Fictional character
POPULARITY
La Chambre pénale d'appel et de révision vient de confirmer le classement de la plainte sur les responsabilités de fonctionnaires du SPMI, de l'Hospice général et du Service d'évaluation des lieux de placement, dans la mort d'Ali Reza. Ce jeune Afghan de 18 ans qui s'était pendu dans sa chambre du foyer de l'Etoile, en mars 2019. Sa mort avait mis en lumière les conditions d'accueil des RMNA. L'avocate de sa famille, Laïla Batou, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.La Chambre pénale d'appel et de révision vient de confirmer le classement de la plainte sur les responsabilités de fonctionnaires du SPMI, de l'Hospice général et du Service d'évaluation des lieux de placement, dans la mort d'Ali Reza. Vous allez porter cette affaire au Tribunal fédéral..."L'affaire n'a pas tout à fait été classée, c'est-à-dire que les agents de sécurité qui ont violenté Ali Reza, il a quand même reçu plusieurs coups de poing dans la mâchoire, sur son lieu de placement, ont été condamnés et cette condamnation est maintenant définitive. En revanche, on n'a pas voulu interroger ici au niveau de l'autorité judiciaire, pourquoi un enfant était gardé par des agents de sécurité qui n'ont pas l'habitude, qui n'ont pas de formation pour ça et qui peuvent se comporter des fois en mode videur de boîte de nuit. Qui a accepté que ce foyer de l'Etoile fonctionne aussi longtemps sans autorisation et dans des conditions qui ne sont absolument pas conformes à toutes les normes de protection de l'enfance. Ca l'autorité pénale n'a pas voulu l'examiner et donc on porte l'affaire devant le TF et évidemment qu'on ira plus loin et qu'on fera valoir la Convention des droits de l'enfant et la Convention européenne des droits de l'homme si le TF refuse de reconnaître que là il y a eu un problème dans la protection de ce jeune".Au-delà de ce cas dramatique se pose forcément la question de l'accueil de ces requérants mineurs non accompagnés."On l'a vu au niveau du foyer de l'Etoile, c'est compliqué.Foyer qui a fermé heureusement mais qui a mis énormément de temps à fermer. Toutes ces procédures qu'elles soient administratives ou pénales prennent énormément de temps pour faire reconnaître les problématiques qui existent et qui sont de notoriété publique mais pour les faire vraiment prendre en compte, ça prend énormément de temps. Je dirais que le problème c'est que ces requérants d'asile mineurs non accompagnés, mais comme d'ailleurs les migrants en général, sont des personnes qui sont particulièrement vulnérables parce qu'elles n'ont pas de réseau. Pour les mineurs, ils n'ont pas leurs parents derrière, donc dans toutes les étapes de leur vie en Suisse, il faudrait avoir un œil spécial, un regard protecteur sur ces personnes et c'est le contraire qui se passe. Il y a un a priori: on les traite comme des délinquants et notamment quand ils arrivent à la police, il y a toujours une contre plainte de l'agent de sécurité qui fait que le gamin il est placé au violon pendant 24 heures mais en fait on le garde un peu plus, on le garde 26 heures. Là c'était le cas notamment d'Ali Reza, la première fois qu'il a eu un petit peu des frictions avec un agent de sécurité, systématiquement celui-ci déposait plainte contre lui donc il s'en prenait plein la figure avec la police. Il manquait ce regard bienveillant qui dit: mais attendez qu'est ce qu'il fait dans ce foyer, comment ça se fait qu'il se retrouve avec des bleus au visage après avoir passé la nuit chez lui?"
Send us a Text Message.In this week's episode of You Will WItness Man Made Horrors Beyond Your Comprehension, we have False Memories! Have you ever wanted to believe something was real in your life, just to wake up one day and find out it was all fake? Me either! Now everyone is having to come to grips with reality, while the Major offers them a job.Our Links:Ian Wolffe
Send us a Text Message.The Major is back again, but this time in a red leather jacket and a bunch of malware in her brain. We also get to see some of the other members of Section 9, like Batou, who hits this drone robot harder than I've ever seen someone hit something. The action in this film is beautiful. Every hit feels and sounds like it connects so well.Our Links:Ian Wolffe
Welcome to Mona Lisa Overpod, the show that asks the question "What is cyberpunk?" On each episode, hosts Ka1iban and author Lyda Morehouse dive into the genre that helped define sci-fi fiction in '80s and they break down its themes which remain relevant to our lives in the 21st century. Pull on your mirrorshades, jack into the matrix, and start your run with us today!Ghost in the Shell 2: Innocence retains the setting and characters of its predecessor, but Mamoru Oshii's sequel film is in every way an intensification of the first film. Where Ghost in the Shell balanced its philosophical introspection with decisive bursts of action, Innocence wends its way through ontology, Eastern philosophy, ecclesiastical blank verse, and Buddhist poetry before it reaches its kinetic and ambivalent conclusion. With the Major having transcended her life at Section 9, Batou is left to clean up the messes of the transgressive elite in New Port City. But when a trail of bodies leads him and his partner Togusa through a maze of warped reality, he'll have to decide who is innocent and who are the real victims.In this episode, we discuss the brutal world of the second GITS film, its blend of 2D and 3D animation, its Godardian mien, the preponderance of literary allusion, the difficulty we have in empathizing with the voiceless, the persistent question of Cartesian doubt, Motoko a Miltonic Satan, becoming the anti-elephant, and whether the body truly defines the self. We also talk about A Cyborg Manifesto, Billy Madison anime, Trek being the opposite of cyberpunk, cyborb Jim Caviezel, unimpressed girlfriends, Sexbots Gone Wild, proto-Stepford Wives, Hot Batou Summer, mullet implants, lies about Phineas Gage, swearing at Taco Bell trash cans, seagulls are cyberpunk, needs more explosions, loving pulling your arms off, and Lyda's GITS tie-in novel!Hope you like the color orange!Join Kaliban on Twitch weekdays at 12pm for the Cyber Lunch Hour!http://twitch.tv/justenoughtropePut Just Enough Trope merch on your body!http://justenoughtrope.threadless.comMLOP is a part of the Just Enough Trope podcast network. Check out our other shows about your favorite pop culture topics and join our Discord!http://www.twitter.com/monalisaoverpodhttp://www.justenoughtrope.comhttp://www.instagram.com/monalisaoverpodhttps://discord.gg/49bzqdpBpxBuy us a coffee on Ko-Fi!https://ko-fi.com/justenoughtrope
Le collectif des Moutons électriques n'en finit pas de nous faire kiffer ! En parallèle de la tournée d'été du Village électrique, l'équipe originaire de Avranches prépare le lancement de son label : Aerosheep.Les Moutons électriques proposent depuis 2015 une vision de la fête débridée où les musiques électroniques rencontrent animations loufoques, spectacles décalés et entresorts forains revisités. Avec leur Village électrique, ielles écument les festivals du grand Ouest depuis 2019 pour semer le désordre et l'indiscipline. Aujourd'hui une nouvelle aventure prend forme au sein du collectif : le label Aerosheep que viennent nous présenter Masto (Dimitri Sélectif), Milan (Flaq), Alex (Sleek, alias Johnny Vitesse) et Marvin.En seconde partie d'émission, les trois DJ de la teaaaaam s'emparent des platiiines pour faire débarquer la fête foraine dans le studio à coup d'eurodance, trance et makina !TRACKLISTCAOS 808, “Automatique”, VA1, Aerosheep, juin 2024.Ronod, “Batterie Critique”, VA1, Aerosheep, juin 2024.SLEEK & Johnny Vitesse, "Back To The Groove", VA1, Aerosheep, juin 2024.WHAT'S GOING ONTant qu'on parle de nouveaux labels, avez-vous vu passer la première sortie sous-marine de Underwater Audio Dynamics ? Le label rennais piloté par Timéo et Batou (membres de La Rennes des Voyous) a appareillé le 3 mai dernier à destination des profondeurs électroniques. On écoute "Oceanized" dans l'émission. L'EP au complet, Armor Sonic Secrets, est à découvrir ici.BONNE ÉMISSION
Baptiste Saint-James aka Petit Batou Dj-Producer from Paris began his interest in electronic music since he started learning the violin in 2011, he has been surrounded by jazz and classical music. Stamp Records was established in 2015 by his fascination for musical innovation and the development of new talent from around the world. His skill on the decks captivates audiences and brings people together. Batou can switch between different emotional states using his mixing technique. He positioned himself among the pioneers of the local scene in his kind of minimal music in Paris thanks to his subtle taste for track selection and precision during his gigs. Petit Batou's discography reaches a wider range of emotions, mentioning his notable signature on labels such as Tzinah, Kanja, CELO, Inwave.. Petit Batou is like a little boat that is moving forward, going on an adventure, spreading love. Hit play and enjoy the journey! Keep an eye on Petit Batou: https://soundcloud.com/petitbatouofficial https://www.instagram.com/pbatou_stamp/ https://www.facebook.com/petitbatouofficiel Listen to more electronic music on Intaresu https://intaresu.com
Elwood and Stephen go back to were it all began as they look at Ghost In The Shell 2: Innocence the sequel to the legendary anime as Section 9's Batou and Togusa are assigned to investigate a string of gruesome murders when gynoids start murdering thier owners and a cryptic message points towards something much darker. Apologies for the drop in audio quality caused by our recorder having it's own malfunction. Buy us a coffee and support the show Check out our sponsor: Yes Please Vintage
Topics discussed: The two Kino's Journey movies; the Land of Foxes, the Normal Country*, and the Boring Country of Thematically Significant Travelers and Their Nuanced Relationship with Travel as an Institution; the many advantages of a small orange; developing a script for the poker episode of Kino's Journey; the superpower of Google Maps; Beast Wars; Riku's unlimited superpowers; the Land of Airports; devising a country with the express purpose of trapping Kino; Kino at 40 a.k.a. Batou; the worst images of Batou we all have ever seen; Kino's distaste for the bean and adventures in rural Virginia; Connor disagrees with Niamh and kb about the appeal of blood orgies; the Country of Blood; other travel literature like Don Quixote, Otherside Picnic, and Lone Wolf & Cub; yelling at your Gundam son to cut his bangs; spicy cream of ranch soup; and finding the perfect level to fill your creationism mug. You can write into future Question Buckets at ghostdiverspod@gmail.com and don't forget to follow us on Twitter! The Show: @ghostdiverspod (twitter) or @ghostdivers (cohost) Niamh: @FoxmomNia (twitter) or @foxmomnia (cohost) Niamh's mediamh pile: @mediamh_pile Connor: @rabbleais (twitter) or @rabbleais (cohost) Export Audio Network: exportaud.io Ghost Divers: exportaud.io/ghostdivers Pondering Pootan: exportaud.io/pootan Ornate Stairwells: exportaud.io/ornatestairwells Around the Long Fire: abnormalmapping.com/longfire Unjust Depths: unjustdepths.com Check out our official schedule at exportaud.io/divingschedule! Content Warnings for this Discussion Food Violence and death Blood, lots of blood, blood orgies Find out more at https://ghost-divers.pinecast.co
Olá ouvintes do Kokoro!! Trazemos a vocês mais um AnimeSphere. Venha conosco para ver o torneio mais perigoso que os Guerreiros Z já participaram e como foi tudo isso, ao estilo AnimeSphere de ser!! Falaremos de Dragon Ball Super, arco do Torneio do Poder. Fiquem ligados!! Citações do episódio Equipes do Torneio do Poder Universo 2 Deusa da Destruição: Heles Anjo: Sour Membros do Time: Brianne de Chateau; Rabanra; Jimizu; Sanka Kuu; Suu Rose; Zarbuto; Zirloin; Prum; Hamira; Vikal Universo 3 Deus da Destruição: Mule Anjo: Camparri Time: Nigrissi; Narirama; The Priccio; Catopesra; Bollarator; Koitsukai; Paparoni; Biara; Panchia; Maji-Kayo Universo 4 Deus da Destruição: Quitela Anjo: Cognac Time: Damon; Ganos; Nink; Shousa; Majora; Caway; Darcori; Monna; Shantsa; Gamisaras Universo 6 Deus da Destruição: Champa Anjo: Vados Time: Hit (Kazuhiro Yamaji [Kazuya Mishima, OVA de Tekken; Señor Pink, One Piece; Saint Seiya: Prólogo do Céu, Apollo] / Francisco Júnior [Crocodile, One Piece; Grimmjow Jeagerjaquez, Bleach; Batou, Ghost in the Shell: Stand Alone Complex - The Laughing Man]); Magetta; Kyabe; Kale (Yukana Nogami [Yuzuriha Nekoi, X/1999; Meiling Li, Cardcaptor Sakura; Shirahoshi, One Piece] / Samira Fernandes [Nami, One Piece; Shinobu Maehara, Love Hina; Kurenai, Naruto]); Caulifla (Yuka Komatsu [Eliza, Shaman King; Shaina, Saint Seiya - Arco de Hades: Inferno; Dorothy, Great Pretender] / Flora Paulita [Moegi Kazamatsuri, Naruto Shippuuden; Pao-lin Huang, Tiger & Bunny; Tatsumaki, One Punch Man]) [Kefla]; Frost; Botamo; Dr. Rota; Saonel; Pilina Universo 7 Deus da Destruição: Beerus Anjo: Whis Time: Goku (Masako Nozawa [Kitarou, Gegege no Kitarou; Doraemon, Doraemon; Hinata Urashima, Love Hina]/ Wendel Bezerra [Gou Mifune, Mach GoGoGo - Speed Racer; Fenrir Alioth, Saint Seiya; Shoutarou Kaneda, Akira]); Gohan (Masako Nozawa / Vagner Fagundes [Tetsuo, Akira; Touya Kinomoto, Cardcaptor Sakura; Junpei Shibayama, Digimon Frontier]); Vegeta (Ryō Horikawa [Kenshirou, Hokuto no Ken; Andromeda no Shun, Saint Seiya; Reinhard von Lohengramm, Ginga Eiyuu Densetsu] / Alfredo Rollo [Goemon Ishikawa XIII, Lupin III - Castelo de Cagliostro; Poseidon / Julian Solo, Saint Seiya; Shoutarou Kaneda, Akira]); Kuririn (Mayumi Tanaka [Pazu, Laputa; Chibita, Osomatsu-kun; Koenma, Yu Yu Hakusho] / Fábio Lucindo [Ash, Pokémon; Shinji Ikari, Neon Genesis Evangelion; Katsuki Bakugou, My Hero Academia]); Piccolo (Toshio Furukawa [Ataru Moroboshi, Urusei Yatsura; Portgas D. Ace, One Piece; Kagemaru, Samurai Champloo]/ Luiz Antônio Lobue [Kouichi Zenigata, Lupin III: Castelo de Cagliostro; Aiolia de Leão, Cavaleiros do Zodíaco; Narrador, One Piece]); Androide 17 (Shigeru Nakahara [Pégaso Negro, Cavaleiros do Zodíaco; Kurama, Yu Yu Hakusho; Trowa Barton, Mobile Suit Gundam Wing: Operation Meteor]/ Figueira Júnior [Cain Nightroad, Trinity Blood; Otsuki, Mob Psycho 100 II]); Androide 18 (Miki Itō [Sonomi Daidouji, Cardcaptor Sakura; Taiga Fujimura, Fate /Stay night; Sayuri Iki, Noragami] / Eleonora Prado [Freya, Cavaleiros do Zodíaco: A Batalha dos Deuses; Marie Antoinette, Versailles no Bara; Sailor Vênus, Sailor Moon]); Mestre Kame (Masaharu Satō [Krishna de Crisaor, Cavaleiros do Zodíaco; Ivan Dreyar, Fairy Tail; Morris, Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu] / Gileno Santoro [Yoki, Full Metal Alchemist: Brotherhood; Soken Ishida, Bleach; Tokumitsu, Swordgai the Animation]); Tenshinhan (Kouichi Yamadera [Anpanman: Várias personagens; Ryouma, Shurato; Ryouga Hibiki, Ranma 1/2]/ Alexandre Marconatto [Asterion de Cão Maior, Cavaleiros do Zodíaco; Zelgadis Greywords, Slayers; Donquixote Doflamingo, One Piece]); Freeza (Ryūsei Nakao [Isaac de Kraken, Cavaleiros do Zodíaco; Caesar Clown, One Piece; Vaccine Man, One Punch Man]/ Carlos Campanile [Dr. Hell, Mazinger Z; Thor de Phecda, Cavaleiros do Zodíaco; Zeff, One Piece]) Universo 9 Deus da Destruição: Sidra Anjo: Mohito Time: Bergamo; Lavenda; Basil; Hissop; Oregano; Confrei; Rosell...
Olá ouvintes do Kokoro!! Trazemos a vocês mais um AnimeSphere. Venha conosco para ver o torneio mais perigoso que os Guerreiros Z já participaram e como foi tudo isso, ao estilo AnimeSphere de ser!! Falaremos de Dragon Ball Super, arco do Torneio do Poder. Fiquem ligados!! Citações do episódio Equipes do Torneio do Poder Universo 2 Deusa da Destruição: Heles Anjo: Sour Membros do Time: Brianne de Chateau; Rabanra; Jimizu; Sanka Kuu; Suu Rose; Zarbuto; Zirloin; Prum; Hamira; Vikal Universo 3 Deus da Destruição: Mule Anjo: Camparri Time: Nigrissi; Narirama; The Priccio; Catopesra; Bollarator; Koitsukai; Paparoni; Biara; Panchia; Maji-Kayo Universo 4 Deus da Destruição: Quitela Anjo: Cognac Time: Damon; Ganos; Nink; Shousa; Majora; Caway; Darcori; Monna; Shantsa; Gamisaras Universo 6 Deus da Destruição: Champa Anjo: Vados Time: Hit (Kazuhiro Yamaji [Kazuya Mishima, OVA de Tekken; Señor Pink, One Piece; Saint Seiya: Prólogo do Céu, Apollo] / Francisco Júnior [Crocodile, One Piece; Grimmjow Jeagerjaquez, Bleach; Batou, Ghost in the Shell: Stand Alone Complex - The Laughing Man]); Magetta; Kyabe; Kale (Yukana Nogami [Yuzuriha Nekoi, X/1999; Meiling Li, Cardcaptor Sakura; Shirahoshi, One Piece] / Samira Fernandes [Nami, One Piece; Shinobu Maehara, Love Hina; Kurenai, Naruto]); Caulifla (Yuka Komatsu [Eliza, Shaman King; Shaina, Saint Seiya - Arco de Hades: Inferno; Dorothy, Great Pretender] / Flora Paulita [Moegi Kazamatsuri, Naruto Shippuuden; Pao-lin Huang, Tiger & Bunny; Tatsumaki, One Punch Man]) [Kefla]; Frost; Botamo; Dr. Rota; Saonel; Pilina Universo 7 Deus da Destruição: Beerus Anjo: Whis Time: Goku (Masako Nozawa [Kitarou, Gegege no Kitarou; Doraemon, Doraemon; Hinata Urashima, Love Hina]/ Wendel Bezerra [Gou Mifune, Mach GoGoGo - Speed Racer; Fenrir Alioth, Saint Seiya; Shoutarou Kaneda, Akira]); Gohan (Masako Nozawa / Vagner Fagundes [Tetsuo, Akira; Touya Kinomoto, Cardcaptor Sakura; Junpei Shibayama, Digimon Frontier]); Vegeta (Ry? Horikawa [Kenshirou, Hokuto no Ken; Andromeda no Shun, Saint Seiya; Reinhard von Lohengramm, Ginga Eiyuu Densetsu] / Alfredo Rollo [Goemon Ishikawa XIII, Lupin III - Castelo de Cagliostro; Poseidon / Julian Solo, Saint Seiya; Shoutarou Kaneda, Akira]); Kuririn (Mayumi Tanaka [Pazu, Laputa; Chibita, Osomatsu-kun; Koenma, Yu Yu Hakusho] / Fábio Lucindo [Ash, Pokémon; Shinji Ikari, Neon Genesis Evangelion; Katsuki Bakugou, My Hero Academia]); Piccolo (Toshio Furukawa [Ataru Moroboshi, Urusei Yatsura; Portgas D. Ace, One Piece; Kagemaru, Samurai Champloo]/ Luiz Antônio Lobue [Kouichi Zenigata, Lupin III: Castelo de Cagliostro; Aiolia de Leão, Cavaleiros do Zodíaco; Narrador, One Piece]); Androide 17 (Shigeru Nakahara [Pégaso Negro, Cavaleiros do Zodíaco; Kurama, Yu Yu Hakusho; Trowa Barton, Mobile Suit Gundam Wing: Operation Meteor]/ Figueira Júnior [Cain Nightroad, Trinity Blood; Otsuki, Mob Psycho 100 II]); Androide 18 (Miki It? [Sonomi Daidouji, Cardcaptor Sakura; Taiga Fujimura, Fate /Stay night; Sayuri Iki, Noragami] / Eleonora Prado [Freya, Cavaleiros do Zodíaco: A Batalha dos Deuses; Marie Antoinette, Versailles no Bara; Sailor Vênus, Sailor Moon]); Mestre Kame (Masaharu Sat? [Krishna de Crisaor, Cavaleiros do Zodíaco; Ivan Dreyar, Fairy Tail; Morris, Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu] / Gileno Santoro [Yoki, Full Metal Alchemist: Brotherhood; Soken Ishida, Bleach; Tokumitsu, Swordgai the Animation]); Tenshinhan (Kouichi Yamadera [Anpanman: Várias personagens; Ryouma, Shurato; Ryouga Hibiki, Ranma 1/2]/ Alexandre Marconatto [Asterion de Cão Maior, Cavaleiros do Zodíaco; Zelgadis Greywords, Slayers; Donquixote Doflamingo, One Piece]); Freeza (Ry?sei Nakao [Isaac de Kraken, Cavaleiros do Zodíaco; Caesar Clown, One Piece; Vaccine Man, One Punch Man]/ Carlos Campanile [Dr. Hell, Mazinger Z; Thor de Phecda, Cavaleiros do Zodíaco; Zeff, One Piece]) Universo 9 Deus da Destruição: Sidra Anjo: Mohito Time: Bergamo; Lavenda; Basil; Hissop; Oregano; Confrei; Rosell...
Richard Epcar is an icon in the voice acting world. With over 600 credits to his name, he has done it all. Some of the incredible roles he is in are Jigen from Lupin the 3rd, Batou from Ghost in the Shell, The Joker as well as the lightning god himself Raiden, in Injustice and Mortal Kombat, Ansem in the Kingdom Heart series, Akuma in SF5, Joseph Joestar in Jojo bizarre adventure, and so many, many more. We literally would be here all day!
Baptiste Saint-James aka Petit Batou Dj-Producer from Paris began his interest in electronic music since he started learning the violin in 2011, he has been surrounded by jazz and classical music. Stamp Records was established in 2015 by his fascination for musical innovation and the development of new talent from around the world. His skill on the decks captivates audiences and brings people together. Batau can switch between different emotional states using his mixing technique. He positioned himself among the pioneers of the local scene in his kind of minimal music in Paris thanks to his subtle taste for track selection and precision during his gigs. Petit Batou's discography reaches a wider range of emotions, mentioning his notable signature on labels such as Tzinah, Kanja, CELO, Inwave.. Petit Batou is like a little boat that is moving forward, going on an adventure, spreading love. Hit play and enjoy the journey! Keep an eye on Petit Batau: https://soundcloud.com/petitbatouofficial https://www.instagram.com/pbatou_stamp/ https://www.facebook.com/petitbatouofficiel
122 - Ghost in the Shell with Johnie Powers We knew going into this movie the conversation would be a fun one. We were not wrong. On the surface, Ghost in the Shell is an action-packed movie about an elite squad taking down a terrorist. But below the surface (or inside the shell) it is a story about identity, and what it means to be alive. Joining us to discuss this anime masterpiece is Johnie Powers. She has a love for anime that demanded she come on the show, and we're glad she did. Ghost in the Shell will hopefully entertain you, but also leave you with a lot to think about. Johnie Powers Austin Powers Minute Our next movie review - Tank Girl Discuss the episode over at the Facebook group: The Reel Comic Heroes League of Citizens Twitter | Instagram | Website Music from https://filmmusic.io: "Prelude and Action" by Kevin MacLeod (https://incompetech.com) Licence: CC BY (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/) Music from https://filmmusic.io: "Deep Haze" by Kevin MacLeod (https://incompetech.com) Licence: CC BY (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/) Intro/Outro by Matthew S Mendoza
#187 - Crash 4 / Batman / Batman & Robin / The Room VR: A Dark Matter Dans ce 187e épisode, Bruno se dit qu'il était grand temps d'aller aux pommes dans Crash 4: It's About Time. Dom et Fred enfilent leur Bat combines et combattent le crime dans un mini-spécial Batou bien ficellé avec Batman au Game Boy et Batman & Robin au Genesis. Finalement JF est très occupé à résoudre des puzzles dans le merveilleux monde de The Room VR. Un peu d'Or gris en lien avec le Marvel Cinematic Universe et on répond à vos questions! Bonne écoute!
#187 - Crash 4 / Batman / Batman & Robin / The Room VR: A Dark Matter Dans ce 187e épisode, Bruno se dit qu'il était grand temps d'aller aux pommes dans Crash 4: It's About Time. Dom et Fred enfilent leur Bat combines et combattent le crime dans un mini-spécial Batou bien ficellé avec Batman au Game Boy et Batman & Robin au Genesis. Finalement JF est très occupé à résoudre des puzzles dans le merveilleux monde de The Room VR. Un peu d'Or gris en lien avec le Marvel Cinematic Universe et on répond à vos questions! Bonne écoute!
Episode Notes It's time to finish out our episode discussions with our breakdown of episodes 20 through 26. We get right into this with high energy because we recorded [S0E1] Welcome to Ghost Divers immediately prior to this recording, so Niamh is already fully on one. Thankfully Connor is here to rein fem in. We start the discussion by trying to put a bow on Niamh's theory bullshit with Benjamin and Bazin while Connor gets on his own theory bullshit train with Koestler's The Ghost in the Machine. Throughout the episode, we cover the tension between individual and society, Aoi the individual as distinct from the Laughing Man, Aoi's reverence to the original and the truth, the Major's rage as she fights for her body and her need for control, demedicalization and bodily autonomy as part of trans liberationism, the value of the individual vs. the value of the team, the theoretical origins of the ghost in the shell, the similarities and distinctions between Aoi and the Major, the culpability of individuals in institutions and the need for individuals to break with the institutional imperative in order to create change, the tension between individualism and collectivism, the conversations between Batou and the Major relating to her body and why she chose it, the final act of self sacrifice by the Tachikomas, Batou's own struggles with gender and oppressive systems, and ultimate finish by teasing out some of the quotes provided by the Major and Aoi in the show's own version of a Works Cited. Also sorry, we had a few audio issues again but Niamh thinks fae figured out the main issues so it should be better going forward. Lastly, don't forget that we will be recording the Question Bucket soon. The deadline to write into our Question Bucket for this series is January 30, 2020. You can write into ghostdiverspod[at]gmail and follow us on Twitter! @ghostdiverspod @foxmomnia @rabbleais Works Cited in this Discussion “The Ontology of the Photographic Image” from What is Cinema?, vol. 1 by André Bazin “Beyond the Image in Benjamin and Bazin: The Aura of the Event” by Monica Dall'Asta, published in Opening Bazin: Postwar Film Theory and Its Afterlife “The Work of Art in the Age of Its Technological Reproducibility” by Walter Benjamin The Ghost in the Machine by Arthur Koestler Kino-Eye by Dziga Vertov The Political Unconscious by Fredric Jameson Content Warnings for this Discussion Sexism Intense Violence / Gore / Head Trauma / Suffocation Drugs Sexual Harassment / Abuse / Rape in a Medical Context (40:36-41:38) Threats to Autonomy Transphobia / Having Conversation With Cis People As A Trans Person Self Sacrifice Alcohol Find out more at https://ghost-divers.pinecast.co
In our first show of 2021, Jon is joined by awesome and intimidatingly cool cyberpunk author Anna Mocikat to discuss the anime masterpiece Ghost In The Shell, as well as its sequel (but not so much the rubbish live action version...) as well as Anna's own brilliant novels. The discussion will lead us deep into the perils of AI and human augmentation, the nature of consciousness, and encompass a tentative prod of the real-life Skynet...Don't forget to check out the following websites for book news as well as updates on Neo Cyberpunk, an upcoming cyberpunk fiction anthology!www.jon-richter.comwww.annamocikat.com
Episode Notes We decide that this is just going to be podcast with some long ass episodes and really dig into episodes 14 through 19 of Ghost in the Shell: Stand Alone Complex. Before we even get into the episodes, we already have a lot to say about the series and how it relates to the current political reality of when we recorded this episode—which was the day news outlets declared Biden the winner of the 2020 American Presidential election. Okay, look, I cut out a lot of our election discussion, so just like… know it could've been worse, okay? Anyway, after front-loading this conversation with some political talk, we used it to jump into Major Kusanagi's need for Section 9 to maintain her body, the capitalist view of the economy as a game you can win, Section 9's complicity in upholding the injustice of capitalism, the Tachikomas awakening to class consciousness, Batou's relationship to gender (Gender: It's Not Just For The Major) and toxic masculinity, the patriarchal hegemony on the gendered expression of emotions, Aramaki's relationship with the Major, Japanese nationalism and nationalist violence, cycles of revenge and the inscription of revenge narratives into a national identity, the potential value and danger of the merging of consciousnesses and creation of new identities, and the tension between efficacy and righteousness in Section 9's fulfilling of their role as government agents. Also, apologies for some of the weird audio on this one. It turns out Discord was really laggy (and variably so) for us and Niamh's mic volume got fucked up at one point. Fae had a hell of time trying to get things sounding okay. ‧º·(˚ ˃̣̣̥⌓˂̣̣̥ )‧º·˚ Write into our Question Bucket at ghostdiverspod[at]gmail and follow us on Twitter! @ghostdiverspod @foxmomnia @rabbleais Works Cited in this Discussion “Ghost in the Shell: the Major's Body (3)” by Claire Napier (full series: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10) “The Work of Art in the Age of Its Technological Reproducibility” by Walter Benjamin “Beyond the Image in Benjamin and Bazin: The Aura of the Event” by Monica Dall'Asta, published in Opening Bazin: Postwar Film Theory and Its Afterlife “Entomology of the Pinup Girl” from What is Cinema?, vol. 2 by André Bazin “The Ontology of the Photographic Image” from What is Cinema?, vol. 1 by André Bazin Content Warnings for this Discussion Racism Classism Deformation and Weaponization of the Body Alcohol Ableism War Crimes Nationalist Violence Kidnapping & Organ Harvesting Find out more at https://ghost-divers.pinecast.co
Oeuvre culte pour les amoureux du cyberpunk et de la japanimation, Ghost In The Shell imaginé par Masamune Shirow est toujours aussi incontournable. L'adaptation cinématohraphique de Mamoru Oshii a offert une reconnaissance internationale à ce manga pré-publié entre 1989 et 1991. Pour analyser ce classique, nous invitons Julien Sévéon, il est l'auteur de la monographie : Mamoru Oshii, Rêve, Nostalige et Révolution et deMassacre(s) à la tronçonneuse, 1974-2017 une odyssée horrifique Ghost in the Shell est un manga à retrouver chez Glénat et un film à voir chez @Anime (pour découvrir les coulisses de la réédition du film culte : https://www.lepoint.fr/pop-culture/cinema/ghost-in-the-shell-la-reedition-de-tous-les-dangers-10-07-2017-2142073_2923.php)
Interview de Laïla Batou, avocate de l'un des militants du climat.
Amici Miei,Dal manga che ha dato una nuova spinta al genere cyberpunk all'anime che ha rivoluzionato il mondo dell'animazione, ispirando nuovi fans in tutto il mondo e contribuendo alla visione della sorelle Wachowsky per la creazione del loro "Matrix". Ghost in the Shell è grazia, bellezza, sensualità, violenza, filosofia, politica... e anche di più!Ascolta, lascia un Like, Commenta, Condividi con gli amici!TRACK LIST01. SPIRITS IN A MATERIAL WORLD - The Police02. MAKING OF CYBORG (Ghost in the Shell OST) - Kenji Kawai03. NIGHTSTALKER (Ghost in the Shell OST) - Kenji Kawai04. RISE (Ghost in the Shell - StandAloneComplex OST) - Yoko Kanno05. INNER UNIVERSE (Ghost in the Shell - StandAloneComplex OST) - Yoko Kanno
After a short break we are back with episode 9, talkin' all things technological and futuristic. Join Hal Crossno and myself as we do a deep dive into Ghost in the Shell. We're covering the franchise as we talk about the anime, movies, and even the live-action film. Enjoy!Follow Hal on social media:Instagram: @halford_cStream the Paralyze record:paralyzeevm.bandcamp.comBroken Contract game website:breakerpressgames.comTwitter: https://twitter.com/ongakuotakupodInstagram: https://www.instagram.com/ongakuotakupodWebsite: www.ongakuotakupod.comBuzzsprout - Let's get your podcast launched! Start for FREEDisclaimer: This post contains affiliate links. If you make a purchase, I may receive a commission at no extra cost to you.
"For this mix I played modern tracks including a lot of unreleased and promos. I mixed some hypnotic grooves through a minimal rhythm coming from various countries by noting a general ro-minimal spirit. Around min 42, you can hear a collaboration between Phoq and me that's available in Free Download on my soundcloud page. Have a good listening!" - @petitbatouofficial Find out more @ feeder.ro/2020/04/17/sound-petit-batou
Follow Sakiz: https://www.facebook.com/its.sakiz Follow Petit Batou: https://soundcloud.com/petitbatouofficial https://www.facebook.com/petitbatouofficiel/
Dit is een aflevering met Hicham Batou. Hij zet zich in voor de filosofie en heeft een achtergrond in de technologie sector, waar hij met name cyber security projecten heeft gedaan. Door zijn huidige interesse heeft hij veel nagedacht over de betekenis van taal omtrent technologie. Aan de hand van een fragment uit de Matrix neemt hij ons mee in zijn denkbeelden. https://www.linkedin.com/in/hichambatou/
So, back in 2012 (?!), Basil once told Kevin that he really needed to go to an interview with Richard Epcar. And Kevin did, and a wonderful time was had. Well, John was also there in 2012. And since he had the chance to interview Richard Epcar again, John leapt at the chance. That was at Momocon 2018, and this is that podcast. Also in case you were wondering whom Richard Epcar is, he's a lot. Of voices, I mean. He has done a bunch of them! Lately you'd recognize his vocal talents bringing to life Ansem, from the Kingdom Hearts series. There was like, three of those game? So anyway, he has also voiced Raiden from the latest Mortal Kombat series of games, Joseph Joestar from the Jojo's that everyone (rightly) loves, Batou in all the Ghosts in the Shells that matter, and just whole lot of things. There is a very high chance that he done something you love, and he may just be the reason why!
Episode 30 - Paul Batou, a native Assyrian Iraqi artist, received a degree in pharmacy in 1982 from the University of Baghdad. While in school, Batou worked and was inspired by many teachers and artists studying at the University. In 1980, he had his first art show in Baghdad. During his years spent in Baghdad, Paul Batou placed his art in several galleries, learned to play the guitar, and was forced into service for the Iraq-Iran war as a medic. In 1989, he left Iraq with his family and moved to Los Angeles. In the United States, Batou continues to create art and write poems that inspire all those close to him. www.paulbatou.com
Garson Poole, director a cargo de las actividades de “Triplan”, despierta en una cama de hospital. Sigue vivo, pero no está preparado para afrontar el viaje psicodélico y tremenda crisis de identidad que se le viene encima [semi-spoilers] Escrita en 1968, “Electric Ant” se publica en Fantasy & Science Ficiton en 1969. La revista pulp todavía seguía editándose por entonces. De hecho cumplía veinte años. Leamos un poco de la correspondencia de Dick con los editores de SMLA “Esta carta es en respuesta a la petición de Ed Ferman para que escriba un cuento corto por el veinteavo aniversario de F&SF. Me encantaría hacerlo, espero que pueda trasladarle este detalle a Mr. Ferman. Sin embargo, no podré hacerlo inmediatamente… pero estoy seguro que estará terminada para el primer “deadline” de Abril. F&SF es un magazine genial y ha publicado algunas de mis mejores historias. Además, fue la primera revista que me compró una historia. F&SF me impulsó en mi carrera como escritor profesional. Así que realmente quiero hacer esto de verdad… a pesar del hecho de que hace muchos años que no escribo material corto como el de una revista. Gracias Mr. Ferman por esta petición y gracias a ti también por trasladármela. Estoy seguro que será un número excelente.” Y en mi opinión lo bordó. Tiene que ser una de mis historias favoritas. Leamos un poco más de lo que Dick tiene que decir sobre ella: “De nuevo el tema: ¿cuanto de aquello que llamamos “realidad” está realmente ahí fuera o sólo en nuestra propia cabeza? El final de la historia es algo que siempre me ha dado mucho miedo… la imagen del viento soplando/rugiendo, el sonido del vacío… Como si el personaje oyese el fin del mundo mismo” [este final con el viento me recordó también al triste destino del niño de “La viejecita de las galletas”] En parte es una historia sobre la falsedad/veracidad de la realidad. Si cambia nuestra realidad, cambiará también la de los demás? Sarah, la “novia” de Garson Poole, cómplice en realidad de Danceman aprende esto por la vía dura al final del cuento. Muy parecido al destino de los amantes de “La Maqueta” (que ya subimos). Pero para mí el punto es sobretodo el solipsismo, que creo que es la posición de aquellos que se quedan atrapados ante el estupor de no poder confirmar que la realidad está “realmente” ahí fuera. Y es bien cierto que no podemos confirmarlo. Como dicen al final del corte musical: “acaso puede ofrecerme usted pruebas de su existencia”. Ante este dilema escéptico no hay solución, en mi opinión lo más propio es, a falta de evidencias positivas suficientes, hacer un acto de fe y pensar que sí, la realidad realmente es real (aunque no podamos salir fuera nunca a verla, sólo percibirla a través de nuestros sentidos, pero otra vez: ¿si nuestros sentidos nos engañan como la cinta que lleva Poole dentro y que es leída por su “escrutador”?) porque si no te haces bola y no avanzas, y ya tenemos suficiente con la náusea existencial del sinsentido de todo Podemos ver cómo Dick ha pasado, o más bien se ha extendido, del tema ¿qué nos hace humanos? (ej: “Impostor” que ya subimos) a ¿qué es lo real? Aunque uno de sus primeros cuentos, “Roog” (kyasubims), es una fábula encantadora que va realmente de eso (pobre perriño!). Es tema clave durante toda su carrera y en torno a la que giran muchas de sus novelas posteriores (ni mucho menos me he leído todas). Ya sabíamos que Dick tenía bastantes problemas psicológicos, no me atrevería a decir si tenía esquizofrenia, podría ser otra cosa, pero él pensaba que otros humanos, cristianos perseguidos y echados a los leones de la antigua roma, se metían en su cabeza y vivían su vida en california con su mujer. Pensaba (en sus tiempos de locura) que todo lo ocurrido desde el año 400~ (me estoy inventando un poco la cifra ahora mismo) hasta hoy no era real y que había habido un salto en el tiempo. Sintió también como un rayo de luz rosa bajo desde el cielo y le expuso en décimas de segundo a “toda la información del cosmos”, dejándole volado y entre otras cosas descubriéndole que su hija tenía una enfermedad concreta. Posteriormente la diagnosticó antes de que lo hicieran los médicos y posiblemente le salvó la vida, cosa que contribuiría me imagino a hacerle dudar aún más de la realidad. Ese episodio de la luz rosa merece un capítulo aparte, para una inmersión rápida en eso y todo lo demás en torno a la psique de Dick, recomendar el mini comic de Crumb sobre él [ http://www.philipkdickfans.com/resources/miscellaneous/the-religious-experience-of-philip-k-dick-by-r-crumb-from-weirdo-17/ ]. Veamos el mecanismo que tiene Poole para percibir la realidad. Una cinta con perforaciones y un haz de energía que atraviesa –o no- los agujeros para excitar un componente lector al que llama muy pertinentemente “escrutador”. En uno de sus últimos experimentos el protagonista quiere probar cómo sería abrir todos los agujeros (quitar la cinta y dejar que pase toda la luz). Me recuerda mucho a ese episodio del rayo de luz rosa. En otro quiere probar a correr la cinta hacia atrás. No llega a hacerlo, sólo se lo imagina, pero la descripción “hacia atrás” de la ingesta-producción-obtención de alimentos es épica. Desgraciadamente lo primero que se me viene a la cabeza es Benjamin Button, peli que no disfruté mucho pero rápidamente se me ocurre recomendar el capítulo “Backwards” de la infame y genial Enano Rojo (ciencia ficción hard en formato sitcom tardochentera, que más se puede pedir). Los llamo experimentos porque es lo que son. Ante la necesidad de probar qué es la realidad o cómo funciona (la verdad es que no le interesa tanto lo que el resto de personajes secundarios de la historia, los técnicos, le sugieren: averiguar quién le está usando y para qué) Poole decide aplicar el método científico (observa la cinta, la mide, calcula, “obtiene números”: cuantifica). Igual que para lo primero (la duda solipsista) hay que traer Santo Tomás de Aquino y a Calderón de la Barca para lo segundo el cuento refiere inequívocamente a Descartes y Locke, padres del método “científico” esto es: cambiar elementos pequeños (operativos) de una situación de manera controlada para estudiar los efectos que se producen. Lo llamaban tabla de contingencia y consistía en probar todas las combinaciones posibles de los elementos estudiados (la más sencilla su ausencia o presencia pero también podía haber grados). Esto es lo que hace Poole. Probar a hacer agujeros aleatorios, taparlos, cortar la cinta, quitarla del todo… La segunda parte del cuento es todo experimentos. Los técnicos ya le avisan que por ese camino sólo encontrará la muerte (aunque ellos lo llaman algo así como el fin del programa) pero Poole está, lógicamente, completamente desesperanzado y muy apesadumbrado (por eso creo me salió una voz como más depre y apagada a lo que creo que acostumbro) y le da igual si el final es la muerte, sólo quiere averiguar qué es real, probar si realmente existe. Y quien esté libre de esta duda que tire la primera piedra. Todos nos podemos ver atrapados en esa duda y volvernos locos. Por eso digo que mejor hacer un acto de fe y creerse la realidad que vemos. Un problema cuando nuestros sentidos no son de fiar y nuestras conductas emocionales son tan irracionales (cosa que por otra parte nos hace humanos y es muy bonita). Un par de detalles que me gustaron es cuando uno de los técnicos abre sus dedos y salen un montón de herramientas de precisión, muy cyborg. También el detalle de que ella lleva una “revista electrónica microenrrollada”. Ambos conceptos dibujados en escenas sueltas de Ghost in the Shell. También que el gobierno controla todo (cuando Poole recuerda como antes había un montón de canales de TV y ahora sólo los del gobierno). Al pobre Garson Poole le hacen creer que su vida es falsa porque todo depende de una cinta que se va desenrollando. Y cuál es la diferencia con nosotros? Creo que puede hasta ser una cuestión de autoestima el que ser una hormiga eléctrica te afecte. Dick planteo temas no sólo filosóficos sino también teológicos. Dicen que la realidad objetiva es un constructo sintético, le dicen que es un androide pero que “no tiene programación”. Yo no veo la diferencia con nosotros, digo, es lo que nos pasa a nosotros, tenemos un sistema que se encarga de crear nuestras percepciones, el tálamo, una estructura en el centro del cerebro en torno a la cual éste ha ido creciendo a lo largo de la evolución se encarga de recibir todos los inputs sensoriales y distribuirlos a las cortezas y áreas de procesamiento modal específico. Es lo mismo que su cinta y el escrutador. Tiene un planteamiento muy conductista. Los conductistas no tenían en cuenta el organismo, todo es una ecuación Estímulo-Respuesta. La manera de estudiar la cinta de Poole es muy así. "Él" esta fuera de la ecuación, y sin embargo cuando la realidad desaparece él sigue ahí, o sea que no es producto sólo de sus sentidos, existe aparte; pero cuando la realodad deja de existir él muere. No esta clara la posicion entre el dualismo cuerpo-mente. Y para colmo cuando él deja de existkr deja de existkr tambien Sarah! ¿y suponemos que todo lo demás? Pero con métodos cuantitativos parece imposible definir algo complejo como la realidad o la conciencia. Tratar de hacerlo así es también muy Newtoniano de más. Uno podría medir el nivel de actividad de un ordenador pero aun conociendo a que velocidad está corriendo el procesador… no puedes saber qué programa se está usando o qué es lo que se está viendo. A lo mejor puedes saber que está procesando gráficos si se activa la tarjeta gráfica pero no sabes qué gráficos. En el cerebro humano es parecido; el lóbulo occipital (dedicado en parte a la visión) es muy grande y gasta mucha energía. De hecho el patrón de ondas cerebrales cambia (se acelera un par de hertzios) cuando tenemos los ojos abiertos o cerrados. Pero es imposible saber qué objeto se está percibiendo. Probablemente es imposible llegar a conocer del todo la conciencia usando sólo métodos cuantitativos. Poole no lo hubiera llamado así pero en realidad, toqueteándose la cinta lo que está haciendo es “glitchearse”. El Glitch es algo que me gusta mucho “artística” y conceptualmente. Significa algo así como “error”. Lo típico son los glitches en los videojuegos (por ejemplo cuando un personaje se queda flotando o medio atraviesa una pared, o la tarjeta gráfica produce líneas locas y artefactos) pero en realidad es el error que se puede producir en cualquier dispositivo durante la recepción del input o la generación del output. Un error. En realidad el propio curso de la vida –la evolución- es un glitch, pues las mutaciones son transcripciones “erróneas” del código genético transmitido (a no ser que seas Lamarckiano y creas que las mutaciones son más o menos “dirigidas” un buen darwinista asume que son fruto del puro azar). Estéticamente, ha dado mucho juego. Es un elemento importante de esta estética que llaman vaporwave (consistente en utilizar elementos noventeros y el resultado de errores digitales, por ejemplo un “fuera de rango”. Artísticamente se divide entre aquellos glitch que son serendipias (errores de verdad fruto del azar), recrear el resultado de un error aunque sea “a mano” o provocar el error: por ejemplo “abusando” o maltratando los datos (“datamoshing”). Probad a abrir una imagen en Word, o en un editor hexadecimal, y cambiar un solo caracter. O en un editor de audio y ecualizarla. Volver a abrirla como imagen y ver que ha cambiado. Un solo caracter puede mutar la imagen en algo completamente loco. Esto es lo que hace Poole (y tiene alucinaciones, ve patos o desaparece todo). Yo en instagram mesh_mescalito pongo algunas cosas tipo glitch que me fluyen pero no sólo eso. Estaría encantado de que las vieseis. Dado el tema del cuento me pareció que era mucho más propio cambiar la sintonía de Dick por la otra, Dick me disculpe, viene al pelo. Entonces se me ocurrió tratar de glitchearla un poco -cosa que finalmente hice para la segunda mitad del cuento- cuando me dio por poner el tema original “Sleep Walk” al revés. Y me quedé flipando porque es una canción tan perfecta, tan armónica la Steel guitar que al revés suena genial. Parece un poco un Ratatat apagado. Me gustó mucho así que decidí terminar poniéndola primero al revés y en la buena dirección al final del todo (quién puede asegurar que una dirección es más real que otra??) Aquí el vídeo de la canción [ https://www.youtube.com/watch?v=2rwfqsjimRM ] y aquí un artículo [ http://www.chimesfreedom.com/2016/05/05/that-1950s-instrumental-hit-known-as-sleep-walk/ ] Espero ya lo último que no quería callarme es la relación entre el “escrutador” y la atención, a nivel neurocientífico. Es el dispositivo que lee la cinta y produce la realidad. Por cierto que es estimulado por una energía muy pequeña, un campo eléctrico diminuto, igual que nuestro cerebro produce actividad electromagnética pero en un orden de magnitud ínfimo -si no estaríamos electrocutándonos todo el rato- El campo magnético de nuestro cerebro es como un millón de millones de veces más pequeño que el de un imán de nevera o el de la propia Tierra. Así que muy bien ahí Dick Volviendo al escrutador tiene mucho que ver con la “Atención” como función psicológica. Es claro que nosotros podemos percibir una cantidad ingente de estímulos cada segundo pero sólo somos conscientes de una mínima fracción. No es que el resto no nos llegue pero no lo percibimos conscientemente. La Atención , como el foco de una linterna, se encarga de iluminar aquello que percibimos. Y la percepción es siempre una “construcción”. No digo que no haya nada ahí fuera, probablemente lo haya, pero lo que no hay sin duda son “objetos”. Nada es una entidad separada, a nivel atómico todo es igual (y encima está hecho de vacío, quédate loco. El 99,9% de lo que compone la materia –el átomo- es vacío. Electrones y núcleos ocupan una porción muy pequeña). Somos nosotros los que separamos unos objetos de otros a través de la percepción/construcción pero en realidad todo está mezclado. Es la danza de las partículas, que llaman los budistas. Ahí un atisbo de esto en algún momento del cuento. Dick era muy afín a las filosofías orientales (creo. Siempre se dijo que escribió El Hombre en el Castillo a tiradas de I.Ching). Como referencia y para terminar yo me voy a ir al otro lado del mundo, justo debajo de California, en el desierto de Sonora. Allí conoció el antropólogo Carlos Castaneda a Don Juan, un brujo yaqui que le tomará como aprendiz. Son muchos los libros (recomiendo “Las enseñanzas de Don Juan”, “Viaje a Ixtlán” y “Relatos de poder”), que pretenden ser una crónica veraz de lo que Carlos aprendía. Yo me los tomo como una metáfora. Y aún cogiéndolo como algo fantástico, a lo largo de los libros se explica un sistema filosófico, una forma de concebir la realidad (la de los chamanes mexicanos, distinta a la de los caucásicos como Gurdjeff) que puede ser muy interesante. Yo la valoro mucho y por eso mi Nick siempre era mescalito (es un espíritu que se aparece a los que toman peyote). Una de esas filosofías es la existencia de “el punto de encaje”. En su lenguaje, se supone que es un punto que tenemos dentro del cuerpo por el que la realidad atraviesa. Según donde tengamos colocado el punto de encaje percibimos unas cosas u otras. Podemos desplazarlo (igual que se mueve la “atención” a lugares en los que no está durante la vida cotidiana alterando así nuestros estados de conciencia . Los chamanes serían expertos en mover el punto de encaje de los demás. Pues bien digo todo esto porque el funcionamiento del “escrutador” me recordó mucho a eso. En el penúltimo experimento (cuando se le para la cinta) no está claro si Poole va a permanecer para siempre en un limbo de estar consciente pero no existir. Eso me recordó muchísimo a Borges, al cuento “El milagro secerto” en el que un poeta condenado a muerte (ojo spoilers, es muy corto y se lee muy bien así que pensaros si seguir leyendo) ruega a Dios que le conceda el tiempo suficiente para terminar su obra antes de morir, y entonces, cuando la bala ya ha salido del cañón del pelotón de fusilamiento y va camino de su cabeza esta se para. Al principio él no entiende nada, y por un espacio de tiempo está confuso, luego pasan las horas, los días, y él se dedica a componer, para sí y dentro de su cabeza, su gran poema, hasta que lo termina y… bueno, ahí lo dejo. Aunque la hormiga eléctrica -Wasmannia auropunctata para los amigos- existe me pregunto dos cosas. Quiere jugar Dick con el rollo insectoide de La metamorfosis de Kafka? Desde luego la historia de Garson Poole, La Hormiga, es kafkiana: te despiertas un día en una cama de hospital (cuantas buenas historias de ficcion empiezan así) y te dicen que no eres humano sino un robot. Resulta que eres… “un figurón”! Además te estas usando para un propósito que desconoces. Ni siquiera te perteneces a ti mismo, tienes dueños… Y de hecho no te pueden atender porque esto es un Hospital para humanos, pero que aún así les tienes que pagar y que no te preocupes que llamarán a un servicio de reparaciones. La verdad que ese momento del médico diciendo “cálmese, le llevamos a un apartamento en una ambulancia y allí podrá comprar una mano nueva a un precio razonable, bien para usted, siendo como es el dueño único” casi parece una peli de berlanga, el esperpento o el neorrealismo italiano de Vittorio de Sica, más surrealista y fantástico que el de los Viscontis y Passolinis (recomendar gratuitamente las muy graciosas "Il tetto", o " Il boom" o "Miracolo a Milano" de la que estuve a punto de usar la preciosa “Nina nana”. Y ya que me pongo a hablar de cine viejuno hay que reivindicar al gran Edgar Neville, aunque esto ya es la gratuidad total, versus La torre de los jorobados o El ultimo caballo y alucinad con que este director no sea más famoso) o incluso lo que haría Fesser. Cuando le arreglan el brazo resulta que su propio cuerpo esta hecho de piezas que tienen su propia garantía. Si eres un cyborg, puedes acabar perteneciendo al gobierno, como les ocurre a los agentes de la Seccion 9 en Ghost in the Shell. Muy buena la escena en la que están Motoko y Batou en el barco y esta está buceando y reflexionan sobre ser cyborgs. Luego: ¿quién te dice que no seas una hormiga de verdad?. Te has abierto alguna vez la cabeza para mirar lo que hay dentro? Sólo pueden hablar los que se hayan hecho una resonancia magnética cerebral, los demás todavía no pueden estar seguros. La segunda idea es que el inteligente Dick se da cuenta que en una sociedad con robots/replicantes (whatever) existiría una manera de referirnos a ellos, probablemente despectiva o racista, como es el “pellejudos” de Blade Runner para referirse a los replicantes. También Lem nos llama viscosones y no nos ofendemos. Por último reivindicar de nuevo los derechos humanos para los replicantes. Ilustración: Pascal Alixe (Existe un cómic de este relato! Pero no lo he leído… :( Muchas gracias! =^___^= errores de edición? haberlos haylos soymescalito@gmail.com Muchas gracias! =^___^= errores de edición? haberlos haylos soymescalito@gmail.com Cuento, relato, historia, audiolibro, audiorelato, replicante, andoride, robot, Philip k dick, ciencia, ciencia ficción, fantasía, psique, mente, psicología, locura, realidad, sueño, filosofía, realismo, positivismo, empirismo, ciencia, científico, método, glitch, ordenador, digital, percepción, atención, sueño, loco, alucinación, psicodélico, existencia, duda, ansiedad, filosofía, cyberpunk, blade runner
Garson Poole, director a cargo de las actividades de “Triplan”, despierta en una cama de hospital. Sigue vivo, pero no está preparado para afrontar el viaje psicodélico y tremenda crisis de identidad que se le viene encima [semi-spoilers] Escrita en 1968, “Electric Ant” se publica en Fantasy & Science Ficiton en 1969. La revista pulp todavía seguía editándose por entonces. De hecho cumplía veinte años. Leamos un poco de la correspondencia de Dick con los editores de SMLA “Esta carta es en respuesta a la petición de Ed Ferman para que escriba un cuento corto por el veinteavo aniversario de F&SF. Me encantaría hacerlo, espero que pueda trasladarle este detalle a Mr. Ferman. Sin embargo, no podré hacerlo inmediatamente… pero estoy seguro que estará terminada para el primer “deadline” de Abril. F&SF es un magazine genial y ha publicado algunas de mis mejores historias. Además, fue la primera revista que me compró una historia. F&SF me impulsó en mi carrera como escritor profesional. Así que realmente quiero hacer esto de verdad… a pesar del hecho de que hace muchos años que no escribo material corto como el de una revista. Gracias Mr. Ferman por esta petición y gracias a ti también por trasladármela. Estoy seguro que será un número excelente.” Y en mi opinión lo bordó. Tiene que ser una de mis historias favoritas. Leamos un poco más de lo que Dick tiene que decir sobre ella: “De nuevo el tema: ¿cuanto de aquello que llamamos “realidad” está realmente ahí fuera o sólo en nuestra propia cabeza? El final de la historia es algo que siempre me ha dado mucho miedo… la imagen del viento soplando/rugiendo, el sonido del vacío… Como si el personaje oyese el fin del mundo mismo” [este final con el viento me recordó también al triste destino del niño de “La viejecita de las galletas”] En parte es una historia sobre la falsedad/veracidad de la realidad. Si cambia nuestra realidad, cambiará también la de los demás? Sarah, la “novia” de Garson Poole, cómplice en realidad de Danceman aprende esto por la vía dura al final del cuento. Muy parecido al destino de los amantes de “La Maqueta” (que ya subimos). Pero para mí el punto es sobretodo el solipsismo, que creo que es la posición de aquellos que se quedan atrapados ante el estupor de no poder confirmar que la realidad está “realmente” ahí fuera. Y es bien cierto que no podemos confirmarlo. Como dicen al final del corte musical: “acaso puede ofrecerme usted pruebas de su existencia”. Ante este dilema escéptico no hay solución, en mi opinión lo más propio es, a falta de evidencias positivas suficientes, hacer un acto de fe y pensar que sí, la realidad realmente es real (aunque no podamos salir fuera nunca a verla, sólo percibirla a través de nuestros sentidos, pero otra vez: ¿si nuestros sentidos nos engañan como la cinta que lleva Poole dentro y que es leída por su “escrutador”?) porque si no te haces bola y no avanzas, y ya tenemos suficiente con la náusea existencial del sinsentido de todo Podemos ver cómo Dick ha pasado, o más bien se ha extendido, del tema ¿qué nos hace humanos? (ej: “Impostor” que ya subimos) a ¿qué es lo real? Aunque uno de sus primeros cuentos, “Roog” (kyasubims), es una fábula encantadora que va realmente de eso (pobre perriño!). Es tema clave durante toda su carrera y en torno a la que giran muchas de sus novelas posteriores (ni mucho menos me he leído todas). Ya sabíamos que Dick tenía bastantes problemas psicológicos, no me atrevería a decir si tenía esquizofrenia, podría ser otra cosa, pero él pensaba que otros humanos, cristianos perseguidos y echados a los leones de la antigua roma, se metían en su cabeza y vivían su vida en california con su mujer. Pensaba (en sus tiempos de locura) que todo lo ocurrido desde el año 400~ (me estoy inventando un poco la cifra ahora mismo) hasta hoy no era real y que había habido un salto en el tiempo. Sintió también como un rayo de luz rosa bajo desde el cielo y le expuso en décimas de segundo a “toda la información del cosmos”, dejándole volado y entre otras cosas descubriéndole que su hija tenía una enfermedad concreta. Posteriormente la diagnosticó antes de que lo hicieran los médicos y posiblemente le salvó la vida, cosa que contribuiría me imagino a hacerle dudar aún más de la realidad. Ese episodio de la luz rosa merece un capítulo aparte, para una inmersión rápida en eso y todo lo demás en torno a la psique de Dick, recomendar el mini comic de Crumb sobre él [ http://www.philipkdickfans.com/resources/miscellaneous/the-religious-experience-of-philip-k-dick-by-r-crumb-from-weirdo-17/ ]. Veamos el mecanismo que tiene Poole para percibir la realidad. Una cinta con perforaciones y un haz de energía que atraviesa –o no- los agujeros para excitar un componente lector al que llama muy pertinentemente “escrutador”. En uno de sus últimos experimentos el protagonista quiere probar cómo sería abrir todos los agujeros (quitar la cinta y dejar que pase toda la luz). Me recuerda mucho a ese episodio del rayo de luz rosa. En otro quiere probar a correr la cinta hacia atrás. No llega a hacerlo, sólo se lo imagina, pero la descripción “hacia atrás” de la ingesta-producción-obtención de alimentos es épica. Desgraciadamente lo primero que se me viene a la cabeza es Benjamin Button, peli que no disfruté mucho pero rápidamente se me ocurre recomendar el capítulo “Backwards” de la infame y genial Enano Rojo (ciencia ficción hard en formato sitcom tardochentera, que más se puede pedir). Los llamo experimentos porque es lo que son. Ante la necesidad de probar qué es la realidad o cómo funciona (la verdad es que no le interesa tanto lo que el resto de personajes secundarios de la historia, los técnicos, le sugieren: averiguar quién le está usando y para qué) Poole decide aplicar el método científico (observa la cinta, la mide, calcula, “obtiene números”: cuantifica). Igual que para lo primero (la duda solipsista) hay que traer Santo Tomás de Aquino y a Calderón de la Barca para lo segundo el cuento refiere inequívocamente a Descartes y Locke, padres del método “científico” esto es: cambiar elementos pequeños (operativos) de una situación de manera controlada para estudiar los efectos que se producen. Lo llamaban tabla de contingencia y consistía en probar todas las combinaciones posibles de los elementos estudiados (la más sencilla su ausencia o presencia pero también podía haber grados). Esto es lo que hace Poole. Probar a hacer agujeros aleatorios, taparlos, cortar la cinta, quitarla del todo… La segunda parte del cuento es todo experimentos. Los técnicos ya le avisan que por ese camino sólo encontrará la muerte (aunque ellos lo llaman algo así como el fin del programa) pero Poole está, lógicamente, completamente desesperanzado y muy apesadumbrado (por eso creo me salió una voz como más depre y apagada a lo que creo que acostumbro) y le da igual si el final es la muerte, sólo quiere averiguar qué es real, probar si realmente existe. Y quien esté libre de esta duda que tire la primera piedra. Todos nos podemos ver atrapados en esa duda y volvernos locos. Por eso digo que mejor hacer un acto de fe y creerse la realidad que vemos. Un problema cuando nuestros sentidos no son de fiar y nuestras conductas emocionales son tan irracionales (cosa que por otra parte nos hace humanos y es muy bonita). Un par de detalles que me gustaron es cuando uno de los técnicos abre sus dedos y salen un montón de herramientas de precisión, muy cyborg. También el detalle de que ella lleva una “revista electrónica microenrrollada”. Ambos conceptos dibujados en escenas sueltas de Ghost in the Shell. También que el gobierno controla todo (cuando Poole recuerda como antes había un montón de canales de TV y ahora sólo los del gobierno). Al pobre Garson Poole le hacen creer que su vida es falsa porque todo depende de una cinta que se va desenrollando. Y cuál es la diferencia con nosotros? Creo que puede hasta ser una cuestión de autoestima el que ser una hormiga eléctrica te afecte. Dick planteo temas no sólo filosóficos sino también teológicos. Dicen que la realidad objetiva es un constructo sintético, le dicen que es un androide pero que “no tiene programación”. Yo no veo la diferencia con nosotros, digo, es lo que nos pasa a nosotros, tenemos un sistema que se encarga de crear nuestras percepciones, el tálamo, una estructura en el centro del cerebro en torno a la cual éste ha ido creciendo a lo largo de la evolución se encarga de recibir todos los inputs sensoriales y distribuirlos a las cortezas y áreas de procesamiento modal específico. Es lo mismo que su cinta y el escrutador. Tiene un planteamiento muy conductista. Los conductistas no tenían en cuenta el organismo, todo es una ecuación Estímulo-Respuesta. La manera de estudiar la cinta de Poole es muy así. "Él" esta fuera de la ecuación, y sin embargo cuando la realidad desaparece él sigue ahí, o sea que no es producto sólo de sus sentidos, existe aparte; pero cuando la realodad deja de existir él muere. No esta clara la posicion entre el dualismo cuerpo-mente. Y para colmo cuando él deja de existkr deja de existkr tambien Sarah! ¿y suponemos que todo lo demás? Pero con métodos cuantitativos parece imposible definir algo complejo como la realidad o la conciencia. Tratar de hacerlo así es también muy Newtoniano de más. Uno podría medir el nivel de actividad de un ordenador pero aun conociendo a que velocidad está corriendo el procesador… no puedes saber qué programa se está usando o qué es lo que se está viendo. A lo mejor puedes saber que está procesando gráficos si se activa la tarjeta gráfica pero no sabes qué gráficos. En el cerebro humano es parecido; el lóbulo occipital (dedicado en parte a la visión) es muy grande y gasta mucha energía. De hecho el patrón de ondas cerebrales cambia (se acelera un par de hertzios) cuando tenemos los ojos abiertos o cerrados. Pero es imposible saber qué objeto se está percibiendo. Probablemente es imposible llegar a conocer del todo la conciencia usando sólo métodos cuantitativos. Poole no lo hubiera llamado así pero en realidad, toqueteándose la cinta lo que está haciendo es “glitchearse”. El Glitch es algo que me gusta mucho “artística” y conceptualmente. Significa algo así como “error”. Lo típico son los glitches en los videojuegos (por ejemplo cuando un personaje se queda flotando o medio atraviesa una pared, o la tarjeta gráfica produce líneas locas y artefactos) pero en realidad es el error que se puede producir en cualquier dispositivo durante la recepción del input o la generación del output. Un error. En realidad el propio curso de la vida –la evolución- es un glitch, pues las mutaciones son transcripciones “erróneas” del código genético transmitido (a no ser que seas Lamarckiano y creas que las mutaciones son más o menos “dirigidas” un buen darwinista asume que son fruto del puro azar). Estéticamente, ha dado mucho juego. Es un elemento importante de esta estética que llaman vaporwave (consistente en utilizar elementos noventeros y el resultado de errores digitales, por ejemplo un “fuera de rango”. Artísticamente se divide entre aquellos glitch que son serendipias (errores de verdad fruto del azar), recrear el resultado de un error aunque sea “a mano” o provocar el error: por ejemplo “abusando” o maltratando los datos (“datamoshing”). Probad a abrir una imagen en Word, o en un editor hexadecimal, y cambiar un solo caracter. O en un editor de audio y ecualizarla. Volver a abrirla como imagen y ver que ha cambiado. Un solo caracter puede mutar la imagen en algo completamente loco. Esto es lo que hace Poole (y tiene alucinaciones, ve patos o desaparece todo). Yo en instagram mesh_mescalito pongo algunas cosas tipo glitch que me fluyen pero no sólo eso. Estaría encantado de que las vieseis. Dado el tema del cuento me pareció que era mucho más propio cambiar la sintonía de Dick por la otra, Dick me disculpe, viene al pelo. Entonces se me ocurrió tratar de glitchearla un poco -cosa que finalmente hice para la segunda mitad del cuento- cuando me dio por poner el tema original “Sleep Walk” al revés. Y me quedé flipando porque es una canción tan perfecta, tan armónica la Steel guitar que al revés suena genial. Parece un poco un Ratatat apagado. Me gustó mucho así que decidí terminar poniéndola primero al revés y en la buena dirección al final del todo (quién puede asegurar que una dirección es más real que otra??) Aquí el vídeo de la canción [ https://www.youtube.com/watch?v=2rwfqsjimRM ] y aquí un artículo [ http://www.chimesfreedom.com/2016/05/05/that-1950s-instrumental-hit-known-as-sleep-walk/ ] Espero ya lo último que no quería callarme es la relación entre el “escrutador” y la atención, a nivel neurocientífico. Es el dispositivo que lee la cinta y produce la realidad. Por cierto que es estimulado por una energía muy pequeña, un campo eléctrico diminuto, igual que nuestro cerebro produce actividad electromagnética pero en un orden de magnitud ínfimo -si no estaríamos electrocutándonos todo el rato- El campo magnético de nuestro cerebro es como un millón de millones de veces más pequeño que el de un imán de nevera o el de la propia Tierra. Así que muy bien ahí Dick Volviendo al escrutador tiene mucho que ver con la “Atención” como función psicológica. Es claro que nosotros podemos percibir una cantidad ingente de estímulos cada segundo pero sólo somos conscientes de una mínima fracción. No es que el resto no nos llegue pero no lo percibimos conscientemente. La Atención , como el foco de una linterna, se encarga de iluminar aquello que percibimos. Y la percepción es siempre una “construcción”. No digo que no haya nada ahí fuera, probablemente lo haya, pero lo que no hay sin duda son “objetos”. Nada es una entidad separada, a nivel atómico todo es igual (y encima está hecho de vacío, quédate loco. El 99,9% de lo que compone la materia –el átomo- es vacío. Electrones y núcleos ocupan una porción muy pequeña). Somos nosotros los que separamos unos objetos de otros a través de la percepción/construcción pero en realidad todo está mezclado. Es la danza de las partículas, que llaman los budistas. Ahí un atisbo de esto en algún momento del cuento. Dick era muy afín a las filosofías orientales (creo. Siempre se dijo que escribió El Hombre en el Castillo a tiradas de I.Ching). Como referencia y para terminar yo me voy a ir al otro lado del mundo, justo debajo de California, en el desierto de Sonora. Allí conoció el antropólogo Carlos Castaneda a Don Juan, un brujo yaqui que le tomará como aprendiz. Son muchos los libros (recomiendo “Las enseñanzas de Don Juan”, “Viaje a Ixtlán” y “Relatos de poder”), que pretenden ser una crónica veraz de lo que Carlos aprendía. Yo me los tomo como una metáfora. Y aún cogiéndolo como algo fantástico, a lo largo de los libros se explica un sistema filosófico, una forma de concebir la realidad (la de los chamanes mexicanos, distinta a la de los caucásicos como Gurdjeff) que puede ser muy interesante. Yo la valoro mucho y por eso mi Nick siempre era mescalito (es un espíritu que se aparece a los que toman peyote). Una de esas filosofías es la existencia de “el punto de encaje”. En su lenguaje, se supone que es un punto que tenemos dentro del cuerpo por el que la realidad atraviesa. Según donde tengamos colocado el punto de encaje percibimos unas cosas u otras. Podemos desplazarlo (igual que se mueve la “atención” a lugares en los que no está durante la vida cotidiana alterando así nuestros estados de conciencia . Los chamanes serían expertos en mover el punto de encaje de los demás. Pues bien digo todo esto porque el funcionamiento del “escrutador” me recordó mucho a eso. En el penúltimo experimento (cuando se le para la cinta) no está claro si Poole va a permanecer para siempre en un limbo de estar consciente pero no existir. Eso me recordó muchísimo a Borges, al cuento “El milagro secerto” en el que un poeta condenado a muerte (ojo spoilers, es muy corto y se lee muy bien así que pensaros si seguir leyendo) ruega a Dios que le conceda el tiempo suficiente para terminar su obra antes de morir, y entonces, cuando la bala ya ha salido del cañón del pelotón de fusilamiento y va camino de su cabeza esta se para. Al principio él no entiende nada, y por un espacio de tiempo está confuso, luego pasan las horas, los días, y él se dedica a componer, para sí y dentro de su cabeza, su gran poema, hasta que lo termina y… bueno, ahí lo dejo. Aunque la hormiga eléctrica -Wasmannia auropunctata para los amigos- existe me pregunto dos cosas. Quiere jugar Dick con el rollo insectoide de La metamorfosis de Kafka? Desde luego la historia de Garson Poole, La Hormiga, es kafkiana: te despiertas un día en una cama de hospital (cuantas buenas historias de ficcion empiezan así) y te dicen que no eres humano sino un robot. Resulta que eres… “un figurón”! Además te estas usando para un propósito que desconoces. Ni siquiera te perteneces a ti mismo, tienes dueños… Y de hecho no te pueden atender porque esto es un Hospital para humanos, pero que aún así les tienes que pagar y que no te preocupes que llamarán a un servicio de reparaciones. La verdad que ese momento del médico diciendo “cálmese, le llevamos a un apartamento en una ambulancia y allí podrá comprar una mano nueva a un precio razonable, bien para usted, siendo como es el dueño único” casi parece una peli de berlanga, el esperpento o el neorrealismo italiano de Vittorio de Sica, más surrealista y fantástico que el de los Viscontis y Passolinis (recomendar gratuitamente las muy graciosas "Il tetto", o " Il boom" o "Miracolo a Milano" de la que estuve a punto de usar la preciosa “Nina nana”. Y ya que me pongo a hablar de cine viejuno hay que reivindicar al gran Edgar Neville, aunque esto ya es la gratuidad total, versus La torre de los jorobados o El ultimo caballo y alucinad con que este director no sea más famoso) o incluso lo que haría Fesser. Cuando le arreglan el brazo resulta que su propio cuerpo esta hecho de piezas que tienen su propia garantía. Si eres un cyborg, puedes acabar perteneciendo al gobierno, como les ocurre a los agentes de la Seccion 9 en Ghost in the Shell. Muy buena la escena en la que están Motoko y Batou en el barco y esta está buceando y reflexionan sobre ser cyborgs. Luego: ¿quién te dice que no seas una hormiga de verdad?. Te has abierto alguna vez la cabeza para mirar lo que hay dentro? Sólo pueden hablar los que se hayan hecho una resonancia magnética cerebral, los demás todavía no pueden estar seguros. La segunda idea es que el inteligente Dick se da cuenta que en una sociedad con robots/replicantes (whatever) existiría una manera de referirnos a ellos, probablemente despectiva o racista, como es el “pellejudos” de Blade Runner para referirse a los replicantes. También Lem nos llama viscosones y no nos ofendemos. Por último reivindicar de nuevo los derechos humanos para los replicantes. Ilustración: Pascal Alixe (Existe un cómic de este relato! Pero no lo he leído… :( Muchas gracias! =^___^= errores de edición? haberlos haylos soymescalito@gmail.com Muchas gracias! =^___^= errores de edición? haberlos haylos soymescalito@gmail.com Cuento, relato, historia, audiolibro, audiorelato, replicante, andoride, robot, Philip k dick, ciencia, ciencia ficción, fantasía, psique, mente, psicología, locura, realidad, sueño, filosofía, realismo, positivismo, empirismo, ciencia, científico, método, glitch, ordenador, digital, percepción, atención, sueño, loco, alucinación, psicodélico, existencia, duda, ansiedad, filosofía, cyberpunk, blade runner
This week I cover the Top 5 selling Indie games as well as the top new and trending Early Access games on Steam. This week I have been playing Distrust and Sonic Mania!. Don’t forget to subscribe on iTunes! https://t.co/0wo9IsV5Zz Check out Batou (Background Music): https://batou.bandcamp.com/album/adventures-in-bitscape Follow me on the following: Facebook: https://www.facebook.com/IndieGamingPodcast/ Twitter: @IndieGameCast E-Mail Me: indiegamingpodcast@gmail.com YouTube: https://www.youtube.com/channel/UCcfl4pP26tcMIYALEnSO7rQ
What does it mean to be human? Does the construct of a soul actually exist? Where is the closest 24 hour sushi restaurant near you? None of these questions and more will be answered in this episode of Cinema Sesh as AJ and Jay discuss the story of the cybernetic Major played by Scarlett Johansson. There is so much about this movie for us to unpack, especially in comparing it to the anime it is adapted from (Yes, we're those types of nerds. Also, guess which movie with Oompa Loompas we prefer). When it's all over, you'll have a better understanding of what it means to be our friends and what they have to put up with after we see a movie with them. You'll emit a laughter prompt, you'll leak silicone tears in a preprogramed act of crying, you might even acquire some new data packets that increase your understanding of your immediate world. But what do we know? We're not rocket surgeons. Enjoy! Email us your thoughts, questions or hate mail to cinemasesh@gmail.com Follow our social media antics! https://twitter.com/CinemaSesh https://www.instagram.com/cinemasesh/
Future City Where is this movie taking place? Was it made explicit? We’re thinking neo-Tokyo but what’s really interesting is the lengths they went to in order to make New Zealand look like a retro-futuristic Asian city. Cyberpunk Roots in Neuromancer etc. The rising Asian power of the period (Japan) and the mixing of western and eastern aesthetics. Robots! And robot materials. Robot doctors. Metamaterials. Biorobots and cyborgs. Metal vs biomech. Blending in. Squishiness. Robot eyes Networked AR lens implants. Batou had a whole suite of EM filters! Thermal, night vision, and x-ray. X-ray! Otherwise known as “cancer mode.” How x-rays work and the danger he must posing to everyone around him. Invisibility Cloaks Harry potter and Predator. First Predator vision, now predator invisisuit! Bending different frequencies of light around objects cloaked with metamaterials. Memory and Self Memory “glitch” medication. Implanting learning. Wiping memories and adapting brains to new bodies. Man vs Machine The potential foreignness of artificial intelligence. The human brain as a meaning-making machine. Melding with the machines. Nature of Self And dualism and the great questions raised in the original film. Ghost in the Shell (the real one!): iTunesAmazon Ghost in the Shell: scifi anime, computer evolution, and cybernetics: Decipher SciFi Measure of a Man - Star Trek TNG: iTunesAmazon Support the show!
Guerreiros, em guarda! Nesta nova missão, Fábio Moreira (@facosmo), Thais Freitas (@ThaisdF17), Clarisse Machado (@clamlemos) e Marcos Moreira (@marvincosmo) vão até o futuro, novamente, para falar de Scarlett Johansson, criando polêmica e vigiando o amanhã!
Adapté d'un manga cyberpunk culte, et calqué sur le film animé de 1995, le Ghost In The Shell de Rupert Sanders est un projet aussi attendu que redouté, mais surtout une belle occasion pour 24FPS de revenir sur cette franchise qui a déjà bien influencé le cinéma de science-fiction.Dans la première partie de l'émission, Jérôme et Julien reviennent d'abord sur la franchise créée par Masamune Shirow qui a déjà connu de nombreuses déclinaisons, avant de s'intéresser de plus près à son adaptation hollywoodienne et les critiques qui ont fusé dès l'annonce de la mise en chantier, sans oublier leur avis sans spoiler. Puis lorsque le signal sonore retentit après 1h40m50 d'émission, ils reviennent sur les principaux passages du film en analysant ce qui a attiré leur attention et en relevant les quelques références aux œuvres précédentes qui y sont cachées.Bonne écoute, et n'hésitez pas à nous dire ce que vous avez pensé de la coupe de cheveux de Batou !Crédits musicaux : Making Of Cyborg de Kenji Kawai, issu de l'album Ghost In The Shell - Original Soundtrack (1995)
Craig, Heather, and Jake loved the original “Ghost in the Shell” (1995). And they were excited to see the new one. They discuss exciting Westworld news (:50), the new “Ghost in the Shell” (5:10), spoilers and “The Fate of the Furious” trailer (5:51), comparing the original with the live-action (7:29), the clarity of the film (7:58), the cybernetic enhancements (13:53), the geisha-bots and the spider tank (15:06), the depiction of “the net” (24:08), Kuze and the lack of existential crisis (25:38), Batou, Pilou Asbæk, Togusa, and the garbagemen (34:21), the advertisements (42:35), the big controversy (48:03), connections to Lost in Translation (54:05), and therm-optics and mind-comm (55:34).
Today's show is brought to you by freshbooks.com - get a 30-Day Free Trial at www.gofreshbooks.com/gang. Trailer corner Mummy- https://www.youtube.com/watch?v=GzorZUuZqEI It- https://www.youtube.com/watch?v=V6JjVwuT2Sk- Spider-Man Homecoming - https://youtu.be/DiTECkLZ8HM Main Review: Ghost in the Shell (2017) In the near future, Major is the first of her kind: a human who is cyber-enhanced to be a perfect soldier devoted to stopping the world's most dangerous criminals. When terrorism reaches a new level that includes the ability to hack into people's minds and control them, Major is uniquely qualified to stop it. As she prepares to face a new enemy, Major discovers that her life was stolen instead of saved. Now, she will stop at nothing to recover her past while punishing those who did this to her. Midroll add- For you, the listeners of The movie gang podcast, Loot Crate is offering an opportunity to save 10% on any new subscription at lootcrate.com. To save 10% on any new subscription go to trylootcrate.com/Gang and enter promo code: bridge10 for 10% savings. Scores Peter - 6/ Sarah - 4.5/ Jack - 4/ Overall - 5 Check us out on itunes or on our website at www.tsucanshed.com Please rate and subscribe Music: http://www.bensound.com Kuze V. Batou- https://www.youtube.com/watch?v=cBCcsMYHf-Q
Sarah Mason and Jake Essoe review Ghost in the Shell for Now Playing Reviews on The HMC. Based on the Japanese anime, Ghost in the Shell stars Scarlett Johansson as Major, first of her kind cyber enhanced human. It's the near future and there's a powerful new enemy killing people by hacking into their minds. Major and her District 9 police crew must hunt him down and stop him before he kills again. However, once face to face with this new cyber enemy, Major finds there's more to his story, and hers then she new. Will these revelations threaten her mission? Oh hell yeah. Ghost in the Shell is a far cry from the thoughtful and clever vision created by Masamune Shirow and original anime film directed by Mamoru Oshii. This Americanized version is all action and no heart. It has some impressive visual effects and fans of science fiction may enjoy the futuristic production design but, Johansson's wooden and weak performance render this film almost unbearable to watch. Cyber punk and original Ghost in the Shell fans do yourself a favor and go watch the anime versions (this film was a melding of both anime films 1 & 2). We are giving this film a 6 on the Justice and Doom Meter which is generous as this constitutes small Justice, very small. Consider the Justice rating a shoutout to the impressive supporting cast including the phenomenal Juliette Binoche as scientist Dr. Ouelet, Pilou Asbæk as Major's partner Batou (you'll recognize him as Theon Greyjoy's dastardly uncle in Game of Thrones), Michael Pitt and Takeshi Kitano. The stunning visual effects and production design equally deserve much Justice. Save those standout features, this film doesn't live up to its potential as a visionary classic in the realm of cyber punk. Visit www.thehmcnetwork.com for more movie, tv and game reviews.
This week it all gets a bit animated as we explore an anime staple. Now with added horses! It's Ghost in the Shell. If you want to contact the show, or simply have a chinwag with the chaps, then please pop by our Facebook page - https://www.facebook.com/isawthatyearsago or follow us on Twitter @istyashow You can even contact us on good old email by sending your missives to - show@isawthatyearsago.com
Batou's haircut = A+
1. My real name is Baptiste, i live in Paris, i chose Petit Batou because it's my nickname since i was young. 2. I started playing the violin at the age of 5 years . I discovered many musical genres because of my musical studies, now i listen much everything (jazz, classical, cuban music ...) but especially house music for the search for original rhythms. And then i started to compose and play it. 3. My influences from different styles , Debussy: Arabesques for piano, Miles Davis & John Coltrane - Kind Of Blue album, St Germain - Boulevard (Album), Kerri Chandler - The Mood EP, Maurizio - Domina 4. My favorite music store are Syncrophone, Techno Import, & Gibert Joseph in Paris & beatport & discogs, on the web. 5. Strangely, they are rather topical artists that inspired me as a DJ and also to my compositions. I note, Ricardo Villalobos, Arpiar, Livio & Roby, Audio Werner, Ion Ludwig, Christopher Rau ... 6. My favorite labels are All In Records, Perlon, Minibar, Fear Of Flying, Concrete Music ...
Wir kennen sie und wir lieben sie: die Protagonisten unserer Anime und Manga. Aber wer sind sie eigentlich? Sind sie in ihren Grundzügen doch nicht etwa alle gleich oder haben wir es wirklich mit einzigartigen Individuen zu tun? Haben sich Charakterbilder im Laufe der Zeit verändert und wer hat im Geschlechterkampf die Nase vorn? Begleitet uns bei einer interessanten Beleuchtung von bisher eher unbeachteten Details!.
Richard Epcar drops by the show to be our first guest of the year and to give his thoughts on Ghost in the Shell in all it's incarnations, as well as discussing the latest on Ghost in the Shell: Arise! It's an interview you don't want to miss! Your hosts this week are Paul Pescrillo (Creator of ToonamiFaithful.com), Jose Argumedo (Editor and Technical Director of the podcast), Darrell Maddox (Yeah, he's back. I don't know why either) and Jim Nelson (Announcer on the podcast).
This episode takes Beef, Sean O’Hara and John D. to the robotic world of anime in Ghost in the Shell. We had some technical problems this week so we won't talk news. Don't worry, all is fixed now and we will come back next week with our normal format. We still talk anime and have some pretty interesting insights on Ghost in the Shell, from what kind of cyborg we would be to our favorite weapons. You can find us on iTunes under ''Legends Podcast''. Please subscribe and give us a positive review! You can also follow us on Twitter @LegendsPodcast for updates and to voice your opinion about which movies we should cover in future episodes. Or even better, send us an e-mail at Legends.Podcast@hotmail.com and check the archive on our Web page at www.legendspodcast.libsyn.com
We have a few listener questions once again and a special guest to deliver them (a gift for longtime listeners). After that we talk about what we have been playing such as: Prince of Persia, Socom: Confrontation, Ring of Red and some more Far Cry 2 impressions. We discuss some gaming news and then end the show with a special interview. We have an interview with Richard Epcar (you're probably saying, ''Who?''). This fine gentleman is responsible for The Joker and Raiden in the MK vs DCU, Ansem in Kingdom Hearts 2 and Kingdom Heart RE: Chain of Memories, and Batou in the Ghost in the Shell anime (among a bunch of other crappola). Enjoy our exclusive interview and sorry for the scratchy audio (that's what she said).