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Comment réussir la transition climatique ? C'est la question que j'ai posée à quatre responsables politiques de quatre partis différents, lors d'un enregistrement en public de Chaleur humaine, le 21 novembre 2023 à Paris, à la Bibliothèque nationale de France.Pour que ce soit plus digeste, on a découpé ces quatre entretiens en quatre épisodes : celui-ci, avec Antoine Vermorel-Marques, député Les Républicains de la Loire, est le dernier de la série. Il succède à François Ruffin, député de la Somme (La France Insoumise), Agnès Pannier-Runacher, ex-ministre de la transition énergétique, et Delphine Batho, député écologiste des Deux-Sèvres.« Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Lemonde.fr, Apple Podcast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Cet épisode a été produit par Cécile Cazenave et réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard. Il a été réalisé grâce à l'aide de l'équipe du Monde Ateliers, Kévin Hurtaud, Josefa Lopez et Estelle Lavielle. Merci à la BNF pour son accueil.Chaleur humaine c'est aussi un livre qui reprend 18 épisodes du podcast en version texte, que vous pouvez retrouver dans votre librairie favorite.C'est toujours une infolettre hebdomadaire à laquelle vous pouvez vous inscrire gratuitement ici.Vous pouvez toujours m'écrire et poser vos questions à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.fr
Comment réussir la transition climatique ? C'est la question que j'ai posée à quatre responsables politiques de quatre partis différents, lors d'un enregistrement en public de Chaleur humaine, le 21 novembre 2023 à Paris, à la Bibliothèque nationale de France.Pour que ce soit plus digeste, on a découpé ces quatre entretiens en quatre épisodes : celui-ci, avec Delphine Batho, député écologiste des Deux-Sèvres, est le troisième de la série. Elle succède François Ruffin, député de la Somme (La France Insoumise) et Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition énergétique, dont vous pouvez retrouver les épisodes dans votre application de podcast. Le quatrième épisode de cette série, qui sera publié le 30 janvier, sera avec Antoine Vermorel-Marques, député Les Républicains de la Loire.« Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Lemonde.fr, Apple Podcast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Cet épisode a été produit par Cécile Cazenave et réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard. Il a été réalisé grâce à l'aide de l'équipe du Monde Ateliers, Kévin Hurtaud, Josefa Lopez et Estelle Lavielle. Merci à la BNF pour son accueil.Chaleur humaine c'est aussi un livre qui reprend 18 épisodes du podcast en version texte, que vous pouvez retrouver dans votre librairie favorite.C'est toujours une infolettre hebdomadaire à laquelle vous pouvez vous inscrire gratuitement ici.Vous pouvez toujours m'écrire et poser vos questions à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.fr
Comment réussir la transition climatique ? C'est la question que j'ai posée à quatre responsables politiques de quatre partis différents, lors d'un enregistrement en public de Chaleur humaine, le 21 novembre 2023 à Paris, à la Bibliothèque nationale de France. Pour que ce soit plus digeste, on a découpé ces quatre entretiens en quatre épisodes : celui-ci, avec Agnès Pannier-Runacher, ex-ministre de la transition énergétique, est le deuxième de cette série. Il a été enregistré alors qu'elle occupait encore cette fonction, avant le remaniement du gouvernement du 11 janvier 2024.Le premier épisode, publié le 9 janvier, était avec François Ruffin, député de la Somme (La France Insoumise). Les prochains épisodes verront se succéder Delphine Batho, députée Génération écologie des Deux-Sèvres (publié le 23 janvier) et Antoine Vermorel-Marques, député Les Républicains de la Loire (publié le 30 janvier).« Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Lemonde.fr, Apple Podcast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Cet épisode a été produit par Cécile Cazenave et réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard. Il a été réalisé grâce à l'aide de l'équipe du Monde Ateliers, Kévin Hurtaud, Josefa Lopez et Estelle Lavielle. Merci à la BNF pour son accueil.Chaleur humaine c'est aussi un livre qui reprend 18 épisodes du podcast en version texte, que vous pouvez retrouver dans votre librairie favorite.C'est toujours une infolettre hebdomadaire à laquelle vous pouvez vous inscrire gratuitement iciVous pouvez toujours m'écrire et poser vos questions à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.fr
Comment réussir la transition climatique ? C'est la question que j'ai posée à quatre responsables politiques de quatre partis différents, lors d'un enregistrement en public de Chaleur humaine, le 21 novembre 2023 à Paris, à la Bibliothèque nationale de France. Pour que ce soit plus digeste, on a découpé ces quatre entretiens en quatre épisodes : le premier est avec François Ruffin, député de la Somme (La France Insoumise). Les prochains épisodes verront se succéder Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition énergétique (publié le 16 janvier), Delphine Batho, députée Génération écologie des Deux-Sèvres (publié le 23 janvier) et Antoine Vermorel-Marques, député Les Républicains de la Loire (publié le 30 janvier).« Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Lemonde.fr, Apple Podcast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Cet épisode a été produit par Cécile Cazenave et réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard. Il a été réalisé grâce à l'aide de l'équipe du Monde Ateliers, Kévin Hurtaud, Josefa Lopez et Estelle Lavielle. Merci à la BNF pour son accueil.Chaleur humaine c'est aussi un livre qui reprend 18 épisodes du podcast en version texte, que vous pouvez retrouver dans votre librairie favorite.C'est toujours une infolettre hebdomadaire à laquelle vous pouvez vous inscrire gratuitement ici.Vous pouvez toujours m'écrire et poser vos questions à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.fr
Afin de réaliser des économies d'énergie, un décret a été pris en octobre dernier pour obliger l'extinction des dispositifs de publicité lumineuse la nuit entre 01h00 et 06h00. Pour contribuer à la "sobriété énergétique" prônée par le gouvernement, les opérateurs de ces infrastructures (notamment SNCF et Aéroports de Paris) ainsi que les régies publicitaires (JCDecaux et Médiatransports) ont signé une "charte d'engagement".Dans ce document consulté par l'AFP, les signataires s'engagent à éteindre ou mettre en veille les écrans numériques et les affiches rétroéclairées pendant les horaires de fermeture au public d'ici le 1er janvier 2024. Je cite Clément Beaune, ministre délégué aux Transports, "cela commence dès maintenant, mais il faut installer de nombreux dispositifs d'extinction ou de mise en veille qui n'existent souvent pas". Pour traduire, installer des interrupteurs. Dans une annexe de cette charte, la SNCF s'engage par exemple à réduire de 71 % la consommation électrique de son parc de publicités lumineuses d'ici 2031 par rapport à 2022, et à diminuer de 45 % les émissions de carbone liées à ces dispositifs pendant la même période. L'Agence nationale de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a révélé en 2020 que les 1 400 écrans publicitaires numériques parisiens présents dans le métro et les gares consommaient "autant d'électricité en un an que 21 écoles de 10 classes". L'agence a également ajouté que les émissions annuelles de gaz à effet de serre de ces 1 400 écrans représentaient "autant que les émissions dues à l'utilisation du métro parisien par 20 millions de passagers".En amont de la signature de cette charte, la députée Delphine Batho avait déposé un projet de loi à l'Assemblée nationale interdisant toute forme de publicité numérique et lumineuse dans l'espace public. Du côté du gouvernement, je cite la ministre de la transition écologique Agnès Pannier-Runacher, "nous faisons le pari de l'incitation et de la confiance, plutôt que celui de la coercition". Satisfaite de l'"acte I" du plan de sobriété lancé l'année dernière, la ministre appelle à poursuivre et à amplifier les efforts entrepris. Reste à savoir si les engagements de cette charte seront tenus en temps et en heure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Afin de réaliser des économies d'énergie, un décret a été pris en octobre dernier pour obliger l'extinction des dispositifs de publicité lumineuse la nuit entre 01h00 et 06h00. Pour contribuer à la "sobriété énergétique" prônée par le gouvernement, les opérateurs de ces infrastructures (notamment SNCF et Aéroports de Paris) ainsi que les régies publicitaires (JCDecaux et Médiatransports) ont signé une "charte d'engagement". Dans ce document consulté par l'AFP, les signataires s'engagent à éteindre ou mettre en veille les écrans numériques et les affiches rétroéclairées pendant les horaires de fermeture au public d'ici le 1er janvier 2024. Je cite Clément Beaune, ministre délégué aux Transports, "cela commence dès maintenant, mais il faut installer de nombreux dispositifs d'extinction ou de mise en veille qui n'existent souvent pas". Pour traduire, installer des interrupteurs. Dans une annexe de cette charte, la SNCF s'engage par exemple à réduire de 71 % la consommation électrique de son parc de publicités lumineuses d'ici 2031 par rapport à 2022, et à diminuer de 45 % les émissions de carbone liées à ces dispositifs pendant la même période. L'Agence nationale de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a révélé en 2020 que les 1 400 écrans publicitaires numériques parisiens présents dans le métro et les gares consommaient "autant d'électricité en un an que 21 écoles de 10 classes". L'agence a également ajouté que les émissions annuelles de gaz à effet de serre de ces 1 400 écrans représentaient "autant que les émissions dues à l'utilisation du métro parisien par 20 millions de passagers". En amont de la signature de cette charte, la députée Delphine Batho avait déposé un projet de loi à l'Assemblée nationale interdisant toute forme de publicité numérique et lumineuse dans l'espace public. Du côté du gouvernement, je cite la ministre de la transition écologique Agnès Pannier-Runacher, "nous faisons le pari de l'incitation et de la confiance, plutôt que celui de la coercition". Satisfaite de l'"acte I" du plan de sobriété lancé l'année dernière, la ministre appelle à poursuivre et à amplifier les efforts entrepris. Reste à savoir si les engagements de cette charte seront tenus en temps et en heure. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Et s'il y avait plusieurs écoféminismes? Mouvement en vogue, porté notamment par des figures politiques et médiatiques, l'écoféminisme suscite curiosités et interrogations, tant ses représentations peuvent prendre des formes diverses, incarnées par des idéologies différentes. C'est le constat de Myriam Bahaffou, écoféministe, chercheuse en philosophie féministe et autrice des paillettes sur le compost, écoféminismes au quotidien, invitée par Le Média. L'écoféminisme est revenu sur le devant de la scène et intrigue. Mouvement pluriel, à l'intersection entre écologie et féminisme, qui affirme un lien étroit entre ces mondes, est même devenu un objet de campagne électorale. Lors des élections de 2022, et avant lors des primaires écologistes, l'écoféminisme était porté en étendard par plusieurs candidates, revendiquée aujourd'hui par des députées à l'Assemblée Nationale. La médiatisation de Sandrine Rousseau et de Delphine Batho, deux députées qui ont talonnées Yannick Jadot lors de la primaire des écologistes en 2021, ont remis au goût du jour l'écoféminisme. Mais ce n'est certainement pas du goût de toutes les écoféministes, notamment de Myriam Bahaffou. Cette dernière est chercheuse en philosophie féministe et a publiée en octobre 2022 Des paillettes sur le compost, écoféminismes au quotidien, aux éditions le passager clandestin. Son livre aborde une écologie et un féminisme aux intersections du véganisme, des luttes décoloniales, queers et anti-validismes, mais aussi loin des jeux de pouvoir institutionnel. ▶ Soutenez Le Média :
Avec Delphine Batho, députée des Deux Sèvres et porte-parole de Yannick Jadot
Au programme de C à vous la suite : Invité : Delphine Batho, Porte-parole de Yannick Jadot, candidat écologiste à l'élection présidentielle • TotalEnergies attaque Yannick Jadot en diffamation • Yannick Jadot veut raccourcir les vacances d'été • Yannick Jadot, le candidat dans le viseur des chasseurs • Yannick Jadot, une candidature qui peine à décoller Invités : Mathilde Seigner, Gérard Lanvin • M. Seigner et G. Lanvin, héros anonymes dans « Les enfants des justes » • Gérard Lanvin rhabille la classe politique • Mathilde Seigner : La comédie en héritage • Gérard Lanvin et Coluche : un roman d'amitié L'Oeil de Pierre - « Le dernier témoignage », la parole des bourreaux Invité : Quentin Fillon Maillet, Quintuple médaillé aux JO de Pékin & champion du monde de biathlon • Le nouveau roi du biathlon ! • Quentin Fillon Maillet : un biathlète en or • Quentin Fillon Maillet : 5 médailles sinon rien ! • Quentin Fillon Maillet : Le champion du biathlon La Story médias - Kylian Mbappé, bas les marques ! L'ABC - Les actualités de Sebastien Thoen • Éric Zemmour: cette musique qui ne rime pas avec ses idées • Quand Marine Le Pen pousse la chansonnette • Et alors, on attend pas Patrick ?
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Delphine Batho, ancienne ministre et porte-parole de Yannick Jadot.
Elizabeth Martichoux poursuit son aventure à LCI et conserve les commandes de l'Interview Politique de 8H30. Avec son long format, Elizabeth Martichoux recevra, du lundi au vendredi, un invité au coeur des enjeux de la présidentielle, politique ou membre de la société civile.
C'est le grand titre du Parisien. « Alors que le dérèglement climatique fait partie des principales préoccupations des Français, le candidat écologiste plafonne à entre 6 % et 8 % des intentions de vote pour la présidentielle. Quelles sont les raisons de cet apparent paradoxe ? Et est-ce une fatalité ? » « "On doit arriver à imposer nos sujets, qui sont aussi ceux des Français, dans la campagne. C'est tout l'enjeu pour nous", répond Delphine Batho, proche du candidat. Et c'est bien là la difficulté des écologistes, pointe Le Parisien. Alors que le réchauffement climatique est une question majeure pour une grande majorité des Français, Yannick Jadot, qui veut incarner une écologie pragmatique et "de gouvernement", n'est toujours pas perçu comme crédible. (…) Plan d'investissement public de 50 milliards d'euros par an, TVA à 0 % sur les produits bio et de proximité, "revenu citoyen" pour les jeunes… Le programme du candidat écologiste a pourtant été travaillé et argumenté. Mais d'après un sondage du Parisien, plusieurs de ses propositions phares ne rencontrent pas le soutien des électeurs. "Le problème de Yannick Jadot, c'est qu'il n'est pas perçu comme celui qui apporte les solutions adéquates, même au plan environnemental, constate Bruno Cautrès, chercheur au Centre de recherches politiques de Sciences-po. Ce décalage est encore plus flagrant depuis l'irruption dans la campagne de la question du nucléaire liée à celle du pouvoir d'achat. La sortie sur vingt ans prônée par Jadot, est rejetée, tant en terme environnemental que social et de souveraineté." » L'horloge tourne… Alors Yannick Jadot peut-il, va-t-il, aller chercher des alliances ? « En Picardie ce week-end, le candidat vert a à nouveau rejeté la proposition d'Anne Hidalgo de participer à une primaire, pointe Libération. Chez EE-LV, on mise plutôt sur un ralliement de la candidate socialiste. » En attendant, « tic-tac, constate Libération. L'horloge de la campagne tourne. Mais les aiguilles du peuple de gauche et des celles des partis politiques ne semblent pas tout à fait sur le même rythme. (…) Les deux tiers des sympathisants de gauche plébiscitent une candidature unique, selon un récent sondage. » Et « il y a ceux pour qui c'est trop tard », à l'instar de Yannick Jadot. « Trop tard pour l'improvisation et de nouveaux débats quand le premier tour a lien dans quatre mois. Trop tard pour penser que les voix s'additionneront. (…) Mais la pression est bien là. Elle monte, relève encore Libération. Les prochains jours nous diront qui sera le maître des horloges : la base ou les partis ? » Le risque d'un effacement de la gauche En tout cas, « pour avoir une chance de figurer au second tour, la règle est immuable, croit savoir Le Télégramme : il faut s'appuyer sur un socle significatif, puis convaincre un spectre plus large d'électeurs encore hésitants. A gauche, c'est le défi que peuvent encore relever Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot. Le premier, s'il se libère de son sectarisme, le second, s'il démontre que son projet n'est pas seulement un mélange d'écologie punitive et de "wokisme". Le voudront-ils ? S'ils échouent, prévient le quotidien breton, l'effacement de la gauche, ou plus exactement des gauches, sera l'un des marqueurs historiques de cette présidentielle. On verra alors s'il débouche sur une refondation ou sur une liquidation. » Référendum sur la Nouvelle-Calédonie : un oui en trompe-l'œil À la Une également « la Nouvelle-Calédonie fait le choix de la France » : c'est le grand titre du Figaro. « Après la victoire écrasante du non à l'indépendance lors du troisième référendum d'autodétermination hier dimanche, s'ouvre désormais une période de dialogue qui doit conduire à un nouveau statut pour l'archipel. » Toutefois, commente Le Figaro, « une victoire du oui à 50,5 %, mais avec la participation de tous eut été préférable à ce résultat de 96,49 % avec l'abstention de la moitié du corps électoral. (…) En boycottant le scrutin, les Kanaks n'ont pas simplement boudé les urnes, ils ont aussi par avance disqualifié un résultat dont ils pressentaient qu'il ne leur conviendrait pas. » Et Le Figaro de s'interroger : « comment construire l'avenir avec ceux qui refusent les fondations de la future maison commune ? Comment se satisfaire de la sentence du suffrage universel quand certains n'en reconnaissent la validité que lorsqu'ils en sont les vainqueurs ? »
durée : 01:59:53 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, porte-parole de la campagne du candidat Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et Gabriel Attal, Secrétaire d'État auprès du Premier ministre, Porte-parole du Gouvernement, sont les invités de la matinale.
durée : 00:10:21 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, porte-parole de la campagne du candidat écologiste à la présidentielle, Yannick Jadot, est l'invitée de Léa Salamé. - invités : Delphine BATHO - Delphine Batho : Députée Génération écologie des Deux-Sèvres.
durée : 00:04:01 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Du meeting d'Éric Zemmour organisé hier à Villepinte à la désignation de Valérie Pécresse comme candidate de la droite en passant par la nomination de Delphine Batho comme porte-parole du candidat Yannick Jadot à la présidentielle, voici les actualités de ce lundi 6 décembre.
durée : 00:04:01 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Du meeting d'Éric Zemmour organisé hier à Villepinte à la désignation de Valérie Pécresse comme candidate de la droite en passant par la nomination de Delphine Batho comme porte-parole du candidat Yannick Jadot à la présidentielle, voici les actualités de ce lundi 6 décembre.
DROITES : LA BATAILLE EST LANCÉE ! – 06/12/21 Invités BRUNO JEUDY Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » NEILA LATROUS Journaliste politique - « France Info » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » BRUNO CAUTRÈS Politologue – Chercheur au CNRS C'est un premier déplacement tout en symboles pour Valérie Pécresse. La candidate de la droite pour la présidentielle, tout juste désignée, s'est rendue ce lundi à Saint-Martin-Vésubie, dans les Alpes-Maritimes, sur les terres de son récent rival Éric Ciotti. Un choix déterminé par l'histoire de cette commune, village des « Justes parmi les Nations », meurtrie par la tempête Alex et les inondations d'il y a un an, a expliqué Valérie Pécresse. Mais cette visite dans le village natal d'Eric Ciotti est aussi une façon de « montrer la place qu'il a pris avec sa très belle campagne et la place que ses idées aussi auront dans ma campagne ». L'enjeu de cette journée est ainsi surtout de montrer l'union entre les deux finalistes de la primaire. D'autant que vingt-quatre heures seulement après les résultats de la primaire, le rassemblement a connu déjà quelques remous. Dès dimanche, en effet, Éric Ciotti avait estimé que Valérie Pécresse n'avait pas envoyé « un bon message » alors que la candidate avait indiqué le samedi soir sur TF1 qu'elle ne reprendrait pas à son compte certaines de ses propositions phares, comme la création d'un Guantanamo à la française ou la priorité nationale pour les emplois. Il avait également annoncé dans la foulée la création de son mouvement au sein des Républicains, baptisé « À droite ! ». Une façon pour le concurrent du second tour du Congrès LR d'envoyer un message clair : il compte peser au maximum et imposer ses idées dans la campagne des Républicains. Ce lundi, la candidate des Républicains a donc voulu rassurer. Invitée sur France Inter , elle a rappelé qu'« Éric Ciotti aura évidemment une place spéciale et singulière dans ma campagne parce qu'il incarne cette ‘droite Pasqua' que nous devons mettre à l'honneur ». « Aller dans le village d'Éric Ciotti pour mon premier déplacement, c'est prendre en compte la place qu'il a pris, et que ses idées ont pris » a-t-elle expliqué, ajoutant toutefois : « mon projet ne sera pas édulcoré. Il peut être enrichi, pimenté mais pas dénaturé par les propositions de mes autres camarades candidats (…) Les militants ont tranché très clairement pour mon projet ». De son côté, Eric Ciotti a affirmé ce lundi lors de ce déplacement souhaiter « ardemment la victoire » de Valérie Pécresse. Reste que la campagne s'annonce encore longue et complexe pour la candidate LR qui va devoir réussir à conserver ou séduire le centre-droit tenté par la macronie, tout en parvenant à faire une place à la droite radicale d'Éric Ciotti, dont les électeurs font l'objet de toutes les convoitises à l'extrême droite. La candidate du RN à la présidentielle Marine Le Pen a ainsi appelé les électeurs LR « déçus » par la désignation de Valérie Pécresse, à la rejoindre. « Nous pouvons faire ensemble des choses inoubliables. Nous allons les faire », a lancé Eric Zemmour dans un courrier leur étant adressé à la veille de son meeting dimanche à Villepinte. Un premier grand rassemblement qui se voulait une démonstration de force pour le candidat d'extrême droite en baisse dans les sondages : environ 11 000 personnes rassemblées, 1h30 de discours, beaucoup de tensions dans les mots de l'ancien polémiste, mais aussi dans la salle. Des journalistes de l'émission Quotidien, hués et insultés, ont dû être exfiltrés, un homme a empoigné Eric Zemmour sur le chemin de la tribune, et des militants de SOS-Racisme ont été frappés à coups-de-poing et de chaises. Une enquête a été ouverte sur « les faits de violences commis à l'intérieur du meeting » a annoncé le parquet de Bobigny, ce lundi. A gauche, Jean-Luc Mélenchon tenait lui aussi meeting à la Défense. Fustigeant les « partisans du grand affolement » et ceux du « grand démantèlement », le leader la France insoumise s'est présenté lui-même comme le candidat du « grand changement », a appelé la gauche au « combat » face à la droite et a lancé son « parlement de l'Union populaire ». Quand chez les écologistes Yannick Jadot a décidé de nommer la députée des Deux-Sèvres Delphine Batho, ancienne rivale lors de la primaire des écologistes, comme nouvelle porte-parole de sa campagne. Elle remplace à ce poste Matthieu Orphelin, un proche de l'ancien ministre Nicolas Hulot accusé de viol et agressions sexuelles, qui avait été mis « en retrait de ses responsabilités » le 27 novembre dernier. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:04:01 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Du meeting d'Éric Zemmour organisé hier à Villepinte à la désignation de Valérie Pécresse comme candidate de la droite en passant par la nomination de Delphine Batho comme porte-parole du candidat Yannick Jadot à la présidentielle, voici les actualités de ce lundi 6 décembre.
C'est dans une semaine qu'à Glasgow, en Écosse, va s'ouvrir la prochaine COP26 , la conférence mondiale sur un enjeu crucial, le climat : « Ils ont vingt jours pour sauver le climat », lance en Une Le Journal du Dimanche. « Ils », ce sont les grands de ce monde, confrontés aux conséquences du changement climatique. Et, avant-même le sommet de Glasgow, des annonces sont attendues « dès cette semaine », prédit Le JDD. Lequel journal, sous la forme d'une tribune, publie un « appel » dont, à lui seul, le titre - « Un océan pour le climat » - contient la réponse à la problématique posée par la multitude de chercheurs et ONG signataires qui interpellent ainsi les gouvernements du monde. « Nous sommes tous concernés », dit Laurent Fabius au JDD. Le président du Conseil constitutionnel, qui avait mené les négociations de la COP21 à Paris, invite les Etats à « passer à l'action ». Souci du climat partagé cette semaine par le magazine Le Point. Lequel hebdomadaire y consacre un dossier de pas moins de soixante-dix pages dans lequel l'économiste du climat Christian Gollier assure que « la tarification du carbone est la solution ». Que savait Total il y a 50 ans ? Justement. Il y a cinquante ans, le groupe pétrolier français Total connaissait-il le lien entre consommation d'énergies fossiles et réchauffement climatique ? Et si « oui », comment a-t-il réagi ? Question posée par L'Obs, alors que « ces jours-ci, l'ONG Notre affaire à tous va lancer un hashtag, #TotalSavait », signale cet hebdomadaire. Total savait ? Tout a commencé il y a deux ans et demi par la découverte d'un jeune historien de l'université de Stanford (Californie), qui a déniché un article publié en 1971 par une revue de ce-même groupe pétrolier français. Article dans lequel étaient très clairement détaillées les conséquences des émissions de CO2 engendrées par la combustion des énergies fossiles, pétrole, gaz et charbon. De l'effet de serre à la fonte des glaces, tout ou presque y était prédit il y a cinquante ans dans cette revue de Total citée par L'Obs. Et pour quelques barils de plus Or à époque, le « récit officiel » se résumait d'une formule : « Nous ne savions pas », rappelle ce magazine. Lequel assure qu'en fait, « à la fin des années 1960, les dirigeants du secteur (étaient) au courant ». Alors ? Alors, afin de contrer le consensus scientifique, une « stratégie du doute » sera mise en œuvre. À titre d'exemple, L'Obs exhume une déclaration de l'ancien président d'honneur du groupe François-Xavier Ortoli, paraphrasant le chanteur Georges Brassens en déclarant que « les avis des spécialistes divergent. Hippocrate dit oui, mais Galien dit non. Il existe un doute ». Ce magazine évoque même un « lobby mondial » finançant des études « destinées à prouver les faiblesses de la thèse du réchauffement », alors qu'en coulisses, « la bataille fait rage autour d'un projet d'écotaxe ». Étant pour conclure rappelé qu'à la suite de ces révélations, dans un entretien au journal Libération, la député écologiste et ancienne ministre socialiste Delphine Batho a réclamé la mis en place d'une commission d'enquête parlementaire pour faire la lumière sur cette affaire. Jeunesse tripolisée… et désabusée S'il est un public sensible à ces problématiques climatiques, ce sont les jeunes. Justement. Quelles sont les intentions de vote des jeunes de 18 à 34 ans ? Un sondage, cette semaine en France, a apporté un début de réponse à cette question. Et sans surprise, les jeunes apparaissent moins motivés que leurs aînés par la prochaine élection présidentielle. Ou plus indécis face aux candidats. Selon un sondage Odoxa pour L'Obs, le président sortant Emmanuel Macron recueillerait 28% des intentions de vote de cette tranche d'âge – trois points de plus que l'ensemble des Français – devant la candidate du Rassemblement national Marine Le Pen, 23% - cinq points de plus que ce même ensemble national. Dans ce sondage, le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, pointe en troisième position, avec 13% des intentions de vote des 18-34 ans, soit, là-encore, 5 points de plus que la moyenne nationale, tous âges confondus. Comme le constate donc L'Obs, la jeunesse est « coupée en trois ». Mais elle pourrait bien, comme en 2017, largement se « détourner du scrutin », et ce serait alors une nouvelle « claque pour la République », prévient cet hebdomadaire.
Décroissance ou croissance verte ? Jusqu'alors synonyme pour les médias mainstream de retour à la lampe à huile, de misère voire de famine, le mot est entré avec éclat dans le débat politique "légitime" à l'occasion de la primaire écologiste, où il était porté par la candidate Delphine Batho. Le débat sur l'urgence climatique semble installé, entre, d'une part, la décroissance et d'autre part ce qu'on appelle la croissance verte, ou durable, ou écoresponsable. Débat économique, philosophique ou sémantique ? Nos invités : Vincent Liegey, ingénieur et auteur d'un ouvrage pédagogique sur la décroissance, qu'il appelle de ses vœux ; l'économiste David Cayla, des Économistes atterrés, auteur d'un texte très clair sur les avantages et les points aveugles des projets de décroissance et de croissance verte ; et l'économiste et membre d'EELV Sandrine Rousseau, arrivée deuxième à la primaire écologiste derrière Yannick Jadot, et présidente du conseil politique de la campagne de ce dernier. Voici trois extraits de notre émission. Décroissance contre collapsologie 2021-10-22_best-of-collapso Delphine Batho a imposé la décroissance dans le débat ASI, 22 octobre 2021 Null Null 01 m 21 "J'assume d'être pour la décroissance" a martelé Delphine Batho pendant la campagne de la primaire. Oui, le mot s'est imposé récemment grâce à la primaire écologiste, confirme Vincent Liegey. Il avait disparu "au début des années 2010 au profit de la collapsologie. La collapsologie a cet avantage de dépolitiser le débat, là où la décroissance fait le même constat que la collapsologie, mais y apporte un questionnement sur l'écoféminisme, sur le capitalisme." Amazon et la panique chez BFM Business 2021-10-22_best-of-Amazon "Est-ce que j'ai encore le droit d'aller sur Amazon ?" ASI, 22 octobre 2021 Null Null 01 m 35 Sur BFM Business, alors que la primaire écologiste bat son plein en septembre, c'est un peu la panique : que veut Delphine Batho, la candidate à la primaire écologiste qui vante la décroissance ? "Est-ce que dans un monde qui se veut décroissant j'ai encore le droit d'aller sur Amazon acheter ce que je veux quand je veux?" se demande le journaliste Nicolas Doze. Daniel pose la question à Vincent Liegey, qui ne veut pas répondre par oui ou par non : il souhaite qu'une délibération démocratique tranche, à l'image de la Convention citoyenne. Rousseau, elle, n'y va pas par quatre chemins : "Oui, il faut arrêter Amazon !"La technostructure décide de nos besoins 2021-10-22_best-of-poignees La poignée qui sort toute seule ASI, 22 octobre 2021 Null Null 01 m 29 Et si les pénuries actuelles nous poussaient vers la décroissance ? La pénurie mondiale de semi-conducteurs (des puces électroniques) perturbe l'industrie automobile. Les journaux télévisés s'affolent : on vend désormais des voitures avec moins d'options, comme les poignées automatiques... "L'important c'est d'avoir de quoi se déplacer, c'est pas d'avoir la poignée qui sort toute seule !", dit Sandrine Rousseau. Pour l'économiste David Cayla, "personne n'a fait de pétitions pour demander des poignées qui s'ouvrent automatiquement ! [...] L'offre et la demande ça ne marche pas dans la réalité, on a une technostructure qui décide des besoins".Pour aller plus loin - Le site de la Convention citoyenne pour le climat- Le site de Vincent Liegey sur la décroissance- Une interview de Delphine Batho dans Reporterre : "La décroissance est le seul projet politique réellement alternatif"- Le blog de David Cayla Lire aussi Décroissance : les yourtes cachent-elles la forêt ? Difficile de dépasser le folklore pour présenter les réfractaires à la croissance à tout crin
Qu'est-ce que la décroissance ? Merci d'avoir posé la question ! Le 28 septembre 2021, Yannick Jadot est sorti vainqueur de la primaire des écologistes. Cette campagne serrée a permis de replacer dans le débat public le terme de décroissance, devenu indissociable du changement climatique gravissime que vit notre planète. Le concept a notamment été défendu par la candidate Delphine Batho. Les partisans de la décroissance estiment que si nous continuons à privilégier la croissance économique, les crises politiques, environnementales et géopolitiques ne feront qu'augmenter. Il s'agit de s'opposer à la société de consommation, de défendre une société où le collectif prime sur l'individu, où la planète passe avant nous. Mais d'où vient ce terme ? Pourquoi souhaiter sa décroissance ? Et comment la mettre en place ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Qu'est-ce que le plafond de verre ? Qu'est-ce que l'exode urbain ? Que sont les insiders ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Mi septembre, c'était le 1er tour de la primaire écologiste. À cette occasion, l'Enver(t) du décor, le podcast environnement du HuffPost, passe en live vidéo pour la toute première fois...avec une thématique: la décroissance: pourquoi ce n'est pas ce que vous croyez, et pourquoi elle va jouer rôle considérable dans les débats, non seulement chez les écolos, mais ailleurs sur l'échiquier politique durant la campagne présidentielle.On s'excuse d'avance pour la qualité sonore, moins bonne que d'habitude. Pour revivre le live en vidéo, c'est par ici: https://www.youtube.com/watch?v=kNCdw8bPm5E&t=2019sLes sources utilisées :Un récapitulatif des programmes des candidats par Le MondeL'évolution des principaux indicateurs de développement depuis des siècles et les débats qui y sont liésUne étude évoquant la décroissance et les sociétés sans croissanceUne https://www.nouvelobs.com/idees/20201011.OBS34573/je-voulais-ecrire-l-absolu-anti-1984-quand-damasio-parle-d-orwell.html#modal-msg d'Alain DamasioUn article de L'Obs qui évoque les termes alternatifs à la décroissanceLa citation de Simon Kuznets, l'inventeur du PIBUn article du blog BonPote sur la décroissanceUne étude de Jason Hickel sur le concept de la décroissanceUne critique de la décroissance par l'économiste Branko MilanovicL'interview de Delphine Batho dans ReporterreLe sondage Odoxa pour le Medef sur la décroissance Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le premier tour de la primaire écologiste se déroule à partir de ce jeudi et jusqu'à dimanche. Il voit s'affronter cinq candidats, deux femmes et trois hommes : Yannick Jadot, Sandrine Rousseau, Eric Piolle, Delphine Batho et Jean-Marc Governatori. Jean-Michel Apathie parle de cinq écolos sont dans un bateau... Le train à grande vitesse (TGV), révolution industrielle des années 1980 en France, célèbre ce vendredi ses 40 ans. Pour l'occasion, la SNCF a tenu une cérémonie à la gare de Lyon en présence du président de la République, Emmanuel Macron. Pour Olivier Babeau, à 40 ans, le TGV a l'âge de raison. L'opéra britannique English Touring Opera se sépare de 14 musiciens blancs afin de donner la priorité à "une plus grande diversité dans l'orchestre". Beaucoup ont joué avec la compagnie pendant vingt ans. Le syndicat des musiciens s'est dit "consterné". Abnousse Shalmani parle du retour de la ségrégation. Depuis le début de l'année scolaire, des messages haineux proférés à l'encontre des jeunes nés en 2010 se multiplient sur les réseaux sociaux. Le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a décidé de passer à l'action. Selon N'Fanteh Minteh, un hashtag peut détruire... Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Sandrine Rousseau est l'invitée de Caroline Roux sur le plateau des 4 Vérités sur France 2 le mercredi 15 septembre 2021. C'est un record. Plus de 122 000 votants se sont inscrits à la primaire des écologistes dont le premier tour débutera jeudi 17 septembre 2021. Le scrutin permettra ainsi de définir qui de Yannick Jadot, Sandrine Rousseau, Delphine Batho, Éric Piolle ou Jean-Marc Governatori représentera le parti écologiste à la prochaine élection de 2022. Invitée sur le plateau de Caroline Roux mercredi 15 septembre, Sandrine Rousseau s'est félicitée de cette mobilisation. Sur la possibilité d'entrisme de certains partis militants, la candidate n'a aucun doute sur l'organisation du vote. « C'est très marginal sur 122 000 je pense », a-t-elle estimé. Elle l'assure : « Des vérifications très importantes ont été faites sur le corps électoral, il est tout à fait fiable ». Sandrine Rousseau, qui s'estime favorite à l'élection, porte un projet d'écologie radicale, militant notamment pour sortir des pesticides en cinq ans. « Des personnes veulent de l'écologie radicale, ils veulent que l'écologie soit adossée à une transformation sociale, à un projet d'égalité, un projet d'inclusion. C'est ça que je porte », a-t-elle affirmé. En cas de victoire à la primaire, la candidate s'alliera-t-elle avec Jean-Luc Mélenchon ? Sur le sujet, Sandrine Rousseau répond par la négative même si elle n'exclut aucune alliance. « C'est faire bien peu de cas des propositions politiques que je porte. Je resterai jusqu'au bout, je porterai mes idées jusqu'au bout, mes valeurs jusqu'au bout. Et beaucoup de personnes viendront derrière moi », a-t-elle expliqué avant de nuancer : « Après, il y a une question de la dynamique de la gauche, mais pour le moment l'important, c'est d'aller chercher les personnes qui renoncent à la politique ». Plus de moyens dans la police : « pour quoi faire ? » Au cours de l'entretien, Sandrine Rousseau a abordé de nombreux sujets comme le réchauffement climatique et les intempéries. Elle a également réagi aux dernières annonces du président de la République Emmanuel Macron concernant la police. En effet, mardi 14 septembre 2021, le chef de l'État a annoncé la mise en place d'une instance de contrôle parlementaire des forces de l'ordre. Les rapports sont rendus publics. « Il nous faut une instance qui soit indépendante du pouvoir politique comme de la police », a-t-elle estimé. Pour Sandrine Rousseau, sceptique à l'égard du rôle de l'IGPN, cette mesure « ne suffit pas ». « Les députés qui vont enquêter peuvent très bien être affiliés au pouvoir et probablement qu'ils seront dans la majorité. (…) Pour redonner de la confiance, il faut que ce soit indépendant complètement de la couleur politique de l'Assemblée nationale. Ça ne suffit pas », a rétorqué l'écologiste. Emmanuel Macron a également annoncé vouloir doubler la présence de policiers et gendarmes en France d'ici dix ans. « La question c'est ‘pour quoi faire' ? Il faut que cette police de proximité soit là pour garder la paix et pas juste en gardien de l'ordre. Être en communication permanente avec la population, non pas pour la contrôler mais pour faire en sorte de protéger les personnes avant que les crimes et les délits ne soient commis », a-t-elle conclu.
Pétrole, gaz naturel, métaux : la concentration de CO2 dans l'atmosphère augmente dangereusement tandis que nos ressources s'épuisent à vue d'œil. D'où cette question : faut-il limiter notre consommation et entrer en décroissance ? Pour y répondre, nous recevons une des rares femmes politiques à militer ouvertement pour la décroissance. Delphine Batho est députée des Deux Sèvres, ancienne ministre de l'écologie et présidente du parti Génération Écologie.
Samedi 11 septembre 2021, Jean-Marc Governatori, un des cinq candidats à la primaire écologiste en vue de la prochaine élection présidentielle était l'invité des 4 Vérités sur France 2. Vendredi 10 septembre, Agnès Buzyn a été mise en examen « pour mise en danger de la vie d'autrui » et a été placée sous le statut de témoin assisté pour « abstention volontaire de combattre un sinistre ». L'ancienne ministre de la Santé est accusée de ne pas avoir pris la mesure de l'ampleur de l'épidémie du coronavirus dans les premières semaines de la pandémie. Au cœur de l'enquête : sa gestion de la crise sanitaire. Depuis le début de l'épidémie en mars 2020, près de 18 000 plaintes ont été enregistrées. Les plaignants dénoncent un manque d'anticipation dans la prise en charge des malades. Au micro de Jeff Wittenberg, Jean-Marc Governatori a largement approuvé cette décision. D'autres personnalités politiques pourraient aussi être entendues par la Cour de justice de la République. Parmi eux, l'actuel ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran ou encore l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. A l'heure actuelle, deux tiers des Français sont aujourd'hui vaccinés. Or, le centriste écologiste s'est toujours montré sceptique à l'égard de la politique vaccinale du gouvernement, en particulier sur l'instauration du pass sanitaire qui a notamment permis d'éviter la quatrième vague redoutée. « Que des millions de Français se vaccinent c'est très bien », estime l'écologiste, avant de nuancer. « Mais qu'on oblige d'autres Français à se vacciner, je ne suis pas favorable. Je suis pour la liberté vaccinale et défavorable au pass sanitaire parce qu'il divise, il discrimine, il viole le secret médical et par ailleurs, peut poser problème au sport, à la culture, aux bars et aux restaurants…. ». Il n'exclut pas de se rendre à des manifestations contre le vaccin anti-Covid-19 qui sont prévues dans la journée de samedi 11 septembre. S'adresser à tous les électorats Le premier tour des primaires écologistes aura lieu du 16 au 19 septembre et le second du 25 au 28 septembre. Face à Jean-Marc Governatori, Sandrine Rousseau, Delphine Batho, Yannick Jadot, Éric Piolle seront également en lice. « Je représente l'écologie au centre. (…) La notion de responsabilité est importante. Chacun de nous a une part de co-responsabilité dans ce qu'il se passe », a-t-il déclaré. Le candidat veut s'adresser « à tous les électorats ». « Depuis 30 ans Europe Ecologie Les Verts cultive l'écologie à gauche. Cela nous empêche d'avoir un électorat national. Cela nous sectarise », a-t-il estimé. « Ca tue l'écologie que de la sectoriser à gauche », a-t-il renchéri. S'il se montre un peu moins sévère que ses concurrents concernant le bilan écologique du quinquennat d'Emmanuel Macron, Jean-Marc Governatori estime néanmoins qu'il « faut mieux faire ». Proche de Francis Lalanne, défenseur des gilets jaunes en 2018 mais favorable à rallier Renaud Muselier lors des dernières élections régionales en PACA, qui avait créé la polémique en voulant se rapprocher de La République en Marche, Jean-Marc Governatori, issu du monde entrepreneurial et nouveau venu sur la scène politique, a souvent été taxé « d'être opportuniste ». « Ce qui compte c'est le projet de société et l'engagement citoyen », a-t-il martelé. S'il est élu à l'élection présidentielle, il souhaite créer « une assemblée nationale de citoyens tirés au sort, qui sera une troisième chambre et qui, au même titre que le Sénat et l'Assemblée des députés, proposera et votera des lois », a-t-il conclu.
XAVIER BERTRAND : RETOUR À LA CASE LR ? – 10/09/21 Invités : YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » PASCAL PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » CLAIRE GATINOIS Journaliste au service politique – « Le Monde » A sept mois de la présidentielle, l'opération « rassemblement » est lancée à droite. Réunis hier à Nîmes dans le Gard pour les journées parlementaires des Républicains, les ténors du parti se sont livrés à une inédite photo de famille. Tous les candidats en lice pour la primaire - Michel Barnier, Éric Ciotti, Valérie Pécresse, Philippe Juvin, mais aussi Xavier Bertrand, Laurent Wauquiez, Christian Jacob, Damien Abad, Gérard Larcher et Annie Genevard étaient réunis autour d'une même table, sourire aux lèvres. Et ce vendredi le président des Hauts-de-France, parti seul dans la course à l'Élysée, l'a promis au micro de France bleu : « Il n'y aura qu'une seule candidature » à droite en 2022. « C'est un devoir pour chacun d'entre nous, et pour moi également », a-t-il ajouté. Présent à Nîmes pour un grand oral très attendu, Xavier Bertrand veut tenter de rallier les parlementaires de son ancien parti, lui qui fait campagne en dehors de LR face aux quatre candidats déclarés à la primaire. Mais s'il fait un pas vers LR sur la forme, sur le fond, l'ancien ministre du Travail sous la présidence de Nicolas Sarkozy ne bouge pas : pas question de participer à la moindre primaire qui « est quelque chose qui favorise la division. Moi je suis dans une autre logique, celle du rassemblement », a-t-il expliqué. Lui qui connaît un petit trou d'air sondagier va continuer à dérouler son programme dans des déplacements. A droite, le bras de fer se poursuit donc, et le casse-tête reste entier. A gauche, la présidentielle se prépare également et les nombreuses candidatures déjà annoncées ne font qu'éloigner le spectre d'une candidature unique. D'autres candidatures pourraient même se rajouter à la longue liste des prétendants, comme celle d'Anne Hidalgo. La maire socialiste de Paris qui ne cache plus ses intentions depuis plusieurs semaines, devrait se déclarer candidate à l'élection présidentielle ce dimanche 12 septembre. Samedi dernier, c'était l'ancien ministre et ex-candidat à la primaire de la gauche en 2017, Arnaud Montebourg, qui présentait sa candidature. Et avant lui, l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon ou le communiste Fabien Roussel étaient déjà entrés en campagne. Une succession de candidats auxquels il faudra ajouter le vainqueur de la primaire écologiste dont le premier tour est prévu du 16 au 19 septembre et le second tour du 25 au 28 septembre. Sandrine Rousseau, Delphine Batho, Yannick Jadot, Éric Piolle et Jean-Marc Governatori sont candidats. Le scrutin est ouvert à tous les Français de plus de 16 ans, à condition de payer deux euros et de signer une charte d'adhésion aux valeurs du pôle écologiste. Les inscriptions sont ouvertes en ligne jusqu'au 12 septembre. Le premier débat a d'ailleurs fait bondir de 10 000 personnes le nombre d'inscrits : ils sont désormais plus de 65 000 selon EELV. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
"Juste un dernier vert" avec le journal Le Drenche, c'est un podcast éphémère dans lequel nous interrogeons les candidats et candidates à la primaire écologiste ou leur porte-parole ! Le but, vous permettre de les découvrir, connaître leur parcours mais aussi leurs idées et leurs propositions. Dans ce premier épisode, nous recevons Cédric Villani, porte-parole de Delphine Batho. Cédric Villani est député de l'Essonne depuis juin 2017. Il siège au sein de la commission des Affaires économiques et préside l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) de l'Assemblée nationale et du Sénat. Après avoir rejoint Génération écologie en janvier 2021, M.Villani est devenu le porte -parole de Delphine Batho avec qui il dit partager les valeurs, les ambitions et l'approche du terrain. Dans ce podcast, nous aborderons son parcours, son ralliement à Delphine Batho, sa vision de l'écologie et bien sûr cette primaire et les enjeux de l'élection présidentielle de 2022
"Juste un dernier vert" avec le journal Le Drenche, c'est un podcast éphémère dans lequel nous interrogeons les candidats et candidates à la primaire écologiste ou leur porte-parole ! Le but, vous permettre de les découvrir, connaître leur parcours mais aussi leurs idées et leurs propositions. Dans ce premier épisode, nous recevons Cédric Villani, porte-parole de Delphine Batho. Cédric Villani est député de l'Essonne depuis juin 2017. Il siège au sein de la commission des Affaires économiques et préside l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) de l'Assemblée nationale et du Sénat. Après avoir rejoint Génération écologie en janvier 2021, M.Villani est devenu le porte -parole de Delphine Batho avec qui il dit partager les valeurs, les ambitions et l'approche du terrain. Dans ce podcast, nous aborderons son parcours, son ralliement à Delphine Batho, sa vision de l'écologie et bien sûr cette primaire et les enjeux de l'élection présidentielle de 2022
"Juste un dernier vert" avec le journal Le Drenche, c'est un podcast éphémère dans lequel nous interrogeons les candidats et candidates à la primaire écologiste ou leur porte-parole ! Le but, vous permettre de les découvrir, connaître leur parcours mais aussi leurs idées et leurs propositions. Dans ce premier épisode, nous recevons Cédric Villani, porte-parole de Delphine Batho. Cédric Villani est député de l'Essonne depuis juin 2017. Il siège au sein de la commission des Affaires économiques et préside l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) de l'Assemblée nationale et du Sénat. Après avoir rejoint Génération écologie en janvier 2021, M.Villani est devenu le porte -parole de Delphine Batho avec qui il dit partager les valeurs, les ambitions et l'approche du terrain. Dans ce podcast, nous aborderons son parcours, son ralliement à Delphine Batho, sa vision de l'écologie et bien sûr cette primaire et les enjeux de l'élection présidentielle de 2022
MONTEBOURG, ZEMMOUR... QUI PEUT CRÉER LA SURPRISE ? – 06/09/21 Invités DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol (Fondation pour l'innovation politique) CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique – « Les Echos » NEILA LATROUS Journaliste politique - « France Info » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos A sept mois de l'élection présidentielle, les grandes manœuvres ont démarré et les candidats se bousculent sur la ligne de départs. Une vingtaine de prétendants ont déjà officialisé leur candidature et entamé leur campagne. Dernière en date, ce week-end, celle d'Arnaud Montebourg. L'ancien ministre du Redressement productif a décidé de se lancer une nouvelle fois dans la course à l'Elysée et propose aux Français une « remontada » industrielle, démocratique et écologique entre 2022 et 2027. Sa candidature vient s'ajouter à de nombreuses autres à gauche, de l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon au communiste Fabien Roussel en passant par Nathalie Arthaud, Philippe Poutou, Pierre Larrouturou, Gérard Filoche ou encore le candidat issu de la primaire écologiste. D'autres affûtent encore leurs armes, et laissent courir la rumeur – à commencer par le président sortant, Emmanuel Macron, dont les proches préparent le terrain et entretiennent l'« évidence » d'un second mandat. A Paris, la maire socialiste Anne Hidalgo, dont la possible candidature fait l'objet de spéculations depuis plusieurs semaines, se préparerait à officialiser son entrée en campagne dimanche prochain au 20 heures de TF1 selon plusieurs médias. Quand le suspense autour d'une probable candidature d'Éric Zemmour crée des remous à droite et à l'extrême droite. Selon les résultats de la dernière vague du baromètre Ifop-Fiducial pour LCI et Le Figaro publié ce dimanche, le polémiste obtiendrait 6 à 7 % des intentions de vote pour l'élection présidentielle 2022. Une percée qui ne cesse de faire grincer des dents au sein du Rassemblement national mais aussi chez Les Républicains. Surtout depuis les propos d'Éric Ciotti hier. Lors du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI de dimanche, le candidat à la primaire de la droite a déclaré qu'en cas de second tour (pour l'heure fictionnel) entre Emmanuel Macron et le polémiste, le député des Alpes-Maritimes donnerait son vote au second. Interrogées sur cette déclaration, plusieurs figures de la droite ont tenté ce lundi de balayer le sujet. « Ce n'est vraiment pas la question du moment (…) parler d'un candidat dont on ne sait pas s'il sera candidat, ce n'est pas le sujet du moment », a ainsi tranché Christian Jacob. Un point de vue partagé par les quatre autres candidats en lice pour une éventuelle primaire de droite : Michel Barnier, Philippe Juvin, Denis Payre et Valérie Pécresse. Car si la priorité de cette rentrée pour LR est de tenter de réunir la famille autour d'un seul candidat, aucune figure ne se détache dans l'opinion pour écarter tout débat. Xavier Bertrand, le président des Hauts-de-France, qui tenait la dragée haute dans les sondages à ses concurrents au début de l'été et refuse de participer à une primaire, a vu l'écart se resserrer. Valérie Pécresse, la patronne de la région Ile-de-France, est désormais donnée à un seul point d'écart selon certains sondages. L'ancien commissaire européen Michel Barnier a lui aussi gagné quelques points ces derniers jours. Alors primaire ? Pas primaire ? Rares sont les personnes qui peuvent à ce stade prédire ce que le congrès du 25 septembre prochain, supposé normalement trancher cette question, donnera. Du côté des Verts, en revanche, la question est tranchée et le casting des candidats à la primaire écolo est arrêté. Il réunit le député européen Yannick Jadot, le maire de Grenoble Éric Piolle, l'économiste Sandrine Rousseau, l'ancienne ministre Delphine Batho et l'ancien entrepreneur Jean-Marc Governatori. Les cinq candidats à la primaire EELV seront départagés par un vote en ligne ouvert à tous dont le premier tour se tiendra entre les 16 et 19 septembre. En attendant, ils ont échangé hier d'un premier débat. Les électeurs ont jusqu'au 12 septembre pour s'inscrire sur le site Internet et participer. Au dernier décompte du jeudi 2 septembre, un peu moins de 35 000 personnes étaient inscrites. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
MORTELLES INTEMPÉRIES : NEW YORK, À SON TOUR – 03/09/21 MAGALI REGHEZZA Géographe – Membre du Haut Conseil pour le Climat EMMA HAZIZA Hydrologue ARNAUD GOSSEMENT Avocat en droit de l'environnement - Professeur associé à Paris 1 PASCAL PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po Les images sont impressionnantes. Après avoir traversé les États-Unis, la tempête Ida a frappé New York, cœur économique et financier du pays. La mégapole a été touchée dans la nuit de mercredi à jeudi par des pluies torrentielles et des inondations soudaines et historiques qui ont fait au moins 44 morts dans la région. Plus au sud, en Louisiane, une bonne partie de la Nouvelle-Orléans était toujours privée de courant mardi soir, après le passage du même ouragan. Le bilan humain dans cet état et dans le Mississippi est monté à quatre morts et un disparu. Ce cataclysme fait échos aux inondations monstres qui ont fait plusieurs morts en Allemagne cet été. Mais ce n'est pas tout… Sur tous les continents, les forêts brûlent. Sous des latitudes et des climats différents, des écosystèmes entiers partent en fumée dans des incendies gigantesques, certains d'une ampleur jamais vue dans l'histoire récente. Les scientifiques sont formels, la raison à ces « mégafeux » est claire. Selon la NASA, le mois de juillet dernier a été, en moyenne mondiale, le plus chaud jamais observé depuis le début des mesures, au milieu du XIXe siècle. L'ampleur des dégâts causés remet donc à l'ordre du jour la question du réchauffement climatique. Les images stupéfiantes font évoluer les mentalités. Selon un récent sondage Harris Interactive publié dans Challenges, l'environnement est aujourd'hui une préoccupation majeure pour 84% des Français. 52% disent même s'inquiéter beaucoup à ce sujet, alors que les membres du Haut Conseil pour le Climat ne manquent pas une occasion de rappeler que les efforts de la France pour lutter contre le réchauffement climatique sont "insuffisants" pour respecter ses objectifs. Mais cette prise de conscience des Français peut-elle se traduire dans les urnes ? Selon les sondages, l'actualité ne semble en tout cas pas, pour l'heure, favoriser EELV. D'autant qu'on ne sait toujours pas qui sera le candidat qui sortira vainqueur de la primaire écologiste. Le début des votes doit avoir lieu le 16 septembre. Le maire de Grenoble, Éric Piolle, et l'eurodéputé Yannick Jadot sont les grands favoris face à Delphine Batho, Sandrine Rousseau et Jean-Marc Governatori. Mais une surprise n'est pas à écarter. De plus, d'autres candidats, notamment à gauche, se sont depuis longtemps emparé des questions environnementales. Les votes en faveur de l'écologie pourraient donc bien être divisés en 2022. La prise de conscience de la fragilité de notre écosystème a également lieu chez les agriculteurs. Pas simple pour autant de trouver des solutions. Les agriculteurs sont par exemple conscients de la dangerosité de certains des produits qu'il leur arrive d'épandre. Mais ceux qui veulent arrêter sont confrontés à de multiples difficultés. Comment continuer à produire sans pesticides ? Comment s'adapter face aux mégafeux et aux inondations catastrophiques que l'on a observé cet été ? Un candidat portant un programme résolument écologiste peut-il se qualifier pour le second tour de l'élection présidentielle et espérer l'emporter en 2022 ? Face à l'ampleur des enjeux, est-il encore pertinent de faire porter l'effort de changement à l'échelle individuelle ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 22h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, coordinatrice nationale de Génération Écologie, ex-ministre de l'Écologie et candidate à la primaire des écologistes, était l'invitée de Polonews, ce mercredi 1er septembre 2021. Une émission animée par Natacha Polony et Aurélie Casse du lundi au jeudi entre 20 et 21 heures sur BFMTV.
Avec : Cédric Villani, député de l'Essonne et porte-parole de Delphine Batho. Marie-Anne Soubré, avocate. Barbara Lefebvre, enseignante. Et Benjamin Cauchy, auto-entrepreneur et ancien Gilet jaune. - Alain Marschall présente un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 17e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. En simultané sur RMC Story. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
Avec : Cédric Villani, député de l'Essonne et porte-parole de Delphine Batho. Marie-Anne Soubré, avocate. Barbara Lefebvre, enseignante. Et Benjamin Cauchy, auto-entrepreneur et ancien Gilet jaune. - Alain Marschall présente un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 17e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. En simultané sur RMC Story. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
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Avec : Cédric Villani, député de l'Essonne et porte-parole de Delphine Batho. Marie-Anne Soubré, avocate. Barbara Lefebvre, enseignante. Et Benjamin Cauchy, auto-entrepreneur et ancien Gilet jaune. - Alain Marschall présente un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 17e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. En simultané sur RMC Story. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
Avec : Cédric Villani, député de l'Essonne et porte-parole de Delphine Batho. Marie-Anne Soubré, avocate. Barbara Lefebvre, enseignante. Et Benjamin Cauchy, auto-entrepreneur et ancien Gilet jaune. - Alain Marschall présente un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 17e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. En simultané sur RMC Story. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
Avec : Cédric Villani, député de l'Essonne et porte-parole de Delphine Batho. Marie-Anne Soubré, avocate. Barbara Lefebvre, enseignante. Et Benjamin Cauchy, auto-entrepreneur et ancien Gilet jaune. - Alain Marschall présente un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 17e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. En simultané sur RMC Story. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
POLITIQUE : LES GAGNANTS ET LES PERDANTS DE L'ÉTÉ – 13/08/21 Invités YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » PASCAL PERRINEAU - Politologue Professeur des Universités - Sciences Po NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » JANNICK ALIMI Rédactrice en chef adjointe au service politique « Le Parisien / Aujourd'hui en France » À 8 mois de la présidentielle, la bataille fait rage. Chez les écologistes, le duel qui fait le plus parler concerne Yannick Jadot et Éric Piolle. Le premier, député européen, se positionne comme un social-démocrate tenant d'une ligne écolo-réaliste favorable à l'économie de marché. Le second, maire de Grenoble, se veut plus à gauche, prônant un « arc humaniste ». Il laboure le terrain pour se faire connaitre du grand public. Les deux hommes s'affronteront lors de la primaire verte prévue à la fin du mois de septembre, aux côtés de l'ex numéro 2 du parti Sandrine Rousseau et Delphine Batho, ancienne ministre de l'Ecologie de François Hollande. Chez LR, le match oppose Valérie Pécresse et Xavier Bertrand. Ce dernier a confirmé début juillet qu'il ne participerait pas à une primaire de la droite. Le président de la région des Hauts-de-France préfère faire cavalier seul. Valérie Pécresse, de son côté, multiplie les déplacements cet été : elle ne veut pas laisser le champ libre à son rival qui la devance dans les sondages. Mais, un autre duel est dans toutes les têtes : celui qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen. D'après les derniers sondages, le scénario de 2017 pourrait bien se répéter en 2022. Dans le même temps, La France insoumise sillonne les routes du territoire avec ses caravanes pour tenter d'approcher les habitants des zones rurales. Débat, porte-à-porte, tractage… Les militants partent à la rencontre des citoyens pour informer, débattre et présenter le programme du parti à l'approche de la présidentielle. La France insoumise souhaite faire émerger les problématiques d'accès aux « services publics », aux « transports » ou au « commerce », a plaidé le parti. Pendant ce temps-là, en Grèce, les feux, qui semblent dorénavant maitrisés, ont ravagé des milliers d'hectares depuis la fin juillet. Les Grecs se sentent délaissés par le gouvernement qu'ils accusent de n'avoir rien fait pour éviter une telle catastrophe. Et dénoncent un manque de moyens pour lutter contre les incendies. Lundi 9 août, le Premier ministre a même dû excuser dans une allocution télévisée avant de promettre que toute la lumière sera faite sur ces événements dramatiques. Quels sont les principaux duels à quelques mois de la présidentielle ? Quelle est la stratégie de LFI pendant l'été ? Quelle est la situation en Grèce et comment la population s'oppose t-elle au gouvernement ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 22h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro - Pascal Hendrick - Benoît Lemoine - Jean-François Verzele - Jacques Wehrlin PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Les auditeurs retrouvent leurs chroniques habituelles et des rendez-vous estivaux parmi lesquels David Castello-Lopes à 6h15 pour "les origines" une chronique dans laquelle il revient avec humour sur les inventions surprenantes des objets du quotidien. Mais aussi "Le plat du jour" signé Marion Sauveur à 6h52, "Un livre pour l'été" proposé à 7h40 par Stéphane Place, en partenariat avec l'incontournable librairie Mollat, et "Initiatives en France" à 8h49.
durée : 00:24:04 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, candidate à la primaire présidentielle des écologistes, est l'invitée du Grand entretien. - invités : Delphine BATHO - Delphine Batho : Députée Génération écologie des Deux-Sèvres.
durée : 03:00:13 - Le 6/9 - par : Amélie Perrier - Michel Barnier, ancien ministre et ex négociateur en chef du Brexit, et Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, candidate à la primaire présidentielle des écologistes, sont les invités du 6/9. - invités : Michel Barnier, Delphine BATHO - Michel Barnier : Conseiller spécial pour la politique de défense et de sécurité auprès de la Commission européenne, Delphine Batho : Députée Génération écologie des Deux-Sèvres.
durée : 03:00:13 - Le 6/9 - par : Amélie Perrier - Michel Barnier, ancien ministre et ex négociateur en chef du Brexit, et Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, candidate à la primaire présidentielle des écologistes, sont les invités du 6/9. - invités : Michel Barnier, Delphine BATHO - Michel Barnier : Conseiller spécial pour la politique de défense et de sécurité auprès de la Commission européenne, Delphine Batho : Députée Génération écologie des Deux-Sèvres.
Le député lyonnais Hubert jean Lafferrière a organisé à lyon la Convention nationale du mouvement "génération écologie", au cours de laquelle la candidate à la primaire écologiste pour la présidentielle Delphine BATHO, ancienne ministre, a présenté ses idées. Explications sur cette primaire, et les soutiens de delphine Batho Hommage, également au professeur Jean-Michel Dubernard, disparu la veille
Avec : Delphine Batho, présidente du mouvement Génération écologie. - Chaque matin, Jean-Jacques Bourdin reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Depuis 2001, Jean-Jacques Bourdin reçoit, chaque matin, les acteurs du monde politique. Ce face-à-face est devenu le premier rendez-vous politique radio/TV de France.En simultané sur BFMTV. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
LES RÉGIONALES DANS LA PERSPECTIVE DES PRÉSIDENTIELLES Le 27 juin, les régionales ont vu la réélection des 13 présidents de régions métropolitaines sortants, qu'ils soient de droite et du centre (7 régions) ou de gauche (5 régions) à l'issue d'un second tour marqué par une abstention massive de 65 ,7%, un point de moins qu'au premier tour. Trois poids lourds de la droite traditionnelle qui ambitionnent de disputer la présidentielle en 2022 ont emporté une nette victoire : Xavier Bertrand avec 53% dans les Hauts-de-France s'est aussitôt déclaré candidat à la présidentielle, Valérie Pécresse, forte d'un score de 45,9% en Ile-de-France a donné rendez-vous après l'été pour savoir si elle sera candidate ou non, tandis que Laurent Wauquiez (55,2% en Auvergne-Rhône-Alpes) dit refuser « ces espèces de course de vitesse où à peine élu, on passe à autre chose ». Le chef du parti Les Républicains, Christian Jacob, a annoncé lundi que la droite déciderait le 30 septembre de son « système de départage », qui serait ensuite soumis à un congrès militant. En Provence-Alpes-Côte d'Azur, le président Les Républicains sortant, Renaud Muselier, qui a bénéficié du retrait de la liste écologiste au lendemain du premier tour, l'a largement emporté sur le candidat du Rassemblement National Thierry Mariani, avec 57,30 % des voix contre 42,70 %.A gauche, le Parti socialiste a conservé ses 5 régions. En Occitanie la réélection haut la main – sans l'appui du reste de la gauche, et notamment des écologistes – de la sortante Carole Delga a été acquise avec 57,77 % des voix. En revanche, les écologistes – Karima Delli dans les Hauts-de-France et Julien Bayou en Ile-de-France – qui ont pris la tête de listes d'union de la gauche n'ont pas créé de dynamique. Aujourd'hui à gauche trois candidats se sont déclarés en piste pour les présidentielles. Le communiste Fabien Roussel, l'« insoumis » Jean-Luc Mélenchon, et celle ou celui qu'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) désignera le 12 septembre, lors de la primaire des écologistes, Sandrine Rousseau, Yannick Jadot, Éric Piolle et, peut-être, Delphine Batho.Les grands perdants du second tour des élections régionales et départementales sont la REM et le Rassemblement national. La République en marche n'a gagné aucune région et totalisé moins de 7 % des voix, le pire score jamais réalisé par un parti au pouvoir. Le reflux du Rassemblement National au premier tour a surpris par son ampleur : en dépit d'une présence dans la totalité des régions métropolitaines, comme en 2015, les listes du Rassemblement National ont perdu 9,2 points, passant de 28,4 % à 19,2 %.Toutefois, selon un sondage Ipsos/Sopra Steria réalisé avant le second tour et publié le 27 juin, Emmanuel Macron et Marine Le Pen restent en tête des intentions de vote à la présidentielle, quel que soit le candidat de la droite testé. S'il s'agit de Xavier Bertrand, Emmanuel Macron et Marine Le Pen feraient jeu égal, avec 24 % des voix, devant le candidat de la droite, crédité de 18 % des intentions de vote. Pécresse et Wauquiez, quant à eux, feraient 13 %. A gauche, Jean-Luc Mélenchon plafonne désormais à 10% dans les intentions de vote. Anne Hidalgo a dit qu'elle clarifierait son jeu à l'automne. Elle récolte 6% d'intentions de votes tout comme Yannick Jadot.Privacy Policy and California Privacy Notice.
durée : 00:53:29 - Questions politiques - Delphine Batho, députée Generation écologie des Deux-Sevres,, sera l'invitée de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Becard (France Inter) Françoise Fressoz (Le Monde).
Avec : Delphine Batho, députée Génération ecologie des Deux-Sèvres - Chaque matin, Jean-Jacques Bourdin reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Depuis 2001, Jean-Jacques Bourdin reçoit, chaque matin, les acteurs du monde politique. Ce face-à-face est devenu le premier rendez-vous politique radio/TV de France.En simultané sur BFMTV. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
durée : 00:25:02 - Journal de 12h30 - Les laboratoires Servier, qui avaient commercialisé le Mediator, ont été reconnus coupables d'"homicides et blessures involontaires" et condamnés à 2,7 millions d'euros d'amende. - invités : Delphine Batho députée non-inscrite des Deux Sèvres, ancienne ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie
durée : 00:25:02 - Journal de 12h30 - Les laboratoires Servier, qui avaient commercialisé le Mediator, ont été reconnus coupables d'"homicides et blessures involontaires" et condamnés à 2,7 millions d'euros d'amende. - invités : Delphine Batho députée non-inscrite des Deux Sèvres, ancienne ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie
durée : 00:08:00 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - La commission spéciale chargée de préparer le débat parlementaire sur le projet de loi climat et résilience attaque le gros de son œuvre ce lundi 8 mars. Delphine Batho, députée, ancienne ministre de l'Écologie sous François Hollande (2012-2013), est notre invitée de 6h20.
durée : 02:00:07 - Le 5/7 - La commission spéciale chargée de préparer le débat parlementaire sur le projet de loi climat et résilience attaque le gros de son œuvre ce lundi 8 mars, Delphine Batho députée, ancienne ministre de l'écologie sous François Hollande (2012-2013) est notre invitée de 6h20
En France, le « Black Friday », le « vendredi noir », grande fête de promotion commerciale prévue initialement le 27 novembre 2020 est donc repoussée au 4 décembre. Les grandes plateformes du commerce, notamment Amazon, y ont consenti à la demande du gouvernement qui souhaite favoriser les commerces non-essentiels fragilisés par la fermeture imposée par les restrictions sanitaires. La date et les modalités de leur réouverture devraient être annoncées par le président Emmanuel Macron ce mardi 24 novembre. Les grandes enseignes avaient déjà été appelés à limiter leur publicité autour de l'évènement. Mais le débat sur le bien-fondé de cette opération est rouvert à l'occasion de la crise. C’est paradoxalement un grand coup de publicité pour ce « vendredi noir », dont des voix vont jusqu'à demander le boycott. Il faut rappeler que le « Black Friday » est une tradition commerçante venue tout droit des États-Unis. Une opération placée opportunément entre la fête familiale de Thanksgiving et Noël. Elle est arrivée tout récemment en France, en 2013. Mais son succès ne se dément pas. L'an dernier, cette opération de rabais qui dure en principe un week-end mais s'étend en réalité sur une semaine, a généré 6 milliards d'euros de chiffres d'affaires. Des chiffres jusque-là en constante augmentation. Des achats qui se font de plus en plus en ligne Et cette année en confinement a renforcé la tendance. D'où l'inquiétude des commerces physiques qui craignent de passer à côté de l'événement. Mais faut-il pour autant l'annuler comme l'ont demandé quatre fédérations de commerçants ? Décrié, le géant Amazon qui surfe sur la crise sanitaire et a consenti à reporter le « Black Friday », estime que les commerçants et les fournisseurs profitent aussi de sa plateforme pour vendre leurs marchandises. Et il n'y aucune raison, selon son directeur France, de priver d'une fête de promotion, les Français qui préparent leurs achats de Noël. Les faux rabais du « Black Friday » L'association des consommateurs UFC Que Choisir, révèle qu'une grande partie des promotions proposées lors du « Black Friday » n'en sont pas. Amazon n'est pas mentionné, mais d'autres oui, comme Cdiscount, Darty, Fnac ou Boulanger. Le reproche principale ? S'adonner à la pratique désormais bien connue qui consiste à gonfler les prix quelques temps avant l'opération. Ce qui permet lors du « Black Friday » d'afficher des rabais apparemment énormes sur les produits phares de la saison, comme l'électronique et l'électroménager. Année après année, l'UFC Que Choisir démontre ainsi que les réductions constatées sont en réalité minimes. Une pratique épinglée à chaque fois mais facilitée par l'absence de régulation. En France, il n'y a pas d'encadrement des baisses des prix. Un commerçant peut afficher le prix de départ qu'il souhaite, tant qu'il a déjà été pratiqué une fois dans sa boutique, et tant qu'il ne vend pas le produit à perte. Voilà pourquoi, les prix peuvent faire le yoyo et faire perdre le nord aux consommateurs. Mettre fin à la jungle des prix La députée écologiste Delphine Batho, qui s'oppose pour des raisons idéologiques au « Black Friday », a rappelé que l'opération enfreignait la loi de lutte contre le gaspillage, votée cette année. Mais l'ancienne ministre est rejointe par des responsables d'autres bords politiques lorsqu'elle souligne que les plateformes de commerce en ligne induisent en erreur le consommateur en affichant des réductions comparables aux soldes alors que ces derniers sont strictement encadrés. Mais aujourd'hui, c'est à un juge de déterminer au cas par cas si le consommateur a été induit en erreur. Pour les opérations hors-soldes tel le « Black Friday », il faut donc renforcer le droit, estime l'UFC Que Choisir. En transposant une directive européenne adoptée l'an dernier qui impose de prendre comme prix de référence le prix le plus bas pratiqué dans le mois précédent l'opération ; et de l'afficher à côté du nouveau prix. En attendant, le meilleur des conseils, c'est de ne pas se précipiter sur une offre et de prendre le temps de comparer les prix entre différentes plateformes, et suivre si possible leur évolution au fil du temps. À moins bien-sûr que vous n'ayez décidé de boycotter le « Black Friday ».
Người dân Pháp bị hạn chế di chuyển bằng máy bay ? Pháp sẽ lần lượt cấm các chuyến bay nội địa dưới hai tiếng rưỡi để giảm lượng khí thải CO2. Đây là một trong 149 đề xuất của Hội nghị Công dân vì Khí hậu và cũng là một trong những điều kiện để chính phủ Pháp cấp 7 tỉ euro trợ giúp hãng hàng không Air France. Đổi lại, Air France sẽ giảm 40% chuyến bay nội địa từ nay đến năm 2021 và đến năm 2024 phải giảm được 50% khí thải CO2 từ các chuyến bay trong nước. Thực ra, các tuyến bay nội địa không phải là nguồn lợi nhuận cho Air France, thậm chí còn bị lỗ nếu máy bay có chưa đầy 70-80% hành khách. Thế nhưng, dịch Covid-19 trở thành cơ hội để chính phủ Pháp, một cổ đông chính của Air France, thúc đẩy tái cấu trúc hãng hàng không, gặp khó khăn về kinh tế từ nhiều năm nay. Các nghiệp đoàn khó có thể phản đối quyết định của chính phủ trước thực tế nghiêm trọng không thể phủ nhận được do dịch Covid-19 gây ra : 98% máy bay ngừng hoạt động trong giai đoạn phong tỏa, đến đầu tháng 07/2020 vẫn có đến 2/3 máy bay đỗ trong kho. Trả lời phỏng vấn đài BFM TV ngày 25/05, bộ trưởng Kinh Tế Pháp Bruno Le Maire cho biết : « Đối với Air France, nguyên tắc cũng tương tự với tập đoàn Renault, đó là đổi mới, hiện đại hóa đội máy bay để thải ít khí CO2 hơn, bỏ những tuyến bay mà ngành đường sắt cũng có những chặng tương tự nhưng lại xả ít khí thải hơn. Chính phủ hỗ trợ Air France với một số điều kiện. Những tuyến bay có khoảng cách bay dưới 2 giờ 30 sẽ bị hủy, trừ những tuyến nối với những sân bay để bay đi quốc tế. Hiện tại, chính phủ đang thảo luận với Air France về lịch trình, hiện chưa được xác định, nhưng quy định đã được ấn định và sẽ được tôn trọng, đó là không có chuyện đi máy bay trong khi lại có một tuyến tầu hỏa hoạt động trên cùng khoảng cách đó dưới 2 giờ 30 phút ». Trong quyết định, chính phủ chỉ nêu lên những lý do sinh thái ; không một hãng hàng không nào khác được mở những chặng đã bị hủy. Luật sư Lionel Guijarro, chuyên về luật hàng không, nhận định với trang LCI ngày 23/06 rằng lý do môi trường được đưa ra hoàn toàn phù hợp với luật châu Âu : « Lý do môi trường được nêu lên rõ ràng. Ngoài ra cần phải có một phương tiện giao thông thay thế và đã tồn tại, cả hai điều kiện này đều có đủ. Cuối cùng, không được có bất kỳ sự thay đổi nào về cạnh tranh, và ở điểm này, ông quốc vụ khanh đã nêu rõ là quyết định sẽ áp dụng đối với tất cả các hãng hàng không ». Quyết định gây hệ quả lâu dài được đưa ra trong thời gian ngắn Công luận khá bất ngờ về quyết định nhanh chóng được quốc vụ khanh đặc trách Giao Thông Jean-Baptiste Djebbari thông báo ngày 22/06. Trên đài Europe 1 (24/06), nhà báo Nicolas Beytout ngạc nhiên vì « chưa bao giờ thấy một quyết định dẫn đến nhiều hệ quả nghiêm trọng, lại được đưa ra mà lại ít suy xét về tác động sau này » : « Vì sinh thái thì đây là điều tốt, nhưng với điều kiện phải kiểm soát được chi phí liên quan đến vấn đề này. Dĩ nhiên trong đó có cả chi phí về kinh tế và xã hội, có nghĩa là sẽ có vài tỉ euro liên quan đến hoạt động và vài nghìn việc làm biến mất khỏi những cụm cảng hàng không ở các thành phố lớn như Lyon, Bordeaux, hoặc ở tất cả những sân bay khác có quy mô trung bình và nằm cách các cụm cảm hàng không quốc tế dưới 2 tiếng rưỡi bay. Quyết định này gây ảnh hưởng mạnh đến sức hấp dẫn của các địa phương, cũng như cho trụ sở của các doanh nghiệp lớn cần kết nối với phần còn lại của thế giới. Nói tóm lại, đây là quyết định mang tính chuyên quyền lớn nhất từ lâu nay và được đưa ra trong khi tổng thống Emmanuel Macron hứa tiến hành một giai đoạn phi tập trung mới và phân quyền cho các địa phương. Thật sự là không thể hiểu nổi ! » Đối với hành khách, họ sẽ bị mất thêm chi phí và thời gian di chuyển từ các nhà ga đến sân bay, thường nằm ở ngoại ô. Người ta sẽ nhanh chóng hiểu ra rằng có lẽ trung chuyển ở Amsterdam hoặc Luân Đôn sẽ thuận tiện hơn là ở Paris và như vậy ô nhiễm cũng được đẩy sang các nước khác. Tuy nhiên, chính phủ Pháp trấn an rằng những tuyến bay nối chuyến với tuyến quốc tế, chủ yếu là ở hai sân bay Roissy - Charles de Gaulle và Orly ở Paris, sẽ không bị nhắm đến trong sắc lệnh cấm đường bay nội địa. Ngành đường sắt thêm độc quyền phong tỏa đất nước ? Hủy các tuyến bay nội địa, hành khách sẽ phụ thuộc gần như hoàn toàn vào ngành đường sắt Pháp, trong khi đây là lĩnh vực nổi tiếng với những cuộc đình công kéo dài trên quy mô lớn. Nhà báo Nicolas Beytout nhận định : « Khi hủy tất cả mọi đường bay nội địa giữa các thành phố như Lyon, Marseille, Bordeaux, Nantes, Strasbourg và khi mọi di chuyển sẽ phó thác cho ngành đường sắt Pháp SNCF thì có lẽ công ty này còn được thêm độc quyền trong ngành giao thông công cộng và công đoàn CGT sẽ có thêm quyền lực khổng lồ để phong tỏa cả đất nước. Và đó được gọi là ‘sinh thái xã hội’ ». Chính phủ trấn an công ty SNCF sẽ không còn thế độc quyền vì theo Hiệp ước Đường sắt (Pacte ferroviaire) kí tháng 06/2018, ngành đường sắt Pháp dần dần mở cửa cho cạnh tranh từ cuối năm 2020. Trong vòng hai năm nữa, nhiều công ty đường sắt khác có thể đưa ra những đề xuất hấp dẫn hơn, như tầu cao tốc giá rẻ. Về đường bộ, sẽ có nhiều tuyến xe khách đường dài có thể hưởng lợi từ việc bỏ các chuyến bay nội địa. Thế nhưng, phải chờ ít nhất thêm hai năm nữa, trong khi cơ sở hạ tầng đường sắt chưa đạt mức hoàn thiện ở nhiều nơi, khiến nhiều chính quyền địa phương lo ngại về khả năng thu hút, hấp dẫn của vùng. Quốc vụ khanh đặc trách Giao thông tỏ ra hiểu vấn đề này : « Vùng núi phía đông, các thành phố như Limoges, Brive, Castres, Aurillac, Clermont-Ferrand hiện vẫn chưa có giải pháp đường sắt vững chắc. Từ Paris đến Limoges, mất 3 tiếng rưỡi đi tầu và có rất nhiều chuyến bị trễ, trên đường thì lại có nhiều công trường tu sửa ». Giải pháp thay thế thật sự thân thiện với môi trường hơn ? Máy bay bị chỉ mặt điểm tên là phương tiện gây ô nhiễm nghiêm trọng nhất. Nữ sinh Thụy Điển Greta Thunberg, biểu tượng của phong trào chống biến đổi khí hậu, từng vượt Đại Tây Dương sang Mỹ bằng thuyền buồm vào năm 2019 và luôn từ chối đi máy bay. Cũng tại quê hương của cô bé, phong trào « Flygskam » (Flight shame / Xấu hổ khi đi máy bay), xuất hiện từ năm 2018, đã khiến ngành hàng không Thụy Điển lao đao. Còn tại Pháp, phong trào này ngày càng có chỗ đứng trong xã hội. Hủy những chuyến bay nội địa bắt nguồn từ đề xuất sửa đổi trong Luật Định hướng di chuyển được hai dân biểu Delphine Batho, thuộc đảng Xanh và François Ruffin, thuộc đảng Nước Pháp Bất Khuất (La France Insoumise) đưa ra ngày 03/06/2019. Theo giải thích của nhà báo François Langlet trên đài RTL (03/06/2019), có nhiều động cơ giải thích cho đề xuất này : « Thứ nhất, máy bay ô nhiễm hơn tầu hỏa. Chuyến đi bằng máy bay của một người thải lượng khí CO2 gấp 50 lần cùng chặng đường đi bằng tầu cao tốc. Thứ hai, người ta vẫn nói là chỉ có người giầu mới đi máy bay, chứ không phải người bình dân. Thứ ba, máy bay được hưởng cách lách thuế bất công vì nhiên liệu kerosene không bị đánh thuế, trái với xăng dầu cho đường bộ. Đúng là máy bay gây ô nhiễm hơn những phương tiện giao thông khác và chắc chắn là hơn rất nhiều so với tầu hỏa, nhưng đó chỉ là về khí thải CO2. Trong khi đó, điện sử dụng cho ngành đường sắt là điện hạt nhân. Đừng quên là rác thải nguyên tử tồn tại đến tận 100.000 năm và còn có nhiều nguy cơ khác. Đơn cử một ví dụ để so sánh về mức tiêu thụ nguyên liệu, theo mô phỏng của cơ quan quản lý hàng không dân dụng, chặng bay Marseille-Paris tốn mất 31 lít kerosene cho mỗi hành khách. Đúng là rất nhiều, nhưng vẫn còn ít hơn so với đa số các loại xe hơi chạy xăng dầu. Nếu muốn loại khí thải CO2, tại sao không cấm luôn cả tuyến đường cao tốc Paris-Marseille và ô tô chạy trên chặng đường đó. Phương tiện này còn tiêu tốn nhiều nhiên liệu hơn nếu chỉ có một người trên xe ! » Trong khi quyết định hủy các chuyến bay nội địa dưới 2 giờ 30 của chính phủ vẫn đang bị phản đối, hai nghị sĩ này đã đề xuất thêm một dự thảo luật khác vào ngày 30/06/2020 : Lập « Hạn ngạch khí thải cá nhân » để hạn chế người dân sử dụng máy bay vì ngành hàng không thải từ 5-8% lượng khí thải trên thế giới, riêng tại Pháp là gần 10%. Giải thích trên đài RMC / BFM TV ngày 02/07, nữ dân biểu hiện thuộc nhóm Sinh thái - Dân Chủ - Tương ái (Ecologie Démocratie Solidarité) mới thành lập tại Hạ Viện, cho biết : « Ý tưởng mà chúng tôi bảo vệ, đó là lập một hệ thống quota khí thải mà mỗi năm, tất cả mọi người có mức khí thải bằng nhau và người ta có thể tích lũy theo thời gian để có thể thỉnh thoảng đi du lịch ». Nếu không sử dụng hết số kilomet được đi bằng máy bay trong năm đó thì có thể dồn cho năm sau nhưng không được chuyển nhượng cho người khác. Hiện tại, ý tưởng này mới chỉ được đề xuất áp dụng cho du lịch cá nhân, nhưng theo bà Batho, cũng cần phải suy nghĩ đến các chuyến bay công vụ. Thêm một đề xuất chắc chắn sẽ gây tranh luận gay gắt vì tác động đến quyền tự do đi lại của cá nhân !
durée : 00:08:00 - 18.50 franceinfo: - La députée des Deux-Sèvres, ancienne ministre de l'Ecologie, s'oppose à ce qu'Emmanuel Macron réalise un "tri sélectif" des mesures choisies par les 150 citoyens. Elle approuve la réduction à 110 km/h sur les autoroutes.
Actualités Locales :> le local de campagne d'Edouard Philippe, haut lieu de la contestation> Delphine Batho en soutien à Alexis Deck> 3 étudiantes havraises racontent leur retour de Lombardie en pleine épidémie de coronavirus> L'association CAMER a plein d'idées en tête pour 2020> Le cidre augmente d'1°Actualités Culturelles :> Décès de David Roback
Thinkerview diffusé en direct le 29 janvier 2020.
Thinkerview diffusé en direct le 29 janvier 2020.
durée : 00:17:49 - L'invité du Week End - par : Eric Delvaux - Delphine Batho, présidente de Génération Écologie, députée des Deux-Sèvres et ancienne Ministre de l'Écologie, est l'invitée de Patricia Martin et Eric Delvaux à 8h20.
durée : 00:09:28 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Delphine Batho, présidente de Génération Écologie, députée des Deux-Sèvres et ex-Ministre de l'Écologie, est l'invitée de Léa Salamé à 7h50.
Delphine Batho est une femme engagée ; une des très rares personnalités politiques a avoir saisi l’ampleur des bouleversements en cours, et à en tirer les enseignements nécessaires. Militante dès ses années étudiantes, elle a fait carrière en politique au parti socialiste. Ancienne ministre de l’écologie sous François Hollande, elle est actuellement députée des Deux-Sèvres, et a pris la présidence du parti Génération Écologie. Prenant acte du vide politique face aux effondrements qui menacent l’ensemble de la planète et de notre civilisation, Delphine Batho a publié un manifeste pour une écologie intégrale, dans lequel elle propose une grille de lecture d’un monde désormais divisé entre Terriens et Destructeurs, et un cadre d’action fondé sur l’Etat-Résilience et le respect des limites planétaires. Nous avons parlé de la trajectoire destructrice de l’anthropocène, des principes de l’écologie intégrale, du consensus mou autour de l’écologie mainstream et de la manipulation de son champ lexical, d’espérance, de courage, de colère et d’écoféminisme. Entretien enregistré le 1er avril 2019 Plus d'infos : www.presages.fr/blog/2019/delphine-batho SoundCloud : @presages-podcast Abonnez-vous sur iTunes : apple.co/2IgEClh Inscrivez-vous à la newsletter : bit.ly/2p2so7n Facebook : www.facebook.com/presages.podcast/ Youtube : www.youtube.com/c/presages Approfondissez les sujets et découvrez des ressources sur www.presages.fr
Pour cet épisode bonus enregistré au Salon du livre à Paris, on vous propose non pas une mais trois rencontres : Delphine Batho, Jean-Pierre Goux et Cyril Dion, qui réfléchissent à la question de l’effondrement, de l’urgence d’agir et de la façon de changer le cap de notre civilisation, par l’utopie et l’invention d’un nouveau récit.