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Géopolitique
Un passé qui ne passe pas : la Namibie commémore pour la première fois un génocide vieux de 120 ans

Géopolitique

Play Episode Listen Later May 28, 2025 3:32


durée : 00:03:32 - Géopolitique - par : Pierre Haski - C'est un génocide commis par l'armée coloniale allemande, vieux de 120 ans, mais qui est commémoré officiellement pour la première fois aujourd'hui en Namibie. C'est une mémoire douloureuse qui ressurgit, ici comme ailleurs en Afrique, et qui vient bousculer les anciens colonisateurs.

Chronique des Matières Premières
Pétrole: des projets africains à foison, mais un manque criant d'investissement

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later May 14, 2025 1:43


« Investir dans l'Énergie africaine », le forum réunissant le gratin du secteur des hydrocarbures en Afrique s'est refermé ce mercredi 14 mai à Paris. Résultat des échanges : les projets pétroliers ne manquent pas sur le continent, mais les investisseurs ne se bousculent pas. Le réservoir est immense : plus de 125 milliards de barils de réserves prouvées de pétrole. Et pourtant, c'est le paradoxe, l'exploitation de ces ressources restent très difficile. L'Afrique n'attire pas assez de capitaux. En RDC, il y a eu l'annulation de l'appel d'offre sur 27 blocs pétroliers de la cuvette centrale en fin d'année. Il a été relancé la semaine dernière après un redécoupage en 52 blocs, mais que la route est longue. L'Angola subit aussi une baisse de sa production et des départs d'investisseurs. Au Nigeria, les majors ont tour à tour quitté le pays et ses puits onshore.  Le Ghana n'arrive également pas à être attractif malgré les appels répétés de ses gouvernants. Dernier en date, John Mahama au CEO forum d'Abidjan ce mardi demandant aux investissements étrangers de « pomper du pétrole comme s'il n'y avait pas de lendemain ».Baisse des prix néfaste pour les pays producteursD'autant que la dynamique des investissements n'est pas bonne, notamment depuis l'élection de Donald Trump. Un président américain, grand soutien des énergies fossiles. La première des conséquences, c'est que les banques américaines risquent d'orienter leurs investissements vers les projets aux États-Unis. C'est, pour elles, moins risqué qu'en Afrique où le FMI souligne les infrastructures limitées, l'insécurité accrue et la gouvernance parfois déficiente. Une autre conséquence de l'élection de Trump, c'est une baisse des prix du pétrole qui aujourd'hui pénalise les producteurs africains. Les incertitudes namibiennesMême les valeurs sûres comme la Namibie charrient leurs lots d'incertitudes. Le pays d'Afrique australe est vu comme l'eldorado pétrolier du continent avec les récentes découvertes d'importants gisements offshore. Maggy Shino, commissaire au pétrole au ministère de l'Énergie namibien, était à Paris au forum d'investissement ce mardi. Elle a insisté sur les opportunités de son pays pour les investisseurs, mais sur le terrain, tout semble plus complexe. Shell traîne des pieds, Chevron fore des puits sans grand succès pour l'instant et TotalEnergies n'a toujours pas signé sa décision finale d'investissement sur le projet Vénus. Un gisement de 750 millions de barils estimés à près de 3 000 mètres de profondeur. Les défis techniques et les calculs de rentabilité ne semblent pas encore complètement résolus.

Un Jour dans l'Histoire
Le génocide des Herero : matrice de la Shoah ?

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later May 11, 2025 31:28


Nous sommes le 2 octobre 1904. Neuf jours avant la bataille de « Waterberg » du nom du plateau ainsi baptisé par les Allemands, en Namibie. La puissance coloniale est en guerre contre les Herero commandés par le chef Samuel Maharero. Berlin a décidé de l'envoi massif de troupes placées sous le commandement du général Lothar von Trotha. Celui-ci a rédigé un ordre dit d'extermination. Il écrit : « Moi, le général des troupes allemandes, adresse cette lettre au peuple herero. Les Herero ne sont plus dorénavant des sujets allemands. Ils ont tué, volé, coupé des nez, des oreilles, et d'autres parties de soldats blessés et maintenant, du fait de leur lâcheté, ils ne se battent plus. Je dis au peuple : quiconque nous livre un Herero recevra 1.000 marks. Celui qui me livrera Samuel Maharero recevra 5.000 marks. Tous les Herero doivent quitter le pays. S'ils ne le font pas, je les y forcerai avec mes grands canons. Tout Herero découvert dans les limites du territoire allemand, armé comme désarmé, avec ou sans bétail, sera abattu. Je n'accepte aucune femme ou enfant. Ils doivent partir ou mourir. Telle est ma décision pour le peuple Herero ». Plus d'un siècle plus tard, et pour la première fois, le 27 mai 2021, l'Allemagne a reconnu avoir commis “un génocide” en Namibie. “À la lumière de la responsabilité historique et morale de l'Allemagne, a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Heiko Maas, nous allons demander pardon à la Namibie et aux descendants des victimes pour les atrocités commises ». Quelles sont les raisons et les conditions de « ce premier génocide du terrible vingtième siècle », selon l'expression d'Albert Camus ? Peut-il être vu comme une sorte de matrice de la Shoah ? Invité : Joël KOTEK, professeur à l'Université Libre de Bruxelles et enseignant à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris Auteur de : « COLONIALISME ET RACISME COMME MATRICE DE LA SHOAH: LE CAS DU GENOCIDE DES HERERO ». Sujets traités : génocide, Herero,Shoah, Allemagne, Namibie, Samuel Maharero, Lothar von Trotha, extermination, Heiko Maas, Albert Camus Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage Afrique
Massacres du 8 mai 1945 en Algérie: «Cette histoire demeure très peu enseignée»

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later May 7, 2025 2:17


Il y a 80 ans, le 8 mai 1945, le jour même où la France fêtait la victoire sur les nazis, des manifestations indépendantistes éclataient en Algérie. Elles furent massivement et violemment réprimées par l'armée française. Plusieurs massacres ont eu lieu à Sétif, Guelma et Kherrata, faisant des dizaines de milliers de morts. À l'occasion de la commémoration de cette répression sanglante, un collectif de chercheurs et d'historiens a lancé un appel à la reconnaissance de ces crimes. Selon les historiens de ce collectif, la France reste très en retard par rapport à la reconnaissance officielle des massacres commis en Algérie, comparativement aux autres puissances coloniales. La Grande-Bretagne a reconnu ses crimes au Kenya au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne l'a fait pour la Namibie, tout comme la Belgique, la Hollande, les États-Unis sous différentes formes, ainsi que le Canada. Il y a eu certes des reconnaissances partielles, avancent les historiens, comme pour l'assassinat des indépendantistes Ali Boumendjel, Larbi Ben M'hidi ou Maurice Audin, mais il n'y pas eu de reconnaissance « pleine, entière et circonstanciée » des crimes commis pendant cette période en Algérie.Pour l'historien Nils Andersson, le peuple français n'est pas prêt : « Je crois qu'aujourd'hui, la situation plus difficile qu'elle ne l'était en 1962 au moment de l'indépendance, affirme l'expert. L'indépendance de l'Algérie reste un traumatisme dans l'opinion publique française. On constate qu'il y a des ressentiments anti-algérien en France, pays colonisateur. Je pense que le rôle des responsables politiques est non pas de faire de la politique politicienne en exacerbant les sentiments identitaires et religieux, mais d'avoir le courage de reconnaître le fait colonial. Et cela, ce n'est nullement un acte de contrition ou de repentance, c'est simplement un acte moral de vérité. Mais il faut que les politiques aient le courage de le réaliser. » « Une discrimination mémorielle pour les héritiers de l'immigration coloniale »Selon les universitaires, la bataille pour la reconnaissance des massacres en Algérie demeure cependant nécessaire, pour des relations paisibles franco-algériennes, mais surtout pour une réconciliation des mémoires. « Assurément, une reconnaissance par les plus hautes autorités de l'État des massacres commis le 8 mai 1945 contribuerait à améliorer les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie, estime l'historien de la colonisation Olivier La Cour Grandmaison. Mais il y a un autre volet : il y a en France un nombre très important d'héritiers de l'immigration coloniale et postcoloniale qui sont français, mais qui ont des origines particulières, qui ont une histoire familiale parfois particulière, en raison des conséquences de ces massacres. Ils sont depuis maintenant très longtemps confrontés à ce refus d'une reconnaissance pleine et entière. Cette histoire demeure très peu enseignée dans les collèges, les lycées et les universités. Encore une fois, c'est perçu comme une discrimination mémorielle et commémorielle pour les héritiers de l'immigration coloniale et postcoloniale. »Cet autre 8 mai et la répression massive des indépendantistes ont longtemps été occultés en France. Les massacres ont profondément marqué le peuple algérien et ont, selon les historiens, amorcé la guerre d'indépendance en Algérie.À lire aussiFrance: le Premier ministre élargit l'indemnisation des harkis à 6000 personnes supplémentaires

C à vous
Les meilleurs moments de "Rendez-vous en terre inconnue"

C à vous

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 8:53


Alors qu'on fête ce soir les 20 ans de l'émission culte "Rendez-vous en terre inconnue". Avec Frédéric Lopez on revient sur les moments forts de l'émission, la première invitée, par exemple, était Muriel Robin en Namibie.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.

C'est dans ta nature
Comment les animaux trouvent de l'eau dans les déserts

C'est dans ta nature

Play Episode Listen Later Apr 19, 2025 2:40


Pour survivre dans des conditions extrêmes, marquées en particulier par le manque d'eau, la faune du désert a développé des stratégies que dévoile l'exposition Déserts au Muséum national d'Histoire naturelle à Paris. C'est un paradoxe sur lequel s'appuie l'exposition Déserts qui se tient au Muséum national d'Histoire naturelle à Paris (jusqu'en novembre) : il y a de la vie dans les déserts. Et s'il y a de la vie, il faut de l'eau. C'est un autre paradoxe, puisque c'est précisément le manque d'eau qui définit un désert : moins de 200 millimètres de pluie par an. Dans le désert du Sahara, il tombe même moins de 20 millimètres d'eau chaque année.Dans ces mondes aux conditions extrêmes, les animaux ont des stratégies pour survivre. L'eau, ils la trouvent d'abord dans la nourriture. C'est le cas du chameau ou du dromadaire, dont un spécimen naturalisé domine l'exposition. « L'excès de nourriture, l'excès d'énergie, va être stocké sous forme de gras, dans la bosse du dromadaire, explique notre guide, Anthony Herrel, chercheur CNRS au Muséum national d'Histoire naturelle. Le métabolisme du gras va libérer de l'eau pour l'organisme. C'est ce qu'on appelle de l'eau métabolique qui donne une ressource supplémentaire en eau. »De l'eau dans l'airLes rongeurs, eux, sont friands de graines. « Et dans les graines, il y a de l'eau, rappelle Anthony Herrel. De plus, les rongeurs vont stocker les graines dans un terrier où c'est beaucoup plus humide qu'à la surface. Donc, les graines vont se saturer en eau et c'est une ressource supplémentaire pour l'animal. »De l'eau, il peut aussi y en avoir dans l'air de certains déserts, sous forme d'humidité. C'est le cas du désert du Namib, en Afrique australe, où vit un scarabée, le ténébrion du désert, l'un des insectes les plus rapides au sol pour ne pas brûler ses pattes et rester le moins longtemps exposé au soleil. « Le Namib est un désert particulier parce que le long de la côte de Namibie passe un courant d'air froid qui passe, qui évapore de l'eau, ce qui donne de la rosée le matin. Le ténébrion va se mettre en haut des dunes avec la tête en bas et sur la carapace, il y a des microstructures qui vont faire condenser l'eau, ensuite amenée vers la bouche de l'animal. Le ténébrion peut ainsi boire de l'eau qui est présente dans l'air », souligne Anthony Herrel.Les stratégies du molochOn s'arrête enfin devant un spécimen guère avenant, couvert d'épines menaçantes. C'est un moloch, qui a l'apparence d'un gros lézard, un habitant des déserts australiens. Ses épines lui sont utiles, et pas seulement pour effrayer ses prédateurs. « L'eau va condenser sur ses épines, mais pas suffisamment pour en vivre, explique Anthony Herrel, l'un des conseillers scientifiques de l'exposition. Mais le moloch a une deuxième stratégie, assez intéressante : il arrive à remonter l'eau présente dans le sable via un réseau de capillaires jusqu'à sa bouche. Après une pluie, il va juste se poser dans le sable mouillé et l'eau va automatiquement remonter par ce réseau de petits canaux jusqu'à la bouche de l'animal. Le moloch peut ainsi boire de l'eau qui n'est plus présente sous forme liquide. » C'est l'une des leçons du désert : quand l'eau est rare, il faut prendre sur soif.

Reportage International
Restitution d'œuvres d'arts africaines: un fond franco-allemand pour rechercher l'origine des œuvres

Reportage International

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 4:34


La coopération franco-allemande passe un nouveau cap. Désormais, le deux pays coopèrent sur la question de l'origine des objets culturels d'Afrique subsaharienne détenus dans les musées des deux pays. Il y a un an, un fond a été lancé et trois projets sélectionnés. Les diverses équipes de chercheurs se sont réunies pour la première fois la semaine dernière à Berlin. De notre correspondante,Une conférence ouverte au public en plein centre de Berlin, puis deux journées de travail entre chercheurs, ont officiellement lancé le fond franco-allemand de recherche sur la provenance des objets culturels d'Afrique subsaharienne. Au total, plusieurs dizaines de chercheurs vont travailler pendant trois ans. Ils viennent de France, d'Allemagne, mais aussi du Cameroun, du Sénégal, du Bénin, du Mali ou encore de Tanzanie, des pays qui ont été colonisés par ces deux puissances au XIXe et au XXe siècle. Julie Sissia est responsable scientifique de ce fond. Elle nous en explique le concept :« Les gouvernements français et allemands ont fait le constat qu'il était nécessaire pour ces deux pays, qui renferment les collections d'objets d'Afrique subsaharienne parmi les plus importantes en Europe, de mettre en commun les ressources des chercheurs de provenance et aussi les ressources dans les universités et dans les musées, pour faire la lumière sur les circulations des objets qui participent d'un phénomène de colonisation qui est, on le sait, un phénomène européen. Les histoires ne sont pas exclusivement nationales, quand bien même la France et l'Allemagne ont des histoires coloniales qui sont très différentes. La colonisation allemande s'est arrêtée plus tôt, elle a commencé plus tard que celle de la France. »À lire aussiRestitution des œuvres d'art africaines: la France et l'Allemagne lancent un fonds de recherche« L'effet Macron » propulse trois projets de rechercheCe projet de recherche franco-allemand n'aurait pas vu le jour sans l'impulsion donnée par le président Emmanuel Macron sur la question de la restitution des biens culturels aux pays africains. Après son discours de Ouagadougou, en 2017, le président français a restitué 26 biens au Bénin. Pour Hamady Bocoum, ancien directeur du musée des Civilisations noires de Dakar, cette étape a été cruciale :« Il faut reconnaître que finalement, c'est la parole du prince qui a le plus porté. Je veux parler de ''l'effet Macron'', quand il a déclaré ne pas pouvoir accepter qu'une large part du patrimoine culturel des pays d'Afrique soit en France. Il a projeté de les restituer dans les cinq ans, ce qui n'a pas pu être fait, mais il a quand même ouvert les vannes. J'ai la naïveté de penser que les lignes vont bouger malgré de réelles résistances. »Désormais, c'est une nouvelle étape scientifique qui commence. Le fond franco-allemand a sélectionné trois projets de recherche. L'un d'entre eux se concentre sur plus d'une centaine de restes humains, des crânes, des os, des squelettes pillés par les colons dans les actuels Cameroun, Tanzanie et Namibie. Des restes humains conservés dans les collections de l'université de Strasbourg. Sylvain Djache Nzefa coordonne la route des chefferies au Cameroun, et il participe à ce projet de recherche :« Ils viennent de la Tanzanie, du Cameroun, mais il y a un travail encore beaucoup plus poussé que les historiens sont en train de faire sur leur origine exacte. Ces restes humains font partie de quelle communauté ? On parle de 1902, 1905, pour le Cameroun. Comment était le territoire ? Comment étaient organisées les chefferies traditionnelles ? Voilà de quoi il s'agit. »À lire aussiLa restitution des œuvres d'art africainDes objets culturels et objets du quotidien seront analysésUn autre projet vient de débuter. Il concerne les objets culturels issus de la communauté banama et spoliés dans ce qui était le Soudan français au tournant du XXe siècle. Une partie de ces objets se trouvent au musée du Quai Branly à Paris. Une autre, encore plus importante, à Hambourg, en Allemagne. La plupart ont été « rapportés » par l'ethnologue allemand Leo Frobenius, dont il faut désormais analyser les archives. C'est l'une des taches du chercheur allemand Richard Kuba :« On a énormément de matériel visuel, des photographies, des croquis, des aquarelles. Un but de ce projet, c'est d'utiliser ces images, mais aussi les archives écrites, les journaux de voyages qu'on a, qui sont extrêmement difficiles à déchiffrer parce que c'est un monsieur qui a une écriture à la main compliquée. De ramener ça, de le mettre en contexte avec les objets qu'il a collectés au Mali en 1907 et 1908 de la région des Banamas. »Le troisième projet se concentre sur des objets du quotidien, des instruments de musique, des objets cultuels, des ustensiles de cuisine, familiers, mais souvent méconnus dans leurs sociétés d'origine et dans les lieux où ils sont conservés. Les chercheurs souhaitent les relier de nouveau à leurs communautés, et notamment aux femmes, et donner la parole à celles et ceux qui ont été exclus dans l'histoire coloniale.Au final, ces différents projets de recherche donneront lieu à des publications, à des expositions. Mais le but est aussi de créer une dynamique scientifique, avec d'autres pays qui, comme la France et l'Allemagne, possèdent des collections issues d'Afrique subsaharienne. 

Reportage international
Restitution d'œuvres d'arts africaines: un fond franco-allemand pour rechercher l'origine des œuvres

Reportage international

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 4:34


La coopération franco-allemande passe un nouveau cap. Désormais, le deux pays coopèrent sur la question de l'origine des objets culturels d'Afrique subsaharienne détenus dans les musées des deux pays. Il y a un an, un fond a été lancé et trois projets sélectionnés. Les diverses équipes de chercheurs se sont réunies pour la première fois la semaine dernière à Berlin. De notre correspondante,Une conférence ouverte au public en plein centre de Berlin, puis deux journées de travail entre chercheurs, ont officiellement lancé le fond franco-allemand de recherche sur la provenance des objets culturels d'Afrique subsaharienne. Au total, plusieurs dizaines de chercheurs vont travailler pendant trois ans. Ils viennent de France, d'Allemagne, mais aussi du Cameroun, du Sénégal, du Bénin, du Mali ou encore de Tanzanie, des pays qui ont été colonisés par ces deux puissances au XIXe et au XXe siècle. Julie Sissia est responsable scientifique de ce fond. Elle nous en explique le concept :« Les gouvernements français et allemands ont fait le constat qu'il était nécessaire pour ces deux pays, qui renferment les collections d'objets d'Afrique subsaharienne parmi les plus importantes en Europe, de mettre en commun les ressources des chercheurs de provenance et aussi les ressources dans les universités et dans les musées, pour faire la lumière sur les circulations des objets qui participent d'un phénomène de colonisation qui est, on le sait, un phénomène européen. Les histoires ne sont pas exclusivement nationales, quand bien même la France et l'Allemagne ont des histoires coloniales qui sont très différentes. La colonisation allemande s'est arrêtée plus tôt, elle a commencé plus tard que celle de la France. »À lire aussiRestitution des œuvres d'art africaines: la France et l'Allemagne lancent un fonds de recherche« L'effet Macron » propulse trois projets de rechercheCe projet de recherche franco-allemand n'aurait pas vu le jour sans l'impulsion donnée par le président Emmanuel Macron sur la question de la restitution des biens culturels aux pays africains. Après son discours de Ouagadougou, en 2017, le président français a restitué 26 biens au Bénin. Pour Hamady Bocoum, ancien directeur du musée des Civilisations noires de Dakar, cette étape a été cruciale :« Il faut reconnaître que finalement, c'est la parole du prince qui a le plus porté. Je veux parler de ''l'effet Macron'', quand il a déclaré ne pas pouvoir accepter qu'une large part du patrimoine culturel des pays d'Afrique soit en France. Il a projeté de les restituer dans les cinq ans, ce qui n'a pas pu être fait, mais il a quand même ouvert les vannes. J'ai la naïveté de penser que les lignes vont bouger malgré de réelles résistances. »Désormais, c'est une nouvelle étape scientifique qui commence. Le fond franco-allemand a sélectionné trois projets de recherche. L'un d'entre eux se concentre sur plus d'une centaine de restes humains, des crânes, des os, des squelettes pillés par les colons dans les actuels Cameroun, Tanzanie et Namibie. Des restes humains conservés dans les collections de l'université de Strasbourg. Sylvain Djache Nzefa coordonne la route des chefferies au Cameroun, et il participe à ce projet de recherche :« Ils viennent de la Tanzanie, du Cameroun, mais il y a un travail encore beaucoup plus poussé que les historiens sont en train de faire sur leur origine exacte. Ces restes humains font partie de quelle communauté ? On parle de 1902, 1905, pour le Cameroun. Comment était le territoire ? Comment étaient organisées les chefferies traditionnelles ? Voilà de quoi il s'agit. »À lire aussiLa restitution des œuvres d'art africainDes objets culturels et objets du quotidien seront analysésUn autre projet vient de débuter. Il concerne les objets culturels issus de la communauté banama et spoliés dans ce qui était le Soudan français au tournant du XXe siècle. Une partie de ces objets se trouvent au musée du Quai Branly à Paris. Une autre, encore plus importante, à Hambourg, en Allemagne. La plupart ont été « rapportés » par l'ethnologue allemand Leo Frobenius, dont il faut désormais analyser les archives. C'est l'une des taches du chercheur allemand Richard Kuba :« On a énormément de matériel visuel, des photographies, des croquis, des aquarelles. Un but de ce projet, c'est d'utiliser ces images, mais aussi les archives écrites, les journaux de voyages qu'on a, qui sont extrêmement difficiles à déchiffrer parce que c'est un monsieur qui a une écriture à la main compliquée. De ramener ça, de le mettre en contexte avec les objets qu'il a collectés au Mali en 1907 et 1908 de la région des Banamas. »Le troisième projet se concentre sur des objets du quotidien, des instruments de musique, des objets cultuels, des ustensiles de cuisine, familiers, mais souvent méconnus dans leurs sociétés d'origine et dans les lieux où ils sont conservés. Les chercheurs souhaitent les relier de nouveau à leurs communautés, et notamment aux femmes, et donner la parole à celles et ceux qui ont été exclus dans l'histoire coloniale.Au final, ces différents projets de recherche donneront lieu à des publications, à des expositions. Mais le but est aussi de créer une dynamique scientifique, avec d'autres pays qui, comme la France et l'Allemagne, possèdent des collections issues d'Afrique subsaharienne. 

Regard'Ailleurs
Francis Collie "je suis la piste"

Regard'Ailleurs

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 39:57


Francis Collie, est un amoureux du vivant, des traditions et des peuples racines. Très jeune c'est son grand père qui l'a initié à la découverte des animaux et de leurs traces en forêt. Puis il s'est intéressé à ces peuples qui vivent plus proche de la nature contrairement à l'homme moderne souvent déconnecté des écosystèmes dans lesquels il évolue. Francis est allée à la rencontre des aborigènes en Australie et plus récemment du peuple « san » plus connu sous le nom de bushman. Un peuple de chasseur cueilleur, qui aujourd'hui encore piste les animaux du bush. Dans cette émission Regard'Ailleurs, Francis partage son itinéraire de vie, ses voyages, sa rencontre avec les bushmen en Namibie, sa vision du monde, et sa passion du pistage. Plus d'info : https://jesuislapiste.fr/   Si vous avez aimé ce podcast, n'hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux avec le hashtag #regardailleurs  Pour continuer à suivre mon travail, retrouvez moi sur:  Instagram: https://www.instagram.com/gaiaimages_photography/ Facebook: https://www.facebook.com/gaiaimages Mon site internet: https://www.gaia-images.com Soutenir le podcast : https://www.buymeacoffee.com/alexandre.gaia Soutenez-nous sur Patreon et Tipeee !

Chronique des Matières Premières
L'Inde et le secteur du diamant pris dans la tourmente des taxes américaines

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 2:05


Plus de 80% des diamants bruts sont aujourd'hui polis en Inde, pays qui n'est pas épargné par la nouvelle politique douanière américaine. Avec les nouvelles taxes qui s'imposent, toute une filière est plongée dans l'inconnu, de la compagnie minière au bijoutier. Les produits indiens sont désormais taxés à 27% pour entrer sur le sol américain. Cette mesure concerne aussi les diamants qui sont taillés en Inde, car même s'ils ne sont que polis dans le pays, au regard des douanes américaines, la transformation est suffisante pour que leur origine devienne en quelque sorte indienne.D'autres pierres taillées en Inde entrent aux États-Unis simplement pour y être analysées et certifiées avant d'être réexpédiées à leur diamantaire et vendues sur un autre marché. Le laboratoire le plus réputé en la matière est le Gemological Institute of America. Et même ces pierres-là, qui ne sont pas destinées à être vendues sur le sol américain, sont soumises aux taxes. Mais comme la règlementation n'est pas encore très claire, le centre d'expertise a écrit début avril aux diamantaires étrangers pour leur conseiller de ne plus envoyer de pierres à analyser, le temps que la situation se décante.Des milliers d'emplois menacés en IndeLe diamant est le troisième produit d'exportation de l'Inde vers les États-Unis. À court terme, les pertes d'emploi sont inévitables, estime le président de l'Indian Diamond Institute, basé à Surate, la capitale indienne de cette industrie dans laquelle a été inaugurée une bourse au diamant en 2023. L'Inde espère neutraliser ces nouvelles taxes. Les autorités n'ont, pour l'instant, pas pris de mesure de rétorsion. Elles privilégient la négociation d'un accord commercial bilatéral, accord qui pourrait être conclu d'ici à quelques mois.Une filière inquièteÀ chaque étape, de l'extraction à la vente des diamants, c'est l'inconnu qui prévaut. À l'instar de cette mesure prise par un opérateur minier, qui vient d'annoncer, lundi 7 avril, l'annulation d'une vente aux enchères qui arrivait à échéance cette semaine. Annulation jusqu'à nouvel ordre, face aux « incertitudes » du moment, écrit-il dans une lettre à ses clients. Les États-Unis achètent la moitié des diamants vendus dans le monde, et c'est grâce à eux que la consommation avait redécollé avant les fêtes de Noël. Si les Américains s'offrent moins de pierres précieuses, on pourrait voir des compagnies minières du Botswana, ou de Namibie peut-être, lever le pied et moins produire, pour ne pas inonder le marché et risquer de faire chuter les prix. Aucun pays ne pourra, par sa demande en diamants, compenser une éventuelle paralysie du marché américain. Et ce d'autant que les acheteurs qui ont les moyens d'offrir des diamants sont aussi souvent ceux qui ont investi dans les marchés financiers et qui sont aujourd'hui très inquiets de la situation économique mondiale, relève un expert de la filière.À lire aussiInde: Narendra Modi inaugure une «Bourse du diamant» à Surate dans l'État du Gujarat

Afrique Économie
RDC: les transporteurs locaux bénéficient de droits préférentiels sur la moitié des marchandises

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Apr 1, 2025 2:18


En RDC, les transporteurs congolais ont désormais le droit de transporter 50 % des marchandises à l'importation et à l'exportation. La décision prise à la fin du mois de février par le ministère congolais des Transports pourrait avoir un impact positif, en particulier pour la région du Katanga où l'activité minière est intense. Pour les transporteurs congolais, le défi est grand : ils ne représentent aujourd'hui que 3 % de la flotte en activité dans le pays et font face à un coût de péage routier supérieur à celui de leurs collègues d'Afrique australe. En République démocratique du Congo, près de 300 véhicules par jour traversent la frontière avec la Zambie. Plus de 95 % de ce trafic est assuré par des sociétés étrangères. « L'une des raisons est le coût élevé pour les transporteurs routiers congolais, déplore un transporteur congolais, qui a requis l'anonymat. À titre d'exemple, au niveau de la Zambie, nous payons 1 000 dollars de coût supplémentaire que tous les autres transporteurs. Ce qui fait que nous ne sommes plus concurrentiels. »Les mines ont leur société de transport à l'étrangerEn effet, depuis 2021, la Zambie applique la réciprocité, car du côté congolais, les frais de péage routier sur le tronçon Kasumbalesa – Kolwezi sont de 900 dollars alors que dans les pays de la SADC, ils sont fixés à 10 dollars pour 100 km. « Sur le corridor sud qui part de Kolwezi jusqu'en Zambie, les transporteurs congolais ne représentent que 3 % parce que les entreprises minières installées au Congo ont leurs propres sociétés de transport en Zambie, en Namibie, en Afrique du Sud et en Tanzanie », souligne de son côté Philippe Seneve, le président du comité des transporteurs congolais au sein du patronat à Kolwezi.En vue de stimuler le secteur, les autorités ont récemment signé un arrêté accordant un droit préférentiel aux transporteurs locaux. « Cet arrêté accordant aux transporteurs locaux un droit de préférence à hauteur de 50 % des marchandises va sans nul doute accroître le nombre des transporteurs et travailleurs locaux et impacter positivement l'économie tant nationale que provinciale », espère Jean-Marie Abolia, secrétaire général au ministère des Transports de la République démocratique du Congo.Créer 4 000 emploisPour le patronat congolais, grâce à cette mesure, 4 000 emplois seront créés dans la région du Katanga, et un revenu mensuel évalué à 23 millions de dollars généré par ce secteur restera au pays. Mais les défis sont énormes vu le nombre réduit des transporteurs locaux. « Nous devons les accompagner afin d'atteindre une flotte d'au moins 3 500 camions avec un chargement journalier de 110 camions qui représentent effectivement les 50 % », estime Ritha Ilunga, la responsable du comité des transporteurs au sein du patronat à Lubumbashi, qui veut rester optimiste. Entre-temps, les transporteurs locaux attendent du gouvernement congolais une diminution du coût du péage routier ou tout simplement l'exonération de ces frais.À lire aussiRDC: dans le Sud-Kivu, l'avenir de la société aurifère DRC Gold Trading SA s'assombrit

Invité culture
Penda Diouf restitue la mémoire de la Namibie et signe une 1ère mise en scène puissante et poétique

Invité culture

Play Episode Listen Later Mar 23, 2025 8:45


Penda Diouf révèle la tragédie oubliée de la Namibie à travers le génocide des peuples Herero et Nama dans Pistes... au Théâtre 13, à Paris. Un texte sur la mémoire, son sujet de prédilection, où elle se penche aussi sur sa propre histoire de fille afro-descendante née en France. L'autrice, qui a déjà plusieurs pièces à son actif, signe cette fois sa première mise en scène, forte et pleine de poésie. Pistes est à retrouver au Théâtre 13, à Paris, jusqu'au 29 mars.À écouter dans Afrique, mémoires d'un continentEn Namibie, le génocide méconnu des Nama et des Herero

Invité Culture
Penda Diouf restitue la mémoire de la Namibie et signe une 1ère mise en scène puissante et poétique

Invité Culture

Play Episode Listen Later Mar 23, 2025 8:45


Penda Diouf révèle la tragédie oubliée de la Namibie à travers le génocide des peuples Herero et Nama dans Pistes... au Théâtre 13, à Paris. Un texte sur la mémoire, son sujet de prédilection, où elle se penche aussi sur sa propre histoire de fille afro-descendante née en France. L'autrice, qui a déjà plusieurs pièces à son actif, signe cette fois sa première mise en scène, forte et pleine de poésie. Pistes est à retrouver au Théâtre 13, à Paris, jusqu'au 29 mars.À écouter dans Afrique, mémoires d'un continentEn Namibie, le génocide méconnu des Nama et des Herero

Vous m'en direz des nouvelles
Penda Diouf entre en «Pistes» pour sa première mise en scène

Vous m'en direz des nouvelles

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 48:25


Des pistes d'athlétisme à celles du désert de Namibie, c'est un récit à la première personne. Pistes de Penda Diouf est un seul en scène qui explore l'intime et l'universel. D'abord l'expérience d'une enfant noire en France à la recherche de modèles inspirants qu'elle finira par trouver dans le sport et puis la découverte d'un pays la Namibie dont le désert rougeoyant attire les touristes mais qui la connecte elle à l'histoire du premier génocide du XXè siècle, celui des populations Hereros et Namas sous la colonisation allemande. Un génocide oublié. Pistes est écrit et mis en scène par Penda Diouf et interprété par Nanyadji Ka Gara.Penda Diouf et Nanyadji Ka Gara sont les invités de Sur le pont des arts. Pistes est à voir sur la scène du Théâtre 13 à Paris jusqu'au 29 mars 2025. Au programme de l'émission :► Café PolarCatherine Fruchon-Toussaint s'est entretenue avec Hélène Clerc-Murgier pour son roman «Meurtres en cinq actes» (Actes Sud Noir), une plongée dans le monde du théâtre au 17ème siècle à Paris sur fond de meurtres et de rivalités entre troupes de comédiens. ► Playlist du jour- Shishani - Forgiveness- Myra - Des Fleurs.

Vous m'en direz des nouvelles !
Penda Diouf entre en «Pistes» pour sa première mise en scène

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 48:25


Des pistes d'athlétisme à celles du désert de Namibie, c'est un récit à la première personne. Pistes de Penda Diouf est un seul en scène qui explore l'intime et l'universel. D'abord l'expérience d'une enfant noire en France à la recherche de modèles inspirants qu'elle finira par trouver dans le sport et puis la découverte d'un pays la Namibie dont le désert rougeoyant attire les touristes mais qui la connecte elle à l'histoire du premier génocide du XXè siècle, celui des populations Hereros et Namas sous la colonisation allemande. Un génocide oublié. Pistes est écrit et mis en scène par Penda Diouf et interprété par Nanyadji Ka Gara.Penda Diouf et Nanyadji Ka Gara sont les invités de Sur le pont des arts. Pistes est à voir sur la scène du Théâtre 13 à Paris jusqu'au 29 mars 2025. Au programme de l'émission :► Café PolarCatherine Fruchon-Toussaint s'est entretenue avec Hélène Clerc-Murgier pour son roman «Meurtres en cinq actes» (Actes Sud Noir), une plongée dans le monde du théâtre au 17ème siècle à Paris sur fond de meurtres et de rivalités entre troupes de comédiens. ► Playlist du jour- Shishani - Forgiveness- Myra - Des Fleurs.

Au Bout du Jour
Le Fin Mot (en direct de la Foire du Livre) - Jean-Philippe Schreiber et Colette Braeckman : Neretse

Au Bout du Jour

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 20:03


Le génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 est le dernier massacre de masse du 20e siècle. Fin 2019, se tenait à Bruxelles le premier procès pour crime de génocide ; un procès historique. Fabien Neretse, le prévenu, est inculpé pour sa participation à l'extermination des Tutsi. Jean-Philippe Schreiber est directeur de recherches au Fonds national de la Recherche scientifique et professeur ordinaire à l'Université libre de Bruxelles. Il est l'auteur ou l'éditeur de nombreux ouvrages, parmi lesquels « Le Choc. Rwanda 1994 : le génocide des Tutsi », paru aux Éditions Gallimard en 2024 ». Il assiste aux audiences, raconte, explique... Il tire une réflexion sur le génocide, sa nature, son exécution et ses exécutants, sa falsification, sa mémoire Il réinsère l'évènement dans l'histoire d'un des quatre crimes de masse au XXe siècle : les Arméniens par les Turcs, les Herero et Nama de l'actuelle Namibie par les Allemands , la Shoah, la destruction des Juifs par les nazis et enfin les Tutsi au Rwanda. Son livre est préfacé par Colette Braeckman. Elle a été longtemps grand reporter au service international du Soir, pour lequel elle a couvert les grands conflits et drames du monde et plus particulièrement l'actualité en Afrique centrale, au Rwanda, au Burundi et aussi en République démocratique du Congo. Merci pour votre écoute Le fin Mot c'est également en direct tous les jours de la semaine de 18h30 à 19h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Le fin Mot sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23283 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqx L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQTransversales : notre collection de reportages infos longue forme : https://audmns.com/WgqwiUpN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Beau Voyage
#52- Edith @pleinleursyeux : voir la beauté du monde avant de perdre la vue, le Népal en famille et des nuits sous la yourte

Beau Voyage

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 53:38


Aujourd'hui nous avons l'immense privilège de recevoir Édith Lemay @pleinleursyeux. Édith et Sébastien ont quatre enfants. Ceux-ci sont encore petits lorsqu'un diagnostic vient tout changer : trois d'entre eux sont atteints de rétinite pigmentaire, une maladie génétique dégénérative de la rétine. Ils perdront graduellement la vue. Pronostic sans appel. À défaut de pouvoir leur offrir un traitement ou des solutions aux défis à venir, les spécialistes suggèrent aux parents de remplir la mémoire visuelle de leurs enfants. Il n'en fallait pas plus pour les mettre en mouvement. Avant que la noirceur s'installe, ils devaient montrer toute la beauté du monde à Mia, Léo, Colin et Laurent. Ensemble, la famille entreprend un périple un peu fou autour du globe : Namibie, Zambie, Tanzanie, Turquie, Mongolie, Indonésie, Malaisie, Thaïlande, Cambodge, Laos, Népal, Égypte, Colombie, Amazonie... De la Namibie aux vastes steppes de Mongolie, des plages paradisiaques de Bali aux sommets majestueux du Népal, Edith nous emmène dans une odyssée qui dépasse le simple périple autour du monde. C'est l'histoire d'une mère qui refuse l'inaction face à l'inévitable, d'un père qui accompagne ses enfants dans cette aventure unique, et surtout de quatre jeunes explorateurs qui nous donnent une incroyable leçon de vie.Cette pétillante canadienne nous raconte, avec beaucoup d'émotions, comment ils ont réussi à transformer cette épreuve en une expérience qui les a unit plus que jamais. Pendant plus d'un an, l'aventure se mélange au grandiose, aux paysages et aux sourires. Tout pour en mettre plein leurs yeux !De ce voyage extraordinaire est né un livre, un documentaire, et surtout, une leçon universelle sur la façon dont nous pouvons tous choisir de faire face à l'adversité.On a adoré ce moment avec Edith, on espère qu'il vous plaira tout autant !Bonne écoute !Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Journal de l'Afrique
Mali : embuscade entre Gao et Ansongo, plusieurs dizaines de morts

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Feb 9, 2025 20:24


Au Mali, dans la partie septentrionale du pays, un grand convoi de civils escortés par l'armée a été attaqué par de présumés jihadistes, faisant une trentaine de morts, selon un bilan provisoire.

Famille & Voyages, le podcast
Fin du tour du monde en bateau entre la Nouvelle-Zélande et la France - Juliette nous raconte la fin du voyage de Kumbaya

Famille & Voyages, le podcast

Play Episode Listen Later Jan 31, 2025 60:04


Juliette et Hubert sont partis un tour du monde en bateau avec leurs 4 enfants de 12, 9, 6 et 3 ans pendant quatre ans. Un tour du monde sur un voilier nommé Kumbaya qui va durer quatre ans !Partis de La Rochelle en juillet 2020, ils ont navigué durant 3 ans avant d'arriver en Nouvelle-Zélande où Juliette nous avait raconté leur traversée mythique du Pacifique, la Polynésie et autres îles sympas dans les épisodes 84 et 85.uliette a donc repris le micro pour nous conter le voyage retour pendant lequel il y a eu encore de bien belles découvertes comme le détroit de Torres, en mer de Corail, les îles Keeling, l'Afrique du Sud et la Namibie, de belles récompenses après les difficiles navigations dans le coin, la célèbre Sainte-Hélène ou encore le Carnaval brésilien ou les Bahamas.Vous allez voir qu'ils n'ont pas chômé et que certaines navigations n'ont pas été un long océan tranquille, mais quel voyage de dingue ! Et si un périple au long cours vous titille, écoutez bien les tips de Juliette… Je parie que vous allez suivre le premier dès la fin de l'épisode.Allez, c'est parti pour le carnet de bord de Juliette entre la Nouvelle-Zélande et la France.------------Création et hôte : Stéphanie CordierMontage : Alice KriefMusique : Luk & Jo

Explore - Reis en Safari podcast
#36 Explore - Kamperen of Lodge - dit kun je verwachten

Explore - Reis en Safari podcast

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 66:21


De één wordt blij van een selfdrive vakantie met uitsluitend overnachtingen in een daktent. De ander kiest voor een reis waar de overnachtingsplekken al voor hem of haar klaarstaan. En de meesten kiezen voor iets wat daar een beetje tussenin zit. Maar wat kun je nu eigenlijk van verwachten van zo'n kampeerplaats. Of van een lodge of safaritent? Elise en Pieter gaan in aflevering 36 hier een beetje context aan geven. Bestaat er zoiets als ‘de perfecte mix?' Shownotes De vegetatieindex laat ziet dat er nog heel wat regen in Namibie moet vallen voor er weer een goed niveau is.Het verhaal van de bus die opgeslokt wordt door de rivier Deel 1 en deel 2Achtergrond informatie over brandstoftekort in Malawi En droom je nog van een overnachtingsplaats van 1500 euro per nacht? Wij hebben hem gevonden! Social Media Instagram: https://www.instagram.com/explorepodcast.nlFacebook: https://www.facebook.com/ExplorePodcast.nl 

Afrique Économie
Projets gaziers et pétroliers: vers un «Drill, baby, drill» africain?

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 2:33


Sénégal, Namibie, Ouganda, Mozambique... les projets gaziers et pétroliers pullulent sur le continent. Pour 2025, le mot d'ordre semble rester le même : explorer mieux pour exploiter plus. « 2025 sera l'année du "Drill baby drill" en Afrique », martelait NJ Ayuk, président de la Chambre africaine de l'énergie, sur la chaîne Arise News il y a quelques jours. Forer la terre partout où il le faudra, selon le lobbyiste en chef du secteur de l'énergie en Afrique, qui reprend le slogan de campagne de Donald Trump. « Nous allons forer partout sur ce continent. Les gouvernements doivent simplement mettre les foreurs du bon côté de la fiscalité pour avancer dans ces projets, poursuit-il. Je suis très enthousiaste. Nous allons accueillir l'administration Trump à bras ouverts et nous sommes prêts à travailler avec elle. »La Namibie en tête de proueL'exemple namibien déchaîne les passions. Le pays n'avait jamais sorti une goutte de pétrole et l'année dernière, plusieurs gisements, dont un estimé à 10 milliards de barils, y ont été découverts.Le projet gazier offshore mauritano-sénégalais Grand Tortue Ahmeyim suscitait aussi de grands espoirs lors de son lancement, mais il n'a débouché sur aucune autre découverte majeure, rappelle Benjamin Augé, chercheur à l'Institut français des relations internationales. « Depuis 2015, depuis la découverte de Grand Tortue, il y a eu énormément d'intérêt et finalement, ça a été largement douché. La production est cyclique et, à partir du moment où il y a une découverte dans un endroit, il y a un phénomène moutonnier qui se met en place, où toutes les majors accourent, mais il n'y a pas forcément davantage de découvertes. Ça a été le cas de l'Ouganda, ça a été le cas du Kenya. Il y a eu beaucoup de déceptions. Mais là, ce dont je vous parle en Namibie, c'est du “prouvé” — probablement autour des 500 000 barils par jour au moins. Ce genre de cas est rarissime ».À lire aussiLe Sénégal et la Mauritanie deviennent producteurs de gazBaisse mondiale des investissementsL'Algérie envisage de lancer des projets d'exploration d'hydrocarbures sur ses côtes ; la Libye se prépare à lancer son premier appel d'offres pour de la prospection depuis 2011 ; tous les pays producteurs s'agitent, mais pas simple de trouver les investissements. « Le contexte global mondial est à la baisse des investissements pétroliers et gaziers, poursuit Benjamin Augé, l'enveloppe qui reste, à peu près 1 000 milliards de dollars, va plutôt dans les zones faciles, où la gouvernance est plutôt bonne. On prend des risques dans des zones ou la sécurité n'est pas correcte et la gouvernance est mauvaise uniquement lorsque les découvertes sont très importantes. Donc, en Afrique, le cas le plus évident, c'est le Mozambique. Les projets de Total et d'ExxonMobil vont un jour se lancer parce que ce sont des projets avec des réserves absolument énormes ».Cette volonté d'aller plus loin se cogne à la réalité de l'investissement. L'idée de NJ Ayuk de la Chambre africaine de l'énergie est la suivante : stopper les financements verts pour l'Afrique et aller chercher l'argent du côté des banques américaines qui se retirent les unes après les autres de l'Alliance bancaire pour la neutralité carbone.À lire aussiAvec le retour de Trump, des banques américaines se retirent d'une alliance pour le climat initiée en 2021

Dans les airs
Retour des fêtes! L'univers du Quotidien, Résidence artistique en Namibie & Les biais inconscients

Dans les airs

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025


De retour pour 2025!  Chronique l'univers du Quotidien avec Nathaniel Résumé d'une résidence artsitique avec Mireille (pt1) Chronique ''Les biais Inconscients'' avec Lisa    Bonne écoute! 

C'est pas du vent
IPBES : nous ne pouvons plus dire que nous ne savons pas...

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Dec 20, 2024 48:30


Nous ne pouvons plus dire que nous ne savons pas. Que ce soit sur le changement climatique, la dégradation des sols, la pollution plastique ou la disparition du vivant, la communauté scientifique multiplie les rapports. Cette semaine encore, l'IPBES, la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques, publie une analyse des liens entre cinq éléments critiques pour l'humanité : l'eau, la santé, l'alimentation, la biodiversité et le changement climatique. Ce rapport appelé Nexus propose des stratégies pour affronter ces défis et il a été approuvé par des représentants de 147 gouvernements réunis en Namibie.Avec : Anne de Larigauderie, écologue et secrétaire exécutive de l'IPBES, la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques Ernest Molua, professeur à l'université de Buéa à l'ouest du CamerounPendant ce temps-là, la science continue de s'écrire, car nous ne connaissons que 2 millions d'espèces alors qu'il y en a des dizaines à découvrir ! C'est l'objectif du programme d'explorations « La planète revisitée » qui recense la biodiversité des régions les plus riches du monde. Nous vous emmènerons découvrir ce travail de fourmi dans les îles du sud de la Guadeloupe grâce au reportage de Yann Chavance. 

Nuus
Mense sal lenings beter kan betaal namate rentekoerse daal

Nuus

Play Episode Listen Later Dec 12, 2024 0:40


Individue was in die derde kwartaal verantwoordelik vir 42,9 persent van wanpresterende lenings, of lenings wat vir meer as drie maande onbetaald is. Die Bank van Namibie sê individue wat nie lenings betaal nie is ‘n algemene neiging, maar dis nou net onder die vlak waar hy sal moet ingryp. Kosmos 94.1 Nuus het met dr. Omu Kakujaha-Matundu van Unam se departement van ekonomie gesels, wat sê dit sal verbeter namate rentekoerse daal.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] France : qui pourrait succéder à Michel Barnier ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 19:30


Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur l'arrestation d'Habib Marouane Camara, l'élection de la première femme présidente en Namibie et la « flotte fantôme » russe. France : qui pourrait succéder à Michel Barnier ? En France, une motion de censure a été votée pour renverser le gouvernement de Michel Barnier. Dans la foulée, l'ancien Premier ministre a rendu sa démission à Emmanuel Macron. Qui pourrait devenir le prochain Premier ministre français ? Comment s'assurer que le prochain gouvernement ne soit pas censuré à son tour ? France : après la censure, quid des affaires en cours ? Avec la motion de censure, la France se dirige-t-elle vers un blocage des institutions ? Qu'en est-il des affaires en cours comme la question du budget ? Avec Charlotte Urien-Tomaka, journaliste au service politique de RFI. Guinée : pourquoi le journaliste Habib Marouane Camara a-t-il été arrêté ? Depuis son arrestation par des gendarmes, le journaliste Habib Marouane Camara a disparu. Quelques jours plus tôt, il avait signalé sur les réseaux sociaux qu'un commando le recherchait et que sa vie était menacée. Dans quelles circonstances a-t-il été arrêté ? Sait-on ce qu'on lui reproche ?Avec Sékou Jamal Pendessa, secrétaire général du Syndicat des professionnels de presse de Guinée (SPPG).Namibie : qui est « NNN », première présidente femme de l'histoire du pays ? En Namibie, la candidate de la Swapo, Netumbo Nandi-Ndaitwah, est devenue la première présidente femme de l'histoire du pays, en remportant 57,3% des voix. Quel est son parcours et comment a-t-elle séduit les électeurs ?Avec Kouamé Loukey Yocoly, docteur en histoire des Relations internationales contemporaines. Russie/Ukraine : quelle est cette « flotte fantôme » russe qui défie les sanctions ? Les pays occidentaux tentent tant bien que mal de sanction la « flotte fantôme » russe. De quoi s'agit-il exactement ? Comment les alliés de l'Ukraine peuvent-ils s'y prendre pour empêcher ces navires russes d'opérer ?Avec Ulrich Bounat, analyste en géopolitique, spécialiste de l'Europe centrale et de l'Est, chercheur associé à l'Institut Open Diplomacy. 

La libre antenne
La libre antenne - Après l'Argentine, Jean-Paul est allé en Namibie et sa chienne est morte depuis

La libre antenne

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 18:51


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.

Journal de l'Afrique
Tournée express pour le russe Novak dans les états de l'AES

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Nov 30, 2024 19:18


Une tournée au pas de charge en Afrique de l'Ouest a été achevée ce vendredi par le vice-Premier ministre et ministre russe de l'Énergie, Alexander Novak. Un déplacement au Burkina Faso, au Mali et au Niger pour renforcer les partenariats entre Moscou et les états de l'Alliance des États du Sahel (AES).

Journal de l'Afrique
Une présidentielle en Namibie à l'issue incertaine pour le parti historique

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Nov 27, 2024 13:44


Les Namibiens votaient mercredi, parfois après de longues heures d'attente dans des files interminables, pour les élections les plus incertaines qu'ait connu le parti historique au pouvoir. La candidate Netumbo Nandi-Ndaitwah pourrait être contrainte à un second tour inédit. Surnommée "NNN", la candidate de la Swapo, figure de la lutte pour la libération, pourrait devenir la première femme présidente du pays.

Un jour dans le monde
Namibie : jusqu'à douze heures d'attente pour voter, chaos lors des élections législatives et présidentielle

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Nov 27, 2024 3:19


durée : 00:03:19 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - La commission électorale a prolongé "indéfiniment" l'ouverture des bureaux de vote après l'heure prévue ce jeudi. En plus de la participation exceptionnelle, beaucoup de bureaux ont connu des pénuries de bulletins et des problèmes techniques qui ont retardé les opérations.

InterNational
Namibie : jusqu'à douze heures d'attente pour voter, chaos lors des élections législatives et présidentielle

InterNational

Play Episode Listen Later Nov 27, 2024 3:19


durée : 00:03:19 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - La commission électorale a prolongé "indéfiniment" l'ouverture des bureaux de vote après l'heure prévue ce jeudi. En plus de la participation exceptionnelle, beaucoup de bureaux ont connu des pénuries de bulletins et des problèmes techniques qui ont retardé les opérations.

Radio foot internationale
Éliminatoires CAN 2025 : coup d'envoi de la 5è journée

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Nov 13, 2024 48:30


Bienvenue dans Radio Foot, une seule émission aujourd'hui à 16h10 T.U. Au sommaire : - Éliminatoires CAN 2025, 2 dernières journées à suspense, 16 tickets à prendre pour disputer la phase finale au Maroc l'an prochain. ; - Ligue des Nations. 5è journée, les Bleus, 2ès du classement de leur groupe B derrière l'Italie, rencontrent Israël avant de se déplacer à San Siro pour affronter la Nazionale. Éliminatoires CAN 2025, 2 dernières journées à suspense, 16 tickets à prendre pour disputer la phase finale au Maroc l'an prochain. Le Cameroun est déjà qualifié, mais Marc Brys compte bien remporter 6 points supplémentaires en Afrique du Sud face à la Namibie, et mardi à domicile contre le Zimbabwe, même si les Lions sont privés de Baleba et Mbeumo. Zambo Anguissa devrait quant à lui être de retour contre le Warriors mardi. - Groupe B : la RCA compte sur une défaite du Gabon face au Maroc mais doit d'abord l'emporter sur le Lesotho pour continuer de croire à la qualification. - Groupe K : pas de calculs pour le Congo, le salut passe par 2 succès contre le Soudan du Sud demain et l'Ouganda dans 6 jours. - Groupe D : le Nigeria bien placé, qui pour l'accompagner ? 2 rendez-vous décisifs pour le Bénin, qui accueille les Super Eagles avant de se déplacer en Libye. Les Guépards talonnés par les Amavubi. - Groupe A : la Tunisie doit se relancer, Madagascar jouera son va-tout, les Comores peuvent se qualifier s'ils gagnent contre la Gambie à Berkane vendredi. - Burkina Faso-Sénégal, match au sommet du groupe L entre qualifiés.Ligue des Nations. 5è journée, les Bleus, 2ès du classement de leur groupe B derrière l'Italie, rencontrent Israël avant de se déplacer à San Siro pour affronter la Nazionale. Un point suffit aux Bleus pour la qualification en ¼ du tournoi en mars 2025. L' enjeu sportif est éclipsé par le contexte géopolitique, le Stade de France devrait sonner creux en raison du dispositif sécuritaire exceptionnel. Avec Olivier Pron : Benjamin Moukandjo, Frank Simon et Patrick Juillard. - Technique/réalisation : Laurent Salerno -- David Fintzel/Pierre Guérin.

Radio Foot Internationale
Éliminatoires CAN 2025 : coup d'envoi de la 5è journée

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Nov 13, 2024 48:30


Bienvenue dans Radio Foot, une seule émission aujourd'hui à 16h10 T.U. Au sommaire : - Éliminatoires CAN 2025, 2 dernières journées à suspense, 16 tickets à prendre pour disputer la phase finale au Maroc l'an prochain. ; - Ligue des Nations. 5è journée, les Bleus, 2ès du classement de leur groupe B derrière l'Italie, rencontrent Israël avant de se déplacer à San Siro pour affronter la Nazionale. Éliminatoires CAN 2025, 2 dernières journées à suspense, 16 tickets à prendre pour disputer la phase finale au Maroc l'an prochain. Le Cameroun est déjà qualifié, mais Marc Brys compte bien remporter 6 points supplémentaires en Afrique du Sud face à la Namibie, et mardi à domicile contre le Zimbabwe, même si les Lions sont privés de Baleba et Mbeumo. Zambo Anguissa devrait quant à lui être de retour contre le Warriors mardi. - Groupe B : la RCA compte sur une défaite du Gabon face au Maroc mais doit d'abord l'emporter sur le Lesotho pour continuer de croire à la qualification. - Groupe K : pas de calculs pour le Congo, le salut passe par 2 succès contre le Soudan du Sud demain et l'Ouganda dans 6 jours. - Groupe D : le Nigeria bien placé, qui pour l'accompagner ? 2 rendez-vous décisifs pour le Bénin, qui accueille les Super Eagles avant de se déplacer en Libye. Les Guépards talonnés par les Amavubi. - Groupe A : la Tunisie doit se relancer, Madagascar jouera son va-tout, les Comores peuvent se qualifier s'ils gagnent contre la Gambie à Berkane vendredi. - Burkina Faso-Sénégal, match au sommet du groupe L entre qualifiés.Ligue des Nations. 5è journée, les Bleus, 2ès du classement de leur groupe B derrière l'Italie, rencontrent Israël avant de se déplacer à San Siro pour affronter la Nazionale. Un point suffit aux Bleus pour la qualification en ¼ du tournoi en mars 2025. L' enjeu sportif est éclipsé par le contexte géopolitique, le Stade de France devrait sonner creux en raison du dispositif sécuritaire exceptionnel. Avec Olivier Pron : Benjamin Moukandjo, Frank Simon et Patrick Juillard. - Technique/réalisation : Laurent Salerno -- David Fintzel/Pierre Guérin.

Aujourd'hui l'économie
Les écarts de salaires hommes femmes se creusent à nouveau aux États-Unis

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Sep 16, 2024 2:48


Le phénomène est connu : même à travail égal, les femmes sont moins payées que les hommes. On se consolait en se disant que ce fossé salarial lié au genre avait tendance à se réduire, même si c'était lentement. Mais ça n'est plus vrai partout : aux États-Unis, l'écart de salaire entre les femmes et les hommes s'est à nouveau creusé pour la première fois en vingt ans. Les résultats du dernier recensement fédéral ont été communiqués la semaine dernière. L'administration américaine a notamment comparé les salaires des femmes et des hommes travaillant à temps plein : en 2022 les femmes gagnaient 16 % de moins que les hommes, en 2023 elles ont gagné 17 % de moins. Autrement dit, les écarts se creusent, sans même prendre en compte le fait que les femmes travaillent plus souvent que les hommes à temps partiel. Une première depuis 2003.Il y a plusieurs explications. D'abord, au moment de la pandémie on avait observé une baisse du revenu médian chez tous les travailleurs, et en 2023 alors que l'économie américaine se portait globalement mieux les revenus des salariés ont à nouveau augmenté. Sauf qu'ils ont augmenté de 3 % pour les hommes et de moitié moins pour les femmes. Il y a aussi une explication démographique : l'année 2023 a vu arriver sur le marché du travail un nombre plus important de femmes issues de la communauté latino-américaines et de femmes plus jeunes (donc en début de carrière). Deux catégories qui ont tendance, pour des questions d'opportunités, à gagner moins que la moyenne.Le marché de l'emploi est aussi sexiste que la société dans laquelle il évolueIl y a aussi des raisons plus structurelles : la société américaine ne facilite pas la garde des enfants, les pères n'assurent pas toujours leur rôle autant qu'ils le devraient, et les mères de famille sont donc trop souvent contraintes de trouver un travail compatible avec leur vie familiale. Or ces métiers qui permettent une plus grande flexibilité des horaires payent moins.Enfin se pose une question encore plus large qui concerne la rémunération des métiers majoritairement occupés par des femmes : infirmières, aide-soignante, aide à domicile... Des métiers moins bien payés que ceux dits plus masculins. Une donnée qui reste vraie indépendamment de la nature des tâches à accomplir : le revenu médian des concierges et des agents d'entretien (deux métiers où les hommes sont majoritaires) est supérieur de 2 000 dollars par an par rapport à celui des aides à domicile et des femmes de chambre. Il n'y a pas d'explication rationnelle, le marché de l'emploi est aussi sexiste, ni plus ni moins, que la société dans laquelle il évolue.Au rythme actuel il faudrait plus d'un siècle à l'Afrique subsaharienne pour atteindre la paritéPour l'instant, d'après les chiffres dont on dispose, l'écart ne se creuse pas dans les autres régions du monde, mais il n'y a pas de quoi se réjouir pour autant. L'Europe - et en particulier l'Europe du nord - reste la région la moins inégalitaire mais sur le vieux continent il faudrait tout de même aux femmes travailler un mois et demi de plus que leurs collègues masculins pour gagner autant qu'eux, et en 10 ans l'écart salarial homme-femme n'a baissé que très marginalement. L'Afrique sub-saharienne, d'après une étude du Forum économique mondial, se situe à la sixième position. Devant l'Asie du Sud et le Moyen-Orient. Si plusieurs pays à commencer par la Namibie, le Rwanda et l'Afrique du Sud ont fait des progrès notables en matière d'égalité salariale, le Tchad, le Mali et la RDC sont à la traîne. Là aussi les choses avancent... mais pas assez vite. Au rythme actuel il faudrait plus d'un siècle à l'Afrique subsaharienne pour atteindre la parité.Plus inquiétant encore d'après un rapport de la Banque mondiale publié en mars 2024, à l'échelle mondiale le fossé entre hommes et femmes est beaucoup plus important que prévu. Non seulement les femmes sont moins bien protégées par la loi, elles ne bénéficient que de deux tiers des droits dont jouissent les hommes, mais qui plus est cette protection n'est que théorique et en pratique les lois protégeant les droits des femmes sont trop rarement appliqués. Ainsi sur les 98 pays ayant inscrit dans la loi l'égalité salariale entre homme et femmes, à peine 35 ont mis en place les mesures de transparence salariale et les mécanismes susceptibles de rendre cette égalité concrète.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] CAN 2025 : enfin un stade pour Cameroun-Namibie !

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Sep 6, 2024 19:30


Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur le naufrage meurtrier dans la Manche et un remaniement ministériel en Ukraine. CAN 2025 : enfin un stade pour Cameroun-Namibie !Après plusieurs semaines de tensions entre la Fécafoot de Samuel Eto'o et le ministère camerounais des Sports, un consensus a finalement été trouvé sur le stade où se jouera samedi le match Cameroun-Namibie, comptant pour les éliminatoires de la CAN 2025. Pourquoi une telle confusion ? Comment les deux parties sont-elles parvenues à éteindre la crise ?Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.Immigration : le naufrage le plus meurtrier de l'année dans la MancheDouze personnes sont mortes en tentant de rallier l'Angleterre depuis le nord de la France. Que savons-nous des circonstances de ce drame ? Pourquoi le nombre de personnes tentant de traverser la Manche a-t-il augmenté depuis le début de l'année ? Pourquoi les traversées sont-elles de plus en plus meurtrières ?Avec Leslie Carretero, journaliste à InfoMigrants.Ukraine : un remaniement ministériel en pleine guerre, bonne ou mauvaise stratégie ?L'Ukraine est en plein remaniement ministériel, le plus important depuis le début de la guerre. Plusieurs ministres ont déjà démissionné, dont celui des Affaires étrangères, Dmitro Kuleba. Pourquoi ce remaniement intervient-il maintenant ? Faut-il s'attendre à des changements dans la stratégie pour contrer l'offensive russe ?Avec Ulrich Bounat, analyste en géopolitique, spécialiste de l'Europe centrale et de l'Est, chercheur associé à l'Institut Open Diplomacy.

Radio foot internationale
Éliminatoires CAN 2025 : le Cameroun dans la tourmente

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Sep 4, 2024 20:35


Cameroun : nouvel nouveau pic de tension entre la Fecafoot et le Minsep. Alors que les Lions Indomptables s'apprêtent à démarrer leur double rendez-vous des éliminatoires CAN 2025 face aux « Brave Warriors » namibiens dans trois jours, puis à Kampala pour affronter les Guerriers du Zimbabwe mardi, l'effectif pouvait espérer un contexte plus apaisé. Lieu de ralliement, choix du terrain, de nouveaux cafouillages ont alimenté le feuilleton, alors que le rendez-vous est crucial, pour le début d'une aventure qui doit mener la sélection jusqu'à la phase finale au Maroc. Eto'o tape du poing sur la table. Tandis que les joueurs n'ont pas honoré le rassemblement de Douala décidé par la Fédération, l'instance a réagi face à ce qu'elle considère comme un acte de défi. L'ancien attaquant va-t-il porter l'affaire devant la Fifa ? Va-t-il se passer des A et de leur sélectionneur, et aligner les U20 face à la Namibie ? La rencontre va-t-elle se tenir ? Nous ferons le point avec Joël Wadem.Azzedine Ounahi quitte l'OM. L'international rejoint les « Trèfles » du club grec du Panathinaïkos. On attendait beaucoup du milieu marocain arrivé fin janvier 2023 du côté de la Canebière. Après une expérience en demi-teinte, va-t-il se relancer chez les Vert et Blanc ? Il disputera la Conference League cette saison (C4).Pour débattre avec Hugo Moissonnier et Saliou Diouf, Patrick Juillard et Nabil Djellit – Technique/réalisation Matthieu Degueldre.

Radio Foot Internationale
Éliminatoires CAN 2025 : le Cameroun dans la tourmente

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Sep 4, 2024 20:35


Cameroun : nouvel nouveau pic de tension entre la Fecafoot et le Minsep. Alors que les Lions Indomptables s'apprêtent à démarrer leur double rendez-vous des éliminatoires CAN 2025 face aux « Brave Warriors » namibiens dans trois jours, puis à Kampala pour affronter les Guerriers du Zimbabwe mardi, l'effectif pouvait espérer un contexte plus apaisé. Lieu de ralliement, choix du terrain, de nouveaux cafouillages ont alimenté le feuilleton, alors que le rendez-vous est crucial, pour le début d'une aventure qui doit mener la sélection jusqu'à la phase finale au Maroc. Eto'o tape du poing sur la table. Tandis que les joueurs n'ont pas honoré le rassemblement de Douala décidé par la Fédération, l'instance a réagi face à ce qu'elle considère comme un acte de défi. L'ancien attaquant va-t-il porter l'affaire devant la Fifa ? Va-t-il se passer des A et de leur sélectionneur, et aligner les U20 face à la Namibie ? La rencontre va-t-elle se tenir ? Nous ferons le point avec Joël Wadem.Azzedine Ounahi quitte l'OM. L'international rejoint les « Trèfles » du club grec du Panathinaïkos. On attendait beaucoup du milieu marocain arrivé fin janvier 2023 du côté de la Canebière. Après une expérience en demi-teinte, va-t-il se relancer chez les Vert et Blanc ? Il disputera la Conference League cette saison (C4).Pour débattre avec Hugo Moissonnier et Saliou Diouf, Patrick Juillard et Nabil Djellit – Technique/réalisation Matthieu Degueldre.

Les histoires de 28 Minutes
Caryl Férey / Le déficit public s'aggrave : une bombe budgétaire pour le futur gouvernement ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Sep 4, 2024 46:03


L'émission 28 Minutes du 04/09/2024 Avec "Magali", Caryl Férey ausculte la mécanique des féminicides Auteur de polars et scénariste, Caryl Férey parcourt le monde pour enquêter et nourrir ses romans. Enfants disparus en Argentine, Chili post-Pinochet, braconnage en Namibie, apartheid en Afrique du Sud… Ses récits explorent les pans sombres de l'Histoire. Pour lui, écrire permet de "résoudre des injustices". Dans son nouveau livre "Magali", publié aux éditions Robert Laffont, il s'aventure dans un registre plus personnel, ancré dans les lieux de son enfance. Le récit est inspiré d'une histoire vraie : celle du féminicide d'une mère de famille à Montfort-sur-Meu, en Bretagne. Magali Blandin a été tuée en 2021 par son mari, Jérôme Gaillard, père de leurs quatre enfants, qui finit par avouer l'assassinat, prémédité avec l'aide de ses parents. Incarcéré, il se suicide quelques mois plus tard, suivi par ses parents, mis en examen pour complicité. Le récit s'appuie sur des articles de presse, des témoignages de journalistes locaux et de l'avocat du meurtrier. À travers cet ouvrage, Caryl Férey tente de comprendre sans oublier : "Magali n'est pas anonyme, elle est toutes les femmes." Le déficit public s'aggrave : une bombe budgétaire pour le futur gouvernement ? Au printemps, le gouvernement prévoyait un déficit public de 5,1 % du PIB pour 2024. Mais Bruno Le Maire a annoncé lundi 2 septembre, que ce déficit pourrait finalement atteindre 5,6 % du PIB, soit environ 155 milliards d'euros. Ce chiffre serait alors supérieur aux 5,5 % enregistrés en 2023, qui avaient poussé Bruxelles à ouvrir une procédure pour déficit excessif contre la France. Cette aggravation s'expliquerait par des recettes fiscales moins élevées que prévu, mais surtout par l'augmentation des dépenses des collectivités locales, selon Bercy. Alors que le budget 2025 doit être présenté en Conseil des ministres fin septembre, puis débattu au Parlement début octobre, l'hexagone attend toujours un nouveau gouvernement. Le ministre de l'Économie démissionnaire, Bruno Le Maire, recommande de réaliser 16 milliards d'euros d'économies immédiates, mais dans le contexte politique actuel, cela reste un vœu pieux. Le futur gouvernement, quel qu'il soit, devra-t-il inévitablement augmenter les impôts ou réduire les dépenses pour ramener la France sur une trajectoire budgétaire acceptable pour ses créanciers et l'Union européenne ?  Enfin, Xavier Mauduit revient sur les relations entre la Mongolie et la Russie, à l'occasion de la visite de Vladimir Poutine "au pays du ciel bleu" et Marie Bonnisseau nous emmène sur la fausse île de Psimythos qui passionne les Grecs. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 4 septembre 2024 - Présentation : Elisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio

Radio foot internationale
Ligue des Nations : Mbappé reprend le brassard de capitaine

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Sep 3, 2024 25:23


Deux rencontres de Ligue des Nations à disputer, face à l'Italie de Luciano Spalletti vendredi, puis la Belgique de Domenico Tedesco lundi soir à Lyon. Le néo-Madrilène sera-t-il dans de meilleures dispositions qu'à l'Euro ? Le n°9 merengue a ouvert son compteur buts en Liga. Les deux premières journées d'éliminatoires CAN 2025, coup d'envoi dès demainDes favoris déjà à l'épreuve, et quelques belles affiches : RDC-Guinée (comme on se retrouve !), Maroc-Gabon et Sénégal-Burkina Faso dès vendredi. Les champions ivoiriens seront opposés d'entrée aux Chipolopolo zambiens. Du côté des Lions Indomptables, les rendez-vous face à la Namibie samedi puis au Zimbabwe mardi se préparent dans la confusion.Hugo Moissonnier et Saliou Diouf débattent avec Nabil Djellit et Patrick Juillard. Technique/réalisation : Matthieu Degueldre.

Radio Foot Internationale
Ligue des Nations : Mbappé reprend le brassard de capitaine

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Play Episode Listen Later Sep 3, 2024 25:23


Deux rencontres de Ligue des Nations à disputer, face à l'Italie de Luciano Spalletti vendredi, puis la Belgique de Domenico Tedesco lundi soir à Lyon. Le néo-Madrilène sera-t-il dans de meilleures dispositions qu'à l'Euro ? Le n°9 merengue a ouvert son compteur buts en Liga. Les deux premières journées d'éliminatoires CAN 2025, coup d'envoi dès demainDes favoris déjà à l'épreuve, et quelques belles affiches : RDC-Guinée (comme on se retrouve !), Maroc-Gabon et Sénégal-Burkina Faso dès vendredi. Les champions ivoiriens seront opposés d'entrée aux Chipolopolo zambiens. Du côté des Lions Indomptables, les rendez-vous face à la Namibie samedi puis au Zimbabwe mardi se préparent dans la confusion.Hugo Moissonnier et Saliou Diouf débattent avec Nabil Djellit et Patrick Juillard. Technique/réalisation : Matthieu Degueldre.

Eco d'ici Eco d'ailleurs
Nos grands invités de l'économie : Abdelhamid Addou et Delphine Traoré

Eco d'ici Eco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Aug 2, 2024 48:29


En ce début du mois d'août, nous vous proposons de revivre les entretiens avec nos grands invités de l'économie, venus ces derniers mois confier leur vision de l'avenir de ce monde et notamment de l'Afrique. Cette semaine, écoutez ou réécoutez l'échange avec Abdelhamid Addou, PDG de Royal Air Maroc, acteur incontournable du transport aérien en Afrique. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (JA), il aborde toutes les grandes problématiques qui touchent ce secteur vital pour l'économie du continent. Rebond après le Covid, recrutement de personnels dans le contexte de pénuries de main-d'œuvre, désenclavement de certaines zones du continent, nouvelles destinations dans le monde, concurrence internationale et complémentarité avec les compagnies low cost. Mais aussi, les difficultés du constructeur Boeing et critères de choix du constructeur, décarbonation du transport aérien.Dans la seconde partie de l'émission, retrouvez Delphine Traoré, directrice générale assurance non-vie de SanlamAllianz, l'un des géants du secteur de l'assurance en Afrique, holding domiciliée en Afrique du Sud et couvrant 27 pays du continent : Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d'Ivoire, Égypte, Gabon, Ghana, Kenya, Madagascar, Malawi, Mali, Maurice, Maroc, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Togo, Ouganda, Zambie et Zimbabwe.Cette dirigeante burkinabè née et élevée dans la région de Bobo-Dioulasso revient d'abord sur son parcours : ses études aux États-Unis et ses expériences professionnelles dans la finance dans de nombreux pays, dont le Canada, le Mali et le Burkina Faso. Elle évoque ensuite le rapprochement du groupe Allianz avec le groupe panafricain Sanlam, s'exprime sur le développement de la finance sur le continent africain, le départ de plusieurs géants mondiaux de la banque, les enjeux climatiques, les bouleversements politiques au Niger, au Burkina Faso et au Mali. Elle désigne enfin ses modèles masculins ET féminins dans les affaires. 

Éco d'ici éco d'ailleurs
Nos grands invités de l'économie : Abdelhamid Addou et Delphine Traoré

Éco d'ici éco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Aug 2, 2024 48:29


En ce début du mois d'août, nous vous proposons de revivre les entretiens avec nos grands invités de l'économie, venus ces derniers mois confier leur vision de l'avenir de ce monde et notamment de l'Afrique. Cette semaine, écoutez ou réécoutez l'échange avec Abdelhamid Addou, PDG de Royal Air Maroc, acteur incontournable du transport aérien en Afrique. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (JA), il aborde toutes les grandes problématiques qui touchent ce secteur vital pour l'économie du continent. Rebond après le Covid, recrutement de personnels dans le contexte de pénuries de main-d'œuvre, désenclavement de certaines zones du continent, nouvelles destinations dans le monde, concurrence internationale et complémentarité avec les compagnies low cost. Mais aussi, les difficultés du constructeur Boeing et critères de choix du constructeur, décarbonation du transport aérien.Dans la seconde partie de l'émission, retrouvez Delphine Traoré, directrice générale assurance non-vie de SanlamAllianz, l'un des géants du secteur de l'assurance en Afrique, holding domiciliée en Afrique du Sud et couvrant 27 pays du continent : Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d'Ivoire, Égypte, Gabon, Ghana, Kenya, Madagascar, Malawi, Mali, Maurice, Maroc, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Togo, Ouganda, Zambie et Zimbabwe.Cette dirigeante burkinabè née et élevée dans la région de Bobo-Dioulasso revient d'abord sur son parcours : ses études aux États-Unis et ses expériences professionnelles dans la finance dans de nombreux pays, dont le Canada, le Mali et le Burkina Faso. Elle évoque ensuite le rapprochement du groupe Allianz avec le groupe panafricain Sanlam, s'exprime sur le développement de la finance sur le continent africain, le départ de plusieurs géants mondiaux de la banque, les enjeux climatiques, les bouleversements politiques au Niger, au Burkina Faso et au Mali. Elle désigne enfin ses modèles masculins ET féminins dans les affaires. 

Invité Afrique
Mokgweetsi Masisi, président du Botswana: «Nous allons tout faire pour devenir des fabricants de vaccins, responsables et éthiques»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 21, 2024 5:07


Plus d'un milliard de dollars pour accélérer la production de vaccins sur le continent africain. C'est l'une des annonces faites le jeudi 20 juin lors du Forum mondial pour la souveraineté et l'innovation vaccinales, qui s'est tenu à Paris. Un sommet pour faciliter l'accès aux vaccins et à leur fabrication en Afrique. La question de l'inégalité de l'accès aux vaccins sur le continent africain a été mise en lumière par la pandémie de Covid-19. Aujourd'hui encore, le continent est confronté à une pénurie de vaccins contre le choléra. Parmi les présidents africains présents lors de ce sommet : celui du Sénégal, du Ghana, du Rwanda et du Botswana. Le président botswanais Mokgweetsi Masisi est notre invité ce matin. Il répond aux questions d'Alexandra Brangeon. RFI : Monsieur le Président, pourquoi cette question de fabrication locale de vaccin est importante pour le Botswana ?Mokgweetsi Masisi : C'est très important pour le Botswana de pouvoir accéder à des vaccins et de pouvoir les produire localement, parce que notre expérience avec la dernière pandémie de Covid a été très brutale. Notre pays a une économie sobre, frugale. Nous avions mis de l'argent de côté, en cas de besoin, et nous avons été obligés d'utiliser ces économies pour essayer de sauver notre population, en achetant des vaccins, tout en essayant d'en obtenir via l'organisation vaccinale Gavi. Nous avons payé, attendu, attendu encore et les gens sont morts. C'était un moment très difficile. Les pays producteurs, où les vaccins étaient manufacturés, ont sauté sur les vaccins, en en prenant parfois trois fois plus que ce dont ils avaient réellement besoin. Alors que nous – qui avions payé pour ces vaccins – nous regardions nos citoyens tomber comme des mouches. Nous avons alors décidé que, quoi qu'il arrive, nous allions tout faire pour devenir des fabricants de vaccin, responsables et éthiques... Pas seulement pour nous même, mais une consommation globale. Car jamais, jamais, nous n'aurons une politique comme celle adoptée par les fabricants de vaccins à l'époque.De quoi avez-vous besoin aujourd'hui pour y arriver ?Nous avons besoin de technologie, de finance, de capital intellectuel. Nous devons discuter de partenariat, d'assistance. C'est pour cela que je suis ici, en France, pour demander de l'aide et rencontrer des gens qui souhaitent la même chose.Avez-vous eu des discussions avec la France pour obtenir des financements et trouver des financements ? Vous savez, l'argent n'est pas le principal obstacle. Là où il y a une volonté et un projet solide, les financements suivent. L'obstacle principal est d'obtenir l'accord de ceux qui ont la technologie, les brevets. Nous ne demandons que ces brevets soient levés, nous demandons des partenariats. Mais au-delà de tout cela, nous voulons pouvoir construire nos propres capacités de production.Alors parlons de diamants : votre le pays en est le premier producteur africain. Récemment, avec l'Angola et la Namibie, vous avez écrit aux leaders du G7 pour protester contre une de leurs décisions, qui vous oblige à envoyer vos diamants – exportés dans ces pays du G7 – en Belgique pour y être certifiés. Une mesure imposée par ces leaders du G7 pour limiter l'importation de diamants russes, qu'ils estiment financer le conflit en Ukraine. Est-ce une mauvaise mesure ?C'est une décision scandaleuse, car nous n'avons pas été consultés et c'est une attaque envers notre souveraineté. Aussi louable soit la raison derrière cette décision, elle se fait au détriment de notre développement. Elle fait du mal à notre économie. Et nous ne pouvons prendre le risque qu'elle ait un impact sur l'emploi dans notre pays, sur le financement de nos systèmes de santé, d'éducation, d'infrastructure. Toute notre économie est affectée par cette décision. Je suis certain que ce n'était pas leur intention, mais cette décision fait du mal à des économies comme la nôtre, et nous sommes extrêmement dépendants de notre production de diamants.Parlons d'environnement : vous avez environ 130 000 éléphants sur votre territoire. Et récemment vous vous êtes énervé contre l'Allemagne qui critiquait votre politique de chasse aux trophées. Vous avez même menacé Berlin de leur envoyer 20 000 éléphants. Pourquoi ?Une fois de plus, je voudrais plaider auprès de nos amis européens, qu'ils prennent le temps de nous parler, de comprendre nos préoccupations. Mais, surtout, plus que tout, j'aimerais qu'ils acceptent une fois pour toute que nous sommes un pays indépendant et souverain, responsable de la façon dont nous gérons nos ressources, notre environnement. Le Botswana a le nombre le plus élevé d'éléphants au monde : nous sommes leaders dans la conservation de la faune et de la flore, y compris des espèces sauvages. Nous avons mis de côté un pourcentage conséquent de notre territoire pour la protection des espèces sauvages. Nous faisons bien plus en termes de conservation que certains pays qui, de façon condescendante, prétendent savoir mieux que nous ce qui est bon pour nous. Je vous le demande : que sont devenus vos éléphants en Europe ? Et je propose de vous en donner 20 000. Même 25 000, cette fois-ci !Mais la critique des Allemands était sur l'utilisation de la chasse, que vous avez légalisé il y a quelques années comme moyen de gérer cette population d'éléphants…La chasse n'est qu'un aspect de notre politique de conservation, tout comme le tourisme photos, et un certain nombre d'autres mesures. Cette chasse aux éléphants est encadrée, elle est légale, régulée, quantifiée, calculée dans le temps, tout en prenant compte du comportement des espèces.Parlons de politique, maintenant : le Botswana organise des élections générales dans quelques mois. Vous êtes candidat à votre succession. On assiste ces dernières années à une tendance, qui est de vouloir modifier la Constitution pour rester au pouvoir. Qu'est-ce que vous en pensez ?Je suis horrifié par cela. Et je suis impatient que mes deux mandats prennent fin. Après cela, je m'en irai.Vous ne chercherez pas à rester ?  Non je ne resterai pas et je n'essaierai pas non plus de revenir plus tard. Car la Constitution du Botswana est très claire : un leader qui a déjà servi son pays deux fois ne doit et ne peut pas se représenter.

Afrikaans Vandag met Annemie
Bokboot en onder die bed chocolate eet!

Afrikaans Vandag met Annemie

Play Episode Listen Later Apr 10, 2024 22:54


Van seereis, Namibie, die wind en meer met my, Stefan en Carien

Invité Afrique
Howard Catton: le recrutement des infirmiers dans les pays africains est «une forme de néocolonialisme»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Mar 17, 2024 3:35


C'est un cri d'alarme pour les systèmes de santé des pays africains. Howard Catton dénonce une forme de « néocolonialisme ». Le directeur général du Conseil International des Infirmiers/Infirmières (lui-même infirmier britannique) s'inquiète de l'accélération de la fuite des cerveaux infirmiers. En recrutant massivement des soignants dans les pays africains anglophones et francophones, les pays à revenu élevé contribuent à accentuer des déserts médicaux, dangereux pour les populations. Entretien avec Howard Catton. RFI : Vous dîtes que le recrutement d'infirmiers ou d'infirmières venus de pays vulnérables au profit de pays dit riches est devenu « hors de contrôle » ?Howard Catton : Nous avons constaté une augmentation très significative de l'activité de recrutement international au cours de la dernière année. Aujourd'hui, elle est principalement due à un petit nombre de pays aux revenus élevés. Des pays qui connaissaient déjà des pénuries importantes d'infirmières avant la pandémie de Covid-19. La pandémie a aggravé la situation. Et la solution de court terme de ces pays, c'est de recruter à l'étranger. En particulier dans des pays avec des systèmes de santé fragiles. Et nous sommes extrêmement préoccupés par l'impact négatif que cela a sur la capacité de ces pays qui perdent des infirmières à continuer à fournir des soins de santé à leur propre population.Sur le continent, quels sont les pays qui perdent le plus leurs infirmiers, leurs infirmières ?Nous voyons des recrutements dans un large éventail de pays africains, du Botswana à l'Eswatini, au Kenya, au Malawi, en Namibie et au Rwanda, de manière très significative aussi au Ghana, au Nigeria et en Ouganda. Bien sûr, il y a des exemples dans les pays francophones aussi. Car nous voyons une hausse du recrutement en France. La Suisse a toujours recruté de manière significative, comme le Canada. Mais des pays comme la Finlande ont également accru leur recrutement. Il y a aussi de plus en plus de demandes en Asie, mais là, il faut des formations linguistiques. En tout cas, ce n'est pas un phénomène propre aux pays anglophones. Et ce que nous avons vu, c'est que certains de ces pays semblent encourager, soutenir, le départ de leurs infirmières, parce qu'ils y voient un avantage économique : l'argent renvoyé au pays. Cela donne nous donne le sentiment de faire partie d'une forme de néocolonialisme : les pays à revenu élevé utilisent leur puissance économique et leur richesse pour prélever ce dont ils ont besoin dans des pays plus fragiles. Ils instaurent une nouvelle forme de dépendance inquiétante à long terme, car elle fait obstacle au développement de systèmes de santé accessibles à tous.Dans ces pays de départ, que disent les infirmiers et les infirmières pour expliquer leur choix ? La très grande majorité des infirmières et autres soignants nous parlent de l'échec de leurs gouvernements et de leurs systèmes de santé à investir en eux pour payer des salaires équitables, garantir des conditions de travail décentes, pour s'assurer qu'ils disposent de l'équipement dont ils ont besoin pour faire leur travail… Tous ces éléments motivent les départs. Il ne faut pas donc pas oublier les gouvernements des pays qui perdent leurs infirmiers, leurs infirmières, parce que cela est dû – en partie – à leur incapacité à investir correctement et sérieusement dans leur personnel et leurs systèmes de santé.Et à ce jour, qu'est-ce qui encadre le recrutement international et qui pourrait atténuer cette fuite des soignants ?Il existe un code de bonnes pratiques internationales qui encourage le recrutement éthique et équitable, mais, en réalité, nous pensons qu'il est trop faible. Vous voyez, il existe une liste de 55 pays où le recrutement est activement déconseillé. 37 de ces 55 pays sont en Afrique. Mais au cours de la dernière année, plus de 6 000 infirmières originaires de ces pays africains les plus vulnérables en matière de santé ont été recrutées et envoyées au Royaume-Uni. Pour nous, il faut renforcer ce code, et il faut un moratoire sur le recrutement actif dans les pays les plus vulnérables.À lire aussiUne fédération internationale d'infirmières alerte sur les recrutements massifs dans les pays pauvres

Les pieds sur terre
Le Désert

Les pieds sur terre

Play Episode Listen Later Mar 14, 2024 28:56


durée : 00:28:56 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Morgane rêve d'aller dans le désert de Namibie, car là-bas, il y a des acacias qui tiennent debout, même s'ils sont morts. Laure, elle, raconte une histoire d'amour passionnée, aussi belle, lumineuse et douloureuse que le désert dans lequel elle a vu le jour.

Beau Voyage
# 23 - Dorothée sur les routes : un camion XXL, le voyage sans retour et vivre chez les Sans

Beau Voyage

Play Episode Listen Later Mar 5, 2024 50:24


Notre invitée d'aujourd'hui ne voyage pas, elle vit ailleurs. Après 40 ans sur des rails, un job qui roule, un appart et une vie parisienne classique, Dorothée rencontre l'homme de sa vie et, ensemble, ils decident qu'ils changeront de quotidien, un jour. Après 2 kids et des mois de préparation, ils font le grand saut et prennent la route de l'Afrique en passant par l'Europe au volant d'un poids lourd super pimpé.J'ai eu la chance de profiter d'un de ses passages éclair en France pour lui poser toutes mes questions. Zimbabwe, Namibie, Botswana, Tanzanie, … Dorothée et sa troupe s'arrêtent selon leurs envies. Un mois par ci, six mois par la, sans aucune date de retour mais avec 3h d'école tous les matins.Elle nous raconte comment on prépare une aventure si dingue, ce quotidien si particulier au volant de son camion XXL ce mode de vie pas comme les autres,  l'éducation de ses enfants, la routine qu'elle s'impose pour garder les pieds sur terre et cet avenir nomade qu'ils se construisent, très loin de la civilisation..**************************************Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles sur Spotify ou un commentaire sur Apple Podcasts. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous ! **************************************Production : Sakti ProductionsVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com

Radio foot internationale
CAN 2024, en route pour les 8e de finale!

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Jan 25, 2024 48:30


Bienvenue dans Radio Foot à 16h10 T.U. avec au sommaire : - CAN 2024, le 1er tour a rendu son verdict, le tableau des 8ès de finales est connu. - Une dernière soirée haletante pour les supporteurs ivoiriens. La victoire du Maroc sur la Zambie permet au pays hôte de poursuivre l'aventure. Les Chipolopolos terminent 3e du groupe F, mais ne sont pas repêchés.  - Retour sur les matches d'hier (24 janvier 2024) : outre la victoire des Lions de l'Atlas, 3 rencontres sans buts, 3 résultats isolés lors d'une 1ère phase prolifique en buts : 89 réalisations ! Pas de vainqueur dans la rencontre entre Taifa Stars et Léopards, mais la RDC termine 2è de la poule F et s'apprête à vivre un nouveau départ !- 1er bilan : « petites équipes » et grande forme ! Guinée Équatoriale et Cap Vert vainqueur de groupes. Namibie et Mauritanie au rendez-vous des 8ès, fait inédit ! Le travail récompensé ? - Des cadors qui passent à la trappe : les Aigles de Carthage retoqués, 11 ans que cela ne leur était pas arrivé ! Algérie et Ghana, fin de cycle ? -- Sélectionneurs sur la touche : ils sont 6 à quitter leur banc. Spectacle et surprises : l'Égypte et le Cameroun n'ont rien lâché, les Pharaons qualifiés sans gagner ! Fulgurance du Nzalan, mordant des Requins bleus, arrêts de jeu et suspense total ! Difficile d'établir des pronostics. Favoris qui répondent présent : Maroc, Sénégal et Mali bons élèves. Moins attendus à pareille fête, les Angolais. Vont-ils encore surprendre ? Olivier Pron reviendra avec nous sur 12 jours de compétition.Avec Annie Gasnier : Ibrahima Traoré, Ludovic Duchesne et Naïm Moniolle. Technique/réalisation : Laurent Salerno -- Coordination : Pierre Guérin.

Journal de l'Afrique
CAN 2024 : avec les huitièmes de finale, une nouvelle compétition commence!

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jan 25, 2024 13:10


On connaît désormais les seize pays qualifiés pour les huitièmes de finale de la Coupe d'Afrique des nations : entre les miraculés Cameroun et Côte d'Ivoire, les solides Sénégal et Maroc, et les surprises Mauritanie et Namibie... Décryptage de cette deuxième partie de la compétition avec notre journaliste, Elom Toble.

Vu du Banc
CAN 2023 : Le Maroc répond aussi présent

Vu du Banc

Play Episode Listen Later Jan 18, 2024 2:08


Pour écouter l'épisode, je m'abonne à Coparena : https://m.audiomeans.fr/s/S-ufMgTDRZ Suite et fin de notre premier tour d'horizon des résultats de cette Coupe d'Afrique des nations. Au programme, l'entrée très sérieuse du Maroc face à la Tanzanie et des vives inquiétudes au sujet de la Tunisie, battue par la Namibie et qui doit encore faire face à deux adversaires prêts à lui poser des problèmes : le Mali et l'Afrique du Sud.