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Nous sommes le 15 juin 1955. Si vous vous êtes procuré le journal « Le Monde », voici ce que allez pouvoir lire à propos de la publication du « Voyeur », le deuxième roman d'un jeune auteur appelé Alain Robbe-Grillet. L'article est signé Emile Henriot qui écrit : « J'ai lu deux fois ce diable de bouquin ; non par plaisir, mais pour essayer de comprendre ce qu'il signifie et ce qu'il recèle, ce que l'auteur, mené par son goût du mystère et de la contremarche, a voulu montrer ; et à ma grande honte, je n'y suis point parvenu. Non plus qu'à m'intéresser à cet imbroglio sans signification humaine, véritable casse-tête chinois. Qui ? Où ? Quand ? Comment et pourquoi ?... Les questions classiques de tout enquêteur sont ici sans prise possible, et vous ne pouvez faire fond sur aucun élément désassemblés de cette histoire en elle-même très simple, avant l'arrivée du premier gendarme : la petite fille mangée aux crabes est-elle morte toute seule et par accident ; sinon, qui l'a tuée ? Le marchand de montres, vous ou moi, ou bien quelqu'un d'autre ? Personne n'en sait rien et n'en saura rien. » Heureusement, « Le voyeur » rencontre aussi des soutiens comme celui de Roland Barthes, et sera, finalement, récompensé par le prix des Critiques. Nous sommes au début d'une des aventures littéraires les plus passionnantes du vingtième siècle, elle va se confondre avec celle du Nouveau Roman, une expérience humaine hors du commun aussi, celle d'Alain Robbe-Grillet. Invité : Benoît Peeters, écrivain, critique, scénariste de BD. « Alain Robbe-Grillet – L'Aventure du Nouveau Roman » ; Flammarion + « Réinventer le roman », entretiens inédits avec ARG. Sujets traités : Alain Robbe-Grillet, romancier, cinéaste, littérature, Roland Barthes, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Requins ont toujours le vent en poupe pour jouer les monstres dans les blockbusters. Après le Grand requin blanc dans “Les dents de la mer”, ce sont des tornades de squales qui s'abattent en ville dans Sharknado.Plus récemment, c'est un géant du passé qui remonte des fosses océaniques pour semer la terreur dans les salles obscures. Toujours plus grand, toujours plus spectaculaire, dans le film “En eaux troubles”, l'antagoniste est un Mégalodon. Le Requin mégalodon n'est connu que par ses grandes dents (qui lui donnent son nom). Elles ont été découvertes sur tous les continents, y compris en Europe… et en France, en Maine-et-Loire. Il vivait dans les eaux côtières, peu profondes et chaudes, il y a 23 à 2,6 millions d'années.Souvent reconstitué sur l'image du Grand requin blanc, un Lamnidé, la structure des dents du Mégalodon suggère en fait qu'il appartient plutôt à la famille éteinte des Otodontidés. Sa taille est déterminée à partir de la comparaison de ses dents avec celles du Grand requin blanc, mais l'éloignement des 2 espèces rend l'exercice hasardeux. Les estimations vont de 16 mètres pour les plus prudentes, jusqu'à 35 mètres pour les plus fantaisistes. Un prédateur d'une telle taille devait se nourrir de poissons, de dauphins et de baleines à fanons. Pour expliquer sa disparition, plusieurs hypothèses sont avancées. L'une étant la fermeture de l'isthme de Panama, il y a environ 3 millions d'années, qui a entraîné un refroidissement des océans fatal pour ce requin d'eaux chaudes. Il aurait pu aussi souffrir de la disparition de certaines de ses proies ou de la concurrence avec de nouveaux super-prédateurs comme les Orques.Pour résumer, le Mégalodon était un grand requin avec de grandes dents vivant dans les eaux côtières chaudes du monde entier, le reste n'est, à l'heure actuelle, que spéculation et sensationnalisme hollywoodien._______
Detienen a “El Chabelo” presunto líder de la Unión Tepito ¿Sabes cuándo llega el pago de tu pensión ISSSTE e IMSS? ¡Aquí te contamos! Cruzar la frontera entre México y EUA es delito: Tom Homan Más información en nuestro podcast
A l'occasion de la Journée Mondiale des Zones Humides, le 2 février, BSG rediffuse cet épisode consacré aux échassiers.Léa Collober est photographe, naturaliste, vidéaste et cinéaste animalière. Sa chaîne Youtube: Enjoy Nature with me. Pour ce 3e épisode avec Léa, nous partons en Vendée, dans les vasières et les communaux, ces prairies inondées en hiver. Dans ce paradis des passionnés d'oiseaux, elle a filmé les limicoles, ces échassiers au long bec comme l'Avocette, le Gravelot, le Vanneau, le Courlis, le Tournepierre, le Bécasseau, le Chevalier, les Huitriers au bec rouge… Tous ces oiseaux, notamment les Barges, s'activent sur l'estran, cet espace découvert par la marée, pour y trouver leur nourriture. Dans cet épisode, nous parlons aussi d'un Pélican blanc égaré, des Guêpiers multicolores, du Cincle plongeur, et des murmurations des oiseaux (phénomènes optiques sublimes de nuées d'oiseaux en mouvement)._______
2 millones 970 mil beneficiarios tiene el programa Jóvenes Construyendo el Futuro Es vinculado a proceso Carlos Armando “N” por el homicidio del cineasta Victor MuroMás información en nuestro podcast
https://notesonfilm1.com/2024/10/13/the-gus-van-sant-podcast-5a-to-die-for-1995/ The first of two podcasts on Gus Van Sant's TO DIE FOR (1995), this one with Matt Hays, journalist, co-editor with Tom Waugh of McGill-Queen's Press' QUEER FILM CLASSICS series, and a professor of film at Concordia University and Marianopolis College. Matt's reviewed Criterion's recent edition of the film for the current CINEASTE and I wanted to pick up on some of the excellent points he raises there: how is the film a turning point in Van Sant's career? What is this shifting of gears between Van Sant's more commercial and more esoteric works? Is the film prescient? What does it tell us about celebrity culture, the media and politics? What is the film's view of heterosexual relations? What does it tell us about race in America? What are the formal tensions running through the film? It's structure has been compared to that of CITIZEN KANE and RASHOMON. How so? We agree that Kidman gives one of her greatest performances but have Matt Dillon and Joaquin Phoenix been overlooked? All this and much more can be heard here:
Le documentaire sur Syd Barrett, " Have You Got It Yet ", acclamé par la critique sortira en DVD + Blu-ray mais aussi en format numérique à la demande. Noel Gallagher a confirmé l'année dernière qu'une réédition du premier album d'Oasis, Definitely Maybe, sortirait cette année pour ses 30 ans. Dans un extrait du podcast The Osbournes partagé sur YouTube Shorts, le fils du Prince des Ténèbres, Jack, demande à sa famille - composée d'Ozzy, de sa mère Sharon et de sa sœur Kelly - quelles sont leurs plus grandes peurs. Paul McCartney a remis à Bruce Springsteen le prix le plus important des Ivor Novello Awards, le prix Fellow, ce 23 mai. James Hetfield, chanteur/guitariste de Metallica, profite des périodes de creux entre les concerts pour écrire de nouveaux morceaux. Le clip de la reprise par Disturbed du classique de Simon & Garfunkel, " The Sound of Silence ", a dépassé le milliard de vues sur YouTube. --- Classic 21 vous informe des dernières actualités du rock, de Belgique et de partout ailleurs. Le Journal du Rock, chaque jour à 18h30 et le lendemain à 7h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
AVANTE TODA CON JAVIER SÁNCHEZ-BEASKOETXEA: ERRORES HUMANOS EN LA MERCANTE MALPENSANDO CON JOSÉ ANTONIO PÉREZ: BRECHA DIGITAL. MIKEL PÉREZ COLMENERO: NÓMADA PROFESIONAL. DALE QUE LIBFRAS CON MARKIO GARCÍA. CADUCIDAD AIRBAGS Y BATERÍA. TIEMPO DE ESPERA: OLÍMPICOS. HIGINIO RIVERO PIRAGÜISTA PARALÍMPICO, ITSASO DÍAZ, CINEASTE; OLATZ ARREGI, PIRAGÜISTA DE SLALOM, JOSEAN ARRUZA, PSICÓLOGO DEPORTIVO. INOCENTE O CULPABLE CON KENARI ORBE: BALTIMORE, TELEGRAM. UN COMIENZO CLÁSICO CON IÑIGO ALBERDI. MÚSICA DE AUTORES FRANCESES A DOS VOCES Y PIANO. PEDRO LEARRETA, SLAVERY RECORDS....
Le Serpentard, le Tennisman, le Cineaste et l'Ecrivain… Des histoires trop courtes à raconter dans un podcast, mais qui méritaient tout de même leur place dans cet épisode appelé « Les Autres ». Bang Bang Kiss Kiss, ton podcast spécial dates (et plus si affinités…) disponible un jeudi sur deux sur Spotify, Apple et Youtube. Pour accéder à des teasings en avant-première, rdv sur : - Instagram @bangkisspodcast - et TikTok @bangkisspodcast Contact: bangbangkisskisspodcast@gmail.com
Parmi les nouveautés en salles, un film qui retrace la vie, totalement méconnue, d'un héros de la deuxième guerre mondiale, surnommé le Oskar Schindler anglais,un héros très très discret incarné à l'écran par Anthony Hopkins. Ce titre One life est inspiré par l'adage d'origine hébraïque : Qui sauve une vie, sauve l'humanité ! Pendant la seconde guerre mondiale, ce banquier que rien ne prédestinait à un tel acte de bravoure a sauvé, exactement 669 enfants d'un destin tragique. Cinématographiquement, One life n'atteint pas le chef d'œuvre de Steven Spielberg, La liste de Schindler, One life est plus classique, voire, plus illustratif mais il reste un vibrant hommage à ces héros discrets des zones de conflit, qui aident les réfugiés, et ce thème, il est bien sûr, plus que jamais et malheureusement, d'actualité ! ---Tous les mercredis à 8h45, Cathy Immelen épingle pour vous les sorties cinéma . Elle vous dévoile ses coups de cœur et ses déceptions, dans la bonne humeur. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Écrivain, cinéaste, poète ou encore dessinateur, Jean Cocteau (1889-1963) semble avoir eu mille vies. Retour en détail sur la trajectoire d'un enfant terrible… Laureline Mattiussi et François Rivière mêlent éléments biographiques et évocations oniriques de Jean Cocteau et de son œuvre aux multiples dimensions. Cocteau est un esthète d'une rare intensité, bouleversé par les avant-gardes de son époque : Richard Strauss, Picasso ou encore le jeune Raymond Radiguet, que Cocteau porte à bout de bras. Les amours, les excès, les bons mots et l'œuvre protéiforme de Cocteau se retrouvent dans cette biographie en noir et blanc au trait puissant et évocateur. Invité : François Rivière, scénariste de « Cocteau l'enfant terrible », roman graphique paru aux éditions Casterman avec des dessins de Laureline Mattiussi. Sujets traité : biographie, écrivain, cinéaste, poète, dessinateur, revolution, précurseur, avant-garde Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 15h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Les Requins ont toujours le vent en poupe pour jouer les monstres dans les blockbusters. Après le Grand requin blanc dans “Les dents de la mer”, ce sont des tornades de squales qui s'abattent en ville dans Sharknado. Plus récemment, c'est un géant du passé qui remonte des fosses océaniques pour semer la terreur dans les salles obscures. Toujours plus grand, toujours plus spectaculaire, dans le film “En eaux troubles”, l'antagoniste est un Mégalodon. Le Requin mégalodon n'est connu que par ses grandes dents (qui lui donnent son nom). Elles ont été découvertes sur tous les continents, y compris en Europe… et en France, en Maine-et-Loire. Il vivait dans les eaux côtières, peu profondes et chaudes, il y a 23 à 2,6 millions d'années. Souvent reconstitué sur l'image du Grand requin blanc, un Lamnidé, la structure des dents du Mégalodon suggère en fait qu'il appartient plutôt à la famille éteinte des Otodontidés. Sa taille est déterminée à partir de la comparaison de ses dents avec celles du Grand requin blanc, mais l'éloignement des 2 espèces rend l'exercice hasardeux. Les estimations vont de 16 mètres pour les plus prudentes, jusqu'à 35 mètres pour les plus fantaisistes. Un prédateur d'une telle taille devait se nourrir de poissons, de dauphins et de baleines à fanons. Pour expliquer sa disparition, plusieurs hypothèses sont avancées. L'une étant la fermeture de l'isthme de Panama, il y a environ 3 millions d'années, qui a entraîné un refroidissement des océans fatal pour ce requin d'eaux chaudes. Il aurait pu aussi souffrir de la disparition de certaines de ses proies ou de la concurrence avec de nouveaux super-prédateurs comme les Orques. Pour résumer, le Mégalodon était un grand requin avec de grandes dents vivant dans les eaux côtières chaudes du monde entier, le reste n'est, à l'heure actuelle, que spéculation et sensationnalisme hollywoodien. ______ On aime ce qui nous a émerveillé … et on protège ce qu'on aime. ______ Découvrir tout l'univers Baleine sous Gravillon, et Mécaniques du Vivant sur France Culture : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 Soutenir notre travail, bénévole et sans pub : https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSG http://bit.ly/Tipeee_BSG https://bit.ly/lien_magq_lilo_BSG Nous contacter pour une conférence, un partenariat ou d'autres prestations ou synergies : contact@baleinesousgravillon.com
Both breezy and unexpectedly weird, "Stage Fright" features the famous "false flashback" sequence and takes us on a ride through post-war London. Jane Wyman stars as a naive young actress who spies on a diva (Marlene Dietrich at her juiciest) to clear her friend's name. We explore this underappreciated gem directed by Alfred Hitchcock with our special guest, Darragh O'Donoghue – an archivist at Tate and a contributing writer for "Cineaste".
Au sommaire de cette spéciale thriller et cinéma d'espionnage : -Deux série B signées Jess Franco et éditées par Artus Films : CHASSE À LA MAFIA et AGENT 077 OPÉRATION SEXY ;-Rencontre avec Emmanuel Le Gagne, auteur de DAMIANO DAMIANI UN CINÉASTE SE REBELLE, livre accompagnant un coffret Artus Films réunissant trois films de Damiano Damiani, à savoir, NOUS SOMMES TOUS EN LIBERTÉ PROVISOIRE, COMMENT TUER UN JUGE et GOODBYE & AMEN ;-Chronique de l'inclassable FATA MORGANA de Vicente Aranda, également disponible chez Artus Films ;-Évocation de deux œuvres rares parues chez Rimini Editions : UN AMÉRICAIN BIEN TRANQUILLE de Joseph L. Mankiewicz et L'ARME À L'ŒIL de Richard Marquand ;-Chronique de HARKA de Lotfy Nathan sorti chez Blaq Out ;-Retour sur 4 MOUCHES DE VELOURS GRIS de Dario Argento que Carlotta Films édite dans un superbe master 4K. Bonne écoute à toutes et tous !
Buscando América busca convertirse en una comunidad, un ecosistema creativo que permita la materialización y financiación de un film. ¿Cómo? ¿Por qué? ¿De que se trata todo esto? Nelson G. Navarrete, co director de BUSCANDO AMERICA, nos comparte detalles del Film y la increíble historia de como se esta construyendo BUSCANDO AMÉRICA.
MIKE DE LEON : MADE IN PHILIPPINESUne rétrospective (en salles et en Blu-ray) révèle la carrière de Mike De Leon, figure du cinéma philippin, jusque-là passée sous les radars français. À tort quand il apparaît aussi brillant manieur de genres que chroniqueur social. Attention, découverte majeure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Born in Portland, Oregon to Don and Wilda Plympton, he grew up in a large family of three girls and three boys. For the six children it was often far too wet to play outside. Plympton credits Oregon's rainy climate for nurturing his drawing skills and imagination. He also was a cub scout and played little league when the weather permitted. In 1964 he graduated from Oregon City High School where he participated in the art club. He went on to Portland State University, where he edited the yearbook and was a member of the film society, creating posters for them. It was here where he picked up his obsession for film – it was for this film society that he first attempted animation, making a yearbook promo that was accidentally shot upside-down, rendering it totally useless. To avoid the Vietnam War, Plympton served in the National Guard from 1967 to 1972. In 1968, he moved to New York City and began a year of study at the School of Visual Arts. Making the Big Apple his home, Plympton served 15 years as an illustrator and cartoonist. Between toting his portfolio and catching cheap matinees, he designed the magazines: Cineaste, Filmmakers Newsletter, and Film Society Review. His illustrations have graced the pages of The New York Times, Vogue, House Beautiful, The Village Voice, Screw, and Vanity Fair. His cartoons appeared in such magazines as Viva, Penthouse, Rolling Stone, National Lampoon, and Glamour. In 1975, in The Soho Weekly News, he began “Plympton,” a political cartoon strip. By 1981, it was syndicated in over twenty papers by Universal Press Syndicate. All his life, Bill Plympton has been fascinated by animation. When he was fourteen, he sent Disney some of his cartoons and offered up his services as animator. They wrote back and told him that while his drawings showed promise, he was too young. It wasn't until 1983 that he was approached to animate a film. The Android Sister Valeria Wasilewski asked Plympton to direct and animate a film she was producing of Jules Feiffer's song, “Boomtown.” Connie D'Antuono, another of the film's producers, “sort of held my hand through the whole process,” Plympton says. “It was a great way to learn to make a film.” Immediately following the completion of “Boomtown,” he began his own animated film, “Drawing Lesson # 2.” Production of the live action scenes was slow due to inclement weather, so Plympton decided to start on another film. For this one, he contacted Maureen McElheron, an old friend with whom he had performed in a Country Western Band (he played pedal steel guitar), and she agreed to score “Your Face.” Due to budgetary considerations, she also sang. Her voice, eerily decelerated to sound more masculine, combined with a fantastically contorting visage helped garner the film a 1988 Oscar nomination for best animated short. “Suddenly people began returning my phone calls,” remembers Plympton. He became very hot in the commercial business doing spots for such clients as Trivial Pursuit, Nutrasweet, Taco Bell, AT&T, Nike, Geico, United Airlines and Mercedes-Benz. His work also started appearing with more and more frequency on MTV and in the increasingly popular touring animation festivals. After a string of highly successful short films (“One of Those Days,” “How to Kiss,” “25 Ways to Quit Smoking,” and “Plymptoons”), he began thinking about making a feature film. His shorts were winning prizes like crazy and he wanted a new challenge – and, as he puts it, “I'd wanted to make a full-length movie ever since I was a kid.” What came to be called THE TUNE was financed entirely by the animator himself. Sections of the feature were released as short films to help generate funds for production. These include “The Wiseman” and “Push Comes to Shove,” the latter of which won the 1991 Prix du Jury at the Cannes Film Festival. With money from his short film prizes and commercial work, he was able to complete THE TUNE and realize a childhood dream. The completed TUNE also made the rounds of the film festivals, garnering the prestigious Houston WorldFest Gold Jury Special Award as well as a Spirit Award nomination for Best Film Score and was distributed nationally by October Films. After personally drawing and coloring 30,000 cels for THE TUNE, Plympton moved to live-action. J. LYLE, his first live-action feature, is a wacky, surreal comedy about a sleazy lawyer who meets a magical talking dog that changes his life. “Making THE TUNE, I had a lot of ideas I realized wouldn't work with animation, but would be lots of fun with real people! I took those ideas and made J. LYLE. Besides, my hand needed a rest after drawing THE TUNE.” After a successful festival circuit, J. LYLE was released in theaters around the country. Like THE TUNE, J. LYLE was financed entirely by the animator himself. Plympton's second live-action feature, GUNS ON THE CLACKAMAS, a behind-the-scenes look at an imaginary disastrous Western, was shot in Oregon and New York. Plympton says the idea came from the 1937 movie “Saratoga”, in which star Jean Harlow died during the filming and a stand-in was used to finish. “It was supposed to be a drama,” says Plympton, “but it ended up being funny. Every time Harlow was in a scene, a box or something blocked the view.” As with J. LYLE,GUNS ON THE CLACKAMAS got a limited theatrical release. In 1996, Bill Plympton followed “Mala Noche” writer Walt Curtis around his Portland hometown to record him reading his poetry. This outrageous performance film hit the festival circuit in 1997 to stunned audiences. It is entitled WALT CURTIS, PECKERNECK POET. In 1998, Bill returned to animation with I MARRIED A STRANGE PERSON. It's a heartwarming story of a newlywed couple on their wedding night. Grant, the husband, starts experiencing strange, supernatural powers and Kerry, his wife, can't cope. Whenever Grant thinks of something, it becomes reality, yet he doesn't know where these magical powers come from. Once again Bill Plympton single-handedly drew and financed an animated feature extravaganza – only this time for adults and the politically incorrect. It was released by Lions Gate Films to good box office numbers and still plays today on cable TV. Bill's next animated feature, MUTANT ALIENS, the story of a stranded astronaut returning to Earth after 20 years in space, was completed in January 2001 and premiered at the Sundance Film Festival. It won the Grand Prix in Annecy 2001 and was released in theatres in 2002. It has played all over the world to huge audiences. Bill's feature film, HAIR HIGH, is a gothic '50s high-school comedy about a love-triangle that goes terribly bad, with two young, murdered teens returning to their prom to get revenge. It stars the voice talents of Sarah Silverman, David & Keith Carradine, and Dermot Mulroney, and was co-produced by Martha Plimpton. Plympton charted new territory in animation, this time by broadcasting all of his drawing for the film live on the web at www.hairhigh.com. The film was completed in January 2004, released in over 50 cinemas around the country – and was released on DVD. Bill's short film GUARD DOG has been a hit at film festivals and it brought Bill his second Oscar nomination in January 2005. Two equally successful sequels soon followed, “Guide Dog” in 2006 and “Hot Dog” in 2008. Throughout his career, Bill has always made 2 to 3 short films a year that keep bringing in a solid income from sales around the world. His feature film, IDIOTS AND ANGELS, was completed in 2008 and after a successful run on the film festival circuit, was released in U.S. theaters in 2010. The film features the music of Tom Waits, Pink Martini, Nicole Renaud and Maureen McElheron, and no dialogue. It's a much more mysterious film than his previous ones, a dark comedy about a man's battle for his soul. “Because this film has no dialogue,” Plympton says, “I wanted music to play throughout – almost like a long opera – or an extended string of music videos. The look of the film is very Eastern European – something like what Jan Svankmayer might make, or David Lynch if he made animation – very dark and surreal.” Bill waited a little while before starting his next feature, and used the time to release several successful short films, such as THE COW WHO WANTED TO BE A HAMBURGER, SUMMER BUMMER andDRUNKER THAN A SKUNK. But eventually his plans returned to feature-length animation, and he started work on CHEATIN', the story of two lovers, Jake and Ella, who encounter jealousy and insecurity after their perfect courtship. Partially inspired by the works of James M. Cain, and partially inspired by a past relationship, CHEATIN' is a tale of exaggerated passion and star-crossed lovers, exploring the dual nature of how two people immensely attracted to each other can also want to kill each other at the same time. CHEATIN‘ may also be the first animated feature partially funded on Kickstarter, with loyal Plympton fans kicking in over $100,000 needed to finish it. Plympton's movies have won him such a loyal following that the cable channel Shorts HD bought the rights to his entire library and set up a Bill Plympton channel on iTunes, something he hopes will engage a whole new generation of fans. Bill is currently working on finishing HITLER'S FOLLY, a mock-umentary about Adolf Hitler's love of animation. He's directing and drawing another film called REVENGEANCE, written by animator Jim Lujan, which is also being partially funded through a Kickstarter campaign.
Brian Frye and I engage in academic navel gazing, discuss scholarly shit posting, and argue about the virtues of plagiarism. A fun time was had!My guest today is one of the most unusual and creative voices in the legal academy, Brian Frye, the Spears-Gilbert Professor of Law at the University of Kentucky. He teaches classes in civil procedure, intellectual property, copyright, and nonprofit organizations, as well as a seminar on law and popular culture. Today we're engaging in academic navel gazing and opining on plagiarism, law review publishing, and plagiarism.Brian is also a filmmaker. He produced the documentary Our Nixon (2013), which was broadcast by CNN and opened theatrically nationwide. His short films and videos have shown in the 2002 Whitney Biennial, the New York Film Festival, and the San Francisco International Film Festival, among other venues, and are in the permanent collection of the Whitney Museum of American Art. His critical writing on film and art has appeared in October, The New Republic, Film Comment, Cineaste, Senses of Cinema, and Incite! among other journals.Additionally, Professor Frye also produces a podcast that I highly recommend, Ipse Dixit https://shows.pippa.io/ipse-dixit
On this episode of Killer Bs we talk about Paul Bartel! An actor many listeners have been asking for. And to celebrate the occasion we are lucky enough to have Gary Kramer as a guest. Gary is a Philadelphia-based freelance writer and film critic. His reviews and interviews appear in Salon.com, Philadelphia Gay News, Gay City News, the San Francisco Bay Times, Cineaste, MovieJawn and other publications. We discuss Bartel films like EATING RAOUL, NOT FOR PUBLICATION, and GREMLINS 2.
Au sommaire de cette spéciale réalisateurs : -Retour sur des réalisateurs qui ont particulièrement marqué l'histoire du cinéma tout en étant relativement mésestimés, à l'exemple de Joseph Sargent (LES PIRATES DU METRO - Rimini Editions - & EN PLEIN CAUCHEMAR - Elephant Films), Jean-Pierre Mocky (SOLO & LE TEMOIN - ESC Editions), Don Bluth (ROCK-O-RICO - Rimini Editions), Peter Weir (LA DERNIERE VAGUE - ESC Editions) et Nicolas Roeg (WALKABOUT - Potemkine) ;-Rencontre avec Dominique Legrand auteur de NICOLAS ROEG UN CINEASTE-EXPERIMENTATEUR AU CŒUR DES ANNEES 70 (Éditions Complicités). Bonne écoute à toutes et tous !
Dans cet épisode, je reçois Anissa Bonnefont. Anissa est réalisatrice des merveilleux documentaires "Wonder Boy" paru en 2019 et "Nadia" en 2021 qui retracent les histoires puissantes d'Olivier Rousteing, Directeur Artistique de la maison Balmain et qui est né sous X et de Nadia Nadim, joueuse internationale de foot, danoise et d'origine afghane dont le père a été assassiné par les talibans. Abandonnée par son père biologique lorsqu'elle n'a que 3 ans, Anissa vit malgré tout une enfance pleine d'amour entourée de sa maman et de celui qui deviendra son papa comme elle l'appelle. Anissa nous livre le chemin d'acceptation qu'elle a suivi en grandissant pour s'approprier son histoire. Elle nous explique aussi comment la psychanalyse lui a donné de vraies clés pour mieux se connaître et se poser les bonnes questions. Dans cet épisode, nous retraçons les origines de la passion d'Anissa pour le cinéma, un univers qui la fait rêver depuis son plus jeune âge. Après avoir suivi son mari de l'époque à Los Angeles avec leurs deux enfants en bas âge, Anissa opère un virage à 180 degrés durant deux ans ou elle développe une boulangerie française. Quelques années plus tard, elle fait le choix de revenir en France et se sépare alors de son conjoint. C'est une rencontre, qui initiera un nouveau chapitre dans sa vie. Celle, improbable d'Olivier Rousteing, brillant Directeur Artistique de la maison Balmain, prodige de la mode à qui elle fait visiter alors sa maison. Touchée par l'histoire de cet homme qui à son âge et qui est né sous X et dont l'abandon fait écho à celui qu'elle a vécu, Anissa souhaite d'emblée raconter l'histoire d'Olivier. "Wonder Boy, Olivier Rousteing, né sous X", film documentaire fruit d'un travail de 2 ans sortira en 2019 et connaîtra un grand succès. Un véritable "game changer" dans sa carrière. S'en suivront le documentaire "Nadia" sur cette joueuse internationale de football danoise d'origine Afghane qui retourner sur les traces de ses origines. Avec sa caméra, Anissa brise les tabous. Son prochain film, dont le tournage vient de se terminer, aborde d'ailleurs le thème de la prostitution choisie en adaptant le roman d'Emma Becker "La maison" qui explore les sujets du désir de la femme et du choix. Avec Anissa, nous avons également parlé de la présence des femmes dans le cinéma alors qu'on ne compte qu'un quart de réalisatrices aujourd'hui. Bien sur nous terminons sur la représentation d'Anissa de l'ambition qu'elle perçoit bien comme une nécessite. Je ne vous en dit pas plus et vous laisse en compagnie de mon invitée, Anissa Bonnefont. Belle écoute !
Hitchcock, Godard & Kiarostami- three masters in one episode no 89 with the prominent Film Critic and Scholar Sir David Sterritt. Sir David Sterrit is a film critic, author, teacher and scholar. He is most notable for his work on Alfred Hitchcock and Jean-Luc Godard. He has also served two terms as chair of the New York Film Critics Circle . His writings on film and film culture have appeared in numerous publications, including The New York Times, Cahiers du cinéma, MovieMaker, The Huffington Post, Senses of Cinema, Cineaste, Film Comment, Film Quarterly, Beliefnet, CounterPunch, Journal of the American Psychoanalytical Association, Journal of American History, Journal of French and Francophone Philosophy, Sterritt has appeared on CBS Morning News, Nightline, Charlie Rose, Geraldo at Large, Catherine Crier Live, CNN Live Today. Find him on www.davidjsterritt.com. Pointers: 1) Hitchcockian- suspense, pure cinema, pure images. 2) Elements- virtual virtuosity, montage 3) Influence of Soviet cinema and german expressionism. 4) Language - Syntax. 5) Influenced French to Asian cinema- Wong Kar wai. 6) Vertigo 7) Godard n French new wave 8) Breathless- cult classic, gangster movie re innovated 9) Filmmakers vs his films 10) Kiarostami from an American perspective:) 11) Point of confluence- Hitch, Godard, Kiarotami 12) Film Festivals then and now 13) Film criticism - then, now... Email id: metaphysicallab@gmail.com/ You can follow us and leave us feedback on Facebook, Instagram, and Twitter @eplogmedia, For partnerships/queries send you can send us an email at bonjour@eplog.media Intro Music: "Hard Boiled" by Kevin MacLeod (https://incompetech.com) License: CC BY (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ Outro Music: Shades of Spring by Kevin MacLeod Link: https://incompetech.filmmusic.io/song/4342-shades-of-spring License: https://filmmusic.io/standard-license DISCLAIMER: The views expressed on all the shows produced and distributed by Ep.Log Media are personal to the host and the guest of the shows respectively and with no intention to harm the sentiments of any individual/organization. The user acknowledges and agrees that Ep.Log Media shall not in any manner whatsoever be responsible or liable for the content. The said content is not obscene or blasphemous or defamatory of any event and/or person deceased or alive or in contempt of court or breach of contract or breach of privilege, or in violation of any provisions of the statute, nor hurt the sentiments of any religious groups/ person/government/non-government authorities and/or breach or be against any declared public policy of any nation or state. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Léa Collober est photographe, naturaliste, vidéaste et cinéaste animalière. Sa chaîne Youtube: Enjoy Nature with me. Pour ce 3e épisode avec Léa, nous partons en Vendée, dans les vasières et les communaux, ces prairies inondées en hiver. Dans ce paradis des passionnés d’oiseaux, elle a filmé les limicoles, ces échassiers au long bec comme l’avocette, le gravelot, le vanneau, le courlis, le tournepierre, le bécasseau, le chevalier, les huitriers au bec rouge… Tous ces oiseaux, notamment les barges, s’activent sur l’estran, cet espace découvert par la marée, pour y trouver leur nourriture. Dans cet épisode, nous parlerons aussi d’un pélican blanc égaré, des guêpiers multicolores, du cincle plongeur, et des murmurations des oiseaux (phénomènes optiques sublimes de nuées d’oiseaux en mouvement).
Film critic A.S. Harmah joins Hind Mezaina for a conversation about his book The Earth Dies Streaming. A.S. Hamrah is a writer living in Brooklyn. He contributed a column on film to n+1 from 2008 to 2019, and his essays and reviews have appeared in Harper’s, Bookforum, Cineaste, and other publications. His first book, The Earth Dies Streaming: Film Writing, 2002–2018, was published by n+1 Books in 2018. Episode Notes: The first half of the discussion is about the state of film criticism, the current the debate about streaming, their impact on movie theatres, and film studios as hyper capitalist entities. From the 42nd minute onwards the discussion is focused on the book, including the following chapters and filmmakers: - Alien Land - The Grapes of Wrath - Jessica Biel's Hand - Chantal Akerman - Stanley Kubrick Other films/filmmakers/topics mentioned / discussed in this episode include: Outbreak, Contagion, Nomadland (Chloe Zhao), Hillbilly Elegy (Ron Howard), The Irishman (Martin Scorsese), Il Cinema Ritrovato and the roles of film festivals in general (especially during the pandemic), Links discussed in this episode: 2021 Will Launch the Platinum Age of Piracy www.wired.com/preview/story/5fd2…56e34070c4339bc27c Oedipal Multiplex https://www.thenationalnews.com/arts-culture/oedipal-multiplex-1.602016 Links related to the book: Book intro, Remember Me On This Computer nplusonemag.com/online-only/onlin…on-this-computer/ n+1 Bookstore shop.nplusonemag.com/products/the-e…-by-a-s-hamrah Where to find A S Hamrah: thebaffler.com/authors/a-s-hamrah twitter.com/hamrahrama www.instagram.com/hamrahrama
In this segment of Auteur cinema we are Joined by Jitesh of Cineaste-Being a Moviebuff page to Talk the Films and Film-making of Selvaraghavan sir. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/butterbiscuit/message
Velkommen til Filmfeber - podcasten som dekker alt av ulike sjangere og epoker i filmhistorien. I denne episoden går vi grundig til verks og pløyer gjennom horrorfilm fra 1920-tallet opp til vår tid. I panelet er som alltid Pål Gundersen, Tommy Larsson og Per-André Nielsen. Vil du sende inn spørsmål kan du enten gjøre det på instagram: Filmfeber eller mail: filmfeberpod@gmail.com. God lytting!
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST fait un détour par l’actualité des sorties en salles, pour parler de LUPIN III – THE FIRST, nouvelle adaptation du personnage créé par le regretté Monkey Punch, mais cette fois pour un dessin animé en images de synthèse. Autrefois connu chez nous sous le nom très français de EDGAR DE LA CAMBRIOLE, le personnage de Lupin III (car il s’agit du petit-fils d’Arsène Lupin) est une institution de la pop culture japonaise, qui aura déjà connu quelques adaptations au cinéma et à la télévision, dont le formidable LE CHÂTEAU DE CAGLIOSTRO, signé par Hayao Miyazaki en 1979. Que les choses soient dites, LUPIN III – THE FIRST n’est évidemment pas de ce niveau. Reste que le film de Takashi Yamazaki possède quelques qualités et plonge Lupin III et ses acolytes dans une nouvelle aventure qui le pousse à retrouver le carnet du Dr. Bresson, Continue Reading
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST se penche sur une autre suite controversée avec TERMINATOR 3 – LE SOULÈVEMENT DES MACHINES. Une suite méritante certes, mais qui a cependant le gros défaut de ne pas être pensée, écrite et réalisée par James Cameron ! Se désintéressant totalement de la franchise TERMINATOR après l’énorme succès mondial de TITANIC, James Cameron pousse Arnold Schwarzenegger à reprendre son rôle dans une autre suite, à condition qu’il exige un gigantesque cachet auprès de la production. C’est ainsi que les producteurs Andy Vajna et Mario Kassar lui signent un chèque monumental de 30 millions de dollars pour reprendre le rôle du T-800 (ou T-850 ici) dans TERMINATOR 3 – LE SOULÈVEMENT DES MACHINES en 2003. Jonathan Mostow remplace James Cameron derrière la caméra, et le film démarre quelques années après les événements de TERMINATOR 2 – LE JUGEMENT DERNIER. Alors que la fin du monde a Continue Reading
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST reste en France et plus particulièrement à Lyon, dans lequel se déroule l’intrigue de PAROLE DE FLIC, polar déviant et souvent dévié puisqu’il est produit et interprété par le seul, l’unique Alain Delon, alors au fait de sa mégalomanie ! C’est vrai : en épluchant la programmation de STEROIDS – LE PODCAST, on s’est rendu compte qu’on n’avait encore jamais chroniqué un film d’Alain Delon, soit la deuxième plus grosse « french action star » des années 80 juste derrière notre Bébel national. Du coup, on s’est dit qu’on allait remédier à cela séance tenante en abordant l’une des plus belles sorties de route de Delon : PAROLE DE FLIC, polar burné certes mais aussi « ego trip » souvent déconcertant car hanté par la peur panique de sa star de ne plus être à la page. Tourné en 1985 par un José Pinheiro qui s’imposera en deux films (celui-ci et Continue Reading
Actualité oblige, CAPTURE MAG – LE PODCAST profite de la ressortie en fanfare du chef d’œuvre AKIRA pour consacrer son 29ème épisode au réalisateur Katsuhiro Ôtomo, l’autre représentant du cinéma d’animation japonais à l’international avec Hayao Miyazaki ! Né en 1954 à Miyagi au Japon, Katsuhiro Ôtomo se distingue d’abord comme mangaka. Outre DÔMU (sorti chez nous sous le titre RÊVES D’ENFANTS), c’est à travers ce médium qu’il donne naissance au manga AKIRA en 1982, dans les pages de Young Magazine. Avant de le transposer sur grand écran en 1988, Ôtomo fait ses armes en tant que concepteur graphique sur des longs-métrages de Rintaro et réalise quelques courts segments que l’on retrouve dans les superbes anthologies ROBOT CARNIVAL ou encore MANIE-MANIE et plus tard dans MEMORIES et SHORT PEACE. Entre AKIRA – qui révolutionne le cinéma d’animation japonais la même année que MON VOISIN TOTORO – et STEAMBOY, Katsuhiro Ôtomo passe à Continue Reading
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST s’attaque à un gros morceau du cinéma d’action avec 58 MINUTES POUR VIVRE, alias DIE HARD 2 – DIE HARDER, soit rien de moins que la suite de DIE HARD, que l’on connaît chez nous sous le titre PIÈGE DE CRISTAL ! Vous suivez ? Le succès inattendu de PIÈGE DE CRISTAL permet à la 20th Century Fox de lancer très rapidement le développement d’une suite toujours produite par Joel Silver, mais cette fois réalisée par Renny Harlin. La tour Nakatomi est remplacée par un gigantesque aéroport pris en otage par des terroristes qui empêchent aux avions en transit d’atterrir, afin d’obtenir gain de cause et faire libérer un dictateur sud-américain, sur le point d’être extradé aux États-Unis. Présent au mauvais endroit au mauvais moment, John McClane – toujours interprété par Bruce Willis – est le seul à pouvoir les empêcher, et il faut Continue Reading
Fini les aller-retours temporels tortueux ! Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST aborde un film bien plus linéaire que TENET, puisqu’il s’agit du sympathique RONIN, un film d’action à l’ancienne porté par un casting quatre étoiles ! Même s’il date de 1998, RONIN ressemble à s’y méprendre aux films policiers des années 70, et ce n’est pas évidemment pas un hasard puisqu’on retrouve John Frankenheimer derrière la caméra, à qui l’on doit notamment la suite de FRENCH CONNECTION. Dans cette intrigue relativement balisée, le spectateur va suivre une bande de mercenaires qui se déplacent dans toute la France pour récupérer une mallette avec un contenu mystérieux. Course-poursuite à contre-sens sur le périphérique parisien, échanges de coups de feu nourris dans les ruelles de Nice, rendez-vous pétaradant dans les monuments de Arles, RONIN exploite le potentiel des décors français comme aucun autre film du terroir ne l’a jamais vraiment fait, fort d’un budget Continue Reading
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST amorce un retour au cinéma pour parler de TENET, le film événement de Christopher Nolan en salles depuis le 26 août dernier. Vous n’avez pas compris grand-chose à ce thriller d’espionnage teinté de paradoxe temporel ? Ça tombe bien, nous non plus ! Même s’il convient de signaler que TENET porte en lui les enjeux d’une industrie toute entière en cette période de crise sanitaire mondiale, il faut préciser qu’on ne peut pas vraiment juger une œuvre sur ces attentes démesurées, mais plutôt sur ses qualités intrinsèques. De toute évidence, TENET en a quelques-unes, mais il n’est pas incohérent de parler de « film de la rupture » pour Christopher Nolan, tant celui-ci décide de se radicaliser dans la façon dont il manipule son public. Sans forcément parler d’œuvre marginale, il semble évident que la volonté de brouiller les pistes est au cœur de la problématique de TENET Continue Reading
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST vous emmène sur les traces d’un film de détective privé quelque peu oublié : HUIT MILLIONS DE FAÇONS DE MOURIR. Alors certes, ce film très représentatif de l’époque qui l’a vu naître –le milieu des années 80 – n’est pas ce qu’on peut appeler une réussite mais il n’en reste pas moins intéressant à analyser pour ceux qui s’intéressent à cette période du cinéma américain et aux gens qui l’ont façonnée. Tiré d’un roman du grand Lawrence Block, et plus précisément d’une enquête de ce magnifique loser de Matt Scudder, HUIT MILLIONS DE FAÇONS DE MOURIR a la particularité d’aligner à son générique une série de noms qui auraient dû en faire un événement : Hal Ashby (figure atypique du Nouvel Hollywood et réalisateur de HAROLD ET MAUDE, SHAMPOO, RETOUR ou encore BIENVENUE MISTER CHANCE) à la réalisation, Oliver Stone puis Robert Towne au scénario, Jeff Continue Reading
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST fait un petit détour vers le film d’aventure moderne, aux accents de nanar à gros budget ! Difficile de catégoriser CONGO autrement, même si le réalisateur Frank Marshall tente de marcher sur les traces de JURASSIC PARK en adaptant un autre roman de Michael Crichton. Écrit à la fin des années 70, le roman CONGO va attendre une bonne quinzaine d’années avant d’être adapté au cinéma, et de fort belle manière par le producteur Frank Marshall, qui s’est improvisé réalisateur depuis quelques années avec ARACHNOPHOBIE et LES SURVIVANTS. Rendant hommage aux sérials et aux romans d’aventure « pulp » des années 40 et 50, cette adaptation tente néanmoins d’injecter un semblant de modernité à l’aventure pour satisfaire le public des années 90, et ce malgré sa fidélité au matériau d’origine. C’est dans ce paradoxe que réside le sel de CONGO, super nanar friqué mais très attachant – Continue Reading
Pour son 28ème épisode, CAPTURE MAG – LE PODCAST se penche sur la carrière de Christopher Nolan. De FOLLOWING à DUNKERQUE en passant par la trilogie THE DARK KNIGHT et consorts, nous passons en revue ces différentes oeuvres qui ont marqué l’histoire du cinéma de ces vingt dernières années. Si l’on s’en tient spécifiquement à l’actualité cinématographique, un seul cinéaste cristallise les attentes des cinéphiles en cette période de crise sanitaire. Il s’agit bien évidemment de Christopher Nolan, qui s’apprête à lâcher son TENET dans les salles du monde entier à partir de la fin du mois d’août, du moins celles qui le permettent. À l’heure de l’enregistrement, nous n’avions pas encore vu le film, mais cela ne nous empêche pas de nous pencher sur la carrière du réalisateur de MEMENTO, INCEPTION et bien évidemment la trilogie THE DARK KNIGHT. En 3h40 montre en main, Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis et Continue Reading
Chose promise, chose due ! Pour se faire pardonner de notre précédent épisode à la fois léger et primesautier sur LUCY, STEROIDS – LE PODCAST se penche cette semaine sur une « Stallonade » comme on dit dans le milieu, mais attention, une bonne « Stallonade » puisque nous allons vous parler de l’excellent HAUTE SÉCURITÉ de John Flynn. Tourné et distribué en 1989, HAUTE SÉCURITÉ débarque juste après RAMBO III dans la carrière de Sylvester Stallone. Le public lassé par la Rambo-Mania redécouvre un Sly à visage humain, loin de ses pérégrinations meurtrières aux quatre coins du globe. L’étalon italien y interprète Frank Leone, un homme modeste – mécanicien de son état, qui termine une peine de prison dans un établissement à la sécurité minimum. Transféré de force dans la pire turne des États-Unis, il est violemment malmené par le terrifiant Drumgoole (excellent Donald Sutherland), le directeur de l’établissement qui a un compte Continue Reading
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST amorce un retour en France, ou presque, pour parler de LUCY de Luc Besson. Hein ? Quoi ? Comment ? Vous pensez que c’est une plaisanterie ? Et bien jamais, sachez que chez Capture Mag, on ne plaisante jamais, et surtout pas quand il s’agit de parler du LUCY de Luc Besson ! Bon d’accord, c’est avec une certaine jubilation, il faut le reconnaître, que Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis s’emparent du micro pour parler de cet OVNI du cinéma d’action (et de science-fiction). Et si vous pensez que le terme « ovni » est un euphémisme pour ne pas utiliser le terme « navet », vous vous méprenez totalement. Ce n’est pas notre genre, enfin ! D’ailleurs, quand on parle de LUCY, on ne parle pas de navet, mais bel et bien de nanar absolument réjouissant qui n’hésite pas de faire montre de sa propre bêtise, ce qui est encore plus réjouissant dans Continue Reading
Et un nouveau format de podcast, un ! Au lancement de notre TIPEEE, nous vous avons fait part de nos envies de développer un peu plus les différentes possibilités du format podcast, et grâce à votre intérêt, nous avons décidés de lancer LE COM’ dont le concept est finalement assez simple : il s’agit de proposer un podcast en forme de commentaires audio pour les films qui n’en ont pas… et qui le méritent ! Pour lancer ce tout premier numéro, nous nous sommes tournés vers le cinéma fantastique français tout à fait récent, et notamment LA DERNIÈRE VIE DE SIMON, superbe conte pour enfants à la tonalité tour à tour poétique et adulte. Le film raconte l’histoire de Simon, un jeune orphelin doué d’un pouvoir très particulier : celui de pouvoir prendre la forme de n’importe quelle personne avec laquelle il rentre en contact. Un jour, il va se lier d’amitié avec Continue Reading
Ken and I jump right into an extended version of Quiz Cart, only to be followed by his "Whose Line Is It Anyway" type impersonation challenge of Marlon Brando and Al Pacino. Instagram:https://instagram.com/fruit_cart_flicksFacebook Page:https://www.facebook.com/Fruit-Cart-Flicks-108335794289597/Facebook Group Member Page:https://www.facebook.com/groups/1186796548333085/membersApple podcast link:Feeling warm and gooey inside after listening to an episode or two? Please share the love and leave us a review here: ⬇️https://podcasts.apple.com/us/podcast/fruit-cart-flicks/id1522007639Follow Mike’s
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST change un peu de registre et se penche sur le néo-film noir avec RED ROCK WEST, second long-métrage du réalisateur John Dahl, avec Nicolas Cage, Lara Flynn Boyle et Dennis Hopper au casting, excusez du peu ! Arnaud Bordas et Stéphane Moïssakis se retrouvent en duplex de Nice – comme on dit dans le jargon – et cette fois, c’est pour évoquer RED ROCK WEST, étonnant petit film un peu oublié aujourd’hui. Et c’est bien dommage, car pour son second film, John Dahl renoue avec son amour du film noir, auquel il offre une petite patine de polar rural à l’imagerie « westernienne » en diable. Il serait vraiment criminel de spoiler le film pour ceux qui ne l’ont pas vu, notamment parce qu’il s’amuse précisément à retourner les attentes du spectateur, et même si nos deux podcasteurs tentent vraiment d’éviter d’en dévoiler trop, on vous encourage Continue Reading
More deep-diving with Ken into "Apocalypse Now: Final Cut". Mike plays "What Kind of Guy Are You?" for a look at movies with similar themes that Ken leans toward. Instagram:https://instagram.com/fruit_cart_flicksFacebook Page:https://www.facebook.com/Fruit-Cart-Flicks-108335794289597/Facebook Group Member Page:https://www.facebook.com/groups/1186796548333085/membersApple podcast link:Feeling warm and gooey inside after listening to an episode or two? Please share the love and leave us a review here: ⬇️https://podcasts.apple.com/us/podcast/fruit-cart-flicks/id1522007639Follow Mike’s
Ken and I are pleased to launch a bonus series, Micro Cart! Get ready for some short bursts of listening enjoyment that will be big on movies (streaming and theatrical), micro-movie reviews, Old Hollywood, trivia, on-the-spot impersonations, and much more!Ken and I talk about shooting love scenes during the pandemic and how the idea of revisiting old Hollywood sounds promising. We also give quick feedback on the last three movies we have seen.Facebook ⬇️https://www.facebook.com/Fruit-Cart-Flicks-108335794289597/Facebook Group Member Page ⬇️https://www.facebook.com/groups/1186796548333085/membersInstagram ⬇️https://instagram.com/fruit_cart_flicksPodcast Directories ⬇️https://fruitcartflicks.buzzsprout.com/Follow Michael’s
Les années 80, ce n’est pas forcément que des films de Van Damme, Chuck Norris et Sylvester Stallone. C’est aussi des films d’action avec des gros hélicoptères qui cassent tout, et ça tombe bien, c’est précisément le sujet de TONNERRE DE FEU de John Badham – qui est également le sujet de notre épisode de STEROIDS – LE PODCAST de la semaine ! Rafik Djoumi et Stéphane Moïssakis se partagent le micro de STEROIDS – LE PODCAST pour débattre de la qualité toute relative du travail de John « Badaboum » Badham, notamment sur ce TONNERRE DE FEU qui sera un succès au début des années 80. C’est par ailleurs le bon moyen de revenir sur la mise en place du projet, et la volonté du scénariste Dan O’Bannon (connu pour ALIEN – LE 8ÈME PASSAGER et TOTAL RECALL) de proposer un récit teinté de mythologie nordique, notamment pour évoquer le danger de Continue Reading
Ken and I delve into "Apocalypse Now: Final Cut" with a close look at its source material, “Heart of Darkness”. Ken takes a stab at three actor impersonations from Mike. Facebook ⬇️https://www.facebook.com/Fruit-Cart-Flicks-108335794289597/Facebook Group Member Page ⬇️https://www.facebook.com/groups/1186796548333085/membersInstagram ⬇️https://instagram.com/fruit_cart_flicksPodcast Directories ⬇️https://fruitcartflicks.buzzsprout.com/Follow Michael’s
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST revient au début des années 2000, à l’époque où Wesley Snipes était une véritable vedette du cinéma d’action dont les films sortaient en salles. Mais si on revient aujourd’hui sur L’ART DE LA GUERRE, c’est surtout pour mettre en lumière son réalisateur, le québécois Christian Duguay. Dans L’ART DE LA GUERRE, Wesley Snipes interprète un agent secret plongé au centre d’une conspiration et qui doit alors prouver son innocence lorsqu’il est accusé du meurtre d’un dirigeant chinois. Au-delà des circonvolutions d’un scénario un peu cousu de fil blanc, Wesley Snipes sait mettre en valeur son personnage, proposant un véritable best-of de ce qu’il est capable de faire en matière de prouesses physiques. Mais si L’ART DE LA GUERRE reste une série B vraiment intéressante, c’est grâce au travail de Christian Duguay. Réalisateur des excellents PLANÈTE HURLANTE et CONTRAT SUR UN TERRORISTE, véritable expert du Continue Reading
Please join us for a podcast special on the life and work of the maestro, Ennio Morricone.
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST se penche sur un autre film de Walter Hill, à savoir SANS RETOUR avec Powers Boothe, Fred Ward et Keith Carradine. Un survival âpre et violent, qui cache une étonnante étude de caractères. Moins connu que LES GUERRIERS DE LA NUIT mais plus apprécié que LES PILLEURS (pour citer un film que nous avons déjà chroniqué dans ce podcast), SANS RETOUR raconte comment un simple exercice militaire dans les bayous marécageux de la Louisiane tourne au carnage, suite à une blague de mauvais goût. Au moment de sa sortie en 1981, les critiques de cinéma y verront une allégorie sur la guerre du Vietnam. Walter Hill réfute cet argumentaire, même s’il reconnaît au moment du tournage que cette vision du projet fait sens. S’inscrivant dans le genre du survival, très représenté à la fin des années 70, SANS RETOUR distille une véritable finesse d’écriture Continue Reading
27ème épisode de CAPTURE MAG – LE PODCAST, et premier podcast « déconfiné » en équipe. Du coup, on approche les 3h40 de contenu, et on se lance dans un sujet plutôt inédit en rapport à nos habitudes mais qui nous tient néanmoins à cœur : à savoir le cinéma du trio David Zucker / Jim Abrahams / Jerry Zucker, aussi connus sous le sobriquet de « ZAZ » ! En partant de leurs débuts dans la « stand-up comedy » avec le Kentucky Fried Theater pour arriver à une fin de carrière en dents de scie (pour rester poli), Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis reviennent sur les films les plus importants de ce trio de petits génies de la comédie américaine. Il y a bien évidemment Y’A-T-IL UN PILOTE DANS L’AVION ? et HOT SHOTS, la série des Y’A-T-IL UN FLIC… ? mais aussi quelques autres titres plus obscurs comme TOP SECRET et BASEKETBALL, et enfin ceux Continue Reading
Perdu dans les limbes du confinement, la version intégrale de l’épisode 26 de CAPTURE MAG – LE PODCAST consacré au cinéaste Michael Mann est enfin disponible pour le plaisir auditif de… nos auditeurs ! Cette version intégrale n’est ni plus ni moins que l’enregistrement initial de notre épisode, qui s’est déroulé le 13 mars dernier, soit tout juste quelques jours avant le confinement. Pour ceux qui n’ont pas écouté la version en trois parties, nous revenons sur la carrière de Michael Mann dans un épisode de 3h30, en partant de ses débuts à la télévision jusqu’à son dernier film en date, le très décrié HACKER (BLACKHAT en VO), qui date de 2015. Aux micros de cet épisode : Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis à la présentation. Les trois loustics reviennent bien évidemment sur toute la carrière du réalisateur de MANHUNTER et HEAT, en insistant également sur les films Continue Reading