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Le Vietnam, l'Indonésie puis Singapour : le président français est en Asie du Sud-Est, cette semaine. Trois visites d'Etat et une tournée qui a pour objectif, d'après l'Elysée, de consolider la “stratégie indo-pacifique” de la France. Alors quelle est cette stratégie, établie par Emmanuel Macron ? Est-elle efficace, face aux Etats-Unis et à la Chine ? Que peuvent s'apporter mutuellement la France et les pays de la région ? On en parle avec nos invités : Jean-François Di Meglio, président de l'institut de recherche Asia Centre David Camroux, chercheur honoraire et professeur adjoint au CERI Sciences Po
Dans cet épisode, je reçois Jeanne d'Hautesserre. Fille de militaire et aînée d'une famille de 13 enfants, Jeanne quitte le Vietnam à cause de la guerre alors qu'elle a 10 ans et arrive en France, dans l'Allier. Elevée à la méritocratie, Jeanne est excellente élève. Elle entre dans la vie active aux côtés de Jaques Seguela qui sera un de ses mentors. C'est en gérant la campagne de communication de François Mitterand en 1981, la fameuse Force Tranquille, que Jeanne touche au milieu de la politique. En 1993, elle devient députée et poursuit son engagement dans la vie publique jusqu'à son élection de Maire du 8ème en 2014. Jeanne nous raconte les moments forts de sa vie, professionnelle comme privée, les réussites mais également les coups durs. Lorsqu'elle se sépare par exemple d'une relation toxique pour échapper à des violences conjugales, Jeanne prend le risque de tout perdre et se retrouve SDF durant quelques temps. Mais c'est une résiliante, elle rebondit et retrouve le chemin de l'apaisement. Nous avons également parlé de sa vie de Maire, de comment s'organise son quotidien après des administrés, de sujets majeurs pour les femmes comme la sécurité dans la rue, les éclairages de nuit ou encore les gardes d'enfants que sont les crèches et la difficulté à parfois en trouver une. Beaucoup de sujets abordés lors de cet entretien passionnant avec une femme qui a construit son chemin avec résiliance, force et indépendance. Belle écoute ! NOTES DE L'ÉPISODE: Le podcast vous plaît ? Prenez 30 secondes pour le noter 5 étoiles sur Apple podcast ou Itunes, et commentez si vous le souhaitez, c'est très précieux pour moi !
Les accords de Genève du 20-21 juillet 1954 mettent fin à la première guerre d'Indochine. Le Vietnam est divisé en deux : au Nord, un État communiste dirigé par Ho Chi Minh ; au Sud, le régime de Bao Dai, puis une république soutenue par les États-Unis. L'indépendance du Cambodge, acquise en 1953, est officiellement reconnue. Norodom Sihanouk, roi devenu premier ministre, domine la scène politique pendant 25 ans, naviguant entre alliances et mésalliances dans le contexte de la guerre froide. Le Cambodge aspire à devenir la "Suisse de l'Asie", mais peine à réaliser sa neutralité. Laurence Monnais, professeure d'histoire à l'Université de Lausanne et spécialiste de l'histoire coloniale française, analyse cette période complexe.
Le président américain Donald Trump multiplie les annonces contradictoires sur les droits de douane. Pendant ce temps, le président chinois Xi Jinping entame une tournée en Asie du Sud-Est, qui est pour Pékin une priorité stratégique. Le Vietnam est la première étape avant la Malaisie, puis le Cambodge. Ces pays redoutent qu'une nouvelle vague de mesures protectionnistes ne vienne freiner leur développement, malgré la trêve actuelle de 90 jours. L'analyse des objectifs du président chinois, notamment, au Vietnam avec le géographe Emmanuel Véron, chercheur associé à l'école navale et à l'Institut national des langues et des civilisations orientales (Inalco) et membre de l'Institut français de recherche sur l'Asie de l'Est (Ifrae).À lire aussiPékin décrète une nouvelle règle maritime pour accroître son contrôle sur la mer de Chine méridionale
Sujets traités : La famille de Dimitri Perrier reçue par le procureur de Colmar hier après un rassemblement en sa mémoire. Le jeune homme, porteur d'un trouble du spectre autistique, est décédé à l'hôpital psychiatrique de Rouffach, de manière inexpliquée. Cinq ans après, sa famille attend toujours des réponses.Le projet de restauration du canal déclassé du Rhône au Rhin se poursuit. La Région Grand Est lance la seconde phase du projet entre Artzenheim et Friesenheim. Objectif : la remise en navigation pour favoriser un tourisme doux et dynamiser l'économie régionale. La région organisait hier, dans ce cadre, une opération de plantation d'arbres à Marckolsheim. L'action a été perturbée par des opposants.Laurent Vila n'est plus l'entraîneur de la SIG. Le club strasbourgeois le démet de ses fonctions. La défaite contre Le Portel était la 8ème de rang de la SIG Strasbourg cette saison. A la treizième place au classement, l'équipe doit se battre pour son maintien.Des volontaires recherchés pour s'exprimer sur la question des transports sur le territoire du pôle d'équilibre territorial de Sélestat Alsace centrale. Huit habitants sont invités à siéger au comité des partenaires de la mobilité. Un appel à candidatures est lancé jusqu'au 3 avril.Le Vietnam s'est emparé hier des rues du centre-ville d'Haguenau avec le défilé des Nón Lá. La Quinzaine culturelle a été marquée par le défilé des chapeaux traditionnels vietnamiens. Quelque 200 enfants ont animé les rues du centre-ville hier.Journée Internationale des droits des femmes, ce samedi 8 mars ! A Haguenau, l'association de motardes, "Toutes en motos", donne rendez-vous aux amateurs de 2 roues, le lendemain de la journée internationale, dimanche 9 mars dès 9h30, pour un salon et un défilé moto, au départ de la halle aux houblons. Les objectifs et le programme présentés par Sylvie CARDOSO, secrétaire de l'association TEM, au micro de Franck Jehl. Un cortège de quelques centaines de motos, et à la clé une photo hautement symbolique de toutes ces motardes devant le Parlement Européen de Strasbourg. Le salon de la moto, lui, se poursuivra jusqu'à 16h à la Halle aux Houblons de Haguenau.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette année, la quinzaine culturelle de Haguenau vous emmène au Vietnam. Après un voyage chez nos voisins Belges, c'est une découverte à l'autre bout du monde qui vous attend.Eric Wolff apporte des précisions.Infos pratiques : Du 1er au 14 mars 2025Haguenauhttps://relais-culturel-haguenau.com/actualites/quinzaine-culturelle-0Article complet : https://azur-fm.com/news/hauguenau-quinzaine-culturelle-direction-le-vietnam-2415Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le cadre de la journée internationale de la lutte contre l'obésité qui a lieu le 04 mars, la troisième édition de la marche de l'obésité est organisée vendredi 07 mars. Le départ des 3km se fera à 18h depuis la maison des sports. L'inscription est obligatoireVincent Lehoux, Adjoint au Maire en charge de la culture, en dit plusInfos pratiques :Du 1er au 14 mars 2025Haguenauhttps://relais-culturel-haguenau.com/actualites/quinzaine-culturelle-0Article complet : https://azur-fm.com/news/hauguenau-quinzaine-culturelle-direction-le-vietnam-2415Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Peut-être l'avez-vous manqué lors de sa sortie initiale en 2020, peut-être l'avez-vous adorée ... Cette semaine on vous propose de (re)découvrir l'histoire de Marion, cette française originaire du Nord de la France qui du jour au lendemain a fait ses valises pour partir vivre en Chine. Elle enregistre cet épisode depuis le Vietnam où elle s'est installée quelques années plus tard et a ouvert un resto américain avec son conjoint Jake. Marion pétille, et raconte sans fioritures son quotidien d'entrepreneure française spécialisée dans la papeterie et gestionnaire de restaurant. Elle nous raconte également les défis et succès qu'elle rencontre en tant que créatrice de carnets et agendas, tout en évoquant la richesse culturelle et culinaire de son environnement. Résumé de l'épisode :Rencontre avec Jake : Marion partage comment elle a rencontré son fiancé Jake en Chine et comment il l'a finalement convaincue de déménager au Vietnam pour lancer un projet commun dans la restauration.Transition professionnelle : Après plusieurs années en Chine, Marion s'installe au Vietnam, confrontée à de nouveaux défis, et elle partage sa transition vers le domaine du design en freelance.Entrepreneuriat au Vietnam : Marion explique comment elle a lancé sa marque "Yes we page", une ligne de carnets et agendas, et les défis liés à l'expansion de ses produits depuis l'étranger.Conseils de voyage : Marion recommande des endroits incontournables à visiter à Saigon.Planification de mariage : Les complexités culturelles et administratives auxquelles Marion fait face en planifiant son mariage international.Si la voix de Marion vous dit quelque chose, vous avez pu entendre la suite de son récit dans notre récente série sur l'amitié à l'épreuve de la distance (épisode 2) : elle y raconte son retour en France avec son mari Jake et comment elle a pu compter sur ses amis restés en France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Les balades de Jean-Sébastien Petitdemange avec Jean-Sébastien Petitdemange du 10 novembre 2024.
Hoai Huong Nguyen est devant moi en chair et en os, et pourtant elle semble tout droit sortie d'un autre siècle. Sur le papier, je lis qu'elle est agrégée de Lettres et docteur en Littérature générale et comparée, qu'elle enseigne la communication à l'Université de Versailles Saint-Quentin. (Rediffusion) Ce qui n'est pas dit, c'est qu'elle écrit comme elle respire l'encens ou l'absinthe. Car après avoir frissonné avec Sous le ciel qui brûle (Prix de la renaissance française 2018) et Tendres ténèbres (nouveau roman aux Ed. Viviane Hamy) je me demande si Hoai Huong Nguyen, née en France de parents vietnamiens, n'est pas sous l'emprise nervalienne et baudelairienne des passions mortelles. Et si aux hommes, elle ne préfère pas la compagnie des spectres, de ceux que l'on peut honorer à la pagode, ou sur l'autel de l'écriture...Les choix musicaux de Hoai Huong NguyenKhanh Ly Tieng sao thiên thai/La flûte célesteSerge Gainsbourg BaudelairePhilippe Jarrousski Thibault Garcia Manha de carnaval.
Hoai Huong Nguyen est devant moi en chair et en os, et pourtant elle semble tout droit sortie d'un autre siècle. Sur le papier, je lis qu'elle est agrégée de Lettres et docteur en Littérature générale et comparée, qu'elle enseigne la communication à l'Université de Versailles Saint-Quentin. (Rediffusion) Ce qui n'est pas dit, c'est qu'elle écrit comme elle respire l'encens ou l'absinthe. Car après avoir frissonné avec Sous le ciel qui brûle (Prix de la renaissance française 2018) et Tendres ténèbres (nouveau roman aux Ed. Viviane Hamy) je me demande si Hoai Huong Nguyen, née en France de parents vietnamiens, n'est pas sous l'emprise nervalienne et baudelairienne des passions mortelles. Et si aux hommes, elle ne préfère pas la compagnie des spectres, de ceux que l'on peut honorer à la pagode, ou sur l'autel de l'écriture...Les choix musicaux de Hoai Huong NguyenKhanh Ly Tieng sao thiên thai/La flûte célesteSerge Gainsbourg BaudelairePhilippe Jarrousski Thibault Garcia Manha de carnaval.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec : Hélène Seingier, journaliste environnement au 1, le UN hebdo reviendra sur le hors-série des Oiseaux et des hommes, un lien millénaire Pauline Gleize du service environnement de RFI nous parlera de la surexploitation du parc national de Donana en Epagne Jeanne Richard reviendra sur les JO et leur impact sur l'environnement Thuy Duong Nguyen du service vietnamien, nous parlera de la filière du café au Vietnam et le changement climatique. Le Vietnam est le premier producteur mondial de café robusta et le deuxième producteur mondial de café toutes variétés confondues.► Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Ahmed Coulibaly de la Côte d'Ivoire pour son film Nourrir Abidjan au prix de ma santé.► Chronique Low Tech de Corentin de Chatelperron.
JO – tir à l'arc : Marie Horáčková en lice – JO 1924 à Paris: un souvenir mémorable pour les Tchèques – Le Vietnam au centre d'une exposition à Prague
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec : Hélène Seingier, journaliste environnement au 1, le UN hebdo reviendra sur le hors-série des Oiseaux et des hommes, un lien millénaire Pauline Gleize du service environnement de RFI nous parlera de la surexploitation du parc national de Donana en Epagne Jeanne Richard reviendra sur les JO et leur impact sur l'environnement Thuy Duong Nguyen du service vietnamien, nous parlera de la filière du café au Vietnam et le changement climatique. Le Vietnam est le premier producteur mondial de café robusta et le deuxième producteur mondial de café toutes variétés confondues.► Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Ahmed Coulibaly de la Côte d'Ivoire pour son film Nourrir Abidjan au prix de ma santé.► Chronique Low Tech de Corentin de Chatelperron.
JO – tir à l'arc : Marie Horáčková en lice – JO 1924 à Paris: un souvenir mémorable pour les Tchèques – Le Vietnam au centre d'une exposition à Prague
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - En 1969, avec "People's war", Robert Kramer tournait au Vietnam la résistance d'un peuple sous les bombes. Plus de vingt-cinq ans après, il était de retour à Hanoï pour y tourner "Point de départ", un film qu'il présentait au micro de Michel Ciment dans "Projection Privée" en 1994. - invités : Robert Kramer
Au sommaire de Radio Foot de ce mercredi 5 juin 2024... Coupe du monde 2026 : début des éliminatoires en zone Afrique Les 3è et 4è journées éliminatoires de la zone Afrique vont débuter dans quelques heures. Est-ce déjà un tournant ? En particulier pour les grandes équipes du continent.Certaines sélections seront absentes, comme le Congo et l'Érythrée. Des joueurs phares comme Sadio Mané (blessé) et Riyad Mahrez (pas convoqué) aussi.Un documentaire inédit sur le foot vietnamienNous recevons aujourd'hui le réalisateur du documentaire The Symphony Wins, de François Bibonne. Créateur de lien culturel entre la France et le Viêtnam. Ce sera l'occasion d'ouvrir avec lui une page sur le football asiatique.Saint-Étienne est de retour en ligue 1Les Verts ont éliminés le FC Metz, dimanche 2 juin 2024, lors du barrage retour, validant le ticket pour la montée. Est-ce un retour compliqué dans l'élite au vu du scénario ? Comment s'annonce l'avenir avec le changement de propriétaire ?Avec Annie Gasnier : Yoro Mangara, Jean-Philippe Bouchard et Chérif Ghemmour - Technique/Réalisation : Matthieu Degueldre - Pierre Guerin/Saliou Diouf.
Au sommaire de Radio Foot de ce mercredi 5 juin 2024... Coupe du monde 2026 : début des éliminatoires en zone Afrique Les 3è et 4è journées éliminatoires de la zone Afrique vont débuter dans quelques heures. Est-ce déjà un tournant ? En particulier pour les grandes équipes du continent.Certaines sélections seront absentes, comme le Congo et l'Érythrée. Des joueurs phares comme Sadio Mané (blessé) et Riyad Mahrez (pas convoqué) aussi.Un documentaire inédit sur le foot vietnamienNous recevons aujourd'hui le réalisateur du documentaire The Symphony Wins, de François Bibonne. Créateur de lien culturel entre la France et le Viêtnam. Ce sera l'occasion d'ouvrir avec lui une page sur le football asiatique.Saint-Étienne est de retour en ligue 1Les Verts ont éliminés le FC Metz, dimanche 2 juin 2024, lors du barrage retour, validant le ticket pour la montée. Est-ce un retour compliqué dans l'élite au vu du scénario ? Comment s'annonce l'avenir avec le changement de propriétaire ?Avec Annie Gasnier : Yoro Mangara, Jean-Philippe Bouchard et Chérif Ghemmour - Technique/Réalisation : Matthieu Degueldre - Pierre Guerin/Saliou Diouf.
Ils paient pas de mine mais globalement ils ont mis toute la planète d'accord ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de podcast, c'est Pierre qui nous présente le Vietnam
Minhdao Le is a third-generation practitioner of Cao Dai, a religious belief system from Vietnam. In this interview, Minhdao provides some insight into the beliefs of Cao Dai, and brings attention to what he describes as a communist government-led usurping of the religion that took place when the government officially "recognized" Cao Dai in 1997. "THE CAO DAI RELIGION VS. ITS IMPOSTOR" https://vnforb.org/the-real-cao-dai-1/ Special Guest: Minhdao Le.
Auditeurs globe-trotters, on se retrouve avec un nouvel épisode cette fois-ci consacré au Vietnam.Avec comme invitées @amelie.trnx & @mariee__b, deux voyageuses qui ont eu l'occasion de parcourir le pays du dragon !Globetucker, un programme WANAMedias proposé par l'OdioO ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Anaïs nous raconte leur séjour au Vietnam. Pour écouter l'épisode en entier :Thaïlande, Laos, Vietnam, 2 mois en Asie en famille ***************************************************************************************************************************✅ Mon blog Famille & Voyages https://familleetvoyages.com✅ Et si tu me taguais sur un de ces réseaux
Le Vietnam s'industrialise à marche forcée sous les effets de la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités analysent la mue économique rapide du pays et les défis que cela lui pose.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en décembre 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Yann Rousseau (correspondant des « Echos » au Japon) et Théophile Simon (journaliste pour « Les Echos Week-End »). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Nhac NGUYEN/AFP. Sons : Mo Gio « Unlimite Symphony » (2009), TV5 Monde, Đen « hai triệu năm » (2019), Hoàng Thuỳ Linh « See Tình » (2022), Thông tin Chính phủ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le président chinois Xi Jinping est au Vietnam pour la première fois en six ans. Une visite d'État destinée à contrer l'influence croissante des États-Unis sur ce pays d'Asie du Sud-Est. Le Vietnam privilégie la « diplomatie du bambou », une politique flexible, s'efforçant de rester en bons termes avec les deux puissances. Le décryptage d'Emmanuel Lincot, professeur à l'Institut Catholique de Paris, sinologue et chercheur-associé à l'Iris, auteur du livre Le Très Grand Jeu : l'Asie centrale face à Pékin (éditions du Cerf).
Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
L'autrice Anna Moï décrypte et ausculte les mots de la langue viet. Dans cette langue, une intonation mal placée peut podier radicalement le sens du propos, ce qui peut donner lieu à des situations cocasses. De quôc ngu à Ga Tam Ky, l'autrice nous fait visiter son pays d'origine par les mots et les expressions.Invitée : Anna Moï, autrice française d'origine vietnamienne. « 80 mots du Viêtnam » est paru chez l'Asiathèque.Avec le reportage de Clément Rueda à l'INALCO.Et la chronique Ailleurs avec Lamine Diarra qui nous parlera du Festival de théâtre et de spectacle vivant « Les Praticables » qui débutera le vendredi 8 décembre 2023 à Bamako.
L'autrice Anna Moï décrypte et ausculte les mots de la langue viet. Dans cette langue, une intonation mal placée peut podier radicalement le sens du propos, ce qui peut donner lieu à des situations cocasses. De quôc ngu à Ga Tam Ky, l'autrice nous fait visiter son pays d'origine par les mots et les expressions.Invitée : Anna Moï, autrice française d'origine vietnamienne. « 80 mots du Viêtnam » est paru chez l'Asiathèque.Avec le reportage de Clément Rueda à l'INALCO.Et la chronique Ailleurs avec Lamine Diarra qui nous parlera du Festival de théâtre et de spectacle vivant « Les Praticables » qui débutera le vendredi 8 décembre 2023 à Bamako.
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Hoai Huong Nguyen est devant moi en chair et en os, et pourtant elle semble tout droit sortie d'un autre siècle. Sur le papier, je lis qu'elle est agrégée de Lettres et docteur en Littérature générale et comparée, qu'elle enseigne la communication à l'Université de Versailles Saint-Quentin. Ce qui n'est pas dit, c'est qu'elle écrit comme elle respire l'encens ou l'absinthe. Car après avoir frissonné avec Sous le ciel qui brûle (Prix de la renaissance française 2018) et Tendres ténèbres (nouveau roman aux Ed. Viviane Hamy) je me demande si Hoai Huong Nguyen, née en France de parents vietnamiens, n'est pas sous l'emprise nervalienne et baudelairienne des passions mortelles. Et si aux hommes, elle ne préfère pas la compagnie des spectres, de ceux que l'on peut honorer à la pagode, ou sur l'autel de l'écriture...Les choix musicaux de Hoai Huong NguyenKhanh Ly Tieng sao thiên thai/La flûte célesteSerge Gainsbourg BaudelairePhilippe Jarrousski Thibault Garcia Manha de carnaval.
Rapprochement entre le Vietnam et les États-Unis. Résultats décevants du G20. Élections municipales et régionales en Russie. Affaire d'espionnage chinois au Royaume-Uni. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationalePour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les entreprises doivent adapter leurs conditions générales de vente pour le 1er septembre. Il ne sera plus possible de compter des frais pour le premier rappel de paiement. Le promoteur immobilier Atenor clôture son premier semestre dans le rouge et prévoit un second semestre encore pire. Stéphan Sonneville le CEO d'Atenor nous expliquera pourquoi. Le Vietnam sera-t-il la nouvelle nation de l'automobile? Le constructeur VinFast a en tout cas fait une entrée fracassante sur le Nasdaq. Reste à convaincre les acheteurs de la qualité de ses voitures. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Le Vietnam oscille entre tradition et modernité. Dans les grandes agglomérations comme Hanoï ou Ho Chi Minh-Ville, l'énergie entrepreneuriale est palpable. Tout le monde cherche à développer son affaire. Pour canaliser cette fièvre créative et commerciale, on s'éloigne de la géographie urbaine. On se tourne vers les brouillards des montagnes qui recouvrent les villages traditionnels. Là-bas, les habitants continuent de faire vivre les savoir-faire artisanaux et ancestraux. Le patrimoine culturel du Vietnam est impressionnant. Une découverte chargée d'histoire et d'humanité.
La directrice du mudac, à peine nommée, sʹen va. Le Vietnam privé de Barbie. Miyasaki privé de publicité. Peter Bieri privé de Pascal Mercier et réciproquement.
Je te raconte ce que le Vitenam m'a apporté et l'importance des partenariats ✈️Voyages formation en immersion, accompagné de coachs formateurs consultants.
Après l'Indonésie et les Philippines, le Vietnam est le troisième pays le plus peuplé d'Asie du Sud-Est. Ces 100 millions d'habitants, dont les deux-tiers sont des paysans qui souffrent des conséquences du changement climatique. Un phénomène qui va s'amplifier dans cette région touchée, chaque année, par des inondations et des tempêtes tropicales. Pierre Lefevre nous emmènera découvrir le travail de l'Association Development Workshop France qui aide la population à anticiper ces risques, depuis une quinzaine d'années.Nous irons aussi dans un endroit qui, comme de nombreuses autres parties du pays, a tout misé sur le tourisme : la baie d'Along et ses magnifiques pains de sucre. C'est l'un des paysages les plus connus d'Asie qui se retrouve désormais menacé par une pollution croissante.
Après l'Indonésie et les Philippines, le Vietnam est le troisième pays le plus peuplé d'Asie du Sud-Est. Ces 100 millions d'habitants, dont les deux-tiers sont des paysans qui souffrent des conséquences du changement climatique. Un phénomène qui va s'amplifier dans cette région touchée, chaque année, par des inondations et des tempêtes tropicales. Pierre Lefevre nous emmènera découvrir le travail de l'Association Development Workshop France qui aide la population à anticiper ces risques, depuis une quinzaine d'années.Nous irons aussi dans un endroit qui, comme de nombreuses autres parties du pays, a tout misé sur le tourisme : la baie d'Along et ses magnifiques pains de sucre. C'est l'un des paysages les plus connus d'Asie qui se retrouve désormais menacé par une pollution croissante.
Les deux complices Jean-Michel Dufaux et Benoit Roberge sont au cœur de la série Tadam Vietnam dès le 19 juin sur Évasion. Sept épisodes de 60 minutes ont été produits par Zone3 en collaboration avec Québecor Contenu. Entrevue avec Jean-Michel Dufaux et Benoit Roberge, animateurs, chroniqueurs et meilleurs amis.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vân Son – Cô Tây Den – Compilation : Saigon Supersound Vol.2 Nguyên Lê – Overseas Suite-Square Earth – Album : Overseas Dang Xuan Khai, Phan Kim Thanh – Cung Dan Dat Nuoc – Compilation : The Music of... Continue Reading →
Dans cet extrait, Anaïs nous raconte leur séjour au Vietnam. Pour écouter l'épisode en entier : Thaïlande, Laos, Vietnam, 2 mois en Asie en famille ------------
Dans cet extrait, Aurore nous parle de leur étape au Vietnam Pour écouter l'épisode en entier : la partie 3 du Tour du Monde en entier - États-Unis, Polynésie, Cambodge, Vietnam Tour du monde en famille entre la Colombie et le Mozambique - partie 3
Rediffusion du 20 juillet 2021 Invité : Gérard Chaliand, auteur, stratège et écrivain, auteur de Des guérillas au reflux de l'Occident (Passés composés) Cette semaine et pour le dernier épisode de la saison, le Collimateur accueille l'écrivain Gérard Chaliand, historien, compilateur et stratège, témoin de beaucoup des luttes insurrectionnelles de la seconde moitié du XXe siècle, pour une discussion revenant sur son parcours personnel et intellectuel. 3:30 La découverte de la lutte pour l'indépendance algérienne 14:00 Le maquis en Guinée-Bissau aux côtés d'Hamilcar Cabral, et la découverte de la violence 22:30 L'importance de la ruralité et l'héritage maoiste 27:00 Le Vietnam à l'époque de la guerre 38:00 L'Amérique latine et la diffusion de la révolution cubaine 42:30 Colombie et FARC 46:45 Le Paris tiers-mondiste 51:30 Le conflit israélo-palestinien 1:00:30 L'évolution politique 1:09:00 L'entrée dans le monde universitaire 1:15:30 Les relations avec le monde militaire 1:19:20 Le retour en Afghanistan 1:32:30 Le Kurdistan Extraits audio Dân Ta Vẫn Sống - Khanh Ly Super Mama Djombo - Sol Maior Para Comanda (1979)
Pierre a vécu plusieurs années en Asie lorsqu'il était plus jeune. Il a particulièrement apprécié le Vietnam; pays dans lequel il a encore des amitiés. A 93 ans, Pierre projette de partir y séjourner de nouveau. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr .
Feeling unfulfilled while working a 9-5 office job DJ Lee (Le Vietnam) took the plunge into his DJing hobby and before he knew it he was flying to different cities, headlining shows across the globe. Missing his family and the food of his Vietnamese heritage he set himself a task to find the best banh mi in each city he landed in. What first started out as a curious interest, grew to an addiction to discover the history of the famous sandwich, learning the craft, and taking his knowledge back to Perth where he now runs the busiest banh mi shop in the city.https://www.instagram.com/levietnamcafe/?hl=enFollow Deep In The Weeds on Instagram https://www.instagram.com/deepintheweedspodcast/?hl=enFollow Huckhttps://www.instagram.com/huckstergram/Follow Rob Locke (Executive Producer)https://www.instagram.com/foodwinedine/LISTEN TO OUR OTHER FOOD PODCASTShttps://linktr.ee/DeepintheWeedsNetwork
“J'ai toujours vécu cette crise identitaire depuis que j'ai quitté le Vietnam.C'est pour ça que depuis que je suis toute petite, j'ai gardé un journal intime, parfois en français, parfois en vietnamien puis quand je suis partie aux États-Unis en anglais et j'ai continué à écrire en anglais jusqu'à aujourd'hui.” Pour l'épisode 27, Linda rencontre Ngoc Nguyen. Ngoc a publié son premier livre en décembre 2020, Weird culture Kids. Elle est née à Moscou, a grandi au Vietnam, en étudiant à l'école française Alexandre Yersin de Hanoi. Elle part étudier à l'adolescence dans le Connecticut aux USA, puis s'installe en France pour son master à HEC à Paris. Elle se définit comme une Weird culture kids, partagée entre plusieurs cultures, celle de ses parents Vietnamiens qui ont vécu en Russie, mais aussi française et américaine. Ngoc entreprend le projet de son premier livre lors du confinement, et se pose de multiples questions : Qui suis-je ? D'où je viens réellement ?Comment se définir quand on se construit dans un environnement aux multiples cultures ? C'est l'objet de son autobiographie. Une quête identitaire qui trouve un écho en nous qui vivons une multi-culturalité par nos parents, un système scolaire, un lieu de vie, une société de plus en plus mélangée. Weird Culture Kids sera édité en vietnamien en 2022, Ngoc cherche une maison d'édition qui traduirait son livre en français et il fait l'objet d'études dans des lycées français aux Etats Unis. On parle de sa vision entre les systèmes éducatifs français et américains, la notion de “dating” différent et, ces références et habitudes culturelles d'un pays à un autre, et des témoignages qu'elle a reçu pour comprendre nos rapports à cette multi-culturalité. Un épisode qui aborde cette recherche de soi, de sentiment d'appartenance à plusieurs cultures, et de faire de nos voyages et nos expériences la construction de notre identité unique et notre super pouvoir. Pose toi avec moi et Ngoc et écoute ce qu'on t'a préparé. Pour la version filmée, RDV sur la chaîne Youtube Banh Mi podcast. Très bonne écoute et n'hésites pas à t'abonner et m'écrire sur la page insta @banhmi.podcast/ Pour donner de la force au podcast, mettez-lui des étoiles et commentaires sur vos plateformes de podcast préférées. Pour suivre Ngoc et Weird Culture Kids : @nioccy @weirdculturekids Pour suivre Banh Mi podcast: @banhmi.podcast/ banhmiculture.com/ Musique Intro: Benjamin Pham Références citées dans l'émission The Chair, 2020 on Netflix Coquelicot, Yael Naim et Laura Cahen Crédits photo : courtesy of Ngoc Nguyen Banh Mi est un podcast créé et réalisé par Linda Nguon. On se retrouve un dimanche sur deux pour un nouvel épisode.
Le Vietnam, c'est un pays, une culture et une histoire. Un pays magique qui dessine sur une carte une sorte de S comme superbe ! Il faut dire que les trésors naturels sont fabuleux et nombreux. Écoutez le témoignage de Corinne , française vivant au Vietnam . Les raviolis vietnamiens, les nems, le Banh Cuon sont au menu de ce RTL Vous Régale. Louise Petitrenaud vous explique les secrets de la sauce nuoc mam et le chef Richard Toix nous raconte son aventure culinaire à Saïgon pour le restaurant gastronomique "le Jardin des sens" du groupe Pourcel. Écoutez RTL Vous Régale du 30 décembre 2022
Invité : Benoît de Tréglodé, directeur du domaine « Afrique, Asie, Moyen-Orient » à l'IRSEM, 3:00 La naissance du Vietnam par opposition à l'occupation et à la présence chinoise 8:30 L'arrivée de la France et la parenthèse coloniale française 18:30 La montée du communisme au Vietnam 23:00 L'indépendance vietnamienne, et la bipartition à la sortie de la guerre d'indépendance 31:00 La sortie de la guerre du Vietnam et l'occupation du Cambodge 46:00 Les mues de l'appareil militaire vietnamien et la réorientation vers la mer 49:30 La question posées en mer de Chine du sud 59:00 Le Vietnam et les puissances régionales face à la montée chinoise Extrait audio : Ewan MacColl with the London Critics Group, "The Ballad of Hô Chi Minh", 1954 https://www.youtube.com/watch?v=fjzMWumVhV8
“Mon métier c'est d'être illustrateur, j'aime créer de nouvelles choses. Pour moi la cuisine c'est la même chose : on crée de nouvelles saveurs. Et en même temps, ça raconte l'histoire d'un pays. Parfois je lis des livres de cuisine car j'apprends des choses, sur la culture, le climat …” Pour l'épisode 25, Linda rencontre André et Linh, pour le livre “Un orage par jour.” André est illustrateur, il travaille avec la presse comme le Nouvel Obs, ou le Fooding, Linh est sous-cheffe à l'hôtel “La Réserve” sur les Champs Elysées aux côtés du Chef Jérôme Banctel. Ils sont tous les deux passionnés de cuisine vietnamienne, et ont ce même désir de transmettre et de partager la large palette de saveurs, de recettes et de culture à travers le livre qui les a réuni "Un orage par jour" sorti le 15 Septembre au éditions @keribuseditions. Un roman graphique illustré et raconté par André qui a entrepris ce projet lors de sa résidence artistique à Ho Chi Minh en 2019. Cheffe Linh a contribué au livre en partageant des recettes de cuisine vietnamienne à la fin du livre. On parle de leur parcours de vie et de leur arrivée dans un pays qu'ils connaissaient peu : Linh, vietnamienne, venue étudier en France et a appris la cuisine française, et André, lui français, parti au Vietnam pour y découvrir la culture, la langue et sa cuisine. André nous parle de ses impressions sur la ville, les différences qu'il a pu observer entre son pays de résidence et la France, l'apprentissage de la langue vietnamienne et ses innombrables cafés sua da qu'il a dégustés là-bas. On découvre son exploration dans les différents quartiers de la capitale, les différents mets qui parfument ses aventures culinaires, la justesse de la retranscription des plats, des points culturels propres au Vietnam, il a aussi appris à parler le vietnamien, et aujourd'hui cuisine les recettes qu'il a découvert là-bas via son compte @thebellyofsaigon. Linh nous confie quelques secrets de la cuisine vietnamienne, la subtilité et la fraîcheur de ses ingrédients, la préparation, et nous ouvre de nouveaux horizons sur les plats authentiques du Vietnam. Un épisode qui mélange les cultures occidentales et asiatiques, la passion pour ce Vietnam qui nous fascine, et le partage par l'art : l'illustration et la cuisine. Pose toi avec moi et André & Linh et écoute ce qu'on t'a préparé. Pour la version filmée, RDV sur la chaîne Youtube Banh Mi podcast. Très bonne écoute et n'hésites pas à t'abonner et m'écrire sur la page insta @banhmi.podcast/ Pour donner de la force au podcast, mettez-lui des étoiles et commentaires sur vos plateformes de podcast préférées. Pour suivre André : @the_belly_of_saigon @andre.derainne Pour suivre Linh : @linhnguyen.cuisine Pour suivre Banh Mi podcast: @banhmi.podcast/ banhmiculture.com/ Musique Intro: Benjamin Pham Références citées dans l'émission Hoàng Thuỳ Linh - Để Mị Nói Cho Mà Nghe Crédits photo : @mohshoot Banh Mi est un podcast crée et réalisé par Linda Nguon.
Le pays pourrait quitter l'Organisation internationale du café qui rassemble États producteurs et consommateurs. Un désamour déjà exprimé par d'autres nations qui attendent plus de l'OIC. L'Ouganda ne trouve plus son compte dans l'Organisation internationale du café et le fait savoir. Le pays qui propose les arabicas les moins chers du monde, critique le fonctionnement de l'instance et regrette que les cotisations qui se montent à plusieurs milliers d'euros servent plus au fonctionnement du secrétariat qu'à des programmes de soutien à la filière. Pour l'heure, Kampala n'a cependant pas encore pris de décision officielle, apparemment pour cause de tiraillement interne sur le sujet. L'organisation internationale du café espère donc encore pouvoir garder dans son giron le premier exportateur africain et deuxième producteur derrière l'Éthiopie. Car le risque, c'est qu'un retrait de l'Ouganda entraîne dans son sillage d'autres pays du continent, et compromette les finances et l'image de l'OIC, confie un des responsables de l'instance internationale. ► À écouter : Les arabicas éthiopiens à la conquête du monde Le Guatemala et les États-Unis ont déjà quitté l'OIC Ce n'est pas la première fois que l'organisation est montrée du doigt, que ce soit pour des problèmes de gouvernance ou pour son incapacité à protéger les intérêts des producteurs. Le Guatemala et les États-Unis ont déjà quitté le navire. Le Vietnam, deuxième producteur mondial, après le Brésil, ferraille aujourd'hui, lui aussi, avec l'organisation à propos de sa contribution financière qu'il juge trop élevée. Mais la question qui revient régulièrement sur la table est celle de la régulation des prix du café. Or il n'y a plus de système de quota d'exportation depuis longtemps, le marché est libre. Et il est peu probable que cela change. L'organisation est certes une plateforme de discussion, mais elle regroupe aussi bien des pays consommateurs, des pays producteurs et le secteur privé, avec des intérêts parfois très divergents. L'accord international du café en discussion C'est sous la houlette de l'OIC que se rediscute en ce moment l'accord international sur le café qui date de 2007. S'il ne protège pas plus les prix du café, le nouveau texte (qui devrait être soumis au vote en avril prochain) pourrait en revanche accorder une part plus grande à la question de l'amélioration des revenus des producteurs. ► Á lire aussi : L'arabica au plus haut depuis quatre ans
Sur le marché de la noix de cajou, le Vietnam confirme sa place centrale : le pays a importé des quantités records de noix et se retrouve aujourd'hui avec des stocks exceptionnels. Premier importateur de noix brute, premier transformateur et premier exportateur d'amandes de cajou, le Vietnam était déjà le roi sur le marché. Mais il réussit une nouvelle prouesse, celle de brasser des volumes inattendus alors qu'on pensait fin août que son activité portuaire avait été considérablement ralentie par le confinement strict imposé à Hô Chi Minh-Ville. Cela n'a visiblement pas été le cas, les importations ont atteint des niveaux records et les stocks vietnamiens sont incroyablement élevés. Les stocks exceptionnels du Vietnam auront un impact sur les prochaines campagnes Difficile de comprendre pourquoi les importateurs ont acheté autant et aussi vite, commente Pierre Ricau, analyste du bulletin d'informations agricoles N'kalo. Est-ce pour simplement stocker et revendre aux transformateurs, à bas prix ? Ou bien le pays a-t-il suranticipé une croissance mondiale de la consommation ? La demande de noix de cajou est certes en augmentation, mais peut-être pas à la mesure des stocks vietnamiens. Cette politique d'achat à tout va a permis à l'Afrique de l'Ouest de vendre toute sa production 2021, mais l'ampleur des stocks vietnamiens aura immanquablement un effet sur les transactions dans les mois qui viennent. Les transformateurs locaux ont de quoi alimenter leurs usines et pourraient ne pas être pressés d'acheter la nouvelle production mondiale. Les transformateurs comme le Mozambique et la Côte d'Ivoire seront moins vulnérables Les premiers à en pâtir sur le continent risquent d'être les prochains à arriver sur le marché, c'est-à-dire les pays d'Afrique de l'Est situés dans l'hémisphère sud dont la campagne est décalée, à savoir la Tanzanie, le Mozambique ou encore Madagascar. Leur calendrier de production est d'ordinaire un atout, car ils récoltent quand personne ne le fait, mais si le Vietnam a toujours de gros stocks en janvier, ils risquent de vendre moins ou à plus bas prix... À l'horizon 2022, ceux qui tireront le mieux leur épingle du jeu, seront les moins dépendants de leurs exportations, et donc ceux qui ont les capacités de transformer localement une partie de leur noix, c'est le cas du Mozambique ou de la Côte d'Ivoire où les usines se multiplient.
Cet épisode de l'histoire de la futur Indochine française, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD L'Indochine la perle de l'Empire disponible sur Diffusia.fr
Invité : Gérard Chaliand, auteur, stratège et écrivain, auteur de Des guérillas au reflux de l'Occident (Passés composés) Cette semaine et pour le dernier épisode de la saison, le Collimateur accueille l'écrivain Gérard Chaliand, historien, compilateur et stratège, témoin de beaucoup des luttes insurrectionnelles de la seconde moitié du XXe siècle, pour une discussion revenant sur son parcours personnel et intellectuel. 3:30 La découverte de la lutte pour l'indépendance algérienne 14:00 Le maquis en Guinée-Bissau aux côtés d'Hamilcar Cabral, et la découverte de la violence 22:30 L'importance de la ruralité et l'héritage maoiste 27:00 Le Vietnam à l'époque de la guerre 38:00 L'Amérique latine et la diffusion de la révolution cubaine 42:30 Colombie et FARC 46:45 Le Paris tiers-mondiste 51:30 Le conflit israélo-palestinien 1:00:30 L'évolution politique 1:09:00 L'entrée dans le monde universitaire 1:15:30 Les relations avec le monde militaire 1:19:20 Le retour en Afghanistan 1:32:30 Le Kurdistan Extraits audio Dân Ta Vẫn Sống - Khanh Ly Super Mama Djombo - Sol Maior Para Comanda (1979)
Episode 42: Le voyage c'est déjà une expérience à vivre mais selon la personne avec qui on la vit elle peut être encore plus belle. C'est le cas de Gladys et Aline qui nous font réaliser à quel point le fait de bien s'entendre est une valeur ajoutée. Bonne écoute. Passe à l'étape supérieure et abonne-toi au blog tu recevras du contenu inédit: curlysaltytravel.com Tu pourras aussi m'aider à rendre les épisodes encore meilleurs et plus adaptés à ce que tu veux écouter. Pour contribuer au podcast: patreon.com/curlysaltytravel Pour acheter un guide voyage ou laisser un pourboire: buymeacoffee.com/floriane Retrouve moi sur instagram: instagram.com/curlysaltytravel Si tu veux laisser un message vocal pour donner ton avis sur le podcast anchor.fm/curlysaltytravel
Aujourd’hui c’est une interview croisée avec 3 invités que vous allez entendre car nous partons à la rencontre d'Anne, que l’on peut clairement qualifier d'addict à l’expatriation, et de ses deux (grands) garçons, Martin 19 ans et Antoine 17 ans, tous deux en France pour leurs études. Anne, est Française, bretonne d’origine, très rapidement elle a décidé de partir voir comment ça pouvait se passer la vie à l’étranger, tout d’abord en Erasmus, puis avec son conjoint (sans enfant à ce moment là), ensuite petit retour en France pour entre autre donner naissance à deux magnifiques petits garçons d'à peine 2 ans d'écart. Et là, ce fut le début d’une vie rythmée par 3 grandes expatriations : L’Autriche, à Vienne plus exactement (avec la naissance d’une petite dernière, Siloé). Le Vietnam, Hanoi pour être plus précis et très récemment le Congo, à pointe noire. Mais voilà, les années passent, les enfants grandissent, et les deux garçons, avec leur baccalauréat en poche, décident de quitter le cocon familial pour poursuivre leurs études… et fatalement, dans une contrée lointaine de celle de leurs parents et de leur petite sœur… mais qui ne devrait pas leur être inconnue car il s’agit bel et bien de leur pays de naissance ! Mais alors ? Ca fait quoi de retourner dans son pays natal après tant d'années passées à sillonner le monde ? Pour le savoir, je vous laisse découvrir leur histoire ! Attention, attachez vos ceintures, paré au décollage ! 3, 2, 1…. c’est parti, place au 28eme épisode ! Belle découverte et bonne écoute !
Le 30 avril 1975 à Saïgon, dans une pagaille indescriptible, des milliers de gens tentent d'entrer dans l'ambassade américaine. Le Vietnam du Sud s'effondre face à l'attaque communiste. Cet événement est un symbole : celui de la défaite miltaire des Etats-Unis Comment ont-ils fini par perdre la guerre du Vietnam ? #3ème #1èreSpécialitéHGGSP #Terminale *** Sur les réseaux sociaux *** Facebook : https://www.facebook.com/TasQuiEnHistoire Twitter : @AsHistoire Instagram : @tasquienhistoire
Pascal, correspondant StereoChic au Vietnam, nous raconte sa traversée en moto et en solo de Hội An à Saigon : dépaysement garanti ! Retrouvez ses photos sur son compte Insta : https://www.instagram.com/pascalauvietnam/ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ Soutenez l'association StereoChic en devenant membre pour 2e par moishttp://association.stereochic.fr
Ce lundi 5 avril, l'accusation des Vietnamiens portée à H&M comme quoi la marque suédoise de vêtements se courbait aux exigences de la Chine a été abordée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Guillaume Paul sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast..
Enfant d'un couple de parents vietnamiens qui se sont rencontrés en Union Soviétique à l'époque de la guerre froide, Ngọc (Bi) Nguyễn est née à Moscou et a grandi à Hanoi. Ses parents, qui ne parlent pour autant pas un mot de français, la scolarise dès ses 3 ans au Lycée Français Alexandre Yersin, qu'elle fréquente jusqu'à l'entrée en seconde. À partir de ses 15 ans, elle a poursuivi ses études aux États-Unis, dans un internat dans le Connecticut, puis à l'Université. De cette éducation si étrange, si culturellement mixée, empreinte de questions tout autant complexes et de réponses qui ne peuvent s'écrire avec des points ou sur des lignes droites, Ngọc en a fait un livre, un récit personnel et un concept sociologique dans lequel elle englobe des enfants comme elle, et qu'elle a nommés des « weird culture kids ». Au delà de l'aspect très touchant et très profond des questions identitaires que se pose Ngoc, son concept de « weird culture kids » questionne à mon sens le poids encore massif des systèmes d'education occidentaux dans la fabrique des élites de demain, la concurrence entre modèles anglo-saxons et français, et la dépendance de millions d'élites globales par rapport à ce système. Le Vietnam étant dans une émergence plus récente, les jeunes vietnamiens sont sans doute moins « aguerris » que leurs voisins indiens ou chinois à ce parcours très codé. Merci Ngoc de ce moment, je te souhaite de pouvoir ouvrir de belles conversations avec ta famille et les Vietnamiens ! Lire le livre de Ngoc et la suivre sur les réseaux sociaux.
Bon lundi! On est content de te retrouver pour une toute nouvelle semaine en compagnie de l’unique et sensationnel Bruno Ly. On va gâter tes oreilles, tu vas voir! Au menu aujourd’hui, Bruno est pâmé devant les jardins de Versailles, Vanessa nous parle du musée des nids de guêpes, Chuck louange It’s Always Sunny in Philadelphia et Camille capote devant les règlements d’armes dans les universités. Un méchant bon épisode pour commencer ça en grand! À demain! Bruno: http://bit.ly/30hzbNd Vanessa: http://goo.gl/bcRVA9 Camille: http://bit.ly/2YqpPgB Chuck: http://bit.ly/2L45sBi Instagram: https://bit.ly/3pvUHZy Twitch: https://www.twitch.tv/lepetitbonheur YouTube: http://bit.ly/2MRWgml iTunes (Merci infiniment pour les ★★★★★!): http://goo.gl/n1411W Google Play: https://bit.ly/31HIJlI Spotify: http://goo.gl/QrK6Tv Twitter: http://twitter.com/lepbonheur Merci tellement de nous suivre!
Dans l'actualité du monde, il y a ce bras de fer, suivi d'un compromis entre Facebook et l'Australie. Est-ce un nouveau modèle ? En tous cas, le compromis trouvé entre le gouvernement australien et le géant du réseau social sur la rémunération des médias pourrait inspirer d'autres pays comme le Canada, et plus largement servir d'aiguillon à ceux qui veulent muscler la régulation de ce qu'on appelle les GAFA (Google, Amazon, Facebook et Apple). Avec : - Natalia Olivares pour la rédaction en espagnol (L’Australie apparaît comme un modèle pour les pays qui voudraient mener cette guerre contre les GAFA. Qu’en est-il sur le continent américain ?) - Carina Branco pour la rédaction en langue portugaise (Comment la rédaction lusophone a traité ce sujet du bras de fer et compromis entre Facebook et l'Australie ?) - Le Thu Hang de la rédaction en vietnamien (Le Vietnam s’inquiète aussi du danger du monopole de grands groupes technologiques étrangers, en particulier Facebook, le réseau social le plus utilisé au Vietnam). Autres sujets traités pendant l'émission : - L’Équateur est encore en état de choc après des violences commises à l’intérieur de plusieurs prisons - Le Mozambique a perdu une des voix les plus importantes de l’opposition, Daviz Simango. - Les fake news ont été un problème, lors de la récente élection présidentielle aux États-Unis. Le coup de coeur musical de Carina Branco : Avant qu’il n’y ait le monde, de l'album Palais d’argile, du groupe Feu! Chatterton. (sortie de Palais d'argile, leur 3ème opus, le 12 mars 2021).
Le Vietnam est le troisième exportateur mondial de riz. Pourtant, il se fournit en ce début d’année auprès de l’Inde, le champion mondial, pour la première fois depuis des décennies. C’est une situation quasiment inédite. Le Vietnam, pourtant géant du riz, en a commandé à l’Inde, ce qu’il n’avait pas fait depuis au moins vingt ans. 70 000 tonnes de riz indien ont pris la mer pour rejoindre les ports vietnamiens dans les deux mois qui viennent, a confié l’Association des exportateurs indiens à Reuters. Prix imbattable Qu’est-ce qui a poussé le Vietnam, troisième exportateur de riz, à s’approvisionner auprès d’un concurrent, l’Inde, premier fournisseur mondial ? Le prix imbattable de la céréale fournie par le géant d’Asie du Sud : 310 dollars la tonne. Certes, il s’agit de riz indien 100% brisure. De moindre qualité, il sera surtout destiné à l’alimentation animale ou à la transformation en bière et en alcool au Vietnam. Il n’empêche que même pour la qualité supérieure du 5% brisure, l’écart entre le riz vietnamien, 500 dollars la tonne, et le riz indien, 380 dollars, a rarement été aussi élevé. Disponibilité réduite au Vietnam et au Cambodge Les prix vietnamiens sont à leur plus haut niveau depuis neuf ans, parce que la production rizicole a été réduite par la sécheresse dans la péninsule indochinoise. La disponibilité exportable du Vietnam a, de ce fait, chuté de 3,5% en 2020, alors que la demande en particulier des Philippines reste soutenue. Pour la même raison, la disponibilité du Cambodge a également baissé. Or, « jusqu’à présent le Vietnam s’approvisionnait en riz de moindre qualité auprès du Cambodge voisin », souligne Patricio Mendez del Villar, économiste du Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement). Précédent chinois L’Inde remplace opportunément ce fournisseur de proximité : elle a beaucoup de riz à vendre. En décembre déjà, la compétitivité du riz indien avait convaincu la Chine, pourtant son rival diplomatique de toujours, d'en commander pour la première fois depuis trente ans. Cette fois, c'est le tour du Vietnam. « C’est aussi, selon l’expert, une façon pour le Vietnam de soutenir les cours mondiaux en achetant le riz des concurrents ! »
Le Vietnam a enregistré à ce jour très peu de dégâts liés à la pandémie. Les spécialistes de la mobilité internationale le désigne comme le paradis des expatriés. En cette période, bien que respectant le calendrier lunaire, les Vietnamiens fêtent Noël et la Saint-Sylvestre à leur manière, en attendant le nouvel an lunaire qui sera célébré le 6 février 2021. Explications de Georges Blanchard, expatrié au Vietnam depuis 28 ans, fondateur de l'ONG Alliance Anti Trafic et lauréat 2020 des Trophées des Français de l'étranger, catégorie « Social et Humanitaire ».
Le Vietnam n'est pas seulement réputé pour ses paysages magnifiques et ses sites imposants, témoins d'une histoire millénaire. Le pays est également renommé pour ses traditions ancestrales, au nombre desquelles figure la cuisine de rue. Même si elle est toujours appréciée des habitants, elle s'expose pourtant à certaines critiques... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Pour ce premier épisode, je prépare ma valise pour le Vietnam. Un pays que connaît bien mon amie Ann. Des plats à déguster à quelques conseils au niveau de la sécurité, elle va m'aider à être prête avant le décollage et me donner de nombreuses idées.
Thibaut et Brieuc, de l’association coup de pousse pouce, vient présenter le projet de son association. Cette année, ils souhaitent soutenir des enfants de 7 à 11 ans (niveau primaire) dans les villes de Ca Mau, Can Tho et Hai Phong. Pour voir la vidéo et les soutenir c’est ici : https://urlz.fr/dUVY
La Côte d’Ivoire vient d’annoncer qu’elle avait battu son record de production de noix de cajou, plus de 800 000 tonnes. Mais le marché de l’« or gris » est malheureusement en recul, en cette année de pandémie. La noix de cajou est source de fierté, mais aussi de déception cette année en Côte d’Ivoire, le premier producteur mondial. « Nous avons battu en 2020 les records des années précédentes », a déclaré à l’AFP le directeur du Conseil du coton et de l’anacarde, qui régit la filière ivoirienne de la noix de cajou. « Cette année nous allons dépasser les 800 000 tonnes et frôler les 900 000 tonnes ». Adama Coulibaly reconnaît cependant que le Covid-19 a eu un impact négatif sur la commercialisation de l’« or gris ». Le prix à l’international a baissé, dit-il, de 1 300 dollars la tonne avant le coronavirus à 800-900 dollars la tonne aujourd’hui. Record de production, mais difficultés à l’export La demande à l’export n’est pas au rendez-vous depuis le début de l’année. À cause du coronavirus qui a perturbé les chaînes logistiques, mais aussi de la baisse de la demande mondiale. Selon les analystes de N’Kalo, qui ne sont pas aussi optimistes que les autorités ivoiriennes sur l’ampleur de la production, les exportations ivoiriennes de noix brutes ont au premier semestre chuté de 61% vers l’Inde et de 45% vers le Vietnam. Elles ont été réduites à néant vers le Brésil. Or ce sont les trois principales destinations de la noix de cajou brute, pour son décorticage en amande. Les producteurs ivoiriens avaient encore à la fin du mois d’août 100 000 tonnes de noix brutes sur les bras. Les autorités ont alors versé une subvention de 100 francs CFA puis de 200 francs CFA aux acheteurs qui acceptaient de maintenir un prix correct de 400 francs CFA le kilo aux producteurs, sans beaucoup de succès. Le pari de la transformation locale Dans ce contexte, la Côte d’Ivoire parie de plus en plus sur la transformation locale. Une nouvelle usine de décorticage vient d’être inaugurée à Yamoussoukro. Encore faudra-t-il que la demande reparte aussi pour la noix de cajou transformée, à savoir l’amande de cajou. Les exportations ivoiriennes ont là aussi chuté de 20%. Si la demande d’amande blanche ivoirienne est en légère hausse en Europe, la demande d’amande non dépelliculée est inférieure à l’an dernier en Inde et au Vietnam. Heureusement les flux reprennent depuis quelques semaines pour la noix brute, surtout vers l’Inde. Le Vietnam s’inquiète aussi de son approvisionnement pour le dernier trimestre, il n’a pas de stock.
durée : 00:02:24 - Français du monde - Le pays a beau être limitrophe de la Chine, il a été relativement peu touché par la pandémie. Félicité par l'OMS pour sa gestion de la crise, le Vietnam a en fait appliqué les méthodes qui l'ont protégé du SRAS en 2003. Un Français témoigne.
Le coronavirus est loin d’être la première pandémie de l’ère moderne. Deux épidémies de grippe ont parcouru le monde à la fin des années 1950, et dix ans plus tard à la fin des années 1960 : la grippe asiatique puis la grippe de Hong Kong. (Rediffusion du 19/04/2020) Chacune de ces épidémies a fait entre 1 et 4 millions de morts dans le monde. Des épidémies un peu oubliées, mais que l’on peut très facilement comparer à celle du coronavirus aujourd’hui. Voici, en plus de la chronique Fréquence Asie que Christophe Paget a consacrée à ces deux pandémies, l’interview qu’il a réalisée avec Patrice Bourdelais, historien et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). RFI : Le coronavirus, comme la grippe asiatique ou la grippe de Hong Kong, vient de Chine. Est-ce que c’est une coïncidence ? Patrice Bourdelais : Au fond, toutes les grandes épidémies connaissent des sortes de « niches écologiques » : le choléra c’est plutôt le Bengale, Ebola l’Afrique centrale, et la Chine historiquement a donné naissance à pratiquement tous les virus grippaux. Même la grippe de Russie, qui atteint l’Europe en 1889-90 venait visiblement de la Chine centrale, tout comme la grippe asiatique qui atteint l’Europe en 1957-58 et dix ans plus tard la grippe dite de Hong Kong, qui atteint l’Europe en 1969, mais démarre en Chine centrale aux alentours du mois de février 1968, pendant la Révolution culturelle. Quels chemins ces deux épidémies ont-elles employés pour faire le tour du monde, et est-ce qu’ils ressemblent à celui pris ces derniers mois par le coronavirus ? Une épidémie au fond suit les grandes voies d’échange et de communication, donc très classiquement les caravanes autrefois, puis les grandes voies de l’échange marchand, mais aussi les déplacements des troupes militaires et les grands pèlerinages. Et donc ces épidémies sortent toujours par Hong Kong, qui est une place qui rayonne beaucoup. À partir de là, elles se dirigent classiquement vers le Japon, puis (ou en même temps) vers le sud-est asiatique : Vietnam, Singapour, Australie, Inde, Iran, puis les États-Unis, l’Europe, l’Afrique. La pandémisation se fait toujours de la même manière, à peu de choses près. Et en fait ce sont les soldats américains revenant de la guerre du Vietnam qui ont apporté le virus de la grippe de Hong Kong aux États-Unis. Oui, Le Vietnam avait été contaminé à partir de Hong Kong et de la Chine, et les soldats rentrant sur leurs bases en Californie rapportent l’épidémie au mois de septembre 1968. À partir de là, l’épidémie se diffuse aux États-Unis, au point qu’en décembre elle va faire 50 000 morts – donc c’est quand même une épidémie sérieuse, même à l’échelle des États-Unis. Elle se dirige ensuite vers l’Europe. Et est-ce que ces virus ont voyagé aussi rapidement que le coronavirus aujourd’hui ? Il y a deux facteurs importants : la rapidité des transports aériens et aussi le nombre de personnes transportées. Il y a eu un grand développement de ce mode de transport entre les deux épidémies, en 1968 il est assez rapide et surtout utilisé. Certes, ça n’a rien à voir avec la croissance que nous avons connue depuis le début des années 2000, mais l’épidémie de grippe hongkongaise est la première qui se déplace à la vitesse d’un avion de ligne. Est-ce que ces deux pandémies sont aussi graves, ou même plus graves, que celles du coronavirus ? Le nombre de morts est toujours sujet à caution : autant on connaît à peu près le nombre de victimes dans les pays occidentaux, autant quand il s’agit de collecter le nombre de décès en Afrique ou d’autres régions du monde (Asie, etc.), c’est beaucoup plus difficile, d’où l’utilisation de fourchettes. Par exemple pour la grippe asiatique, le chiffre de l’OMS est à quatre millions de morts, mais la fourchette va d’un à quatre millions. La grippe de Hong Kong fait moins de morts, autour d’un million, mais les estimations vont jusqu’à quatre. Ça veut dire simplement que ce sont deux grandes pandémies du XXe siècle. Qu’en est-il des conséquences économiques ? La grippe asiatique a eu des conséquences, par exemple boursières, avec un effondrement des cours - moins en France qu’à New York et à Londres, parce que l’effondrement était plus important dans les grandes places boursières que dans les plus petites – et Paris était plus petite… Mais il y a eu arrêt de l’activité, évidemment, sans pour autant qu’il y ait ce que nous connaissons aujourd’hui, c’est-à-dire des mesures d’arrêt de l’économie par confinement. La grosse différence est là quand même : ce modèle de confinement donné par la Chine de contrôle de l’épidémie et qui a été remis en selle en Europe par les Italiens et les Français. Abandonné depuis le XIXe siècle, ce vieux modèle médiéval avait été créé par les Italiens pour le contrôle des pestes : par quarantaine, lazaret (établissement de mise en quarantaine), cordon sanitaire. Il avait été abandonné, par l’Angleterre en particulier, vers 1860, et c’est le modèle anglais qui est ensuite devenu le grand modèle de gestion des épidémies : un système de néo-quarantaine, avec une visite médicale pour tout bateau arrivant dans un port anglais. Les personnes malades sont envoyées dans des « Fever Hospitals », aux autres on demande une adresse à laquelle ils peuvent être visités pour que leur état soit contrôlé pendant la semaine d’après. C’est ce système beaucoup plus souple, qui n’entravait pas le commerce et les échanges, qui a été maintenu jusqu’à il y a quelques mois. Donc nous sommes dans une situation radicalement nouvelle sur le plan historique : c’est une vraie rupture, qui nous renvoie à plus d’un siècle et demi en arrière, aux épidémies de choléra de 1831-32 en Europe. Vous parliez des effondrements boursiers lors de la grippe asiatique, lors de celle de Hong Kong dix ans plus tard, en France, l’économie est touchée ? Touchée, mais pas stoppée. On note que dans la région toulousaine il y a 15 % des cheminots qui sont grippés, donc il y a des trains annulés. On sait que cette épidémie suscite beaucoup d’arrêts de travail au point que la Caisse d’assurance maladie est obligée de fermer ses portes pendant toute la durée des vacances de Noël. La capacité industrielle baisse, elle est notable, mais il n’y a pas cet arrêt général, ces fermetures d’usines comme c’est aujourd’hui le cas. Les usines tournaient avec 20 % de personnel en moins. En France en tous cas, à la fin des années 1960, ni la presse ni le gouvernement ne semblent prendre la pandémie au sérieux… La grippe asiatique de 1957-1958 avait, elle, été traitée parce que la hantise de la grippe espagnole était toujours là – elle ne date que de quelques dizaines d’années. En outre les antibiotiques venaient d’être mis au point, et de nouvelles familles d’antibiotiques apparaissent tous les deux ans ou presque, donc il y avait une forme d’assurance sur le fait qu’on allait pouvoir faire face à cette grippe, en particulier en diminuant la mortalité grâce aux antibiotiques. Le milieu médical et pasteurien se mobilise, il venait de préparer des vaccins… Et finalement c’est une grippe qui passe ; elle fait quand même pas mal de morts (entre 15 et 20 000 quand même en France), mais que moins que la grippe de Hong Kong, beaucoup plus grave : 25 000 morts en décembre, 6 200 morts à la fin de l’épidémie en janvier. La grippe de Hong Kong qui sera donc elle, au contraire, peu médiatisée. Le politique gère à ce moment-là l’après-68, avec un mouvement social toujours présent. Le général De Gaulle est parti en avril, Georges Pompidou est arrivé aux élections de juin, et Jacques Chaban Delmas a lancé son grand projet de société nouvelle en septembre. L’agenda politique occupe tout le champ médiatique, politique et social, du coup le sanitaire n’a plus sa place. Même chose dans le monde où l’attention est focalisée sur les guerres – celle du Biafra par exemple. En plus on est là sur les dernières années d’une foi dans le progrès scientifique et médical telle que l’on pensait que l’on allait non pas contrôler, mais éradiquer toutes les maladies infectieuses (on n’a finalement réussi que pour la variole, et presque pour la poliomyélite). Comment l’Asie a vécu cette épidémie de grippe de Hong Kong ? Leur terreur, c’était la Révolution culturelle en Chine, et tous les troubles qu’elle engendrait. Évidemment, à partir du moment où la Chine « exporte » via Hong Kong son virus de grippe, la tension et la vigilance sont importantes, avec aux premières loges évidemment les gens de Hong Kong – encore sous contrôle anglais à ce moment-là. Mais aussi les Japonais avec leurs grands scientifiques et leur tradition de forte recherche dans le domaine de la bactériologie. Et puis aussi un comportement qui respecte des distances physiques ; et il y a un port du masque généralisé très tôt au Japon comme modèle de prévention, on voit tous ces Japonais masqués aux actualités au moment de la grippe de Hong Kong. Dans le pays, l’hygiène publique est très forte depuis le début du XXe siècle. Pour ce qui est de la Chine, elle ne gère plus rien à ce moment-là : les Gardes rouges sont partis vers les grandes villes chinoises, la structure du Parti communiste dans ces grandes villes est contestée, voire renversée. Il n’y a aucune place pour le sanitaire à ce moment-là en Chine. On a des estimations des chiffres de contaminations et de décès, mais tellement fantaisistes à mon avis que c’est peine perdue. Et Taïwan ? En Chine, pendant toute la période antérieure de grippe asiatique, il y avait aussi des dangers de peste et de choléra. Donc, à Taïwan, qui se protège beaucoup de la Chine, vous aviez une très grande vigilance sur le plan de la santé publique : les Taïwanais traquent vraiment de façon méticuleuse tout immigrant ou personne revenant de Chine continentale. Ils sont soumis à des examens médicaux et des quarantaines pour éviter l’importation de cas de choléra et de peste, mais aussi de grippe, fréquentes dans cette région. Il y a donc une sorte de « compétences acquises », puisque vous l’avez vu, Taiwan a géré l’épidémie de Covid-19 plutôt très bien. Avec évidemment des méthodes qui peuvent parfois nous choquer, parce qu’elles privilégient toujours l’intérêt collectif sur les libertés individuelles – et on sait que c’est un couple en tension dès qu’il y a une épidémie à gérer. Mais les résultats pour l’instant du Japon, de la Corée du Sud, mais aussi de Taïwan sont assez remarquables et montrent qu’il y a sûrement plusieurs modèles de gestion d’une épidémie. Qu’est-ce que ces deux pandémies nous ont appris, qu’est-ce qu’elles ont changé ? La grippe de Hong Kong a donné beaucoup de renseignements et permis de commencer à modéliser les épidémies de grippe, ce qui était important sur le plan épidémiologique. Cette deuxième grippe a convaincu aussi qu’il fallait industrialiser la production de vaccins, puisque les laboratoires Mérieux et Pasteur n’étaient pas capables à ce moment-là de fournir suffisamment de doses pour vacciner quelques millions de Français. En outre, on s’est aperçu aussi en 1968-69 en particulier qu’il y avait une surmortalité des personnes âgées, et c’est à partir de la grippe de Hong Kong qu’on leur a fortement conseillé de se faire vacciner contre la grippe. D’ailleurs quelques années plus tard, en 1984, la vaccination contre la grippe sera remboursée pour les personnes de plus de 75 ans par la sécurité sociale.
Dans cet épisode, nous découvrons les souvenirs culinaires de Vy, infirmière vivant en France depuis plus de dix ans. Entre la description de ses plats du quotidien, ses petits plaisirs d'enfance et les divers "funny facts" liés à la cuisine vietnamienne, Vy nous emmène en voyage. Saviez-vous que le pho et le banh mi ont puisé leurs origines dans la gastronomie française? Que l'une des règles d'or de la cuisine viet est la multiplicité des textures? Que les vietnamiens ont un saitn patron de la gastronomie? ------------------------------------------------------------------------- A la fin de l'épisode, Vy nous conseille une adresse: FOYER VIETNAM 35 Rue de Montholon 75009 Paris Metro: Cadet Plus de détails sur notre séance dégustation sur le compte Instagram @metropoleat
Née en Suisse de parents vietnamiens qui sont partis y étudier avant la guerre, Kim a connu Singapour à 12 ans, quand son père y est devenu expatrié. Cela lui donnera l'envie d'y revenir, après ses études à Lausanne. Elle est maintenant installée à Singapour depuis six ans, et nous raconte comment le Vietnam essaie d'attirer les "viet kyeu", diaspora vietnamienne ayant grandi et travaillé à l'étranger. Elle nous décrit les opportunités professionnelles qui se développent au Vietnam, et invite à la circulation des personnes, aux échanges entre l'Orient et l'Occident. Elle nous emmène aussi à Hue, au Vietnam, à la recherche de sa lignée princière... Ecoutez, partagez, et suivez-nous sur notre compte Facebook et Instagram pour plus d'infos sur nos invités et les sujets évoqués !
Le Vietnam, un pays qui a surpris tout le monde dans sa très bonne gestion de l'épidémie. D'ailleurs, la France a prévu de se faire livrer par une cinquantaine de vols en provenance du Vietnam, des masques grand public, ceux qui sont lavables.
Le prix négatif du pétrole atteint la semaine dernière présage-t-il le déclin de l’industrie pétrolière ? C’est la question qui hante les producteurs américains alors que le brut coté à New York continue à perdre du terrain sur les marchés à terme ( -25% hier lundi et déjà -15% ce mardi matin en Asie ). Dans cette industrie de légende, jamais personne n’avait osé imaginer un scénario aussi cauchemardesque : un baril à un prix négatif, cela risque pourtant de se répéter dans les prochaines heures. Cet évènement impensé est attribué à une anomalie de la chaine industrielle : le manque de stockage de brut, qui finira bien par disparaître une fois la demande revenue. Un évènement temporaire et donc a priori peu signifiant pour l’avenir. Pourtant, cette pénurie de cuves, d’oléoducs aux États-Unis intrigue : comment se fait-il que le pays qui est redevenu le premier producteur mondial de pétrole n’a pas construit de nouvelles capacités ? « Pas assez rentable » répondent les investisseurs, car il faut des décennies pour amortir ces nouveaux équipements. Or le filon du schiste a été creusé à coup d’endettement record et il repose sur un pari, celui d’un cours élevé du pétrole. La plupart des nouveaux venus perdent de l’argent quand le baril vaut moins de 40 dollars. En clair une activité opportuniste et précaire, pas conçue pour le temps long. Au niveau actuel des cours, les jours de ces entreprises fragiles sont comptés. Donald Trump veut soutenir cette activité qui symbolise le retour de la grandeur de l’Amérique, les investisseurs privés seront plus difficile à convaincre. « Nous avons détruit le capital qu’on nous a prêté, plus personne aujourd’hui ne nous soutiendra » reconnait le directeur de Pioneer Natural Resources, l’une des plus grandes sociétés texanes de pétrole de schiste. Les majors sont-elles mieux armées pour survivre à cet effondrement des cours ? Elles ont effectivement des réserves de cash importantes, elles pourraient d’ailleurs mettre la main sur les pépites du schiste américain, mais contrairement à ce qu’on a pu penser au début de la pandémie, elles ne sont pas immunisées contre la récession provoquée par le coronavirus. Elles aussi subissent la pression des investisseurs. On verra dans les jours qui viennent, avec la publication de leurs résultats du premier trimestre, si elles sont en mesure de verser des dividendes, et si elles sacrifient leurs dépenses d’investissement. Une perspective pas très réjouissante pour les actionnaires. Dans ce cas, vont-ils conserver ces titres dans leur portefeuille si les profits jusqu’alors réguliers et juteux s’évaporent ? Quand la demande repartira, l’industrie pétrolière retrouvera-t-elle son pouvoir d’attraction auprès des investisseurs ? Une baisse de la demande de pétrole de 30%, c’est la vraie cause de la chute des marchés et c’est un choc totalement inédit et difficile aujourd’hui de prévoir un retour à la normal rapide avec le transport aérien en berne pour longtemps. Une étude parue l’an dernier prévoyait que le baril pourrait dégringoler dans la zone des 10-20 dollars en cas de succès du véhicule électrique. Le coronavirus a généré en accéléré un test de résistance grandeur nature pour voir comment elle peut survivre à cet environnement de prix ultra bas. L’or noir demeure vital pour l’activité, c’est encore le sang de l’économie, mais l’industrie doit dorénavant s’adapter à l’effacement de la demande, accidentel ou pas, pour garder la confiance des investisseurs. Car cette expérience laissera des traces dans leur mémoire: ils savent dorénavant que la soif de brut n'est pas inextinguible. ► En bref Au Vietnam le ministre du Commerce propose la levée de l'embargo sur les exportations de riz Cette annonce est un soulagement sur ce marché tendu. Le Vietnam, troisième exportateur mondial, pourrait vendre à l’étranger un million 300 000 tonnes de riz entre mai et mi-juin. Le magnat des télécoms Strive Masiyiwa, originaire du Zimbabwe, lance un appel à l'aide pour son pays et le Soudan Deux pays exclus du moratoire sur le service de la dette accordée par le G20 et les membres du club de Paris. À cause des sanctions américaines prises contre eux, ils ne peuvent PAS bénéficier de l'aide des institutions internationales.
durée : 00:02:28 - Un monde d'avance - Dans ce pays d'Asie du Sud-Est, où l'épidémie de Covid-19 est maîtrisée, le déconfinement débute dès le 23 avril.
Une émission sur la musique du Vietnam entre tradition et modernité, comme on disait dans nos dissertations du collège. Une émission à deux avec des artistes de Ho-Chi-Minh-Ville, la plus grande ville et Hanoï, la capitale, présentés ici sans distinction. Un procédé que l'on avait déjà utilisé pour notre épisode au Laos. Le Vietnam, un pays rock n roll depuis les année 50, où l'on causera de l'héritage de la guerre et de l'embargo sur les produits américains. Avec de la V-Pop (pop vietnamienne) de plus ou moins bon goût et des musiques électroniques plus expérimentales. La musique du Vietnam Carol Kim - Tình Ta Như Lửa Đơm Hoa The Flob - NHIỀU CHUYỆN Thanh Lan - Tình Đêm Liên Hoan Mademoiselle - Chàng trai mặc áo xanh Hoàng Thùy Linh - Bánh Trôi Nước Tenkitsune - Latte Mr.T ft. Hòa Minzy - Ăn Gì Đây 2 Soul Awakener (Nhung Nguyen) & Dalot - Inside Rắn Cạp Đuôi Collective - Rite Nao Abonnez-vous dans nos réseaux Même après 150 épisode, c'est toujours pareil : pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l'intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates).
Une émission sur la musique du Vietnam entre tradition et modernité, comme on disait dans nos dissertations du collège. Une émission à deux avec des artistes de Ho-Chi-Minh-Ville, la plus grande ville et Hanoï, la capitale, présentés ici sans distinction. Un procédé que l'on avait déjà utilisé pour notre épisode au Laos. Le Vietnam, un pays rock n roll depuis les année 50, où l'on causera de l'héritage de la guerre et de l'embargo sur les produits américains. Avec de la V-Pop (pop vietnamienne) de plus ou moins bon goût et des musiques électroniques plus expérimentales. La musique du Vietnam Carol Kim - Tình Ta Như Lửa Đơm Hoa The Flob - NHIỀU CHUYỆN Thanh Lan - Tình Đêm Liên Hoan Mademoiselle - Chàng trai mặc áo xanh Hoàng Thùy Linh - Bánh Trôi Nước Tenkitsune - Latte Mr.T ft. Hòa Minzy - Ăn Gì Đây 2 Soul Awakener (Nhung Nguyen) et Dalot - Inside Rắn Cạp Đuôi Collective - Rite Nao Abonnez-vous dans nos réseaux Même après 150 épisode, c’est toujours pareil : pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l’intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates). Une émission animée et réalisée par Thomas Guillot et Maxime Valette Mappemonde est une émission créée par Thomas Guillot pour Radio Campus Paris. Générique réalisé par Antonin Rey. Photo: Hanoi © Silver Ringvee on Unsplash
Le coronavirus est loin d’être la première pandémie de l’ère moderne. Deux épidémies de grippe ont parcouru le monde à la fin des années 1950, et dix ans plus tard à la fin des années 1960 : la grippe asiatique puis la grippe de Hong Kong. Chacune de ces épidémies a fait entre 1 et 4 millions de morts dans le monde. Des épidémies un peu oubliées, mais que l’on peut très facilement comparer à celle du Coronavirus aujourd’hui. Voici, en plus de la chronique Fréquence Asie que Christophe Paget a consacré à ces deux pandémies, l’interview qu’il a réalisée avec Patrice Bourdelais, historien et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). RFI : Le coronavirus, comme la grippe asiatique ou la grippe de Hong Kong, vient de Chine. Est-ce que c’est une coïncidence ? Patrice Bourdelais : Au fond, toutes les grandes épidémies connaissent des sortes de « niches écologiques » : le choléra c’est plutôt le Bengale, Ebola l’Afrique centrale, et la Chine historiquement a donné naissance à pratiquement tous les virus grippaux. Même la grippe de Russie, qui atteint l’Europe en 1889-90 venait visiblement de la Chine centrale, tout comme la grippe asiatique qui atteint l’Europe en 1957-58 et dix ans plus tard la grippe dite de Hong Kong, qui atteint l’Europe en 1969, mais démarre en Chine centrale aux alentours du mois de février 1968, pendant la Révolution culturelle. Quels chemins ces deux épidémies ont-elles employés pour faire le tour du monde, et est-ce qu’ils ressemblent à celui pris ces derniers mois par le coronavirus ? Une épidémie au fond suit les grandes voies d’échange et de communication, donc très classiquement les caravanes autrefois, puis les grandes voies de l’échange marchand, mais aussi les déplacements des troupes militaires et les grands pèlerinages. Et donc ces épidémies sortent toujours par Hong Kong, qui est une place qui rayonne beaucoup. À partir de là, elles se dirigent classiquement vers le Japon, puis (ou en même temps) vers le sud-est asiatique : Vietnam, Singapour, Australie, Inde, Iran, puis les États-Unis, l’Europe, l’Afrique. La pandémisation se fait toujours de la même manière, à peu de choses près. Et en fait ce sont les soldats américains revenant de la guerre du Vietnam qui ont apporté le virus de la grippe de Hong Kong aux États-Unis. Oui, Le Vietnam avait été contaminé à partir de Hong Kong et de la Chine, et les soldats rentrant sur leurs bases en Californie rapportent l’épidémie au mois de septembre 1968. À partir de là, l’épidémie se diffuse aux États-Unis, au point qu’en décembre elle va faire 50 000 morts – donc c’est quand même une épidémie sérieuse, même à l’échelle des États-Unis. Elle se dirige ensuite vers l’Europe. Et est-ce que ces virus ont voyagé aussi rapidement que le coronavirus aujourd’hui ? Il y a deux facteurs importants : la rapidité des transports aériens et aussi le nombre de personnes transportées. Il y a eu un grand développement de ce mode de transport entre les deux épidémies, en 1968 il est assez rapide et surtout utilisé. Certes, ça n’a rien à voir avec la croissance que nous avons connue depuis le début des années 2000, mais l’épidémie de grippe hongkongaise est la première qui se déplace à la vitesse d’un avion de ligne. Est-ce que ces deux pandémies sont aussi graves, ou même plus graves, que celles du coronavirus ? Le nombre de morts est toujours sujet à caution : autant on connaît à peu près le nombre de victimes dans les pays occidentaux, autant quand il s’agit de collecter le nombre de décès en Afrique ou d’autres régions du monde (Asie, etc.), c’est beaucoup plus difficile, d’où l’utilisation de fourchettes. Par exemple pour la grippe asiatique, le chiffre de l’OMS est à quatre millions de morts, mais la fourchette va d’un à quatre millions. La grippe de Hong Kong fait moins de morts, autour d’un million, mais les estimations vont jusqu’à quatre. Ça veut dire simplement que ce sont deux grandes pandémies du XXe siècle. Qu’en est-il des conséquences économiques ? La grippe asiatique a eu des conséquences, par exemple boursières, avec un effondrement des cours - moins en France qu’à New York et à Londres, parce que l’effondrement était plus important dans les grandes places boursières que dans les plus petites – et Paris était plus petite… Mais il y a eu arrêt de l’activité, évidemment, sans pour autant qu’il y ait ce que nous connaissons aujourd’hui, c’est-à-dire des mesures d’arrêt de l’économie par confinement. La grosse différence est là quand même : ce modèle de confinement donné par la Chine de contrôle de l’épidémie et qui a été remis en selle en Europe par les Italiens et les Français. Abandonné depuis le XIXe siècle, ce vieux modèle médiéval avait été créé par les Italiens pour le contrôle des pestes : par quarantaine, lazaret (établissement de mise en quarantaine), cordon sanitaire. Il avait été abandonné, par l’Angleterre en particulier, vers 1860, et c’est le modèle anglais qui est ensuite devenu le grand modèle de gestion des épidémies : un système de néo-quarantaine, avec une visite médicale pour tout bateau arrivant dans un port anglais. Les personnes malades sont envoyées dans des « Fever Hospitals », aux autres on demande une adresse à laquelle ils peuvent être visités pour que leur état soit contrôlé pendant la semaine d’après. C’est ce système beaucoup plus souple, qui n’entravait pas le commerce et les échanges, qui a été maintenu jusqu’à il y a quelques mois. Donc nous sommes dans une situation radicalement nouvelle sur le plan historique : c’est une vraie rupture, qui nous renvoie à plus d’un siècle et demi en arrière, aux épidémies de choléra de 1831-32 en Europe. Vous parliez des effondrements boursiers lors de la grippe asiatique, lors de celle de Hong Kong dix ans plus tard, en France, l’économie est touchée ? Touchée, mais pas stoppée. On note que dans la région toulousaine il y a 15 % des cheminots qui sont grippés, donc il y a des trains annulés. On sait que cette épidémie suscite beaucoup d’arrêts de travail au point que la Caisse d’assurance maladie est obligée de fermer ses portes pendant toute la durée des vacances de Noël. La capacité industrielle baisse, elle est notable, mais il n’y a pas cet arrêt général, ces fermetures d’usines comme c’est aujourd’hui le cas. Les usines tournaient avec 20 % de personnel en moins. En France en tous cas, à la fin des années 1960, ni la presse ni le gouvernement ne semblent prendre la pandémie au sérieux… La grippe asiatique de 1957-1958 avait, elle, été traitée parce que la hantise de la grippe espagnole était toujours là – elle ne date que de quelques dizaines d’années. En outre les antibiotiques venaient d’être mis au point, et de nouvelles familles d’antibiotiques apparaissent tous les deux ans ou presque, donc il y avait une forme d’assurance sur le fait qu’on allait pouvoir faire face à cette grippe, en particulier en diminuant la mortalité grâce aux antibiotiques. Le milieu médical et pasteurien se mobilise, il venait de préparer des vaccins… Et finalement c’est une grippe qui passe ; elle fait quand même pas mal de morts (entre 15 et 20 000 quand même en France), mais que moins que la grippe de Hong Kong, beaucoup plus grave : 25 000 morts en décembre, 6 200 morts à la fin de l’épidémie en janvier. La grippe de Hong Kong qui sera donc elle, au contraire, peu médiatisée. Le politique gère à ce moment-là l’après-68, avec un mouvement social toujours présent. Le général De Gaulle est parti en avril, Georges Pompidou est arrivé aux élections de juin, et Jacques Chaban Delmas a lancé son grand projet de société nouvelle en septembre. L’agenda politique occupe tout le champ médiatique, politique et social, du coup le sanitaire n’a plus sa place. Même chose dans le monde où l’attention est focalisée sur les guerres – celle du Biafra par exemple. En plus on est là sur les dernières années d’une foi dans le progrès scientifique et médical telle que l’on pensait que l’on allait non pas contrôler, mais éradiquer toutes les maladies infectieuses (on n’a finalement réussi que pour la variole, et presque pour la poliomyélite). Comment l’Asie a vécu cette épidémie de grippe de Hong Kong ? Leur terreur, c’était la Révolution culturelle en Chine, et tous les troubles qu’elle engendrait. Évidemment, à partir du moment où la Chine « exporte » via Hong Kong son virus de grippe, la tension et la vigilance sont importantes, avec aux premières loges évidemment les gens de Hong Kong – encore sous contrôle anglais à ce moment-là. Mais aussi les Japonais avec leurs grands scientifiques et leur tradition de forte recherche dans le domaine de la bactériologie. Et puis aussi un comportement qui respecte des distances physiques ; et il y a un port du masque généralisé très tôt au Japon comme modèle de prévention, on voit tous ces Japonais masqués aux actualités au moment de la grippe de Hong Kong. Dans le pays, l’hygiène publique est très forte depuis le début du XXe siècle. Pour ce qui est de la Chine, elle ne gère plus rien à ce moment-là : les Gardes rouges sont partis vers les grandes villes chinoises, la structure du Parti communiste dans ces grandes villes est contestée, voire renversée. Il n’y a aucune place pour le sanitaire à ce moment-là en Chine. On a des estimations des chiffres de contaminations et de décès, mais tellement fantaisistes à mon avis que c’est peine perdue. Et Taïwan ? En Chine, pendant toute la période antérieure de grippe asiatique, il y avait aussi des dangers de peste et de choléra. Donc, à Taïwan, qui se protège beaucoup de la Chine, vous aviez une très grande vigilance sur le plan de la santé publique : les Taïwanais traquent vraiment de façon méticuleuse tout immigrant ou personne revenant de Chine continentale. Ils sont soumis à des examens médicaux et des quarantaines pour éviter l’importation de cas de choléra et de peste, mais aussi de grippe, fréquentes dans cette région. Il y a donc une sorte de « compétences acquises », puisque vous l’avez vu, Taiwan a géré l’épidémie de Covid-19 plutôt très bien. Avec évidemment des méthodes qui peuvent parfois nous choquer, parce qu’elles privilégient toujours l’intérêt collectif sur les libertés individuelles – et on sait que c’est un couple en tension dès qu’il y a une épidémie à gérer. Mais les résultats pour l’instant du Japon, de la Corée du Sud, mais aussi de Taïwan sont assez remarquables et montrent qu’il y a sûrement plusieurs modèles de gestion d’une épidémie. Qu’est-ce que ces deux pandémies nous ont appris, qu’est-ce qu’elles ont changé ? La grippe de Hong Kong a donné beaucoup de renseignements et permis de commencer à modéliser les épidémies de grippe, ce qui était important sur le plan épidémiologique. Cette deuxième grippe a convaincu aussi qu’il fallait industrialiser la production de vaccins, puisque les laboratoires Mérieux et Pasteur n’étaient pas capables à ce moment-là de fournir suffisamment de doses pour vacciner quelques millions de Français. En outre, on s’est aperçu aussi en 1968-69 en particulier qu’il y avait une surmortalité des personnes âgées, et c’est à partir de la grippe de Hong Kong qu’on leur a fortement conseillé de se faire vacciner contre la grippe. D’ailleurs quelques années plus tard, en 1984, la vaccination contre la grippe sera remboursée pour les personnes de plus de 75 ans par la sécurité sociale.
TTC et la classe gagnante de son concours boursier s’envolent pour Saigon et Hanoï début mars. Objectif pour le magazine économique : comprendre le développement spectaculaire du Vietnam. A plus de 7%, le pays connaît le taux de croissance le plus élevé au monde. Plus fort que la Chine ! Le Vietnam attire chaque année davantage de touristes et d’investisseurs.
Fintech, cleantech, e-commerce... Avec 70% de sa population âgée de moins de 30 ans le Vietnam est devenu une véritable terre de startups, innovante dans de nombreux secteurs. Avec une politique d'innovation forte et dynamique, ainsi qu'un niveau d'éducation très poussé, le pays a formé de nombreuses ressources très pointues dans les nouvelles technologies : le Vietnam attire désormais des entreprises du monde entier pour s'y implanter localement, mais également pour rayonner depuis l'Asie sur le plan international. Explications avec Thuy Bui, directeur général de Linkbynet Vietnam. Le coup de fil à Business France nous dévoilera les opportunités de marché dans cette région de l'Asie. https://www.teamfrance-export.fr/evenements/39000
Bienvenue dans ce nouvel épisode de You Are the Driver. Aujourd'hui nous accueillons Vivienne. Dans ce podcast elle nous parle de son adoption, de son parcours et de son arrivée en France à l'âge de 2 ans. On évoquera avec elle le sentiment d'appartenance à deux cultures différentes : Française et Vietnamienne, mais aussi du besoin de (re) découvrir d'où l'on vient. On espère que cet épisode, beau et touchant, vous plaira. On vous souhaite une bonne écoute! Anna & Rachel Vous pouvez nous retrouvez sur instagram à https://instagram.com/youarethedriver?igshid=1quhqwl1zf797
Dans cet épisode, je te raconte mon voyage au Vietnam, qui a été très différent de mon expérience précédente en Chine. Je suis passée par Sapa, Hanoi, Cat Ba, Ninh Binh, Hoi An et Hô Chi Minh, j'ai participé à un super atelier de sculpture de pierre et j'ai fêté mon 25ème anniversaire. Bonne écoute ♥ ✨ CADEAU Tu as prévu de réserver un hôtel prochainement ? 10% remboursés sur ton séjour si tu passes par ce lien : https://www.booking.com/s/32_8/87613e35 ✨ RETROUVE-MOI AUSSI SUR Instagram - https://www.instagram.com/juliepoulainpro Facebook - https://www.facebook.com/juliepoulainpro Snapchat - https://www.snapchat.com/add/juliepoulainpro YouTube - https://bit.ly/JuliePoulainYoutube
« Le Vietnam a un goût compliqué », soupire Kim Thúy lorsqu’elle songe à son pays natal. Là-bas, tout la rend heureuse : sa famille, la nourriture, la beauté de la baie d’Along ou bien la vie foisonnante d’Hanoï. Pourtant, à chaque visite, ce sont les silences intérieurs, l’inconfort et la tristesse qui s’emparent d’elle. L’auteure plonge dans son enfance pour comprendre les émotions contraires qui l’habitent lorsqu’elle retourne au Vietnam.
Je vous emmène à Ho Chi Minh Ville à la rencontre de Claire Bailliez. L'expatriation a permis à Claire de devenir coach en intelligence relationnelle. Claire va nous expliquer comment, suite à la rencontre avec la méditation et le yoga, elle a réussi à mettre ces valeurs très spirituelles au coeur de son activité. La spiritualité au service du Business?! C'est possible dans Expat Heroes! Pour soutenir le podcast, RDV sur https://www.tipeee.com/expat-heroes. QUESTIONS: 1. Avec le recul, comment as-tu vécu cette décision de départ vers le Vietnam? [00:45] 2. As-tu eu le sentiment de t'être sacrifiée? [02:39] 3. Pourquoi cette envie de reconversion? [03:32] 4. Frustrée d'être en même temps enceinte et d'avoir son projet, pourquoi? [06:45] 5. Lancer son activité a été un voyage intérieur pour toi, qu'as-tu appris? [09:33] 6. Est-ce que tu t'es fait accompagnée? [11:39] 7. Mettre le coeur au centre de son activité business, comment on fait concrètement?! [13:43] 8. Le projet Inspiring Women [16:51] 9. Les principaux challenges que tu as relevés en devenant entrepreneure? [18:37] ...pour bien s'installer à Ho Chi Minh Ville au Vietnam [20:33] NOTES ET EXTRAITS: "Quand le projet nous est tombé dessus, on s'est dit, c'est un signe, ça n'arrive pas 2 fois alors on y va!" "Ça a été une expérience difficile parfois douloureuse, mais ça nous a fait grandir l'un et l'autre, on a découvert des expériences fabuleuses, rencontré des gens merveilleux et encore aujourd'hui, c'est une expérience qui continue de nous enrichir." "Je n'ai pas eu le sentiment de mettre ma vie et ma carrière entre parenthèses." "On devient femme de. On se sent invisible, inutile. Un besoin criant de reprendre les rênes." "Je me suis dit, je vais créer mon idéal, la vie dont je rêve on ne l'a pas souvent dans la vie, donc fallait la saisir." "Etre dépendante financièrement de mon mari était une vraie frustration, ça signifiait pour moi manquer de liberté, ça me donnait l'impression d'être prisonnière dans une cage dorée. Créer mon entreprise c'était retrouver mon indépendance, ré-accéder à ma liberté." "A chaque grossesse, je me suis rendue compte que j'accouchais à chaque fois d'un nouveau projet". "Découvrir que j'étais surdouée m'a libéré sur beaucoup de choses, dans mon couple, dans la façon de me positionner dans mon entreprise. J'ai pu mettre des mots sur tous les maux que je ressentais. C'est comme si j'avais remis une pièce du puzzle dans ma vie. Cette quête identitaire personnelle m'a permis de construire mon identité de marque." "C'est plus une capacité à être qu'à faire. J'ai appris à faire stop. J'ai fait la rencontre de la méditation et du yoga qui m'accompagnent au quotidien pour me rappeler à prendre le temps d'être". "Aller voir au delà du business, qu'est-ce qui est important pour toi, quels sont tes besoins. Au début c'était avoir de l'argent. Mais à essayer de satisfaire ce besoin, mon niveau d'énergie était très bas. J'arrivais pas à me reconnecter à cette joie. Le besoin pour moi était de retrouver cette joie ce plaisir. Les choix que tu fais s'alignent ensuite beaucoup plus avec ce que tu es. L'argent n'est qu'une conséquence." "Se reconnecter à ses propres forces, son rêve, son idéal, sa capacité d'être créative et d'innover, le bonheur pour soi." "Le Vietnam est vraiment un pays de contrastes, c'est vraiment soit on aime, soit on déteste." "Le silence est un luxe au Vietnam". LIENS: Structures enseignant le français à Ho Chi Minh Ville L'association franco-vietnamienne Groupe Facebook Expats in Ho Chi Minh Granaskills 10 pistes pour devenir un leader éclairé - Les Echos Business Guide Lonely Planet Vietnam 13ed - Anglais Cet épisode vous a plu ? La meilleure façon de soutenir le podcast est de laisser un avis 5 étoiles sur Apple Podcasts ça permettra à d'autres de le découvrir plus facilement. Vous pouvez aussi m'aider financièrement à le développer en versant un euro par mois sur la plateforme tipeee htt...
Envie de voyager ou de vivre au Vietnam ? De mieux comprendre ce pays ? Après 9 mois au Vietnam, je me suis rendu compte à quel point la culture y est différente. Dans ce podcast, je vous partage mon ressenti et mes expériences dans ce pays. Vous allez découvrir la réalité du Vietnam, les bons comme les mauvais côtés, les habitudes surprenantes des Vietnamiens et mes conseils pour profiter un maximum de votre voyage dans ce pays. Écoutez tout de suite l'épisode (56 min) : Vietnam/France : les différences culturelles La suite est un court résumé, j'en dis beaucoup plus dans le podcast ;) Avant d'arriver au Vietnam, j'ai remarqué que les avis sur ce pays étaient très contrastés. Certains le détestent et ont eu de mauvaises expériences, alors que certains ont adorés et n'ont qu'une envie, y revenir. Après 9 mois ici, entre mon voyage en moto dans le Nord et mon installation à Da Nang, dans le centre, je comprends mieux pourquoi l'opinion des voyageurs est si tranchée. Le Vietnam est un pays si différent de la France — et de la culture occidentale — que l'adaptation se révèle souvent compliquée. Voici les 10 différences culturelles entre le Vietnam et la France et mes conseils pour mieux vous adapter : 1) Pays des deux roues Au Vietnam, les scooters sont rois et 90% de la population se déplace en deux roues. En France, on utilise essentiellement les voitures et transports en commun, la physionomie des villes et des déplacements sont donc différents. Même si la circulation semble chaotique, on s'y habitue rapidement. Conseil : Essayez de louer un scooter pour mieux découvrir le Vietnam et éviter d'être cantonné dans les endroits touristiques. 2) Vivre dans la rue La rue fait office de prolongement des maisons et devient un véritable lieu de vie au Vietnam. Il n'est pas rare de voir les gens en train de boire, manger ou jouer sur le trottoir, devant leur maison. La notion d'espace public/privé est différente de celui que nous avons en France. Au Vietnam, il est courant d'avoir les maisons ouvertes à la vue de tout le monde, alors qu'en France, nous tentons au maximum de nous renfermer et de protéger cet espace privé. Conseil : Ne vous étonnez pas de voir une telle activité dans la rue et profitez des invitations si elles se présentent. 3) Façon de manger Au Vietnam, on mange très souvent à l'extérieur et profite de la street food à un prix défiant toute concurrence. Entre le stand tenant sur une moto, un étal sur le trottoir ou des restaurants plus classiques, le choix est grand. Les Vietnamiens choisissent en général de manger dans la rue, sur des mini-tables et mini-chaises, assez serré, mais aussi convivial. Baguettes ou cuillère au programme, il faut s'y habituer. En France, la culture de la street food est quasi-inexistante et le duo fourchette/couteau est roi ; il faudra sortir un peu de votre zone de confort. Conseil : Essayez la street food à tout prix lors de votre voyage. 4) Société et mœurs très conservatrices La société au Vietnam est très traditionnelle. Qu'il s'agisse du rôle central de la famille et du mariage, des rencontres amoureuses très "vieux jeu", des signes d'affections en couple quasi prohibés en public ou encore un tabou important autour du sexe. Quand j'explique qu'en France, on peut avoir des enfants et vivre en couple sans être marié, les Vietnamiens tombent souvent des nues et ne comprennent pas comment c'est possible. Conseil : Pour les couples, faites attention à ne pas abuser de baisez trop vigoureux en public et pour les célibataires, sachez que la drague est bien différente. 5) Importance du bouddhisme Au Vietnam, le bouddhisme est roi et représente la religion nationale. Les temples sont aussi omniprésents que sont les églises en France, par contre la foi est beaucoup plus présente. Les Vietnamiens vont régulièrement aux temples, font des offrandes plusieurs fois par mois dans la rue, possèdent des autels dans leurs maisons,
Un entretien avec le professeur Philippe Papin, spécialiste du Vietnam! On y parle de la situation à la veille de la Guerre Civile de 1511-1522, comment lire la carrière de Mac Dang Dung et de comparaison avec l'Empire Romain!
#61 - "Le Vietnam" à Martigny et Monthey, "Élan fatal" au Crochetan et "Le samedi des bibliothèques vaudoises" à Vevey
Aujourd'hui on regarde ce qu'il se passe du côté du Vietnam. On va voir que la Chine a le plus gros bâton du coin et aime bien taper sur ses petits camarades. De l'autre côté, on va voir que le Vietnam n'aime pas particulièrement se prendre des coups de bâtons.
Au programme : Tomb Raider (jeu vidéo, pour tous) Broforce (jeu vidéo, pour fans) Babylon 5 (serie, pour fans) Plus d'infos sur l'épisode : Les animateurs sont Patrick (@NotPatrick), Daniel (@notdany), Nath (+NathBerggren). Le générique est composé par Daniel Beja. La mise en ligne est assurée par Florent Berthelot. Commentez cet épisode et retrouvez d'autres émissions sur frenchspin.com ! See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.