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Mesurer son impact environnemental et social n'est plus une option, mais une obligation réglementaire avec des cadres comme la CSRD. Pourtant, les organisations peinent encore à transformer leurs données ESG en insights actionnables avec 78 % des entreprises qui utilisent encore des tableurs pour gérer ces données.Pour explorer cette problématique, nous avons accueilli Rachel Delacour, PDG et cofondatrice de SWEEP. Dans cet épisode, elle partage le rôle de la Data pour permettre aux entreprises de cartographier leur impact, d'entreprendre leur plan de transition ESG et d'assurer la continuité de leurs activités face au dérèglement climatique. Elle aborde également les enjeux de ROI, les meilleures pratiques et l'importance de rendre ces informations accessibles à toutes les parties prenantes de l'entreprise.Pour en savoir plus : https://www.capgemini.com/insights/research-library/harnessing-power-of-esg-data-to-unlock-sustainable-business-transformation/Ce podcast ayant été réalisé à distance, la qualité audio de l'intervenant peut présenter quelques variations.
durée : 02:30:13 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - - réalisation : Félicie Faugère
Peut-on vraiment remplacer viande, poisson… et même fromage, sans SACRIFIER le goût, la nutrition et la simplicité ?Et surtout : est-ce que le végétal peut PLAIRE à TOUT LE MONDE, et pas seulement aux végés ?Dans cet épisode, je reçois Renaud Saïsset, directeur général d'ACCRO, une marque française qui crée des alternatives végétales pour toutes celles et ceux qui veulent réduire leur consommation de viande, sans compromis sur le goût et le plaisir.Le mois dernier, ACCRO a sorti 7 NOUVEAUTÉS en magasin
Aujourd'hui, je te propose de (re)découvrir le parcours de Clémence du compte Instagram @thefrenchvegan ✨
Dans cet épisode, nous faisons le point sur l'état d'avancement de l'intégration des critères ESG au sein des entreprises. Avec le témoignage du Groupe ADEO (maison mère de l'enseigne Leroy Merlin) et du Groupement Mousquetaires (maison mère du réseau Intermarché), nous discutons du rôle des indicateurs ESG pour concilier transition écologique et performance économique, et du rapprochement entre les aspects financier et extra-financier.Au programme : les avancements autour du reporting CSRD, qui connaît une véritable saga depuis son adoption par la Commission européenne ; la structuration des démarches ESG à l'échelle des organisations, au-delà des directions RSE ; et les outils de pilotage mis en place pour mesurer concrètement les progrès réalisés. Un échange animé par Valère Corréard avec Olivier Touzé, Directeur Qualité RSE au sein du Groupement des Mousquetaires, Dominique Raman, Directrice Finance et Performance durable chez Adeo, et Juliette de Maupeou, Vice Présidente de Sustainable Futures chez Capgemini Invent.
L'an dernier je recevais Christophe Montagnon, scientifique, ancien chercheur du CIRAD et désormais CEO de RD2 Vision, l'entreprise de recherche et développement en agronomie Café dont il est le fondateur.Un voyage dans le temps et l'espace, on y parlait génétique et découverte, caféiculture, espèces et variétés de café, forêts, changement climatique et avenir pour le café , impact du café sur l'environnement et la biodiversité, déforestation, labels ... entre autres choses passionnantes.A travers un discours résolument positif, Christophe nous fait découvrir le café sous un angle nouveau avec une approche ancrée dans la terre et centrée sur l'humain, au centre de ses préoccupations. J'aurais pu passer des heures à l'écouter partager ses connaissances qu'il parvient à vulgariser avec humilité. J'espère que aimeras le redécouvrir autant que moi ! Un projet café ? Pour me retrouver, en savoir plus sur les activités d'Aquarius Coffee Lab ou programmer un appel c'est par ici : https://linktr.ee/aquarius.coffeelab Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Durable, nos invités échangent sur la transformation des chaînes d'approvisionnement face aux défis environnementaux. Alors que les exigences en matière de responsabilité environnementale ne cessent de croître, comment les entreprises réinventent-elles leur modèle de Supply Chain ? Au programme : les leviers d'une chaîne d'approvisionnement bas carbone, l'importance des partenariats pour accélérer la transition environnementale. l'impact des nouvelles technologies pour optimiser la gestion des ressources.Un échange animé par Valère Corréard avec Xavier François, Directeur de la Supply Chain et Achats du groupe Bel, Hélène Valade, Directrice Développement Environnement du groupe LVMH, et Thomas Ruaudel, VP Sustainable Futures chez Capgemini.
L'essor de l'IA générative soulève de sérieuses préoccupations quant à leur appétit énergétique : selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), une requête à ChatGPT consomme 10 fois plus d'électricité par rapport à une recherche Google. Pour répondre à ces défis environnementaux, l'IA frugale se présente comme une alternative écoresponsable. Pour parler de ce sujet au cœur du Sommet international pour l'action sur l'intelligence artificielle, organisé à Paris en février dernier, nous recevons Anna Médan, cheffe de projet normalisation à l'AFNOR, spécialiste des questions numériques. Elle revient sur l'empreinte environnementale de cette technologie (au-delà des émissions carbone), ainsi que le référentiel AFNOR proposant des méthodologies et bonnes pratiques pour mesurer et réduire l'impact des solutions d'IA. Pour en savoir plus :https://www.afnor.org/actualites/referentiel-pour-mesurer-et-reduire-impact-environnemental-de-ia/https://www.capgemini.com/fr-fr/perspectives/publications/sustainability-developper-ia-generative-durable/
⦗BONUS⦘- Interview diffusée sur Ici AzurC'est bientôt Pâques et qui dit Pâques dit chocolat ! Pour l'occasion, je vous propose ce court épisode sur ce sujet à croquer mais non sans impact sur l'environnement.Il s'agit d'une interview faite avec Quentin Lacrôme de la matinale Ici Azur, anciennement France Bleu Azur.Si vous souhaitez en savoir plus, vous pourrez découvrir l'épisode dédié, Chaud cacao sur les dessous du chocolat, épisode 10 du podcast L'autruche et le colibri.
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse aux informations sur la sécurité et la durabilité des produits qu'on achète.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez-vous que ce vous mangez influence directement votre taux vibratoire, votre clarté mentale, et même votre connexion spirituelle ?Dans cet épisode, et à l'occasion du PODCASTHON
Emmanuel Macron a annoncé un investissement de 109 milliards d'euros dans le domaine de l'intelligence artificielle, avec notamment l'implantation de data centers. Un enjeu majeur dans la course à cette technologie, mais dont l'impact environnemental n'est pas neutre.
Le sujet :L'investissement responsable prend une place croissante dans le secteur financier, représentant désormais 900 milliards d'euros des encours gérés par Amundi, sur un total de 2300 milliards d'euros. Les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) influencent de plus en plus les choix d'investissement. Les particuliers comme les investisseurs institutionnels cherchent à conjuguer rendement financier et impact positif sur l'économie réelle. Toutefois, l'investissement responsable soulève des questions complexes : quelles entreprises privilégier, comment éviter le greenwashing, et comment équilibrer performance et durabilité ?L'invité du jour :Timothée Jaulin, responsable du développement des investissements responsables chez Amundi, travaille avec des plateformes d'investissement et des directions commerciales à l'international. Au micro de Matthieu Stefani, il explique comment il conseille les clients sur les stratégies à adopter pour atteindre leurs objectifs de durabilité. Sa position chez Amundi lui donne une vision étendue des pratiques d'investissement durable et des contraintes liées aux différents secteurs économiques.Qu'est-ce que l'investissement responsable et quelles sont ses différentes approches ?Comment les critères ESG (environnementaux, sociaux, de gouvernance) influencent-ils les décisions d'investissement ?Quels sont les labels d'investissement responsable et à quoi servent-ils (Greenfin, ISR, Finansol) ?Pourquoi les secteurs à forte empreinte carbone peuvent-ils aussi être des cibles d'investissement responsable ?Quels arbitrages financiers peut impliquer une stratégie d'investissement responsable ?Comment diversifier un portefeuille tout en respectant des objectifs de durabilité ?En quoi les politiques publiques et les sensibilités régionales influencent-elles les stratégies d'investissement durable ?Quel est le rôle des grands investisseurs institutionnels dans la transition écologique ?Quels types de produits d'épargne responsable existent et comment sont-ils accessibles (obligations vertes, ETF, fonds d'infrastructures) ? On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Amundi, n°1 en France des solutions d'investissement.
« C'est le plus important investissement américain de tous les temps dans le chemin de fer africain », déclare Joe Biden… Ce mardi et demain mercredi, le président américain est en Angola pour donner le coup d'envoi du chantier du « Corridor de Lobito », qui doit relier le Congo-Kinshasa à l'océan Atlantique. À quoi va servir ce corridor ? Benoît Munanga préside le conseil d'administration de la société congolaise Kamoa Copper, qui exploite la plus grande mine de cuivre en Afrique. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Quand ce « Corridor de Lobito » sera opérationnel, est-ce que vous l'utiliserez ou pas ?Nous allons certainement utiliser ce « Corridor de Lobito » et, à titre indicatif, je peux vous dire que le tonnage que nous allons mettre en 2025 sur ce « corridor », comparé à 2024, ça sera une augmentation de 173%, très significatif.Parce que ce « corridor » vous fera gagner du temps, donc de l'argent ?Le plus gros avantage tient essentiellement à la distance entre la zone minière de Kolwezi et le port de Lobito. Nous parlons de 1600 km de trajet, une seule frontière à traverser, à l'opposé de 3000 km si on prenait par exemple le port de Durban en Afrique du Sud. Donc le bénéfice, il est d'abord dans les coûts de la logistique, d'ici 2025, 2026, ils vont être réduits de 18%. Et il y a le temps d'un aller-retour. Par route, un seul trajet de Durban prendrait 25 jours. Par contre, Lobito, 8 jours. Ça fait 17 jours de gain.Oui, parce que le « corridor » entre le sud du Congo et l'océan, ce n'est pas seulement pour exporter du minerai, c'est également pour importer du matériel, j'imagine ?Tout à fait. Pour l'importation, soit des réactifs chimiques, soit des équipements. Et ce « Corridor de Lobito », il nous aidera aussi à avoir un impact environnemental bien réduit, parce que les émissions sont nettement plus importantes quand on transporte par camions, comparé au chemin de fer.Il y aura moins de pollution. Exactement.Parmi les actionnaires de votre société congolaise, Kamoa Copper, il y a la compagnie chinoise Zijing Mining. Donc, j'imagine que la Chine est l'un de vos principaux acheteurs, est-ce que le minerai à destination de la Chine pourra emprunter ce « Corridor de Lobito » ?La logique simple, là, c'est que, s'il y a un gain en termes de coûts de logistique, la question de la destination finale du produit n'a presque plus d'importance, parce que nous avons tous à y gagner, y compris notre actionnaire Zijing Mining.Alors si les États-Unis investissent plusieurs centaines de millions de dollars dans ce « Corridor de Lobito » et si Joe Biden vient personnellement en Angola cette semaine, c'est évidemment pour que les compagnies américaines profitent aussi des richesses minières de votre pays. Est-ce qu'il y a de la place pour tout le monde ?Bien sûr qu'il y a de la place pour tout le monde, parce que tous les produits miniers marchands n'empruntent pas la destination de la Chine. Il y a de l'espace pour tout le monde. La question est de négocier le prix d'achat. Et Kamoa Copper, compte tenu de la stature de ses actionnaires, que ce soit Zijing Mining ou Ivanhoé Mines du Canada, la société est ouverte à des partenariats multiples.Pour l'instant, Benoît Munanga, le Congo (RDC) n'exporte que du minerai brut, du cuivre, du cobalt notamment. Et il ne transforme pas ce minerai sur place. Quelles sont vos perspectives de ce point de vue ?Je voudrais ajouter une nuance dans le terme « minerai brut ». Je préfère utiliser le terme « partiellement transformé ». Parce que le cuivre ou le minerai de cuivre que Kamoa Copper exporte subit déjà un traitement métallurgique pour produire du cuivre dans un concentré. Donc, il y a déjà un premier étage de bénéficiation. Et je suis heureux de vous annoncer qu'à partir de mars 2025, Kamoa Copper va transformer ses produits : le cuivre concentré en métal, parce qu'une fonderie est en cours d'achèvement au moment où nous parlons.Sur quel site ?C'est sur le site de Kamoa-Kakula, nous sommes dans la province du Lualaba, dans la région de Kolwezi.Combien de personnes employez-vous actuellement à Kamoa Copper et combien de nouvelles embauches espérez-vous avec le « Corridor de Lobito » ?Nous employons actuellement 6 400 personnes. Avec la mise en service des usines qui viennent, nous atteindrons facilement les 10 000 employés.Et avec le « Corridor de Lobito » réhabilité ?Avec le « Corridor de Lobito » réhabilité, il y aura des effets d'entraînement par les services liés ou associés qui pourraient injecter quelques milliers d'emplois du fait de l'utilisation de ce « Corridor » là.Quelques milliers d'emplois supplémentaires ?Quelques milliers d'emplois supplémentaires.À lire aussiLa RDC, la Zambie et l'Angola vont exporter des minerais via le corridor ferroviaire de Lobito► Le « Corridor de Lobito »
"Pour un changement sans compromis : rendre l'écologie désirable et accessible"Dans cet épisode de Slow Marketing, Anaïs Baumgarten reçoit Aymeric Grange, cofondateur de 900.care, une marque pionnière dans le domaine de l'hygiène zéro déchet et innovante sur le plan écologique. Ensemble, ils explorent les défis et les stratégies pour faire évoluer le comportement des consommateur·ices vers des solutions plus durables, tout en minimisant les frictions et en créant une expérience utilisateur·ice positive.Aymeric revient sur son parcours, de la consultance au lancement de 900.care, et partage ses motivations profondes pour aligner ses valeurs personnelles avec son quotidien professionnel. Il explique comment, avec son associé, ils ont développé une approche unique en réduisant l'empreinte écologique des produits de salle de bain grâce à des recharges compactes et réutilisables. Ils abordent la stratégie marketing de 900.care, pragmatique et percutante, qui se concentre davantage sur l'absurdité des produits traditionnels (souvent composés à 90 % d'eau) plutôt que sur les arguments environnementaux. Ce choix permet de toucher un public plus large, au-delà des seuls convaincus de la cause écologique.Dans cette conversation inspirante, Aymeric et Anaïs nous rappellent que pour rendre l'écologie désirable, il faut parfois oser casser les codes, tout en rendant les choix responsables accessibles et attrayants pour tous.Quelques questions clés abordées dans cet épisode :Comment inciter le grand public à adopter des produits écoresponsables sans sacrifier la qualité et l'expérience utilisateur ?Comment garder un positionnement de marque crédible et transparent dans un secteur où l'engagement environnemental peut sembler marketing ?En quoi le branding audacieux de 900.care contribue-t-il à son impact auprès des consommateurs et consommatrices ?Découvrez aussi comment la certification B Corp guide les actions de l'entreprise bien au-delà du marketing, et le conseil inspirant d'Aymeric pour les marketeurs·euses en quête de sens : maximiser son impact en choisissant de travailler pour des entreprises à mission.
(Re)découvrez l'épisode bonus de novembre en partenariat avec Sench ! Lors de ce Conscious Talk captivant, enregistré le 14 novembre 2024, nous plongeons au cœur de modèles économiques innovants centrés sur l'usage plutôt que sur la possession.Avec Luc Teerlinck, à l'origine de l'initiative révolutionnaire de Decathlon « We Play Circular », et Prisca d'Oultremont, co-fondatrice de Live Light, explorez comment ces visionnaires transforment leurs industries grâce à des pratiques durables.Découvrez :Le service multi-abonnement de Decathlon, une approche inédite pour encourager la durabilité.La vision novatrice de Live Light pour un design intérieur écoresponsable.Deux initiatives qui illustrent comment la circularité, la réparation et la réduction des déchets redéfinissent l'avenir des affaires. Rejoignez cette conversation inspirante et engageante sur la transition vers des pratiques plus durables.
Avez-vous déjà réfléchi à la manière dont le design influence notre quotidien et pourrait façonner un avenir plus durable ? Dans cet épisode, nous explorons cette question avec Salim, fondateur de l'agence Budees. Salim nous invite à repenser le rôle du design au-delà de l'esthétique et à l'envisager comme un levier stratégique pour répondre aux défis écologiques et économiques de notre époque.Salim, notre invité, est un expert en design industriel avec une carrière enrichie par des expériences internationales en France, en Suisse, au Danemark et aux États-Unis. Fondateur de Budees, une agence spécialisée dans la stratégie et l'innovation par le design, il aide les startups et les PME à anticiper les défis futurs en intégrant des pratiques de design durable. Au cours de cet épisode, Salim partage sa vision du design comme une méthode de conception intégrée, visant à créer des solutions désirables qui répondent aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Il explique comment le design peut être un outil puissant pour anticiper les besoins futurs et rendre les transitions écologiques plus attrayantes pour les utilisateurs et les entreprises. En discutant des pratiques de Budees, Salim aborde l'importance de la réparabilité, de la durabilité et de l'impact environnemental dans le développement de produits, tout en mettant en lumière la nécessité d'une collaboration étroite avec des ingénieurs et des experts pour maximiser l'impact positif du design.Découvrir l'univers de Salim : https://www.budees.frSoutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.comProduction : Jeane ClesseMusique : @KleinGraphisme : Mahaut Clément & Coralie ChauvinMix : Jeane ClesseSi cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.
Le 8 novembre 2016, Enrico Macias discutait de la COP22 à Marrakech et soulignait son engagement envers la cause environnementale ! Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.
« Y a pas de planète B » nous propose de nous pencher tout en nuance, sur l'impact environnemental des animaux de compagnie. Coup d'œil avec Gwenaëlle Dekegeleer. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Vigilance, un format court – pas plus de 10 minutes – qui présente des études, des lignes directrices ou encore des outils utiles à la pratique quotidienne de l'ESG. Dans ce nouveau numéro :Anne-Laure Tulpain, rédactrice spécialisée en droit de l'environnement, présente le classement des 800 entreprises ayant un impact sur l'environnement de la World Benchmarking Alliance ; Laurine Tavitian, chef de rubrique de l'actuEL DJ, revient sur les nouvelles lignes directrices de la H2A concernant la certification des futurs rapports de durabilité ;Joséphine Bonnardot, journaliste sur actuEL DJ, met en lumière le guide de l'Institut danois des droits humains sur les plans d'action nationaux ;Un podcast présenté par Sophie Bridier, rédactrice en chef ESG Europe, et monté par Joséphine Bonnardot.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vigilance, un format court – pas plus de 10 minutes – qui présente des études, des lignes directrices ou encore des outils utiles à la pratique quotidienne de l'ESG. Dans ce nouveau numéro :Anne-Laure Tulpain, rédactrice spécialisée en droit de l'environnement, présente le classement des 800 entreprises ayant un impact sur l'environnement de la World Benchmarking Alliance ; Laurine Tavitian, chef de rubrique de l'actuEL DJ, revient sur les nouvelles lignes directrices de la H2A concernant la certification des futurs rapports de durabilité ;Joséphine Bonnardot, journaliste sur actuEL DJ, met en lumière le guide de l'Institut danois des droits humains sur les plans d'action nationaux ;Un podcast présenté par Sophie Bridier, rédactrice en chef ESG Europe, et monté par Joséphine Bonnardot.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[L'ÉTÉ SLOW] Cet été, Slow Marketing te propose une rediffusion d'épisode par semaine pour préparer une rentrée marketing responsable, inclusive et engagée !Cette semaine : Tri des listes d'envoi : tout ce que vous devez savoir3 raisons d'écouter l'épisode :• Optimise tes campagnes d'emailing pour plus d'efficacité et moins d'impact
[L'ÉTÉ SLOW] Cet été, Slow Marketing te propose une rediffusion d'épisode par semaine pour préparer une rentrée marketing responsable, inclusive et engagée !Cette semaine : Comment compresser une vidéo ou une image pour diminuer son impact environnemental lors de sa diffusion ?3 raisons d'écouter l'épisode : • Apprends des techniques simples pour compresser tes fichiers multimédias
[L'ÉTÉ SLOW] Cet été, Slow Marketing te propose une rediffusion d'épisode par semaine pour préparer une rentrée marketing responsable, inclusive et engagée ! Cette semaine : Comment j'ai réduit l'impact environnemental de mon podcast ? 3 raisons d'écouter l'épisode : • Découvre les étapes concrètes pour réduire l'impact de tes contenus numériques
Un nouvel épisode de notre podcast Midoricast, rubrique Kaya, est en ligne. Une interview inspirante avec Timothy Doig pour le projet REGGLO.Nous sommes ravis de vous présenter cette nouvelle capsule de Midoricast, le podcast produit par notre association The Podcast Factory Org asbl. Cet épisode s'inscrit dans notre engagement pour la transition écologique et la mise en avant des initiatives inspirantes à travers notre collaboration avec la coalition Kaya. Nous y accueillons Timothy Doig, un écopreneur passionné et membre de Kaya.Cette coalition rassemble des écopreneur·euse·s déterminé·e·s à promouvoir des solutions innovantes pour un avenir durable. Kaya nous propose régulièrement des invité·e·s inspirant·e·s comme Timothy, afin de partager leurs expériences et leur engagement pour l'environnement.Découvrez l'Univers des Écopreneur·euse·s:Timothy Doig nous partage son parcours unique, ses défis et ses réussites dans le domaine de l'écopreneurship. Son récit est une véritable source d'inspiration pour toute personne souhaitant s'impliquer dans la transition écologique. En écoutant ce podcast, vous découvrirez comment des actions concrètes peuvent avoir un impact significatif sur notre planète.Rejoignez la Coalition Kaya:Si vous êtes entrepreneur·e et que vous cherchez à contribuer positivement à l'environnement, rejoignez la coalition Kaya. Cette communauté dynamique et engagée offre un soutien précieux et une plateforme pour partager vos initiatives. Ensemble, nous pouvons créer un réseau fort et impactant.Engagez-vous et Faites Entendre Votre Voix:Nous invitons nos auditeur·rice·s à participer activement à cette conversation essentielle. Vous avez des idées, des commentaires ou des questions ? Laissez-nous un message vocal ici : https://www.vodio.fr/repondeur/309/Votre voix est importante pour nous et pour la communauté. Partagez vos réflexions et vos suggestions pour contribuer à notre mouvement vers un avenir plus vert.Ne manquez pas cet épisode captivant de Midoricast. Écoutez, engagez-vous et faites partie du changement avec nous et Kaya. Ensemble, nous pouvons faire la différence.Laissez-vous inspirer par Timothy Doig !Retrouvez cet épisode et tous les autres sur notre site web What's Your Story et sur vos plateformes de podcast préférées. Pour plus d'informations sur Kaya et comment rejoindre la coalition, visitez leur site et faites partie du changement.Séquençage du Podcast :[00:00:18] Introduction et présentation de Timothy Doig en quelques mots[00:00:57] Est-ce qu'on rentre ici dans le cadre de l'up-cycling ?[00:01:23] Qu'est-ce qui vous a amené à cette activité ?[00:01:45] Le profil client, le persona[00:02:18] Qu'est-ce qui vous distingue d'autres entreprises offrant le même type de produits ?[00:03:16] Le côté « local »[00:04:03] Quel type de produits ?[00:05:29] Et l'aspect architecture d'intérieur ?[00:07:24] Que ce soit en termes de gouvernance, de business model ou de gestion de projet, y a-t-il une pratique dont vous êtes particulièrement fier·e et que vous cultivez ?[00:08:53] Le plaidoyer Kaya[00:10:38] Qu'est-ce qui peut faire la différence pour votre entreprise ?[00:11:17] Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu ?[00:12:29] Pourquoi avoir rejoint la coalition des écopreneur·euse·s Kaya ?[00:13:49] Appel à action pour les auditeur·rice·s et clôture du podcast
[L'ÉTÉ SLOW] Cet été, Slow Marketing te propose une rediffusion d'épisode par semaine pour préparer une rentrée marketing responsable, inclusive et engagée ! Cette semaine : Pourquoi faire du marketing durable aujourd'hui ? (et non ce n'est pas que pour sauver la planète…)3 raisons d'écouter l'épisode : - Découvre les bénéfices concrets du marketing durable pour ton entreprise
Dans cet épisode du podcast Objectif Tech, nous nous intéressons à la gestion de l'eau en France, une ressource vitale au cœur des défis climatiques et sociétaux actuels. Nos invités Marie Francolin, Senior Executive & Vice President en charge de la Stratégie, du Développement Durable, de l'Innovation et des Services de Saur, et Tristan Mathieu, Directeur affaires publiques, RSE et Développement durable de Veolia Eau France explorent les enjeux de la transition hydrique. Quel est l'impact du changement climatique, de la pression démographique et de la réindustrialisation sur la disponibilité et la gestion de l'eau ? Nos invités partagent leurs visions et présentent les solutions technologiques innovantes ainsi que les stratégies collaboratives mises en place pour garantir une gestion durable de l'eau.
Aujourd'hui, je suis en compagnie de Victoria, alias @vicplusgreen sur Instagram.Après avoir regardé le documentaire « The Game Changers », Victoria prend conscience de l'impact de la viande sur l'environnement. Chamboulée par cette découverte, elle se renseigne et se documente afin d'initier un changement dans son quotidien.Dans ce nouvel épisode, Victoria me raconte comment son déclic écologique a impacté sa vie sur sa façon de :- s'habiller (mode éthique et responsable)- consommer (cosmétique, zéro déchet)- s'alimenter (alimentation végétale)Nous avons abordé de nombreux sujets :- Son challenge du calendrier pour arrêter la viande- Les raisons de son engagement sur les réseaux sociaux- Comment être une influenceuse engagée- Les contenus qui ont propulsé son compte Instagram- Pourquoi parler d'alimentation végétale sur les réseaux déchaîne les foules- Sa vision de l'avenir et son éco-anxiété
Pierre Herbulot, journaliste au service économie de RTL, nous emmène en immersion sur une plateforme pétrolière au large du Congo. Il s'intéresse aussi à l'impact environnemental de cette industrie avec Juliette Renaud des Amis de la Terre. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Et chaque dimanche, dans "Focus Dimanche" Mohamed Bouhafsi donne la parole à ceux qui la font.
Pierre Herbulot, journaliste au service économie de RTL, nous emmène en immersion sur une plateforme pétrolière au large du Congo. Il s'intéresse aussi à l'impact environnemental de cette industrie avec Juliette Renaud des Amis de la Terre. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Et chaque dimanche, dans "Focus Dimanche" Mohamed Bouhafsi donne la parole à ceux qui la font.
Dans ce nouvel épisode des “ Bâtisseurs", nous avons l'honneur d'accueillir Alexandra Mathiolon, Présidente Directrice Générale de Serfim, une entreprise familiale riche de 150 ans d'expertise et forte de 2800 collaborateurs.
Dans l'Empreinte, nous essayons de comprendre, ensemble, comment les marques d'aujourd'hui s'engagent ou non, pour notre planète et pour notre société. Chaque semaine, Alice Vachet reçoit donc des start-upers, des PDG de grands groupes ou encore des directeurs de la RSE qui lui expliquent comment leur entreprise s'engage pour porter une révolution de l'impact sur notre planète, une empreinte.Dans ce nouvel épisode, Alice Vachet reçoit Jean Hornain, ancien sportif et homme de média qui a toujours été particulièrement engagé dans la protection de notre planète. En 2016, il fait de son engagement son métier et il devient en 2017 directeur général de Citeo, une entreprise privée spécialisée dans le recyclage des emballages ménagers et des papiers graphiques. L'entreprise a une raison d'être qui résume sa mission : "Pour répondre à l'urgence écologique et accélérer les transformations qui s'imposent, Citeo veut engager et accompagner les acteurs économiques à produire, distribuer et consommer en préservant notre planète, ses ressources, la biodiversité et le climat.". Mais comment cette société est-elle née ? Comment aide-t-elle les entreprises à réduire leur impact environnemental ? Toutes les réponses dans cet échange passionnant !Pour en savoir plus.Inscrivez-vous à la newsletter de L'Empreinte pour suivre toute l'actualité RSE en cliquant ici. Première diffusion : 24 février 2021 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans l'Empreinte, nous essayons de comprendre, ensemble, comment les marques d'aujourd'hui s'engagent ou non, pour notre planète et pour notre société. Chaque semaine, Alice Vachet reçoit donc des start-upers, des PDG de grands groupes ou encore des directeurs de la RSE qui lui expliquent comment leur entreprise s'engage pour porter une révolution de l'impact sur notre planète, une empreinte. Dans ce nouvel épisode, Alice Vachet reçoit Jean Hornain, ancien sportif et homme de média qui a toujours été particulièrement engagé dans la protection de notre planète. En 2016, il fait de son engagement son métier et il devient en 2017 directeur général de Citeo, une entreprise privée spécialisée dans le recyclage des emballages ménagers et des papiers graphiques. L'entreprise a une raison d'être qui résume sa mission : "Pour répondre à l'urgence écologique et accélérer les transformations qui s'imposent, Citeo veut engager et accompagner les acteurs économiques à produire, distribuer et consommer en préservant notre planète, ses ressources, la biodiversité et le climat.". Mais comment cette société est-elle née ? Comment aide-t-elle les entreprises à réduire leur impact environnemental ? Toutes les réponses dans cet échange passionnant ! Pour en savoir plus. Inscrivez-vous à la newsletter de L'Empreinte pour suivre toute l'actualité RSE en cliquant ici. Première diffusion : 24 février 2021 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans cet épisode passionnant de "Les Engagés Publics", animé par Denis Martel, nous accueillons Jean-François Gauthier, PDG de l'Institut de gouvernance numérique. Ensemble, nous explorons les profondeurs de la gouvernance numérique et son impact sur la société. Ce balado contient une promotion payante. Empouvoirement Citoyen : Jean-François détaille comment la gouvernance ouverte et numérique renforce l'empouvoirement des citoyens, clients et parties prenantes, et l'importance cruciale de la confiance dans ce processus. L'Institut de Gouvernance Numérique : Découvrez les missions clés de l'IGN, y compris les initiatives IQC, PACMAC et BIM, et leur rôle dans la transformation numérique des industries québécoises, soutenue par des partenaires stratégiques comme le MEIE OTN et la SQI. https://www.ign.quebec Transformation Numérique : Pourquoi est-elle essentielle pour les organisations publiques aujourd'hui ? Jean-François aborde les défis majeurs, notamment la nécessité d'évoluer au-delà d'une approche technocentriste. Culture Organisationnelle et Collaboration : Comment briser les silos organisationnels pour favoriser une transition numérique efficace dans le secteur public. BIM et Services Publics : L'impact du BIM sur le secteur de la construction et au-delà, en tant que catalyseur d'une transformation numérique profonde. Modélisation des Données des Infrastructures : Exploration de la MDI/BIM et son potentiel de transformation dans le secteur de la construction au Québec. Bénéfices de la Collaboration avec le BIM : Réduction des conflits, transparence accrue, et durabilité – les changements culturels apportés par le BIM. Préparation de l'Industrie : Comment le gouvernement soutient la montée en compétence dans l'industrie de la construction pour l'intégration du BIM. Impact Environnemental et Durabilité : La contribution de la transformation numérique à la réduction de l'empreinte environnementale dans divers secteurs. Confiance et Transformation Numérique : L'importance de la confiance dans le processus de transformation numérique des organisations. Conseils de Jean-François Gauthier pour encourager l'adoption de technologies comme le BIM vers un avenir plus durable et efficace. Ne manquez pas cette discussion éclairante qui offre des perspectives cruciales sur la gouvernance numérique et son rôle dans la société moderne. Pour plus de contenu engageant et informatif, abonnez-vous à notre chaîne et activez les notifications. Partagez vos réflexions et questions dans les commentaires ci-dessous!
Voici un extrait du passionnant épisode de vendredi. Cédric Bellon nous explique comment il en est venu à vouloir créer une montre robuste et durable tout en limitant son impact sur l'environnement. Habituellement dans l'industrie, on nous parle de compensation carbone où l'apologie du pollueur payeur. Là, Cédric Bellon a pris le problème à lenvers et nous raconte comment il a réussi à faire une montre avec le moins d'effort de production, avec les materieux déjà existants, limitant ainsi au maximum l'impact environnemental. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, découvrons l'impact environnemental du thé. 2 Français sur 3 boivent du thé. L'industrie du thé, comme de nombreuses autres industries, a un impact sur notre environnement. La production de thé conventionnelle peut entraîner une utilisation excessive de pesticides, d'énergie, ainsi que des déchets considérables. Si vous appréciez cette initiative et que vous souhaitez l'encourager, abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute préférée ! Vous pouvez également me laisser une note sur Apple podcast et, en commentaires, n'hésitez pas à me suggérer un thème qui vous intéresse ! Grâce à vous, L'autruche et le colibri pourra atteindre de nouveaux auditeurs ! Merci à vous. Liens utiles complémentaires : Impact CO2 : consulter Trop de pesticides dans les sachets de thé et de tisane - 60 millions de consommateurs : lire Suivre L'autruche et le colibri entre chaque épisode : https://www.instagram.com/lautruche_et_lecolibri/ Voix & montage : Delphine Musique : LemonMusicStudio Sun Bunny Bruitage : Lasonothèque
L'impact environnemental des médicaments prescrits est un enjeu méconnu. Et pourtant! Ces médicaments représentent 20 % des émissions de gaz à effet de serre du secteur des soins de santé canadien. Les gaz anesthésiques et les inhalateurs sont sans contredit les plus grands contributeurs de ces émissions. Pour mieux saisir cette problématique et réfléchir à des pistes de solution, Trait pharmacien reçoit Myriam Guèvremont et Geneviève Ouellet, toutes deux pharmaciennes au CHU Sainte-Justine. Références : Projet Cascades : https://cascadescanada.ca/fr/ Association canadienne des médecins pour l'environnement (volet québécois) : https://cape.ca/chapter/cape-qc/ Maillon Vert: https://www.maillon-vert.com/ Santé Synergie Environnement : https://synergiesanteenvironnement.org/
Du soleil, des artistes, et de la bonne humeur, voilà la recette parfaite pour un festival. Mais face au réchauffement climatique, la préservation de l'environnement s'ajoute peu à peu à la liste des ingrédients. En cette fin d'été, c'est l'occasion de faire le point sur les différentes méthodes mises en place par les organisateurs pour réduire l'impact sur la planète.
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Comment mettre ses compétences au service de la planète tout en ayant un maximum d'impact ?
A un an des Jeux olympiques à Paris en 2024, cet ouvrage collectif permet d'aborder 130 ans d'histoire de l'olympisme moderne. Nicolas Bancel, l'un de ses codirecteurs, alayse les grandes évolutions du mouvement olympique, indissociables du contexte géopolitique, ainsi que l'identité et la pertinence des fameuses "valeurs" de l'olympisme. Martin Müller propose dans sa contribution de se pencher sur la durabilité de ces méga-événements: leur impact environnemental est-il encore soutenable, notamment pour les villes-hôtes ? Une approche qui permet de proposer des pistes pour les futures éditions de la compétition.
Les français ont bien conscience que le numérique a un impact colossal sur l'environnement. Ceci dit, sont-ils prêts à changer radicalement leur quotidien pour réduire leur empreinte carbone ? La réponse est quelque peu nuancée à en croire l'opérateur Orange qui, en collaboration avec la plateforme Make.org, a lancé une vaste consultation citoyenne en janvier dernier, et donc les conclusions ont été rendues publiques début juillet. Au total, 170 000 citoyens ont donné leur avis sur la question, assorti de plus de 6 000 propositions et environ 2,6 millions de votes. Pour le contexte, l'empreinte carbone du numérique représentait 2,5 % des émissions totales de GES en 2020. De leur côté, l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) et l'ARCEP (régulateur des télécoms) ont récemment expliqué que cette empreinte carbone devrait augmenter de 45 % d'ici 2030 si aucune mesure concrète n'est prise. Et selon l'étude mentionnée précédemment, seuls 4 Français sur 10 estiment qu'il faudrait « limiter l'achat d'équipements numériques au sein d'un même foyer et les partager, et ils sont presque aussi nombreux à se déclarer « contre » cette proposition. D'ailleurs, les réticences sont multiples, notamment en ce qui concerne la fin des forfaits illimités ou la limitation de l'usage des smartphones à certaines fonctionnalités que près de la moitié des sondés refusent. Orange souligne je cite que « les citoyens préfèrent ne pas bouleverser leurs habitudes, ou du moins souhaitent que les changements de pratiques restent optionnels » fin de citation. Enfin, les solutions les plus contraignantes rencontrent une nette opposition, surtout lorsqu'elles impliquent une obligation ou une taxation. Cependant, les sondés sont plutôt d'accord sur la question de la durabilité des appareils. L'augmentation de la durée de vie des produits et la lutte contre l'obsolescence programmée recueille près de 60% d'opinion favorable, et a été enrichie de quasiment 700 propositions complémentaires listées dans l'étude. 84 % des votants souhaitent également que leur smartphone « dure au moins 8 ans », alors qu'en moyenne, on le remplace tous les deux ans. En ce qui concerne les autres thématiques, comme les e-mails, les spams et les publicités, une vaste majorité se prononce en faveur d'une lutte active contre les spams, d'une interdiction des écrans publicitaires numériques, d'une suppression automatique des e-mails ou encore de la mise en place d'une limite de taille pour l'envoi de ces courriers électroniques. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les français ont bien conscience que le numérique a un impact colossal sur l'environnement. Ceci dit, sont-ils prêts à changer radicalement leur quotidien pour réduire leur empreinte carbone ? La réponse est quelque peu nuancée à en croire l'opérateur Orange qui, en collaboration avec la plateforme Make.org, a lancé une vaste consultation citoyenne en janvier dernier, et donc les conclusions ont été rendues publiques début juillet. Au total, 170 000 citoyens ont donné leur avis sur la question, assorti de plus de 6 000 propositions et environ 2,6 millions de votes.Pour le contexte, l'empreinte carbone du numérique représentait 2,5 % des émissions totales de GES en 2020. De leur côté, l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) et l'ARCEP (régulateur des télécoms) ont récemment expliqué que cette empreinte carbone devrait augmenter de 45 % d'ici 2030 si aucune mesure concrète n'est prise. Et selon l'étude mentionnée précédemment, seuls 4 Français sur 10 estiment qu'il faudrait « limiter l'achat d'équipements numériques au sein d'un même foyer et les partager, et ils sont presque aussi nombreux à se déclarer « contre » cette proposition. D'ailleurs, les réticences sont multiples, notamment en ce qui concerne la fin des forfaits illimités ou la limitation de l'usage des smartphones à certaines fonctionnalités que près de la moitié des sondés refusent. Orange souligne je cite que « les citoyens préfèrent ne pas bouleverser leurs habitudes, ou du moins souhaitent que les changements de pratiques restent optionnels » fin de citation. Enfin, les solutions les plus contraignantes rencontrent une nette opposition, surtout lorsqu'elles impliquent une obligation ou une taxation.Cependant, les sondés sont plutôt d'accord sur la question de la durabilité des appareils. L'augmentation de la durée de vie des produits et la lutte contre l'obsolescence programmée recueille près de 60% d'opinion favorable, et a été enrichie de quasiment 700 propositions complémentaires listées dans l'étude. 84 % des votants souhaitent également que leur smartphone « dure au moins 8 ans », alors qu'en moyenne, on le remplace tous les deux ans. En ce qui concerne les autres thématiques, comme les e-mails, les spams et les publicités, une vaste majorité se prononce en faveur d'une lutte active contre les spams, d'une interdiction des écrans publicitaires numériques, d'une suppression automatique des e-mails ou encore de la mise en place d'une limite de taille pour l'envoi de ces courriers électroniques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Impact environnemental du numérique en France, volet 2 des mesures ADEME The post Impact environnemental du numérique en France first appeared on XY Magazine.
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Arnaud Lancelot co-fondateur de Cozie, littéralement « Consommation Objectif Zéro Impact Environnemental », la marque de cosmétique responsable, qui s'est imposée depuis quelques années comme un acteur incontournable de la vente en vrac. L'entreprise a depuis diversifié son activité en accompagnant les entreprises qui souhaitent se mettre à ce type de distribution. Anti-gaspillage et naturelle, Cozie prône le zéro déchet, avec notamment la réutilisation de ses contenants. Mais alors côté contenant, consigne, vrac… comment créer un véritable cercle vertueux ? Quel est l'impact du transport in fine ? Peut-on avoir recours au zéro plastique en cosmétique ? Et côté contenu, vers du 100% naturel, du 100% bio ? Que choisir finalement quand on est un consommateur avec peu de moyens ? Tant de questions et bien plus, abordées dans ce nouvel épisode de L'Empreinte. Dans l'Empreinte, nous essayons de comprendre, ensemble, comment les marques d'aujourd'hui s'engagent ou non, pour notre planète et pour notre société. Chaque semaine, Alice Vachet reçoit donc des start-upers, des PDG de grands groupes ou encore des directeurs de la RSE qui lui expliquent comment leur entreprise s'engage pour porter une révolution de l'impact sur notre planète, une empreinte. En savoir plusInscrivez-vous à la newsletter de L'Empreinte pour suivre toute l'actualité RSE en cliquant ici. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Arnaud Lancelot co-fondateur de Cozie, littéralement « Consommation Objectif Zéro Impact Environnemental », la marque de cosmétique responsable, qui s'est imposée depuis quelques années comme un acteur incontournable de la vente en vrac. L'entreprise a depuis diversifié son activité en accompagnant les entreprises qui souhaitent se mettre à ce type de distribution. Anti-gaspillage et naturelle, Cozie prône le zéro déchet, avec notamment la réutilisation de ses contenants. Mais alors côté contenant, consigne, vrac… comment créer un véritable cercle vertueux ? Quel est l'impact du transport in fine ? Peut-on avoir recours au zéro plastique en cosmétique ? Et côté contenu, vers du 100% naturel, du 100% bio ? Que choisir finalement quand on est un consommateur avec peu de moyens ? Tant de questions et bien plus, abordées dans ce nouvel épisode de L'Empreinte. Dans l'Empreinte, nous essayons de comprendre, ensemble, comment les marques d'aujourd'hui s'engagent ou non, pour notre planète et pour notre société. Chaque semaine, Alice Vachet reçoit donc des start-upers, des PDG de grands groupes ou encore des directeurs de la RSE qui lui expliquent comment leur entreprise s'engage pour porter une révolution de l'impact sur notre planète, une empreinte. En savoir plus Inscrivez-vous à la newsletter de L'Empreinte pour suivre toute l'actualité RSE en cliquant ici.
I.A. Café - Enquête au cœur de la recherche sur l’intelligence artificielle
Quel est le bilan environnemental de ChatGPT? Peut-on mesurer son bilan carbone, et les émissions de GES associées, et cela, tout au long de son cycle de vie? Autour de ces quelques questions, nous entamons une série de trois épisodes consacrée aux enjeux environnementaux de l'intelligence artificielle. Dans ce premier de trois épisodes, nous posons les bases de cette réflexion avec Anne-Laure Ligozat, maître de conférences en informatique à l'École Nationale Supérieure d'Informatique pour l'Industrie et l'Entreprise. Anne est également chercheur et collaboratrice au Laboratoire Interdisciplinaire des Sciences du Numérique (LISN), sur le campus de l'Université Paris-Saclay. Elle est également responsable d'EcoInfo , un site web pensé pour les enseignants, informaticiens, décideurs, dans le secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche, qui s'intéressent à la mesure et à la réduction des impacts environnementaux et sociétaux négatifs des technologies du numérique. Au programme:Analyse du cycle de vie (ACV) d'une IA Mesure de l'impact environnemental de l'IA Le coût-bénéfices et le bilan environnementaux du développement d'une IA Quelques applications IA au service de l'environnementPromesses environnementales enthousiasmantes et bilans environnementaux décevants.Le coût environnemental et le bilan carbone de ChatGPT, MidJourney, Dall-e, Stable Diffusion.Quelques pistes de solution pour arrimer les promesses de l'intelligence artificielle avec nos attentes environnementales.Invitée: Anne-Laure LigozatProduction et animation: Jean-François Sénéchal, Ph.D.Collaborateurs: David Beauchemin, Ève Gaumond, Frédérick Plamondon, Sylvain Munger, Shirley Plumerand, Maxime Heuillet.Ad Medievum AeternumOyé Oyé! Pastourelles et pastoureaux! Je vous invite aujourd'hui à m'accompagner dans...Listen on: Apple Podcasts SpotifySupport the show
Le numérique pollue. Souvent, les premiers éléments pointés du doigt sont les centres de données. En réalité, il ne s'agit là que d'une partie de la pollution issue du numérique. Avant, bien avant, il y a les terminaux. Les téléviseurs, les tablettes, les ordinateurs et les smartphones. Tous ces appareils permettent l'utilisation du monde virtuel. Sans eux, pas de numérique. La question de l'impact environnemental du numérique est donc protéiforme. L'objectif de cet épisode est justement de décortiquer, d'expliquer les principaux aspects de cette pollution. D'où cela vient-il ? Comment y remédier ? Cela sera également l'occasion de mettre fin à un mythe : oui, le numérique pollue et il polluera toujours. Pour en parler, Siècle Digital a échangé avec Leah Goldfarb, responsable de l'impact environnemental de Platform.sh, doctorante en chimie atmosphérique, et ancienne responsable de la coordination au Giec. Sans oublier Anne Yvrande-Billon, directrice Économie, marchés et numérique de l'Arcep, ainsi que Ludovic Moulard, responsable de l'impact de Fifty Five.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment travailler chaque jour à réduire l'impact de ses produits et garantir une transparence aux clients quant à leur production, lorsque l'on est une enseigne dont l'ADN est le respect de la planète ? Commercialiser des produits respectueux de l'environnement, c'est l'un des principaux objectifs de Nature et Découvertes, dont la raison d'être est de « Choisir des solutions concrètes pour accompagner au quotidien la transition vers des modes de vie durables et engagés pour la biodiversité ». À travers cet épisode d'On The Way, Valérie Durandy, Directrice de l'Offre chez Nature et Découvertes, nous explique dans son témoignage l'importance de travailler à réduire l'impact environnemental des produits et les actions concrètes mises en place par les équipes en ce sens. Pour illustrer cela, Valérie ne manque pas d'exemples, mais c'est ceux de deux produits best sellers qu'elle choisit de nous parler. Le premier : la veilleuse tortue pour les enfants de moins de 3 ans. Ce produit contenait initialement une grande quantité de plastique. Cette matière a donc été remplacée par du plastique recyclé, et les attaches ont été supprimées, permettant d'alléger le poids de l'objet mais également d'en réduire son impact. Le deuxième : le plaid en polyester. Les équipes ont mis au point un système de mise sous vide de ce produit, pour le commercialiser sous cette forme. Par conséquent, sa taille en est réduite, ce qui permet ainsi d'en charger plus par container et donc, de réduire l'empreinte environnemental de ce best seller. Ces deux exemples prouvent que chaque pas compte. Que chaque action, aussi simple soit-elle, a son impact. Ces deux décisions en sont la preuve puisqu'elles ont permis de rendre les produits plus durables et de diminuer l'empreinte carbone de la marque. Tout au long de l'épisode, Valérie nous fait part de sa vision, de l'histoire de la marque, et des solutions mises en place au sein de Nature et Découvertes pour passer des mots à l'action et se placer en véritable acteur de la consommation responsable. Très bonne écoute !
Dans cet épisode, nous abordons un sujet qui peut être difficile à gérer pour beaucoup d'entre nous : la culpabilité lorsque l'on doit se débarasser de certains objets. Nous avons souvent tendance à accumuler des choses mais nous devons parfois faire face à la nécessité de nous en débarrasser. Cependant, cela peut parfois être source de culpabilité, que ce soit à cause de l'impact environnemental de nos choix, du coût économique de nos possessions ou encore de la valeur sentimentale que nous leur attribuons. Nous explorons les différentes facettes de cette culpabilité, ainsi que les astuces et les conseils pour surmonter ces sentiments afin de commencer, ou continuer, à vivre entouré de notre essentiel, sans être encombré par le superflu. Rejoignez-moi pour réfléchir ensemble sur la manière dont nous pouvons mieux gérer nos possessions, tout en préservant notre planète, notre portefeuille et notre santé mentale. Fiche methode de l'episode Pour rester en contact L'instagram de @faminimaliste et celui de @ famille.o.suisse Mon email faminimaliste@gmail.com Le site internet faminimaliste.com S'abonner à ma newsletter Mon blog
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Dans cet épisode du podcast Nouvelles Impulsions, je reçois Guillaume Jouffre, l'un des 4 fondateurs de Green Go : une plateforme web qui met en avant une selection d'hébergements éco responsables 100% en France. Cette plateforme qui se veut être je cite “l'alternative responsable à Booking et Airbnb” a vu le jour en 2021. Aujourd'hui Green Go a une sacrée ambition : devenir le leader européen du voyage bas carbone ! D'ailleurs pour soutenir ce projet cette jeune pousse a réalisé en 2022 une levée de fond de 1,2 Millions d'euros. En partie sous forme de financement participatif grâce à sa communauté de près de 100 000 personnes. De quoi les aider à nous inspirer une autre façon de voyager en France. Guillaume nous explique comment ils ont réussi avec ses associés et son équipe à s'imposer comme l'un des leaders en moins de 2 ans et en pleine crise sanitaire ! Chapeau ^^ Vous pouvez retrouver Guillaume sur Linkedin . Et découvrez sans attendre les hébergements proposés par GreenGo pour vos prochaines vacances en France en allant sur leur site .
Aujourd'hui, un épisode bonus très court sur : Comment compresser une vidé ou une image ? Avant de commencer, laisser moi vous rappeler : pourquoi il est important de compresser une vidéo ou une image avant sa diffusion en ligne ? On a déjà discuté ces points dans l'épisode 2 avec Adrien de chez YOTTA. Si tu ne l'as pas encore écouté ou si tu ne te souviens plus, voici un récap en 3 points : La taille des fichiers Les coûts de stockage et de bande passante La qualité de l'image C'est d'ailleurs le cas de mon exemple. J'ai préparé une vidéo teaser pour le lancement du podcast. Je souhaite la diffuser sur LinkedIn. 57% des utilisateurs LinkedIn sont sur mobile. Et le teaser en question est un extrait court d'une interview, il ne nécessite pas d'être diffusé dans une très bonne qualité. Pour compresser ma vidéo, je vais sur l'outil “Video Compressor” de Free convert. J'aime bien cet outil car il est simple à utiliser, notamment sur les paramètres de réglages. Mais les autres outils font aussi très bien l'affaire. Ici je choisis d'utiliser “La Résolution Vidéo“ comme méthode de compression car elle me permet de choisir le format d'export. Mais je peux aussi choisir un objectif de taille ou qualité. J'utilise la qualité notamment quand je dois envoyer du contenus pour validation à des clients. Je choisis la plus faible car ils doivent essentiellement me faire des retours sur le fond, pas sur le contenu en tant que tel. Une fois sélectionné, le chargement a lieu et en quelques secondes ma vidéo est prête. La nouvelle vidéo fait 1,4 Mo contre 5,8 à la base, soit 4 fois plus légère ! Celle-ci est prête à être diffusée !
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Comment faire en sorte que « Venir De », n'empêche pas de « Devenir »
Intéressons-nous aujourd'hui à l'impact environnemental de nos habitudes culturelles… Cela inclut donc le streaming, les liseuses, les CD et autres objets de consommation de culture. Récemment, une étude menée par l'ADEME, Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, nous a donné quelques informations sur ce fameux impact environnemental, en prenant en compte les émissions de CO2, les matières premières nécessaires pour fabriquer ces objets etc…Côté livre, l'Ademe estime que si vous achetez moins de 10 livres neufs par an, alors il serait préférable de les acheter en version papier que sur liseuse. Et cela vaut le coup pour tous les types de livres jusqu'au roman de 300 pages. Vous l'avez compris, si vous êtes un gros lecteur et que vous faites attention à votre empreinte environnementale, alors privilégiez les livres sur liseuse électronique. Côté film ou musique, de façon générale, acheter un CD ou un DVD pour une ou deux utilisations n'est pas pertinent d'un point de vue environnemental comme le précise l'Ademe. Mieux vaut leur préférer une version numérique.Ceci dit, il convient de ne pas oublier que le bilan carbone d'un film ou d'une musique en ligne dépend aussi de la connexion et de l'équipement utilisé. L'ADEME estime qu'il faudrait quatre fois plus de CO2 pour fabriquer un ordinateur portable qu'un smartphone. Ensuite, reste à voir si vous téléchargez votre contenu grâce au Wifi plutôt que via la 4G ou la 5G, qui sont clairement plus énergivores. Bref, pour faire court et un peu simpliste, regarder un film ou écouter de la musique avec un smartphone en étant connecté à son Wifi est meilleur pour la planète que d'utiliser la 4G ou la 5G puis consommer son contenu sur ordinateur ou télévision d'après l'ADEME.Si ces détails vous surprennent, l'ADEME estime qu'appliquer ces conseils ferait une grosse différence. D'après ses projections, consommer sept heures de streaming vidéo par semaine sur une tablette le tout en basse définition et en wifi correspondrait à un parcours de 20km en voiture en termes de pollution. À contrario, 7h de stream vidéo par semaine en haute définition et en 4G reviendrait à 133km en voiture, soit un bilan carbone multiplié par sept. Vous pouvez vous aussi faire votre propre calcul sur le site de l'ADEME, dont le lien est dans la description de cet épisode.Calculateur ADEME : https://longuevieauxobjets.gouv.fr/impact-co2-du-numerique Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Intéressons-nous aujourd'hui à l'impact environnemental de nos habitudes culturelles… Cela inclut donc le streaming, les liseuses, les CD et autres objets de consommation de culture. Récemment, une étude menée par l'ADEME, Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, nous a donné quelques informations sur ce fameux impact environnemental, en prenant en compte les émissions de CO2, les matières premières nécessaires pour fabriquer ces objets etc… Côté livre, l'Ademe estime que si vous achetez moins de 10 livres neufs par an, alors il serait préférable de les acheter en version papier que sur liseuse. Et cela vaut le coup pour tous les types de livres jusqu'au roman de 300 pages. Vous l'avez compris, si vous êtes un gros lecteur et que vous faites attention à votre empreinte environnementale, alors privilégiez les livres sur liseuse électronique. Côté film ou musique, de façon générale, acheter un CD ou un DVD pour une ou deux utilisations n'est pas pertinent d'un point de vue environnemental comme le précise l'Ademe. Mieux vaut leur préférer une version numérique. Ceci dit, il convient de ne pas oublier que le bilan carbone d'un film ou d'une musique en ligne dépend aussi de la connexion et de l'équipement utilisé. L'ADEME estime qu'il faudrait quatre fois plus de CO2 pour fabriquer un ordinateur portable qu'un smartphone. Ensuite, reste à voir si vous téléchargez votre contenu grâce au Wifi plutôt que via la 4G ou la 5G, qui sont clairement plus énergivores. Bref, pour faire court et un peu simpliste, regarder un film ou écouter de la musique avec un smartphone en étant connecté à son Wifi est meilleur pour la planète que d'utiliser la 4G ou la 5G puis consommer son contenu sur ordinateur ou télévision d'après l'ADEME. Si ces détails vous surprennent, l'ADEME estime qu'appliquer ces conseils ferait une grosse différence. D'après ses projections, consommer sept heures de streaming vidéo par semaine sur une tablette le tout en basse définition et en wifi correspondrait à un parcours de 20km en voiture en termes de pollution. À contrario, 7h de stream vidéo par semaine en haute définition et en 4G reviendrait à 133km en voiture, soit un bilan carbone multiplié par sept. Vous pouvez vous aussi faire votre propre calcul sur le site de l'ADEME, dont le lien est dans la description de cet épisode. Calculateur ADEME : https://longuevieauxobjets.gouv.fr/impact-co2-du-numerique Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Des oeuvres d'art peuvent résoudre deux des plus gros problèmes à Marseille.
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Vous êtes concentrés sur le B2C et le B2B, mais est-ce que vous connaissez le C2C ? Le Coeur à Coeur ? Parce que parfois, une belle rencontre peut faire une étincelle, créer un déclic, voire changer une vie. Mais qu'aujourd'hui l'isolement et le repli sur soi gagnent du terrain. Partout ? Non ! Pas à Marseille en tout cas, où un collectif d'irréductibles créateurs de lien résiste encore et toujours au défaitisme. La Fabrique du Nous imagine et prototype des projets innovants, des actions génératrices d'émotions et des idées pour recréer du lien. La Fabrique du Nous, c'est Nathalie Gatellier et Tarik Ghezali, plus de 30 ans d'expérience cumulée dans l'intérêt général. Et une obsession partagée : celle de créer du lien. Nathalie nous parle de leurs projets et de leurs méthodes pour faire de Marseille la capitale du Nous. Pour plus de détails sur les projets mentionnés et pour aller plus loin : demainmarseille.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Si on partait en exploration à l'intérieur des poubelles du centre-ville de Marseille, qu'auraient-elles à nous dire ? Et si on commençait à considérer nos déchets comme nos futures ressources ? Est-ce qu'on pourrait trouver, ensemble, des solutions pour avoir un réel impact sur la réduction des déchets du centre-ville de Marseille ? Je suis partie à la rencontre de Maxime Ducoulombier, co-fondateur de Synchronicity avec Vincent Gay. Synchronicity, c'est un créateur de flux coopératifs au service d'une ville durable. Une ville plus écologique, inclusive et résiliente. Et grâce à ce rudologue (expert des poubelles), je n'ai jamais autant appris sur les poubelles qui nous entourent, et de ce qu'on pourrait en faire si on commençait à les considérer autrement. -------- Pour en savoir plus sur les projets mentionnés dans l'épisode et aller plus loin sur la thématique: https://demainmarseille.substack.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mardi 25 octobre 2022, SMART IMPACT reçoit Alexandre Bellity (fondateur, Cleany) , Damien Giroud (directeur des Ventes Secure Power, Schneider Electric) , Leah Goldfarb (responsable Impact Environnemental, Platform.sh) et Nicholas Mouret (cofondateur, Greenmetrics)
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Quel est le point commun entre le Club Med, une maison de retraite, une crèche et une cité de la Blancarde à Marseille ? Non, ce n'est pas une blague douteuse. Et oui, c'est la maison à vivre “Les Jardins d'Haïti” ! S'il y a bien un projet qui crée des étincelles dès qu'on en parle, c'est celui-là. J'aimais déjà beaucoup le projet quand j'en ai entendu parler la 1ère fois. Mais encore plus depuis ma rencontre avec Laurent Boucraut, son Directeur. Un personnage détonnant qui a apporté son grain de folie dans un milieu qu'on imagine austère. Reprenant les rênes de l'Ehpad familial et accompagné de Daphné Charveriat (Marseille Solutions) et Fabien Gaudioso (We Are The Starters), il décide de transformer l'Ehpad en Tiers-lieu. Un Tiers-Lieu où rien ne semble impossible : Maison de retraite, Crèche, Coworking, Restaurant et coiffeur ouverts au public, logements étudiants, podcast pour raconter la vie de ses anciens … Il prône une approche plus humaine et plus ouverte, parce que “La vraie question, c'est pourquoi on cloisonne tout ?” Je vous laisse découvrir notre échange et le détail de ce projet fantastique. Pour en savoir plus sur les projets mentionnés dans l'épisode et aller plus loin sur la thématique: https://demainmarseille.substack.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
J'ai démarré par un des projets qui me semblait les plus emblématiques à Marseille : le restaurant solidaire Le République. Typiquement le genre de projets dont on ne parlera jamais assez. Le République est un restaurant unique en son genre : Le client “classique” vient et paye son repas de façon tout ce qu'il y a de plus classiques. A la table d'à côté : les bénéficiaires, qui viennent de la part d'associations partenaires et qui payent 1€ leur menu. Pour manger la même cuisine raffinée, au même service, avec le même niveau de service. C'est aussi un chantier d'insertion, un foodtruck avec les mêmes règles que restaurant de la place Sadi Carnot, et des projets incroyables : une future école de cuisine inclusive, un boulodrome … et un nouveau lieu serait même en reflexion… Cet épisode a été enregistré en mai dernier et le succès est toujours au rendez-vous. Pour en savoir plus sur les projets mentionnés dans l'épisode : https://demainmarseille.substack.com/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Demain Marseille | Nouveaux regards sur le futur du territoire
Bonjour et bienvenue sur Demain Marseille, le podcast qui pose un nouveau regard sur le futur du territoire. Demain Marseille, c'est un podcast pour vous informer, vous inspirer et vous donner envie de de vous engager, autour de chez vous. Je suis Donia Joly, j'accompagne des porteurs de projets à impact, mais je suis avant tout une amoureuse de Marseille et je suis fascinée par tous les projets qui s'y développent. Fatiguée d'entendre les clichés habituels sur une ville qui fourmille pourtant d'initiatives incroyables, j'ai décidé de partir à la rencontre de ces actrices et acteurs engagés qui proposent des solutions concrètes aux défis du territoire. Ils nous montreront qu'autre chose est possible et vous donneront les clés pour vous engager à votre tour autour de chez vous. Et si c'était elles et eux qui dessinaient le futur de la ville ? Et si on pouvait tous y contribuer ? Demain Marseille, et si demain se construisait aujourd'hui ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez-vous qu'on jette un tiers de la nourriture produite? Avec ce que la seule Europe met à la poubelle chaque année, on pourrait nourrir 1 milliard de personnes, pendant que près de 900 millions de personnes souffrent de malnutrition. En France, les pertes et le gaspillage alimentaire représentent 10 millions de tonnes de produits par an, pour un montant de 16 milliards d'euros. Soit 30 kg par an et par personne –dont 7 kg de déchets alimentaires non consommés et encore emballés. Un non-sens éthique, écologique et économique. Alors quelles solutions pratiques mettre en place, individuellement et collectivement, pour réduire ce gaspillage et valoriser les déchets alimentaires? Dans ce huitième épisode de Plus bio la vie, Nora Bouazzouni accueille Marion Noirot, cheffe de projet RSE chez Biocoop, et Moïra Tourneur, responsable du plaidoyer à Zéro Waste France. Musique: «May the chord be with you», Computer Music All-stars
Zone Mixte est de retour après de longues vacances, pas de char à voile mais de l'écologie au programme pour ce nouveau numéro. La récente polémique concernant Christophe Galtier et Kylian Mbappe a soulevé une problématique importante, les clubs de football professionnels se sentent-ils concernés par leur impact environnemental ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 28 ans, Alexandre Perry a un parcours éclair qui en ferait rêver plus d'un(e). Des stages en levée de fonds, un CDI en M&A dans la première boutique Européenne, founding member d'un fonds de VC… Le pire c'est que malgré tous ces accomplissements si jeune, Alexandre reste humble et très sympa… Enervant non ? Dans cet épisode Alexandre nous livre tous ses secrets et revient pour nous sur : La construction de son parcours pour intégrer Rothschild & Co, Ses apprentissages en M&A Pourquoi tout le monde parle de l'hydrogène ? Comment il a co-fondé Satgana Les Climate Tech Merci encore Alexandre pour cette super discussion :)
Avoir un impact positif sur la société, sur la planète quand on est entrepreneur·e, est-ce que c'est possible? Et quand on est freelance? Ou qu'on crée sa start-up? Quand on est entrepreneur individuel, on pense pas forcément à son impact environnemental en premier. On se dit : “ça va je suis tout·e seul·e je pollue pas des masses”. Et souvent, on a d'autres chats à fouetter, comme trouver ses premiers clients, gagner de l'argent, devenir rentable.. .. mais l'impact, tout le monde peut en avoir. Même quand notre business ne consiste pas à nettoyer les océans ou à sauver le monde de la famine. Alors, comment fait-on pour que ce soit un impact positif, plutôt que négatif? Comment fait-on pour s'améliorer? C'est le thème que nous allons explorer cette semaine avec mon invitée, Géraldine Fournier, spécialiste de la mesure d'impact environnemental. Abonne-toi à la newsletter du podcast pour accéder aux bonus et templates partagées par mon invitée dans ces épisodes!
Avoir un impact positif sur la société, sur la planète quand on est entrepreneur·e, est-ce que c'est possible? Et quand on est freelance? Ou qu'on crée sa start-up? Quand on est entrepreneur individuel, on pense pas forcément à son impact environnemental en premier. On se dit : “ça va je suis tout·e seul·e je pollue pas des masses”. Et souvent, on a d'autres chats à fouetter, comme trouver ses premiers clients, gagner de l'argent, devenir rentable.. .. mais l'impact, tout le monde peut en avoir. Même quand notre business ne consiste pas à nettoyer les océans ou à sauver le monde de la famine. Alors, comment fait-on pour que ce soit un impact positif, plutôt que négatif? Comment fait-on pour s'améliorer? C'est le thème que nous allons explorer cette semaine avec mon invitée, Géraldine Fournier, spécialiste de la mesure d'impact environnemental. Abonne-toi à la newsletter du podcast pour accéder aux bonus et templates partagées par mon invitée dans ces épisodes!
Avoir un impact positif sur la société, sur la planète quand on est entrepreneur·e, est-ce que c'est possible? Et quand on est freelance? Ou qu'on crée sa start-up? Quand on est entrepreneur individuel, on pense pas forcément à son impact environnemental en premier. On se dit : “ça va je suis tout·e seul·e je pollue pas des masses”. Et souvent, on a d'autres chats à fouetter, comme trouver ses premiers clients, gagner de l'argent, devenir rentable.. .. mais l'impact, tout le monde peut en avoir. Même quand notre business ne consiste pas à nettoyer les océans ou à sauver le monde de la famine. Alors, comment fait-on pour que ce soit un impact positif, plutôt que négatif? Comment fait-on pour s'améliorer? C'est le thème que nous allons explorer cette semaine avec mon invitée, Géraldine Fournier, spécialiste de la mesure d'impact environnemental. Abonne-toi à la newsletter du podcast pour accéder aux bonus et templates partagées par mon invitée dans ces épisodes!
Avoir un impact positif sur la société, sur la planète quand on est entrepreneur·e, est-ce que c'est possible? Et quand on est freelance? Ou qu'on crée sa start-up? Quand on est entrepreneur individuel, on pense pas forcément à son impact environnemental en premier. On se dit : “ça va je suis tout·e seul·e je pollue pas des masses”. Et souvent, on a d'autres chats à fouetter, comme trouver ses premiers clients, gagner de l'argent, devenir rentable.. .. mais l'impact, tout le monde peut en avoir. Même quand notre business ne consiste pas à nettoyer les océans ou à sauver le monde de la famine. Alors, comment fait-on pour que ce soit un impact positif, plutôt que négatif? Comment fait-on pour s'améliorer? C'est le thème que nous allons explorer cette semaine avec mon invitée, Géraldine Fournier, spécialiste de la mesure d'impact environnemental. Abonne-toi à la newsletter du podcast pour accéder aux bonus et templates partagées par mon invitée dans ces épisodes!
Avoir un impact positif sur la société, sur la planète quand on est entrepreneur·e, est-ce que c'est possible? Et quand on est freelance? Ou qu'on crée sa start-up? Quand on est entrepreneur individuel, on pense pas forcément à son impact environnemental en premier. On se dit : “ça va je suis tout·e seul·e je pollue pas des masses”. Et souvent, on a d'autres chats à fouetter, comme trouver ses premiers clients, gagner de l'argent, devenir rentable.. .. mais l'impact, tout le monde peut en avoir. Même quand notre business ne consiste pas à nettoyer les océans ou à sauver le monde de la famine. Alors, comment fait-on pour que ce soit un impact positif, plutôt que négatif? Comment fait-on pour s'améliorer? C'est le thème que nous allons explorer cette semaine avec mon invitée, Géraldine Fournier, spécialiste de la mesure d'impact environnemental. Abonne-toi à la newsletter du podcast pour accéder aux bonus et templates partagées par mon invitée dans ces épisodes!
Certains amateurs de voyages décident désormais de leur destination de vacances en fonction de l'impact qu'elle aura sur l'environnement. À mi-chemin entre la pure démarche marketing et le vrai changement de paradigme, les acteurs du tourisme cherchent à s'adapter à cette nouvelle donne. Le collectif Digital Green Tourisme propose de les accompagner. Nathalie Michet reçoit son fondateur, Alexandre Alary.
Pour le 10ème épisode d'Objectif CLOUD, Eymeric Tabou Consultant Senior et digital architecte chez Capgemini Invent et Cédrik Lime, Architecte Solution chez Capgemini nous parlent du lien entre l'impact environnemental des applications et le rôle que joue le cloud dans la réduction de ce dernier.
Quel est l'impact environnemental de nos courriers et de nos colis ? Comment intégrer la RSE dans les instances de direction, ou la performance extra financière dans une filière métier ? Laure Mandaron, Directrice RSE, Branche Services-Courrier-Colis du Groupe La Poste, nous partage leur plan stratégique RSE horizon 2030. Celui-ci induit notamment une refonte du modèle économique de l'entreprise, une prise de risque éclairée et la recherche d'opportunités de création de valeurs.
Maud Caillaux, c'est l'histoire d'une femme venant de Dijon qui lors d'un stage dans la banque à New York prend conscience de l'impact (négatif) du milieu bancaire sur l'environnement... pour finalement rentrer en France, faire une année de consulting sur le marché bancaire et décider de se lancer dans la création d'un nouveau type de banque. Ainsi est née Green-Got en février 2020, la banque pour lutter contre le dérèglement climatique. Pas une mince affaire de se lancer à même pas 30 ans, surtout face aux mastodontes du marché. Pourtant, celle qui a été nommée parmi les 30 leaders Forbes de moins de 30 ans a décidé de s'engager totalement avec son associé : cette aventure entrepreneuriale n'est pas sans des hauts et des bas, des "murs" comme elle dit, et après 2 ans, la néo-banque Green-Got a lancé les pré-inscriptions et ce n'est plus qu'une question de semaines avant l'ouverture au public. Dans cet épisode, elle nous explique son parcours, pourquoi elle a suivi un Master Entrepreneuriat, comment elle a fait quand elle est arrivée à Paris sans réseau et sans connaître les codes, pour lever des premiers fonds... On revient sur l'importance de la communauté, d'engager autour du projet alors que le produit ou service est en cours de développement, les récompenses et distinctions obtenues... On évoque également l'entrepreneuriat et le perfectionnisme (en quoi parfois ça matche, parfois moins), la complémentarité entre associés, la définition des rôles, la visibilité des dirigeants. Un épisode qui mêle entrepreneuriat et environnement ! Chapitres : 4'02 Comment t'as fait pour passer du consulting à la création d'une néo-banque à impact environnemental ? 25'21 Comment t'as fait pour créer un intérêt alors même que le service n'est pas ouvert à tout public ? 44'20 Comment t'as fait pour créer ta structure et une équipe en plein Covid-19 ? -----> Vous avez aimé l'épisode ou le podcast, vous souhaitez proposer des invités ou être interviewé ? Connectons-nous sur Linkedin ! -----> Vous souhaitez sponsoriser le podcast ? Écrivez-nous un email à podcast@commenttasfait.fr Un grand merci à vous chères auditrices et chers auditeurs pour vos écoutes, messages privés et publics, pour vos notes sur Apple Podcast notamment. L'aventure continue et pour cela, plus vous partagez à vos contacts et relayez les épisodes, plus nous pourrons aider la communauté d'entrepreneurs, qu'ils soient aguerris ou en devenir. Je compte sur vous pour en parler autour de vous et vous inscrire à notre newsletter pour recevoir chaque semaine un nouvel épisode directement dans votre boite mail. On vous attend également sur notre site web commenttasfait.fr. -----> Vous êtes entrepreneur(e) installé(e) ou en devenir et vous souhaitez que votre entreprise se démarque en communication et soit plus visible ? Contactez l'agence de communication Buzznative, notre équipe vous recevra comme il se doit !
Pour débuter cette nouvelle année, Marie-Cécile vous propose de parler de ce que nous appelons le virtuel. Ordinateurs, appareils mobiles et connectés en tout genre, utilisation sans fin des réseaux sociaux, des clouds et autres outils de stockage en ligne, tous ces outils que nous utilisons au quotidien a bien plus d'impact sur l'environnement qu'on ne le pense. Référence citée dans l'épisode:Pollution numérique, voyage au bout d'un like sur France Inter : https://www.franceinter.fr/emissions/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-mardi-21-septembre-2021Florence Rodhain, maître de conférences et autrice de « La Nouvelle religion du numérique, Le numérique est-il écologique ? » aux éditions EMSL'éveilleur SCOP : https://leveilleur-scop.fr
Alors que les préoccupations sur le climat sont de plus en plus présentes dans notre quotidien, le Green IT lui ne semble être qu'à ses balbutiements. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, je ne dis pas que personne ne s'en soucie, mais bien que nous sommes très mal outillés pour bien comprendre l'impact de nos systèmes d'information sur l'environnement. Heureusement, les choses changent (même si ça va doucement). Benoît Petit, mon invité du jour, est le fondateur de Hubblo, une société de monitoring des services techniques et de leur impact sur le climat. Une conversation qui s'annonce déjà palpitante ! Notes de l'épisode Scaphandre, pour mesurer la consommation électrique de vos SI : https://github.com/hubblo-org/scaphandre Mesurer, comprendre et réduire l'impact des services numériques sur le climat et l'environnement : https://hubblo.org/fr Mesure d'impact environnemental du numérique des organisations : https://boavizta.org/
Elles ont reçu le Prix SE'nSE de la Fondation pour les générations futures et pourront se répartir 150.000 euros sous forme de prêts subordonnés.
durée : 00:55:11 - Circuit Bleu - Côté saveurs - France Bleu Lorraine Nord - Nova Kutimo est un établissement qui a ouvert en juillet 2021 à Metz. Découverte !
Cette semaine, le duo de Génération Sidechick reçoit la comédienne et activiste Maude afin de parler d'environnement et des enjeux qui l'entourent. Comment est-il possible de chacun faire une différence et de se responsabiliser face à notre consommation ainsi qu'à notre création de déchets. Comment prendre de meilleures décisions ? À quoi ressemble notre impact quotidien sur la planète dans son ensemble ? Acheter seconde main, est-ce que ça aide vraiment ? Quels sont les impacts écologiques d'acheter des contenants réutilisables ? Bon épisode ! Merci à notre présentateur Clarinswww.clarins.cawww.generationsidechick.com
En 2020, plusieurs milliards de masques se seraient retrouvés dans les océans. Comme ils sont, le plus souvent, fait de polypropylène (plastique à base de pétrole) ils ne sont pas biodégradables. Des scientifiques dʹUnisanté et dʹenvironnemental action proposent des solutions à la fois écologiques et sanitaires pour réduire cet impact. On en parle avec David Vernez, chef du département santé au travail et environnement à Unisanté. Un sujet de Bastien Confino.
Dans le Green Business Club, Nathalie Michet reçoit Julie Démoulins, fondatrice du cabinet Ovation Architecture installé à Mandelieu et spécialisé dans l'architecture passive. Cette dernière parle des enjeux sur l'impact environnemental et de la baisse en consommation d'énergie dans ce secteur. Ce qu'il faut retenir : - Encore peu de constructions de ce type sont labellisées sur la Côte d'Azur, sachant que ce concept présente de nombreux avantages en région PACA - L'architecture passive, c'est un label qui s'intéresse à l'efficience énergétique des bâtiments dans le but de réduire considérablement la consommation d'énergie. Cela consiste à réaliser tout un travail de conception sur l'enveloppe du bâtiment et le choix des outils de productions énergétiques - En France, c'est un marché où ce label s'est plus répandu dans certaines régions que d'autres car des pionniers ayant promu ce label ont réussi à développer ce type de construction - Les avantages sont par exemple le climat qui est relativement doux et assez favorable pour optimiser les dépenses énergétiques vu les journées ensoleillées sur l'ensemble de l'année dans la région PACA. Par des coûts plus maîtrisés, il est possible d'obtenir des consommations sur l'année qui sont très intéressantes - La communication et la pédagogie sont essentielles dans ce sujet, notamment par la construction des collectifs en passif car c'est le modèle le plus répandu sur la région. C'est ce secteur sur lequel il faut agir afin d'avoir un véritable impact environnemental - Les élus et les communes ont tout intérêt à adopter cette stratégie visant à réduire les dépenses énergétiques pour faire des économies
C'est un tout nouveau RDV mensuel sur Radio Monaco FEEL GOOD > #LaMinuteModeÉthique présentée par The Good Goods. Un média 2.0 tourné vers une mode plus responsable. Chaque 1er lundi du mois, Victoire Satto, la cofondatrice de The Good Goods, vous offre des conseils de durabilité et une sélection de marques engagées pour vous permettre de vivre heureux et longtemps dans vos vêtements. Pour cette grande première, coup de projecteur sur les collants avec pour ouvrir un constat édifiant. Saviez-vous qu'il faut 14 000 km de fil de nylon, 750 litres d'eau et des teintures non écologiques et potentiellement allergènes pour confectionner une paire de collants ? ⚠️ Avec The Good Goods, vous allez découvrir les rouages de cette machine à cash de l'industrie basée notamment sur l'obsolescence programmée. Une technique qui fonctionne puisqu'en France 130 millions de paires de collants sont vendues chaque année, entre 5 et 30€. Ce podcast sera découpé en 3 temps : * L'impact environnemental des collants * Des astuces simples pour profiter le plus longtemps possible des paires que vous possédez * & les alternatives proposées par 4 marques engagées, sélectionnées par The Good Goods ! Un podcast-enquête à découvrir !
Que le numérique ait révolutionné nos vies ne fait aucun doute. Qu'il pollue et alourdisse de manière inquiétante notre bilan environnemental est moins connu. Nos directeurs tech, Claire Dufetrelle et Hugo Hache partagent dans cet épisode les constats sur l'impact environnemental et sociétal du numérique et révèlent les coulisses souvent occultes de toute une industrie. Mais surtout, cette discussion permet de saisir les enjeux de la sobriété numérique pour nos usages individuels, les entreprises tech et pour notre planète.
La révolution numérique a aussi été celle de la valeur, et parmi les nouveaux piliers de création de valeur de l'entreprise, l'impact figure parmi les plus populaires et stratégiques - mais aussi les plus insaisissables. Comment définir l'impact ? Comment se mesure-t-il ? Et comment les entreprises peuvent, et doivent-elles s'en saisir ?Notre étude "L'impact, levier de création de valeur" est disponible via ce lien.