Village in Podlaskie Voivodeship, Poland
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In this episode Cathy and Jo travel east to Poland. Join them along the way as they cross borders and head into the primaeval forests of Bialowieza and the vast marshlands of Biebrza - both complex ecosystems, alive with the sounds of mammals, birds and amphibians. The variety and abundance of species they encounter are astounding but also give them pause to reflect on what Britain has lost and why. With thanks to Tomasz Jezierczuk of www.wildpoland.com
La BBC investiga el impacto humano y ecológico de miles de migrantes que cruzan el bosque de Bialowieza hacia Europa, a menudo con la ayuda de la fuerza fronteriza bielorrusa.
Ett av Europas största vilddjur utrotades helt i början av 1900-talet. Men tack vare några få djurparksdjur har den lyckats göra spektakulär comeback. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Den europeiska bisonoxens återkomst och rewilding i SverigeVisenten, Europas största landlevande däggdjur, utrotades i det vilda under 1900-talets början. Men tack vare en långsiktig bevarandestrategi och ett femtiotal europeiska djurparksdjur, har arten gjort en imponerande comeback. Idag lever runt 7 000 visenter vilt i Europa, bland annat i Polen, Belarus och Rumänien. Nu undersöker svenska forskare om visenten kan, och bör, återinföras i Sverige.Världsarvet Bialowieza och de första återförvildade visenternaFölj med Vetenskapsradions Stefan Nordberg till Polen och Bialowieza-skogen, platsen där de första visenterna på 1950-talet åter trampade i vild natur. En plats som idag är hem för en av de största vilda populationerna – men det finns saker som tyder på att skogen kanske inte är så bra för arten som man kan tro. Reporter: Stefan Nordbergstefan.nordberg@sr.seProducent: Lars Broströmlars.brostrom@sr.se
Depuis 2021, le dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko tente de déstabiliser l'Union européenne et l'Otan en poussant des migrants à sa frontière avec la Pologne. En réaction, Varsovie a décidé au début de l'été de mettre en place une zone militarisée le long de sa frontière pour empêcher leur passage. Mais dans la région de la forêt vierge de Bialowieza, qui vit principalement du tourisme, la nouvelle est loin de rassurer, et les vacanciers boudent la région cet été. De quoi menacer la vie économique locale. De notre correspondant à Varsovie,L'une des régions d'Europe les plus prisées des amoureux de la nature, devenue un repoussoir pour les touristes.La bande de territoire militarisée, censée freiner les migrants venus de Biélorussie vers la Pologne, passe en plein cœur de la dernière forêt primaire d'Europe. Une zone tampon très efficace selon les autorités, mais qui effraie les clients de Slawomir. Dans son restaurant au village de Bialowieza, il n'a servi qu'une vingtaine de couverts ce soir, en plein cœur de la haute saison.Le restaurateur dénonce un emballement médiatique excessif autour de cette zone tampon.« Depuis que cette zone tampon a été annoncée, on a perdu quasiment tous nos touristes. En juillet, j'ai eu un tiers de clients par rapport à l'année dernière à la même période. Nous, on s'efforce d'expliquer aux clients qu'ici, on est en sécurité, on met en place des promotions pour les attirer, mais si à côté, on reçoit la visite d'un politique qui vient faire une photo près du mur à la frontière ou avec les soldats, ça ne contribue pas au développement du tourisme », déplore-t-il.Baisse du tourismePourtant, le tracé de la zone tampon, large de seulement 200 mètres, a été étudié pour n'englober aucun village, et ne pas freiner l'activité touristique. Mais Dorota, qui tient une chambre d'hôtes, à vu la moitié de ses réservations annulées dès son entrée en vigueur début juin.« Je dis à tout le monde que c'est tranquille ici, que c'est très calme, que personne ne tire, et que personne ne tue personne, explique-t-elle. J'ai réussi à convaincre certains clients de venir quand même, mais d'autres me répètent que les médias ont dit que la région était dangereuse, et qu'il était préférable de rester à distance. »Marek Czarny gère un hôtel dans le village, et avec des confrères, il a suggéré à l'État la création de bons touristiques. Une sorte de chèque vacances valable dans la région que l'État distribuerait aux familles pour sauver la saison touristique.« Ça permettrait de payer par exemple des nuitées à l'hôtel ou chez l'habitant, les repas au restaurant. L'État a l'obligation de nous aider, car on se prend les conséquences de cette situation dans la figure au nom de la sécurité de toute la Pologne », explique Marek Czarny.Un projet qui ne pourra cependant pas être voté avant la rentrée parlementaire. Après des étés marqués par le Covid et une menace migratoire grandissante depuis trois ans, les professionnels gardent espoir de revivre un jour une saison normale. À lire aussiAu moins 116 migrants morts en trois ans à la frontière entre l'Union européenne et la Biélorussie
Depuis 2021, le dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko tente de déstabiliser l'Union européenne et l'Otan en poussant des migrants à sa frontière avec la Pologne. En réaction, Varsovie a décidé au début de l'été de mettre en place une zone militarisée le long de sa frontière pour empêcher leur passage. Mais dans la région de la forêt vierge de Bialowieza, qui vit principalement du tourisme, la nouvelle est loin de rassurer, et les vacanciers boudent la région cet été. De quoi menacer la vie économique locale. De notre correspondant à Varsovie,L'une des régions d'Europe les plus prisées des amoureux de la nature, devenue un repoussoir pour les touristes.La bande de territoire militarisée, censée freiner les migrants venus de Biélorussie vers la Pologne, passe en plein cœur de la dernière forêt primaire d'Europe. Une zone tampon très efficace selon les autorités, mais qui effraie les clients de Slawomir. Dans son restaurant au village de Bialowieza, il n'a servi qu'une vingtaine de couverts ce soir, en plein cœur de la haute saison.Le restaurateur dénonce un emballement médiatique excessif autour de cette zone tampon.« Depuis que cette zone tampon a été annoncée, on a perdu quasiment tous nos touristes. En juillet, j'ai eu un tiers de clients par rapport à l'année dernière à la même période. Nous, on s'efforce d'expliquer aux clients qu'ici, on est en sécurité, on met en place des promotions pour les attirer, mais si à côté, on reçoit la visite d'un politique qui vient faire une photo près du mur à la frontière ou avec les soldats, ça ne contribue pas au développement du tourisme », déplore-t-il.Baisse du tourismePourtant, le tracé de la zone tampon, large de seulement 200 mètres, a été étudié pour n'englober aucun village, et ne pas freiner l'activité touristique. Mais Dorota, qui tient une chambre d'hôtes, à vu la moitié de ses réservations annulées dès son entrée en vigueur début juin.« Je dis à tout le monde que c'est tranquille ici, que c'est très calme, que personne ne tire, et que personne ne tue personne, explique-t-elle. J'ai réussi à convaincre certains clients de venir quand même, mais d'autres me répètent que les médias ont dit que la région était dangereuse, et qu'il était préférable de rester à distance. »Marek Czarny gère un hôtel dans le village, et avec des confrères, il a suggéré à l'État la création de bons touristiques. Une sorte de chèque vacances valable dans la région que l'État distribuerait aux familles pour sauver la saison touristique.« Ça permettrait de payer par exemple des nuitées à l'hôtel ou chez l'habitant, les repas au restaurant. L'État a l'obligation de nous aider, car on se prend les conséquences de cette situation dans la figure au nom de la sécurité de toute la Pologne », explique Marek Czarny.Un projet qui ne pourra cependant pas être voté avant la rentrée parlementaire. Après des étés marqués par le Covid et une menace migratoire grandissante depuis trois ans, les professionnels gardent espoir de revivre un jour une saison normale. À lire aussiAu moins 116 migrants morts en trois ans à la frontière entre l'Union européenne et la Biélorussie
This week, we're featuring an interview with Dominika Ożyńska (Egala Association) and Aleksandra Chrzanowska (Association for Legal Intervention [polish: Stowarzyszenie Interwencji Prawnej SIP]), two human rights activists in eastern Poland near the Belarus border who speak about the situation with the migrant route through the Białowieża forest in the midst of increased militarization on both sides of the border through this ancient forest and through the region. Both are active in the umbrella Grupa Granica, or border group, movement supporting people on the move. You can learn more from the links in our show notes. In coming weeks we hope to feature more conversations with activists on the ground in this region and elsewhere speaking on similar topics, including locals who've seen social and environmental changes as tensions build between the neighboring nation-states and international alliances and how it impacts people seeking asylum and engaging their freedom of movement. Grupa Granica (Border Group) & Related Links: GG Facebook GG on X.com GG Instagram No Borders Team Instagram No Borders Team Facebook shop without borders / https://www.sklepbezgranic.pl/
Join us in this episode as we discuss Bialowieza forest, added to the world heritage list in 1979. Located on the border of Belarus and Poland, this primeval forest houses hundreds of European bison, among other diverse plant and animal life. We'll discuss the history, travel tips and more.
Im Solothurner Jura soll der Wisent wiederangesiedelt werden. Das Urrind Europas hat hierzulande viele Freunde – und lässt bei anderen die Emotionen hochgehen. «Kulturplatz» widmet sich der Faszination Wildtier und geht unserem ambivalenten Verhältnis gegenüber Wolf, Bär und Co. auf den Grund. Unterwegs mit dem Wisent-Ranger Benjamin Brunner ist Biobauer und seit einem halben Jahr auch Wisent-Ranger. Seit der Freilassung der Urrinder auf seinem Landstück im Solothurner Jura macht er regelmässig Führungen mit interessierten Besucherinnen und Besuchern. Er beobachtet, ob sich die Tiere gut in das Ökosystem integrieren und ob die Idee des Vereins Wisent Thal, die Tiere in zehn Jahren ganz der freien Wildbahn zu überlassen, realistisch ist. Einige Bäuerinnen und Bauern in der Umgebung stehen dem kritisch gegenüber und gingen sogar bis vor Bundesgericht, das ihre Klage abgelehnt hat. Der Wisent: ein sanftes Urrind, das polarisiert. Wie der Wildbiologe Darius Weber auf den Wisent kam Seine erste Begegnung mit einem freilebenden Wisent hat Darius Weber Anfang der 1990er-Jahre in Polen. Der Wildbiologe ist im Wald von Bialowieza nahe der weissrussischen Grenze unterwegs, um Wölfe und Marderhunde zu beobachten und dokumentieren. Plötzlich sieht er in 70 Metern Entfernung einen Wisent-Bullen, der ihm zunächst gehörige Angst einjagt. Von diesem Tag an beginnt Weber, in Bialowieza nach Wisenten Ausschau zu halten. In ihm reift ein Gedanke: Frei lebende Wisente sollte es überall geben – auch in der Schweiz, wo sie früher ebenfalls heimisch waren. Eine Kulturgeschichte der Wildtiere in der Schweiz Der Mensch und die Wildtiere – Beziehungsstatus: seit je her kompliziert. Einerseits ist der Mensch fasziniert von ihrer Unzähmbarkeit, ihrer wilden Art. Andererseits hat er genau aus dem Grund Angst vor ihnen. Das ambivalente Verhältnis zum Wildtier findet seit Jahrhunderten Ausdruck in Liedern, Filmen, Kunst und sogar in der Religion. Das konnte aber nicht verhindern, dass zahlreiche Wildtiere auch in der Schweiz bis vor einigen Jahrzehnten beinahe ausgerottet waren. Doch seit einiger Zeit entsteht ein neues Bewusstsein für den Wert von Wildtieren für Mensch und Umwelt. Wiederholung vom 19.04.2023
Per riascoltare Considera l'armadillo noi e altri animali in onda alle 14.00 che oggi ha ospitato Luciano Sammarone, direttore del @Parco nazionale d'Abruzzo Lazio e Molise per parlarci del conteggio dei nuclei familiari di Orso Marsicano, ma anche di @il manifesto che nell'ultima pagina scrive de Il muro che uccide nella foresta di Bialowieza
Francis Hallé est un éminent botaniste et un biologiste, spécialiste des arbres et des forêts tropicales. Il a sillonné le monde entier, et est connu pour avoir inventé le radeau des cimes, une nacelle qui permet d'étudier la canopée des forêts. Pour ce podcast, il est accompagné d'Eric Fabre, secrétaire général de l'Association Francis Hallé pour la Forêt Primaire. Ensemble, ils portent un projet : créer une forêt primaire en Europe de l'Ouest. (05:55) Une forêt primaire, c'est une forêt qui n'a jamais été exploitée, ni modifiée de façon quelconque par l'homme, c'est un sommet de la biodiversité. Il n'en existe presque plus en Europe, elles ont toutes été détruites depuis 1850, la dernière qui subsiste est en Pologne, c'est la forêt de Bialowieza qui est elle-même en danger. Ce projet va s'étendre sur plusieurs siècles. Pour Francis Hallé, c'est le projet de sa vie. Aujourd'hui, l'Association cherche un terrain de 70 000 hectares, l'équivalent de l'île de Minorque, plusieurs pistes sont à l'étude dont les Vosges ou encore les Ardennes belges et françaises (10:40). On écouterait parler des heures Francis Hallé, il nous décrit la beauté de la forêt primaire et de ses arbres. Pourquoi ? (07:09) Parce qu'il n'y a pas besoin d'être un spécialiste pour apprécier la beauté, dit-il, c'est pourquoi il en parle souvent. Pourtant, quand il était étudiant, il était interdit de parler de beauté, de faire appel à cette sensibilité, présente pourtant en chacun de nous. Aujourd'hui, il se venge et bientôt, il sortira un nouvel ouvrage sur « la beauté ». Dans ce podcast, vous trouverez aussi toute une sélection de lectures (34 :10) pour vous initier aux arbres et aux forêts, initier vos enfants également. On rêverait de se balader avec lui, lui qui connaît tout sur tout, la moindre feuille, la moindre plante, même au hasard d'un couloir de LCI. On l'interroge également sur l'engouement des Français pour les arbres, la nature : il s'en réjouit même s'il ne se l'explique pas complètement. Lui qui avait l'habitude de donner des conférences devant 15 personnes, aujourd'hui, elles font salle comble ! Vieux sage, il n'aime pas répondre à certaines questions (28:45), alors quand ça l'ennuie, il le dit et puis tant pis ! Peu importe, on apprend énormément à ses côtés, lui qui n'attend plus rien des politiques – des gens pas très intéressants - mais qui espère beaucoup des citoyens, voilà pourquoi il les appelle à le rejoindre au sein de son association pour mener ce beau projet jusqu'au bout. Belle écoute avec Impact Positif.
Im Solothurner Jura soll der Wisent wiederangesiedelt werden. Das Urrind Europas hat hierzulande viele Freunde – und lässt bei anderen die Emotionen hochgehen. «Kulturplatz» widmet sich der Faszination Wildtier und geht unserem ambivalenten Verhältnis gegenüber Wolf, Bär und Co. auf den Grund. Unterwegs mit dem Wisent-Ranger Benjamin Brunner ist Biobauer und seit einem halben Jahr auch Wisent-Ranger. Seit der Freilassung der Urrinder auf seinem Landstück im Solothurner Jura macht er regelmässig Führungen mit interessierten Besucherinnen und Besuchern. Er beobachtet, ob sich die Tiere gut in das Ökosystem integrieren und ob die Idee des Vereins Wisent Thal, die Tiere in zehn Jahren ganz der freien Wildbahn zu überlassen, realistisch ist. Einige Bauern in der Umgebung stehen dem kritisch gegenüber und gingen sogar bis vor Bundesgericht, das ihre Klage abgelehnt hat. Der Wisent: ein sanftes Urrind, das polarisiert. Wie der Wildbiologe Darius Weber auf den Wisent kam Seine erste Begegnung mit einem freilebenden Wisent hat Darius Weber Anfang der 1990er-Jahre in Polen. Der Wildbiologe ist im Wald von Bialowieza nahe der weissrussischen Grenze unterwegs, um Wölfe und Marderhunde zu beobachten und dokumentieren. Plötzlich sieht er in 70 Metern Entfernung einen Wisent-Bullen, der ihm zunächst gehörige Angst einjagt. Von diesem Tag an beginnt Weber, in Bialowieza nach Wisenten Ausschau zu halten. In ihm reift ein Gedanke: Frei lebende Wisente sollte es überall geben – auch in der Schweiz, wo sie früher ebenfalls heimisch waren. Eine Kulturgeschichte der Wildtiere in der Schweiz Der Mensch und die Wildtiere – Beziehungsstatus: seit je her kompliziert. Einerseits ist der Mensch fasziniert von ihrer Unzähmbarkeit, ihrer wilden Art. Andererseits hat er genau aus dem Grund Angst vor ihnen. Das ambivalente Verhältnis zum Wildtier findet seit Jahrhunderten Ausdruck in Liedern, Filmen, Kunst und sogar in der Religion. Das konnte aber nicht verhindern, dass zahlreiche Wildtiere auch in der Schweiz bis vor einigen Jahrzehnten beinahe ausgerottet waren. Doch seit einiger Zeit entsteht ein neues Bewusstsein für den Wert von Wildtieren für Mensch und Umwelt.
Des barbelés au coeur de la dernière forêt primaire d'Europe Réchauffement climatique oblige, la forêt est plus que jamais notre bien commun qu'il faut protéger. Mais, ces territoires en proie aux flammes, à la sécheresse, à la guerre et aux conflits sont aussi fragiles. La forêt de Bialowieza en Pologne est de celles-là. Dernière forêt primaire d'Europe, protégée par l'Unesco, elle est depuis le mois de juin traversée par une barrière de barbelés de 187 kilomètres de long et 5 mètres de haut, destinée à empêcher les migrants en provenance de Biélorussie de passer. Une catastrophe politique et écologique. C'est le reportage sur place de Martin Chabal. L'Europe contre la déforestation tropicale La déforestation massive, c'est un des autres périls qui menace notre forêt. Fin septembre 2022, le Parlement européen a adopté à une très large majorité un projet de règlement pour lutter contre la déforestation importée. En clair, tous les produits issus de terres déboisées ou dégradées, et ils sont nombreux, ne devraient plus avoir leur place sur le marché européen. On peut rétorquer qu'il s'agit d'une manière assez facile d'externaliser l'écologie. Mais, selon WWF, la mesure est d'importance puisque l'UE est responsable de 16% de la déforestation tropicale. À Bruxelles, les explications de Jean-Jacques Hery. Sauver la forêt de Chantilly Et dans le nord de la France, les forestiers ont lancé l'alerte en 2019. Les 6 300 hectares de la forêt de Chantilly sont menacés par la sécheresse. Les chênes meurent, les charmes et les tilleuls souffrent. Scientifiques et bénévoles se sont lancés dans une vaste étude pour comprendre et soigner ce sol en souffrance. C'est le reportage de Lise Verbeke. Fiction écologique Et la politique dans tout ça ? C'est tout l'objet d'un livre de fiction qui vient de paraître chez Gallimard. Collapsus, c'est son titre, nous parle d'un militant écologiste élu à la présidence, qui met en place une politique radicale pour sauver la planète… trop radicale car trop autoritaire pour les citoyens. Une histoire sombre, dont le décor rythmé par les incendies et les catastrophes écologiques, rappelle étrangement notre actualité. Deborah Berlioz s'est entretenue avec son auteur Thomas Bronnec. (Rediffusion du 5 octobre 2022)
Darius Weber hat vor 30 Jahren zum ersten Mal einen freilebenden Wisent gesehen, im polnischen Bialowieza. Seither hat er die Vision, die Urrinder in der Schweiz wieder anzusiedeln. Im Solothurner Jura leben seit September fünf junge Wisente in Halbfreiheit. Das Ziel ist die Auswilderung. Der Wisent ist für die einen faszinierend, für andere sprengt das Urrind mit seiner Grösse jedes Mass. Vor allem unter den Landwirten der Region hat das Wisent-Projekt viele Gegner: Sie fürchten um ihre Kulturen und um die Sicherheit ihrer eigenen Tiere. Das wirft die Frage auf: Wie viele Wildtiere verträgt die Schweiz? Welche Wildtiere sind uns willkommen, welche nicht? Themen des Podcasts: * Der Wisent – die Geschichte einer jahrtausendealten Ausrottung. * Die Umweltverträglichkeitsprüfung eines Wildtiers. * Die Bedenken der Landwirte und andere Ängste. * Wie immer mehr Wildtiere den Lebensraum in der Schweiz nutzen. Im Podcast zu hören sind: * Darius Weber, Wildbiologe und Initiant des Wisent-Projekts im solothurnischen Bezirk Thal * Otto Holzgang, Umweltnaturwissenschaftler und Projektleiter Wisent Thal * Fabian Bieri, Präsident der kantonalen Jagd- und Fischereiverwalter der Schweiz Bei Fragen, Anregungen oder Themenvorschlägen schreibt uns: kontext@srf.ch Mehr zum Kontext Podcast: https://srf.ch/audio/kontext
Dans le dernier épisode de notre série “L'Appel de la forêt”, la photographe Andréa Olga Mantovani nous emmène dans l'une des dernières forêts primaires d'Europe : la forêt de Bialowieza. Une immersion sensible, entre le réel et l'imaginaire, aux côtés des activistes qui la défendent.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Carole Lembezat, Virginie Lepetit, Pascale Boyen Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Francis Hallé est un éminent botaniste et un biologiste, spécialiste des arbres et des forêts tropicales. Il a sillonné le monde entier, et est connu pour avoir inventé le radeau des cimes, une nacelle qui permet d'étudier la canopée des forêts. Pour ce podcast, il est accompagné d'Eric Fabre, secrétaire général de l'Association Francis Hallé pour la Forêt Primaire. Ensemble, ils portent un projet : créer une forêt primaire en Europe de l'Ouest. (05:55) Une forêt primaire, c'est une forêt qui n'a jamais été exploitée, ni modifiée de façon quelconque par l'homme, c'est un sommet de la biodiversité. Il n'en existe presque plus en Europe, elles ont toutes été détruites depuis 1850, la dernière qui subsiste est en Pologne, c'est la forêt de Bialowieza qui est elle-même en danger. Ce projet va s'étendre sur plusieurs siècles. Pour Francis Hallé, c'est le projet de sa vie. Aujourd'hui, l'Association cherche un terrain de 70 000 hectares, l'équivalent de l'île de Minorque, plusieurs pistes sont à l'étude dont les Vosges ou encore les Ardennes belges et françaises (10:40). On écouterait parler des heures Francis Hallé, il nous décrit la beauté de la forêt primaire et de ses arbres. Pourquoi ? (07:09) Parce qu'il n'y a pas besoin d'être un spécialiste pour apprécier la beauté, dit-il, c'est pourquoi il en parle souvent. Pourtant, quand il était étudiant, il était interdit de parler de beauté, de faire appel à cette sensibilité, présente pourtant en chacun de nous. Aujourd'hui, il se venge et bientôt, il sortira un nouvel ouvrage sur « la beauté ». Dans ce podcast, vous trouverez aussi toute une sélection de lectures (34 :10) pour vous initier aux arbres et aux forêts, initier vos enfants également. On rêverait de se balader avec lui, lui qui connaît tout sur tout, la moindre feuille, la moindre plante, même au hasard d'un couloir de LCI. On l'interroge également sur l'engouement des Français pour les arbres, la nature : il s'en réjouit même s'il ne se l'explique pas complètement. Lui qui avait l'habitude de donner des conférences devant 15 personnes, aujourd'hui, elles font salle comble ! Vieux sage, il n'aime pas répondre à certaines questions (28:45), alors quand ça l'ennuie, il le dit et puis tant pis ! Peu importe, on apprend énormément à ses côtés, lui qui n'attend plus rien des politiques – des gens pas très intéressants - mais qui espère beaucoup des citoyens, voilà pourquoi il les appelle à le rejoindre au sein de son association pour mener ce beau projet jusqu'au bout. Belle écoute avec Impact Positif.
Retrouvez l'ITW Déclic de Francis Hallé, un moment fort du podcast à la fin de l'épisode. ------ Francis Hallé est un éminent botaniste et un biologiste, spécialiste des arbres et des forêts tropicales. Il a sillonné le monde entier, et est connu pour avoir inventé le radeau des cimes, une nacelle qui permet d'étudier la canopée des forêts. Pour ce podcast, il est accompagné d'Eric Fabre, secrétaire général de l'Association Francis Hallé pour la Forêt Primaire. Ensemble, ils portent un projet : créer une forêt primaire en Europe de l'Ouest. (05:55) Une forêt primaire, c'est une forêt qui n'a jamais été exploitée, ni modifiée de façon quelconque par l'homme, c'est un sommet de la biodiversité. Il n'en existe presque plus en Europe, elles ont toutes été détruites depuis 1850, la dernière qui subsiste est en Pologne, c'est la forêt de Bialowieza qui est elle-même en danger. Ce projet va s'étendre sur des siècles. Pour Francis Hallé, c'est le projet de sa vie. Aujourd'hui,l'Association cherche un terrain de 70 000 hectares, l'équivalent de l'île de Minorque, plusieurs pistes sont à l'étude dont les Vosges ou encore les Ardennes belges et françaises (10:40). On écouterait parler des heures Francis Hallé, il nous décrit la beauté de la forêt primaire et de ses arbres. Pourquoi ? (07:09) Parce qu'il n'y a pas besoin d'être un spécialiste pour apprécier la beauté, dit-il, c'est pourquoi il en parle souvent. Pourtant, quand il était étudiant, il était interdit de parler de beauté, de faire appel à cette sensibilité, présente pourtant en chacun de nous. Aujourd'hui, il se venge et bientôt, il sortira un nouvel ouvrage sur « la beauté ». Dans ce podcast, vous trouverez aussi toute une sélection de lectures (34 :10) pour vous initier aux arbres et aux forêts, initier vos enfants également. On rêverait de se balader avec lui, lui qui connaît tout sur tout, la moindre feuille, la moindre plante, même au hasard d'un couloir de LCI. On l'interroge également sur l'engouement des Français pour les arbres, la nature : il s'en réjouit, même s'il ne se l'explique pas complètement. Lui qui avait l'habitude de donner des conférences devant 15 personnes, aujourd'hui, elles font salle comble ! Vieux sage, il n'aime pas répondre à certaines questions (28:45), alors quand ça l'ennuie, il le dit et puis tant pis ! Peu importe, on apprend énormément à ses côtés, lui qui n'attend plus rien des politiques – des gens pas très intéressants - mais qui espère beaucoup des citoyens, voilà pourquoi il les appelle à le rejoindre au sein de son association pour mener ce beau projet. Belle écoute avec Impact Positif.
durée : 00:23:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Baptiste Morizot, écrivain et maître de conférences en philosophie à l'Université d'Aix-Marseille, et Andrea Olga Mantovani, photographe et correspondante pour le New York Times, co-auteurs de "S'enforester" (D'une rive à l'autre), sont les invités du Grand entretien de France Inter.
Des barbelés au coeur de la dernière forêt primaire d'Europe Réchauffement climatique oblige, la forêt est plus que jamais notre bien commun qu'il faut protéger. Mais, ces territoires en proie aux flammes, à la sécheresse, à la guerre et aux conflits sont aussi fragiles. La forêt de Bialowieza en Pologne est de celles-là. Dernière forêt primaire d'Europe, protégée par l'Unesco, elle est depuis le mois de juin traversée par une barrière de barbelés de 187 kilomètres de long et 5 mètres de haut, destinée à empêcher les migrants en provenance de Biélorussie de passer. Une catastrophe politique et écologique. C'est le reportage sur place de Martin Chabal. L'Europe contre la déforestation tropicale La déforestation massive, c'est un des autres périls qui menace notre forêt. Fin septembre 2022, le Parlement européen a adopté à une très large majorité un projet de règlement pour lutter contre la déforestation importée. En clair, tous les produits issus de terres déboisées ou dégradées, et ils sont nombreux, ne devraient plus avoir leur place sur le marché européen. On peut rétorquer qu'il s'agit d'une manière assez facile d'externaliser l'écologie. Mais, selon WWF, la mesure est d'importance puisque l'UE est responsable de 16% de la déforestation tropicale. À Bruxelles, les explications de Jean-Jacques Hery. Sauver la forêt de Chantilly Et dans le nord de la France, les forestiers ont lancé l'alerte en 2019. Les 6 300 hectares de la forêt de Chantilly sont menacés par la sécheresse. Les chênes meurent, les charmes et les tilleuls souffrent. Scientifiques et bénévoles se sont lancés dans une vaste étude pour comprendre et soigner ce sol en souffrance. C'est le reportage de Lise Verbeke. Fiction écologique Et la politique dans tout ça ? C'est tout l'objet d'un livre de fiction qui vient de paraître chez Gallimard. Collapsus, c'est son titre, nous parle d'un militant écologiste élu à la présidence, qui met en place une politique radicale pour sauver la planète… trop radicale car trop autoritaire pour les citoyens. Une histoire sombre, dont le décor rythmé par les incendies et les catastrophes écologiques, rappelle étrangement notre actualité. Deborah Berlioz s'est entretenue avec son auteur Thomas Bronnec.
Authorities in Poland's eastern regions bordering Belarus appealed to the government to help them revive the key tourism sector hobbled by access restrictions following a migrant crisis. The center of the appeal was Bialowieza, a popular tourist venue touted as Europe's last pristine forest that hosts bison, moose, wildcat and many other animal species. Tourism-related businesses in the area say they're suffering and temporary government assistance isn't enough. They urged the government to issue subsidized coupons to draw tourists back to the area. “From the point of view of business the situation is tragic,” said Marek Czerny of the Bialowieski Hotel. “In July we have only 10% of rooms booked, while a year ago it was 60%.” July 1 marked the lifting of a seven-month ban on general access to areas within 5 kilometers (3 miles) from the Belarus border. The ban prevented everyone except local residents from entering the area where thousands of migrants are pushed by Belarus into Poland, according to Polish authorities. Poland has said the plan was to destabilize the region and the EU. Eugeniusz Lawreniuk, deputy head of the local “Bialowieza Forest Region” tourist group said nothing has changed and invited tourists to discover the region for themselves. Poland has in recent months built a metal barrier along part of the border with Belarus to curb migrant arrivals. Local organizations say the wall has had a negative impact on tourism, although they grudgingly accept it. This article was provided by The Associated Press.
In dieser Folge des Wildtierfotografie Podcast habe ich mit dem Naturfotografen Alessandro Sgro über seine Arbeit als Guide bei Wolflandtours, seine Aufgaben als Wolf- und Luchsberater, seine Zusammenarbeit mit dem Nationalpark, Wolfs Monitoring, das Lupus Institut, seine Reisen in die Kapaten und nach Bialowieza - wie er dort zu seinen Fotos gekommen ist, Rewilding und vieles mehr gesprochen. Alessandros Homepage: https://alessandrosgro.com/ Alessandros Instagram: https://www.instagram.com/alessandroxsgro Alessandro bei Facebook: https://www.facebook.com/AlessandroxSgro/ Alessandro bei Wolflandtours: https://www.wolflandtours.de/ueber-uns/team/alessandro-sgro Viel Spaß beim anschauen bzw. anhören Aiko und Pascal https://www.instagram.com/aiko.sukdolak/ https://www.aiko-photography.de Wenn ihr meine Arbeit unterstützen wollt spendiert mir doch einen Kaffee: https://ko-fi.com/aikosukdolak https://www.buymeacoffee.com/AikoSukdolak https://www.instagram.com/pk_wildtierfotografie www.pascalknauftierfotografie.com --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/wildtierfotografiepodcast/message
Un anziano ricorda i tempi della guerra, quando fu costretto a fare uno scempio della meravigliosa foresta di Bialowieza e dei bisonti che l'abitavano. Ma se è vero che l'uomo è capace di tanta distruzione, è altrettanto vero che può cambiare, e scegliere di proteggere la vita.Di Alessandro Castelnuovo
今回は <Poland will resume logging in the ancient Bialowieza forest this year.(ポーランドは今年、古代から残るビャオヴィエジャの森で伐採を再開する。)> というニュースから、「ancient」を学びます。
Dagens gæst er Charlotte Weitze, der fortæller om sit arbejde med romanen ”Rosarium”, som har krævet research i planteriget. Weitze har både læst adskillige naturvidenskabelige værker, lyttet til podcasts om planter, rejst til den polsk-hviderussiske urskov Bialowieza, Tjernobyl i Ukraine, talt med en plantefysiolog og en planteclairvoyant.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Urwald Bialowieza nach der Holzaktion
Moderatorin Andrea Oster diskutiert, ob Entschädigungen ein Mittel gegen die Spaltung der USA sind. Ursula Weidenfeld findet, dass es dem mächtigen Andi Scheuer an Profil fehlt. Und Polens Urwald erholt sich.
Podlasie będzie jednym z najbardziej Instagramowych kierunków w te wakacje. Ale nie pozwólmy by piękne zdjęcia przysłoniły nam samo miejsce i ludzi tu mieszkających. W tym odcinku przybliżamy Wam nasz rodzinny region i dajemy klucz do jego zrozumienia.Już za tydzień we wtorek na naszej stronie dobrapodroz.pl udostępnimy bezpłatnego ebooka, który będzie mini przewodnikiem po Podlasiu. Ułożyliśmy go tak by roadtrip po wschodzie nie ominął najciekawszych miejsc.W tym odcinku rozmawialiśmy o:[00:00] Wstęp[02:24] Podlasie i prawosławie[04:25] Tu zacznij swoją podróż z prawosławiem - Supraśl[05:45] Jedno z lepszych muzeów w Polsce - Supraśl i Muzeum Ikon[09:06] Cud w Monasterze w Supraślu[11:20] Co łączy Sokółkę z Supraślem?[12:11] Najbardziej klimatyczne miasteczko na wschodzie[13:57] Sekta i koniec świata dają nazwę jednemu z najlepszych teatrów w Polsce[15:30] Spróbuj podlaskiego jedzenia[16:40] Prawosławna Częstochowa - Grabarka[18:26] Tykocińska historia z zamkiem w tle[21:31] Tego nie znajdziecie w przewodniku po Białymstoku[22:44] Ci którzy odrzucili zmiany - starowiercy na Podlasiu[25:07] Gdzie pojechać by poznać Tatarów podlaskich?[28:48] Wigry i katolicyzm[29:30] Historia miłosna w Puszczy BiałowieskiejPodlasie skrywa nie tylko piękne plenery, ale także ogrom ciekawych historii, super smaczną kuchnię i wiele religii, które nie są tak znane w pozostałych regionach Polski. Oszałamiająca natura daje idealne warunki do slow travel i cieszenia się spokojem.Szkoda by było przegapić coś, co nie jest tak oczywiste i szeroko opisywane w przewodnikach, Dajemy Wam naszą wiedzę, ludzi, którzy pochodzą stąd i uwielbiają te tereny. Mamy nadzieję, że dzięki naszym opowieściom poznacie Podlasie o wiele lepiej.Zapraszamy do słuchania!Kasia i Kuba
De Braziliaanse president Jair Bolsonaro heeft geen behoefte aan de twintig miljoen dollar die door de G7 was toegezegd om de branden in het Amazonewoud te bestrijden. Bolsonaro (in feite zijn stafchef Onyx Lorenzoni) liet weten dat het geld beter kan worden besteed aan de 'herbebossing van Europa', suggererend dat Europa in haar verleden ook haar oerbos vernietigde. Enerzijds heeft de uitspraak een sterk retorisch 'whataboutism' of 'tu qouque' (help liever jezelf, voor je ons gaat helpen'), maar anderzijds zit er ook een kern van waarheid in. 'Europa kende 6000 à 7000 jaar een oerbos dat bijna heel Europa omspande', vertelt bosecoloog Gert-Jan Nabuurs (Universiteit Wageningen) aan verslaggever Jeroen de Jager. Dat is sinds de tijd van de Romeinen en de middeleeuwen geleidelijk aan (bijna) volledig verdwenen. Nu blijven er nog stukken oerbos zoals het Bialowieza-woud in Polen en het Perucica-bos over in Bosnië Herzegovina over. De Jager vraagt aan Nabuurs hoe het nu gesteld is met de Europese bossen* en of Europa inderdaad moet overwegen om zelf meer aan de eigen bebossing te doen. * Dankzij grote herbebossingsacties van de Europese landen na de Tweede Wereldoorlog is Europa doorheen de tijd aanzienlijk groener geworden.
A lecture by Trinity Long Room Hub Marie Skłodowska-Curie Cofund Fellow Dr Anna Barcz organised by the Department of Russian and Slavonic Studies. The history of Bialowieza mirrors a long practice, beginning with Lithuanian kings from the Jagiellonian dynasty in the 14th century, of cutting the wood and clearing the forest for hunting. Described by the prophetic, romantic, Polish-Lithuanian poet Adam Mickiewicz in Pan Tadeusz [Sir Thaddeus, or the Last Lithuanian Foray: A Nobleman's Tale from the Years of 1811 and 1812 in Twelve Books of Verse], an epic written in 1834, it is one of the greatest signs of environmental consciousness expressed in the national literature. It includes a fragment of description of the deepest heart of the forest that gathers and preserves all species and where humans cannot enter. This so-called “motherland of woods” resembles a strict nature reserve – however, in comparison with our times, Mickiewicz's sanctuary exists only in the wild. Why even the most symbolic, entangled with the national history landscape as Bialowieza cannot help to foster the protection of nature? This question cannot be reasonably answered but we can try to retell the history from the perspective of the forest and its non-human inhabitants. Some would call it the environmental history and some - like me - would advocate for changing the national discourse of telling history in general. In contrast to the existing problem of logging and other human practices disturbing vulnerable Bialowieza's ecosystems and preventing the authorities from extending the borders of national parks mainly on the Polish side (despite the UNESCO heritage list that includes Bialowieza since 1979), I take the militant discourse that ascribes national identity to the trees as an example. In the patriotic, historical narratives, the forest is a soldiers' ally, a partisans' hideout, a hero of songs from the First and Second World Wars, and a witness to history (the forest guerrilla survived even the war, transforming into the so-called anti-communist – the last partisan hid in the forest until 1963). The cultural bond with the forest derives from the darkest history of the first settlers in Eastern Europe and environmental conditions that they found here. Thus, the traditions of nature conservation are inextricably linked to the history of the Polish statehood.
For some in Poland the Cursed Soldiers are national heroes; for others they are murderers. A march in celebration of a group of Polish partisans fighting the Soviets has become the focus of tension in a small community in one of Europe’s oldest forests. Those taking part believe the partisans – known as the Cursed Soldiers – were national heroes, but others remember atrocities committed by them 70 years ago. Some partisans were responsible for the burning of villages and the murder of men, women and children in and around Poland’s Bialowieza forest. The people living the forest are Orthodox and Catholic, Belorussian and Polish; this march threatens to revive past divisions between them. Many believe that far-right groups have hijacked this piece of history to further their nationalist agenda. For Crossing Continents, Maria Margaronis visits the forest to find out why this is causing tensions now; why the locals feel the march is making them feel threatened; and how this reflects wider political rifts in Poland today. Produced by Charlotte McDonald.
For some in Poland the Cursed Soldiers are national heroes; for others they are murderers. A march in celebration of a group of Polish partisans fighting the Soviets has become the focus of tension in a small community in one of Europe’s oldest forests. Those taking part believe the partisans – known as the Cursed Soldiers – were national heroes, but others remember atrocities committed by them 70 years ago. Some partisans were responsible for the burning of villages and the murder of men, women and children in and around Poland’s Bialowieza forest. The people living the forest are Orthodox and Catholic, Belorussian and Polish; this march threatens to revive past divisions between them. Many believe that far-right groups have hijacked this piece of history to further their nationalist agenda. For Assignment, Maria Margaronis visits the forest to find out why this is causing tensions now; why the locals feel the march is making them feel threatened; and how this reflects wider political rifts in Poland today. Produced by Charlotte McDonald. (Image: March through the town of Hajnowka to celebrate the Polish partisans known as the Cursed Soldiers. Copyright: BBC)
CiberCharlasViajeras en directo desde Cracovia en Polonia con Rafa Frias de Viajes con Humor. Nos cuenta su experiencia viviendo en Polonia durante 10 meses y el viaje que esta realizando por Cracovia, Bialowieza y Varsovia. Consejos viajeros para conocer este gran pais cargado de historia.
CiberCharlasViajeras en directo desde Cracovia en Polonia con Rafa Frias de Viajes con Humor. Nos cuenta su experiencia viviendo en Polonia durante 10 meses y el viaje que esta realizando por Cracovia, Bialowieza y Varsovia. Consejos viajeros para conocer este gran pais cargado de historia.
Acompañame en mi primer viaje en solitario a la tierra de los bisontes. Al bosque nevado de Bialowieza. Uno de los últimos bosques vírgenes de Europa. Agarrate porque ¡nos vamos a Polonia!
Acompañame en mi primer viaje en solitario a la tierra de los bisontes. Al bosque nevado de Bialowieza. Uno de los últimos bosques vírgenes de Europa. Agarrate porque ¡nos vamos a Polonia!
A vape bar, a suspicious border guard, and the building in which the Soviet Union came to an end. Welcome to Bialoweiza. Visit www.telegraph.co.uk/edgelands for a deeper dive. See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
1-L'ultima mossa dell'ETA. L'organizzazione armata basca chiede scusa alle vittime della sua lunga lotta per l'indipendenza. Nelle prossime settimane annuncerà il suo definitivo scioglimento (Angelo Miotto).2-La Cina apre il suo mercato automobilistico. Entro tre anni le compagnie straniere potranno operare in autonomia dalle aziende locali. Pechino: “non è una concessione a Trump” (Gabriele Battaglia).3-Quando il potere non è mai abbastanza. Questa settimana Erdogan ha convocato elezioni anticipate. Esteri ripercorre la parabola infinita del presidente turco (Serena Tarabini).4-Fermate il disboscamento della foresta di Bialowieza...La Corte di Giustizia Europea conferma la sentenza contro il governo polacco. È uno degli ultimi polmoni verdi in Europa (Mauro Caterina).5-Appunti sulla globalità: Cuba e la complessa eredità dei Castro (Alfredo Somoza)
1-L'ultima mossa dell'ETA. L'organizzazione armata basca chiede scusa alle vittime della sua lunga lotta per l'indipendenza. Nelle prossime settimane annuncerà il suo definitivo scioglimento (Angelo Miotto).2-La Cina apre il suo mercato automobilistico. Entro tre anni le compagnie straniere potranno operare in autonomia dalle aziende locali. Pechino: “non è una concessione a Trump” (Gabriele Battaglia).3-Quando il potere non è mai abbastanza. Questa settimana Erdogan ha convocato elezioni anticipate. Esteri ripercorre la parabola infinita del presidente turco (Serena Tarabini).4-Fermate il disboscamento della foresta di Bialowieza...La Corte di Giustizia Europea conferma la sentenza contro il governo polacco. È uno degli ultimi polmoni verdi in Europa (Mauro Caterina).5-Appunti sulla globalità: Cuba e la complessa eredità dei Castro (Alfredo Somoza)
1-L'ultima mossa dell'ETA. L'organizzazione armata basca chiede scusa alle vittime della sua lunga lotta per l'indipendenza. Nelle prossime settimane annuncerà il suo definitivo scioglimento (Angelo Miotto).2-La Cina apre il suo mercato automobilistico. Entro tre anni le compagnie straniere potranno operare in autonomia dalle aziende locali. Pechino: “non è una concessione a Trump” (Gabriele Battaglia).3-Quando il potere non è mai abbastanza. Questa settimana Erdogan ha convocato elezioni anticipate. Esteri ripercorre la parabola infinita del presidente turco (Serena Tarabini).4-Fermate il disboscamento della foresta di Bialowieza...La Corte di Giustizia Europea conferma la sentenza contro il governo polacco. È uno degli ultimi polmoni verdi in Europa (Mauro Caterina).5-Appunti sulla globalità: Cuba e la complessa eredità dei Castro (Alfredo Somoza)
La Pologne a été condamnée par l'Union européenne pour avoir procédé à de nombreuses coupes dans la forêt de Bialowieza. Fait inédit, selon Daniel Cohn-Bendit, le gouvernement polonais a accepté cette condamnation, ce qui montre que l'Union européenne peut agir et être respectée.
Vi sänder från Arboretum Norr om hur träden gör sig klara för vintern. Unikt beslut från EU-domstolen om avverkningarna i Bialowieza. Vi möter lockespindlarna. Programledare Joacim Lindwall.
Vi åker till Polen för att berätta om konflikten kring granbarkborrar och ökad avverkning i unika Bialowiezaskogen. Och så kommer vi grävlingen in på livet. Programledare är Jenny Berntson Djurvall.
Vår fältreporter sänder från Göteborg för att se hur träden klarar sig i storstan. Och vi åker till Bialowieza - en unik spillra av den skog som en gång täckte Europa. Programledare Joacim Lindwall.
The story of bison grass vodka reaches back to 14th century Poland and extends to today. There, in the forest of Bialowieza, the continent's last herd of bison grazes upon sweet, aromatic bison grass. Containing a blade of grass in each bottle, Ginny Tonic and Charlie jump into tasting a bottle of ZU and craft a traditional cocktail with one of the world's original flavored vodkas. What they find is a treat they are anxious to share.