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Send us a textTHE SLEEP SOLUTION YOU HAVEN'T TRIED: BEYOND THE BASICS WITH DR. NISHI BHOPALIs sleep your Achilles' heel despite doing "all the right things"? In this eye-opening episode of Fit and Fabulous, Dr. Orlena welcomes sleep medicine expert Dr. Nishi Bhopal to explore the emotional and cognitive dimensions of sleep that most experts never discuss.Discover why sleep quality matters more than hours logged, with fascinating insights into how sleep continuity affects your entire day—even when your tracker says you got "enough" sleep. Dr. Bhopal shares powerful, practical techniques like scheduled worry time and mindful reframing that tackle the racing thoughts keeping you awake at 3 AM.Women listeners will especially benefit from Dr. Bhopal's expertise on how sleep issues manifest uniquely in women's bodies. Learn why perimenopausal and menopausal sleep problems are often misdiagnosed, how subtle symptoms of sleep disorders differ between genders, and the specific nutritional, hormonal, and mindset approaches that can transform your sleep.Whether you're struggling with nighttime anxiety, midlife sleep changes, or simply want to optimize your rest for better energy and health, this episode offers expert solutions beyond the standard sleep hygiene advice. Don't miss these transformative strategies that could finally deliver the restorative sleep you deserve.Connect with Dr Nishi Bhopal:Website: https://pacificintegrativepsych.com/Youtube: https://www.youtube.com/@IntraBalanceIG: https://www.instagram.com/pacificintegrativepsych/ Join the waitlist for Dr Orlena's Eat Smart System: https://www.drorlena.com/waitlistJoin the free community and enter the competition: https://www.drorlena.com/offers/DeQiSXZp/checkout Podcast Index and Sign up for Weekly Emails: https://www.drorlena.com/blog/index-of-podcasts-and-blog-posts Looking for support? Book a free call with Dr Orlena: https://bookme.name/drorlena/positively-healthy-chat-with-dr-orlena-fb
Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme. Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant, il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ? Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.
Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme. Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant, il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ? Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.
Eurasian Griffon vulture was rescued by locals in Satna after collapsing from dehydration. He was nursed back to health at vulture conservation centre in Bhopal's Vanvihar National Park & Zoo.
We navigate the rough waters of modern life's digital overload with Dr. Nishi Bhopal! Dr. Bhopal, triple board-certified in Psychiatry, Sleep Medicine, and Integrative Holistic Medicine, is passionate about making mental wellness and sleep science accessible to all. Be sure to check out her first episode on sleep (episode 041 Sleep in Modern Times) if you haven't already! In this episode, Dr. Bhopal returns for a second episode to discuss overcoming digital overload. We explore what exactly digital overload is, which arises from our frequent use of digital devices, and how this impacts the body and mind, and practical strategies to manage device use and reduce overwhelm. I also guide a brief meditation entitled, Breathe Your Way to Awareness. I hope that this guided meditation and our discussion help inspire peace of mind in today's fast-paced digital world.Connect with Dr. Nishi Bhopal, MD:WebsiteInstagram Free Holistic Sleep GuideYoutubeConnect with Dr. Jonar, MD: Book Your Free Health Coaching Consult with Dr. Jonar4 Truth Health CoachingInstagramFacebookLinkedinThreadsDr. Jonar WebsiteHOW CAN I SUPPORT THIS PODCAST?Download, Listen, Subscribe, Rate & Review: Glass Half Healthy on Apple PodcastGlass Half Healthy on SpotifyTell Your Family & Friends! And Share Online!Thanks to my intern Amelia Liu, to Jacob Ferrer for their production help, and to StockSounds for the music. And to YOU! Thank you for listening!Disclaimer:This podcast is intended for educational purposes only and isn't medical advice so please talk to your primary physician for that. In addition, the views and opinions expressed by me are my own and not that of my former, current or future employer. This also applies to my guests. Finally, we do our best to make every effort to relay correct information, but don't guarantee its accuracy. Thank you for listening.
Il disastro di Bhopal è il peggior incidente industriale della storia. Nella notte tra il 2 e il 3 dicembre 1984, una nube tossica si diffuse dallo stabilimento chimico della Union Carbide a Bhopal, in India, causando migliaia di morti e danni incalcolabili alla popolazione e all'ambiente. Con oltre 20000 vittime, il disastro di Bhopal è ancora oggi una ferita aperta. In questo episodio ricostruiamo gli eventi di quella notte, le cause dell'incidente e le sue conseguenze. Abbonati per supportare il nostro progetto Missione Cultura e diventare mecenate di Geopop: https://geopop.it/Muh6X Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
From Mumbai to Imphal, Bhopal, Jaipur and Bengaluru-- how BJP leaders with mass base are trying to break free from Amit Shah's control and why, ThePrint Political Editor DK Singh analyses in this episode of #PoliticallyCorrect
This is the Catchup on 3 Things by The Indian Express and I'm Flora Swain.Today is the 24th of February and here are the headlines.Eight workers remain trapped after the SLBC tunnel in Telangana partially collapsed on Saturday. Despite efforts, Telangana Minister Jupally Krishna Rao said survival chances are “very remote”. A team of rat miners, previously deployed in Uttarakhand's Silkyara tunnel collapse, joined the rescue team. Around 300 personnel, including NDRF, SDRF, and Army members, are involved. However, muck and debris are hampering progress, with rescuers 13 km inside the tunnel, and water blocking access to the trapped workers.Prime Minister Narendra Modi highlighted Madhya Pradesh's rise as a business hub during the Global Investors Summit 2025 in Bhopal. Praising the state's skilled workforce and growing industrial sectors, Modi noted that India will remain the world's fastest-growing economy. He emphasized Madhya Pradesh's role in the electric vehicle revolution and aerospace sector, assuring investors of the state's lucrative opportunities. He urged global businesses to tap into the state's flourishing market.The Uttar Pradesh government told the Supreme Court that the well near the disputed mosque in Sambhal is on public land and not connected to the mosque. The well, known as 'Dharani varah koop,' is located near, but not inside, the disputed site. Tensions have risen over claims that the Mughal-era Shahi Jama Masjid was built over the demolished Hari Mandir temple. The case continues to stir religious disputes between local communities.In the 2025 German election, the conservative CDU/CSU alliance led by Friedrich Merz emerged victorious, with the far-right AfD securing its best result, placing second with 20.8% of the vote. US President Donald Trump praised the win, calling it a rejection of policies on energy and immigration. Incumbent Chancellor Olaf Scholz's SPD dropped 10 percentage points, finishing in third. Merz is now poised to become Germany's next Chancellor.The Trump administration announced a massive reduction in USAID personnel, putting nearly all employees on leave and eliminating around 1,600 positions. This decision follows a legal battle where Trump sought to cut thousands of USAID jobs but was halted by a federal judge. The judge ruled that the pause would not be permanent. The cuts are part of a broader “reduction in force” effort, impacting the agency's global operations.This was the Catch Up on 3 Things by the Indian Express.
Das Bundesgericht hat entschieden: Der E-Mail-Verkehr zwischen Alain Bersets ehemaligem Kommunikations-Chef Peter Lauener und Ringier-Chef Marc Walder bleibt geheim. Die Bundesanwaltschaft wollte diesen im Rahmen der Corona-Leaks Ermittlungen untersuchen. (Bundesgericht 7B_733/2024) Weitere Themen: Wenn Paare heiraten, werden sie gemeinsam besteuert und zahlen deswegen zum Teil mehr Steuern. Diese Heiratsstrafe wollen die FDP-Frauen abschaffen, mit der Individualbesteuerung. Die Linken stehen ebenfalls hinter dieser Lösung. Allerdings birgt sie für Rot-Grün ein Dilemma. Es war einer der bisher schlimmsten Chemieunfälle: Vor 40 Jahren entwich aus einer Pestizidfabrik im indischen Bhopal eine giftige Gaswolke. Tausende Menschen starben bei dem Unglück. Nun soll in der Stadt Pithampur der giftige Abfall aus Bhopal verbrannt werden. Die Menschen dort wehren sich.
Are you looking for anxiety relief or sleep problem solutions? Your gut health might hold the key. Dr. Falquier is joined by Integrative Psychiatrist, Dr. Nishi Bhopal, and Clinical Nutritionist, Ailar Poonian, who work together to address mental well-being from the inside out. They chat about the powerful connection between the gut microbiome and mental health, sharing expert insights to improve your gut health and mental well-being.In this episode you'll hear:2:15 – What is a whole body approach to mental health and sleep issues?4:35 – How an integrative psychiatrist and clinical nutritionist work together.8:15 – The gut-brain connection and the gut microbiome.12:40 – SIBO (Small Intestinal Bacterial Overgrowth)13:30 – Foods for gut health.17:15 – Why are we now talking so much about the gut microbiome?20:30 – Testing your microbiome for better mental health.26:40 – How quickly can a person feel improvements in anxiety and sleep?32:30 – Should microbiome testing be repeated?34:45 – Should you eat food or take supplements for prebiotics and probiotics?37:10 – Dr. Bhopal's approach to supplements.38:40 – Navigating the often confusing nutrition landscape.Thank you to our sponsor, Auguste Escoffier School of Culinary Arts.Guest link: https://pacificintegrativepsych.com/CREDITS:Host – Dr. Sabrina Falquier, MD, CCMS, DipABLMSound & Editing – Will CrannExecutive Producer – Esther Garfin©2025 Alternative Food Network Inc.Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/culinary-medicine-recipe--3467840/support.
If you're struggling, consider therapy with our sponsor. Visit https://betterhelp.com/almanac for a discount on your first month of therapy. If you have questions about the brand relating to how the therapists are credentialed, their privacy policy, or therapist compensation, here is an overview written by the YouTube creators behind the channel Cinema Therapy that goes into these topics: https://www.reddit.com/r/cinema_therapy/comments/1dpriql/addressing_the_betterhelp_concerns_headon_deep/ Hey poison friends! Finally getting to post this one! Just a heads up, my voice still sounds funny thanks to being sick, but feel free to laugh with us as I fail to use words properly a few times this episode lol. This week we travel to Indonesia to discuss the sulfur mines on an active volcano and the miners who collect it to be processed. While tourist travel to see the blue flames caused by the burning sulfur, most of the miners cannot afford such a thing or gloves. They normally cover their mouths with wet cloths and travel miles up steep, rocky, terrain to mine the sulfur and bring hundred of pounds back the same way, all the while facing blistering from longterm exposure to the sulfur and lasting respiratory problems. Oh and there are acidic lakes, too. Next we move on to India, where pollution and toxic waste dumping have long been a problem. In the capital of Madhya Pradesh, one of the worst industrial accidents occurred in 1984, now known as the Bhopal Gas Disaster. How did it happen and what were its effects? For one, it killed and injured thousands, leaving many with serious longterm health problems. Also, the area has never been fully cleaned up, though recent measures have been announced. Lets get into it! Thank you to all of our listeners and supporters! Please feel free to leave a comment or send us a DM for any questions, suggestions, or just to say, "hi." Support us on Patreon: patreon.com/thepoisonersalmanac Follow us on socials: The Poisoner's Almanac on IG- https://www.instagram.com/poisoners_almanac?utm_source=ig_web_button_share_sheet&igsh=ZDNlZDc0MzIxNw== Adam- https://www.tiktok.com/@studiesshow?is_from_webapp=1&sender_device=pc Becca- https://www.tiktok.com/@yobec0?is_from_webapp=1&sender_device=pc Merch is finally live, with more to follow in the future! https://www.poisonersalmanac.com
La Réunion, La Nouvelle-Orléans et Haïti sont convoqués dans cette magnifique session live ! (Rediffusion) Nos 1ers invités sont le groupe Grèn Sémé pour la sortie de l'EP Maloya Gazé + remixs Genre musical majeur de La Réunion, le Maloya, devient « gazé » (fou) à travers les sons composés par Grèn Sémé pour ce nouvel EP.Un maloya gazé qui se conjugue entre inspiration directe de la plus pure ligne de cette musique traditionnelle réunionnaise et son évolution, très actuelle, signature du groupe Grèn Semé.Composé en marge des sessions studio du dernier album en date, «Zamroza», les trois premiers titres de ce tout nouvel E.P révèlent cette facette solaire de la formation créole.On y goûte l'amour du texte et la soif de découverte. Et on savoure la justesse du mélange de leurs compositions. Entre inspiration de la tradition des plus grands morceaux en chants/percussion de l'histoire de l'île et les arrangements si singuliers et identifiables du groupe, Grèn Sémé offre trois hymnes qui se prêtent à merveille à l'exercice du remix. Bonus de luxe : les 3 Remixs de Voilaaa + La Dame + Guiss Guiss Bou bess. Voilaaa et le fabuleux Bruno Patchworks se sont emparés de « Siko » pour créer un hit de bal cap-verdien, funana avec ses mélodies entêtantes, c'est ultra-dansant ! La Dame, productrice et DJ de Belgique, remixe le titre éponyme vers une batida efficace pour le dance floor, les DJs et les danseurs. Les Guiss Guiss Bou Bess poussent un peu plus loin l'exercice du remix en ajoutant les sabars sénégalais et le chant de Mara Seck leader du groupe, répond à Carlo de Sacco sur le titre «Alkol», c'est beau et provoque une véritable explosion de joie et d'émotions.Titres joués au grand studio- Tanbour Live RFI + RFI Vidéos (titre «tanbour»)- Alkol, extrait Cd (Voilaaa remix) - Siko Live RFI + RFI Vidéos (titre «Siko»).Vidéo Line Up : Carlo de Sacco (Chant, Kayanm, Tambour malbar), Mickaël Beaulieu (Synthé, chœurs), Bruno Cadet (Guitares, chœurs), Rémi Cazal (Programmation, synthé, chœurs) et Germain Lebot (Percussions, batterie, chœurs).+ Cedric Corrieri (Tech Son).Son : Mathias Taylor, Camille Roch. RFI Vidéos : Dominique Fiant, Cyril Etienne, Christophe Valette, réalisation : Vanille Foucher.► EP Maloya Gazé (Markotaz 2024).Site Markotaz. YouTube mini concert Grèn Sémé : Les 3 titres filmés par RFI Vidéos, à savoir Bhopal, Tanbour et SikoSite Grèn Sémé - Facebook - YouTube.#musique #maloya #îledelareunion Puis la #SessionLive reçoit Leyla McCalla pour la sortie de l'album Sun Without The Heat.Née à New York d'un couple d'émigrants et d'activistes haïtiens, Leyla McCalla a développé une fascination précoce pour Haïti et sa culture, en partie grâce au temps qu'elle a passé chez sa grand-mère lorsqu'elle était enfant. Après avoir déménagé au Ghana pendant deux ans et obtenu plus tard son diplôme, elle a finalement dérivé vers le sud jusqu'à la Nouvelle-Orléans, où elle voulait gagner sa vie en jouant du violoncelle dans les rues du quartier français.Son dévouement à éclairer les racines noires de la culture américaine l'a finalement conduite aux Carolina Chocolate Drops. Après deux ans de tournée et d'enregistrement avec le groupe lauréat d'un Grammy Award, elle part poursuivre sa propre carrière en tant qu'artiste solo. L'album Sun Whithout The Heat est son 5ème enregistrement studio. Tout au long des dix titres de l'album, McCalla parvient à un équilibre entre pesanteur et légèreté grâce à des mélodies et des rythmes issus de diverses formes de musique afro-diasporique, notamment l'afrobeat, les modalités éthiopiennes, le tropicalisme brésilien, ainsi que le folk et le blues américains. Titres joués au grand studio- Take Me Away Live RFI- Scaled To Survive, extrait de l'album- Give Yourself a Break Live RFI.Line Up : Leyla McCalla, chant, Pete Olynciw, basse, Nathum Zdybel, guitars, Caito Sanchez, batterie.Son : Mathias Taylor, Camille Roch, Jérémie Besset.► Album Sun Without The Heat (Label: Anti-/Pias 2024). YouTube - Site - facebook.#musique #folk #blues #nouvelleorleans #haïti
La Réunion, La Nouvelle-Orléans et Haïti sont convoqués dans cette magnifique session live ! (Rediffusion) Nos 1ers invités sont le groupe Grèn Sémé pour la sortie de l'EP Maloya Gazé + remixs Genre musical majeur de La Réunion, le Maloya, devient « gazé » (fou) à travers les sons composés par Grèn Sémé pour ce nouvel EP.Un maloya gazé qui se conjugue entre inspiration directe de la plus pure ligne de cette musique traditionnelle réunionnaise et son évolution, très actuelle, signature du groupe Grèn Semé.Composé en marge des sessions studio du dernier album en date, «Zamroza», les trois premiers titres de ce tout nouvel E.P révèlent cette facette solaire de la formation créole.On y goûte l'amour du texte et la soif de découverte. Et on savoure la justesse du mélange de leurs compositions. Entre inspiration de la tradition des plus grands morceaux en chants/percussion de l'histoire de l'île et les arrangements si singuliers et identifiables du groupe, Grèn Sémé offre trois hymnes qui se prêtent à merveille à l'exercice du remix. Bonus de luxe : les 3 Remixs de Voilaaa + La Dame + Guiss Guiss Bou bess. Voilaaa et le fabuleux Bruno Patchworks se sont emparés de « Siko » pour créer un hit de bal cap-verdien, funana avec ses mélodies entêtantes, c'est ultra-dansant ! La Dame, productrice et DJ de Belgique, remixe le titre éponyme vers une batida efficace pour le dance floor, les DJs et les danseurs. Les Guiss Guiss Bou Bess poussent un peu plus loin l'exercice du remix en ajoutant les sabars sénégalais et le chant de Mara Seck leader du groupe, répond à Carlo de Sacco sur le titre «Alkol», c'est beau et provoque une véritable explosion de joie et d'émotions.Titres joués au grand studio- Tanbour Live RFI + RFI Vidéos (titre «tanbour»)- Alkol, extrait Cd (Voilaaa remix) - Siko Live RFI + RFI Vidéos (titre «Siko»).Vidéo Line Up : Carlo de Sacco (Chant, Kayanm, Tambour malbar), Mickaël Beaulieu (Synthé, chœurs), Bruno Cadet (Guitares, chœurs), Rémi Cazal (Programmation, synthé, chœurs) et Germain Lebot (Percussions, batterie, chœurs).+ Cedric Corrieri (Tech Son).Son : Mathias Taylor, Camille Roch. RFI Vidéos : Dominique Fiant, Cyril Etienne, Christophe Valette, réalisation : Vanille Foucher.► EP Maloya Gazé (Markotaz 2024).Site Markotaz. YouTube mini concert Grèn Sémé : Les 3 titres filmés par RFI Vidéos, à savoir Bhopal, Tanbour et SikoSite Grèn Sémé - Facebook - YouTube.#musique #maloya #îledelareunion Puis la #SessionLive reçoit Leyla McCalla pour la sortie de l'album Sun Without The Heat.Née à New York d'un couple d'émigrants et d'activistes haïtiens, Leyla McCalla a développé une fascination précoce pour Haïti et sa culture, en partie grâce au temps qu'elle a passé chez sa grand-mère lorsqu'elle était enfant. Après avoir déménagé au Ghana pendant deux ans et obtenu plus tard son diplôme, elle a finalement dérivé vers le sud jusqu'à la Nouvelle-Orléans, où elle voulait gagner sa vie en jouant du violoncelle dans les rues du quartier français.Son dévouement à éclairer les racines noires de la culture américaine l'a finalement conduite aux Carolina Chocolate Drops. Après deux ans de tournée et d'enregistrement avec le groupe lauréat d'un Grammy Award, elle part poursuivre sa propre carrière en tant qu'artiste solo. L'album Sun Whithout The Heat est son 5ème enregistrement studio. Tout au long des dix titres de l'album, McCalla parvient à un équilibre entre pesanteur et légèreté grâce à des mélodies et des rythmes issus de diverses formes de musique afro-diasporique, notamment l'afrobeat, les modalités éthiopiennes, le tropicalisme brésilien, ainsi que le folk et le blues américains. Titres joués au grand studio- Take Me Away Live RFI- Scaled To Survive, extrait de l'album- Give Yourself a Break Live RFI.Line Up : Leyla McCalla, chant, Pete Olynciw, basse, Nathum Zdybel, guitars, Caito Sanchez, batterie.Son : Mathias Taylor, Camille Roch, Jérémie Besset.► Album Sun Without The Heat (Label: Anti-/Pias 2024). YouTube - Site - facebook.#musique #folk #blues #nouvelleorleans #haïti
Sana Durrani, originally from Bhopal, is an educationist. She has overcome challenges to broaden her horizons, motivated in part by her 15-year-old son. Over the past few years, she has gained diverse life experiences, enhancing her perspective. She successfully organized the annual Military History Seminar at Welham Boys' School, Dehradun, for four consecutive years, deepening her understanding of the subcontinent's history, geography, demography, and cultures. Currently serving as Knowledge Officer at an educational institute, she is focused on developing Military History as an academic vertical. Her goal is to contribute to nation-building by fostering a broader worldview among future generations.
First, we talk to The Indian Express' Nikhil Ghanekar about the relocation of 337 metric tonnes of hazardous waste from Bhopal's Union Carbide factory that was generated during pesticide production between 1969 and 1984 and was dumped on the premises.Next, The Indian Express' Anonna Dutt speaks to us about the second phase of the Genome India project, which was approved by the government in 2020 with the aim of creating a comprehensive catalogue of genetic variations found in the Indian population. (13:28)Finally, we talk about Prime Minister Narendra Modi commissioning three advanced Naval combatants INS Surat, INS Nilgiri and INS Vaghsheer. (22:41)Produced and hosted by Niharika NandaEdited and mixed by Suresh Pawar
This is the Catchup on 3 Things by The Indian Express and I'm Ichha Sharma.Today is the 10th of January and here are this week's headlines.After news of respiratory infections caused by human metapneumovirus (HMPV) in China, at least seven cases of the virus were detected during routine surveillance by ICMR's (Indian Council of Medical Research) network of laboratories. Clarifying the status of the virus, the Union Health Ministry issued a statement that read “HMPV is already in circulation globally, including in India, and cases of respiratory illnesses associated with HMPV have been reported in various countries.” It added that there was no history of international travel in the two cases that were picked up during surveillance, meaning that these infections have no connection to the reported surge in respiratory infections in China.The Chhattisgarh police Sunday arrested the alleged main accused Suresh Chandrakar in connection with the murder of journalist Mukesh Chandrakar in the state's Bijapur district from Telangana. Last Saturday, the police arrested three people, including Suresh's brothers Ritesh Chandrakar and Dinesh Chandrakar, and construction supervisor Mahendra Ramteke, in connection with the murder case, and the district administration also razed alleged “illegal property” belonging to the key accused. A freelancer, Mukesh worked with media houses such as NDTV and News 18, and hosted a YouTube channel, Bastar Junction, with 1.59 lakh subscribers.Nikhil Gupta, an Indian national indicted by the U.S. Department of Justice for his alleged involvement in a murder-for-hire scheme targeting Gurpatwant Singh Pannun, a Sikh separatist and American citizen, has stated that since his extradition from the Czech Republic to the US seven months ago, he has not been contacted by anyone from the Indian government. Gupta expressed to The Indian Express that despite his family's multiple requests for assistance, there has been no communication from Indian officials regarding his situation. Gupta, currently being held in the Metropolitan Detention Center in Brooklyn, New York, was responding to a set of questions from The Indian Express. His replies were shared through an intermediary who has been in regular contact with him.Although Ahmedabad is the primary focus of India's bid to host the 2036 Olympics, discussions are underway to expand the event's reach across the country. The government is considering hosting various sports in different cities to foster a nationwide movement. Proposed venues include hockey in Bhubaneswar, rowing in Bhopal, canoeing and kayaking in Pune, and cricket in Mumbai. India has been actively engaging with the International Olympic Committee's Future Hosts Commission since submitting a Letter of Intent last October. This proposal aims to showcase India's diverse sporting capabilities and will be presented to the IOC soon. An official noted that while the final structure of the plan is still being developed, there is a strong desire to involve multiple regions in this significant event, making it a collective national effort.On the global front, a new wildfire has reportedly erupted in the Hollywood Hills scrubland, Los Angeles Fire Chief Kristin Crowley announced, as five other blazes continued to devastate the county. The powerful Santa Ana winds, typically associated with high wildfire risks, fanned the flames and hindered firefighting operations. Raging wildfires have surrounded Los Angeles, killing at least five people, destroying hundreds of homes as more than 100,000 people were ordered to evacuate. Pacific Palisades, home to celebrities like Jamie Lee Curtis and Mark Hamill, saw widespread destruction, forcing evacuations. Homes and properties worth millions were consumed by the flames, with more than 1,000 structures destroyedThis was the Catch Up on 3 Things by the Indian Express
This is the Catchup on 3 Things by The Indian Express and I'm Flora Swain.Today is the 9th of January and here are the headlines.PM Modi Inaugurates Pravasi Bharatiya Divas, Highlights India's Global RisePrime Minister Narendra Modi inaugurated the 18th Pravasi Bharatiya Divas, emphasizing India's increasing global stature over the past decade. He inaugurated and toured four exhibitions showcasing the efforts of both central and state ministries. PM Modi credited the government's economic initiatives for uplifting over 25 crore people from poverty. He also highlighted that India, now the world's fifth-largest economy, is set to become the third-largest economy soon, reflecting the nation's rapid growth and development.Nikhil Gupta's Plea for Help Amid U.S. Legal TroubleNikhil Gupta, an Indian national facing murder-for-hire charges in the U.S., has revealed that since his extradition from the Czech Republic, he has received no assistance from the Indian government. Gupta, held at the Metropolitan Detention Center in Brooklyn, shared his frustration with The Indian Express, stating that despite his family's multiple requests, no Indian official has reached out. Gupta's case has sparked concerns about the lack of diplomatic support for citizens facing legal challenges abroad.Meta's Shift in Fact-Checking Program Raises Concerns in IndiaMeta's recent decision to end its third-party fact-checking program in the U.S. is causing alarm among Indian fact-checking organizations. Many of these groups, which depend heavily on Meta's funding, are now facing uncertainty about their future. A senior anonymous source described this move as a potential "existential threat" to their operations. Meta's CEO Mark Zuckerberg also announced significant content-related changes across Facebook, Instagram, and Threads, fueling worries about the impact on fact-checking efforts globally.India's 2036 Olympic Bid Could Involve Multiple CitiesIndia is considering expanding its bid for the 2036 Olympics beyond Ahmedabad to showcase its diverse sporting capabilities. Proposed venues include Bhubaneswar for hockey, Bhopal for rowing, Pune for canoeing and kayaking, and Mumbai for cricket. Discussions with the International Olympic Committee's Future Hosts Commission are ongoing, following India's Letter of Intent submitted last October. The aim is to create a nationwide movement, ensuring a collective effort from various regions to make the event a success.Wildfires Rage in Los Angeles, Destroying Homes and LivesA new wildfire has erupted in the Hollywood Hills as five other blazes continue to ravage Los Angeles County. Fueled by strong Santa Ana winds, the fires have claimed at least five lives and destroyed hundreds of homes. More than 100,000 people have been forced to evacuate as properties worth millions in areas like Pacific Palisades, home to celebrities, were consumed by flames. Over 1,000 structures have been destroyed, with firefighters battling the fast-spreading fires across the region.This was the Catch Up on 3 Things by the Indian Express
In 1984, a catastrophic gas leak, now known as the Bhopal Gas Tragedy, shook the world. Four decades later, efforts to remove the toxic waste from the site have finally begun. On that harrowing night, Dr Amit Zutshi, now based in Melbourne, was sleeping near the factory in Bhopal with his family. In a conversation with Itee Dewan, he recounts his memories of that fateful night.
40 năm sau vụ rò rỉ khí độc hại nhất trong lịch sử ở nhà máy thuốc trừ sâu Union Carbide do Hoa Kỳ sở hữu tại thành phố Bhopal ở miền trung Ấn Độ, nhà chức trách Ấn độ vừa dọn dẹp sạch sẽ những thứ sót lại. Vụ rò rĩ khiến hàng ngàn người đã thiệt mạng, vô số các nạn nhân sống sót và con cái họ hiện nay vẫn đang phải vật lộn với các vấn đề sức khỏe mãn tính.
Authorities in India have removed four decades' worth of toxic waste from a chemical factory that saw one of the deadliest gas leaks in history. In December 1984, thousands of people were killed from a gas leak at a US-owned Union Carbide pesticide factory in the country's central city of Bhopal. As a result, today thousands of survivors and their children are still battling with chronic health issues.
A Tesla Cybertruck explodes outside Donald Trump's Las Vegas hotel, a truck-ramming attack in New Orleans leaves 15 dead, a senior Hamas official expresses optimism regarding ongoing Gaza negotiations, the Palestinian Authority temporarily suspends Al Jazeera operations in the West Bank, Joe Biden names Liz Cheney among 20 recipients of the Presidential Citizens Medal, 337 metric tons of toxic waste from India's 1984 Bhopal disaster is moved, England hits a record early cancer detection benchmark, a driver deliberately runs over and kills a New Zealand officer, US jobless claims hit their lowest level since March, and 2025 brings the debut of 'Generation Beta' Sources: www.verity.news
From the BBC World Service: Authorities in India have removed hundreds of tons of toxic waste from an Indian chemical factory that witnessed one of the world’s deadliest gas leaks four decades ago. Locals have long-complained of people getting sick due to groundwater contamination. Plus, Russian gas has stopped flowing to EU states from Ukraine. And “The Lehman Trilogy” has kept theater audiences gripped for more than a decade.
From the BBC World Service: Authorities in India have removed hundreds of tons of toxic waste from an Indian chemical factory that witnessed one of the world’s deadliest gas leaks four decades ago. Locals have long-complained of people getting sick due to groundwater contamination. Plus, Russian gas has stopped flowing to EU states from Ukraine. And “The Lehman Trilogy” has kept theater audiences gripped for more than a decade.
This is the Catchup on 3 Things by The Indian Express and I'm Ichha Sharma.Today is the 2nd of January and here are the headlines.The Supreme Court slammed the Punjab government today over the hunger strike by farm leader Jagjit Singh Dallewal, saying that the state's attitude appeared to be against reconciliation and its officials were spreading the wrong impression that the court is trying to persuade Dallewal from breaking his fast. Justice Surya Kant, presiding over a two-judge Bench said, quote, “There appears to be a deliberate attempt in the entire media where your state government officers are trying to create an impression that there is a persuasion by the court to Mr Dallewal to break the fast. That's why he is probably reluctant”, unquote.Andhra Pradesh Chief Minister N Chandrababu Naidu has said that the Solar Energy Corporation of India's agreement to purchase power from the Adani Group was an advantage for the state government and any action on the bribery charges would be taken only after a thorough examination of the records. On Tuesday, speaking at Vijayawada, the CM said that the state government cannot scrap contracts unless there is adequate proof of irregularities. The development comes more than a month after Gautam Adani's indictment in the United States over allegations of bribing Indian government officials for securing “lucrative solar energy supply contracts”.The Chattogram Court in Bangladesh has denied bail to monk Chinmoy Krishna Das Brahmachari, in a hearing held under tight security today. Bangladesh Supreme Court lawyer Apurba Bhattacharya and 10 others had appeared before the court to represent the monk. The bail request was turned down after about 30 minutes of hearing both parties' arguments. Chinmoy Krishna Das, spokesperson of Bangladesh Sammi lito Sanatani Jagran Jote, was arrested on November 25 in Bangladesh on charges of sedition.After 40 years, the process of relocating the toxic waste from Bhopal's Union Carbide factory began Wednesday night when 12 containers carrying 337 metric tonnes of hazardous waste departed for Pithampur. Officials said the waste is being transported under tight security through a 250 km-long green corridor. Each container has a unique identification number, and detailed route information has been shared with the district administration and police. The chosen route was selected to minimize traffic disruptions at night. The specialised containers, which are moving at a speed of 40-50 km per hour, will halt briefly at designated points. Along with the containers, police escorts, ambulances, fire brigades, and a quick response team are accompanying the convoy. Each container is manned by two drivers.A terrorist attack on New Year's Day in New Orleans left 15 dead and over 30 injured when a pickup truck rammed into a crowd on Bourbon Street. The suspect, identified as Shamsud Din Jabbar, was killed in a gunfight with police after the attack. Speaking on the incident, US President Joe Biden said that every resource is being utilized to ensure there is no threat to the American people. He further said that law enforcement is investigating any possible connection between the “terror attack” and the Tesla Cybertruck explosion in Las Vegas.''This was the Catch Up on 3 Things by The Indian Express.
This In Case You Missed It episode brings the written word to life. Today, Trish Kerin, Chemical Processing's Stay Safe columnist, will read her column “Process Safety Lessons from Bhopal 40 Years Later” Written By: Trish Kerin Read By: Trish Kerin Read Article
Forty years after India's Bhopal disaster, local residents are still suffering from its aftermath. The gas explosion at a chemical plant caused toxic waste to contaminate the water in nearby areas, causing locals to develop numerous health issues. Today, second and third-generation victims of the gas leak are grappling with its effects. Activists are battling to secure justice for the victims. FRANCE 24's Khansa Juned and Martin Bathla report.
Voices - Conversations on Business and Human Rights from Around the World
40 years since the Bhopal gas disasters, which killed thousands and injured millions more, what have been the lessons for corporate accountability? IHRB's Salil Tripathi speaks to survivor, Tahira Sultan, as well as Dr Usha Ramanathan, a human rights and legal scholar who has studied and worked on the Bhopal case extensively.
Support the Bhopal Medical Appeal https://www.bhopal.org/Episode two: The Green Revolution explores the historical, political and economic forces that came together to make the Bhopal Gas Disaster a catastrophe just waiting to happen. Focusing on India's so called “Green Revolution” we discuss the long term consequences of short term technological fixes to the environmental challenges with which the new post-colonial state was confronted - not least the persistent problem of food security and the threat of famine. We explore how new laws such as the Foreign Exchange Regulation Act contributed to Union Carbide's decision to cut corners in the building and safety of its plant in Bhopal, and we discuss some very different responses to the environment at the Green Revolution within India in the 1970s and 1980s.This month, all new sign ups on Patreon will be given directly to the Bhopal Medical Appeal. Music "Recurring anomaly" by Charles Holmehttps://www.epidemicsound.com/track/bcoMezO9lb/Support the show
The Bhopal tragedy of 1984 at a Union Carbide pesticide plant in India killed thousands of people. The incident resulted from multiple safety failures: contaminated methyl isocyanate (MIC) storage, disabled safety systems and poor plant management. It led to significant changes in process safety, including the development of OSHA's Process Safety Management standard, the Center for Chemical Process Safety, and international safety directives like the Seveso protocol. Chemical engineer Ramin Abhari has created graphic novels to communicate the lessons learned, emphasizing the importance of inherently safer design, proper management of change and maintaining critical safety systems during plant decommissioning.
Fu quello di Bhopal in India, 40 anni fa. Le stime variano molto, ma si calcola che causò circa 22mila morti ed ebbe conseguenze sulla salute di centinaia di migliaia di persone. La contaminazione ambientale continua a essere la causa di problemi alle falde acquifere e di malattie croniche, come problemi respiratori, malattie cardiache, cancro, danni al sistema immunitario, disturbi neurologici e problemi riproduttivi. È una storia che arriva da lontano, ma che in un certo senso ci riguarda tutti. In Valtellina, intanto, è stato scoperto uno degli ecosistemi fossili meglio conservati in tutto l'arco alpino, vediamo come è stato possibile. Infine ci occupiamo di un famosissimo esperimento carcerario. Abbonati al Post. Leggi anche: Il disastro di Bhopal, 40 anni fa 40 anni dopo Bhopal: effetti persistenti sulla salute per un caso ancora aperto Una conversazione con i sopravvissuti della tragedia di Bhopal La storia di Seveso È stato scoperto un ricchissimo sito di fossili in Valtellina La prigione di Stanford Non si può credere all'esperimento della prigione di Stanford Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
As a successful no-confidence vote topples the French government, a look at the political career of President Emmanuel Macron, whose presidency once signaled hope for change. Also, this week marks 40 years since the world's deadliest industrial disaster. The Bhopal gas leak originating at a pesticide plant in 1984 exposed 500,000 people in India to toxic vapors, killing thousands that night and leaving many more with serious health issues that persist to this day. How the Bhopal disaster changed India. And, Google's new AI weather forecasting tool, in the context of a global need for longer-term weather predictions.Listen to today's Music Heard on Air.We're thankful for listeners like you who power our newsroom! Donate today to keep The World fully powered all year long.
Es gilt als das größte Gas-Unglück der Welt: im Dezember vor 40 Jahren trat aus einer Chemiefabrik im zentralindischen Bhopal giftiges Gas aus. Tausende Menschen starben. Charlotte und Deepika erzählen Clara von ihrer Recherche-Reise
December 3, 1984. The city of Bhopal in central India suffers the worst industrial accident on record. This episode originally aired in 2021.Support the show! Join Into History for ad-free listening and more.History Daily is a co-production of Airship and Noiser.Go to HistoryDaily.com for more history, daily.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:05:36 - Le Journal de l'éco - Quarante ans après la catastrophe de Bhopal, l'une des pires tragédies industrielles de l'histoire, des milliers de victimes et leurs familles attendent encore une indemnisation. L'absence de justice et de réparation reste un symbole poignant de l'impunité face aux désastres industriels.
Mini-podcast about an event on this day in working class history.Our work is only possible because of support from you, our listeners on patreon. If you appreciate our work, please join us and access exclusive content and benefits at patreon.com/workingclasshistory.See all of our anniversaries each day, alongside sources and maps on the On This Day section of our Stories app: stories.workingclasshistory.com/date/todayBrowse all Stories by Date here on the Date index: https://stories.workingclasshistory.com/dateCheck out our Map of historical Stories: https://map.workingclasshistory.comCheck out books, posters, clothing and more in our online store, here: https://shop.workingclasshistory.comIf you enjoy this podcast, make sure to check out our flagship longform podcast, Working Class History. AcknowledgementsWritten and edited by Working Class History.Theme music by Ricardo Araya. Check out his YouTube channel at youtube.com/@peptoattack
Support the Bhopal Medical Appeal https://www.bhopal.org/Forty years ago on the night of December 2nd 1984 water entered the chemical storage tank 610 at the Union Carbide India plant in Bhopal causing an exothermic reaction that released a deadly cloud of gas into the air which was blown for miles across the city exposing more than 500,000 people to the deadly and enduring effects of methyl isocynate. In Bhopal: Stories of an Ecocide we tell explore the history, social, political and economic drivers behind the world's worst industrial disaster and its devastating - and ongoing - human and environmental impacts.In episode one we explore the deadly events of that night and hear from those who experienced it and are still supporting those living with the consequences. This month, all new sign ups on Patreon will be given directly to the Bhopal Medical Appeal. Music "Recurring anomaly" by Charles Holmehttps://www.epidemicsound.com/track/bcoMezO9lb/Support the show
First episode December 2nd Forty years ago, on the night of December 2nd 1984, water entered the chemical storage tank 610 at the Union Carbide India plant in Bhopal, causing an exothermic reaction that released a deadly cloud of gas into the air which was blown for miles across the city exposing more than 500,000 people to the deadly and enduring effects of methyl isocynate. In Bhopal: Stories of an Ecocide we tell explore the history, social, political and economic drivers behind the world's worst industrial disaster and its devastating - and ongoing - human and environmental impacts.New episodes every fortnight.Support the show
Hello and welcome to for the FIRST TIME, Moment of Silence, with a man.
Nella notte tra il 2 e il 3 dicembre 1984 da una fabbrica di Bhopal, in India, fuoriescono 40 tonnellate di isocianato di metile, un gas letale usato per fabbricare pesticidi. Il gas diventa una nube tossica, circonda la città, la riempie, la devasta. I morti secondo il governo sono 3828, ma in tutto sarebbero oltre 20.000 se si considerano anche quelle avvenute negli anni seguenti a causa delle intossicazioni. Da allora a oggi sono passati 40 anni di sofferenza, di indagini boicottate dalle istituzioni, di assenza di colpevoli e di tentativi di rendere Bhopal ancora vivibile. E di tenere accesa la memoria di quella notte. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La Réunion, La Nouvelle-Orléans et Haïti sont convoqués dans cette magnifique session live ! Nos 1ers invités sont le groupe Grèn Sémé pour la sortie de l'EP Maloya Gazé + remixs Genre musical majeur de La Réunion, le Maloya, devient « gazé » (fou) à travers les sons composés par Grèn Sémé pour ce nouvel EP.Un maloya gazé qui se conjugue entre inspiration directe de la plus pure ligne de cette musique traditionnelle réunionnaise et son évolution, très actuelle, signature du groupe Grèn Semé.Composé en marge des sessions studio du dernier album en date, «Zamroza», les trois premiers titres de ce tout nouvel E.P révèlent cette facette solaire de la formation créole.On y goûte l'amour du texte et la soif de découverte. Et on savoure la justesse du mélange de leurs compositions. Entre inspiration de la tradition des plus grands morceaux en chants/percussion de l'histoire de l'île et les arrangements si singuliers et identifiables du groupe, Grèn Sémé offre trois hymnes qui se prêtent à merveille à l'exercice du remix. Bonus de luxe : les 3 Remixs de Voilaaa + La Dame + Guiss Guiss Bou bess. Voilaaa et le fabuleux Bruno Patchworks se sont emparés de « Siko » pour créer un hit de bal cap-verdien, funana avec ses mélodies entêtantes, c'est ultra-dansant ! La Dame, productrice et DJ de Belgique, remixe le titre éponyme vers une batida efficace pour le dance floor, les DJs et les danseurs. Les Guiss Guiss Bou Bess poussent un peu plus loin l'exercice du remix en ajoutant les sabars sénégalais et le chant de Mara Seck leader du groupe, répond à Carlo de Sacco sur le titre «Alkol», c'est beau et provoque une véritable explosion de joie et d'émotions.Titres joués au grand studio- Tanbour Live RFI + RFI Vidéos (titre «tanbour»)- Alkol, extrait Cd (Voilaaa remix) - Siko Live RFI + RFI Vidéos (titre «Siko»).Vidéo Line Up : Carlo de Sacco (Chant, Kayanm, Tambour malbar), Mickaël Beaulieu (Synthé, chœurs), Bruno Cadet (Guitares, chœurs), Rémi Cazal (Programmation, synthé, chœurs) et Germain Lebot (Percussions, batterie, chœurs).+ Cedric Corrieri (Tech Son).Son : Mathias Taylor, Camille Roch. RFI Vidéos : Dominique Fiant, Cyril Etienne, Christophe Valette, réalisation : Vanille Foucher.► EP Maloya Gazé (Markotaz 2024).Site Markotaz. YouTube mini concert Grèn Sémé : Les 3 titres filmés par RFI Vidéos, à savoir Bhopal, Tanbour et SikoSite Grèn Sémé - Facebook - YouTube.#musique #maloya #îledelareunion Puis la #SessionLive reçoit Leyla McCalla pour la sortie de l'album Sun Without The HeatNée à New York d'un couple d'émigrants et d'activistes haïtiens, Leyla McCalla a développé une fascination précoce pour Haïti et sa culture, en partie grâce au temps qu'elle a passé chez sa grand-mère lorsqu'elle était enfant. Après avoir déménagé au Ghana pendant deux ans et obtenu plus tard son diplôme, elle a finalement dérivé vers le sud jusqu'à la Nouvelle-Orléans, où elle voulait gagner sa vie en jouant du violoncelle dans les rues du quartier français.Son dévouement à éclairer les racines noires de la culture américaine l'a finalement conduite aux Carolina Chocolate Drops. Après deux ans de tournée et d'enregistrement avec le groupe lauréat d'un Grammy Award, elle part poursuivre sa propre carrière en tant qu'artiste solo. L'album Sun Whithout The Heat est son 5ème enregistrement studio. Tout au long des dix titres de l'album, McCalla parvient à un équilibre entre pesanteur et légèreté grâce à des mélodies et des rythmes issus de diverses formes de musique afro-diasporique, notamment l'afrobeat, les modalités éthiopiennes, le tropicalisme brésilien, ainsi que le folk et le blues américains. Titres joués au grand studio- Take Me Away Live RFI- Scaled To Survive, extrait de l'album- Give Yourself a Break Live RFI.Line Up : Leyla McCalla, chant, Pete Olynciw, basse, Nathum Zdybel, guitars, Caito Sanchez, batterie.Son : Mathias Taylor, Camille Roch, Jérémie Besset► Album Sun Without The Heat (Label: Anti-/Pias 2024). YouTube - Site - facebook.#musique #folk #blues #nouvelleorleans #haïti
La Réunion, La Nouvelle-Orléans et Haïti sont convoqués dans cette magnifique session live ! Nos 1ers invités sont le groupe Grèn Sémé pour la sortie de l'EP Maloya Gazé + remixs Genre musical majeur de La Réunion, le Maloya, devient « gazé » (fou) à travers les sons composés par Grèn Sémé pour ce nouvel EP.Un maloya gazé qui se conjugue entre inspiration directe de la plus pure ligne de cette musique traditionnelle réunionnaise et son évolution, très actuelle, signature du groupe Grèn Semé.Composé en marge des sessions studio du dernier album en date, «Zamroza», les trois premiers titres de ce tout nouvel E.P révèlent cette facette solaire de la formation créole.On y goûte l'amour du texte et la soif de découverte. Et on savoure la justesse du mélange de leurs compositions. Entre inspiration de la tradition des plus grands morceaux en chants/percussion de l'histoire de l'île et les arrangements si singuliers et identifiables du groupe, Grèn Sémé offre trois hymnes qui se prêtent à merveille à l'exercice du remix. Bonus de luxe : les 3 Remixs de Voilaaa + La Dame + Guiss Guiss Bou bess. Voilaaa et le fabuleux Bruno Patchworks se sont emparés de « Siko » pour créer un hit de bal cap-verdien, funana avec ses mélodies entêtantes, c'est ultra-dansant ! La Dame, productrice et DJ de Belgique, remixe le titre éponyme vers une batida efficace pour le dance floor, les DJs et les danseurs. Les Guiss Guiss Bou Bess poussent un peu plus loin l'exercice du remix en ajoutant les sabars sénégalais et le chant de Mara Seck leader du groupe, répond à Carlo de Sacco sur le titre «Alkol», c'est beau et provoque une véritable explosion de joie et d'émotions.Titres joués au grand studio- Tanbour Live RFI + RFI Vidéos (titre «tanbour»)- Alkol, extrait Cd (Voilaaa remix) - Siko Live RFI + RFI Vidéos (titre «Siko»).Vidéo Line Up : Carlo de Sacco (Chant, Kayanm, Tambour malbar), Mickaël Beaulieu (Synthé, chœurs), Bruno Cadet (Guitares, chœurs), Rémi Cazal (Programmation, synthé, chœurs) et Germain Lebot (Percussions, batterie, chœurs).+ Cedric Corrieri (Tech Son).Son : Mathias Taylor, Camille Roch. RFI Vidéos : Dominique Fiant, Cyril Etienne, Christophe Valette, réalisation : Vanille Foucher.► EP Maloya Gazé (Markotaz 2024).Site Markotaz. YouTube mini concert Grèn Sémé : Les 3 titres filmés par RFI Vidéos, à savoir Bhopal, Tanbour et SikoSite Grèn Sémé - Facebook - YouTube.#musique #maloya #îledelareunion Puis la #SessionLive reçoit Leyla McCalla pour la sortie de l'album Sun Without The HeatNée à New York d'un couple d'émigrants et d'activistes haïtiens, Leyla McCalla a développé une fascination précoce pour Haïti et sa culture, en partie grâce au temps qu'elle a passé chez sa grand-mère lorsqu'elle était enfant. Après avoir déménagé au Ghana pendant deux ans et obtenu plus tard son diplôme, elle a finalement dérivé vers le sud jusqu'à la Nouvelle-Orléans, où elle voulait gagner sa vie en jouant du violoncelle dans les rues du quartier français.Son dévouement à éclairer les racines noires de la culture américaine l'a finalement conduite aux Carolina Chocolate Drops. Après deux ans de tournée et d'enregistrement avec le groupe lauréat d'un Grammy Award, elle part poursuivre sa propre carrière en tant qu'artiste solo. L'album Sun Whithout The Heat est son 5ème enregistrement studio. Tout au long des dix titres de l'album, McCalla parvient à un équilibre entre pesanteur et légèreté grâce à des mélodies et des rythmes issus de diverses formes de musique afro-diasporique, notamment l'afrobeat, les modalités éthiopiennes, le tropicalisme brésilien, ainsi que le folk et le blues américains. Titres joués au grand studio- Take Me Away Live RFI- Scaled To Survive, extrait de l'album- Give Yourself a Break Live RFI.Line Up : Leyla McCalla, chant, Pete Olynciw, basse, Nathum Zdybel, guitars, Caito Sanchez, batterie.Son : Mathias Taylor, Camille Roch, Jérémie Besset► Album Sun Without The Heat (Label: Anti-/Pias 2024). YouTube - Site - facebook.#musique #folk #blues #nouvelleorleans #haïti
"The taste and quality of the ingredients that some street vendors use can rival that of Michelin star restaurants. And that they make it all available at this price point is just shocking. Street vendors also have no qualms about feeding the food that they make to their own families. They don't store their food or refrigerate and reuse, all ingredients are fresh every day, there are no secrets, its made out in the open in front of the customer. Those are the big differences with the large chains. After doing this book, we've realised that we are much better off eating from the street than eating packaged food or even from fancy places" - Priya Bala and Jayanth Narayanan, authors, 'Bazaar Bites; Tales and Tastes of India's Street Foods' talks to Manjula Narayan about the fantastic sweets and savouries on offer on our streets including in tier 2 cities like Indore, Nagpur, Bhopal, Puri, Srinagar and Allahabad, among others, specialities like the hing kachori of Varanasi, the karela chaat of Gwalior, the ghirmit of Hubli Dharwad, the samosas of Bata Mangala in Odisha, the litti chokhas of Patna and the dosa diversity of Karnataka, and how street food needs to be properly recognised as an integral part of India's culinary heritage.
Financial Freedom for Physicians with Dr. Christopher H. Loo, MD-PhD
Could optimizing your sleep be the key to unlocking your best self? Dr. Nishi Bhopal, a Harvard-trained psychiatrist and sleep expert, delves into sleep's transformative power, sharing essential insights every professional should know. From understanding chronobiology to integrating sleep hygiene and Eastern practices, Dr. Bhopal offers actionable strategies to combat insomnia, manage high-stress environments, and improve overall mental health. This conversation will change the way you think about rest, resilience, and well-being. To check out the YouTube (video podcast), visit: https://www.youtube.com/@drchrisloomdphd Disclaimer: Not advice. Educational purposes only. Not an endorsement for or against. Results not vetted. Views of the guests do not represent those of the host or show. Click here to join PodMatch (the "AirBNB" of Podcasting): https://www.joinpodmatch.com/drchrisloomdphd If you enjoyed the audio and video quality of this episode, enhance your own productions by signing up through our Descript affiliate link: https://get.descript.com/gaei637mutik Click here to check out our Amazon product of the day (affiliate):https://amzn.to/4fdNMhx We couldn't do it without the support of our listeners. To help support the show: CashApp- https://cash.app/$drchrisloomdphd Venmo- https://account.venmo.com/u/Chris-Loo-4 Spotify- https://podcasters.spotify.com/pod/show/christopher-loo/support Buy Me a Coffee- https://www.buymeacoffee.com/chrisJx Click here to schedule a 1-on-1 private coaching call: https://www.drchrisloomdphd.com/book-online Click here to check out our e-courses and bookstore here: https://www.drchrisloomdphd.com/shop Click here to purchase my books on Amazon: https://amzn.to/2PaQn4p For audiobooks, visit: https://www.audible.com/author/Christopher-H-Loo-MD-PhD/B07WFKBG1F Follow our YouTube channel: https://www.youtube.com/chL1357 Follow us on Twitter: https://www.twitter.com/drchrisloomdphd Follow us on Instagram: https://www.instagram.com/thereal_drchrisloo Follow us on Threads: https://www.threads.net/@thereal_drchrisloo Follow us on TikTok: https://www.tiktok.com/@drchrisloomddphd Follow our Blog: https://www.drchrisloomdphd.com/blog Follow the podcast on Spotify: https://open.spotify.com/show/3NkM6US7cjsiAYTBjWGdx6?si=1da9d0a17be14d18 Subscribe to our Substack newsletter: https://substack.com/@drchrisloomdphd1 Subscribe to our Medium newsletter: https://medium.com/@drchrisloomdphd Subscribe to our LinkedIn newsletter: https://www.linkedin.com/build-relation/newsletter-follow?entityUrn=6992935013231071233 Subscribe to our email list: https://financial-freedom-for-physicians.ck.page/b4622e816d Thank you to all of our sponsors and advertisers that help support the show! Financial Freedom for Physicians, Copyright 2024 --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/christopher-loo/support
In this episode of The Health and Wellness Coach Journal Podcast, Dr. Jessica Singh is joined by Dr. Nisha Bhopal, a board-certified physician in Psychiatry, Sleep Medicine, and Integrative Holistic Medicine. Dr. Bhopal shares her wealth of knowledge on sleep health for coaches and health care providers, as understanding the nuances of sleep health is vital for supporting clients and patients in enhancing health and well-being. Dr. Bhopal discusses five important insights that every coach and healthcare provider should know about sleep. She provides foundational knowledge and practical strategies to improve sleep health and address sleep disorders like sleep apnea, insomnia, and circadian rhythm misalignments. Dr. Bhopal explains the CSH framework—Circadian Rhythm, Sleep Drive, and Hyperarousal—to help listeners understand an evidence-informed approach to enhancing sleep health. In addition, listeners will learn about powerful techniques, such as the "bookend technique," which is designed to manage screen time and improve sleep hygiene. Dr. Bhopal emphasizes not only the importance of supporting clients and patients by enhancing their sleep health, but also ensuring that you, as a practitioner, prioritize your own rest to show up fully for those you serve. This episode is packed with actionable advice on how to incorporate sleep health into your coaching and/or health care practice, including information how coaches collaborating with healthcare providers can create better outcomes for clients and patients. For detailed show notes, including an exclusive opportunity to join Dr. Bhopal's Clinical Sleep Kit program, references and information to connect with Dr. Nishi Bhopal, visit: https://www.centerforhealthandwellnesscoaches.com/blog/5-key-insights-on-sleep-health-for-coaches-health-care-providers To be notified of new episodes, subscribe here: https://www.centerforhealthandwellnesscoaches.com/stay-connected Timestamps 0;00 - Introduction 1:36 - Dr. Bhopal's Journey Into Sleep Medicine 3:57 - Lack Of Sleep Education In Medical Education 5:28 - Sleep Disorders Are Risk Factors For Mental Health Disorders 7:04 - Key Insight #1: Insomnia Isn't Always Insomnia 11:02 - Circadian Rhythm Misalignment 14:21 - Key Insight #2: Sleep Issues Are Highly Treatable 16:08 - Sleep Apnea 19:39 - Optimizing Sleep Hygiene & Building Sleep Confidence 22:43 - Coach Collaboration With Health Care Providers 25:23 - Key Insight #3: Don't Forget About Lab Work 27:27 - Key Insight #4: CSH Framework 33:25 - Key Insight #5: Take Care Of Your Own Sleep 34:34- Takeaways
Support our journalism. This work doesn't happen without you. Become a founding member today! A judge signed off on a 600 million dollar settlement between Norfolk Southern and people who live near the East Palestine train derailment. But many are unhappy with the outcome. A new study looks at the influence of oil and gas industry donations on university research. Survivors of the worst industrial accident in world history in Bhopal, India visited Beaver County to talk about the multi-generational impacts of the chemical disaster and lessons for those living near chemical infrastructure in Pennsylvania. Also, there are mixed reactions from residents, environmentalists and the business community as the Three Mile Island nuclear facility plans to reopen. Allegheny County Health Department held a public hearing in the Mon Valley about an air quality permit for U.S. Steel's Edgar Thomson Works. Wasting resources from the land has a big impact on climate change, so we have tips for cutting emissions from your food and yard.
Rajan Maruthavanan, Cofounder and Managing Partner at Upekkha, shares deep insights into the dynamics of building B2B startups from India for global markets, particularly in the US. He discusses the strengths and challenges of Indian founders, such as thriving in vertical, niche markets versus struggling with infrastructure and dev tools for global adoption. Rajan emphasizes the importance of founders learning how to take advice and shares his thoughts on the key skills needed for founder success.In this episode, you'll learn:[3:57] Building a new type of VC firm: The Upekkha story[7:36] Why Indian startups struggle to break into the US market[14:43] The Power of annual contract value (ACV): How ACV shapes startup strategy[19:03] The vertical advantage: Why Indian founders succeed in niche Markets[22:03] How biases and bad advice can trap founders into their biggest pitfalls[28:07] Changing the VC game by improving founder success ratesThe nonprofit organization Rajan is passionate about: Sitare FoundationAbout Rajan MaruthavananRajan Maruthavanan is the Cofounder and Managing Partner at Upekkha, with extensive expertise in guiding early-stage startups through their critical zero-to-one phase to achieve product-market fit. At Upekkha, he has made over 120 pre-seed investments in SaaS startups and assisted numerous founders with M&A activities in DeepTech and B2B SaaS over the past eight years. Previously, Rajan was an Operator and Head of Product for QuickBooks Global at Intuit, where he managed the India GST strategy and led iCombinator, Intuit's internal accelerator. He also organized two notable conferences: SaaSx in Chennai (2014-2016) and StartupBridgeIndia at Stanford (2016-2019). Earlier in his career, he co-founded and served as CTO of a computer vision startup, developing a SIFT vector-based visual search for Nokia phones.About UpekkhaUpekkha, established in 2017, is an AI SaaS accelerator dedicated to helping Indian founders create global software brands. Currently in its 13th cohort, Upekkha has collaborated with over 165 startups and cultivated a network of more than 300 SaaS entrepreneurs. The firm has a diverse portfolio including companies like iMocha, Almabase, Kloudle, and Cloudbankin. Notably, about 25% of its startups hail from tier-II cities, such as Pune, Kochi, Bhopal, Chandigarh, Raipur, Vadodara, Jabalpur, Warangal, Coimbatore, and Trichy.Subscribe to our podcast and stay tuned for our next episode.
Note - We apologize for the construction noise and appreciate your forbearance.In this new episode of Cyrus Says, we sit down with the multi-talented Manav Kaul. From his early days as a swimming medalist to selling floppy disks in Bhopal, and eventually making into Mumbai's acting scene. Discover how theater shaped his acting debut and led to his notable role in Jajantaram Mamantaram. & directing a Indie film lead to Kai Po Che, Tumhari Sulu. Manav shares his passion for travelling, writing books, directing plays & his surprising discovery of tennis. Also there is lot of banter on the latest role in the Netflix series Tribhuvan Mishra CA Topper. Join us for a funny conversation with a true creative force who has diverse journey all together.See omnystudio.com/listener for privacy information.
First-ever Indo-Pak podcast on our channel, featuring my amazing friend Aditya Kulshreshtha AKA Kullu! We had a wonderful conversation about stand-up Journeys, Music, Cricket, Travel, Bollywood, And Some intriguing tales from Bhopal. It's a fantastic mix that'll keep you entertained from start to finish.
A photographer's success hinges on access. This is an underlying thread in the tapestry woven in this week's show. Our discussion covers multiple facets and cultural attributes of Indian society, as seen through the eyes of a photographer with a knack for being in the right place at the right time. In this month's episode of the series, Picturing World Cultures, we speak with Indian photographer Pablo Bartholomew about his long career as a documentarian and photojournalist. From his early intimate views of 60s-era hippies launching a counterculture invasion from the West to his photojournalistic coverage of historic events, Bartholomew shares insights about dynamics at work behind the scenes. We also discuss changes to the marketplace for pictures over time, and whether an iconic picture is still able to affect a change in the world. As an antidote to a life chasing the news, Bartholomew embarked on a ten-year documentation of India's remote Naga tribes. In the show's second half, he walks us through his background research and the permissions process involved in photographing tribespeople and their customs with professional lighting gear. There's also a personal motivation behind Bartholomew's Naga Project. As a child, he had heard many stories about goodwill the Naga showed his father's family during their flight from Burma to India during World War II. “Principally, what I couldn't wrap my head around was that headhunters, they're supposed to be these ferocious people. Why would they let fair game pass through their backyard, to the degree where they would provide food and shelter?” he says. “So, there was in this savage something very kind. And I wanted to find out what the contradiction was.” Tune in today for more on the Naga tribes and other stories from India! If you haven't already listened, check out all the episodes of our Picturing World Cultures podcast series here. Guest: Pablo Bartholomew Episode Timeline: 2:16: Pablo describes how the caste system functions as a defining aspect of Indian culture. 7:18: The influx of the Western hippy counterculture in India as recorded in Pablo's earliest pictures. 12:27: Capturing life on the streets of Delhi, Bombay, and Calcutta, a photo essay on Calcutta's Chinatown, and Pablo's work with the renowned Indian film director Satyajit Ray. 17:05: The rise of Pablo's photojournalism career, the dynamics of a photographer's access, and his iconic images of the tragic gas leak at Bhopal. 29:09: Pablo discusses how the work of a photojournalist has changed in the past 40 years. 32:53: Go-to camera gear, the various cameras Pablo's used over the years, and his transition from analog to digital. 36:37: Tips for mitigating the heat and humidity of India, plus equipment for image storage and film scanning. 40:10: Episode Break 41:23: Pablo's long-term project documenting the Naga tribes in Northeast India, his preliminary ethnographic research on the tribes, and gaining permission to photograph with full lighting gear. 51:43: Animist practices within the Naga tribes, and distinctions between tribes within the Naga identity. 1:00:05: Naga rituals it may be too late to photograph, and a memorable festival held by the Konyak tribe. 1:04:09: Pablo's cross-cultural project documenting economic emigres from India who have resettled in the US, France, England, Madagascar, and Portugal. 1:14:38: Pablo Bartholomew answers our PWC Visual Questionnaire. Guest Bio: Pablo Bartholomew, a self-taught photographer born in New Delhi in 1955. His father Richard was a noted art critic as well as a photographer, allowing Pablo to learn photography at home at a very young age. In his subsequent career of nearly fifty years, Pablo has documented societies in conflict and transition, while also recording intimate details of his own generation maturing amid a changing India. From 1983 to 2004, his photojournalistic work was featured in every major international publication, from National Geographic to Paris Match and beyond. Pablo's photographs have been recognized by World Press Photo on three different occasions, including a 1985 ‘Picture of the Year' award for his riveting image from the Bhopal gas tragedy. In 2013, he was awarded the Padma Shri by the Government of India for his contributions to photography, and in 2014, he was honored with the status of Chevalier de L'Ordre des Arts et des Lettres by the French government. For more information on our guest and the gear he uses, see: https://www.bhphotovideo.com/explora/podcasts/photography/picturing-world-cultures-pablo-bartholemew-india Stay Connected: Pablo Bartholomew Instagram: https://www.instagram.com/pablobartholomew/ Pablo Bartholomew Facebook page: https://www.facebook.com/parabart Pablo Bartholomew Bhopal photo from World Press Photo 1985: https://www.worldpressphoto.org/collection/photocontest/1985 Pablo Bartholomew Wikipedia page: https://en.wikipedia.org/wiki/Pablo_Bartholomew Pablo Bartholomew Nagaland Project: https://ninefish.in/viewing-room/the-nagas/ TEDxIIMRanchi: Pablo Bartholomew - A Life in Photography https://www.youtube.com/watch?v=zBldVr4YIBE Kishor Parekh: https://en.wikipedia.org/wiki/Kishor_Parekh
In December of 1984, Bhopal, India became ground zero for the largest industrial disaster in all of human history -- it's a story still largely unknown in the west. In tonight's episode, Ben, Matt and Noel dive into what happened, how it happened, and whether there's a cover-up afoot. Most importantly, will there ever be justice for the tens of thousands of victims of the Bhopal disaster?They don't want you to read our book.: https://static.macmillan.com/static/fib/stuff-you-should-read/See omnystudio.com/listener for privacy information.