Italian politician
POPULARITY
La cinquantunesima edizione del Forum Teha (The European House Ambrosetti) si apre venerdì, fino a domenica, e cercherà di mettere a fuoco gli scenari geopolitici, economici, tecnologici e sociali non solo dell'Italia, con la presenza di 9 Governi (Albania, Arabia Saudita, Irlanda, Italia, Portogallo, Qatar, Spagna, Stati Uniti, Turchia), dei principali ministri del Governo italiano, di 5 Commissari Europei e l'EU Rapporteur per il Single Market. Ad aprire i lavori, subito dopo i saluti di Valerio De Molli, è previsto un intervento del Presidente dell'Ucraina Volodymyr Zelensky in videoconference. Ad ascoltarlo in sala ci sarà, tra gli altri, Antonio Tajani, vice Presidente del Consiglio dei Ministri dell'Italia e Ministro degli Affari Esteri e della Cooperazione Internazionale dell'Italia. Il messaggio del Presidente della Repubblica Italiana, Sergio Mattarella, arriverà sabato mattina, nella giornata dedicata all'Europa, durante la quale si parlerà anche di difesa e sicurezza; domenica, nella tradizionale sessione dell'Agenda per l'Italia dedicata alle opposizioni, interverranno Elly Schlein, Giuseppe Conte, Angelo Bonelli, Carlo Calenda e Matteo Renzi. Tra i ministri presenti alla tre giorni, oltre a Tajani, Maria Chiara Carrozza, Giuseppe Valditara, Marina Calderone, Matteo Salvini, Paolo Zangrillo, Carlo Nordio e Adolfo Urso per concludere con l'intervento di Giancarlo Giorgetti. Alcuni altri ospiti: Laurence D. Fink (CEO, Blackrock) videoconference, Paulo Rangel (Ministro degli Affari Esteri del Portogallo), Valdis Dombrovskis (Commissario Europeo per l economia, la produttività, l attuazione e la semplificazione), Daniele Franco (Presidente, Fondazione Policlinico Gemelli; Portavoce dello studio di TEHA Group Guidare il futuro: le aziende capofiliera come motore di innovazione e sostenibilità per le filiere industriali italiane ed europee ), Pierre Moscovici (Presidente, Corte dei Conti, Francia), Enrico Letta (Dean, IE School of Politics, Economics & Global Affairs; EU Rapporteur sul Futuro del Mercato Unico).Sono intervenuti ai microfoni di Sebastiano Barisoni a Cernobbio Emma Marcegaglia, presidente di Marcegaglia Holding, presidente di Confindustria dal 2008 al 2012, Monica Defend, head of Amundi Investments, Renato Mazzoncini, Amministratore Delegato e Direttore Generale A2a e Paolo Gentiloni, Co-Chair dell High-level Expert Group on the Global Debt Crisis, delle Nazioni Unite ex-commissario Ue ed ex-presidente del consiglio.
La nomination de Stefano Beltrame, nouvel ambassadeur italien à Moscou, a fait du bruit lorsqu'elle a été annoncée. Ce diplomate a la particularité d'être un proche de Matteo Salvini. Or, le dirigeant de la Ligue du Nord, allié de Georgia Meloni, n'a jamais caché son admiration pour la Russie de Vladimir Poutine. Stefano Beltrame était auparavant ambassadeur à Vienne en Autriche et il va désormais bientôt présenter ses lettres de créance à Vladimir Poutine. Cette nomination n'a pas manqué de susciter la controverse à Rome. Pourtant, le diplomate de 64 ans peut se targuer d'un parcours exemplaire et d'un CV justifiant à lui seul cette nomination. « C'est un diplomate chevronné qui a eu un parcours classique, souligne Guiseppe Bettoni, professeur de géopolitique à l'Université de Rome Unitelma Sapienza. Il a eu sa licence en sciences politiques puis il a suivi une formation au ministère des Affaires étrangères et a intégré le corps diplomatique en 1991. Depuis, il a franchi chaque étape requise pour un diplomate italien. » Il est nommé à diverses fonctions au Moyen-Orient, en Europe et en Asie. Un parcours exemplaire qui le conduira au poste d'ambassadeur à Vienne, puis à Moscou. Parallèlement, il se rapproche de la Ligue du Nord en devenant le conseiller de l'un des hommes forts du parti italien, l'inamovible président de la région de Vénétie Luca Zaia. « Stefano Beltrame est lui-même originaire d'une toute petite commune du département de Vérone, et son entrée dans le giron de la Ligue s'est faite par échelons, jusqu'au niveau gouvernemental, puisqu'il finit par devenir le conseiller diplomatique de Matteo Salvini en 2018-2019 », poursuit Guiseppe Bettoni. À lire aussiL'Italie adopte la très controversée loi sécurité, l'opposition dénonce une dangereuse dérive autoritaire L'affaire du « Metropol » de Moscou En 2018, Matteo Salvini, le tonitruant dirigeant de la Ligue du Nord, est alors au faîte de sa popularité. Il occupe le poste de ministre de l'Intérieur dans le premier gouvernement de Giuseppe Conte. Stefano Beltrame va organiser plusieurs déplacements pour le ministre, dont l'un à Moscou, qui va rester dans les mémoires en Italie en raison de l'affaire « du Métropol », du nom du célèbre hôtel situé non loin de la place Rouge. « Un rendez-vous a eu lieu entre trois conseillers de Salvini et des pseudo-entrepreneurs russes, raconte Guiseppe Bettoni. En fait, on leur proposait un financement illégal de la Ligue du Nord, par le biais de la vente de pétrole. L'affaire s'est terminée par un non-lieu parce que la transaction n'a pas abouti, mais les magistrats ont bien reconnu qu'il y avait eu négociation et c'est une tache qui n'a pas disparu. » Le dossier a été classé par la justice italienne, mais il reste les nombreuses déclarations pro-russes de Matteo Salvini. De la justification de l'annexion de la Crimée en 2014 aux lauriers tressés en 2019 à Vladimir Poutine, qu'il avait décrit comme « le meilleur homme d'État actuellement sur terre ». Depuis l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, Matteo Salvini a quelque peu nuancé ces louanges, mais il reste extrêmement critique de la ligne pro-Ukraine adoptée par Georgia Meloni. Dans ces conditions, pourquoi la dirigeante italienne a-t-elle accepté de nommer à Moscou un ambassadeur proche de Matteo Salvini ? Pour le chercheur italien Lorenzo Castellani, de l'Université libre Guido Carli à Rome, il ne s'agit pas d'une inflexion diplomatique de la part de Georgia Meloni, mais plutôt d'un accord pragmatique avec un allié dont elle dépend politiquement. « Georgia Meloni doit payer le prix pour gouverner avec Salvini, et elle le paie sur certaines réformes nationales ou nominations, mais pas sur les questions fondamentales, telles que la politique étrangère ou les relations avec l'Europe, analyse-t-il. Je pense qu'avec son ministre des Affaires Étrangères, Antonio Tajani, elle a décidé d'accorder à Salvini cette nomination et le droit de faire des déclarations sur la Russie, tout en réaffirmant leur emprise sur la politique étrangère et sur le soutien à l'Ukraine. » À lire aussiItalie: comment la leader d'extrême droite Giorgia Meloni s'est imposée sur la scène européenne Une nomination symbolique Certes, Georgia Meloni s'est, elle aussi, montrée élogieuse à l'égard de Vladimir Poutine avant d'arriver au pouvoir. Mais, contrairement à son allié de la Ligue du Nord, elle a adopté une position très claire à partir de février 2022 et de l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, en rangeant son pays dans le camp des alliés de Kiev. « Giorgia Meloni n'a jamais voulu devenir la Viktor Orban de la Méditerranée et n'imagine pas une seconde le devenir, pointe le chercheur Guiseppe Bettoni. Être souverainiste et anti-immigration ne veut pas forcément dire devenir pro-Poutine et anti-Zelensky. Sur ce point fondamental, je ne pense vraiment pas qu'il y aura du changement. » Le nouvel ambassadeur italien à Moscou n'aura donc que peu de marge de manœuvre pour infléchir la position italienne. Bien que symbolique, sa nomination peut être considérée cependant comme une victoire pour Matteo Salvini, car le dirigeant de la Ligue du Nord continue de prôner et d'espérer une reprise du dialogue avec Vladimir Poutine. « Salvini table sur un processus de paix qui pourrait aboutir d'ici trois à quatre ans, décrypte de son côté Lorenzo Castellani. Et lorsque ce jour viendra, ce sera une excellente chose pour lui d'avoir un homme à lui à Moscou. » À lire aussiItalie : Meloni veut une défense européenne plus forte, mais juge « inefficace » l'envoi de soldats en Ukraine
Il detonatore della crisi francese sarà il voto di fiducia all'Assemblea nazionale, previsto per l'8 settembre. Il primo ministro François Bayrou si gioca le ultime carte per far passare misure finanziarie che dovrebbero consentire un taglio della spesa per circa 44 miliardi. Misure osteggiate sia a destra, sia a sinistra. Un fuoco di sbarramento che isola sempre più il presidente Emmanuel Macron, erode la sua già esigua compagine parlamentare e potrebbe portare per la seconda volta in pochi mesi ad elezioni anticipate, senza escludere peraltro le dimissioni dello stesso presidente. Gli esponenti più moderati della sinistra, così come il Rassemblement national, hanno già detto chiaramente che non sosterranno il governo. Gli investitori temono un ennesimo crollo del governo. Il CAC 40, l'indice di riferimento di Parigi, ha registrato già diverse cadute nei giorni scorsi. Il tasso di interesse dei titoli di Stato francesi a dieci anni è ora tra i più alti dell'eurozona. Ha già superato quelli di Grecia e Portogallo, due paesi al centro dell'ultima crisi finanziaria, e si avvicina a quello dell'Italia. Ma il nostro Paese oggi è visto con maggiore favore dai mercati, in compagnia di Grecia e Spagna. Ne parliamo con Paolo Guerrieri, docente di Economia alla Paris School of International Affairs, Sciences-Po (Parigi).Da Venerdì la cinquantunesima edizione del Forum Teha La cinquantunesima edizione del Forum Teha (The European House Ambrosetti) si apre venerdì, fino a domenica, e cercherà di mettere a fuoco gli scenari geopolitici, economici, tecnologici e sociali non solo dell'Italia, con la presenza di 9 Governi (Albania, Arabia Saudita, Irlanda, Italia, Portogallo, Qatar, Spagna, Stati Uniti, Turchia), dei principali ministri del Governo italiano, di 5 Commissari Europei e l'EU Rapporteur per il Single Market. Ad aprire i lavori, subito dopo i saluti di Valerio De Molli, è previsto un intervento del Presidente dell'Ucraina Volodymyr Zelensky in videoconference. Ad ascoltarlo in sala ci sarà, tra gli altri, Antonio Tajani, vice Presidente del Consiglio dei Ministri dell'Italia e Ministro degli Affari Esteri e della Cooperazione Internazionale dell'Italia. Il messaggio del Presidente della Repubblica Italiana, Sergio Mattarella, arriverà sabato mattina, nella giornata dedicata all'Europa, durante la quale si parlerà anche di difesa e sicurezza; domenica, nella tradizionale sessione dell'Agenda per l'Italia dedicata alle opposizioni, interverranno Elly Schlein, Giuseppe Conte, Angelo Bonelli, Carlo Calenda e Matteo Renzi. Tra i ministri presenti alla tre giorni, oltre a Tajani, Maria Chiara Carrozza, Giuseppe Valditara, Marina Calderone, Matteo Salvini, Paolo Zangrillo, Carlo Nordio e Adolfo Urso per concludere con l'intervento di Giancarlo Giorgetti. Approfondiamo il tema con Valerio De Molli, Managing Partner & CEO di The European House - Ambrosetti.
Da alcune settimane la politica è tornata a discutere della riforma delle regole per ottenere la cittadinanza italiana e della possibilità di introdurre lo ius scholae, il principio che lega l'ottenimento della cittadinanza alla frequentazione di un ciclo di studi nel nostro Paese. Come lo scorso anno, il dibattito è stato rilanciato da Forza Italia, che mesi fa ha presentato una proposta sul tema, ma che finora non ha avuto successo ed è stata criticata peraltro dagli stessi alleati del partito di Antonio Tajani. In questa puntata del nostro podcast, facciamo il punto su quello che sembra ormai più un tormentone estivo della politica, che una proposta concreta. Seguiteci sui nostri siti Pagella Politica e Facta e sui nostri profili Facebook, Instagram, X, Telegram, Threads, TikTok e Bluesky. Episodio scritto da Davide Leo e Federico Gonzato e prodotto da Jessica Mariana Masucci Link utili: La proposta di Forza Italia sullo ius Italiae Il portavoce di Forza Italia difende la sua riforma sulla cittadinanza senza conoscerla «Abbiamo sbagliato a riproporre adesso lo ius scholae» CREDIT BRANI “Right on target” di Lemonmusicstudio “Midnight blues” di Lemonmusicstudio Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nelle ultime settimane si è tornati a parlare della riforma della cittadinanza. Il vicepremier e leader di Forza Italia, Antonio Tajani, ha rimesso la questione al centro dell'agenda politica. La sua proposta è una versione rivisitata dello Ius Scholae che il leader di Forza Italia ha chiamato Ius Italiae. Intanto, prosegue lo scontro tra Donald Trump ed Elon Musk, mentre il premier israeliano Benjamin Netanyahu è a Washington per incontrare il presidente Usa. ... Qui il link per iscriversi al canale Whatsapp di Notizie a colazione: https://whatsapp.com/channel/0029Va7X7C4DjiOmdBGtOL3z Per iscriverti al canale Telegram: https://t.me/notizieacolazione ... Qui gli altri podcast di Class Editori: https://milanofinanza.it/podcast Musica https://www.bensound.com Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nelle ultime 24 ore sono almeno 48 i palestinesi uccisi sotto i bombardamenti israeliani. Scuole trasformate in rifugi sono diventate bersagli. Ospedali assediati, centri di distribuzione alimentare chiusi, ordini di evacuazione che suonano come sentenze. Il porto di Gaza City è stato colpito con decine di vittime. Nessun luogo è sicuro. Nessuna tregua è reale. Gaza è oggi un campo di sterminio a cielo aperto lo ribadiscono voci trasversali, mentre Antonio Tajani definisce “inaccettabile la carneficina di civili” e lamenta che Israele “non ascolta gli appelli”. Ma chi sono gli interlocutori di questi appelli? Chi li formula senza porre condizioni reali? Guterres denuncia “una violazione continua del diritto internazionale in totale impunità”. E intanto i morti si contano a decine ogni giorno. Il bilancio, che sfiora ormai i 38.000 morti palestinesi, è solo una delle cifre. Altre riguardano i bambini amputati, i giornalisti uccisi – 228 secondo le autorità locali – e i milioni di litri di acqua non potabili. Israele ha appena riorganizzato le vie di accesso agli aiuti umanitari, ma ha anche chiuso il centro di distribuzione a Tel al-Sultan. E nei corridoi della diplomazia si discute di ostaggi e di tregue condizionate, come se questo potesse cancellare le macerie. Intanto, una Corte britannica ha respinto il ricorso contro l'esportazione dei componenti F-35 a Israele, e un fondo norvegese ha deciso di disinvestire dalle aziende coinvolte nella produzione di armamenti. Piccoli segnali, quando servirebbe un crollo morale della complicità occidentale. La distruzione di Gaza non è più “collaterale”. È un metodo. È l'obiettivo. #LaSveglia per La NotiziaDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/la-sveglia-di-giulio-cavalli--3269492/support.
Op de NAVO-top wordt volhardend benadrukt dat de Russische dreiging verder reikt dan enkel Oekraïne. Net op dat moment slaat Italië alarm over Russische militaire expansie aan de zuidflank van Europa. De Italiaanse minister van Buitenlandse Zaken, Antonio Tajani, waarschuwt dat Moskou van plan is zijn marinebasis in Syrië te verplaatsen naar Oost-Libië. Wat drijft Rusland, en wat staat Europa te wachten? We vragen het aan Ruslandkenner Hubert Smeets van Raam op Rusland. Israël blijft Gazanen verhongeren en doden Qatar wil binnen twee dagen nieuwe indirecte gesprekken opstarten tussen Israël en Hamas. Volgens Al Jazeera kwamen gisteren meer dan tachtig mensen om, vooral bij het ophalen van voedselhulp. Over het groeiende humanitaire lijden daar spreken we met Brigitte Herremans van het Human Rights Center (UGent). Presentatie: Sophie Derkzen
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Meno tasse al ceto medio, lo stop ai diesel euro 5, OPA e Unicredit. Per #Ilpostinazienda, è intervenuta Ludovica Busnach, Consigliera Delegata di Inaz, è specialista in servizi e soluzioni per amministrare, gestire e organizzare il lavoro. Don Antonio Mazzi, fondatore della comunità Exodus, regala ogni giorno un pensiero, un suggerimento, una frase agli ascoltatori di RTL 102.5. La Nazionale di calcio all'indomani del rifiuto di Claudio Ranieri all'offerta di diventare CT. Quali scenari si aprono? Con il responsabile sport de "La Stampa", Paolo Brusorio. Le scuole sono finite e si apre l'odissea Centri Estivi, con prezzi che mettono sempre di più in difficoltà le famiglie. Il punto con Anna Rea, Presidente Adoc (Associazione per la Difesa e l'Orientamento dei Consumatori). L'attualità politica, commentata dal vicepremier e ministro degli esteri, Antonio Tajani. All'interno di Non Stop News, con Enrico Galletti, Massimo Lo Nigro e Giusi Legrenzi.
In apertura la lettura critica dei quotidiani di oggi in edicola con Paolo Mieli. Poi intervista politica ad Antonio Tajani, ministro degli Affari Esteri, con il quale partiamo dai due fronti di guerra in cui si cerca faticosamente uno spiraglio per arrivare ad un cessate il fuoco e ad una tregua: Ucraina e Gaza.
O governo da Itália promulgou a lei que restringe o reconhecimento da cidadania por "direito de sangue". A norma foi publicada no Diário Oficial, na última semana e, de forma geral, limita reconhecimento da cidadania a filhos e netos de italianos nascidos no exterior. As modificações no processo da cidadania italiana foram impostas por um decreto-lei do ministro das Relações Exteriores italiano, Antonio Tajani, publicado em 28 de março e que entrou em vigor imediatamente, mas precisava ser aprovado pelo Parlamento e promulgado em até 90 dias, sob risco de perder a validade. O trâmite no Parlamento acabou na última terça-feira, 20, quando a Câmara aprovou a lei – o Senado já havia votado. Com a promulgação, o processo está encerrado. Em entrevista à CBN Vitória, o diretor cultural da Casa D'Italia do ES, Felipe Vago, fala sobre o assunto. Ouça a conversa completa!
Franco Bechis"J.D. Vance. Il vice sceriffo"L'incantatore della destra di TrumpPrefazione di Enrico MentanaEdizioni Annilucehttps://www.rivistadomino.it/prodotto/jd-vance-il-vice-sceriffo/Chi è J.D. Vance, il numero due di Donald Trump che il 17 febbraio 2025 a Monaco ha avvisato l'Europa che «a Washington è arrivato un nuovo sceriffo?». Un ragazzo di provincia cresciuto in Ohio in una famiglia disgregata e travolta dai drammi della droga e dell'alcol, una nonna emigrata dai monti Appalachi che si è tolta il pane di bocca per farlo laureare alla Yale University. Quattro anni da volontario nei marines, la passione per la finanza e la Silicon Valley, un libro di memorie – Hillbilly Elegy – che gli ha aperto le porte e le coccole dei salotti liberal. Poi la conversione al cattolicesimo e la scalata ostinata e spregiudicata ai vertici della politica nazionale fino ad ottenere i galloni da «vice sceriffo», aspirando al grado superiore. In questo libro la storia di J.D., con i segreti e i retroscena di una delle più rapide scalate ai vertici degli Stati Uniti. In appendice cosa ne pensano i vertici del governo italiano che hanno pranzato con lui a Roma nell'aprile 2025: Giorgia Meloni, Antonio Tajani e Matteo Salvini.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
ROMA (ITALPRESS) - "I partiti seri approfondiscono tutti i temi e gli argomenti, i populisti sono tanti nel mondo, sono quelli che non affrontano seriamente i problemi e lavorano soltanto con slogan, da parte mia non c'è stato nessun riferimento specifico, era un riferimento teorico a come un partito deve muoversi per essere serio neo confronto degli elettori". Lo ha detto il vicepremier e ministro degli Esteri, Antonio Tajani, a margine di una conferenza stampa. "Alternative für Deutschland è un partito populista, il M5S è un partito populista" ha aggiunto "mai parlato della Lega o fatto alcun riferimento e credo che Salvini lo abbia capito molto bene".xc3/pc/mca3/Italpress (ITALPRESS).
MILANO (ITALPRESS) - "Non c'è alcun problema all'interno della maggioranza. Siamo forze politiche diverse, ognuna con la propria identità. Noi siamo europeisti". Così il vicepremier e ministro degli esteri Antonio Tajani a margine di un evento a Milano con i giovani di Forza Italia alla domanda dei giornalisti sul vicepremier Matteo Salvini dopo i contatti che il leader della Lega ha avuto negli ultimi giorni con il vicepresidente degli Stati Uniti J. D. Vance. Quindi sulla difesa, ha aggiunto: "Stiamo già facendo molto perché siamo il Paese che ha il maggior numero di soldati impegnati in operazioni dopo gli Stati Uniti. Dobbiamo quindi continuare a lavorare in questa direzione, anche per rafforzare il pilastro europeo della NATO perché la NATO non può essere solo degli Stati Uniti. Si devono avere due pilastri, uno americano e uno europeo. Abbiamo il dovere di rafforzare il pilastro europeo per garantire la sicurezza di tutti noi". In merito al tema dei dazi dagli Stati Uniti, il titolare della Farnesina ha aggiunto: "dobbiamo essere prudenti in questi momenti. Le prove muscolari sono delle sciocchezze. Dobbiamo difendere i nostri imprenditori, dobbiamo difendere i nostri prodotti e fare in modo che possano continuare a essere esportati".xh7/tvi/mca3
MILANO (ITALPRESS) - "Non c'è alcun problema all'interno della maggioranza. Siamo forze politiche diverse, ognuna con la propria identità. Noi siamo europeisti". Così il vicepremier e ministro degli esteri Antonio Tajani a margine di un evento a Milano con i giovani di Forza Italia alla domanda dei giornalisti sul vicepremier Matteo Salvini dopo i contatti che il leader della Lega ha avuto negli ultimi giorni con il vicepresidente degli Stati Uniti J. D. Vance. Quindi sulla difesa, ha aggiunto: "Stiamo già facendo molto perché siamo il Paese che ha il maggior numero di soldati impegnati in operazioni dopo gli Stati Uniti. Dobbiamo quindi continuare a lavorare in questa direzione, anche per rafforzare il pilastro europeo della NATO perché la NATO non può essere solo degli Stati Uniti. Si devono avere due pilastri, uno americano e uno europeo. Abbiamo il dovere di rafforzare il pilastro europeo per garantire la sicurezza di tutti noi". In merito al tema dei dazi dagli Stati Uniti, il titolare della Farnesina ha aggiunto: "dobbiamo essere prudenti in questi momenti. Le prove muscolari sono delle sciocchezze. Dobbiamo difendere i nostri imprenditori, dobbiamo difendere i nostri prodotti e fare in modo che possano continuare a essere esportati".xh7/tvi/mca3
MILANO (ITALPRESS) - "Abbiamo a cuore la città di Milano: non si tratta solo di individuare il nome del candidato sindaco, ma anche di avere politiche serie per la città di Milano. Una nostra battaglia è la difesa dei cittadini milanesi che hanno investito soldi per comprare case delle quali non sono entrati in possesso. Quindi dobbiamo andare avanti con Salva Milano. Non è una questione di sindaco o non sindaco, è una questione di tutela dei diritti acquisiti dai cittadini milanesi". Lo ha detto il vicepremier e ministro degli esteri Antonio Tajani a margine di un evento a Milano con i giovani di Forza Italia. xh7/tvi/mca3/Italpress(ITALPRESS)
MILANO (ITALPRESS) - "Abbiamo a cuore la città di Milano: non si tratta solo di individuare il nome del candidato sindaco, ma anche di avere politiche serie per la città di Milano. Una nostra battaglia è la difesa dei cittadini milanesi che hanno investito soldi per comprare case delle quali non sono entrati in possesso. Quindi dobbiamo andare avanti con Salva Milano. Non è una questione di sindaco o non sindaco, è una questione di tutela dei diritti acquisiti dai cittadini milanesi". Lo ha detto il vicepremier e ministro degli esteri Antonio Tajani a margine di un evento a Milano con i giovani di Forza Italia. xh7/tvi/mca3/Italpress(ITALPRESS)
MILANO (ITALPRESS) - "Non c'è alcun problema all'interno della maggioranza. Siamo forze politiche diverse, ognuna con la propria identità. Noi siamo europeisti". Così il vicepremier e ministro degli esteri Antonio Tajani a margine di un evento a Milano con i giovani di Forza Italia alla domanda dei giornalisti sul vicepremier Matteo Salvini dopo i contatti che il leader della Lega ha avuto negli ultimi giorni con il vicepresidente degli Stati Uniti J. D. Vance. Quindi sulla difesa, ha aggiunto: "Stiamo già facendo molto perché siamo il Paese che ha il maggior numero di soldati impegnati in operazioni dopo gli Stati Uniti. Dobbiamo quindi continuare a lavorare in questa direzione, anche per rafforzare il pilastro europeo della NATO perché la NATO non può essere solo degli Stati Uniti. Si devono avere due pilastri, uno americano e uno europeo. Abbiamo il dovere di rafforzare il pilastro europeo per garantire la sicurezza di tutti noi". In merito al tema dei dazi dagli Stati Uniti, il titolare della Farnesina ha aggiunto: "dobbiamo essere prudenti in questi momenti. Le prove muscolari sono delle sciocchezze. Dobbiamo difendere i nostri imprenditori, dobbiamo difendere i nostri prodotti e fare in modo che possano continuare a essere esportati".xh7/tvi/mca3
PALERMO (ITALPRESS) - "Sulla giustizia abbiamo preso un impegno con gli elettori: siamo al governo per fare riforme e questa per Forza Italia è la più importante di tutte. Andremo avanti speditamente senza perdere tempo". Così il vicepremier e ministro degli Esteri Antonio Tajani, a margine dell'evento "La riforma della giustizia di Forza Italia", al teatro Politeama di Palermo."Questa è una riforma per i cittadini e contro nessuno, in più è destinata a esaltare il ruolo dei magistrati e depoliticizzare la magistratura - prosegue Tajani -. Bisogna rispettare la civiltà giuridica italiana e quindi ogni singolo cittadino, evitando abusi ed errori: quando si gioca con la libertà delle persone bisogna sempre essere prudenti e attenti". xd8/sat
PALERMO (ITALPRESS) - "Sulla giustizia abbiamo preso un impegno con gli elettori: siamo al governo per fare riforme e questa per Forza Italia è la più importante di tutte. Andremo avanti speditamente senza perdere tempo". Così il vicepremier e ministro degli Esteri Antonio Tajani, a margine dell'evento "La riforma della giustizia di Forza Italia", al teatro Politeama di Palermo."Questa è una riforma per i cittadini e contro nessuno, in più è destinata a esaltare il ruolo dei magistrati e depoliticizzare la magistratura - prosegue Tajani -. Bisogna rispettare la civiltà giuridica italiana e quindi ogni singolo cittadino, evitando abusi ed errori: quando si gioca con la libertà delle persone bisogna sempre essere prudenti e attenti". xd8/sat
PALERMO (ITALPRESS) - "La politica estera la fanno il presidente del Consiglio e il ministro degli Esteri, che rappresentano le posizioni ufficiali del governo: il resto sono iniziative personali, se un ministro vuole parlare con qualche esponente di forze politiche di altri paesi è legittimo, ma la linea politica la danno il presidente del Consiglio e il ministro degli Esteri". Lo sottolinea il vicepremier e ministro degli Esteri Antonio Tajani, a margine dell'evento La riforma della giustizia di Forza Italia, al teatro Politeama di Palermo. xd8/sat
PALERMO (ITALPRESS) - "La politica estera la fanno il presidente del Consiglio e il ministro degli Esteri, che rappresentano le posizioni ufficiali del governo: il resto sono iniziative personali, se un ministro vuole parlare con qualche esponente di forze politiche di altri paesi è legittimo, ma la linea politica la danno il presidente del Consiglio e il ministro degli Esteri". Lo sottolinea il vicepremier e ministro degli Esteri Antonio Tajani, a margine dell'evento La riforma della giustizia di Forza Italia, al teatro Politeama di Palermo. xd8/sat
BRUXELLES (BELGIO) (ITALPRESS) - "Siamo leali al governo ma non rinunceremo a nulla di ciò che riguarda i nostri valori: sull'Europa non si tratta". Così il vicepremier e ministro degli Esteri, Antonio Tajani, a margine del vertice del Ppe che si è svolto a Bruxelles in occasione della riunione del Consiglio europeo. Per il titolare della Farnesina l'Italia deve restata ancorata ai valori giudaico-cristiani su cui si basa l'Europa, come anche sui legami transatlantici. Questa, secondo Tajani, deve essere la base del vertice tra Unione europea e Stati Uniti che nelle intenzioni di Roma si deve svolgere insieme a Germania, Gran Bretagna e Francia. "Io mi auguro che ci si possa arrivare, perché per noi l'unità dell'Occidente è fondamentale", ha aggiunto.xf4/sat/mca2
BRUXELLES (BELGIO) (ITALPRESS) - "Siamo leali al governo ma non rinunceremo a nulla di ciò che riguarda i nostri valori: sull'Europa non si tratta". Così il vicepremier e ministro degli Esteri, Antonio Tajani, a margine del vertice del Ppe che si è svolto a Bruxelles in occasione della riunione del Consiglio europeo. Per il titolare della Farnesina l'Italia deve restata ancorata ai valori giudaico-cristiani su cui si basa l'Europa, come anche sui legami transatlantici. Questa, secondo Tajani, deve essere la base del vertice tra Unione europea e Stati Uniti che nelle intenzioni di Roma si deve svolgere insieme a Germania, Gran Bretagna e Francia. "Io mi auguro che ci si possa arrivare, perché per noi l'unità dell'Occidente è fondamentale", ha aggiunto.xf4/sat/mca2
BRUXELLES (BELGIO) (ITALPRESS) - Per il secondo anno consecutivo Veronafiere torna a Bruxelles. In vista del 57° Salone internazionale dei vini e distillati, in programma dal 6 al 9 aprile, riporta Vinitaly nella "capitale" dell'Unione Europea per la preview della rassegna, presso l'Ambasciata d'Italia in Belgio. L'obiettivo dell'iniziativa realizzata in collaborazione con Agenzia ICE e il sostegno di Italia del vino Consorzio è stato quello di rappresentare la centralità socioeconomica e culturale del vino come prodotto identitario dell'Europa e dell'Italia. xf4/sat/gtr
BRUXELLES (BELGIO) (ITALPRESS) - Per il secondo anno consecutivo Veronafiere torna a Bruxelles. In vista del 57° Salone internazionale dei vini e distillati, in programma dal 6 al 9 aprile, riporta Vinitaly nella "capitale" dell'Unione Europea per la preview della rassegna, presso l'Ambasciata d'Italia in Belgio. L'obiettivo dell'iniziativa realizzata in collaborazione con Agenzia ICE e il sostegno di Italia del vino Consorzio è stato quello di rappresentare la centralità socioeconomica e culturale del vino come prodotto identitario dell'Europa e dell'Italia. xf4/sat/gtr
BRUXELLES (BELGIO) (ITALPRESS) - Per il secondo anno consecutivo Veronafiere torna a Bruxelles. In vista del 57° Salone internazionale dei vini e distillati, in programma dal 6 al 9 aprile, riporta Vinitaly nella "capitale" dell'Unione Europea per la preview della rassegna, presso l'Ambasciata d'Italia in Belgio. L'obiettivo dell'iniziativa realizzata in collaborazione con Agenzia ICE e il sostegno di Italia del vino Consorzio è stato quello di rappresentare la centralità socioeconomica e culturale del vino come prodotto identitario dell'Europa e dell'Italia. xf4/sat/gtr
BRUXELLES (BELGIO) (ITALPRESS) - "Continuiamo a lavorare per una vera difesa europea". Lo ha detto il vicepremier e ministro degli Esteri, Antonio Tajani, parlando con la stampa a margine del pre-vertice del Partito popolare europeo (Ppe). "Stiamo compiendo i primi passi, l'obiettivo è quello di avere un esercito comune ma ci vogliono decenni prima di arrivare all'obiettivo che era il sogno di De Gasperi e di Berlusconi. Stiamo andando in quella direzione. L'Europa più è unita e meglio protegge i singoli cittadini dell'Ue", ha detto Tajani.xf4/lcr/mca2
BRUXELLES (BELGIO) (ITALPRESS) - "Continuiamo a lavorare per una vera difesa europea". Lo ha detto il vicepremier e ministro degli Esteri, Antonio Tajani, parlando con la stampa a margine del pre-vertice del Partito popolare europeo (Ppe). "Stiamo compiendo i primi passi, l'obiettivo è quello di avere un esercito comune ma ci vogliono decenni prima di arrivare all'obiettivo che era il sogno di De Gasperi e di Berlusconi. Stiamo andando in quella direzione. L'Europa più è unita e meglio protegge i singoli cittadini dell'Ue", ha detto Tajani.xf4/lcr/mca2
ROMA (ITALPRESS) - "Noi italiani non possiamo pensare, nel nostro futuro, di essere separati dagli altri Paesi europei, perché questo è contro la storia. Gli Stati Uniti d'Europa sono un obiettivo che non si potrà realizzare domani, ma è un obiettivo che va realizzato perché è l'unico che permetterà a questo mezzo miliardo di persone di essere meglio protette nel confronto con la Cina, con l'India, con la Federazione russa". Lo ha detto il vicepremier e ministro degli Esteri, Antonio Tajani, all'evento "Verso il congresso Ppe" a Roma. xi2/ads/mca3
Dopo tre anni, si intravede una possibile soluzione alla guerra tra Ucraina e Russia. Come per quella in Medio Oriente, fondamentale la postura del presidente Trump, convinto di una soluzione ad ogni costo.Di questo ed altro ne parliamo con Antonio Tajani, ministro degli Esteri.A seguire un collegamento da Odessa con Ugo Poletti, direttore del giornale online The Odessa Journal, città ancora in questi giorni bersagliata dai droni russi.
L'Europa starebbe valutando la possibilità di consentire anche alle auto ibride plug in di restare sul mercato dopo il 2035, anno che per ora segna il divieto di vendita di auto a benzina e diesel. È quello che ha scritto der Spiegel, in un articolo che cita un documento strategico di fine gennaio che metterebbe in dubbio la linea finora seguita. Sul portale tedesco Energie-Bau, si pubblica lo stralcio del paper europeo, che aprirebbe a una maggiore flessibilità, in seguito alle pressioni della lobby dell'auto. "Come parte del dialogo, individueremo soluzioni immediate per salvaguardare la capacità dell'industria di investire, guardando a possibili flessibilità per assicurare alla nostra industria di restare competitiva, senza perdere le ambizioni complessive del 2025", si legge nel testo in inglese circolato.Intanto l inizio del 2025 non sorride a Tesla, soprattutto in Germania. Il colosso delle auto elettriche sta vivendo un momento complicato nei principali mercati europei, con un calo delle vendite di una magnitudo inattesa. Il dato più clamoroso arriva dalla Germania, dove a gennaio le immatricolazioni sono crollate del 59%, fermandosi a 1.277 unità. Ma il trend negativo non si ferma qui: in Francia le vendite sono scese del 63%, nel Regno Unito del 12%, e complessivamente, in Europa, il calo medio è stato del 47,7% rispetto a gennaio 2024. A preoccupare è il fatto che questa contrazione non è generalizzata: mentre Tesla arranca, il mercato delle auto elettriche in Germania è cresciuto del 54% lo scorso mese. Insomma, i tedeschi hanno ricominciato a comprare auto a batteria, sempre meno a marchio Tesla. Commentiamo insieme a Alberto Annicchiarico, Il Sole 24 Ore.Fallisce Fwu, colpiti 110.000 risparmiatori italianiArriva il fallimento per la compagnia assicurativa tedesca Fwu Life Insurance Lux e 110mila risparmiatori italiani, che hanno sottoscritto le loro polizze, dovranno ora attendere degli anni per recuperare una parte delle loro somme. La decisione da parte del Tribunale del Lussemburgo, presa il 31 gennaio ma comunicata solo lunedì, era attesa ma è comunque un brutto colpo per i clienti del nostro paese che già in estate avevano appreso della crisi della casa madre e che nei giorni scorsi si erano visti bloccati gli accessi ai sistemi informatici.Si tratta di risparmiatori concentrati specialmente in Lombardia e Veneto con un taglio medio di circa 4.000 euro a polizza, per un controvalore totale di circa 400 milioni di euro. Prodotti complessi, poco adatti a investitori non professionali, con costi caricati nei primi anni e legati all'andamento volatile dei mercati finanziari. Ne parliamo con Andrea Franceschi, Sole24ore autore del podcast Market Mover e di "Squali".Milano-Cortina: -365 giorniSi è acceso ieri il countdown ufficiale che segna l ultima volata verso le Olimpiadi e le Paralimpiadi invernali di Milano Cortina, che si terranno dal 6 al 22 febbraio 2026. A un anno dai Giochi iniziano i primi test event per collaudare e simulare l organizzazione delle gare. I 365 giorni che mancano all arrivo della fiamma a San Siro sono fondamentali anche per la consegna degli impianti e delle infrastrutture. Sui primi c è il nodo degli extracosti da 120 milioni di euro, che il governo dovrebbe sciogliere a breve. Sulle seconde si corre, sapendo che non tutte saranno pronte in tempo. Il 15 gennaio si è chiusa la pre-registrazione alla piattaforma di vendita, a cui si sono iscritte 350.000 persone (il 70 per cento straniere). Sono 1,6 milioni i ticket disponibili, con prezzi che sono stati studiati per garantire l accessibilità alla maggior parte delle gare: il 20 per cento costerà meno di 40 euro, mentre il 57 per cento sarà sotto i 100 euro. Oltre, ci sono le esperienze premium, dove si spazia tra cifre anche a tre zeri arrivando a 7.500 euro. Venendo agli extracosti: 120 milioni di euro circa, 80 per l Arena di Santa Giulia e 40 per il Villaggio Olimpico di Porta Romana. Ieri mattina si è tenuto un vertice olimpico a Palazzo Chigi tra la presidente del Consiglio Giorgia Meloni, i vice Antonio Tajani e Matteo Salvini, i ministri dell Economia e dello Sport Giancarlo Giorgetti e Andrea Abodi, con l amministratore delegato della Fondazione Milano Cortina Andrea Varnier: all ordine del giorno, l organizzazione dei Giochi e lo stato di avanzamento delle infrastrutture. Stando ad alcune indiscrezioni, la premier avrebbe dato il via libera alla copertura degli extracosti, ma resta da capire bene con quali strumenti. Nel frattempo i privati, i quali stanno comunque portando a termine opere che rimarranno (e porteranno guadagni) anche dopo le Olimpiadi, contemplano anche la peggiore delle ipotesi, quella di pagare tutto da soli. Approfondiamo il tema con Marco Bellinazzo, Sole 24 Ore.
E oggi con il commento di Andrea Bulleri scopriremo la nuova strategia di Zelensky, quindi parleremo di Antonio Tajani con l'analisi di Lorenzo Vita, con Angelo Paura ci occuperemo di Donald Trump e cosa cambia nelle scuole ce lo spiega Lorena Loiacono, mentre Gloria Satta concentra il suo commento sul Conte di Montecristo
Cecilia Sala è arrivata questo pomeriggio in Italia. Dal 19 dicembre scorso si trovava nel carcere di Evin, in Iran, detenuta in condizioni durissime. Ad attenderla a Ciampino la sua famiglia, la Presidente del Consiglio Meloni, il Ministro degli Antonio Tajani e il sindaco di Roma Gualtieri. Commentiamo questa notizia con Vittorio Emanuele Parsi, professore ordinario di relazioni internazionali e studi strategici all’Università Cattolica di Milano.Il processo penale telematico non funziona, quali sono i problemi? Ne parliamo con Michele Vitiello, Perito Tecnico Informatico e Consulente Informatico Forense per circa 90 Uffici Giudiziari tra Procure e Tribunali.Stato di emergenza a Los Angeles, decine di migliaia di cittadini evacuati a causa di un vasto incendio. Sentiamo gli ultimi aggiornamenti da Marco Valsania, corrispondente de Il Sole 24 Ore da New York.Infine, un omaggio al grande Rino Tommasi, leggenda del giornalismo sportivo che è deceduto quest’oggi a 90 anni. Con noi il nostro Dario Ricci.
Quest'anno "in Italia per il secondo anno consecutivo ci dovremmo fermare sotto 1 milione e 780mila veicoli immatricolati, 350mila in meno rispetto al 2019". Questo quanto riporta il presidente di Anfia, Roberto Vavassori, all'assemblea annuale pubblica dell'associazione "Ritrovare la strada. Insieme per affrontare la transizione" che si è tenuta questa mattina."A livello mondiale stiamo vivendo anni di lenta inerzia, con un contenuto sviluppo solamente in Asia, con un tasso globale di crescita stimato per i prossimi cinque anni del 2% annuo, quasi tutto grazie alla Cina, che già nel 2023 ha superato i 30 milioni di veicoli immatricolati, dei quali oltre 9 milioni di veicoli ricaricabili", ha spiegato il presidente. "Nord America ed Europa sono mercati maturi e di sostituzione ed è ormai assodato che per vendere una nuova auto occorre rottamarne una vecchia", ha detto Vavassori. "Nei mercati ancora in espansione come l'Asean, nel Vicino Oriente, Africa e America del Sud, la presenza degli Oem (case madri) cinesi sta diventando preponderante e sta erodendo importanti quote di mercato ai costruttori europei", ha fatto presente il presidente di Anfia, sottolineando che "da un paio d'anni la Cina è divenuto il primo esportatore a livello mondiale di autovetture, con oltre 5 milioni di veicoli".La sintesi dei lavori è che occorre lavorare da subito su due piani ben distinti e tra loro interdipendenti: quello europeo e quello più specificamente nazionale. Sul versante europeo è stato ribadito il pieno supporto al non-paper predisposto dal governo italiano e ceco per ridisegnare in maniera efficace e credibile il percorso di transizione che porterà alla decarbonizzazione dei vettori energetici per i veicoli al 2035. Per quanto riguarda il nostro Paese, a partire dall'analisi dello studio automotive sono state individuate alcune misure da implementare in maniera immediata a favore delle aziende della filiera, in particolare circa la riduzione del costo dell'energia per le imprese, un credito d'imposta per la ricerca e l'innovazione e misure specifiche di sostegno al settore dei veicoli commerciali leggeri, che, nel nostro Paese, hanno un peso produttivo rilevante. Infine, bisogna urgentemente prevedere degli ammortizzatori sociali straordinari per i prossimi 3 anni, perché, con la scadenza degli attuali, sono molte le aziende che rischiano di non aver alternative ai licenziamenti. L'intervento di Roberto Vavassori, Presidente ANFIA, ai microfoni di Sebastiano Barisoni.Ires premiale per chi investe, rinvio taglio IrpefC è anche l Ires premiale tra le modifiche della manovra. Secondo quanto viene riferito da fonti del Mef si sta lavorando ad un ipotesi rivolta a una platea di imprese che investono e che incrementano l occupazione (dovrebbe arrivare venerdì l'emendamento del governo). La riduzione dell Irpef per il ceto medio verrà fatta invece dopo aver consolidato i conti pubblici. Si va inoltre verso una riduzione della tassa sulle criptovalute e un aumento del fondo per l automotive. Previsto un ampliamento da 30 a 35mila euro del tetto di reddito da lavoro dipendente sotto la quale si può accedere alla flat tax per la parte di lavoro autonomo. Si va verso una tassazione agevolata al 5% per gli straordinari degli infermieri e degli specializzandi. E verso l esclusione del blocco del turn over per Forze di polizia, enti locali, personale ATA e ricercatori. Sono queste alcune decisioni prese dopo il nuovo vertice dei leader di centrodestra sulla manovra si è svolto nel pomeriggio di ieri. Hanno partecipato la presidente del Consiglio Giorgia Meloni, i vicepremier Matteo Salvini e Antonio Tajani, il leader di Noi moderati Maurizio Lupi e il ministro dell Economia Giancarlo Giorgetti. «L incontro, svoltosi in un clima molto collaborativo - si legge in una nota - ha consentito di condividere alcuni aggiustamenti, in particolare sulle priorità della manovra: imprese, famiglie e sanità».In particolare si lavora a uno sconto fiscale alle imprese che investono i loro guadagni in azienda e assumono, con un taglio dell Ires del 4%, che farebbe scendere l imposta dal 24% a 20%. Le risorse necessarie, pari a 400 milioni di euro, saranno reperite attraverso un contributo dalle banche e dalle assicurazioni. L intesa, secondo quanto riferiscono fonti della Lega, sarebbe stata raggiunta nel corso del vertice di maggioranza.Il commento di Gianni Trovati, de Il Sole 24 Ore.L'economia italiana rallenta a dicembre. Orsini: 2025 cruciale, serve rilancio degli investimentiEconomia italiana in rallentamento e industria in crisi. È la fotografia dell Italia come emerge dall analisi del Centro studi di Confindustria con la nota Congiuntura Flash, che pone una domanda: stagnazione o ripartenza? Resta una «elevata incertezza» sul pil italiano nel 4°trimestre, dopo lo stop nel 3°trimestre. Da un lato la fiducia è bassa, l industria è in crisi, l export debole, l Eurozona fiacca. Dall altro, ci sono fattori che spingono al rialzo: il trend di crescita di turismo e servizi, il proseguimento del calo di tassi, l inflazione ridotta, l attuazione del Pnrr. I fattori congiunturali, dice il Csc, spingono al rialzo, ma frenano alcuni ostacoli strutturali.A trainare per ora sono i servizi, spinti dal turismo, in particolare degli stranieri che continua l espansione (+6,9% annuo la spesa a settembre). Al turismo a i suoi «nuovi record di crescita in Italia» il Csc ha dedicato un focus: la spesa turistica totale nel paese, di italiani e stranieri, è un aumento a 110 miliardi di euro nel 2024, da 108 nel 2023. Nel 2024 l incremento viene solo dagli stranieri, gli italiani per numerosità valgono nel 2024 solo il 47% del totale, erano 51% nel 2019. Il turismo è cruciale: ogni 100 miliardi di spesa se ne generano 255 in termini di pil, anche nella manifattura che agisce da indotto. Secondo l Istat il peso diretto e indiretto del turismo arriva a 11% del valore aggiunto nazionale e al 12% degli occupati. Le prospettive sono buone: l indice di fiducia del turismo delle nazioni Unite mostra aspettative positive per il quarto trimestre del 2024, anche se al di sotto delle prospettive di maggio-agosto.Male invece l'industria: a ottobre l RTT (Real Time Turnover, indicatore che fornisce mensilmente la dinamica del volume di attività basato sul fatturato delle imprese). ha indicato a ottobre un rimbalzo positivo, a novembre la fiducia delle imprese industriali ha interrotto il calo, ma il PMI manifatturiero è sceso ancora, da 44,5 da 46,9.Ne abbiamo discusso con Alessandro Fontana, direttore del Centro studi di Confindustria.
(00:43) Monica Guerzoni parla delle tensioni tra i due vicepremier Matteo Salvini e Antonio Tajani, che hanno molto irritato Giorgia Meloni.(07:28) Cesare Giuzzi racconta il quartiere della periferia Sud di Milano, teatro di scontri fra giovani e forze dell'ordine dopo la morte di un 19enne inseguito dalla polizia.(15:21) Guido Olimpio ricostruisce il mistero della nave cargo cinese che ha danneggiato per due volte le strutture sottomarine di comunicazione internet.I link di corriere.it:Meloni arrabbiata (e delusa), il gelo con Tajani e SalviniMilano, che cosa sta succedendo al quartiere CorvettoCavi sottomarini tranciati nel Baltico: i sospetti degli 007 sul cargo cinese
Nell'ultimo triennio insieme all'occupazione è cresciuta la povertà assoluta. Rispetto al prepandemia, ovvero al 2019, nel 2023 l'occupazione è aumentata di 1 milione e 262mila unità di lavoro (+5,4%), raggiungendo il picco. I contributi più rilevanti sono venuti da servizi (+ 65%) e costruzioni (+29%), settori che più hanno contribuito alla ripresa dell'economia.Però, a fronte di questo andamento positivo del mercato del lavoro, le retribuzioni reali per occupato sono rimaste sotto i livelli pre-crisi e sono aumentati gli individui in povertà assoluta, passati dal 7,6% del 2019 al 9,7% del 2023. Sono, invece, diminuiti i working poor per la minor incidenza del part time involontario.È questo il quadro tracciato dal Monitor "L'occupazione aumenta, ma aumenta anche la povertà", realizzato da Area Studi Legacoop e Prometeia, che si focalizza sul periodo 2019-2023.Il commento di Mattia Granata, Direttore Area Studi Legacoop a Focus Economia.Beko chiude le fabbriche, la maledizione del settore del biancoDopo le chiusure di Merloni, Ariston, Indesit e Whirlpool, ora tocca a Beko. E la "maledizione del settore del bianco" si arricchisce di un nuovo capitolo. Una volta fiore all'occhiello dell'industria italiana con i marchi Merloni, Indesit, Ariston, da decenni è finito nelle mani di multinazionali estere - ci sono anche gli svedesi Electrolux - che delocalizzano dove il costo del lavoro è minore.Beko Europe ha presentato un "piano industriale" che prevede entro il prossimo anno e comporterà 1.935 esuberi. L'annuncio arriva dopo 12 anni di cassa integrazione tra ex Whirlpool e Beko Europe.Il marchio controllato dai turci di Arçelik, che solo da pochi mesi aveva acquisito cinque stabilimenti italiani da Whirlpool (non quello di Napoli, chiuso tre anni fa e demoralizzato in Polonia), ha proposto la chiusura degli stabilimenti di Siena (299 dipendenti che producono congelatori), di Comunanza in provincia di Ascoli Piceno (320 dipendenti che fanno lavatrici) e il ridimensionamento di uno dei tre poli produttivi di Cassinetta, Varese (940 dipendenti per la produzione di frigoriferi, il piano prevede il taglio di 540 posti). In più il taglio di 678 'colletti bianchi', quasi la metà dei 1.500 amministrativi e dirigenti di Beko Europe in Italia, oltre a 60 posti di lavoro cancellati a Melano, vicino Fabriano, e 40 a Carinaro, provincia di Caserta.Dalla multinazionale spiegano che lo scenario per il settore è difficile e che il piano è una soluzione concreta per l'Italia. Sono infatti previsti oltre 110 milioni di euro di investimenti e la ricerca di possibili reindustrializzazioni per Siena e Comunanza.L'intervento di Paolo Bricco de il Sole 24 Ore ai microfoni di Sebastiano Barisoni. A Parigi vertice Confindustrie per rilancio competitività UeUn incontro di ''maggiore importanza in un momento in cui l'Europa deve fronteggiare le sfide strategiche in materia di competitività'' al livello mondiale. E' questo l'intento del Forum economico trilaterale Francia-Germania-Italia, in corso oggi a Parigi e che durerà fino a domani, secondo quanto annunciato dal Medef, equivalente transalpino della Confinsutria. ''All'alba della nuova legislatura europea - sottolinea il Medef in una nota diffusa qualche giorno fa- è essenziale rafforzare il nostro mercato interno, finanziare la triplice transizione verde, digitale e demografica, risposizionando nel contempo l'Unione europea sulla scena internazionale".Il presidente del Medef, Patrick Martin,riceve gli omologhi del BDI tedesco, Tanja Gönner, e della Confindustria, Emanuele Orsini, oltre che figure di spicco della politica continentale: dal premier francese, Michel Barnier, al vicepresidente del consiglio, Antonio Tajani, fino alla presidente dell'Europarlamento, Roberta Metsola.Il racconto di Nicoletta Picchio - Il Sole 24 Ore.
V svetu se vrstijo odzivi na odločitev Izraela, da prepove delovanje Agencije Združenih narodov za pomoč palestinskim beguncem na svojem ozemlju. V agenciji so ogorčeni. Po besedah njenega predstavnika Adnana Abu Hasne bo ta odločitev imela nevarne posledice za delovanje agencije na Zahodnem bregu, v Gazi in Jeruzalemu, vključno s prepovedjo komunikacije z agencijo, odvzemom imunitete in preprečitvijo vstopa mednarodnega osebja ali izdaje vizumov. Drugi poudarki oddaje: - Vlada pripravlja ukrepe za blažitev posledic krize v nemški avtomobilski industriji. - Zunanja ministra Tanja Fajon in Antonio Tajani za krepitev sodelovanja med Slovenijo in Italijo. - V ospredju svetovnega dneva možganske kapi spodbujanje gibanja.
Le cittadinanze italiane riconosciute per ius sanguinis, ossia per il fatto di avere fra i propri antenati un italiano, superano quelle acquisite da stranieri non comunitari con tutte le altre modalità. In crescita da anni, nel 2023 si possono stimare in almeno 190mila contro le 77mila acquisizioni di cittadinanza ottenute per residenza, le 22mila per matrimonio e le 59mila perché figli minori di un genitore diventato italiano. Non esistono numeri complessivi sulle cittadinanze riconosciute per sangue , ma Il Sole 24 Ore del Lunedì ha ricostruito l entità del fenomeno.Circa 100mila riconoscimenti sono stati effettuati da Comuni e tribunali. La stima è dell Istat e si basa sull indagine conoscitiva svolta quest anno dall Associazione nazionale degli ufficiali di Stato civile e dell anagrafe (Anusca) cui l istituto ha fornito supporto metodologico e operativo. Dai dati dei 5.019 Comuni che hanno aderito (il 63,5% dei 7.901 totali) emerge che, grazie allo ius sanguinis, nel 2023 la cittadinanza italiana è stata riconosciuta a 61.328 persone. Secondo l Istat se si considerassero anche i dati degli enti locali che non hanno risposto si supererebbe quota 100mila: molti di più dei 26mila nuovi cittadini ius sanguinis transitati per le anagrafi italiane.Ci sono poi i riconoscimenti effettuati dai consolati italiani all estero, dove le pratiche spiegano dal ministero degli Esteri sono cresciute in modo esponenziale negli ultimi dieci anni: nel 2022 sono stati emessi 89.791 atti di cittadinanza, il 28% in più dei 70.073 del 2021, a loro volta in crescita del 54,8% rispetto al 2020. I riconoscimenti del 2023 potrebbero quindi anche essere più di 190mila, tanto che per mappare l entità del fenomeno l Istat avvierà dal prossimo anno una rilevazione obbligatoria presso tutti i Comuni.Alla base dei numeri c è il fatto che la legge italiana permette il riconoscimento della cittadinanza per diritto di sangue senza limiti generazionali: in pratica è possibile ottenerla risalendo l albero genealogico e facendo valere la presenza di un avo italiano.Non sono richiesti altri requisiti perché, a differenza della cittadinanza per residenza o matrimonio, si tratta di accertare un diritto. Né è necessario risiedere in Italia, tanto che la maggior parte dei nuovi cittadini per discendenza si trova all estero.Una situazione che ha portato il ministro degli Esteri, Antonio Tajani, a parlare della «necessità di rivedere la norma che concede la cittadinanza per diritto di sangue», sottolineando che «in molti casi si tratta di persone che vogliono solo un passaporto». Ancor di più visto che il passaporto italiano è il secondo più forte nel mondo (permette l accesso senza visto a 192 Paesi) dopo quello di Singapore (Passport Index di Henley & Partners su dati Iata).Il commento di Bianca Lucia Mazzei, Il Sole 24 Ore e Laura Zanfrini, sociologa delle migrazioni, professore ordinario presso l'Università Cattolica di Milano.Volkswagen verso la chiusura di tre impianti, operai in subbuglioI lavoratori del Gruppo Volkswagen, in Germania, si fermano oggi per un ora, bloccando la produzione in segno di protesta contro il piano dell azienda che punta a chiudere alcuni stabilimenti nel Paese, mossa senza precedenti per il colosso automobilistico tedesco. Secondo quanto riportano alcuni media come Bild e die Welt, il consiglio di fabbrica del colosso dell auto tedesca ha annunciato che saranno chiusi tre impianti in Germania.I sindacati hanno organizzato assemblee in undici stabilimenti, dove aggiorneranno i dipendenti sui progressi delle trattative con l azienda. L inizio di queste proteste dà il via a una settimana cruciale per Volkswagen, che si prepara a pubblicare a metà settimana i risultati del terzo trimestre. Si prevede un calo sia nelle vendite che nei profitti.Come riportato dal quotidiano economico Handelsblatt, il consiglio di amministrazione del gruppo di Wolfsburg ha predisposto un piano di risparmio da circa 4 miliardi di euro. Tra le misure previste, c è una riduzione del 10% sugli stipendi e una sospensione degli aumenti salariali per il 2025 e 2026. Il ceo Oliver Blume giustifica queste scelte con i costi elevati legati al marchio Volkswagen, che si trova a fronteggiare una domanda in calo in Europa e una forte concorrenza da parte di BYD, ormai primo produttore globale di auto elettriche e ibride plug-in, in Cina.I sindacati, però, non ci stanno e puntano il dito contro il management, accusandolo di scaricare sui lavoratori le conseguenze di scelte discutibili: una transizione verso l elettrico gestita male e politiche di prezzo poco incisive. «La dirigenza non ha ancora presentato un piano chiaro per il futuro di Volkswagen», ha commentato Daniela Cavallo, presidente del consiglio di fabbrica, in una newsletter.L'intervento di Alessandro Plateroti, nuovo Direttore di NewsMondo.it a Focus Economia al microfono di Sebastiano Barisoni.Assemblea Federchimica: serve più chimica per realizzare la transizione ecologicaL'industria chimica oggi in Italia vale 67 miliardi di euro e quasi 40 miliardi di export, con oltre 2.800 imprese e 112 mila addetti. Secondo uno studio realizzato da The European House Ambrosetti e presentato oggi nel corso dell Assemblea di Federchimica (Federazione nazionale dell Industria chimica) dal titolo L industria Chimica come Competenza abilitante per il Made In Italy e per lo Sviluppo Sostenibile, però, una politica industriale a favore del settore potrebbe portare una crescita del comparto. Secondo le stime pubblicate nello studio infatti, si parlerebbe di 22,2 miliardi di valore aggiunto e un beneficio economico a tutto il sistema manifatturiero che varrebbe 33,3 miliardi di euro, oltre che decine di migliaia di nuovi posti di lavoro.Permarrebbero però le criticità dei settori, esposti agli alti costi dell energia e delle materie prime che hanno subito una continua perdita di competitività ormai strutturale (il costo del gas storicamente circa 4 volte superiori rispetto altre aeree).Lo studio rappresenta una proposta corale che tutte le parti sociali di settore mettono a disposizione del Governo per promuovere iniziative a favore di un settore strategico come la Chimica. Dopo due anni consecutivi di contrazione (-4,1% nel 2022 e -6,7% nel 2023), per il 2024 si prevede una sostanziale stabilizzazione della produzione chimica in Italia (+0,5%). Il commento di Francesco Buzzella, Presidente Federchimica a Focus Economia.
Entro il 2030 sarà necessario reperire 176 miliardi di euro addizionali per garantire la sostenibilità del sistema di welfare del Paese. Questo il messaggio principale emerso nel rapporto 2024 del Think Tank "Welfare, Italia" supportato da Unipol Gruppo con la collaborazione di The European House Ambrosetti (TEHA), presentato oggi durante il Forum "Welfare, Italia" dal titolo "Quali opportunità per creare valore nel sistema di Welfare", aperto dal messaggio del Presidente della Repubblica Sergio Mattarella, che si è tenuto a Roma presso le Corsie Sistine di Santo Spirito in Sassia.Il sistema di welfare italiano è chiamato a rispondere ai crescenti bisogni di protezione all interno di un sistema economico con pochi margini di spazio fiscale, in quanto inevitabilmente condizionato da un quadro di finanza pubblica complesso e dalle nuove regole relative alla governance economica europea (nuove clausole del Patto di Stabilità e Crescita). Seppur in progressivo miglioramento, il quadro di finanza pubblica resta uno dei più complessi a livello europeo. La correzione di bilancio per l Italia è quantificabile in circa 13 miliardi di euro/l anno per i prossimi sette anni.Sul fronte gender equality non arrivano notizie migliori. Secondo un altro report realizzato da TEHA Group, l'Italia deve infatti puntare sull'aumento dell'occupazione femminile e sul miglioramento delle condizioni di lavoro delle donne già attive. La situazione lavorativa nel nostro paese resta critica, si legge nel documento. Il tasso di occupazione femminile è il più basso d'Europa, con un gap di 50 anni rispetto a Svezia e Finlandia. Ignorare il potenziale femminile significa rinunciare al 50% dei talenti in un mercato del lavoro in evoluzione. Più di una donna su due nel mondo è preoccupata per i propri diritti, sicurezza e salute fisica e mentale. Quando le donne vivono in sicurezza e salute, sono più produttive e apportano competenze vitali all'economia. Colmare il gender gap salariale e aumentare l'occupazione nel G20 potrebbe generare 11,1 trilioni di dollari, pari al 12,3% del PIL del G20. L'emancipazione economica è fondamentale, ma la disparità finanziaria persiste: solo il 58% delle donne in Italia possiede un conto corrente personale. L'imprenditoria femminile può essere un motore di empowerment economico, se non replica le dinamiche del lavoro dipendente o si limita a settori tradizionali. In Germania, il salario minimo introdotto nel 2015 ha ridotto il gender pay gap, specialmente nelle fasce di reddito più basse.Il commento di Valerio De Molli - Managing Partner & CEO di The European House - Ambrosetti a Focus Economia.Blitz sulla manovra, tagli Irpef confermati. Dalle banche 3-4 miliardi in due anniQuesta sera alle 20:00 sul tavolo del Consiglio dei ministri arriveranno, insieme al Documento di bilancio per l'Unione europea (che va presentato entro oggi), anche la Legge di Bilancio vera e propria e il decreto fiscale collegato. Il testo del decreto fiscale è necessario per garantire la copertura delle spese previste e della legge di bilancio, ed è stato anticipato ad oggi: in origine era previsto per lunedì.La manovra, il cui importo si aggira sui 24-25 miliardi, punta sulla razionalizzazione delle spese e sul recupero di 3-4miliardi in due anni dalle banche, attraverso le imposte differite. Tra le aree di intervento dovrebbero essere confermati il taglio del cuneo fiscale e le tre aliquote Irpef, oltre a fondi per il rinnovo dei contratti della pubblica amministrazione e per la sanità.Le ultime notizie parlano di un confronto con le banche in corso, la conferma degli interventi in favore dei redditi medio bassi e delle famiglie con figli, nessun aumento di tasse per persone e aziende (perché entrate necessarie a completare le coperture dovrebbero arrivare soprattutto da tagli e dalla razionalizzazione delle spese). I fondi per la manovra arriveranno da almeno 3 miliardi di spending, da affiancare ai quasi 6 miliardi dei due fondi su delega e pressione fiscale e ai 9 miliardi di deficit. In un impianto da completare con le nuove misure.Intorno a questo scenario si agitano però le richieste dei partiti, a cominciare da Forza Italia che ieri in un vertice con il vicepremier Antonio Tajani è tornata a premere per un taglio di altri due punti, dal 35 al 33%, dell'aliquota Irpef sui redditi fra 28mila a 50mila euro lordi. Il leader di Forza Italia oggi in Transatlantico ha voluto rassicurare: "Vediamo stasera, sono stati riuniti fino a ieri sera. Ora stanno facendo le ultime cose. Comunque non ci saranno nuove tasse, questo è sicuro".Altro terreno caldo è quello del fisco sulle persone. Per il momento il Governo si limita a parlare di conferma del sostegno ai redditi medio bassi. Sul taglio del cuneo fiscale si lavora per dividere il carico tra fisco e contributi, con un ipotesi che allarga un po i benefici limando lo scalone che oggi fa cadere ogni beneficio a 35mila euro con l introduzione di un decalage da 35 a 40mila. Ma le ambizioni della maggioranza sono più intense, e puntano a inserire un ulteriore riduzione fiscale con un aliquota del 33% anziché del 35% per i redditi del secondo scaglione. ....In un'intervista a La Stampa, di ieri, Carlo Cottarelli, economista, oggi direttore dell'Osservatorio sui conti pubblici italiani, ha detto che è "Troppo tardi per la spending e che il governo sarà costretto a fare tagli lineari". La spesa pubblica è composta sostanzialmente da tre voci, gli stipendi, l'acquisto di beni e servizi, e i soldi che lo Stato trasferisce a famiglie e imprese a vario titolo", ha ricordato l'ex commissario straordinario. "Ora, la spesa per stipendi non la puoi manovrare, anzi dovrai aggiungere soldi per i rinnovi salariali, considerato che il livello dei salari pubblici è al minimo storico rispetto a quelli privati». Senza una riforma strutturale per comprare a prezzi più bassi, l'unica cosa che si può fare è "comprare meno. Ma, anche qui, senza riforme strutturali, rischi di intaccare i servizi ai cittadini. Così finisce che hai un solo margine».Sul rischio che Comuni e Regioni, se subissero tagli, sarebbero poi costretti ad aumentare le tasse comunali e regionali per rientrare coi bilanci, Cottarelli non ha dubbi, è quello che succederà, "così a livello centrale puoi sempre dire che hai tagliato le tasse ai cittadini, e scaricare sugli enti locali il rialzo. È un gioco che è stato fatto spesso in passato».Ai microfoni di Sebastiano Barisoni, Gianni Trovati, de Il Sole 24 Ore e Carlo Cottarelli, direttore dell'Osservatorio sui conti pubblici italiani dell'Università Cattolica del Sacro Cuore di Milano.
L'Europarlamento ha approvato una risoluzione che elimina le restrizioni all'uso dei sistemi d arma occidentali consegnati all'Ucraina contro obiettivi militari legittimi sul territorio russo. Gli europarlamentari italiani con qualche eccezione hanno votato contro.Proseguono le azioni militari d'Israele, dopo quelle spettacolari dei giorni scorsi, contro le milizie in Libano di Hezbollah.Ne parliamo con Antonio Tajani, ministro degli Esteri.Emilia Romagna sott'acqua per via del ciclone Boris. Pioggia fino a 350 millimetri, con picchi massimi, nella zona nel ravennate. Oltre un migliaio le persone evacuate, cui 800 solo nel ravennate.Ne parliamo con Nello Musumeci, Ministro per la Protezione civile e le Politiche del mare.
"Prepareremo la proposta di legge e la faremo vedere anche agli alleati", così Antonio Tajani ha ribadito la volontà di Forza Italia di andare avanti sulla modifica delle regole della cittadinanza per i figli d'immigrati legandola al completamento della scuola dell'obbligo.Ne parliamo con Paolo Barelli, capogruppo alla Camera di Forza Italia e Sandra Scicolone, dirigente Associazione Nazionale Presidi e componente dello staff nazionale.
L'apertura di giornata, con le notizie e le voci dei protagonisti. Tutto in meno di 30 minuti.Tensione nell'Unione europea per le dichiarazioni di qualche giorno fa di Josep Borrell, che propone di togliere le limitazioni sull'uso delle armi occidentali inviate all'Ucraina. Resta ferma sull'utilizzo delle armi solo in Ucraina la posizione del ministro degli esteri Antonio Tajani che spiega che l'Italia è dalla parte di Kyiv ma non in guerra con la Russia. Più netto il rifiuto del governo ungherese. Si accende questo scontro a distanza sui limiti dell'uso delle armi. Ne parliamo con Giorgio Battisti, generale di Corpo d'Armata, Presidente della Commissione Militare del Comitato Atlantico Italiano.
Tatticismi e veleni sulla partita dei top jobs dell'Ue. A duellare sono i popolari e i socialisti, i due pilastri di una futura maggioranza che, al momento, appare segnata ma non stabilissima. La richiesta del Ppe che il mandato del presidente del Consiglio europeo (in quota S&D) si fermi a due anni e mezzo prima di un nuovo negoziato ha indispettito la controparte e seminato più di un dubbio tra i popolari stessi. Il gruppo è tornato a vedersi ma l'arrivo di 14 nuovi eurodeputati ha solo parzialmente mascherato le divergenze sotterranee della formazione guidata da Manfred Weber (nella foto). Una, innanzitutto: l'apertura a Giorgia Meloni, sulla quale il vice premier Antonio Tajani ha rafforzato il suo pressing. Nella seconda parte del programma, il nostro ospite è Egidio Ivetic. Con lui parliamo della nuova polarizzazione tra la Russia da un lato - e più in generale l'Asia - e l'Unione europea e gli Stati Uniti. Una divisione che lo storico originario di Pola racconta come un passato "quasi dimenticato" che torna a segnare le due tradizioni europee, quella latina occidentale e quella post-bizantina.In collaborazione con Euranet Plus
Dazi al 102,5% sulle auto elettriche; del 25% sulle loro batterie al litio; del 50% su chip e su pannelli solari. E ancora dazi su prodotti medicali, minerali critici, acciaio. È una raffica di restrizioni quella varata da Washington il 14 maggio contro le importazioni dalla Cina: secondo le stime della Casa Bianca, saranno colpiti circa 18 miliardi di dollari di merci. Le misure entreranno in vigore tra quest anno e il 2026. Nel mirino, settori strategici, come i semiconduttori e l energia verde, sui quali l'Amministrazione Biden ha riversato centinaia di miliardi di dollari in sussidi alla produzione.Nel nome del made in Usa, da quest anno, i dazi sulle auto elettriche cinesi vengono moltiplicati quasi per quattro, al 102,5% dall attuale 27,5%, un livello che già lascia i produttori cinesi fuori dal mercato statunitense. Nel primo trimestre del 2024, Geely è stata l unica casa cinese a esportare con il proprio marchio negli Stati Uniti, dove ha venduto 2.217 veicoli, secondo i dati della China Passenger Car Association. Altre 60mila vetture cinesi sono arrivate nel Paese, ma sotto brand Usa, soprattutto Buick (General Motors). Intanto adesso è proprio vero, Stellantis porterà e venderà auto cinesi in Europa e non solo. «Appena 7 mesi dopo l annuncio abbiamo il closing dell accordo vincolante fra Stellantis +1,61% e Leapmotor, che era stato firmato a ottobre. Ma la pianificazione è solo il 10%, il 90% è rappresentato dall esecuzione. Ora entriamo nella fase operativa» della partnership. Parola di Carlos Tavares, amministratore delegato del supergruppo nato da Psa e Fca a inizio 2021. L annuncio è arrivato durante la conferenza stampa congiunta con Zhu Jiangming, fondatore e Ceo del produttore cinese. A ottobre 2023 Stellantis è diventata azionista strategico di Leapmotor con un investimento da 1,5 miliardi di euro, acquisendo una partecipazione di circa il 20%. L'accordo, però, prevedeva anche la costituzione di Leapmotor International, una joint venture 51-49 guidata da Stellantis, con diritti esclusivi per l esportazione, la vendita e la fabbricazione dei prodotti Leapmotor al di fuori della Cina. Ed è proprio la jv ad essere ormai nel pieno avvio delle operazioni.Ne parliamo con Fabio Scacciavillani, economista, editorialista Sole24 Ore e Paolo Bricco, Il Sole 24 Ore.Superbonus, blitz Fdi in commissione per frenare il no di Forza Italia. Rinvio Sugar taxAumenta da 19 a 20 il numero dei componenti della commissione Finanze del Senato che sta esaminando il decreto superbonus. Lo riferiscono le opposizioni spiegando di aver ricevuto una comunicazione dal presidente del Senato. La maggioranza aumenterà di un componente - spiega il senatore Stefano Patuanelli M5s - è una facoltà che si ha e si fa quando cambiano gli equilibri, ma va prima comunicata all'aula. Quindi è una forzatura politica ma è anche regolamentare. E un tema che solleveremo, aggiunge la senatrice Pd Beatrice Lorenzin. Il senatore aggiunto, riferiscono le opposizioni, dovrebbe essere Salvatore Sallemi di FdI. Nominare un nuovo membro della commissione Finanze del Senato per evitare che venga bocciato l emendamento del governo sullo spalma-crediti derivanti dal Superbonus. È quanto sta accadendo a Palazzo Madama, come viene riportato da fonti parlamentari che sottolineano come la decisione sia stata presa per superare il no già annunciato di Forza Italia - e su cui convergono anche le opposizioni - alla retroattività della norma proposta dall esecutivo, e consentire alla maggioranza di avere comunque i numeri. Il senatore in questione è Salvo Sallemi di FdI che, come riporta una comunicazione del capogruppo Lucio Malan, cessa di far parte della 2ª commissione Giustizia ed entra a far parte come membro della 6ª commissione Finanze. Fonti dell opposizione fanno notare che è una cosa che si può fare ma non la fai alla vigilia del voto e andrebbe comunicata all'aula nella prima seduta utile.La commissione Finanze del Senato è composta da 19 senatori, di cui 10 della maggioranza e 9 dell'opposizione. Per la maggioranza 6 sono di FdI, 2 della Lega, 1 di Fi e 1 di Noi moderati. Per le opposizioni PD e M5s hanno entrambi 3 senatori ciascuno, Iv ha un senatore, 1 è dell Autonomia e 1 del gruppo misto. Se il Dl Superbonus non sarà modificato, voteremo contro. Così il ministro degli Esteri e segretario di Forza Italia, Antonio Tajani ha avvisato oggi la maggioranza. Pronti a confrontarci da stamattina, ha aggiunto riferendosi ai senatori di Forza Italia. Tajani contesta la retroattività della norma che spalma i crediti su dieci anni. Intanto sono arrivati alla commissione Finanze del Senato, secondo quanto si apprende, gli attesi pareri del Mef ai subemendamenti che modificano l'emendamento del governo al decreto Superbonus. Sono contrari, viene riferito, i pareri sulle modifiche proposte da Fi per togliere la retroattività dell'allungamento a 10 anni delle detrazioni del Superbonus. Sul tema della sugar tax, invece, si attende una riformulazione del Mef che individui la copertura per il rinvio a gennaio 2025, pari a circa 72 milioni. Sugar tax verso il rinvio al 2025. Fonti di Palazzo Chigi fanno sapere di un accordo trovato sullo slittamento dell imposta sulle bevande zuccherate che, a differenza della plastic tax, non era stata prorogata dall emendamento del Governo al decreto Superbonus (all esame della commissione Finanze del Senato) e su cui, quindi, incombe l'entrata in vigore dal 1° luglio 2024. Il tentativo di differire l'entrata in vigore è stato sottolineato anche dal ministro dell'Economia, Giancarlo Giorgetti: « Stiamo facendo in queste ore uno sforzo per cercare, molto faticosamente, una copertura finanziaria per rinviare l'entrata in vigore» della sugar tax «al 1° gennaio del 2025». E, ha aggiunto Giorgetti, «credo che alla fine ci arriveremo però credo che non sia questo il tema centrale di politica economica di questo Paese».Ne parliamo con Gianni Trovati, Il Sole 24 Ore.Radio24 allo "Scenario delle Professioni: oggi e domani" a CernobbioPer il terzo anno consecutivo, TeamSystem e The European House Ambrosetti organizzano oggi a Villa Erba a Cernobbio "Lo Scenario delle Professioni: oggi e domani", una giornata di riflessione sui possibili impatti dei trend in atto sul mondo delle professioni. Più di 1.500 i partecipanti, in presenza o collegati in streaming. Il Forum ha affrontato diversi temi. La mattina "Il futuro oggi: come l'Intelligenza Artificiale sta cambiando il nostro mondo" e "L'evoluzione delle Professioni e l'impatto dell'AI", mentre il pomeriggio "La Riforma Fiscale alla prova dei fatti: decreti attuati e futuri sviluppi" e "Come cambia il lavoro: Il ruolo delle professioni per imprese e professionisti".L'evento è stato arricchito dai contributi di accademici, business leader e rappresentanti istituzionali, come Maurizio Leo (Vice Ministro dell'Economia e delle Finanze), Alessio Butti (Sottosegretario di Stato alla Presidenza del Consiglio dei Ministri con delega all'Innovazione Tecnologica), Nunzia Ciardi (Vice Direttore Generale dell'Agenzia per la Cybersicurezza Nazionale) ed Elbano de Nuccio (Presidente, Consiglio Nazionale Ordine dei Dottori Commercialisti e degli Esperti Contabili).La giornata è stata aperta dal benvenuto di Federico Leproux (CEO, Gruppo TeamSystem).Da uno studio sviluppato da The European House Ambrosetti in collaborazione con TeamSystem, emerge che il 70% degli studi professionali è attivo con iniziative legate all'implementazione dell'Intelligenza Artificiale. Positive le prospettive dei professionisti: il 76,7% è consapevole del ruolo trasformativo dell AI, mentre l 80% è fiducioso della qualità dei contenuti generati dall AI. L AI è un mercato destinato a crescere a tassi annui di circa il 40% fino al 2030.Ne parliamo con Federico Leproux, ad TeamSystem.
Via libera finale dai Paesi Ue alla stretta sulle emissioni di CO2 per i nuovi veicoli pesanti. Nel corso del Consiglio Istruzione (il primo appuntamento utile per l'ok), i ministri dei Ventisette hanno approvato l'accordo politico raggiunto a gennaio con il Parlamento europeo. L'Italia ha votato contro, insieme alla Polonia e alla Slovacchia. La Repubblica ceca si è invece astenuta. Gli obiettivi del nuovo regolamento prevedono un taglio del 45% delle emissioni al 2030, del 65% al 2035, e del 90% al 2040, oltre al target del 15% al 2025 già previsto dalla normativa vigente. I target si applicheranno ai camion superiori alle 7,5 tonnellate e agli autobus privati. Per i nuovi bus cittadini è invece previsto un taglio delle emissioni del 90% entro il 2030, per poi raggiungere le emissioni zero entro il 2035. Nel 2027 l'Ue condurrà una valutazione intermedia degli obiettivi. Al testo concordato con il Parlamento è stato aggiunto un considerando, nato da una richiesta tedesca, per vincolare la Commissione europea a valutare l'opportunità di introdurre una metodologia per la registrazione di veicoli commerciali pesanti che funzionano esclusivamente con carburanti neutri in termini di CO2, entro un anno dall'entrata in vigore del provvedimento.Ne parliamo con Fabrizia Vigo, Responsabile Area Relazioni Istituzionali ANFIA.La Gen Z è la generazione più indebitata La Gen Z è la generazione più indebitata a causa di indigestione di carte di credito e di nessuna educazione al risparmio.Inoltre tra inflazione, tassi di interesse record e difficoltà occupazionali, la situazione finanziaria dei neo-maggiorenni si sta trasformando in una vera bomba a orologeria. Pagare i debiti rischia di diventare una missione impossibile.A lanciare l allarme sull eccessiva propensione al debito dei giovanissimi è un nuovo rapporto della TransUnion, una delle più grandi società di recupero crediti a livello mondiale. Secondo gli esperti di insolvenze, i consumatori della generazione Z di età compresa tra 22 e 24 anni hanno livelli di debito e tassi di insolvenza più elevati della storia per una serie di strumenti di credito dalle carte di credito ai mutui e ai prestiti studenteschi rispetto ai Millennials alla stessa età di dieci anni fa.Il saldo medio della carta di credito per i primi ventenni spiega TransUnion era di 2.834 dollari nel 2023. Si tratta di un valore superiore del 26% rispetto al saldo medio che i Millennials presentavano alla stessa età nel 2013 dopo aver adeguato l inflazione.I giovani adulti di oggi sono stati più volte criticati per l eccessiva propensione a fare acquisti sfrenati per piccoli lussi. Ma la doppietta della recessione indotta dalla pandemia e poi il rapido aumento dell inflazione sono arrivati in un momento critico del loro percorso finanziario. Senza contare l impatto devastante degli affitti record: il balzo record delle locazioni immobiliari nelle grandi città ha avuto (e continua ad avere) un impatto sproporzionato anche sulle aspirazioni di potersi permettere una casa dei giovani adulti.Ne parliamo con Alessandro Plateroti, direttore Newsmondo. it.Bff tenta il recupero dopo il tracollo, si valuta l'impatto dei rilievi BankitaliaDopo il tonfo registrato giovedì e venerdì scorso, Bff Bank inverte la rotta a Piazza. Nella nota di diffusione dei conti del primo trimestre la banca ha annunciato che il 29 aprile scorso Bankitalia ha notificato i rilievi a valle di una ispezione conclusasi a gennaio. I più importanti riguardano il principale business della società, l'acquisizione "pro soluto" di crediti commerciali verso le pubbliche amministrazioni. Al termine dell'ispezione Via Nazionale ha deciso di sospendere la destinazione degli utili e ha vietato alla banca di aprire filiali in altri paesi europei.In sostanza Bankitalia, in base agli orientamenti dell'autorità europea Eba, chiede che alcuni crediti classificati come sani vengano conteggiati tra le più rischiose posizioni scadute, con contestuale incremento delle risorse cuscinetto da stanziare a bilancio. In una nota diffusa venerdì la banca ha fornito alcuni dettagli, precisando che i crediti scaduti potrebbero così salire di 1,29 miliardi, pari a 1,72 miliardi di attivi ponderati per il rischio. Tali cifre corrispondono «a un capitale assorbito aggiuntivo pari a 207 milioni per raggiungere il target di capitale soglia del 12% per il pagamento dei dividendi». Ciò significa che, in base alle richieste di Bankitalia, la banca potrà continuare a distribuire cedole ai soci a patto che trovi 207 milioni.Inoltre, sempre venerdì, il cda di Bff ha «confermato la piena fiducia al ceo Massimiliano Belingheri». Secondo gli analisti di Intermonte lo scenario continua a non essere «ottimale, ma almeno abbiamo un worst case rispetto» a quanto comunicato con i risultati del primo trimestre 20204. Secondo i broker Bff può utilizzare capitale proveniente da riserve (50% del pagamento degli interessi di mora) contabilizzato ora fuori bilancio. Intermonte sottolinea inoltre come Bff «afferma di poter utilizzare un aumento del tasso di maturazione degli interessi di mora e dei diritti di recupero (dall'attuale 50% al 60/70%), stimato in un incremento del capitale una tantum di circa 70/40 milioni di euro. L'utilizzo di riserve fuori bilancio può essere approvato grazie a una decisione del Cda con l'approvazione dei revisori». Gli analisti di banca Akros hanno fissato «un nuovo target di 8,6 euro con raccomandazione neutral».Ne parliamo con Luca Davi, Il Sole 24 Ore.Palazzo Chigi, scontro su Superbonus e SugartaxSono giorni decisivi per la questione Superbonus che negli ultimi giorni ha scaldato gli animi all'interno della maggioranza. Se non una frattura, di certo c'è stato un botta e risposta ripetuto tra il ministro dell'Economia Giancarlo Giorgetti (Lega) e il leader di Forza Italia Antonio Tajani. Il primo ha proposto un emendamento che allunga da quattro a dieci anni il tempo per ottenere il rimborso spese sulle ristrutturazioni effettuate. Una norma "di buonsenso", per Giorgetti, che Tajani ha invece messo parzialmente in discussione, dando voce a un malessere condiviso da tutto il suo partito in un diverbio che potrebbe avere a che fare anche con la campagna elettorale in corso per le europee. I punti su cui si concentrano le critiche di Forza Italia sono soprattutto due: le nuove regole retroattive per il Superbonus, che potrebbero svantaggiare banche e imprese, e il mancato rinvio della sugar tax. Le prossime tappe della vicenda prevedono per oggi pomeriggio un vertice in Senato sul decreto: oggi alle 18 sarà il termine ultimo per la presentazione di sub-emendamenti alle proposte di governo e relatore. Domani si vota in commissione Finanze al Senato e infine nel pomeriggio di mercoledì 15 maggio il testo sarà discusso in Aula. Il decreto deve essere convertito in legge entro il 29 maggio, per non perdere validità.Emergono intanto dei dubbi sulla parte dell'emendamento del Governo al Dl superbonus che specifica le coperture della proposta, articolando entrate e spese attese dalle diverse misure: dallo spalma-crediti, ai controlli dei Comuni, al rinvio della plastic tax e all'avvio in formato ridotto della sugar tax. I tecnici dei gruppi parlamentari sono al lavoro in vista della scadenza delle 18 per la presentazione dei sub-emendamenti ma emergono delle incongruenze. Al di là della 'sfasatura' tra la relazione tecnica della Rgs, che fa riferimento al rinvio al 2026 della sugar tax mentre nell'emendamento si prevede il suo avvio sia pure con importo ridotto per il 2024 e 2025, non è chiaro dove venga quantificata la copertura dello stop della plastic tax fino al 2026 e del dimezzamento della sugar tax. Così come sorgono perplessità sulla possibilità di recuperare 700 milioni per il 2025 e 1,7 miliardi nel 2026 come quota parte dello Stato del gettito derivante dall'attività di controllo dei Comuni. Si ipotizza che la tempistica ristretta possa essere all'origine di alcune discrepanze nel testo e non si esclude che possano arrivare degli 'aggiustamenti'. Intanto Forza Italia insiste: "Stiamo lavorando con i nostri uffici legislativi per presentare modifiche" sia sul tema "superbonus" sia su quello "sugar tax". Sul superbonus si andrà ad incidere sul tema della "retroattività che, come ha spiegato Antonio Tajani, viola i principi della certezza del diritto". Per quanto riguarda "la sugar tax, al pari della plastic tax, tutta la maggioranza si era già espressa per farla slittare o addirittura abolirla". Lo dice all'ANSA il portavoce di FI, Raffaele Nevi. FI da giorni è in contatto con le associazione delle imprese e del settore bancario. Ne parliamo con Alberto Orioli, vicedirettore Il Sole 24 Ore.
Il Forum della Piccola industria di Confindustria e la transizione sostenibileL'appuntamento annuale della Piccola Industria, dorsale del sistema di rappresentanza degli industriali con oltre il 90% delle associate a via dell'Astronomia, dopo il forum a Pavia a novembre 2023 torna in anticipo e in modo più ampio, oggi e domani, con il forum al museo nazionale ferroviario di Pietrarsa (in Campania), perché "l'industria non può non avere un ruolo centrale nella costruzione del futuro europeo". L'evento è promosso insieme all'Unione Industriali Napoli e alla Piccola Industria Confindustria Campania. La Piccola Industria di Confindustria sottolinea l'importanza dei "temi legati alla transizione sostenibile e alle prossime elezioni per il rinnovo del Parlamento Europeo" ed entra nel dibattito preelettorale con la decisione "di riportare il proprio forum in primavera, raddoppiando le giornate di confronto". L'associazione vuole che il proprio ruolo sia pienamente riconosciuto e la sua competitività sostenuta. Inoltre sostiene che provvedimenti adottati negli ultimi anni dalle istituzioni UE non sono sempre andati in questa direzione. In materia di energia, clima e ambiente le nuove normative stanno generando obblighi e costi significativi per le aziende, ancora più onerosi per le PMI. Al Forum a discutere ci sono rappresentanti del mondo delle Istituzioni e del credito, manager di grandi imprese capo-filiera, esperti e colleghi imprenditori italiani ed europei. Tra i relatori sono presenti per le aziende Fabrizio Negri, amministratore delegato Cerved Rating Agency, Stefano Cuzzilla, presidente Trenitalia, Monica Poggio, amministratore delegato Bayer Italia e Veronica Squinzi, amministratore delegato e direttore dello Sviluppo Globale Gruppo Mapei. Mentre per le istituzioni figurano Gaetano Manfredi, sindaco di Napoli e Antonio Tajani, Ministro degli Affari Esteri e Cooperazione Internazionale. Ne parliamo con Giovanni Baroni, presidente della Piccola Industria di Confindustria e vice presidente di Confindustria.
C dans l'air du 22 avril 2024 - Ukraine : l'aide américaine change-t-elle la donne ? Après de très longues et laborieuses tractations à Washington, la Chambre des représentants a adopté samedi un nouveau plan d'aide à l'Ukraine de 61 milliards de dollars (57 milliards d'euros). Cela "empêchera la guerre de se propager" et "sauvera des milliers et des milliers de vies", a très vite réagi le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Cette aide américaine, bloquée pendant des mois par les élus républicains, est très attendue par Kiev alors que sur le front, l'armée ukrainienne traverse une période difficile, confrontée à une pénurie de nouvelles recrues et de munitions. Ces derniers jours, le patron des services de renseignement américain avait même alerté sur le "risque très réel que les Ukrainiens perdent sur le champ de bataille d'ici la fin de 2024" si aucune aide n'était adoptée. Finalement, le blocage a été levé par une partie des Républicains, qui ont changé d'avis pour ne pas se retrouver, "du mauvais côté de l'histoire", à savoir celui qui aurait donné la victoire à Vladimir Poutine. Parallèlement, les pays membres de l'Otan ont accepté vendredi de fournir davantage de systèmes de défense antiaérienne à Kiev, alors que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a exhorté les Occidentaux à fournir plus d'armes à son pays. "Nous ne pouvons plus attendre", a-t-il martelé. Mais cette aide suffira-t-elle à changer le cours de la guerre ? Les dirigeants de l'UE ont largement salué l'approbation américaine de cette enveloppe financière à l'Ukraine. "Cela envoie un message clair au Kremlin", a réagi le président du Conseil européen Charles Michel sur X. Cela représente "un tournant décisif", a également estimé le chef de la diplomatie italienne, Antonio Tajani. Mais le Premier ministre polonais Donald Tusk s'est montré plus circonspect. Ce fervent défenseur de l'allié et voisin ukrainien a remercié sur X les Etats-Unis, tout en soulignant le délai dans l'adoption de ce plan d'assistance. "Mieux vaut tard que trop tard. Et j'espère qu'il n'est pas trop tard pour l'Ukraine." Ce lundi, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se rencontrent pour essayer eux aussi d'accroître les livraisons de systèmes de défense anti-aérienne à l'Ukraine. De son côté, Kiev alerte sur le risque d'une victoire stratégique de la Russie à Tchassir Iar, à l'ouest de Bakhmout occupé par les Russes et non loin de Kramatorsk, important nœud ferroviaire ukrainien pour alimenter le front, d'ici au 9 mai. Le chef du renseignement militaire ukrainien a également prévenu que la situation sur le front allait empirer ces prochaines semaines. L'armée russe "mène une opération complexe (…) Nous pensons qu'une situation plutôt difficile nous attend dans un futur proche. Mais il faut comprendre que ce ne sera pas catastrophique", a affirmé M. Boudanov. "L'Armageddon ne se produira pas, contrairement à ce que beaucoup disent en ce moment. Mais il y aura des problèmes à partir de la mi-mai". Alors quelle est la situation sur le front ukrainien ? Cette nouvelle aide américaine va-t-elle changer la donne ? Pourquoi l'élargissement de la mobilisation pose-t-il autant de problèmes en Ukraine ? Enfin en quoi consiste Steadfast Defender 24, l'exercice militaire le plus important depuis la guerre froide conduit actuellement par l'OTAN ? LES EXPERTS : - GÉNÉRAL PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse - ANNE NIVAT - Reporter de guerre - Spécialiste de la Russie, auteure de La haine et le déni - NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Guillaume LAGANE - Maître de conférences à Sciences Po, spécialiste des questions de défense et de relations internationales DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Il rischio cinese: Italia il Messico d'Europa?Giudizio positivo del ministro degli Esteri, Antonio Tajani, della due giorni dedicata al Forum di dialogo Imprenditoriale Italia-Cina con il collega del Commercio cinese, Wang Wentao (oggi presso Veronafiere ieri all'università Ca' Foscari di Venezia). "Sono stati due giorni proficui - ha sottolineato - perchè sono stati raggiunti una serie di obiettivi, di decisioni concrete e poi anche perchè c'è l'appoggio dei governi. Abbiamo deciso anche di allargare gli incontri, di stabilizzare le riunioni". Tajani ha ricordato che questo rapporto è solido da 20 anni durante i quali sono state fatte 15 riunioni e in prospettiva ce ne sarà una ogni anno e "ogni 6 mesi invece un incontro fra piccole e medie imprese. L'intenzione è di rafforzare la piattaforma di informazioni tra le Pmi per fare business. Abbiamo deciso - ha rilevato - di allargare anche i temi della Commissione, la questione della tecnologia agricola, il nostro saper fare, soprattutto nelle aree a grande siccità. Ed è positivo il fatto che da parte cinese ci sia la disponibilità ad aiutare le nostre Pmi per farle entrare nel mercato del paese asiatico". "Ho chiesto - ha ricordato Tajani - che ci sia il rispetto, le pari opportunità per le imprese italiane che operano lì e viceversa. Ci sono ancora degli angoli da smussare, alcune barriere e ostacoli da superare in Cina, e questi business forum, servono proprio per trovare delle soluzioni. Il ruolo dell'Ice - ha concluso - è importante essendo parte della rappresentanza diplomatica italiana". Le guerre commerciali, analogamente a quelle militari, si combattono su più fronti e con armi spesso non convenzionali. Quella tra Usa e Cina, iniziata in modo dirompente durante la Presidenza Trump, era partita con fragorose bordate di dazi e misure punitive. Biden l'ha inasprita con l'embargo sui microchip di ultima generazione e l'Inflation reduction act. [...] Il ventre molle della fortezza America è il Messico, dove le aziende cinesi stanno sfruttando l'accordo di libero scambio tra Usa, Messico e Canada (Usmca) entrato in vigore nel 2020. Nel 2023, il Messico è assurto a primo partner commerciale degli Stati Uniti superando la Cina. Quanto all'Italia, il ministro delle Imprese Adolfo Urso ha riferito in Parlamento che il governo ha intavolato delle trattative con aziende automotive cinesi per installare fabbriche in Italia. I sovranisti aspirano a fare dell'Italia il Messico d'Europa.Ne parliamo con Fabio Scacciavillani, economista, editorialista Sole24 Ore, e Riccardo Monti, Presidente del Gruppo Triboo.
La Banca centrale europea mantiene i tassi fermi, ma prepara il prossimo taglio. Il costo ufficiale del credito è stato quindi confermato al 4% per i depositi presso la Bce e al 4,5% per le operazioni di rifinanziamento, con una decisione presa a larghissima maggioranza ma non all'unanimità: alcuni governatori avrebbero preferito un taglio immediato. Il comunicato ufficiale prepara però le prossime mosse: pur ricordando che «le pressioni interne sui prezzi sono forti e mantengono elevata l inflazione dei servizi», dà alcune indicazioni che lasciano prevedere un taglio a giugno, come è ampiamente atteso da mercati e analisti. Non è un impegno, ovviamente. «Se la valutazione aggiornata del Consiglio direttivo in merito alle prospettive di inflazione, alla dinamica dell inflazione di fondo e all intensità della trasmissione della politica monetaria accrescesse ulteriormente la sua certezza che l'inflazione stia convergendo stabilmente verso l'obiettivo - spiega il Consiglio direttivo - sarebbe opportuno ridurre l'attuale livello di restrizione della politica monetaria.». La Bce non aspetterà, in ogni caso, le decisioni della Banca centrale Usa (che potrebbe rinviare il suo primo taglio): «Non dipendiamo dalla Fed», ha detto la presidente Christine Lagarde in conferenza stampa.Ne parliamo con Donato Masciandaro, docente politiche monetarie università Bocconi, editorialista Sole 24 Ore.Fipe, consumi fuori casa a 92 miliardi, +5,8% i prezziIl 2023 è stato un anno positivo per il settore della ristorazione, come emerge dal Rapporto annuale di Fipe Confcommercio. Dopo le turbolenze del 2022, il 2023 segna la definitiva ripresa del mercato dei consumi alimentari fuori casa con 92 miliardi di euro, il 7% in più rispetto al pre Covid e 1,4 milioni di lavoratori dipendenti (+6,4%sul 2022). I prezzi sono cresciuti del 5,8%, tra i valori più contenuti nei 27 Paesi della Ue. Il valore aggiunto del settore ammonta a 54 miliardi di euro il 3,9% in più rispetto al pre Covid. Già ieri l'Istat ha comunicato che a febbraio le vendite al dettaglio sono aumentate su base annua del 2,4% in valore e hanno registrato un aumento in volume dello 0,3%. Le vendite dei beni alimentari crescono del 3,9% in valore e dello 0,4% in volume; un andamento analogo si osserva per quelle dei beni non alimentari (rispettivamente +1,1% in valore e +0,5% in volume). La ripresa dei consumi si registra anche su base mensile con una crescita dello 0,1% sia in valore che in volume. Sono in lieve aumento sia le vendite dei beni alimentari (+0,1% in valore e in volume) sia quelle dei beni non alimentari (+0,2% in valore e in volume). Ne parliamo con Luciano Sbraga, direttore centro studi Fipe Confcommercio.Il rischio cinese: Italia il Messico d'Europa?Le guerre commerciali, analogamente a quelle militari, si combattono su più fronti e con armi spesso non convenzionali. Quella tra Usa e Cina, iniziata in modo dirompente durante la Presidenza Trump, era partita con fragorose bordate di dazi e misure punitive. Biden l'ha inasprita con l'embargo sui microchip di ultima generazione e l'Inflation reduction act. Il ventre molle della fortezza America è il Messico, dove le aziende cinesi stanno sfruttando l'accordo di libero scambio tra Usa, Messico e Canada (Usmca) entrato in vigore nel 2020. Nel 2023, il Messico è assurto a primo partner commerciale degli Stati Uniti superando la Cina. Un'analisi superficiale attribuirebbe questo primato al decoupling, cioè la separazione dei rapporti economici tra le due maggiori economie mondiali. Ma se si scava più a fondo, emerge che la più stretta integrazione tra le due sponde del Rio Bravo è avvenuta in concomitanza all'intensificarsi dei flussi commerciali tra Messico e Cina: le importazioni dalla Cina sono schizzate da 83 miliardi di dollari nel 2019 a quasi 120 miliardi nel 2022. L'aggiramento della Maginot daziaria peraltro sta per essere replicato anche nell'Ue: Byd sta acquistando terreni in Ungheria per installarvi la sua prima fabbrica in Europa. Quanto all'Italia, il ministro delle Imprese Adolfo Urso ha riferito in Parlamento che il governo ha intavolato delle trattative con aziende automotive cinesi per installare fabbriche in Italia. I sovranisti aspirano a fare dell'Italia il Messico d'Europa. Intanto oggi a Venezia il vicepremier Antonio Tajani a margine di un appuntamento all'università Ca' Foscari di Venezia con il ministro del Commercio di Pechino, ha dichiarato: Vogliamo inaugurare una fase nuova dei rapporti tra Italia e Cina e investire sul partenariato bilaterale, nell'anno in cui celebriamo il 20mo anniversario del Partenariato Strategico Globale istituito tra i due Paesi nel 2004 e i 700 anni dalla scomparsa di Marco Polo, ha dichiarato Tajani, aggiungendo che accoglieremo la delegazione cinese in un territorio a forte vocazione industriale ed orientato all'export, che rappresenta al tempo stesso la solidità dei rapporti storici e culturali tra Italia e Cina .Ne parliamo con Fabio Scacciavillani, economista, editorialista Sole24 Ore.
Il ministro degli esteri israeliano si è recato a Roma per incontrarsi con la sua controparte Antonio Tajani.