Podcasts about banque d'angleterre

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Radio Monaco - La Tendance des Marchés
La bourse de Paris boucle une 4e séance de baisse consécutive

Radio Monaco - La Tendance des Marchés

Play Episode Listen Later Sep 27, 2023 1:10


Le CAC 40 a une nouvelle fois été pénalisé hier par l'inquiétude concernant le futur des politiques monétaires. La BCE, la FED et la Banque d'Angleterre ont été claires : face à une inflation toujours trop forte, elle vont maintenir des taux élevés aussi longtemps que nécessaire. 

Debrief Bourse
Le debrief Bourse du 21 septembre : le CAC 40 enfonce les 7 300 après un discours Hawkish de la FED

Debrief Bourse

Play Episode Listen Later Sep 21, 2023 1:54


Malheureusement le discours jugé « Hawkish » de la FED pèse sur les marchés et entraine l'ensemble des places boursières en repli pour cette séance. La Réserve fédérale américaine a choisi de maintenir les taux inchangés à l'issue de la réunion, mais elle laisse entendre une potentielle hausse à nouveau d'ici la fin de l'année et d'un maintien des taux au-delà des 5% d'ici 2024.D'un autre côté la Banque d'Angleterre a décidé également de maintenir ses taux à 5,25%, après les avoir augmentés pendant 14 sessions consécutives.Puis les prix du pétrole repartent à la hausse après l'annonce de restrictions russes sur les exportations.La Bourse de Paris accentue sa baisse avec un repli de 1,59% vers les 7213 points, dans des volumes d'échanges de 3,3 milliards d'euros à la clôture.

Sujet Capital
Revue semestrielle des marchés et mise à jour sur l'inflation

Sujet Capital

Play Episode Listen Later Aug 2, 2023 35:23


Dans cet épisode, James Parkyn et François Doyon La Rochelle commencent le balado aujourd'hui par la revue des statistiques de marché en date du 30 juin 2023 puis update leurs auditeurs sur l'inflation. -Statistiques de marché – Juin 2023: https://www.pwlcapital.com/wp-content/uploads/2023/07/2023-06_PDL-Capital_Market-StatsFRE-2.pdf    1) Introduction: François Doyon La Rochelle : Bienvenue à Sujet Capital, un Balado mensuel à propos de la gestion passive de portefeuille et de la planification financière et fiscale pour les investisseurs à long terme. Vos hôtes pour ce Balado sont James Parkyn et moi-même François Doyon La Rochelle, tous deux gestionnaires de portefeuilles avec PWL Capital.   Au programme aujourd'hui pour l'épisode #55 : - Pour notre premier sujet, nous ferons la revue et commenterons les statistiques de marché pour l'année en date du 30 juin. - Et ensuite, pour notre second sujet, nous ferons une mise à jour sur l'inflation. - Veuillez aussi noter, avant que nous passions à nos sujets, que nous prendrons une pause estivale. Nous serons de retour pour notre prochain épisode le 28 septembre. Bonne écoute !   2) Revue semestrielle des marchés : François Doyon La Rochelle : Je vais commencer notre Balado aujourd'hui par la revue des statistiques de marché en date du 30 juin 2023. Après une année 2022 très difficile, une année au cours de laquelle presque toutes les classes d'actifs ont enregistré des pertes importantes, je suis sûr que nos auditeurs vont être soulagés et heureux d'apprendre qu'au cours du premier semestre 2023, les actions et les obligations ont généré des rendements positifs. Ces rendements positifs sont généralisés puisque toutes les classes d'actifs qu'on suit, à l'exception d'une, sont en territoire positif. A titre de rappel, vous pouvez trouver notre page de statistiques de marché sur notre site Internet Sujet Capital dans la section ressources ou sur le site Internet de PWL Capital dans la section dédié à notre équipe. On va partager le lien pour les statistiques de marché avec le podcast. James Parkyn : Effectivement, François, après l'année 2022 où les actions et les obligations ont été fortement malmené en même temps, les investisseurs devraient être satisfaits des rendements enregistrés depuis le début de l'année. François Doyon La Rochelle : Tout à fait James, surtout que la plupart des experts des marchés étaient sceptiques quant aux perspectives des marchés en début d'année. Plusieurs d'entre eux prévoyaient une récession qui ne s'est pas encore matérialisée. James Parkyn : En effet François, elle ne s'est pas encore matérialisée. La croissance du PIB reste positive, la consommation des ménages reste obstinément forte et la création d'emploi se poursuit à un rythme soutenu, tant ici au Canada qu'aux États-Unis. Les experts s'attendent cependant que la croissance du PIB ralentisse, qu'elle se contracte même, au cours des prochains mois, en raison du cycle de resserrement des taux d'intérêt imposé par les banques centrales. À titre de rappel, afin de ralentir l'inflation qui a atteint l'an dernier un sommet de 8,1 % au Canada et de 9,1 % aux États-Unis. La Banque du Canada a augmenté son taux directeur qui se situait à 0,25 % en mars 2022 à 5 % en juillet 2023. Aux États-Unis, on a vu des hausses semblables. La Réserve fédérale a augmenté le taux des fonds fédéraux de 0,25 % à une fourchette de 5.25% à 5,50%. François Doyon La Rochelle : Le cycle de resserrement de taux a quand même eu l'effet espéré sur l'inflation puisqu'elle a baissé ici au Canada et aux États-Unis à 2,8% et 3% respectivement, ce qui se rapproche de la cible à long terme de 2 % fixée par les deux banques centrales. Ceci dit, le cycle de resserrement a aussi fait des dommages collatéraux, en particulier dans les banques régionales américaines, car les fortes hausses des taux d'intérêt ont placé certaines banques dans des positions délicates, ce qui a entraîné l'intervention de la Réserve fédérale. James Parkyn : Les banques régionales n'ont pas été la seule source d'inquiétude pour les marchés au cours du premier semestre, il y a eu une nouvelle crise politique liée au plafond de la dette aux États-Unis qui a fait la une des journaux pendant plusieurs semaines jusqu'à ce qu'un accord sur le relèvement de la limite de la dette soit conclu en juin. François Doyon La Rochelle : Malgré tout ce bruit, les marchés boursiers ont connu un bon premier semestre, en particulier aux États-Unis et dans les marchés développés internationaux. Ces marchés sont maintenant dans un bull market (marché haussier) parce qu'ils ont augmenté de plus de 20% par rapport aux bas atteints en octobre 2022. On va examiner les détails un peu plus tard, mais l'indice S&P500 aux États-Unis a augmenté, en dollars américains, de 27,5 % depuis le bas et l'indice des actions développées internationales, le MSCI EAFE (acronyme pour les actions d'Europe, Asie et Extrême-Orient) a augmenté d'environ 32,8 % depuis le bas. Ici, au Canada, on n'est pas encore dans un marché haussier puisque l'indice S&P/TSX Composé n'a augmenté que de 12,8 % depuis le creux d'octobre 2022. James Parkyn : Ça peut surprendre certains investisseurs qui sont encore sous l'emprise émotionnelle du biais de récence de l'année dernière, mais l'histoire des marchés financiers nous enseigne que des fortes hausses de marchés arrivent très souvent à la suite de marché baissiers ou en anglais ‘Bear Market'. François Doyon La Rochelle : Absolument James et il y a un bon graphique de Dimensional dans leur revue semestrielle qui montre, sur la base des données de l'indice Fama/French du marché total américains qui couvre la période de juillet 1926 à décembre 2022, qu'historiquement, après une baisse du marché de 20%, le rendement moyen après un an est de 22,2%, que le rendement moyen cumulé après 3 ans est de 41,1% et que le rendement moyen cumulé après 5 ans est de 71,8%. James Parkyn : Oui, ces données sont très intéressantes et elles nous rappellent qu'il faut rester discipliné dans les marchés baissiers, qu'il faut rester investie et qu'on doit suivre son plan à long terme. La majorité des investisseurs ne peuvent pas se permettre de rater les hausses de marché qui suivent les ‘Bear Market'. François Doyon La Rochelle : Malgré la belle remontée depuis le creux de l'année dernière, je pense qu'il est important de mentionner que les principaux indices ne sont pas de retour à leurs niveau maximal historique. James Parkyn : Effectivement, en date du 30 juin, le S&P500, le MSCI EAFE et le S&P/TSX Composite sont encore entre 5% et 7 % en bas de leurs sommets. François Doyon La Rochelle : Ceci dit, on va maintenant regarder en détail les statistiques du marché au 30 juin en commençant par les titres à revenu fixe canadiens. Comme vous le savez, 2022 a été une année historiquement difficile pour les obligations, la pire année depuis plusieurs décennies. A titre de rappel, en 2022, les obligations canadiennes à court terme ont baissé de 4,04 % et l'ensemble du marché obligataire Canadien, qui détient des échéances plus longues, a enregistré une baisse considérable de 11,7 %. Depuis le début de l'année, au 30 juin, malgré une augmentation des taux d'intérêt de 1 % par la Banque du Canada, les obligations canadiennes à court terme ont augmenté de 1,01 % et le marché obligataire total canadien a augmenté de 2,51%. James Parkyn : Ça fait du bien d'enfin de voir des chiffres positifs dans le marché obligataire François, mais les performances que tu cites sont des chiffres de rendement total, donc ça inclut les revenus d'intérêts. Si on regarde seulement le prix des obligations, les obligations à court terme ont effectivement légèrement baissé tandis que ceux des obligations à plus long terme ont légèrement augmenté. François Doyon La Rochelle : Tu as raison James, le prix des obligations sont en baisse, surtout du côté des obligations à court terme, ceci à cause de l'impact des dernières hausses de taux d'intérêt de la Banque du Canada. À titre indicatif, le rendement des obligations du gouvernement du Canada à échéance dans deux ans était de 3,82 % au début de l'année et il est maintenant à 4,21 %, le prix de ces obligations a donc baissé. Il faut se souvenir que les rendements et les prix des obligations évoluent dans des directions opposées. Du coté des obligations à échéances plus longues, le rendement des obligations du gouvernement du Canada venant à échéance dans 10 ans était de 3,30 % au début de l'année et il se situait à 3,26 % au 30 juin, donc le prix a quelques peu augmenté. James Parkyn : Pour ceux qui recherchent la sécurité des certificats de placements garantie (CPG), on peut avoir des rendements intéressants en ce moment, allant de 5,5 % pour un CPG d'un an à 5,2 % pour un CPG de cinq ans. François Doyon La Rochelle : On va regarder maintenant du côté des actions, les marchés boursiers du monde entier ont progressé partout depuis le début de l'année. Les actions canadiennes ont augmenté de 5,70 %, principalement grâce aux titres de croissance, puisque l'indice de croissance des grandes et moyennes capitalisations a eu un rendement de 8,1 %, contre 4,0 % pour les titres de valeur des grandes et moyennes capitalisations. Les actions  petite capitalisation ont également eu un rendement positif avec une performance de 3,0 % depuis le début de l'année. Aux États-Unis, le marché boursier total américain a eu une performance de 16,2 % en dollars américains, mais puisque le dollar canadien s'est apprécié par rapport au dollar américain, la performance en dollars canadiens était moindre à 13,5 %. Depuis le début de l'année, les actions de croissance de grande et moyenne capitalisation ont largement surpassé les actions de valeur, avec une performance en dollars canadiens de 26 % contre seulement 2,7 % pour les actions de valeur. Les actions de petites capitalisations ont enregistré une performance de 5,6 % en dollars canadiens, les titres de petite capitalisation croissance ont à nouveau mieux faites que les titres de valeurs avec une performance de 10,9 % contre un maigre 0,1 % pour les titres de petite capitalisation valeur. James Parkyn : Pour les titres de croissance, c'est un revirement complet par rapport à ce qui s'est passé l'année dernière, Il faut se rappeler qu'en 2022 les actions de croissance de grande et moyenne capitalisation ont fortement chuté alors que les titres de valeur de grande et moyenne capitalisation n'avaient pratiquement pas baissé. Cette année, une poignée d'actions à grande capitalisation (en anglais on dit Mega-Cap) dominent les rendements du marché boursier américain. Selon Morningstar, au 31 mai 2023, 97 % de la performance de l'indice Morningstar U.S. Large and Mid-Cap, qui suit de près l'indice S&P500, provenait des 10 plus grands titres de l'indice. Ça signifie que seulement 3 % du rendement de l'indice provient des quelque 700 autres titres de l'indice Morningstar. François Doyon La Rochelle : Oui, les performances du marché américain depuis le début de l'année sont très concentrées sur quelques actions et quelques secteurs. Si on regarde les cinq principaux titres du S&P500, à savoir Apple, Microsoft, Amazon, NVIDIA et Alphabet (Google), leur performance depuis le début de l'année, au 30 juin, varie de 36 % pour Alphabet à 189 % pour NVIDIA. En termes de secteurs, 4 secteurs sur 7 affichent des performances négatives au premier semestre. Les secteurs les plus performants sont ceux de la technologie, des services de communication et de la consommation discrétionnaire. Selon un rapport de RBC Global Asset Management, depuis le 1er janvier 2020, seulement sept titres de l'indice S&P500 ont produit plus de la moitié de son rendement cumulé. Ces titres sont Meta, Apple, Alphabet, Microsoft, Amazon, NVIDIA et Tesla. James Parkyn : C'est très frappant, mais ça veut aussi dire que pour les gestionnaires actifs qui font de la sélection de titre pour bâtir votre portefeuille (ou stock picking en anglais) et que s'ils ne détiennent aucun de ces titres, ils ont probablement sous performer de beaucoup le S&P500. N'oubliez pas qu'il y a des milliers d'actions sur le marché américain et encore plus si on inclut le marché mondial. La recherche académique démontre que la plupart des actions, sont moins performantes que les bons du Trésor américain sur de très longues périodes. François Doyon La Rochelle : C'est exact et c'est l'une des raisons pour lesquelles les stock pickers ont du mal à battre les indices. C'est pourquoi nous utilisons des fonds ou FNBs qui sont largement diversifiés pour bâtir nos portefeuilles. On veut s'assurer d'avoir les tous les titres les plus performants dans les comptes de nos clients. Enfin, pour ce qui est des actions internationales de pays développées, les actions à grande et moyenne capitalisation ont également bien faites depuis le début de l'année. Elles ont eu une performance de 12,1 % en monnaie locale. En dollars canadiens, les actions des pays développés ont augmenté un peu moins, soit de 9,1 %. C'est parce que le dollar canadien s'est apprécié par rapport au panier de devises inclus dans l'indice MSCI EAFE. Là encore, les actions de croissance à grande et moyenne capitalisation ont surpassé les actions de valeur. Elles ont eu une performance de 11,5 % en dollars canadiens, contre 6,7 % pour les actions de valeur à grande et moyenne capitalisation. Comme aux États-Unis et au Canada, les actions de petite capitalisation ont été à la traîne des actions à grande et moyenne capitalisation, avec une performance de 3,1 %, performance également en dollars canadiens. En conclusion, les marchés émergents ont bien fait avec une performance de 2,6 % depuis le début de l'année. Contrairement aux marchés développés, les actions de valeur et les actions de petites capitalisations se sont mieux comportées que les actions de croissance et les grandes capitalisations. Donc, je pense que ça fait le tour.   3) Mise à jour sur l'inflation : Francois Doyon La Rochelle : Comme deuxième sujet aujourd'hui on fait une mise à jour sur l'inflation, on en a beaucoup parlé dans notre podcast depuis le printemps 2022. Donc, James, peux-tu commencer par nous donner un résumé de la situation actuelle des taux d'inflation? James Parkyn : François, l'inflation s'est ralentie le mois dernier pour atteindre son rythme le plus faible en deux ans. Aux États-Unis, l'indice des prix à la consommation a augmenté de 3 % en juin par rapport à l'année précédente, ce qui est nettement inférieur au récent pic de 9,1 % atteint en juin 2022. L'indice de l'inflation de base, qui exclut les prix volatils de l'alimentation et de l'énergie, a également enregistré en juin sa plus faible hausse mensuelle depuis plus de deux ans. Bien que le taux d'inflation dans le rapport de juin sur l'IPC reste supérieur au niveau souhaité par la Fed, les données suggèrent des progrès évidents dans la réduction des pressions sur les prix vers des niveaux plus acceptables. François Doyon La Rochelle : Au Canada, les nouvelles sont encore meilleures. Le dernier rapport nous donne une inflation qui s'est établi à 2,8 % en juin donc c'est très encourageant mais, James qu'en est-il en l'Europe et au Royaume-Uni ? James Parkyn : L'inflation a baissé à 5,5 % dans les 20 pays utilisant l'euro et à 7,9 % au Royaume-Uni, mais ça reste bien supérieur à l'objectif de 2 % des banques. François Doyon La Rochelle : James, est-ce qu'il y a un consensus parmi les économistes ? Est-ce que les banques centrales peuvent crier victoire sur l'inflation ? James Parkyn : Nick Timaros dans le WSJ rapporte que : "Certains décideurs politiques et économistes de la Fed craignent que le ralentissement de l'inflation soit temporaire. Ils considèrent que le ralentissement de l'inflation était attendu depuis longtemps après la disparition des chocs liés à la pandémie qui ont fait grimper les loyers et les prix des transports et des voitures. Ils craignent que les pressions sous-jacentes sur les prix ne persistent, ce qui obligerait la Fed à relever ses taux et à les maintenir plus longtemps. Leur plus grande crainte est de savoir si la croissance des salaires et des prix peut ralentir suffisamment sans qu'il y ait une récession. François Doyon La Rochelle : Oui, Karen Dynan, une économiste à l'université de Harvard, est citée dans cet article. Elle déclare : "Bien que les choses semblent aller dans la bonne direction en ce qui concerne l'inflation, nous ne sommes qu'au début d'un long processus". James, qu'est-ce que les économistes de l'autre côté du débat disent ? James Parkyn : Nick Timaros poursuit et déclare que : "D'autres économistes affirment que ce raisonnement ne tient pas compte des signes de ralentissement économique actuel qui atténueront progressivement les pressions sur les prix. Ils affirment également que l'inflation ralentira suffisamment pour que les taux d'intérêt "réels" ou corrigés de l'inflation augmentent dans les mois à venir. Ça permettrait de renforcer l'impact des augmentation des taux d'intérêt, même si la hausse des taux du 27 juillet est la dernière du cycle de resserrement actuel”. François Doyon La Rochelle : Donc le débat est beaucoup plus autour de l'inflation des salaires. Le premier camp d'économistes est nerveux car il n'y a pas de marge de manœuvre et trop de demande dans l'économie pour être raisonnablement confiant que l'inflation va revenir à l'objectif de 2 % de la Fed dans les années à venir. James Parkyn : Exactement François. Plusieurs de ces économistes craignent que la croissance des salaires soit trop forte. En l'absence de récession, ils estiment qu'un marché du travail surchauffe poussera l'inflation de base à la hausse en 2024. Étant donné qu'un marché du travail en surchauffe est susceptible de se manifester d'abord au niveau des salaires, beaucoup d'économistes considèrent les augmentations de salaire comme un bon indicateur de la pression inflationniste sous-jacente. La notion derrière cette pensée, est qu'une croissance annuelle des salaires de 3,5 % serait compatible avec une inflation entre 2 % et 2,5 %, à condition que la productivité augmente d'environ 1 % à 1,5 % par an. François Doyon La Rochelle : Selon l'indice du coût de l'emploi du ministère américain du travail, les salaires ont augmenté de 5 % dans la période de janvier à mars par rapport à l'année précédente. La Fed surveille de près cet indice car c'est la mesure la plus complète de la croissance des salaires. James Parkyn : Le second camp d'économistes François estime qu'il existe de nombreuses preuves que le marché du travail se refroidit, ce qui réduit les pressions inflationnistes. Ils soulignent que le temps nécessaire aux chômeurs pour trouver un nouvel emploi s'est allongé. L'augmentation du nombre d'heures travaillées par les employés du secteur privé a ralentie en même temps que le nombre d'emplois non comblés. Benjamin Tal, économiste en chef adjoint chez CIBC World Markets, a dit dans le Global Mail qu': "Il s'attend à ce que l'économie saigne des postes vacants plutôt que des emplois. À savoir, les entreprises n'embaucheront pas mais ne licencieront pas. » François Doyon La Rochelle : La nouvelle encourageante dans tout ça c'est que la baisse de l'inflation va permettre aux banques centrales d'être plus patientes et de prendre leur temps avant de procéder à de nouvelles hausses de taux. James Parkyn : Absolument François. Aux États-Unis, le mois dernier la Fed a maintenu son taux directeur de référence pour les fonds fédéraux dans une fourchette comprise entre 5 % et 5,25 %. C'est la première fois qu'elle fait une pause après dix augmentations consécutives depuis mars 2022. À titre de rappel, les hausses de taux d'intérêt ralentissent l'économie par le biais des marchés financiers en réduisant le prix des actifs et en augmentant le coût de l'emprunt. François Doyon La Rochelle : Le 27 juillet, la Fed a augmenté le taux des fonds fédéraux de 25 points de base pour atteindre une fourchette cible entre 5,25 % et 5,50 %. Cette augmentation était attendu par les marchés. Ça correspond au sommet précédent atteint en 2006-07. Il faudrait remonter à 2001 pour trouver une période où les taux étaient plus élevés qu'aujourd'hui. La vitesse et l'ampleur de la hausse (plus de 500 points de base en 16 mois) est inégalée depuis le resserrement de la Fed en 1980. Ceci dit, l'inflation, selon l'indice des prix à la consommation, se rapproche de l'objectif de 2 % de la Fed, mais James qu'est-ce que les banques centrales disent des derniers chiffres d'inflation ? James Parkyn : Elles ont toutes le même message en insistant sur le fait que les conséquences économiques vont continuer à s'aggraver si l'inflation échappe à tout contrôle. Le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Andrew Bailey, a été cité dans le Financial Times : "Notre tâche consiste à ramener l'inflation à son niveau cible et nous ferons ce qui est nécessaire. Je comprends les préoccupations qui en découlent, mais je crains de devoir toujours dire - que le résultat est pire si nous ne ramenons pas l'inflation à son niveau cible". Donc François, malgré le risque d'entrainer une récession, les banques centrales insistent sur le fait qu'ils prévoient de maintenir les taux à leur niveau élevé pendant un certain temps – en effet, probablement plus longtemps que ne le prévoient les marchés boursiers et obligataires. En résumé, Ils me semblent Francois qu'elles sont très synchronisées. François Doyon La Rochelle : Je suis d'accord James. En fait, la Banque des règlements internationaux (ou la BRI), l'organisation mondiale des banques centrales basée en Suisse, semble également d'accord. Dans un récent rapport, la BRI a souligné que depuis le début de l'année 2021, près de 95 % des banques centrales du monde ont relevé leurs taux. Cette synchronisation parmi les banques centrales est plus élevée lors du choc pétrolier inflationniste des années 1970. La BRI a qualifié cette situation de "resserrement de la politique monétaire le plus synchronisé et le plus intense depuis des décennies". James Parkyn : Je pense que l'on reconnaît de plus en plus que des erreurs de politiques monétaires ont été commises pendant la pandémie. Selon moi, ça m'indique que les taux d'intérêt doivent être normalisés à des niveaux beaucoup plus élevés que les taux très bas en vigueur pendant la pandémie. François Doyon La Rochelle : James qu'est-ce que les économistes disent de l'impact de la politique fiscale, autrement dit, au niveau des dépenses publiques sur l'inflation ? James Parkyn : Le journaliste David Parkinson a récemment posé la question suivante dans le Globe & Mail : "Dans quelle mesure le problème persistant de l'inflation au Canada peut-il être imputé aux dépenses du gouvernement ?" Dans son article, qui fait suite à la dernière hausse des taux d'intérêt de la Banque du Canada, il souligne que le gouverneur, Tiff Macklem, a noté dans les dernières projections économiques de la Banque, que la croissance des dépenses publiques est d'environ 2 %, ce qui correspond au taux estimé de croissance de la production potentielle de l'économie. Selon lui, cela signifie que la contribution du gouvernement à l'équilibre entre l'offre et la demande de l'économie est neutre. Il avance que ça n'aide pas à résoudre le problème de l'excès de demande qui continue d'alimenter les pressions inflationnistes. Mais d'un autre côté, il n'aggrave pas non plus le problème. Mais il affirme également que si l'on compare les dépenses publiques aux niveaux antérieurs à la pandémie, la politique fiscale en matière des dépenses est stimulatrice. François Doyon La Rochelle : Intuitivement, les gouvernements pourraient également contribuer à la lutte contre l'inflation. Ils pourraient réduire les dépenses qui sont essentiellement financées par des déficits afin de diminuer la demande. Je pense que ça aiderait les banques centrales parce qu'elles auraient moins besoin d'augmenter les taux d'intérêt. James Parkyn : À ce sujet, François, Gita Gopinath, directrice exécutive adjointe du Fonds monétaire international, dans un discours prononcé lors de la conférence annuelle de la Banque centrale européenne (BCE) à Sintra, au Portugal, le mois dernier, a affirmé que "certains effets secondaires de la lutte contre l'inflation par la politique monétaire pourraient être réduits en donnant à la politique fiscale des dépenses un rôle plus important. » Mme Gopinath a ajouté : "Compte tenu des conditions économiques dans lesquelles nous nous trouvons, à la fois en raison d'une inflation élevée et de niveaux d'endettement record, ces deux éléments plaident en faveur d'un resserrement de la politique fiscale. Si l'on examine les déficits budgétaires prévus pour de nombreux pays du G7, on s'aperçoit qu'ils sont trop élevés pour trop longtemps. " François Doyon La Rochelle : Elle a également lancé un avertissement et je la cite : "Les banques centrales doivent accepter la "vérité inconfortable" qu'elles devront peut-être tolérer une période plus longue d'inflation supérieure à leur objectif de 2 % pour éviter une crise financière ». James, la baisse de l'inflation est-elle une bonne nouvelle pour les investisseurs ? James Parkyn : Oui, je pense que le fait que les taux plus élevés pour plus longtemps seraient une bonne nouvelle pour les investisseurs. Je pense également que la vraie nouvelle est que nous commençons maintenant à obtenir des taux d'intérêt réels positifs. Enfin, de nombreux économistes prévoient une baisse des taux de la Banque centrale de 2024 et pour certain, ça sera en 2025. Preston Caldwell, économiste en chef chez Morningstar, a déclaré dans un rapport récent que "l'inflation montre maintenant des signes généralisés de décélération" et que "la Fed est toujours susceptible d'augmenter ses taux lors de sa réunion de juillet, mais le rapport d'aujourd'hui sur l'inflation selon l'IPC soutient notre opinion selon laquelle la Fed passera à une réduction agressive en 2024 après la chute de l'inflation". Francois, on le sait la Fed a effectivement augmenter ses taux à la réunion de juillet. François Doyon La Rochelle : Pour les investisseurs qui ont évité les titres à revenu fixe par crainte des hausses de taux, c'est peut-être maintenant le temps de réexaminer vos portefeuilles de titres à revenu fixe. Les investisseurs reçoivent maintenant un rendement réel positif, c'est-à-dire après l'inflation, avec leurs investissements obligataires. Ce qui n'a pas été le cas depuis belles lurettes. James Parkyn : L'exemple parfait est que nous obtenons maintenant de bien meilleurs taux sur les CPG. Récemment, les taux des CPG étaient autour de 5.5% pour 1 an, et autour de 5,2 % pour 5 ans. Ces taux sont nettement plus élevés que notre estimation du rendement attendu des obligations de 4,26 %. Nos auditeurs peuvent consulter le plus récent rapport de PWL que l'on vient de publier sur les hypothèses de planification financière. Malgré la hausse générale des prix des obligations, les rendements aujourd'hui plus élevés qu'ils ne l'ont été pendant la majeure partie de la dernière décennie. François Doyon La Rochelle : À l'heure actuelle, les titres à revenu fixe vous procurent un bon revenu. Sur une base "réelle", les taux semblent très attrayants si on les compare aux prévisions d'inflation pour les années à venir. Par exemple, l'estimation de PWL pour l'inflation est à 2,2 % par an. Un investisseur qui achète un CPG à échéance dans 5 ans, comme tu l'as mentionné James, obtiendrait 5,2 %, soit un rendement réel de 3 %. James Parkyn : En conclusion, François, la clé pour les investisseurs est que même si les banques centrales augmentent encore un peu leurs taux, la fin du cycle haussier actuel se profile à l'horizon, à moins d'une résurgence de l'inflation. Comme nous l'avons dit à maintes reprises, nous ne faisons pas de Market Timing, autant du côté des actions que des obligations. Spécifiquement pour les obligations, n'essayez pas de prévoir le sommet des taux d'intérêt. Je veux également François partager avec nos auditeurs une citation intéressante de Dimensional qui provient de son rapport semestriel et je cite : " Ce que les investisseurs savent, c'est que les marchés continueront à traiter rapidement les informations au fur et à mesure qu'elles seront disponibles. Un plan à long terme, axé sur les objectifs individuels et fondé sur la confiance dans les prix du marché, peut placer les investisseurs dans les meilleures conditions pour vivre une bonne expérience, quoi qu'il arrive. » François Doyon La Rochelle : En d'autres termes, James, il ne faut pas essayer de deviner la fin du cycle de hausse des taux. Je rappelle à nos auditeurs que notre discipline consiste à investir avec "l'état d'esprit de l'investisseur, axé sur le long terme". On ne veut pas se laisser influencer par le bruit à court terme des médias financiers et par la volatilité des marchés. C'est un défi de taille qui s'applique à tous les investisseurs, même aux professionnels. On l'a souvent répété dans notre podcast : "C'est simple à dire mais pas facile à faire : Il faut toujours être conscients qu'on peut tomber dans le piège d'essayer de "prévoir l'avenir".   4) Conclusion : François Doyon La Rochelle : Merci James Parkyn d'avoir partagé ton expertise et ton savoir. James Parkyn : il m'a fait plaisir Francois. François Doyon La Rochelle : Hé bien c'est tout pour ce 55ième épisode de Sujet Capital ! Nous espérons que vous avez aimé. N'hésitez pas à nous envoyer vos questions et suggestions. Vous pouvez nous joindre par courriel à: sujetcapital@pwlcapital.com  De plus, si vous aimez notre podcast, partagez-le avec votre famille et vos amis et si vous n'y êtes pas abonné, faites-le SVP. Encore une fois, merci d'être à l'écoute et joignez-vous à nous pour notre prochain épisode à paraitre le 28 septembre exceptionnellement car nous prenons une pause pour l'été. Profitez de votre été et à bientôt!

La Chronique Finance
On recommence, mais sans prendre les mêmes

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later Jul 31, 2023 6:04


Je suis parti en vacances il y a une semaine avec Twitter et la canicule et je reviens avec X et l'automne. Pour le reste, les marchés financiers ont continué à progresser dans un déluge de résultats d'entreprises et deux relèvements de taux de banques centrales. Le programme de cette nouvelle semaine ? Un déluge de résultats d'entreprises et deux relèvements probables de taux de banques centrales. Les têtes d'affiche du festival s'appellent Apple et Amazon, avec en premières parties la Banque d'Australie et la Banque d'Angleterre.

Radio Monaco - La Tendance des Marchés
Le discours du président de la banque centrale américaine pèse sur les marchés

Radio Monaco - La Tendance des Marchés

Play Episode Listen Later Jun 23, 2023 1:03


Avec une 4ème séance de baisse, la bourse de paris a terminé la journée d'hier dans le rouge, à 7203 points, pénalisée notamment par Total Energie et les valeurs bancaires. Même tendance pour l'Eurostoxx 50 qui clôturait la journée à 4301 points, perdant ainsi 0.48%. La cause ? Les dernières déclarations de Jérôme Powell, qui laissait entendre qu'au vu du niveau d'inflation, de prochaines de hausses de taux d'intérêt seraient probablement à venir.    Au Royaume Uni, la Banque d'Angleterre a créé la surprise en portant son taux directeur à 5% avec une hausse de 50 points de base, au lieu des 25 points de base comme anticipé par le marché. La banque centrale a décidé de frapper fort afin de faire à l'inflation toujours persistante. 

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Xpresso / L'aigle et le léopard - Eric Branca

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Jun 6, 2023 33:50


Pour vous abonner à nos 300 émissions hebdomadaires d'une heure sans publicité pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque jeudi rien de plus simple, cliquez ici : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Attention, livre exceptionnel ! Pour Xpresso, nous avons eu la chance de nous entretenir avec Eric Branca, historien, pour son livre remarquable L'aigle et le Léopard, chez Perrin. Un livre qui va vous marquer … Après la chute de la France, en juin 1940, l'Angleterre a bien failli faire la paix avec le IIIe Reich et accepter le partage du monde qu'Hitler lui proposait depuis son arrivée au pouvoir. Nul doute qu'alors l'issue de la guerre eût été tout autre. En parvenant, sur le fil, à faire échouer ce plan, Churchill n'a pas seulement triomphé des anciens partisans de l'" apaisement ", regroupés derrière son prédécesseur Neville Chamberlain, l'homme des accords de Munich. Les forces qu'il a vaincues in extremis s'activaient depuis deux décennies, tantôt dans l'ombre, tantôt au grand jour, pour répudier l'ancienne " Entente cordiale " entre Londres et Paris au profit d'un accord géopolitique global avec l'Allemagne : à cette dernière, la direction politique du continent, assortie d'une intégration économique et financière poussée avec le monde anglo-saxon ; à l'Empire britannique, un leadership écrasant sur le commerce mondial. Ce rêve n'a pas seulement été poursuivi par de nombreuses figures de l'aristocratie britannique, sans parler d'une partie de la famille régnante, fidèle à ses origines allemandes – à commencer par le roi Édouard VIII, authentiquement nazi. Largement partagé, il avait pour chef de file le gouverneur de la Banque d'Angleterre en personne, Montagu Norman, et ses adeptes se recrutaient dans tous les secteurs de l'opinion, syndicats compris. Quant à Hitler lui-même, c'est peu dire que sa fascination pour l'Angleterre était inséparable de sa doctrine raciste. Cette dernière fut forgée au contact d'un idéologue britannique, Houston Stewart Chamberlain, considéré par les nazis comme leur second " prophète ". Écrite d'une plume alerte et riche de nombreuses révélations, voici l'histoire inédite et prenante de ces liaisons dangereuses qui faillirent changer la face du monde et perdurèrent jusqu'à la chute du IIIe Reich.

La Chronique Finance
Jamais content

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later May 11, 2023 6:10


Pendant que le Nasdaq reste en apesanteur, les autres marchés actions sont un peu plus sceptiques, mais continuent à faire confiance aux banques centrales pour régler leurs petits tracas. Les résultats d'entreprises continuent à souffler le chaud et le tiède, en attendant les nouvelles échéances du jour, faites de statistiques macroéconomiques et de décisions monétaires.

L’invité du 12/13
Eric Branca pour son livre « L'aigle et le Léopard – Les liaisons dangereuses entre l'Angleterre et le IIIe Reich »

L’invité du 12/13

Play Episode Listen Later Apr 4, 2023


Eric Branca est l'invité sur RCJ Midi au micro de Rudy Saada, pour son livre « L'aigle et le Léopard - Les liaisons dangereuses entre l'Angleterre et le IIIe Reich » aux éditions Perrin. À propos du livre : « L'aigle et le Léopard - Les liaisons dangereuses entre l'Angleterre et le IIIe Reich » paru aux éditions Perrin Après la chute de la France, en juin 1940, l'Angleterre a bien failli faire la paix avec le IIIe Reich et accepter le partage du monde qu'Hitler lui proposait depuis son arrivée au pouvoir. Nul doute qu'alors l'issue de la guerre eût été tout autre. En parvenant, sur le fil, à faire échouer ce plan, Churchill n'a pas seulement triomphé des anciens partisans de l'" apaisement ", regroupés derrière son prédécesseur Neville Chamberlain, l'homme des accords de Munich. Les forces qu'il a vaincues in extremis s'activaient depuis deux décennies, tantôt dans l'ombre, tantôt au grand jour, pour répudier l'ancienne " Entente cordiale " entre Londres et Paris au profit d'un accord géopolitique global avec l'Allemagne : à cette dernière, la direction politique du continent, assortie d'une intégration économique et financière poussée avec le monde anglo-saxon ; à l'Empire britannique, un leadership écrasant sur le commerce mondial. Ce rêve n'a pas seulement été poursuivi par de nombreuses figures de l'aristocratie britannique, sans parler d'une partie de la famille régnante, fidèle à ses origines allemandes – à commencer par le roi Édouard VIII, authentiquement nazi. Largement partagé, il avait pour chef de file le gouverneur de la Banque d'Angleterre en personne, Montagu Norman, et ses adeptes se recrutaient dans tous les secteurs de l'opinion, syndicats compris. Quant à Hitler lui-même, c'est peu dire que sa fascination pour l'Angleterre était inséparable de sa doctrine raciste. Cette dernière fut forgée au contact d'un idéologue britannique, Houston Stewart Chamberlain, considéré par les nazis comme leur second " prophète ". Écrite d'une plume alerte et riche de nombreuses révélations, voici l'histoire inédite et prenante de ces liaisons dangereuses qui faillirent changer la face du monde et perdurèrent jusqu'à la chute du IIIe Reich. Historien et journaliste, Eric Branca est né en 1958. Il a signé une douzaine d'ouvrages, parmi lesquels Le roman de la droite (Lattès 1998), une biographie du général de Gaulle (Molière 1999 et PUF 2010), De Gaulle et les Français libres (Albin Michel 2010), L'histoire secrète de la droite, 1958-2008 (Plon 2008) ou encore 3000 ans d'idées politiques (Chronique 2014), de même que plusieurs livres d'entretiens comme Le suicide de la France, avec Jacques Vergès et Bernard Debré (Lattès, 2001) ou Je ne sais rien mais je dirai (presque) tout, avec Yves Bertrand (Plon 2007).

Signaux faibles
Google et Baidu lancent leurs ChatGPT, Twitter Blue ne prend pas, l'Angleterre veut sa MNBC… Les signaux du jour

Signaux faibles

Play Episode Listen Later Feb 7, 2023 9:14


Dans cet épisode, on commence par Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur, qui affirme que l'Artificial Intelligence Act répondra aux inquiétudes suscitées par ChatGPT. IA toujours ensuite, avec l'américain Google et le chinois Baidu qui lancent tous deux une intelligence artificielle similaire à ChatGPT. Sans oublier : Twitter Blue, abonnement mensuel à 8 dollars, compte moins de 300 000 abonnés, et le Trésor et la Banque d'Angleterre estiment que la livre sterling numérique arrivera cette décennie.Les épisodes de Signaux faibles sont à écouter sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C dans l'air
BREXIT, 3 ANS APRÈS : GRÈVES ET REGRETS – 04/02/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 4, 2023 66:21


EXPERTS ANNE-ELISABETH MOUTET Éditorialiste - « The Daily Telegraph » PHILIP TURLE Journaliste britannique Chroniqueur international - « France 24 » NICOLAS BOUZOU Économiste – Directeur du cabinet de conseil Asterès SYLVIE MATELLY Économiste - Directrice adjointe de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques AGNÈS-CATHERINE POIRIER – En direct de Londres Correspondante en Grande-Bretagne - « L'Express » La crise sociale continue au Royaume-Uni. Débuté il y a plusieurs mois, le mouvement de grève pour de meilleurs salaires s'étend désormais à presque tous les secteurs d'activité, menaçant de paralyser le pays. Trois ans après la mise en œuvre du Brexit, l'embellie économique promise est donc loin d'être au rendez-vous. L'inflation outre-manche atteint 11 % en un an, et le PIB a reculé de 0,3 % au troisième trimestre 2022 selon la Banque d'Angleterre. En récession, le Royaume-Uni est aussi le seul pays du G7 à n'avoir pas encore retrouvé son PIB d'avant Covid-19. Le gouvernement de Rishi Sunak est empêtré dans ce marasme et semble incapable de mettre fin à ces grèves historiques. Une aubaine pour Boris Johnson qui tente actuellement un retour médiatique. L'ancien premier ministre veut en effet se poser en recours pour sauver un Parti conservateur en difficulté, crédité de seulement 26 % des intentions de vote en cas d'élections parlementaires, contre 47 % pour le Labour. Pour beaucoup, le Brexit a une part de responsabilité dans l'état actuel de la Grande-Bretagne. Formalités administratives, contrôles, frais de douane... les coûts supplémentaires et la perte de temps sont palpables dans tous les domaines économiques. En janvier, un sondage publié par le journal The Independant a révélé que 65 % des Britanniques souhaitent à présent un nouveau référendum pour retourner dans l'UE. Parmi eux, des votants pour le Brexit en 2016 qui regrettent leur choix. Un regret qui a trouvé son expression dans les médias britanniques : le « Bregret ». Mais face à ce mécontentement, Rishi Sunak a évacué l'idée d'un nouveau vote :« Sous mon autorité, le Royaume-Uni ne cherchera aucune relation avec l'Europe qui repose sur l'alignement sur les lois de l'UE ». Dans ce contexte, une autre question est délicate pour l'exécutif britannique : celle de la gestion de l'immigration. Si certains veulent rendre plus dure encore la politique envers les migrants, le patronat voudrait lui se servir de l'immigration pour résoudre les problèmes de pénuries de personnel. Le divorce avec l'Union européenne ayant aussi entraîné une forte pénurie de main-d'œuvre, avec une immigration rendue plus difficile pour les Européens. Alors, comment le Royaume-Uni peut-il faire face à la crise sociale et économique qu'il traverse ? Boris Johnson peut-il faire son retour politique ? Un nouveau référendum sur le Brexit est-il envisageable dans un futur proche ? Qu'en est-il de la politique migratoire britannique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Radio Monaco - La Tendance des Marchés
Les marchés étaient euphoriques hier

Radio Monaco - La Tendance des Marchés

Play Episode Listen Later Feb 3, 2023 1:16


Après la Réserve Fédérale Américaines, les réunions des Banques Centrales se sont poursuivies hier. La Banque Centrale Européenne et la Banque d'Angleterre ont toutes les deux procédé à des hausse de taux de 50 points de base. Coté Europe, Christine Lagarde, la Présidente de la Banque Centrale Européenne a réaffirmé lors de sa conférence de presse sa volonté de combattre l'inflation. Et Une nouvelle hausse de taux est encore prévue le mois prochain.   Les marchés financiers ont réagi très positivement, espérant une accalmie dans les hausses de taux futures. Les indices européens étaient en hausse de près de 1.5%, tirés notamment par le secteur immobilier très sensible au taux d'intérêts.   Au niveau des taux, la réaction a été forte, le 10 ans allemand est passé de 2.25% à 2.05%, le 10 ans italien est passé en dessous du seuil des 4%.   Coté Américain, l'euphorie était également au rendez-vous, à la clôture européenne, le Nasdaq était en hausse de plus de 3%. Meta la maison mère de Facebook était en hausse de près de 25%, après avoir annoncé un rachat d'actions et des perspectives encourageantes portées notamment par l'intelligence artificielle. 

Radio Monaco - La Tendance des Marchés
La séance boursière a évolué dans un marché prudent

Radio Monaco - La Tendance des Marchés

Play Episode Listen Later Feb 1, 2023 0:59


Les opérateurs de marché s'attendent à une semaine chargée en termes d'indicateurs économiques et de publications de résultats. Les trois principales banques centrales publieront leurs décisions monétaires au cours de la semaine, en commençant demain avec la Réserve Fédérale Américaine, puis avec la Banque Centrale Européenne et la Banque d'Angleterre jeudi.   Plusieurs mastodontes du secteur des technologies publieront leurs résultats ces deux prochains jours, on peut citer Amazon, Apple, Google ou bien Meta la société mère de Facebook.   Les investisseurs sont donc restés en alerte sur la séance d'hier dans l'attente des signaux importants à venir.   Le CAC 40 a ainsi terminé en léger repli de 0.16%. Même constat de l'autre coté de l'atlantique avec un indice américain S&P500 en baisse d'un peu plus de 0.60% à la clôture des marchés européens. 

Aujourd'hui l'économie, le portrait
Jerome Powell et son action à la tête de la FED, suivie par les grandes banques centrales

Aujourd'hui l'économie, le portrait

Play Episode Listen Later Dec 26, 2022 3:51


Par son action contre l'inflation, Jerome Powell, président de la Réserve fédérale américaine, a marqué la politique monétaire de cette institution et a été suivie par les grandes banques centrales, comme la BCE ou encore la Banque d'Angleterre. « L'inflation est bien trop élevée », martèle depuis des mois le patron de la FED. Alors qu'il y a un an, il assurait qu'elle n'était que transitoire. Mais depuis, les prix ont explosé. Et aujourd'hui, il n'est plus seulement question pour la FED de lutter contre l'inflation, elle doit aussi prouver sa crédibilité en tant que gardienne de la stabilité des prix. C'est pourquoi, lors de son discours de décembre, Jerome Powell déclarait : « Je souhaiterais assurer tous les Américains que nous comprenons l'épreuve qu'ils traversent à cause de l'inflation forte. Et que nous prenons l'engagement de la ramener vers l'objectif de 2%. » Mais qui est donc cet homme que rien ne prédestinait à prendre la tête de l'institution la plus influente pour l'avenir économique de la planète ? ►À lire aussi : Le numéro d'équilibriste de la FED américaine entre inflation et récession Il n'a jamais fait d'études d'économie Né il y a 69 ans, dans une fratrie de six enfants, son père était avocat, son grand-père maternel doyen à la Faculté de droit, diplômé de l'Université de Georgetown, Jerome Powell débute une carrière d'avocat avant de se tourner vers la banque d'affaires. Cet homme qui n'a jamais fait d'études d'économie est pourtant nommé par le président Bush père sous-secrétaire d'État au Trésor en 1992. Sous l'administration de Barack Obama, il siège au Conseil des gouverneurs de la FED, avant d'être nommé par Donald Trump à la tête de cette institution. Républicain modéré, il est pourtant critiqué par Trump qui tente de le limoger. Mais, surprise : en 2021, Jerome Powell est reconduit par le démocrate Joe Biden. Il a marqué l'histoire Son action à la tête de la FED constitue un tournant pour l'économie mondiale. Jerome Powell a mis fin à l'argent pas cher, estime Karl Toussaint du Wast, co-fondateur de Netinvessement, cabinet de conseil en gestion de patrimoine en ligne : « Il marquera l'histoire comme celui qui a coupé le robinet de "Quantitative Easing" [L'assouplissement quantitatif consiste pour une banque centrale à intervenir de façon massive et prolongée sur les marchés financiers en achetant des actifs, NDLR] initié par Janet Yellen. Et c'est un rôle très ingrat. C'est ça le rôle du gouverneur de la FED ou de la Banque centrale européenne pour Christine Lagarde, c'est de prendre des décisions ingrates, mais malheureusement nécessaires. Pendant dix ans, entre 2010 et 2020, il y a eu dix ans de "Quantitative Easing". C'est-à-dire de rachat de dettes par les banques centrales et d'injection de liquidités dans l'économie. C'était la fête durant dix ans ! Cette inflation qui arrive impose aux banques centrales le seul joker qui leur reste, celui d'arrêter le "Quantitative Easing" et de remonter les taux ». Une marge faible pour lutter contre l'inflation Mais, revers de la médaille, cette politique restrictive risque de provoquer une récession mondiale. C'est ce que Jerome Powell veut éviter. Lui qui s'est vu reprocher durant la pandémie ces millions d'Américains précipités dans la pauvreté, et les quelques autres, enrichis. Cette fois, si les causes de l'inflation sont connues – crise sanitaire, guerre en Ukraine, crise de l'énergie – impossible de prévoir comment tout cela va évoluer : « La pénurie des matières et les faillites qui vont arriver, 2023 va être le début de la récession d'un point de vue économique. Donc, il lui reste peu de temps pour éteindre l'incendie de cette inflation. Il avait raison de le faire de manière assez violente et brutale, parce qu'il fallait la juguler au sens médical. Il fallait poser un garrot à cette inflation de manière extrêmement forte. Là, il commence à annoncer un début d'allègement de hausse des taux pour préparer finalement les entreprises et le monde économique. Mais sa marge de manœuvre est extrêmement faible. Donc, il n'a pas d'autre choix que d'être un peu le Père Fouettard, en anticipant ce qui va nous arriver en 2023. » Le chemin est encore long avant que l'inflation ne se calme durablement. Objectif de la FED, comme celui de la BCE : atteindre le chiffre de 2%, le seul à même de garantir une stabilité des prix. ►À lire aussi : Les hausses des taux directeurs de la FED pèsent sur les pays émergents

Aujourd'hui l'économie, le portrait
Jerome Powell et son action à la tête de la FED, suivie par les grandes banques centrales

Aujourd'hui l'économie, le portrait

Play Episode Listen Later Dec 26, 2022 3:51


Par son action contre l'inflation, Jerome Powell, président de la Réserve fédérale américaine, a marqué la politique monétaire de cette institution et a été suivie par les grandes banques centrales, comme la BCE ou encore la Banque d'Angleterre. « L'inflation est bien trop élevée », martèle depuis des mois le patron de la FED. Alors qu'il y a un an, il assurait qu'elle n'était que transitoire. Mais depuis, les prix ont explosé. Et aujourd'hui, il n'est plus seulement question pour la FED de lutter contre l'inflation, elle doit aussi prouver sa crédibilité en tant que gardienne de la stabilité des prix. C'est pourquoi, lors de son discours de décembre, Jerome Powell déclarait : « Je souhaiterais assurer tous les Américains que nous comprenons l'épreuve qu'ils traversent à cause de l'inflation forte. Et que nous prenons l'engagement de la ramener vers l'objectif de 2%. » Mais qui est donc cet homme que rien ne prédestinait à prendre la tête de l'institution la plus influente pour l'avenir économique de la planète ? ►À lire aussi : Le numéro d'équilibriste de la FED américaine entre inflation et récession Il n'a jamais fait d'études d'économie Né il y a 69 ans, dans une fratrie de six enfants, son père était avocat, son grand-père maternel doyen à la Faculté de droit, diplômé de l'Université de Georgetown, Jerome Powell débute une carrière d'avocat avant de se tourner vers la banque d'affaires. Cet homme qui n'a jamais fait d'études d'économie est pourtant nommé par le président Bush père sous-secrétaire d'État au Trésor en 1992. Sous l'administration de Barack Obama, il siège au Conseil des gouverneurs de la FED, avant d'être nommé par Donald Trump à la tête de cette institution. Républicain modéré, il est pourtant critiqué par Trump qui tente de le limoger. Mais, surprise : en 2021, Jerome Powell est reconduit par le démocrate Joe Biden. Il a marqué l'histoire Son action à la tête de la FED constitue un tournant pour l'économie mondiale. Jerome Powell a mis fin à l'argent pas cher, estime Karl Toussaint du Wast, co-fondateur de Netinvessement, cabinet de conseil en gestion de patrimoine en ligne : « Il marquera l'histoire comme celui qui a coupé le robinet de "Quantitative Easing" [L'assouplissement quantitatif consiste pour une banque centrale à intervenir de façon massive et prolongée sur les marchés financiers en achetant des actifs, NDLR] initié par Janet Yellen. Et c'est un rôle très ingrat. C'est ça le rôle du gouverneur de la FED ou de la Banque centrale européenne pour Christine Lagarde, c'est de prendre des décisions ingrates, mais malheureusement nécessaires. Pendant dix ans, entre 2010 et 2020, il y a eu dix ans de "Quantitative Easing". C'est-à-dire de rachat de dettes par les banques centrales et d'injection de liquidités dans l'économie. C'était la fête durant dix ans ! Cette inflation qui arrive impose aux banques centrales le seul joker qui leur reste, celui d'arrêter le "Quantitative Easing" et de remonter les taux ». Une marge faible pour lutter contre l'inflation Mais, revers de la médaille, cette politique restrictive risque de provoquer une récession mondiale. C'est ce que Jerome Powell veut éviter. Lui qui s'est vu reprocher durant la pandémie ces millions d'Américains précipités dans la pauvreté, et les quelques autres, enrichis. Cette fois, si les causes de l'inflation sont connues – crise sanitaire, guerre en Ukraine, crise de l'énergie – impossible de prévoir comment tout cela va évoluer : « La pénurie des matières et les faillites qui vont arriver, 2023 va être le début de la récession d'un point de vue économique. Donc, il lui reste peu de temps pour éteindre l'incendie de cette inflation. Il avait raison de le faire de manière assez violente et brutale, parce qu'il fallait la juguler au sens médical. Il fallait poser un garrot à cette inflation de manière extrêmement forte. Là, il commence à annoncer un début d'allègement de hausse des taux pour préparer finalement les entreprises et le monde économique. Mais sa marge de manœuvre est extrêmement faible. Donc, il n'a pas d'autre choix que d'être un peu le Père Fouettard, en anticipant ce qui va nous arriver en 2023. » Le chemin est encore long avant que l'inflation ne se calme durablement. Objectif de la FED, comme celui de la BCE : atteindre le chiffre de 2%, le seul à même de garantir une stabilité des prix. ►À lire aussi : Les hausses des taux directeurs de la FED pèsent sur les pays émergents

Podcasts Rhône FM
La banque d'Angleterre dévoile les premiers billets à l'éfigie de Charles 3

Podcasts Rhône FM

Play Episode Listen Later Dec 20, 2022


Radio Monaco - La Tendance des Marchés
Une nouvelle journée importante pour les marchés ce jeudi !

Radio Monaco - La Tendance des Marchés

Play Episode Listen Later Dec 15, 2022 1:05


Les Banques Centrale sont encore au cœur de l'actualité. Après la Réserve Fédérale hier soir, c'est aujourd'hui au tour de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre d'annoncer leur décision de politique monétaire. Même si une nouvelle hausse de 75 points de base reste possible, le marché s'attend à un ralentissement du rythme de la part de l'institution Européenne. Les opérateurs de marchés misent donc davantage sur un tour de vis de « seulement » 50 points de base.   Dans l'attente de ces décisions et de la teneur des discours qui les accompagnent, la séance d'hier a donc été sans véritable tendance: L'Eurostoxx 50 et le CAC 40 ont cédé respectivement 0.29% et 0.21% Et le S&P500 était en hausse de 0.60% à la clôture européenne   A noter également les prix du pétrole qui sont en forte hausse pour une 3e séance consécutive, en raison d'inquiétudes concernant l'offre américaine et de l'espoir d'un retour de la demande chinoise. 

Aujourd'hui l'économie
Le Royaume-Uni contraint à l'austérité pour réparer les dommages causés par le Brexit

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 17, 2022 3:47


Le Royaume-Uni met le cap sur la rigueur. Jeremy Hunt, le ministre des Finances, présente ce jeudi matin un budget d'austérité pour redresser une économie fort mal en point. Même la City est en difficulté : Londres vient de perdre sa couronne de première place financière européenne. Et c'est Paris qui récupère le titre. Depuis ce lundi la taille de la bourse française, en termes de capitalisation, dépasse maintenant d'une courte tête celle de cette rivale longtemps perçue comme indétrônable. L'écart n'est que d'une dizaine de milliards de dollars, mais il est remarquable car au moment du Brexit, la supériorité de Londres était écrasante. L'écart entre les deux se montait alors à 1500 milliards de dollars, en faveur de la City. Depuis 2016, année du référendum, il y a donc bien eu un double mouvement : Paris a d'une part grossi, et d'autre part Londres a bel et bien rétréci. Le Brexit est la principale cause de ce déclin de la bourse britannique ? C'est une évidence, tant ses atouts naturels faisaient d'elle une première place boursière en Europe qu'on pensait inexpugnable. La langue anglaise qui est la langue des affaires, les liens avec Wall Street, la règlementation très favorable, tous ces avantages n'ont plus beaucoup compté face à son nouvel handicap : la rupture des liens avec le continent. Beaucoup de sociétés présentes dans l'Union européenne ont préféré aller voir ailleurs. En zone euro. À Paris ou Amsterdam, ou encore Dublin, cela a été le choix de la compagnie Ryan Air. Les Brexiters disaient vouloir transformer la City en nouveau Singapour sur la Tamise, un îlot ultra libéral capable d'attirer les investisseurs du monde entier, y compris d'Asie. Mais ce projet est aujourd'hui remisé sur l'étagère des fausses promesses de campagne électorale. La bourse britannique comme l'économie britannique paie très chère le choix du Brexit. Michael Saunders, ancien économiste de la Banque d'Angleterre estime que le dommage causé par le Brexit est lourd et durable. Si le gouvernement est acculé à l'austérité, c'est à cause de cette décision de sortir de l'Union européenne, a-t-il déclaré à nos confrères de Bloomberg. Les Tories sont arrivés au pouvoir il y a douze ans avec la mission de relever l'économie laminée par la crise financière de 2008. En 2010, David Cameron impose aux ménages britanniques une sévère cure d'austérité. Qu'ils ont avalé sans broncher. Mais douze ans plus tard la pilule est beaucoup plus amère L'inflation à 10% a rogné le pouvoir d'achat acquis au prix d'un travail acharné. Certains ont dû renoncer à leur emploi faute de soins car le service public de la santé n'arrive plus à faire face à sa mission. Les Britanniques, déjà exsangues, doivent pourtant se préparer à de nouveaux efforts douloureux. Leur pouvoir d'achat sera encore plus comprimé par les hausses des impôts et la baisse des dépenses publiques que Jeremy Hunt s'apprête à annoncer. Pris en étau entre la récession et l'inflation, la difficulté pour lui est d'effectuer un dosage subtil empêchant l'un sans entretenir l'autre. Le tout en gardant la confiance des marchés. Si le plan n'est pas crédible, le marché obligataire va paniquer, comme il l'a fait après l'annonce du mini-budget de Lizz Truss. Il a fallu une intervention urgente de la Banque d'Angleterre pour éviter le crack. Un scénario que doit à tout prix éviter le nouveau gouvernement de Rishi Sunak. Pour sa crédibilité politique. Et pour le salut des comptes publics.

MorningBull
On m'a trop donné, bien avant l'ENNUI !

MorningBull

Play Episode Listen Later Nov 4, 2022 12:56


Fri, 04 Nov 2022 07:43:04 +0000 https://morningbull.podigee.io/401-new-episode baca931cca369894e5cd12b273ed67ed full Ces journées entre deux évènements capitaux qui vont nous changer la vie, sont toujours des journées à oublier. Heureusement, la Banque d'Angleterre est venu mettre un peu de Piment au goût de récession dans nos vies. no Morningbull,Swissquote,Bourse,Finance,Coinbase,England,God Save the QUOI ? Swissquote

La Chronique Finance
501: Le poids des mots (12/10/2022)

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later Oct 12, 2022 5:43


Les marchés actions poursuivent leur chemin de croix, en attendant qu'un événement suffisamment marquant parvienne à inverser cette spirale baissière. Le salut viendra-t-il des résultats des entreprises ? D'une accalmie sur le front de l'inflation ? Ou peut-être d'un geste des banques centrales ? Je parle ce matin du rôle de la Banque d'Angleterre, des premières publications trimestrielles et de toxicomanie.

mots banque poids banque d'angleterre
Aujourd'hui l'économie
Le Nobel d'économie met en vedette le rôle des banques dans les crises financières

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 11, 2022 3:41


Le prix Nobel d'économie a été attribué lundi 10 octobre à l'ancien président de la Réserve fédérale Ben Bernanke, ainsi qu'à deux autres chercheurs américains. Trois experts en finance, récompensés pour leurs travaux sur le rôle fondamental des banques, surtout quand la crise survient. Douglas Diamond et Philippe Dybvig ont démontré avec des modèles théoriques ce qui survient en cas de panique bancaire : les clients n'ont plus confiance et retirent leur argent, cela fragilise la banque voire la condamne alors que c'est l'intermédiaire indispensable pour faire circuler l'argent dans l'économie. Laisser une banque faire faillite quand éclate une crise financière, c'est enfoncer une économie dans la crise. C'est ce qui s'est produit dans les années 1930 aux États-Unis, d'où la Grande Dépression. Ben Bernanke l'a démontré dans ses recherches académiques avant d'être nommé gouverneur de la Réserve fédérale. Quand la crise financière éclate en 2008, il veillera à sauver les banques, à l'exception de la Lehman Brothers. Ce prix Nobel récompense ainsi un chercheur qui a pu se frotter au réel, avec plus ou moins de bonheur. Un bilan loué par les uns, très critiqué par les autres... Son bilan est effectivement mitigé, et il faut le reconnaître, difficile à établir parce qu'on manque de recul pour en tirer des conclusions définitives. On lui reproche de n'avoir pas anticipé la crise des subprimes à l'origine de la débâcle de 2008. Mais en revanche, il a su agir après-coup en protégeant les banques. Ce qui a évité une lourde récession aux États-Unis et au reste du monde. C'est lui aussi qui a formalisé et vulgarisé à grande échelle une thérapie quasi inédite : les taux zéro pour encourager le crédit et donc le redémarrage de l'économie et le « quantitative easing », c'est à dire l'injection massive de liquidités dans la machine économique pour soutenir l'activité. Cela a bien fonctionné, mais ce sont surtout les plus riches et les marchés qui en ont profité, lui reprochent ses adversaires. Il est prématuré aujourd'hui d'évaluer les effets nocifs de cet assouplissement monétaire qui s'est poursuivi jusqu'en 2021. Certains économistes pensent qu'il a alimenté les braises de l'inflation qu'on connaît aujourd'hui. Les banquiers centraux sont-ils aujourd'hui parés en cas de crise ? Oui et non. Oui bien sûr, parce que la régulation des banques a été renforcée pour les obliger à avoir des réserves conséquentes, aux États-Unis comme en Europe. Elles sont donc plus résilientes, et c'est à cette condition qu'elles seront soutenues en cas de tempête. Mais il y a des trous dans la raquette. Ce qui est exigé aujourd'hui des banques ne l'est pas forcément des autres acteurs financiers. Les fonds, qu'ils soient d'investissement ou de pension, les assurances, ne sont pas soumis aux mêmes règles dites prudentielles. Les maillons faibles de la finance mondiale Ce seront peut-être les vecteurs de la prochaine crise. Ce qui se passe au Royaume-Uni donne déjà un avant-goût de ces nouveaux risques qui prolifèrent en marge de l'activité bancaire. La Banque d'Angleterre a dû intervenir dans l'urgence la semaine dernière pour soutenir les fonds de pension. Affolées par la baisse de la livre, les caisses de retraites du royaume se sont mises à vendre compulsivement la dette britannique, ce qui a fait plonger leur valeur. Le soutien ferme et rapide de la Banque d'Angleterre a peut-être évité un nouveau tsunami financier, estiment certains experts.

Le Balado de DayTrader Canada
Un Lehman Brothers des temps modernes

Le Balado de DayTrader Canada

Play Episode Listen Later Oct 5, 2022 7:57


Cette semaine, nous laisserons de côté les débâcles des politiques fiscales et monétaires de la Banque d'Angleterre, et nous observerons plutôt les développements de la grande banque d'investissement Crédit Suisse (SWX : CSGN). En soi, aucun évènement spécifique ne s'est déroulé dernièrement. Toutefois, les investisseurs ont été nombreux à être témoin de la perte de valeur du titre. Il n'en faut évidemment pas moins pour que des adeptes creusent davantage dans les états financiers de la banque native de Zurich, afin de trouver les enjeux réels.https://daytradercanada.com/billet-boursier/un-lehman-brothers-des-temps-modernes/

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C dans l'air
APRÈS LA CRISE ÉNERGÉTIQUE… LES FAILLITES ? - 01/10/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 1, 2022 66:28


LES EXPERTS : NICOLAS BOUZOU Économiste – Directeur du cabinet de conseil Asterès CÉLINE ANTONIN Économiste - OFCE Professeure à Sciences Po JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste - « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques FRÉDÉRIC SAYS Journaliste à la rédaction internationale – « Radio France » Vent de panique au Royaume-Uni. L'inflation galope, la livre sterling dévisse et le déficit grimpe. Les signaux d'alerte se multiplient sur l'état de santé de l'économie britannique. Le pays pourrait même basculer dans la récession. Au premier trimestre, la baisse du PIB avait atteint 0,1 %. À moyen terme, l'horizon n'est pas plus clément. La Banque d'Angleterre prévoit « une contraction de la production chaque trimestre » entre fin 2022 et fin 2023. Le Royaume-Uni fait partie des pays du G7 où l'inflation est la plus forte. Elle frôle toujours la barre des 10 % après avoir brièvement franchi ce seuil symbolique en juillet. La progression des prix sur douze mois avait alors atteint 10,1 %, le plus haut niveau enregistré depuis 40 ans. Et les premières mesures prises par le nouveau gouvernement de Liz Truss ne semblent pas avoir amélioré la situation, bien au contraire. Lors de la présentation du budget britannique, les plus importantes réductions d'impôts depuis cinquante ans ont été annoncées. Certaines de ces baisses d'impôt concernent les ménages les plus aisés, au risque d'accroître les inégalités. Dans le même temps, pour tenter de contenir la flambée des prix de l'énergie, le nouveau gouvernement britannique a décidé de renforcer drastiquement son « bouclier tarifaire ». La mesure devrait à elle seule coûter près de 60 milliards de livres, environ 67 milliards d'euros, en seulement six mois. Ces annonces font peser sur l'économie du pays le risque du non-remboursement de sa dette. C'est en tout cas la crainte des marchés financiers. Les taux obligataires britanniques se sont donc envolés, obligeant la Banque d'Angleterre à intervenir en urgence ce mercredi. Le gouvernement s'est même fait tancer par le FMI. Critiquant l'ampleur des mesures « non financées » et « non ciblées » l'institution financière a demandé à Londres de revoir sa copie. Liz Truss a réussi le tour de force de voir sa politique contestée à la fois par les marchés financiers, le Fonds monétaire international, l'opposition travailliste et même une partie de son camp conservateur. En Allemagne, la situation est également très compliquée. En septembre, l'inflation a bondi à 10 % sur un an, la valeur la plus élevée enregistrée depuis 1951. Le pays paie au prix fort sa dépendance au gaz russe, qui représentait 55 % de ses importations gazières avant la guerre en Ukraine. Elle doit désormais trouver d'autres sources d'approvisionnement alors que les prix ont explosé. Face à la flambée des prix de l'énergie, le chancelier Olaf Scholz a annoncé ce jeudi que Berlin va débloquer 200 milliards d'euros supplémentaires pour plafonner les prix du gaz et de l'électricité qui plombent son économie et le pouvoir d'achat des ménages. Le chef du gouvernement a également annoncé prolonger la durée d'exploitation des centrales nucléaires et des mines de charbon pour faire face à la crise. D'après les prévisions des économistes, cet ensemble de mesures ne devrait toutefois pas permettre au pays d'éviter la récession l'an prochain. Si en France l'inflation est plus limitée que dans d'autres pays européens, le contexte économique reste tendu. L'exécutif est à la recherche de marges de manœuvre budgétaires. Pour ce faire, Emmanuel Macron veut accélérer sur le projet de réforme des retraites. Mais face à lui, se dresse une forte opposition. Une manifestation a déjà eu lieu ce jeudi, et d'autres sont prévues. Les syndicats veulent bloquer cette réforme. Mais pour Emmanuel Macron, pas question de reculer, il faudra travailler plus longtemps. Le gouvernement veut pousser le curseur de l'âge de départ à la retraite de 62 à 65 ans d'ici à 2031. L'économie du Royaume-Uni peut-elle encore éviter le pire ? L'Allemagne va-t-elle être durablement impactée par son sevrage de gaz russe ? L'automne social sera-t-il agité en France ? https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Les histoires de 28 Minutes
Russie, retraite, sobriété énergétique :... : le Club 28' !

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Sep 30, 2022 46:42


L'émission 28 Minutes du 30/09/2022 Au programme de l'émission du 30 septembre 2022 ⬇ Ce vendredi, le correspondant de “Libération” Jean Quatremer, la journaliste Géraldine Woessner, l'écrivain et historien des idées François Cusset ainsi que le dessinateur Thibaut Soulcié reviennent sur l'actualité de la semaine.  Notre invité Matthieu Pinon les rejoindra en cours d'émission. Journaliste spécialisé en pop-culture japonaise, il publie une rétrospective du manga, de ses origines à nos jours, “Manga, que d'histoires !” aux éditions Larousse.   Retour sur deux actualités de la semaine : Russie. C'est une question qui divise l'Europe. Doit-on ouvrir nos portes aux déserteurs russes ? Depuis l'annonce de la mobilisation partielle par le Kremlin, mercredi 21 septembre, des réservistes fuient le pays. Face à cette forte désertion, Vladimir Poutine a signé des amendements visant à alourdir les peines de prison pour ceux qui refusent de combattre. Si de plus en plus de Russes se présentent aux frontières de l'Union européenne, faut-il leur ouvrir les portes ?    Retraites. Après un dîner avec les dirigeants de sa majorité, mercredi 28 septembre, Emmanuel Macron privilégie un projet de loi spécifique qu'il espère faire voter avant la fin de l'hiver.  Aujourd'hui contesté par tous les syndicats, le recul du départ à la retraite à l'âge de 65 ans sera abordé lors de négociations.  Frédéric Says oppose la députée insoumise Raquel Garrido au ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti après que ce dernier a dénoncé une “justice de droit privé” au sujet des récentes accusations de violence et de harcèlement contre des élus EELV/LFI. Depuis la mise en place du plan pour la sobriété énergétique, les ministres comptent bien montrer l'exemple aux Français. Col roulé, doudoune, étendoir : l'exécutif fait preuve de sobriété depuis quelques semaines. Sur les réseaux sociaux, les propos et les tenues des politiques font réagir les internautes qui ne manquent pas d'imagination. C'est le Point Com de Sonia Chironi !  En Chine, une femme robot pilotée par une intelligence artificielle devient PDG d'une entreprise de plusieurs millliers de salariés. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch. Notre Une internationale est celle du quotidien généraliste britannique “The Independent” qui titre “DISPARUE. Avez-vous vu cette Première Ministre ?”, après l'intervention inédite de la Banque d'Angleterre pour éviter la panique financière provoquée par le gouvernement de Liz Truss.  Retrouvez enfin les photos de la semaine sélectionnées avec soin par nos clubbistes et la “Dérive des continents” par Benoît Forgeard.  28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 30 septembre 2022 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio

investir.ch
Pour Halloween, je me déguise en Récession – 30 septembre 2022

investir.ch

Play Episode Listen Later Sep 30, 2022 10:15


Le répit n'aura pas été de très longue durée. Alors que mercredi, pendant un bref instant nous avons cru que les Banques Centrales ne nous laisserait pas tomber, les espoirs se sont immédiatement envolés quelques heures plus tard alors que l'on oubliait instantanément les décisions de la Banque d'Angleterre pour se reconcentrer sur ce qui … Continued

MoneyRadar Podcast
L'incroyable histoire d'HSBC - La Mafia de la Finance ?

MoneyRadar Podcast

Play Episode Listen Later Sep 29, 2022 16:41


Que se passe-t-il dans les couloirs de la plus célèbre et de la plus sulfureuse des banques britanniques ? La pieuvre HSBC, la banque aux 1.000 scandales, qui a dominé le monde financier pendant des décennies montre des signes de santé inquiétants. A la bourse de Londres, son titre est capricieux et dégringole de 39.96 % en un 1 an, après qu'il se soit déjà effondré en 2020 pendant la crise sanitaire. Dans le milieu, on ne parle plus que de ses plans de restructuration qui s'enchaînent, depuis plusieurs années, sans jamais apporter les améliorations attendues. Devenue too big too fail bien avant ses concurrentes, elle a récemment été sommée par la Banque d'Angleterre, avec quelques autres de ses consœurs, de prendre les mesures nécessaires pour corriger la situation, et éviter aux contribuables anglais d'avoir à mettre la main à la poche en cas de difficulté, voire … le mot est lâché, de faillite.

Investissement et Trading au quotidien
La Banque d'Angleterre frappe fort : le début de la reprise ?

Investissement et Trading au quotidien

Play Episode Listen Later Sep 29, 2022 31:10


Intervient de la banque d'Angleterre sur les marchés pour éviter le pire ... cela profite aux marchés financiers.Bonne nouvelle à long terme, ou respiration dans une tendance baissière durable ?Mon avis sur la question et point de la situation générale.-----------------------------Tous les matins en Podcast, je décrypte l'actualité économique, les marchés et Cryptos, et partage mes stratégies de Trading et d'Investissement.Où me trouver ? :les dimanches à 10h00 pour le Débrief Hebdo sur ma chaine Youtube : InteractivTradingles mardis soir sur Twitchtous les jours sur InteractivTradingsur TwitterMERCI à toutes celles et ceux qui notent 5⭐ ce Podcast, vraiment !Soutenez-nous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Chronique Finance
492: Ça s'emballe derrière la Banque d'Angleterre (29/09/2022)

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later Sep 29, 2022 5:17


Les places boursières ont rebondi hier, assez fortement même aux Etats-Unis, après une série baissière qui avait conduit certains indices sur des planchers datant de 2020. L'élément déclencheur est une intervention en urgence de la Banque d'Angleterre pour éviter les conséquences d'une dérive du marché obligataire britannique. Voilà qui mérite quelques éclaircissements.

Bourse | Cryptos : Investissement et Trading au quotidien
La Banque d'Angleterre frappe fort : le début de la reprise ?

Bourse | Cryptos : Investissement et Trading au quotidien

Play Episode Listen Later Sep 29, 2022 31:11


Intervient de la banque d'Angleterre sur les marchés pour éviter le pire ... cela profite aux marchés financiers. Bonne nouvelle à long terme, ou respiration dans une tendance baissière durable ? Mon avis sur la question et point de la situation générale. ----------------------------- Tous les matins en Podcast, je décrypte l'actualité économique, les marchés et Cryptos, et partage mes stratégies de Trading et d'Investissement. Où me trouver ? : les dimanches à 10h00 pour le Débrief Hebdo sur ma chaine Youtube : InteractivTrading les mardis soir sur Twitch tous les jours sur InteractivTrading sur Twitter MERCI à toutes celles et ceux qui notent 5⭐ ce Podcast, vraiment ! Soutenez-nous !

investir.ch
La Banque d'Angleterre signe un chèque en blanc et plus rien d'autre ne compte – 29 septembre 2022

investir.ch

Play Episode Listen Later Sep 29, 2022 7:52


Un peu à l'image de mardi matin où nous avons commencé la journée en hausse pour finir en baisse, la journée de mercredi aura été l'exact opposé. Nous avons commencé la séance avec l'impression qu'une nouvelle interprétation du terme « bain de sang » se préparait sur les marchés financiers alors que l'on flippait au … Continued

Info éco
Au Royaume-Uni, un "mini-budget" à 150 milliards de £ pour soutenir l'économie

Info éco

Play Episode Listen Later Sep 23, 2022 5:24


L'économie britannique n'est pas au mieux de sa forme. L'inflation y flirte avec les 10%, la Banque d'Angleterre a annoncé une récession pour les 2è et 3è trimestres 2022, la confiance des ménages est en berne et la livre sterling au plus bas en 37 ans face au dollar, alors que les prix de l'énergie continuent de grimper. Pour tenter d'enrayer ce "cercle vicieux" et atteindre un taux de croissance de 2,5%, le gouvernement de Liz Truss a adopté une série de mesures exceptionnelles.

MoneyRadar Podcast
GEORGE SOROS - Le Milliardaire qui a ruiné la banque d'Angleterre

MoneyRadar Podcast

Play Episode Listen Later Sep 9, 2022 18:44


Milliardaire, philosophe, spéculateur, influenceur, écrivain, oligarque, prédateur, insensible, philanthrope… Les mots ne manquent pas pour définir l'un des hommes les plus controversés de l'histoire contemporaine, le visage du capitalisme néo-libéral incarné, la légende vivante du trading, Georges Soros. Et pourtant, certains de ces qualificatifs ne vont pas du tout ensemble. A 91 ans, Soros fait partie de cette ancienne génération de milliardaires américains, représentés entre autres par Warren Buffet, 92 ans, Michael Bloomberg, 80 ans ou encore son ami Jim Rogers qui fait figure de petit jeune avec ses 79 ans, et qui ont pour particularité d'avoir réussi à faire fortune sans avoir créé de richesse, uniquement grâce aux marchés financiers. Il est aussi le sujet de discussion numéro 1 dans la complosphère.

MorningBull
Ce soir tout sera différent. Mieux. Ou moins pire.

MorningBull

Play Episode Listen Later Aug 5, 2022 10:53


Fri, 05 Aug 2022 06:41:04 +0000 https://morningbull.podigee.io/338-new-episode f5654c2685dfc65d3925193fe94637bf full La journée d'hier aura été une de ces journées où l'on attend. On attend demain et en même temps, on pouvait aussi assister à l'annonce de la Banque d'Angleterre. Et se rendre compte qu'il y a les optimistes (les USA) et les dépressifs (les Anglais). no Morningbull,Swissquote,Bourse,Finance,Emplois,Inflation,Récession,Coinbase,Nasdaq,Bull Market,Bear Market Swissquote

Accents d'Europe
Europe: comment commémorer, expliquer, voire réparer 400 ans d'esclavage?

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Jul 27, 2022 19:30


Alors qu'on honorait, le 25 mars, le souvenir de plus de 15 millions d'enfants, de femmes et d'hommes déportés, déshumanisés, victimes de l'esclavage et de la traite transatlantique pendant plus de 400 ans, comment cette histoire impacte-t-elle le continent européen aujourd'hui ? À quel point « la plus gigantesque tragédie de l'histoire humaine par l'ampleur et la durée », comme la définit la géographe et anthropologue Christine Chivallon, est-elle connue des Européens ? Olivette Otélé est l'invitée de cette émission spéciale d'Accents d'Europe. Professeure d'Histoire coloniale à l'Université de Bristol, au Royaume-Uni, première femme noire à occuper la présidence d'une chaire d'Histoire en Angleterre, Olivette Otélé vient de publier la version française d'Une histoire des Noirs d'Europe de l'Antiquité à nos jours, chez Albin Michel. Un des enseignements de cet ouvrage est que cette histoire des Noirs en Europe ne se résume pas justement à celle de l'esclavage et de la colonisation, comme on pourrait le penser. Les revenus de l'esclavage qui ont permis de faire la richesse d'un très grand nombre d'entreprises en Europe. La City, le quartier financier de Londres, reconnaît de plus en plus ses liens avec la traite des esclaves. En 2020, la Banque d'Angleterre a ainsi présenté ses excuses pour son rôle dans l'esclavage. Mais, comment s'assurer que cette histoire ne tombe pas dans l'oubli. Depuis 2022, une visite guidée de la City s'y attelle. C'est le reportage de Marie Billon. En France, depuis 20 ans maintenant, la loi Taubira reconnaît l'esclavage comme un crime contre l'humanité et demande que cette histoire soit enseignée dans les écoles. C'est une spécificité en Europe et en même temps, il y a un certain blocage sur la possibilité de formuler des excuses, de retirer des statuts ou débaptiser les rues. Qu'en est-il du reste de l'Europe ? C'est moins connu, mais le Danemark a aussi a participé à la traite négrière – de la moitié du XVIIᵉ siècle au début du XIXᵉ siècle, 111 000 esclaves ont été transportés, à bord de navires danois, de l'Afrique vers les Indes occidentales danoises – les îles de Saint Thomas, Saint Jean et Sainte Croix – vendues en 1917 aux États-Unis. Mais en 1792, le Danemark devient le premier pays européen à abolir la traite des Noirs. Mais, en réalité, cette abolition n'empêche pas le commerce des esclaves de continuer encore longtemps après 1792. Les explications d'Anne-Françoise Hivert. (Rediffusion du 25 mars 2022)

Aziz Mustaphi
La Bourse de Tokyo en forte baisse derrière Wall Street

Aziz Mustaphi

Play Episode Listen Later Jun 17, 2022 1:53


La Bourse de Tokyo était en net recul vendredi 17 juin dans la matinée, au lendemain d'une séance de chute à Wall Street face aux craintes qu'un resserrement économique généralisé des banques centrales n'achève de couper l'élan de l'économie mondiale. L'indice vedette Nikkei perdait 2,4% à 25.797,19 points vers 00H40 GMT et l'indice élargi Topix reculait de 2,26% à 1.825,61 points. Après la Banque centrale américaine (Fed) mercredi, la Banque d'Angleterre a elle aussi relevé son taux directeur jeudi, de même que la Banque nationale suisse. «Le domino des hausses de taux d'intérêt dans le monde entier risque de se poursuivre, et les rendements seront lents, surtout pour les actions de croissance», a commenté Okasan Online Securities dans une note. La Banque du Japon devait à son tour annoncer vendredi en milieu de journée (heure japonaise) ses orientations de politique monétaire, pour l'instant ultra-accomodante, à rebours de celle de la Fed. La BoJ pourrait une nouvelle fois opter pour le statu quo, ou ajuster légèrement sa politique monétaire pour la rendre plus soutenable dans la durée. Les cours du pétrole baissaient vendredi matin en Asie: vers 00H35 GMT le baril de WTI américain lâchait 0,83% à 116,61 yens et le baril de Brent de la mer du Nord perdait 0,78% à 118,87 dollars. Sur le marché des changes, le dollar se repliait par rapport au yen, à 132,86 yens pour un dollar vers 00H45 GMT contre 132,21 yens jeudi à 21H00 GMT. L'euro s'appréciait à 140,05 yens contre 139,47 yens la veille à 21H00 GMT, et était stable face au billet vert, à 1,0540 dollar contre 1,0549 dollar jeudi. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message

Info éco
La BCE annonce le relèvement de ses taux directeurs pour juillet

Info éco

Play Episode Listen Later Jun 9, 2022 5:42


Pour lutter contre une inflation galopante, qui a atteint 8,1% en mai sur un an dans la zone euro , la Banque centrale européenne utilise le levier des taux directeurs. Elle compte l'enrayer en les relevant de 25 points de base à partir de juillet. Avant elle, la Réserve fédérale américaine et la Banque d'Angleterre avaient pris des décisions similaires. Pour Frédérik Ducrozet, directeur de la recherche macroéconomique chez Pictet Wealth, cette décision va jouer sur l'économie de l'eurozone. 

Doze La Polémique
Le débat : Taux, les Anglais tirent les premiers - 04/02

Doze La Polémique

Play Episode Listen Later Feb 4, 2022 6:13


Ce vendredi 4 février, la hausse de taux de la Banque d'Angleterre qui a ouvert le bal, a été abordée par Jean-Marc Daniel et Nicolas Doze dans la chronique Le débat, dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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La Chronique Finance
334: Métalenvers (03/02/2022)

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later Feb 3, 2022 4:30


La série de quatre hausses consécutives de Wall Street va-t-elle s'interrompre aujourd'hui sous les coups de boutoir de Meta ? L'ex-Facebook a publié des résultats et des perspectives qui ont provoqué la chute de l'action en soirée. J'y consacre ce matin un large volet puisque le reste est moins enthousiasmant en particulier le compte à rebours avant les décisions de politique monétaire de la BCE et de la Banque d'Angleterre à la mi-journée. 

wall street bce banque banque d'angleterre
MorningBull
Il est temps de partir en vacances

MorningBull

Play Episode Listen Later Dec 17, 2021 18:34


Fri, 17 Dec 2021 07:00:00 +0000 https://morningbull.podigee.io/180-new-episode 23054d5630d926263d38a1f395dbdcbb full L'effet miroir de mercredi soir. Ce qui nous paraissait bien est soudainement devenu moins bien. Je crois qu'il est temps de faire sa valise et de revenir en janvier. Heureusement que les Anglais et les Européens ont aussi une banque centrale, ça nous au no Morningbull,Swissquote,FED,Taux,Tech,SOX,Rivian,Tournage de veste,Vacances,Banque d'Angleterre,BCE Swissquote

Aujourd'hui l'économie
Économie britannique: reprise fragile sur fond de pénurie et d'inflation

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 22, 2021 3:54


La Confederation of British Industry, la principale organisation patronale britannique, tient du 22 au 24 novembre 2021 sa conférence annuelle, intitulée « Saisir l'occasion », « Seize the moment » en anglais. La situation économique du pays est actuellement entre deux eaux, multipliant les défis à relever pour les entreprises. Des entreprises britanniques dont la croissance a fortement ralenti au troisième trimestre. Le PIB du Royaume-Uni a progressé d' 1,3% après un coup de frein par rapport au printemps, quand l'économie avait rebondi de 5,5% au profit de la levée progressive d'un long confinement. Le PIB reste, donc, plus de 2% en dessous de son niveau de fin 2019. Si le gouvernement se montre enthousiaste, « prévoyant d'être le pays du G7 à la plus forte croissance cette année », il reconnait qu'il reste des difficultés à surmonter. D'ailleurs, face aux nuages qui s'accumulent à l'horizon, les entreprises se montrent prudentes au cours de la période allant de juillet à septembre, leurs investissements sont restés bien inférieurs à leur niveau d'avant crise, selon l'Office national des statistiques. Pénurie de main d'œuvre Plusieurs facteurs risquent de peser sur l'activité. Parmi eux, le nombre de cas de Covid-19 toujours élevé et les pénuries. Des pénuries de matériaux ou de composants qui affectent particulièrement le secteur automobile. La production de voitures a chuté, en septembre, de plus de 40 % sur un an dans le pays. Pénurie, également, de main d'œuvre. Le taux de chômage est certes toujours un peu au-dessus de son niveau pré-pandémique mais il a poursuivi sa décrue cet été pour atteindre un taux de 4,3 %. Et le nombre d'emplois vacants a atteint un nouveau record avec 1,17 millions de postes à pourvoir. À tel point que dans certains secteurs, des patrons font monter les enchères pour attirer les candidats. Des hausses de salaire ont été proposées aux chauffeurs routiers, par exemple. Dans l'hôtellerie-restauration, une enseigne donne des bonus pour fidéliser ses salariés. Amazon promet même des primes à l'embauche pouvant aller jusqu'à 3 000 livres. Selon les premières estimations de l'Office national des statistiques, le salaire mensuel médian a augmenté de près de 5% sur un an en octobre. Inflation au plus haut depuis dix ans Mais il n'est pas le seul à grimper. L'inflation atteint des sommets. Les prix augmentent plus que prévu par la Banque d'Angleterre. L'inflation a atteint 4,2% le mois dernier, son plus haut niveau en dix ans. Et ce n'est sans doute pas fini. Elle pourrait atteindre un pic de 5% en avril prochain, selon les projections de la banque centrale. Une situation qui met Andrew Bailey, le gouverneur de la Bank of England, « mal à l'aise ». L'autorité n'avait pas augmenté les taux d'intérêt au début du mois, ce qui peut - en théorie - limiter l'emballement des prix. Comme les autres banques centrales, l'institution monétaire est face à un dilemme : tenter de contenir l'inflation sans étouffer la reprise. Désormais, certains économistes estiment probable que Londres augmente ses taux d'intérêt en décembre. L'impact de l'arrêt, fin septembre, des mesures de chômage partiel sera scruté. Si les chiffres de l'emploi restent bons, cela pourrait encourager la Banque d'Angleterre à relever - modérément- son curseur. Impact plus important du Brexit L'épidémie a donc mis l'économie au défi, mais le Covid-19 aura, à long terme, un impact moins important que le Brexit. C'est du moins la prédiction de l'organisme public de prévision budgétaire. Premier exemple : les pénuries de main d'œuvre et les perturbations dans les chaînes d'approvisionnement sont aggravées par les effets du Brexit puisque la venue des travailleurs européens a été rendue plus difficile. Surtout, malgré l'accord commercial, les échanges avec l'Union européenne ont baissé. Et Londres a, certes, conclu plusieurs traités de libres échanges avec des pays tiers, mais l'accord d'envergure avec les États-Unis espéré par le gouvernement de Boris Johnson n'est pas encore en vue. Pour relancer la machine, Londres a présenté, la semaine dernière, un plan pour l'export. Objectif : vendre à l'étranger pour 1 000 milliards de livres de biens contre 600 milliards l'an dernier. Parmi les douze points de ce plan : des services d'aides pour les entreprises qui vendent biens ou services en Europe. 

The mix by SILEX
Semaine #45 - Gros bazar à la Banque d'Angleterre et un changement important dans l'allocation actions. [FR]

The mix by SILEX

Play Episode Listen Later Nov 8, 2021 4:28


Chaque lundi matin nous servons le SILEXpresso, un condensé vocal de 3mn sur nos vues macro et allocation.  

MarketLive
Les speakers de la Fed toujours très actifs, en attendant la Banque d'Angleterre et les chiffres US

MarketLive

Play Episode Listen Later Jun 24, 2021 25:11


Marketlive du 24/06/2021 Retrouvez le MarketLive, du lundi au Vendredi, en compagnie d'Alexandre Baradez & Vincent boy, pour un décryptage de l'actualité des marchés financiers.  Cet enregistrement est à titre indicatif et aucune des informations mentionnées ne saurait être considérée comme un conseil ou une recommandation.  Pour plus d'infos visitez notre page dédiée sur notre site :  https://www.ig.com/fr/market-live  

Storytelling
STORYTELLING - Les inconnus au bataillon - L'inconnu de la banque d'Angleterre

Storytelling

Play Episode Listen Later Feb 20, 2021


En 1836, alors qu'il rentre dans son bureau, le directeur de la banque d'Angleterre reçoit une lettre anonyme. Est-ce un farceur ? Un cambrioleur ? Ce qui est sûr, c'est que l'auteur de cette lettre peut cambrioler la banque à tout instant... Axel Raybaud vous explique tout.

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Radio Monaco - La Tendance des Marchés
La Tendance des Marchés : Intervention de la Banque d'Angleterre ce jeudi

Radio Monaco - La Tendance des Marchés

Play Episode Listen Later Nov 6, 2020 1:15


Après l'annonce d'un reconfinement en Angleterre, la Banque d'Angleterre va annoncer des mesures pour soutenir l'économie Outre-Manche. Lanalyse de Jean-Baptiste Champion. Tous les matins, les équipes de CFM Indosuez Wealth Management vous dévoilent la “Tendance des marchés” à 7h03, 08h03, 09h03 sur Radio Monaco

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La Chronique Finance
37: Insoutenable (05/11/2020)

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later Nov 5, 2020 4:30


Grosse journée en perspective : on connaîtra peut-être le nom du prochain Président des Etats-Unis, la Banque d'Angleterre pourrait passer en taux négatif et la Réserve Fédérale doit se prononcer sur sa politique. Le tout agrémenté d'une nouvelle salve de résultats trimestriels d'entreprises. On parle aussi d'Ant Group, le géant chinois qui aurait dû entrer en bourse aujourd'hui avant que Pékin n'en décide autrement. 

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La Chronique Finance
2: Qu'importe le flocon pourvu qu'on ait l'ivresse (17/09/2020)

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later Sep 17, 2020 3:11


Les marchés américains ont interrompu hier leur rebond, après les annonces de la Fed sur sa politique monétaire, sans qu'elles ne recèlent de surprise particulière. L'Europe a mieux tenu, à l'image d'un CAC40 qui a enchaîné une 4e séance consécutive dans le vert. Mais avec pour plus forte variation 0,35%, ce qui donne une fâcheuse impression de surplace. Aujourd'hui, Banque d'Angleterre et statistiques hebdomadaires du chômage aux Etats-Unis doivent rythmer la séance. 

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