales". De l'autre, plusieurs poids lourds politiques préparent leur défense, arguant que la dette des collectivités ne représente que 9% de la dette publique : "Les collectivités locales n'ont pas à combler le déficit de l'État", s'est ainsi émue Carole Delga, présidente (PS) de la région Occitanie. Face aux alertes des sénateurs, Gabriel Attal assure que le gouvernement recevra les associations d'élus à ce sujet le 9 avril. Quelles pistes le gouvernement peut-il trouver pour faire des économies ? Pourquoi le chômage des seniors inquiète-il particulièrement la majorité ? Et comment éviter la fronde des élus en mettant les collectivités locales à contribution ? LES EXPERTS : - THOMAS PORCHER - Économiste, membre des "Économistes Atterrés" - GAËL SLIMANE - Président et co-fondateur de l'institut de sondages Odoxa - RICHARD WERLY - Journaliste, correspondant à Paris du média suisse blick.fr - SANDRA HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOC

Le brief politique
La présidente de région Occitanie lance la candidature de Toulouse pour le "RER métropolitain"

Le brief politique

Play Episode Listen Later Jan 24, 2024 2:48


durée : 00:02:48 - Le brief politique - Mais face à l'investissement nécessaire de plusieurs milliards d'euros pour une seule métropole, Carole Delga entend mettre l'État, qui a promis 700 millions d'euros pour toutes, face à la hauteur des enjeux.

Le Média
Instant Porcher | Suppression de l'ISF, autoroute A69 : sans surprise, Macron fait n'importe quoi

Le Média

Play Episode Listen Later Oct 26, 2023 20:48


▶ On est là ! Jamais un média populaire et indépendant, qui n'est détenu ni par de riches oligarques ni par l'Etat, n'avait arraché le droit d'être diffusé à la TV ! Nous si ! RDV sur le canal 350 de la freebox, et toujours sur Youtube et sur notre site internet ! ⁠⁠⁠⁠⁠Soutenez-nous⁠⁠⁠⁠⁠ sur KissKissBankBank, et faites partie de cette aventure historique ! ▶ Les projets d'autoroute en France, avancée pour la mobilité ou nouveau méga projet inutile et polluant ? Réformes 2018 de Macron, juste un cadeau aux riches ? On décrypte tout cela, c'est l'Instant Porcher. Ce week-end a été marqué par une mobilisation réprimée, celle contre l'A69, ce projet de construction, déjà commencé, d'autoroute entre Castres et Toulouse. Ce n'est pas la première manifestation contre ce projet, et contre une construction d'autoroute. Défense de l'environnement et des arbres d'une part, discours sur le désenclavement et la mobilité des ruraux d'autre part, ces projets sont très politiques : OFF Investigation révèle dans son enquête-documentaire, que des actionnaires de ce projet sont très liés à la carrière politique d'Emmanuel Macron. Ce projet propose finalement de relier, et privatiser, l'axe de Toulouse à Castres, 53km, pour gagner entre 15 et 25 minutes, et touche 300 hectares de terre. Portée par Carole Delga, et soutenue par l'État, cette autoroute est fortement contestée chez les climatologues, écologistes et locaux : le tracé coupe des villages, ne donne pas d'accès direct aux locaux a contrario d'une rocade, et exclut celles et ceux qui ne veulent/peuvent pas payer et donc perdront du temps à prendre une rocade déclassée par rapport à actuellement. C'est une solution contre-productive, selon Thomas Porcher. L'économiste rapporte aussi que cela peut vider les villages et toucher leurs commerces. Baisse de l'impôt sur les sociétés, flat tax, suppression de l'ISF… et si ces réformes de 2018 se révélaient inutiles, à part enrichir les plus riches ? Malgré les promesses d'Emmanuel Macron et de Bruno Le Maire sur l'efficacité de réduire la fiscalité sur le capital dans l'objectif de redynamiser l'économie, relancer l'investissement, créer des emplois… Le rapport de France Stratégie, rattaché à Matignon, montre une nouvelle fois que cela ne fonctionne pas. Lisa Lap et Thomas Porcher analysent tout cela, c'est l'Instant Porcher.

Les 4 Vérités
Olivier Faure - 28 juillet 2023

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Jul 28, 2023 9:20


Ce jeudi 27 juillet 2023, Gérald Darmanin a rencontré les syndicats de police. Après plusieurs semaines de confrontation entre les forces de l'ordre et les anti-flics suite à l'affaire Nahel, les syndicats ne démordent pas et protestent aujourd'hui contre l'incarcération d'un de leurs collègues à Marseille. Les services de police invoquent le code 562 ce qui génère un système en situation de paralysie et une série d'arrêts maladie. « Ce triangle triumvirat constitué par le ministre de l'Intérieur, le DGPN et le directeur de la Police nationale qui tous les trois, défient les règles républicaines et les grands principes qui nous régissent : la dépendance de la justice, la séparation des pouvoir et l'égalité des citoyens devant la loi » dénonce Olivier Faure, invité des 4 vérités ce vendredi 28 juillet. Le premier secrétaire du Parti Socialiste s'interroge sur la légitimité d'Emmanuel pour faire régner l'ordre dans le pays et retrouver l'apaisement au fil des 100 jours prévus dans son plan de sortie de crise. « Il y a des institutions républicaines qui sont parfaitement remises en cause » constate notre invité qui appelle à la démission de Gérald Darmanin et des hauts-fonctionnaires de l'État impliqués dans cette crise. « C'est une situation extrêmement grave qui suppose que le chef de l'État s'en empare et qu'il rappelle quels sont les fondements de la République. Il est le garant de l'indépendance de la justice » poursuit-il sans sommation. Dans l'interview qu'il a consacrée cette semaine à France 2, Emmanuel Macron a pourtant rappelé que nul n'est aussi des lois. Une déclaration qui n'est pas suffisante aux yeux des socialistes qui pointent du doigt le manque de clarté de la politique du gouvernement. Selon Olivier Faure, le ministère de l'Intérieur défie ouvertement le président de la République notamment lors de sa visite officielle en Nouvelle-Calédonie. Cette semaine, le premier secrétaire du Parti Socialiste a alerté sur le risque de sédition face à cet échec manifeste de l'exécutif rappelant la décision qu'avait prise en son temps François Mitterrand dans ce cas de figure. En effet, cet ancien président de la République avait sévèrement sanctionné le DGPN, le préfet de Police et les syndicalistes à l'origine de cette fronde. « On attend du chef de l'État qu'il ait le même courage parce que dans une République, il ne peut pas y avoir un État dans l'État » affirme notre invité. La NUPES se craquèle Au sein du PS, certains militants s'affranchissent. À commencer par Caroline Delga, la présidente de la région Occitanie qui boycotte tout simplement l'université d'été organisée à Blois à la fin du mois. Une décision difficile à encaisser pour ses collègues. Le motif de son absence ? Cette dernière prétend ne pas vouloir s'afficher aux côtés d'Olivier Faure allant jusqu'à dénoncer « des prises de position minables ». « Il y a des gens qui ne créent pas de commun et moi ce que je veux c'est faire en sorte que la gauche plutôt que de se fragmenter davantage cherche au contraire à se rassembler sur des bases les plus claires possibles » défend notre invité. En dépit des mots très durs employés par Carole Delga, le PS peut se targuer de petites satisfactions. De l'autre côté des Pyrénées, les élections législatives se sont soldées par un résultat inattendu avec un regain de popularité du Parti Socialiste espagnol. « C'est porteur d'espoir pour toute la gauche […] je pense que nous avons matière à réflexion et nous devons prendre modèle avec une gauche qui croit à ce qu'elle fait » félicite Olivier Faure avant détailler les bilan exceptionnel de Piró Sanchez : « sur le plan social, économique et sur le plan de la dette, il a été capable de faire en sorte de relever l'Espagne qui était très affaiblie avant sa prise de pouvoir ». De son côté, Jean-Luc Mélenchon se moque publiquement de la théorie d'Olivier Faure selon laquelle l'union fait la force. De facto, le PS enterre-t-il l'accord de la NUPES pour les élections européennes ? « Je ne veux pas dramatiser la situation. Ça ne remet en rien l'union que nous devons constituer pour les élections présidentielles et législatives de 2027 parce que sans l'union qui est nécessaire et indispensable pour arriver au second tour, nous n'avons aucune chance si nous ne continuons pas » nuance notre invité.

La France a tout pour réussir
"La Résidence", un tiers-lieu créé par Inco à Saint-Bertrand-de-Comminges, dans La France a tout pour réussir - Samedi 1er juillet

La France a tout pour réussir

Play Episode Listen Later Jul 1, 2023 25:02


Ce samedi 1er juillet, Jérôme Tichit a reçu Nicolas Hazard, président et fondateur d'Inco, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, Nicolas Schmit, commissaire européen à l'Emploi et aux Droits sociaux, et Dominique Faure, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité. Ils se sont penchés sur la genèse et l'activité d'Inco, qui a lancé son projet tiers-lieu à Saint-Bertrand-de-Comminges en 2019, et dont l'objectif est de prouver qu'on peut concilier ruralité, créativité et innovation, sur dans l'émission La France a tout pour réussir sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.

Et maintenant !
Poutine a-t-il réveillé l'OTAN ?

Et maintenant !

Play Episode Listen Later Jun 17, 2023 57:07


« Et Maintenant ! » ouvre le débat et revient sur l'actualité de la semaine. Cette semaine Steve Jourdin et ses invités dressent le bilan de la carrière politique de Silvio Berlusconi.Ils s'interrogent également sur l'avenir de l'OTAN. Avec la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a-t-il réveillé cette organisation internationale ?Bernard Cazeneuve ou encore Carole Delga, la gauche anti-Mélenchon est-elle également en train de se réveiller ? Et enfin qu'en est-il de l'avenir d'Elisabeth Borne et de Marlène Schiappa au gouvernement ? Autant de question autour desquelles nos invités vont débattre dans ce nouvel épisode d'« Et maintenant ! »Les invités :Fabrice d'Almeida : Historien, vice-président de Panthéon-AssasMichèle Cotta : Éditorialiste à Europe 1Nathan Devers : Écrivain et philosopheHélène Terzian : Journaliste politique à RMC Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'Edito Politique
ÉDITO - Carole Delga, Nupes, Mélenchon : quand la gauche radicale joue les pyromanes

L'Edito Politique

Play Episode Listen Later Jun 8, 2023 3:20


Un procès en sorcellerie a été instruit contre Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, par les mélenchonistes.

Les informés de France Info
Yaël Braun-Pivet torpille l'examen de l'abrogation de la loi retraites, le faux-pas de Carole Delga sur l'immigration, vers un RSA sous condition... Les informés de franceinfo du mercredi 7 juin 2023

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Jun 7, 2023 54:59


durée : 00:54:59 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du mercredi 7 juin 2023.

Les informés de France Info
Focus. Immigration, Carole Delga regrette son faux pas

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Jun 7, 2023 10:19


durée : 00:10:19 - Focus. Immigration, Carole Delga regrette son faux pas

Le Nouvel Esprit Public
Réforme des retraites et décomposition politique / Chine-Russie : quel partenariat et contre qui ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Mar 26, 2023 64:27


N°290 / 26 mars 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 mars 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix. Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. COMMENT LA RÉFORME DES RETRAITES A ACCÉLÉRÉ LA DÉCOMPOSITION POLITIQUE Par les tensions qu'elle suscite, la réforme des retraites a accéléré le processus de décomposition du paysage politique. Elle a suscité des critiques au sein du MoDem tandis que le recours au 49.3 a « choqué ». Certains élus sont « furieux » à l'instar du président de groupe à l'Assemblée, Jean-Paul Mattei. Aux tiraillements qui se sont fait sentir au sein de la Macronie entre les trois groupes de la majorité relative – Renaissance, MoDem et Horizons –, s'en étaient ajoutés d'autres le 2 mars autour de l'examen de la proposition de loi portée par la vice-présidente (Horizons) de l'Assemblée nationale, visant à instaurer une peine minimale pour les auteurs « de délits de violences, commis en récidive, contre les agents publics ». Leurs alliés du camp présidentiel ont rejeté le texte.La réforme des retraites n'est pas qu'une épreuve pour la majorité présidentielle. Elle l'est également pour l'opposition de droite : au Sénat comme à l'Assemblée nationale, les parlementaires Les Républicains se divisent entre partisans et adversaires du report de 62 à 64 ans de l'âge légal de départ à la retraite. Lundi soir, un tiers du groupe de droite à l'Assemblée nationale (19 sur 61) a voté la motion de censure transpartisane contre le gouvernement.Au rang des acteurs évaporés figure la gauche réformiste. Les élus socialistes se disent aussi gênés que leurs pairs écologistes et communistes par la politique d'obstruction imposée par Jean-Luc Mélenchon. Pas au point cependant de rompre l'union derrière l'« insoumis » ni de se désolidariser d'une opposition radicale à la réforme. Mais au point toutefois de se diviser comme en témoigne la tribune sur les retraites publiée dans Le Monde le 21 février par le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, intitulée « Une vraie réforme de gauche est possible ». Ce texte, signé par les principales figures de son courant, Refondations, la maire de Paris, Anne Hidalgo, et la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, est également une critique en règle de la direction du PS, qui a décidé de ne pas proposer de contre-projet à la réforme des retraites du gouvernement pour ne pas souligner les divergences de vues au sein des partis de gauche sur le sujet. Dans le camp d'Olivier Faure, l'initiative a été mal perçue.Opposante sans conviction à la réforme des retraites, la présidente du Rassemblement national profite de la crise politique et institutionnelle. Dans la presse internationale, Marine le Pen est même présentée comme la future gagnante à l'issue de ce chaos.La réforme des retraites a mis en exergue une nouvelle donne au Parlement : celle d'une fracture entre une gauche qui se radicalise, un groupe LR qui aura étalé ses divisions pendant des semaines, une majorité présidentielle elle-même sous tension et un RN peu audible, mais qui cherche à empocher la mise.***CHINE/RUSSIE, QUEL PARTENARIAT ET CONTRE QUI ? Tout juste investi d'un troisième mandat à la tête de la Chine, Xi Jinping s'est rendu en Russie lundi pour trois jours, afin de rencontrer son homologue russe. Il s'agit de sa première visite officielle en Russie depuis l'invasion de l'Ukraine. Vladimir Poutine et Xi Jinping, qui se posent tous deux en contrepoids de l'influence occidentale, se sont déjà rencontrés à une quarantaine de reprises. En février 2022, trois semaines avant l'invasion russe de l'Ukraine, Poutine s'était rendu à Pékin pour signer un communiqué conjoint et déclarer « une amitié sans limite ». Depuis, Pékin et Moscou dénoncent l'« hégémonisme américain », multiplient les exercices militaires communs et accélèrent les échanges commerciaux. Le commerce bilatéral a atteint, l'an dernier, 190 milliards de dollars, en hausse de 30 %.L'axe sino-russe répond, selon Xi Jinping, à un triple critère : « pas d'alliance, pas de confrontation, et ne viser aucune tierce partie ». Cherchant à renforcer le rôle de la Chine sur la scène mondiale, Xi Jinping se présente en médiateur de paix, fort du rapprochement historique qu'il vient d'orchestrer au Moyen-Orient entre les rivaux iranien et saoudien. Alternative à une Europe désormais hostile, la Chine est, pour la Russie, bien plus qu'un soutien de circonstance. Ce partenariat est largement cimenté par la contestation de l'Occident sur la scène internationale. Loin de se distendre avec la guerre en Ukraine, les relations entre Pékin et Moscou sont marquées par un rapprochement diplomatique, mais aussi énergétique, commercial et militaire. Xi a invité cette semaine son homologue russe à participer à un sommet célébrant à Pékin, sans doute à l'automne, le dixième anniversaire des « nouvelles routes de la soie ». Malgré le mandat d'arrêt lancé contre lui par la Cour pénale internationale qui lui interdit, de jure, de voyager dans les 123 pays reconnaissant cette institution, Vladimir Poutine devrait donc pouvoir rencontrer, à cette occasion, des dizaines de chefs d'État et de gouvernement.Cependant, la relation sino-russe est aussi traversée de méfiances réciproques, de rivalités ouvertes et même de compétitions féroces : en Asie centrale, dans l'Arctique et en Afrique notamment. La Russie redoute, en outre, depuis longtemps le poids économique, démographique et militaire de la Chine, en particulier dans son propre Extrême-Orient dépeuplé et sous-développé. En matière de population et de PIB, le rapport est de 1 à 10 en faveur de la Chine. A deux reprises au moins durant cette visite, Vladimir Poutine a reconnu la prééminence de la Chine. Lundi, lorsqu'il a confié être « un peu envieux » de l'efficacité du « bond en avant » de son allié, et surtout, mardi, quand il a préconisé « l'utilisation du yuan chinois dans les règlements entre la Russie et l'Asie, l'Afrique et l'Amérique latine ».A l'issue de leurs entretiens, les deux dirigeants ont signé deux textes : une « déclaration conjointe sur l'approfondissement du partenariat de coordination stratégique globale de l'ère nouvelle » et une « déclaration sur le plan du développement des priorités de la coopération sino-russe d'ici à 2030 ».Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas
Dimitri Pavlenko avec le Général Vincent Desportes et Carole Delga

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas

Play Episode Listen Later Mar 1, 2023 97:30


Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.

18.50 franceinfo:
Corrida : "J'en ai assez de cette société de l'interdiction", assure la présidente de la région Occitanie Carole Delga

18.50 franceinfo:

Play Episode Listen Later Nov 16, 2022 7:04


durée : 00:07:04 - 18h20 franceinfo - Carole Delga estime que la corrida est "une tradition forte" en région Occitanie.

Politique, le choix de la semaine
Congrès PS, le risque de la scission ?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Nov 12, 2022 2:35


Dans deux mois les militants socialistes choisiront la ligne politique qu'ils souhaitent donner au Parti pour les trois prochaines années. Trois listes devraient être en lice : celle de la direction pro-Nupes, celle hostile à l'union de la gauche et une dernière qui veut incarner une troisième voie, ménageant les susceptibilités. Car une implosion pourrait avoir lieu en cas de victoire de l'actuel premier secrétaire, Olivier Faure. Depuis le mois de mai et l'accord négocié à l'occasion des législatives avec LFI, les écologistes et les communistes, le torchon brûle au PS. Tout d'abord chez ceux qui se sont sentis lésés par la répartition des circonscriptions mais surtout chez les socialistes totalement hostiles à l'idée de faire route commune avec les Insoumis de Jean-Luc Mélenchon. Parmi eux, les nostalgiques de la période François Hollande. Ils forment le gros de la liste anti-Nupes menée par l'ancienne ministre Hélène Geoffroy. Et ils ne cachent pas que ce 80e Congrès du PS pourrait être leur chant du cygne dans le parti en cas de défaite. Une défaite d'ores et déjà écrite, selon un député ex socialiste. « Ils iront rejoindre l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve et son projet de nouveau parti social-démocrate » analyse l'élu, plutôt favorable à cette initiative. La direction du PS joue la carte de la sérénité «À chaque congrès ou presque, il y a des menaces de claquer la porte », rappelle une dirigeante socialiste, qui reconnaît toutefois que quelques cadres « vont certainement partir mais les militants ne suivront pas.» Pourquoi ? « Parce que leur projet politique est grotesque », estime un député Insoumis, « et surtout ça n'a pas d'espace politique, à part intégrer l'aile gauche de la galaxie Macron ». Reste que le départ des partisans de la ligne Hollande ne serait pas anodin, car ils pesaient près d'un tiers du parti lors du précédent congrès. La troisième voie inquiète « d'un flétrissement fatal du parti à la rose » « Nous avons des retours alarmants venus de nombreuses fédérations socialistes » avertit l'ancienne députée Lamia el Aaraje. D'où sa décision de s'engager dans la bataille du congrès avec le soutien revendiqué de l'ancienne candidate à la présidentielle, Anne Hidalgo, et celui plus tacite de l'ambitieuse présidente de la région Occitanie, Carole Delga. « Nous pouvons être le point d'équilibre, ceux qui rassemblent », revendique ce courant baptisé Refondations. « Leur idée c'est comme la motion anti-Nupes de faire l'union de la gauche sans LFI », analyse-t-on à La France Insoumise, où on leur souhaite ironiquement « bonne chance ». Dans le PS, on y voit une explication plus triviale : « Ils veulent surtout peser dans le parti pour obtenir des postes d'élus, ce qu'ils ne pourraient pas avoir en partant », persifle un cadre national.

Politique !
Carole Delga : "Nous avons besoin de députés qui soient plus connectés au réel !"

Politique !

Play Episode Listen Later Oct 15, 2022 43:09


durée : 00:43:09 - Sens politique - par : Arnaud Bousquet - Présidente de la région Occitanie depuis 2016, Carole Delga est très attachée à sa région. De fonctionnaire territoriale à secrétaire d'Etat, retour sur la carrière de la conseillère municipale de Martres-Tolosane. - invités : Carole Delga Présidente de la région Occitanie

Les vraies voix
Les vraies voix - Les Vraies Voix en direct du Corum de Montpellier

Les vraies voix

Play Episode Listen Later Sep 29, 2022


Retrouvez Les Vraies Voix en direct de l'événement "Monde Nouveau" avec Philippe Bilger, Françoise Degois, Christine Bouillot, Céline Verzeletti, Carole Delga, Cyril Brun...

Les 4 Vérités
Bernard Cazeneuve - 16 septembre 2022

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Sep 16, 2022 10:24


Bernard Cazeneuve a rendu sa carte du Parti socialiste (PS), suite à l'accord passé entre le PS et la France Insoumise (LFI), afin de s'opposer à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), à l'initiative de Jean-Luc Mélenchon, lors des élections législatives. Le 4 septembre 2022, l'ancien Premier ministre socialiste a publié un manifeste dans lequel il assure qu'une « autre gauche est possible ». Il milite pour une gauche sociale-démocrate «  qui rompe avec l'outrance et le sectarisme, mais qui demeure ardente dans le refus des inégalités, des injustices et des discriminations, dans la défense des valeurs de la Répu­blique  ». Près de 400 personnalités de gauche, dont la quasi-totalité sont des opposants à la ligne pro-Nupes adoptée par l'actuel premier secrétaire du PS, Olivier Faure. Parmi elles ? Le maire du Mans, Stéphane Le Foll, l'ex-premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin (Rhône), ou encore la présidente de la région Occitanie, Carole Delga. Dix jours plus tard, Bernard Cazeneuve revendique avoir obtenu plus de 4000 signatures. « J'ai choisi un texte long, pas un tweet, c'est-à-dire, la réflexion de fond, avec la volonté d'apporter la démonstration qu'un autre chemin est possible à gauche », explique-t-il, le 16 septembre, sur le plateau des 4 vérités, sur France 2, plaidant pour un « esprit d'ouverture et de tolérance » contre le « repli sectaire ». Dans un premier temps, l'ancien ministre de l'Intérieur, sous François Hollande, entend « structurer cette initiative sur le plan local, autour de ceux qui se sont engagés localement ». Créer un élan contre l'extrême droite L'idée ? Créer un mouvement de réflexion afin d'exposer collectivement leurs idées et de faire un certain nombre de propositions. « Nous ne voulons pas créer un nouveau parti. Les appareils ont montré toutes leurs faiblesses. Au contraire, nous voulons essayer de démontrer qu'il y a de la place pour créer un nouvel espace politique, qui permette, autour de cette synthèse entre les enjeux républicains, écologiques et sociaux, de créer les conditions du dialogue et d'une longue dynamique », développe-t-il au micro de Jeff Wittenberg, assurant qu'il n'y aura pas « d'étiquette partisane ». L'ancien Premier ministre veut « créer les conditions d'un élan », notamment auprès de la jeune génération, afin de lutter contre l'extrême droite. « Je n'ai pas d'agenda personnel ni d'intérêt d'appareil », assure l'homme politique, précisant qu'il agissait en raison de ses propres convictions. Bernard Cazeneuve accuse Olivier Faure de s'être « toutouisé » à Jean-Luc Mélenchon. « Si on veut que l'Union de la gauche soit possible, il faut qu'elle se fasse avec des femmes et des hommes qui ont un minimum d'attache à l'Europe, la République, la transition écologique et la solidarité », affirme-t-il, insistant sur la dissociation entre « la gauche et l'extrémisme ». Il dénonce également « l'absurdité des débats tels qu'ils se sont engagés à gauche ».

Reportage France
Législatives: la bataille des «gauches» en Ariège

Reportage France

Play Episode Listen Later Jun 6, 2022 2:37


C'est l'une des grandes inconnues des élections législatives. Les dissidences à gauche vont-elles coûter de nombreux sièges voire la victoire à la Nupes ? Car parmi les quelque 80 candidats rebelles, beaucoup se présentent dans des zones électoralement favorables à l'union de la gauche. C'est le cas par exemple dans la 2ème circonscription de l'Ariège. ► À lire aussi : Législatives françaises: Carole Delga et la délicate fronde anti-Nupes

L'oeil de...
"Jack Lang, un Chinois à l'Institut du monde arabe", remarque Philippe Caverivière

L'oeil de...

Play Episode Listen Later May 19, 2022 5:57


Philippe Caverivière propose à Carole Delga d'engager un homme qui a réalisé de grands travaux à gauche pour la reconstruction du PS : le chirurgien esthétique de l'ancien ministre de la Culture. Écoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec du 19 mai 2022.

L'invité de RTL
Carole Delga est l'invitée RTL de ce jeudi 19 mai

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later May 19, 2022 8:33


Elle est la Présidente de la région Occitanie. Ecoutez L'invité de RTL avec Alba Ventura du 19 mai 2022

Revue de presse française
À la Une: l'investiture du président de la République à Paris

Revue de presse française

Play Episode Listen Later May 7, 2022 4:03


Après De Gaulle, Mitterrand et Chirac, Emmanuel Macron devient le quatrième chef de l'État de la cinquième République à être réélu. Pour marquer le coup d'envoi de son second mandat, le président français va faire dans le dépouillé. « Pas de tapis rouge, pas de remontée des Champs-Élysées, et pas de grand discours à l'Hôtel de Ville (…) Une sobre investiture », souligne Le Figaro. De quoi conduire ce journal à se demander si Emmanuel Macron « vivra une cérémonie des adieux ou entonnera un chant du départ. Adieux au quinquennat qui s'achève ou départ du quinquennat qui commence ? ». Comme le souligne et l'anticipe ce quotidien, pour Emmanuel Macron, « en 2017, un projet clair avait permis un coup d'envoi clair aussi. En 2022, le danger serait qu'une campagne plus flottante conduise à une présidence flottante. Après le discours bâclé de la tour Eiffel, le président réélu doit aux Français un discours inspiré », prescrit Le Figaro. Un président réélu, mais toujours pas de Premier ministre choisi pour remplacer Jean Castex Et pour le journal l'Opinion, pas de doute, le président réélu « cache mal (…) son hésitation. D'autant qu'il a essuyé quelques refus depuis quelques jours », énonce ce quotidien, en citant notamment l'exemple de Véronique Bédague, directrice générale du groupe immobilier Nexity, qui « a également décliné » l'offre du poste de Premier ministre. L'actuel gouvernement restant pour l'heure en fonction, les Français se prononcent sur le profil du futur Premier ministre qu'ils aimeraient voir nommé pour succéder à Jean Castex. Le portrait-robot dessiné par un sondage Odoxa pour Le Figaro indique que 21% des Français préfèreraient notamment que ce soit une femme, 40% qu'il ou elle ait une sensibilité écologiste, 21% qu'il ou elle soit issu(e) de la gauche, 30% qu'il ou elle ait moins de 50 ans et 43% qu'il s'agisse d'un ou d'une élu(e) de terrain « créatif et sincère ». À gauche, au lendemain de la création de l'Union populaire, écologique et sociale, la hache de guerre est toujours déterrée chez les socialistes Elle n'est pas encore sèche, l'encre de cette alliance de gauche que déjà, la députée socialiste Carole Delga rue dans les brancards. Dans un entretien au journal Le Parisien, la présidente de la région Occitanie (sud de la France), dit vouloir, sous quinzaine, réunir « les militants qui refusent la liquidation du Parti socialiste » et voit dans cette alliance une « répartition de places entre copains », en vue des élections législatives du mois prochain. Les législatives, justement. Avec quelques candidatures qui se profilent dans trois des douze circonscriptions des Français de l'étranger Les quotidiens Libération et l'Opinion, notamment, en soulèvent le voile dans les 8e, 9e et 10e circonscriptions. Ainsi, dans la 8e (Europe du Sud, Turquie et Israël), le député sortant Meyer Habib « pourrait être défié » par l'ancien journaliste Pierre Sled, signale l'Opinion ; dans la 9e (Maghreb et Afrique de l'Ouest), M'jid el Guerrab « n'est pas sûr d'obtenir l'investiture » du pari Renaissance (nouveau nom de La République en marche), énonce avec audace ce quotidien, en évoquant la procédure en cours devant le tribunal correctionnel, où ce député sortant a comparu pour « violences volontaires », comme le rappelle sans façon le site de Libération… … Pour ladite investiture macroniste dans cette 9e circonscription, Libé comme l'Opinion citent le nom de la journaliste Zineb El Rhazoui et celui de la députée sortante Amélia Lakrafi dans la 10e circonscription (Afrique centrale, australe Liban et pays du Golfe).

Le petit déjeuner politique Sud Radio
L'invité politique Sud Radio - Avec Carole Delga, Présidente PS de la région Occitanie et Porte-parole d'Anne Hidalgo

Le petit déjeuner politique Sud Radio

Play Episode Listen Later Apr 5, 2022


Carole Delga, Présidente PS de la région Occitanie et Porte-parole d'Anne Hidalgo

L'interview actu
Carole Delga : «Nous sommes fiers de notre candidate Anne Hidalgo»

L'interview actu

Play Episode Listen Later Apr 3, 2022 10:05


Thierry Dagiral reçoit un invité au cœur de l'actualité ce week-end. Ce dimanche, Carole Delga, présidente PS de la région Occitanie et porte-parole d'Anne Hidalgo, revient sur la campagne de la candidate à l'élection présidentielle.

Ràdio Arrels
INFORMATIU: Divendres 11 de febrer de 2022

Ràdio Arrels

Play Episode Listen Later Feb 11, 2022 11:08


Ahir es va debatre del tancament i l'obertura de classes a Catalunya Nord. Malgrat l'oposició unànime dels sindicats la Inspecció Acadèmica va validar el tancament de 19 classes i 14 obertures. El batlle del Barcarès, Alain Ferrand, va sortir de presó ahir després d'estar tancat 16 dies per no haver respectat el seu control judicial. Vaga avui a l'Hospital de Perpinyà per denunciar la situació insostenible del servei d'urgències. 17 dels 20 agents de la brigada de nit de la policia municipal de Perpinyà amenacen de tronar a fer vaga a partir d'aquesta pròxima mitjanit. Reclamen una prima de 300€ que els hi va prometre Louis Aliot i que encara no se'ls hi ha pagat. La Presidenta de la regió, Carole Delga, ha estat reconeguda com a elegida local de l'any 2021. El premi Trombinoscop recompensa «l'acció i el professionalisme de les personalitats polítiques que han destacat al llarg de l'any en el marc de llur mandat o de llur funció». Ha mort l'escriptora Maria-Antònia Oliver a l'edat de 75 anys. Nascuda a Manacor, Maria-Antònia Oliver destaca per la publicació d'obres com "Estudi en lila", "Antípodes" o "Joana E.". Mal inici de campionat pels, Dracs Catalans que ahir van perdre contra Saint Helens per 28 a 8.

Ràdio Arrels
INFORMATIU: Dilluns 24 de gener de 2022

Ràdio Arrels

Play Episode Listen Later Jan 24, 2022 10:27


Avui entra en aplicació el Pass vaccinal pels majors de 16 anys. Des d'avui per poder entrar en un bar, un restaurant, un cinema o als transports caldrà presentar la prova d'una vaccinació completa Romain Grau va anunciar ahir que denunciarà davant la justícia l'agressió que va partir dissabte a la seua permanència. Diversos manifestants antipass van insultar i agredir el diputat juntament amb Guillem Gervilla, conseller parlamentari d'Eric Durpond-Moretti. A l'Hospital de Perpinyà les xifres de la Covid-19 són estables amb 206 malalts hospitalitzats, dels quals 25 estan al servei de reanimació. 2 persones han mort en les últimes 24 hores. Jean Castex i Carole Delga van signar dissabte el protocol de finançament de la primera fase d'obres de la línia TGV entre Montpeller i Perpinyà. Les obres del segon tram que completarà la línia fins a Perpinyà haurien de començar l'any 2033. A Figueres els Mossos recerquen un home acusat d'una agressió sexual sobre una dona de 95 anys.

Finta! le podcast
Finta #Pionnières 5/7. Emmanuelle Gazel, pour une nouvelle génération en politique

Finta! le podcast

Play Episode Listen Later Jan 21, 2022 34:41


Il aura fallu attendre l'année 2020, et des élections municipales bousculées par le premier confinement dû au covid, pour voir une femme s'installer dans le fauteuil de maire d'une grande ville aveyronnaise. C'est donc Millau qui a ouvert la voie avec l'élection d'Emmanuelle Gazel.  Quand je dis grande ville, j'entends Rodez, Millau, Onet-le-Château, Villefranche-de-Rouergue, Decazeville, j'étends jusqu'à Saint-Affrique. J'ai remonté quelques décennies d'archives jusqu'à faire ce constat. Et cela méritait bien de faire d'Emmanuelle Gazel une « Pionnière ». A 43 ans, elle figure dans l'espace politique aveyronnais depuis près de 15 ans. D'abord au cabinet du premier édile socialiste de Millau, Guy Durand, en 2008, Emmanuelle Gazel bascule dans l'opposition en 2014 quand Christophe Saint-Pierre est élu maire. De l'opposition, elle en prendra le volant. Désignée vice-présidente de Carole Delga, en région Occitanie, en charge de la formation, Emmanuelle Gazel prend du galon jusqu'à cette élection de juin 2020. De sa jeunesse saint-affricaine, de sa vocation pour accompagner l'insertion professionnelle, jusqu'à son engagement viscéral au Planning familial, la première magistrate de Millau se raconte au micro de Finta, dans cet épisode enregistré dans son bureau, en plein cœur de la Cité du gant. Bonne écoute.

Le petit déjeuner politique Sud Radio
Carole Delga, Présidente PS de la région Occitanie et Présidente de Régions de France

Le petit déjeuner politique Sud Radio

Play Episode Listen Later Nov 25, 2021


Carole Delga, Présidente PS de la région Occitanie et Présidente de Régions de France

Bourdin Direct
L'invitée de Bourdin Direct : Carole Delga - 16/11

Bourdin Direct

Play Episode Listen Later Nov 16, 2021 19:46


Avec : Carole Delga, présidente du Parti socialiste de la région Occitanie. - Chaque matin, Jean-Jacques Bourdin reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Depuis 2001, Jean-Jacques Bourdin reçoit, chaque matin, les acteurs du monde politique. Ce face-à-face est devenu le premier rendez-vous politique radio/TV de France.En simultané sur BFMTV. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).

C dans l'air
BERTRAND : OPÉRATION RECONQUÊTE – 14/10/21

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 14, 2021 63:43


BERTRAND : OPÉRATION RECONQUÊTE – 14/10/21 Invités NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » LAURELINE DUPONT Directrice adjointe de la rédaction – « L'Express » CARL MEEUS Rédacteur en chef – « Le Figaro Magazine » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondages Elabe Les candidats à l'investiture de la droite avaient jusqu'à ce mercredi pour se déclarer. Ils sont finalement six à entrer dans la course en vue de la présidentielle 2022. Il s'agit de l'ancien négociateur européen pour le Brexit Michel Barnier (LR), le député LR des Alpes-Maritimes Éric Ciotti, le maire LR de La Garenne-Colombes Philippe Juvin, l'homme d'affaires Denis Payre, la présidente (ex-LR) de la région Île-de-France Valérie Pécresse et le président des Hauts-de-France (ex-LR) Xavier Bertrand. L'ancien ministre du Travail de Nicolas Sarkozy, qui avait refusé l'idée de participer à une primaire, a finalement annoncé lundi sur TF1 sa participation au congrès LR de décembre. Les six personnalités de droite ont désormais jusqu'au 2 novembre pour réunir les 250 parrainages d'élus nécessaires à la validation de leur candidature, avant le vote des militants réunis en congrès du 1er au 4 décembre prochain. Un vote décisif pour la droite, auquel participeront les seuls adhérents LR à jour de leur cotisation. Les sympathisants LR ont jusqu'au 16 novembre pour prendre leur carte. Ils étaient exactement 87 764 au dernier pointage, un chiffre en forte hausse ces dernières semaines. Alors d'ici au 4 décembre, les candidats vont faire activement campagne dans les fédérations : jeudi Xavier Bertrand sera à Oyonnax dans l'Ain, Valérie Pécresse à Dijon et Michel Barnier à Château-Renard dans les Bouches-du-Rhône. Tous en profiteront pour rencontrer les adhérents LR qui pour certains s'interrogent sur l'absence de la participation d'Éric Zemmour au congrès, quand d'autres craignent que la désignation tardive de leur candidat en décembre ne donne un avantage substantiel au polémiste d'extrême droite. Pas encore officiellement candidat, l'essayiste poursuit lui sa tournée promotionnelle dans le pays, officiellement pour dédicacer son dernier livre et participer à des conférences. Mais en coulisse, Éric Zemmour est bien parti à la chasse aux parrainages et aux fonds. Il s'appuie pour cela sur une équipe composée de la jeune énarque Sarah Znafo, de deux banquiers d'affaires passés chez Rothschild, Julien Madar et Jonathan Natdler, mais aussi d'Antoine Diers, ancien directeur de cabinet de la maire LR de Calais, et du communiquant Olivier Ubeda. A gauche, Anne Hidalgo s'apprête de son côté à recevoir l'investiture du Parti socialiste ce jeudi soir, en vue de l'élection présidentielle de 2022. Depuis qu'elle a fait part de sa volonté de se lancer dans la course à l'Elysée, la maire de Paris s'est imposée sans efforts dans son parti. Elle distance nettement son unique concurrent Stéphane Le Foll, ne serait-ce qu'au niveau des parrainages pour être candidat à l'investiture : 208 pour elle contre 34 pour le maire du Mans. Mais si elle a reçu les soutiens d'Olivier Faure, de la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, de la maire de Lille Martine Aubry, et du maire de Montpellier Michaël Delafosse, la maire de Paris est à la peine dans les sondages. Selon une dernière enquête Harris Interactive pour Challenges publié le 13 octobre, la candidate socialiste plafonnerait à 5 %. Alors pourquoi le PS, après avoir tiré son épingle du jeu lors des élections municipales et régionales, est-il donné au plus bas au niveau national ? Qui sont les six candidats de droite au congrès LR ? Quels sont leurs programmes ? Enfin qui sont les gens qui travaillent avec Éric Zemmour ? D'où viennent-ils et quels sont leurs réseaux ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

The Hydrogen Podcast
Universal Hydrogen Takes A Major Step In The Adoption Of Hydrogen As A Fuel Source For The Aviation Industry. Baker Hughes Makes An Extremely Interesting Point In A Talk About Energy Transition And A Company Took A Bold Step To Acquire An Exclusive Licens

The Hydrogen Podcast

Play Episode Listen Later Sep 27, 2021 13:49 Transcription Available


Welcome to The Hydrogen Podcast!In episode 050, UPC hydrogen acquires exclusive license in Asia Pacific region from Proton Technologies. Universal Hydrogen announces new engineering Development Center located in Toulouse, France, the heart of European aviation, the CEO of Baker Hughes discusses energy transition. All of this on today's hydrogen podcast.  Thank you for listening and I hope you enjoy the podcast. Please feel free to email me at info@thehydrogenpodcast.com with any questions. Also, if you wouldn't mind subscribing to my podcast using your preferred platform... I would greatly appreciate it. Respectfully,Paul RoddenVISIT THE HYDROGEN PODCAST WEBSITEhttps://thehydrogenpodcast.comCHECK OUT OUR BLOGhttps://thehydrogenpodcast.com/blog/WANT TO SPONSOR THE PODCAST? Send us an email to: info@thehydrogenpodcast.comNEW TO HYDROGEN AND NEED A QUICK INTRODUCTION?Start Here: The 6 Main Colors of Hydrogen

8.30 franceinfo:
Candidature d'Anne Hidalgo à la présidentielle, "l'obstacle" Jean-Luc Mélenchon, vaccination obligatoire... Le "8h30 franceinfo" de Carole Delga

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jul 6, 2021 24:47


durée : 00:24:47 - 8h30 franceinfo - La présidente PS de la région Occitanie était l'invitée du "8h30 franceinfo", mardi 6 juillet 2021.

Le Nouvel Esprit Public
Les régionales dans la perspective des présidentielles / n°200 / 4 juillet 2021

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jul 4, 2021 73:12


LES RÉGIONALES DANS LA PERSPECTIVE DES PRÉSIDENTIELLES Le 27 juin, les régionales ont vu la réélection des 13 présidents de régions métropolitaines sortants, qu'ils soient de droite et du centre (7 régions) ou de gauche (5 régions) à l'issue d'un second tour marqué par une abstention massive de 65 ,7%, un point de moins qu'au premier tour. Trois poids lourds de la droite traditionnelle qui ambitionnent de disputer la présidentielle en 2022 ont emporté une nette victoire : Xavier Bertrand avec 53% dans les Hauts-de-France s'est aussitôt déclaré candidat à la présidentielle, Valérie Pécresse, forte d'un score de 45,9% en Ile-de-France a donné rendez-vous après l'été pour savoir si elle sera candidate ou non, tandis que Laurent Wauquiez (55,2% en Auvergne-Rhône-Alpes) dit refuser « ces espèces de course de vitesse où à peine élu, on passe à autre chose ». Le chef du parti Les Républicains, Christian Jacob, a annoncé lundi que la droite déciderait le 30 septembre de son « système de départage », qui serait ensuite soumis à un congrès militant. En Provence-Alpes-Côte d'Azur, le président Les Républicains sortant, Renaud Muselier, qui a bénéficié du retrait de la liste écologiste au lendemain du premier tour, l'a largement emporté sur le candidat du Rassemblement National Thierry Mariani, avec 57,30 % des voix contre 42,70 %.A gauche, le Parti socialiste a conservé ses 5 régions. En Occitanie la réélection haut la main – sans l'appui du reste de la gauche, et notamment des écologistes – de la sortante Carole Delga a été acquise avec 57,77 % des voix. En revanche, les écologistes – Karima Delli dans les Hauts-de-France et Julien Bayou en Ile-de-France – qui ont pris la tête de listes d'union de la gauche n'ont pas créé de dynamique. Aujourd'hui à gauche trois candidats se sont déclarés en piste pour les présidentielles. Le communiste Fabien Roussel, l'« insoumis » Jean-Luc Mélenchon, et celle ou celui qu'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) désignera le 12 septembre, lors de la primaire des écologistes, Sandrine Rousseau, Yannick Jadot, Éric Piolle et, peut-être, Delphine Batho.Les grands perdants du second tour des élections régionales et départementales sont la REM et le Rassemblement national. La République en marche n'a gagné aucune région et totalisé moins de 7 % des voix, le pire score jamais réalisé par un parti au pouvoir. Le reflux du Rassemblement National au premier tour a surpris par son ampleur : en dépit d'une présence dans la totalité des régions métropolitaines, comme en 2015, les listes du Rassemblement National ont perdu 9,2 points, passant de 28,4 % à 19,2 %.Toutefois, selon un sondage Ipsos/Sopra Steria réalisé avant le second tour et publié le 27 juin, Emmanuel Macron et Marine Le Pen restent en tête des intentions de vote à la présidentielle, quel que soit le candidat de la droite testé. S'il s'agit de Xavier Bertrand, Emmanuel Macron et Marine Le Pen feraient jeu égal, avec 24 % des voix, devant le candidat de la droite, crédité de 18 % des intentions de vote. Pécresse et Wauquiez, quant à eux, feraient 13 %. A gauche, Jean-Luc Mélenchon plafonne désormais à 10% dans les intentions de vote. Anne Hidalgo a dit qu'elle clarifierait son jeu à l'automne. Elle récolte 6% d'intentions de votes tout comme Yannick Jadot.Privacy Policy and California Privacy Notice.

Le billet de Patrick Cohen
Carole Delga, présidente PS de la région Occitanie

Le billet de Patrick Cohen

Play Episode Listen Later Jun 30, 2021 9:15


Chaque jour, Patrick Cohen reçoit dans son journal de la mi-journée un invité. Aujourd'hui, Carole Delga.

Le billet de Patrick Cohen
EXTRAIT - Régionales : Carole Delga explique son refus de s'allier à La France Insoumise

Le billet de Patrick Cohen

Play Episode Listen Later Jun 30, 2021 1:26


Au micro de Patrick Cohen sur Europe 1, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, est revenue sur son choix de ne pas s'allier avec La France insoumise pour les élections. "Il y a une dérive qui est très dangereuse. Je ne peux pas cautionner les propos sur le complotisme ou sur le communautarisme", a-t-elle expliqué.

Le billet de Patrick Cohen
EXTRAIT - Carole Delga salue les "grandes qualités" d'Anne Hidalgo pour être présidente

Le billet de Patrick Cohen

Play Episode Listen Later Jun 30, 2021 2:09


Au micro de Patrick Cohen sur Europe 1, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, a expliqué ne pas avoir d'ambition présidentielle. Elle souhaite toutefois contribuer à la vie politique nationale en travaillant à élaborer un projet de candidature pour 2022 dont Anne Hidalgo pourrait être la figure.

Le petit déjeuner de l'actu
Régionales : le bilan d'une élection à l'abstention record, et Carole Delga réagit à sa (large) réélection

Le petit déjeuner de l'actu

Play Episode Listen Later Jun 28, 2021


Régionales : le bilan d'une élection à l'abstention record, et Carole Delga réagit à sa (large) réélection

Ràdio Arrels
El geògraf Joan Becat comenta els resultats a la primera volta de les eleccions departamentals i regionals

Ràdio Arrels

Play Episode Listen Later Jun 21, 2021 16:28


“Ens trobem en una situació intermediària, entre el confort polític d'abans, on tothom tenia clar el paper de cada partit, ara, però, la situació és d'estructurada”. “El bon resultat de Carole Delga, és legítim, tot i que només ha reunit 11% del total dels electors, és terrible per una democràcia”. “França té la particularitat de fer reformes que no en són: les regions no tenen autonomia”.

18.50 franceinfo:
Élections régionales : en Occitanie 12,19 %, ce n'est "pas une déception, au contraire c'est une performance", pour le LR Aurélien Pradié

18.50 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jun 21, 2021 7:27


durée : 00:07:27 - 18h50 franceinfo - Le deuxième tour des élections régionales en Occitanie opposera Aurélien Pradié à la socialiste Carole Delga et au candidat RN Jean-Paul Garaud.

C dans l'air
MACRON, LE PEN… C'EST PAS GAGNÉ – 21/06/21

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 21, 2021 64:34


MACRON, LE PEN… C'EST PAS GAGNÉ – 21/06/21 Invités ROLAND CAYROL Politologue – Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) Auteur de « Le président sur la corde raide » YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Les résultats sont tombés, et ont déjoué les prédictions sondagières. Le premier tour des élections régionales a eu lieu ce dimanche 20 juin, et les scores ont surpris de chaque côté de l'échiquier politique. À l'extrême droite tout d'abord, le Rassemblement National donné largement vainqueur il y a quelques jours encore, obtient des résultats plus décevants que prévus. Le parti de Marine Le Pen n'arrive en tête qu'en Provence-Alpes-Côte d'Azur, où Thierry Mariani devance de 6 points Renaud Muselier (LR) avec 36,38% des voix. Autre enseignement de ce premier tour : la prime aux sortants. En effet, à droite comme à gauche, les présidents de régions portés candidats à leur réélection sont ceux qui s'en sortent le mieux. Les exemples sont multiples chez Les Républicains, avec Xavier Bertrand, Laurent Wauquiez ou Valérie Pécresse, chacun largement en tête dans leur région respective. Un constat similaire à gauche, notamment avec les bons scores hier soir de Carole Delga en Occitanie, ou Marie-Guite Dufay en Bourgogne-Franche-Comté. Les partis traditionnels sont donc renforcés au lendemain de ce premier tour, et le clivage gauche-droite se redessine alors que La République en marche cherche à le brouiller depuis 2016. Peu ancré localement, le parti présidentiel est le grand perdant de ce premier tour où plusieurs candidats ne sont pas parvenus à se maintenir au second tour, comme Laurent Pietraszewski dans les Hauts-de-France. Mais c'est l'abstention qui a marqué les esprits hier soir. Avec 66,7% des inscrits ayant boudé les urnes, c'est la première fois qu'autant de Français font l'impasse sur un scrutin d'élections régionales. Entre le déconfinement et l'incompréhension de beaucoup, les raisons étaient nombreuses pour ne pas se déplacer dans les bureaux de vote. C'est surtout le désintérêt des Français pour les partis politiques qui est apparu au grand jour. Considéré comme une catastrophe pour la démocratie, ce phénomène risque d'avoir impacté les résultats, notamment du côté du RN où 71% des électeurs du parti se seraient abstenus. Enfin, une région est aujourd'hui sous les feux des projecteurs : la région Sud, qui apparaît la seule gagnable par le RN. Si le duel Mariani-Muselier a repris dès ce matin sur le Vieux-Port de Marseille, le troisième homme, Jean-Laurent Felizia, tête de liste de la liste du « Rassemblement écologiste et social », a déclaré un temps vouloir se maintenir. Une position vivement critiquée par les instances nationales des Verts et du Parti socialiste, qui ont fait pression pour qu'il retire sa liste. Alors, la force du rassemblement national a-t-il vraiment été surévaluée ? Le jeu de cartes est-il rebattu pour la présidentielle ? Comment faire face à l'abstention ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro - Pascal Hendrick - Benoît Lemoine - Jean-François Verzele - Jacques Wehrlin PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C'est à la Une
Carole Delga, Présidente PS de la région Occitanie et candidate à sa réélection aux Régionales

C'est à la Une

Play Episode Listen Later Jun 17, 2021


Carole Delga, Présidente PS de la région Occitanie et candidate à sa réélection aux Régionales

Dans l'oreille de Charles
Les grands barons - Carole Delga

Dans l'oreille de Charles

Play Episode Listen Later Feb 23, 2021 47:32


« Une présidente de région a plus de pouvoir qu'un ministre. » Dans cet entretien à la fois intime et politique, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, revient sur les grandes étapes de son parcours politique : de ses origines modestes jusqu'à Bercy, quand elle était secrétaire d'Etat et que son ministre de tutelle s'appelait Emmanuel Macron. Elle ne mâche pas ses mots contre le président de la République : sur sa soif d'ambition personnelle, sa méconnaisance des élus locaux et même de la France et des Français…  Fervente adepte de la décentralisation, elle considère que les régions de France sont aujourd'hui les vrais instruments du développement économique dans notre pays et elle réclame le transfert de nouvelles compétences, notamment en matière e politique de santé. On l'a compris, Carole Delga n'aime pas beaucoup le parisianisme ce qui ne l'empêche pas de soutenir la candidature d'Anne Hidalgo pour la prochaine élection présidentielle.  « Etre avec, être parmi… » c'est la devise de celle qui a fait de la revanche sociale le fil rouge de son engagement.