Third president and dictator of Uganda (1925–2003)
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Un'avventura umanitaria si trasforma in un incubo per il giovane medico scozzese Nicholas Garrigan. Recatosi in Uganda appena dopo la laurea, all'inizio degli anni ‘70, Garrigan incontra il nuovo presidente Idi Amin Dada e ne resta affascinato, fino a diventarne il medico personale. Circondato da potere e ricchezza, tuttavia, tarda a rendersi conto della crudele follia del dittatore, responsabile della morte di centinaia di migliaia di persone. E, a questo punto, scappare potrebbe essere diventato molto difficile. Nel cast, il Premio Oscar Forest Whitaker, James McAvoy e Kerry Washington.See omnystudio.com/listener for privacy information.
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Terroristas de la OLP, toman un avión de Airfrance, lo desvían de su curso y lo llevan a Africa, Uganda. El Aeropuerto de Entebbe, custodiado por los soldados del temible Idi Amin Dada, el carnicero, rodeados de terroristas que amanezan con asesinarlos si no se cumplen sus demandas. ¿Quién rayos los puede ayudar?Entérese en este programa de Relatos del lado oscuro
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Lake Albert was renamed Lake Idi Amin Dada while Lake Edward was renamed after his friend the president of Zaire, Mubutu Sese Seko. Lake Victoria was given back its Kiganda name, Nalubaale. "In addition, we have decided to change the names of a number of roads in Kampala as follows," Amin said. "1. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/you-betterknow4/message
Lake Albert was renamed Lake Idi Amin Dada while Lake Edward was renamed after his friend the president of Zaire, Mubutu Sese Seko. Lake Victoria was given back its Kiganda name, Nalubaale. "In addition, we have decided to change the names of a number of roads in Kampala as follows," Amin said. "1. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/you-betterknow4/message
Se séparer de ses chaussures parce qu'elles ont perdues de leur éclat, ce n'est plus nécessaire. La start-up tunisienne 'Kenenti' nettoie rénove et customise des sneakers et des sacs - pour l'amour du design mais aussi pour lutter contre le gaspillage vestimentaire. En fin d'émission il sera question d'Idi Amin Dada et d'Aretha Franklin. Mais tout d'abord voici le mot du jour : Cerf-volant...
Idi Amin “El carnicero de Uganda” En este capitulo les relataremos una historia proveniente del noreste de Africa, en la cual el personaje se cree que consumía carne humana. Analfabeta, militar y dictador, ingedientes perfectos para una vida de crimenes impunes. SIGUENOS EN TODAS LAS REDES SOCIALES COMO: NO ESPERES MUCHO
59 artistes et collectifs d'artistes pour forger un nouveau destin commun. Créer, imaginer et inventer. C'est autour de ce triptyque que va se dérouler l'exposition officielle internationale de la 14e édition de la Biennale de l'Art africain contemporain de Dakar qui s'ouvre ce jeudi 19 mai, et ce jusqu'au 21 juin. La sélection officielle met en lumière les œuvres de 59 artistes visuels et collectifs d'artistes du continent et de la diaspora. Preuve de la vitalité de l'art africain, le festival Off, qui accueille donc des artistes en dehors de l'exposition officielle, ce festival recense cette année plus de 400 sites d'exposition, pointe WalfQuotidien. Soit 25% de plus que lors de la dernière édition en 2018. Pour Mauro Petroni, artiste, céramiste, établi au Sénégal depuis plusieurs décennies et en charge de ce volet Off depuis 2002, « ce nombre croissant d'exposants Off prouve l'intérêt des opérateurs pour la Biennale de Dakar qui n'est plus un événement dakarois, ni sénégalais. On voit que la Biennale s'étale dans les autres régions du Sénégal, notamment sur la Petite côte où il y a énormément de sites cette année, Saint-Louis, Tambacounda, Kédougou et plusieurs centres régionaux ». Des créations inspirées par le coronavirus Dans ce Off de la Biennale de Dakar : la costumière, styliste, décoratrice et créatrice de bijou, Oumou Sy, qui a présenté ses deux installations à la presse hier, au Grand Théâtre Doudou Ndiaye Coumba Rose. « Intégrant dans ses créations des CD, des calebasses et autres objets tout aussi déroutants, Le Quotidien à Dakar note qu'Oumou Sy a étalé encore ses talents. » Avec cette fois, des robes inspirées par l'épidémie de coronavirus. Notamment, « la robe de la santé qui symbolise l'effort des recherches médicales sur les vaccins et aussi les remèdes. "Les fils qui pendent au niveau des installations représentent les fils de la vie, dit-elle, parce que la vie a de longues jambes et elle ne tient qu'à un fil" ». À voir dans ce Off également, pointe Le Monde Afrique, « l'artiste Désiré Mounou Koffi qui recycle des téléphones portables dans des réalisations très colorées inspirées de portraits et de scènes de la vie quotidienne abidjanaise. Son but ? Sensibiliser à la lutte contre la pollution dans ses œuvres qu'il expose à Dakar mais aussi à Abidjan jusqu'en juillet. "J'ai choisi le recyclage car je ne voulais pas limiter mon travail uniquement à la peinture. Je voulais apporter quelque chose de nouveau", explique-t-il ». ► À lire aussi : Fer de lance de la créativité africaine, la Biennale de Dakar fait son retour L'Afrique en filigrane sur la Croisette On reste dans le domaine artistique avec le festival de Cannes, vu d'Afrique. « Il n'y aura pas Abderrahmane Sissako, ni Mahamat Saleh ni Mati Diop à ce Festival de Cannes 2022, relève le quotidien Aujourd'hui à Ouagadougou, mais le continent est bien présent au travers de questions traitées par certains films à sujets transversaux : intégration, religion, réconciliation après-guerre, identité sexuelle, histoire du cinéma africain. Et comme pour marquer cette présence, l'ombre de l'Afrique a plané sur la Croisette dès le premier film projeté hier pour la presse : For the Sake of Peace (Au nom de la paix), de Christophe Castagne et Thomas Sametin. Film documentaire d'une brûlante actualité, For the Sake of Peace, évoque la situation au Soudan où il y eut la guerre, les massacres des Darfouris… Une paix advenue mais qui reste à être consolidée. » Et des questions qui restent en suspens, note encore Aujourd'hui : « Comment reconstruire la paix, la cohésion sociale, le vivre-ensemble ? » For the Sake of Peace a été produit par l'acteur américain Forest Whitaker, note WalfQuotidien. « L'acteur afro-américain de 60 ans ne se contente pas de briller à Hollywood. Il a créé, il y a dix ans, une ONG qui lutte contre la pauvreté, du Soudan du Sud au Mexique. Une fibre humanitaire née lors du tournage en Ouganda, du Dernier Roi d'Écosse, de Kevin Macdonald en 2006, où il incarnait Idi Amin Dada. (…) Forest Whitaker a reçu une Palme d'or d'honneur, avant-hier, lors de la Cérémonie d'ouverture. »
From the creators of Real Pirates comes Real Dictators, the show that explores the hidden lives of history's tyrants. In this episode, we're in Uganda, unpicking the regime of President Idi Amin Dada. From 1971 to 1979, Amin devastated Uganda as the nation's military dictator. He sank the economy and deported an entire ethnic class. He slaughtered, by some estimates, up to half a million of his fellow citizens. All this while cultivating a persona of 'Big Daddy', the playful joker. Let's peel back the layers of the myth and explore the life of Africa's most infamous son. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
From 1971 to 1979, President Idi Amin Dada devastated Uganda as the nation's military dictator. He sank the economy and deported an entire ethnic class. He slaughtered, by some estimates, up to half a million of his fellow citizens. All this while cultivating a persona of 'Big Daddy', the playful joker. He was depicted in the West as a buffoon. But this characterisation underestimated his mastery of communication and his extraordinary charisma. In a continent ravaged by empire, his bloody tale is part of a much larger story. Let's peel back the layers of the myth and explore the life of Africa's most infamous son. A Noiser production, written & produced by Jeff Dawson. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
El 11 de abril de 1979 la disidencia de Uganda logró deponer de su cargo a Idi Amin Dada Oumee, el despiadado dictador que pasó casi una década como presidente de ese país.
durée : 00:38:25 - Rendez-vous avec X - par : Patrick PESNOT - La République d'Ouganda, pays de l'Afrique de l'Est, fait partie de l'Afrique des grands lacs. Le 25 janvier 1971, Idi Amin Dada prend le pouvoir par un coup d'État. Huit ans d'un règne durant lequel le président autoproclamé à vie, auto-nommé maréchal, va sombrer dans une sanglante paranoïa...
« Les Occidentaux ne boudent pas leur plaisir à propos de l’embellie politique en Libye, pointe Le Monde Afrique. Après les bruyantes alarmes d’il y a un an – au plus fort de la "bataille de Tripoli" déclenchée par les forces du maréchal Haftar – sur la "syrianisation de la Libye", l’heure est à un soulagement ostensible. Depuis la réunification entre la Tripolitaine (à l’ouest) et la Cyrénaïque ( à l’est ) scellée par le vote de confiance accordé le 10 mars à Syrte par le Parlement au nouveau gouvernement d’union nationale dirigé par Abdel Hamid Dbeibah, les diplomaties européennes et américaine veulent espérer que la séquence du chaos post-2011 est close. » Désormais, poursuit Le Monde Afrique, « la priorité pour les Américains et les Européens est de consolider un processus de paix qui, à leurs yeux, doit déboucher sans tarder sur un départ des "forces étrangères" – turques et russes – qui avaient afflué à la faveur de la "bataille de Tripoli". Le président français, Emmanuel Macron, l’a répété, avant-hier, à l’issue de son entretien à l’Elysée avec deux dirigeants libyens du nouvel exécutif : Mohammed Al-Menfi et Moussa Al-Koni, président et vice-président du Conseil présidentiel. » Un mea-culpa qui n’arrive pas par hasard… D’ailleurs, une autre phrase du président français a retenu l’attention des observateurs : « Nous avons une dette à l’égard de la Libye et des Libyens. » « En disant cela, pointe L’Observateur Paalga au Burkina, le locataire de l’Elysée reconnaît la responsabilité de l’Hexagone dans le chaos qui s’est installé dans le pays après l’intervention occidentale et particulièrement française qui, en 2011, avait débouché sur l’assassinat du colonel Kadhafi. (…) Une décennie plus tard, le pays est toujours un grand bazar où sévissent une multitude de milices et de groupes armés. Une instabilité qui a du reste franchi les frontières pour submerger la bande sahélo-saharienne qui, du fait de l’explosion de l’Etat libyen, se trouve désormais en proie à une insécurité endémique. En fait, relève encore L’Observateur Paalga, ce n’est pas la première fois que Jupiter reconnaît une certaine responsabilité française dans l’imbroglio libyen : déjà à Alger en 2017, il reconnaissait que "l’intervention occidentale en Libye était une erreur". Confession similaire en 2018, cette fois à Tunis où il avait qualifié ladite opération militaire de "grave erreur" » Toutefois, tempère le quotidien ouagalais, « cet acte de contrition présidentiel » n’arrive par hasard. « En se rapprochant des nouvelles autorités de Tripoli, Paris pousse ses propres pions sur l’échiquier d’une Libye en cours de reconstruction dans l’espoir d’y jouer les premiers rôles particulièrement pour les nombreux marchés qui se profilent à l’horizon. C’est donc une guerre à fleuret moucheté qui se joue entre Français, Italiens, Russes et Turcs. Les immenses réserves libyennes d’or noir valent bien un mea culpa présidentiel. » « Soutenir des régimes disqualifiés n’a aucun sens… » A lire dans Le Point Afrique, cette longue interview du journaliste Vincent Hugueux, qui parcoure le continent depuis 30 ans et qui vient de sortir Tyrans d’Afrique, un ouvrage dans lequel il brosse le portrait de 10 dictateurs sur le sentier des mystères du despotisme postcolonial. On a pu entendre d’ailleurs Vincent Hugeux sur RFI il y a quelques jours dans l’émission Une semaine d’actualité. Le journaliste nous parle donc de chefs d’Etat du passé comme Bokassa, Idi Amin Dada, Mobutu, Sékou Touré, ou encore Mugabe. Deux sont encore aux affaires : l’érythréen Afeworki et l’équato-guinéen Teodoro Obiang. « Je crois avoir esquissé la composition de l’élixir toxique dont s’abreuvent la plupart d’entre eux, affirme Vincent Hugueux : enfance chaotique, volonté de revanche, blessures narcissiques, paranoïa, régression clanique, dérive messianique. (…) La quasi-totalité des tyrans passés en revue au fil des pages ont été ou sont encore des anachronismes sur pieds. (…) La question n’est pas de savoir si ces pouvoirs tomberont, mais quand, à quel prix et au profit de qui. L’autre enseignement s’adresse aux puissances occidentales – France en tête –, qu’elles aient ou non un passé colonial, poursuit Vincent Hugeux. Soutenir obstinément, au nom de la sacro-sainte "stabilité" comme de l’impératif sécuritaire, des régimes disqualifiés n’a aucun sens. Il n’y a pas de plus sûr moyen de s’aliéner les élites de demain – pour le plus grand bonheur de la Chine, de la Russie ou de la Turquie – et de discréditer les instruments de la démocratie. »
Idi Aman Dada a incarné à lui seul toute cette partie sombre et primitive de l’Afrique comme pouvaient se l’imaginer les occidentaux au début du XXe siècle. Pourtant, lorsqu’il accède au pouvoir en 1971 avec la bénédiction du Commonwealth et le soutien massif de la population, ce n’était encore qu’un soldat de l’armée coloniale, sans réelle éducation. Mais Idi Ami Amin Dada prend rapidement goût aux privilèges conférés par le pouvoir, il devient donc un homme fantasque, mégalomane, primitif et animé par une violence incontrôlable. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Vincent Hugeux, ancien grand reporter à l’Express et spécialiste de l’Afrique, vient de sortir aux éditions Perrin « Tyrans d’Afrique, les mystères du despotisme post-colonial ». Dans ce livre de 400 pages, il dresse le portrait de dix chefs d’État africains connus pour l’exercice violent du pouvoir, parmi lesquels Jean-Bedel Bokassa, Idi Amin Dada, Ahmed Sékou Touré ou encore Isaias Afeworki. Vincent Hugeux répond aux questions d'Edmond Sadaka.
L'ascesa del sanguinario dittatore Idi Amin Dada vista attraverso lo sguardo, dapprima ingenuo e poi terrorizzato, del medico scozzese Nicholas Garrigan, divenuto medico personale e consigliere di uno dei più feroci leader di tutti i tempi, responsabile di oltre 300.000 morti durante il suo regime in Uganda. Forest Whitaker (Premio Oscar più che meritato per questa straordinaria interpretazione) incarna il despota africano in questo bellissimo film di Kevin MacDonald, tra scene fortissime, paesaggi mozzafiato ed una splendida colonna sonora. Un tragico e purtroppo reale frammento di storia vera, che in pochi conoscono, qui rappresentato con forte lucidità e pesante critica.
The wonderful finale to a complicated ruler. Idi might not be the boogeyman everyone wants him to be, but he's still monstrous in his indifference to taking life. Learn how and why he fell, and thank you for listening to this series and reading the description! Click these links Buy Mark Leopold's book! IDI AMIN: THE STORY OF AFRICA'S ICON OF EVIL Visit our Website! Donate to our Patreon! Follow us on Instagram! Follow us on Twitter! Email us - bumblebuttpodcast@gmail.com Intro/outro music is titled 'LOSE' from New Totally Radical by EXIT
Hey party people, in this episode Idi Amin reels in all the power Obote is secreting. Paranoia makes Obote do irrational things that make others want to overthrow him. It's a bit of a self fulfilling prophecy. Internationally the British and Israelis separately agree that Amin is the only viable future for Uganda and are hoping for him to make his move. Buy Mark Leopold's book! IDI AMIN: THE STORY OF AFRICA'S ICON OF EVIL Visit our Website! Donate to our Patreon! Follow us on Instagram! Follow us on Twitter! Email us - bumblebuttpodcast@gmail.com Intro/outro music is titled 'LOSE' from New Totally Radical by EXIT
Uganda has an incredibly complex history. Passed from colonial master to colonial master, they were expected to become a fully functioning part of the world's economy when they gained independence in 1962. This confusing time was the perfect opportunity for the most well respected soldier in the country to rise up and seize power. Buy Mark Leopold's book! IDI AMIN: THE STORY OF AFRICA'S ICON OF EVIL Visit our Website! Donate to our Patreon! Follow us on Instagram! Follow us on Twitter! Email us - bumblebuttpodcast@gmail.com Intro/outro music is titled 'LOSE' from New Totally Radical by EXIT
Le troisième mandat d’Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire débute dans la douleur… Violences meurtrières, boycott de l’opposition, refus des résultats, poursuites judiciaires… la crise creuse son sillon. Le site d’information ivoirien Le Point Sur constate les dégâts : « de la crise pré-électorale à celle post-électorale, les discours et les actes des hommes politiques ivoiriens, empreints de violences verbales, provoquent des affrontements intercommunautaires, la déstabilisation des pouvoirs publics, mettant en cause ainsi la fragile cohésion sociale. (…) L’opposition est intimidée et bâillonnée par le pouvoir. Le ton des discours, tant de l’opposition que du pouvoir, reste inchangé. La peur gagne les populations dans un pays qui recolle difficilement les morceaux d’une paix précaire, éclatée, en lambeaux depuis des mois. » Hier, pointe L’Infodrome, autre site d’information ivoirien, « le président du FPI, Pascal Affi N’Guessan a été placé sous mandat de dépôt, avec pas moins de 30 charges pesant contre lui. » Dans le même temps, « le président Ouattara se dit ouvert au dialogue, souhaite une rencontre avec Henri Konan Bédié pour un échange franc dans les jours à venir et appelle le Conseil National de Transition (formé par l’opposition) à mettre un terme à ses actions. » Calme et dialogue ! Alors certains crient « halte au feu ! », à l’instar d’Antoine Assalé Tiemoko, maire de la commune de Tiassalé, qui publie une tribune dans l’hebdomadaire L’Eléphant Déchaîné. En voici un extrait : « comme en 1995, comme en 2000, comme en 2002, comme en 2004, comme en 2010, les acteurs politiques Ivoiriens, depuis le mois d’août dernier, se parlent mais ne s'entendent plus. Tout est devenu menaces, rapports de force, accusations et haines réciproques dans la conquête ou la conservation du pouvoir. (…) Devant une telle situation, poursuit Antoine Assalé Tiemoko, devant les dangers graves qui menacent notre pays, on ne peut qu’appeler toutes les parties au calme et au dialogue. On ne peut qu’appeler surtout le pouvoir en place à donner une chance à la discussion à travers des mesures rapides d’apaisement, en suspendant les poursuites aujourd’hui engagées contre des leaders de l’opposition civile afin de donner une chance au dialogue. (…) La réconciliation dont tout le monde se fait le chantre ne peut se faire en excluant une partie des Ivoiriens, qu’on soit du côté du pouvoir ou de l’opposition. » Regagner la confiance En effet, renchérit l’analyste politique Sylvain N’Guessan, interrogé par Le Point Afrique, « il n’y a que le dialogue pour sortir de cette situation de crise politique », bien que l'opposition soit divisée et faible. « Ouattara pourrait former un gouvernement d’union nationale et accepter de réformer la commission électorale » en vue des législatives, poursuit-il. Mais avant, indique-t-on du côté du pouvoir « il faut que l’opposition reconnaisse la victoire d’Alassane Ouattara ». « Pour le moment, constate Le Point Afrique, le président Ouattara a adopté une attitude ferme envers les opposants. Il doit toutefois sortir du bourbier et regagner la confiance de la communauté internationale qui n’a pas apprécié sa candidature à un troisième mandat. » Place à la jeune génération ? Il n’y a pas d’autres solutions que le dialogue, insiste pour sa part Le Pays au Burkina : « si les autorités en place à Abidjan accueillent sans condescendance l’éventualité d’une négociation et évitent de verser dans la répression féroce de toute voix dissonante, comme on le craint dans les rangs de l’opposition, alors, la Côte d’Ivoire pourrait éviter la meurtrière crise post-électorale que des oiseaux de mauvais augure avaient vite fait de lui prédire. On espère que les trois têtes de gondole de la politique dans ce pays que sont Henri Konan Bédié, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara auront à cœur de quitter dignement la scène dans les mois ou les années à venir, sans verser encore une seule goutte de sang de leurs compatriotes à cause de leurs pulsions vengeresses ou mégalomaniaques. » Enfin, WakatSéra, toujours au Burkina Faso, hausse le ton : « les hommes forts, prêts à se maintenir au pouvoir ad vitam aeternam, le continent noir n’en n’a plus besoin. Les pays africains, en quête de stabilité et de cohésion sociale, cherchent plutôt à asseoir leur développement sur des institutions fortes. Il est temps, poursuit WakatSéra, que le changement intergénérationnel devienne une réalité, pour impulser un dynamisme nouveau à des pays comme la Côte d’Ivoire et la Guinée qui ont sérieusement mal à leurs classes politiques atteintes de sclérose à faire pâlir de jalousie les monarchies ou les anciens régimes de fer à la Idi Amin Dada. »
I capitoli del video:0:00 Introduzione1:06 Capitolo 1 chi era Idi Amin?2:30 Capitolo 2 la presa del potere5:00 La crisi del regime6:39 L'esilio e la fine8:39 Considerazioni finaliParole chiave del video: #idiamin #scozia #uganda#tunonhaibisognodellopsicologo #fareladifferenza
In this episode the hosts discuss the lives and legacies of Ugandan dictator Idi Amin Dada and Zimbabwean dictator Robert Mugabe. The hosts discuss Idi Amin's rise to power, his manic behaviour, his involvement with Operation Entebbe, the brutal massacres under his regime and his eventual downfall. They also discuss Mugabe's time as an African independence leader, his ruthless consolidation of power with the Gukurahundi, the seizure of white owned land and the creation of hyper-inflation in Zimbabwe. These two dictators battle it out in Round 9 of the knock-out tournament to determine the single greatest dictator of all time. One of these two dictators will be eliminated from the tournament and the other will remain in contention to be crowned history's biggest dictator.
“Me gusta la carne humana porque es más blanda y salada y el Corán por religión, en un banquete es lo que más extraño cuando estoy fuera de mi país”, solía decir Idi Amin Dada, el ex presidente de Uganda desde 1971 a 1979. Hoy se cumplen diez años de su muerte. Durante sus ocho años de régimen dictatorial, murieron alrededor de 500 mil personas y Uganda quedó sumida en una profunda crisis económica. Al final, permaneció exiliado 20 años en Arabia Saudita. Idi Amin falleció sin haber pagado por sus crímenes. Nunca pisó una cárcel, tampoco fue juzgado ni dio señales de arrepentimiento. Ricardo Becerra Social Networks: DBCHRY en Facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=100052886903163 Twitter https://twitter.com/LaParkaHDT Facebook: https://www.facebook.com/LaParkaHDT Facebook Podcasters del Mundo: https://www.facebook.com/groups/210812409530790/ Instagram: https://www.instagram.com/laparkahdtelpodcast/ TikTok @LaParkaHDT Donate to via PayPal, our email is americantruckandtire@gmail.com Cool Kid Luke YouTube Channel: https://www.youtube.com/channel/UC_hBDnFl7vjj5xOnOYjlWTA La Parka HDT YouTube channel is: https://www.youtube.com/channel/UClkCxDav5EjbxcrCH6uLUyg Luce Divina Facebook Page: https://www.facebook.com/reyna.verdugo.7505 Patrocinada por Luce Divina: Los mejores accesorios a solo $5.50 dlls. https://paparazziaccessories.com/322975/ --- Send in a voice message: https://anchor.fm/laparkahdt/message Support this podcast: https://anchor.fm/laparkahdt/support
Jean-Benard Padaré, le secrétaire général adjoint du MPS, le parti du président Déby, est l'invité de RFI. L’ancien ministre de la Justice répond à l’opposant Mahamat Ahmad Alhabo qui, mardi 7 juillet, dénonçait sur notre antenne le nouveau report des législatives. Il qualifiait aussi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian d’« ami » du président tchadien, affirmant qu’il n’y avait rien à attendre du gouvernement d'Emmanuel Macron. RFI : Jean-Yves Le Drian reste aux Affaires étrangères, l’opposition le qualifie d’ami du président Idriss Déby, est-ce une réalité ? Jean-Benard Padaré : Écoutez, Jean-Yves le Drian ne vient pas au Tchad pour passer des vacances. Il ne vient pas en visite privée. Il vient en visite officielle, il vient dans le cadre d’une mission et d’ailleurs la fois où il est allé à Amdjarass, c’est quand le président était en vacances et il y a passé même pas une heure de temps. Donc, c’est la France qui a des relations avec le Tchad. Il faut que cela soit très clair. Pour ce qui est de la situation sécuritaire au Sahel, pourquoi le président Idriss Déby a-t-il décidé de ne pas envoyer un bataillon dans la zone des trois frontières ? Parce qu’il faut bien qu’on sécurise d’abord nos frontières dans le Lac Tchad, qui avait fait l’objet d’une attaque de Boko Haram, que de déployer immédiatement nos troupes dans la zone des trois frontières, parce qu’il faut s’assurer de sa propre sécurité d’abord avant de se courir et éventuellement les voisins C’est cette maxime qui a simplement été appliqué. Y a-t-il des craintes aussi du côté de la Libye, des rebelles tchadiens sont là-bas, on le sait dans le sud non loin de la frontière ?Écoutez, des craintes pourquoi ? Écoutez, nous n’avons plus de rebelles. Nous avons des narcotrafiquants, des terroristes qui écument cette zone, mais jusqu’à maintenant, toute la zone du Tibesti est sécurisée. Ils n’arrivent plus à faire une incursion dans notre territoire.À propos de la lutte contre Boko Haram, selon les défenseurs des droits de l´homme, les 44 prisonniers qui sont morts en détention n’étaient pas des terroristes. Ils sont morts par suffocation, de faim et déshydratés. Pourquoi ne pas accepter une enquête internationale, si vous critiquez le rapport du CCDH ?Mais pourquoi accepter une enquête internationale, alors qu’on a une commission qui n’a pas encore rendu le rapport, une commission nationale. C’est la présidence de la République qui a saisi cette commission nationale des droits de l'homme pour savoir la vérité.Est-elle indépendante ?Mais oui les membres de cette commission sont totalement indépendants. Donc attendons qu’ils publient le rapport. Pourquoi tout de suite « international » ! Quand quelque chose se passe en France, est-ce qu'on met en place une commission internationale. Le gouvernement de toute façon n’a rien à cacher. Alors les législatives qui devaient avoir lieu avant la présidentielle d’avril prochain sont finalement renvoyées en octobre 2021. L’opposition dénonce une fuite en avant, que répondez-vous ?Eh bien nous disons simplement à l’opposition qu’elle se met dans l’art de la mauvaise foi, dans la mesure où elle est représentée à la Céni à 50%, la majorité présidentielle à 50%. C’est ça qu'on n'arrive pas à comprendre, ce comportement irresponsable parce qu’il n’y a pas d’autres mots pour qualifier ça. Je fais remarquer que la prorogation du mandat des députés avait été votée à l’unanimité, donc ce qui veut dire qu’ils ont laissé la porte ouverte. On ne peut pas proroger l’élection présidentielle, c’est impossible.Quoi qu'il en soit, ces élections vont se tenir dans un contexte de méfiance la plus absolue, n’est-ce pas un véritable problème ?Ça c’est vous qui le dites. Moi je pense que tout est sur la table pour que les élections se passent dans de très bonnes conditions et nous croisons les doigts pour que d'ici là, la Covid-19 soit vaincue. Pour le reste, c'est une manœuvre tendant à retarder les échéances, et pour qu’on aboutisse à quoi ? Eh bien, à un vide juridique en avril pour conduire notre pays à la transition, c’est ce que souhaite l’opposition, c’est inacceptable.Et pourquoi ne pas coupler ces législatives avec la présidentielle du mois d’avril ?On ne peut pas coupler ! Vous le savez très bien que notre peuple, nos populations, nos électeurs, pour qu'ils comprennent déjà. Est-ce que vous imaginez que les gens cochent sur un bulletin pour les élections législatives et sur un autre bulletin pour les élections présidentielles ? Non. Nos populations ne sont pas encore prêtes pour assumer des élections cumulées. On ne peut pas prendre ce risque-là.Le président Idriss Déby vient d’être honoré du titre du maréchal du Tchad, était-ce vraiment opportun dans le contexte actuel ?C’est un titre qui est prévu dans nos textes. Ce n’est pas un grade, mais une dignité. C'est un témoignage de reconnaissance que la Nation a eu à lui faire.« Cela nous fait penser à Mobutu, à Bokassa, à Idi Amin Dada », rétorque que l’opposition.Ça n’a rien à voir ! Mobutu s’est autoproclamé, Bokassa s’est autoproclamé, Idi Amin Dada s’est autoproclamé aussi. Aujourd’hui, c’est la représentation nationale qui a décidé de l’élever à la dignité de maréchal. C’est purement honorifique.
Maintes fois différées depuis cinq ans, les élections législatives au Tchad, qui devaient se tenir en décembre, ont été finalement repoussées au 24 octobre 2021, soit six mois après la présidentielle du 1er avril. Le G24 des partis politiques de l'opposition a publié un communiqué lundi : il rejette ce nouveau calendrier. Membre de ce G24, Mahamat Ahmad Alhabo est secrétaire général du PLD, le parti de l'opposant Ibni Oumar Mahamat Saleh, disparu le 3 février 2008 après son enlèvement. RFI : Pourquoi rejetez-vous le nouveau calendrier électoral ? Mahamat Ahmad Alhabo : Parce que nous, on est pour qu’on organise d’abord les législatives et ensuite les présidentielles, à la rigueur on peut cumuler les deux mais on ne peut pas envoyer aux calendes grecques les législatives, et si on organise la présidentielle en avril, il n’est pas du tout certain que les autres élections à savoir les législatives et les communales puissent être organisées plus tard. En octobre 2021, cela fera six ans que le mandat des députés aura expiré, à l’annonce du premier report vous n’aviez pas imaginé six ans sans élections législatives ? C’est exactement ça ! Pour lui, la démocratie c’est lui, son élection, mais les autres pouvoirs tels que l’Assemblée nationale, la justice, ne sont pas très importants. C’est un grand problème pour nous, pour notre pays parce que des députés qui n’ont pas de mandat depuis six ans votent des lois et les conventions internationales. Tout ça, ça tombe dans une certaine illégalité et illégitimité. Il y a cette question du calendrier, mais il y a aussi la question de la crédibilité du processus qui vous inquiète ? Oui du processus électoral, et de ceux qui sont chargés d’organiser ses élections à qui on a confié la tâche. Nous demandons que le pouvoir arrête de s'ingérer, arrête de donner des oukazes aux membres de la Céni. Il faut qu’il les laisse travailler en transparence, et qu'on élise des hommes indépendants du pouvoir et non des marionnettes. Mais un recensement électoral biométrique est prévu, c’est plutôt une bonne nouvelle non ? Oui, on organise un recensement biométrique, mais le jour du vote, vous n'avez pas de kit d’identification, qui identifie que vous êtes le porteur de cette carte et pas une autre personne donc on amuse un peu la galerie, on a dit qu’on a fait un recensement biométrique, mais à quoi sert une carte biométrique si le vote n’est pas biométrique ? Il ne sert absolument à rien. Et ce titre de maréchal du Tchad, pour le chef de l’État, comment le prenez vous ? Ça nous choque beaucoup parce que ça nous rappelle Idi Amin Dada, ça nous rappelle Mobutu, ça nous rappelle Bokassa, et malheureusement ce sont ces personnes-là à qui monsieur Déby voudrait ressembler et c’est triste pour nous au Tchad. Alors vous reprochez au pouvoir d’être figé dans le passé, mais l’opposition tchadienne offre-t-elle vraiment un visage différent ? Il y a presque une centaine de partis politiques de l’opposition au Tchad. Malheureusement, beaucoup de ceux qui se disent de l’opposition travaillent contre l’opposition pour le pouvoir. C’est très malheureux de le dire mais ce sont des sous-marins de pouvoirs qui torpillent les actions de l’opposition. Mais les petits jeux, les calculs politiciens, les querelles de leadership, est-ce que l’opposition se montre à la hauteur des enjeux ? C’est un grand problème pour l’opposition tchadienne de s’entendre pour choisir une seule personne qui puisse porter la voix de toute l'opposition. Vous savez que le pouvoir travaille aussi à cela. Par derrière, il suscite aussi les divisions de l’opposition et cela c’est de bonne guerre n’est-ce pas. Donc ce n’est pas aussi simple qu’on puisse le croire. Au sommet du G5 de Pau, il était question d’envoyer un bataillon tchadien dans la zone des trois frontières, le président Déby n’est plus favorable aujourd’hui, qu’est-ce que vous en pensez ? Oui, au début, le président Déby a projeté au Mali, très loin du Tchad, un nombre considérable de Tchadiens qui sont partis mourir pour défendre la cause à la fois malienne et française et donc, c’est une dette de sang avec la France, et en retour le gouvernement français, les autorités françaises ferment les yeux sur toutes les dérives dictatoriales, les violations massives et intempestives des droits de l’homme au Tchad. Aujourd’hui, il a peur de le faire parce que les militaires tchadiens commencent à rechigner, à parler, à manifester leur mécontentement. Donc, il a peur d’avoir des problèmes sur ses arrière-gardes. Jean-Yves Le Drian reste au Quai d’Orsay, quelle est votre réaction ? Monsieur Le Drian est un grand ami de monsieur Idriss Déby. Il vient souvent voir monsieur Déby, jusqu’à chez lui dans son village d'Amdjarass et donc en famille. Ils parlent on ne sait pas de quoi, mais dans tous les cas il a toujours été un soutien inconditionnel de monsieur Idriss Déby quand il était aux Affaires étrangères et quand il était également au ministère de la Défense. Donc par conséquent le peuple tchadien n’attend rien de monsieur Le Drian et du gouvernement de monsieur Macron.
Sátrapa 1. Gobernador de una provincia de la antigua Persia. 2. Persona que gobierna despótica y arbitrariamente y que hace ostentación de su poder. Desafortunadamente la historia de la humanidad está plagada de casos donde gobernantes tiránicos, déspotas y crueles han usado su poder militar y posición, para someter a los pueblos mediante la fuerza. Personajes que mediante golpes de estado, situaciones de excepción e incluso en ocasiones por elección popular crean de su país un feudo donde ellos son la ley. En esta nueva entrega recopilamos historias curiosas, costumbres, manías y las cosas más locas que podáis imaginar. Conoceremos un poquito más los perfiles de estas mentes perturbadas que tanta muerte y terror sembraron en sus respectivos países. La historia esta plagada de cientos de estos singulares personajes, pero en este episodio nos centraremos en algunos de los más excéntricos. Todos ellos comparten un perfil común que Xavi nos desvelará a lo largo de este podcast de una forma maravillosa y elocuente como ya es habitual en él. Saparmurat Niyazov, François Duvalier (Papa Doc), Jean-Claude Duvalier (Baby Doc), Enver Halil Hoxha, Idi Amin Dada, Jean-Bédel Bokassa, Pol Pot o Kim Jong II son algunos de los que trataremos en el episodio de hoy. Intentaremos tratar el tema desde un punto de vista humorístico (si es posible) pero sin olvidar lo que realmente fueron, monstruos que nunca debieron existir. Acompáñanos un episodio más en este pequeño viaje de nuestra historia y conoce a los sátrapas más locos del siglo XX. Como siempre esperamos que disfrutéis con este episodio y nos dejéis vuestros comentarios tanto si os ha gustado como si no.
Sátrapa 1. Gobernador de una provincia de la antigua Persia. 2. Persona que gobierna despótica y arbitrariamente y que hace ostentación de su poder. Desafortunadamente la historia de la humanidad está plagada de casos donde gobernantes tiránicos, déspotas y crueles han usado su poder militar y posición, para someter a los pueblos mediante la fuerza. Personajes que mediante golpes de estado, situaciones de excepción e incluso en ocasiones por elección popular crean de su país un feudo donde ellos son la ley. En esta nueva entrega recopilamos historias curiosas, costumbres, manías y las cosas más locas que podáis imaginar. Conoceremos un poquito más los perfiles de estas mentes perturbadas que tanta muerte y terror sembraron en sus respectivos países. La historia esta plagada de cientos de estos singulares personajes, pero en este episodio nos centraremos en algunos de los más excéntricos. Todos ellos comparten un perfil común que Xavi nos desvelará a lo largo de este podcast de una forma maravillosa y elocuente como ya es habitual en él. Saparmurat Niyazov, François Duvalier (Papa Doc), Jean-Claude Duvalier (Baby Doc), Enver Halil Hoxha, Idi Amin Dada, Jean-Bédel Bokassa, Pol Pot o Kim Jong II son algunos de los que trataremos en el episodio de hoy. Intentaremos tratar el tema desde un punto de vista humorístico (si es posible) pero sin olvidar lo que realmente fueron, monstruos que nunca debieron existir. Acompáñanos un episodio más en este pequeño viaje de nuestra historia y conoce a los sátrapas más locos del siglo XX. Como siempre esperamos que disfrutéis con este episodio y nos dejéis vuestros comentarios tanto si os ha gustado como si no.
From the Villains bracket, we have the Butcher of Uganda, Idi Amin Dada facing off against the leader of a pack of misfits who committed one of the most heinous murders in American history, Charles Manson. Find out which villain moves on to the second round.Support the show (http://www.battlegroundhistory.com)
Era conosciuto per il suo sgargiante sorriso, ma il dittatore militare Idi Amin Dada governò l'Uganda col pugno di ferro per otto lunghi anni. Coloro i quali celebrarono il suo colpo militare del 1971, non avevano idea di come sarebbe stata violenta la successiva decade: entro la fine del suo governo, Amin avrebbe ordinato l'uccisione di circa 300.000 persone (alcune stime alzano il numero fino a 500.000), su una popolazione di circa 12 milioni di individui.
In our 134th episode we're talking spine #153 in the Criterion Collection: Barbet Schroeder's GENERAL IDI AMIN DADA: A SELF PORTRAIT from 1974. First RJ talks about DON'T WORRY, HE WON'T GET FAR ON FOOT and GLASS. Jarrett talks about ROMA and THE FAVOURITE. Podcast's intro song 'Here Come the Creeps' by Ugly Cry Club. You can check out her blossoming body of work here: uglycryclub.bandcamp.com/releases Like us on Facebook! www.facebook.com/criterioncreeps/ Follow us on that Twitter! twitter.com/criterioncreeps Follow us on Instagram! instagram.com/criterioncreeps We've got a Patreon too, if you are so inclined: patreon.com/criterioncreeps You can also subscribe to us on Soundcloud, iTunes, Google Play, and Stitcher!
Pour la première émission de la saison, animée par Emmanuelle LeBlond, Plein Feu s'intéresse au pays de l'Ouganda afin de mettre en lumière les instabilités politiques et le militantisme de "Bobi Wine", un personnage faisant front au gouvernement de Yoweri Museveni. Dominic Boucher commence par une mise en contexte sur l'histoire de l'Ouganda tout en faisant une mise au point sur le conflit actuel. Mélissa Aubert se penche sur l'industrie pétrolière du pays en exhibant les conséquences des décisions du président Museveni. Zoé Bellehumeur souligne le quarantième anniversaire du dictateur sanguinaire qu'était Idi Amin Dada. En culture, Marie-Anne Audet fait un survol de la carrière musicale controversée de "Bobi Wine". Finalement, Audrey Bonarque nous explique en quoi l'Ouganda est le champion de la mise en forme. Et restez à l'écoute pour notre mini-discussion, en fin d'émission, dans laquelle tous les collaborateurs participent!
En proposant au dictateur ougandais Idi Amin Dada de faire son autoportrait à travers un documentaire, le cinéaste Barbet Schroeder lui tend un piège: en le laissant faire son numéro devant sa caméra, Schroeder réussit à faire un film où le dictateur africain se montre sous son vrai jour, ce qui se révélera ne pas être particulièrement à son avantage. Invité : Georges Privet
This week we are joined by John R. to discuss Kevin's pick, *Watership Down*. Listen as we debate whether or not it is strictly a children's film. We also discuss the recent Criterion flash sale, the passing of Johann Johannsson, as well as other stuff we watched. Thanks for listening! 0:00 - Intro/RIP Johannsson/Criterion Sale 13:56 - What We Watched: *Darkest Hour*, *Hard Eight*, *Lost in Translation*, *Miami Vice*, *Coming to America*, *Logan Lucky*, *Den of Thieves*, *Last Flag Flying*, *Manhunter*, *The Post*, *Valerian and the City of a Thousand Planets*, *Idi Amin Dada* 1:22:00 - Deep Dive: *Watership Down* (1978) dir. Martin Rosen 1:54:40 - Outro/Next Episode feedack@filmyakpodcast.com
Bannon v. Trump. Drudge Report fades? Matt Dunn guest hosts the Dan Caplis Show. We explore the latest controversy over Steve Bannon and survey President Trump's prompt rebuke. Real or Fake? We consider the recent history of the Drudge Report, and opine that something's amiss. Why the change in tone? Fire in Chappaqua, at the Clinton residence. Grounds for suspicion? Manafort sues DOJ, Mueller, Rosenstein. Democrats and Media running away from Trump Dossier, all of a sudden. And fast. Nunes' deadline hits today. Looming contempt? Plus, vignettes on Idi Amin Dada, former dictator of Uganda. With Listener Calls & Music via Billy Preston and Heart. See omnystudio.com/listener for privacy information.
International criminal court investigates Ugandan atrocities. The Republic of Uganda in east Africa has been affected by the violence of military dictatorships of one kind or another since its independence from Britain in 1962. The most infamous of all is Idi Amin Dada who came to power during a military coup in 1971. His reign of terror involved wide-spread murder, horrible abuses of human rights and the expulsion of tens of thousands of Asian residents. During a period of three months, Canada took in more than 4,400 who held British passports. After Amin fled in 1979, leading to further coups and leadership changes, President Yoweri Museveni came to power in Uganda in 1986. Although Museveni introduced democratic reforms and improved the country's human rights record, he has been unable to stop the war in northern Uganda, run by the Lord’s Resistance Army rebels. The LRA’s leader, Joseph Kony, believes himself to be semi-divine. During LRA’s reign of terror, soldiers have slaughtered tens of thousands of people and displaced more than 1.6 million to refugee camps. Kony has also abducted more than 30,000 children, forcing the boys to fight and the girls to serve as sex slaves. Anyone the LRA suspects of disloyalty has their lips and noses sliced off. Under mounting pressure to end the violence, Museveni asked the International Criminal Court to intervene – the first ICC member to make such a request since the organization’s inception in 2002. On July 29, 2004, the ICC launched an investigation into the slaughter of more than 200 people that year. Unfortunately, many fear that in the short term, the action will spark more LRA brutality against northern Ugandan peasants. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Lukutaidoton, suulas ja roteva sekä yhtä pelottava kuin naurettava kenttämarsalkka Idi Amin Dada oli ovela, kökköhuumoria ja pelleilyä harrastanut raaka tappaja, joka janosi sokeasti valtaa ja hyväksyntää ja oli niiden edestä valmis kaikkiin kuviteltaviin karmeuksiin. Ugandan ulkopuolella Aminista käytettiin nimeä Ugandan teurastaja. Ugandalaiset itse käyttivät Aminista nimeä Big Daddy. Amin tappoi niin monia maanmiehiään, että Victoriajärven krokotiilit eivät kyenneet syömään heitä riittävän nopeasti. Aminin kaapattua vallan vuonna 1971, epäsuositun Oboten hallinnon jokainen jäsen otettiin kiinni ja teloitettiin ampumalla. Mm. entinen hallituksen työntekijä Francis Kalimazo kuuli radiosta uutisen kuolemastaan ja ymmärsi heti olevansa osa Aminin ruuhkautuneita töitä. Aminia pidettiin tyhmänä ja yksinkertaisena, ja oli suunniteltu että Amin on vain keulakuva, mutta Aminin vahvuuksiksi osoittautui, ettei hänellä ollut riittävää älyllistä kykyä lähteä mukaan viitta ja tikari-leikkeihin, joissa olisi juoniteltu, laskelmoitu ja jaettu valtaa kirjevaa’alla aina kulloistenkin salaliittosopimusten mukaisesti. Aminin mielestään valta kuului hänelle kun hän sen oli ottanut ja sillä selvä. Kansa oli Aminin takana, koska sillä ei ollut mitään menetettävää. Amin edusti ehkä joillekin toivoa paremmasta, mutta varsinaisesti Aminin kansansuosion takaa löytyi mm. se, että kansa muisti hyvin, että Amin piti hallussaan nyrkkeilyn Ugandan raskaansarjan mestaruutta vuosina 1951 - 1960. Kovanyrkkisen ja menestyvän raskaan sarjan nyrkkeilijän maine aikana jolloin Floyd Patterson, Sonny Liston ja Cassius Clay eli tuleva Muhammad Ali olivat kaikkien huulilla, ei ollut ollenkaan hullumpi meriitti. Ugandan ja Iso-Britannian suhteiden edistämiseksi Amin kertoi olevansa valmis naimaan prinsessa Annen. Saatuaan pakit Amin piti 1975 muutaman miljoonan euron superhäät 19-vuotiaan diskotanssijattaren Suicide Sarahn kanssa. Aminin bestmanina toimi PLO:n johtaja Jasser Arafat. Vaimonsa lisäksi Amin rakasti koripalloa. Vain Amin sai tehdä pisteitä ja hän tapatti palatsin vartijan, joka blokkasi hänen heittonsa. Kansan syvät rivit alkoivat rakoilla 1978 ja yhdistääkseen kansaa Amin julisti sodan Tansanialle. Idi Amin joukkoineen kuitenkin hävisi ja Amin joutui pakenemaan maasta ensin Libyaan ja sieltä Saudi-Arabiaan. Kun poliisit tutkivat viralta pannun Idi Aminin asuntoa vuonna 1979, he löysivät mm. suuren laatikon täynnä Tom ja Jerry - filmikeloja. Idi Amin kuoli vuonna 2003. CIA:n mukaan Amin oli vastuussa 300 000 ihmisen kuolemasta. Mutta ei Amin yksin tappanut satoja tuhansia ihmisiä. Pahuutta oli paljon ja Amin antoi sille vapaan tien nousta esiin, kertoo toimittaja, tietokirjailija Hannu Pesonen, joka on kirjoittanut mm. kirjat Tuomio ja sovitus - Ruandan kansanmurhan tilinteko sekä Hiekalle rakennettu elämä - taistelu Länsi-Saharasta. Toimittajana Raimo Tyykiluoto. Kuva: The Johannesburg Star, EPA
TRENDING TOPIC NACIONAL SEGUNDA POSICIÓN Estrenamos nueva sección "Cuarto y mitad de milenio". Este comandante y Joana Morillas se adentran en los temas del misterio y las otras realidades. Empezamos con la luz al final del túnel y terminamos con Idi Amin Dada, una extraña mezcla que no hace más que excitar la maestría y el bagaje cultural del alma de periodista de Joana. Me alegra que en el Vuelo todos los invitados y colaboradores cobren nuevas dimensiones y nos den lo mejor de ellos mismos. Un DBT GH17 truncado también por las conexiones y la tormenta acaba en un mano a mano del benjamín del programa Lucas y el comandante. Vuelve al vuelo la polémica con un gran DBT sobre la violencia de género y la hipocresía social. Gran charla entre tres grandes voladores, PAU, CURTIS Y MARCOS. Otra vez las violentas tormentas estos dias en BCN nos truncan el podcast y perdemos la última parte de la emisión con un contenido de EXCEPCIÓN. Nos comprometemos a poder volver a recuperar en vivo y en directo estos momentos de éxtasis muy pronto en nuestro programa. Entramos en tendencia en QUINTA posición con tres horas de emisión y terminamos con una gloriosa SEGUNDA POSICIÓN EN TWITTER ESPAÑA.
Barbet Schroeder "directs" Uganda's Idi Amin in what the dictator hopes will be his "Triumph of the Will". Hilarity and death ensue.
En la historia de la salsa y del sello Fania hay grandes discos, pero también hay discos de discos y este del que vamos a hablar hoy es uno de ellos. El Bestial Sonido de… Ricardo Ray y Bobby Cruz. Pues sí, estamos hablando de Sonido Bestial y de los otros siete cortes que incluye este brillantísimo trabajo de 1971. Por cierto, 1971 fue el año en que apareció Idi Amin Dada, el año en que quebró Rolls Royce, el año en que condenaron a Charles Mason. También fue el año en que nació El Chavo del 8, en que Neruda ganó el Nobel, surgió el airbag, nació Greenpeace y George Harrison celebró su Concierto para Bangladesh. Se comercializó el cartucho de 8 tracks, un poquito más gordito que el cassette. Se estrena el Topo Gigio, se ponen de moda los shorts, también conocidos como pantaloncitos calientes y en el cine se estrenan Bananas, El Decamerón, El Diablo sobre Ruedas, El Violinista en el Tejado, Harry el Sucio, Muerte en Venecia y Santo contra la hija de Frankenstein. ¡Vaya año!