Podcasts about subotica

  • 32PODCASTS
  • 33EPISODES
  • 35mAVG DURATION
  • ?INFREQUENT EPISODES
  • Apr 30, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about subotica

Latest podcast episodes about subotica

njuznet
Ko je bliži pucanju - Vučić ili protesti? : Njuz PODkast EP189

njuznet

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 94:15


U 189. epizodi Njuz Podcasta, ekipa u punom sastavu komentariše najsvežija (i najbizarnija) dešavanja: Analiziramo ko se tukao ispred DIF-a u Novom Sadu, zašto dekan Patrik zaključava fakultet i zove žandarmeriju, i šta Željko Mitrović radi na žurkama u Zapa Bazi (i kakve to veze ima sa pumpanjem). Pitamo se zašto Alfa Ćaci ide u šoping donjeg veša sa (minimum) dva druga/telohranitelja, koliko nas košta Ćacilend (i koliko po Vučiću košta studentski doručak), i kako padaju sveže renovirani plafoni u školama dok deca nisu tu (srećom!). Komentarišemo i izjave Patrijarha iz Moskve o "Cvetnaja revoluciji" i prvi diplomatski "blam" novog premijera na sahrani Pape. Pozivamo vas da podržite prosvetare preko akcije "Umetnost solidarnosti" i najavljujemo protest u Subotici 17. maja. Usput, otkrivamo kompleksnost tržišta šolja, tajnu zapleta Sunđer Boba i zašto Makedonci nemaju padeže (ili nas lažu?). Ostavite komentar, lajkujte ako vam se svidelo i pretplatite se za još epizoda! Korisni linkovi:

The Long Way Back
Behind the Lens of 'Lost for Words' with Pamela Drynan

The Long Way Back

Play Episode Listen Later Sep 18, 2024 41:46


In this powerful episode of *The Long Way Back*, we're joined by award-winning documentary filmmaker Pamela Drynan, whose deep passion for uncovering human resilience has fueled a remarkable career spanning over two decades. Originally from Scotland and now based in Dublin, Pamela has made a lasting impact with her gripping films like *Unbreakable: Survivors of Sexual Violence*, *Chancers*, and *Gutted*—the latter earning her two Scottish BAFTA awards.Pamela sits down with hosts Timmy Long & Georgie Cooney to discuss her journey as a storyteller, including her latest upcoming documentary on dyslexia, set for release this Wednesday, September 18th at 9:30 on Rte 1. Together, they explore Pamela's commitment to shedding light on the struggles and triumphs of those often unheard, from survivors of abuse to people facing societal and medical challenges.In this deeply moving conversation, Pamela opens up about her creative process, her love of research, and what it means to collaborate on projects that carry such emotional weight. We'll also take a behind-the-scenes look at her experiences producing content for major broadcasters like RTE, BBC, PBS, and Channel 4, as well as working with Subotica production company.Don't miss this intimate discussion as we delve into the power of storytelling and the lasting impact of films that give voice to those who've walked *The Long Way Back*. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Klar so weit?
Abschieben oder nicht? Ein Thema, zwei völlig unterschiedlche Fälle

Klar so weit?

Play Episode Listen Later Jun 14, 2024 30:39


Ein sechsjähriges, schwer hörbehindertes Mädchen aus Celle wird 2021 nach Serbien abgeschoben, ein verurteilter Krimineller aus Salzgitter bleibt in Deutschland. Wie passt das zusammen? Und wie geht es der mittlerweile neunjährigen Anastasija heute? HAZ-Redakteurin Jutta Rinas hat sie in Serbien besucht und hat auch den Fall des „Paten von Salzgitter“ verfolgt. Im „Klar so weit“-Podcast bei Felix Harbart berichtet sie über beide Fälle – und sagt, was das mit markanten Politikersätzen rund um die Europawahl zu tun hat.

Sonntagsspaziergang - Deutschlandfunk
Subotica, Serbien - Weißer Fleck der Europakarte?

Sonntagsspaziergang - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 7:18


Peikert, Lindawww.deutschlandfunk.de, Sonntagsspaziergang

fleck serbien subotica lindawww
Progressive House UK
Exclusive Guest In The Mix- Ivan Pogrebniak

Progressive House UK

Play Episode Listen Later Nov 27, 2023 60:20


Ivan Pogrebniak (31 years old) is a Serbian DJ living in the city of Subotica.Ivan began his DJ career in 2010. Since 2020, he has been creating his own tracks.His musical inclinations are Progressive House, Deep Progressive.https://soundcloud.com/pogrebniakivanhttps://www.instagram.com/pogrebniakivan/https://www.facebook.com/pogrebniakivanhttps://www.beatport.com/artist/ivan-pogrebniak/930773https://open.spotify.com/artist/525MqzYctCsDSqVtlvPUkIhttps://msha.ke/pogrebniakivanThe track included in the mix, Ultraviolet, will be released on December 9th via the progressive Bonzai label.

Grand reportage
La Hongrie, porte d'entrée des «nouvelles routes de la soie» en Europe

Grand reportage

Play Episode Listen Later Sep 11, 2023 19:30


Sixième épisode de notre série « Les nouvelles routes de la soie, 10 ans après ». La conquête chinoise de l'Europe passe par Budapest. La Hongrie a été le premier pays européen à signer, en 2015, un accord de coopération avec Pékin dans le cadre de « l'Initiative de la ceinture et de la route ». Parmi les projets phares de ce partenariat : la ligne ferroviaire entre Budapest et Belgrade en construction, prévue pour faire circuler des trains remplis de marchandises chinoises depuis le port grec du Pirée, jusqu'à l'Europe centrale.   De son jardin, situé à quelques mètres des rails, István observe le ballet des engins de chantier. Cet ancien employé des chemins de fer hongrois suit attentivement l'avancée des travaux de rénovation de la ligne Budapest-Belgrade autour de la petite gare de Kelebia, fermée depuis près d'un an, pour travaux. Dans la grande plaine méridionale, cette localité de quelque 2 400 habitants, est la dernière avant la frontière serbe et la ville de Subotica.Un camion benne déverse du gravier autour des traverses en béton qui portent les rails. La ligne à voie unique, en service depuis 150 ans, doit être modernisée et transformée en ligne à double voie. Mais devant la maison d'István, il pourrait y avoir jusqu'à six voies. « Ici, le train s'arrêtera devant les locaux de la gare de la police aux frontières, un peu plus loin, il y aura la douane et la brigade financière. Selon le projet, des portiques seront installés : les trains passeront à vitesse réduite pour y être scannés, comme cela se fait déjà pour les camions aux postes-frontière », explique le maire de Kelebia, József Maczkó.Comme István, plusieurs dizaines de personnes vivent tout près de la voie de chemin de fer. Murs anti-bruit, décorations végétales : les initiateurs du projet vont s'efforcer de minimiser les nuisances, assure l'édile : « Lorsque les voyageurs arriveront par le train, ils ne verront pas une zone industrielle lugubre ou une clôture, mais une zone plus verte, luxuriante. Ça a l'air de rien comme ça, mais c'est important et ça n'est pas donné : on parle de centaines de millions de forints [soit plus d'un million d'euros, Ndlr]. » Le coût du chantier et son financement, c'est justement ce qui préoccupe une partie des résidents de Kelebia. « J'ai très peur que ce chantier coûte beaucoup plus cher que ce qu'ils ont convenu. Ici, on voit clairement que c'est une affaire d'oligarques. On donne du travail aux bons copains, sans savoir s'ils s'y connaissent et s'ils feront du bon boulot », s'emporte Gyulia, un habitant, dans un café du village. « On ne sait rien de ces travaux. Ils nous présentent ce projet en disant que ce sera merveilleux ! Mais on ne sait rien des coulisses », renchérit la propriétaire de l'établissement.La construction de la section hongroise de la ligne ferroviaire Budapest-Belgrade, soit quelque 150 km sur un total de 350, a été confiée à un consortium rassemblant des groupes chinois et la holding Opus Global. Cette dernière appartient à l'homme le plus riche de Hongrie, l'oligarque Lőrinc Mészáros, ami d'enfance du Premier ministre Viktor Orban. Le coût du projet estimé à près de deux milliards d'euros, est financé à 85% par un prêt chinois. « On parle d'un crédit chinois mais c'est surtout un investissement hongrois. Nous aurions volontiers emprunté de l'argent à l'Europe de l'Ouest, mais ni Siemens, ni Alstom n'étaient intéressés par ce projet et le résultat, c'est que les Chinois ont saisi cette opportunité », soutient le député du Fidesz, Gábor Bányai, fervent défenseur du projet.Kelebia a tout intérêt à ce que les trains de marchandises passent par ici, souligne pour sa part le maire József Maczkó, se réjouissant à l'avance de l'activité commerciale qui pourrait en découler : « On va accueillir ici l'un des centres de fret de la compagnie nationale de chemins de fer. On percevra aussi la taxe professionnelle. Plus le transport de marchandises sera important, plus il y aura de produits à contrôler et plus la municipalité en tirera profit. » Contrat secretLe Parlement hongrois a voté en faveur de la mise au secret pour dix ans des détails du contrat de financement par la Chine de la ligne ferroviaire Budapest-Belgrade. Le flou a aussi été maintenu sur l'étude de faisabilité. Le gouvernement défend cette absence de transparence dans cet investissement d'infrastructure le plus important jamais réalisé en Hongrie, par la volonté de ne pas « mettre en danger la politique étrangère hongroise ». « Certaines questions sont si importantes pour un État qu'il n'est pas possible de les rendre publiques. Et dans ce projet, ce sont précisément les effets à long terme qui sont les plus importants », souligne Ágoston Sámuel Mráz, directeur de Nézőpont Intézet, un groupe de réflexion pro-gouvernemental.Pour autant, ce prêt dont les détails restent entourés de mystère, comporte des risques. « La Hongrie a déjà contracté des emprunts, par exemple pour la centrale nucléaire construite par les Russes. Ce projet risque donc d'alourdir considérablement la dette de la Hongrie », note Agnes Szunomar, professeure d'économie spécialiste de la Chine à l'université Corvinus de Budapest. Autre question qui se pose : le projet est-il viable financièrement ? Pour ses opposants, ses avantages apparaissent bien maigres, au vu de l'argent dépensé. Des économistes ont fait le calcul : il faudrait attendre 2 400 ans avant que cette ligne de chemin de fer ne devienne rentable pour la Hongrie.Bien qu'étant un projet privé qui ne dépend pas directement du grand plan de Xi Jinping pour faciliter les exportations chinoises via de nouvelles infrastructures, le plus grand des terminaux intermodaux terrestres d'Europe, inauguré en octobre 2022 à Fényeslitke, à proximité immédiate de la frontière entre la Hongrie et l'Ukraine, se targue d'être « la porte occidentale des "nouvelles routes de la soie” », selon  l'expression de Janos Talosi, PDG de l'entreprise East-West Gate, interrogé par Le Monde.Étant donné sa situation géographique centrale en Europe, la Hongrie de Viktor Orban souhaite jouer un rôle de plus en plus important dans « l'Initiative de la ceinture et de la route ». En réalité, Budapest cultive ses relations avec Pékin depuis le début des années 2000. La Hongrie a été le premier pays de l'UE à adhérer au projet des « nouvelles routes de la soie ». « Le gouvernement socialiste qui a précédé celui de Viktor Orban, était, lui aussi, ouvert et amical envers la Chine », rappelle Agnes Szunomar.L'ancien Premier ministre Péter Medgyessy a facilité la première vague d'investissements économiques chinois dans le pays. Aujourd'hui, la Hongrie accueille de nombreuses institutions culturelles chinoises, un cercle de réflexion, cinq instituts Confucius, une école bilingue, un établissement de médecine traditionnelle chinoise et de nombreuses organisations culturelles. C'est sous le gouvernement de l'actuel Premier ministre que la Hongrie « est devenue l'un des pays de la région les plus vulnérables à l'influence chinoise », note l'Institut Carnegie dans un rapport. « Il semblerait qu'Orban considère le gouvernement chinois - qui donne la priorité aux principes de souveraineté de l'État et de non-intervention dans les affaires intérieures de ses partenaires diplomatiques - comme une alternative à l'Occident libéral, où ses homologues se sont montrés très critiques à l'égard du recul démocratique de la Hongrie. »Si au début du siècle, « l'objectif principal était de stimuler les relations économiques [sous le gouvernement Orban], on est probablement passé d'une logique économique à une logique plus politique dans les relations », selon la professeure d'économie spécialiste de la Chine à l'université Corvinus.Université Fudan à Budapest ?La construction d'un campus de la prestigieuse université Fudan de Shanghai à Budapest participe de cette logique. L'établissement devrait ouvrir en 2024 et accueillir 6 000 étudiants et 500 enseignants. Mais sur la friche industrielle du IXe arrondissement de la capitale hongroise, rien ne bouge autour de l'immeuble rouge brique à l'abandon, qui doit constituer le bâtiment principal de Fudan. Le projet, qui a rencontré une vive opposition, a été suspendu.La maire de l'arrondissement, Krisztina Baranyi, aurait préféré faire construire à la place une cité universitaire pour y accueillir les étudiants des universités budapestoises. Mais cela ne sera pas possible tant que le projet Fudan n'aura pas été officiellement enterré : « Il a été suspendu avant les législatives d'avril 2022. Mais la fondation montée pour superviser cette université est toujours là, ils ne l'ont pas fait disparaitre. Elle continue de recevoir des milliards d'argent public. Cette fondation est une coquille vide, on ne sait pas vraiment ce qu'ils y font », raconte l'édile, qui a pris part à plusieurs manifestations contre le projet.Les opposants pointent, entre autres, les modes de financement troubles. Le gouvernement a décidé de fournir gratuitement un terrain de 26 hectares, estimé à 2,2 millions d'euros, à l'université Fudan. Selon le média d'investigation Direkt36, l'opération serait presque entièrement financée par un prêt d'1,3 milliard d'euros accordé par la Chine à la Hongrie et il serait principalement construit par des entreprises chinoises. Krisztina Baranyi redoute aussi que ce projet ne se transforme en outil d'influence voire de surveillance pour Pékin. « Nous savons pertinemment comment fonctionnent certaines organisations chinoises, telles que les instituts Confucius ou d'autres instituts d'éducation », dit la maire du IXe arrondissement de Budapest, redoutant que cet établissement chinois ne devienne « un cheval de Troie sur le territoire de l'Union européenne ». Certains universitaires hongrois craignent, en outre que le projet Fudan ne dilue le budget de l'État consacré à l'enseignement supérieur et ne contribue à étouffer la liberté académique.Pour s'opposer au projet et marquer clairement son opposition à la Chine et au régime communiste au pouvoir à Pékin, la mairie de Budapest a renommé quatre rues entourant le site du futur campus : « voie des martyrs ouïghours », « avenue de Hong Kong libre » , « avenue du Dalaï-lama » et « rue Xie Shiguang », du nom d'un ex-évêque catholique chinois, arrêté plusieurs fois de son vivant pour s'être opposé au contrôle de la religion par les autorités. Ce geste, critiqué par Pékin, pourrait être l'une des raisons pour lesquelles l'université Fudan a suspendu son projet, selon le politologue Agoston Samuel Mraz : « j'ai le sentiment que les partenaires chinois, considèrent qu'il n'est plus très intéressant pour eux de venir s'installer à Budapest parce qu'ils ne sont pas à l'aise dans cette situation où la ville ne soutient pas le projet. Ça n'est plus une question économique, c'est devenu une question politique ». L'affaire n'est pas enterrée pour autant, tant les relations avec les Chinois sont importantes pour l'équipe Orban, estime, pour sa part Krisztián Takács, conseiller municipal du IXe arrondissement et membre du parti centriste Momentum. « Ce gouvernement a chassé de Budapest l'Université d'Europe centrale, qui était l'une des meilleures universités de Hongrie et il en fait venir une autre de Chine. Pourquoi expulser une université européenne, qui est là depuis longtemps, et en faire venir une autre de Chine ? », s'interroge l'élu.Le gouvernement de Viktor Orban déroule également le tapis rouge aux entreprises chinoises et sud-coréennes de batteries électriques pour automobiles. Mais cette stratégie se heurte à des résistances locales.Eva Kozma, mère de famille, milite activement au sein de « l'Association des mamans de Mikepércs », contre l'installation d'une gigantesque usine de batteries, à l'orée du village paisible et verdoyant, où elle a déménagé il y a une bonne quinzaine d'années, soucieuse d'offrir un cadre de vie plus sain à ses enfants. Le fabricant chinois CATL a choisi ce site, à deux heures et demie de route de Budapest, près de Debrecen, la deuxième ville du pays, à quelques kilomètres d'une usine en construction de BMW. Un autre fabricant chinois de batteries au lithium, Eve Energy, a annoncé en juin qu'il s'apprêtait à investir 1,4 milliard de dollars dans la construction d'une usine dans la région.Redoutant que l'installation d'une usine de batteries ne s'accompagne de pollution sonore, de l'air et des eaux, les associations locales se mobilisent. « On a épluché toutes les autorisations et toutes les données que l'entreprise a bien voulu nous fournir. Le représentant de l'usine nous a dit des choses qui sonnaient bien. Mais ils ne construisent pas un atelier de chocolat ! », s'emporte Eva Kozma. Révolte des riverainsLes opposants au projet craignent particulièrement que l'usine ne menace l'approvisionnement en eau de la ville. Avec des besoins à hauteur de 3 000 à 6 000 mètres cubes par jour, la demande en eau de l'usine sera supérieure à celle de toute la ville de Debrecen. À Budapest, le représentant hongrois du géant chinois se veut rassurant : « Nous envisageons la possibilité d'utiliser les eaux grises, c'est-à-dire les eaux usées traitées, à la place de l'eau potable ou d'autres eaux dites techniques. Nous sommes ouverts à l'utilisation de ce type d'eau pour couvrir plus de 70 % de nos besoins », affirme Balázs Szilágyi, directeur des affaires publiques de CATL Hongrie.Des substances toxiques trouvées dans des puits de la ville de Göd, qui accueille une usine de batterie Samsung, a donné de nouveaux arguments aux militants de Mikepercs. « Ces cas ne sont pas avérés et nous n'avons aucune preuve de l'existence d'un quelconque incident sur d'autres sites, balaye Balázs Szilágyi, le représentant du fabricant chinois. Dans le cas de l'usine CATL, il ne sera pas possible de déverser de tels produits dans les eaux souterraines, tout simplement parce qu'il y aura un système d'isolation. Les produits ne pourront tout simplement pas y pénétrer. Nous aurons aussi 12 puits de surveillance des eaux souterraines : il y aura donc un contrôle continu et il sera facile de prouver qu'il n'y a pas de pollution. » Pas de quoi rassurer Zoltan Timar, le maire de Mikepercz, lui aussi, opposé à la construction de l'usine chinoise. Dans le potager communal qui fournit la cantine municipale en fruits et légumes biologiques, il envisage de créer un jardin témoin. « Nous ferons des prélèvements réguliers pour les faire analyser dans des laboratoires agréés. Si on trouve quoi que ce soit, on se tournera immédiatement vers les autorités, d'autant que le maire de Debrecen a déclaré qu'en cas de constatation d'une contamination, il pourrait faire fermer l'usine. »Autre inquiétude du maire de Mikepercz : l'arrivée sans doute massive de travailleurs étrangers. Après la crise économique de 2008, la région a connu un exode massif vers l'ouest de l'Europe et affronte aujourd'hui une importante pénurie de main-d'œuvre. « Notre localité paisible et familiale n'y est pas préparée. Je ne veux pas que des foyers de travailleurs s'installent ici », martèle Zoltan Timar, inquiet de la transformation d'un pavillon de sa commune en foyer, où des travailleurs chinois du chantier de l'usine de batterie, s'entassent à 6 ou 8 par chambre. « Je n'ose pas imaginer les risques sanitaires qui peuvent exister dans ces logements. Mais malheureusement, on est impuissant », regrette le maire.Balázs Szilágyi répond aussi aux craintes concernant l'emploi de travailleurs étrangers : le recrutement se fera, à terme, au niveau local, assure le représentant de CATL. « Nous n'embauchons pas en Chine, soutient-il. Nous ne faisons que transférer temporairement quelques personnes de là-bas, parce qu'elles ont les connaissances nécessaires pour lancer une usine et que nous avons besoin d'elles au début. »Bien que membre du Fidesz, le parti du Premier ministre Viktor Orban, Zoltan Timar s'oppose à un projet qui s'inscrit dans la stratégie d'ouverture de la Hongrie vers la Chine. Ce qui risque de lui valoir sa carrière politique. Il a d'ailleurs déjà fait les frais d'une campagne de dénigrement, destinée à le discréditer auprès de ses administrés hostiles à l'usine. Conscient de commettre un « suicide politique », il ne compte pas abandonner ce combat, qu'il sait pourtant « voué à l'échec ».

Música Cristiana (Gratis)
La ruta de los Balcanes, entre violencia policial y devoluciones en caliente

Música Cristiana (Gratis)

Play Episode Listen Later Aug 31, 2023 2:21


Entre Šid y Subotica, dos ciudades serbias que hacen frontera con Croacia y Hungría, la ruta de los Balcanes es el escenario donde a diario los refugiados, en su mayoría procedentes de Siria y Afganistán, se enfrentan a la violencia física y las llamadas devoluciones en caliente, organizadas por la Unión Europea. Un reportaje de Marta Moreno, corresponsal de RFI en los Balcanes. Se escuchan los trenes que cruzan las vías que conectan Serbia con Croacia, junto al municipio serbio de Šid. Madina Husseini tenía seis años cuando este mismo tren la arrolló en 2017, debido a una devolución en caliente a manos de la policía croata. Una sentencia confirmada el pasado mayo por el Tribunal de Estrasburgo, y que deja en evidencia la violencia policial que ejerce la Unión Europea en sus fronteras para evitar la entrada de refugiados en territorio Schengen.“Casos de violencia”Philippine Vagany es miembro de la ONG NoNameKitchen (NNK), una de las pocas organizaciones sobre el terreno que registra la violencia en las fronteras: “Nosotros registramos muchos casos de devoluciones en caliente a manos de la policía croata, pero también existen casos de violencia ejercida por la policía serbia contra aquellos que intentan cruzar sus fronteras. Normalmente es violencia verbal, pero también violencia física”, explica.La externalización de fronteras de la Unión Europea a través de partidas millonarias a terceros países ha creado una situación de violencia constante contra las personas que llegan a las puertas de Europa. Bulgaria supone la principal puerta de entrada en la ruta de los Balcanes y recibe 320 millones de euros de la Comisión Europea para "reforzar sus fronteras exteriores con medidas de vigilancia en el cruce entre Bulgaria y Turquía".HumillacionesAsadullah llegó a Bulgaria huyendo del régimen talibán, y ha sufrido más de 10 devoluciones en caliente en esta misma frontera. La última fue a finales de julio: “Cuando la policía nos atrapó, empezaron a pegarnos. Nos quitaron toda nuestra ropa, también nuestros zapatos. Nos vimos obligados a andar descalzos. Nos devolvieron a Turquía y nos dijeron que no podíamos volver a Bulgaria”, cuenta.Philippine es testigo diario de historias como las de Asadullah: “La violencia de la policía búlgara ha sido registrada por nosotros muchísimas veces. Existen muchos casos de extrema humillación por parte de la policía, que llega a devolver a la gente al otro lado de la frontera sin ropa alguna”, comenta.Los casos de Madina y Asadullah no son aislados. El pasado año se registraron más de 5.000 devoluciones en caliente sólo en la frontera entre Turquía y Bulgaria. Una cifra que, según las organizaciones sobre el terreno como NNK, ha ido en aumento en los últimos dos años.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279340/advertisement

Enfoque internacional
La ruta de los Balcanes, entre violencia policial y devoluciones en caliente

Enfoque internacional

Play Episode Listen Later Aug 31, 2023 2:20


Entre Šid y Subotica, dos ciudades serbias que hacen frontera con Croacia y Hungría, la ruta de los Balcanes es el escenario donde a diario los refugiados, en su mayoría procedentes de Siria y Afganistán, se enfrentan a la violencia física y las llamadas devoluciones en caliente, organizadas por la Unión Europea. Un reportaje de Marta Moreno, corresponsal de RFI en los Balcanes. Se escuchan los trenes que cruzan las vías que conectan Serbia con Croacia, junto al municipio serbio de Šid. Madina Husseini tenía seis años cuando este mismo tren la arrolló en 2017, debido a una devolución en caliente a manos de la policía croata. Una sentencia confirmada el pasado mayo por el Tribunal de Estrasburgo, y que deja en evidencia la violencia policial que ejerce la Unión Europea en sus fronteras para evitar la entrada de refugiados en territorio Schengen.“Casos de violencia”Philippine Vagany es miembro de la ONG NoNameKitchen (NNK), una de las pocas organizaciones sobre el terreno que registra la violencia en las fronteras: “Nosotros registramos muchos casos de devoluciones en caliente a manos de la policía croata, pero también existen casos de violencia ejercida por la policía serbia contra aquellos que intentan cruzar sus fronteras. Normalmente es violencia verbal, pero también violencia física”, explica.La externalización de fronteras de la Unión Europea a través de partidas millonarias a terceros países ha creado una situación de violencia constante contra las personas que llegan a las puertas de Europa. Bulgaria supone la principal puerta de entrada en la ruta de los Balcanes y recibe 320 millones de euros de la Comisión Europea para "reforzar sus fronteras exteriores con medidas de vigilancia en el cruce entre Bulgaria y Turquía".HumillacionesAsadullah llegó a Bulgaria huyendo del régimen talibán, y ha sufrido más de 10 devoluciones en caliente en esta misma frontera. La última fue a finales de julio: “Cuando la policía nos atrapó, empezaron a pegarnos. Nos quitaron toda nuestra ropa, también nuestros zapatos. Nos vimos obligados a andar descalzos. Nos devolvieron a Turquía y nos dijeron que no podíamos volver a Bulgaria”, cuenta.Philippine es testigo diario de historias como las de Asadullah: “La violencia de la policía búlgara ha sido registrada por nosotros muchísimas veces. Existen muchos casos de extrema humillación por parte de la policía, que llega a devolver a la gente al otro lado de la frontera sin ropa alguna”, comenta.Los casos de Madina y Asadullah no son aislados. El pasado año se registraron más de 5.000 devoluciones en caliente sólo en la frontera entre Turquía y Bulgaria. Una cifra que, según las organizaciones sobre el terreno como NNK, ha ido en aumento en los últimos dos años.

Transformando la mente
La ruta de los Balcanes, entre violencia policial y devoluciones en caliente

Transformando la mente

Play Episode Listen Later Aug 31, 2023 2:21


Entre Šid y Subotica, dos ciudades serbias que hacen frontera con Croacia y Hungría, la ruta de los Balcanes es el escenario donde a diario los refugiados, en su mayoría procedentes de Siria y Afganistán, se enfrentan a la violencia física y las llamadas devoluciones en caliente, organizadas por la Unión Europea. Un reportaje de Marta Moreno, corresponsal de RFI en los Balcanes. Se escuchan los trenes que cruzan las vías que conectan Serbia con Croacia, junto al municipio serbio de Šid. Madina Husseini tenía seis años cuando este mismo tren la arrolló en 2017, debido a una devolución en caliente a manos de la policía croata. Una sentencia confirmada el pasado mayo por el Tribunal de Estrasburgo, y que deja en evidencia la violencia policial que ejerce la Unión Europea en sus fronteras para evitar la entrada de refugiados en territorio Schengen.“Casos de violencia”Philippine Vagany es miembro de la ONG NoNameKitchen (NNK), una de las pocas organizaciones sobre el terreno que registra la violencia en las fronteras: “Nosotros registramos muchos casos de devoluciones en caliente a manos de la policía croata, pero también existen casos de violencia ejercida por la policía serbia contra aquellos que intentan cruzar sus fronteras. Normalmente es violencia verbal, pero también violencia física”, explica.La externalización de fronteras de la Unión Europea a través de partidas millonarias a terceros países ha creado una situación de violencia constante contra las personas que llegan a las puertas de Europa. Bulgaria supone la principal puerta de entrada en la ruta de los Balcanes y recibe 320 millones de euros de la Comisión Europea para "reforzar sus fronteras exteriores con medidas de vigilancia en el cruce entre Bulgaria y Turquía".HumillacionesAsadullah llegó a Bulgaria huyendo del régimen talibán, y ha sufrido más de 10 devoluciones en caliente en esta misma frontera. La última fue a finales de julio: “Cuando la policía nos atrapó, empezaron a pegarnos. Nos quitaron toda nuestra ropa, también nuestros zapatos. Nos vimos obligados a andar descalzos. Nos devolvieron a Turquía y nos dijeron que no podíamos volver a Bulgaria”, cuenta.Philippine es testigo diario de historias como las de Asadullah: “La violencia de la policía búlgara ha sido registrada por nosotros muchísimas veces. Existen muchos casos de extrema humillación por parte de la policía, que llega a devolver a la gente al otro lado de la frontera sin ropa alguna”, comenta.Los casos de Madina y Asadullah no son aislados. El pasado año se registraron más de 5.000 devoluciones en caliente sólo en la frontera entre Turquía y Bulgaria. Una cifra que, según las organizaciones sobre el terreno como NNK, ha ido en aumento en los últimos dos años.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3279343/advertisement

Música Cristiana
La ruta de los Balcanes, entre violencia policial y devoluciones en caliente

Música Cristiana

Play Episode Listen Later Aug 31, 2023 2:21


Entre Šid y Subotica, dos ciudades serbias que hacen frontera con Croacia y Hungría, la ruta de los Balcanes es el escenario donde a diario los refugiados, en su mayoría procedentes de Siria y Afganistán, se enfrentan a la violencia física y las llamadas devoluciones en caliente, organizadas por la Unión Europea. Un reportaje de Marta Moreno, corresponsal de RFI en los Balcanes. Se escuchan los trenes que cruzan las vías que conectan Serbia con Croacia, junto al municipio serbio de Šid. Madina Husseini tenía seis años cuando este mismo tren la arrolló en 2017, debido a una devolución en caliente a manos de la policía croata. Una sentencia confirmada el pasado mayo por el Tribunal de Estrasburgo, y que deja en evidencia la violencia policial que ejerce la Unión Europea en sus fronteras para evitar la entrada de refugiados en territorio Schengen.“Casos de violencia”Philippine Vagany es miembro de la ONG NoNameKitchen (NNK), una de las pocas organizaciones sobre el terreno que registra la violencia en las fronteras: “Nosotros registramos muchos casos de devoluciones en caliente a manos de la policía croata, pero también existen casos de violencia ejercida por la policía serbia contra aquellos que intentan cruzar sus fronteras. Normalmente es violencia verbal, pero también violencia física”, explica.La externalización de fronteras de la Unión Europea a través de partidas millonarias a terceros países ha creado una situación de violencia constante contra las personas que llegan a las puertas de Europa. Bulgaria supone la principal puerta de entrada en la ruta de los Balcanes y recibe 320 millones de euros de la Comisión Europea para "reforzar sus fronteras exteriores con medidas de vigilancia en el cruce entre Bulgaria y Turquía".HumillacionesAsadullah llegó a Bulgaria huyendo del régimen talibán, y ha sufrido más de 10 devoluciones en caliente en esta misma frontera. La última fue a finales de julio: “Cuando la policía nos atrapó, empezaron a pegarnos. Nos quitaron toda nuestra ropa, también nuestros zapatos. Nos vimos obligados a andar descalzos. Nos devolvieron a Turquía y nos dijeron que no podíamos volver a Bulgaria”, cuenta.Philippine es testigo diario de historias como las de Asadullah: “La violencia de la policía búlgara ha sido registrada por nosotros muchísimas veces. Existen muchos casos de extrema humillación por parte de la policía, que llega a devolver a la gente al otro lado de la frontera sin ropa alguna”, comenta.Los casos de Madina y Asadullah no son aislados. El pasado año se registraron más de 5.000 devoluciones en caliente sólo en la frontera entre Turquía y Bulgaria. Una cifra que, según las organizaciones sobre el terreno como NNK, ha ido en aumento en los últimos dos años.

Dr. Stanley – Ministerios En Contacto
La ruta de los Balcanes, entre violencia policial y devoluciones en caliente

Dr. Stanley – Ministerios En Contacto

Play Episode Listen Later Aug 31, 2023 2:21


Entre Šid y Subotica, dos ciudades serbias que hacen frontera con Croacia y Hungría, la ruta de los Balcanes es el escenario donde a diario los refugiados, en su mayoría procedentes de Siria y Afganistán, se enfrentan a la violencia física y las llamadas devoluciones en caliente, organizadas por la Unión Europea. Un reportaje de Marta Moreno, corresponsal de RFI en los Balcanes. Se escuchan los trenes que cruzan las vías que conectan Serbia con Croacia, junto al municipio serbio de Šid. Madina Husseini tenía seis años cuando este mismo tren la arrolló en 2017, debido a una devolución en caliente a manos de la policía croata. Una sentencia confirmada el pasado mayo por el Tribunal de Estrasburgo, y que deja en evidencia la violencia policial que ejerce la Unión Europea en sus fronteras para evitar la entrada de refugiados en territorio Schengen.“Casos de violencia”Philippine Vagany es miembro de la ONG NoNameKitchen (NNK), una de las pocas organizaciones sobre el terreno que registra la violencia en las fronteras: “Nosotros registramos muchos casos de devoluciones en caliente a manos de la policía croata, pero también existen casos de violencia ejercida por la policía serbia contra aquellos que intentan cruzar sus fronteras. Normalmente es violencia verbal, pero también violencia física”, explica.La externalización de fronteras de la Unión Europea a través de partidas millonarias a terceros países ha creado una situación de violencia constante contra las personas que llegan a las puertas de Europa. Bulgaria supone la principal puerta de entrada en la ruta de los Balcanes y recibe 320 millones de euros de la Comisión Europea para "reforzar sus fronteras exteriores con medidas de vigilancia en el cruce entre Bulgaria y Turquía".HumillacionesAsadullah llegó a Bulgaria huyendo del régimen talibán, y ha sufrido más de 10 devoluciones en caliente en esta misma frontera. La última fue a finales de julio: “Cuando la policía nos atrapó, empezaron a pegarnos. Nos quitaron toda nuestra ropa, también nuestros zapatos. Nos vimos obligados a andar descalzos. Nos devolvieron a Turquía y nos dijeron que no podíamos volver a Bulgaria”, cuenta.Philippine es testigo diario de historias como las de Asadullah: “La violencia de la policía búlgara ha sido registrada por nosotros muchísimas veces. Existen muchos casos de extrema humillación por parte de la policía, que llega a devolver a la gente al otro lado de la frontera sin ropa alguna”, comenta.Los casos de Madina y Asadullah no son aislados. El pasado año se registraron más de 5.000 devoluciones en caliente sólo en la frontera entre Turquía y Bulgaria. Una cifra que, según las organizaciones sobre el terreno como NNK, ha ido en aumento en los últimos dos años.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/4064350/advertisement

Tu Historia Preferida
La ruta de los Balcanes, entre violencia policial y devoluciones en caliente

Tu Historia Preferida

Play Episode Listen Later Aug 31, 2023 2:21


Entre Šid y Subotica, dos ciudades serbias que hacen frontera con Croacia y Hungría, la ruta de los Balcanes es el escenario donde a diario los refugiados, en su mayoría procedentes de Siria y Afganistán, se enfrentan a la violencia física y las llamadas devoluciones en caliente, organizadas por la Unión Europea. Un reportaje de Marta Moreno, corresponsal de RFI en los Balcanes. Se escuchan los trenes que cruzan las vías que conectan Serbia con Croacia, junto al municipio serbio de Šid. Madina Husseini tenía seis años cuando este mismo tren la arrolló en 2017, debido a una devolución en caliente a manos de la policía croata. Una sentencia confirmada el pasado mayo por el Tribunal de Estrasburgo, y que deja en evidencia la violencia policial que ejerce la Unión Europea en sus fronteras para evitar la entrada de refugiados en territorio Schengen.“Casos de violencia”Philippine Vagany es miembro de la ONG NoNameKitchen (NNK), una de las pocas organizaciones sobre el terreno que registra la violencia en las fronteras: “Nosotros registramos muchos casos de devoluciones en caliente a manos de la policía croata, pero también existen casos de violencia ejercida por la policía serbia contra aquellos que intentan cruzar sus fronteras. Normalmente es violencia verbal, pero también violencia física”, explica.La externalización de fronteras de la Unión Europea a través de partidas millonarias a terceros países ha creado una situación de violencia constante contra las personas que llegan a las puertas de Europa. Bulgaria supone la principal puerta de entrada en la ruta de los Balcanes y recibe 320 millones de euros de la Comisión Europea para "reforzar sus fronteras exteriores con medidas de vigilancia en el cruce entre Bulgaria y Turquía".HumillacionesAsadullah llegó a Bulgaria huyendo del régimen talibán, y ha sufrido más de 10 devoluciones en caliente en esta misma frontera. La última fue a finales de julio: “Cuando la policía nos atrapó, empezaron a pegarnos. Nos quitaron toda nuestra ropa, también nuestros zapatos. Nos vimos obligados a andar descalzos. Nos devolvieron a Turquía y nos dijeron que no podíamos volver a Bulgaria”, cuenta.Philippine es testigo diario de historias como las de Asadullah: “La violencia de la policía búlgara ha sido registrada por nosotros muchísimas veces. Existen muchos casos de extrema humillación por parte de la policía, que llega a devolver a la gente al otro lado de la frontera sin ropa alguna”, comenta.Los casos de Madina y Asadullah no son aislados. El pasado año se registraron más de 5.000 devoluciones en caliente sólo en la frontera entre Turquía y Bulgaria. Una cifra que, según las organizaciones sobre el terreno como NNK, ha ido en aumento en los últimos dos años.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/4231678/advertisement

COSMO Radio Forum
Hrvati u Srbiji i Srbi u Hrvatskoj taoci odnosa svojih država

COSMO Radio Forum

Play Episode Listen Later Jul 19, 2023 20:04


Odnosi dviju manjina godinama su u uzlaznoj putanji i u pravilu su bolji od odnosa na razini države. Da li je na vidiku otopljenje odnosa službenog Zagreba i Beograda? Jer svako zahlađenja tih političkih odnosa na svojoj koži najčešće osjete upravo manjine. U ekskluzivnom razgovoru Nenad Kreizer i Aleksandar Timofejev saznaju više od njihovih predstavnika. Tomislav Žigmanov i Milorad Pupovac ističu značaj dobre suradnje srpskih Hrvata i hrvatskih Srba kroz razne oblike pa i nogomet. Von Nenad Kreizer.

PRI: Arts and Entertainment
Young Russian game designers find a new home in Serbia

PRI: Arts and Entertainment

Play Episode Listen Later Jun 20, 2023


About a dozen Russian game developers have wound up in the quiet city of Subotica, on the border of Serbia and Hungary, to start over after fleeing Russia. Some left after facing arrest for aiding Ukraine, while others wanted to avoid getting drafted.

Keration Podcast
La “legge della pausa” taglia i matrimoni

Keration Podcast

Play Episode Listen Later Apr 3, 2023 0:50


Tanti anni fa, la provincia serba della Voivodina approvò una legge che avrebbe dovuto prevenire l'aumento dei divorzi. Fu progettata “per raffreddare le passioni momentanee” e per consentire alle coppie di “riconsiderare le loro decisioni”. La legge impone alle coppie che intendono sposarsi di aspettare un mese prima di celebrare il matrimonio. L'effetto? I funzionari della città settentrionale di Subotica riferiscono che una coppia su due cambia idea. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/corgiov/message

Anomalis Radio
Mix A028: Frikardo 2022.10.06

Anomalis Radio

Play Episode Listen Later Oct 7, 2022 58:56


Sick mix from Frikardo out of Subotica, Serbia Tracklist: Vicmari - Adetuate Jeff Swiff,MPLSHOUSE - Bound To You Soela - Sensual ZOiD - Space Station Jamaimoi - Build Problems Sell Solutions Duv Tales, Kim Young iLL - Hatt, Frakk & Diskman Olly Vanc - YY70E3 70s Network - Rememba Me Malin Genie - Crop La Riff - Cosmic Dust Henrik Villard - Dont Want It Shinichi Atobe - Yes.mp3 Roman Coskun - It Aint A Joke Being Woke MOOR - Find A Real Job

sick subotica
Film Ireland Podcast
Emer Reynolds, Director of 'Joyride'

Film Ireland Podcast

Play Episode Listen Later Jul 29, 2022 26:50


In this Film Ireland podcast, Gemma Creagh talks to Emmy-winning documentary maker Emer Reynolds about her debut feature film Joyride. Joyride stars the Academy®, Emmy and Golden Globe Award-winning Olivia Colman as Joy, a solicitor, who didn't expect to get pregnant or hijacked in a taxi stolen by a 12-year-old boy. Fleeing from his father, 12-year-old Mully steals a taxi and is shocked to find a woman, Joy, in the back seat with a baby. Joy is on her way to an important meeting, and Mully needs to get some distance from his dad, who's after the cash Mully has with him. The unlikely pair go on a journey across Ireland, gradually finding the friendship, love and learning, they never knew they needed, in each other. Joyride was developed by Embankment Films and produced by Aoife O'Sullivan and Tristan Orpen Lynch through Ingenious Media, Subotica and Fís Éireann/Screen Ireland. Executive Producers are Christelle Conan, Peter Touche, Tim Haslam, Hugo Grumbar and Ailbhe Keogan. Joyride was developed with assistance by Fís Éireann/Screen Ireland, Kerry College Monvalley Campus, Screen Kerry, the Creative Ireland Kerry Programme & Kerry County Council, National Lottery through Creative Scotland Alongside Creative Scotland / National Lottery high impact. Developed in association with Advance Party Films Limited. Joyride is in Irish cinemas from Friday 29th July 2022.

UnderGRAND radio
Razgovori Ugodni - Daniel Tikvicki (Librarion), Subotica

UnderGRAND radio

Play Episode Listen Later Apr 30, 2022 50:52


Fina priča sa prijateljem, bratom i saborcem, Danielom iz Subotice. U "razgovoru ugodnom" objašnjava tajnu svog večitog entuzijazma za bavljenje umetnošću. Poslušati pod obavezno.

poslu subotica
Partizan Histerical Podcast
ALEKSAAAAAAAAA - PARTIZAN HISTERICAL S03 E32 - 7.3.2022.

Partizan Histerical Podcast

Play Episode Listen Later Mar 8, 2022 106:05


#grobarskahisterija s03 e32 Bolje je snimati podcast posle 6 prvenstvenih bodova (Mladost Lučani, Subotica), pobede nad skupljim Čovićevim klubom i osvojenog Kupa za odbojkaše. Zašto uopšte imamo VAR? Šta će biti protiv Fejenoorda? ALEKSAAAAAAAAAAAAAAAAA Epizodu snimili: Gazza, Vili, Crk, Steva, Lemmy... i Aleksa! Running time: 107 minuta. Pokrenuli smo PATREON, pa ko želi sada može da časti za neko pivo, dodatne sadržaje i/ili tehničke popravke na podcastu: www.patreon.com/pfchisterical A ima i: paypal.me/partizanhisterical HISTI RADIO MIX br. 57 i Pesma za Fejenord! https://youtube.com/playlist?list=PLwhKCZrlUHqhq43b-imMa5scz7ll-8TsR Twitter: www.twitter.com/pfchisterical Instagram: www.instagram.com/pfchisterical/ Youtube: www.youtube.com/c/PartizanHistericalP... podcast.rs/show/histerical/ podcasts.apple.com/us/podcast/part…al/id1494766516 open.spotify.com/show/0HKmzzodsui…013451d2f4814212 NAPRED PARTIZAN! NAPOMENA: Ovo je "uradi sam" podkast u kome navijači Partizana razgovaraju o zbivanjima u svom voljenom klubu. Izneta mišljenja i stavovi su lični i ne predstavljaju stavove bilo koje navijačke grupe, frakcije, dela uprave, radne ili druge organizacije. Nismo insajderi, eksperti, sportski radnici. Apsolutna vernost, ne apsolutna istina. Trudimo se da jezik koji koristimo bude fin književni - možete ga čuti na svakom stadionu i u svakoj sportskoj hali. Cover foto: KK Partizan / Dragana Stjepanović Zvuk: Rihard MeCRK III Realizacija: Slavko Tatić, Elektropionir i Histerikal

Kouryer podcast
Kouryer podcast EP.142 (Danijela Antunović)

Kouryer podcast

Play Episode Listen Later Feb 13, 2022 24:57


▶️Episode 142 ➗Guest : @zeobun is a Digital and traditional painting , concept art, illustration from Subotica, Serbia. ✳️For full version of the podcast you can visit any podcast platform and search "kouryer podcast". For contact: Instagram: @zeobun Artstation: https://www.artstation.com/zeobun -give a little introduction on how you got into visual arts and design? -were you originally studying art and design or you were pursuing another career path? -what is your main branch of design that you're focusing on? and tell us about your experience from the start till now on it? -how does your design process usually go anytime you want to start working on a design project? -what was the first art job paycheck you ever got what was it for and how did you feel at the time? -general art chat -who are your favorite artists and designers? (that have inspired you the most) -what is the main subject of your artworks and what made them interesting to you? -have you ever used your dreams as inspirtaion for your works? -what are you working on right now that you can tell us? What project is it? -what area beside that you're working on your interest to explore and learn? -Final words #DanijelaAntunović #Danijela_Antunović #ramtindeghat #kouryer #kouryerpodcast #kouryerkulture #digitalillustration #podcast #digitalart #artpodcast #conceptart #رامتین_دقت #پادکست #پادکست_فارسی #کوریر #پادکست_کوریر .................... Font used in the podcast's graphics by : https://www.instagram.com/jeremynelson42/?hl=en The V1 release of Yeager displayed above is Free for Personal + Commercial Use. Sole ownership and rights to the typeface belong to Jeremy Nelson + Jeremy Nelson Design. Distribution of the typeface is permissible upon request. For further questions and inquiries please contact me directly: jeremynelsondesign.com https://www.jeremynelsondesign.com/case-studies/yeager .................... Intro/outro music by: https://www.youtube.com/channel/UCnEzikYfvG1Knk8pzZJMBlQ https://twitter.com/Consteras?s=20

Digitalk.rs
ITSubotica2030: kada entuzijazam i udružene snage menjaju ambijent jednog grada | Specijal 03

Digitalk.rs

Play Episode Listen Later Dec 16, 2021 86:14


U ovoj Specijal epizodi imali smo veliko zadovoljstvo da pričamo sa dva izuzetna čoveka: Branimirom Gajićem, osnivačem i direktorom Infostud-a, kao i Džoržom Salfeldtom, osnivačem i direktorom subotičke kompanije Auxality. Povod za razgovor bila je je inicijativa koju su njihove kompanije zajedno sa još četiri subotičke IT firme pokrenule pod nazivom IT Subotica 2030, a koja ima za cilj da promoviše i razvija Suboticu kao grad gde mladi mogu graditi karijeru u IT industriji i obrazovati se za različite profile u okvirima IT industrije. Pored IT kompanija, u ovu inicijativu koja sada stiče i status organizacije, uključene su i obrazovne institucije poput Ekonomskog fakulteta i Visoke tehničke škole iz Subotice, kao i sama lokalna samouprava. Ova epizoda je u suštini recept kako manje sredine mogu same raditi na razvoju svojih potencijala i unapređenju ambijenta za život i profesionalni razvoj karijere mladih ljudi. Cela organizacija je vrlo rada da deli svoje iskustvo sa drugim, sličnim inicijativama u drugim sredinama, te zato ova epizoda ima i određenu težinu. Subotica ima zaista razvijenu IT scenu, dosta kompanija i mogućnosti za dalji razvoj, a ove kompanije i institucije, okupljene oko ove ideje žele da postignu mnogo više. U razgovoru sa Banetom i Džordžom pričali smo upravo o krovnim ciljevima ove organizacije, razlozima zašto su njihove kompanije ušle u ceo ovaj projekat, te smo pričali o trendovima i konkretnim primerima iz Zapadne Evrope gde se mladi iseljavaju iz velikih gradova i svoje karijere grade u manjim mestima gde postoje bolji uslovi za život i podizanje porodice. Pored tema vezanih za razvoj IT-a, pričali smo i o drugim ciljevima organizacije koji su jednako visoko postavljeni na lestvici: društvene teme, razvoj sadržaja i privrednih potencijala grada, ekologija i zelene inicijative.Sve zajedno, jedan jako lep primer na koga mogu da se ugledaju mnoge manje sredine u Srbiji. Entuzijazam, udružene snage i sredstva, jasan plan i definisani ciljevi, siguran su recept da će se u ovom postavljenom roku Subotica izdvojiti kao jedna od svetlih tačaka za život mladih u Srbiji, ali i kao jedan od značajnih IT ekosistema. IT Subotica 2030: https://www.itsubotica2030.rs/ Marka Žvaka: Gulaš, pankeri i IT - https://www.youtube.com/watch?v=1YErOysFDiY Stuberi: Vraćamo se na fakultet - https://www.youtube.com/watch?v=Mn_jC8o2aX0 Prijavite se na naš YouTube kanal: https://bit.ly/3uWtLES Posetite naš sajt i prijavite se na našu mailing listu - https://www.digitalk.rs Pratite DigiTalk.rs na društvenim mrežama: Facebook: https://www.facebook.com/Digitalk.rs Instagram: https://www.instagram.com/digitalk.rs/ Linkedin: https://www.linkedin.com/company/digitalkrs

TRIBUTO: HISTORIAS QUE CONSTRUYEN MEMORIA DE LA SHOÁ
Peter Rosenfeld Span: "no corran, no hay prisa"

TRIBUTO: HISTORIAS QUE CONSTRUYEN MEMORIA DE LA SHOÁ

Play Episode Listen Later Nov 26, 2021 25:29


TRIBUTO: HISTORIAS QUE CONSTRUYEN MEMORIA DE LA SHOÁ, CON CECILIA LEVIT – Peter Rosenfeld Span nació el 19 de mayo de 1938 en Belgrado, Yugoslavia. Peter pasó la mayor parte de la Segunda Guerra Mundial en Hungría y luego fue deportado al gueto de Subotica y más tarde enviado a campos de trabajo y tránsito durante la guerra, donde logró sobrevivir. Ha estado dando conferencias a estudiantes de secundaria en México y Los Ángeles durante los últimos nueve años.

Geoeconomics Podcast
EP 28: Dragan Kostić - A Quarter Century of Experience

Geoeconomics Podcast

Play Episode Listen Later Nov 19, 2021 23:22


In this Geoeconomics Podcast episode, Aleksa Burmazovic talks with Dragan Kostić, the long-serving CEO of Pirot Free Zone, one of the top zones in Europe, who is also on the directors' board of the World Free Zones Organization. He is also the president of the Pirot Chamber of Commerce and a veteran of the zone space. See the Open Zone Map:  https://www.openzonemap.com/ FDI Awards 2018:https://www.fdiintelligence.com/article/73024 Belgrade Free Zone:http://www.szb.co.rs/ Apatin Free Zone:http://www.freezoneapatin.com/ Yugoslavian Free Zones:https://scindeks.ceon.rs/article.aspx?artid=1820-31590602217K Shannon Free Zone:https://www.shannonchamber.ie/about/about-shannon/shannon-for-business/shannon-free-zone/ Lodz SEZ:https://sse.lodz.pl/en/ Elixir Group:https://www.elixirgroup.rs/en/ Chempark Prahovo:https://icpp.rs/chemical-park/ WFZO:https://www.worldfzo.org/# WEPZA:http://www.wepza.org/ FEMOZA:https://femoza.org/ AZFA:https://www.asociacionzonasfrancas.org/es/ AEZO:https://www.africaeconomiczones.com/ GASEZ:https://worldinvestmentforum.unctad.org/session/launching-luncheon-of-global-alliance-of-sezs-gasezs-in-partnership-with-regional-and-global-associations-of-sezs/ Yandex & Self Driving Cars:https://www.reuters.com/business/autos-transportation/russian-tech-firm-yandex-test-self-driving-taxis-moscow-this-year-2021-09-08/ Tesla Free Zone Gigafactory:https://electrek.co/2018/05/14/tesla-new-company-shanghai-free-trade-zone-chinese-gigafactory/ Bob Haywood:https://www.linkedin.com/in/robert-haywood-99291213/ Juan Torrents:https://www.linkedin.com/in/juan-torrents-381828a7/?originalSubdomain=ch Aleksandar Simonovic:https://www.linkedin.com/in/aleksandar-simonovic-74947847/?originalSubdomain=rs Mohammed Alzarooni:https://www.worldfzo.org/About-Us/Board-of-directors/id/330/dr-mohammed-alzarooni Samir Hamrouni:https://www.linkedin.com/in/dr-samir-hamrouni-4a696413/ This podcast was produced by the Adrianople Group. The Adrianople Group is a business intelligence firm that focuses on special economic zones, venture capital, private equity, and geoeconomics.   Take a look at our free and open-source map of special economic zones: https://www.openzonemap.com/ https://www.adrianoplegroup.com/     https://twitter.com/geoeconomicspod #Dragan #Kostic #Pirot #Serbia #Srbija #Beograd #Belgrade #Subotica #Kikinda #Slobona #Zona #Slobodnazona #FDI #Magazine #Awards #Yugoslavia #Shannon #Ireland #Lodz #Poland #EU #European #Union #Elixir #Chemical #Chemistry #Fertilizer #Danube #River #Prahovo #Chempark #WFZO #WEPZA #FEMOZA #AZFA #AEZO #Association #Organization #Alliance #Yandex #Russia #Moscow #Self-driving #Autonomous #Vehicles #ElonMusk #Tesla #Gigafactory #Gigafactories #Battery #China #Robert #Haywood #Juan #Torrents #Aleksandar #Simonovic #MohammedAlzarooni #Samir #Hamrouni #Emirates #Mars

Reaguj!
071 - Multikulturalnost - primeri dobre prakse

Reaguj!

Play Episode Listen Later Oct 6, 2021 32:05


Kako se u Srbiji neguje multikulturalnost? U prethodnim emisijama govorili smo o tome sa kojim se problemima pripadnici nacionalnih zajednica susreću. U 71. epizodi navodimo primere dobre prakse za očuvanje kulturnog diverziteta. Rusinska škola deo UNESCO kluba Osnovna i srednja škola sa domom učenika “Petro Kuzmjak” u Ruskom Krsturu, jedinstvena je škola u svetu, jer jedina održava nastavu na rusinskom jeziku. O ovoj školi pričali smo u nekoliko navrata, kao na pirmer kada smo govorili o tome koliko je dostupnost obrazovanja na maternjem jeziku važna, jer ne samo što doprinosi očuvanju nacionalne kulture, ono čini i manjinsku zajednicu na okupu i sprečava asmilaciju. Naša sagovornica iz 65. epizode, Olenka Živković iz Ruskog Krstura, koja je, kao i njena deca, pohađala ovu školu za podkast Reaguj! ilustruje važnost ove institucije, koju prepoznaje i UNESCO. “To je način na koji održavamo sebe, odnosno naše postojanje, jer kroz jezik, kulturu i sve to, sprečava se asimilacija. Mislim, moj suprug nije Rusin, ali živimo u Krsturu i smatramo oboje da nam se deca obrazuju na ruskinskom, maternjem jeziku. Mojoj deci je to maternji jezik”, objašnjava Živkovič. UNESCO klubovi se bave globalnim temama koje imaju uticaj na lokalno stanovništvo. Njihove aktivnosti se baziraju na solidarnosti i razmeni u oblasti obrazovanja, nauke i kulture u skladu sa nacionalnim prioritetima i kulturnim specifičnostima. Njihov rad podrazumeva organizovanje aktivnosti kao što su obeležavanje međunarodnih datuma, zaštita životne sredine i kulturne baštine, organizovanje različitih predavanja, seminara, radionica, festivala itd. Bunjevački kao službeni jezik Odbornici Skupštine Grada Subotice, šestog maja ove godine, jednoglasno su usvojili izmene Statuta Grada čime je, pored srpskog, mađarskog i hrvatskog, bunjevački jezik ušao u službenu upotrebu u ovom gradu. Tako je Subotica postala prvi grad u Srbiji koji je bunjevačkoj zajednici omogućio ravnopravnu upotrebu jezika i pisma. Baš o tome smo u 60. epizodi, koja nosi naziv “Izvini, ne razumem te”, razgovarali sa predsednicom Bunjevačkog nacionalnog saveta Suzanom Kujundžić Ostojić. Ona je još tada rekla da je bunjevačka zajednica samo na standardizaciji jezika radila oko 15 godina, a da je sama procedura za donošenje odluke da je to službeni jezik trajala negde oko pola godine. “Mislim da je to univerzalno pravo za sve nacionalne manjine, da imaju pravo da čuvaju svoj maternji jezik, koji već samim tim što su nacionalna manjina, pripadaju određenoj vrsti ugrožene kategorije, u smislu očuvanja jezika i kulturnog identiteta i svega što ide sa tim”, navela je ona. Slovenački kao izborni predmet Prema popisu Federativne Narodne Republike Jugoslavije, Slovenaca u Srbiji je bilo skoro 21 hiljada, a najmanji broj Slovenaca ima za vreme socijalističke Jugoslavije pred sam raspad – tek nešto više od osam hiljada. Prema poslednjem popisu iz 2011, Slovenaca ima nešto više od četiri hiljade. Slovenci su u Srbiji nastanjeni uglavnom u urbanim naseljima od Subotice do Leskovca, i upravo zbog te raštrkanosti ni u jednom naselju nemaju zakonsku normu od 15 procenata stanovništva kojom bi slovenački jezik dobio status službenog jezika nacionalne manjine. Međutim, nedavno je Nacionalni savet slovenačke nacionalne manjine uspeo u dogovoru sa Ministarstvom prosvete da organizuje nastavu slovenačkog jezika kao izbornog predmeta u dve škole u Novom Sadu, navodi Saša Verbič, predsednik Nacionalnog saveta Slovenaca. “Što se tiče službene upotrebe jezika, mi to nemamo zato što je tu limit 15% u nekoj lokalnoj zajednici. Međutim, mi smo uspeli da sa Ministarstvom prosvete Srbije uvedemo slovenački jezik kao izborni jezik u dve škole u Novom Sadu, a nadamo se da će se to vremenom i proširiti. Mogu da kažem da postoji veliko interesovanje i kod ljudi koji nisu slovenačkog porekla za učenje tog jezika”, navodi Verbič. A upravo slovenački se pored nemačkog, rusinskog, rumunskog i znakovnog jezika mogao naučiti i ovog leta na novosadskoj plaži Štrand. Tokom leta bilo je održano deveto izdanje manifestacije “Pod krošnjama na Štrandu”, koje organizuje Novosadska gradska biblioteka sa još nekoliko organizija. Svakog leta, deca od 5 do 12 godina i mladi od 13 do 19 godina, imaju prilike da na plaži nauče neki od manjinskih jezika. Ovaj podkast je pripremljen uz finansijsku podršku Evropske unije i Saveta Evrope, u okviru projekta „Promocija različitosti i ravnopravnosti u Srbiji“. Stavovi izraženi u njemu ni na koji način ne odražavaju zvanično mišljenje bilo koje strane. Na epizodi su radili: Iva Gajić, Nemanja Stevanović, Sanja Kosović, Irena Čučković i Sanja Đorđević.

It's All About Punk Show
It's All About Punk Show #61

It's All About Punk Show

Play Episode Listen Later Aug 18, 2021 77:38


It's All About Punk Show #61. Yugo and Serbian Punk Special witch a guest Martin (drummer of Crackmeier, Cruel, Balance, Remedy, The Bayonets, Niyazov etc.). Made live on FSK 93.0 FM Hamburg on August 17th 2021. Punk before and during yugoslav wars, Belgrade, Novi Sad, Kula, Subotica (suicide city) punk scenes, Novosadska Punk Verzija book, touring in Serbia and around, Squats, Punk festivals, modern hardcore and punk scene and much more. We also mentioned a documentary about Serbian punk and it was Kontakt (https://youtu.be/6TG8qQfD1Us), check it out! Photo: Hoću? Neću! If you have questions about this show or you want to contribute, just contact me: itsallaboutpunkshow@gmail.com Featuring: Satan Panonski / Pasmaters / Džukele / Dead Ideas / Unison / Lets Grow / SMET / T-ERROR / Balance / Remedy / The Bayonets / Niyazov / Dishumanity / Muzika Poludelih / Lockdown / No Speed Limit / All Except One / Hitman / The Truth / Hoću? Neću! Available on: Mixcloud / Spotify / Apple Podcasts / Google Podcasts / Anchor / Breaker / Castbox / Overcast / Pocket Casts / RadioPublic / Stitcher

Onde: Musica e dintorni
Onde [ST3 - EP10] con Lucio Besana Vol. 1

Onde: Musica e dintorni

Play Episode Listen Later Mar 17, 2021 98:47


Ciao a tutte e a tutti.Oggi è di nuovo Ondedì. Esatto avete capito bene, ormai è stato coniato questo neologismo che ha scalzato di fatto il Mercoledì con una crasi un po’ forzata, ma che meglio s’adatta su questo giorno. In un Marzo che mi vede anziano, molto anziano, perché ormai i miei anni sono entrati nel suffisso ANTA da cui non uscirò più, a sostegno della mia acerba demenza senile arriva una nuova Onda. Dicevo, demenza a parte, oggi arriva la nuova Onda, la decima della terza stagione che si sta già accomodando all’interno del vostro apparato uditivo e che ci porterà nuove ventate musicali. Il suo moto ondulatorio è sospinto dalla voce che siede con me oggi, di un mio caro amico con il quale ho condiviso gli anni di studio alla civica di Milano. Quei giorni, quegli anni, furono formativi sicuramente per tante strade professionali, ma in quel luogo ho incontrato un sacco di persone meravigliose con le quali sono cominciate delle splendide amicizie. Il mio grande ospite di oggi, che conobbi allora, si chiama Lucio Besana, e anche se lui studiava regia e io tecnico audio abbiamo passato ore, in civica, ma sopratutto fuori tra aperitivi e serate giovani a parlare a ruota libera di cinema, musica, letteratura e fumetti. Tra le mille cose su cui Lucio è stato vettore concreto di alcune mie scoperte, tra le tante e non smetterò mai di ringraziarlo, è il film L’alba dei morti dementi ma meglio conosciuto come Shaun of the dead di Edgar Wright. Se l’avete visto sapete bene di che rara perla cinematografica stiamo parlando, se invece non ancora l’avete fatto, vi scongiuro di rimediare.
Lucio, come avete intuito è un uomo di grandi conoscenze e di interessi e ad oggi è uno scrittore e sceneggiatore: ha da poco vinto il premio Hypnos grazie al racconto Subotica, inoltre sta per pubblicare a breve un’antologia dei suoi racconti e infine ha firmato la sceneggiatura del lungometraggio horror The Nest - Il Nido con la regia di Roberto De Feo uscito nell’estate del 2019. Lucio da che ci conosciamo ha sempre subìto un’attrazione verso la narrativa, letteraria o cinematografica che sia, nel macro genere dell’Horror/Wierd, ma questo però come si traduce in musica? Bene per la sua puntata ha creato, stilato, una raccolta di brani dalle tinte molto diverse tra loro, e non tutte vanno nella direzione più ovvia riguardo alle sue passioni di cui sopra, sono canzoni appartenenti a mondi diversi e stili distanti, ma non di meno restano affascianti e di grande impatto emotivo. Le doti narrative di Lucio, in questa chiacchierata, risplenderanno portandoci al di la dei brani, al di la delle sensazioni, al di la dei racconti, in un mondo di rara bellezza e di grande profondità intellettuale ed emozionale.
Siate nostre e nostri ospiti in questo dialogo sulla musica fatto da vecchi amici. Trovate la posizione a voi più confortevole, lasciate liberi i piedi di trovare connessione con il terreno, impedite ai suoni esterni di distrarvi e, una volta fatto tutto questo, come sempre,
buon ascolto!
^_^
 - INFO LUCIO BESANA E PUNTATA 

IL DISCO DI LUCIO BESANA PER ONDE:https://open.spotify.com/playlist/2d72qO1zFi5osWakOcOwVS?si=a2e8f37d663e4490INSTAGRAM DI LUCIO BESANA:https://www.instagram.com/lucio_besana/FACEBOOK DI LUCIO BESANA (SCRITTORE) E WORDPRESS:https://www.facebook.com/Lucio-Besana-Writer-of-Horror-and-Weird-Fiction-106015700867621https://awhitemirror.wordpress.com/?fbclid=IwAR0BJTQKahQce5um_hcOVKdamtICzNQ7gW2Q6qDp2em9k_lw0oAffvba6lkFACEBOOK DI LUCIO BESANA (PERSONALE):https://www.facebook.com/lucio.besanaTHE NEST - IL NIDO (FILM):https://www.visiondistribution.it/film/the-nest-il-nido/?fbclid=IwAR09awBdBFrWvgb_gXreVAuntHWt2rCXOQUsCUhV1XrIrUWAr6hHZ5HtgbEhttps://tv.apple.com/it/movie/the-nest-il-nido/umc.cmc.2ah9eoujlb5w4v56xuzlasnighttps://www.facebook.com/TheNestIlFilm/https://it.wikipedia.org/wiki/The_Nest_(Il_nido)http://www.ondacinema.it/film/recensione/the-nest-il-nido.htmlHYPNOS EDIZIONI:http://www.edizionihypnos.com/http://www.edizionihypnos.com/ricerca?controller=search&orderby=position&orderway=desc&search_query=Besana&submit_search=http://www.edizionihypnos.com/content/38-premio-hypnoshttps://www.facebook.com/edizioni.hypnos/https://letteraturahorror.it/editori/edizioni-hypnos/FOR THOSE IN PERIL - IL SOPRAVVISUTO (FILM):https://en.wikipedia.org/wiki/For_Those_in_Peril_(2013_film)http://www.ondacinema.it/film/recensione/superstite_wright.html- INFO ONDE: MUSICA E DINTORNIMY LINKTREE:https://linktr.ee/onde_podcastPATREON:https://www.patreon.com/onde_podcastINSTAGRAM:https://www.instagram.com/onde_podcast/SPREAKER:https://www.spreaker.com/show/onde-musica-e-dintorniPAGINA UFFICIALE SU FACEBOOK:https://www.facebook.com/OndePodcastCONTATTI:onde.podcast@hotmail.comIL BRANO “ONDE” in testa e in coda all’episodio è stato creato, suonato e cantato da Camilla Battaglia.MUSICHE IN PUNTATA:Music Free Stock:https://www.free-stock-music.com/Lost Paradise by Purrple Cat | https://purrplecat.comMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USplunderer by Barradeen | https://soundcloud.com/barradeenMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USDay Ahead by Joe Crotty | https://soundcloud.com/joecrottyMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution 3.0 Unported Licensehttps://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.en_USToo Cool For School by Audionautix | http://audionautix.comMusic promoted by https://www.free-stock-music.comAttribution-NoDerivs 3.0 Unported (CC BY-ND 3.0)https://creativecommons.org/licenses/by-nd/3.0/Vintage Memories by Schematist | http://www.schematistmusic.comMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution 3.0 Unported Licensehttps://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.en_USChillShop by Deoxys Beats | https://soundcloud.com/deoxysbeats1Music promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USCoffee Break by Pyrosion | https://soundcloud.com/pyrosionMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USFrolic by Purrple Cat | https://purrplecat.comMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USGoing With The Flow by Purrple Cat | https://purrplecat.comMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USFaithful Mission by Artificial.Music | https://soundcloud.com/artificial-musicMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution 3.0 Unported Licensehttps://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.en_USSipping A Cold Drink by chillin_wolf | https://soundcloud.com/chillin_wolfMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USDay Ahead by Joe Crotty | https://soundcloud.com/joecrottyMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution 3.0 Unported Licensehttps://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.en_USMerry Bay by Ghostrifter Official | https://soundcloud.com/ghostrifter-officialMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USa warm wind at 20p.m. by Barradeen | https://soundcloud.com/barradeenMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unportedhttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.en_USBefore I Forget by Artificial.Music | https://soundcloud.com/artificial-musicMusic promoted by https://www.free-stock-music.comCreative Commons Attribution 3.0 Unported Licensehttps://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.en_US

Reportagem - Renascença V+ - Videocast
Menores tentam atravessar fronteira ilegalmente. Há meses que Hungria só aceita famílias

Reportagem - Renascença V+ - Videocast

Play Episode Listen Later May 21, 2019 1:35


Pedidos de asilo de menores não acompanhados não são aceites na Hungria há meses, dizem trabalhadores de organizações humanitárias no local, que afirmam que o país está assim a violar leis internacionais. A Hungria tem vindo a fechar progressivamente a fronteira, aceitando agora apenas duas famílias de requerentes de asilo por semana, em média. No campo de Subotica, na fronteira da Sérvia com a Hungria, dezenas de famílias esperam a sua vez. Fora dele, há jovens a tentar a sorte de atravessar ilegalmente.

Pokretači Podcast
#38 Ognjen Vučković - Samo Pivo, Vrteška, 300 Čuda / Beograd, Subotica

Pokretači Podcast

Play Episode Listen Later Oct 30, 2018 51:24


Ognjen Vučkovic, jedan od ljudi iza Samo Piva, prvog isključivo pivskog bara u Beogradu, koji je otvoren na samom pocetku zanatske pivske scene u Srbiji, 2013 godine. Sa Ognjenom sam pričao o tome kako su Samo Pivo, festival Vrteška i kompanija 300 Čuda, stimulisali rast craft pivarstva, ali naravno i o načoj zajedničkoj strasti prema pivu.

BrøndbyLyd
Brøndby skal hurtigt videre fra derby-nederlag: To kampe venter

BrøndbyLyd

Play Episode Listen Later Aug 15, 2018 63:14


Sponsoreret af Arbejdernes Landsbank. Det går stærkt lige i øjeblikket. Der er mange kampe, som truppen skal balancere og dermed er det også tilfældet i BrøndbyLyd. Men vi gør hvad vi kan! I denne udsendelse kan du høre om: - Derby-nederlaget, hvor efterlader det Brøndby? - Optakt til Subotica med et par anekdoter fra Beograd - Optakt til Esbjerg - hvem skal spille? I panelet er Mikkel Frey, Andreas Blume Wind og Klaus Byr. Vært er Nanna Møller Karlsen.

Migration Trail podcast
Day 8 - Welcome to Calais

Migration Trail podcast

Play Episode Listen Later Nov 27, 2017 33:42


There are bottlenecks at many key staging points throughout Europe, where people’s journeys are paused for a few days, weeks, or even months. And in many of these places – Idomeni, Subotica, Foggia – people begin to create their own informal settlements. They have a reputation for being desperate and chaotic, but their residents and volunteers have also often created something quite human there: community. Calais is just one of those places - a place where nearly 10,000 people co-existed as they tried and retried to cross the English Channel. Visit: www.migrationtrail.com WARNING: This program and its online content contains audio and information about traumatic events that may be triggering to those who have experienced something similar. It may also be unsuitable for younger listeners.

RCT // red corner talks
RCT / red corner talks #1 / Jovanovic Weiss - Rumpfhuber

RCT // red corner talks

Play Episode Listen Later Jun 30, 2010 23:49


Srdjan Jovanovic Weiss born in1967, (Subotica) is an architect educated at Harvard University and Belgrade University. He recently collaborated with Herzog & de Meuron architects and is the founder of Normal Architecture Office as well as co-founder of School of Missing Studies, network for cultural and urban research. His recent book „Almost Architecture“, published by Merz&Solitude and kuda.nao explores the roles of architecture vis-à-vis democratic processes, abrupt political changes and architectural appearance of post-communist ideologies. He is an Assistant Professor at Tyler School of Art_Architecture at Temple University and lectures at Harvard GSD and at Penn School of Design. He is a PhD candidate at Goldsmiths College, University of London with a dissertation on the positive spatial aspects of Balkanization. He exhibited and lectured about his work at the universities and museums in Western Europe, North America and Japan and he published internationally. Andreas Rumpfhuber is Architect and Researcher with an office in Vienna, Austria. Andreas is member of the Researchers and Artists Collective roundtable.kein.org at the Centre for Research Architecture at Goldsmiths College in London, he was PhD-stipendiate (2005-2008) at the Center for Design Research at the Royal Danish Academy of Fine Arts, School of Architecture in Copenhagen. His PhD-dissertation „Architecture of Immaterial Labour“ will be published in fall 2010 at TURIA+KANT. Andreas was lecturing and teaching amongst others at TU Vienna, TU Graz, Academy of Fine Arts Vienna, Goldsmiths College, Royal Danish Academy of Fine Arts, he was curating a.o. „Schindler Lecture“ series (2004-2007) at the Austrian Society of Architecture (www.oegfa.at), the Conference „Politics of Designing“ at The Danish Doctoral Schools of Architecture & Design. He is regularly writing for the Vienna Street-Newspaper Augustin, as well as for divers international Architecture/Art magazines and journals such as: Springerin, Hefte für Gegenwartskunst, dérive, Zeitschrift für Stadtforschung, UmBau, Arkitekten, bauwelt.

First Person Podcast
Steven Fenves: Neighbors in Subotica

First Person Podcast

Play Episode Listen Later Jun 8, 2010


Steven Fenves discusses being forced into a ghetto immediately following the German occupation of his hometown of Subotica, Yugoslavia, in March 1944. As his family was forced out of their home, they encountered a range of responses from their non-Jewish neighbors.

First Person Podcast
Steven Fenves: Neighbors in Subotica

First Person Podcast

Play Episode Listen Later Jun 8, 2010


Steven Fenves discusses being forced into a ghetto immediately following the German occupation of his hometown of Subotica, Yugoslavia, in March 1944. As his family was forced out of their home, they encountered a range of responses from their non-Jewish neighbors.