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Livre international
Éric Meyer retrace le parcours du président chinois dans la BD «Xi Jinping, l'empereur du silence»

Livre international

Play Episode Listen Later Nov 9, 2024 6:54


Il est le maître absolu et redouté de son pays, la Chine : Xi Jinping, secrétaire général du Parti communiste et « président à vie ». Mais qui est-il vraiment ? Un dictateur en quête de diriger le monde ? Un homme avide de pouvoir qui a éliminé un par un ses rivaux pour régner sans partage sur le Parti et les 1,4 milliards de Chinois ? Quelles sont ses convictions ? Quels sont ses succès et ses échecs ? Dans la bande dessinée « Xi Jinping, l'empereur du silence », l'auteur Eric Meyer et le dessinateur Gianluca Costantini déroulent le film de sa vie, allant de son enfance dorée et puis la disgrâce de sa famille jusqu'en 2022, l'année du couronnement à un troisième mandat reconductible. Heike Schmidt a rencontré le journaliste et écrivain Eric Meyer, qui a passé plus d'une trentaine d'années en Chine, à Paris.  À lire aussiChine: une série télévisée à la gloire de Xi Zhongxun, le père de Xi Jinping

Livre international
Éric Meyer retrace le parcours du président chinois dans la BD «Xi Jinping, l'empereur du silence»

Livre international

Play Episode Listen Later Nov 9, 2024 6:54


Il est le maître absolu et redouté de son pays, la Chine : Xi Jinping, secrétaire général du Parti communiste et « président à vie ». Mais qui est-il vraiment ? Un dictateur en quête de diriger le monde ? Un homme avide de pouvoir qui a éliminé un par un ses rivaux pour régner sans partage sur le Parti et les 1,4 milliards de Chinois ? Quelles sont ses convictions ? Quels sont ses succès et ses échecs ? Dans la bande dessinée « Xi Jinping, l'empereur du silence », l'auteur Eric Meyer et le dessinateur Gianluca Costantini déroulent le film de sa vie, allant de son enfance dorée et puis la disgrâce de sa famille jusqu'en 2022, l'année du couronnement à un troisième mandat reconductible. Heike Schmidt a rencontré le journaliste et écrivain Eric Meyer, qui a passé plus d'une trentaine d'années en Chine, à Paris.  À lire aussiChine: une série télévisée à la gloire de Xi Zhongxun, le père de Xi Jinping

Revue de presse internationale
À la Une: l'agent orange en procès?

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Aug 22, 2024 4:36


Décision attendue ce jeudi de la Cour d'appel de Paris dans le procès mené contre Bayer-Monsanto et 13 autres groupes agrochimiques qui ont fourni l'agent orange à l'armée américaine. L'agent orange, c'est cet herbicide ultra-toxique utilisé pendant la guerre du Vietnam. Le quotidien français La Croix a rencontré Tran To Nga, la franco-vietnamienne de 82 ans qui a lancé ce long combat judiciaire. Elle raconte comment, en 1966, alors que la jeune journaliste se rend dans le nord du pays – le Sud est alors soutenu par les États-Unis contre l'insurrection communiste du nord, elle reçoit « du poison », l'agent orange, déversé par des avions alors qu'elle sort d'un abri.Des années plus tard, Tran To Nga perd son premier enfant de 17 mois, les deux suivants naissent avec des malformations cardiaques... et les médecins lui découvrent un cancer du sein, du diabète et une tuberculose : « Je pensais que c'était dû à ma vie de résistante », explique-t-elle, « mais ce n'est que plus tard que j'ai compris que c'était lié à l'agent orange ». Un rapport, en 2003, révèle que quatre millions de Vietnamiens ont été contaminés.En 2009, Tran To Nga rencontre l'avocat français William Bourdon et le collectif Vietnam Dioxine. Aux États-Unis, toutes les tentatives de faire condamner les grandes entreprises américaines ont échoué. Tran To Nga accepte, en tant que victime française, devenir porte-voix et déclencher la mobilisation. Un premier procès a lieu en 2021 au tribunal d'Évry, qui se déclare incompétent. Aujourd'hui, on attend le résultat de la procédure d'appel. Si la décision de première instance est infirmée, explique un des avocats de Tran to Nga, « cela ouvrira la porte à un vrai procès sur le fond ». Tran To Nga, que Heike Schmidt a interrogé pour RFI.À lire aussi«Agent orange»: l'action en justice contre Bayer-Monsanto et 13 autres groupes jugée «irrecevable» en appelEn Russie, la centrale nucléaire de Koursk en état d'alerteL'Ukraine continue sa percée en Russie, et à 50 kilomètres des combats, la centrale nucléaire de Koursk est en état d'alerte. L'envoyé spécial du Figaro s'est tendu sur place, enfin presque – le maire de Kourtchakov l'a emmené sur une petite embarcation, naviguant sur le lac réservoir créé il y a un demi-siècle pour refroidir les quatre réacteurs. La structure, écrit le journaliste, « évoque celle, funeste », de Tchernobyl – les deux centrales datent de la même époque.En ville, les militaires ne sont guère visibles : « il s'agit manifestement de ne pas créer d'effet de panique dans la population ». Mais un régime d'alerte antiterroriste a été imposé. Il y a une semaine, un des responsables de la contre-offensive russe affirmait que « l'armée ukrainienne avait prévu de prendre la centrale de Koursk vers le 11 août, après quoi leur intention était de lancer un ultimatum à la Russie ». Mais le Figaro estime qu'« il ne semble guère avéré, à ce stade de leur opération sur le territoire russe, que les forces ukrainiennes aient la volonté – ni sans doute les moyens – de s'emparer de la centrale de Koursk ». À lire aussiGuerre en Ukraine: «Les Russes avancent lentement, mais de plus en plus vite» dans le DonbassTim Walz accepte officiellement l'investiture démocrateAux États-Unis, troisième jour de la convention démocrate à Chicago, avec l'intervention du colistier de Kamala Harris, Tim Walz, qui n'a pas manqué de qualifier Donald Trump de « bizarre » et de « dangereux ». Le New York Times rappelle que depuis qu'il a rejoint le ticket démocrate, il s'est « empressé de s'attaquer » à l'ancien président, dans « un mélange de sarcasmes mordants et de commentaires plein d'esprits ». Le Soir estime que le nouvel objectif démocrate est de « ridiculiser Donald Trump », et qu'il fait florès – « tous les leaders démocrates alimentent un filon inépuisable ». Avec un Donald Trump qui répond, comme lors d'un meeting lundi 19 aout dernier où il s'est défendu d'être bizarre – « c'est lui qui est bizarre ».Une tactique qui pourrait, selon le quotidien belge, s'avérer plus efficace que les avertissements sur « le danger pour la démocratie » que poserait le candidat républicain - et sur lequel insistait Joe Biden lorsqu'il était lui-même candidat. Maintenant, avec Kamala Harris, c'est plutôt la notion de liberté que les démocrates mettent en avant : « Plus que toute autre chose, choisissons la liberté. Pourquoi ? Parce que c'est le meilleur des États-Unis », a encore martelé la nuit dernière à Chicago la célèbre présentatrice Oprah Winfrey, rapporte le Times.Kamala Harris, elle, était montée sur scène lundi au son du Freedom de Beyoncé : « Les démocrates reprennent aux républicains l'étendard de la liberté », titrait ce mercredi Le Monde. Liberté du corps des femmes entre autres : le Washington Post note qu'à Chicago, les intervenantes ont partagé leurs histoires personnelles d'avortement, de fausse couche et de stérilité ; ce qui « reflète la volonté croissante des candidates de parler de leur passé reproductif, autrefois considéré comme un handicap ». Et puis « la lutte pour le droit à l'avortement est considérée comme un sujet gagnant pour les démocrates ».Bref, à Chicago, « celles qui ont laissé leur marque furent des sénateurs, des gouverneurs, des députés, des femmes » remarque le Corriere della Sera : Michelle Obama, Hillary Clinton, Alexandria Ocasio-Cortez. « Kamala Harris mène le tournant interne des démocrates : le parti dirigé par des femmes », titre le quotidien italien.À lire aussiÉtats-Unis: Tim Walz accepte l'investiture des démocrates et devient le colistier de Kamala Harris

Livre international
«Amnyé Machen, Amnyé Machen», le témoignage émouvant d'une Tibétaine

Livre international

Play Episode Listen Later Aug 10, 2024 4:40


Rares sont les livres critiques en provenance du Tibet. La Chine gouverne les hauts plateaux himalayens d'une main de fer depuis 1959, et rien n'échappe à la censure. Rien ou presque. Dans son livre Amnyé Machen, Amnyé Machen, la poétesse tibétaine Tsering Woeser raconte son pèlerinage autour de cette montagne sacrée du nord-est du Tibet. Témoignage émouvant, mais aussi révoltant, car il nous donne à voir la fin d'un monde. Heike Schmidt a rencontré la tibétologue Katia Buffetrille, sa compagne de pèlerinage. Amnyé Machen, Amnyé Machen de Tsering Woeser, publié aux éditions Jentayu, 2024.À écouter aussiLittérature sans frontière: Tsering Yangzom Lama, son chant d'amour pour le Tibet

Livre international
«Amnyé Machen, Amnyé Machen», le témoignage émouvant d'une Tibétaine

Livre international

Play Episode Listen Later Aug 10, 2024 4:40


Rares sont les livres critiques en provenance du Tibet. La Chine gouverne les hauts plateaux himalayens d'une main de fer depuis 1959, et rien n'échappe à la censure. Rien ou presque. Dans son livre Amnyé Machen, Amnyé Machen, la poétesse tibétaine Tsering Woeser raconte son pèlerinage autour de cette montagne sacrée du nord-est du Tibet. Témoignage émouvant, mais aussi révoltant, car il nous donne à voir la fin d'un monde. Heike Schmidt a rencontré la tibétologue Katia Buffetrille, sa compagne de pèlerinage. Amnyé Machen, Amnyé Machen de Tsering Woeser, publié aux éditions Jentayu, 2024.À écouter aussiLittérature sans frontière: Tsering Yangzom Lama, son chant d'amour pour le Tibet

COSMO Radio Colonia
La Firenze di Eike Schmidt, dall'arte alla politica

COSMO Radio Colonia

Play Episode Listen Later May 27, 2024 23:36


A tredici anni ha scoperto la passione per l'arte di Firenze, contribuendo in età adulta al rilancio della Galleria degli Uffizi di cui è stato direttore per ben due mandati. Heike Schmidt è uno storico dell'arte tedesco naturalizzato italiano e uno dei massimi esperti di arte rinascimentale e barocca. Ci parla della sua candidatura a sindaco di Firenze col Centrodestra, dei suoi progetti e delle differenze nel mondo del lavoro italiano e tedesco. Von Luciana Caglioti.

Grand reportage
LE SUPPLÉMENT DU DIMANCHE L'excision au Tchad, la jeune fille, les chouettes et les hommes lions ET Taïwan, qui veut la paix prépare la guerre

Grand reportage

Play Episode Listen Later Mar 10, 2024 48:30


L'excision au Tchad, la jeune fille, les chouettes et les hommes lionsNous sommes dans la province du Mandoul, au Tchad. Une femme sur trois est excisée, mais la prévalence varie considérablement selon les régions du pays. Certaines l'ont presque totalement abandonné, tandis que dans la province du Mandoul, berceau de l'ethnie Sara, 80% des femmes sont encore excisées. Pourtant, la loi tchadienne l'interdit depuis 2022. Malgré des décennies de lutte, la pratique ne semble pas diminuer.Un Grand reportage de Carol Valade qui s'entretient avec Patrick Adam.   Taïwan, qui veut la paix prépare la guerre Taïwan se trouve à 8 000 kilomètres de l'Ukraine. Mais les deux pays ont ceci en commun : ils font face à des empires autoritaires. Ce qui est arrivé à l'Ukraine, peut-il arriver à Taïwan ? Les 23 millions de Taïwanais s'y préparent. De voir les avions de chasse et des navires de guerre chinois harceler leur armée, ils en ont l'habitude. La Chine ne cache pas son intention de vouloir annexer l'île qu'elle considère comme une province rebelle.Mais l'élection, le 13 janvier 2024, du président Lai Ching-te que Pékin considère comme un dangereux séparatiste, a crispé davantage la relation déjà très tendue dans le détroit. D'un côté Taïwan, la démocrate tournée vers l'Occident. De l'autre la Chine, puissance expansionniste. Comment vivre sous la menace chinoise ?Un Grand reportage de Heike Schmidt qui s'entretient avec Patrick Adam.

Grand reportage
Taiwan : « qui veut la paix prépare la guerre »

Grand reportage

Play Episode Listen Later Mar 6, 2024 19:30


Taïwan se trouve à 8 000 kilomètres de l'Ukraine. Mais les deux pays ont ceci en commun : ils font face à des empires autoritaires. Ce qui est arrivé à l'Ukraine, peut-il arriver à Taïwan ? Les 23 millions de Taïwanais s'y préparent. De voir les avions de chasse et des navires de guerre chinois harceler leur armée, ils en ont l'habitude. La Chine ne cache pas son intention de vouloir annexer l'île qu'elle considère comme une province rebelle. Mais l'élection, le 13 janvier 2024, du président Lai Ching-te que Pékin considère comme un dangereux séparatiste, a crispé davantage la relation déjà très tendue dans le détroit. D'un côté Taïwan, la démocrate tournée vers l'Occident. De l'autre la Chine, puissance expansionniste. Comment vivre sous la menace chinoise ? « Taïwan : qui veut la paix prépare la guerre », un Grand reportage de Heike Schmidt.

Invité de la mi-journée
Taïwan: «Combattre la guerre cognitive menée par la Chine»

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later Jan 11, 2024 5:28


Il est l'un des pionniers de l'industrie des puces électroniques, fondateur d'UMC le numéro deux taïwanais des semi-conducteurs : mais aujourd'hui, à 75 ans, Robert Tsao a décidé de se battre pour son île et sa démocratie – menacés par le géant chinois qui ne fait plus un secret de son souhait d'annexer Taïwan. Le multimillionnaire donne donc une partie de sa fortune pour préparer ses compatriotes à la guerre et résister à la Chine. Les images de Robert Tsao qui donne des discours, vêtu d'un gilet pare-balles, ont fait le tour du monde. À deux jours d'élections à Taïwan cruciales pour l'avenir des relations avec la Chine, Heike Schmidt a rencontré Robert Tsao à Taipei.   RFI : Le géant chinois avec ses menaces quasi quotidiennes – va-t-il finir par intimider les Taïwanais et influencer leur choix électoral à votre avis ?  Robert Tsao : Le Parti communiste chinois fait tout pour, c'est sûr. L'opposition, le Kuomintang, aide d'ailleurs la Chine à jouer avec les peurs des électeurs en utilisant la tactique de l'intimidation. Mais le parti actuellement au pouvoir résiste. Donc, nous allons voir le résultat du vote.  Justement, le Kuomintang dit que ces élections sont un « choix entre la guerre et la paix », et prône un rapprochement avec la Chine. Selon vous, quelle est la meilleure manière de garantir la sécurité des citoyens taïwanais ?   Nous devons alerter le monde sur le fait que Taïwan est indépendant de la Chine. Les gens doivent comprendre que si la Chine prenait Taïwan, il s'agirait alors d'une invasion et d'une violation claire de la loi internationale. Dans ce cas, les États-Unis, le Japon et le monde entier viendraient nous aider à combattre la Chine. Il est important de comprendre que nous ne faisons pas partie de la Chine. Les relations dans le détroit de Taïwan ne sont pas une affaire interne de Pékin. 50 % des conteneurs du commerce international passent par ce couloir maritime chaque année. Si ces eaux internationales deviennent un jour une possession chinoise et que Pékin décide de les bloquer, le commerce mondial serait paralysé. Cela, personne ne peut se le permettre.     Le quasi-monopole de Taïwan dans le secteur des semi-conducteurs est souvent présenté comme la meilleure protection et une sorte de bouclier pour Taïwan – est-ce vrai ?  Jusqu'à un certain point, oui. Au-delà des semi-conducteurs, Taïwan est l'un des fournisseurs majeurs de nombreux composants électroniques clés. Nous sommes une pièce maîtresse du processus manufacturier dans la haute technologie mondiale. Taïwan a donc une grande importance stratégique pour le monde.  De nombreux entrepreneurs font très attention à ne pas froisser Pékin et mettre en difficultés leurs affaires avec la Chine. À quel moment et pourquoi avez-vous finalement décidé de défier le pouvoir communiste ? Nous, Taïwanais, avons été éduqués dans l'idée de devenir des anti-communistes. Lorsque Chang Kai-shek du Kuomintang s'est retiré ici avec ses troupes après sa défaite en Chine en 1949, ils ont commencé à faire de tous les Taïwanais des ennemis du communisme. Mais entre les années 1980 et jusque dans les années 2000, la Chine a dit qu'elle voulait se réformer et s'ouvrir au monde. À cette époque, beaucoup d'entreprises taïwanaises sont parties investir en Chine. Ça semblait être très prometteur. Mais depuis 2012 et l'arrivée au pouvoir de Xi Jinping tout a changé ! Depuis, la Chine redevient comme elle a été sous Mao Zedong. C'est devenu très dangereux. Et lorsque j'ai vu, en 2019, comment ils ont réprimé les manifestations pacifiques des Hongkongais, j'ai réalisé à quel point les communistes chinois deviennent dangereux. J'ai donc décidé de revenir à Taïwan, pour alerter mes compatriotes sur ce danger, et pour réveiller leur conscience et les convaincre de se battre pour leur île.  Vous avez décidé de donner près de 100 millions d'euros de votre fortune personnelle pour financer des formations d'autodéfense, quel est votre objectif ?  Cet argent ne finance pas seulement l'académie d'autodéfense Kuma. J'aide à combattre la guerre cognitive que mène la Chine. Les Chinois utilisent toute sorte de désinformations, de fausses nouvelles, pour gagner le contrôle sur Taïwan. C'est un champ de guerre essentiel. J'aide de nombreuses associations et les encourage à s'engager pour dénoncer les ingérences chinoises.  Être Taïwanais, cela signifie quoi pour vous ?  C'est une fierté. Taïwan symbolise la liberté, la démocratie – et de cela je suis fier. Je suis fier d'être Taïwanais, je ne voudrais pas être Chinois.  Est-ce aussi la fierté de voter justement ce samedi ?   Bien sûr. Les Chinois, pendant des milliers d'années, n'ont jamais eu le droit de vote. Nous, nous avons le droit de voter pour notre avenir. Pourquoi devrions-nous renoncer à ce droit ?  

hr2 Der Tag
Im Namen des Volkes: Schöffen gesucht!

hr2 Der Tag

Play Episode Listen Later Mar 14, 2023 54:14


Können Sie sich vorstellen, über andere Menschen zu Gericht zu sitzen? Als Schöffin oder Schöffe? Wenn Sie zwischen 25 und 69 Jahre alt sind, die deutsche Staatsangehörigkeit und keine Vorstrafen haben, dann dürfen Sie. Dann sollen Sie. Dann müssen Sie manchmal sogar, wenn sich zu wenige freiwillig melden und die Wahl dann vielleicht auf Sie fällt. Für die nächsten fünf Jahre werden gerade wieder Schöffinnen und Schöffen gesucht. Denn in Strafprozessen sollen nicht nur Profis mit juristischem Sachverstand, sondern auch Laien mit gesundem Menschenverstand, Leute “aus dem Volk”, das Urteil fällen, das ja schließlich “im Namen des Volkes” ergeht. Sind Schöffen gut und hilfreich für unser Rechtssystem? Fallen Urteile mit ihnen anders aus als ohne sie? Was bringen sie ein in die Verhandlung und Beratung? Dazu hören wir die Aussagen des Schöffen Karl-Heinz Wellmann, des ehemaligen Berufsrichters Klaus Drescher, der hr-Gerichtsreporterin Heike Borufka und der Beauftragten des Bundesverbandes ehrenamtlicher Richterinnen und Richter e.V. Heike Schmidt.

Mein Abenteuer
Heike Schmidt & Toshi Meier-Brook: Lebenstraum Weltreise im Rollstuhl

Mein Abenteuer

Play Episode Listen Later Oct 30, 2022 20:46


Job gekündigt, Wohnungen aufgelöst und mit dem Motorradgespann ab auf den Highway. Heike Schmidt und Toshi Mayer-Brook haben sich ihren Lebenstraum einer Weltreise erfüllt, obwohl Heike auf den Rollstuhl angewiesen ist. Sie touren quer durch USA, Südamerika und das südliche Afrika und das größte Hindernis unterwegs sind immer wieder die Klos. Ihre Geschichte hört ihr in dieser Podcastfolge von "Mein Abenteuer" mit Reiner Meutsch.

Grand reportage
Hong Kong: l'ancienne ville rebelle réduite au silence par Pékin

Grand reportage

Play Episode Listen Later Oct 19, 2022 19:30


Le numéro un chinois qui devrait être reconduit pour un troisième mandat cette semaine lors du XXème congrès du PCC, finira t-il par faire de Hong Kong une ville chinoise comme les autres ? En réalité, les deux premiers mandats de Xi Jinping ont déjà signé la fin de la métropole vibrante et ouverte qu'était Hong Kong. Pékin a trahi sa promesse de garantir un haut degré d'autonomie pendant 50 ans à l'ex-colonie britannique. Les 7 millions de Hongkongais vivent dans un climat de peur et d'incertitude, depuis que le régime chinois a imposé sa loi sur la sécurité nationale en 2020. Toute critique est désormais passible de lourdes peines de prison. Vivre sous une chape de plomb ou partir en exil ? Cette question taraude de nombreux Hongkongais. Peu à peu, la métropole se vide de ses habitants.  «Hong Kong: l'ancienne ville rebelle réduite au silence par Pékin», un Grand reportage signé Heike Schmidt.   En images  

Fréquence Asie
Au Tibet, Tsewang Norbu, un célèbre chanteur, s'est immolé par le feu

Fréquence Asie

Play Episode Listen Later Apr 16, 2022 3:35


Une nouvelle vague d'immolations par le feu frappe le Tibet, cette région autonome chinoise qui fait l'objet d'une répression féroce orchestrée par Pékin. Depuis le mois de février, au moins trois Tibétains se sont immolés, ils sont donc désormais 160 à avoir choisi ce geste considéré comme un acte de résistance. Avec Katia Buffetrille, anthropologue et tibétologue à l'école des Hautes études, Heike Schmidt revient sur la mort de Tsewang Norbu, un jeune chanteur très connu en Chine.  

Fréquence Asie
Farkhunda Naderi: «Les femmes afghanes doivent être en première ligne pour bâtir le pays»

Fréquence Asie

Play Episode Listen Later Feb 26, 2022 3:30


À Kaboul, Farkhunda Naderi était l'une de ces femmes afghanes à qui l'avenir semblait sourire. Membre du Parlement entre 2010 et 2015, la lauréate d'un prix des Nations unies pour son engagement en faveur de l'éducation et la montée en puissance des femmes afghanes avait œuvré aux côtés du président Ashraf Ghani en tant que conseillère principale pour les relations avec l'ONU, avant d'être nommée membre du Haut Conseil de la réconciliation nationale. Mais la victoire des talibans en août dernier a mis fin à sa carrière et Farkhunda Naderi a fui vers l'Ouzbékistan, où elle vit aujourd'hui en exil. De passage à Paris, Heike Schmidt l'a accueillie dans les studios de RFI. RFI : Avant le retour des talibans au pouvoir en août dernier, vous étiez une femme politique en Afghanistan, ex-députée, conseillère spéciale du président Ashraf Ghani, militante pour les droits des femmes. Aujourd'hui, les femmes sont à nouveau écartées du pouvoir et de l'emploi, les étudiantes séparées de leurs camarades à l'université. Une femme n'a plus le droit de voyager seule. Quel regard portez-vous sur votre pays sous le règne des talibans ? Farkhunda Naderi : J'essaie de ne pas laisser mes sentiments m'envahir. Oui, je me sens dévastée, déchirée. Mais nous devons garder l'espoir pour sortir notre pays de cette crise.  Nous entendons que des manifestantes sont arrêtées, que beaucoup de femmes, terrorisées, restent confinées chez elles. Est-ce que vous confirmez ces informations ?  Les quelques médias locaux actifs montrent des manifestantes qui sont battues dans la rue, c'est totalement inacceptable. Cela doit immédiatement cesser.  Mais de nombreuses femmes, comme vous, qui comptaient en Afghanistan, ont dû s'exiler…  C'est vrai. Nous devrions être à leurs côtés. C'est notre échec, car nous n'avons pas su préserver le gouvernement et garder le système en place. Mais je ne pense pas que seule l'élite afghane peut changer la donne. Non. Le changement viendra de l'intérieur. Nous avons tellement de femmes qualifiées. Mais elles ont besoin d'être reconnues, de pouvoir travailler. C'est pour cela qu'elles sont dans la rue. Elles veulent être utiles, servir leur nation et leur peuple, mais on le ne leur permet pas ! Il incombe aux talibans de les protéger.  Vous pensez que les talibans sont prêts à le faire ?  J'aimerais tellement voir cette volonté. Mais pourquoi ont-ils fermé les écoles ? Le système fonctionnait. Même pendant la guerre, les écoles étaient ouvertes. Comment ont-ils pu les fermer, alors qu'ils disent que la guerre est finie ? Aujourd'hui, les talibans doivent se mettre au service du peuple afghan. Nos femmes devraient être en première ligne pour bâtir le pays. Le traitement réservé aux femmes cet hiver a choqué le monde entier. Les talibans doivent les respecter, les entendre et leur donner leur place dans la société. Il ne s'agit plus de faire la guerre, mais de construire un pays civilisé. Le président américain veut confisquer les réserves afghanes, soit sept milliards de dollars. Seulement la moitié devrait revenir en Afghanistan sous forme d'aide humanitaire. Est-ce la bonne manière de mettre les talibans sous pression, alors que la moitié de la population est menacée de faim ? Les Afghans ont besoin d'aide humanitaire et il faut leur fournir cette aide. Mais en même temps, les talibans doivent comprendre pourquoi ces avoirs sont actuellement gelés. D'abord ils doivent faire preuve de transparence et de responsabilité, donner des garanties. Cet argent appartient aux Afghans, et personne n'a le droit d'y toucher. Personne. Mais c'est aux talibans de créer les conditions pour que cet argent puisse profiter à tous les Afghans. Washington tente visiblement de contourner les talibans. À votre avis, faut-il au contraire entamer le dialogue, voire reconnaître le régime de Kaboul ?    Pour qu'un dialogue fasse sens, il faut des engagements clairs et une vraie volonté d'aboutir à des résultats. La responsabilité de gouverner est énorme, pour cela il faut de la légitimité. Il faut que chaque Afghan puisse se sentir en sécurité.  Est-ce que vous souhaitez retourner dans votre pays et, si oui, quelles conditions doivent d'abord être réunies ?  C'est mon pays, c'est mon identité. L'Afghanistan nous appartient à nous tous et cela doit être respecté.

Fréquence Asie
Fréquence Asie - Shoukria Haïdar: «La majorité des Afghanes reçoivent des coups mais elles défendent leurs droits»

Fréquence Asie

Play Episode Listen Later Oct 2, 2021 3:21


En Afghanistan, les talibans sèment la peur parmi les femmes. Avant leur conquête du pouvoir le 15 août dernier, elles étaient juges, journalistes, professeures, commerçantes ou encore députées… mais du jour au lendemain, leurs vies ont été chamboulées et nombreuses sont celles qui se retrouvent aujourd'hui piégées à leurs domiciles. La féministe afghane Shoukria Haïdar, présidente de l'association « NEGAR – Soutien aux Femmes d'Afghanistan », en est convaincue : la résistance s'organise… La preuve : lors de nombreuses manifestations à travers le pays, les femmes réclament leurs droits et tiennent tête aux nouveaux maîtres de Kaboul. Entretien avec Shoukria Haïdar, que Heike Schmidt a rencontré à Paris en marge d'une conférence de soutien à l'Afghanistan, où elle a plaidé la cause des femmes afghanes et appelé la communauté internationale à ne pas reconnaître le régime des talibans.

Fréquence Asie
Fréquence Asie - Le cauchemar sans fin des victimes de Fukushima

Fréquence Asie

Play Episode Listen Later Jul 24, 2021 3:27


Cet été nous rediffusons les Fréquence Asie les plus marquantes de l'année écoulée. En mars dernier, nous revenions sur la catastrophe de Fukushima, dix ans après ce drame que les Japonais n'ont pas oublié. Le 11 mars 2011, un tremblement de terre suivi d'un tsunami ravageait les côtes de l'île de Honshu et provoquait l'explosion de trois réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima.  Un désastre qui se prolonge jusqu'à nos jours, et que même les Jeux olympiques ne pourront pas effacer de la mémoire des Japonais. Si le gouvernement veut enfin tourner la page, les victimes, elles, sont réticentes à retourner vivre à Fukushima. À peine un tiers des 160 000 habitants évacués à l'époque ont fait ce choix. Cécile Asanuma-Brice, auteure du livre Fukushima, 10 ans après (Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme) nous explique pourquoi. Elle est interrogée par Heike Schmidt.

Wartenberger Podcast
Wartenbergs Künstler - Dr. Heike Schmidt-Kronseder

Wartenberger Podcast

Play Episode Listen Later Mar 11, 2021 71:10


Einige Straßen in Wartenberg sind nach Künstler benannt, die hier zu Hause waren oder ihre Studenten unterrichtet hatten. Bei einem Straßennamen hat sich der Fehlerteufel eingeschlichen, der sich heute nicht mehr korrigieren lässt. Wir machen eine Reise durch die Wartenberger Künstler-Kolonie und zu den oben genannten Malern gibt es noch weitere Künstler von gestern und heute über die Dr. Heike Schmidt-Kronseder sehr Interessantes zu berichten hat. Absolut hörenswert - auch für Nicht-Kunstliebhaber! Show Notes Dr. Heike Schmidt-Kronseder Hermann Groeber Robert Weise Carl Hans Schrader-Velgen Buch: Fynn - Hallo Mister Gott, hier spricht Anna Serie: Columbo Serie: Castle Film: Frühstück bei Tiffany Mr. Woodland Getränk: Eilles Kaffee Getränk: Sauvignon Blanc Musik: Elvis Presley Hans Zehetmair Kontakt Schreibt uns! Schickt uns eure Themenwünsche und euer Feedback. info@wartenberger.de Folgt uns! Bleibt auf dem Laufenden über zukünftige Folgen Twitter Instagram Facebook YouTube

Wartenberger Podcast
Wartenberg im Mittelalter - Dr. Heike Schmidt-Kronseder

Wartenberger Podcast

Play Episode Listen Later Mar 4, 2021 50:36


In der Episode 6 unterhalten wir uns mit Kunsthistorikerin Dr. Heike Schmidt-Kronseder über die Wartenberger Geschichte. Im ersten Teil geht es um das Mittelalter. Wir schreiben das Jahr 1117 als die Wittelsbacher ihren Stammsitz nach einem Tauschhandel von Scheyern nach Wartenberg verlegen. Wir sprechen über Otto von Wittelsbach und die tollkühne Befreiung von Friedrich Barbarossa. Warum wurde die Burg abgerissen und was geschah damit? Warum hatte das Marktrecht damals eine so hohe Bedeutung? Natürlich darf das Wittelsbacher Jagdhaus und Marie Pettenbeck nicht fehlen. Am Ende hört ihr viel Neues über die Wartenberger Kirchen. Show Notes Dr. Heike Schmidt-Kronseder Wittelsbacher Otto I. von Wittelsbach Befreiung Friedrich Barbarossa in der Veroneser Klause Veroneser Klause Ludwig der Kelheimer Burg Wartenberger Was ist das Marktrecht Wittelsbacher Jagdhaus Marie Pettenbeck Wartenberger Pfarrkirche Mariä Geburt Anton Kogler Kontakt Schreibt uns! Schickt uns eure Themenwünsche und euer Feedback. info@wartenberger.de Folgt uns! Bleibt auf dem Laufenden über zukünftige Folgen Twitter Instagram Facebook YouTube

Enfoque internacional
Enfoque Internacional - Gulbahar Haitiwaji, la madre uigur que sobrevivió a un campo de reeducación en Xinjiang

Enfoque internacional

Play Episode Listen Later Jan 25, 2021 2:36


Se conoce desde 2017 la existencia de campamentos de reeducación en Xinjiang, China,  donde están o han estado detenidos más de un millón de uigures y miembros de otras minorías musulmanas. ¿Qué ocurre detrás de la valla metálica? Los testimonios son escasos. El de Gulbahar Haitiwaji, madre uigur residente en Francia, es excepcional. Una entrevista de Heike Schmidt, periodista de RFI Gulbahar Haitiwaji vive en Francia desde hace 10 años. En 2016, su antiguo empleador la engañó para traerla de vuelta a Xinjiang, en China. Ahí comenzó un calvario que dur casi tres años. Su libro "Rescapée du Goulag chinois" ("Sobreviviente del gulag chino"), que escribió con la periodista Rozenn Morgat y que publica la editoral Équateurs, muestra que China está persiguiendo a los uigures hasta en Francia. RFI conversó con ella en su casa. RFI: "Los que como yo salen de los campos ya no saben quiénes son, son sombras, almas muertas". Eso es lo que escribe en el libro. Usted, la mujer uigur, la madre de familia parisina, se ha convertido en la prisionera "número 9", filmada las 24 horas del día. ¿Se considera una sobreviviente? Gulbahar Haitiwaji: Sí, por supuesto. RFI: ¿Qué imagen le viene a la mente cuando piensa en su celda de la prisión de Karamay, donde pasó los primeros cuatro meses de su detención?  Gulbahar Haitiwaji: Cuando pienso en esa prisión, pienso en todas esas noches sin dormir, en el frío, con los pies encadenados. Pienso en la malnutrición, porque nos alimentaban muy poco. Todos los días, nuestros guardias nos obligaban a salir, aunque hiciera 30 grados bajo cero. Nos pasabamos los días aprendiendo el reglamento interior y canciones patrióticas. RFI: ¿De qué se le acusaba durante los interminables interrogatorios? Gulbahar Haitiwaji: Me decían que mi marido era un terrorista y que había criado a niñas terroristas. Yo, como ciudadana china, tenía la responsabilidad, decían. RFI: Le mostraron una foto de su hija Gulhumar en una manifestación de la diáspora uigur en la plaza del Trocadero de París. ¿Con esta única prueba la acusaron de terrorismo? Gulbahar Haitiwaji: Me acusaron de tener una hija terrorista y de no haberla educado bien. RFI: Le dijeron que "cometió un crimen irreparable al dejar Xinjiang para vivir en Francia". En realidad, ¿fue su culpa? Gulbahar Haitiwaji: Creo que China me hizo pasar por todo esto para vengarse de mi marido. Porque cuando volvimos juntos a China, en 2012 y 2014, a mi marido, que tiene nacionalidad francesa, se le exigió que facilitara a las autoridades chinas información sobre la comunidad uigur en Francia. Y él se negó a hacerlo.  RFI: Después de cuatro meses en prisión, la enviaron a un campo de reeducación. ¿Cómo es la vida cotidiana en estos campos, que los chinos presentan como simples escuelas? ¿Qué se enseña allí? Gulbahar Haitiwaji: Aunque no hay cadenas en esa escuela, las condiciones son extremadamente difíciles. Nos sientan en una aula durante once horas al día. Tomamos clases de chino, de derecho, de política e historia china. Con exámenes todos los viernes. Debíamos memorizar canciones patrióticas y el reglamento interno. No nos alimentaban mejor que en la prisión. Había luces de neón encendidas día y noche y cámaras de vigilancia por todas partes. Las condiciones eran tan malas como en la prisión. Incluso para ir al baño teníamos que cumplir con los horarios.  RFI: Sus días estaban llenos de desfiles militares y canciones patrióticas. ¿Todavía recuerda la letra de esas canciones a la gloria del presidente Xi Jinping? Gulbahar Haitiwaji: Todavía las recuerdo muy bien. Antes de cada comida, antes de cada clase, debíamos recitar nuestro agradecimiento a la Gran China, al Partido Comunista Chino y a Xi Jinping.  RFI: Usted escribe en su libro que ahí entendió el significado de la expresión "lavado de cerebro". Gulbahar Haitiwaji: Sí, incluso nos prohibían hablar entre nosotros en uigur. No podíamos respetar nuestras tradiciones ni practicar nuestra fe. China realmente está tratando de asimilarnos. Nos imponen su propia cultura, entonces sí se trata de lavado de cerebro.  RFI: "Hacer desaparecer a una persona es fácil en Xinjiang", dice usted. ¿Sabían las mujeres que compartían su celda por qué estaban allí? Gulbahar Haitiwaji: Las mujeres que estaban encarceladas conmigo no tenían ninguna culpa. Algunas estaban allí porque llevaban el velo o porque habían viajado a Turquía, o porque tenían familia en el extranjero. RFI: Un día le hicieron una inyección. La enfermera dijo que era una vacuna contra la gripe, pero a usted le pareció sospechoso. Gulbahar Haitiwaji: Nos hicieron inyecciones dos veces al año. Vi a muchas jóvenes dejar de menstruar. Era muy preocupante porque querían tener hijos más adelante. En aquel momento tuve sospechas, pero no tenía pruebas. Cuando regresé a Francia me enteré de que habían revelado la existencia de esterilizaciones masivas en Xinjiang. RFI: El investigador Adrien Zenz reveló efectivamente que las autoridades chinas están llevando a cabo campañas de esterilización en Xinjiang. Además, la prensa china se complace con ver que las mujeres uigures dejan de ser "máquinas de hacer bebés". ¿Cree que Usted y sus compañeras fueron sometidas a esa esterilización forzada? Gulbahar Haitiwaji: Por supuesto. RFI: El 23 de noviembre de 2018, un guardia llegó a su celda y gritó: "¡Número 9, le toca!" Su juicio no duró ni 10 minutos y se le condenó a siete años de rehabilitación. ¿Qué le produjo este veredicto? Gulbahar Haitiwaji: No era un juicio de verdad, ni siquiera eran jueces de verdad, sólo policías en uniforme. Al final, el juez dijo que, aunque tenía siete años de rehabilitación, podían reducir mi pena. Me dijo que dependía de mí y que si me comportaba bien, podrían liberarme antes. Me dijo que podía estar contenta de seguir estudiando y no tener que volver a la cárcel. Que le diera las gracias al partido chino. Todo me parecía muy desesperante, porque me preguntaba cuándo terminaría todo. RFI: "Cien veces pensé que venían a dispararme", escribe. Cuando le cortaron el cabello con una máquina de afeitar Usted temió que la estuvieran preparando para la silla eléctrica. ¿No estaba segura de cuánto tiempo iba a estar encarcelada? Gulbahar Haitiwaji: El 23 de diciembre de 2018, me trasladaron del campo de reeducación a una segunda prisión. Me pusieron cadenas en los pies, esposas en las muñecas y una capucha en la cabeza. Allí pensé que me iban a ejecutar. Después de 30 minutos de viaje, llegamos a la prisión. Me quitaron la capucha y me afeitaron el pelo. Estaba desesperada porque sentía que nunca saldría de esa pesadilla. Mi situación había empeorado. RFI: Gracias a la ayuda de su hija Gulhumar y a las presiones del Ministerio francés de Asuntos Exteriores, la liberaron al fin y volvió a Francia en 2019. Hoy busca "gritar tu verdad". ¿Por qué es tan importante para Usted testificar? Gulbahar Haitiwaji: Quería revelar lo que eran estos campos a todo el mundo. Nada de lo que cuento es exagerado. Sólo digo lo que he vivido. Algún día, la verdad saldrá a la luz y espero que mi libro ayude a la causa uigur. RFI: ¿Teme por su familia allá? Gulbahar Haitiwaji: Me preocupan mi madre, mis hermanas y mis hermanos. RFI: ¿Tiene noticias de ellos o es imposible contactarlos? Gulbahar Haitiwaji: Puedo llamarlos a través de la aplicación WeChat una vez a la semana, pero estas conversaciones son muy breves. Logro saber de mi madre enferma. No hay mucho que pueda comunicar con ellos. RFI: ¿Le preocupa que sus comunicaciones estén siendo vigiladas? Gulbahar Haitiwaji: Creo que China está observando todo lo que hacemos. Por eso siempre tengo mucho cuidado.  

105 Friends
Heike Schmidt

105 Friends

Play Episode Listen Later Jan 25, 2021


https://www.105.net/audio/105-friends/1278326/heike-schmidt.htmlhttps://www.105.net/audio/105-friends/1278326/heike-schmidt.htmlMon, 25 Jan 2021 12:25:37 +0100Radio 105Radio 105noUna chiacchierata di Tony e Ross ai loro "Friends"0

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Fréquence Asie
Fréquence Asie - Covid-19: «Le gouvernement chinois a peur de perdre la face»

Fréquence Asie

Play Episode Listen Later Jan 9, 2021 3:28


Il y a un an, dans la mégalopole chinoise de Wuhan, un virus inconnu fait rage. Dans les hôpitaux, une vague de patients atteints d’une pneumonie mystérieuse déferle. Le jeune ophtalmologue Li Wenliang alerte sur un « défi sans précédent » et succombe à son tour, le 7 février 2020, à ce virus qu’on appellera plus tard Covid-19. La situation sanitaire est chaotique, et sur le Net, les internautes expriment leur colère contre le gouvernement. Mais très vite, la machine de propagande reprend le contrôle et réécrit l’histoire. Une vague de répression s’abat sur ceux qui osent défier la censure. Chen Mei fait partie de ceux là – comme d’autres journalistes citoyens, il est arrêté. Heike Schmidt retrace son histoire (avec le témoignage de son frère, exilé à Paris) : L’histoire de Chen Mei est celle d’un jeune idéaliste, disparu dans les geôles chinoises pour avoir fait connaître une vérité qui dérange. Celle des hôpitaux débordés par un virus jusque-là inconnu, le Covid-19. On est au début de l’année 2020. Avec un ami, Chen Mei contourne la censure : sur leur site « Terminus 2049 » hébergé par la plate-forme américaine GitHub, ils sauvegardent des centaines d’articles et commentaires critiques - auparavant supprimées par la police de la toile. Chen Kun, le frère de Chen Mei, se rappelle : Chen Kun : « On pouvait y lire des informations sur la pénurie d’équipement médical à Wuhan et dans la province du Hebei et aussi des articles qui critiquaient le gouvernement local et les autorités chinoises pour leur mauvaise gestion de la crise sanitaire et leurs tentatives de cacher ce qui se passait véritablement. Un des documents archivés et sauvegardés par mon frère racontait l’histoire d’un habitant entré secrètement dans un hôpital. Il y avait trouvé des morts qui n’apparaissaient nulle part dans les statistiques officielles. » « Terminus 2049 » - le nom du site fait référence à un roman de science-fiction: dans ce livre d’Isaac Asimov, des savants préservent sur la planète Terminus les connaissances d’une humanité menacée. Chen Mei payera le prix fort pour avoir voulu faire de même : préserver ce que la censure chinoise avait effacé. En avril, il est arrêté, avec son ami Cai Wei. Après 54 jours de détention au secret, tous les deux sont inculpés. Chen Kun : «Jusqu’à présent, je n’ai aucune nouvelle de mon frère. L’avocat que j’avais choisi pour le défendre a été refusé. Mon frère a été forcé d’accepter deux avocats commis d’office. Il est détenu à Pékin. (..) On l’accuse d’avoir cherché querelle et d’avoir provoqué des troubles ce qui peut lui valoir jusqu’à cinq ans de prison. » Au moment où le petit frère de Chen Kun tente de sauvegarder les témoignages qui décrivent le chaos sanitaire à Wuhan, le web chinois pullule de créativité... et de critiques. Chen Kun : « Après la mort du lanceur d’alerte, le docteur Li Wenliang, beaucoup de Chinois étaient en colère et postaient des commentaires et des images en réclamant la liberté d’expression. Mais ensuite, le gouvernement a repris le contrôle. Si vous dites quelque chose contraire à la propagande vous risquez de disparaître ! J’ai des amis qui ont été arrêtés juste parce qu’ils voulaient organiser une lecture de poèmes en ligne en hommage au docteur Wenliang. Le gouvernement a peur de perdre la face. Il veut faire croire que la Chine est puissante et qu’elle a remporté la victoire face à l’épidémie. » Depuis Paris, où il vit avec sa femme et sa fille depuis septembre dernier, Chen Kun se bat pour la libération de son petit frère. Libre penseur, qui a lui-même subi interrogatoires et tortures en 2014, le dissident espère pouvoir rester en France, par crainte de disparaître à son tour, dès qu’il rentrerait en Chine.  La Chine où la machine de propagande a pris le dessus et où son frère Chen Mei et son ami Cai Wei attendent actuellement leur procès.

Fréquence Asie
Fréquence Asie - Behrouz Boochani: «L'Australie nous a volé six ans de notre vie»

Fréquence Asie

Play Episode Listen Later Jul 25, 2020 3:15


La Nouvelle-Zélande a octroyé vendredi 23 juillet l’asile politique à l’écrivain kurde iranien Behrouz Boochani qui a passé six ans dans un camp de rétention offshore de l’Australie, sur l’île de Manus, en Papouasie Nouvelle Guinée. Une expérience qu’il avait relatée dans un livre poignant : « Témoignage d’une île-prison : de l'exil aux prix littéraires » publié aux Éditions Hugo. Heike Schmidt s’est entretenue avec Behrouz Boochani en septembre 2019, quelques semaines avant la parution de son livre en France. (Rediffusion du 07/09/2019)

Podcast Orange – meinsportpodcast.de
#22 | Die Jahresendabrechnung

Podcast Orange – meinsportpodcast.de

Play Episode Listen Later Dec 15, 2018 79:16


Über 200 Hörer haben in den letzten Wochen abgestimmt und nun wird abgerechet. Erstmals werden die BSG-Awards vergeben, bei der zahlreiche Preise auf mehr oder weniger verdienstvolle Helden und Momente des Jahres 2018 warten. An der Award-Show nehmen Wolfgang Teske, Jörg Richter und Paparazzo Orange teil. Heldenmedaille am orange-schwarzen Band Mario Krüger für die zweijährige Arbeit an der Wismut-Fußballfibel https://podcast.brennpunkt-orange.de/20-buchpremiere-bei-der-bsg 51,7 % Heike Schmidt für die Treue zur BSG 29,2 % Marco Brauch und die KiK-Mädels für die Unterstützung der BSG-Fanszene und den Erfolg bei Mein Lokal. Dein Lokal. https://www.kabeleins.de/tv/mein-lokal-dein-lokal/videos/149-hat-die-kueche-im-keller-das-zeug-zum-ste...

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#22 | Die Jahresendabrechnung

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Play Episode Listen Later Dec 15, 2018 79:16


Über 200 Hörer haben in den letzten Wochen abgestimmt und nun wird abgerechet. Erstmals werden die BSG-Awards vergeben, bei der zahlreiche Preise auf mehr oder weniger verdienstvolle Helden und Momente des Jahres 2018 warten. An der Award-Show nehmen Wolfgang Teske, Jörg Richter und Paparazzo Orange teil. Heldenmedaille am orange-schwarzen Band Mario Krüger für die zweijährige Arbeit an der Wismut-Fußballfibel https://podcast.brennpunkt-orange.de/20-buchpremiere-bei-der-bsg 51,7 % Heike Schmidt für die Treue zur BSG 29,2 % Marco Brauch und die KiK-Mädels für die Unterstützung der BSG-Fanszene und den Erfolg bei Mein Lokal. Dein Lokal. https://www.kabeleins.de/tv/mein-lokal-dein-lokal/videos/149-hat-die-kueche-im-keller-das-zeug-zum-sternerestaurant-ganze-folge 18 % Goldene Luftpumpe des Jahres Andy Plave Fury für seine Schmierereien auf den Facebook-Seiten der BSG und des JFC 47,2 % FIFA-Präsident Gianni Infantino für seine Planungen zum Ausverkauf des Fußballs https://www.sueddeutsche.de/sport/fifa-infantino-intrige-skandal-1.4214746 21,3 % #ZSMMN, der Hashtag der DFB-Kampagne zur WM 2018 14,6 % Uli Hoeneß für seine Aufforderung in Richtung Medien nicht so kritisch über die Spieler zu berichten, um wenige Minuten später Juan Bernat heftig zu kritisieren. 12,4 % Bestes BSG-Event des Jahres Pokalfinale im Steigerwaldstadion https://www.brennpunkt-orange.de/2348 52,8 % Tag der Amateure in Gera https://www.brennpunkt-orange.de/2386 19,1 % Stadioneröffnung mit dem Testspiel gegen die SG Dynamo Dresden https://www.brennpunkt-orange.de/2364 15,7 % Gewinn des Pokalhalbfinales in Saalfeld & anschließende Feier im Fantreff https://www.brennpunkt-orange.de/2332 11,2 % Wolf-Hallencup https://www.brennpunkt-orange.de/2287 1,1 % Bester BSG-Moment des Jahres Das 25 m-Freistoßtor von Carsten Weis unhaltbar für Wacker-Keeper Tino Berbig genau ins linke Dreiangel zum 1:1 in der Nachspielzeit der Verlängerung im Pokalspiel gegen den FSV Wacker 90 Nordhausen. 39,3 % UFFTA vor der Siegerehrung beim TFV-Pokalfinale in Erfurt 38,2 % Die Siegtreffer von Jegor Jagupov zum historischen 3:1 Auswärtssieg beim VFC Plauen 7,9 % Die Tore von Jegor Jagupov und Chris Söllner zur zwischenzeitlichen Führung beim 2:2 im Georg-Schwarz-Sportpark 6,7 % Auszeichnung der SG-Nachwuchsarbeit mit dem TFV-Gütesiegel https://tfv-erfurt.de/nc/news/detail/news/erstmals-tfv-guetesiegel-verliehen/ 5,6 % 2:1 Siegtreffer von Florian Schubert im Punktspiel gegen den späteren Aufsteiger Bischofswerdaer FV 2,2 % Respektding des Jahres Die ehrenamtliche Arbeit von BSG-Präsident Volker Fiedler und Vize Frank Neuhaus, die mit der Ehrennadel des Thüringer Fußballverbands in Silber gewürdigt wurde. 31,5 % Der Oberliga-Klassenerhalt der BSG in der Saison 2017/18 trotz 15. Tabellenplatz mit 9 Punkten nach der Hinrunde 20,2 % Torjägerkrone für Marcel Hartmann in der KOL Ostthüringen 2017/18 16,9 % #einundfuenfzigplus der Neustart der Wismutszene 16,9 % Klare Positionierung von Fanclubs, Fangruppen und Verbände zum Erhalt der 50+1 Regel https://50plus1bleibt.de/ 4,5 % Hilfe für Familie/Vereine: Benefizspiele des FC Carl Zeiss Jena bei der BSG Chemie Kahla und des FC Rot-Weiß Erfurt gegen den SV Fortuna Ingersleben 3,4 % Rede von Vereinsmitglied Johannes Bachmayr auf der Jahreshauptversammlung des FC Bayern München e.V. https://www.youtube.com/watch?v=sJuVpXz4Yls 3,4 % Engagement von Andreas Rettig für den Erhalt von 50+1 https://www.schwatzgelb.de/2018-05-30-im-gespraech-mit-andreas-rettig-teil-ii.html 2,2 % Kinder- und Jugendförderverein Gera e.V. für die Organisation des 20. Geraer Oldieturniers 1,1 % Abgründe des Jahres Diebstahl am Steg https://www.facebook.com/wismutgera/posts/2261347270601985 48,3 % Boykott-Begründung: Als Jena-Fan kann man Erfurt nicht als neutralen Spielort sehen https://www.otz.de/web/zgt/dritte-liga/detail/-/specific/Blau-gelb-weisse-Erfolgsgeschichte-Jena-Fans-feiern-Pokalfinal-Sieg-daheim-2019009135 25,8 % Geschäft mit Fußball-Nachwuchs https://www.ndr.de/sport/fussball/Geschaeft-mit-Fussball-Nachwuchs-Wie-Berater-tricksen,kuehn380.html 7,9 % Thüringer Fußballverband, der in der Saison 2017/18 der neugegründeten Frauenmannschaft des FC Carl Zeiss Jena gleich den Start in höchsten Thüringer Liga ermöglichte und dies u.a. mit der Meldung einer Juniorinnen-Mannschaft für die Folgesaison begründete. 2018/19 nimmt allerdings keine FCC-Mädchenmannschaft an den Wettbewerben teil. Für den TFV offensichtlich keinen Grund seine Entscheidung zu überdenken. 7,9 % Aussage von Robin Dutt, dass Protest im Stadion nichts zu suchen hat https://www.11freunde.de/artikel/robin-dutt-kritisiert-fan-protest 4,5 % Martin Kind und der Umgang mit der 50+1 Regel http://www.sportbuzzer.de/artikel/hannover-96-dfl-strafe-50-plus-1-fanproteste-hintergrunde-chronologie/ 2,2 % Beste Gastgeber des Jahres Die BSG-Geschäftsstelle bei der Stadioneröffnung vor 2138 Zuschauern gegen die SG Dynamo Dresden. 39,3 % Die Organisatoren des 19. R+V Hallenmasters in Kremmen. 24,7 % Die Verantwortlichen des FC Saalfeld für eine perfekte Organisation des Pokalhalbfinales. 18 % Die Verantwortlichen des Ludwigsfelder FC für den entspannten Umgang mit den Gästefans aus Gera. 15,7 % Die Medien-Helden MDR Sport im Osten für die Dokumentation Unvergessene Vereine u.a. mit BSG Motor Suhl, BSG Stahl Riese und BSG Chemie Buna Schkopau https://www.mdr.de/sport/fussball/spio-historisch/index.html 62,9 % Spiegel, Recherchenetzwerk EIC und der NDR für die Auswertung von rund 70 Millionen Football-Leaks-Dokumenten und die folgenden Veröffentlichungen https://www.ndr.de/info/sendungen/Football-Leaks-Gier-Luegen-und-geheime-Deals,footballleaks142.htmlournalisten 28,1 % zwangsbeglueckt für die Kommentierung der beiden El Dosico https://twitter.com/zwangsbeglueckt/status/1042851046635266049 7,9 % Die Postille des Jahres Landeswelle, MDR, Mediengruppe Thüringen, TAG24 und Thueringen24 für die reine Wiedergabe einer Pressmitteilung der Polizei zum Einsatz nach dem Pokalfinale ohne eigene Prüfung oder Recherche https://www.brennpunkt-orange.de/2349 42,7 % MDR, Mediengruppe Thüringen und Suhler Verlagsgesellschaft mbH & Co. KG für ihre reine Wiedergabe der Ministeriumsmeldung über 650 gewaltbereite Fußballfans in Thüringen ohne kritisches Hinterfragen der öffensichtlich geschätzten Zahlen https://www.brennpunkt-orange.de/2362 28,1 % Antenne-Thüringen-Redaktion im Fick-Dich-Rausch https://www.antennethueringen.de/blog/hashtag/fick-dich-gera-607992?pid=1 16,9 % Bild-Kolumnist Alfred Draxler, der seinen Text zur möglicherweise gekauften Fußball-WM 2006 in Deutschland zuvor noch mit der Betreffzeile Ich kann noch alles ändern dem amtierenden DFB-Präsidenten Wolfgang Niersbach zum Gegenlesen geschickt hatte. https://bildblog.de/103144/ich-kann-noch-alles-aendern/ 9 % Funke-Sport Chefredakteur Pit Gottschalk im SPORT1-Doppelpass zum BVB: Man war natürlich nach dem Attentat viel zu nachsichtig mit der Mannschaft. https://www.sport1.de/tv-video/video/check24-doppelpass-ganze-sendung-mit-huub-stevens-und-neven-subotic__cv4Y7bmFimXMtN0lR9N78v1hYFYIXCQv (10:53) 3,4 %   Du möchtest deinen Podcast auch kostenlos hosten und damit Geld verdienen? 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Youtubeurs du monde
Youtubeurs du monde - Xiaomeng Chen, célébrité «rouge sur la toile» en Chine (série d'été)

Youtubeurs du monde

Play Episode Listen Later Aug 8, 2018 3:40


Les Chinois les appellent « Wang Hong » ou « Rouge sur la Toile », des jeunes femmes, devenues riches et célèbres grâce au boom des vidéos en direct sur internet. Dans ce pays aux 30 millions de célibataires, les admirateurs leur offrent des cadeaux avec un simple clic sur leur smartphone. Un secteur estimé à sept milliards d’euros qui attire des milliers de jeunes femmes en quête de gloire et d’argent. A l’image de Xiaomeng Chen, célébrité d’internet qu’Heike Schmidt a rencontré dans la ville portuaire de Tianjin.

MANCC Podcast
Nora Chipaumire

MANCC Podcast

Play Episode Listen Later Jul 29, 2008 19:54


Dr. Heike Schmidt, History Professor at Florida State University, speaks with Nora Chipaumire (NY) about her choreographic collaboration with Zimbabwean musicians Thomas Mapfumo and the Blacks Unlimited.