Podcasts about abderrahmane sissako

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abderrahmane sissako

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Best podcasts about abderrahmane sissako

Latest podcast episodes about abderrahmane sissako

Film at Lincoln Center Podcast
#591 Abderrahmane Sissako and Kessen Tall on Black Tea

Film at Lincoln Center Podcast

Play Episode Listen Later May 18, 2025 31:06


This week we're excited to present a conversation from the 2025 edition of the New York African Film Festival with Black Tea director Abderrahmane Sissako and producer Kessen Tall. This conversation was moderated by Film Comment editor Devika Girish. After saying no on her wedding day, Aya leaves the Ivory Coast for a new life in the buzzing “Chocolate City” of Guangzhou, China. In this district where the African diaspora meets Chinese culture, she gets hired in a tea boutique owned by Cai, a Chinese man. In the secrecy of the back shop, Cai decides to initiate Aya to the tea ceremony. Through the teaching of this ancient art, their relationship slowly turns into tender love. But for their burgeoning passion to lead to mutual trust, they must let go of their burdens and face their past. Having made its New York Premiere at Film at Lincoln Center earlier this month, Black Tea is currently playing in select theaters, courtesy of Cohen Media Group.

La Matinale - La 1ere
L'invité de La Matinale - Abderrahmane Sissako, cinéaste et réalisateur mauritanien

La Matinale - La 1ere

Play Episode Listen Later Feb 20, 2025 14:53


Vertigo - La 1ere
Le réalisateur Abderrahmane Sissako à la société de Lecture de Genève

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Feb 18, 2025 4:56


Dans le cadre du Cycle de conférences Demain lʹAfrique, la Société de Lecture de Genève accueille jeudi 20 février 2025 le réalisateur Mauritanien Abderrahmane Sissako, lauréat de 7 Césars avec Timbuktu en 2015. En parallèle les Cinémas du Grütli organise une rétrospective des films du réalisateur du 19 au 25 février 2025. Abderrahmane Sissako au micro de Michel Ndeze.

7 milliards de voisins
Environnement : comment les luttes collectives peuvent l'emporter ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Jan 30, 2025 48:29


Selon les Nations unies, le nombre d'affaires judiciaires liées au climat a plus que doublé en l'espace de 5 ans. Autour du globe, on pouvait recenser 2 180 contentieux en 2022 contre 884 en 2017. Des mobilisations locales contre des projets de barrages, de golf ou d'extension de sites industriels, des recours juridiques contre des usines polluantes, ou des géants de l'agroalimentaire... Les citoyens s'engagent davantage pour préserver leur environnement et leurs actions peuvent réussir. À l'échelle de la France, on compte, par exemple, 250 victoires écologistes depuis 1971. Des succès qui ont permis de sauver des milliards d'hectares de terres agricoles ou de forêts et économiser des milliards d'euros en investissements publics. Blocage, occupation, réunion publique, action en justice... Comment les citoyens s'organisent pour obtenir gain de cause ? Et pourquoi certaines actions peinent à aboutir malgré les preuves d'impacts négatifs sur la santé et l'environnement ?  Avec :• Gaëtan Renaud, chargé d'enquêtes socio-économiques et environnementales. Rédacteur et auteur de l'étude Quand la lutte l'emporte - une décennie de victoires contre des projets imposés et polluants commanditée par l'association Terres de Luttes et la revue Silence• Grégoire Osoha, journaliste, réalisateur de documentaires et de podcasts. Auteur de Atome 33 – histoire d'une lutte collective contre une pollution industrielle, au Québec (Marchialy, sortie le 12 février 2025)• Abderrahmane Sissako, cinéaste, président de l'Association Mauritanienne pour l'Environnement (AME). L'association organise Une «Marche Bleue» pour la préservation des zones humides en Mauritanie, du 1er au 9 février 2025. La « Marche Bleue » suivra un itinéraire de marche longeant 60 km en bord de mer en direction du sud et prendra fin à la zone humide de Tambass-Lobodou.En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. • Chamsou-Dine Baguiri, blogueur béninois, nous présente l'aquaponie, un système innovant qui allie élevage de poissons et culture de plantes pour une agriculture plus durable. • Le blogueur guinéen Alpha Oumar Baldé analyse avec autodérision le rapport des Guinéens au temps, entre retard chronique et flexibilité horaire. • Marina Tem, blogueuse du Cameroun, partage une introspection sur l'écriture comme acte de résistance et d'affirmation, concluant par un poème bouleversant.  Programmation musicale : ► Oil United vs Green Team - Xuman & Keyti & Defty► Who's Bad - Arma Jackson.

Certains l'aiment Fip
Le Best of 2024

Certains l'aiment Fip

Play Episode Listen Later Dec 29, 2024 56:26


durée : 00:56:26 - Certains l'aiment Fip - Une balade dans les B.O. préférées d'Emmanuelle Devos, Anaïs Demoustier, Mathieu Kassovitz, Abderrahmane Sissako, Hafsia Herzi, Macha Méril, Sandrine Kiberlain, Michel Gondry, Miguel Gomes ou Béatrice Dalle.

Profession : costumière
Annie Melza Tiburce, Yves et Saint Omer

Profession : costumière

Play Episode Listen Later Sep 4, 2024 76:00


"J'associe mon travail à un métier artistique mais je l'associe beaucoup à un travail de documenter, sociologique" Au micro de Céleste Durante, Annie Melza Tiburce raconte comment elle est devenue créatrice de costumes (0:42), son travail avec Benoît Forgeard et Philippe Katerine sur Gaz de France (11:20) puisYves (18:00), la plongée dans les années 80 avec Stella est Amoureuse (26:35), puis les collaborations avec Alice Diop pour Saint Omer (30:14) et Abderrahmane Sissako pour Black Tea (42:00).Elle nous partage ensuite ses costumes préférés (52:00), ce qu'elle préfère dans son métier (1:04:00) et les projets qui l'attireraient pour le futur (1:12:30). Retrouvez Profession : costumière sur Instagram  Un podcast signé Céleste Durante Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Musica
“Timbuktu” di Abderrahmene Sissako

Musica

Play Episode Listen Later Sep 3, 2024 6:53


Uno dei film africani più belli di sempre. In Timbuktu di Abderrahmane Sissako verremo trascinati nella leggendaria città del deserto, per assistere all'impatto degli indomabili abitanti con gli pseudo-jihadisti, accompagnati da musiche e luoghi straordinari.Iscriviti al canale Telegram per guardare tutta la lista di tutti gli eventi (ad oggi) confermati ed avvisatemi se ne conoscete altri Qui trovi Medio Oriente e Dintorni Music, un mio podcast uscito 2 anni fa solo per Spotify in cui scoprirai la storia e le canzoni di artisti e band che hanno fatto (o stanno facendo) la storiaMentre qui trovate tutti i link di Medio Oriente e Dintorni: Linktree, ma, andando un po' nel dettaglio: -Tutti gli aggiornamenti sulla pagina instagram @medioorienteedintorni -Per articoli visitate il sito https://mediorientedintorni.com/ trovate anche la "versione articolo" di questo podcast. - Qui il link al canale Youtube- Podcast su tutte le principali piattaforme in Italia e del mondo-Vuoi tutte le uscite in tempo reale? Iscriviti al gruppo Telegram: https://t.me/mediorientedintorniOgni like, condivisione o supporto è ben accetto e mi aiuta a dedicarmi sempre di più alla mia passione: raccontare il Medio Oriente ed il "mondo islamico"

5 Heures
Comment Corinne Masiero (« Capitaine Marleau ») surprend-elle dans « Petites mains » ?

5 Heures

Play Episode Listen Later May 20, 2024 39:37


Quel personnage campe-t-elle dans cet attachant drame social ? Et comment Bérénice Bejo retrouve-t-elle ses origines latino dans « La contadora de peliculas » ? Après le triomphe de « Timbuktu », le cinéaste Abderrahmane Sissako réussit-il son retour avec « Black tea » ? Les découvertes musicales : - Cat Clyde - Papa Took My Totems - Lido Pimienta - He Venido al Mar - Dominic Fike - Hi grace - King Princess - Dirty Work - Thom Yorke - Four Ways In Time Merci pour votre écoute La semaine des 5 Heures, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 19h à 20h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de La semaine des 5 Heures avec les choix musicaux de Rudy dans leur intégralité sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/1451 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Grousse Kino
Grousse Kino Spezial

Grousse Kino

Play Episode Listen Later Mar 23, 2024 55:52


De Michel Delage an de Jeff Schinker hunn am Kader vum Luxfilmfest Interviewe gemaach: mam Chinees Wang Bing iwwer säin Documentaire "Jeunesse - Printemps", mam Abderrahmane Sissako iwwer säin neie Film "Black Tea" a mam Amerikaner Ira Sachs, President vun der internationaler Jury, iwwer seng Karriär.

Certains l'aiment Fip
Rencontre avec Abderrahmane Sissako

Certains l'aiment Fip

Play Episode Listen Later Mar 3, 2024 59:03


durée : 00:59:03 - Certains l'aiment Fip - À l'occasion de la sortie de "Black Tea", on invite le cinéaste mauritanien, réalisateur de "La vie sur terre", "Bamako", "Timbuktu", et "En attendant le bonheur".

Tous les cinémas du monde
Black Tea d'Abderrahmane Sissako : une histoire d'amour et de rencontre entre l'Afrique et la Chine

Tous les cinémas du monde

Play Episode Listen Later Mar 2, 2024 48:30


C'est une histoire de rencontre, une rencontre amoureuse entre une jeune femme, Aya, qui quitte son pays la Côte d'Ivoire et son fiancé infidèle le jour de son mariage, et Tsai, un homme plus âgé, exportateur de thé à Guanghzou (Canton). Mais c'est aussi une rencontre entre deux cultures, entre deux géants : l'Afrique et la Chine. Cette histoire, qui parle aussi d'initiation au goût, marie le ying et le yang, la lumière et des aspects plus sombres comme le racisme et l'exploitation, mais toujours avec élégance et raffinement.Nous recevons Abderrahmane Sissako pour Black Tea, son nouveau long métrage, qui vient de sortir en salle en France après avoir été montré en première mondiale en compétition à Berlin. À l'affiche de notre cinéma également ce samedi : le palmarès de la Berlinale et le sacre de Dahomey de Mati Diop (Ours d'or) et un reportage de Lisa Giroldini sur l'exposition Effets spéciaux au Centre d'art d'Enghien-les-Bains.Musiques : Feeling good, reprise par Fatoumata Diawara et Ramata de Daara J Family.

Le sept neuf
Edouard et Marylène Bergeon/Sabrina Agresti-Roubache/Débat sur l'Ukraine/Abderrahmane Sissako/Lina El Arabi

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Feb 26, 2024 178:37


durée : 02:58:37 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Dans le 7/10 du jour : les agricultrices à l'honneur avec Edouard et Marylène Bergeon, la secrétaire d'Etat chargée de la Ville et de la citoyenneté Sabrina Agresti-Roubache, un débat sur l'Ukraine entre Nathalie Loiseau et Gérard Araud, le cinéaste Abderrahmane Sissako et l'actrice Lina El Arabi.

Le sept neuf
Abderrahmane Sissako, pour le film "Black Tea", dix ans après le succès de "Timbuktu"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Feb 26, 2024 16:32


durée : 00:16:32 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, Léa Salamé reçoit le cinéaste Abderrahmane Sissako à l'occasion de la sortie en salles de « Black Tea », le 28 février.

Les interviews d'Inter
Abderrahmane Sissako, pour le film "Black Tea", dix ans après le succès de "Timbuktu"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Feb 26, 2024 16:32


durée : 00:16:32 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, Léa Salamé reçoit le cinéaste Abderrahmane Sissako à l'occasion de la sortie en salles de « Black Tea », le 28 février.

Culture en direct
De retour de Berlin, avec Abderrahmane Sissako, Luck Razanajaona, Nelson Carlo De Los Santos Arias

Culture en direct

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 58:30


durée : 00:58:30 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui, nous recevons les cinéastes Abderrahmane Sissako pour "Black Tea", Luck Razanajaona pour "Disco Afrika", Nelson Carlo De Los Santos Arias pour "Pepe" et Romuald Karmakar pour "The Invisible Zoo" ; et aussi Sandra Onana. - invités : Abderrahmane Sissako Cinéaste et producteur mauritanien; Romuald Karmakar Cinéaste; Nelson Carlos De Los Santos Arias cinéaste; Luck Razanajaona cinéaste; Sandra Onana Critique de cinéma, journaliste à Libération

Plan large
De retour de Berlin, avec Abderrahmane Sissako, Luck Razanajaona, Nelson Carlo De Los Santos Arias

Plan large

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 58:30


durée : 00:58:30 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui, nous recevons les cinéastes Abderrahmane Sissako pour "Black Tea", Luck Razanajaona pour "Disco Afrika", Nelson Carlo De Los Santos Arias pour "Pepe" et Romuald Karmakar pour "The Invisible Zoo" ; et aussi Sandra Onana. - invités : Abderrahmane Sissako Cinéaste et producteur mauritanien; Romuald Karmakar Cinéaste; Nelson Carlos De Los Santos Arias cinéaste; Luck Razanajaona cinéaste; Sandra Onana Critique de cinéma, journaliste à Libération

Fred English Channel » FRED English Podcast
‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako

Fred English Channel » FRED English Podcast

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 10:45


'Black Tea' by Abderrahmane Sissako tells the story of African migration to China and thus also of new global dreams and utopias. The post ‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako appeared first on Fred Film Radio.

Les histoires de 28 Minutes
Agriculteurs, Ukraine, pollution, Black Tea | Le Club International de 28'

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 46:21


L'émission 28 Minutes du 24/02/2024 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec un regard international, en compagnie de nos clubistes : Eva Morletto, correspondante à Paris pour le magazine italien « Grazia » — Denis Strelkov, journaliste de la rédaction russe de RFI  — Luisa Corradini, correspondante du quotidien argentin « La Nación » — et le dessinateur de presse Pierre Kroll. Colère paysanne dans toute l'Europe : un front anti-Bruxelles ? Alors que les agriculteurs français continuent de mettre la pression sur le gouvernement à la veille du Salon de l'agriculture, le mouvement s'amplifie dans l'ensemble de l'Europe. Berlin, Prague, Madrid, Varsovie… Le monde agricole poursuit ses mobilisations, à l'approche d'une réunion des ministres de l'Agriculture de l'Union européenne. Les raisons varient localement mais concernent des décisions éminemment européennes : politique agricole commune, « pacte vert », libre-échange… Tout un ensemble de dispositifs jugés « trop contraignants », auxquels s'ajoutent les importations de produits agricoles ukrainiens, qui ont augmenté de 11 % en un an. Pour répondre à cette crise, la Commission européenne a déjà adopté une exemption partielle aux obligations de jachère pour 2024, et envisage le retrait d'une loi visant à réduire de moitié l'utilisation des pesticides d'ici 2030. La prospérité des agriculteurs est-elle compatible avec les objectifs environnementaux ? À la veille d'élections européennes cruciales, les paysans peuvent-ils être le ferment d'une révolte anti-Bruxelles ? Guerre en Ukraine : faut-il négocier un compromis avec Poutine ? La guerre en Ukraine entre aujourd'hui dans sa troisième année et les espoirs de voir le conflit prendre rapidement fin se sont dissipés. Le 24 février 2022, les Occidentaux avaient immédiatement affiché un soutien ferme et uni au pays agressé. Mais cet appui est aujourd'hui moindre, et le vent semble désormais tourner en faveur de Moscou, à mesure que le conflit s'enlise. L'armée ukrainienne constate désormais qu'elle ne possède plus les armes et les munitions nécessaires pour résister. Volodymyr Zelensky a d'ailleurs exhorté le Congrès américain à approuver une aide militaire supplémentaire, notamment les conservateurs, qui bloquent actuellement une enveloppe de soixante milliards de dollars. L'opinion publique semble toutefois pessimiste quant à l'issue du conflit : seul un Européen sur dix croit maintenant à la victoire de l'Ukraine. Un retournement est-il encore possible ? Est-il temps d'ouvrir des négociations avant une déroute ukrainienne ? Sonia Chironi nous donne des nouvelles de nos très chers voisins européens : ce week-end, direction l'Italie, et plus précisément Milan qui figure parmi les villes les plus polluées au monde. Cette information rendue publique par l'entreprise suisse IQAir, jugée peu fiable et partielle d'après certains médias, a fait bondir toute la ville qui prend déjà des mesures fortes. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision japonaise qui retransmet chaque année le festival « Sominsai » : un rituel bouddhiste millénaire où des centaines d'hommes, vêtus d'un simple pagne blanc, se purifient dans l'eau froide et se disputent des talismans. Mais alors que les participants vieillissent et que les jeunes manquent à l'appel pour prendre la relève, cette tradition populaire pourrait bien disparaître. Ce week-end, Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine au président brésilien Lula. Lors du 37ᵉ sommet de l'Union Africaine, il a suscité une polémique en accusant Israël de commettre un génocide dans la bande de Gaza, comparable à celui d'Hitler envers les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Des keftas d'écureuil gris ou un filet de poisson-lion au dîner, ça vous tente ? Pour lutter contre la prolifération d'espèces invasives, certains restaurateurs ont une solution toute trouvée : il faut les manger ! Alix Van Pée nous parle de ces mets alternatifs à travers le monde. Dix ans après le film « Timbuktu », le réalisateur Abderrahmane Sissako revient avec « Black Tea » : l'histoire d'Aya, une jeune Ivoirienne qui émigre en Chine et travaille dans une boutique de thé. À travers son quotidien à « Chocolate City » — le quartier de Guangzhou où une communauté africaine s'est formée au fil du temps — ses rencontres et sa passion pour le thé, elle illustre une autre facette de l'émigration africaine et la volonté de se faire une place dans la société chinoise, en tant qu'expatriée. Mais sous cette intégration apparente se cache un racisme latent, qui met à l'épreuve sa relation amoureuse et son équilibre. Abderrahmane Sissako nous parle des liens qui unissent la Chine et l'Afrique à travers un voyage poétique. Enfin, ne manquez pas la une hexagonale de la semaine et la question très intéressante de David Castello-Lopes. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 24 février 2024 - Présentation : Benjamin Sportouch - Production : KM, ARTE Radio

Fred Industry Channel » FRED Industry Podcast
‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako

Fred Industry Channel » FRED Industry Podcast

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 10:45


'Black Tea' by Abderrahmane Sissako tells the story of African migration to China and thus also of new global dreams and utopias. The post ‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako appeared first on Fred Film Radio.

Fred Polish Channel » FRED Polish Podcast
‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako

Fred Polish Channel » FRED Polish Podcast

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 10:45


'Black Tea' by Abderrahmane Sissako tells the story of African migration to China and thus also of new global dreams and utopias. The post ‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako appeared first on Fred Film Radio.

Fred Portuguese Channel » FRED Portuguese Podcast
‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako

Fred Portuguese Channel » FRED Portuguese Podcast

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 10:45


'Black Tea' by Abderrahmane Sissako tells the story of African migration to China and thus also of new global dreams and utopias. The post ‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako appeared first on Fred Film Radio.

Fred Romanian Channel » FRED Romanian Podcast
‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako

Fred Romanian Channel » FRED Romanian Podcast

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 10:45


'Black Tea' by Abderrahmane Sissako tells the story of African migration to China and thus also of new global dreams and utopias. The post ‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako appeared first on Fred Film Radio.

Fred Slovenian Channel » FRED Slovenian Podcast
‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako

Fred Slovenian Channel » FRED Slovenian Podcast

Play Episode Listen Later Feb 24, 2024 10:45


'Black Tea' by Abderrahmane Sissako tells the story of African migration to China and thus also of new global dreams and utopias. The post ‘Black Tea’, interview with director Abderrahmane Sissako appeared first on Fred Film Radio.

Docs in Orbit
IDFA 2023 - Corresponding Cinemas' Refusal to Comply

Docs in Orbit

Play Episode Listen Later Dec 7, 2023 51:53


We are releasing a conversation recorded on Tuesday, November 14th, 2023, at IDFA, where I met with Julian Ross and Farah Hasanbegović to recap Corresponding Cinemas. Corresponding Cinemas was a new series at IDFA this year, and in many ways, it was an experiment to see what invisible connections surface when an institution decides to transfer over its curatorial control to filmmakers. The idea is simple and compelling. It would be a series of films and conversations with filmmakers who have inspired one another, and the day would follow this chain of inspiration, with each filmmaker selecting the works of the next. The series was planned months in advance and formally announced in September; in the very first announcement the festival made about its program - it reported that the event would kick off with Sky Hopinka and include Basma al-Sharif, Jumana Manna, Ibrahim Shaddad and Abderrahmane Sissako. In this episode, Farah, Julian, and I run through the events leading up to Corresponding Cinemas as we experienced them on the ground. We first discuss the opening night and the release of IDFA's statement apologizing for a protest banner that appeared during the ceremony and condemning a slogan that was on the banner proclaiming it should not be used in any way and by anybody anymore - despite a recent ruling by the Dutch Court of Appeals that this is not considered hate speech. In response to IDFA denouncing this slogan, Jumana Manna, Basma al-Sharif, and Sky Hopinka circulated a joint statement refusing to comply with IDFA's statement the evening before their participation in Corresponding Cinemas. The series took place, and Farah, Julian, and I recount how the day unfolded, detailing how each filmmaker used their screenings in different ways to transform a cinema space into a forum for urgent, meaningful, and needed exchanges. TIMECODES:0:00  INTRO & GUEST INTROS 4:23: OPENING NIGHT + IDFA STATEMENT12:30 CORRESPONDING CINEMAS - FILMMAKERS REFUSAL TO COMPLY  14:30  SKY HOPINKA SESSION17:40 BASMA AL-SHARIF SESSION25:14  JUMANA MANNA SESSION39:10 IBRAHIM SHADDAD SCREENING SESSION 43:12 SOLIDARITY ACTIONS FOLLOWING CORRESPONDING CINEMAS STATEMENTS REFERENCED:Opening Night: Workers for Palestine Intervention IDFA Statement #1: IDFA and Artistic Director's Statement about the Opening Night IDFA Statement #2: IDFA Calls for an Immediate Ceasefire I/We Do Not Comply - Artists' Refusal IDFA Statement #3: A Message from IDFA to the Documentary Community RELATED PODCAST EPISODESOrwa Nyrabia on Corresponding Cinemas, Docs in Orbit, Episode 71 Jumana Manna on Docs in Orbit, Episode 44Basma al-Sharif on Docs on Orbit,  Episode 27 For show notes, visit docsinorbit.com and be sure to follow us on social media @docsinorbit

French With Panache
#7 Pourquoi l'Afrique est en colère contre la France ?

French With Panache

Play Episode Listen Later Sep 8, 2023 50:00


The Gauntlet
#97 - Take it to the Bank

The Gauntlet

Play Episode Listen Later Apr 18, 2023 111:37


Bamako (2006) / Life Without Principle (2011) This week: globalization and its discontents as we put the financial system on trial with Abderrahmane Sissako and crash the market with Johnnie To's recession thriller

University of California Audio Podcasts (Audio)

Acclaimed co-writer/director Abderrahmane Sissako discusses his film Timbuktu with moderators Richard Watts and Peter Bloom. Sissako details the development of the script and its connection to real-world news stories from Mali. He also recalls the political and logistical challenges during the film production. Watts and Bloom discuss the poetic qualities of the film, and in his own words, Sissako describes his artistic objectives with landscape and setting. Series: "Carsey-Wolf Center" [Humanities] [Show ID: 38160]

Humanities (Audio)
Timbuktu

Humanities (Audio)

Play Episode Listen Later Aug 24, 2022 41:32


Acclaimed co-writer/director Abderrahmane Sissako discusses his film Timbuktu with moderators Richard Watts and Peter Bloom. Sissako details the development of the script and its connection to real-world news stories from Mali. He also recalls the political and logistical challenges during the film production. Watts and Bloom discuss the poetic qualities of the film, and in his own words, Sissako describes his artistic objectives with landscape and setting. Series: "Carsey-Wolf Center" [Humanities] [Show ID: 38160]

UC Santa Barbara (Audio)

Acclaimed co-writer/director Abderrahmane Sissako discusses his film Timbuktu with moderators Richard Watts and Peter Bloom. Sissako details the development of the script and its connection to real-world news stories from Mali. He also recalls the political and logistical challenges during the film production. Watts and Bloom discuss the poetic qualities of the film, and in his own words, Sissako describes his artistic objectives with landscape and setting. Series: "Carsey-Wolf Center" [Humanities] [Show ID: 38160]

Film and Television (Video)

Acclaimed co-writer/director Abderrahmane Sissako discusses his film Timbuktu with moderators Richard Watts and Peter Bloom. Sissako details the development of the script and its connection to real-world news stories from Mali. He also recalls the political and logistical challenges during the film production. Watts and Bloom discuss the poetic qualities of the film, and in his own words, Sissako describes his artistic objectives with landscape and setting. Series: "Carsey-Wolf Center" [Humanities] [Show ID: 38160]

Deep Cut
Abderrahmane Sissako: Waiting for Happiness & Life on Earth

Deep Cut

Play Episode Listen Later Jun 28, 2022 55:49


Deep Cut rounds out its study of Malian/Mauritanian master director Abderrahmane Sissako with his first two fiction features: Life on Earth (1998) and Waiting for Happiness (2002). The documentary-fiction hybrids provide an illuminating keystone in understanding Sissako's later, more complex works. Wilson prefers the deep well of sadness in Waiting for Happiness, but Eli adores the celebratory simplicity of Life on Earth. Meanwhile, Ben reconsiders his approach to the wholly unique, unplaceable films of Sissako. Wait for a Life of Happiness on Earth in our Discord server. Keep up with Deep Cut on Instagram, Twitter, Facebook, and Letterboxd.

Deep Cut
Abderrahmane Sissako: Bamako

Deep Cut

Play Episode Listen Later Jun 21, 2022 42:04


Abderrahmane Sissako sets his late father's backyard as a courtroom for the injustices of economic neocolonialism in his 2006 drama Bamako, our second of three forays into the work of the Malian/Mauritanian master director. In a work that inextricably binds the political and the personal, Wilson notes how Sissako creates a sense of place that makes an intellectual argument emotional and Eli suggests that the movie can be viewed as a testimonial. Meanwhile, Ben asks if a fiction narrative is the most cogent mode for Sissako's argument. Tell it to the judge in our Discourt server. Keep up with Deep Cut on Instagram, Twitter, Facebook, and Letterboxd. CREW: Director & Writer: Abderrahmane Sissako Producers: Danny Glover, Denis Freyd, Abderrahmane Sissako, Joslyn Barnes, Arnaud Louvet, Maji-da Abdi, François Sauvagnargues Editors: Nadia ben Rachid, Pauline Casalis Cinematography: Jacques Besse Production Design: Mahamadou Kouyaté Costumes: Maji-da Abdi CAST: Melé: Aïssa Maïga Chaka: Tiécoura Traoré Saramba: Maimouna Hélène Diarra Falaï: Balla Habib Dembélé Chaka's Sister: Djénéba Koné Journalist: Hamadoun Kassogué Civil Party Lawyer: William Bourdon Defence Lawyer: Mamadou Kanouté Prosecutor: Gabriel Magma Konate Témoin 2: Aminata Traoré Cow-boy: Danny Glover Cow-boy: Elia Suleiman Cow-boy: Jean-Henri Roger Cow-boy: Zeka Laplaine

Deep Cut
Abderrahmane Sissako: Timbuktu

Deep Cut

Play Episode Listen Later Jun 12, 2022 52:46


Deep Cut begins a special three-episode run on Malian/Mauritanian director Abderrahmane Sissako with his poetic, vibrant tragedy Timbuktu (2014). Wilson contextualizes Sissako's most well-known work within Sissako's varied and inventive filmography, Ben considers the humanizing characterization of the film's jihadist characters, and Eli breaks down one of his favorite shots in cinema history. Sissako is the first filmmaker born in Africa covered on the podcast, but tune in to find out why both Sissako and the DC Trio reject the notion of a singular “African Film” culture. Help shepherd the cattle in our Discord server. Keep up with Deep Cut on Instagram, Twitter, Facebook, and Letterboxd. CREW: Director: Abderrahmane Sissako Producers: Sylvie Pialat, Frédérique Dumas-Zajdela, Étienne Comar Writers: Abderrahmane Sissako, Kessen Tall Editor: Nadia ben Rachid Cinematography: Sofian El Fani Production Design: Sébastien Birchler Visual Effects: Matthias Weber, Stéphane Bidault, Mathieu Jussreandot Composer: Amine Bouhafa Sound: Roman Dymny, Thierry Delors Costumes: Ami Sow CAST: Kidane: Ibrahim Ahmed Abdelkerim: Abel Jafri Satima: Toulou Kiki Toya: Layla Walet Mohamed Issan: Mehdi A.G. Mohamed Zabou: Kettly Noël Imam: Adel Mahmoud Cherif

Revue de presse Afrique
À la Une: l'art africain s'expose à Dakar

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 19, 2022 4:08


59 artistes et collectifs d'artistes pour forger un nouveau destin commun. Créer, imaginer et inventer. C'est autour de ce triptyque que va se dérouler l'exposition officielle internationale de la 14e édition de la Biennale de l'Art africain contemporain de Dakar qui s'ouvre ce jeudi 19 mai, et ce jusqu'au 21 juin. La sélection officielle met en lumière les œuvres de 59 artistes visuels et collectifs d'artistes du continent et de la diaspora. Preuve de la vitalité de l'art africain, le festival Off, qui accueille donc des artistes en dehors de l'exposition officielle, ce festival recense cette année plus de 400 sites d'exposition, pointe WalfQuotidien. Soit 25% de plus que lors de la dernière édition en 2018. Pour Mauro Petroni, artiste, céramiste, établi au Sénégal depuis plusieurs décennies et en charge de ce volet Off depuis 2002, « ce nombre croissant d'exposants Off prouve l'intérêt des opérateurs pour la Biennale de Dakar qui n'est plus un événement dakarois, ni sénégalais. On voit que la Biennale s'étale dans les autres régions du Sénégal, notamment sur la Petite côte où il y a énormément de sites cette année, Saint-Louis, Tambacounda, Kédougou et plusieurs centres régionaux ». Des créations inspirées par le coronavirus Dans ce Off de la Biennale de Dakar : la costumière, styliste, décoratrice et créatrice de bijou, Oumou Sy, qui a présenté ses deux installations à la presse hier, au Grand Théâtre Doudou Ndiaye Coumba Rose. « Intégrant dans ses créations des CD, des calebasses et autres objets tout aussi déroutants, Le Quotidien à Dakar note qu'Oumou Sy a étalé encore ses talents. » Avec cette fois, des robes inspirées par l'épidémie de coronavirus. Notamment, « la robe de la santé qui symbolise l'effort des recherches médicales sur les vaccins et aussi les remèdes. "Les fils qui pendent au niveau des installations représentent les fils de la vie, dit-elle, parce que la vie a de longues jambes et elle ne tient qu'à un fil" ». À voir dans ce Off également, pointe Le Monde Afrique, « l'artiste Désiré Mounou Koffi qui recycle des téléphones portables dans des réalisations très colorées inspirées de portraits et de scènes de la vie quotidienne abidjanaise. Son but ? Sensibiliser à la lutte contre la pollution dans ses œuvres qu'il expose à Dakar mais aussi à Abidjan jusqu'en juillet. "J'ai choisi le recyclage car je ne voulais pas limiter mon travail uniquement à la peinture. Je voulais apporter quelque chose de nouveau", explique-t-il ». ► À lire aussi : Fer de lance de la créativité africaine, la Biennale de Dakar fait son retour L'Afrique en filigrane sur la Croisette On reste dans le domaine artistique avec le festival de Cannes, vu d'Afrique. « Il n'y aura pas Abderrahmane Sissako, ni Mahamat Saleh ni Mati Diop à ce Festival de Cannes 2022, relève le quotidien Aujourd'hui à Ouagadougou, mais le continent est bien présent au travers de questions traitées par certains films à sujets transversaux : intégration, religion, réconciliation après-guerre, identité sexuelle, histoire du cinéma africain. Et comme pour marquer cette présence, l'ombre de l'Afrique a plané sur la Croisette dès le premier film projeté hier pour la presse : For the Sake of Peace (Au nom de la paix), de Christophe Castagne et Thomas Sametin. Film documentaire d'une brûlante actualité, For the Sake of Peace, évoque la situation au Soudan où il y eut la guerre, les massacres des Darfouris… Une paix advenue mais qui reste à être consolidée. » Et des questions qui restent en suspens, note encore Aujourd'hui : « Comment reconstruire la paix, la cohésion sociale, le vivre-ensemble ? » For the Sake of Peace a été produit par l'acteur américain Forest Whitaker, note WalfQuotidien. « L'acteur afro-américain de 60 ans ne se contente pas de briller à Hollywood. Il a créé, il y a dix ans, une ONG qui lutte contre la pauvreté, du Soudan du Sud au Mexique. Une fibre humanitaire née lors du tournage en Ouganda, du Dernier Roi d'Écosse, de Kevin Macdonald en 2006, où il incarnait Idi Amin Dada. (…) Forest Whitaker a reçu une Palme d'or d'honneur, avant-hier, lors de la Cérémonie d'ouverture. »

Culture en direct
Abderrahmane Sissako : "L'acte de création doit être un acte incertain"

Culture en direct

Play Episode Listen Later May 2, 2022 55:13


durée : 00:55:13 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Co-créateur, avec le chanteur Damon Albarn, du spectacle "Le Vol du Boli" actuellement joué au Théâtre du Châtelet, le cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako revient sur sa carrière de réalisateur au micro d'Arnaud Laporte. - invités : Abderrahmane Sissako Cinéaste et producteur mauritanien

Musique matin
La Matinale avec Abderrahmane Sissako

Musique matin

Play Episode Listen Later May 2, 2022 124:09


durée : 02:04:09 - Musique matin du lundi 02 mai 2022 - par : Jean-Baptiste Urbain - Le cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako met en scène l'opéra "Le Vol du boli" au Théâtre du Châtelet, sur une composition originale de Damon Albarn, une grande fresque contemporaine qui revient en musique sur l'histoire tourmentée du continent africain. - réalisé par : Yassine Bouzar

Boomerang
Abderrahmane Sissako : "La malchance de l'Afrique a été de rencontrer une Europe financière"

Boomerang

Play Episode Listen Later Apr 13, 2022 32:36


durée : 00:32:36 - Boomerang - par : Augustin Trapenard - Cinéaste, acclamé pour "Bamako", récompensé pour "Timbuktu" qui lui valait le César du meilleur réalisateur il y a sept ans, il fait, pour la première fois, une incursion dans le monde du théâtre. Abderrahmane Sissako est l'invité d'Augustin Trapenard. - invités : Abderrahmane Sissako - Abderrahmane Sissako : Réalisateur, producteur - réalisé par : Lola COSTANTINI

New Books in LGBTQ+ Studies
James S. Williams, "Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty" (Bloomsbury, 2019)

New Books in LGBTQ+ Studies

Play Episode Listen Later Feb 8, 2022 71:06


Since the beginnings of African cinema, the realm of beauty on screen has been treated with suspicion by directors and critics alike. In Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty (Bloomsbury, 2019), James S. Williams explores an exciting new generation of African directors, including Abderrahmane Sissako, Mahamat-Saleh Haroun, Fanta Régina Nacro, Alain Gomis, Newton I. Aduaka, Jean-Pierre Bekolo and Mati Diop, who have begun to reassess and embrace the concept of cinematic beauty by not reducing it to ideological critique or the old ideals of pan-Africanism. Locating the aesthetic within a range of critical fields - the rupturing of narrative spectacle and violence by montage, the archives of the everyday in the 'afropolis', the plurivocal mysteries of sound and language, male intimacy and desire, the borderzones of migration and transcultural drift - this study reveals the possibility for new, non-conceptual kinds of beauty in African cinema: abstract, material, migrant, erotic, convulsive, queer. Through close readings of key works such as Life on Earth (1998), The Night of Truth (2004), Bamako (2006), Daratt (Dry Season) (2006), A Screaming Man (2010), Tey (Today) (2012), The Pirogue (2012), Mille soleils (2013) and Timbuktu (2014), Williams argues that contemporary African filmmakers are proposing propitious, ethical forms of relationality and intersubjectivity. These stimulate new modes of cultural resistance and transformation that serve to redefine the transnational and the cosmopolitan as well as the very notion of the political in postcolonial art cinema. James S. Williams is Professor of Modern French Literature and Film at Royal Holloway, University of London, where he is also director of the Centre for Visual Cultures.  This interview was conducted by Santiago Fouz-Hernandez, Professor in Film Studies and Iberian Studies at Durham University (UK). Santiago's main work is on masculinites and male bodies on film. His interests include contemporary Spanish and European cinemas, queer cinema, LGBTQ+ studies, popular culture, comics and popular music. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/lgbtq-studies

New Books in Film
James S. Williams, "Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty" (Bloomsbury, 2019)

New Books in Film

Play Episode Listen Later Feb 8, 2022 71:06


Since the beginnings of African cinema, the realm of beauty on screen has been treated with suspicion by directors and critics alike. In Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty (Bloomsbury, 2019), James S. Williams explores an exciting new generation of African directors, including Abderrahmane Sissako, Mahamat-Saleh Haroun, Fanta Régina Nacro, Alain Gomis, Newton I. Aduaka, Jean-Pierre Bekolo and Mati Diop, who have begun to reassess and embrace the concept of cinematic beauty by not reducing it to ideological critique or the old ideals of pan-Africanism. Locating the aesthetic within a range of critical fields - the rupturing of narrative spectacle and violence by montage, the archives of the everyday in the 'afropolis', the plurivocal mysteries of sound and language, male intimacy and desire, the borderzones of migration and transcultural drift - this study reveals the possibility for new, non-conceptual kinds of beauty in African cinema: abstract, material, migrant, erotic, convulsive, queer. Through close readings of key works such as Life on Earth (1998), The Night of Truth (2004), Bamako (2006), Daratt (Dry Season) (2006), A Screaming Man (2010), Tey (Today) (2012), The Pirogue (2012), Mille soleils (2013) and Timbuktu (2014), Williams argues that contemporary African filmmakers are proposing propitious, ethical forms of relationality and intersubjectivity. These stimulate new modes of cultural resistance and transformation that serve to redefine the transnational and the cosmopolitan as well as the very notion of the political in postcolonial art cinema. James S. Williams is Professor of Modern French Literature and Film at Royal Holloway, University of London, where he is also director of the Centre for Visual Cultures.  This interview was conducted by Santiago Fouz-Hernandez, Professor in Film Studies and Iberian Studies at Durham University (UK). Santiago's main work is on masculinites and male bodies on film. His interests include contemporary Spanish and European cinemas, queer cinema, LGBTQ+ studies, popular culture, comics and popular music. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/film

New Books in African Studies
James S. Williams, "Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty" (Bloomsbury, 2019)

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Play Episode Listen Later Feb 8, 2022 71:06


Since the beginnings of African cinema, the realm of beauty on screen has been treated with suspicion by directors and critics alike. In Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty (Bloomsbury, 2019), James S. Williams explores an exciting new generation of African directors, including Abderrahmane Sissako, Mahamat-Saleh Haroun, Fanta Régina Nacro, Alain Gomis, Newton I. Aduaka, Jean-Pierre Bekolo and Mati Diop, who have begun to reassess and embrace the concept of cinematic beauty by not reducing it to ideological critique or the old ideals of pan-Africanism. Locating the aesthetic within a range of critical fields - the rupturing of narrative spectacle and violence by montage, the archives of the everyday in the 'afropolis', the plurivocal mysteries of sound and language, male intimacy and desire, the borderzones of migration and transcultural drift - this study reveals the possibility for new, non-conceptual kinds of beauty in African cinema: abstract, material, migrant, erotic, convulsive, queer. Through close readings of key works such as Life on Earth (1998), The Night of Truth (2004), Bamako (2006), Daratt (Dry Season) (2006), A Screaming Man (2010), Tey (Today) (2012), The Pirogue (2012), Mille soleils (2013) and Timbuktu (2014), Williams argues that contemporary African filmmakers are proposing propitious, ethical forms of relationality and intersubjectivity. These stimulate new modes of cultural resistance and transformation that serve to redefine the transnational and the cosmopolitan as well as the very notion of the political in postcolonial art cinema. James S. Williams is Professor of Modern French Literature and Film at Royal Holloway, University of London, where he is also director of the Centre for Visual Cultures.  This interview was conducted by Santiago Fouz-Hernandez, Professor in Film Studies and Iberian Studies at Durham University (UK). Santiago's main work is on masculinites and male bodies on film. His interests include contemporary Spanish and European cinemas, queer cinema, LGBTQ+ studies, popular culture, comics and popular music. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/african-studies

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James S. Williams, "Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty" (Bloomsbury, 2019)

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Play Episode Listen Later Feb 8, 2022 71:06


Since the beginnings of African cinema, the realm of beauty on screen has been treated with suspicion by directors and critics alike. In Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty (Bloomsbury, 2019), James S. Williams explores an exciting new generation of African directors, including Abderrahmane Sissako, Mahamat-Saleh Haroun, Fanta Régina Nacro, Alain Gomis, Newton I. Aduaka, Jean-Pierre Bekolo and Mati Diop, who have begun to reassess and embrace the concept of cinematic beauty by not reducing it to ideological critique or the old ideals of pan-Africanism. Locating the aesthetic within a range of critical fields - the rupturing of narrative spectacle and violence by montage, the archives of the everyday in the 'afropolis', the plurivocal mysteries of sound and language, male intimacy and desire, the borderzones of migration and transcultural drift - this study reveals the possibility for new, non-conceptual kinds of beauty in African cinema: abstract, material, migrant, erotic, convulsive, queer. Through close readings of key works such as Life on Earth (1998), The Night of Truth (2004), Bamako (2006), Daratt (Dry Season) (2006), A Screaming Man (2010), Tey (Today) (2012), The Pirogue (2012), Mille soleils (2013) and Timbuktu (2014), Williams argues that contemporary African filmmakers are proposing propitious, ethical forms of relationality and intersubjectivity. These stimulate new modes of cultural resistance and transformation that serve to redefine the transnational and the cosmopolitan as well as the very notion of the political in postcolonial art cinema. James S. Williams is Professor of Modern French Literature and Film at Royal Holloway, University of London, where he is also director of the Centre for Visual Cultures.  This interview was conducted by Santiago Fouz-Hernandez, Professor in Film Studies and Iberian Studies at Durham University (UK). Santiago's main work is on masculinites and male bodies on film. His interests include contemporary Spanish and European cinemas, queer cinema, LGBTQ+ studies, popular culture, comics and popular music. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network

New Books in Dance
James S. Williams, "Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty" (Bloomsbury, 2019)

New Books in Dance

Play Episode Listen Later Feb 8, 2022 71:06


Since the beginnings of African cinema, the realm of beauty on screen has been treated with suspicion by directors and critics alike. In Ethics and Aesthetics in Contemporary African Cinema: The Politics of Beauty (Bloomsbury, 2019), James S. Williams explores an exciting new generation of African directors, including Abderrahmane Sissako, Mahamat-Saleh Haroun, Fanta Régina Nacro, Alain Gomis, Newton I. Aduaka, Jean-Pierre Bekolo and Mati Diop, who have begun to reassess and embrace the concept of cinematic beauty by not reducing it to ideological critique or the old ideals of pan-Africanism. Locating the aesthetic within a range of critical fields - the rupturing of narrative spectacle and violence by montage, the archives of the everyday in the 'afropolis', the plurivocal mysteries of sound and language, male intimacy and desire, the borderzones of migration and transcultural drift - this study reveals the possibility for new, non-conceptual kinds of beauty in African cinema: abstract, material, migrant, erotic, convulsive, queer. Through close readings of key works such as Life on Earth (1998), The Night of Truth (2004), Bamako (2006), Daratt (Dry Season) (2006), A Screaming Man (2010), Tey (Today) (2012), The Pirogue (2012), Mille soleils (2013) and Timbuktu (2014), Williams argues that contemporary African filmmakers are proposing propitious, ethical forms of relationality and intersubjectivity. These stimulate new modes of cultural resistance and transformation that serve to redefine the transnational and the cosmopolitan as well as the very notion of the political in postcolonial art cinema. James S. Williams is Professor of Modern French Literature and Film at Royal Holloway, University of London, where he is also director of the Centre for Visual Cultures.  This interview was conducted by Santiago Fouz-Hernandez, Professor in Film Studies and Iberian Studies at Durham University (UK). Santiago's main work is on masculinites and male bodies on film. His interests include contemporary Spanish and European cinemas, queer cinema, LGBTQ+ studies, popular culture, comics and popular music. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/performing-arts

Invité Afrique
A. Sissako, président du festival des Cités du patrimoine qui «donne une vie à ces villes»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 12, 2021 5:10


En Mauritanie, la ville de Ouadane accueille jusqu'au mardi14 décembre 2021 le 10e festival des Cités du patrimoine. L'événement, organisé chaque année dans l'une des quatre villes médiévales classées au patrimoine mondial de l'Unesco, avait été annulé en 2020, en raison de la pandémie de Covid-19. Le festival est présidé par le grand cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako. Il est l'invité de Claire Fages.

Film at Lincoln Center Podcast
#375 - Danny Glover and Joslyn Barnes on 15 Years of Louverture Films

Film at Lincoln Center Podcast

Play Episode Listen Later Dec 6, 2021 32:42


This week on the Film at Lincoln Center podcast, we're featuring a Q&A with Louverture Films co-producers Danny Glover and Joslyn Barnes, moderated by FLC's Director of Programming Dennis Lim. Following a screening of Abderrahmane Sissako's Bamako, the opening night film of our week-long Danny Glover and Louverture Films series, the co-producers discussed the history of the production company, collaborating with directors, and how the landscape of international cinema has changed over the years. Danny Glover and Louverture Films features 14 films from around the world and celebrates the work of the actor, activist, and groundbreaking production company. Now playing through December 7. For tickets, showtimes, and the full lineup, go to filmlinc.org/glover.

Seventh Row podcast
SR EP115: Revisiting The English Patient 25 years later

Seventh Row podcast

Play Episode Listen Later Oct 27, 2021 128:01


We revisit The English Patient on its 25th anniversary and consider its complicated legacy. The episode features two first-timers and two superfans. This episode features Editor-in-Chief Alex Heeney, Executive Editor Orla Smith, Associate Editor Brett Pardy, and special guest Andrew Kendall On this episode: The English Patient and its reviled Oscar legacy (7:10) The state of modern literary adaptations (15:50) Why we like the film (21:40) Almásy and Katherine/Ralph Fiennes and Kristen Scott Thomas (24:53) Hana and Kip/Juliette Binoche and Naveen Andrews (53:51) The English Patient as a war movie (1:04:22) Stand out scenes (1:14:20) Adaptation (1:23:29) Caravaggio/Willem Dafoe and alternate castings (1:27:12) Minghella's other work (1:47:05) Conclusion (1:57:37) Joachim Trier announcement (1:57:52) Podcast format change (2:00:59) Show notes Sign up for updates on the first book to ever be published on the films of Norwegian filmmaker Joachim Trier Related episodes Ep. 108: The Deep Blue Sea(s) Redux Ep. 107: Are men OK? Masculinity, mental health, & addiction in Another Round and Oslo, August 31st Redux Ep. 100: Films for the future Ep. 76: Abderrahmane Sissako's Bamako and Timbuktu (Member's Only) Ep. 29: Films about finite romance (Member's Only) Ep. 28: 1917 and Jarhead — Sam Mendes' war films Follow Seventh Row on Twitter, Instagram, and Facebook, and read our articles at seventh-row.com.

Revue de presse Afrique
Revue de presse Afrique - À la Une: clap de fin pour un festival magique!

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 25, 2021 4:16


« Magique ! » : c'est ainsi que WakatSéra qualifie la 27e édition du Fespaco, le festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou qui s'est achevé ce weekend. « La Femme du fossoyeur, du réalisateur somalien Khadar Ayderus Ahmed, 40 ans, crée la surprise, faisant l'unanimité au sein du grand jury présidé par l'immense réalisateur mauritanien, Abderrahmane Sissako. Un film qui vient d'un pays “difficile” confronté, entre autres, à la double crise alimentaire et sécuritaire. Il succède ainsi à The Mercy of the jungle du Rwandais Joël Karekezi, le gagnant de l'Étalon d'or de Yennenga du Fespaco 2019. (…) Ce 27e Fespaco a été celui de la résilience, note encore WakatSéra, contraint de s'adapter au double défi sécuritaire et sanitaire, Covid-19 et attaques armées, que vit le Burkina Faso, à l'instar d'autres pays, notamment ceux du Sahel. (…) Le festival aura été bien masqué, donc, Covid-19 oblige, et surveillé comme du lait sur le feu par des Forces de défense et de sécurité qui étaient sur les dents durant une semaine. » Il n'empêche, poursuit WakatSéra, « les salles obscures ont, assez bien, partagé le monde des festivaliers avec la célèbre rue marchande du Fespaco, éclatée en plusieurs endroits, et où ont été dégustés brochettes succulentes et poulets bicyclettes, dans un vacarme de rythmes musicaux, vomis par des enceintes braillant à tue-tête. » Confiance retrouvée « “Les tensions sécuritaires ont changé nos mentalités, nos comportements”, raconte, dansLe Point Afrique, Rakis Rodrigue Kaboré, qui exploite une salle de cinéma de 1 050 places au cœur du quartier Cité An III à Ouaga. “On est devenus plus prudents et suspicieux. Ces derniers mois, dans les cinémas, nos recettes ont baissé. Quand les gens entendent qu'il y a eu une attaque d'envergure, ils préfèrent rester chez eux. Le Fespaco a donc permis de redonner confiance au public burkinabé, qui est revenu dans les salles. La fréquentation a été timide les deux premiers jours du festival, les gens ont attendu de voir que le dispositif sécuritaire était sérieux. Et puis à partir du troisième jour, on a dû refuser du monde pour certains films”, remarque encore l'exploitant de salle. Ce fut le cas, par exemple, ce jeudi soir à 20 h 30, lors de la diffusion de La Nuit des rois, du Franco-Ivoirien Philippe Lacôte. » Une caméra comme « une arme de poing » Jeune Afrique note qu'un « “mini Fespaco” itinérant doit avoir lieu dans le nord du Burkina Faso, région la plus touchée par les attaques djihadistes qui, en six ans, ont fait environ 2 000 morts et 1,4 millions de déplacés. » Et justement, pointe Le Monde Afrique, l'un des documentaires présentés au festival raconte cette crise sécuritaire qui mine le nord du pays depuis 6 ans. Il s'agit de Massiiba, le mal d'un peuple, de Seidou Samba Touré. « Une ode à la résilience des populations de la région burkinabé du Sahel. Sa caméra : son arme de poing face à l'extrémisme violent. (…) Seidou Samba Touré a pu filmer ses terres natales, en “zone rouge”, sillonnant les routes à moto, un petit caméscope caché dans son sac, avant, dit-il, qu'il ne soit “trop tard”. “Aujourd'hui, ce film aurait été impossible”, indique encore le jeune cinéaste originaire de Gorom-Gorom, dans la zone dite “des trois frontières”, près du Mali et du Niger, où se sont réfugiés plus de 30 000 déplacés fuyant les violences des groupes terroristes. Il raconte le Gorom-Gorom “d'avant” et son marché grouillant de commerçants et d'artisans de la région, peuls, touaregs, songhaï. Oursi, la cité du désert, où affluaient des dizaines de touristes étrangers chaque jour, venus se balader à dos de dromadaire et dormir à la belle étoile. Un autre temps, révolu, qui a laissé place à un champ de ruines, d'écoles et de maisons brûlées par les groupes armés. (…) Le rêve de Seidou Samba Touré, pointe encore Le Monde Afrique : organiser une projection de Massiiba à Gorom-Gorom et créer une école de cinéma pour les jeunes Sahéliens. “C'est à nous de raconter notre histoire”, insiste en souriant le cinéaste, qui forme déjà douze jeunes au documentaire sur smartphone. »

Invité Afrique
Invité Afrique - Abderrahmane Sissako: «Le comité de sélection du Fespaco a visionné plus de 1000 films»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 25, 2021 4:51


Au Burkina Faso, le Fespaco 2021 a refermé ses portes ce samedi 23 octobre à Ouagadougou. C'était la 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision. Le grand prix, l'étalon d'or de Yennenga, a été attribué au réalisateur somalien Ahmed Khadar pour son film « La femme du fossoyeur ». Malgré les risques (pandémie de Covid-19, questions de sécurité, …), le Fespaco s'est bien déroulé. Le cinéaste et producteur mauritanien Abderrahmane Sissako, président du jury dans la catégorie Long métrage, est l'invité de Guillaume Thibault, notre envoyé spécial au Burkina Faso. RFI: Pourquoi ce film vous a tant marqué, pourquoi La femme du fossoyeur a gagné le grand prix du Fespaco 2021 ? Abderrahmane Sissako : La Femme du fossoyeur raconte certes une souffrance de gens démunis, ce sont les fossoyeurs, qui attendent que quelqu'un meurt pour gagner un peu. C'est dramatique. Mais, ce sont des gens dignes qui ont une force et une honnêteté.  Et La Femme du fossoyeur c'est l'histoire d'une femme malade qui va mourir et son mari qui se bat, qui se bat pour elle, pour l'amour et le film a touché le jury. Tout cela est raconté avec une grande simplicité, mais avec une grande beauté. Ce film est joué par des gens qui ne sont pas des acteurs. Cela a été quelque chose d'important et d'extraordinaire. Malheureusement, le réalisateur du film Ahmed Khadar n'était pas présent à Ouagadougou. Est-ce que vous le connaissez un petit peu, est-ce que vous pouvez nous le présenter ? Non, malheureusement. C'est son premier film et c'est quelqu'un que je ne connais pas et que je ne connaissais pas. J'ai découvert son travail et c'est quelqu'un de très talentueux et j'ai vu qu'il a la passion du métier. Il a une forme de maîtrise, parce qu'un premier film aussi touchant et aussi émouvant, c'est très rare. Je serais très ravi de le rencontrer. On est dans « quelque chose d'exceptionnel » justement ? Oui. Et dans la force des films, la force. D'abord, il faut savoir que le comité de sélection a visionné plus de 1 000 films. C'est énorme, il y a aussi les films de la diaspora. L'Etalon d'argent est un film porté par l'haïtienne Gessica Généus, Freda est un film magnifique, digne aussi. Tous les films ont ce côté de la souffrance racontée dignement. C'est quelque chose que j'ai beaucoup ressenti. On peut l'évoquer, on en avait parlé avant quand on était dans le secret justement de vos délibérations, et vous me nous disiez, on a eu entre membres du jury des discussions magnifiques, justement parce qu'il y avait de la qualité et qu'il y avait des belles choses… Parce que la beauté d'un palmarès vient d'une forme de cohésion d'un jury. Moi, j'ai eu la chance de travailler avec 6 autres personnes. Nous étions 7. Des gens qui ne viennent pas toujours du cinéma. Et quand on prend quelqu'un comme A'Salfo, Salif Traoré, le leader du groupe musical Magic System, qui est la fierté du continent africain, un des plus grands musiciens de notre continent, mais qui a une sensibilité extraordinaire. J'ai été surpris du regard qu'il porte sur les histoires. C'est quelque chose qui m'a beaucoup touché. Travailler avec une femme, une grande chorégraphe, Germaine Acogny, danseuse, qui a une grande sensibilité. Trois femmes dans le jury, c'est bien aussi. C'est l'air du temps, les femmes prennent leur place, ne cherchent plus à ce que l'on leur donne une place. Elles s'imposent par leur aura, elles s'imposent par le travail. Et donc, quand on discute avec tant de personnes magnifiques, c'est d'abord passionnant de le faire, la délibération devient plus simple, le palmarès, à mon avis, plus juste. Vous parlez toujours des autres. Vous, c'est une fierté d'avoir porté ce Fespaco jusqu'au bout ? C'était important pour moi d'accepter de présider ce jury malgré la situation sécuritaire difficile ici au Burkina en particulier, et au Mali aussi. C'est un moment important pour défier, accompagner ce peuple burkinabè, pour le soutenir dans le choix d'honorer le cinéma, coûte que coûte, malgré la pandémie, malgré l'insécurité. Le Burkina a fait ce travail. Donc, c'est très important pour un cinéaste de venir et de défendre, et de ne pas avoir peur. Je dis, je suis honoré d'avoir été choisi pour cela et je suis fier que le peuple burkinabè a tenu de façon extraordinaire. De plus en plus, on nous isole en parlant de la peur. Lorsqu'on défie la peur de cette façon et qu'on vient, tous ceux qui sont venus sont pour moi des gens courageux. Ils viennent de plusieurs pays d'Afrique, mais d'Europe aussi. Et ça, c'est courageux lorsqu'on est capable de se positionner de cette façon. C'est un sacré beau message d'espoir collectif que vous avez su créer justement avec cette diversité. Cela annonce peut-être des jours meilleurs et cela donne de l'espoir ? Il faut véritablement que l'art, le cinéma soient un vecteur important pour le politique et il faut que le politique soit de plus en plus conscient. Et je crois que c'est ce qui se fait lorsque deux présidents assistent et donnent l'Etalon d'or.

Rendez-vous culture
Rendez-vous culture - Burkina Faso: coup d'envoi du Fespaco, la grande fête du cinéma africain

Rendez-vous culture

Play Episode Listen Later Oct 17, 2021 2:38


Le Fespaco, festival créé en 1969, véritable institution qui a été décalée en début d'année, menacée par la crise sécuritaire que traverse toute la sous-région, a bel et bien lieu. 17 films sont sélectionnés dans la catégorie reine, celle des longs métrages. Et pour cette 27e édition, la volonté est de mettre en avant les nouvelles générations de créateurs. « La lutte ou la mort, nous vaincrons », scandait Thomas Sankara. Un adage qui colle au cinéma africain dont le chemin est encore long à parcourir pour émerger. Malgré la multiplication des films et des séries, malgré les divers moyens de diffusion, les nouvelles générations rencontrent les mêmes difficultés que les anciennes. Même le président burkinabè Roch Marc Christian Kabore s'est interrogé à la sortie de la cérémonie d'ouverture : « Quelles sont les difficultés, les contraintes, les perspectives du cinéma africain ? Il faudra que l'ensemble des acteurs de la profession se penche sur la question, pour que nous puissions lever tous les verrous qui empêchent le cinéma africain de prospérer. » Soutenir les nouvelles générations La direction du Fespaco a clairement fait le choix de mettre le cinéma en avant, d'éviter de politiser une fois de plus un festival qui célèbre ses 52 années d'existence. Le thème de cette édition : « Cinéma d'Afrique et diaspora : nouveaux regards, nouveaux défis ». Le fait de choisir le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako va dans cette volonté de transmettre. « Je suis très ému que des films aient été réalisés pendant cette période de pandémie. Il y a aussi le rajeunissement de la profession cinématographique et l'engagement des États reste quand même quelque chose de très faible ! C'est dommage pour cette jeunesse. » Acteur, musicien, le Burkinabè Smockey, Serge Bambara à l'état civil, fondateur du Balai Citoyen s'est fortement impliqué pour ce Fespaco, notamment pour la cérémonie d'ouverture avec le chorégraphe Serge Aimé Coulibaly. Pandémie, crise sécuritaire, le militant inspiré par Thomas Sankara adresse un message très clair aux nouvelles générations de créateurs. « C'est une épreuve de plus qu'il faut surmonter, une de plus, mais ce n'est pas la forteresse la plus imprenable, explique-t-il. Cela va permettre effectivement à cette jeunesse de comprendre qu'elle a besoin de se construire sur des obstacles. Sans obstacle, on n'arrive à rien. » Signe que le cinéma africain a continué à vivre malgré les difficultés, plus de 1 100 films ont été proposés au comité de sélection. 17 sont cette semaine en compétition dans la catégorie long métrage. Les prix seront décernés samedi 23 octobre lors de la cérémonie de clôture.

MSU Press Podcast
The Beautiful Skin: Football, Fantasy, and Cinematic Bodies in Africa

MSU Press Podcast

Play Episode Listen Later May 3, 2021 44:50


The Beautiful Skin: Football, Fantasy, and Cinematic Bodies in Africa is an original and provocative study of contemporary African film and literature. In the book, Vlad Dima investigates how football and cinema express individual and collective fantasies. Shedding new light on both well-known and less familiar films, The Beautiful Skin asks just whose fantasy is articulated in football and African cinema. Answering this question leads Dima to explore body and identity issues through the metaphor of skin: fantasy as a skin; the football jersey as a skin; and ultimately film itself as a skin that has visual, aural, and haptic qualities. In the neocolonial context, the body is often depicted as suffering through processes of being flattened or emptied out. So frequently do African cinema and literature reproduce this image of the hollowed body, the body of all skin, as it were, that it comes to define neocolonialism. Throughout this book, Dima seeks to answer whether the body of film—the depth of both characters and story within the cinematic skin—could carry us into the post-neocolonial era, an era defined by “full” bodies and personal affirmation. Vlad Dima is Professor of African Cultural Studies and French at the University of Wisconsin–Madison. He is the author of Sonic Space in Diop Mambety’s Films and numerous articles, mainly on French and francophone cinemas, but also on francophone literature, comics, American cinema, and television. His third book, “Meaning-Less-Ness in Postcolonial Cinema” is also forthcoming from MSU Press.The Beautiful Skin: Football, Fantasy, and Cinematic Bodies in Africa is available at msupress.org and other fine booksellers. You can connect with the press on Facebook and @msupress on Twitter, where you can also find me @kurtmilb.The MSU Press podcast is a joint production of MSU Press and the College of Arts & Letters at Michigan State University. Thanks to the team at MSU Press for helping to produce this podcast. Our theme music is “Coffee” by Cambo. Michigan State University occupies the ancestral, traditional, and contemporary Lands of the Anishinaabeg – Three Fires Confederacy of Ojibwe, Odawa and Potawatomi people. The University resides on Land ceded in the 1819 Treaty of Saginaw.

Dans quel Monde on vit
Dans quel Monde on vit - Goût du monde et beauté de l’amitié avec Felwine Sarr et Mathieu Lindon - 23/01/2021

Dans quel Monde on vit

Play Episode Listen Later Jan 23, 2021 53:37


Il voyage pour « goûter le monde, le connaître, élargir ses géographies, visiter ses semblables (…) et rencontrer l’inattendu. ». Ce samedi, nous découvrons le carnet de voyages de l’écrivain et économiste Felwine Sarr. A l’heure de la crise sanitaire, il nous indiquera, aussi, les chemins vers des voyages immobiles et intérieurs. Son nouveau livre a pour titre : « La saveur des derniers mètres. » (Philippe Rey). C’est à une sorte de voyage dans le temps que nous convie l’écrivain Mathieu Lindon. Dans son nouveau livre (« Hervelino », chez P.O.L), il évoque quelques fragments de son amitié avec l’écrivain Hervé Guibert. C’était à la fin de sa vie. A la Villa Médicis à Rome. Guibert touché par le sida et mort en 1991 à l’âge de 36 ans. Dans « En toutes lettres ! », la journaliste et écrivaine Pascale Clark écrit à Douglas Emhoff, le mari de Kamala Harris. Choix culturels : - Le série « En Thérapie » qui est l’adaptation par Éric Toledano et Olivier Nakache de la série israélienne “BeTipul” à voir sur Arte.tv à partir du 28 janvier 2021. - La pièce de théâtre « Le vol du Boli » de Abderrahmane Sissako et Damon Albarn. - Le roman « T. Singer » de Dag Solstad (Notabilia). - La chanteuse belge Iliona dont le premier EP « Tristesse » sort le 5 février prochain.

TV5MONDE - 300 millions de critiques
« Le Vol du boli » / Jane Birkin / Covid-19 et cinéma

TV5MONDE - 300 millions de critiques

Play Episode Listen Later Jan 16, 2021 50:59


Guillaume Durand et ses chroniqueurs se sont installés pour trois émissions au Musée d'art moderne de Paris, dont TV5MONDE est partenaire, au coeur de collections qui représentent la richesse de la création artistique des XXe et XXIe siècles. Au sommaire : « Le Vol du boli » L'affiche laissait présager un énorme succès et des dates à foison... La pandémie de Covid-19 en a décidé autrement. « Le Vol du boli » est un spectacle qui a été présenté du au 9 octobre 2020 sur la scène du théâtre du Châtelet à Paris. Abderrahmane Sissako, le célèbre cinéaste mauritanien, et Damon Albarn, le non moins célèbre musicien anglais, y racontent le parcours d'un boli, fétiche animiste malien, entre Afrique et Europe, du XIIe au XXIe siècle. Jane Birkin Elle est la plus francophone des artistes anglaises. Jane Birkin revient avec « Oh ! Pardon tu dormais... », dont elle a écrit les textes. Un album intimiste conçu avec Étienne Daho et composé avec Jean-Louis Piérot. Et si c'était la fin du 7e art ? Selon un rapport du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC), 65 millions d'entrées en salles ont été enregistrées en France en 2020, contre 213 millions en 2019, soit une chute de la fréquentation de près de 70%. La situation est identique en Suisse, en Belgique, au Québec... Désormais, les producteurs envisagent des sorties directement sur les plateformes payantes, devenues leurs principales sources de financement. Le cinéma est-il menacé de disparition ? Invitée : Odile Burluraux conservatrice au MAM Paris, commissaire de l'expostion « The Power of My Hands - Afrique(s) : artistes femmes » (22 janvier au 22 mai 2021). Présentation : Guillaume Durand. Avec la participation de Michel Cerutti (RTS), Sylvestre Defontaine (RTBF), Laura Tenoudji (France Télévisions), Denise Époté (TV5MONDE), Yves Bigot (TV5MONDE). Depuis le MAM Paris.

Vous m'en direz des nouvelles !
Vous m'en direz des nouvelles ! - Fatoumata Diawara et Abderrahmane Sissako, un chœur africain bat au Théâtre du Châtelet

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later Oct 5, 2020 48:30


La chanteuse Fatoumata Diawara et le cinéaste Abderrahmane Sissako présentent, au Théâtre du Châtelet, un opéra contemporain qui met en musique les relations complexes entre l'Europe et l'Afrique. Fatoumata Diawara est l’une des plus grandes voix d’Afrique. Chanteuse, autrice et compositrice, elle est aussi comédienne. Elle met toute l’étendue de son talent et de ses émotions au service d’un spectacle qui sera bientôt à l’affiche du Théâtre du Châtelet à Paris : «Le Vol du Boli». La musique est signée Damon Albarn, la figure de proue de Gorillaz et Blur, cheville ouvrière du collectif «Africa Express». Le livret et la mise en scène est l'oeuvre d'Abderrahmane Sissako, cinéaste mauritanien de l’inoubliable «Timbuktu», film aux 7 Césars en 2015. «Le Vol du Boli» est un opéra contemporain qui, par le biais de la musique, de la chanson, du cinéma et de l'art dramatique nous conte la relation complexe et si souvent cruelle entre l’Afrique et l’Europe. «Le Vol du Boli» est à applaudir au Théâtre du Châtelet à Paris les 7, 8 et 9 octobre 2020. Reportage : Jeudi 1er octobre, au Théâtre de la Cité Internationale, à Paris, s’est ouvert la 15ème édition du festival « La voix est libre ». A l’affiche : Co-Lapsus. « une collision fertile » entre les textes – souvent inédits - de l’écrivain français Alain Damasio et le « savoir-frères » d’artistes venus du cirque, de la danse, de la transe et des musiques libres. Un reportage d’Hortense Volle.

Culture en direct
Abderrahmane Sissako, l'Afrique en-chantée

Culture en direct

Play Episode Listen Later Sep 30, 2020 27:12


durée : 00:27:12 - La Grande table culture - par : Olivia Gesbert - Après le grand écran, Abderrahmane Sissako nous propose au théâtre du Chatelet un opéra moderne, "Le Vol du Boli", explorant les relations entre l'Europe et l'Afrique à travers les âges... - réalisation : Thomas Beau - invités : Abderrahmane Sissako Cinéaste et producteur mauritanien

Le grand podcast de voyage
Abderrahmane Sissako, l'Afrique en-chantée

Le grand podcast de voyage

Play Episode Listen Later Sep 30, 2020 27:12


durée : 00:27:12 - La Grande table culture - par : Olivia Gesbert - Après le grand écran, Abderrahmane Sissako nous propose au théâtre du Chatelet un opéra moderne, "Le Vol du Boli", explorant les relations entre l'Europe et l'Afrique à travers les âges... - réalisation : Thomas Beau - invités : Abderrahmane Sissako Cinéaste et producteur mauritanien

France Culture physique
Abderrahmane Sissako, l'Afrique en-chantée

France Culture physique

Play Episode Listen Later Sep 30, 2020 27:12


durée : 00:27:12 - La Grande table culture - par : Olivia Gesbert - Après le grand écran, Abderrahmane Sissako nous propose au théâtre du Chatelet un opéra moderne, "Le Vol du Boli", explorant les relations entre l'Europe et l'Afrique à travers les âges... - réalisation : Thomas Beau - invités : Abderrahmane Sissako Cinéaste et producteur mauritanien

ONDEM Podcasts
ONDE Política #025 – Cinema africano

ONDEM Podcasts

Play Episode Listen Later Aug 28, 2020 34:22


O historiador Victor Martins de Souza volta a'O Nome Disso é Política para discutir o cinema africano, destacando propostas, argumentos, estéticas e o que há de racismo e preconceito no olhar ocidental sobre África. Apresentação: Heitor Loureiro Entrevistado: Victor Martins de Souza Edição: 20 a 20 Arte da vitrine: JP Martins Feed: http://onomedissoemundo.com/feed/podcast/ Streaming: Spotify — Booking — Reserve seu hotel pelo Booking.com. — Links — Apoia.se do ONDEM Grupo do ONDEM no Facebook Telegram do ONDEM ONDE África #008 – O Sol do cinema ONDE Política #013 – Cinema “A Aljava e o Arco: o que a África tem a dizer sobre Direitos Humanos – um estudo da Carta Mandinga”, por Victor Martins “A poética e a política no cinema de Glauber Rocha e Sembene Ousmane”, por Victor Martins “Olhares sobre o Contemporâneo”, por Victor Martins. Touki Bouki, por Djibril Diop (1973) La Noire de…, por Ousmane Sembène (1966) Keïta! l'Héritage du griot, por Dani Kouyaté (1995) Assaltos em Luanda, por Henrique Narciso - Dito (2005) Bamako, por Abderrahmane Sissako (2006) Nelisita: narrativas nyaneka, por Ruy Duarte de Carvalho (1982) Nha Fala, por Flora Gomes (2002) Uma Estética da Fome, por Glauber Rocha (1965) Você pode entrar em contato com a gente pelo Twitter, Instagram e Facebook. Para não perder nenhum episódio, assine o podcast no iTunes, no seu agregador de podcast preferido ou no Spotify. Para apoiar o ONDEM, acesse apoia.se/ondem e contribua com nosso projeto.

Kino Madness
La La Land vs Timbuktu with Scott Shanbom

Kino Madness

Play Episode Listen Later Aug 5, 2020 100:00


You like jazz? This episode pits Damien Chazelle's 2016 romantic comedy musical "La La Land" versus Abderrahmane Sissako's 2014 drama "Timbuktu" Subscribe to our feed wherever you get your podcasts at: anchor.fm/s/16ba53cc/podcast/rss Current tourney bracket: https://challonge.com/nu6s6yc8 Featuring Leo (https://letterboxd.com/lab_521/) Nathaniel (https://letterboxd.com/nattycboi/) Adam (https://letterboxd.com/ASChronister/) and Scott Shanbom (https://letterboxd.com/sshanbom/)

Luxfilmfest Podcast
Luxfilmfest Podcast #6 - Masterclass: Abderrahmane Sissako (FR)

Luxfilmfest Podcast

Play Episode Listen Later Aug 14, 2019 91:25


Le travail d'Abderrahmane Sissako se nourrit des thématiques de l'Afrique post-coloniale, de l'exil et des dynamiques Nord/Sud, qui sont abordées avec force et poésie dans ses nombreux films qui connaissent un franc succès. Premier cinéaste africain à obtenir le César du meilleur réalisateur avec « Timbuktu » (film présenté en compétition officielle au Festival de Cannes en 2014), le réalisateur et producteur mauritanien Abderrahmane Sissako converse avec l'écrivain, journaliste et critique de cinéma Michel Ciment (« Positif ») dans cette masterclass enregistrée devant public le 15 mars 2019 au Ciné Utopia lors du 9e Luxembourg City Film Festival. Au cours de leur discussion, les deux se plongent dans le cinéma de l'exil qui a permis à Abderrahmane Sissako d'acquérir une notoriété mondiale. Le réalisateur parle de son enfance au Mali, de sa passion pour le western, comment une table de tennis de table l'a amené à l'Institut national de cinématographie VGIK à Moscou et un séjour de 10 ans en URSS. Il évoque le film préféré de son œuvre – « Rostov-Luanda » - et l'importance du cinéma comme langue universelle dans sa genèse et élabore comment, grâce à son métier de cinéaste, il a pu montrer à l'Europe et le reste du monde la particularité du continent africain. Dans toute la conversation prévalent la critique du colonialisme de l'Afrique du réalisateur, ainsi que son optimisme et sa notion que l'exile est une opportunité, une chance de s'enrichir. Contient des extraits des films « La Vie sur terre » (1998), « En attendant le bonheur (Heremakono) » (2002), « Bamako » (2006) et « Timbuktu » (2014). Lien vers l'article de The Wire contextualisation la citation du Lord Thomas Babington Macaulay : https://thewire.in/history/macaulays-speech-never-delivered

Face2Face with David Peck
Mali Blues - TIFF 2016 - Lutz Gregor

Face2Face with David Peck

Play Episode Listen Later Oct 25, 2016 26:03


Lutz and I talk about his new film Mali Blues, the question of culture, colonialism, the power of music to evoke emotion and change and artful disruption.   For more information about TIFF go here.   IMDB Trailer   More info about the film here.   Synopsis With her radiant voice and magnetic presence, Fatoumata Diawara, known as Fatou, is a rising star in world music. In her home country of Mali, music traditions are deep and varied, but their longevity was threatened when Islamic fundamentalists banned music in northern desert towns for several months beginning in 2012. (Diawara had a memorable cameo in Abderrahmane Sissako's Academy Award-nominated film Timbuktu as a singer being punished.) Having fled Mali as a young woman to escape an arranged marriage, Diawara's personal relationship to the country is complicated. In Mali Blues, we follow her as she returns in 2015 to give her first home concert at the Festival of the Niger in the southern Mali city of Ségou. Director Lutz Gregor treats our eyes to dazzling colours and clothing; and our ears to a rich array of African melodies. For a small country, Mali contains a multiplicity of ethnicities and musical strains. The centuries-old ngoni string instrument is said to be a precursor of the banjo. We hear from one of its modern masters, the griot Bassekou Kouyaté, who firmly believes that voices are stronger than weapons. Diawara meets with Tuareg musician Ahmed Ag Kaedi, whose guitar playing evokes Afro pop legend Ali Farke Touré and who was forced to flee his desert home under threats that fundamentalists would cut off his fingers. Another featured musician is the skilled rapper Master Soumy. For audiences discovering these talents for the first time, Mali Blues is a powerful testament to Mali's music and a tribute to the resilience of its people. Biography Lutz Gregor was born in Berlin. His films include Kontakt Triptychon, Königskinder, Frankfurt Dance Cuts, Zanzibar’s First Women’s Orchestra, and Mali Blues. ---------- For more information about my podcasting, writing and public speaking please visit my site here. With thanks to producer Josh Snethlage and Mixed Media Sound. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Kritiken
Northug, Timbuktu och Takanen

Kritiken

Play Episode Listen Later Feb 24, 2015 44:31


Lena Andersson, författare, kritiker och före detta elitskidåkare diskuterar biografin om det norska fenomenet Petter Northug. Den hyllade fransk-mauretanska filmen "Timbuktu" skildrar tiden under 2012 då islamistisk milis styrde och skövlade i delar av Mali. Vad gör filmen så bra? Dessutom hör vi Anna Takanen som nu lämnar Stadsteatern i Göteborg för att ta över som chef på Stockholms stadsteater. Lena Andersson, författare, kritiker och före detta elitskidåkare besöker Kritiken för att mitt under brinnande Skid-VM diskutera det norska fenomenet Petter Northug och den biografi av Sverre M Nyrønning som kommit på svenska. Den fransk-mauretanska filmen "Timbuktu" av Abderrahmane Sissako har fått lysande recensioner i svenska tidningar. Filmen utspelar sig i den i den legendomspunna ökenstaden under 2012 då islamistisk milis styrde och skövlade i delar Mali i Västafrika. Filmvetaren och kritikern Nathan Hamelberg talar med Lena Andersson om filmen. I serien ”Verket som värker” samtalar Miriam Håstad Leandoer med Valentina Geber Tandberg om Engelsbergstrilogin: Cirkeln, Eld och Nyckeln, skrivna av Sara Bergmark Elfgren och Mats Strandberg. Dessutom hör vi Anna Takanen som nu lämnar jobbet som konstnärlig ledare på Stadsteatern i Göteborg för att ta över som chef på Stockholms stadsteater. Hon avslutar med att regissera sin hittills mest omfattande pjäs ”Fosterlandet”, skriven av Lucas Svensson. Medverkande: Lena Andersson, författare, kritiker och skidlöpare Nathan Hamelberg, filmvetare och kritiker Mattias Berg, kritiker på Sveriges Radios kulturredaktion Programledare Gunnar Bolin Bisittare Jenny Teleman Producent Karsten Thurfjell

Film at Lincoln Center Podcast
#17 - Abderrahmane Sissako

Film at Lincoln Center Podcast

Play Episode Listen Later Feb 10, 2015 28:34


Director Abderrahmane Sissako is the focus of this week's episode. The filmmaker joined co-host Brian Brooks on stage during last year's New York Film Festival to discuss TIMBUKTU. The film, which is currently in theaters, is nominated for the Academy Award for best foreign language film. This talk was a part of our NYFF Live series, which is sponsored by HBO®. This series of free talks extends beyond the festival with year-round discussions from actors and filmmakers. Check filmlinc.com for more information. This podcast is brought to you by The Film Society of Lincoln Center. Film Lives Here. www.filmlinc.com

Fred English Channel » FRED English Podcast
Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014

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Play Episode Listen Later May 16, 2014


Adberrahmane Sissako, Director, Timbuktu  Festival section: Main Competition FRED meets Abderrahmane Sissako, director of the film TIMBUKTU, presented in the official selection of the 67th Cannes Film Festival. Timbuktu is silent, the doors closed, the streets empty. No more music, no tea, no cigarettes, no bright colors, no laughs. The [...] The post Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014 appeared first on Fred Film Radio.

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Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014

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Play Episode Listen Later May 16, 2014


Adberrahmane Sissako, Director, Timbuktu  Festival section: Main Competition FRED meets Abderrahmane Sissako, director of the film TIMBUKTU, presented in the official selection of the 67th Cannes Film Festival. Timbuktu is silent, the doors closed, the streets empty. No more music, no tea, no cigarettes, no bright colors, no laughs. The [...] The post Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014 appeared first on Fred Film Radio.

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Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014

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Play Episode Listen Later May 16, 2014


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Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014

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Play Episode Listen Later May 16, 2014


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Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014

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Play Episode Listen Later May 16, 2014


Adberrahmane Sissako, Director, Timbuktu  Festival section: Main Competition FRED meets Abderrahmane Sissako, director of the film TIMBUKTU, presented in the official selection of the 67th Cannes Film Festival. Timbuktu is silent, the doors closed, the streets empty. No more music, no tea, no cigarettes, no bright colors, no laughs. The [...] The post Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014 appeared first on Fred Film Radio.

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Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014

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Play Episode Listen Later May 16, 2014


Adberrahmane Sissako, Director, Timbuktu  Festival section: Main Competition FRED meets Abderrahmane Sissako, director of the film TIMBUKTU, presented in the official selection of the 67th Cannes Film Festival. Timbuktu is silent, the doors closed, the streets empty. No more music, no tea, no cigarettes, no bright colors, no laughs. The [...] The post Adberrahmane Sissako – Timbuktu #Cannes2014 appeared first on Fred Film Radio.

Kino i Kulturradion
Festivalpodden från Cannes #3 - Timbuktu och Mr Turner

Kino i Kulturradion

Play Episode Listen Later May 15, 2014 18:42


Saman Bakhtiari och Roger Wilson berättar om sina intryck och upplevelser under filmfestivalen i Cannes. I dagens podradio handlar det om manliga konstnärsmyter och religiös fundamentalism efter visningarna av Mike Leighs nya film Mr Turner och Timbuktu av Abderrahmane Sissako.

Director Interviews - Hi Res Videos
Interview with director Abderrahmane Sissako on "Waiting for Happiness"

Director Interviews - Hi Res Videos

Play Episode Listen Later Apr 29, 2008 11:58


Director Interviews - Video Podcasts
Interview with director Abderrahmane Sissako on "Waiting for Happiness"

Director Interviews - Video Podcasts

Play Episode Listen Later Apr 10, 2008 11:58


Amicus Radio - La Justice à l'oeil
Bamako, d’Abderrahmane Sissako

Amicus Radio - La Justice à l'oeil

Play Episode Listen Later Jan 1, 1970 39:50