Subprefecture and commune in Île-de-France, France
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La maison Henri Selmer, fabricant français historique d'instruments à vent, fête ses 140 ans. L'occasion de revenir sur le marché des instruments en France. Un million d'instruments neufs est vendu chaque année. Ce n'est pas forcément une bonne nouvelle pour les fabricants français. En effet, 98% de ces instruments proviennent d'Asie. Pour survivre, les marques françaises misent sur le haut-de-gamme. Par Pénélope Le Mauguen,« Je crois que celui-ci par exemple marche bien. » Vous ne ferez peut-être pas la différence, mais pour ce musicien professionnel, tous les instruments ne se valent pas. Nous sommes à Mantes-la-Ville, à l'ouest deParis, dans les ateliers Henri Selmer, fabricant emblématique d'instruments à vent. « La richesse du son, c'est cette résonance qu'on sent, cette chaleur qu'on sent, ce côté même presque boisé qu'on a à l'intérieur du son de la clarinette », explique Adrien Besse, responsable de marché chez Henri Selmer.Selon lui, les instruments importés sont très souvent d'une qualité acoustique bien inférieure. « La différence, elle s'entend à l'oreille. On peut vraiment, même en étant complètement novice, écouter deux instruments et sentir cette différence de richesse de son dès la première note. Généralement un instrument de mauvaise facture, il va avoir un spectre sonore extrêmement pauvre », estime-t-il.Qualité médiocre mais prix agressifs, les instruments asiatiques ciblent particulièrement les débutants. « Dans les 20-30 dernières années, vous avez eu la concurrence chinoise qui s'est positionnée sur des instruments très, très accessibles. La majeure partie de la concurrence asiatique se situe plutôt sur les instruments intermédiaires et les instruments d'études, où elle est effectivement très âpre. Sur les instruments d'études, j'aurais tendance à dire que tous les instruments sont des instruments d'importation entièrement réalisés en Asie », selon Thierry Oriez, le président de l'entreprise.Réputation inégaléeCette situation a conduit à un effondrement du nombre de fabricants en France. Ils ne sont plus qu'une vingtaine aujourd'hui, contre 150 en 1960. Ceux qui restent tablent sur le haut-de-gamme. « Le savoir-faire de la fabrication, ça, c'est quelque chose qui reste vraiment spécifique. Donc on a des savoir-faire d'acousticiens, de techniciens qui rentrent dans la conception et ensuite la fabrication », comment Stéphane Gentil, chef de produit clarinette.Une réputation d'excellence qui leur permet d'exporter partout dans le monde. Mais le contexte géopolitique depuis le retour de Donald Trump n'est pas pour les rassurer, ajoute Thierry Oriez. « On est quand même sur une période un peu surprenante, avec des incertitudes sur les droits de douane, des incertitudes sur l'activité économique en règle générale. Et tout ce n'est pas forcément favorable à l'activité, quelle qu'elle soit, et en particulier à l'activité culturelle », dit-il.Solution défendue par les professionnels du secteur : que les pouvoirs publics incitent les écoles et conservatoires à acheter des instruments fabriqués en France.
Cette semaine, LeChair reçoit Ablaye Vitiligo. D'origine sénégalaise, Ablaye grandit dans la commune de Mantes la Jolie avant de partir s'installer dans les Vosges. Ayant eu une enfance "agréable" comme il la qualifie lui même, Ablaye est un passionné de sport. Plus tard, il rejoindra l'armée de terre et officiera pendant près de dix ans. Depuis quelques temps, Ablaye est atteint d'une maladie que l'on nomme le Vitiligo. Il nous parle des répercussions que cela cause sur sa vie et nous sensibilise sur les défis qu'il doit affronter au quotidien. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Radio locale associative de l'ouest parisien, gérée par l'association ACVS. Présente sur la bande FM depuis 1979, elle émet sur le 96.2FM ou sur rvvs.fr.
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durée : 00:03:04 - Les oothèques des mantes : un trésor caché de l'hiver provençal - par : Nathalie Mazet - Découvrez l'étonnante utilité des oothèques, ces cocons protecteurs produits par les mantes et leurs cousines pour protéger leurs œufs durant l'hiver. Une richesse discrète de la nature provençale à observer et préserver que nous présente Joseph Jacquin-Porretaz, conservateur du Museum Requien.
L'association “Sans que tu erres” organisatrice du festival Cinémantes du court métrage a accordé une interview à “Ici Paris”. Elle a mis en exergue son objectif, accompagner les talents pour réaliser leur projet cinématographique, déjà deux festivals à son actif et un troisième en cours de préparation pour le mois d'avril prochain. Quarante courts- métrages sont déjà proposés pour le concours et différents prix pour récompenser les films sélectionnés par un jury et également par le public. Les candidatures sont recevables jusqu'à la fin de l'année 2024. La discussion avec les responsables de l'association était jalonnée de musiques de films telles que “Le parrain, Le clan des siciliens, Docteur Jivago, Furyo “etc.
Le Festival « Imago » reflète les évolutions positives de la société en matière de handicap. Demain vous aurez la chance de découvrir Percujam. Ce groupe est constitué de jeunes adultes autistes et de leurs éducateurs. Ils inventent des chansons rythmées, navigant entre rock, reggae et rap. Rendez-vous ce vendredi au Conservatoire Quincy Jones de Mantes-la-Jolie. Quant au Théâtre de Cristal, il propose une nouvelle version du célèbre conte du « Petit Chaperon rouge », avec « Le Loup, la jeune fille et le chasseur ». Allez voir aussi « Conversation entre Jean ordinaires ». Jean-François et Jean-Claude se connaissent depuis 18 ans. Plus d'infos sur festivalimago.com Une photo Didier Le Boulc'h
Ennaloel Mateo-Espada est une passionnée d'Insectes, en master d'écologie à Montpellier. C'est la créatrice du compte insta le Monde des minuscules. Aujourd'hui nous continuons à vous parler des Mantes. Il n'y a que 8 espèces en France, que nous allons passer en revue dans cet épisode. Les Mantes n'ont guère d'égal que les phasmes en matière de camouflage et de mimétisme. Sur la piste des Mantes, suite et fin de notre voyage dans le monde des insectes avec l'amie Ennaloel. Pour écouter ou partager tous les liens de cette série: https://bit.ly/insectes8_mantes2_BSG https://bit.ly/insectes7_mantes_BSG https://bit.ly/insectes6_IR_BSG https://bit.ly/insectes5_IR_BSG https://bit.ly/insectes4_puns_BSG https://bit.ly/insectes3_coccs_BSG https://bit.ly/insectes2b_BSG http://bit.ly/insectes1_BSG _______ On aime ce qui nous a émerveillé … et on protège ce qu'on aime. Sous notre Gravillon vous trouverez... 4 podcasts, 1 site, 1 compte Instagram, 1 page + 1 groupe Facebook et 1 asso : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 Tous nos podcasts sont faits bénévolement. Ils sont gratuits, sans pub et accessibles à tous. Vous pouvez faire un don sur Helloasso (ou sur Tipeee), adhérer à l'asso BSG, ou installer gratuitement le moteur de recherche Lilo et nous reverser vos gouttes : https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSG https://bit.ly/lien_magq_lilo_BSG http://bit.ly/Tipeee_BSG Pour nous aider, vous pouvez aussi partager nos liens, et surtout nous laisser un avis sur Apple Podcast ET Spotify. Nous serons ainsi plus visibles et mieux recommandés. Merci :) Vous voulez créer un podcast ? Nous vous formons et/ou accompagnons ! Nous proposons des Fresques de la biodiversité, des conférences et animons des tables rondes. Nous cherchons des sponsors et des partenaires : contact@baleinesousgravillon.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ennaloel Mateo-Espada est une passionnée d'Insectes. C'est la créatrice du compte insta le Monde des minuscules . Cet épisode est consacré aux Mantes, ces belles prédatrices aussi solitaires que cannibales. Ceci explique sans doute cela. Actuellement, les Mantes comptent près de 2500 espèces, réparties en 16 familles. La France ne compte que 8 espèces dont la plus connue du grand public est la Mantis religiosa, la Mante religieuse. Mais la petite préférée de des amis naturalistes et photographes, c'est souvent l'empuse alias le "diablotin", une mante cornue d'un mimétisme incroyable. _______ On aime ce qui nous a émerveillé … et on protège ce qu'on aime. Sous notre Gravillon vous trouverez... 4 podcasts, 1 site, 1 compte Instagram, 1 page + 1 groupe Facebook et 1 asso : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 Tous nos podcasts sont faits bénévolement. Ils sont gratuits, sans pub et accessibles à tous. Vous pouvez faire un don sur Helloasso (ou sur Tipeee), adhérer à l'asso BSG, ou installer gratuitement le moteur de recherche Lilo et nous reverser vos gouttes : https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSG https://bit.ly/lien_magq_lilo_BSG http://bit.ly/Tipeee_BSG Pour nous aider, vous pouvez aussi partager nos liens, et surtout nous laisser un avis sur Apple Podcast ET Spotify. Nous serons ainsi plus visibles et mieux recommandés. Merci :) Vous voulez créer un podcast ? Nous vous formons et/ou accompagnons ! Nous proposons des Fresques de la biodiversité, des conférences et animons des tables rondes. Nous cherchons des sponsors et des partenaires : contact@baleinesousgravillon.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
William Leymergie propose aux auditeurs une balade originale, hors des sentiers battus, à la découverte des différentes régions de France, de leurs sites les plus insolites, mais également de ceux possédant un savoir-faire unique, ajouté à cela des balades culturelles et culinaires inédites pour mettre à l'honneur la diversité du patrimoine français.
RTL poursuit sa visite des familles françaises : au cœur de la crise politique, les débats continuent de crisper et de questionner dans ce moment de clarification. Pour ce septième et dernier épisode, Valentin Boissais nous emmène à Mantes-la-Jolie (Yvelines), au marché avec Christelle et sa mère. Car le marché est aussi un lieu où, parfois, les familles s'écharpent. Cette famille est fracturée, car la maman est plutôt de gauche, à l'inverse de la fille qui vote désormais pour le RN.
À partir de la visite de l'exposition permanente du Musée national de l'histoire de l'immigration, les élèves de 4ème de la classe média et de SEGPA du collège La Vaucouleurs de Mantes-la-Jolie ont réalisé quatre émissions en partant d'une des dates clés qui organisaient l'exposition. Dans cette 2ème partie, découvrez 4 des 8 émissions de la classe : LES REVOLUTIONNAIRES (1789) Présentation : Tidiane Interview de Toussaint Louverture. Avec Léo Kampa dans le rôle de Toussaint Louverture, interviewé par Nicolas Œuvre du musée présentée : l'estampe "Moi Libre" Réalisation : Maïline et Léo Buron Musique : 5ème Symphonie - Beethoven 1917 Présentation : Alioune Chronique sur la vie des poilus : Noa Interview du photographe Samuel Fosso. Avec Yani dans le rôle de Samuel Fosso, interviewé par Alioune Œuvres du musée présentées : - les premières cartes d'identité - le dytique Allonzenfans de Samuel Fosso Réalisation : Sarah Musique : La Grenade - Clara Luciani MOSAÏQUE (1983) Présentation : Lilou Interview de Mouloud Mimoun, présentateur de l'émission Mosaïque. Avec Kamelia dans le rôle de Mouloud Mimoun, interviewé par Adem. Œuvres du musée présentées : - un extrait de l'émission Mosaïque - une affiche de Toufik Ouanes Chronique sur le film Banlieusard de Kery James : Jade Réalisation : Gonzalo Musique : Samurai - Shurik'n LANGAGUE DES GENERATIONS (2024) Présentation : Mohammed Chronique sur l'immigration en 2024 : Laureen Interview de Lamya sur les langues parlées dans sa famille, interviewé par Aymeric Œuvres du musée présentées : - l'installation vidéo Mother Tongue de Zineb Sedira - l'installation Road of exil de Barthelemy Toguo Réalisation : Lilian Musique : Tonton du bled - Rym'k Un cycle d'ateliers réalisé les 24, 25 avril et 7 mai 2024, animé par Rosalie Berne et Julia Martin, dans le cadre des ateliers d'initiation aux pratiques radiophoniques organisés par Radio Campus Paris, en partenariat avec le Musée national de l'histoire de l'immigration.
Dans les années 1990 à l'hôpital de Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines, Christine Malèvre a sans concertation, ni avec ses collègues, ni avec les familles, tué six patients...
Dans les années 1990 à l'hôpital de Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines, Christine Malèvre a sans concertation, ni avec ses collègues, ni avec les familles, tué six patients...
Dans les années 1990 à l'hôpital de Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines, Christine Malèvre a sans concertation, ni avec ses collègues, ni avec les familles, tué six patients...
À partir de la visite de l'exposition permanente du Musée national de l'histoire de l'immigration, les élèves de 4ème de la classe média et de SEGPA du collège La Vaucouleurs de Mantes-la-Jolie ont réalisé quatre émissions en partant d'une des dates clés qui organisaient l'exposition. Découvrez la 1ère partie des émissions de la classe : "Entrons dans l'histoire" Adam (présentation) Mamadou (réalisation) Sidiki (journaliste) Lana et Léane (invitées) Musique : Chemin d'or de Werenoir "Le monde de la musique" Célia (présentation) Arthur (réalisation) Aminata, Mariam, Chahinez et Arthur (chroniques) Musique : Avava Inova de Idir / Kaalajo de Baal Maal / Toi qui t'en vas de Dahmar El Harrachi "Planète Sport" Samuel (présentation) Matty et Nolan (réalisation) Ryan (journaliste) Ali (invité) Maxence (chronique) Musique : Get Lucky de Daft Punk "Mobilisation et immigration" Sarah (présentation et journaliste) Léa (réalisation) Wassil et Andréa (invités) Musique : Didn't Cha Know de Erykah Badu Un cycle d'ateliers réalisé les 24, 25 avril et 7 mai 2024, animé par Camille Masson et Perrine Kempf, dans le cadre des ateliers d'initiation aux pratiques radiophoniques organisés par Radio Campus Paris et en partenariat avec le Musée national de l'histoire de l'immigration.
Merci à Raphaël Cognet, d'être passé chez POLITICAE ! Maire de Mantes-la-Jolie, il est venu parler de sa joie d'être élu. Il délivre ici son témoignage pour parler de l'engagement local !
Qu'on le consulte pour une grippe ou pour être dirigé vers un spécialiste, le médecin généraliste est la porte d'entrée vers le monde médical. Il prend en charge le patient tout au long de sa vie. Examiner, consulter, prescrire, référer… le rôle du médecin généraliste est varié. Ils étaient près de 100 000 en France en 2022, avec un âge moyen de 55 ans pour les hommes et 47 pour les femmes. (Rediffusion) Autre donnée importante les concernant, d'après un rapport du Sénat publié en mars 2022, 11 % des Français n'ont pas de médecin traitant en France : il manquerait ainsi 6 000 médecins généralistes dans les régions rurales, et certaines zones de la région parisienne ne sont pas épargnées par cette désertification médicale.Comment expliquer ces tendances ? Les politiques engagées sont-elles de nature à y remédier ? Médecin traitant, médecin de famille, médecin généraliste : quel sens donner à ces métiers ? La baisse d'attractivité est-elle réversible ? Dr Bruno Fron, médecin généraliste à Paris. Auteur de l'ouvrage Toute une vie pour eux. La passion d'un médecin de famille paru chez l'Iconoclaste Dr Patrick Lefoulon, médecin généraliste dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, en Île-de-France Dr Élise Fraih, médecin généraliste à Dachstein, en Alsace, présidente du Syndicat des jeunes médecins généralistes remplaçants, jeunes universitaires et jeunes installés (ReAGJIR).
Qu'on le consulte pour une grippe ou pour être dirigé vers un spécialiste, le médecin généraliste est la porte d'entrée vers le monde médical. Il prend en charge le patient tout au long de sa vie. Examiner, consulter, prescrire, référer… le rôle du médecin généraliste est varié. Ils étaient près de 100 000 en France en 2022, avec un âge moyen de 55 ans pour les hommes et 47 pour les femmes. (Rediffusion) Autre donnée importante les concernant, d'après un rapport du Sénat publié en mars 2022, 11 % des Français n'ont pas de médecin traitant en France : il manquerait ainsi 6 000 médecins généralistes dans les régions rurales, et certaines zones de la région parisienne ne sont pas épargnées par cette désertification médicale.Comment expliquer ces tendances ? Les politiques engagées sont-elles de nature à y remédier ? Médecin traitant, médecin de famille, médecin généraliste : quel sens donner à ces métiers ? La baisse d'attractivité est-elle réversible ? Dr Bruno Fron, médecin généraliste à Paris. Auteur de l'ouvrage Toute une vie pour eux. La passion d'un médecin de famille paru chez l'Iconoclaste Dr Patrick Lefoulon, médecin généraliste dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, en Île-de-France Dr Élise Fraih, médecin généraliste à Dachstein, en Alsace, présidente du Syndicat des jeunes médecins généralistes remplaçants, jeunes universitaires et jeunes installés (ReAGJIR).
Avec Caroline Carmantrand, conseillère régionale d'Île-de-France et adjointe au maire d'Asnières-sur-Seine, Raphaël Cognet, maire de Mantes-la-Jolie (Yvelines) et Jérôme Cordelier, rédacteur en chef au Point et auteur de plusieurs ouvrages dont Après la nuit (Ed. Calmann Levy)
Radio locale associative de l'ouest parisien, gérée par l'association ACVS. Présente sur la bande FM depuis 1979, elle émet sur le 96.2FM ou sur rvvs.fr.
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Ave : Raphaël Cognet, maire DVD de Mantes-la-Jolie (Yvelines). - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
Cette semaine direction les Yvelines et le Val d'Oise pour un nouveau road trip, au départ de Mantes-la-Jolie. Visite guidée avec Arnaud Ducoudré et son invité des Guides Verts Michelin !
Robert Kongo reçoit Marc Jammet, secrétaire de section du parti communiste français (PCF) de Mantes-la-Jolie. Sujet abordé : Y a-t-il un lien entre insécurité et immigration ?
Tous publics Initiation au rugby - école de rugby, initiation au rugby - M14 - M16 avec le rugby club de Mantes et Rugby Seniors - championnat Île-de-France - 2e série régionale. > Les entraînements Stade Léo-Lagrange > Les permanences Sur appel, rendez-vous au stade suivant possibilité. Permanence un samedi sur deux au Club House. • Nous contacter M. Michel BROIX 18, rue Weiterstadt - 78480 Verneuil-sur-Seine 06 32 21 38 46 // 06 65 40 52 62 // mbroix78@gmail.com // cedric.gouache@gmail.com // rclesmureaux@gmail.com Facebook : RCLM Rugby Les Mureaux
Et c'est la géographie de ces violences sur laquelle se penchent La Croix et Le Monde, en partant de ce constat : la carte des émeutes de 2023 n'est plus celle des « banlieues chaudes ». « Si la France n'en est pas à sa première vague de violences urbaines, constate Le Monde, celles-ci n'avaient jamais été aussi étendues ni généralisées, des plus grands centres urbains aux plus petites agglomérations. »« 553 villes ont été touchées », précise La Croix. Le quotidien note que « cette carte ne coïncide que très partiellement avec celle des quartiers sensibles, d'une part, et avec celle des émeutes de 2005 d'autre part ». Et surtout, cette carte évolue au fur et à mesure des nuits d'émeutes. Lors de la première, « les violences se concentrent sur la banlieue parisienne », souligne Le Monde, avant de s'étendre vers des villes plus petites le lendemain. Grenoble, Rennes, Beauvais mais aussi Évreux ou Alençon, « les villes moyennes, c'est inédit, sont elles aussi touchées ».À Vernon, Migennes ou Oyonnax, des incendies ont ciblé les institutions et des tirs de mortier ont visé les forces de l'ordre. Pour La Croix, un professeur de sociologie livre son analyse : « Les villes éloignées des métropoles connaissent les mêmes phénomènes de ségrégation urbaine. Les conditions de vie y sont parfois encore plus difficiles mais comme ces quartiers sont plus petits, ils retiennent moins l'attention des pouvoirs publics ».Une évolution des cibles des violencesAvec un phénomène nouveau selon La Croix : « Les scènes de pillages dans les centres-villes ». Pour le quotidien, « ces actes seraient davantage le fait d'une jeunesse des quartiers qui se sent ostracisée ». Sur les réseaux sociaux, observe Le Monde, « la gravité et la colère des premières heures s'estompe au profit d'une certaine jubilation devant les "dingueries" des uns et des autres ».« Pourquoi l'étincelle de la colère met-elle le feu à telle cité et pas à telle autre ? », se demande La Croix. Le sociologue Michel Kokoreff, cité par le journal, remarque que « la situation a très vite dégénéré en région parisienne dans des villes comme Asnières ou Mantes-la-Jolie, où la situation est notoirement très dégradée entre les jeunes et la municipalité ».« Il ne faut donc pas », selon lui, « sous-estimer les dynamiques locales, l'importance des relations entre les villes, les associations et la population ». « Un point sur lequel insistait, en 2018, le rapport de Jean-Louis Borloo enterré par Emmanuel Macron », conclut La Croix.Début des vacances sous le signe de l'inflation« Pouvoir d'achat, sur la route des vacances pas chères », titre Le Parisien-Aujourd'hui en France pour qui « la hausse des prix et le nouveau calendrier scolaire bousculent les habitudes estivales des familles, qui cherchent à éviter la période mi-juillet, mi-août ».Il y a donc ceux qui partent plus tôt, comme Xavier, 45 ans, déjà dans la baie de Somme pour les vacances. Ses quatre enfants ont « fait l'école buissonnière », précise Le Parisien. Bonne pioche selon le père de famille, qui dit avoir bénéficié de promos et de prix très intéressants. Résultat, constate une fédération d'entreprises de voyage : on observe « une meilleure répartition des vacances sur les trois mois d'été ».Le problème du sur-tourisme dans certaines régionsPorquerolles, Bréhat, le Mont-Saint-Michel… Le Figaro s'intéresse à ces fleurons touristiques français qui « cherchent la parade face à la sur-fréquentation ». Le quotidien prend l'exemple de Gordes, dans le Vaucluse, « ses calades ruelles typiques du Luberon, son panorama époustouflant, son abbaye cistercienne et ses odeurs de lavande ». Le tout quelque peu gâché par « un trop grand nombre de voitures, de touristes, de pauses photos instagrammables ».Comme d'autres destinations touristiques en France, Gordes est victime de son succès, « classé plus beau village du monde par un magazine américain ». Résultat : un million de touristes se pressent chaque année dans ce petit village de 2000 habitants. Et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres... En Gironde, Le Figaro constate « la face sombre d'une côte d'azurisation à grande vitesse à coups de paquebots géants, de jet skis et de hausse des prix ».Tout n'est pas perdu pour autant, à en croire Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée du Tourisme citée par le quotidien : « Si l'on veut désengorger les sites trop fréquentés, il faut faire émerger d'autres destinations touristiques. […] La France regorge de magnifiques endroits que les locaux connaissent bien, et les étrangers pas du tout ». Reste donc à les faire connaître, mais pas trop non plus !
Tener amante o quedarte con tu esposa, contestar esa llamada de tu "amiga" o hacerte el loco, irte a vivir a otro estado o devolverte a tu país... grandes dilemas de la vida que podrían definir el resto de tu existencia.Escucha lo complicado que es afrontar un dilema en la vida y cómo puedes identificar qué camino tomar para que te vaya bien.
Nouvel épisode du "Fond de l'info" animé par Nadiya Lazzouni, avec Matthieu Slama et Julien Théry. Aujourd'hui, on revient sur le drame de Nanterre. Nahel avait 17 ans. Il a été exécuté par un policier qui a tiré à bout portant après un refus d'obtempérer. C'était le 27 juin dernier, à Nanterre. Pourtant le code pénal prévoit pour le délit de refus d'obtempérer, 3 mois d'emprisonnement et 3.750 euros. Alors pourquoi Nahel a été condamné à la mort ? Pourquoi Nahel a pris perpet comme Zayed et Bouna à Clichy sous bois avant lui ? Comme Larami et Mouhsin à Villiers le bel avant lui ? Les populations des quartiers populaires en ont assez de parler de leurs enfants au passé.Les jeunes des quartiers populaires en ont assez d'entrevoir la mort à chaque contrôle de police. Alors ils se révoltent. Et leur rage est contagieuse. Hier soir, pour la 3ème nuit consécutive, les révoltes ont éclaté dans les quartiers populaires en région parisienne, à Mantes la jolie, Nantes, Strasbourg, Paris et même en Guyane. Et pour mater la colère, le gouvernement a mobilisé 40 000 agents policiers et gendarmes, c'est 3 fois plus qu'au pic des révoltes de 2005 fait remarquer le sociologue Marwan Mohamed qui ajoute “ Le pouvoir a probablement été surpris par la rapidité de la solidarisation des quartiers et de la nationalisation des protestations. Pas certain que cela suffise”. Et pourtant, on a en mémoire le discours d'un Emmanuel Macron qui appelait à l'apaisement, une prise de parole qui contraste avec celle de son ministre de l'intérieur qui s'est montré beaucoup plus vindicatif la veille. Le gouvernement a finalement choisi de s'aligner sur la ligne dure, la ligne offensive d'un Gérald Darmanin qui découvre curieusement le principe de présomption d'innocence d'un policier pourtant filmé. Éric Zemmour et Éric Ciotti réclament depuis hier le déclenchement de l'état d'urgence, une mesure que le gouvernement repousse mais jusqu'à quand ? Pour le moment Emmanuel Macron envisage de censurer les contenus des RS qui alimenteraient toute cette violence. Emmanuel Macron continue de marcher avec des œillères et refuse de voir les véritables responsabilités. Les leurs. Alors on s'y attelle à sa place ici au Média avec nos invités, Mathieu Slama, essayiste auteur de Adieu la Liberté et Julien Théry, Historien. C'est le fond de l'info ! ▶ Soutenez Le Média :
VIDEO: Descrizione in minuscolo ➜ https://www.youtube.com/watch?v=5KpjtrwP9jo&list=PLolpIV2TSebW0v_67SEYHJFlDZvH9rc9ZTESTO DELL'ARTICOLO ➜ https://www.bastabugie.it/it/articoli.php?id=873SCONTRI DI MUSULMANI CON LA POLIZIA METTONO A FERRO E FUOCO LA FRANCIA (TRA POCO IN ITALIA?) di Rino Cammilleri«Che bella la società multietnica!», cinguettava giuliva anni fa un'ochetta del giornalismo che aveva appena visto Guerre Stellari. Invece, malgrado i patetici tentativi degli spot pubblicitari di mostrarci un mondo interrazziale felice, malgrado Hollywood che sempre più spesso infila coppie miste con figli mulatti nei copioni, malgrado la felicità artificiale della pizza e della Coca-Cola, malgrado l'inclusione di africani pure nella Primavera di Botticelli, la realtà, quella vera, è la Francia di questi giorni. Perché le sue città sono esplose per la morte di un maghrebino pluripregiudicato? Qual è il segnale che si vuole dare: se tocchi uno di noi scoppia la guerra? Ed è lo stesso segnale inaugurato nei soliti Usa: se tocchi un black si scatena l'inferno.Mica per protestare contro un sistema che permette a quattro gatti di essere più ricchi di Dio mentre tutti gli altri sopravvivono coi sussidi o sotto i ponti, no. A New York ci sono centomila senzatetto. Sì, avete letto bene, centomila. Cioè, una città delle dimensioni di Piacenza vive per strada nella capitale del mondo ex cristiano. I Love N.Y. Sì, sui cappellini e le magliette, laddove i sondaggi dicono che chi può se ne scappa. A San Francisco, la capitale del woke, è anche peggio, con in più un intero quartiere di soli tossici. Gli americani fanno la rivoluzione per questo stato di cose? Macché, la fanno se un poliziotto, pur nero, spara a un delinquente nero. In Francia non sanno più dove reclutare poliziotti perché l'emorragia per dimissioni è inarrestabile, e aumenta di anno in anno. In Francia hanno creduto di importare manodopera, invece sono arrivati nordafricani musulmani. Il livello culturale che sta dietro alle rivolte delle banlieues francesi (ma anche americane e svedesi e olandesi e del resto d'Europa) lo si vede quando si contano i danni: i negozi più saccheggiati sono quelli della Nike, ed è tutto dire. Ma dov'erano i sociologi quando il progetto mondiale svuotaTerzoMondo è stato varato? Non lo sapevano che ogni immigrato tende a insediarsi dove già ci sono altri del suo paese? Da qui le varie Chinatown, Harlem nero e Harlem ispanico, le banlieues, i quartieri islamici eccetera.Avete mai visto il film Colors con Sean Penn e Robert Duvall? È del 1988, cioè di quasi quarant'anni fa, ma mostrava quella che già allora per gli americani era una regola: un bianco che entra in un quartiere nero lo fa a suo rischio e pericolo. Bel colpo. Povera Francia, lei e la sua grandeur. Chi pagherà gli immensi danni, adesso? Chi li ha provocati? Seeeh! Sarà il solito popolo bue, a cui avevano promesso che l'immigrazione avrebbe rimpinguato le pensioni. Guardatele bene, le immagini francesi, perché tra breve toccherà a noi. E lasciate perdere i giochetti sul ministro che irrideva la Meloni sull'immigrazione e invece dovrebbe guardare in casa sua. Sì, perché neanche la Meloni è in grado di risparmiarci un futuro francese prossimo, molto prossimo. Un tempo l'Impero Romano questi giovani testecalde in eccesso li arruolava di forza nelle legioni e li mandava a difendere il limes. Solo che il Senato Romano non aveva al suo interno comunisti, pentastellati e preti di strada.Nota di BastaBugie: Lorenza Formicola, nell'articolo seguente dal titolo "17enne ucciso da un agente: la Francia è tutta una banlieue" parla del 17enne, già noto alle forze dell'ordine, ucciso da un agente e tutto quello che è seguito. Ora il clima di violenza, anche giovanile, divampa senza freni.Ecco l'articolo completo pubblicato su La Nuova Bussola Quotidiana il 30 giugno 2023:È un caos di auto in fiamme, incendi dei palazzi delle istituzioni, strade occupate per interdire il traffico di tram ed autobus - alcuni dei quali bruciati completamente -, petardi lanciati contro le forze dell'ordine, bande in passamontagna e armate di fucile, la Francia di Macron la mattina del 29 giugno. In una sola notte sono state arrestate 150 persone e mentre scriviamo il bilancio degli ufficiali feriti sale a 130 e la devastazione è ovunque. A scatenare i disordini violenti è stata la diffusione sui social di un video che ritrae un agente, la mattina del 27 giugno, a Nanterre - periferia ovest di Parigi - mentre spara e uccide un 17enne, che, alla guida di un'auto, si rifiuta di fermarsi ad un posto di blocco. Adesso, l'ufficiale è in arresto e contro di lui è stata aperta un'inchiesta per omicidio colposo.Il fatto di cronaca fa particolarmente discutere anche perché, nel 2017, la Francia, in seguito agli attentati di Nizza, ha approvato una legge che consente l'uso delle armi alle forze dell'ordine in casi di «assoluta necessità e in materia strettamente proporzionata», e al di fuori della legittima difesa, il che autorizza la polizia a sparare di più.Nahel, il 17enne che ha perso la vita mentre guidava senza patente, era già noto alle forze dell'ordine: cinque rifiuti di fermarsi ad un posto di blocco - l'ultimo solo la settimana prima di perdere la vita - e dodici arresti per reati vari tra cui spaccio di droga.Uno dei primissimi a commentare i fatti è stato proprio Macron: «niente giustifica la morte di un giovane: è imperdonabile». Condannando immediatamente il poliziotto, il Presidente non ha lasciato che fosse la giustizia a dare sentenze. È il solito tranello in cui cade ancora la Francia: in nome dell'emozione si dimentica di condannare la violenza indifendibile.E sebbene per due giorni anche la stampa internazionale ha provato a scagionare il ragazzino, la ricostruzione del pubblico ministero di Nanterre ha confermato la versione degli agenti. Avevano provato a fermare la Mercedes, con targa polacca, che Nahel guidava senza patente a gran velocità, e con la quale aveva già provato ad investire pedoni e ciclisti, per ben due volte prima dello scontro, poi fatale, con gli ultimi due agenti.A Nanterre, capoluogo del dipartimento Hauts-de-Seine, è difficile trovare un ragazzo che non sia mai stato fermato o posto in custodia dalla polizia. Un territorio fortemente interessato dall'immigrazione, che oggi è il 25,5% della popolazione, e che già nel 1981 era oggetto di attenzione per il dilagare di delinquenza, spaccio di droghe e immigrati allo sbando. È bastato poco così che la morte del ragazzino innescasse un'ondata di proteste violentissime nella banlieue di Nanterre, - non meno di 1.200 uomini sono stati mobilitati per ristabilirvi l'ordine solo il primo giorno.E in un baleno la rabbia è divampata in diversi distretti dell'Île-de-France - dove la strategia di riconquista repubblicana portata avanti da Emmanuel Macron dal 2017 tarda a dare i suoi frutti - e poi in lungo e largo nel Paese. Così, mentre il municipio di Mantes la-Jolie era ostaggio di molotov, bande incappucciate hanno effettuato incursioni contro la polizia e gli edifici pubblici ad Asnières, Colombes e persino a Clichy-sous-Bois. Anche Parigi non è stata risparmiata, con incendi e lanci di proiettili registrati nel 20° e 15° arrondissement.I rischi di contagio sono stati presi molto sul serio dagli analisti del ministero dell'Interno, ma nessuno è riuscito a fermarli. E così che in una notte la realtà ha assunto le sembianze di uno scenario uscito da Netflix. A Garges-lès-Gonesse, Val-d'Oise, nella periferia parigina, il municipio è stato incendiato completamente. A Lione, e nei comuni del suo agglomerato, la polizia è stata bersaglio di fuochi d'artificio. A Villeurbanne il lancio di petardi contro un palazzo ha provocato la distruzione di almeno trentacinque appartamenti. Secondo il sindaco di Lione, in città sono stati in tantissimi a rivoltarsi contro la polizia. Sono state ben 25 le stazioni distrutte in una notte in varie località. A Bezons, Val-d'Oise, i saccheggiatori hanno dato fuoco ad una scuola elementare.Approfittando dei disordini, s'è tentato anche di far evadere alcuni detenuti dal carcere di Fresnes. Il ministro della giustizia, Éric Dupond-Moretti, è andato subito a far visita al carcere preso d'assalto: «Tutti quelli che sputano sulla polizia e sulla giustizia sono i complici morali di quello che sta succedendo». Per tutta la giornata di giovedì 29 giugno, le opposizioni di destra del Paese hanno chiesto l'istituzione dello stato di emergenza, e alcuni sindaci l'hanno adottato in autonomia nella serata di ieri fino a lunedì prossimo. Lo schema di queste rivolte è il solito degli ultimi trent'anni. «Spesso la sorgente è un intervento della polizia che finisce male.
Les crevettes mantes sont de redoutables prédatrices, de tous les records. Armées de pattes ravisseuses comme les mantes ou de massues, elles ont des yeux dotés de 3 pupilles, qui voient en 3D, et qui sont sans doute parmi les plus perfectionnés du règne animal. Le choc de leur massue provoque un impact et un son comparable à celui d'une balle de fusil. _______ On aime ce qui nous a émerveillé … et on protège ce qu'on aime. _______ Découvrir tout l'univers Baleine sous Gravillon, et Mécaniques du Vivant sur France Culture : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 Soutenir notre travail, bénévole et sans pub : https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSG Nous contacter pour une conférence, un partenariat ou d'autres synergies : contact@baleinesousgravillon.com _______ Interview : Marc Mortelmans Rédaction en chef : Guillaume Lassalle Graphisme : Elouan Plessix Montage / notices / programmation : Zeynab Tamoukh, Albane Couterot, Paul Lavigne
C dans l'air du 1er juillet : Pillages, violences... Macron à l'épreuve Présentation: Maya Lauqué LES EXPERTS : - Driss AIT YOUSSEF - Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » - Aurelie HERBEMONT - Journaliste au service politique “RTL” - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique - Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » Trois jours après la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d'un contrôle routier, des violences urbaines et émeutes ont encore éclaté dans de nombreuses villes de France hier soir. 2650 incendies sur la voie publique ont été dénombrés et 234 bâtiments dégradés... Les pillages et les destructions se sont poursuivies. C'était notamment le cas à Marseille et à Lyon, alors que la situation s'est un peu calmée en Île-de-France. Pour tenter d'enrayer le cycle des violences, les autorités avaient encore renforcé leurs moyens hier. Dans l'ensemble, la nuit a semblé plus calme que la veille. C'était notamment le cas en Île-de-France où, mises à part quelques tensions aux alentours de minuit à Nanterre et une intervention de la Brav-M dans le secteur des Halles à Paris, le climat ne s'est pas envenimé. Gérald Darmanin, en déplacement dans la nuit à Mantes-la-Jolie pour remercier les forces de l'ordre, a annoncé que les violences ont été d'une "intensité bien moindre". Le ministre de l'Intérieur a annoncé la mobilisation "exceptionnelle" de 45000 policiers et gendarmes pour éviter une quatrième nuit consécutive d'émeutes. À ces effectifs se s'ajoutent le déploiement de blindés de la gendarmerie et la poursuite du recours à des unités d'élite comme le GIGN pour faire baisser les tensions de la nuit précédente. Signe de la tension actuelle, le président de la République Emmanuel Macron a annulé une visite d'Etat en Allemagne pour rester dans le pays avec le gouvernement. Après les émeutes de ces dernières nuits, deux syndicats policiers, Alliance et Unsa-Police, majoritaires dans la police nationale, se sont insurgés dans un communiqué contre des "hordes sauvages". Ce tract incendiaire est révélateur de l'exaspération des troupes. Le vocabulaire guerrier employé a provoqué colère et indignation. Il n'a pas manqué de faire réagir les autres branches du syndicat Unsa, qui s'en sont désolidarisées. Frédéric Marchand, secrétaire général de l'Unsa-Éducation, a condamné des mots "inquiétants et insupportables". Les mots choisis par Alliance et Unsa-Police ressemblent en effet à une menace à peine voilée au gouvernement. La classe politique de gauche s'est elle aussi indignée. Jean-Luc Mélenchon, notamment, a affirmé que "les 'syndicats' qui appellent à la guerre civile doivent apprendre à se taire". Jean-Luc Mélenchon n'est pas le seul personnage public à avoir réagi à la mort de Nahel, et aux événements qui s'en sont suivis. De gauche à droite de l'échiquier politique, les commentaires sont nombreux depuis quatre jours. La droite d'Eric Ciotti et l'extrême droite de Marine Le Pen rivalisent sur la volonté du retour à l'ordre. La cheffe du Rassemblement National, tout comme Eric Zemmour, voit dans ces émeutes une justification de sa volonté de tarir drastiquement l'immigration en France. La gauche marche de son côté sur une ligne de crête. Si tous les partis de la Nupes étaient présents à Nanterre pour la marche blanche en soutien à la famille de Nahel, ils ont du mal à parler d'une seule voie. La France insoumise met en avant la nécessité de justice quand le communiste Fabien Roussel appelle, lui, à la fin des violences. A l'étranger, les émeutes qui secouent la France sont suivies de prêt. En Europe et au-delà, le traitement de ces événements par la presse varie selon que ces pays mettent l'accent sur les questions sécuritaires, culturelles, migratoires ou encore raciales. En Russie, on s'amuse des images d'Emmanuel Macron présent a un concert mercredi soir, pendant que de nombreuses villes brûlaient. Aux Etats-Unis et en Allemagne, on est marqué par le niveau de racisme de la police française. Les médias britanniques s'inquiètent de leur côté de l'organisation des Jeux Olympiques, qui doivent se tenir dans un an à Paris. Que s'est-il passé la nuit dernière ? Quelle est la réaction de la classe politique à ces émeutes ? Comment la presse étrangère parle-t-elle de ces événements ?
Au programme de l'émission de juin : * Interview de Gégé, bassiste du groupe de Hard Rock Stratagème, qui reviendra sur l'histoire du groupe et sur le nouvel album " Nevers Stop" fraîchement sorti. * Également en interview le Staff du Festival Content pour rien, qui se tiendra du 30/06 au 02/07 à Mantes la Ville. * Et pour finir un 1er retour sur le Hellfest ainsi que sur le Normandy metal fest.
SynopsisOn today's date in 1745 a 73-year-old French composer named Antoine Forqueray died in Mantes-la-Jolie outside Paris, where he had lived after his retirement as a court musician to King Louis XIV of France.Forqueray was a virtuoso on the viola da gamba, a bowed string instrument popular in the 17th and 18th centuries, but nowadays only played by specialists in old music. At the tender age of 10, Forqueray played before Louis XIV. Seven years later he landed a job at the Court of Versailles.In Forqueray's day the other great French gamba virtuoso and composer was Marin Marais, noted for his introspective, sweet, and gentle style of playing. Forqueray's style was extroverted and bold, even brash. People said Marais played like an angel, and Forqueray like the devil.Forqueray's style was so distinctive that three other French composers of the day, Jean-Philippe Rameau, François Couperin, and Jacques Duphly, each composed a piece named “La Forqueray” in tribute to him. An obituary notice suggested that Forqueray had composed some three hundred works, but a selection of thirty-two pieces published by his son two years after his father's death is the only music by Antoine Forqueray that survives.Music Played in Today's ProgramAntoine Forqueray (1671 - 1745) Piece for viola de gamba
Robert Kongo reçoit Marc Jammet, secrétaire de la section PCF (Parti communiste français) de Mantes-la-Jolie. Sujet évoqué : Loi sur la réforme des retraites : les communistes ne lâchent rien !
Qu'on le consulte pour une grippe ou pour être dirigé vers un spécialiste, le médecin généraliste est la porte d'entrée vers le monde médical. Il prend en charge le patient tout au long de sa vie. Examiner, consulter, prescrire, référer… le rôle du médecin généraliste est varié. Ils étaient près de 100 000 en France en 2022, avec un âge moyen de 55 ans pour les hommes et 47 pour les femmes. Autre donnée importante les concernant, d'après un rapport du Sénat publié en mars 2022, 11 % des Français n'ont pas de médecin traitant en France : il manquerait ainsi 6 000 médecins généralistes dans les régions rurales, et certaines zones de la région parisienne ne sont pas épargnées par cette désertification médicale. Comment expliquer ces tendances ? Les politiques engagées sont-elles de nature à y remédier ? Médecin traitant, médecin de famille, médecin généraliste : quel sens donner à ces métiers ? La baisse d'attractivité est-elle réversible ? Dr Bruno Fron, médecin généraliste à Paris. Auteur de l'ouvrage Toute une vie pour eux. La passion d'un médecin de famille paru chez l'Iconoclaste Dr Patrick Lefoulon, médecin généraliste dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, en Île-de-France Dr Élise Fraih, médecin généraliste à Dachstein, en Alsace, présidente du Syndicat des jeunes médecins généralistes remplaçants, jeunes universitaires et jeunes installés (ReAGJIR).
Qu'on le consulte pour une grippe ou pour être dirigé vers un spécialiste, le médecin généraliste est la porte d'entrée vers le monde médical. Il prend en charge le patient tout au long de sa vie. Examiner, consulter, prescrire, référer… le rôle du médecin généraliste est varié. Ils étaient près de 100 000 en France en 2022, avec un âge moyen de 55 ans pour les hommes et 47 pour les femmes. Autre donnée importante les concernant, d'après un rapport du Sénat publié en mars 2022, 11 % des Français n'ont pas de médecin traitant en France : il manquerait ainsi 6 000 médecins généralistes dans les régions rurales, et certaines zones de la région parisienne ne sont pas épargnées par cette désertification médicale. Comment expliquer ces tendances ? Les politiques engagées sont-elles de nature à y remédier ? Médecin traitant, médecin de famille, médecin généraliste : quel sens donner à ces métiers ? La baisse d'attractivité est-elle réversible ? Dr Bruno Fron, médecin généraliste à Paris. Auteur de l'ouvrage Toute une vie pour eux. La passion d'un médecin de famille paru chez l'Iconoclaste Dr Patrick Lefoulon, médecin généraliste dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, en Île-de-France Dr Élise Fraih, médecin généraliste à Dachstein, en Alsace, présidente du Syndicat des jeunes médecins généralistes remplaçants, jeunes universitaires et jeunes installés (ReAGJIR).
Ce weekend, c'est le salon de la chasse et de (l'abattage de) la faune sauvage à Mantes la jolie
C'est quoi l'intersectionnalité ? Dans cet épisode, Marie Mercat-Bruns, professeure affiliée à l'École de droit de Sciences Po et chercheuse au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), revient sur ce terme né à la fin des années 1980 aux États-Unis sous la plume de la juriste afro-américaine Kimberlé Crenshaw. Elle explique comment le droit français et le droit européen s'emparent de ce concept pour prendre en compte les discriminations multiples. -- Lire la transcription écrite de l'épisode. --
Cette semaine, 500 reçoit Youv. D'origine mauritanienne, Youv voit le jour au début des années 80. Il arrive très jeune dans la commune de Mantes la Jolie. C'est l'un des plus grands d'une fratrie de onze enfants et il se singularise par son côté espiègle dès le plus jeune âge. Élève peu concerné, il se marginalise très tôt avant d'embrasser un chemin beaucoup plus complexe. En effet, il connaît sa première incarcération à l'âge de quinze ans au CJD de Bois d'arcy. Cette première peine marquera le début de sa descente aux enfers. Il se spécialise dans les vols à mains armés et en paiera le prix cher. En accumulant toutes ses peines, il aura effectué vingt quatre ans de prison. Au fil d'une longue conversation, Youv revient sur son destin tragique, sa paternité, le décès de ses parents et sensibilise les auditeurs sur la vie de "voyou" qu'il ne faut surtout pas emprunter.
Il punto d'incontro per migliaia di tifosi della nazionale è a Mantes-la-Jolie, un'enorme sala del comune, maxischermo e ristorazione per tutti: "Faremo festa a prescindere dal risultato", dicono i presenti
L'entitat solidària assegura que no els queda ni una sola manta davant de la forta demanda que han tingut amb l'arribada del fred. La notícia Crida urgent de Càritas Lloret: fan falta mantes i roba d'abric s'ha publicat al web de Nova Ràdio Lloret.
L'info qu'il faut - Un film protecteur qui se colle aux vitres pourrait remplacer la climatisation - Des applis pour réduire ses dépenses en énergie Le winner du jour : - Au Canada, des autruches en fuite donnent du fil à retordre aux policiers locaux - La pire chorale de Noël La Chronique d'Ana : Ana lance son propre label musical Le savoir inutile : la Crassostrea Gigas, une huître hermaphrodite cyclique Le devinez-quoi : Quelle est l'invention crée pour éloigner les américains de l'alcool et du sexe ? La chanson du jour : Irene Cara "Flashdance... What a Feeling" Le bonus du Double Expresso : Quand faut-il commencer à installer les décorations de Noël ? Le Bilan De Jonathan : les dents de Justine Le jeu surprise : Emeline de Metz repart avec un coffret de chocolats réauté chocolat. La Banque RTL2 : Jeremy de Bordeaux remporte un séjour au Futuroscope pour 4. Loic de Mantes la jolie remporte un séjour pour 4 chez Pierre et vacances.
Une scène désormais ordinaire s'est tenue hier en région parisienne. Au lycée Joliot Curie de Nanterre, une grève des lycéens a été violemment réprimée par les forces de l'ordre. Les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes et de LBD pour dégager le blocus des lycéens, qui s'étaient réunis en soutien à Kaï Terada, un professeur de mathématiques suspendu puis muté pour son activité syndicale. Le lycée Joliot Curie est visiblement le lieu de toutes les répressions, syndicale puis policière. En effet, 14 lycéens ont été arrêtés et ont passé la nuit en garde à vue, tandis qu'un élève s'est retrouvé à l'hôpital. Pour en parler, nous reçevons dans cet entretien express Arthur Dessaux, professeur au lycée Joliot Curie. Un rassemblement est actuellement en cours devant le commissariat de Nanterre, en soutien aux familles de 14 lycéens placés en garde-à-vue. Deux policiers ont été également été blessés selon Le Parisien. La répression contre les mouvements lycéens et étudiants s'est accrue sous la présidence d'Emmanuel Macron. On se souvient notamment de ces 151 lycéens grévistes mis à genoux par la police à Mantes-la-Jolie en 2018. Les images avaient suscité une vive émotion à l'international. ▶ Soutenez Le Média :
L'info qu'il faut - Une entreprise française va faire voler des balcons avec vue sur la Terre - L'invention culinaire la plus dingue de l'année Le winner du jour : - Une jeune hôtesse de l'air confond un walkman avec une bombe - Le vainqueur de la Coupe du monde de la paella n'est pas espagnol, mais français La Chronique de Jonathan : une visite à la banque Le savoir inutile : les citations apocryphes Le devinez-quoi : Quel aliment ne pourrit jamais ? La chanson du jour : Katy Perry "I Kissed A Girl" Le bonus du Double Expresso : un parc d'attraction dédié à l'univers du chantier Le Bilan De Jonathan : la culture 90's Le jeu surprise (C'est qui le plus fort ?) : Véronique de Sartène près de Corse du Sud repart avec des bracelets Les Interchangeables. La Banque RTL2 : Cecile de Breviandes près de Troyes remporte un séjour pour 4 à Europa Park. Sebastien de Mantes la Jolie près de Troyes remporte un iPhone 14.
¿Qué se le debe regalar a la amante? Conoce lo que más suelen regalar los hispanos a sus amantes. Hasta Carlita casi se deja tentar por una propuesta que le hicieron.Conoce la nueva táctica que están usando miles de personas en el mundo para descubrir que su pareja le es infiel, así que te diremos lo que debes hacer para detectar si te están investigando. ¡Todo sea por la causa pariente!Conoce la historia de un hombre que murió de un paro cardiaco, pero su cerebro escuchó la voz de su pequeña hija y revivió.
À l'occasion de la journée mondiale de la Tuberculose (qui s'est tenue le 24 mars 2022), nous faisons le point sur cette maladie infectieuse contagieuse provoquée par une bactérie. La tuberculose demeure la maladie infectieuse la plus mortelle pour les personnes vivant avec le VIH. Chaque jour, plus de 4 000 personnes y succombent et près de 30 000 autres contractent cette maladie. D'après les estimations de l'OMS, la lutte antituberculeuse menée dans le monde a permis de sauver 58 millions de vies depuis l'an 2000. Au total, 1,5 million de personnes sont mortes de la tuberculose en 2020. Plus de 95 % des décès par tuberculose se produisent dans les pays à revenu faible et intermédiaire. Comment mieux lutter contre la tuberculose ? Quelles sont les avancées dans les traitements et le dépistage ? Dr Étienne Leroy-Terquem, pneumologue et oncologue médical à l'Hôpital de Mantes-la-Jolie, Vice-président de l'ONG soutien pneumologique international. A réalisé de nombreuses missions centrées sur les maladies respiratoires (et en particulier la tuberculose) en Asie et en Afrique Pr Gisèle Badoum, chef de service adjoint du service de Pneumologie du CHU Yalgado Ouédraogo à Ouagadougou au Burkina Faso, responsable de l'Unité des grands contagieux au sein du service de Pneumologie. Conseillère technique pour l'Union.
"Dans chaque club de rugby, que l'on soit supporter de la Rochelle, de Toulon, de Biarritz ou d'ailleurs, on peut citer au moins un joueur emblématique actuel de chaque club de Top 14 ! Des types qui collent parfaitement à l'ADN de leur ville, de leurs supporters et qui vivent pour défendre les couleurs. L'importance du maillot. Antoine Burban au Stade Français, Camille Chat au Racing, Morgan Parra à l'ASM et bien sûr Saïd Hirèche pour Brive. Capitaine du club corrézien depuis 2018 et le départ d'Arnaud Méla, Saïd y joue sa 10e saison après être passé par le Stade Français puis Aurillac. Originaire de Mantes-la-Jolie, il fait partie de ces types exemplaires qui prouvent qu'avec de l'envie, du soutien familial, et énormément de persévérance on peut atteindre le très haut niveau ! Saïd, au-delà de ses 300 matches joués en pro, c'est avant tout une gueule, des valeurs, c'est un type autant discret que généreux qui ne s'échappe pas et qui a su tirer son épingle du jeu à la force du mental. Comme Brive, qui s'accroche et s'arrache chaque saison pour exister face aux armadas multimillionnaires.À 36 ans il a encore cette force de caractère et apporte son expérience au club de Brive pour encore quelques coups d'éclat, on lui souhaite dans ce Top 14 compliqué.Bienvenu dans Poulain Raffûte, Saïd !"Hirèche, capitaine du CA Brive, raconte comment il est devenu un cadre du club briviste, où il officie depuis dix ans (3:51). Il parle également de son avenir, alors que la question de la fin de sa carrière sportive se pose, à 36 ans (13:10).Brive est 13e du Top 14, avant de recevoir Biarritz (14e) lors de la 16e journée ce samedi. Le troisième ligne nous parle de l'expérience dont il dispose, pour faire face au contexte stressant de la lutte pour le maintien (27:06).Ecoutez d'autres épisodes :Maxime Machenaud : "Si je dois gagner la Coupe d'Europe, c'est peut-être cette année"Jérôme Fillol: "Porter le maillot toulousain devant mon grand-père agenais, ça m'a toujours fait rire"Kevin Gourdon : "Je suis super excité par cette nouvelle vie qui m'attend"Hugo Bonneval : "Je n'ai pas la force mentale de me dire que ma carrière est finie"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciPrésentation : Raphaël Poulain et Arnaud Beurdeley, journaliste au Midi OlympiqueMontage : Simon Farvacque, journaliste à EurosportVoir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
The death of William I, Duke of Normandy and King of England. In 1087 as the City of Mantes burned William suffered an injury to his abdomen that took weeks to finish him off but that wasn't the end of his story. This is the second episode of The Warts 'n' All podcast by Suzie Edge, medical doctor and historian. Come join the fun on TitTok @suzieedge On Instagram @suz.edge And you can support the podcast at buymeacoffee.com/edgeandco