Podcast appearances and mentions of Pierre Nora

durée : 00:58:20 - Concordance des temps - par : Jean-Noël Jeanneney - À l'occasion de la réédition du "Dictionnaire de Pédagogie et d'instruction primaire" de Ferdinand Buisson (1841-1932), Jean-Noël Jeanneney revenait en 2017 avec Pierre Nora sur cette œuvre d'une génération, dont les apports demeurent aujourd'hui essentiels. - réalisation : Anne Kobylak - invités : Pierre Nora Historien et éditeur français

En 2008, Pierre Nora, fondateur de l'association "Liberté pour l'histoire", avait lancé à Blois un appel aux historiens à se mobiliser contre l'ingérence des domaines publiques dans l'écriture de l'histoire. Trois ans après, président de la 14e édition des Rendez-vous de l'histoire, il clôturait le festival avec une conférence sur la politisation de l'histoire.Conférence de clôture de l'édition des Rendez-vous de l'histoire sur le thème "L'Orient" en 2011.Voix du générique : Michel Hagnerelle (2006), Michaelle Jean (2016), Michelle Perrot (2002) https://rdv-histoire.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Albath, Maike www.deutschlandfunk.de, Büchermarkt

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durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Figure majeure de la vie intellectuelle française, l'historien et éditeur Pierre Nora est mort lundi à l'âge de 93 ans. Hommage dans ce journal signé Emmanuel Laurentin.

durée : 00:02:40 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Hommage à Pierre Nora, figure des sciences humaines du XXe siècle. L'historien a théorisé les "lieux de mémoire", essentiels pour la cohésion d'une nation. L'apprentissage du passé, clef pour affronter le présent. - réalisation : Félicie Faugère

durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Figure majeure de la vie intellectuelle française, l'historien et éditeur Pierre Nora est mort lundi à l'âge de 93 ans. Hommage dans ce journal signé Emmanuel Laurentin.

durée : 00:09:05 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - L'historien et membre de l'Académie française Pascal Ory, élève de Pierre Nora, était l'invité de France Inter ce mardi pour saluer la mémoire de l'historien décédé lundi à 93 ans.

durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Figure majeure de la vie intellectuelle française, l'historien et éditeur Pierre Nora est mort lundi à l'âge de 93 ans. Hommage dans ce journal signé Emmanuel Laurentin.

durée : 00:09:05 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - L'historien et membre de l'Académie française Pascal Ory, élève de Pierre Nora, était l'invité de France Inter ce mardi pour saluer la mémoire de l'historien décédé lundi à 93 ans.

L'émission 28 minutes du 03/06/2025 Sexisme, racisme : la tentation de ré(é)crire les œuvres !“Faut-il réécrire les classiques de la littérature pour les adapter à leur époque ?” est l'une des questions que pose l'historienne et écrivaine Laure Murat dans son dernier essai “Toutes les époques sont dégueulasses” (éditions Verdier). Elle convoque notamment les débats autour du sexisme de James Bond ou encore l'antisémitisme de Roald Dahl dans “Sacrées sorcières”. Elle passe en revue les différentes façons d'accéder à des textes supposés problématiques à cause d'éléments racistes, misogynes ou dérangeants selon les sensibilités contemporaines. Laure Murat ne veut pas s'insurger contre une “réécriture de l'histoire” sous la pression d'une minorité ni porter aux nues le mythe d'un texte original qui ne souffrirait aucun changement. Elle distingue “réécriture” et “récriture”, l'une qui relève de l'adaptation, l'autre qui se débarrasse des mots qui fâchent et heurtent notre sensibilité. A69, suppression des ZFE, pesticides : sale temps pour l'écologie ?Reprise du chantier controversé de l'A69 dans le sud-ouest, suppression des zones à faibles émissions (ZFE) ou encore dérogations à l'objectif fixé par le ZAN (Zéro artificialisation nette) pour éviter la bétonisation : les revers se sont multipliés depuis la semaine dernière pour les écologistes, au niveau judiciaire comme à l'Assemblée nationale. “Une semaine noire pour l'écologie”, s'est désolée Marine Tondelier le 2 juin. Elle dénonce une “coalition anti-écologie” formée par le bloc central, Les Républicains et le Rassemblement national. À l'inverse, la cheffe de file des députés RN, Marine Le Pen, a salué la suppression des ZFE (également votée par La France insoumise) qui serait la “défaite de l'écologie punitive”. Ces revers sanctionnent-ils une écologie jugée trop contraignante ou font-ils primer l'économie sur l'écologie ? L'historien Pierre Nora est mort le 2 juin à l'âge de 93 ans. Xavier Mauduit revient sur son ouvrage incontournable “Lieux de mémoire”, qui a contribué à réveiller les débats sur la question mémorielle. Marie Bonnisseau nous présente le dessin animé “Tuttle Twins” : venu des États-Unis il cartonne en Argentine mais est dénoncé par l'opposition comme une “tentative d'endoctrinement des petits Argentins”. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 3 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

durée : 00:02:40 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Hommage à Pierre Nora, figure des sciences humaines du XXe siècle. L'historien a théorisé les "lieux de mémoire", essentiels pour la cohésion d'une nation. L'apprentissage du passé, clef pour affronter le présent. - réalisation : Félicie Faugère

Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Maryvonne de Saint-Pulgent et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 octobre 2024.Ce premier épisode de notre série consacrée à Notre-Dame de Paris, avec Maryvonne de Saint-Pulgent, fait le récit de l'incendie, « événement monstre » selon les termes de Pierre Nora, et de la collecte nationale qui s'en est suivi.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

Rencontre enregistrée le 6 avril 1993.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnement Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le Avec cette semaine : Michel Winock, historien et écrivain. Nicolas Baverez, essayiste et avocat. Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique. MICHEL WINOCK, EGO-HISTOIRE Michel Winock, vous êtes historien. Spécialiste de l'histoire de la République française ainsi que des mouvements intellectuels et politiques, vous avez publié, entre autres, Siècle des intellectuels en 1997 pour lequel vous avez obtenu le Prix Médicis ou encore, en 2010, Madame de Staël, récompensé par le par le Prix Goncourt de la biographie. Vous avez été membre de la revue « Esprit », directeur littéraire au Seuil et vous avez fondé, avec Michel Chodkievicz, la revue « L'Histoire ». Nous vous devons bon nombre d'ouvrages biographiques, de Flaubert à De Gaulle. Vous publiez aujourd'hui aux éditions Bouquins Ego-histoire. Qui s'inscrit dans la lignée du genre théorisé par Pierre Nora en 1987 dans ses Essais d'ego-histoire qu'il présente comme un « exercice (qui ) consiste à éclairer sa propre histoire comme on ferait l'histoire d'un autre. (À)expliciter, en historien, le lien entre l'histoire qu'on a faite et l'histoire qui vous a fait. » Cinq livres sont ici rassemblés. Tout d'abord, Jeanne et les siens et Jours anciens, deux livres sur votre enfance. La république se meurt évoque la période de votre adolescence progressivement habitée par l'engagement politique et intellectuel.Chronique des années soixante rassemble les 40 articles que vous aviez écrits pour Le Monde sur ce sujet durant l'été 1986. Enfin, Parlez-moi de la France est, dites-vous, « un ouvrage né d'une question qui me fut posée au début des années 1990 par mes étudiants russes à Moscou et à Saint-Pétersbourg : « Pouvez-vous nous résumer la France ? »Loin de reprendre la formule de Lavisse répondant à l'Impératrice Eugénie qui lui posait la même question « Madame, ça ne s'est jamais très bien passé », vous vous appliquez à décrire ce qu'est et ce que n'est pas notre pays. Pour l'historien Henri Marrou « l'histoire est inséparable de l'historien ». Votre livre en est l'illustration : on ne pourrait séparer le fait du témoin. Ces récits sont d'autant plus précieux que votre plume est autant celle d'un écrivain que celle d'un historien. Dans les deux livres qui ouvrent Ego-histoire, Jeanne et les siens et Jours anciens., nous sommes replongés dans une époque qui parait aujourd'hui plus que lointaine : celle à laquelle, lors de sa communion solennelle, l'école accordait un congé pour faire sa retraite. L'usage voulait que l'on offre des images à ses professeurs ; tout cela dans l'école laïque. Puisqu'un des rôles majeurs de la connaissance historique est d'éclairer le présent et éventuellement le futur, quelles leçons en tirez-vous ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

En littérature, la métonymie est une figure de style qui utilise un mot pour désigner une autre idée qui lui est associée. Dans ce cadre, la place Beauvau est devenue une périphrase pour désigner le ministère de l'intérieur qui, depuis 1861, a son siège principal dans l'hôtel de Beauvau - et c'est cet hôtel Beauvau qui a donné son nom à la célèbre place du 8ème arrondissement de Paris. Nous avons choisi, dans le cadre des podcasts de l'ISP, de revenir sur l'histoire de plusieurs espaces de pouvoir, en nous intéressant autant à l'histoire des institutions qu'ils abritent qu'aux lieux eux-mêmes. Nous opèrerons aussi des détours par l'histoire de Paris et en l'occurrence, s'agissant de la place Beauvau, par un crime qui s'y est déroulé. Pierre Nora est connu pour son ouvrage sur les lieux de mémoire, nous en resterons, pour notre part, aux lieux de pouvoir. Et nous avons choisi de commencer en évoquant la place Beauvau Et pour ce faire, je reçois Benoît Quennedey, professeur de culture générale et de droit public au sein de la Prépa ISP.

Pierre Nora entrelace le récit de son parcours personnel avec celui de la discipline historique, depuis l'après-guerre jusqu'aux années 2000, pour répondre à la question : pourquoi faire de l'histoire ?Conférence issue de l'édition 2005 des Rendez-vous de l'histoire sur le thème "Religion et Politique". © Pierre Nora, 2005. Voix du générique : Michel Hagnerelle (2006), Michaelle Jean (2016), Michelle Perrot (2002) https://rdv-histoire.com/  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 00:51:43 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Pierre Nora livre son roman d'apprentissage intitulé "Jeunesse" sous forme d'égo-histoire, Jacques Julliard partage ses carnets de réflexions d'un homme engagé. Répliques les réunit aujourd'hui pour un récit croisé de ces cheminements intellectuels. - invités : Pierre Nora Historien, éditeur, membre de l'Académie française; Jacques Julliard Historien, journaliste et essayiste

durée : 00:51:45 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Conversation avec l'historien et éditeur, Pierre Nora.

Sobre Economia Política da Comunicação e da Cultura (nome do canal), do grupo de pesquisa EPCC da FCRB.Autora do podcast: Mariana Franco Teixeira, bolsista da Fundação Casa de Rui Barbosa.Podcast sobre o  artigo "Entre memória e história: a problemática dos lugares" (1993) de (Pierre Nora).Coordenação do canal: Dra. Eula D.T.Cabral    Análise e correção do roteiro e fichamento do episódio: Dra. Eula D.T.CabralConheça o nosso grupo de pesquisaSite: https://pesquisaicfcrb.wixsite.com/epccCanal no Youtube - EPCC Brasil: https://www.youtube.com/channel/UC7niIPYHyPTpr24THJx- hiw/featuredPágina no Facebook - EPCC - Economia Política da Comunicação e da Cultura.

Spotkanie rozpoczęliśmy od relacji z podróży jednego z nas oraz dyskusji dotyczącej możliwości podróżowania i wyżywienia w podróży. Następnie w dziale nowinek jeden z nas opowiadał o pięknie – może nawet zbyt – odnowionym mieście i muzeum higieny, a drugi nawiązał do tych wątków wspominając o swojej podróży do Koziej Szyi oraz tłumacząc genezę prysznica. W części poświęconej lekturom jeden z nas przedstawił dzienniki znanego socjologa. Drugi zaś omówił zbiór artykułów inicjatora studiów nad pamięcią narodową, publikację niebanalnie popularyzującą dzieje powojenne Dolnego Śląska, wreszcie album z wystawy poświęconej… Maczkowowi. W zasadniczej części naszej rozmowy skupiliśmy się na problemie wykorzystywania wspomnień do popularyzowania wiedzy o przeszłości. Zwróciliśmy uwagę na coraz większa popularność w ostatnich latach biografii i wspomnień na półkach księgarskich. Zastanawialiśmy się nad zmianą oczekiwań czytelników wobec twórców opowieści o przeszłości. Zwrot antropologiczny w historii, który obserwowano w 2 połowie XX w., wydaje się przybierać specyficzny kształt poszukiwania historii indywidualnych. Nie tylko dopasowanych do konkretnego czytelnika, ale też przedstawiających przeszłość poprzez losy konkretnych - niekoniecznie pierwszoplanowych – postaci z przeszłości. Ramówka: - Rozgrzewka:)) - Nowinki / starowinki - 7:06 - Lektury - 24:09 - Temat przewodni -51:16 Pełny tekst opisu zamieściliśmy na stronie internetowej naszego projektu: http://2historykow1mikrofon.pl/wspomnien-czar/ Wymienione w czasie audycji publikacje i materiały: - Instytut Priessnitza, https://shrtm.nu/c3H (2023-05-16) - Stanisław Ossowski, Dzienniki, t. 1-3, opracowała Róża Sułek, Warszawa 2019-2022 https://scholar.com.pl/pl/glowna/8753-dzienniki-tom-iii-19491963.html (ostatni dostęp: 15.05.2023) - Pierre Nora, Między pamięcią a historią. Wybór tekstów, wstęp Krzysztof Pomian, wybór, wprowadzenie i przekład Jana Maria Kłoczowski, Gdańsk 2022, https://terytoria.com.pl/1954-miedzy-pamiecia-a-historia.html (ostatni dostęp: 15.05.2023) - Sławomir Szymański, Dolny Śląsk w 58 odsłonach 1945-2022, Wrocław 2022, https://sklep.okis.pl/produkt/dolny-slask-w-58-odslonach-1945-2022-slawomir-szymanski/ (ostatni dostęp: 15.05.2023) - Rüdiger Ritter unter Mitarbeit von Britta Albers, Haren-Maczkow 1945-1948. Dwa spojrzenia na miejscowość Haren w rejonie Emsland po II wojnie światowej, Haren 2023. - Krzysztof Ruchniewicz, Apel z Blois, https://krzysztofruchniewicz.eu/apel-z-blois/ (ostatni dostęp: 15.05.2023) Krzysztof Ruchniewicz Blog: www.krzysztofruchniewicz.eu Facebook: https://www.facebook.com/krzysztof.ruchniewicz.3 Instagram: www.instagram.com/ruchpho/ Twitter: twitter.com/krzyruch YouTube: www.youtube.com/channel/UCT23Rwyk…iew_as=subscriber Przemysław Wiszewski Blog: www.przemysławwiszewski.pl Facebook: www.facebook.com/przemyslaw.wiszewski Instagram: www.instagram.com/przewisz/ Twitter: twitter.com/wiszewski YuoTube: www.youtube.com/channel/UCuq6q08E…iew_as=subscriber Do nagrania intro i outro wykorzystaliśmy utwór RogerThat'a pt. „Retro 70s Metal” (licencja nr JAM-WEB-2020-0010041).

Rencontre avec Pierre Nora, historien, éditeur, à l'occasion de la sortie de Mémoires. Il publie : «Une étrange obstination» chez Gallimard. Une page de l'histoire intellectuelle en France.

Rencontre avec Pierre Nora, historien, éditeur, à l'occasion de la sortie de Mémoires. Il publie : «Une étrange obstination» chez Gallimard. Une page de l'histoire intellectuelle en France.

L'émission 28 Minutes du 10/12/2022 Au programme de l'émission du 10 décembre 2022 ⬇ Le samedi, 28 Minutes continue avec Renaud Dély, Nadia Daam et Jean-Mathieu Pernin ! De Gallimard à l'Académie française : une vie dans l'âge d'or des intellectuels 57 ans chez Gallimard, 35 ans d'enseignement et de recherche, 7 volumes des célèbres « Lieux de mémoire » et plus de mille livres édités… À 91 ans, Pierre Nora revient sur sa brillante carrière d'historien et d'éditeur dans le monde effervescent des sciences humaines. Dans le deuxième tome de ses mémoires, intitulé « Une étrange obstination » (Gallimard), l'Académicien raconte ses amitiés parfois tumultueuses avec les plus grands intellectuels de son époque, à l'instar de Michel Foucault, et le soutien infaillible de ses alliés de la première heure, comme Marcel Gauchet. Au fil des pages, Pierre Nora capture l'essence d'une époque différente — un âge d'or qu'il estime aujourd'hui disparu — et fait le récit de sa propre histoire pour laisser une trace de ce qu'il a vu et vécu, tant qu'il est encore temps. Découvrez son portrait signé Philippe Ridet et lu par Sandrine Le Calvez. Ukraine : combien de temps pourra-t-on soutenir l'effort de guerre ? La guerre en Ukraine semble loin d'être terminée — c'est en tout cas ce que laisse entendre Vladimir Poutine. Jeudi 8 décembre, le dirigeant a promis de poursuivre les frappes contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes, alors que Volodymyr Zelensky accuse les forces russes de miner et piéger les territoires qu'ils abandonnent lors de leurs retraits. L'impact du conflit continue de s'étendre : de nombreux pays sont victimes d'inflation ou de coupures de courant, conséquences directes du conflit. De son côté, l'Occident continue de soutenir massivement l'Ukraine, à travers la livraison d'armes notamment. Si le conflit s'étire effectivement dans le temps, serons-nous capables de soutenir l'effort de guerre ukrainien encore longtemps ? Migrations illégales : comment contrôler un espace sans frontières ?  La Croatie est admise dans l'espace Schengen et fera son entrée en janvier 2023. Elle devient donc le 27e membre de cette zone, dans laquelle 400 millions de personnes peuvent voyager librement. Une entrée qui encouragera le tourisme et permettra notamment la suppression des files d'attente de véhicules aux frontières du pays. La candidature de la Roumanie et la Bulgarie ont, quant à elles, été rejetées, sur fond de hausse des arrivées de migrants par la route des Balkans, principale route migratoire vers l'UE. Depuis le début de l'année, 130 000 tentatives irrégulières de traversée des frontières ont été enregistrées dans ces pays, soit près de 170% de plus qu'en 2021. La maîtrise de la politique migratoire est-elle compatible avec l'élargissement de Schengen ? « La criminalisation de ces actes viole le droit des personnes à la vie privée. » Direction l'Indonésie avec Gaël Legras où le gouvernement a adopté une loi qui criminalise les relations sexuelles hors mariage, interdisant ainsi l'adultère et la cohabitation des couples non mariés. Si certains s'en félicitent, la nouvelle scandalise les défenseurs des droits humains. Sans oublier la question très intéressante de David Castello-Lopes, la chronique de Marie Bonnisseau et un retour sur le temps fort de la semaine. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 10 décembre 2022 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio

Dans « Au bonheur des livres » cette semaine, Denis Olivennes reçoit Pierre Nora. Historien, éditeur, membre de l'Académie française, il a été témoin mais aussi acteur de la vie intellectuelle des cinquante dernières années.Dans son dernier ouvrage, « Une étrange obstination » publié chez Gallimard, il invite le lecteur à feuilleter l'album des trente glorieuses, période qui a notamment vu l'essor des sciences humaines, l'histoire mais aussi la sociologie, la linguistique ou encore l'ethnologie.L'invité :Pierre Nora :Auteur de « Une étrange obstination » Ed. GallimardBibliographie de l'émission :« Une étrange obstination » de Pierre Nora – Ed. Gallimard« Jeunesse » de Pierre Nora – Ed. Poche Folio« Gouverner la France » de Michel Winock et Mona Ozouf - Ed Quarto Gallimard« La Petite Menteuse » de Pascale Robert-Diard - Ed. de l'Iconoclaste« Diabolo Menthe » de Diane Kurys et Cathy Karsenty - Ed Dargaud« Jacqueline Jacqueline » de Jean-Claude Grumberg - Ed du Seuil Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Bienvenue dans cette 98ème édition de Pierres de Touche, l'émission hebdomadaire de la Grande Loge Mixte de France. Nous avons choisi d'intituler cette émission « Allo, le monde » parce que nous pensons à ce qu'il se passe en Ukraine, à ces jeunes femmes iraniennes, à ces jeunes qui rêvent d'un monde meilleur et qui traversent la Méditerrannée, la mer Egée ou la Manche pour trouver cet eldorado. Et puis nous pensons à ceux qui ont connu la Shoah. Et puis nous pensons à notre planète et nous prenons conscience chaque jour un peu que la nature est précieuse. Et puis, bien sûr nos pensées vont vers Samuel Paty et ses proches. Pour débuter cette émission, Claire Donzel nous propose un billet d'humeur pour souligner le courage dont font preuve les femmes iraniennes depuis plus d'un mois maintenant. Pour illustrer ce propos d'actualité, Debout les femmes, l'hymne du MLF interprété par 39 femmes artistes françaises. Place maintenant à la chronique qui retrace les événements organisés dans le cadre des 40 ans de l'Obédience. Jacques Djedaï évoque ce matin le prochain déplacement du Grand Maître en Guadeloupe. Pour la chronique sur le devenir de la planète, Félix Natali a choisi de revenir aux sources. Aider la nature à nous aider… C'est le propos de ce dimanche matin, un propos qui sera illustré par Pauline et « Allo le monde ». Lors de l'émission précédente, Michel Baron avait débuté une nouvelle série psycho-philo sur Stanislas de Boufflers. En voici le deuxième opus. Nous connaissons le grand intellectuel qu'est Pierre Nora. Dans le cadre de la rubrique Idées - Le monde qui vient, Pierre Yana avait proposé une première réflexion à partir du premier tome de ses Mémoires lors de l'émission 48. Alors que le deuxième tome intitulé Une étrange obstination vient de paraître, Pierre Yana continue son développement pour nous parler de l'itinéraire hors du commun de ce penseur de la société qu'est Pierre Nora. Pour illustrer la chronique à venir, en clin d'œil à la nouvelle Première ministre britannique, la célèbre chanson de Renaud, Miss Maggie, consacrée à Margaret Tatcher. Alors vous l'aurez compris la chronique internationale de ce dimanche concerne le Royaume-Uni et elle est produite par William Bres. Et la chanson appropriée pour ce propos est bien sûr, Brexit de Julien Clerc. La pétillante Delphine Horvilleur, femme rabbin et essayiste, a publié il y a quelques jours un ouvrage intitulé Il n'y a pas de Ajar. Ajar, c'est le pseudo qu'a utilisé Romain Gary et qui lui a permis d'être récompensé à deux reprises du prix Goncourt. A partir de Gary, Delphine Horvilleur nous propose une réflexion sur l'identité. C'est le thème de la rubrique la République vue par Claire Donzel en ce dimanche matin. Cette émission touche à sa fin. Merci à l'équipe de chroniqueurs de Pierres de Touche, merci à Gilles Saulière de Radio Delta. Comment ne pas penser à Samuel Paty qui fut sauvagement assassiné par un fanatique islamiste il y a deux ans ? Nous rediffuserons dimanche prochain l'émission que nous lui avions consacrée. Nous nous quittons avec la Grande Sophie et Du courage, en écho à la première chronique de cette émission. Conception et animation: Élise Ovart-Baratte Production: Gilles Saulière - RadioDelta Déroulé de l'émission: 00:00:00 Présentation de l'émission - Élise Ovart-Barrate 00:00:5 Chronique : Du courage ! (au sujet des iraniennes) - Claire Donzel 00:04:59 Musique : Debout les femmes - 39 femmes artistes françaises 00:08:13 Chronique 40 ans : Programme des événements - Jacques Djedai 00:10:50 Chronique La planète : Aider la nature à nous aider - Félix Natali 00:16:46 Musique : Allo le monde - Pauline 00:20:47 Chronique Psycho-philo : Stanislas de Boufflers : Libre-arbitre ou serf-arbitre ? - Partie 2/3 - Michel Baron 00:31:23 Chronique Idées : Pierre Nora, Une étrange obstination - Pierre Yana 00:39:38 Musique : Miss Maggie - Renaud 00:43:45 Chronique Internationale : Royaume-Uni - William Bres 00:51:27 Musique : Brexit - Julien Clerc 00:54:47 Chronique La république vue par CD : Delphine Horvilleur, Il n'y a pas de Ajar - Claire Donzel 00:57:42 Fin : Remerciements - Élise Ovart-Barrate 00:58:26 Musique : Du courage - La Grande sophie

aux éditions Gallimard. Entretien avec Jean Petaux. Rentrée littéraire automne 2022.

durée : 00:52:07 - L'Heure bleue - L'éditeur et essayiste Pierre Nora, de l'Académie française, présente son dernier livre "Une étrange obstination", publié aux éditions Gallimard.

durée : 00:51:42 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Conversation avec l'historien et éditeur, Pierre Nora

Boubacar Boris Diop is the author of Murambi: The Book of Bones, (Indiana UP, 2016; translated by Fiona McLaughlin), an unforgettable novel of the Rwandan genocide that blends journalistic research with finely drawn characterizations of perpetrators, victims, and bystanders. In this episode, Mr. Diop reads from Murambi, translated from French by Fiona McLaughlin, and speaks to Duke professor Sarah Quesada and host Aarthi Vadde about how his work on the novel spurred him to rethink his language of composition. Mr. Diop wrote his first five novels in French, but after Murambi, shifted to Wolof, the most widely spoken language in his home country of Senegal. Asked to describe the difference between writing in French and writing in Wolof, Mr. Diop sums it up memorably: “When I start writing in French, I shut the door; I shut the window…I don't hear the words I'm writing. When I write in Wolof, I hear every word.” Sarah and Mr. Diop discuss whether translation can be an ally to a Wolof worldview or whether the sounds that Mr. Diop hears through his window will inevitably be lost to readers who encounter his Wolof novels in English or French. Their dialogue suggests that, while Wolof represents a form of linguistic emancipation from the legacy of a French colonial education, there is also discovery and freedom in raising the literary profile of Wolof for an international audience. Mr. Diop's Doomi Golo: The Hidden Notebooks is the first Wolof novel to be translated into English and an excerpt from his second Wolof novel Bàmmeelu Kocc Barma is available in translation here. In response to our signature question of the season, Mr. Diop proposes that the Wolof word “keroog” is very difficult to translate but not impossible. And it spurs an impromptu comparison to the Spanish word “ahorita,” which like “keroog,” blurs the distinctions between present, past, and future. In an episode about personal and political memory, nothing could be more fitting! Mentioned in this episode: --Toni Morrison --Gabriel Garcia Marquez --Mario Vargas Llosa --Ernesto Sábato --Léopold Sédar Senghor --Doomi Golo: The Hidden Notebooks --Les Petits de la guenon (French Translation of Doomi Golo) --Bàmmeelu Kocc Barma – literally translated as Kocc Barma's Grave (Diop's second Wolof novel) --Malaanum Lëndëm – Diop's third Wolof novel --Alice Chaudemanche (French translator of Malaanum Lëndëm) --Pierre Nora – French historian --Marianne Hirsch --“Sites mémoriaux du génocide” – memorial sites of genocide (term used by UNESCO that qualify as heritage sites.) --Rwandan term – “ejo” (similar to keroog) from the language: Kinyarwanda Find out more about Novel Dialogue and its hosts and organizers here. Contact us, get that exact quote from a transcript, and explore many more conversations between novelists and critics. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/literary-studies

Au programme : Invité : Pierre Nora - Historien & membre de l'Académie Française • Pierre Nora face aux bouleversements de l'époque • Hommages à la reine : transparence ou voyeurisme ? • Politique : un débat chasse l'autre ? • Les intellectuels ont-ils abandonné leur rôle ? • L'école peut-elle échapper aux batailles idéologiques ? • Michel Foucault : une parole toujours actuelle ? L'édito de Patrick Cohen - Ukraine : des charniers découverts à Izioum Invité : Bruno Tertrais - Directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique • Une nouvelle ville martyre en Ukraine • L'armée russe en pleine déroute ? • L'armée russe en difficulté • Poutine sera-t-il jugé un jour ? • La Russie peut-elle compter sur l'appui de la Chine ? • Azerbaïdjan-Arménie : L'autre conflit La Story - Il crée une entreprise pour aider sa mère malade et au chômage Le 5/5 : • Macron veut décentraliser l'immigration • Gap : grève de la faim pour l'école • Influenceurs : faut-il contrôler les réseaux ? • Paris-Nantes en char à voile : chiche ?

durée : 00:58:57 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Éditeur chez Gallimard pendant cinquante-sept ans, historien, auteur des mythiques "Lieux de mémoire" et directeur de revue pendant quarante ans, Pierre Nora raconte son parcours intellectuel et professionnel dans le deuxième volume de ses mémoires. - invités : Pierre Nora Historien, éditeur, membre de l'Académie française

durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - De quelle façon Marcel Proust est-il l'inventeur des "lieux de mémoire"? s'interroge Pierre Nora. L'historien revient sur la réception de Proust après 1945 et analyse comment son œuvre a sourdement cheminé en lui et nourrit intensément sa tâche d'historien, tandis que la France se métamorphosait. - invités : Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française

durée : 03:02:00 - Les Nuits de France Culture - Mona Ozouf, Emmanuel Leroy-Ladurie, Pierre Rosanvallon, Jean-Denis Bredin, Daniel Bensaïd, etc, racontaient l'historien François Furet dans un "Bon plaisir" enregistré en 1992. François Furet y retraçait lui-même longuement son parcours, évoquant notamment le communisme et la Révolution française. - invités : Mona Ozouf Historienne.; Gilles Martinet; Georges Kiejman Avocat.; Jean-Denis Bredin Historien, avocat, écrivain, membre de l'Académie Française (1929-2021); Pierre Rosanvallon historien, titulaire de la chaire d'Histoire moderne et contemporaine du politique au Collège de France; Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française; Emmanuel Le Roy Ladurie du Collège de France; Edgar Faure Homme d'état français

Gérard Unger reçoit Jacques Semelin pour son livre « Un énigme française – Pourquoi les trois quarts des Juifs en France n'ont pas été déportés » chez Albin Michel.ru À propos du livre : «Un énigme française – Pourquoi les trois quarts des Juifs en France n'ont pas été déportés» paru aux éditions Albin Michel Tout a commencé par une question posée par Simone Veil à Jacques Semelin en 2008 : « Comment se fait-il que tant de Juifs ont pu survivre en France malgré le gouvernement de Vichy et les nazis ? » Un vrai défi pour cet historien spécialiste des crimes de masse et de la Shoah. Si Serge Klarsfeld a établi que trois quarts des Juifs en France ont échappé à la mort (chiffre exceptionnel en Europe), ce n'est en effet pas l'action des quelque 4 000 Justes français qui peut à elle seule l'expliquer. Et ce n'est pas davantage (comme certains le soutiennent à nouveau aujourd'hui) une imaginaire mansuétude de Vichy, dont l'implication criminelle n'est plus à démontrer. Il y avait donc bien une « énigme française » sur laquelle l'historiographie était encore très pauvre. D'une plume alerte, en collaboration avec Laurent Larcher, journaliste à La Croix, l'historien nous raconte son enquête passionnante dans la mémoire des Juifs non déportés, son analyse des circonstances de l'époque, ses rencontres avec Robert Paxton, Robert Badinter, Pierre Nora, Serge Klarsfeld... C'est une tout une autre histoire des Français sous l'Occupation qui est ici mise au jour et confrontée au régime mémoriel institué par le discours de Jacques Chirac le 16 juillet 1995 - sans que jamais la Collaboration ni le sort tragique des victimes ne soient oubliés.

Over 75 years have passed since the end of World War II, but the collective memory of the conflict remains potently present for the people of the Russian Federation. Professor David Hoffman, editor of a new collection of essays about war memory in “Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia” suggests that this is no accident. Together with an impressive, interdisciplinary roster of academic contributors, Hoffman examines how the current leadership of Russia has put war memory at the heart of national identity, and used it as a powerful unifying force. Professor Hoffman and his fellow contributors were inspired by the memory studies of Pierre Nora, and in the fifteen well-crafted essays that make up The Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia (Routledge, 2021) they examine a wide range of what Nora called the “lieux de mémoire” or sites of memory, which includes textbooks, memorials, monuments, archives, and films. Hoffman's choice of this international group of scholars, working in Russia, Ukraine, Britain, France, Norway, Austria, Germany and the United States across a range of academic disciplines, from film to sociology ensures that the essays offer a wide range of viewpoints and subjects, moving in a deft chronological sweep from just after the war to the present day. World War II, known in Russia today as The Great Patriotic War, was a defining moment for the twenty-four-year-old Soviet State. If the Revolutions of 1917 created the USSR, it was the hard-won victory over the Nazis in The Great Patriotic War that turned it into a Great Power. The cost of that victory remains breath-taking today: 27 million men and women lost their lives, major cities were destroyed, and millions were left displaced. No family escaped the collective trauma, which is still felt today. In examining the sites of memory, the essays in “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” offer a comprehensive look at the developing deployment of war memory, particularly by the current Russian leadership. Although Vladimir Putin was not alive during World War II, he has sought to weave his own personal narrative into that of the memory of the Great Patriotic War. Putin revived and expanded the countrywide commemorations of May 9 or Victory Day, which provided the vivid backdrop to his first inauguration ceremony in 2000. As president and prime minister, Putin spearheaded a renewed respect for the dwindling cadre of World War II veterans, and by creating state-of-the-art historical museums dedicated to the war, he ensured that war memory is kept alive for a new generation of Russians. “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” also explores the changing narratives around Ukraine and other former Soviet republics, the Holocaust, Lend-Lease, local media, and other key aspects of the collective memory of World War II in Russia. While the collection is a valuable contribution to the emerging scholarship on World War II memory begun by Nina Tumarkin and others, I suspect that “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” will ultimately enjoy a much wider audience: the essays offer rich insight into the mindset of Russia's leaders and people, at a moment of heightened tensions between Russia and the West. Professor David Hoffman is Ohio State's College of Arts and Sciences Distinguished Professor.  Jennifer Eremeeva is an American expatriate writer who writes about travel, culture, cuisine and culinary history, Russian history, and Royal History, with bylines in Reuters, Fodor's, USTOA, LitHub, The Moscow Times, and Russian Life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/eastern-european-studies

Over 75 years have passed since the end of World War II, but the collective memory of the conflict remains potently present for the people of the Russian Federation. Professor David Hoffman, editor of a new collection of essays about war memory in “Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia” suggests that this is no accident. Together with an impressive, interdisciplinary roster of academic contributors, Hoffman examines how the current leadership of Russia has put war memory at the heart of national identity, and used it as a powerful unifying force. Professor Hoffman and his fellow contributors were inspired by the memory studies of Pierre Nora, and in the fifteen well-crafted essays that make up The Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia (Routledge, 2021) they examine a wide range of what Nora called the “lieux de mémoire” or sites of memory, which includes textbooks, memorials, monuments, archives, and films. Hoffman's choice of this international group of scholars, working in Russia, Ukraine, Britain, France, Norway, Austria, Germany and the United States across a range of academic disciplines, from film to sociology ensures that the essays offer a wide range of viewpoints and subjects, moving in a deft chronological sweep from just after the war to the present day. World War II, known in Russia today as The Great Patriotic War, was a defining moment for the twenty-four-year-old Soviet State. If the Revolutions of 1917 created the USSR, it was the hard-won victory over the Nazis in The Great Patriotic War that turned it into a Great Power. The cost of that victory remains breath-taking today: 27 million men and women lost their lives, major cities were destroyed, and millions were left displaced. No family escaped the collective trauma, which is still felt today. In examining the sites of memory, the essays in “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” offer a comprehensive look at the developing deployment of war memory, particularly by the current Russian leadership. Although Vladimir Putin was not alive during World War II, he has sought to weave his own personal narrative into that of the memory of the Great Patriotic War. Putin revived and expanded the countrywide commemorations of May 9 or Victory Day, which provided the vivid backdrop to his first inauguration ceremony in 2000. As president and prime minister, Putin spearheaded a renewed respect for the dwindling cadre of World War II veterans, and by creating state-of-the-art historical museums dedicated to the war, he ensured that war memory is kept alive for a new generation of Russians. “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” also explores the changing narratives around Ukraine and other former Soviet republics, the Holocaust, Lend-Lease, local media, and other key aspects of the collective memory of World War II in Russia. While the collection is a valuable contribution to the emerging scholarship on World War II memory begun by Nina Tumarkin and others, I suspect that “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” will ultimately enjoy a much wider audience: the essays offer rich insight into the mindset of Russia's leaders and people, at a moment of heightened tensions between Russia and the West. Professor David Hoffman is Ohio State's College of Arts and Sciences Distinguished Professor.  Jennifer Eremeeva is an American expatriate writer who writes about travel, culture, cuisine and culinary history, Russian history, and Royal History, with bylines in Reuters, Fodor's, USTOA, LitHub, The Moscow Times, and Russian Life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

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Over 75 years have passed since the end of World War II, but the collective memory of the conflict remains potently present for the people of the Russian Federation. Professor David Hoffman, editor of a new collection of essays about war memory in “Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia” suggests that this is no accident. Together with an impressive, interdisciplinary roster of academic contributors, Hoffman examines how the current leadership of Russia has put war memory at the heart of national identity, and used it as a powerful unifying force. Professor Hoffman and his fellow contributors were inspired by the memory studies of Pierre Nora, and in the fifteen well-crafted essays that make up The Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia (Routledge, 2021) they examine a wide range of what Nora called the “lieux de mémoire” or sites of memory, which includes textbooks, memorials, monuments, archives, and films. Hoffman's choice of this international group of scholars, working in Russia, Ukraine, Britain, France, Norway, Austria, Germany and the United States across a range of academic disciplines, from film to sociology ensures that the essays offer a wide range of viewpoints and subjects, moving in a deft chronological sweep from just after the war to the present day. World War II, known in Russia today as The Great Patriotic War, was a defining moment for the twenty-four-year-old Soviet State. If the Revolutions of 1917 created the USSR, it was the hard-won victory over the Nazis in The Great Patriotic War that turned it into a Great Power. The cost of that victory remains breath-taking today: 27 million men and women lost their lives, major cities were destroyed, and millions were left displaced. No family escaped the collective trauma, which is still felt today. In examining the sites of memory, the essays in “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” offer a comprehensive look at the developing deployment of war memory, particularly by the current Russian leadership. Although Vladimir Putin was not alive during World War II, he has sought to weave his own personal narrative into that of the memory of the Great Patriotic War. Putin revived and expanded the countrywide commemorations of May 9 or Victory Day, which provided the vivid backdrop to his first inauguration ceremony in 2000. As president and prime minister, Putin spearheaded a renewed respect for the dwindling cadre of World War II veterans, and by creating state-of-the-art historical museums dedicated to the war, he ensured that war memory is kept alive for a new generation of Russians. “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” also explores the changing narratives around Ukraine and other former Soviet republics, the Holocaust, Lend-Lease, local media, and other key aspects of the collective memory of World War II in Russia. While the collection is a valuable contribution to the emerging scholarship on World War II memory begun by Nina Tumarkin and others, I suspect that “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” will ultimately enjoy a much wider audience: the essays offer rich insight into the mindset of Russia's leaders and people, at a moment of heightened tensions between Russia and the West. Professor David Hoffman is Ohio State's College of Arts and Sciences Distinguished Professor.  Jennifer Eremeeva is an American expatriate writer who writes about travel, culture, cuisine and culinary history, Russian history, and Royal History, with bylines in Reuters, Fodor's, USTOA, LitHub, The Moscow Times, and Russian Life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/central-asian-studies

Over 75 years have passed since the end of World War II, but the collective memory of the conflict remains potently present for the people of the Russian Federation. Professor David Hoffman, editor of a new collection of essays about war memory in “Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia” suggests that this is no accident. Together with an impressive, interdisciplinary roster of academic contributors, Hoffman examines how the current leadership of Russia has put war memory at the heart of national identity, and used it as a powerful unifying force. Professor Hoffman and his fellow contributors were inspired by the memory studies of Pierre Nora, and in the fifteen well-crafted essays that make up The Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia (Routledge, 2021) they examine a wide range of what Nora called the “lieux de mémoire” or sites of memory, which includes textbooks, memorials, monuments, archives, and films. Hoffman's choice of this international group of scholars, working in Russia, Ukraine, Britain, France, Norway, Austria, Germany and the United States across a range of academic disciplines, from film to sociology ensures that the essays offer a wide range of viewpoints and subjects, moving in a deft chronological sweep from just after the war to the present day. World War II, known in Russia today as The Great Patriotic War, was a defining moment for the twenty-four-year-old Soviet State. If the Revolutions of 1917 created the USSR, it was the hard-won victory over the Nazis in The Great Patriotic War that turned it into a Great Power. The cost of that victory remains breath-taking today: 27 million men and women lost their lives, major cities were destroyed, and millions were left displaced. No family escaped the collective trauma, which is still felt today. In examining the sites of memory, the essays in “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” offer a comprehensive look at the developing deployment of war memory, particularly by the current Russian leadership. Although Vladimir Putin was not alive during World War II, he has sought to weave his own personal narrative into that of the memory of the Great Patriotic War. Putin revived and expanded the countrywide commemorations of May 9 or Victory Day, which provided the vivid backdrop to his first inauguration ceremony in 2000. As president and prime minister, Putin spearheaded a renewed respect for the dwindling cadre of World War II veterans, and by creating state-of-the-art historical museums dedicated to the war, he ensured that war memory is kept alive for a new generation of Russians. “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” also explores the changing narratives around Ukraine and other former Soviet republics, the Holocaust, Lend-Lease, local media, and other key aspects of the collective memory of World War II in Russia. While the collection is a valuable contribution to the emerging scholarship on World War II memory begun by Nina Tumarkin and others, I suspect that “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” will ultimately enjoy a much wider audience: the essays offer rich insight into the mindset of Russia's leaders and people, at a moment of heightened tensions between Russia and the West. Professor David Hoffman is Ohio State's College of Arts and Sciences Distinguished Professor.  Jennifer Eremeeva is an American expatriate writer who writes about travel, culture, cuisine and culinary history, Russian history, and Royal History, with bylines in Reuters, Fodor's, USTOA, LitHub, The Moscow Times, and Russian Life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/history

Over 75 years have passed since the end of World War II, but the collective memory of the conflict remains potently present for the people of the Russian Federation. Professor David Hoffman, editor of a new collection of essays about war memory in “Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia” suggests that this is no accident. Together with an impressive, interdisciplinary roster of academic contributors, Hoffman examines how the current leadership of Russia has put war memory at the heart of national identity, and used it as a powerful unifying force. Professor Hoffman and his fellow contributors were inspired by the memory studies of Pierre Nora, and in the fifteen well-crafted essays that make up The Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia (Routledge, 2021) they examine a wide range of what Nora called the “lieux de mémoire” or sites of memory, which includes textbooks, memorials, monuments, archives, and films. Hoffman's choice of this international group of scholars, working in Russia, Ukraine, Britain, France, Norway, Austria, Germany and the United States across a range of academic disciplines, from film to sociology ensures that the essays offer a wide range of viewpoints and subjects, moving in a deft chronological sweep from just after the war to the present day. World War II, known in Russia today as The Great Patriotic War, was a defining moment for the twenty-four-year-old Soviet State. If the Revolutions of 1917 created the USSR, it was the hard-won victory over the Nazis in The Great Patriotic War that turned it into a Great Power. The cost of that victory remains breath-taking today: 27 million men and women lost their lives, major cities were destroyed, and millions were left displaced. No family escaped the collective trauma, which is still felt today. In examining the sites of memory, the essays in “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” offer a comprehensive look at the developing deployment of war memory, particularly by the current Russian leadership. Although Vladimir Putin was not alive during World War II, he has sought to weave his own personal narrative into that of the memory of the Great Patriotic War. Putin revived and expanded the countrywide commemorations of May 9 or Victory Day, which provided the vivid backdrop to his first inauguration ceremony in 2000. As president and prime minister, Putin spearheaded a renewed respect for the dwindling cadre of World War II veterans, and by creating state-of-the-art historical museums dedicated to the war, he ensured that war memory is kept alive for a new generation of Russians. “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” also explores the changing narratives around Ukraine and other former Soviet republics, the Holocaust, Lend-Lease, local media, and other key aspects of the collective memory of World War II in Russia. While the collection is a valuable contribution to the emerging scholarship on World War II memory begun by Nina Tumarkin and others, I suspect that “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” will ultimately enjoy a much wider audience: the essays offer rich insight into the mindset of Russia's leaders and people, at a moment of heightened tensions between Russia and the West. Professor David Hoffman is Ohio State's College of Arts and Sciences Distinguished Professor.  Jennifer Eremeeva is an American expatriate writer who writes about travel, culture, cuisine and culinary history, Russian history, and Royal History, with bylines in Reuters, Fodor's, USTOA, LitHub, The Moscow Times, and Russian Life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/military-history

Over 75 years have passed since the end of World War II, but the collective memory of the conflict remains potently present for the people of the Russian Federation. Professor David Hoffman, editor of a new collection of essays about war memory in “Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia” suggests that this is no accident. Together with an impressive, interdisciplinary roster of academic contributors, Hoffman examines how the current leadership of Russia has put war memory at the heart of national identity, and used it as a powerful unifying force. Professor Hoffman and his fellow contributors were inspired by the memory studies of Pierre Nora, and in the fifteen well-crafted essays that make up The Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia (Routledge, 2021) they examine a wide range of what Nora called the “lieux de mémoire” or sites of memory, which includes textbooks, memorials, monuments, archives, and films. Hoffman's choice of this international group of scholars, working in Russia, Ukraine, Britain, France, Norway, Austria, Germany and the United States across a range of academic disciplines, from film to sociology ensures that the essays offer a wide range of viewpoints and subjects, moving in a deft chronological sweep from just after the war to the present day. World War II, known in Russia today as The Great Patriotic War, was a defining moment for the twenty-four-year-old Soviet State. If the Revolutions of 1917 created the USSR, it was the hard-won victory over the Nazis in The Great Patriotic War that turned it into a Great Power. The cost of that victory remains breath-taking today: 27 million men and women lost their lives, major cities were destroyed, and millions were left displaced. No family escaped the collective trauma, which is still felt today. In examining the sites of memory, the essays in “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” offer a comprehensive look at the developing deployment of war memory, particularly by the current Russian leadership. Although Vladimir Putin was not alive during World War II, he has sought to weave his own personal narrative into that of the memory of the Great Patriotic War. Putin revived and expanded the countrywide commemorations of May 9 or Victory Day, which provided the vivid backdrop to his first inauguration ceremony in 2000. As president and prime minister, Putin spearheaded a renewed respect for the dwindling cadre of World War II veterans, and by creating state-of-the-art historical museums dedicated to the war, he ensured that war memory is kept alive for a new generation of Russians. “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” also explores the changing narratives around Ukraine and other former Soviet republics, the Holocaust, Lend-Lease, local media, and other key aspects of the collective memory of World War II in Russia. While the collection is a valuable contribution to the emerging scholarship on World War II memory begun by Nina Tumarkin and others, I suspect that “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” will ultimately enjoy a much wider audience: the essays offer rich insight into the mindset of Russia's leaders and people, at a moment of heightened tensions between Russia and the West. Professor David Hoffman is Ohio State's College of Arts and Sciences Distinguished Professor.  Jennifer Eremeeva is an American expatriate writer who writes about travel, culture, cuisine and culinary history, Russian history, and Royal History, with bylines in Reuters, Fodor's, USTOA, LitHub, The Moscow Times, and Russian Life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/russian-studies

Over 75 years have passed since the end of World War II, but the collective memory of the conflict remains potently present for the people of the Russian Federation. Professor David Hoffman, editor of a new collection of essays about war memory in “Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia” suggests that this is no accident. Together with an impressive, interdisciplinary roster of academic contributors, Hoffman examines how the current leadership of Russia has put war memory at the heart of national identity, and used it as a powerful unifying force. Professor Hoffman and his fellow contributors were inspired by the memory studies of Pierre Nora, and in the fifteen well-crafted essays that make up The Memory of the Second World War in Soviet and Post-Soviet Russia (Routledge, 2021) they examine a wide range of what Nora called the “lieux de mémoire” or sites of memory, which includes textbooks, memorials, monuments, archives, and films. Hoffman's choice of this international group of scholars, working in Russia, Ukraine, Britain, France, Norway, Austria, Germany and the United States across a range of academic disciplines, from film to sociology ensures that the essays offer a wide range of viewpoints and subjects, moving in a deft chronological sweep from just after the war to the present day. World War II, known in Russia today as The Great Patriotic War, was a defining moment for the twenty-four-year-old Soviet State. If the Revolutions of 1917 created the USSR, it was the hard-won victory over the Nazis in The Great Patriotic War that turned it into a Great Power. The cost of that victory remains breath-taking today: 27 million men and women lost their lives, major cities were destroyed, and millions were left displaced. No family escaped the collective trauma, which is still felt today. In examining the sites of memory, the essays in “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” offer a comprehensive look at the developing deployment of war memory, particularly by the current Russian leadership. Although Vladimir Putin was not alive during World War II, he has sought to weave his own personal narrative into that of the memory of the Great Patriotic War. Putin revived and expanded the countrywide commemorations of May 9 or Victory Day, which provided the vivid backdrop to his first inauguration ceremony in 2000. As president and prime minister, Putin spearheaded a renewed respect for the dwindling cadre of World War II veterans, and by creating state-of-the-art historical museums dedicated to the war, he ensured that war memory is kept alive for a new generation of Russians. “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” also explores the changing narratives around Ukraine and other former Soviet republics, the Holocaust, Lend-Lease, local media, and other key aspects of the collective memory of World War II in Russia. While the collection is a valuable contribution to the emerging scholarship on World War II memory begun by Nina Tumarkin and others, I suspect that “Memory of the Second World War in Soviet and post-Soviet Russia” will ultimately enjoy a much wider audience: the essays offer rich insight into the mindset of Russia's leaders and people, at a moment of heightened tensions between Russia and the West. Professor David Hoffman is Ohio State's College of Arts and Sciences Distinguished Professor.  Jennifer Eremeeva is an American expatriate writer who writes about travel, culture, cuisine and culinary history, Russian history, and Royal History, with bylines in Reuters, Fodor's, USTOA, LitHub, The Moscow Times, and Russian Life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/political-science

Crazy Train Radio decided to take a little look at the JFK situation as far as with the viewpoint of this published book: Making JFK Matter: Popular Memory and the Thirty-Fifth President. We discuss ongoing contestation of public memory that continues to be a subject of continuing theoretical interest and debate. The dilemma of between how history & historians have judged JFK's presidencey and legacy vs how JFK is regarded in “public memory”; ala promise and performance, the Myth of JFK & of course as part of the process of writing this book the theory of Pierre Nora's notion of “lieu de memoire” or place of memory being an influence. Paul H. Santa Cruz Book: https://www.amazon.com/gp/product/B00XQ2RAG6/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p1_i0 Crazy Train Radio: Facebook: www.facebook.com/realctradio Twitter: @realctradio Instagram: @crazytrainradio YouTube: www.youtube.com/crazytrainradio --- Support this podcast: https://anchor.fm/crazytrainradio/support

durée : 00:49:47 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Autour de l'essai posthume de l'écrivain, journaliste, fondateur et éditorialiste du Nouvel Observateur, Jean Daniel, " Réconcilier la France, Une histoire vécue de la nation ", rencontre avec Sara Daniel et Pierre Nora - invités : Sara Daniel Grand reporter, chef du service étranger à L'Obs; Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française

durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - De quelle façon Marcel Proust est-il l'inventeur des "lieux de mémoire"? s'interroge Pierre Nora. L'historien revient sur la réception de Proust après 1945 et analyse comment son oeuvre a sourdement cheminé en lui et nourrit intensément sa tâche d'historien, tandis que la France se métamorphosait. - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française

durée : 00:28:45 - Avoir raison avec... - par : Perrine Kervran - Comment Germaine Tillion s'est retrouvée prise au cœur du conflit algérien jusqu'à s'engager contre la torture tout en n'envisageant pas l'indépendance de l'Algérie. - invités : Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française

Sobre Economia Política da Comunicação e da Cultura (nome do canal), do grupo de pesquisa EPCC da FCRB. Autora do podcast: Mariana Franco Teixeira, bolsista da Fundação Casa de Rui Barbosa. Podcast sobre o artigo "Entre memória e história: a problemática dos lugares" (1993) de (Pierre Nora). Coordenação do canal: Dra. Eula D.T.Cabral Análise e correção do roteiro e fichamento do episódio: Dra. Eula D.T.Cabral Conheça o nosso grupo de pesquisa Site: https://pesquisaicfcrb.wixsite.com/epcc Canal no Youtube - EPCC Brasil: https://www.youtube.com/channel/UC7niIPYHyPTpr24THJx- hiw/featured Página no Facebook - EPCC - Economia Política da Comunicação e da Cultura.

durée : 00:51:28 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Pierre Nora livre son roman d'apprentissage intitulé "Jeunesse" sous forme d'égo-histoire, Jacques Julliard partage ses carnets de réflexions d'un homme engagé. Répliques les réunit aujourd'hui pour un récit croisé de ces cheminements intellectuels. - réalisation : François Caunac - invités : Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française; Jacques Julliard Historien, journaliste et essayiste

Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe's fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe's past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand's hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars' work on national histories. One of the book's many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe's fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe's past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand's hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars' work on national histories. One of the book's many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe's fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe's past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand's hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars' work on national histories. One of the book's many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/eastern-european-studies

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Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe's fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe's past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand's hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars' work on national histories. One of the book's many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/art

Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe's fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe's past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand's hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars' work on national histories. One of the book's many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/science-technology-and-society

Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe's fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe's past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand's hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars' work on national histories. One of the book's many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/european-studies

Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe’s fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe’s past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand’s hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars’ work on national histories. One of the book’s many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network

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Suzanne L. Marchand's new book Porcelain: A History from the Heart of Europe (Princeton University Press, 2020) balances several histories at once through the story of a single commodity. Rather than a history of art or aesthetics per se—though it certainly touches style and artists— Porcelain is at once a business history of mercantile productions, a history of chemistry at the dawn of modern industry, and a history of aristocratic consumption of porcelain as these stories open into an economic history of globalized markets, as well as a social history of sorts of Central Europe’s fledgling bourgeois and lower-class consumer public. Marchand traces these interlocking stories across three centuries, from the first European firing of porcelain in 1708 under the supervision of Johann Friedrich Böttger to the present day, where contemporary tastes threaten to consign the white tableware of Europe’s past to the flea markets of today. Porcelain in Marchand’s hands acts as something like an objet de memoire, to think of Pierre Nora and other scholars’ work on national histories. One of the book’s many virtues is the sense of Professor Marchand reassembling a continental pattern out of several shards. Porcelain, as Professor Marchand writes, “is a rich and complicated adventure, in which we not only visit lavishly decorated palaces but also linger in blisteringly hot craft workshops and spartan working-class homes. Though actual porcelain objects in all their splendor and strangeness play a central role, the focus is really on the people who made, marketed, and purchased them, whether they were princes, or peddlers, or middle-class housewives.” It is also an attempt to write Central European history in a new way, one that the author hopes will be taken up by other scholars of history and material culture. John Raimo is a PhD. Candidate in History at NYU finishing up my dissertation (on postwar publishing houses) this summer in European history. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/german-studies

Au programme de cette première émission de la deuxième saison de Pierres de touche: De quoi sommes-nous les Bâtisseurs, au regard de la longue histoire de l’humanité à laquelle nous nous rattachons ? C'est une des questions que nous aborderons dimanche. Egalement au programme : le Brexit, Une nouvelle série autour de la fin de la série sur Salomon et Hiram de Tyr, mais aussi les mémoires de Pierre Nora et le portrait d’Annie Besant. Le portrait de la franc-maçonne célèbre proposé par Marie-Josée Freling et Gaspard-Hubert Lonsi-Koko ce dimanche est dédié à Annie Besant. Avec Claire Donzel, nous avons rencontré cette semaine Olivier Lefebur, frère de la Grande Loge Mixte de France. Voici son témoignage, illustré par une des chansons qu’il a composée. Alors que « Pierres de touche » célèbre sa première année d’existence, l’on ne peut que se réjouir du chemin parcouru, au fil des réflexions et des échanges qui ont alimenté ce rendez-vous hebdomadaire et constater dans le même temps, combien les défis sont immenses pour qui entend bâtir un monde meilleur, plus juste et plus tolérant. Mais au-delà de ce qui représente l’un des Devoirs de tout Franc-Maçon, de quoi sommes-nous les Bâtisseurs, au regard de la longue histoire de l’humanité à laquelle nous nous rattachons ? Alain VORDONIS nous invite à réfléchir à cette vaste question qui remet en perspective l’action de chacun. Cette chronique était illustrée par Patrick Bruel et Patrick Fiori qui interprétaient Corsica – un chant polyphonique corse de Petru Guelfucci. Michel Baron nous propose le troisième et dernier opus de sa série psycho-philo sur Hiram de Tyr et Salomon à la lumière de l’histoire antique. Écoutons Michel Baron. Myfanwy Thomas nous propose ce matin, le deuxième et dernier épisode de sa série sur le Brexit et la Grande Bretagne. Une série dans laquelle elle s’attache à remettre en perspective des faits historiques souvent méconnus des Français. Chronique illustrée par le titre Brexit de Julien Clerc. Nouvelle chronique Idées de Pierre Yana : aujourd’hui, Pierre Nora et ses mémoires intitulés Jeunesse, ainsi que le dernier ouvrage de Jacques Julliard. Un peu en écho à la série de Myfanwy Thomas, Christiane Vienne dans une nouvelle chronique internationale revient sur le Brexit et sur les relations entre la Grande-Bretagne et l’Irlande. Pour illustrer la chronique de Christiane Vienne, la Ballade du nord-irlandaise de Renaud. Enfin, pour clôturer cette émission, nous avons souhaité rediffuser la chronique Idées de Pierre Yana diffusée lors de l’émission 44. En effet, alors que des militaires ont signé la semaine dernière une tribune appelant à l’insurrection et alors qu’hier trois personnes ont été arrêtées parce qu’elles préparaient un attentat visant une loge maçonnique et le passé Grand Maître du Grand Orient – à qui nous apportons notre soutien fraternel – il nous apparaît utile de revenir sur le recours à la guerre civile que prône l’extrême-droite, comme le démontre Guillaume Barrera dans son récent ouvrage. Écoutons la recension que nous propose Pierre Yana… Nous nous quittons avec Charles Aznavour en duo avec Zaz, J’aime Paris au mois de mai. À la semaine prochaine ! Conception & animation: Elise Ovart Baratte Production: Gilles Sauliere - RadioDelta Déroulé de l'émission : 00:00:00 Présentation de l'émission Élise Ovart-Barrat 00:00:56 Chronique Franc-maçon célèbre : Annie Besant - Marie-Josée Freling et Gaspard-Hubert Lonsi Koko 00:06:50 Chronique Je suis franc-maçon et alors ? : Olivier Lefebur Claire Donzel 00:11:00 Chronique : De quoi sommes-nous les bâtisseurs ? - Alain Vordonis 00:16:06 Musique : Corsica Petra Guelfucci - Petra Guelfucci 00:19:44 Chronique Psycho-philo : Salomon et Hiram de Tyr - Partie 3 - Michel Baron 00:28:55 Chronique : Brexit - Partie 2 - Myfanwy Thomas 00:37:39 Musique : Brexit - Julien Clerc 00:40:57 Chronique Idées : Pierre Nora, Jeunesse et Jacques Julliard - Pierre Yana 00:47:16 Chronique internationale : L'Irlande et le Brexit Christiane Vienne 00:52:44 Musique : Ballade du nord-irlandaise Renaud 00:56:06 Chronique Idées : rediff : la Guerre civile, Guillaume Barrera #44 - Pierre Yana 01:03:16 Fin de l'émission - remerciements - Élise Ovart-Barrat 01:04:10 Musique : J'aime Paris au mois de mai - Zaz et Charles Asnavour

aux éditions Gallimard

« Pour moi, le judaïsme est tout entier histoire. Ce n’est pas une religion, à la différence du christianisme ; ce n’est pas non plus une culture, à la différence de l’islam. C’est une histoire. ». Voilà ce qu’écrit le grand historien français Pierre Nora. A 89 ans, il décide de raconter sa jeunesse : sa famille, la passion amoureuse, son goût pour la poésie, la guerre et son histoire juive. Les débuts de l’histoire d’un historien, c’est ce dimanche avec Pierre Nora. Son livre « Jeunesse » est publié chez Gallimard. Simone de Beauvoir est à l’affiche de notre Grand dictionnaire cette semaine. Les grandes lignes de sa vie et de son œuvre vous sont contées par Martin Legros, rédacteur en chef du Philosophie Magazine.

durée : 00:51:37 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Pierre Nora livre son roman d'apprentissage intitulé "Jeunesse" sous forme d'égo-histoire, Jacques Julliard partage ses carnets de réflexions d'un homme engagé. Répliques les réunit aujourd'hui pour un récit croisé de ces cheminements intellectuels. - réalisation : François Caunac - invités : Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française; Jacques Julliard historien, journaliste et essayiste

 L'éditeur Pierre Nora, de fil en aiguille, se confirme un écrivain de  premier plan. Son nouveau livre, « Une jeunesse » (Gallimard, 235 p. 18  €), se révèle beaucoup plus et beaucoup mieux que de simples souvenirs.  Ouvrage littéraire au ton limpide et sobre, il nous fait ressentir ce  qu'était une famille de Français juifs, depuis les années trente  jusqu'au lendemain de la Seconde guerre mondiale- ses valeurs et ses  traits de caractères son sens du devoir et sa fidélité- nous offre une  série de portraits tous plus émouvants, romanesques et puissants les uns  que les autres. Au cours de cette émission, Pierre Nora rend hommage à  ses parents, à quelques uns de ses amis, aux femmes qui l'ont marqué.  Tendre et rigoureux, cet homme d'âge, animé d'un formidable appétit de  vie, nous fait partager sa jeunesse d'aujourd'hui. 

Shlomo Malka reçoit Alexis Lacroix, pour parler de son livre d'entretien avec Pierre Nora et Benjamin Stora sur le thème « La mémoire coloniale » (aux éditions Bayard).

durée : 00:34:06 - La Grande table idées - par : Olivia Gesbert - L'historien Pierre Nora, éditeur et membre de l'Académie française, raconte les moments fondateurs de sa vie dans son livre "Jeunesse" (Gallimard, mars 2021). Un récit ancré dans "l'égo-histoire", un concept qu'il avait inventé pour réfléchir à la manière de se raconter quand on est historien. - réalisation : Thomas Beau - invités : Pierre Nora historien, éditeur, membre de l'Académie française

durée : 00:24:53 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Pierre Nora, historien et éditeur, membre de l'Académie française, auteur de "Jeunesse" (Gallimard), est l'invité du Grand entretien de France Inter.

durée : 01:59:35 - Le 7/9 - Maxime Lledo, étudiant en sciences politiques, auteur de Génération fracassée. Plaidoyer pour une jeunesse libre ! (Fayard), et Pierre Nora, historien et éditeur, membre de l'Académie française, auteur de Jeunesse (Gallimard), sont les invités du 7/9 de France Inter.

IL PUNTO POLITICO – PIER LUIGI PELLEGRIN – FRANCESCO BORGONOVO – 29/01/20201 Alle 15.10 Speciale Terza Pagina con FRANCESCO BORGONOVO (vicedirettore de la Verità), stanno uccidendo la Storia (quella con la “esse” maiuscola). La parcellizzazione della memoria storica, il suo uso interessato, abusivo e perverso, il suo voler essere a tutti i costi memoria accusatoria, stanno impedendo lo studio della Storia, la ricerca della verità storica, anche ove si scopra che “la storia è un lungo susseguirsi di crimini contro l'umanità” che però, proprio in quanto tali, devono essere analizzati senza preclusione, non in favore o sfavore di questo o quel gruppo sociale, nascondere la verità è un delitto. Il fatto che in italia esca solo oggi, a 13 anni di distanza, il libro-manifesto di uno storico francese di primissimo piano come Pierre Nora, la dice lunga sulla forza propagandistica del politicamente corretto (Pierre Nora, “Libertà per la Storia”, Edizioni Medusa, prefazione di Franco Cardini) ;

IL PUNTO POLITICO – PIER LUIGI PELLEGRIN – FRANCESCO BORGONOVO – 29/01/20201 Alle 15.10 Speciale Terza Pagina con FRANCESCO BORGONOVO (vicedirettore de la Verità), stanno uccidendo la Storia (quella con la “esse” maiuscola). La parcellizzazione della memoria storica, il suo uso interessato, abusivo e perverso, il suo voler essere a tutti i costi memoria accusatoria, stanno impedendo lo studio della Storia, la ricerca della verità storica, anche ove si scopra che “la storia è un lungo susseguirsi di crimini contro l'umanità” che però, proprio in quanto tali, devono essere analizzati senza preclusione, non in favore o sfavore di questo o quel gruppo sociale, nascondere la verità è un delitto. Il fatto che in italia esca solo oggi, a 13 anni di distanza, il libro-manifesto di uno storico francese di primissimo piano come Pierre Nora, la dice lunga sulla forza propagandistica del politicamente corretto (Pierre Nora, “Libertà per la Storia”, Edizioni Medusa, prefazione di Franco Cardini) ;

durée : 02:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Marie-Paule Vettes - Avec Jean Starobinski, Jean-Bertrand Pontalis, Yves Bonnefoy, François de Ziegler, Pierre Nora et Germaine Picon - Lectures Daniel Emilfork - Réalisation Michel Fleischmann - réalisation : Virginie Mourthé

durée : 00:51:40 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Alain Finkielkraut reçoit Pierre Nora pour évoquer le dernier numéro de la revue Le Débat et la place des échanges contradictoires dans la société française. - réalisation : François Caunac - invités : Pierre Nora Historien, éditeur et écrivain. Membre de l'Académie française depuis 2001

durée : 00:01:20 - Le Cabinet de curiosités - 40 ans après sa création par l'historien Pierre Nora, la revue édite ce mois-ci son dernier numéro.

durée : 00:01:20 - Le Cabinet de curiosités - 40 ans après sa création par l'historien Pierre Nora, la revue édite ce mois-ci son dernier numéro.

durée : 01:58:56 - Les Matins - par : Guillaume Erner - . - réalisation : Vivien Demeyère

De 1789 à aujourd’hui, histoire des cahiers de doléances. La grande historienne de la Révolution se dévoile dans un livre de conversations, et ausculte la crise actuelle du sentiment national. «Mona Ozouf, portrait d’une historienne» est édité chez Flammarion. «Sur invitation du romancier Patrick Deville, et emmenés par l’historien Antoine de Baecque, des historiens, des chercheurs et des auteurs de tous horizons – Michelle Perrot, Nicole Le Douarin, Pierre Nora, Michel Winock, Jacques Revel, Pierre Birnbaum, Chantal Thomas… – conversent. Ils se sont réunis pour échanger autour – et en présence – de l’historienne Mona Ozouf.» La chronique En bons termes, aujourd'hui consacrée au terme «féminicide», est  présentée par Pierrette Crouzet Daurat, cheffe de mission à la Délégation générale à la Langue française et aux Langues de France (DGLFLF). (Rediffusion du 8 août 2019)

durée : 02:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Marie-Paule Vettes - Avec Jean Starobinski, Jean-Bertrand Pontalis, Yves Bonnefoy, François de Ziegler, Pierre Nora et Germaine Picon - Lectures Daniel Emilfork - Réalisation Michel Fleischmann - réalisation : Virginie Mourthé

Certos lugares reúnem em si aspectos simbólicos fortemente impactantes para a memória de determinados grupos: tratam-se de lugares de "memória difícil", visto que participaram de episódios traumáticos na vida de grupos muitas vezes marginalizados ou em condição de fragilidade institucional. Outros lugares são símbolos de processos de construção de direitos de cidadania, seja por terem sido palco de eventos relevantes para esta construção, seja por sintetizarem certos anseios e desejos de determinados grupos. Outros são ainda difíceis de manejar pois simbolizam a violência dos vencedores da história. Como lidar com esses lugares? Basta conservar sua materialidade? Como sua memorialização pode não se transformar em mera folclorização de suas histórias? Eles têm poder de agência na construção de direitos? MARCAÇÕES 00h01min00s - Conversa 00h51min20s - Em Tese 01h11min20s - Microcrônica LINKS As estratégias da Alemanha para evitar que espaços ligados a Hitler se tornem 'santuários' neonazistas. Neonazistas fazem ato em memória às vítimas de Dresden. Lugares de Memória Negra. Memórias resistentes. Memórias residentes. (Inventário de lugares de memória da ditadura militar em São Paulo.) Pierre Nora. Entre memória e história: a problemática dos lugares. Coalizão Internacional de Lugares de Memória. Rede de Lugares de Memória Latinoamericanos. Inventário dos lugares de memória do tráfico atlântico de escravos e da história dos africanos escravizados no Brasil. Minuta de documento de referência da Unesco sobre interpretação de lugares de memória. Dossiê de tombamento de Bento Rodrigues. Tecnologia assistiva para pessoas com deficiência visual: avaliação da eficiência de dispositivos para mobilidade pessoal. Dissertação de Aline Darc Piculo dos Santos. MÚSICAS Les Moulins de Moun Coeur Playlist no Spotify NA INTERNET foradeprumo.com Twitter, Facebook, Instagram REDES SOCIAIS Arthur, Carolina, Gabriel, Diego.

This is Episode 50 of the State of the Theory Podcast. Politics. Power. Popular Culture. And other stuff, probably. In this series, we’re like super nerdy philosophical DJs: mashing up Serious Academic Questions with the most topical news and trends in pop culture. Each week, we’ll tackle a new topic and collide it with ‘critical theory’ (we’re pretty loose with our definitions, though, so expect the unexpected). Our aim is to destroy the stuff we know, explore the stuff we don’t and unsettle everything we think we know about the world. We take the obvious, the commonsensical, the certain, and then we rip it all to shreds. We are your theory doctors and we are always on call. In this episode, we talk about the recent fire at Notre-Dame de Paris, and think about the politics of religion, heritage, memory and culture. Along the way, we mention Bruno Latour and assemblages, and Pierre Nora and realms of memory (lieux-de-mémoire). Our theme music is "The Face of God" by The Agrarians (http://freemusicarchive.org/music/The_Agrarians/The_Jovial_Shepherd/The_Face_of_God) State of the Theory is brought to you by Hannah Fitzpatrick and Anindya Raychaudhuri Find us on Facebook (www.facebook.com/stateofthetheorypodcast) or Tweet us @drhfitz and @DrAnindyaR

La Grande Librairie bouleverse sa programmation et consacre une émission spéciale à Notre-Dame de Paris. En compagnie de romanciers, d'historiens, mais aussi de comédiens qui viendront rendre hommage à la cathédrale en lisant les plus beaux textes écrits sur Notre-Dame, de Victor Hugo à Charles Péguy en passant par Gérard de Nerval ou Théophile Gautier.François Busnel reçoit :Ken Follett, Sylvain Tesson, Alain Finkielkraut, François Cheng, Adrien Goetz, Patrick Grainville, Pierre Nora, Benjamin Lacombe, Laura El Makki, Richard Berry, Emmanuelle Devos, Loïc Corbery   

Pourquoi tant d’histoire est une émission qui a pour vocation de mettre en valeur des historiens, leurs parcours et leur œuvre. En quoi cette œuvre a marqué l’intelligence ainsi que la recherche? Qu’ils soient vivants ou disparus, l’idée est aussi de souligner quel est le rapport que nous pouvons entretenir avec l’histoire. • Comment vivre l’histoire ? • Comment évoluer dans "l’atelier de l’historien" pour reprendre l’expression de François Furet? • Comment entretenir le goût de l’histoire et le sens qu’elle donne à notre existence et à nos quêtes? • Alors que l’enseignement est marquée par l’utilitarisme et la question du comment, en quoi les historiens nous amènent à comprendre le pourquoi des événements. Storiavoce vous propose aujourd'hui de découvrir un des plus grands universitaires de son temps. Un chercheur tout d’abord, mais aussi un homme qui s’est investi dans le monde scolaire et universitaire : à Sciences Po, à Nanterre dans la période difficile de la fin des années 60. Un homme qui a surtout su créer un pont entre la recherche d'une part et le monde médiatique d’autre part. Qui a su sortir de sa tour d’ivoire en s’investissant lui-même sur les plateaux de télévision, de radio mais aussi dans les colonnes des journaux : il s’agit de René Rémond. Il est présenté par Charles Mercier, interrogé par Christophe Dickès. L'invité: Charles Mercier est maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Bordeaux et membre junior de l’Institut universitaire de France. Il a consacré sa thèse à l’engagement universitaire de René Rémond au lendemain de Mai 68. Son livre consacré à René Rémond (Salvator, 416 pages, 22€) a été préfacé par Pierre Nora. ___________________________________________________ - Retrouvez nous sur www.storiavoce.com/ - Notre compte Twitter: twitter.com/Storiavoce - Notre page Facebook: www.facebook.com/storiavoce/

Rencontre enregistrée le 4 mai 2018 à la librairie Karthala. À quelques jours des cérémonies de commémoration des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, les éditions Karthala ont invité Emmanuel Alcaraz et Alain Messaoudi à discuter sur l'enjeu mémoriel de la guerre d'indépendance d'Algérie. Modérateur : Alain Messaoudi est maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Nantes. Il a travaillé sur l'histoire de l'orientalisme (Les arabisants et la France coloniale (1780-1930). Savants, interprètes, médiateurs, Lyon, ENS Éditions, 2015). Actuellement en délégation dans le laboratoire du CNRS Invisu, il étudie le développement des beaux-arts et la circulation des artistes en Tunisie, depuis la seconde moitié du XIXe siècle. Avec : Emmanuel Alcaraz est docteur en histoire, chercheur associé à l'Institut des sciences sociales du politique de l'université de Nanterre et à l'Institut de recherches sur le Maghreb contemporain de Tunis. Il enseigne au lycée Gustave Flaubert à La Marsa à Tunis. Il est l'auteur de nombreuses contributions sur l'histoire de la mémoire de la guerre d'indépendance algérienne. Bibliographie : http://www.karthala.com/hommes-et-societes/3182-les-lieux-de-la-memoire-de-la-guerre-d-independance-algerienne-9782811119034.html Extrait de l'introduction d'Emmanuel Alcaraz, « Les lieux de mémoire de la guerre d'indépendance algérienne », Karthala, 2017 : « En Algérie, existe une « boulimie commémorative », au sujet de la guerre d'indépendance algérienne. (...) il n'y a pas un jour qui ne s'écoule sans la publication d'un témoignage d'un mujâhid dans un journal, sans une commémoration de ce conflit ou encore sans son évocation à la télévision algérienne. (...) La mémoire de ce conflit fait partie du paysage visuel algérien. Depuis 1962, les monuments aux martyrs sont présents dans toutes les villes et les villages algériens. Ils occupent une place comparable à nos monuments de la Première Guerre mondiale. Toutes les villes d'une certaine importance possèdent leur musée du mujâhid. (...) L'omniprésence dans l'espace algérien de la mémoire de ce conflit permet de faire appel à l'approche des lieux de mémoire, des unités matérielles et symboliques permettant de conserver les traces du passé d'une société. Elle a été marquée en France par le travail collectif réalisé sous la direction de Pierre Nora , et a été exportée en dehors de l'Europe de l'Ouest et de l'Amérique du Nord. (...) Il existe des milliers de lieux de mémoire de la guerre d'indépendance en Algérie. Les étudier tous de manière exhaustive est impossible. Il faut faire des choix et les justifier. Il faut voir comment les lieux de mémoire importés ont été adaptés aux traditions culturelles locales. Il s'agit de revisiter l'identité nationale algérienne pour mettre à jour les différents syncrétismes culturels. Comment est opérée une reconstruction de l'histoire a posteriori par les acteurs politiques et sociaux dans ces lieux de mémoire nécessaires au pouvoir, à la société et à la construction du nationalisme algérien ? Ces usages du passé sont révélateurs des éléments de permanence et des évolutions des cadres idéologiques, politiques et sociétaux de l'Algérie contemporaine de l'indépendance à nos jours. Il s'agit de s'intéresser aux liens entre ces lieux et les modes de légitimation du pouvoir algérien, point d'aboutissement et maître d'œuvre du nationalisme algérien. Les commémorations organisées dans ces lieux avec leurs rituels sont particulièrement importantes pour le pouvoir qui peut mettre en scène sa légitimité en tant qu'héritier des combattants qui ont mené la lutte pour l'indépendance de l'Algérie. Cette étude analyse également la relation entre les lieux de mémoire et la transmission du pouvoir, les dirigeants algériens, même s'ils n'ont pas vécu la guerre d'indépendance, se présentant comme les héritiers des mujâhidîn et les descendants des martyrs, les chuhadâ. »

Since 2014, there has been an outpouring of literature on the First World War that has moved the field in exciting new directions. Over thirty books have been released by Canadian academic presses over the past almost four years, including titles on conscription, shell shock, and the memory of the war. But before these books were published, Mark Humphries wrote an intriguing 2014 article in the Canadian Historical Review about the historiography of the First World War in Canada and where he thought the field should lead next. Among several other revealing insights, he urged future scholars to adopt a transnational approach that would challenge the exceptionalist literature that characterizes Canadian First World War history-writing. But where has the field gone since? Mark has some thoughts. Mark is the director of the Laurier Centre for Military Strategic and Disarmament Studies, the Dunkley Chair in War and the Canadian Experience and an Associate Professor in the Department of History at Wilfrid Laurier University. References Tim Cook. Clio’s Warriors: Canadian Historians and the Writing of the World Wars. Vancouver: UBC Press, 2006. ------. The Secret History of Soldiers: How Canadians Survived the Great War. Toronto: Allen Lane, 2018. Patrick Dennis. Reluctant Warriors: Canadian Conscripts and the Great War. Vancouver: UBC Press, 2017. Richard Holt. Filling the Ranks: Manpower in the Canadian Expeditionary Force, 1914–1918. Kingston & Montreal: McGill-Queen’s University Press, 2017.  G.W.L. Nicholson. Official History of the Canadian Army in the First World War: Canadian Expeditionary Force, 1914–1919. Ottawa: Queen’s Printer, 1962. Pierre Nora. “Between Memory and History: Les Lieux de Mémoire.” Representations26 (1989): 7–24. Gary Sheffield. Forgotten Victory: The First World War: Myths and Realities. London: Headline, 2001. Hew Strachan. The First World War: To Arms. Vol. 1. Oxford: Oxford University Press, 2003.

Pierre Nora, historien et membre de l'Académie française, revient ici sur les liens qui unissent les lieux de mémoire aux musées d'histoire. Il rappelle qu'après la Seconde Guerre Mondiale, la société française s'est dotée d'un caractère identitaire et mémoriel très puissant. Le présent n'étant alors qu'un point de passage, il fallait avant tout réviser l'Histoire. Cependant, depuis une quarantaine d'années maintenant, la mémoire et le « présentisme » sont montés en puissance. Intervention enregistrée le 18 juin 2009 dans le cadre du colloque « Lieux de mémoire, musée(s) d'histoire(s) » Image : Colonne de la Duchesse d'Angoulême au Montglonne Crédits CC by Francis Coraboeuf

Après la présentation de son œuvre par Antoine Arjakovsky, Pierre Nora parlera de son itinéraire d'historien à partir de ses publications récentes : Présent, Nation, Mémoire, Gallimard 2011 et Historien public, Gallimard 2011. De l'enfant juif traqué par la Gestapo jusqu'à son élection à l'Académie Française en 2001, Pierre Nora est aujourd'hui une personnalité centrale du monde des idées. Spécialisé dans l'étude de l'historiographie et du sentiment national, il s'est surtout consacré à l'élaboration d'une problématique générale de la mémoire historique contemporaine. Il en a tiré son œuvre principale Les lieux de mémoire, publiée chez Gallimard. Invités : Antoine Arjakovsky, co-directeur du département "Société, Liberté, Paix" ; Pierre Nora, historien. Enregistré au Collège des Bernardins le 3 mai 2012.

Jamais plus toujoursavec Loleh Bellon, Bulle Ogier, Bernard Giraudeau, Jean-Marc Bory1976 - durée : 81 mnL'amour violéavec Nathalie Nell, Alain Fourès, Pierre Arditi, Michèle Simonnet, Daniel Auteuil1978 - durée : 115 mnQuelque part quelqu'unavec Loleh Bellon, Roland Dubillard, Hugues Quester1972 - durée : 98 mnLa femme de Jeanavec France Lambiotte, Claude Rich, Hippolyte Girardot1974 - durée : 103 mnL'amour nuavec Marlène Jobert, Jean-Michel Folon, Georges Rouquier, Jean-ClaudeCarrière1981 - durée : 100 mnL'affûtavec Tcheky Karyo, Dominique Blanc, Patrick Bouchitey, Michel Robin1992 - durée : 103 mnLa Tricheavec Victor Lanoux, Anny Duperey, Valérie Mairesse, Xavier Deluc, Michel Galabru1984 - durée : 99 mnLes enfants du désordreavec Emmanuelle Béart, Robert Hossein, Patrick Catalifo1989 - durée : 100 mnD'où vient cet air lointainChronique d'une vie en cinéma2018 - durée : 90 mnCOURTS METRAGES :Goémons  - 1947 - durée : 28mnVarsovie quand même  - 1954 - durée : 17mnZaa petit chameau blanc  - 1960 - durée : 28mnColette - 1952 - durée : 21mnLe souvenir d'un avenir - 2001 - durée : 41mnEvasion - 2001- durée : 17mnUn matin comme les autres - 1956 - durée : 29 mnMain basse sur Bel - 1963 - durée : 22 mnEn accès libre ici : Main basse sur BelPremières Impressions de Paris - 1946 - durée : 2 mnAVEC LES INTERVIEWS DE :Pierre Arditi, Emmanuelle Béart, Yannick Bellon, Dominique Blanc, Xavier Deluc, Jean-Michel Folon, Benoîte Groult, Robert Hossein, Marlène Jobert, Marin Karmitz, Eric Le Roy, Valérie Mairesse, Nathalie Nell, Pierre Nora, Jean-Pierre Savinaud, René Schérer.Couleur et Noir&Blanc - Coffret 10 DVD Pal Zone 2 

Le Cercle littéraire de la BnF du 19 décembre 2011 avec Pierre Nora présenté par Laure Adler et Bruno Racine. Chaque mois, des écrivains récemment publiés dialoguent avec Laure Adler et Bruno Racine, tantôt dans les salons du XVIIIe siècle de la Bibliothèque de l'Arsenal, tantôt sur le site François-Mitterrand. Pour cette quinzième édition du Cercle littéraire de la BnF, est invité Pierre Nora pour 2 ouvrages, tous deux édités chez Gallimard : Présent, nation, mémoire et Historien public. En fin d'émission, Laurent Nunez, directeur du Magazine Littéraire, nous présente son coup de cœur du mois : l'Autodictionnaire de Proust (Omnibus) de Pierre Assouline.

Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif.

Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif.

Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif.

Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif.

Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif.