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On this week's show we take a look back at the transition from black and white to color and compare it to the transition to HDTV. We also read your emails and take a look at the week's news. News: Roku's smart home strategy is making its streaming devices harder to ignore Sonos Strikes a Surprising Deal with Yamaha Masimo to Sell Consumer Audio Business to HARMAN International Other: Robert's Forever Home Theater Has the Best Universal Remote Got Better? - Remote 3 Google AI Reimagines Wizard of Oz for the Las Vegas Sphere!
Depuis sa démocratisation en France dans la première moitié du XXe siècle la radio a beaucoup évolué. Monopole étatique sous l’ORTF, apparition des radios commerciales, création des radios libres ou pirates, passage au numérique, développement des podcasts et de la radio filmée, mutations de Radio France…autant d’évolutions passées en revue avec une touche d’humour par Clémence et Aubry […]
L'oncle Victor est un sexagénaire fortuné. Aussi, quand ses héritiers, sa belle-soeur et ses neveux, reçoivent un télégramme leur annonçant un décès, ils se précipitent chez lui, pour découvrir qu'en réalité, c'est Berthe, la servante, qui est morte. Après les avoir réunis, l'oncle Victor leur annonce que Berthe a été empoisonnée mais que c'est lui qui était visé. Considérant que l'assassin ne peut-être que l'un d'entre eux, il leur donne jusqu'au lendemain midi pour découvrir l'identité du coupable, faute de quoi il les déshéritera tous au profit des bonnes œuvres.***Fiction radiophonique diffusée dans l'émission « Mystère Mystère », de Pierre Billard – « La Cerise » d'après un texte de Charles Maitre – Réalisation : Pierre Billard - Musique originale : André Popp – Première diffusion 03/02/1970 sur la Chaîne France Inter de l'ORTF – Avec : Henri Crémieux, Jane Marken, Jean Pierre Lituac, Jacqueline Jehanneuf, Jean Marie Fertey, Maria Tamar, Edith Loria – Un podcast INA.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maggie speaks with Zev Feldman, an internationally recognized, independent record producer and the Co-President of Resonance Records. He is also a consulting producer of archival and historical recordings for Blue Note Records. Over the last 25 years he has worked for PolyGram, Universal Music Group, Rhino/Warner Music Group, Concord Music Group, among others. He won DownBeat Magazine's International Critics Poll for "Rising Star Producer" in 2016 for his work on a staggering 26 historical jazz recordings that year and was called "The Indiana Jones of Jazz" by Stereophile Magazine. In addition to his lauded work at Resonance, where he works closely with the estates of jazz icons such as Bill Evans, Wes Montgomery and so much more. Maggie and Zev discuss B.B. King In France: Live at the Nancy Jazz Pulsations Festival (1977) is a previously unissued live recording from the legendary bluesman B.B. King captured by the ORTF in France on October 7, 1977 and released on producer Zev Feldman's Deep Digs label in partnership with Elemental Music and INA France.The limited-edition 180g 2 x LP set was mastered and cut by Matthew Lutthans at The Mastering Lab, and include rare photos by Thierry Trombert, Val Wilmer, Jan Persson and more; plus liner notes by the acclaimed french author Jean Buzeline; and testimonials from fellow blues icons who knew or were inspired by B.B. King.Also joining Zev & Maggie is Cary Baker, a writer based in Southern California but, born on Chicago's South Side, he not only had the chance to grow up with the blues but began his writing career at age 16 for the Chicago Reader. Mr. Baker is the author of “Down On The Corner: Adventures in Busking and Street Music.” His return to writing follows a 42-year hiatus during which he directed publicity for six record labels and two of his own companies. Prior to his PR years, Baker wrote for, among others, Creem, Trouser Press, Bomp!, Goldmine, Billboard, Mix, and Record magazine. He has also written liner notes for historical reissues from labels including Universal and Capitol-EMI. Cary Baker has also been a voting member of the Recording Academy since 1979.Source: https://www.elemental-music.com/inicio/4860-bb-king-in-france-live-at-the-1977-nancy-jazz-pulsations-festival-8435395504581.htmlSource: https://recordstoreday.com/PromotionalItem/18422Source: https://www.allaboutjazz.com/the-archival-producer-zev-feldmanHost Maggie LePique, a radio veteran since the 1980's at NPR in Kansas City Mo. She began her radio career in Los Angeles in the early 1990's and has worked for Pacifica station KPFK Radio in Los Angeles since 1994.Send us a textSupport the show@profileswithmaggielepique@maggielepique
Jean-Marie Le Pen, figure de l'extrême droite française et finaliste de la présidentielle de 2002, est mort mardi 7 janvier, à l'âge de 96 ans. L'ex-président et cofondateur du Front national, devenu Rassemblement national, s'était peu à peu retiré de la vie politique à partir de 2011, lorsque sa fille Marine Le Pen avait repris la présidence du parti.Au cours de sa longue carrière, Jean-Marie Le Pen a réussi à sortir l'extrême droite française de sa marginalité. Dans ce deuxième épisode de L'Heure du Monde consacré à la mort de Jean-Marie Le Pen, Abel Mestre, journaliste au « Monde », retrace l'histoire du Front national et revient sur les scandales drainés par Jean-Marie Le Pen pendant son ascension au sein du parti, comme ses propos sur les chambres à gaz, « détail », selon lui, de l'histoire de la seconde guerre mondiale.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation et musique du générique : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'un entretien de Jean-Marie Le Pen sur le logo tricolore du Front national diffusé le 3 novembre 1972 (ORTF) ; reportage chez la famille Le Pen diffusé le 21 février 1986 (FR3) ; extrait d'entretien de Jean-Marie Le Pen sur l'héritage de Hubert Lambert diffusé le 12 octobre 1976 (Antenne 2) ; extrait de l'émission « L'Heure de vérité » diffusé le 13 février 1984 (Antenne 2) ; propos de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz dans l'histoire de la seconde guerre mondiale le 15 septembre 1987 (RTL) ; Jean-Marie Le Pen répond à la polémique sur les chambres à gaz le 18 septembre 1987 (Antenne 2) ; extrait d'interview de Marine Le Pen diffusée en 2008 (France 2).Cet épisode a été publié le 8 janvier 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Il était la dernière personnalité politique française à avoir commencé sa carrière sous la IVe République. Jean-Marie Le Pen est mort ce 7 janvier 2025 à l'âge de 96 ans.Connu avant tout par les Français pour avoir fondé le Front national, ce fils de pêcheur breton, issu d'un milieu modeste, a démarré en politique en devenant l'un des plus jeunes députés de l'Assemblée nationale lors de la vague poujadiste de 1956.Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », le journaliste Abel Mestre revient sur les débuts de la vie de l'ancien dirigeant frontiste et sur ses tentatives infructueuses pour aller combattre dans l'armée française, avant sa participation controversée à la guerre d'Algérie, qui lui vaudra des accusations de torture.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation et musique du générique : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait du journal de France 2 le 21 avril 2002 ; extrait du discours de Jean-Marie Le Pen le 21 avril 2002 ; interview de Jean-Marie Le Pen sur son enfance diffusé le 16 janvier 1973 (ORTF) ; extrait d'interview de Pierre Poujade diffusé le 2 janvier 1956 (Associated Press) ; interview de Jean-Marie Le Pen sur les accusations de torture en Algérie diffusée le 12 février 1985 (Antenne 2) ; le récit de la journaliste Florence Beaugé racontant les coulisses de son enquête sur le poignard de Jean-Marie Le Pen pendant la guerre d'Algérie.Cet épisode a été publié le 7 janvier 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Extremely loud thunder as recorded the night of 2022-09-11 during a rain shower. Levels were "set" too high for such a loud recording, resulting in minor clipping. Rode M5 (matched pair) ORTF > Zoom L12 Recorded by David Schlotterback.
This is a free preview of a paid episode. To hear more, visit chadcrouch.substack.comI love oak trees. Here in the Pacific Northwest, our western forests are dominated by conifers, so oaks have something of an exotic look to my eye. It wasn't always this way. Here in the Willamette Valley, oaks thrived in the rain shadow of the Coast Range. The entire 1.5 million hectare valley was not long ago dominated by native prairies and oak savannas. This is one of the most strongly human-modified ecoregions on the continent, with an estimated 99.5% decline of native prairies and oak savannas. Despite this devastating loss, the vegetation of this region and its history are fascinating, and the remaining remnants are often packed with rare and endemic species. (oneearth.org)In the last 175 years we have lost 98% of the oak savanna habitat here.(From: Rivers to Ridges Oak Habitat Flyer)It's not lost on me that, just a 30 minute trip from my home, a 100 acre oak savanna on Sauvie Island is a pretty special place. Not just because it's scarce habitat, but also because it's very tranquil, buffered from road and city noise by placid lakes and distance. So we're back, visiting Oak Island, the “island” within an island:This time I pointed my most sensitive mics (a Rode NT-1 stereo pair in ORTF placement) toward the long axis of the woodland, recording a detailed, spacious soundscape. One can walk around the margins of this woodland on the Oak Island Nature Trail, but there are actually no trails through it. It really preserves a sense of mystery about it, I have to say. You are an outsider looking in, here.Oak Savanna Suite is the second in a new series of more calm, more atmospheric, more classically ambient releases collected under the pseudonym artist name Listening Spot. As with the first release, Crane Lake Suite, Oak Savanna Suite is a group of self-contained instrumental movements of varying character in the same key. The instrumentation sounds vaguely orchestral, like a pastorale with flowing legato phrasing, but it's less melodically rigid, and not built up with traditional orchestral instrument sounds. In fact, in the beginning it's difficult to discern basic musical patterns: Meter is elastic, melodic phrases are indistinct and unrepeated, and the music barely rises above the soundscape. All this changes by degrees as the suite progresses. I hope you get to spend some quality time with it.If you enjoy it, please follow Listening Spot wherever you get your music, and consider sharing it with one other person. I'm heartened by the initial response, but also aware of the challenge of building momentum for a new thing, so I'm grateful for any support you can offer.Oak Savanna Suite is available on all streaming platforms (Spotify, Apple, Tidal, Amazon, YouTube…) tomorrow, Friday, November 8th.
Après la mort de Petiot, des zones d'ombres subsistent sur l'affaire. Comment un homme a-t-il pu tuer à lui seul plusieurs dizaines de personnes sans jamais avoir exprimé le moindre regret ? Quel était son modus operandi ? Qu'est-il advenu du magot ? Et enfin, quel était le véritable mobile de ses crimes ? Dans ce dernier épisode, découvrez l'avis des experts Claude Quétel, historien, Agnès Masson, conservatrice et Sarah Bouillot-Kesler, documentaliste scientifique. *** Crédits Archives *** Extrait de l'émission radiophonique “Les après midi de France Culture” de Jean Montalbetti et Jacques Pradel, France Culture, 25/07/1974 - La tribune de l'histoire, ORTF, 02/11/1974 - Extrait de l'émission télévisée “La justice des hommes” d'Igor Barrère, RTF, 27/05/1960 - Extrait de l'émission radiophonique “Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties” de Johanna Bedeau, RF, 07/02/2021. *** Crédits podcast *** Textes : Cyrielle Le Moigne-Tolba - Documentaliste : Elsa Ferreira-Rato - Restauration et mixage : Ian Debeerst - Enregistrement : Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Xavier Lemarchand - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Unité de production : Delphine Lambard - Création graphique : Ugo Bouveron - Cheffe de projet : Lӕtitia Fourmond - Stagiaires : Inès Bichel, Edith Monnier - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Production INA
Après sept mois d'une cavale presque parfaite, le procès s'ouvre le 18 mars 1946 à la cour d'assises de la Seine. Marcel Petiot y comparaît pour homicide volontaire avec vol, guet-apens et préméditation. Mais le Docteur Petiot n'est nullement impressionné par la Cour. Il affirme qu'il n'aurait tué que « des ennemis de la France ». Parmi les corps retrouvés dans son hôtel particulier, douze sont ceux de Juifs, quatre de proxénètes et quatre autres de prostituées. Dans cet épisode, vous entendrez l'avocat de Petiot, maître Floriot, mais aussi Madeleine Jacob, célèbre chroniqueuse judiciaire de l'après-guerre, raconter ce procès qui a attiré les foules. *** Crédits Archives *** Extrait de l'émission “Journal Les Actualités Françaises”, AF, 29/03/1946 - Extrait de l'émission radiophonique “Le texte et la marge” de Denise Alberti et Françoise Favier, TF1, 13/05/1988 - Extrait de l'émission radiophonique “La tribune de l'histoire” d'Alain Barroux, Alain Decaux et Jean François Chiappe, ORTF, 02/11/1974 - La justice des hommes, RTF, 27/05/1960.
Cinquante ans après la fin de l'Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF), le gouvernement souhaite revenir à un regroupement de l'audiovisuel public. S'appuyant sur une proposition de loi du sénateur UDI Laurent Lafon, la ministre de la culture, Rachida Dati, souhaite fusionner en une seule entité les différentes sociétés existantes : Radio France, France Télévisions, l'Institut national de l'audiovisuel (INA) et possiblement France médias monde.Pourquoi le gouvernement considère-t-il cette réforme comme prioritaire aujourd'hui ? Renforcera-t-elle le service public, comme l'affirment ses défenseurs, ou risque-t-elle au contraire de le fragiliser, comme l'estiment ses opposants ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Aude Dassonville, journaliste spécialiste des médias au Monde, revient sur cette proposition de loi.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
Il y aura bien un premier vote à l'Assemblée nationale, vendredi 24 mai, sur le projet du gouvernement qui veut fusionner Radio France, France télévisions et les archives audiovisuelles de l'INA. L'incertitude plane encore sur le sort de France Médias Monde dont fait partie RFI. L'audiovisuel public est-il en danger, comme le pensent les nombreux salariés qui seront en grève jeudi et vendredi ? Entretien avec l'historien des médias Alexis Lévrier, maître de conférences à l'Université de Reims et auteur du livre Jupiter et Mercure : le pouvoir présidentiel face à la presse, aux éditions Les petits matins. RFI : Ce projet, cela fait longtemps qu'on en parle. Il est régulièrement remis sur la table. Pourquoi est-ce qu'il revient maintenant ?Alexis Lévrier : C'est une question effectivement assez complexe, parce qu'on avait l'impression que depuis le Covid-19, ce projet de réforme et de fusion était un peu mis de côté, considéré comme irréalisable. Ce projet, c'est un peu une arlésienne. On en parlait déjà sous Nicolas Sarkozy, d'une BBC à la française, et ça ressemble quand même surtout à une ORTF à la française, un retour de cette structure ultra-centralisée. Malheureusement, Emmanuel Macron cède un peu à cette tentation des présidents qui ont voulu incarner un pouvoir très fort, très centralisé et qui veulent avoir une forme de tutelle directe ou indirecte sur les médias publics. C'est quand même beaucoup à cela que ça ressemble.D'autant qu'au début de son premier quinquennat, Emmanuel Macron avait accompagné l'annonce de cette future fusion de critiques très fortes à l'égard des médias publics. Il parlait de « honte pour nos concitoyens », il remettait en question les contenus, les programmes, les dirigeants, tout le monde.Rachida Dati, qui est aujourd'hui ministre de la Culture, a repris ce projet et, elle aussi, elle l'a accompagné de critiques à l'égard des médias publics, auxquels elle reproche un manque de pluralisme. Elle est allée d'ailleurs dans les médias de Vincent Bolloré, y compris dans le JDD de Geoffroy Lejeune, pour dire qu'il y avait un problème de pluralisme dans les médias publics. Donc, on voit bien que cette réforme traduit une tentation de reprise en main sur les médias publics. Et c'est en cela qu'elle est très inquiétante.Pourtant, vous nous l'avez dit, ce type de modèle a déjà existé, avec l'ORTF. Qu'est-ce qui avait motivé sa fin à l'époque ?C'est à la fin de l'ère gaullo-pompidolienne. C'est la mort de Georges Pompidou qui amène, à l'époque, une critique très forte à l'égard de ce que signifie un audiovisuel public directement sous la botte de l'État, « la voix de la France », comme disait Georges Pompidou. Mais cette voix de la France a conduit les journalistes du service public à taire, par exemple, la maladie du président qui était évidente pour tous les Français. Et tout cela aboutit, en avril 1974 : l'ORTF était incapable de traiter la mort du président parce qu'elle était prise de court, elle n'avait rien préparé.C'est pour mettre fin à cette tutelle insupportable de l'État sur l'audiovisuel public que Valéry Giscard d'Estaing avait annoncé ce désir de défaire l'ORTF, de donner davantage d'autonomie à chacune de ses chaînes. Cela a été fait dans la douleur. La tentation du contrôle n'a jamais disparu. Mais à partir du moment où vous donnez un peu d'autonomie à chaque chaîne, le contrôle est moins direct et chaque média public peut reprendre une forme d'indépendance. Et c'est ce à quoi on assiste.Et c'est justement ce que soulignent de très nombreux journalistes et sociétés de journalistes depuis que ce projet de réforme est mis en avant par le gouvernement. Vous avez prononcé tout à l'heure le terme de « dangereux », c'est aussi celui qui est utilisé par de très nombreux journalistes de Radio France qui dénoncent ce matin une fusion qu'ils jugent démagogique, inefficace et dangereuse. L'audiovisuel public est-il effectivement en danger ?Bien sûr. Et d'ailleurs, ça n'est pas un phénomène uniquement français, dans le monde entier, dans toutes les démocraties libérales, l'audiovisuel public est remis en question dans son fonctionnement, avec des critiques et parfois la suppression de la redevance, comme chez nous.La redevance, c'était ce qui finançait l'audiovisuel public avec un budget sanctuarisé. Et ce n'est plus le cas depuis l'année dernière.Ce n'est plus le cas et c'est une des difficultés. Dans la mesure où ce qui avait été envisagé comme moyen de compenser cette fin de la redevance - une fraction de la TVA - va s'arrêter fin 2025, on doit envisager conjointement le maintien d'un financement de l'audiovisuel public et cette fusion. Et de manière assez explicite, le gouvernement et les députés de la majorité font miroiter à l'audiovisuel public un maintien de ce financement à condition qu'ils acceptent la fusion et on voit bien là tout le problème.C'est que dans un premier temps, le financement a été fragilisé avec la fin de la redevance. Et dans un second temps, c'est l'existence même des médias publics, ou en tout cas leur capacité à produire un journalisme de qualité, indépendant du pouvoir, qui est remise en question. Et c'est particulièrement inquiétant. On a vraiment l'impression d'un retour aux années 60-70 et on sait qu'Emmanuel Macron a cette nostalgie des présidents « jupitériens », des présidents qui ont incarné un pouvoir très fort, et notamment le général de Gaulle. Il y a des projets semblables dans d'autres pays, notamment en Europe. Est-ce que ça marche ?Difficilement. À partir du moment où vous n'avez plus un audiovisuel public autonome dans son financement, il est menacé dans son existence et ce phénomène, on y assiste partout. Même la BBC, que l'on considère comme un exemple, a dû accepter des baisses d'effectifs, des baisses de financement. Donc partout, même dans les pays où il subsiste une redevance, la question du financement sur le long terme est menacée.Et on voit que ça s'accompagne de la part de médias privés - et souvent de l'extrême droite - d'une critique très forte à l'égard des médias publics, avec la même critique partout : c'est-à-dire que les médias publics seraient gauchistes, seraient islamistes, seraient « wokistes ». On a vu ça en Hongrie, on a vu ça en Italie et ça vient souvent de l'extrême droite qui se sert ainsi de ces critiques pour installer une atmosphère qui prépare son arrivée au pouvoir. Et ce qu'on voit partout, c'est qu'une fois qu'elle est au pouvoir, l'extrême droite assoit une tutelle totale sur les médias publics.C'est justement quelque chose qui inquiète de très nombreuses personnes, la montée des populismes que l'on observe un peu partout en Europe et qui viendrait s'accentuer, représenter une menace supplémentaire sur un audiovisuel public réuni sous la direction d'une seule personne...Oui, et on a l'impression qu'Emmanuel Macron, malgré lui bien sûr, réalise à sa place l'agenda de l'extrême droite. Parce que l'extrême droite rêve d'avoir un audiovisuel public à sa main, qui serait un outil de propagande sans comparaison possible, d'une efficacité redoutable.Cette fusion, elle sera effective en 2026, l'année précédant l'élection présidentielle. Imaginons qu'un dirigeant d'extrême droite arrive au pouvoir, comme c'est malheureusement envisageable, ça veut dire qu'il y aurait une fusion de l'audiovisuel public, un dirigeant unique qui répondrait de son autorité. Même si sa nomination se fera par l'Arcom, la tutelle sera évidente, et l'extrême droite pourra avoir un outil de propagande à la fois sur les ondes de la radio, sur les fréquences de la télévision, pour diffuser son idéologie. C'est ce qui s'est passé en Hongrie et dans une moindre mesure, c'est ce qui se passe en Italie aujourd'hui.
Les GG oublient toujours qu'elles sont enregistrées pendant les pubs…
Podcast de l'émission radio du mercredi 15 novembre 2023 "Johnny de A à Z" n°528 Le pénitencierAlbum de la semaine : Le pénitencier est le dernier disque de Johnny Hallyday à paraitre sous le format 33 tours 25 cm le 24 octobre..Johnny apparait sur les pochette du EP et du 25cm en tenue militaire, condition sine qua non imposée par les autorités militaires, pour l'autoriser à enregistrer et à sortir des disques durant la période de son service militaire. setlist :Le pénitencierBob Dylan -The House of the Rising SunFrançoise / Tes tendres années - Bercy 95Générique de l'émission (duo H. Salvador, T. Lopez-Age tendre et tête de bois 22.01.64)Toujours plus loinChanter pour ceux qui sont loin de chez eux - avec Montserrat CaballéJohnny en interview avant son départ pour l'armée - Musicorama (15.03.1964)Mais je reviensCliff Richard - I'm the lonely oneLa prison des orphelins - Odyssée Johnny Hallyday par Antoine De CaunesJohnny Reviens - Palais des Sports 1976Johnny en permission 14 juin 1964Ca fait malElvis Presley - It Hurts Me - '68 Comeback SpecialMal - Live at the Palais des Sports 71Tu Es La Fille Du Soleil - PublicitésLe coeur en 2 (version longue)One more time, encore une foisEncore - Bercy 24 septembre 1987Johnny Hallyday Floyd Robinson - T'aimer follement - Makin' love - Duos ImpossiblesJohnny parle des copains - Le monde des copains ORTF (26.06.1964Je te reverraiBillie Holiday - Be Seing YouTe voir grandirLes mauvais garçonsUn Garçon Sur La RouteA plein coeur -Sylvie Vartan- Johnny HallydayPour moi tu es la seule (Version alternative 1964)Johnny 'Guitar" Watson - Sweet Lovin' MamaJohnny en permission au Golf Drouot avec Eddy Mitchell (11.11.1964)La Seule Fille Que J'aimePour moi tu es la seule (Version alternative 1970)Allumer le feu (Symphonique Live à l'Acropolis de Nice / 10 décembre 2022)
Dettifoss. Take a journey into the serene and tranquil environment of Iceland through the sounds of its cascading waterfalls and flowing rivers. During my three-week journey through Iceland in a camper van, I was in awe of the country's breathtaking beauty. I had the chance to capture the natural sounds at several locations, including Dettifoss, Godafoss, Gluggafoss, Dynjandi, Svartifoss, Fjaðrárgljúfur, Thingvellir, Goðafoss, Seljalandsfoss, Glanni, and Haukadalur. Using the Zoom F6 and an ORTF stereo set of Sennheiser MKH 8040, I recorded 49 tracks of the natural ambiance of Iceland's waterfalls and rivers. Recorded by Marcel Gnauk. IMAGE: Superbass, CC BY-SA 3.0 , via Wikimedia Commons Part of the Music for Sleep project - for more information and to hear more sounds from the collection, visit https://citiesandmemory.com/music-for-sleep/
Gluggafoss (Merkjárfoss), Gluggafossavegur, Iceland. During my three-week journey through Iceland in a camper van, I was in awe of the country's breathtaking beauty. I had the chance to capture the natural sounds at several locations, including Dettifoss, Godafoss, Gluggafoss, Dynjandi, Svartifoss, Fjaðrárgljúfur, Thingvellir, Goðafoss, Seljalandsfoss, Glanni, and Haukadalur. Using the Zoom F6 and an ORTF stereo set of Sennheiser MKH 8040, I recorded 49 tracks of the natural ambiance of Iceland's waterfalls and rivers. Recorded by Marcel Gnauk. IMAGE: Anonymous Dissident, CC BY-SA 4.0 , via Wikimedia Commons Part of the Music for Sleep project - for more information and to hear more sounds from the collection, visit https://citiesandmemory.com/music-for-sleep/
Episode 97 Crosscurrents in Elektronische Musik from Germany Playlist Josef Anton Riedl, “Studie 1b, 1a” (1951) from Zeitgenössische Musik In Der Bundesrepublik Deutschland 3 (1950-1960) (1982 Deutscher Musikrat). Early example of German tape composition, categorized as musique concrète as it includes more than purely electronic sounds, but the edited and processed sounds of human voices and instruments (a harp, string bass) as well. But it's the vocal utterances and the way they were edited for effect with unpredictable silences that makes this work stand out for me. Riedl completed this after visiting and hearing musique concrète in France. After that, the Cologne studio came into existence and provided a new means to create electronic music not with microphones, but directly through electronic signals on tape. Riedl switched from making musique concrète to elektronische music. Realization by Riedl in association with the Studio für elektronische Musik des Westdeutschen Rundfunks, Köln (WDR, West German Radio in Cologne). 5:34 Karlheinz Stockhausen, “Étude” (1952) from Elektronische Musik 1952-1960 (1991 Stockhausen Verlag). Realized by Stockhausen during a stay to ORTF, Paris, where he learned the basics of musique concrète, which is how he categorized the piece before working purely electronic music at WDR. 2:56 Karlheinz Stockhausen, “Studie I” (1953) from Elektronische Musik 1952-1960 (1991 Stockhausen Verlag). One of two purely electronic “studies” composed by Stockhausen at the WDR. His serialist approach dictated all aspects of the sound and he composed the works using a graphical approach to depict the shapes and values of the volume, duration, pitch, and timbres of the sound. “Studie I” is among the first works of electronic music composed entirely for sine waves. Although the means for creating “Studie I” are readily available today using computer synthesis, its composition in 1953 required much manual intervention and ingenuity by Stockhausen. “Studie I” was a completely serialized composition in which the composer applied the mathematical analysis of tones and timbres to the way in which he generated, shaped, and edited sounds for a tape composition. With electronic tone generators and tape recorders at his disposal, Stockhausen felt that it was possible to “compose, in the true sense of the word, the timbres in music,” allowing him to synthesize from base elements such as sine waves the structure of a composition, its tone selection, and all of the audio dynamics such as amplitude, attack, duration, and the timbre of the sounds. He approached the composition by first recording a series of electronic tones that met certain pitch and timbral requirements that he prescribed and then using serial techniques to devise an organizational plan that determined the order and duration of the sounds as he edited them together. 9:23 Karlheinz Stockhausen, “Studie II” (1954) from Elektronische Musik 1952-1960 (1991 Stockhausen Verlag). The second of two purely electronic “studies” composed by Stockhausen at the WDR. For “Studie II,” Stockhausen extended his experiments with sine waves begun on “Studie I” by exploring the use of attack and decay characteristics as elements of composition. “Studie II” is one of the first post-war tape works to have a written score, albeit a graphic one in which overlapping translucent geometric shapes are used to denote the occurrence of a tone of a given amplitude in a given frequency with specific attack and decay characteristics. For “Studie II,” Stockhausen defined a set of frequencies based on the same ratio, resulting in an 81-tone scale of tones divided into one-tenth octave steps. The loudness and attack characteristics of the tones were divided into five stages. Tones based on such equal divisions of the frequency spectrum proved to be more harmonic when mixed. Stockhausen recorded short passages of the given tones and spliced them together in a loop that could be played repeatedly. These loops were then played through a reverberation system and then recorded to provide the final material with which the composer worked. Stockhausen's extensive use of reverberation added body and a noise quality to the sounds that embellished the raw sine tones. Using serial techniques to determine how to edit the material together, Stockhausen varied the attack characteristics and then also played some of the sounds backward to create a ramping decay that would abruptly cut off. His application of attack and decay characteristics in five prescribed stages of amplitude resulted in passages that were highly articulated by cascading, irregular rhythms. 2:59 Herbert Eimert, “Fünf Stücke” (1955/56) from Zeitgenössische Musik In Der Bundesrepublik Deutschland 3 (1950-1960) (1982 Deutscher Musikrat). Realization, H. Schütz, Herbert Eimert. Produced in the WDR studios, Cologne. Like Pierre Schaffer in France, Eimert had a background in creating music and sound for radio. He was one of the founding directors of the Cologne studio. Of the works included here, this one is a good example of his serialist approach that incorporated constantly changing combinations of defined sounds. 12:31 Gottfried Michael Koenig, “Klangfiguren II” (1955/56) from Zeitgenössische Musik In Der Bundesrepublik Deutschland 3 (1950-1960) (1982 Deutscher Musikrat). Realization by Gottfried Michael Koenig. Produced in the WDR studios,Cologne. Koenig was with the WDR Studio for ten years from 1954 to 1964. There he experienced the fundamental aspects of creating works with electronic sound devices, most of which had never been intended to make music. His work led him directly to computer music composition in the 1960s. In “Klangfiguren II” “every sound goes through several working steps, and both the original sound and the various intermediate results of the transformation process are heard.” 10:13 Karlheinz Stockhausen, “Gesang Der Jünglinge” (1955/56) from Zeitgenössische Musik In Der Bundesrepublik Deutschland 3 (1950-1960) (1982 Deutscher Musikrat). Realization by Gottfried Michael Koenig, Karlheinz Stockhausen. Produced in the WDR studios, Cologne. “Gesang der Jünglinge” was begun three years before Varèse completed “Poème électronique.” Like the Varèse work, “Gesang der Jünglinge” was produced using a host of electronic music production techniques cultivated earlier at the WDR studios. Stockhausen's approach was to fuse the sonic components of recorded passages of a youth choir with equivalent tones and timbres produced electronically. Stylistically, Stockhausen avoided the choppy, sharply contrasting effects that were so evident in many early magnetic tape pieces, instead weaving his sound sources together into a single, fluid musical element. He practiced his newly formed principles of electronic music composition, setting forth a plan that required the modification of the “speed, length, loudness, softness, density and complexity, the width and narrowness of pitch intervals and differentiations of timbre” in an exact and precise manner. The piece was painstakingly crafted from a visual score specifying the placement of sounds and their dynamic elements over the course of the work 13:03 Hermann Heiss, “Elektronische Komposition 1” (1956) from Zeitgenössische Musik In Der Bundesrepublik Deutschland 3 (1950-1960) (1982 Deutscher Musikrat). Realization by H. Schütz, Hermann Heiss. Produced in the WDR studios,Cologne.One does not often hear the name Heiss in relation to electronic music, although he went on the direct the Studio für Elektronische Komposition at the Kranichstein Music Instutute. At the time of this composition, he was focused on adapting electronic sounds to serial composition, for which he thought they were ideally suited. 5:11 Herbert Eimert, “Selection I” (1959) from Panorama Électronique: Electronic Experimental Music (1968 Limelight). For electronic and concrete sounds. 10:03 Herbert Eimert, “Sechs Studien” from Epitaph Für Aikichi Kuboyama (2005 Creel Pone). “Sechs Studien” was composed 1962 & realized by Leopold von Knobelsdorff and released in 1962 on the Wergo label. For electronic and concrete sounds. Interestingly, Eimert was also branching out with the addition of keyboards and what sounds like a theremin (although it might have been an Ondes martenot). The WDR studio had a keyboard instrument built by Harald Bode in 1953, the Melochord, along with a a Monochard made by Friedrich Trautwein. 17:48 Karlheinz Stockhausen, “Kontakte”(1959-60), parts 1 and 2 from the album Gesang Der Jünglinge / Kontakte (1962 Deutsche Grammophon). Composed and realized by Karlheinz Stockhausen. Produced in the WDR studios,Cologne. This work was adapted for phonograph from a 4-track original tape composition. Given that the album could only hold about 25 minutes of sound per side, they divided this piece in two and presented it as parts 1 and 2. I've joined the two parts together for the podcast. Note the experiments in sound movement between the speakers, a facet of electronic music about which Stockhausen was captivated. Around this time, he began using contraptions invented for the Cologne studio that would, for example, rotate a loudspeaker in space from which fixed microphones could pick up fluctuating signals based on the frequency of the speaker rotation. He would eventually use this same technique with live performances and 4 or more speakers to enable the sound to, in effect, rotate around the audience. By the time her wrote the liner notes for this recoding in 1962, he had “publicly performed” the work “more than thirty times in all large European cities as well as in Canada, the USA, and Brazil, and broadcast by most radio stations in both versions” (stereo and radio mixes). Stockhausen's sound palette had also grown more sophisticated by this point and contained many seemingly organic elements that stood out from the earlier, purely electronic music output of the WDR. It is also one of his last electronic works to exploit “total serialism” in which he painstakingly composed around the parameters of sound to “bring all properties” such as timbre, pitch, intensity, and duration under a single control." In 1981, music scholar David Toop looked back on this work and noted that Kontakte was really the culmination of Stockhausen's attempts to apply serialism technique to electronic music and succeeded only at the broadest level. Many other composers by this time had discovered that the fundamental nature of electronic music was to deal with the basic elements of sound and calling it serialism seemed quite meaningless. After all, the structures and tonalities were only as interesting as the listener found them to be. In his case, Stockhausen's uniquely vibrant and organic music, tinged with introspection and shocking contrasts, provided an emotional impact that serialism had never intended. Don't miss hearing the sequence beginning around 17 minutes in that presents a sequence of pulsing electronic tones that are sped up, at first, to sound like a smooth waveform but then lowered in frequency so that you hear the component particles and beats that comprise the faster tone. This was quite a trick using tape manipulation, probably requiring several playbacks of the sound at different speeds and then some eloquent mixing to join the pieces together. 34:33 Mauricio Kagel, “Transicion I” (1958) from Panorama Électronique: Electronic Experimental Music (1968 Limelight). This is one of several reissues of the work that was originally released by Philips (who owned Limelight, its US label). I have several versions of this work and this was in the best shape. Realization by Gottfried Michael Koenig, Mauricio Kagel. Produced in the WDR studios, Cologne. “Transicion I” for electronic sounds (1958) was composed when Kagel first traveled to Cologne, where he remained for the rest of his career. Clearly influenced by the Cologne school of serialism, “Transicion II” was characterized by an exploration of the many aural possibilities of his sound sources set to an arrhythmic, seemingly formless sequence of sonic exclamations without pattern. These works were similar in effect to some of Stockhausen's instrumental pieces of the same period, but radically different from the German's evolving approach to methodical tape composition. 12:49 Opening background music: Four short sections of “Kontakte” (1959-60) from Elektronische Musik 1952-1960 (1991 Stockhausen Verlag). These are not presented in their original order, but comprise Struktur parts 11, 12, 13a and 13b. the CD release on Stockhausen Verlag presents “Kontakte” not a one uniform track but as a set of parts originally created and edited together by Stockhausen. Opening and closing sequences voiced by Anne Benkovitz. Additional opening, closing, and other incidental music by Thom Holmes. See my companion blog that I write for the Bob Moog Foundation. For additional notes, please see my blog, Noise and Notations.
Many thanks to SRAA contributor, Dan Greenall, who shares the following recording and notes:Broadcaster: ORTF Paris France 1970Date of recording: 1970Frequency: 9.620 MHzReception location: Ancaster, Ontario, CanadaReceiver and antenna: Hallicrafters S-52 using a longwire antennaNotes: Here is the interval signal of the ORTF in Paris, France circa 1970. In my early days of shortwave listening, their nice clear French language announcement was good practice prior to tackling weaker African signals in the often static ridden tropical bands.
Dans cette 31ème chronique (non officielle), on parle de comment la Chine est en train de créer une ORTF mondiale et j’en profite pour dire au revoir aux abonné.e.s d’@si S’abonner à la gazette d’ApresLaBiere, c’est faire un pas vers l’indépendance aux algos de recommandation divers et variés : http://eepurl.com/dnS6WD Le Tipee d’ApresLaBiere : https://fr.tipeee.com/apreslabiere […]
Bienvenue sur le podcast "En quête de l'Histoire" ! Le décès de mon père, le Hirak, l'instrumentalisation de l'Histoire de l'Algérie, les débats sur les questions d'identité, l'islam, mais aussi le voile m'ont poussé à m'interroger sur l'Histoire de l'Algérie. Et, j'ai dû faire face à un constat évident, je ne savais pas grand chose de cette histoire. "En quête de l'Histoire" est né de ma passion pour l'histoire, le podcast et l'Algérie. Ce que je vous propose de découvrir avec moi, c'est : Qu'est-ce que l'Algérie ? Qui est son peuple dans et hors de ses frontières ? Qui sont ses personnages marquants ? Quels sont ses rapports avec la France et au-delà ? Un podcast créé par Sherazade A. Musiques utilisées : Instrumentale Tonton du bled, 113 ; produit par DJ Mehdi 1999 Haremt ahebak ; Warda El Djazairia ; 1992 One, two, three viva l'Algérie ; par Medi Meyz Groupe Palermo ; 2019 Extraits utilisés : 20h, antenne 2, présenté par Daniel Bilalian ; 9 octobre 1988 Reda Seddiki, Vendredi est une fête, Un film de Samir Ardjoum, Ager Oueslati ; 2019 Gisele Halimi, Aujourd'hui Madame, ORTF ; 08 janvier 1974 Charles de Gaulle, Discours du Forum d'Alger ; 4 juin 1958 Eric Zemmour, France Inter, Lea Salamé
In a peripheral area of Sao Paulo (Perus), Alessandro is one of the sellers from the "Tigueis Banana" stand. At the end of the market, the prices are low and he has to scream to sell all the banana before the end of the street market. Recorded by an ORTF setup Schoeps CCM4 on a Cinela ORTF suspension and a DIY Windscreen on a Sound Devices MixPre6 in Wave 96Khz 24bit GPS: -23.407617, -46.757858 Sound Ref: BR-220603-03 Recorded on 3rd of June 2022 at 3pm
"The Truth Is Marching In" Albert Ayler: Live In Greenwich Village. The Complete Impulse Recordings (Impulse! Rec. 1966 - 1967) Albert Ayler, Don Ayler, Michael Sampson, Bill Folwell, Henry Grimes, Beaver Harris. El tema es una composición de Albert Ayler. ¿Sabías que? Aunque el disco en el que se incluye "The Truth Is Marching In" tiene el título Live In Greenwich Village. The Complete Impulse Recordings recoge las grabaciones al completo con los distintos discos en directo de Albert Ayler que Impulse! fue publicando a lo largo de su historia: Albert Ayler In Greenwich Village, The Village Concerts y The New Wave In Jazz. Este doble CD incluía únicamente un tema inédito. "The Truth Is Marching In" es uno de los temas míticos de Albert Ayler. Uno de los motivos es que fue uno de los temas que interpretó en directo en el funeral de John Coltrane. En la lujosa caja de Revenant de diez CD titulada Holy Ghost: Rare & Unissued Recordings (1962–70) se puede escuchar esa versión. Albert Ayler ha sido uno de los protagonistas del Record Store Day de abril de 2022 gracias a la edición del fantástico Revelations. The complete ORTF recordings (Elemental Music, 2022). En el disco hay más de dos horas de material inédito, de primerísima calidad. En breve, lo repasaremos a fondo en Tomajazz. © Pachi Tapiz, 2022 En anteriores episodios de JazzX5/HDO/LODLMA/Maltidos Jazztardos/Tomajazz Remembers… https://www.tomajazz.com/web/?p=62338 https://www.tomajazz.com/web/?p=31329 Más información sobre Albert Ayler https://www.ayler.co.uk/ https://www.tomajazz.com/web/?tag=albert-ayler Más información sobre JazzX5 JazzX5 es un minipodcast de HDO de la Factoría Tomajazz presentado, editado y producido por Pachi Tapiz. JazzX5 comenzó su andadura el 24 de junio de 2019. Todas las entregas de JazzX5 están disponibles en https://www.tomajazz.com/web/?cat=23120 / https://www.ivoox.com/jazzx5_bk_list_642835_1.html. Las sugerencias, quejas, felicitaciones, opiniones y el contacto en general en jazzx5 @ tomajazz.com También por WhatsApp en el teléfono de contacto. JazzX5 y los podcast de Tomajazz en Telegram En Tomajazz hemos abierto un canal de Telegram para que estés al tanto, al instante, de los nuevos podcast. Puedes suscribirte en https://t.me/TomajazzPodcast. Pachi Tapiz en Tomajazz https://www.tomajazz.com/web/?cat=17847
La concentración de los medios de comunicación en Francia, se ha convertido en uno de los temas más controvertidos en vísperas de las presidenciales. No solo porque podría pesar significativamente en los resultados de abril próximo, sino porque también representa un peligro durable para la democracia. La concentración de los medios de comunicación en pocas manos no es nueva, en Francia es un fenómeno que ya ocurrió a fines de siglo XVIII como explica a RFI Alexis Lévrier historiador de la prensa, docente en la Universidad de Reims y autor del libro: “El poder presidencial frente a la prensa”: "Es un fenómeno que existe desde hace tiempo y que tiende a acelerarse de manera particularmente brutal, a partir de la crisis del coronavirus. Marcada por el retiro de dos grandes actores: el alemán Bertelsmann que dejó el mercado francés y el grupo Lagardère que tuvo que ceder buena parte al grupo Bolloré. No es algo nuevo, pero se ha acelerado brutalmente, además surge en un contexto de elección presidencial. Todo el equilibrio del paisaje mediático se ve modificado en plena campaña electoral. Es algo nuevo e inquietante porque nunca hemos conocido algo equivalente." Inquieta por esta situación 'Reporteros sin Fronteras', la ONG que regularmente condena las violencias contra los periodistas en México o Arabia Saudita, ha optado por denunciar también lo que ocurre en Francia. Christophe Deloire secretario general de RSF, explica la particularidad del caso francés en la radio pública. "Lo que constituye una especificidad francesa, es que los consorcios mediáticos están en manos de grupos industriales u hombres de negocios, que tienen otros intereses; que son mucho más importantes que los de los medios. Eso crea conflictos de intereses, porque pueden primar lógicas de influencia o de “sobre todo no perturbar el resto de los negocios”. Y eso pesa sobre la independencia de la información. En Europa hay países con gran concentración de medios, pero muy bien situados en la clasificación de la libertad de prensa que publicamos regularmente… Noruega en primer lugar, Países Bajos…. Francia está en el 34 lugar de 180 países." Alexis Lévrier compara al controvertido industrial francés Vincent Bolloré, dueño de un consorcio de prensa en plena expansión, con Rupert Murdoch, el magnate australiano de la comunicación, capaz de derrocar gobiernos. Destacando su capacidad para propulsar a Eric Zemmour, candidato de extrema derecha a las presidenciales, gracias a su potencia mediática. Bajo el fuego de las críticas, los magnates de la prensa francesa han buscado posicionarse como modestos David que buscan hacer frente a los Goliat de las GAFAM. Un argumento que no convence a los especialistas que estiman que esos eventuales campeones nacionales jamás tendrán la envergadura suficiente para afrontar a gigantes multinacionales como Google, por ejemplo. Los especialistas se inclinan más bien por aplicar una regulación eficaz a nivel europeo. Jean Batiste Rivoire, periodista, gran reportero y autor del libro “El Elíseo y los Oligarcas contra la información” lamenta la pluralidad perdida: " Teníamos varias cadenas públicas, Canal Plus y cadenas privadas. Antes de Bollaré, Canal hacía reportajes de investigación, documentales… y había una emulación con el servicio público. Pero cuando Bolloré acabó con el periodismo de investigación en Canal Plus en 2015, France Televisión se convirtió en monopolio. Y lo que agravó las cosas fue que en 2019 la presidenta de France Televisión, Delphine Ernot, implantó una oficina única para todos los documentales de los diferentes canales. La televisón publica ha vuelto a concentrarse como en la época de la ORTF, y como es prácticamente el único espacio que difunde investigaciones periodísticas sobre temas políticos y económicos; es uno monopolio tal, que hace que hoy día en Francia, los realizadores se autocensuran y no abordan "temas sensibles". Además de ser regularmente abordado y debatido en la prensa, el problema ha llegado a preocupar hasta en las más altas esferas, recientemente una comisión senatorial, pidió audicionar a los principales patrones de los grupos de prensa, estimando que es urgente abordar el tema como lo expresó David Assouline, senador socialista y presidente de la Comisión de Investigación: "Nuestra Comisión de investigación busca poner de relieve la realidad del panorama audiovisual y de la prensa en nuestro país. Incluído el fenómeno de concentración que se haya en curso, para entender su motivación y analizar el impacto que puede tener en el sector económico. Pero sobre todo, en el ejercicio de la democracia, del pluralismo, la libertad e independencia de los medios de comunicación. Que son principios inscritos en nuestra Constitución." Entrevistados : Benoît Hervieu-Léger periodista y docente de la Facultad de Ciencias Políticas de Poitier, Alexis Lévrier historiador de la prensa, docente en la Universidad de Reims y autor del libro: “El poder presidencial frente a la prensa”, Jean Batiste Rivoire, periodista, gran reportero y autor del libro “El Elíseo y los Oligarcas contra la información”. Audios de: David Assouline, senador socialista, presidente de la Comisión de Investigación y Vincent Bolloré, industrial, hombre de negocios francés y presidente del grupo Bolloré.
La concentración de los medios de comunicación en Francia, se ha convertido en uno de los temas más controvertidos en vísperas de las presidenciales. No solo porque podría pesar significativamente en los resultados de abril próximo, sino porque también representa un peligro durable para la democracia. La concentración de los medios de comunicación en pocas manos no es nueva, en Francia es un fenómeno que ya ocurrió a fines de siglo XVIII como explica a RFI Alexis Lévrier historiador de la prensa, docente en la Universidad de Reims y autor del libro: “El poder presidencial frente a la prensa”: "Es un fenómeno que existe desde hace tiempo y que tiende a acelerarse de manera particularmente brutal, a partir de la crisis del coronavirus. Marcada por el retiro de dos grandes actores: el alemán Bertelsmann que dejó el mercado francés y el grupo Lagardère que tuvo que ceder buena parte al grupo Bolloré. No es algo nuevo, pero se ha acelerado brutalmente, además surge en un contexto de elección presidencial. Todo el equilibrio del paisaje mediático se ve modificado en plena campaña electoral. Es algo nuevo e inquietante porque nunca hemos conocido algo equivalente." Inquieta por esta situación 'Reporteros sin Fronteras', la ONG que regularmente condena las violencias contra los periodistas en México o Arabia Saudita, ha optado por denunciar también lo que ocurre en Francia. Christophe Deloire secretario general de RSF, explica la particularidad del caso francés en la radio pública. "Lo que constituye una especificidad francesa, es que los consorcios mediáticos están en manos de grupos industriales u hombres de negocios, que tienen otros intereses; que son mucho más importantes que los de los medios. Eso crea conflictos de intereses, porque pueden primar lógicas de influencia o de “sobre todo no perturbar el resto de los negocios”. Y eso pesa sobre la independencia de la información. En Europa hay países con gran concentración de medios, pero muy bien situados en la clasificación de la libertad de prensa que publicamos regularmente… Noruega en primer lugar, Países Bajos…. Francia está en el 34 lugar de 180 países." Alexis Lévrier compara al controvertido industrial francés Vincent Bolloré, dueño de un consorcio de prensa en plena expansión, con Rupert Murdoch, el magnate australiano de la comunicación, capaz de derrocar gobiernos. Destacando su capacidad para propulsar a Eric Zemmour, candidato de extrema derecha a las presidenciales, gracias a su potencia mediática. Bajo el fuego de las críticas, los magnates de la prensa francesa han buscado posicionarse como modestos David que buscan hacer frente a los Goliat de las GAFAM. Un argumento que no convence a los especialistas que estiman que esos eventuales campeones nacionales jamás tendrán la envergadura suficiente para afrontar a gigantes multinacionales como Google, por ejemplo. Los especialistas se inclinan más bien por aplicar una regulación eficaz a nivel europeo. Jean Batiste Rivoire, periodista, gran reportero y autor del libro “El Elíseo y los Oligarcas contra la información” lamenta la pluralidad perdida: " Teníamos varias cadenas públicas, Canal Plus y cadenas privadas. Antes de Bollaré, Canal hacía reportajes de investigación, documentales… y había una emulación con el servicio público. Pero cuando Bolloré acabó con el periodismo de investigación en Canal Plus en 2015, France Televisión se convirtió en monopolio. Y lo que agravó las cosas fue que en 2019 la presidenta de France Televisión, Delphine Ernot, implantó una oficina única para todos los documentales de los diferentes canales. La televisón publica ha vuelto a concentrarse como en la época de la ORTF, y como es prácticamente el único espacio que difunde investigaciones periodísticas sobre temas políticos y económicos; es uno monopolio tal, que hace que hoy día en Francia, los realizadores se autocensuran y no abordan "temas sensibles". Además de ser regularmente abordado y debatido en la prensa, el problema ha llegado a preocupar hasta en las más altas esferas, recientemente una comisión senatorial, pidió audicionar a los principales patrones de los grupos de prensa, estimando que es urgente abordar el tema como lo expresó David Assouline, senador socialista y presidente de la Comisión de Investigación: "Nuestra Comisión de investigación busca poner de relieve la realidad del panorama audiovisual y de la prensa en nuestro país. Incluído el fenómeno de concentración que se haya en curso, para entender su motivación y analizar el impacto que puede tener en el sector económico. Pero sobre todo, en el ejercicio de la democracia, del pluralismo, la libertad e independencia de los medios de comunicación. Que son principios inscritos en nuestra Constitución." Entrevistados : Benoît Hervieu-Léger periodista y docente de la Facultad de Ciencias Políticas de Poitier, Alexis Lévrier historiador de la prensa, docente en la Universidad de Reims y autor del libro: “El poder presidencial frente a la prensa”, Jean Batiste Rivoire, periodista, gran reportero y autor del libro “El Elíseo y los Oligarcas contra la información”. Audios de: David Assouline, senador socialista, presidente de la Comisión de Investigación y Vincent Bolloré, industrial, hombre de negocios francés y presidente del grupo Bolloré.
Eduardo Gudiño Kieffer (Esperanza, 2 de noviembre de 1935 - Buenos Aires, 20 de septiembre de 2002), fue un escritor y periodista argentino, hijo de maestros y descendiente de una de las familias fundadoras de Esperanza (Santa Fe), estudió en el Liceo Militar de Santa Fe y Derecho en la Universidad Nacional del Litoral. En 1965, recibió la beca Stage en la ORTF, (París) otorgada por el gobierno francés. En 1967, la distinción fue del Fondo Nacional de las Artes, también con una beca. Vivió en París —donde fue amigo de Julio Cortázar y Nicolás García Uriburu— y se estableció en Buenos Aires a fines de los años 60. Su trayectoria incluye los premios: Affinités por cuento, 1957. Faja de Honor de la S.A.D.E. (Sociedad Argentina de Escritores) Pluma de Plata del PEN Club. Premio Konex - Diploma al Mérito 1984. Premio Literario del Instituto Griego de Cultura, 1988 - Club de los 13, Sigfrido Radaelli, 1998. Primer Premio Municipal de Novela, 1998. Premio Esteban Echeverría, 1999, entre muchos otros. En 1993 fue director del Fondo Nacional de las Artes. Traductor del francés al español. Ejerció la actividad publicitaria y periodística, fue un importante colaborador de los diarios y revistas más importantes del país: La Nación, La Prensa, Editorial Abril, Editorial Atlántida y muchos más publicaron sus artículos. Fue un escritor muy convocado como jurado de diferentes premios (Planeta, Konex, La Nación, Emecé, Nacional de la República Argentina, Municipal de la Ciudad de Buenos Aires, y otros). Participó en conferencias y congresos literarios en distintos países. Muchas de sus obras fueron traducidas a diversos idiomas (inglés, francés, griego, italiano, húngaro y otros). En agosto del 2001, la Legislatura de la Ciudad de Buenos Aires lo distinguió como Ciudadano Ilustre. Se postuló en las elecciones de 1987 como segundo candidato a diputado nacional y en 1989 como candidato a diputado por el partido Demócrata Progresista. Se casó en 1965 con Beatriz Trento, tuvieron tres hijos: Florencio, Nicolás y Agustín. Por vía materna está emparentado con el artista plástico Sebastián Spreng. (Fuente: Wikipedia)
Nous sommes le 5 janvier 1975, à Paris. Au 116 avenue du président Kennedy, dans le 16e arrondissement, on s'active. Sur la façade, les ouvriers s'appliquent à enlever, une par une, les lettres qui, réunies, forment un mastodonte qu'on a préféré dissoudre car devenu ingérable : l'Office de Radiodiffusion Télévision Française, couramment appelé ORTF. O.R.T.F, 4 lettres qui symbolisaient la toute puissante télévision française. L'aventure aura duré une dizaine d'années, durant lesquelles la télé aura accompagné la société, devenant un élément central de la vie des français. Ce soir, "Jour J" vous emmène au temps où la télévision était un gros poste, placé en majesté dans les foyers qui avaient les moyens de le posséder. Notre invité sera Philippe Thuillier, producteur, auteur du documentaire "ORTF : Ils ont inventé la télé" et "La télé des années 70, quand Giscard était président".
Train passing close by, at a few meters, during the night. A mile from Seminole Rest. Recorded by an ORTF, 2 x Schoeps CCM4 in a Cinela suspension on a Sound Devices MixPre6 Original recording in Wave 96kHz 24bit Done during a residency at ACA Soundscape Fieldstation at Canaveral National Seashore in December 2021 GPS : 28.867561, -80.856406 Sound Ref : FL-211216-010
Seminole Rest, Florida. A train is passing by at a distance. Recorded by an ORTF, 2 x Schoeps CCM4 in a Cinela suspension on a Sound Devices MixPre6 Original recording in Wave 96kHz 24bit Done during a residency at ACA Soundscape Fieldstation at Canaveral National Seashore in December 2021 GPS : 28.870238, -80.837478 Sound Ref : FL-211216-009
Toad close to the lagoon at night at Seminole Rest, part of the Canaveral National Seashore. Recorded by an ORTF, 2 x Schoeps CCM4 in a Cinela suspension on a Sound Devices MixPre6 Original recording in Wave 96kHz 24bit Done during a residency at ACA Soundscape Fieldstation at Canaveral National Seashore in December 2021 GPS : 28.869592, -80.837176 Sound Ref : FL-211216-06
Face au magazine de société "Envoyé spécial" sur France 2, au magazine culturel "ORTF, ils ont inventé la télévision" sur France 3 et à l'émission culinaire "Le meilleur pâtissier" sur M6, c'est TF1 qui se hisse en tête des audiences de ce jeudi soir grâce à la série judiciaire "Munch".
À l'occasion de la Fête de la radio, on se plonge au cœur de la mémoire des ondes, dans un lieu à nul autre pareil: le Centre de Conservation des Archives de l'Institut National de l'Audiovisuel (INA). Situés en vallée de Chevreuse, au milieu des champs de colza et des grandes plaines des Yvelines, les lieux ressemblent à s'y méprendre à une base secrète, où derrière de hauts grillages, se jouent de folles inventions, voire le destin du monde. Quand on a la chance d'y pénétrer, c'est un peu ce que l'on découvre ou presque, à la découverte de millions d'archives audiovisuelles, mais surtout de techniciens et d'agents de conservation inventifs, passionnés de vieilles bandes et d'archives, qui inventorient, nettoient et restaurent ce trésor de la radio et de la télévision publiques françaises, l'un des plus vieux et plus riches fonds d'archives au monde. Là, sur 8 hectares, se déploient près d'une vingtaine de hangars truffés du sol au plafond de bandes magnétiques, de vieux films, de disques 78 tours ou de cassettes, témoignages d'un temps où la mémoire prenait de la place et où la radio s'appelait Poste colonial, RTF ou encore ORTF, jusqu'à se dire libre après la libéralisation des ondes en 1981. En parallèle du vaste plan de numérisation et de sauvegarde lancé par l'INA, ici, on veille encore jalousement sur ces supports physiques, témoins fragiles et uniques du siècle passé. En tout, près de 3 millions de supports y sont conservés sur près de 14 000 m2 de magasins: un dédale bien organisé, climatisé à 12 ou 18 degrés, où se raconte aussi l'histoire de la radio. Un reportage de Céline Develay-Mazurelle à l'occasion des 100 ans de la radio. Liens utiles: - Pour voyager à travers les archives numérisées sur le site de l'INA - Pour visionner la mini-série documentaire « Bonnes Ondes » réalisée par l'INA sur la radio, machine à émotions - Pour en savoir plus sur la 1e édition de la Fête de la radio qui se déroule du 31 mai au 6 juin 2021.
C'est peu de dire que les série TV sont à la mode. On à peut être oublier un peu vite que depuis des décennie ce genre de productions existent et que la télévision française en produisait déjà de nombreuses en son temps.L'éditeur de DVD Elephant films, spécialisé dans la réédition, exhumes une curiosité du milieux des année 70, La juive du château Trompette.Initialement diffusée sur la 3e chaine de l'ORTF, cette mini série de six épisodes de 52 minutes, narre les aventures et mésaventures de Sarah, belle jeune femme juive qui vit dans la riche demeure de son vieil oncle Samuel, à Bordeaux.Nous somme en 1782, et la situation des juifs de Bordeaux n'est pas très simple ; entre relative protection des autorités et préjugés antisémite.
C'est peu de dire que les série TV sont à la mode. On à peut être oublier un peu vite que depuis des décennie ce genre de productions existent et que la télévision française en produisait déjà de nombreuses en son temps.L'éditeur de DVD Elephant films, spécialisé dans la réédition, exhumes une curiosité du milieux des année 70, La juive du château Trompette.Initialement diffusée sur la 3e chaine de l'ORTF, cette mini série de six épisodes de 52 minutes, narre les aventures et mésaventures de Sarah, belle jeune femme juive qui vit dans la riche demeure de son vieil oncle Samuel, à Bordeaux.Nous somme en 1782, et la situation des juifs de Bordeaux n'est pas très simple ; entre relative protection des autorités et préjugés antisémite.
V tejto nahrávke nájdeš nepriame sugescie a metafory, určené na zmiernenie trémy a strachu z komunikácie. Či už ťa čaká prezentácia, alebo chceš zlepšiť svoje pocity pri bežných rozhovoroch, táto nahrávka ti pomôže. Audio v nahrávke - Zvuky dažďa v noci (Superlux, ORTF, Ivanka pri Dunaji)
Memorias de la Fundación: Joaquín Soriano entrevistado por Íñigo Alfonso. El pianista Joaquín Soriano (Corbón del Sil, 1941) estudió en los conservatorios de Valencia, con Leopoldo Magenti, y de París con Vlado Perlemuter y Marcelle Heuclin. En Viena, becado por la Fundación Juan March, estudia con Alfred Brendel. Su carrera internacional comienza cuando, en 1965, obtiene el primer premio absoluto en el Concurso Internacional de Vercelli (Italia). A este galardón le siguen los premios internacionales de Jaén, Casella (Nápoles) y Pozzoli (Milán). Ha actuado en las principales capitales de Europa y América, ha hecho giras por la URSS y Asia, y ha sido solista con orquestas como la ONE y la ORTVE, la ORTF de París, la RAI italiana, la Hallé de Manchester, la Sinfónica Brasileña, la del Estado y de la Universidad de México, la Royal Philharmonic y la London Symphony, entre otras. Fue catedrático de piano del Conservatorio de Madrid desde 1972. Ha recibido la Medalla de Oro de las Artes, la Orden Francesa de las Artes y las Letras y la Medalla de la Ciudad de París. La República de Lituania le ha otorgado el título de la Orden Oficial del mérito. Es miembro de la Academia de Bellas Artes de San Fernando y del Instituto de España. Ha sido director artístico del Concurso Internacional de Piano José Iturbi de Valencia. Desde 2009 es vicepresidente de la Fundación Eutherpe. Explore en www.march.es/conferencias/anteriores el archivo completo de Conferencias en la Fundación Juan March: casi 3.000 conferencias, disponibles en audio, impartidas desde 1975.
Welcome to the Ad Read podcast, a podcast where we read ads.Disclaimer: Any references to products/companies real or fake reflect our opinion alone and not the opinion of the companies in question. This is especially true of the fake companies, who can be real assholes about this sort of thing.Content Warning: This show is built from disturbing situations, violence, swearing and a healthy mocking of capitalism. While our intention is satire, any portrayal of unspeakable evil, abuse, neglect and general darkness can still be triggering for people who have experienced those things themselves. If this is you, we support you, but you may not want to listen to our show.Subscribe to Ad Read in these places:Apple | Spotify | Amazon | Stitcher | TuneIn | Google | AndroidSubscribe to our newsletter, too.Rankus joins Lord Cummington during the filming of the noble man's new show: Lord Cumming Man's Safari Hunt with Lord Cummington, and the two adventurers come across a shocking discovery.Check out these credits:CastRankus/Lord Cummington: Jon Robertson (he/him)WritersThis episode was written by Jon RobertsonSound Editing by Kendon LuscherSoundtrack by Kendon LuscherAd Read Logo by Sammy (twitter).Sound EffectsSonniss:Studio 23 LTD - S23_SFX_Footsteps_Gravel_Loafers_Loops_Walk_NormalDawid Moro - ambient Norway Nyksund shore waves hitting rocks close perspective stereo ORTF 8040
Eduardo Gudiño Kieffer, fue un escritor y periodista argentino. Hijo de maestros y descendiente de una de las familias fundadoras de Esperanza, estudió en el Liceo Militar de Santa Fe y Derecho en la Universidad Nacional del Litoral. En 1965, recibió la beca Stage en la ORTF, otorgada por el gobierno francés
Early morning on Alma Bridge, recorded in ORTF stereo.
A Sunday afternoon at the Los Gatos Creek dog park, recorded in ORTF stereo.
Eduardo Gudiño Kieffer (Esperanza, 2 de noviembre de 1935 - Buenos Aires, 20 de septiembre de 2002), fue un escritor y periodista argentino. Hijo de maestros y descendiente de una de las familias fundadoras de Esperanza (Santa Fe), estudió en el Liceo Militar de Santa Fe y Derecho en la Universidad Nacional del Litoral. En 1965, recibió la beca Stage en la ORTF, (París) otorgada por el gobierno francés. En 1967, la distinción fue del Fondo Nacional de las Artes, también con una beca. Vivió en París —donde fue amigo de Julio Cortázar y Nicolás García Uriburu— y se estableció en Buenos Aires a fines de los años 60. Su trayectoria incluye los premios: Affinités por cuento, 1957. Faja de Honor de la S.A.D.E. (Sociedad Argentina de Escritores) Pluma de Plata del PEN Club. Premio Konex - Diploma al Mérito 1984. Premio Literario del Instituto Griego de Cultura, 1988 - Club de los 13, Sigfrido Radaelli, 1998. Primer Premio Municipal de Novela, 1998. Premio Esteban Echeverría, 1999, entre muchos otros. En 1993 fue director del Fondo Nacional de las Artes. Traductor del francés al español. Ejerció la actividad publicitaria y periodística, fue un importante colaborador de los diarios y revistas más importantes del país: La Nación, La Prensa, Editorial Abril, Editorial Atlántida y muchos más publicaron sus artículos. Fue un escritor muy convocado como jurado de diferentes premios (Planeta, Konex, La Nación, Emecé, Nacional de la República Argentina, Municipal de la Ciudad de Buenos Aires, y otros).1 Participó en conferencias y congresos literarios en distintos países. Muchas de sus obras fueron traducidas a diversos idiomas (inglés, francés, griego, italiano, húngaro y otros)1 En agosto del 2001, la Legislatura de la Ciudad de Buenos Aires lo distinguió como Ciudadano Ilustre.1
Le 5 janvier 2021, nous fêtons les 50 ans de FIP. La station, créée le 5 janvier 1971 à 17h, est aujourd’hui une radio du service public à programmation exclusivement nationale depuis la fermeture des trois dernières antennes locales le 18 décembre 2020 à 19h. Pour raconter l’histoire de cette radio, Fañch Langoët (Radio Fañch) est l'invité de cet épisode hors série Des Ondes Vocast Roland Dhordain, directeur de la radio-diffusion de l’ORTF, est à l’initiative de la création de FIP. Il fait appel à Jean Garretto et Pierre Codou, deux producteurs de France Inter, pour créer une antenne de service. Fip 514 - France Inter Paris diffusée sur 514 m (585 kHz) en onde moyenne à Paris et sur 90,35 MHz en décrochage FM - est vouée à être une radio pour les parisiens. Le programme est conçu pour les aider à “mieux vivre”, pour accompagner les automobilistes bloqués dans les embouteillages parisiens notamment. La programmation musicale mêle tous les genres de musique ; elle est pensée pour accompagner l'auditoire durant le travail ou le trajet en voiture. Les interventions au micro sont très courtes, les enchaînements musicaux sont réfléchis pour ne pas perturber le fil musical. Particularités de FIP : '60 minutes de musique par heure' et surtout le recours exclusivement à une animation féminine. Kriss Graffiti, qui était l'animatrice de l'Oreille en coin sur France Inter le week end, est au micro pour le pilote du projet le 21 décembre 1970. Parmi les premières fipettes les plus connues, on peut aussi relever Simone Hérault, la “voix de la SNCF”, qui a été animatrice à partir de 1972 jusqu'en 2001. Relevons également Marie-Martine Bisson, celle qui a été la première à parler sur FIP. Peu de temps après sa création, le concept de FIP va être décliné un peu partout en France : en 1972 sont lancées FIB (FIP Bordeaux), FIM (FIP Marseille), FIL (FIP Lille, FIP Lyon, FIP Lorraine), FIR à Reims… Le même programme musical est diffusé, seules les interventions au micro sont différentes selon les locales. Les fipettes aux quatre coins de la France relaient ainsi les actualités culturelles de la région notamment. Pourtant à la fin des années 80, les antennes locales sont petit à petit fermées. Et surtout après 'le plan bleu' en 2000, on ne retrouve plus que 3 antennes locales de FIP : à Nantes/Saint Nazaire, Bordeaux/Arcachon, et Strasbourg. Bien que ces dernières réalisaient toujours des scores très honorables (6.5% d’audience cumulée sur 2019-2020 à Saint Nazaire et 4.3% à Nantes, près de 5% à Arcachon et Bordeaux, 5.3% à Strasbourg sur la saison 2019-2020), les antennes locales ont été défintivement fermées le vendredi 18 décembre 2020 à 19h. Pour ses 50 ans, FIP a ainsi tout d'une grande radio nationale. Elle est d'ailleurs autorisée à diffuser sur le DAB+ métropolitain et apparaît dans le classement de la 126 000 Médiamétrie (mesure de l’audience sur le plan national) aux alentours de 1% depuis la vague de septembre-octobre 2019. Extraits : 1- Interview de Roland Dhordain sur la naissance de FIP 514 (Inter actualités 13h, 5 janvier 1971) - Source : INA 2- Kriss au micro pour le pilote - Source : INA 3- Extrait avec la fipette Marie-Martine Bisson - Source : Youtube 4- Il est 10h sur FIT (France Inter Toulouse, 1975) - Source : Schoop 5- Les dernières interventions au micro depuis FIP Bordeaux, FIP Nantes et FIP Strasbourg, le 18 décembre 2020 vers 18h50 Retrouvez en exclusivité les derniers instants de FIP Nantes, FIP Bordeaux, et FIP Strasbourg (piges du 18 décembre 2020, de 18h à 19h) Animation / réalisation : Anthony Gourraud Intervenant : Fañch Langoët Crédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars') Voix off : Estelle Hubert Contact Par mail : contact@vocast.fr Twitter : @AnthonyGourraud
Le 5 janvier 2021, nous fêtons les 50 ans de FIP. La station, créée le 5 janvier 1971 à 17h, est aujourd’hui une radio du service public à programmation exclusivement nationale depuis la fermeture des trois dernières antennes locales le 18 décembre 2020 à 19h. Pour raconter l’histoire de cette radio, Fañch Langoët (Radio Fañch [http://radiofanch.blogspot.com/]) est l'invité de cet épisode hors série Des Ondes VocastRoland Dhordain, directeur de la radio-diffusion de l’ORTF, est à l’initiative de la création de FIP. Il fait appel à Jean Garretto et Pierre Codou, deux producteurs de France Inter, pour créer une antenne de service. Fip 514 - France Inter Paris diffusée sur 514 m (585 kHz) en onde moyenne à Paris et sur 90,35 MHz en décrochage FM - est vouée à être une radio pour les parisiens. Le programme est conçu pour les aider à “mieux vivre”, pour accompagner les automobilistes bloqués dans les embouteillages parisiens notamment. La programmation musicale mêle tous les genres de musique ; elle est pensée pour accompagner l'auditoire durant le travail ou le trajet en voiture. Les interventions au micro sont très courtes, les enchaînements musicaux sont réfléchis pour ne pas perturber le fil musical. Particularités de FIP : '60 minutes de musique par heure' et surtout le recours exclusivement à une animation féminine. Kriss Graffiti, qui était l'animatrice de l'Oreille en coin sur France Inter le week end, est au micro pour le pilote du projet le 21 décembre 1970. Parmi les premières fipettes les plus connues, on peut aussi relever Simone Hérault, la “voix de la SNCF”, qui a été animatrice à partir de 1972 jusqu'en 2001. Relevons également Marie-Martine Bisson, celle qui a été la première à parler sur FIP.Peu de temps après sa création, le concept de FIP va être décliné un peu partout en France : en 1972 sont lancées FIB (FIP Bordeaux), FIM (FIP Marseille), FIL (FIP Lille, FIP Lyon, FIP Lorraine), FIR à Reims… Le même programme musical est diffusé, seules les interventions au micro sont différentes selon les locales. Les fipettes aux quatre coins de la France relaient ainsi les actualités culturelles de la région notamment. Pourtant à la fin des années 80, les antennes locales sont petit à petit fermées. Et surtout après 'le plan bleu' [https://www.humanite.fr/node/235459] en 2000, on ne retrouve plus que 3 antennes locales de FIP : à Nantes/Saint Nazaire, Bordeaux/Arcachon, et Strasbourg. Bien que ces dernières réalisaient toujours des scores très honorables (6.5% d’audience cumulée sur 2019-2020 à Saint Nazaire et 4.3% à Nantes, près de 5% à Arcachon et Bordeaux, 5.3% à Strasbourg sur la saison 2019-2020), les antennes locales ont été défintivement fermées le vendredi 18 décembre 2020 à 19h.Pour ses 50 ans, FIP a ainsi tout d'une grande radio nationale. Elle est d'ailleurs autorisée à diffuser sur le DAB+ métropolitain et apparaît dans le classement de la 126 000 Médiamétrie (mesure de l’audience sur le plan national) aux alentours de 1% depuis la vague de septembre-octobre 2019.Extraits :1- Interview de Roland Dhordain sur la naissance de FIP 514 (Inter actualités 13h, 5 janvier 1971) - Source : INA [https://www.ina.fr/audio/PHD94038483/naissance-de-france-inter-paris-fip-514-audio.html]2- Kriss au micro pour le pilote - Source : INA [https://www.ina.fr/video/CAF97072259]3- Extrait avec la fipette Marie-Martine Bisson - Source : Youtube [https://www.youtube.com/watch?v=R85aPUA9NV4]4- Il est 10h sur FIT (France Inter Toulouse, 1975) - Source : Schoop [http://schoop.fr/ficheradio.php?id_radio=4026]5- Les dernières interventions au micro depuis FIP Bordeaux, FIP Nantes et FIP Strasbourg, le 18 décembre 2020 vers 18h50Retrouvez en exclusivité les derniers instants de FIP Nantes, FIP Bordeaux, et FIP Strasbourg (piges du 18 décembre 2020, de 18h à 19h) [https://drive.google.com/drive/folders/1t81FNfbJFb5NDDSxXQ3p41UVgmNJs3TR]Animation / réalisation : Anthony GourraudIntervenant : Fañch LangoëtCrédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars')Voix off : Estelle Hubert [http://estellehubert.com]ContactPar mail : contact@vocast.fr [https://www.vocast.fr/contact.html]Twitter : @AnthonyGourraud [https://twitter.com/AnthonyGourraud]
We last spoke with composer and pianist Timo Andres early in the lockdown, after he made a series of videos for a recital program that had been cancelled at Carnegie Hall. Over the past few months, Andres has refined the art of filming himself at the piano, and uses both audio and video recording as part of his creative process. Help support The Next Track by making regular donations via Patreon. We're ad-free and self-sustaining so your support is what keeps us going. Thanks! Support The Next Track (https://www.patreon.com/thenexttrack). Guest: Timo Andres (https://www.andres.com) Timo Andres' YouTube channel (https://www.youtube.com/channel/UChE-9yjMtxCsJMGLu0rjfNA) Show notes: Episode #183 - Composer and Pianist Timo Andres on Concertizing at Home (https://www.thenexttrack.com/186) Alex Ross: I hate "classical music." (https://www.newyorker.com/magazine/2004/02/16/listen-to-this) Timo Andres: How can I live in your world of ideas? (https://www.youtube.com/watch?v=NVaM5BYNyDQ) IRCAM (Wikipedia) (https://en.wikipedia.org/wiki/IRCAM) Timo Andres: Debussy — Reflets dans l'eau / Ellington — Reflections in D (https://www.youtube.com/watch?v=l1zx33-Kzh4) ORTF stereo technique (Wikipedia) (https://en.wikipedia.org/wiki/ORTF_stereo_technique) Adam Abeshouse (https://www.abeshouseproductions.com) I Still Play (https://amzn.to/2G4sdon) Sony RX100 VII (https://amzn.to/31PBf0g) Blackmagic Design Pocket Cinema Camera 4K (https://amzn.to/34BEWZ2) Davinci Resolve (https://www.blackmagicdesign.com/uk/products/davinciresolve/) MKBHD (Marques Brownlee) (https://www.youtube.com/user/marquesbrownlee) Score follower video: Stravinsky — Symphonies of Wind Instruments — piano transcription by Timo Andres (https://www.youtube.com/watch?v=BoQQ1Axej0g) The Orchestra - iPad app (https://apps.apple.com/app/the-orchestra/id560078788) Our next tracks: John Dowland: Complete Lute Works, Paul O'Dette (https://music.apple.com/us/playlist/dowland-complete-lute-works-paul-odette/pl.u-e1oEse2a3g) Young-Holt Unlimited : The Definitive Young-Holt Unlimited (https://amzn.to/35DPUwJ) If you like the show, please subscribe in iTunes (https://itunes.apple.com/podcast/the-next-track/id1116242606) or your favorite podcast app, and please rate the podcast. Special Guest: Timo Andres.
Sound recording of cicada singing during the summer in South of France (Minervois). Recorded by a setup ORTF with 2 Schoeps CCM4 On a Sound Devices Mixpre 6 recorder Original Recording in Wave 96kHz 24bit Same sound on Freesound https://freesound.org/people/felix.blume/sounds/536915/
One Hour Thunder & rain during the night in the middle of the bananas trees, in Veracruz. Recorded by a setup ORTF with 2 Schoeps CCM4 On a Sound Devices Mixpre6 recorder Original Recording in Wave 96kHz 24bit During a residency at Casa Proal (San Rafael, Veracruz) Same sound on Freesound https://freesound.org/people/felix.blume/sounds/536679/
Aujourd’hui : Gisèle Halimi, grande figure du féminisme et de la décolonisation du XXème siècle ; avocate, députée, écrivaine, juive internationaliste et « intersectionnaliste » avant la lettre, elle fut de tous les combats sociétaux les plus clivants des sociétés française, tunisienne et algérienne. Commandeur de la Légion d'honneur, Commandeur de l'ordre national du Mérite, qui pourrait croire que cette femme d’exception n’entendait pas briller sous les ors de la République et caresser l’establishment, mais au contraire être le poil à gratter de l’ordre établi ? Née Zeiza Gisèle Élise Taïeb, le 27 juillet 1927 à La Goulette en Tunisie, Gisèle Halimi vient de disparaître le 28 juillet 2020 à Paris, à l’âge de 93 ans. Fille d'une mère séfarade et d'un père d'origine berbère, clerc de notaire, le droit coule alors dans le sang familial, la jeune Zeiza se révolte contre l’inégalité de sa condition féminine dont elle est victime au regard de l’amour portée par sa mère à ses frères, jusqu’à entamer une grève de la faim afin de ne plus avoir à faire le lit de l’un de ses frères, à seulement 13 ans. Ses parents cèdent : « Aujourd'hui j'ai gagné mon premier petit bout de liberté » écrit-elle dans son journal intime… Crédits : - Générique de la série Suits - Générique de la série Law and Order - Générique de la série L.A. Law - Générique de la série Ironside - Générique de la série Matlock - "Ne vous résignez jamais", entretien avec Gisèle Halimi en mars 2009 à TV5MONDE - Aujourd'hui Madame, ORTF, 8 janvier 1974, entretien avec Gisèle Halimi sur l’indépendance de l’Algérie - Côte d'Azur Actualités, ORTF, 27 octobre 1972, Interview de l’avocate Gisèle Halimi sur le droit à l’avortement - La cause des femmes, entretien avec Gisèle Halimi, 1973 - Kelmti Horra, Chanson interprétée par Emel Mathlouthi, lors du Nobel Peace Prize concert en 2015
durée : 00:27:09 - Frédéric Lodéon (3/5) - par : Clément Rochefort - Troisième volet de notre entretien avec Frédéric Lodéon, où l'on y découvre ses débuts en tant que soliste avec l’Orchestre Philharmonique de l’ORTF. C’est également le temps des grandes rencontres musicales, celles d'Augustin Dumay, Jean-Philippe Collard et bien sûr de Mstislav Rostropovitch. - réalisé par : Périne Menguy
PODCAST. Ecoutez "Au comptoir de l’info" avec Francis Letellier, présentateur de « Dimanche en politique » et de « Nous, les Européens ».EPISODE 11. Présentateur sur France 3 depuis 30 ans, Francis Letellier revient sur la disparition du Soir 3 mais aussi sur ses origines sociales de fils d’agriculteurs.Lorsque le Soir 3, le journal du soir sur France 3, s’est arrêté en août 2019, pour Francis Letellier qui le présentait depuis 13 ans – dont 10 années le week-end – cela a été un “tournant" dans sa vie professionnelle. Il regrette la disparition de ce rendez-vous d’information du soir qui existait depuis 41 ans. Francis Letellier estime d’ailleurs qu’il y a toujours un espace, vers 23 heures, pour une émission sur une chaîne généraliste de service public, “un rendez-vous où il y aurait plus de place pour Marcel Gaucher que pour Eric Zemmour".« Certaines chaînes d’information continue sont des instruments de désordre » Francis Letellier se montre très critique vis-à-vis des chaînes d’information continue, dont certaines sont même selon lui “des instruments de désordre". Il avoue qu’il ne les regarde presque plus, en raison des polémiques incessantes qu’elles contribuent à créer.Le présentateur n’est pas beaucoup plus tendre vis-à-vis des journalistes politiques dont certains – même parmi la jeune génération - “ont un agenda". Ils ne sont pas encartés à un parti comme c’était le cas au temps de l’ORTF, mais clairement, “ils se mettent dans la roue de tel ou tel homme politique", sans le reconnaître publiquement, ce qui est “malhonnête".« Je suis un privilégié » Francis Letellier revient sur ses origines modestes de fils d’agriculteurs du Calvados, "bien en dessous de la classe moyenne en terme de revenus". Aujourd’hui, il estime qu’il est un privilégié sur le plan social. Mais que ses racines lui ont permis de bien mieux comprendre, par exemple, le phénomène des gilets jaunes. Là où certains journalistes ne voyaient que des gilets jaunes, lui dit qu’il reconnaissait le chauffeur routier ou l’assistance sociale parce qu’il les côtoie souvent.Le présentateur dit par ailleurs détester le terme "invisibles" utilisé par les journalistes à propos de ces professions indispensables et mal payées mises en avant par la crise du coronavirus. "Ils ne sont invisibles que parce qu’on ne veut pas les voir" dénonce-t-il.L’émission pour apprendre à connaître les Européens Le présentateur de l’émission "Nous, les Européens" regrette que France 3 soit la seule chaîne de télévision généraliste à consacrer une émission à l’Europe. Il pense que les directions des chaînes font une confusion entre l’Union Européenne et l’Europe du quotidien. Et que c’est pour cela qu’une plus grande place n’est pas accordée en France à la couverture des faits européens. Ce qu’il regrette, car en mettant en avant ce qui fonctionne bien ailleurs en Europe, ce programme permet de mieux comprendre la culture de nos voisins..A propos du podcast : "Au comptoir de l'info" est le premier podcast natif de France Télévisions. Sous forme d'interview journalistique, un acteur qui fabrique l'information télévisée du service public — un grand reporter, un cameraman, un présentateur — vient se livrer, raconter, dévoiler la manière dont il travaille. Dans une ambiance sonore de comptoir de café, il confie ses doutes, ses joies, mais aussi ses peurs lorsqu'il est sur le terrain ou en studio.La série est réalisée par François Beaudonnet, éditorialiste sur franceinfo (canal 27), grand reporter à France 2 et chroniqueur dans l'émission "Nous, les Européens" sur France 3. Ancien correspondant à Rome et Bruxelles, il a débuté en radio où il présentait le journal de 13 heures sur France Inter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Montezuma Oropendola (Psarocolius montezuma)singing in a tree, in the middle of a banana field. Recorded close to the village of Paso de Telaya in the state of Veracruz. ORTF microphone setup, Schoeps CCM4 x 2 in a Cinela windscreen Sound Devices MixPre Original Recording in Wave 96kHz 24bit Sound Ref: MX-200402-03 GPS: 20.156221, -96.873653 Recorded during a residency at Casa Proal
Today’s episode, spontaneously crafted over the course of a few hours, features live performances of three longer works that, each in its own way, has something very specific to offer us as we face the uncertainty of our immediate future. First, a 1946 performance of Brahms’s Alto Rhapsody featuring the African American contralto Carol Brice with Serge Koussevitzky leading the Boston Symphony Orchestra. There follows a live performance from 1954 of French soprano Françoise Ogéas performing the title role of Debussy’s Rossetti-based cantata La damoiselle élue with mezzo-soprano Ginette Guillamat as the Récitante. Debussy specialist Désiré-Émile Inghelbrecht leads the forces of the ORTF. The third major work in today’s episode is Samuel Barber’s Knoxville: Summer of 1915, in a live Carnegie Hall performance from October 10, 1958 by Eleanor Steber, who commissioned and premiered the work, accompanied by pianist Edwin Bitcliffe. Guest vocal appearances by Jewel Brown singing “I Left My Heart in San Francisco” and Marian Anderson performing “He’s Got the Whole World in His Hands” round out the episode. Countermelody is a new podcast devoted to the glories of the human voice raised in song. Singer and vocal aficionado Daniel Gundlach explores great classical and opera singers of the past and present with the help of guests from the classical music field: singers, conductors, composers, coaches, agents, and voice teachers. Daniel’s lifetime in music as a professional countertenor, pianist, vocal coach, voice teacher, and journalist yields an exciting array of anecdotes, impressions, and “inside stories.” At Countermelody’s core is the interaction between singers of all stripes, their instruments, and the connection they make to the words they sing. Please also visit the Countermelody website (www.countermelodypodcast.com) for additional content. And please head to our Patreon page at www.patreon.com/countermelody to pledge your support at whatever level you can afford.
A—On va vous raconter aujourd’hui une tragédie grecque, l’histoire d’un roi qui se prenait pour dieu et qui avait imaginé son royaume aussi vaste que sa propre grandeur.Léopold II roi des belges, né en 1835.Il est le cousin de la Reine Victoria d’Angleterre, et le petit-fils du roi de France, Louis-Philippe 1er.Mais alors comment un régent possédant une lignée aussi prestigieuse, aussi parfaite, pouvait rester enclavé dans ce petit territoire d’à peine 30 000 km2 ? Insensé ! Impensable !Il entreprend alors, à la fin des années 1870, le projet fou de s’attacher les services de l’explorateur britannique Henry Morton Stanley, et lui demande de trouver en Afrique, un territoire assez grand qui ferait de lui un Roi parmi les Rois.Stanley est déjà bien habitué de l’Afrique, et en la traversant d’Est en Ouest, il trouve un large territoire sur ce qui était auparavant le royaume du Kongo.En moins de 5 ans, Léopold transforme le Congo en des terres privées, et crée l’Association Internationale pour l'Exploration et la Civilisation de l'Afrique Centrale, avec ce que l’on nommera ironiquement des ambitions « humanitaires et évangéliques ». Les Chambres législatives belges, par une résolution adoptée à la Chambre des représentants, le 28 avril 1885, et au Sénat le 30 avril, autorisent Léopold II à devenir chef d'un autre État : « Sa Majesté Léopold II, Roi des Belges, est autorisé à être le chef de l'État fondé en Afrique par l'Association internationale du Congo. L'union entre la Belgique et le nouvel État sera exclusivement personnelle. »« Personnelle » signifie que, c’est un territoire privé, appartenant exclusivement au roi Léopold II. Jamais ses ministres ni son gouvernement ne seront consultés dans la gestion du Congo. 1 – Kila Mwako – Isaya Mwinamo & Tom Miti B—L’avènement de l’automobile demande de plus de caoutchouc, et ça tombe bien puisque le Congo est le premier producteur au monde.L’armée, et les missionnaires belges s’occupent pour le compte du roi, de tisser un important réseau d’exploration et d’exploitation.Les ressources sont tellement abondantes, que le roi est obligé d’ouvrir ses frontières aux entreprises étrangères en ponctionnant une partie de leur bénéfice. Le Congo devient ainsi le plus grand camp de travail forcé jamais conçu : 2 millions de Km2 pour 20 millions d’habitants.Les profits augmentent au même rythme du nombre de morts Durant 25 ans, l’armée belge, pour le compte de leur roi, torture ou commandite des exactions d’une atrocité rare.On brûle, on tue, on torture, on tranche de têtes, des mains, des pieds.Si les villageois ne réussissent pas à fournir suffisamment de nourriture, on flagelle les corps à la chicotte, un fouet dur et puissant fait de peau de rhinocéros qui peut découper un homme en morceau.On verse de la résine de copal brûlante sur les visages des fautifs.On coupe les mains droites des hommes, des femmes et des enfants qui ne fournissent pas assez de caoutchouc.On enferme les femmes des récoltants, que l’on ne libère que si les hommes rejoignent les quotas fixés. Dans certains districts on éradique 70-80-90% de la population comme ça.Les missionnaires et les touristes qui sont confrontés à ces atrocités s’élèvent pour exiger que le Roi Léopold soit condamné à la pendaison. 2 – Mam’alobi Na Bala Yo - Bowane C—Mais les gains de Léopold II lui servent à s’acheter des soutiens un peu partout dans le monde, et au lieu de la pendaison, on réinvente Léopold II en grand humaniste et civilisateur. On estime avec prudence, que de son vivant, le monarque retirera personnellement du Congo une fortune évaluée à 220 millions de francs de l’époque, l’équivalent de plus de 6 milliards de francs français, soit un peu moins d’un milliard d’euros. En 1908, les pressions étrangères qui sont faites, sur l’affaire des mains coupées, et le compte rendu de la Commission d'enquête sur les exactions commises dans l'État indépendant du Congo, contraint Léopold II à laisser l’état belge annexer l’État « indépendant » du Congo, comme il l’aimait l’appeler.« Indépendant » étant ici employé comme synonyme de libre, où l’on peut y faire ce que l’on veut n’est-ce pas. Joseph Conrad, célèbre écrivain du XXème siècle, écrira lors de son voyage à travers les terres du Congo :« Ils attrapaient tout ce qu’ils pouvaient afin de ne pas en perdre une miette. C’était un pillage avec violence, un meurtre aggravé à grande échelle propre à ceux qui s’attaquent aux ténèbres » 3 --- Niyekese – De Wayon D—Embrigadé de force pour cause d’indiscipline lors de sa scolarité chez les pères missionnaires, le petit Joseph-Désiré fait l’apprentissage, durant 7 ans, de la soumission et des humiliations, dans le corps de l’armée colonial belge. Puis, à 20 ans, il devient journaliste pour le journal l’Avenir.Il sera d’ailleurs l’un des seuls à témoigner des émeutes et manifestations anti-colonialistes, au Congo.Dans les années 50, Patrice Lumumba, ce beau jeune homme intelligent de 30 ans, symbolisant le désir d’indépendance du Congo, et dont Mobutu est déjà le disciple, est arrêté par les autorités coloniales.Un an plus tard, il est libéré et part à Bruxelles négocier l’indépendance avec le roi Baudouin, arrière-petit-fils de Leopold II.Par le plus grand des hasard, Mobutu était Paris à cette époque, détaché pour le compte de son journal.C’est en se rendant à Bruxelles qu’il rencontre Lumumba, qui se prend d’affection pour ce jeune journaliste et le place sous son aile, lui faisant prendre part aux discussions et aux débats organisés à l’occasion de cette table ronde. Lorsque Lumumba sera premier ministre et créera le gouvernement, il nommera d’abord Mobutu secrétaire d’état, puis, ministre des armées.Le premier soulèvement populaire scinde le clan.Lumumba accuse l’ancienne puissance coloniale de fomenter des troubles. Mobutu, quant à lui, affirme sa fidélité aux puissances occidentales, et accuse Lumumba de sympathies communistes.Nous sommes en pleine guerre froide, et les États-Unis ne voient pas le communisme d’un très bon œil.On raconte que Washington préférait voir le premier ministre congolais disparaître du paysage politique coute que coute.Les troupes du colonel Mobutu, encerclent la maison de Patrice Lumumba, et le place en résidence surveillée, puis l’incarcère avec ses compagnons. 4 --- Indépendance Cha Cha – Grand Kallé E—Lors de leur transfert dans la province du Katanga, Lumumba et ses confrères seront victimes de terribles sévices.Les journaux raconteront que l’ex-premier ministre a été tué par des villageois, mais la vérité, que l’on connaît maintenant, est plus perverse.Patrice Lumumba, succombe à de multiples blessures, on ordonne à un officier de police belge de découper, et détruire le corps de Lumumba, en le plongeant dans l’acide sulfurique. Il ne doit rester aucune trace. Une fois le premier ministre assassiné, le chef d’état-major Mobutu contraint le président de la république congolaise, Joseph Kasa-Vobu, lui aussi, comme Lumumba, artificier de l’indépendance congolaise, de partager le pouvoir. Les partisans de Lumumba se rebellent et prennent le contrôle des deux tiers du pays. Mais Mobutu aidé par les belges et les Etats-Unis triomphe des rebelles.Il est nommé aux plus hautes fonctions de la hiérarchie militaire et rêve désormais de la fonction suprême.Il destituera le président et le nouveau premier ministre, qu’il condamnera à la peine capitale.Le 31 mai 1966, à Kinshasa, dans l’enceinte du Stade Kamanyola, un monde fou, ameuté par la propagande officielle. Ils se bousculent pour venir voir le spectacle macabre de la pendaison publique de ses 4 anciens ministres condamnés pour complot contre les institutions.Jamais pareil évènement n’était arrivé en public dans l’histoire du pays. 5 --- Vive Patrice Lumumba – African JazzMuhammad Ali's Rumble in The Jungle Speech https://www.youtube.com/watch?v=lkmJ6aKNQDQF—C’était Mohamed Ali quelques semaines avant le célèbre combat « rumble in the jungle » face à George Foreman. Combat qui a eu lieu à Kinshasa en 1975« Un cadeau du président Mobutu au peuple zaïrois, et un honneur pour l’homme noir » y’avait-il écrit sur les affiches de promotion.Le combat est organisé par Don King, et il est rendu possible par l'offre de cinq millions de dollars faite au champion et au challenger par Mobutu qui souhaite ainsi faire la promotion de son pays. Ironie, 5 ans après l’assassinat de Lumumba, Mobutu réhabilite son image en le hissant à la place de héros national, martyr de la nation congolaise, mort pour la libération.Pur cynisme politique, il désirait sans doute montrer que lui aussi était l’un des grands libérateurs du Congo, l’homme qui avait réalisé l’indépendance. L’adhésion au parti unique est obligatoire pour tous les citoyens. « Les ancêtres et même les fœtus » dit le slogan.Pour frapper l’imaginaire du peuple congolais, il rebaptise la monnaie, le pays et le fleuve. La monnaie devient zaïre, le pays devient Zaïre, et le fleuve devient Zaïre.Les prénoms occidentaux ou chrétiens sont banni, et Mobutu donne l’exemple en s’appelant désormais « Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu wa Za Banga » , autrement dit « Mobutu le guerrier, qui va de victoire en victoire sans que personne puisse l’arrêter » A partir de ce moment, la propagande se met définitivement en place. Mobutu est partout, on le chante, on le prit, on le loue, il est élevé au rang de dieu : Mobutu ici, Mobutu là-bas, Mobutu partout. Il sera le prophète des africains Peu à peu, se met en place un concept, un mouvement politique, que plus tard en 1971, Mobutu nommera la « Zaïrianisation ».Revenir à une authenticité africaine des toponymes et des patronymes, en supprimant tout ce qui est à consonance occidentale. 6 --- Kongo Nsi Eto – Mavula Baudouin G—Rendre au zaïrois ce qui appartient aux zaïrois.Les étrangers qui font commerce de produit zaïrois sont déboutés.« Je concevais mal, qu’un étranger belge, français ou hongrois vienne s’installer ici pour revendre au zaïrois la bière qui sort des brasseries de Kinshasa et gagner de l’argent là-dessus, vivre là-dessus.Ce n’est pas un mal propre à la république du Zaïre ou aux seuls zaïrois, c’est un mal qu’on trouve partout dans n’importe quel pays au monde, même chez vous. Qui nous a appris la corruption ? Je crois que c’est vous-autres. Ce n’est pas une nouvelle invention du Zaïre » dit Mobutu. Lorsque des opposant zaïrois en exil attaquent le sud du pays, la France lui vient en aide militairement et parachute la légion étrangère. Lorsqu’il organise une soirée jet-society international. Sont présent à l’évènement l’état-major du président français, le président du patronat au zaire, des ex-ministres belges, des députés américains, un ex-premier ministre français (Raymond Barre), le fils du président Mitterand etc… Mais malgré l’excitation du pouvoir, malgré la fortune et la puissance, parfois la mélancolie le gagne.Les soirées, et les fêtes dérapent de plus en plus, rien n’est trop beau, ni trop riche.La générosité de Mobutu éclabousse ceux qui lui sont autour, les chefs de province, sa famille, et quelque politiciens étrangers aussi, qui venaient lui dire « vous savez nous allons entrer en période électorale, si nous gagnons, nous allons beaucoup vous aider… » 7 – Longwa Pt.2 – Orchestre Super Mazembe H—Mais les zaïrois se lassent de danser et de chanter à longueur de journée.Le proverbe dit : « ventre affamé n’a pas d’oreilles ».Les bouches parlent et dénoncent le MPR Mouvement Pour la Révolution, qui devient le Mouvement des Pourris de la République.En 1969, c’est la révolte étudiante. Elle provoque une razzia de l’armée qui tire à bout portant sur la foule amassée à Kinshasa. Les survivants, sont condamnés à 12 de prison.Mobutu ferme l’université et incorpore tous les étudiants dans l’armée, pour qu’ils apprennent à se taire, défiler, et ramper.Lorsque l’église émet quelques réserves quant à la politique du parti unique, elle est courtoisement priée de rester à l’écart. Les services de sécurité sont implacables. Toutes tentatives de coup d’état, de révolte, sans parler d’assassinat, est inévitablement contrées et très fortement punies. La plupart du temps par la peine de mort. 8 -- Mobutu V - Franco I—Georges Bush père, lors d’un voyage de Mobutu à la maison blanche, est dithyrambique à l’égard du père de la nation zaïroise.« Un de nos amis les plus précieux » disait-il, dont « je suis fier et très très très heureux de le comptez parmi nous ». Jacques Chirac, tout sourire, explique au micro de l’ORTF, toute la joie qu’il a eue à rencontrer Mobutu, et toute l’estime dont le président joui en France comme en Europe, le respect dont il est auréolé dans nos pays. « Et s’agissant de moi, disait-il, sachez que j’ai des sentiments très profond pour lui et très respectueux, mais qui sont les sentiments de l’affection. Si bien qu’un entretient avec le président Mobutu est toujours pour moi quelque chose d’extrêmement agréable et où j’apprends toujours beaucoup. » Giscard : « Je suis un ami du Zaïre, j’ai eu l’occasion de le montrer. Et je suis un ami personnel du président fondateur que je connais très bien depuis longtemps, d’abord par amitié que j’ai vu il y a quelques semaines, et aussi parce que nous sommes des citoyens français mais nous sommes avant tout des citoyens du monde, et les problèmes actuels sont des problèmes mondiaux et il faut connaître les problèmes mondiaux sur place. » Tous les gouvernements l’aiment. Le pouvoir belge avec en tête le roi Baudoin, tous les politiques successifs américains, français, les pays de l’Est… En juillet 1989, lors d’une intervention à l’assemblée générale des nations unie, où il avait été invité, Mobutu est interrompu, en plein discours, par des dissident hurlant « Mobutu is a murderer » Mobutu est un assassin. Ah ! 9 – Afrique de l’Ouest – Docteur Nico & l’African Fiesta Sukisa J—L’assassinat de son grand ami Ceausescu, en 1989, quelques mois après l’incident qu’il a connu à l’ONU, marque un changement net dans le comportement de Mobutu. Il réalise que le peuple peut tout, y compris renverser un pouvoir et exécuter son dictateur, tout père de la nation qu’il est.Il est prêt à écouter le peuple, à organiser un referendum, et à signer la fin de 30 ans de parti unique. C’est ce qu’il fait, le 24 avril 1990 devant une salle bondée et acquise à sa cause, son discours est clair, il ouvre la politique au multi-partisme et à chaque citoyen la liberté d’adhérer au parti de son choix.Lui, prendra congé du mouvement populaire de la révolution, mais restera quand-même le chef de l’état, au-dessus des partis politiques. Il sera l’arbitre.Il ouvre un grand débat de société, mais les langues se délient, et des leaders d’opposition naissent.« A bas le dictateur, à bas le voleur, à bas le pilleur… » entend-t-on dans les rues de Kinshasa.Désormais le lions n’a plus de dents, ni de griffes, et tout le monde dans la rue a commencé à injurier et à démystifier Mobutu.Les portraits du « roi léopard » sont déchirés et brûlés en public.Ce grand débat prend des proportions inattendues. 10 – L’Âge de l’Amour – Tabu Ley Rochereau K—Blessé dans son orgueil, Mobutu suspend la conférence nationale, il ne lui pardonne pas de s’ériger en tribunal populaire contre son régime.Lorsque le peuple se mobilise pour manifester pacifiquement, le pouvoir réprime par le sang et la mort.Ses soutiens étrangers le lâchent peu à peu, en commençant par le roi belge.Mobutu se réfugie alors dans son village natal, au beau milieu de la jungle, où il se fait construire un luxueux palais présidentiel.Seul et acculé, il cherche le réconfort auprès des villageois de sa région. Lorsque deux de ses fils meurent à deux ans d’intervalle, en 93 et en 95, soudain, s’estompe les fureurs de la conférence nationale, et réapparait la fibre affective bantou qui rappelle les alliances souterraines enracinées. Mais une grande crise frappe le pays. L’armée n’est plus payée et se sert elle-même dans les commerces de la capitale. Profitant d’une absence prolongée du chef à Genève pour soigner son cancer de la prostate, une rébellion naît à l’Est du Zaïre et déferle sur tout le pays.La rébellion est dirigée par un ancien dissident, proche de Patrice Lumumba: un certain Laurent Désiré Kabila Tous ceux qui ont fait de Mobutu un roi l’ont abandonné, ils ne veulent plus de lui. S’il revient à Kinshasa, il sera trainé dans les rues de la ville, son corps sera torturé. Une dernière tentative a lieu en présence de Nelson Mandela, de Mobutu et de Kabila pour rétablir le pouvoir de l’ancien lion.Kabila n’aura qu’un mot : « démission ». Le lendemain matin, Mobutu est à l’aéroport, ses anciens généraux fuient de l’autre côté du fleuve Congo, ses derniers fidèles sont lynchés, un pneu en feu autour du corps Le 8 septembre 1997 Mobutu meurt au Maroc, loin de la terre de ses ancêtres.Le demi-dieu n’était pas immortel.Après lui, viendra la dynastie des Kabila dont ils seront nombreux à être assassiné par des hommes en tenue militaire, des hommes de l’ombre. Des crimes qui ne seront jamais élucidés. 11—Beza Bakili Ma Nyon – Ondigui & Bota Tabansi International
Le réalisateur et violoniste Bruno Monsaingeon nous raconte comment il est entré en contact avec Glenn Gould et comment s’est développée la « gouldmania » en France grâce à une grève de l’ORTF. Il raconte la rencontre savoureuse avec Arthur Rubinstein et explicite leur incompatibilité esthétique. Mais il revient aussi sur le prétendu ratage de la collaboration avec Elisabeth Schwarzkopf et nous dévoile la vérité d’une courte mais fascinante aventure artistique. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:55:02 - LSD, La série documentaire - par : Emmanuel Laurentin, Séverine Liatard, Anaïs Kien, Victor Macé de Lépinay - Le documentaire du jour évoque la grève à l'ORTF en 1968 ; les salariés revendiquent l'indépendance et l'objectivité journalistique. - réalisation : Séverine Cassar, Marie-Laure Ciboulet, Renaud Dalmar, Thomas Dutter, Anne Fleury
When you're given the opportunity to stick your hands holding two microphones (ORTF stereo) through a mesh net into a cage swarming with mosquitos, you do it.
L’audiovisuel public va être chapeauté par une nouvelle structure. Il faut que ce holding dispose d’un vrai pouvoir et assume de vrais choix. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Recorded by an ORTF setup (Schoeps CCM4x2) on a Sound Devices Mixpre6 Original recording in Wave, 96k, 24bit GPS: -22.392431,-44.553263 Sound Ref: BR-190812-07 Recorded during the Interativos 2019 organized by Silo Download on Freesound here https://freesound.org/people/felix.blume/sounds/479286/
Protest of the people of A Cuenta in front of the road People doing a demonstration in front of the supermarket "A Cuenta". Recorder from the window of the flat. ORTF setup Schoeps CCM4 x 2 on a Sound Devices Mixpre6 Wave 96k 24bit GPS: -32.452978 -71.239562 Sound Ref: CL-190713-02
Episode du podcast 'Des Ondes Vocast' (S01E12), le podcast qui parle de radio (innovation, actualités, archives).❖ Les archives : Extraits du Top Stress, diffusés durant l'été 1992 sur France Inter. Philippe Lellouche (oui, celui qui va animer le 14h-16h sur RMC !) et Pascal Huet proposaient des sketches, des parodies des tubes Eurodance des années 90, des sitcoms d'AB Productions ('La famille Carpentier'), entre autres...Mais comment le Top Stress et Philippe Lellouche sont-ils arrivés dans la grille de France Inter cet été ? En remportant une émission concours : 'Les Enfants d’Inter', un concours dans lequel une vingtaine d’animateurs se mesuraient durant toute la saison afin de remporter le Graal : un créneau d’une heure hebdomadaire dans la grille d’été de France Inter.Un rendez-vous imaginé par un grand professionnel de la radio, une personnalité qui compte énormément dans l’histoire de l’ORTF et de Radio France : Roland Dhordain.Sources/crédits : Le transistor [http://letransistor.unblog.fr]Animation / réalisation : Anthony GourraudIntervenants : Olivier Oddou (fondateur de Schoop [https://www.schoop.fr/], site qui retrace toute l'histoire de la FM en France), Hervé Marchais (Le Transistor [http://letransistor.unblog.fr], histoire et actualité de la radio), Fañch Langoët (blog critique radio Radio Fañch [https://radiofanch.blogspot.com])
Episode du podcast 'Des Ondes Vocast' (S01E12), le podcast qui parle de radio (innovation, actualités, archives).❖ Les archives : Extraits du Top Stress, diffusés durant l'été 1992 sur France Inter. Philippe Lellouche (oui, celui qui va animer le 14h-16h sur RMC !) et Pascal Huet proposaient des sketches, des parodies des tubes Eurodance des années 90, des sitcoms d'AB Productions ('La famille Carpentier'), entre autres...Mais comment le Top Stress et Philippe Lellouche sont-ils arrivés dans la grille de France Inter cet été ? En remportant une émission concours : 'Les Enfants d’Inter', un concours dans lequel une vingtaine d’animateurs se mesuraient durant toute la saison afin de remporter le Graal : un créneau d’une heure hebdomadaire dans la grille d’été de France Inter.Un rendez-vous imaginé par un grand professionnel de la radio, une personnalité qui compte énormément dans l’histoire de l’ORTF et de Radio France : Roland Dhordain.Sources/crédits : Le transistor [http://letransistor.unblog.fr]Animation / réalisation : Anthony GourraudIntervenants : Olivier Oddou (fondateur de Schoop [https://www.schoop.fr/], site qui retrace toute l'histoire de la FM en France), Hervé Marchais (Le Transistor [http://letransistor.unblog.fr], histoire et actualité de la radio), Fañch Langoët (blog critique radio Radio Fañch [https://radiofanch.blogspot.com])
At the mountain Las Narices close to Coyotillos, storm is arriving and some thunders are clapping, before the rain. The sheperd and their goats are coming down, and Luz is coming to me at the end to have a chat. Some dogs are barking and coming down with the goats. Recorded by a ORTF setup with 2 Schoeps CCM4 Microphones in a Cinela Windshield. On a Sound Devices 633 recorder Original recording in Wave 96K 24bit Sound Ref MXF190617T10 GPS 23.315748 -101.184082 Same sound on Freesound in Wave. Recorded during the project "Desert's Light" by Félix Blume & Pierre Costard in June 2019
Carol Vaness, Conductor – Friedemann Layer. ORTF, 2 November 1983.
Some snow is smelting in the street close to the port of Turku, drops of water are falling inside the manhole. Very close recording with the mic as close as possible. Recorded with an ORTF setup Schoeps CCM4 x 2 on a Cinela Suspension Recorder MixPre6 by Sound Devices Original Recording in Wave 96kHz 24bit Recorded on 7th of April 2019 in Turku, Finland. During a residency at Titanik Gallery. GPS: 60.435320,22.237472
December 15, 2018 Deity Microphones China sponsored my first 4 vlogs about field recording and also gave me some sweet mics to play around with in the meantime. Thanks Deity! This was the first location of the first episode and after we filmed it, I felt that I could be better. Luckily the cameraman was still in town for one more day so I said I wanted to do it again but better. We went back out to the same location and it seemed quite different. The water level was higher and the sky not as blue but still beautiful nonetheless. In the vlog, I recorded one general soundscape of the water flowing into this small inlet. As I was walking and explaining about the recording I had just done, a sound caught my ear. I ignored it the first time but then it came back. It sounded like breathing. The man made jetty we were on had cracks and as the water of the Yangtze River slipped by, it created small waves which pushed the air in and out of these cracks. It was the most beautiful thing I had heard on the island. The breathing sounded like sleeping in bed with a loved one and their breaths slowly come in and out, not constantly, but sensually erratic. Fast, slow, long, short, it was so human. I had never realized or ever recorded how nature, not just animals, could 'breathe' or be 'alive'. This connection between man and nature that is always the basis and goal of my work could not have been more succinctly expressed. It was such a profound moment for me. Recorded with Sonosax Minir82/ Sennheiser 8090 (ORTF)
Bells from the church at 12:00 on Sunday, recorded from the street. Light wind sometimes. Church Kostel sc. Vojtecha, Prague 1 Recorded by an ORTF setup Schoeps CCM4 x 2 on a Cinela Suspension + Windscreen Sound Devices mixpre6 recorder Original Recording in Wave 96kHz 24bit GPS: 50.078476 / 14.415440 Sound Ref: CZ-190303-002 Recorded during a residency at Agosto Foundation in March 2019
During a summer night in the countryside of Brazil, in the state of Minas Gerais... somme light rain and big thunders. Recorded by an ORTF setup Schoeps CCM4x2 On a Sound Devices 633 Original recording in Wave 96kHz 24bit Recorded on 24th of December of 2018 Sound Ref: BR-181224T01
A dog is answering to other dogs, howling far away on the other side of the valley... Mel (the dog) is answering and singing to them too... during a summer night in Minas Gerais, in the Brazilian countryside. Recorded by an ORTF setup Schoeps CCM4 x 2 On a Sound Devices 633 Original Recording Wave 96kHz 24bit Recorded on 22nd of December 2018 Sound Ref: BR-181222T02
Church Bells at noon from the top of the Cathedral of Bern (Switzerland) Recorded by an ORTF setup Schoeps CCM4 x 2 On a MixPre6 Sound Devices Original Recording in Wave 96kHz 24bit Recorded on 24th of Feb. 2019 at 12:00 Sound Ref: CH-190224-04
[ESP] Hay una fuente en el Parc Natural de Collserola que dejó de existir durante más de cincuenta años. Estaba sepultada bajo el barro hasta que se reencontró gracias a un caminante. En los años 90 se iniciaron las obras para recuperar toda la zona y ahora, para mi es una de las lugares más especiales y donde más a menudo voy a grabar sonidos. Esta pieza sonora quiere resumir toda esta historia en un poco más de 10 minutos. He combinado hidrófonos y microfonia en ORTF. [ENG] There is a fountain in the Collserola Natural Park that ceased to exist for more than fifty years. It was buried under the mud until it was found thanks to a walker. In the 90s the works began to recover the whole area and now, for me it's one of the most special places I record sounds. This sound piece wants to summarize all this story in a little more than 10 minutes. I have combined hydrophones and microphone in ORTF. [CAT] Hi ha una font al Parc Natural de Collserola que va deixar d'existir durant més d'uns cincuanta anys. Estava sepultada sota del fang fins que es va retrobar gràcies a un caminant. Als anys noranta es van iniciar les obres per recuperar tota la zona i ara, per a mi, és un dels llocs més especials i on més sovint vaig a enregistrar. Aquesta peça sonora vol resumir tota aquesta història en poc més de 10 minuts. He combinat hidròfons i microfonia en ORTF. Espacio sonante intenta facilitar la escucha atenta. Gracias por la visita.
Anne Leforestier, clarinette Alexandre Gérard, guitare ----- Concert Eglise de Mont-l'Evêque (Oise, France) Dimanche 10 juillet 2018 ----- prise de son : - 2 micros Rode M5 en couple ORTF - préampli FMR Audio RNP8380 - enregistreur zoom h6
Extrait de concert Dimanche 10 juin 2018 Eglise de Mont-l'Evêque (Oise, France) - Frédérique Goffette-Pinot, harpes https://soundcloud.com/kastelaeliz - Jérôme Goffette-Pinot, contrebasse https://soundcloud.com/b_brother - Alexandre Gérard, guitares prise de son : - 2 micros Rode M5 en couple ORTF - préampli FMR Audio RNP8380 - enregistreur zoom h6
Extrait de concert Dimanche 10 juin 2018 Eglise de Mont-l'Evêque (Oise, France) - Frédérique Goffette-Pinot, harpes https://soundcloud.com/kastelaeliz - Jérôme Goffette-Pinot, contrebasse https://soundcloud.com/b_brother - Alexandre Gérard, guitares prise de son : - 2 micros Rode M5 en couple ORTF - préampli FMR Audio RNP8380 - enregistreur zoom h6
Extrait de concert Dimanche 10 juin 2018 Eglise de Mont-l'Evêque (Oise, France) - Frédérique Goffette-Pinot, harpes https://soundcloud.com/kastelaeliz - Jérôme Goffette-Pinot, contrebasse https://soundcloud.com/b_brother - Alexandre Gérard, guitares prise de son : - 2 micros Rode M5 en couple ORTF - préampli FMR Audio RNP8380 - enregistreur zoom h6
Nous sommes au printemps 1979, soit quatre ans après la disparition de la vieille ORTF. Et pourtant, voilà qu'une chaîne de télévision, en l'occurrence Antenne 2, est secouée par un mini scandale. Au cours d'une émission de variétés présentée par l'ineffable Guy Lux à une heure de grande écoute, une chanson a écorché les prudes oreilles de nombreux téléspectateurs. Il s'agit de "Fernande", sémillant hymne érectile farouchement hétéro, interprété par son polisson d'auteur, Georges Brassens. Emoi, protestations, lettres indignées, standard téléphonique au bord de l'explosion, la rédaction du magazine dans lequel œuvre alors votre serviteur est sur le pied de guerre : mission, aller interviewer le pornographe du phonographe pour qu'il s'explique sur le tohu-bohu par lui involontairement provoqué. Résultat, me voilà un beau matin devant les grilles de l'auteur du Gorille, magnétophone antédiluvien sous le bras, un vieux machin à K7 dont même un brocanteur ne voudrait plus aujourd'hui. Ce qui explique évidemment la piètre qualité technique de l'enregistrement de cette conversation, qui va pourtant prendre un tour inattendu : car un Brassens en verve fera durer l'interview pendant près de deux heures. Nous sommes dans le 15ème arrondissement de Paris, au n°42 de la rue Santos Dumont, domicile du célèbre barde anar moustachu.
Political posters with slogans like "It's forbidden to forbid" or "Under the paving stones, the beach" were a driving force in the May 68 Paris uprisings. The vast majority were designed and printed at Paris's Beaux-Arts (Fine Arts school) by the Atelier Populaire collective. Fifty years on, the school is showing that art work at the Images en Lutte exhibition. This exhibition on the visual culture of the far left from 1968 to 1974 includes posters, painting, sculptures, films, photos, tracts. It begins with the major demonstrations against the war in Vietnam and ends in 1974 following the coup d'Etat in Chile and the dissolution of the Maoist Proletarian Left party in France. But, while it is still unclear whether there will be any official recognition of the 50th anniversary of massive protests and strikes that nearly brought down President Charles de Gaulle and his government, it's the political art work done by the Atelier populaire that's grabbing headlines. From 5 May to 28 June, students and teachers from l'Ecole des Beaux-Arts worked day and night producing posters to further the cause of seven million striking workers. Posters with slogans like "Your boss needs you, you don't need him", "Run comrade, the old world is behind you" and "Barricades close the street but open the way" were plastered on university walls, factories and shops. The art work is "the product of a political struggle but it's also participating in the struggle itself", says art historian and curator Eric de Chessay. "They used the studios to produce posters for the revolution. People actually thought that revolution was not for tomorrow, that it was immediate and that the whole power would be completely defeated." Many posters protested against General Charles de Gaulle "showing him as a dictator, aligning him with [Francisco] Franco or [Antonio de Oliveira] Salazar or Petros Markaris, the dictators of Spain, Portugal and Greece," de Chessay explains. "His hand raised as if he were a fascist leader." Public broadcasting (ORTF) was banned from filming the Paris protests for fear they would encourage others, so many posters denounced the state of the press as a mouthpiece for the government. And, because the strike action was not being relayed by the official press, factory workers relied on the Atelier populaire to fill in the gap. One recurring image is of the factory shed, with its chimney transformed into a clenched fist. De Chessay says it's far more complex that it looks. "The shed factory with the fist is combining diverse sources so you have the typical factory of early 20th century with the sheds which is coming from the Front Populaire [Popular Front] 1936 imagery and you have the clenched fist which is a typical image of the Communist Party. But the way it's drawn here is more reminiscent of what's happening in the image of the Maoist movement." Anonymous, collective artwork While some famous young artists living in Paris at the time (Eduardo Arroyo, Julio Le Parc...) contributed to the Atelier and French artists like Martial Raysse returned from abroad to paint, the artwork was not signed. "The whole production is both anonymous and collective," says de Chessay. "It's a collective creation in the sense that someone would draw an image, sometimes would devise a slogan to go with it and sometimes the slogan was provided by someone else." The final result was presented to a committee for validation each evening. The most famous and telling example of this collaboration, according to de Chessay, is the poster showing anarchist Daniel Cohn-Bendit who led the student movement in Nanterre in March 68. It was submitted by Bernard Rancillac and shows Cohn-Bendit as shot by photographer Gilles Caron. Cohn-Bendit was German-born and Jewish, which led the far right and Communist Party leader Georges Marchais to use his origins to attack him, which in turn inspired demonstrators to reply with chants of "We're all Jewish and German". But after the interior ministry declared Cohn-Bendit "undesirable in France", the committee subsituted "We're all undesirables" for the original slogan. Not all images made the final cut and the exhibition shows of those the committee turned down. "Some of those rejected are visually very satisfying," says de Chessay, "but all of those [dealing with the art world] were rejected because the strikes were not primarily for the artists. The artists were at the service of the revolution." Home-made art The 600 or so political posters on show were all produced on site so you won't find the infamous "Beauty is in the street" poster. It wasn't the work of the Atelier populaire. But that pales into insignificance given this rare opportunity to look at art created on the premises. "The exhibition is 20 metres from where these posters were produced," says de Chessay. "It's a place where general meetings of the strikers were taking place in the exhibition rooms." And the link between l'Ecole des Beaux-Arts and leftist protest goes further. In 1974 feminist and gay rights movements held their weekly meetings there, and like the Atelier populaire in June 68 "were also expelled by the police". The exhibition includes photographs by and of gay and women's rights activists such as transvestite performance artist Michael Journiac. One photo, from his series 24 Hours in the life of an ordinary woman shows him in drag, his thumb transformed into a penis. "It's been forgotten that this art was made in a very politicised environment," says de Chessay. "Journiac was also a Maoist militant at one point, he wrote several articles about Maoist thought. So there's a deep connection in France between these movements." The MLF (women's liberation movement) founded in 1970 also had its weekly meetings at the Beaux-Arts. And the Aids activist group Act Up still meets there. "A lot of people have not realised that when they look at Robert Campillo's movie about Act Up in Paris 120 Beats per Minute that the meetings are actually taking place at the Ecole des Beaux-Arts." The clash of images The exhibition also highlights the very different ideological positions within the far left at the time, depending on whether you leaned toward the anarchist, Maoist or Situationist camp. The slogan "I have something to say, but I don't know what" gives a good sense of the diversity - or confusion - that reigned at the time. Images en lutte, la culture visuelle de l'extrême gauche en France (1968-74), Palais des Beaux-Arts, 13 quai Malaquais, Paris 6e, runs through to 20 May 2018.
Political posters with slogans like "It's forbidden to forbid" or "Under the paving stones, the beach" were a driving force in the May 68 Paris uprisings. The vast majority were designed and printed at Paris's Beaux-Arts (Fine Arts school) by the Atelier Populaire collective. Fifty years on, the school is showing that art work at the Images en Lutte exhibition. This exhibition on the visual culture of the far left from 1968 to 1974 includes posters, painting, sculptures, films, photos, tracts. It begins with the major demonstrations against the war in Vietnam and ends in 1974 following the coup d'Etat in Chile and the dissolution of the Maoist Proletarian Left party in France. But, while it is still unclear whether there will be any official recognition of the 50th anniversary of massive protests and strikes that nearly brought down President Charles de Gaulle and his government, it's the political art work done by the Atelier populaire that's grabbing headlines. From 5 May to 28 June, students and teachers from l'Ecole des Beaux-Arts worked day and night producing posters to further the cause of seven million striking workers. Posters with slogans like "Your boss needs you, you don't need him", "Run comrade, the old world is behind you" and "Barricades close the street but open the way" were plastered on university walls, factories and shops. The art work is "the product of a political struggle but it's also participating in the struggle itself", says art historian and curator Eric de Chessay. "They used the studios to produce posters for the revolution. People actually thought that revolution was not for tomorrow, that it was immediate and that the whole power would be completely defeated." Many posters protested against General Charles de Gaulle "showing him as a dictator, aligning him with [Francisco] Franco or [Antonio de Oliveira] Salazar or Petros Markaris, the dictators of Spain, Portugal and Greece," de Chessay explains. "His hand raised as if he were a fascist leader." Public broadcasting (ORTF) was banned from filming the Paris protests for fear they would encourage others, so many posters denounced the state of the press as a mouthpiece for the government. And, because the strike action was not being relayed by the official press, factory workers relied on the Atelier populaire to fill in the gap. One recurring image is of the factory shed, with its chimney transformed into a clenched fist. De Chessay says it's far more complex that it looks. "The shed factory with the fist is combining diverse sources so you have the typical factory of early 20th century with the sheds which is coming from the Front Populaire [Popular Front] 1936 imagery and you have the clenched fist which is a typical image of the Communist Party. But the way it’s drawn here is more reminiscent of what’s happening in the image of the Maoist movement." Anonymous, collective artwork While some famous young artists living in Paris at the time (Eduardo Arroyo, Julio Le Parc...) contributed to the Atelier and French artists like Martial Raysse returned from abroad to paint, the artwork was not signed. "The whole production is both anonymous and collective," says de Chessay. "It’s a collective creation in the sense that someone would draw an image, sometimes would devise a slogan to go with it and sometimes the slogan was provided by someone else." The final result was presented to a committee for validation each evening. The most famous and telling example of this collaboration, according to de Chessay, is the poster showing anarchist Daniel Cohn-Bendit who led the student movement in Nanterre in March 68. It was submitted by Bernard Rancillac and shows Cohn-Bendit as shot by photographer Gilles Caron. Cohn-Bendit was German-born and Jewish, which led the far right and Communist Party leader Georges Marchais to use his origins to attack him, which in turn inspired demonstrators to reply with chants of "We're all Jewish and German". But after the interior ministry declared Cohn-Bendit "undesirable in France", the committee subsituted "We're all undesirables" for the original slogan. Not all images made the final cut and the exhibition shows of those the committee turned down. "Some of those rejected are visually very satisfying," says de Chessay, "but all of those [dealing with the art world] were rejected because the strikes were not primarily for the artists. The artists were at the service of the revolution." Home-made art The 600 or so political posters on show were all produced on site so you won't find the infamous "Beauty is in the street" poster. It wasn't the work of the Atelier populaire. But that pales into insignificance given this rare opportunity to look at art created on the premises. "The exhibition is 20 metres from where these posters were produced," says de Chessay. "It’s a place where general meetings of the strikers were taking place in the exhibition rooms." And the link between l'Ecole des Beaux-Arts and leftist protest goes further. In 1974 feminist and gay rights movements held their weekly meetings there, and like the Atelier populaire in June 68 "were also expelled by the police". The exhibition includes photographs by and of gay and women's rights activists such as transvestite performance artist Michael Journiac. One photo, from his series 24 Hours in the life of an ordinary woman shows him in drag, his thumb transformed into a penis. "It's been forgotten that this art was made in a very politicised environment," says de Chessay. "Journiac was also a Maoist militant at one point, he wrote several articles about Maoist thought. So there’s a deep connection in France between these movements." The MLF (women's liberation movement) founded in 1970 also had its weekly meetings at the Beaux-Arts. And the Aids activist group Act Up still meets there. "A lot of people have not realised that when they look at Robert Campillo's movie about Act Up in Paris 120 Beats per Minute that the meetings are actually taking place at the Ecole des Beaux-Arts." The clash of images The exhibition also highlights the very different ideological positions within the far left at the time, depending on whether you leaned toward the anarchist, Maoist or Situationist camp. The slogan "I have something to say, but I don't know what" gives a good sense of the diversity - or confusion - that reigned at the time. Images en lutte, la culture visuelle de l'extrême gauche en France (1968-74), Palais des Beaux-Arts, 13 quai Malaquais, Paris 6e, runs through to 20 May 2018.
Cette semaine dans « Un épisode et j’arrête », les critiques de l’ACS s’intéressent à la mémoire des séries françaises. On connait dans les moindres détails l’histoire des séries américaines, qui débute avec des shows comme I Love Lucy. Alors pourquoi n’a-t-on pas la même mémoire en France ? Car non, les séries françaises n’ont pas commencé avec Navarro. Dans les années 60 et 70, des programmes comme Thierry la Fronde ou Les brigades du Tigre ont fait les beaux jours de l’ORTF. On vous parle d’un temps que les moins de 20 ans… avec Frédéric Krivine (@FKrivine), le créateur d’Un village français, Benoît Laganne de France Inter (@BenoitLagane) et Benjamin Fau du Point Pop, dans une émission présentée par Pierre Langlais de Télérama (@MrSeries). « Un épisode et j’arrête » est le podcast de l'Association française des Critiques de Séries (ACS). Chaque semaine, quatre critiques débattent d’une ou plusieurs séries qui font l’actualité. Réalisé en partenariat avec Binge Audio (www.binge.audio).À PROPOS DE L'ACS (Association des Critiques de Séries)L’Association des Critiques de Séries (A.C.S.) a pour objectif de représenter la branche journalistique, professionnelle de la critique de séries, de mieux la définir, de discuter de ses outils, de ses codes et de ses fonctions. Elle regroupe ceux qui pratiquent régulièrement la critique de séries télévisées et qui souhaitent participer à la fois à la reconnaissance d’un métier mais aussi, à travers elle, d’une forme artistique dont les lettres de noblesse restent à acquérir en France.CRÉDITSEnregistré le 28 septembre 2017 à l’Antenne Paris (10, rue la Vacquerie 11ème). Production : ACS / Joël Ronez. Moyens techniques : Binge Audio / L’Antenne Paris. Réalisation : Jules Krot. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Générique : extrait de "Television” de Pinche.Negro.Beatz (Creative Commons License). Un Épisode et J’arrête est un podcast de l’Association française des Critiques de Séries en partenariat avec Binge Audio. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Si le système télévisuel français fait figure d'« exception » dans le panorama européen et même mondial, ce n'est pas au sens vertueux du terme (tel qu'on l'entend pour notre cinéma), mais en raison d'une incapacité à sortir des carcans de la « télévision à papa » et à entrer dans l'ère moderne de la série télévisée. Les raisons en sont multiples, comme l'explique en détail Pierre Ziemniak dans un essai tout juste paru chez Vendémiaire. Cela méritait bien de prolonger la discussion. Un Village français, Fais pas ci, fais pas ça, Le Bureau des légendes : il existe bien quelques exemples de séries françaises à être brillamment parvenues à installer un rendez-vous régulier, qualitatif et relayé par les médias au sein d’une industrie télévisuelle encore tétanisée par la peur de prendre des risques et de se casser la figure. Mais ces trop rares exceptions ne viennent que confirmer la règle : à l’ère de la Peak TV américaine et de l’émergence de contre-modèles européens en plein essor ([du côté de la Scandinavie](http://feuilletons.blogs.liberation.fr/2017/03/08/lunivers-des-series-scandinaves-ou-lempire-de-la-melancolie), notamment), la télévision française ne parvient toujours pas à dépasser l’étape du prototype et à retenir les leçons de ses bons élèves. Dès lors, de nombreuses questions qui fâchent se posent : existe-t-il véritablement une « culture séries » chez les auteurs, les producteurs et les diffuseurs de séries françaises ? La France aurait-elle raté un virage après l’âge d’or de l’ORTF, dans les années 1960 et 1970 ? Certaines « mauvaises pratiques » connues de longue date (la prédilection pour le format de 90 minutes, l’interventionnisme des chaînes entraînant une réécriture multiple des scénarios, la commande de saisons supplémentaires au cas par cas selon les chiffres d’audience, etc.) seraient-elles impossibles à enrayer en France ? Et quel regard porter sur les solutions soit-disant « miracles » telles que la désignation d’un showrunner, le financement industrialisé de pilotes ou le recours à la coproduction internationale ?
Si le système télévisuel français fait figure d'« exception » dans le panorama européen et même mondial, ce n'est pas au sens vertueux du terme (tel qu'on l'entend pour notre cinéma), mais en raison d'une incapacité à sortir des carcans de la « télévision à papa » et à entrer dans l'ère moderne de la série télévisée. Les raisons en sont multiples, comme l'explique en détail Pierre Ziemniak dans un essai tout juste paru chez Vendémiaire. Cela méritait bien de prolonger la discussion. Un Village français, Fais pas ci, fais pas ça, Le Bureau des légendes : il existe bien quelques exemples de séries françaises à être brillamment parvenues à installer un rendez-vous régulier, qualitatif et relayé par les médias au sein d’une industrie télévisuelle encore tétanisée par la peur de prendre des risques et de se casser la figure. Mais ces trop rares exceptions ne viennent que confirmer la règle : à l’ère de la Peak TV américaine et de l’émergence de contre-modèles européens en plein essor ([du côté de la Scandinavie](http://feuilletons.blogs.liberation.fr/2017/03/08/lunivers-des-series-scandinaves-ou-lempire-de-la-melancolie), notamment), la télévision française ne parvient toujours pas à dépasser l’étape du prototype et à retenir les leçons de ses bons élèves. Dès lors, de nombreuses questions qui fâchent se posent : existe-t-il véritablement une « culture séries » chez les auteurs, les producteurs et les diffuseurs de séries françaises ? La France aurait-elle raté un virage après l’âge d’or de l’ORTF, dans les années 1960 et 1970 ? Certaines « mauvaises pratiques » connues de longue date (la prédilection pour le format de 90 minutes, l’interventionnisme des chaînes entraînant une réécriture multiple des scénarios, la commande de saisons supplémentaires au cas par cas selon les chiffres d’audience, etc.) seraient-elles impossibles à enrayer en France ? Et quel regard porter sur les solutions soit-disant « miracles » telles que la désignation d’un showrunner, le financement industrialisé de pilotes ou le recours à la coproduction internationale ?
Ils s’appellent Alain Decaux et André Castelot, ils ont fait les beaux jours de l’ORTF, Patrice Gélinet et Franck Ferrand sur France Inter et Europe 1 ont repris le flambeau, et, depuis quelques années, le web et les réseaux sociaux leur ont emboîté le pas. Nous-même depuis 3 ans maintenant, avec les Podcasts, mais les réseaux nouvelle génération sont apparus, et depuis peu, on voit fleurir de tout sur tous les sujets, et bien sûr l’Histoire n’échappe pas à la règle, avec le danger que justement, qui dit réseau social et vulgarisation dit « sans garde fou ». Alors, Histoire et Réseaux sociaux riment avec Nota Bene, l’actuel champion français toute catégorie du nombre de vues sur Youtube, avec nous, l’inénarrable Bénabarbe, de son vrai prénom Benjamin. Plus récemment arrivés, mais promis à un avenir radieux, Confessions d’Histoire, avec nous dans l’émission Ugo Bimar, le créateur, concepteur et metteur en scène de ces interviewes croisées des personnages historiques. Prem, Richard Fremder et leurs invités reviennent sur les problématiques de la vulgarisation historique.
L'épisode 10 de ce mois-ci est dispo: Le voila! le 10ème épisode de FMICast est en ligne pour vous! Nasty-elo, Françou et Manu (arrivé pour aider Fab à faire les Tweet&Trash) étaient avec nous pour enregistrer, et picoler aussi un peu, ce numéro qui dépasse les 2h. On avaient réussi a faire moins de 2h pour la saison 2 mais les afters étaient au final plus long que l'épisode en lui meme du coup on a repris les bonnes habitudes ;) Sinon dans ce 10ème numéro: les news: - la PS4 - le nexus 5 - winamp - le canada et le "revenge porn" - ZaoZa - Dorcel et les bleus! A cette occasion un bon d'achat de 10euros sur le store Dorcel est à gagner pour celui qui achètera le 10ème T-Shirt (ou autre) sur notre boutique http://fmicast.spreadshirt.fr et cela avant le 15 décembre histoire que vous ayez le temps de choisir votre VOD avant le 31dec - DSK la boisson La rubrique Win&Faill Un dossier sur le manga (Fabien, Françou, et Manu se sont réveillés au moment ou je parlais de petites culottes et de hentai) Et pour finir les Tweets&Trash où Manu est venu aider Fab. Tous les liens: - Bande Annonce: Le visiteur du futur Saison 4 - Bande Annonce: X-Men DOFP - les questions sans réponses - le site UltraViolet Comme d'habitude vous nous trouverez: - Par abonnement sur Itunes en version MP3 - En téléchargement direct et complètement légal en MP3 - Et sur Itunes en version Chapitré! N'hésitez pas à nous laisser des commentaires juste dessous et sur Itunes avec 5 étoiles bien-sùr!
Dans ce #167, un étrange évenement spatio-temporelle frappe l'ADC!
Dans ce #167, un étrange évenement spatio-temporelle frappe l'ADC!