Le podcast de l'exit en musique.Vendre son entreprise, beaucoup y pensent, peu y sont réellement préparés.Pour des raisons autant professionnelles que personnelles, certains fondateurs décident à un moment de céder leurs entreprises, pas tous pour les mêmes raisons, ni dans les mêmes conditions.En se livrant sur les étapes clés de la cession de leurs entreprises, des premières négociations au jour où ils ne seront plus chez eux dans l’entreprise qu’ils ont créée, nos invités vous ouvrent les portes de cette étape cruciale et souvent taboue de la cession d’entreprise.Entre excitation et peur, clauses spécifiques, enjeux humains et financiers, plongez dans les coulisses de ces moments clés pour tout entrepreneur.Dans un échange rythmé par deux entrepreneurs qui côtoient depuis plus de quinze ans l’écosystème startups et M&A, les entrepreneurs révèleront leur vision, leur ressenti et leur point de vue et se livreront sur leur vie d’après. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Une cession est choc violent dans ta vie”. Voilà ce que conclut Quentin Guilluy au moment de raconter sa cession d'Andjaro à Silae.Il faut dire qu'il a vécu des moments très forts.Déjà parce que l'aventure Andjaro démarre alors que Quentin n'a que 24 ans. Après un pivot rapide, lui et ses 3 associés lancent une plateforme de gestion pour le remplacement de personnel en urgence. Un positionnement qui attire de grands comptes comme Elior ou Sodexo.Puis arrive un moment charnière : Andjaro dépasse les 5M d'ARR, une bascule selon Quentin. De nouvelles opportunités s'ouvrent à eux, et se posent alors la question : lever ou vendre ?Rapidement, ils rencontrent plusieurs acteurs, et Silae se positionne très vite. Vont suivre alors plusieurs mois de négos, marqués par ce que Quentin qualifie comme l'un des pires jours de sa vie : la faillite de la Silicon Valley Bank qui menace de faire capoter le deal à quelques semaines de la signature.Une signature qui mettra d'ailleurs plusieurs jours à arriver, et que Quentin fêtera seul, chez lui, avec une bière commandée et livrée à domicile..Dans cet épisode, Quentin revient sur tout ce qu'il a traversé, une aventure qu'il qualifie comme un “enchainement de sprints” et qui auront fini par l'user. Il raconte notamment :sa déprime post-cession : un moment où il se sentait très seul et comment il l'a surmonté notamment grâce à Rachel Delacourla naissance de son fils peu après la cession qui lui fait prendre conscience qu'il fallait faire pausesa nouvelle vie en tant que CEO de TeamstarterUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
“Mieux vaut un que deux tu l'auras” : voilà la grande leçon de la cession de Maxime Barbier et MinuteBuzz à TF1.Fondateur de MinuteBuzz, l'un des premiers médias viraux en France, Maxime Barbier fait un choix radical : abandonner les millions de visiteurs mensuels de son site pour devenir 100 % réseau social.Un pari fou ? Plutôt visionnaire. Très vite, MinuteBuzz explose : 18 millions d'abonnés et des centaines de millions de vues chaque mois. C'est ce virage osé qui attire l'attention de TF1.Le premier contact est une mission d'audit obtenue grâce au culot de son associée. Puis les négociations démarrent, durent quelques mois, et se finissent dans un cabinet d'avocat à 3h du matin.Jusque là tout va bien.Mais Maxime l'assume : le melon est vite arrivé ensuite. Des nouveaux locaux, des studios tout neufs, quelques millions d'euros et une série de vidéo sur sa vie l'ont peut-être empêché de d'anticiper ce qui allait arriver.À 3 mois de la fin de son earn-out, il se fait virer. Un départ en 4 jours, et une aventure qui s'arrête brusquement.Dans cet épisode, Maxime Barbier évoque sans filtre :Les débuts de MinuteBuzz et le pivot décisif qui lui a évité de planterle vide après TF1 et sa quête de senssa nouvelle vie avec Timeleft, la plateforme qui fait se rencontrer des milliers d'inconnus à travers le mondeUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Michael Copsidas l'un des pionniers du web français, il a longtemps réussi à concurrencer Google avec LeGuide.com, et il est le premier de nos invités à être entré en bourse. Cela donne le ton pour ce nouvel épisode exceptionnel et cette cession pas comme les autres.Michael est un visionnaire. Il lance sa première entreprise au temps du Minitel. À l'époque, l'idée était simple : aider les consommateurs à s'y retrouver dans la jungle des services. Mais quelques années plus tard, il est l'un des premiers à basculer sur Internet, fusionne avec une startup technique, et crée l'un des premiers comparateurs de prix européens avec LeGuide.com.L'entreprise devient un acteur majeur du e-commerce. Levées de fonds, acquisitions, croissance… puis l'entrée en bourse en 2006. Une forme de consécration.Quelques années plus tard, LeGuide a toujours le vent en poupe. Ils arrivent même à passé n°1 de l'e-commerce devant Google pendant un petit temps, de quoi attirer Lagardère Active qui leur propose une OPA. Michael refuse dans un premier temps.Mais ils reviennent, et la deuxième proposition est impossible à refuser. L'OPA est signée en 2012.Dans cet épisode, Michael Copsidas évoque sans filtre :la notion de “Google Dance” et comment le géant américain a fini par tuer LeGuide.comEcogeste, le guide des bons gestes de l'économie circulaire, qu'il a lancé après LeGuide.com, un peu comme une rédemptionla première proposition d'OPA en 2009 qui ne s'est pas passée comme prévuUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
À 29 ans, Grégory Amar prend un risque que peu oseraient. Il s'endette pour racheter une entreprise, avec une idée fixe : la développer et la revendre.Et alors que tout le monde le pensait fou, Grégory réussit son pari. Après une première année à rembourser sa dette et une deuxième de forte croissance, la suite logique pour changer d'échelle est une cession.Il rencontre alors les dirigeants de Line Up 7 aux BigBoss, qui organisent des événements B2B réunissant les grands décideurs français. Ils ne tournent pas autour du pot, testent leurs synergies pendant quelques mois, et la cession vient comme une évidence.Trois ans après avoir repris la boite, Gregory cède Eddo pour 4 millions d'euros à Line Up 7.Un deal bien négocié, une signature euphorique, un chèque en main… puis une claque.Dès les premières minutes post-signing, le ton change. Alors que Grégory et son associé, encore portés par l'adrénaline de la vente, immortalisent le moment par un selfie avec leur chèque, le repreneur les fixe, stupéfait : « Vous êtes sérieux ? » L'ambiance devient glaciale.Ce qui devait être une transition fluide se transforme en deux salles, deux ambiances.Pourquoi un tel décalage entre l'enthousiasme des vendeurs et la rigidité du repreneur ? Comment une simple différence de posture peut-elle impacter l'intégration après la cession ?Les mois d'earn-out qui suivront seront tendus : entre désalignement stratégiques et changement de modèle, l'entente n'est plus aussi cordiale.2020, le covid finit de convaincre Grégory à quitter l'aventure plus tôt que prévu. Il peut enfin réaliser son rêve : partir 2 ans en tour du monde.. Un tour du monde qui se limitera à 4 mois sur des îles aux Antilles, puis un retour en France où il profitera de sa nouvelle vie de jeune papa.Aujourd'hui, Grégory a même complètement bouclé la boucle puisqu'il est devenu le nouveau DG des BigBoss.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Entrepreneur un jour, entrepreneur toujours. Voilà comment résumer l'aventure de Guillaume de Kergariou avec Needhelp.Après une brève expérience en M&A, Guillaume voit qu'il n'est pas à sa place. Il a surtout une idée qui pourrait bouleverser le “future of work”. Il pitch l'idée à ses amis d'enfance dans un kibboutz en Israël, et de là naît Needhelp, une marketplace pour déléguer les petits travaux manuels.Très vite, le modèle bascule du BtoC au BtoBtoC. La traction est forte, la croissance importante, Guillaume mène une première levée de fonds en 2017, et au moment d'entamer sa série B en 2020, un rendez-vous avec Kingfisher, l'un de ses clients à l'époque, change la donne.Le groupe anglais propose de rentrer au capital ; Guillaume leur fait comprendre qu'il n'acceptera que s'il s'agit d'un rachat. Après plusieurs mois de négociations, la cession est signée en novembre 2020 : Kingfisher rachète Needhelp.Mais l'aventure ne s'arrête pas là.Locké 5 ans, Guillaume s'investit à fond pour intégrer au mieux Needhelp, et malgré quelques petites divergences, l'intégration se passe bien. Mais en 2024, Guillaume a une nouvelle idée : créer Octorenov, une société sœur de Needhelp qui permettrait aux retailers de digitaliser leur service d'installation. D'entrepreneur, il devient intrapreneur.Mais l'envie de liberté est toujours là, et la sensation que ce nouveau projet peut exploser s'il est mené rapidement le pousse à prendre une décision : racheter Octorenov à Kingfisher.Les négociations s'inversent, Guillaume se retrouve dans la peau de l'acquéreur, et finit par acheter Octorenov à Kingfisher. Un deal final dans lequel il signera également le rachat de Needhelp !Dans cet épisode, vous allez découvrir comment Guillaume de Kergariou, toujours animé par une vraie volonté de disrupter le “future of work”, a fini par racheter son entreprise à son acquéreur.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
En 3 mois, Benoit Praly, co-fondateur de Domoscio, aura cédé 2 boites : la sienne et celle qui l'a racheté.Benoit Praly a vécu une aventure entrepreneuriale hors norme avec Domoscio, sa startup spécialisée dans la formation augmentée par l'IA.
Vous le connaissez juré dans Qui veut être mon associé, mais connaissez-vous l'histoire de Jean-Pierre Nadir et de sa cession d'easyVoyage à Webedia ?En 2000, il a une ambition : transformer l'univers du voyage grâce à Internet.À l'époque, peu croyaient en la révolution numérique, et encore moins dans un comparateur de prix pour un secteur aussi traditionnel que le voyage.Les premières années sont donc difficiles : il faut convaincre des investisseurs sceptiques, lancer un modèle trop en avance sur son temps, et gérer le stress de la survie.Après 2 premières années sans CA, vient le déclic. L'essor de la billetterie en ligne, notamment avec la SNCF, change la donne. Easyvoyage devient petit à petit une référence et leader sur son secteur.Mais en 2015, la concurrence est féroce, Easyvoyage doit se battre face à des ogres aux moyens colossaux. Et après avoir refusé plusieurs fois de céder, Jean-Pierre Nadir doit se rendre à l'évidence : pour continuer à exister, la seule solution est de vendre.Vont alors suivre des négociations plus que tendues avec ses actionnaires, quand celles avec le repreneur, Webedia, vont se dérouler sans encombre.Dans cet épisode, Jean-Pierre se livre sans filtre sur toutes cette aventure. Il raconte notamment :le jour du closing où il a fallu négocier jusqu'au dernier moment avec un actionnaire réticentun problème juridique qui aurait pu faire annuler la cession la veille du dealsa plus grande réussite dans “Qui veut être mon Associé ?“ avec l'aventure exceptionnelle de PalomanoUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
“Ma vie professionnelle est une prise de risque progressive”Alors qu'il avait déjà quitté JP Morgan pour un contrat précaire dans une banque d'affaire américaine quelques années auparavant, Sébastien de Lafond bascule dans l'entrepreneuriat en 2008.Frustré par l'opacité du marché immobilier, Sébastien décide de lancer Meilleurs Agents : une entreprise qui rendrait les prix de l'immobilier accessibles à tous. Aidé par un mathématicien de renom et une équipe passionnée, il met au point une carte des prix révolutionnaire.Mais la route est loin d'être simple. Les notaires hésitent à partager leurs données. Les agents immobiliers, eux, se montrent hostiles, lui lançant même : "On voit bien que vous n'y connaissez rien !".Malgré tout, Sébastien persévère. En quelques années, Meilleurs Agents devient incontournable, au point d'attirer le groupe allemand Axel Springer. Une longue danse commence. Les négociations sont tendues au début, voir rompu après une première offre à la limite du manque de respect selon Sébastien.L'un des dirigeants allemands l'appelle quelques jours plus tard, présente ses excuses, et finit par lui faire une offre à 200M que Sébastien accepte.Dans cet épisode, Sébastien raconte :les débuts compliqués de Meilleurs Agents, avec notamment une première association rapidement avortée qui le plongera en plein doutela culture d'entreprise forte qu'il a réussi à instaurer, et pourquoi c'est ce qu'il l'a aussi convaincu de vendrele fait que ce plan de cession était discuté chaque année depuis les débuts de Meilleurs Agents pour être préparé au mieux et aligné entre associéUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Tout commence par un doudou perdu, une urgence absolue pour le papa qu'est Jérémie.Une étincelle banale mais transformatrice. De cette anecdote parentale, Jérémie a conçu l'idée d'une marketplace innovante pour une nouvelle version d'e-commerce qui permettait de faire du préreperage pour préparer sa visite en magasin. Mais les premières années s'avèrent ardues : le modèle initial ne tient pas la route, forçant un pivot courageux vers le B2B. La vision d'équiper les enseignes avec des solutions omnicanal bouleverse alors le retail français.Après une décennie de persévérance, d'évangélisation et de croissance, SoCloz attire l'attention de Noblelift, un acteur chinois. Mais la route vers la cession est semée d'embûches : un actionnaire minoritaire menace de tout faire capoter le jour même du closing. Jérémie raconte avec détail cet appel matinal à 8h, qui a failli tout faire dérailler, et les stratégies qu'il a dû mobiliser pour calmer le jeu. Il revient également sur l'impact du Covid, qui frappe juste après la signature, plongeant le secteur du retail dans l'incertitude.Entre humour et émotions brutes, cet épisode offre une véritable masterclass sur l'entrepreneuriat, les négociations complexes et l'art de transformer les obstacles en opportunités. Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
“Jamais deux sans trois” : l'adage n'aura jamais sonné aussi juste que pour l'histoire de Sébastien Bequart et sa cession de Gymlib.Après des études en école de commerce, Sébastien Bequart démarre sa carrière dans l'audit financier chez Deloitte. Mais quand son futur associé Mohamed Tazi lui pitch l'idée de Gymlib en 2013, il n'hésite pas longtemps avant de se lancer dans l'entrepreneuriat.Ils fondent alors Gymlib avec un positionnement B2C. Après des débuts marqués par une forte croissance mais aussi de grosses difficultés à gérer leur marge, ils décident de basculer en B2B et proposent aux collaborateurs d'accéder à plusieurs infrastructures sportives, le tout sous un seul et même abonnement, sans engagement, en double financement entre le salarié et l'entreprise.Le marché est porteur, la valorisation de Gymlib augmente, et Sébastien Bequart décide de s'ouvrir à un rachat. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Une première opportunité de cession est avortée à 2 jours de la signature par le potentiel repreneur, faute d'argent. Puis une deuxième opportunité tombe également à l'eau quelques mois plus tard, cette fois-ci à cause du Covid.Donc quand en 2022, la guerre en Ukraine éclate alors que Sébastien Bequart est en passe de conclure avec les allemands d'eGym, le stress monte. Mais cette fois-ci, les repreneurs sont bien décidés à conclure cette cession et le deal sera signé en mai 2022.Tout au long de cette épisode, Sébastien Bequart revient avec beaucoup de sincérité et de transparence sur toutes les montagnes russes qu'il a rencontré dans ce projet de cession.Il évoque aussi :l'importance et la force de l'intuition de l'entrepreneur, qui l'a toujours guidé et qui continue aujourd'hui, notamment dans ses choix d'investissementsson aventure entrepreneuriale riche en émotion avec Gymlib, lui que ses premiers employés jugeaient comme n'étant pas l'homme de la situationcomment il envisage sa vie d'après, et sa volonté de préserver ses enfants du futur patrimoine dont ils disposeront.Un nouvel entrepreneur recommandé par Martin Jaglin, et un nouveau témoignage inspirant pour une émission qui se finit en squat !Un podcast conçu et produit par FeuilleBlancheÀ vos écouteurs
C'est ce qui s'appelle tomber de haut.Elle a réalisé un rêve de gosse : créer et développer sa marque de lingerie : Ma P'tite Culotte devenue Naïa Paris.Son rêve va se transformer en cauchemar.Les débuts sont prometteurs. Son essor va l'amener à faire la une de nombreux médias, des conférences pour inspirer les entrepreneurs... Bref, à faire partie des belles entreprises des débuts de la startup Nation. Mais un jour, ce sera la goutte de trop.Après avoir perdu son cofondateur quelques jours à peine après avoir accouchée, Après les gilets jaunes, Après les grèves, Alors que le Covid commence à faire parler de lui en Chine, Le fonds qui devait investir dans la boite se désisteCelle qui a soulevé des montagnes n'a plus la force.Et pourtant, il faudra être forte pour annoncer son souhait d'arrêter aux investisseurs, aux collaborateurs, aux proches. Il en faudra de la force pour faire face au tribunal de commerce pour liquider l'entreprise. Encore plus de force pour répondre aux exigences de l'administrateur judiciaire et aux demandes des repreneurs potentiels. Car même si c'est dur, elle ne rompt pas.Financièrement, elle est broke. Elle reprend trop vite un poste à responsabilité dans un grand groupe de mode. Elle rayonne à l'extérieur mais à l'intérieur elle se sent vide. Comme une feuille morte, elle craquelle.Et un jour, elle craque.La reconstruction prend du temps. Merci le sport, merci le dessin, merci les proches.Elle est prête à repartir.Et ce sera.. une nouvelle aventure entrepreneuriale qui fait de la santé un passage obligatoire pour la performance des dirigeants.Et si jamais elle devait replanter ?Elle n'a plus peur.Et elle l'a démontré, de la force, elle en a à revendre.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
La boucle est bouclée pour Sophie Desmazières.En fondant BureauxLocaux, son objectif est simple : créer le SeLoger des entreprises. Pour ça, elle va grandement s'inspirer du modèle d'un acteur américain : CoStar…. qui s'avèrera être le repreneur de BureauxLocaux 15 ans plus tard ! Une fierté pour Sophie Desmazières.On dit souvent que l'entrepreneuriat féminin manque de modèle, en voici donc un de plus, et pas des moindres.Le SIMI, c'est elle.Kid'Expo, c'est elle.Viendra ensuite BureauxLocaux, dans lequel elle a réinvesti tous les fonds de sa cession de Kid'Expo.Et désormais, HOMANIE, la collection des plus belles maisons à louer en France et en Espagne.Sophie Desmazières est donc une seriale entrepreneure qui a toujours tenu à autofinancer ses projets, préférant voir ses idées devenir concrètes plutôt que gagner beaucoup d'argent.Dans cet épisode, on évoque le rapport au risque différent entre les hommes et les femmes, et pourquoi “l'entrepreneuriat est un métier de mercenaire”.Sophie Desmazières nous raconte aussi :son call de négo avec CoStar en pleine montagne lors d'une randonnée dans les Pyrénéesle repas à la française qu'elle a organisé chez elle pour fêter la cession, avec le comité de direction américain de CoStar pour fêter la cessionUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, en partenariat avec Neuflize OBC.À vos écouteurs
À toutes les amatrices et à tous les amateurs de Cash Out, pour les fêtes, toute l'équipe vous propose de découvrir une autre de nos productions FeuilleBlanche, 40 nuances de Next.Un podcast dans lequel nous partageons les plus belles histoires de celles et ceux qui font bouger les lignes du business, de la culture et des médias.Aujourd'hui, on vous fait découvrir l'aventure de Jean-Luc Maria, cofondateur d'Exotrail.Bonne écoute et belles fêtes !
En 2001, Jean-Emile Rosenblum et son frère Steve partent d'une idée simple : révolutionner le tirage photo en ligne. En seulement 5 ans, leur start-up Pixmania devient l'un des plus grands sites e-commerce d'Europe, avec près d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires et une présence dans 26 pays.Un succès qui va attirer le géant industriel britannique Dixon, à qui Jean-Emile et son frère céderont Pixmania pour 366 millions d'euros en 2006. Mais derrière cette success-story se cachent des moments charnières, des défis inattendus et des erreurs qui changent la destinée de l'entreprise.Dans cet épisode, on revient notamment sur :Les négociations avec Dixon : Une bataille d'enchères tendue entre deux acheteurs potentiels et la leçon d'un deal stratégique mais risqué.La crise des subprimes, des synergies industrielles non réalisées post-achat, et l'amertume de voir son entreprise décliner.Le rachat inespéré de Pixmania : En pleine pandémie, Jean-Emile et son frère décident de racheter leur ancienne marque, à seulement deux semaines de sa liquidation.Transparent, Jean-Emile se livre pendant près de deux heures sur les coulisses de cette succes story qui a viré au cauchemar, et raconte les montagnes russes pour passer d'une vente à plusieurs centaines de millions à un rachat au bord de la faillite en une dizaine d'années.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Sa cession d'ImagiNet à Colt Télécom, Patrick Robin la résume ainsi : “Beaucoup d'intuition, de la chance, et un petit peu d'habilité”.Dans cet épisode, Patrick Robin, pionnier de l'Internet en France, raconte l'incroyable aventure d'ImagiNet. Cette entreprise, née en 1994, révolutionne l'accès à Internet avec une offre illimitée qui fera école. Mais derrière ce succès apparent se cache une réalité complexe : des finances fragiles et un dépôt de bilan imminent, un marché balbutiant et un actionnaire surnommé "Judas" qui tentera de saboter la vente.Patrick nous entraîne dans les coulisses de cette cession, où les rebondissements sont dignes d'un thriller. Entre un marathon de négociations jusqu'à 3h du matin, des enchères qui s'envolent jusqu'à 120 millions, et des imprévus comme une fuite d'information sur une plage, chaque détail compte. Vous découvrirez comment Patrick, grâce à son intuition et à des manœuvres stratégiques, a transformé une situation désespérée en victoire entrepreneuriale.Cet épisode est aussi une leçon d'humanité et de leadership. Patrick revient avec franchise sur les sacrifices nécessaires pour sauver une entreprise, sur ses choix pour préserver ses équipes, et sur l'émotion de signer son premier million dans un immeuble qui symbolisait son enfance modeste.Bref, sortez les pop-corn et découvrez les coulisses de cette cession qui mériterait d'être racontée sur Netflix.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Quand un travail de thèse se revend plusieurs millions.Voilà la vie d'Infinit et de son co-fondateur Baptiste Fradin.Entrepreneur dans l'âme, il a monté sa première boite au collège pour pouvoir faire venir ses groupes de musiques préférés près de chez lui. Quelques années plus tard, il s'associe avec Julien Quintard, l'un de ses meilleurs amis, lors d'une soirée au Trabendo. En s'inspirant de la thèse de ce dernier, les deux amis créent Infinit une solution de transfert de données.Bien encadré et accompagné, d'abord au Camping puis à Techstars, Infnit grandit vite. Plusieurs levées de fonds permettent d'éviter le “crash out”.En 2015, après une forte exposition médiatique, ils sont repérés par Dropbox. De longues négociations de rachat démarrent. Au bout de quelques mois, après plusieurs allers-retours en Californie, ils finissent par couper court aux discussions.Cela n'arrête pas Baptiste. Après le transfert de données, il lance un nouveau produit autour du stockage. Il n'en fallait pas plus pour Docker pour s'intéresser à eux de plus près. Les synergies sont évidentes, les négos se déroulent sans trop d'accrocs et la cession est signée en 2016.Une signature définitive que Baptiste apprendra au bar avec des amis, de quoi payer une tournée générale !Baptiste a pris un peu de temps pour lui avant de se relancer dans l'entrepreneuriat, il lance en 2019 FAMAE Impact, un fond de private equity à impact, et plus récemment Matters, un startup studio à impact également.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Guillaume Richer est le co-fondateur de Rockease, une marketplace pour simplifier l'achat, la vente et le transport de granulat pour le BTP.Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Guillaume et son associé Etienne Rugeri n'ont pas perdu de temps.L'entreprise est fondée en 2021. Le produit sort en 2022. La cession est signée en 2023.Tout n'a pas été simple pour autant. Après avoir passé 1 an à développer leur techno, il a ensuite fallu convaincre les majors du secteur à l'utiliser, qui ont d'ailleurs été vraiment réticents au début.C'est finalement l'un d'entre eux, le groupe Bouygues, qui finira par les racheter en 2023. Mais encore une fois, les négos n'ont pas été faciles. Un vrai jeu du chat et de la souris dans lequel ils ont annulé le deal 2 fois en 3 jours avant de revenir sur leur décision.Et à l'image de cette aventure, l'earn-out de Guillaume et son associé a, lui aussi, été express : 3 mois après le closing, ils quittent Rockease.Jamais loin de secteur du BTP, Guillaume a décidé de fonder il y a quelques mois Contech France, la première communauté d'entraide et d'échange dédiée aux acteurs nationaux de la Contech.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Vendre à celui contre qui tu te battais les années précédentes, ou comment résumer la cession de Baptiste Derongs.En 2015, Baptiste fonde Pipplet, une plateforme d'évaluation linguistique. Les débuts sont chaotiques : il faut mettre une techno au point, rectifier le tir sur le ciblage… Bref, la première facture n'est émise qu'en 2017.Peu importe, les erreurs font grandir, et Pipplet peut enfin décoller. D'abord auprès des cabinets de recrutement puis chez les grands comptes et organismes de formation, la solution Pipplet est de plus en plus adoptée entre 2017 et 2019.Fin 2019, alors qu'ils viennent de “piquer” Renault à ETS Global, l'organisme qui gère les tests TOEIC et TOEFL, un ancien copain de lycée de Baptiste qui travaille pour ETS le contacte.La suite ? Le DG Europe lui propose de le racheter.Les négos démarrent en plein confinement et dans sa chambre d'adolescent : Baptiste était parti se confiner chez ses parents. Tensions, dialogues interminables entre la France et les Etats-Unis, un responsable M&A américain hautain et dédaigneux : Baptiste raconte les hauts et les bas de toute cette aventure, avouant même avoir hésité à annuler le deal au milieu des négos.Dans cet épisode, découvrez Baptiste Derongs, un entrepreneur qui assume son innocence pendant toute cette phase de cession et même pendant la phase d'earn-out, et qui livre sans détours les enseignements qu'il a tirés de toutes les petites erreurs qu'il a pu commettre.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Gallia, c'est l'aventure de Guillaume Roy et son associé Jacques Ferté.Mais c'est surtout l'histoire de deux potes qui, en sortant d'école de commerce, ont vu une opportunité sur un marché qui ne la voyait pas encore.Convaincus du futur besoin d'une bière craft, artisanale, Guillaume et son associé décident de lancer Gallia, une des premières brasseries locales parisiennes. À ne pas confondre avec le lait infantile de Danone, qui acceptera d'ailleurs très vite qu'ils portent le même nom.Les débuts sont un peu compliqués, et il faudra attendre des concurrents pour faire pencher le marché.9 ans, 3M de CA, une vingtaine de personnes et un bar plus tard, ils sont approchés par 3 des plus gros brasseurs d'Europe. Démarre alors une véritable danse de séduction pour convaincre Guillaume et Jacques.Ils décident finalement d'accepter l'offre d'Heineken, avec un objectif commun : faire de Gallia la première bière authentique en France, les propulsant partout sur le territoire, dans les grandes surfaces et les bars de province. Le tout en préservant l'image de marque, primordiale aux yeux des deux fondateurs.Négo, Covid, earn-out, Guillaume nous livre les coulisses des discussions avec Heineken, qui seront restées bienveillantes jusqu'au dernier jour.Et comme souvent, l'envie d'entreprendre est trop forte. Et toujours avec Jacques Ferté, Guillaume Roy se lance de nouveau le défi de bouleverser les habitudes sur un nouveau marché : le café.Avec Cherico, l'objectif est d'installer une nouvelle alternative au café dans les habitudes de consommation en redorant l'image de la chicorée !Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Fariha Shah a la négo dans la peau.La cession de sa boite Golden Bees au Groupe Figaro ce sera trois négos à gérer pour un exit : les associés, le deal, la sortie. La première est avec ses associés. Golden Bees existe depuis à peine 4 ans. La croissance est exponentielle pour cette solution de recrutement programmatique qui permet de générer des candidatures qualifiées. Mais Fariha sent que le marché commence à se tendre. Elle doit alors convaincre ses associés, dont son mari, de vendre plutôt que de lever des fonds.La seconde négo concerne le deal en lui même. Le Groupe Figaro s'impose assez naturellement aux yeux de Fariha : c'est un client, mais aussi un grand groupe capable de supporter les tensions du marché. Malgré ça, les négos sont tendues, notamment au sujet d'une clause liée aux données privées des clients. Une clause qui conduira d'ailleurs Le Figaro a posé les stylos quelques jours avant le signing, mettant le deal en péril. La troisième négociation intervient 2 ans après le closing. Fariha est lockée 4 ans, mais les synergies ne sont pas là, certaines promesses ne sont pas tenues et Fariha décide de quitter le Groupe Figaro plus de 2 ans avant ce qui était convenu. Après avoir eu du nez, encore, en investissant dans OpenAI, elle relance un projet ambitieux, encore, dans l'IA avec son mari. Même entrepreneure joue encore, et la reine de la négociation ne bluffe pas !Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Vendre une boite à Publicis, c'était déjà fort.Rejoindre la seconde et la céder à L'Oréal, fallait le faire.Et comme on dit « jamais deux sans trois », Thierry Vandewalle nous a proposé de nous raconter les dessous d'une sortie.. d'un fonds.La première cession de Thierry Vandewalle, c'est celle de Wcube à Publicis qui sera game changer dans sa vie perso. Si cela vous dit quelque chose, c'est parce que son associé Xavier Gury était venu raconter cette aventure il y a quelques semaines. Il revient tout de même avec quelques anecdotes supplémentaires, notamment les coups de fil avec Maurice Levy qui l'auront fait passer par toutes les émotions.Un épisode à retrouver juste ici
L'aventure d'Etienne Rugeri avec AdinCube a connu plusieurs péripéties.D'abord dans la croissance de l'entreprise.Entre 2012 et 2017, AdinCube a connu 2 pivots : d'une plateforme de promotion d'application mobile, la boite devient une régie publicitaire plus classique avant de pivoter une deuxième fois pour se placer en une plateforme de mise en compétition des différents annonceurs de publicité mobile.C'est cette dernière activité qui intéresse Mozoo qui rachète AdinCube pour 20 millions de dollars.Mais rapidement, Etienne et son associé se rendent compte que le repreneur n'est pas stable financièrement et cherche à lever des fonds.Et comme l'aventure d'Etienne avec AdinCube va par paire : après 2 pivots, il va connaitre une deuxième cession puisque mozoo revend AdinCube à Ogury. Des négos qui comme très souvent se révèlent épiques, avec notamment un jeté de laptop du repreneur.Bref, une nouvelle cession avec son lot de montagnes russes.Dans cet épisode, Etienne Rugeri évoque aussi :- le coup de fil de Mozoo en pleine négo qui leur a fait gagner 1 million d'euros- comment il occupe aujourd'hui son temps après 2 aventures entrepreneuriales et 2 cessions coup sur coup- comment il gère son argent, lui qui n'a pas touché celui de sa première cession pendant 2 ans▬▬▬▬▬▬▬▬▬ COMMUNAUTÉ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬✍️ Vous avez vendu ou souhaitez vendre votre entreprise ? Contactez nous sur uncafe@feuilleblanche.com✍️ Vous souhaitez devenir partenaire du format ? Laissez nous un message ici https://bit.ly/3Rvri20▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LIENS PODCASTS ▬▬▬▬▬▬▬▬▬
Certains ont voulu faire croire que Georges Lotigier avait bradé Vade. Que vendre à une petite boite allemande après s'être retrouvé au coeur d'un procès aux Etats-Unis l'avait conduit à céder par défaut.Ils se sont trompés.Outre le montant de 250 millions d'euros, qu'il a en partie réinvesti chez l'acquéreur Hornetsecurity, Georges Lotigier est surtout fier d'avoir privilégier la souveraineté européenne et d'avoir permis de conserver des emplois en France.Pourtant, tout n'a pas été simple. Il récupère une boite qu'il ne veut pas vraiment alors que le fondateur est malade d'un cancer incurable. Il la transforme, avec comme mission de devenir le leader européen de la cybersécurité.Il décide de s'implanter aux Etats-Unis mais se fait attaquer d'un de ses concurrents américains. Conséquence : des millions d'euros en frais d'avocat pour assumer le procès.Au rythme de Queen et de la Marseillaise, Georges Lotigier revient sur toute cette aventure, sans filtre.. ou presque : “J'ai le droit de donner mon avis si c'est celui que défendent mes avocats”.Dans cet épisode, il évoque aussi : - sa signature du closing sous tension sur un bateau au milieu des Antilles avant de le fêter le jour de la fête nationale à Sainte Lucie- la fois où il a joué Téléphone à la guitare avec Louis Bertignac lors d'un concert privé chez Vade- sa passion pour la lutherie et ses investissements pro et perso, notamment avec le soutien à une association qui lutte contre la déforestationUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Voilà ce qui s'appelle une cession à l'américaine.Voici la formidable ascension de Jeremy Smith qui va passer de la pauvreté à la richesse en une signature sur un contrat.Entre prise de risque et leçon de vie, Jeremy Smith sera passé par tous les états pour faire de SpotHero le leader américain de la location de place de parking.L'idée lui vient en 2010, mais SpotHero aurait pu ne jamais voir le jour si l'un de ses amis, qui deviendra son associé par la suite, avait trouvé l'idée mauvaise.Jeremy y injecte ensuite toutes ses économies, vidant même son assurance-vie, pour lancer l'entreprise, mais laisse son associé devenir PDG. Pour continuer à vivre, il devra donc louer les deux chambres de son appartement et dormir sur le canapé.Mais quand quelques années plus tard, alors que SpotHero devenait l'un des leaders du marché, ce même associé lui annonce qu'il n'a plus sa place dans le business. Jeremy quitte alors l'entreprise qu'il avait créé, tout en restant actionnaire.Les galères s'enchainent, Jeremy n'a même plus de quoi payer son loyer, donc quand le premier fond d'investissements l'approche pour racheter certaines de ses parts, c'est une libération.Au total, 5 fonds parmi les plus importants des Etats-Unis lui rachèteront l'ensemble de ses parts pour près de 10 millions de dollars. Jeremy peut enfin prendre un nouveau départ.Dans cet épisode, Jeremy Smith est sans filtre. Il évoque notamment comment il estime avoir perdu son identité à son départ de SpotHero et la grosse dépression qu'il a traversée pendant plusieurs années ensuite.Il évoque aussi :son principal conseil aux entrepreneurs qui s'apprêtent à vendre : “Don't be greedy”comment il a refusé de toucher des millions lors de la cession d'une autre boite car “il ne connaissait rien aux cryptos”sa nouvelle aventure entrepreneuriale en France avec Horizon H, qui rachète des entreprises françaises pour les aider à grandir, à continuer à rester moderne en mariant les atouts français avec les atouts américainsUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Ombréa, c'est avant tout l'histoire d'un père agriculteur et d'une fille journaliste qui ont eu l'envie d'entreprendre ensemble pour améliorer les conditions de travail des agriculteurs.Pour ça, ils ont imaginé une solution agrivoltaïque qui aide les agriculteurs à protéger leurs cultures des aléas climatiques tout en produisant de l'énergie renouvelable. Une solution qui tape dans l'oeil de Total Energy, avec qui Julie Davico-Pahin lance une collaboration en 2019.Cette collaboration va basculer après la visite de Patrick Pouyanné dans leurs locaux à Aix-en-Provence. Le Directeur Général de Total Energy est sous le charme, le processus de cession est enclenché. Cela aurait pu ressembler à David contre Goliath, mais le combat se transforme en négos bienveillantes et le deal est signé en quelques mois.Dans cet épisode, Julie Davico-Pahin se livre avec sincérité et émotion sur les coulisses de cette aventure, expliquant le rêve que c'était de pouvoir céder à Total et la déflagration qu'a été cette cession dans sa vie.Elle évoque aussi :
Après un simple mail, Patrick Amiel quitte une vie salariée confortable pour lancer un produit qui n'existe pas. Il rejoint 4 associés et, ensemble, ils créent My Best Pro, une marketplace de mise en relation entre particuliers et professions intellectuels.Aujourd'hui, on lance une marketplace comme on change de chemise. Mais à l'époque… Ce sont les débuts d'internet et les premiers clients mettent des mois à trouver le chemin.Ils visaient les professions intellectuelles telles que les avocats mais les premières demandent concernent.. les astrologues. Cette aventure c'est l'histoire parfaite de l'endurance entrepreneuriale et de la force de la conviction.Ça a payé.Google les approche pour une potentielle cession.Puis vient le tour de Vivendi qui reprendra la boite et un rendez-vous improbable avec Vincent Bolloré venu rencontrer Patrick et ses associés. On découvre les subtilités et les techniques d'acquisition d'un entrepreneur de cet acabit. Aujourd'hui, Patrick remonte sur le ring de l'entrepreneuriat avec un concept inédit de corporate startup studio.321 founded est née. Et comme Patrick repart avec toujours autant de convictions, je vous laisse parier sur la suite de l'aventure.Un podcast conçu et produit par Feuille Blanche, en partenariat avec Neuflize OBC.À vos écouteurs
À toutes les amatrices et à tous les amateurs de Cash Out, pour la pause estivale, toute l'équipe vous propose de découvrir une autre de nos productions FeuilleBlanche, 40 nuances de Next.Un podcast dans lequel nous partageons les plus belles histoires de la Tech française.Aujourd'hui, on vous fait découvrir l'aventure de Julien Tchernia, cofondateur d'Ekwateur.Bonne écoute et bel été ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“À 30 ans, je serais multimillionnaire et j'aurais ma Ferrari”. Dorian Ciavarella ne se cache pas et ses ambitions et motivations ont toujours été claires.Issu d'un milieu difficile et d'une famille modeste, le parcours de Dorian sonne un peu comme une revanche. Après avoir loupé son bac, ce compétiteur se jure de ne plus revivre un tel échec. Il poursuit alors ses études, travaillant de jour comme de nuit. En 2017, avec Sylvain Gasc, un de ses amis d'école, il décide de fonder Hivency, la première plateforme de marketing d'influence spécialisée sur Instagram.En 6 ans, la boite devient leader en Europe, et, alors qu'il est en pleine levée de fonds, Dorian reçoit une proposition de rachat de Skeepers, soutenu par PSG Equity. Le projet est ambitieux : “fusionner 10 boîtes, 550 salariés sur 10 cultures différentes en 12 mois”. Après avoir fait monter les enchères, Dorian Ciavarella décide de signer la cession d'Hivency le jour de ses 31 ans. À un an près, son objectif est atteint : il peut acheter sa Ferrari.Franc et authentique, Dorian se livre sur sa vision très personnelle de l'entrepreneuriat, lui qui assume n'avoir “jamais été intéressé par le secteur du marketing d'influence.” Il évoque aussi :l'importance des synergies humaines et relationnelles dans son choix de cessionson nouveau et dernier projet entrepreneurial avec Zeliq, “le premier copilote AI du sale” visant à révolutionner les métiers du commercialsa nouvelle vie de Business Angel et pourquoi il préfère investir à plusieurs plutôt que seulÀ vos écouteurs
Un Italien, un Espagnol et un Français décident de monter une boite : ce n'est pas le début d'une blague mais bien l'histoire de Benoit Gagnon et Miuros.À 40 ans, Benoit quitte son job en négociant la base de donnée client de sa précédente boite. Après quelques tests avec l'IA, il tient son projet : Miuros, une solution où l'IA permet d'organiser, simplifier et ranger les bases de données des services clients pour gagner en temps et en qualité.Et même si Benoit a toujours rêvé d'entreprendre, il n'avait pas imaginé autant de galères.Entre les erreurs de casting, un VC qui investit chez lui et chez son principal concurrent, ou encore les gros problèmes de trésorerie, Benoit Gagnon commençait à chercher sur Google comment fermer une entreprise.Et même s'il aura finalement réussi à redresser la barre, les galères auront suivi jusqu'au jour du closing, avec une signature décalée de 24h à cause d'un mail de sa banque que les avocats ne voulaient pas reconnaitre comme un document officiel.Une nouvelle cession en montagne russe qui se finit bien, avec un deal équitable, quasiment similaire à ce qu'avait annoncé le repreneur danois, Dixa, lors de la toute première prise de contact avec Benoit Gagnon.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Céder sa boite à la famille Mulliez, Jérémy Dallois l'a fait.Pourtant, au moment où il est approché par l'AFM, Jérémy était focus sur le fait de faire de ReachFive une boite rentable, et pas du tout de la vendre.Avec ReachFive, Jérémy Dallois a toujours eu le même objectif : moderniser le parcours client. Devenue aujourd'hui une plateforme leader de gestion des identités et des accès client en ligne, l'aventure ReachFive a connu pas mal de péripéties.Au départ, Jérémy tenait à s'associer, mais il verra son associé d'origine partir au bout d'un an et demi après le lancement.En 2022, il tente d'amorcer une seconde levée de fonds, qui tombe à l'eau étant donné le contexte (crise en Ukraine, inflation, etc.), au point de forcer son board à lui conseiller de stopper l'activité.Mais c'était sans compter sur la résilience et la persévérance de Jeremy Dallois.Dans cet épisode, il nous livre les coulisses de cette épopée, alors même qu'il a vendu il y a moins de 6 mois : la rapidité de cette cession inversée, étant donné qu'il reçoit une LOI après la due dil' et qu'il a fêté cette cession la veille du closing.On apprend aussi :- comment il a signé le closing en plein kick-off avec ses équipes, attendant même la signature d'un collaborateur en vacances à Taiwan pour conclure le deal- les coulisses du début de ReachFive et pourquoi la boite s'appelle ainsi- son plus gros regret : n'avoir jamais réussi à installer ReachFive à l'international avant de vendreUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Axel Detours, fondateur de Captain Wallet, et Brevo ont un peu joué au chat et à la souris.Acte 1 : Décalage horaireQuand Captain Wallet, l'un des leaders du Mobile Wallet Marketing, se met en vente, Brevo se positionne. Cependant, il faut attendre qu'un autre projet d'acquisition soit conclue. Attendre, c'est jouer à cache cache avec d'autres repreneurs et risquer de n'en trouver aucun. Ce sera non. Axel et ses associés decident de partir en exclusivité avec un autre acteur. Acte 2 : il n'est jamais trop tardHasard du calendrier ?Le jour où l'exclusivité prend fin avec le second acteur, Armand Thiberge, le CEO de Brevo, reprend contact avec Captain Wallet. Axel est tenté. Mais ses associés d'Axel ne sont pas fans.Reprendre des discussions à ce stade reporterait de fait l'opération sans que rien ne soit garanti. Acte 3 : Une offre qu'il ne pouvait pas refuser3 jours plus tard, Brevo leur envoie une LOI, 30% supérieur à celle qu'ils avaient reçu.Assez convainquant pour donner envie de donner suite.Les négos seront rapides, fluides. Axel se projette.Acte 4 : ne jamais vendre la peau de l'ours..2 heures avant le signing, Armand le rappelle pour lui dire que l'offre est maintenu mais a été revue à la baisse. Axel et ses associés refusent donc de signer et Axel part en week-end au Maroc. Acte 5 : Le repreneur sonne toujours (en vrai non) deux fois.Finalement, Brevo revient sur sa décision. Armand aura peut être réussi à convaincre son board.La cession peut-être signée. Et elle le sera.Fin du suspens.On ne le répète jamais assez dans Cash out : la vente d'une entreprise c'est une succession de montagnes russes.Dans cet épisode, Axel Detours rappelle si il le fallait que “quasi chose faite”, ce n'est pas “fait”.Une superstition qui le suivait depuis plusieurs années.Il évoque aussi :- son closing au Maroc et pourquoi il a failli prendre un avion en urgence pour arriver à signer ses DocuSign- son conseil pour tous les repreneurs : “Ne cassez pas le jouet en chamboulant les équipes”- pourquoi il est important “d'accepter que le deal puisse échouer”Un merci d'autant plus grand à Axel qu'il est encore en poste chez son repreneur aujourd'hui et que beaucoup à sa place aurait pu décider de minimiser les émotions vécues lors de cette cession.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Pas besoin de vendre sa boite pour qu'un dirigeant soit face à l'adrénaline, l'anxiété ou le stress.Eric Albert en a d'ailleurs fait son métier, puis une entreprise de croissance qu'il finira par revendre des années plus tard.Eric, c'est “le dirigeant qui accompagne les dirigeants”.Psychiatre de formation, il se spécialise sur l'anxiété. Puis du constat simple que “l'expertise de manager est l'humain”, il décide de basculer dans l'entrepreneuriat en fondant IFAS avec Laurence Saunder et Jean-Luc Emery.Devenu Uside par la suite, ils accompagnent les managers et les dirigeants dans leur stratégie managériale et s'applique à “améliorer l'efficacité collective par l'épanouissement personnel de chacun.Et la cession d'Eric Albert est à son image, réfléchie, concentrée sur l'humain et où la confiance et les synergies valent plus que l'argent, puisqu'il décide de signer avec Sia Partners, dont l'offre était inférieur 20% par rapport aux autres propositions.Allongez-vous sur notre divan pour cette nouvelle séance Cash Out dans laquelle Eric Albert délivre ses conseils pour battre le stress de l'entrepreneur dans cette période de cession éprouvante.Il explique aussi :comment il aide le dirigeant à ne pas vieillir trop vitel'importance de partager les mêmes valeurs avec son repreneurcomment “faire le deuil du fondateur complètement libre”Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Il y en a eu des craquages racontés au micro de Cash Out, mais celui de Pierre-Henri Deballon est probablement l'un des plus incroyables : il a racheté un club de foot !En 2007, il lance Weezevent avec Sébastien Tonglet. D'un bricolage informatique pour avoir une billetterie sur le VELOTOUR, Weezevent est aujourd'hui partenaire de près de 50 000 évènements par an, c'est 160 collaborateurs et 350 millions de CA, et il propose des solutions pour faciliter la gestion d'évènements, notamment une solution de billetterie révolutionnaire.En 2012 et alors qu'ils ne sont pas à vendre, Pierre-Henri et Sébastien sont approchés par plusieurs acteurs . Ils finissent par choisir Vente Privée avec qui ils vont conclure un deal spécial : ils conservent 40% des parts et ne signent aucune clause de sortie.Relativement libres pendant plusieurs années, ils vont finir par se sentir bridés, et en 2021, ils décident de racheter les parts de Vente Privée pour retrouver leur indépendance.Une cession qui n'en est donc pas vraiment une que Pierre-Henri est venu raconter au gré d'anecdotes plus folles les unes que les autres. Il évoque notamment :le rendez-vous assez fou avec Jacques-Antoine Grandjon au moment où il s'apprête à céder à Vente Privéecomment il a vendu une solution cashless au Hellfest sans avoir la technoles coulisses du rachat d'un club de foot et tout ce que cela impliqueUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Le sens du timing. C'est ainsi qu'on pourrait résumer la vie entrepreneuriale de Xavier Gury.Il lance eQuesto en 2000 quelques semaines avant le crack de l'an 2000, qu'il cèdera à Publicis 7 ans plus tard, quelques semaines avant la crise des subprimes.Une cession très particulière car il ne prendra aucun cash au moment du closing. Ce ne sera qu'après 3 ans d'earn-out que Xavier Gury touchera l'argent de cette cession, un montant qui dépendait des résultats d'eQuesto, devenue Wcube entre temps.Encore une aventure entrepreneuriale spéciale, qui a commencé à l'étage d'une boite de nuit pour se finir sur les Champs-Élysées, passant d'une plateforme de mise en relation à une entreprise qui accompagne la digitalisation des grosses structures et des administrations.Dans cet épisode, Xavier Gury se livre sans filtre sur son rapport à l'argent et comment le regard de certains proches ont pu changer.Il évoque aussi :les débuts de cette aventure et comment il s'est retrouvé stagiaire de son propre associé dans la boite qu'il avait crééela levée de fonds qu'il a mené auprès de Bernard Arnaud, avant de racheter les parts de ce dernier quelques années plus tardles difficultés de céder à un groupe comme Publicis et la compétition interne à laquelle il a dû faire faceUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Encore une fois, un auditeur de Cash Out se retrouve derrière le micro. Et il le dit : heureusement qu'il a été accompagné pendant ses négos, qu'il a vécu comme une véritable course de fond.Alors qu'il a toujours rêvé d'entreprendre, Cédric Girardclos finit par passer le cap en 2011, après 6 ans passés chez Orange. Avec Sébastien Gabriel, il fonde alors Adjungo, initialement pour accompagner les entreprises dans leur gestion des nouvelles techno smartphones. Mais la démocratisation de ces technologies va les pousser à pivoter en proposant la gestion de flotte et l'exploitation de logiciels qui permettent de contrôler des smartphones à distance.La niche dans laquelle ils étaient depuis quelques années est donc en train de disparaître, et c'est ce qui les poussent à vendre à BetooBe en 2012. Le choix du repreneur est naturel, les deux parties se respectent mais Cédric Girardclos n'évitera pas les classiques montagnes russes, comparant ainsi les négos à un vrai marathon.Dans cet épisode, Cédric revient donc sur toutes cette aventure, racontant cette cession comme l'aboutissement d'une grande histoire et du rêve qu'il avait toujours eu. Il évoque aussi :les 5 000 derniers euros pour lesquels ils vont batailler jusqu'avant le signingcomment les premières commandes et les premiers clients font plus de bien au moral qu'aux financescomment ils ont perdu leur deuxième plus gros client à quelques jours du signingCet épisode est aussi à retrouver en intégralité sur notre chaîne Youtube FeuilleBlanche_Média : Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
“Plus on a réussi, plus c'est dur de repartir de zéro” Pourtant, l'histoire de Pierre-Lou Dominjon prouve le contraire.Alors qu'il sort d'une première aventure de plus de 10 ans où il passe de simple salarié à CEO et qu'il conclut avec une belle cession, Pierre-Lou et trois autres de ses anciens collègues décident de relancer une nouvelle aventure.Ensemble, ils fondent Grasp, une solution qui s'adresse aux marques et aux agences publicitaires et qui leur permet de s'assurer que leur campagne en ligne se déroule correctement et d'effectuer le bon suivi des résultats de cette dernière.Et malgré la niche sur laquelle ils se sont positionnés et les refus pour lever des fonds, Grasp est à nouveau une réussite et Pierre-Lou et ses associés décident de céder à la boite anglaise MiQ à peine 3 ans après avoir lancé Grasp. Une cession de plusieurs mois, encore rempli de hauts et de bas, qui aura donné quelques sueurs froides à Pierre-Lou Dominjon : “Le plus dur dans un process de vente, c'est le silence”.Dans cet épisode marqué par un maitre-mot : la confiance, Pierre-Lou Dominjon évoque le syndrome de l'imposteur de l'entrepreneur, lui dont on a toujours douté de ses capacités à réussir depuis son plus jeune âge.Il évoque aussi :ce que cela implique de vendre à une société anglaise aujourd'hui, notamment sur toutes les questions de législation et de droit de cessionsa signature sur une plage espagnole alors qu'il avait promis de vraies vacances à sa femmela suite, et pourquoi il hésite à se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneurialeUn épisode conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Ombréa, c'est avant tout l'histoire d'un père agriculteur et d'une fille journaliste qui ont eu l'envie d'entreprendre ensemble pour améliorer les conditions de travail des agriculteurs.Pour ça, ils ont imaginé une solution agrivoltaïque qui aide les agriculteurs à protéger leurs cultures des aléas climatiques tout en produisant de l'énergie renouvelable. Une solution qui tape dans l'oeil de Total Energy, avec qui Julie Davico-Pahin lance une collaboration en 2019.Cette collaboration va basculer après la visite de Patrick Pouyanné dans leurs locaux à Aix-en-Provence. Le Directeur Général de Total Energy est sous le charme, le processus de cession est enclenché. Cela aurait pu ressembler à David contre Goliath, mais le combat se transforme en négos bienveillantes et le deal est signé en quelques mois.Dans cet épisode, Julie Davico-Pahin se livre avec sincérité et émotion sur les coulisses de cette aventure, expliquant le rêve que c'était de pouvoir céder à Total et la déflagration qu'a été cette cession dans sa vie.Elle évoque aussi :
Ariel Rozenblum a dû mettre les gants et monter sur le ring lorsqu'il a annoncé à ses associés qu'il souhaitait quitter Dream Catcher Sales. Ça tombe bien, il est fan de boxe.L'histoire avait pourtant bien commencé. Il fonde seul Dream Catcher Sales en 2015. Il est rapidement rejoint par 2 associés à la tête de l'entreprise. Ensemble, ils assurent une croissance forte année après année au point de monter une équipe d'une trentaine de personnes et près de 200 consultants.Puis le combat a commencé.Round 1 : Les visions ne sont plus les mêmes, Ariel sent qu'il doit partir. Il en parle alors avec ses associés, mais la discussion tourne mal. Le conflit démarre.Round 2 : Ses associés lui posent un ultimatum : soit il accepte de partir de lui-même sans rien encaisser, soit ils le révoquent de la présidence.Round 3 : Les négos se font désormais par avocat interposé, les décisions stratégiques de Dream Catcher Sales sont prises sans lui, et un terrain d'entente est trouvé au bout de 6 mois de combat.La punchline qui résume cette cession ? “On est passé de témoin de mariage à “je vais te démonter””On rappelle évidement avec Ariel que comme toute séparation, ou tout processus de cession, il y a toujours autant de versions que de protagonistes.Entendre sa version sans langue de bois, permet de rappeler que dans toutes les phases de la vie d'une entreprise, les dissensions entre associés sont sûrement ce qu'il y a de plus complexe à appréhender.Un podcast conçu, produit et réalisé par FeuilleBlancheFeuilleBlanche est l'agence qui produit des contenus d'inspiration pour les marques et les dirigeants. Contactez-nous sur uncafe@feuilleblanche.comÀ vos écouteurs
La boucle est bouclée pour Sophie Desmazières.En fondant BureauxLocaux, son objectif est simple : créer le SeLoger des entreprises. Pour ça, elle va grandement s'inspirer du modèle d'un acteur américain : CoStar…. qui s'avèrera être le repreneur de BureauxLocaux 15 ans plus tard ! Une fierté pour Sophie Desmazières.On dit souvent que l'entrepreneuriat féminin manque de modèle, en voici donc un de plus, et pas des moindres.Le SIMI, c'est elle.Kid'Expo, c'est elle.Viendra ensuite BureauxLocaux, dans lequel elle a réinvesti tous les fonds de sa cession de Kid'Expo.Et désormais, HOMANIE, la collection des plus belles maisons à louer en France et en Espagne.Sophie Desmazières est donc une seriale entrepreneure qui a toujours tenu à autofinancer ses projets, préférant voir ses idées devenir concrètes plutôt que gagner beaucoup d'argent.Dans cet épisode, on évoque le rapport au risque différent entre les hommes et les femmes, et pourquoi “l'entrepreneuriat est un métier de mercenaire”.Sophie Desmazières nous raconte aussi :son call de négo avec CoStar en pleine montagne lors d'une randonnée dans les Pyrénéesle repas à la française qu'elle a organisé chez elle pour fêter la cession, avec le comité de direction américain de CoStar pour fêter la cessionUn podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, en partenariat avec Neuflize OBC.À vos écouteurs
Après un simple mail, Patrick Amiel quitte une vie salariée confortable pour lancer un produit qui n'existe pas. Il rejoint 4 associés et, ensemble, ils créent My Best Pro, une marketplace de mise en relation entre particuliers et professions intellectuels.Aujourd'hui, on lance une marketplace comme on change de chemise. Mais à l'époque… Ce sont les débuts d'internet et les premiers clients mettent des mois à trouver le chemin.Ils visaient les professions intellectuelles telles que les avocats mais les premières demandent concernent.. les astrologues. Cette aventure c'est l'histoire parfaite de l'endurance entrepreneuriale et de la force de la conviction.Ça a payé.Google les approche pour une potentielle cession.Puis vient le tour de Vivendi qui reprendra la boite et un rendez-vous improbable avec Vincent Bolloré venu rencontrer Patrick et ses associés. On découvre les subtilités et les techniques d'acquisition d'un entrepreneur de cet acabit. Aujourd'hui, Patrick remonte sur le ring de l'entrepreneuriat avec un concept inédit de corporate startup studio.321 founded est née. Et comme Patrick repart avec toujours autant de convictions, je vous laisse parier sur la suite de l'aventure.Un podcast conçu et produit par Feuille Blanche, en partenariat avec Neuflize OBC.À vos écouteurs
“Au moment où on a créé la boite, j'avais déjà dit qu'on vendrait à une banque” Laurent Potel aurait-il des talents de voyance ?Avec Vladimir Grudzinski et Vincent Deboeuf, et rapidement rejoint par Tristan Pillon, Laurent Potel fonde Reezocar en 2014. Ils se lancent alors sur un marché de l'automobile complexe et en perpétuelle transformation, et proposent une solution permettant de faciliter la recherche et sécuriser l'achat de véhicules d'occasion en France et en Europe.Et encore une fois, les cessions se suivent mais ne se ressemblent pas. Pour Laurent Potel, c'est l'histoire d'une cession en interne à un grand groupe qu'il avait déjà accueilli à son board quelques années auparavant, en l'occurrence la Société Générale. Une banque donc, comme Laurent l'avait prédit.Une cession particulière, puisque tout s'est déroulé simplement, entre deux acteurs qui se connaissaient déjà très bien. Raison pour laquelle Laurent Potel a vécu cette cession comme “un simple bon déroulement de process”, sans émotion particulière au moment du signing.Mais rassurez-vous, même s'il qualifie cette cession d'”élégante”, Laurent Potel revient aussi sur toutes les montagnes russes qu'il a vécu, notamment lorsqu'ils ont dû demander à leurs salariés de réduire ou décaler leurs salaires.Il évoque aussi :la culture d'entreprise qu'il a toujours voulu inculquer chez Reezocar, basée sur la confiance et l'authenticité, et comment ses salariés lui ont rendu au moment de son départl'importance, pour tout entrepreneur, de construire un board solidepourquoi sa fille raconte que le métier de son papa est d'organiser des anniversairesUn podcast conçu et produit par Feuille Blanche, en partenariat avec Neuflize OBC.À vos écouteurs
“Jamais deux sans trois” : l'adage n'aura jamais sonné aussi juste que pour l'histoire de Sébastien Bequart et sa cession de Gymlib.Après des études en école de commerce, Sébastien Bequart démarre sa carrière dans l'audit financier chez Deloitte. Mais quand son futur associé Mohamed Tazi lui pitch l'idée de Gymlib en 2013, il n'hésite pas longtemps avant de se lancer dans l'entrepreneuriat.Ils fondent alors Gymlib avec un positionnement B2C. Après des débuts marqués par une forte croissance mais aussi de grosses difficultés à gérer leur marge, ils décident de basculer en B2B et proposent aux collaborateurs d'accéder à plusieurs infrastructures sportives, le tout sous un seul et même abonnement, sans engagement, en double financement entre le salarié et l'entreprise.Le marché est porteur, la valorisation de Gymlib augmente, et Sébastien Bequart décide de s'ouvrir à un rachat. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Une première opportunité de cession est avortée à 2 jours de la signature par le potentiel repreneur, faute d'argent. Puis une deuxième opportunité tombe également à l'eau quelques mois plus tard, cette fois-ci à cause du Covid.Donc quand en 2022, la guerre en Ukraine éclate alors que Sébastien Bequart est en passe de conclure avec les allemands d'eGym, le stress monte. Mais cette fois-ci, les repreneurs sont bien décidés à conclure cette cession et le deal sera signé en mai 2022.Tout au long de cette épisode, Sébastien Bequart revient avec beaucoup de sincérité et de transparence sur toutes les montagnes russes qu'il a rencontré dans ce projet de cession.Il évoque aussi :l'importance et la force de l'intuition de l'entrepreneur, qui l'a toujours guidé et qui continue aujourd'hui, notamment dans ses choix d'investissementsson aventure entrepreneuriale riche en émotion avec Gymlib, lui que ses premiers employés jugeaient comme n'étant pas l'homme de la situationcomment il envisage sa vie d'après, et sa volonté de préserver ses enfants du futur patrimoine dont ils disposeront.Un nouvel entrepreneur recommandé par Martin Jaglin, et un nouveau témoignage inspirant pour une émission qui se finit en squat !Un podcast conçu et produit par FeuilleBlancheÀ vos écouteurs
La famille Cash Out s'agrandit avec l'arrivée de Pascal Teurquetil. Ça tombe bien : la famille est un peu le maître mot de toute son aventure avec le Groupe Muller.Fondée dans les années 1930 par le grand-père de Pascal, l'entreprise est reprise ensuite par son père qui va se spécialiser dans les équipements de chauffage domestique et développer un groupe industriel de premier plan.Après plusieurs années passées à l'étranger et notamment aux Etats-Unis pour ses études, Pascal Teurquetil rentre en France en 1996 et va rejoindre la gouvernance de l'entreprise familiale juste après le rapprochement avec une autre entreprise familiale irlandaise. Son projet est grand : faire du Groupe Muller l'entreprise numéro 1 du secteur en France et à l'international.Près de 25 ans plus tard, une croissance constante, plus de 300 millions de chiffre d'affaires, plusieurs marques rachetées, des innovations qui raflent des prix au CES Las Vegas, et la création de nouvelles usines en France, l'objectif de Pascal est atteint. S'il aime à rappeler la force du triptyque industrie, innovation et entrepreneuriat, c'est surtout une approche du temps long, permise par un actionnariat familiale qui va permettre à l'entreprise de durer et de croitre.Mais la société change, les hommes changent et les projets de Pascal Teurquetil aussi. Il découvre le mentorat entrepreneurial avec l'IME. C'est désormais ce qui l'anime. En plus de cela, la nouvelle génération de la famille irlandaise, avec qui il était associé depuis plus de 20 ans, a une vision stratégique de plus en plus financière, ce qui s'éloigne des valeurs qu'il incarnait. Il décide alors de leur céder le Groupe Muller.Tout au long de cet épisode, Pascal Teurquetil revient sur les coulisses de cette cession en famille, puisqu'en plus de considérer les repreneurs comme sa famille professionnelle, il a mené les négociations avec son frère et sa soeur, également actionnaires du Groupe Muller.Il évoque aussi :l'importance de l'accompagnement de le processus de cessionsa nouvelle vie avec son family office, et tous les bienfaits du mentorat entrepreneurialla raison insolite qui explique pourquoi “Groupe Muller” et pas “Groupe Teurquetil”Un podcast conçu et produit par FeuilleBlancheÀ vos écouteurs
“Cette boite, c'est mon bébé. Je l'ai toujours considérée comme mon quatrième enfant”. Voilà comment Isabelle Saffar évoque Cegape encore aujourd'hui, plus de 15 ans après sa cession.Isabelle Saffar fonde Cegape en 1996, le Centre d'Études et de Gestion des Allocations pour Perte d'Emploi. En s'attaquant à un marché difficile qu'elle ne connaissait que très peu à l'époque, Isabelle a bien connu toutes les montagnes russes des entrepreneurs, mais sa solution devient incontournable et tout le monde veut s'équiper du premier logiciel français de gestion des chômeurs du secteur public.Mais ce qui fait la particularité de l'histoire d'Isabelle Saffar est bien le lien qui la liait à son associé, alors son mari, et qui est d'ailleurs une des raisons qui l'a poussé à vendre.En 2006, quand un ami avocat d'affaires leur parle d'Alma Consulting comme un potentiel acquéreur de Cegape, Isabelle Saffar n'hésite pas et engage très rapidement les discussions. Elle y voit l'opportunité de regagner son indépendance, que ce soit financièrement ou d'un point de vue personnel.Avec beaucoup de sincérité, Isabelle revient sur toute cette aventure et raconte avec beaucoup d'émotion le crève-coeur et le chamboulement que cela a été de céder Cegape et quitter ses collaborateurs. Elle évoque aussi :le point de tension durant les négos, quand il a fallu convaincre les repreneurs de ne pas délocaliser Cegape de ses locaux à Pariscomment son divorce a sonné comme un déclic pour démarrer une nouvelle viesa rencontre avec Jean-Louis Bouchard, comment elle a réussi à éviter la faillite d'Aragon, et sa dernière aventure entrepreneuriale avec SmileinÀ vos écouteurs
“Ça me fait rire d'être dans Cash Out aujourd'hui, en me disant que j'ai lancé Dare.win alors que je n'avais ni statut ni compte en banque.”Wale Gbadamosi-Oyekanmi lance Dare.win en 2011 dans sa chambre, avec sa table à repasser comme bureau, sans savoir faire de devis alors qu'il venait de vendre 5 idées à Canal+ et Bref.Son objectif avec Dare.win est simple : créer une agence de pub avec pour seule mission de divertir les gens.15 ans plus tard, l'objectif est plus qu'accompli. Le contrat avec Bref a lancé la machine, c'est à eux que l'on doit la stratégie de communication de Netflix depuis qu'ils ont décidé de conquérir le marché français, parmi d'autres contrats avec des géants comme Spotify, Google ou PlayStation.Et ce succès se mesure aussi dans la cession, puisque c'est la légende de la publicité Sir Martin Sorrell en personne qui prend contact avec lui au début des négociations. Ces dernières sont rapides mais le deal reste sportif pour Wale puisqu'il se déroule en pleine période Covid et se finalise à distance entre les couches et les biberons, alors qu'il venait de rentrer en congé paternité.Dans cet épisode inspirant, drôle et sincère, Wale se livre sur toute cette aventure, comment son héritage culturel, lui qui est franco-nigerian, guide ses choix personnels et professionnels, et remercie sa mère pour les sacrifices qu'elle a fait quand ils sont arrivés en France. Il évoque aussi :la folle période de Dare.win en Allemagne, et comment Wale a mis fin au projet à cause d'une erreur de recrutementsa nouvelle vie où il dédie son temps à rendre ce qu'on lui a donné et le besoin qu'il ressent “d'investir pour rendre le monde meilleur”sa vision de l'entrepreneuriat, sa volonté d'entreprendre seul et surtout d'accepter qu'il n'était plus en capacité de suivre les ambitions de Dare.winEt un grand merci à Martin Jaglin de nous avoir soufflé le nom de Wale Gbadamosi-Oyekanmi lors de son passage dans Cash Out.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlancheÀ vos écouteurs
Shanty Baehrel n'a jamais suivi les codes, du lancement de sa boite jusqu'à sa cession.Seulement 1 semaine après avoir définitivement quitté Shanty Biscuits, elle nous raconte toute l'histoire de cette incroyable aventure qui a commencé par ce qu'elle était frustrée de ne pas pouvoir customiser ses biscuits comme elle le voulait.Depuis sa cuisine à celle de ses parents et jusqu'à sa propre usine, c'est surtout sur les réseaux sociaux que la créativité de Shanty s'exprime. Ses biscuits à messages font le buzz sur Instagram, tout le monde en réclame !Après 10 ans, il y a la "fame" et l'envers de la “fame” : une pression incessante sur ses seules épaules qui lui donne une furieuse envie d'écrire une nouvelle page.Le (presque) hasard de la vie lui fait rencontrer Ricahrd Gigou qui cherche justement un projet à reprendre. Les négociations commencent fin 2022. Shanty et Richard finissent par tomber d'accord en avril 2023.Mais Shanty on vous l'a dit, elle ne fait rien comme tout le monde et elle décide d'annuler le deal quelques jours avant le closing. La raison ? Elle vient de rencontrer l'amour.Seulement, l'idylle se finit plus rapidement que prévu et son envie de vendre revient aussitôt. Elle recontacte alors Richard Gigou en septembre 2023 et lui propose un nouveau deal plus avantageux financièrement pour lui. Un deal que Richard accepte, et la cession est signée en novembre.Tout au long de cet épisode, Shanty Baehrel se livre pour la première fois sur les coulisses de cette incroyable cession. Les sentiments se mélangent encore, entre tristesse, nostalgie et soulagement, mais c'est avec beaucoup de sincérité qu'elle évoque notamment :le décès tragique de Richard Gigou quelques semaines après la signature du closingson plus gros défi : le sujet de l'automatisation de la productionle moment où elle a failli arrêter Shanty Biscuits à cause d'une association qui s'est mal passéeÀ vos écouteurs
“À 30 ans, je serais multimillionnaire et j'aurais ma Ferrari”. Dorian Ciavarella ne se cache pas et ses ambitions et motivations ont toujours été claires.Issu d'un milieu difficile et d'une famille modeste, le parcours de Dorian sonne un peu comme une revanche. Après avoir loupé son bac, ce compétiteur se jure de ne plus revivre un tel échec. Il poursuit alors ses études, travaillant de jour comme de nuit. En 2017, avec Sylvain Gasc, un de ses amis d'école, il décide de fonder Hivency, la première plateforme de marketing d'influence spécialisée sur Instagram.En 6 ans, la boite devient leader en Europe, et, alors qu'il est en pleine levée de fonds, Dorian reçoit une proposition de rachat de Skeepers, soutenu par PSG Equity. Le projet est ambitieux : “fusionner 10 boîtes, 550 salariés sur 10 cultures différentes en 12 mois”. Après avoir fait monter les enchères, Dorian Ciavarella décide de signer la cession d'Hivency le jour de ses 31 ans. À un an près, son objectif est atteint : il peut acheter sa Ferrari.Franc et authentique, Dorian se livre sur sa vision très personnelle de l'entrepreneuriat, lui qui assume n'avoir “jamais été intéressé par le secteur du marketing d'influence.” Il évoque aussi :l'importance des synergies humaines et relationnelles dans son choix de cessionson nouveau et dernier projet entrepreneurial avec Zeliq, “le premier copilote AI du sale” visant à révolutionner les métiers du commercialsa nouvelle vie de Business Angel et pourquoi il préfère investir à plusieurs plutôt que seulÀ vos écouteurs
“Dans une des dernières phases de négociation, à un moment on ne tombe pas d'accord. On s'est alors mis à jouer au roi du silence pendant 45 minutes”. Voilà comment on pourrait résumer le climat dans lequel s'est déroulée la cession d'Edufactroy.Après avoir démissionné de Goldman Sachs, Alexandre Lect décide de fonder Edufactory en 2013, une agence de création de formation digitale sur mesure pour les grands groupes privés et publics. A l'origine accompagné de deux associés, il décide rapidement de poursuivre cette aventure seul.C'est alors un saut dans l'inconnu pour lui. Il ne connait rien à ce milieu de la formation et il s'agit de sa première expérience entrepreneuriale. Alexandre Lect n'hésite d'ailleurs pas à dire qu'Edufactory a été “son école de l'entrepreneuriat”.Alors qu'il vient de remporter un très gros appel d'offre pour l'UGAP, la centrale d'achat public, il entre alors en contact avec le groupe Alten. Le processus de cession commence en octobre 2022 avec une deadline fixée à mai 2023.Mais tout ne se passe pas comme prévu. Les négociations trainent, Alexandre Lect et Alten peinent à se mettre d'accord, et la signature est alors décalée d'une semaine, puis deux, puis trois… Le deal sera finalement signé 4 mois plus tard, en septembre 2023, alors que les équipes d'Edufactory avaient déjà déménagé dans les locaux du repreneur.Tout au long de cet épisode, Alexandre Lect revient sur toutes les difficultés qu'il a rencontré, les enseignements qu'il en a tiré, mais il évoque aussi :sa nouvelle aventure entrepreneuriale avec Edtake, et la levée de fonds qu'il a mené en parallèle des négociations avec Altenla rencontre complètement insolite avec son associé chez EdtakeSon refus de céder à un repreneur américain, et sa volonté de mettre le bien-être de ses équipes au coeur dans son choix d'acquéreurA vos écouteurs
“Je n'ai même pas lu le contrat. Je fonctionne plutôt à la poignée de main”. Une anecdote qui résume parfaitement la mentalité d'Alexandre Crosby.Avec Benoit Chatelier, un de ses amis de l'ESSEC, il fonde Ubeeqo, anciennement Carbox, qui propose des services d'autopartage à destination du grand public et des entreprises. Ce projet, au storytelling incroyable, rencontre très rapidement un grand succès avec des clients prestigieux, comme Danone, L'Oréal ou encore Sodexo. Ils vont même réussir à convaincre Airbus grâce à un énorme coup de culot qu'Alexandre Crosby nous raconte dans cet épisode.Alors qu'ils étaient en plein processus de levée de fonds, Europcar prend contact avec eux en 2014. A nouveau grâce leur culot, Alexandre et Benoit reçoivent une proposition de LOI en quelques jours. Malgré des négociations plus longues que ce qu'ils imaginaient et grâce au formidable soutien de leur avocat, la cession est signée quelques semaines plus tard, mais sans Alexandre Crosby, en Islande pour l'EVG de son petit frère à ce moment-là.Tout au long de cet épisode, Alexandre Crosby délivre de nombreux conseils, notamment sur les questions de management, un aspect qu'il estime primordial pour être un bon entrepreneur. En effet, le bien-être et la proximité avec ses équipes sont essentiels à la croissance d'une startup, et c'est d'ailleurs ce qui a manqué à la fin de son aventure chez Europcar et qui l'a poussé à quitter ses fonctions.Humain et sincère, il revient aussi sur :sa vie d'après et son tour du monde d'un an avec sa femme et ses enfantsles difficultés de monter une structure B2Bson adieu particulier à Ubeeqo pendant le confinementÀ vos écouteurs
“Tu ne crées pas de la valeur en tirant les prix vers le bas, mais plutôt en tirant ton produit vers le haut”. Voilà comment on pourrait résumer la mentalité de Mickael FrogerC'est avec cette vision et cette manière de faire qu'il décide de fonder Lengow en 2009, une plateforme qui accompagne les marques et les entreprises dans l'automatisation e-commerce et l'augmentation de leur performance. La détermination de Mickael Froger est telle qu'à peine créé, Lengow signe un contrat avec l'un des géants français du commerce en ligne : la Fnac.13 ans plus tard, Lengow est devenu incontournable dans son secteur, et lorsque son fondateur décide de vendre l'entreprise, il se retrouve avec 5 LOI. Après un temps de réflexion et de concertation avec plusieurs de ses collaborateurs, Mickael Froger décide finalement de signer avec les américains de Marlin Equity Partners le soir du… 24 décembre !Dans cet épisode, Mickael Froger revient avec franchise sur sa cession placée. En effet, l'humain et la transparence ont primé dans les négociations, alors même que ces dernières ont eu lieu au milieu de la période Covid avec un closing entièrement à distance, un des plus gros regrets de Mickael Froger. Il revient aussi sur :le principe de liberté de l'entrepreneur et son avis sur les earn outles raisons de son départ de chez Lengowsa nouvelle vie d'investisseursa nouvelle aventure avec Mimbison rôle de père et la place de ses filles dans ses projets entrepreneuriauxÀ vos écouteurs