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durée : 00:37:51 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux - Un lieu tenu secret du grand public, dans l'enceinte du Jardin des Plantes de Paris, en compagnie du biologiste et naturaliste Marc-André Selosse - invités : Marc André Selosse - Marc-André Selosse : Professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle et membre de l'institut universitaire de France. - réalisé par : Juliette GOUX
Pour forger ses choix et agir de façon éclairée face aux défis environnementaux, sanitaires et scientifiques actuels, chaque citoyen a besoin de comprendre le monde vivant dans toute sa complexité. À son échelle, cet ouvrage a pour objectif de l'y aider en déconstruisant 36 métaphores et expressions courantes qui véhiculent des conceptions erronées du vivant. Ces métaphores et expressions concernent les écosystèmes, la biodiversité, l'évolution du vivant, l'espèce humaine, les gènes et le fonctionnement de l'organisme. Rédigé par deux auteurs à l'expertise scientifique, épistémologique et didactique reconnue ce livre comprend une cinquantaine d'illustrations humoristiques permettant au lecteur « d'entrer » facilement dans chacune des métaphores. Annabelle Kremer-Lecointre, enseignante agrégée en Science de la Vie et de la Terre et ingénieure de formation et Guillaume Lecointre du Muséum National d'Histoire Naturelle, professeur au Département 'Systématique et évolution' seront nos invités. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Auteure de "Mes plus belles rencontres animales" chez Odile Jacob, Emmanuelle Pouydebat est directrice de recherche au CNRS et au laboratoire Mécadev (mécanisme adaptatif et évolution) au Muséum National d'Histoire Naturelle).
durée : 01:00:10 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Comment le feu, du Paléolithique à l'âge du Bronze, suscite ou accompagne les grandes transformations économiques ? - invités : Jean-Paul Demoule Archéologue, préhistorien français, professeur émérite de protohistoire européenne à l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne, membre honoraire de l'Institut universitaire de France et ancien président de l'Inrap.; Amélie Vialet Paléoanthropologue, et maîtresse de conférence, au Muséum National d'Histoire Naturelle.; Ségolène Vandevelde Archéologue
durée : 00:05:36 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Les sols jouent un rôle fondamental dans l'équilibre de nos écosystèmes et sont essentiels à notre alimentation. Or plus de 60% des sols en Europe sont dégradés. À la croisée des enjeux environnementaux et économiques : comment restaurer les sols ? Comment les protéger ? - invités : Marc-André Selosse Professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle et membre de l'institut universitaire de France.
durée : 00:03:41 - Demain l'éco - par : Annabelle Grelier - Plus de 60% des sols en Europe sont dégradés, épuisés par l'agriculture intensive. Soigner les sols pour les régénérer, l'entreprise bretonne Gaiago en a fait sa recette. Installée à Saint Malo, elle produit des biostimulants naturels qui relance la vie biologique des sols. - invités : Marc-André Selosse Professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle et membre de l'institut universitaire de France.
«Il faut récuser la notion de progrès continu» pour l'humanité et les animaux Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Nous avons une meilleure cartographie de la surface de Mars que du fond des océans. Dès lors, comment anticiper les conséquences de l'exploitation de ces environnements méconnus ? Avec Bruno David, paléontologue, biologiste et Président du Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:38 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Les oiseaux et les humains font partie des deux seuls groupes capables de bipédie permanente au sol, mais dans des formes très différentes. Une nouvelle étude révèle l'équation mathématique permettant aux oiseaux de tenir debout sans dépense énergétique. - invités : Anick Abourachid Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle, chargée de la valorisation scientifique des collections exposées dans la Galerie d'Anatomie comparée.
Comment l'exploration scientifique participe-t-elle à la protection de l'océan ? On ne connait sans doute que 10 % des espèces qui peuplent l'océan. Quel rôle l'exploration scientifique joue-t-elle dans la préservation de ce milieu ? Avec Line le Gall, Professeure et Directrice des explorations scientifiques du Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Muséum National d'Histoire Naturelle propose jusqu'au 16 juin l'exposition « Mondes Disparus ». Une exposition qui permet grâce à la réalité virtuelle de parcourir 3,5 milliards d'année en 45 minutes. Explication avec le commissaire scientifique et paléontologue, Gaël Clément. Casque sur la tête, en quelques secondes, le visiteur se retrouve transplanté à la fois dans le futur mais aussi très loin dans notre histoire, bien avant la préhistoire. Sans tout dévoiler, dans un parcours millimétré, il s'agit de suivre une scientifique et son robot à travers différentes périodes qui représentent autant de mondes disparus : cela va de l'Hadéen au Carbonifère en passant par le Crétacé et les dinosaures jusqu'à aujourd'hui… Des mondes qu'on parvient à revivre et à expérimenter grâce à la technologie, des mondes dont le visiteur lambda ignore tout aujourd'hui, des univers poétiques et merveilleux. Le visiteur comprend que « la biodiversité d'aujourd'hui, dont nous faisons partie, est le fruit d'une longue histoire de milliards d'organismes pendant des milliards d'années », explique Gaël Clément, le commissaire scientifique de cette exposition. Pour lui, l'autre enseignement de cette exposition est de montrer quelque part que la nature n'a pas été créée uniquement pour les yeux des hommes et nous en faisons pleinement partie ! Ce que l'on comprend aussi en parcourant cette exposition, c'est que tous les changements que l'on observe -de paysage, de climat, de températures -se font selon des cycles naturels très lents et très longs. Aujourd'hui, nous sommes dans un cycle naturel très lent mais depuis 150 ans, depuis la révolution industrielle, les activités humaines ont complètement accéléré les modifications des environnements et les organismes - dont nous faisons partie -n'ont pas le temps de s'adapter pour répondre à ces changements environnementaux. « Cela entraîne les difficultés que l'on commence à discerner mais également beaucoup d'autres à venir », explique le scientifique. L'exposition est une prouesse technologique, et les scientifiques ont travaillé main dans la main avec les créatifs, les spécialistes de la réalité virtuelle pour reconstituer une centaine d'espèces végétales et plus de 120 espèces animales… On comprend mieux la devise du Muséum d'Histoire Naturelle après avoir vu « Mondes Disparus » : émerveiller pour instruire. Peut-être qu'en quittant cette exposition, d'ailleurs, le visiteur aura envie de mieux protéger le vivant qui l'entoure, comprenant qu'il peut disparaître à son tour ? Bonne écoute avec Impact Positif.
Observer l'océan pour mieux innover. Avec Nadia Améziane, cheffe de la station de Biologie Marine de Concarneau et Professeure au Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de CDM Music. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les sciences participatives : comment reconnecter les citoyens au vivant et les rendre acteurs dans l'exploration et la préservation de la biodiversité marine. Avec Nadia Améziane, cheffe de la station de Biologie Marine de Concarneau et Professeure au Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de CDM Music. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment développer un tourisme vertueux qui puisse préserver la biodiversité tout en permettant à chacune et chacun, et notamment les plus jeunes, d'accéder à la mer ?Avec Sylvie Dufour, directrice de recherche émérite au CNRS, directrice-adjointe de l'Institut de l'Océan de l'Alliance Sorbonne Université et chargée de mission Mer pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La pêche à la morue fut une activité durable du XVIe jusqu'au milieu du XXe siècle. Pourquoi a-t-elle disparu et quels enseignements en tirer ? Avec Sylvie Dufour, directrice de recherche émérite au CNRS, directrice-adjointe de l'Institut de l'Océan de l'Alliance Sorbonne Université et chargée de mission Mer pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouvelle émission de La Matinale, animée par Théo Monteil ! Au programme, Neil Rafaa reçoit en interview le président de la Fondation Paralysie Cérébrale, le docteur Alain Chatelin. Ensemble, ils reviennent sur l'importance de la Journée mondiale de la paralysie cérébrale, qui se déroule le 6 octobre 2023. Puis, dans notre interview Zoom, toujours menée par Neil Rafaa, nous recevons Anne Villoutreix, chargée de projets et d'action culturelle au Muséum national d'Histoire naturelle, car celui-ci célèbre la fête de la Science, du vendredi 6 au dimanche 8 octobre 2023 ! Aussi, vous retrouverez deux chroniques dans cette émission, signée Esteban Miralles et Anas Ilou Présentation : Théo Monteil / Interview & Zoom : Neil Rafaa / Chroniques : Esteban Miralles et Anas Ilou / Réalisation : Serkan / Coordination : Héloïse Robert
durée : 00:29:31 - À voix nue - par : Caroline Broué - Visite guidée dans l'antre du président du Museum national d'histoire naturelle, au cœur du jardin des Plantes à Paris. - invités : Bruno David Naturaliste et paléontologue, a été président du Muséum national d'histoire naturelle de 2015 à 2023, producteur de l'émission "Le Pourquoi du comment : Science" sur France Culture
Tous les week-ends sur Europe 1, Lénaïg Monier reçoit un invité pour éclairer les consommateurs sur les sujets du moment. Ce samedi, Guillaume Eyssartier, mycologue attaché au laboratoire du Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris.
durée : 00:38:29 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Selon l'OMS, le bruit serait la seconde cause environnementale provoquant le plus de dommages sanitaires en Europe. Facteur d'inégalités, mais également à la croisade d'autres enjeux écologiques, la pollution sonore est-elle une pollution comme les autres ? - invités : Jérôme Sueur Eco-acousticien, maître de conférences à l'Institut "Systématique Evolution Biodiversité" (ISYEB) du Muséum National d'Histoire Naturelle; Fanny Mietlicki Directrice de l'Observatoire du bruit en Ile-de-France « Bruitparif », membre du Conseil National du Bruit (CNB) et préside la commission santé environnement
durée : 00:38:29 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Selon l'OMS, le bruit serait la seconde cause environnementale provoquant le plus de dommages sanitaires en Europe. Facteur d'inégalités, mais également à la croisade d'autres enjeux écologiques, la pollution sonore est-elle une pollution comme les autres ? - invités : Jérôme Sueur Eco-acousticien, maître de conférences à l'Institut "Systématique Evolution Biodiversité" (ISYEB) du Muséum National d'Histoire Naturelle; Fanny Mietlicki Directrice de l'Observatoire du bruit en Ile-de-France « Bruitparif », membre du Conseil National du Bruit (CNB) et préside la commission santé environnement
Ces algues brunes déferlent sur les côtes de la Caraïbe, et notamment celles des Antilles, avec des conséquences écologiques et humaines importantes : d'où viennent-elles, comment évoluent-elles et que peut-on en faire ? Avec Pascal Jean Lopez, écologue, directeur de Recherche au CNRS, Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment les micro-plastiques sont-ils retrouvés partout sur la planète, au point de contaminer potentiellement l'ensemble des chaînes alimentaires ? Avec Valentin Dettling, Doctorant au Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Polluants naturels et anthropiques : quelles conséquences sur l'océan et les humains ? Avec Jean-Baptiste Fini, biologiste, spécialiste des perturbateurs endocriniens et Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'océan a absorbé plus de 90 % de l'excès de température produit par les activités industrielles et les gaz à effet de serre, mais avec quelles conséquences ? Avec Sylvie Dufour, directrice de recherche émérite au CNRS, directrice-adjointe de l'Institut de l'Océan de l'Alliance Sorbonne Université et chargée de mission Mer pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'océan absorbe 90 % des excès de chaleur sur la Terre : quelles conséquences ce rôle tampon a-t-il sur son propre équilibre ? Avec Guillaume Massé, chargé de recherche au CNRS et basé à la station Marine de Concarneau, station du Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment les pôles nous renseignent sur notre histoire climatique comme sur l'avenir de notre biodiversité… Avec Bruno David, paléontologue, biologiste et Président du Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'océan couvre près de 80 % de la surface du globe : quel rôle joue-t-il dans l'équilibre de notre climat ? Avec Guillaume Massé, chargé de recherche au CNRS et basé à la station Marine de Concarneau, station du Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec l'été, nous vous proposons de réécouter nos épisodes préférés de Manger – diffusés en 2019. On se dit que vous n'aviez pas forcément eu le temps d'écouter et que, sur la plage, dans le métro ou au bureau, vous aurez envie de vous aérer la tête et que l'on vous aide à réfléchir à comment vous mangez._Si l'on vous dit…. Aliment aphrodisiaque, à quoi pensez-vous ? Peut-être au gingembre, ou encore au chocolat ? Mais sauriez-vous expliquer les raisons scientifiques, qui vous font penser que cet aliment est aphrodisiaque ? Bon… Pourtant, vous continuez de le pensez dur comme fer : le gingembre peut vous aider à stimuler votre désir sexuel. Ce comportement, le fait de projeter des croyances dans notre nourriture, sans raisonnement scientifique, relève de la pensée magique. C'est lorsque l'on imagine qu'en mangeant quelque chose, on va devenir cette chose. Même quand la science nous démontre le contraire ! Alors, pour cet épisode de Manger, nous nous sommes demandées pourquoi ces croyances existaient. Comment se répandent-elles ? Et quels sont les nouveaux aliments “magiques” de nos sociétés occidentales ?Pour répondre à ces questions, Laurianne Melierre a discuté avec Christophe Lavelle, chercheur spécialisé dans l'alimentation au CNRS et au Muséum National d'Histoire Naturelle, à Paris. Il enseigne la physico-bio-chimie culinaire et est le commissaire scientifique de l'exposition “Je Mange, donc je suis”, qui se tient en ce moment au Musée de L'Homme. Ensemble, ils ont discuté des raisons qui font que la pensée magique perdure, que ce soit notre besoin de donner du sens à ce qu'on mange ou notre manque (parfois) de connaissance scientifique, par exemple. Ils ont également échangé sur la place de la pensée magique dans la religion et des objets de la pensée magique contemporaine, avec des produits comme le gluten ou les vitamines.Vous pouvez vous abonner à Manger sur Apple Podcasts, sur votre appli préférée grâce à notre flux, sur Google Podcasts, SoundCloud, YouTube, Deezer, Stitcher...Manger est un podcast de Louie Media réalisé par Léa Chevrier et mixé par Tristan Mazire. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son a été faite par Benoît Daniel et Paul Boulier. À la production de cet épisode : Maureen Wilson, avec Mélissa Bounoua. Hortense Chauvin a aidé au montage. Et les magnifiques illustrations sont de Marie Guu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Récit d'une adaptation particulièrement intéressante dans l'histoire de la biodiversité : le passage des formes aquatiques à la terre ferme mais aussi bien plus tard le retour à l'eau de certaines. Avec Sylvie Crasquin, paléontologue, directrice de recherche au CNRS et directrice du CR2P, à Sorbonne Université et au Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La vie est apparue dans les océans il y a plusieurs milliards d'années. Quelles sont les différentes étapes de son développement ? Avec Sylvie Crasquin, paléontologue, directrice de recherche au CNRS et directrice du CR2P, à Sorbonne Université et au Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand et sous quelles conditions la vie s'est-elle développée et quelles furent les premières formes de vie ? Avec Sylvie Crasquin, paléontologue, directrice de recherche au CNRS et directrice du CR2P, à Sorbonne Université et au Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:53:56 - On va déguster - par : Nadia CHOUGUI - La culture et la cuisine des biscuits. Langue de chat, navette de Marseille, biscuits rose de Reims, croquant de Provence, canistrelli... Loïc Bienassis Loïc Bienassis est historien, spécialisé en histoire de l'alimentation . Il est rattaché à l'Institut Européen et des Cultures de l'Alimentation (IEHCA) de l'Université de Tours . Ses recherches portent en particulier sur la gastronomie à l'époque moderne , soit du XVIème au XVIIème siècle, sur l'émergence des cuisines régionales et sur la notion de patrimoine culinaire . Loïc Bienassis a notamment oeuvré pour que Les savoir-faire artisanaux et la culture de la baguette de pain et le "repas gastronomique des Français" fassent partie du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'Unesco. Il a participé à de nombreux ouvrages dont Je mange donc je suis : Petit dictionnaire curieux de l'alimentation (paru en 2020, aux éditions du Musée National d'Histoire Naturelle), A Table ! Le repas tout un art (catalogue de l'exposition éponyme du musée de Sèvres - Cité de la Céramique, en 2020), mais également Le Repas gastronomique des Français (paru en 2015, aux éditions Gallimard). Déborah Dupont-Daguet propriétaire de la Librairie Gourmande à Paris et Dijon auteure du livre : Le petit gâteau de nos rêves photographie de Géraldine Martens - First Editions Juriste de formation, Déborah Dupont-Daguet enseigne le droit administratif, ainsi que les droits de l'homme jusqu'en 2006, année où elle quitte le monde universitaire.Passionnée de cuisine et tenant un blog (Les Agapes), elle cherche alors à créer une société de vente en ligne de produits dédiés à la gastronomie. Par hasard, elle apprend que la Librairie gourmande, installée rue Dante à Paris, est en vente. Elle suit une formation à l'INFL, Institut national de formation de la librairie, avant de racheter la boutique en février 2007.A la tête de la libraire, Deborah Dupont-Daguet déménage le fonds d'ouvrages pour ouvrir un vaste établissement dans le 2è arrondissement, comprenant 20 000 volumes sur deux étages : livres de recettes et ouvrages de gastronomie portant sur l'art de la table, l'enseignement de la cuisine, l'histoire de l'activité culinaire et les grands chefs. Mais aussi : la cuisine régionale et la cuisine du monde, la pâtisserie, l'onologie. la littérature et les polars ayant trait à la cuisine, ainsi que les livres anciens. La librairie gourmande 92-96 rue Montmartre 75002 Paris Tél : 01 43 54 37 27 email : contact@librairiegourmande.fr Cité internationale de la Gastronomie et du Vin 12 Parvis de l'Unesco / Allée Alice Guy 21000 Dijon Tél : +33 (0)3 80 43 44 43 Email : dijon@librairiegourmande.fr Le site de la librairie gourmande Le compte Instagram de la librairie gourmande Les recettes de Déborah Dupont-Daguet Biscotti Tzemet Kuch Le mantecao La langue de chat Ces recettes sont extraites du livre Le petit gâteau de nos rêves photographie de Géraldine Martens - First Editions Le Coup de coeur de François-Régis Gaudry Après le chocolat, la glace et le café, Alain Ducasse s'est lancé en septembre 2022 dans une autre spécialité : les biscuits Il propose notamment les Hexas, des biscuits en forme d'hexagone. Le site des Manufactures Alain Ducasse La chronique d'Elvira Masson Les biscuits à fort potentiel de "trempage" dans la tasse de thé ? La suite à lire et écouter Le reportage de François-Régis Gaudry Les canistrelli de Jean-Etienne Venturi A biscuterria 3 rue Napoléon 20200 Bastia abiscutteria@gmail.com Le site d'A Biscuterria Le compte Instagram d'A Biscuterria La programmation musicale Albin de la Simone Les cents prochaines années Ibeyi Juice of mandarins - réalisé par : Lauranne THOMAS
durée : 00:53:54 - Le temps d'un bivouac - L'éco-acousticien Jerome Sueur parcourt le monde pour enregistrer les paysages sonores. Il nous invite à tendre l'oreille pour écouter la grande symphonie de la nature et découvrir l'importance de ses silences. - invités : Jérôme SUEUR - Jérôme Sueur : Eco-acousticien, maître de conférences à l'Institut "Systématique Evolution Biodiversité" (ISYEB) du Muséum National d'Histoire Naturelle.
durée : 00:53:54 - Le temps d'un bivouac - L'éco-acousticien Jerome Sueur parcourt le monde pour enregistrer les paysages sonores. Il nous invite à tendre l'oreille pour écouter la grande symphonie de la nature et découvrir l'importance de ses silences. - invités : Jérôme SUEUR - Jérôme Sueur : Eco-acousticien, maître de conférences à l'Institut "Systématique Evolution Biodiversité" (ISYEB) du Muséum National d'Histoire Naturelle.
Les algues marines sont souvent mal-aimées mais elles constituent pourtant un véritable trésor pour les océans et pour l'humanité. Avec Line le Gall, Professeure et Directrice des explorations scientifiques du Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'arrivée de Jean-Henri Fabre dans son éden, le Harmas. Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Où Fabre obtient la reconnaissance de ses pairs Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Les dîners chez Fabre à l'Harmas sont toujours un moment de découverte gustative pour ses amis qui viennent lui rendre visite. De quoi vous ravir les papilles ! Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Quand Fabre s'amuse à revisiter La Cigale et la Fourmi pour rétablir une vérité scientifique Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Quand une expérience avec des osmies s'avère un peu trop concluante… Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Quand il est bon de pouvoir compter sur les yeux des plus jeunes ! Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Quand Fabre rend poétique des larves d'insectes nécrophages Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Observation sonore du scorpion languedocien dans la cage aux fauves Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Quand l'ascension du Mont Ventoux était une vraie expédition ! Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Partir à la recherche des vers gris aux côtés de Fabre Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Le Harmas, jardin d'essai pour Fabre, où il expérimente et observe de multiples espèces, comme le térébinthe, qu'il surnomme le pouilleux... Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Emboitons le pas à Fabre dans ces expéditions botaniques au Mont Ventoux Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Les soirs d'été au Harmas en famille, à la recherche des secrets de l'épeire angulaire et du tissage de sa toile Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Intéressons-nous à la garance, l'or rouge du Vaucluse... Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Se mettre à échelle de fourmi et rejoindre leurs rangs le temps d'un instant Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Fabre et son fils Paul-Henri réalisent ensemble le film La Cigale, documentaire à destination des scolaires. Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Un épisode magique au Harmas : la parade nuptiale d'une quarantaine de mâles Grands Paons à une femelle de la même espèce, dans toute la maison ! Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
Professeur, Fabre aime faire travailler ses élèves sur le terrain, en extérieur, pour rendre le tout plus vivant et concret pour eux Ces capsules sonores ont été réalisées par Akken pour le Muséum National d'Histoire Naturelle. Réalisation : Akken Voix : Sonia de Rodellec, Sébastien Landry Créations sonores et musicales : Ludovic Finck Version anglaise : Voix : Annabelle Broad, Steve Smith Enregistrement et synchronisation : Rupert Rothwell Mixage : Léonard Lelièvre Assistante de production : Lola Perret Ecriture des textes : l'Atelier des mots
“Biodiversité” : ce mot a été proposé en 1986 par des scientifiques américains pour désigner l'ensemble des êtres vivants et les écosystèmes dans lesquelles ils vivent. La naissance d'un mot qui coïncide avec la prise de conscience de la menace sur ce qu'il représente. Une diversité du vivant menacé par l'un de ces membres : l'humain. Aujourd'hui, le labo des savoirs explore la biodiversité marine et les six grandes menaces qui pèsent sur elle. Notre invitée est Nadia Améziane, professeure au Muséum National d'Histoire Naturelle et directrice de la station marine de Concarneau près de Quimper, en Bretagne. Nous parlerons également dans cette émission de sciences participatives, et de solutions. Parce que l'on protège mieux ce que l'on connais, Jérémy Freixas et Floriane Brémond, bénévoles au labo des savoirs, vont vous faire découvrir quelques uns des secrets merveilleux des oursins dans une chronique à deux voix. Cette émission a été préparée et réalisée par Sophie Podevin, en partenariat avec le Muséum d'histoire naturelle de Nantes.
Les palétuviers sont emblématiques des mangroves ; un écosystème unique au monde. Avec Tarik Meziane, écologue marin et Professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle. « Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective, avec le soutien du Crédit Agricole et de la Financière de l'Echiquier. Série Spéciale Océan Gardien des équilibres de la planète et riche d'une incroyable biodiversité, l'océan est captivant mais menacé. Cette saison 5 nous invite à mieux comprendre l'océan pour mieux le préserver. Embarquez pour une odyssée inédite avec les scientifiques du Muséum et à travers une sélection de récits d'aventure. Découvrez un épisode scientifique chaque semaine et un récit maritime toutes les 2 semaines… Interviews par Vincent Edin - Réalisation par Enky Wave - Conception et Production par Eric Le Ray - Enregistrements au studio l'Arrière Boutique - Générique avec la collaboration d'Audio Network France - Musiques de l'épisode avec la collaboration de BMG Production Music France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On peut être scientifique, naturaliste, biologiste, paléontologue, directeur de recherche au CNRS et avancer pas à pas dans la prise de conscience écologique. On peut lire les rapports du Giec avec un regard expert et en même temps ressentir, s'inquiéter, espérer... C'est ce dont témoigne Bruno David, le président du Muséum national d'histoire naturelle de Paris - qui, en 2023, fête ses 230 ans - dans son dernier ouvrage, "Le jour où j'ai compris" (éd. Grasset, 2023).
9 cerveaux, 3 cœurs, 8 bras, des yeux gigantesques et une intelligence hors norme, voici des êtres que l'on penserait venus d'un monde imaginaire. Avec des couleurs changeant plus vite que l'œil ne peut le percevoir, les animaux qui vont nous accompagner tout au long de cette émission ont su se faire une place de choix dans la culture populaire et scientifique.C'est grâce à ces êtres que nous avons pu élucider le fonctionnement de notre propre cerveau malgré les millions d'années qui nous séparent, et la recherche commence tout juste à s'intéresser au potentiel d'un corps mou et pour autant constamment en mouvement. Ensemble, nous allons tenter d'y voir plus clair dans le jeu de ces paradoxes de l'évolution. Petit tour dans la pensée tentaculaire des céphalopodes. Invitée : Laure Bonnaud Ponticelli, chercheuse au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris au sein de l'unité de recherche BOREA.Une émission animée par Valentin Brochet, avec des chroniques de Maxime Labat et Agathe Petit, réalisée par Dounia Saez.
Xavier Lagurgue is a practicing architect and heads the agency XLGD architectures with Günther Domenig. He is also a professor of architecture at the Ecole Nationale Supérieure Paris-La Villette and teaches in various courses, including the master Seb-URBABIO of the French Muséum National d'Histoire Naturelle.In this issue of Com d'Archi, Xavier Lagurgue, through the voice of Esther, in echo with his interview in French conducted by Anne-Charlotte, talks about his career and his projects. As a fine architect and ecologist, it is very interesting to hear him express his point of view off the beaten track.Teaser image © Xavier LagurgueSound design : Julien Rebours___If you like the podcast do not hesitate:. to subscribe so you don't miss the next episodes,. to leave us stars and a comment :-),. to follow us on Instagram @comdarchipodcast to find beautiful images, always chosen with care, so as to enrich your view on the subject.Nice week to all of you ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In French in this CDA S4#57/FR (monday online), "Small is it beautiful? " with Xavier Lagurgue founder with Günther Domenig of XLGD architectures and in English in the CDAS4#58 /EN (wednesday online), "Small is beautiful!" read by Esther.En français dans le CDA S4#57/FR "Petit, est-ce la solution?" avec Xavier Lagurgue fondateur de XLGD architectures avec Günther Domenig et en anglais dans le CDAS4#58/EN (mercredi en ligne), "Petit est beau !" lu par Esther.___Xavier Lagurgue architecte en exercice à la tête de l'agence XLGD architectures avec Günther Domenig est aussi professeur d'architecture à l'Ecole nationale supérieure Paris-La Villette et intervient dans différentes formations dont le master Seb-URBABIO au Muséum National d'Histoire Naturelle.Dans ce numéro de Com d'Archi, Xavier Lagurgue raconte son parcours et parle de ses projets. Fin architecte écologue, il est fort intéressant de l'entendre exprimer son point de vue en dehors de sentiers battus.Image teaser © Com d'Archi PodcastRéalisation son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pourretrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichirvotre regard sur le sujet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que vous soyez paysan.ne.s ou non, ce hors-série est fait pour vous ! Nous sommes toutes et tous concerné.e.s par ce que nous avons dans notre assiette, par le changement climatique, le manque d'eau et la crise de la biodiversité. Refaire de la place au sauvage, ce n'est pas l'apanage des paysannes et paysans : qui que nous soyons, quel que soit l'endroit où nous vivons, nous pouvons nous poser ces quelques questions : quel regard portons-nous sur le sauvage qui nous entoure ? Quelle place lui faisons-nous, dans nos vies ? En quoi cela nous concerne-t-il ? Pourquoi est-ce important ? Qu'est-ce que ça peut nous apporter ? Ce premier épisode d'une série de trois permet de découvrir la ferme du Grand Laval et de mieux comprendre la démarche d'exploration du vivant engagée depuis un an avec l'association "Réensauvager la ferme". Dans cet épisode, je donne la parole à Sébastien Blache et Elsa Gärtner de la ferme du Grand Laval, mais aussi à plusieurs naturalistes : Thomas Deana, chiroptérologue (étude des chauves-souris), Benoît Fontaine, biologiste de la conservation au Muséum National d'Histoire Naturelle, Luc Garraud, botaniste, et Xavier Cucherat, malacologue (étude des mollusques). *** Cet épisode est le premier d'un hors-série en trois épisodes consacré à l'association "Réensauvager la ferme", dans le cadre du Podcasthon 2023. Pendant une semaine, plus de 350 podcasteuses et podcasteurs se mobilisent pour mettre en valeur le monde associatif et ses valeurs. Pour cette belle mobilisation, je teste un nouveau format sur LE sujet qui me tient tout particulièrement à cœur : ce que l'on mange (et la manière dont on le produit). Car depuis quatre ans, tout a changé dans mon assiette. Ça s'est fait progressivement, mais je mesure aujourd'hui le chemin parcouru. Et grâce au podcast Relations, je me suis rendu compte que les premiers pas des gens qui s'engagent dans la transition écologique étaient presque toujours centrés autour d'une même thématique : manger différemment. Et oui, parce que ce que nous mangeons a un impact considérable sur le vivant. Mais là où ça devient intéressant… et enthousiasmant, c'est qu'en changeant nos habitudes alimentaires, et nos pratiques agricoles, on peut agir très concrètement sur le climat, la biodiversité, le sol, l'eau et donc participer à la préservation de nos conditions de vie. Il est possible de manger différemment, et de produire autrement : celles et ceux qui s'embarquent dans cette aventure donnent du sens à leur quotidien, à leur travail, à leurs actions. Dans ce hors-série, je vous embarque dans la plaine de Valence, au milieu des grandes parcelles de blé et de maïs cultivées en agriculture conventionnelle (des parcelles en monoculture, avec des pesticides). C'est ici que se trouve la ferme du Grand Laval (Montélier), à contre-courant de ce modèle dominant. Un oasis d'accueil du vivant qui réconcilie pratiques agricoles et vie sauvage. L'association "Réensauvager la ferme", c'est un espace d'exploration et de suivi du vivant sur cette ferme : identifier la faune, la flore, la fonge qui s'installent au Grand Laval, et les dynamiques d'interdépendance entre les espèces. Cette association, c'est aussi un laboratoire dans lequel on expérimente des pratiques et des dispositifs hospitaliers pour la vie sauvage. *** Liens relatifs à cet épisode : L'association Réensauvager la ferme - https://reensauvagerlaferme.fr/ La ferme du Grand Laval - https://lafermedugrandlaval.wordpress.com/ La Ligue de Protection des Oiseaux - https://www.lpo.fr/ Le STOC (Suivi Temporel des Oiseaux Communs) - https://www.vigienature.fr/fr/suivi-temporel-des-oiseaux-communs-stoc Le Muséum National d'Histoire Naturelle - https://www.mnhn.fr/fr Le podcasthon - https://www.podcasthon.org/
Avec près de 90% de patrimoine génétique en commun, comment mieux comprendre l'évolution humaine à partir de l'observation des grands singes ?Carl Denham, le héros du film King Kong, est un explorateur-réalisateur qui en 1933 part à la découverte des lointaines et mystérieuses Skull Islands afin d'y tourner les dernières images d'un film d'action. Mais sur cette île, un singe géant attend l'équipe de tournage. De quand date la primatologie ? Quels sont nos liens de parenté et nos différences avec les grands singes ? Pourquoi est-il important de les protéger ? Intervenante : Shelly Masi, primatologue, maîtresse de conférences au Muséum National d'Histoire Naturelle de l'Alliance Sorbonne Université, basée au Musée de l'Homme.Référence : King Kong (Peter Jackson, 2005)Crédits : 7e Science est un podcast de Sorbonne Université et Binge Audio animé par Perrine Quennesson. Réalisation : Paul Bertiaux. Musique : Alexandre Delmaere. Identité graphique : Upian. ÉQUIPE BINGE : Production et édition : Albane Fily. Direction de projet : Soraya Kerchaoui-Matignon. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. ÉQUIPE SORBONNE UNIVERSITÉ : Véronique Atger et Virginie Thibaud. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A Récréation sonore, nous sommes très contents de recevoir aujourd'hui Félix Blume , le créateur reconnu de field-recording, pour un entretien après l'écoute de la pièce sonore récente "Desierto". Félix nous parle de ses pratiques artistiques et son actualité parisienne: il propose ce début de printemps plusieurs évènements en région parisienne. Desierto, paysages sonores désertiques Une invitation à parcourir l'Altiplano Potosino, région désertique du Mexique au-dessus de San Luis Potosi. Sur ces hauts plateaux à 2000m, le désert est loin d'être vide. On y écoute les habitants des villages et hameaux qui le parsèment. Les bergers nous emmènent avec leurs troupeaux de chèvres ou de moutons, on part faire un tour à dos d'âne ou en calèche pour aller labourer les champs. Entre cactus et arbustes, des vaches cherchent quelques brins d'herbes. De retour au village après une grande journée, on se retrouve à l'église et à la fête du village. Tel un écho au train qui traverse l'immensité, les coyotes chantent, leur manière de faire la fête. Une création sonore de Félix Blume pour Arte radio - Prise de son : Pierre Costard et Félix Blume - Réalisation et mixage : Félix Blume Remerciements aux habitants de Wadley, Lavaderos, Charcas, Coyotillos, Presa Santa Gertrudis, San Antonio De Coronados, Estación Catorce et San Agustín. Enregistrements : Juillet 2012, Juin 2019 et Août 2021 Montage son et mixage : Fevrier, Mars et Septembre 2021 Date de sortie : 2022 Nominé au Phonurgia Prix 2022 Felix présente au festival Sonic Protest "Voler le silence" une exposition monographique de ses oeuvres qui est ponctuée de plusieurs rendez vous: Le vernissage le 19 Mars (15h à 19h) Des visites commentées les samedi 25 Mars et 1er Avril (16h30 ou 17h30, sur réservation) La projection de Luces del Desierto et séance d'écoute de Los Gritos de México le 1er Avril à 18h30. Par ailleurs, Félix sera également présent : Le samedi 18 Mars à 15h au Muséum National d'Histoire Naturelle - jardin des Plantes. Cycle “Natures Sonores” à l'écoute d'Agua Larga de Chloé Despax et Félix Blume. Plus d'infos ici Le lundi 20 mars à 18H30 à l'Institut Culturel du Mexique à Paris. Conversation de Félix avec Carlos Prieto autour de certaines de ses pièces et projets. Le mardi 21 mars à 18H30 // Maif Social Club (entrée libre, sur réservation). Projection de Curupira, bête des bois, suivie d'une rencontre. Plus d'infos ici Le lundi 3 Avril à 19h à La Cassette à Aubervilliers pour une masterclass et rencontre autour d'une sélection de projets sonores. Cette émission a été produite , réalisée et présentée par Muriel KS
Ancêtre de la vigne cultivée, la vigne sauvage est la seule à être originaire d'Europe et risque de disparaître d'Île-de-France à mesure que l'homme intervient sur les bords de Seine et les assèche. Le Conservatoire botanique national du Bassin parisien, rattaché au Muséum National d'Histoire Naturelle, a décidé de replanter une centaine de pieds dans une réserve naturelle en Seine-et-Marne, pour en renforcer la population. La vigne sauvage, une liane qui va chercher la lumière jusqu'à la canopée en s'accrochant aux arbres, donne des raisins plus petits et plus âpres que ceux de sa descendante, la vigne cultivée. Protégée par la loi depuis 1995, elle est malgré tout menacée d'extinction en Île-de-France. La faute aux activités humaines qui attaquent son milieu naturel : des forêts clairsemées au bord des fleuves où elle aime avoir régulièrement les pieds dans l'eau, comme ici près de la Seine. C'est ce qu'explique Philippe Bardin, scientifique du Conservatoire botanique du Bassin parisien : « La vigne sauvage est menacée par l'activité de l'homme, comme son habitat naturel, parce qu'on a canalisé le lit de la Seine, on a modifié le régime des crues, on a intensifié l'agriculture dans La Bassée, et on a aussi planté des peupliers, qui assèchent le milieu naturel ». Juste à côté de la réserve naturelle de La Bassée, une carrière de sable et de gravier fait baisser le niveau de la nappe phréatique. ► À lire aussi : Financer la préservation de la biodiversité en Afrique, un enjeu majeur de la COP15 Un « réservoir de gènes sauvages » pour anticiper l'effet du réchauffement climatique Piquets, grillage de protection, arrosage, les naturalistes du coin s'affairent. Pour Guillaume Larregle, de l'Association des Naturalistes de la Vallée du Loing, planter une centaine de jeunes vignes sauvages dans La Bassée, c'est recréer un bastion de biodiversité locale. « Cette vigne, étant donné qu'elle appartient à son environnement, est reconnue par les insectes, la faune du coin, explique-t-il. Ces espèces de faune, elles ont besoin de local, parce que c'est ce à quoi elles se sont adaptées depuis des siècles. » Restaurer la vigne sauvage, c'est aussi préserver un réservoir de gènes dont nous aurons besoin à l'avenir. « La vigne cultivée a été sélectionnée et domestiquée depuis des milliers d'années avec une érosion de la diversité génétique. Le réchauffement climatique fait qu'il y a un intérêt absolu à protéger les parents sauvages de ces espèces cultivées pour trouver éventuellement dans ce réservoir de gênes sauvages des gênes de résilience pour l'adaptation des espèces cultivées aux changements globaux », souligne le scientifique Philippe Bardin. Mais pour les premiers résultats, il faudra patienter... Alors que l'homme bétonne, canalise et défriche à grande vitesse, ces jeunes vignes mettront – pour celles qui résisteront aux aléas – une bonne dizaine d'années avant de faire des fleurs et des fruits et de se disséminer alentour. ► À écouter aussi : COP15 : le monde au chevet de la biodiversité
durée : 00:30:12 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - L'émission "Carbone 14" ouvre cette nouvelle saison radiophonique avec un chef-d'œuvre de la Préhistoire française, et retrace l'histoire d'une grande dame, la Vénus de Lespugue, avec deux spécialistes, Patrick Paillet et Eric Robert, du Muséum National d'Histoire Naturelle.
durée : 00:04:36 - Le zoom de la rédaction - On les appelle "Les oreilles d'or". Ils sont les experts du son. Dans le zoom de France Inter, toute la semaine, nous vous proposons partir à la découverte d'homme et de femme dont le métier repose sur leurs deux oreilles. Plongée sonore dans la réserve naturelle des Nouragues en Guyane. Régulièrement, Jérôme Sueur, éco acousticien au Muséum National d'Histoire Naturelle enregistre le paysage sonore d'une richesse unique. Plus que le comportement des espèces, c'est l'état de santé de l'écosystème qu'il surveille.Au coeur de la forêt dense des Nouragues, équipés de poncho de pluie, de GPS et d'un sac à dos , Jérôme Sueur accompagné de Guillaume Delaitre vont installer 23 enregistreurs. Selon un quadrillage précis, sur 180 hectares, les appareils capteront de jour comme de nuit les sons de la jungle guyanaise, dont le très sonore singe hurleur. Pour cette mission menée en pleine saison sèche, Jérôme Sueur, écologue et bio acousticien au Muséum National d'Histoire Naturelle cible trois groupes d'oiseaux dont les tinamous, sortes de perdrix au sifflement discret. Ce scientifique n'a pas vocation à réaliser un catalogue sonore de la forêt équatoriale. Son oreille n'est pas vraiment exercée pour cela et pour identifier certaines espèces, il a d'ailleurs recours au savoir de collègues locaux. Lui, c'est la variété sonore qui l'intéresse : "en tant qu'éco acousticien on cherche à décrire un paysage sonore. On peut aller chercher des espèces en particulier comme ces tinamous ou ces ibijaux (oiseaux dont le plumage se fond avec les branches des arbres) mais on cherche à caractériser un paysage sonore, savoir s'il est complexe ou pas, s'il y a beaucoup de sons, ce qui peut révéler une diversité importante" détaille t-il. Une diversité variable suivant les heures du jourJérôme Sueur n'est pas éthologue. Plus que le comportement des animaux, c'est leur présence ou pas qu'il va consigner. "On cherche à savoir s'ils sont là, quand ils sont là et où. On a peu d'informations notamment sur la saisonnalité des oiseaux ou des autres espèces. C'est important car on s'attend à des changements sur la saisonnalité. Avec le changement climatique, les saisons sont bousculées , notamment cette année où la saison sèche n'a pas eu lieu et on voudrait savoir quels impacts ont ces changements sur ces paysages sonores ou sur les activités sonores de ces oiseaux". L'intelligence artificielle au service des éco acousticiensLe bain sonore qu'offre la forêt guyanaise est unique en France. Aucune perturbation humaine et une très grande richesse qui en fait sa complexité. Ce jour là, au mi temps de la journée, on entend les singes hurleurs vociférer bruyamment pour marquer leur territoire, mais derrière une petite voix se fait entendre. Surement un insecte qui stridule mais qu'il faudra identifier et dont la présence atteste de la bonne santé de cette zone équatoriale où la pression de chasse n'est pas négligeable. Pour s'y retrouver dans ce choral tropical, Jérôme Sueur ne déambule pas des heures avec un micro en main et un casque sur les oreilles. Les enregistreurs automatiques, posés pour rester en place seront régulièrement relevés et déchargés dans les mémoires d'ordinateurs. Ensuite, place à l'intelligence artificielle. "On collecte tellement de données quand on fait une mission qu'on revient avec des centaines de milliers d'enregistrements" explique le chercheur_. "Donc on ne peut pas les écouter en intégralité. On utilise donc des algorithmes d'intelligence artificielle pour les reconnaître automatiquement. Ces algorithmes , il faut les entrainer avec des sons qui ont été identifiés et dont on sait que ce sont des chouettes, des tinamous ou un grand duc par exemple. Ensuite, ce sont les ordinateurs qui vont nous dire si telle espèce est présente ou pas_".A chaque espèce sa fréquenceDans cette forêt, chaque espèce a sa fréquence audio , distincte de celle du voisin. Et ces fréquences peuvent être converties en images, des bandes grisâtres qui s
durée : 00:07:45 - L'invité de 6h20 - Décès du paléontologue Yves Coppens : Emmanuelle Pouydebat Directrice de Recherche au CNRS et au Muséum National d'Histoire Naturelle, spécialisée dans l'évolution des comportements animaliers est l'invitée de 6h20
Au programme de l'émission du 09 mars : avec Clarisse Lochmann, qui a illustré les albums Fin d'été et Même les crocodiles n'ont pas sommeil écrits par Stéphanie Demasse-Pottier ; et avec Baptiste Amann, auteur et metteur en scène de Jamais dormir et son interprète Thalia Otmanetelba. En avant-propos : la lecture de l'émouvant message du duo d'illustrateurs ukrainiens Romana Romanyshin et Andriy Lesiv, sur le Facebook des éditions Rue du monde, et la présentation de leur album La guerre qui a changé Rondo, paru en 2015 chez Rue du monde. Livres : interview de Clarisse Lochmann– c'est vers 11 mn On retrouve dans les illustrations de Fin d'été (édité par L'étagère du bas, septembre 21) et de Même les crocodiles n'ont pas sommeil (édité par Cépages, mars 2022), tous deux écrits par Stéphanie Demasse-Pottier, ce qu'on avait déjà beaucoup aimé dans les deux premiers albums de Clarisse Lochmann : une impression de liberté de mouvement, de légèreté du tracé et de chatoiement des couleurs lumineuses qui surgissent au fil des pages. Comme si l'illustratrice avait laissé aller ses pinceaux sur le papier, sans objectif préconçu, et que les formes s'étaient agencées d'elles-mêmes pour donner forme aux personnages, aux décors, aux objets, les couches de couleurs se superposant et se fondant dans des jeux de transparence, tandis que le tracé au crayon de papier se laisse à peine apercevoir. Alors, on rediffuse en partie l'interview de Clarisse Lochmann réalisé en novembre 2020, suivi d'un petit coup de fil avec elle pour évoquer ses dernières parutions. Spectacle : interview de Baptiste Amann et de Thalia Otmanetelba – c'est vers 55 mn Jamais dormir est l'un des 6 spectacles créés dans le cadre de Odyssées 2022, le festival jeune public du Théâtre de Sartrouville et CDN , qui tournent dans tout le 78. Débordante de vitalité et d'imagination, une petite fille, 8 ans, crée des mondes à sa façon pour ne pas laisser la nuit l'emporter dans le sommeil. Un spectacle à la fois drôle et émouvant. Rencontre avec l'auteur et metteur en scène Baptiste Amann et la comédienne Thalia Otmanetelba. Grands livres pour petites personnes - chronique de Elsa Gounot - c'est vers 75 mn - Macalou ,de Karine Tuil et Lucile Piketty, éditions du Museum national d'histoire naturelle "Taly a un choc en visitant la Ménagerie du Muséum National d'Histoire Naturelle avec ses parents. En effet, la petite fille comprend tout ce que lui dit, ou rugit, Macalou, une panthère de Chine, espèce en danger d'extinction. La fillette veut l'aider et faire entendre sa voix auprès des responsables de l'établissement." Lecture - par Lionel Chenail - c'est vers 80 mn - Écrire dans le noir, de Jean-Luc Seigle – Flammarion, 2015 On a écouté -Boomerang – Cie La Fée mandoline – Mots pour mômes – CD, Inouie distribution, 2021 -Pull it away – Siskiyou – Siskiyou – 2010 -La salade de nature – Minibus – Bal à fond – Victorie Music, 2021 -Je veux partir – Arno et Sofiane Pamart – Human incognito, 2016 -Ça fait longtemps – Toma Sidibé – Yélé ma petite lumière – Victor Mélodie, 2020 ------------------------------------------- N'hésitez pas à nous envoyer vos informations (ou juste un petit message, ça fait toujours plaisir !) à elephant@aligrefm.org
durée : 00:04:36 - Le zoom de la rédaction - Plongée sonore dans la réserve naturelle des Nouragues. Régulièrement, Jérôme Sueur, éco acousticien au Muséum National d'Histoire Naturelle enregistre le paysage sonore d'une richesse unique. Plus que le comportement des espèces, c'est l'état de santé de l'écosystème qu'il surveille.
El museo nacional de historia natural de París propone, en estreno mundial, la exposición L'Odyssée Sensorielle (La Odisea Sensorial), una propuesta innovadora donde el visitante se sumerge en diferentes ecosistemas del planeta, gracias a imágenes, sonidos e incluso olores. Una muestra hiperrealista que tomó tres años y 200 personas para prepararla y que a nivel técnico fue todo un reto. Reportaje. L'Odysée Sensorielle no es una muestra virtual, con cascos de realidad virtual, o con imágenes de computadora. Es una apuesta al otro extremo, una exposición hiperrealista, con imágenes reales, con sonidos, olores y a veces sensaciones en el piso. Una inmersión total en algunos ecosistemas de nuestro bello planeta. Y una "première" a nivel mundial. La Odisea Sensorial, es una ambiciosa muestra del Muséum National d'Histoire Naturelle (MNHN), el museo nacional de historia natural que se encuentra en París, cerca del Jardin des Plantes. RFI fue a hacer un reportaje. Un estreno a nivel mundial, a nivel técnico y que tomó casi tres años para poderla realizar. Bruno David, presidente del Museo Nacional de Historia Natural explicó a RFI entusiasmado: “La Odisea Sensorial es una iniciativa del museo totalmente nueva, una innovación hecha con la start-up Sensory Odysey, es la primera vez en el mundo que se propone algo así, queremos proponer al visitante una nueva experiencia, una inmersión en diferentes universos que lo llevan a pasearse desde los trópicos hasta los polos, a través de ocho ecosistemas diferentes en el mundo….y a diferentes escalas, a veces somos microscópicos, en el interior de la tierra, o en la superficie de una pradera, al lado de los insectos, a veces somos grandes y nos encontramos en las copas de los árboles de una selva tropical, o sobrevolamos los icebergs de Groenlandia, es realmente un viaje a través de esos ecosistemas”. Bruno David insiste que en esta muestra, todo es real: “No hay imágenes generadas por computadora, todas han sido filmadas en diferentes hábitats del planeta y han sido validadas científicamente. No hay realidad virtual, es única y solamente la realidad, pero la realidad mostrada de un modo nuevo, haciendo un llamado a la emoción, al asombro, no es sino hasta en la última parte de la exposición que explicamos lo que el visitante atravesó, no lo explicamos antes ni durante, lo hacemos después, dejamos que el visitante sienta, se maraville, escuche, vea, y luego, al final le explicamos lo que recorrió”. Los diferentes ecosistemas incluyen un lago en África del Este, donde se puede contemplar a los flamencos rosas enanos de esta región, también una inquietante noche en la sabana en Kenia, pero también una gruta con murciélagos o ballenas en Groenlandia cazando colectivamente los peces… La muestra es un reto técnico, no sólo por la obtención de imágenes, pero también la grabación de sonidos e incluso los olores que cada sala tiene para crear esta sensación de hiperrealidad. La Odisea Sensorial puede visitarse en París en el Museo Nacional de Historia Natural hasta el 4 de julio del 2022, y a partir de septiembre 2022 la muestra comenzará una gira internacional por diferentes museos del mundo. Entrevistados: Bruno David, presidente del Muséum National d'Histoire Naturelle y Youenn Le Guen de la productora Artisans d'Idées, la cual participó en este proyecto. Otros temas: Renaissances: una muestra para hablar de nuestro planeta con cara al futuro Chartres en Lumières: ensalzar el patrimonio a través de la luz, y de paso, atraer a más turistas Una oda a la biodiversidad: la exposición Carnets d'Exploration en el puerto de Havre
Dans ce 7ème épisode du Podcast Nature nous recevons Gilles Boeuf, océanographe, spécialiste de physiologie environnementale et de biodiversité. Gilles est Professeur émérite à Sorbonne Université et professeur consultant à AgroParisTech. Il a présidé pendant 7 ans le Muséum National d'Histoire Naturelle à Paris, il a été président du Conseil Scientifique de l'Agence Française pour la Biodiversité pendant 3 ans. Par ailleurs, il a été conseiller scientifique au cabinet de Ségolène Royal, lorsqu'elle était ministre de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer. Depuis 2009, Gilles est président de la réserve naturelle de la forêt de la Massane, tout récemment classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO et il est actuellement président du CEEBIOS (Centre Européen d'Excellence pour l'étude du Bio-mimétisme et la Bio-inspiration). Vous découvrirez dans cet épisode comment la nature nous inspire à travers le biomimétisme ou la bio-inspiration. Nous verrons en quoi la biodiversité est essentielle pour notre bonne santé et les liens d'interdépendance que nous entretenons avec le vivant. Nous parlerons également d'émerveillement grâce à une ode à la libellule et d'autres espèces vivantes étonnantes. Enfin, Gilles partagera avec nous quelques actions à mener en faveur de la transition écologique. Nous vous souhaitons une bonne écoute. Interview réalisé par Audrey Berté, membre de la Fabrique Spinoza, coach en épanouissement personnel et professionnel et organisatrice de retraites en silence pour permettre une reconnexion à soi, au vivant et un ressourcement profond et durable. Fondatrice du Podcast Révélations, pour se révéler à soi-même et au monde.
Présentation: Suzanne L'invité: Bruno David, président du Muséum national d'histoire Naturelle De Paris (partie 1/2) Musique : Stromae / Humain à l'eau L'invité: Bruno David, président du Muséum national d'histoire Naturelle De Paris (partie 2/2) Musique : Junior Senior / Move Your Feet
durée : 00:05:51 - Le reportage de la terre au carré - A l'occasion de la réouverture des musées, nous visitons cette semaine les coulisses du Museum National d'Histoire Naturelle... du mystérieux souterrain de la grande serre, à l'atelier de taxidermie, en passant par le labo de chimie et la collection des herbiers. Une visite unique pour découvrir les dessous du Museum.
Parce que chaque semaine qui commence est un nouveau départ, j'avais envie de vous lire une histoire. Alors je vous propose le bijou comme un bisou du dimanche soir. Il était une fois les légendes de l'émeraude Le vert est ambigüe c'est la couleur du dollar et des fous mais c'est aussi depuis la Rome antique la couleur de Vénus et à ce titre celle de la beauté et de l'amour. Aussi est-ce cette image que je vais retenir. Surtout que le vert des émeraudes est très particulier c'est un mélange de vert pur avec des traces de bleu qui donne une profondeur et une densité très particulière et qui a, de plus, la propriété de conserver sa vigueur, quelque soit ses nuances y compris sous la lumière électrique. L'émeraude est traditionnellement associée au mois de mai et aux natifs du signe des gémeaux. Nous sommes bien au mois de mai et pour être tout à fait honnête avec vous, c'est à la fois mon mois de naissance et mon signe du zodiaque. J'ai donc une affection toute particulière pour cette pierre précieuse. Et d'ailleurs si vous souhaitez me couvrir d'émeraudes pour mon anniversaire le 31 mai, que ce soit en gemme, en bijou, en photo ou en message, surtout n'hésitez pas ! Et pour compléter ce chapitre de l'anniversaire, si vous fêter la 20e ou la 40e année de votre mariage, c'est aussi la pierre précieuse dédiée. D'après le Littré, le nom de l'émeraude provient du sanskrit « açmagarbha » qui veut dire « cœur de pierre ». Et ce cœur de pierre s'énonce « smaragdus » en latin pour désigner cette pierre précieuse à l'aura unique. Je vous emmène dans le temps et bien sûr comme presque toujours en Egypte antique. Près de la mer rouge les mines de Djebel Zabarah produisaient des émeraudes. On les a longtemps appelé mines de Cléopâtre car on sait qu'elle adorait cette gemme qu'elle portait en bijoux, faisait graver et offrait à ses dignitaires. Il faut dire que l'émeraude était associée à l'immortalité. Ces mines seront retrouvées en 1816 par l'explorateur français Frédéric Cailliaud, mais elles sont aujourd'hui épuisées. Les émeraudes servent aussi de monnaie d'échange au IIe millénaire avant Jésus-Christ à Babylone. Quand la tradition de l'Egypte antique se fond dans la culture grecque, Thot, le dieu de l'écriture et le scribe des dieux au savoir illimité, devient Hermès Trismégiste. Il aurait écrit 42 livres de philosophie comme de médecine. Cet ensemble de textes s'appelle Hermetica lequel comprend le célèbre « Corpus Hermeticum » et surtout « La Table d'émeraude » censée renfermer le secret de la création des êtres. Les Alchimistes et les Hermétiques du Moyen Age s'appuieront sur ces textes et dédieront l'émeraude à Hermès en la nommant « Rose de mai ». L'émeraude devient ainsi le symbole de l'Alchimie. Chez les Phéniciens, l'émeraude est la pierre d'Astarté et permet de garder les amants fidèles. Dans son Histoire Naturelle, Pline l'Ancien donne une hiérarchie des matériaux précieux. En premier il place le diamant, en second les perles et le 3e rang revient à l'émeraude. Il écrit : « Il n'est point de couleur plus agréable à l'œil ; car, bien que la vue se fixe avidement sur le vert des herbes et du feuillage, on goûte infiniment plus de plaisir à contempler des émeraudes, aucune nuance verte n'étant verte si on la compare à cette pierre ». Il promet que l'on « se récrée la vue en la portant sur une émeraude ». Il affirme que les émeraudes plates « renvoient les images à la façon des miroirs » pour preuve « L'empereur Néron regardait avec une émeraude les combats des gladiateurs ». Bon, il définit aussi 12 sortes d'émeraudes et il « raconte que dans l'île de Chypre, sur le tombeau d'un petit roi nommé Hernias, auprès des pêcheries, était un lion de marbre avec des yeux en émeraude. L'éclat qui en sortait pénétrait si avant dans la mer, que les thons épouvantés s'enfuyaient. Les pêcheurs s'étonnèrent longtemps de cette fuite nouvelle du poisson; à la fin ils mirent au lion d'autres yeux. » Il rapporte également que dans « les livres égyptiens se raconte qu'un roi de Babylone envoya au roi d'Égypte, en présent, une émeraude longue de quatre coudées, et large de trois. Le même auteur dit qu'en Égypte, dans un temple de Jupiter, était un obélisque fait de quatre émeraudes, lequel avait quarante coudées de hauteur, et de largeur quatre coudées à une extrémité et deux de l'autre; et qu'au moment où il écrit il y a à Tyr, dans le temple d'Hercule, une grosse colonne d'une seule émeraude, Par ailleurs, Apion, surnommé Plistonicès, rapporte qu'il y avait, encore de son temps, dans le labyrinthe d'Égypte, un Sérapis colossal fait d'une émeraude haute de neuf coudées. » On comprend donc que l'émeraude fascine depuis très longtemps et avait la réputation d'immenses propriétés à la fois spirituelles et même médicales. Alors il n'est pas étonnant que Jules césar les ait collectionnées pour leurs vertus curatives. Plus tard, la légende dira que l'émeraude était l'une des quatre pierres précieuses données par Dieu au roi Salomon. Ces quatre pierres auraient doté le roi de pouvoirs sur toute la création. Encore quelque années et l'émeraude devient la pierre de Satan. Elle se serait détachée du front de l'Archange déchu Lucifer au moment de sa chute sur Terre. Et bizarrement, pour la chrétienté, l'émeraude devient par la suite la pierre du Pape. Au Moyen Age à la fin du XIIIe, Jacques de Voragine affirme dans sa Chronique de Gênes que lors de la Cène, Jésus et ses disciples mangèrent dans un plat d'or et d'émeraude. Puis les légendes arthuriennes rapportent que Nicodème l'un des premiers disciples de Jésus, aurait recueilli lors de sa crucifixion, le sang du Christ dans un vase d'émeraude appelé Sangraal. A partir de là, le Graal est réputé être taillé dans une extraordinaire émeraude que seuls les Chevaliers de la Table Ronde au cœur particulièrement pur pouvaient apercevoir. Ce qui de façon surprenante rejoint la légende celte du chaudron de Dagda. Pour faire bonne mesure, Hildegarde de Bingen, aurait déclaré : « Tout le vert de la nature est concentré dans l'émeraude. » qui s'associe à l'espoir, au renouveau et à l'amour. Outre-mer l'émeraude obtient la même fascination. Dans une légende indienne Sesha, le roi des serpents, avala la bile du démon Vala. Quand il fut attaqué par Garura, le roi des oiseaux, il la recracha sur lui, les gouttes qui tombèrent sur le sol créèrent les émeraudes. L'émeraude honore aussi Annapurna, la déesse hindoue de la nourriture, des cuisines et des cuisiniers A Bangkok, l'icône la plus sacrée de Thaïlande s'appelle le Bouddha Émeraude. En fait elle est en jade, mais on ne va pas chipoter les légendes ! Chez les Incas, l'émeraude était un signe de souveraineté, elle était offerte comme tribu par les vassaux à leur souverain qui, seul, pouvait le porter. Chez les Aztèques aussi l'émeraude était célébrée, ils l'appelaient "Quetzalizli", comme l'oiseau de paradis qui symbolise le renouveau des saisons, la fertilité de la terre et la vie. Le souverain Moctezuma offrit en 1519 à Cortès un énorme bloc de calcaire couvert de cristaux d'émeraudes qui devient plus tard la propriété de Charles Quint. Celui-ci en aurait distribué quelques-unes pour rallier de puissants personnages à sa cause. Dans ce XVIe siècle, les conquistadors espagnols trouvent en Colombie, les gisements de Chivors en 1545 et de Muzo en 1594. A partir de là, cette pierre précieuse est rapportée en Europe où toutes les cours vont bientôt enchâsser ces gemmes dans de splendides joyaux. À la fin du XVIIe siècle, on découvre l'émeraude du grand Moghol, une gemme de 217,80 carats, gravées d'inscriptions religieuses. Bien avant que les Maharaja débarquent place Vendôme avec leur coffre rempli de pierres précieuses et leurs inimitables émeraudes. Les déversant à pleine mains sous les yeux médusés des joailliers qu'ils chargeront de remonter en bijoux somptueux comme vous avez peut être pu le voir notamment dans l'exposition « des Grands Mogols au Maharaja » de la collection Al Thani. Mais si leurs joyaux sont légendaires, leurs émeraudes sont parfaitement véritables ! Ce qui me fascine aussi dans l'émeraude ce sont ses mystères. La constitution même de l'émeraude présente souvent des inclusions, qui attestent de son origine. Pour toutes autres pierres ce serait un défaut pour l'émeraude on les appelle poétiquement des « jardins ». Cette perfection des imperfections la rend d'autant plus chère à mon cœur. L'émeraude a aussi sa propre taille. La taille émeraude vient de la taille « en table » apparue vers 1400. On y a ajoutée une culasse, quelques facettes et puis les fameux coins biseautés dont l'objectif était de diminuer les risques d'ébrèchement car la gemme est fragile ! Cette taille s'est standardisée vers 1900. Il y a bien sûr des émeraudes célèbres comme celle qui ornait la couronne de Saint Louis et qui est maintenant au Muséum National d'Histoire Naturelle. Mais je vais plutôt vous raconter la charmante histoire du Collier de la liberté. Une comtesse polonaise avait de doux sentiments pour un galant homme polonais, bien connu de la cour de Louis XVI surtout pour son succès auprès des femmes. Il se rend à Philadelphie, malheureusement au moment où la ville est prise d'assaut. Car évidemment les Etats unis sont en pleine guerre d'indépendance. Très inquiète, la jolie comtesse va donc trouver à Paris, l'ambassadeur des Etats Unis, Benjamin Franklin qui, en gentilhomme, la rassure sur le sort du monsieur de son cœur. Très reconnaissance, la comtesse retire son splendide collier et le donne à Benjamin Franklin en lui disant : « Il y a treize émeraudes carrées et treize émeraudes en poire, une pour chacune des treize colonies. Je vous en supplie, acceptez ces bijoux au nom de la Liberté. ». Ce collier s'appellera donc par la suite « le collier de la liberté », sa vente aurait permis d'acheter l'artillerie qui aurait changé le cours de l'histoire. Il disparait à la révolution française, reparait vers 1885, puis sera acheté vers 1925 par Van Cleef & Arpels et appartiendrait toujours à leur collection patrimoniale. Ainsi se termine cette histoire des légendes de l'émeraude Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux. Chaque dimanche j'émets en alternance sur un podcast différent. Et justement la semaine prochaine je vous donne RDV sur Brillante le podcast des femmes de la joaillerie pour écouter Sonia Esther Soltani, la rédactrice en chef du Rappaport en Israël. Le dimanche suivant ce sera notre RDV avec le podcast « Il était une fois le bijou », dans cette 4e saison consacrée aux joailliers du rap, ce 2e épisode est un peu spécial car il aborde le côté dark de ce monde. Pour ne manquez aucun de nos rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de ces 3 podcasts « Il était une fois le bijou », « le bijou comme un bisou » et « Brillante » sur votre plate-forme d'écoute préférée et encouragez-moi en partageant l'épisode sur vos réseaux sociaux. Si vous êtes sur Apple podcast ou sur You tube mettez de jolis commentaires, c'est ce qui permet de référencer les podcasts ! Et si vous aussi, vous avez envie de donner une voix à vos bijoux contactez moi, je me ferai un plaisir de vous accompagner pour créer votre histoire joaillière en podcast. A dimanche pour votre prochaine histoire de bijou ! Site Twitter Facebook Instagram LinkedIn Musique : Allan Deschamp, 0 le Sign, Kevin MacLeod : Crossing the divide, Virtutes Instrumenti, Odessy Cambodgienne
Saviez-vous que le sol fabrique une partie de notre atmosphère ? Qu'il régule le cycle de l'eau ? Qu'il nourrit plantes et animaux terrestres ? Découvrons ce monde passionnant qui se trouve juste sous nos pieds ! Partons à la découverte d'un monde vivant, grouillant, et essentiel à la vie sur Terre : le sol ! Là où vivent une multitude de bestioles a priori peu ragoutantes et de bien mauvaise réputation - acariens, champignons, bactéries et autres vers de terre - sans lesquels il n’y aurait pourtant ni atmosphère, ni régulation du cycle de l’eau, ni nourriture sur Terre... Comment explorer ce monde souterrain fait de symbiose et d’associations mutuelles inattendues entre tous ces organismes ? Avec : Marc-André Selosse, biologiste, professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, et aux universités de Gdansk et de Kumming. Il est aussi le président de la Fédération BioGée et membre de l'Académie d'agriculture de France. Marc-André Selosse a été conseiller scientifique auprès de l'auteur-dessinateur Mathieu Burniat, pour sa bande dessinée Sous Terre, qui vient de paraître chez Dargaud.
durée : 00:58:12 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Face aux contaminations diffuses des sols, le programme de recherche "Pollusols" s'attaque à la racine du mal. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Thierry Lebeau Professeur et chercheur à la faculté des sciences et techniques de l’université de Nantes et coordinateur du projet Pollusols; Cécile Le Guern Ingénieure-chercheure au BRGM, spécialisée en géosciences de l’environnement, co-animatrice de l’axe de R&D sur les sols urbains à l’Institut de Recherche en Sciences et Techniques de la Ville, basée à Nantes; Marc-André Selosse Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle, et professeur à l’université de Gdansk (Pologne) et Kunming (Chine)
“Roches, Littoral de la Manche”photographies d'Aurore Bagarryaux Editions Gwinzegaléditions GwinzegalAurore BagarryPODCAST – Interview de Aurore Bagarry,par Anne-Frédérique Fer, enregistrement réalisé par téléphone, entre Saint-Brieuc et Paris, le 19 janvier 2021, durée 18'24. © FranceFineArt.(photo : © Guillaume Cosson)Couverture Roches, Littoral de la Manchede Aurore Bagarry aux éditions Gwinzegal. © Aurore Bagarry. © éditions Gwinzegal, décembre 2020Aurore Bagarry,série Roches, Littoral de la Manche.Hoe Point, Praa Sands, Cornwall. Formation des ardoises de Mylor d'âge dévonien (Famennien) avec des veines de quartz plissées au‑dessus du contact avec le granite intrusif. © Aurore Bagarry.Aurore Bagarry,série Roches, Littoral de la Manche.Mattiscombe Sands, Start Point, Devon. Elément d'anciennes argiles du Dévonien métamorphisées en micaschistes. © Aurore Bagarry.Extrait du communiqué de presseRoches, Littoral de la Manche : Recueil de photographies de roches parsemant les paysages des littoraux de la Manche, dans le Hampshire, le Dorset, le Sussex, les Cornouailles, le Devon, le Finistère, les Côtes d'Armor, la Manche, le Calvados, le Pas-de-Calais ou encore la Seine-Maritime.Avec les textes du philosophe Gilles A. Tiberghien, des géologues Patrick De Wever (Muséum National d'Histoire Naturelle) et Marc Fournier (Sorbonne Université). Conception graphique : Marine Le Thellec, français/anglais, 100 pages, 21×26 cm, Editions Gwinzegal, décembre 2020.Ces Blocs de temps figé (extraits) – Gilles A. TiberghienEn allant, du côté français, de Calais à Brest et en passant par Varengeville, la pointe du Hoc, le cap Levi dans le Cotentin et nombre de bourgades du Finistère et des Côtes-d'Armor, Aurore Bagarry a photographié un paysage « à bout portant », pour employer une expression que peut justifier la notion de tir photographique, mais qui dit bien la sensation de brutale mise en présence ressentie lorsque l'on regarde ces images. En Angleterre, sur l'autre rive de la Manche, de la même façon, l'artiste a symétriquement parcouru la côte vers l'ouest en partant d'Eastbourne jusqu'au cap Lizard en Cornouailles, pour, parvenue à l'extrémité de la péninsule, revenir vers Maer Cliff près de Bude, au nord-ouest du Dartmoor National Park, face au pays de Galles.Ce que l'on voit ici est d'une nature indéterminée et tient aussi bien du relevé topographique que de la photographie de paysage. Très peu de ciel, voire pas du tout dans ces images qu'il est quasi impossible de situer si l'on n'a pas repéré sur une carte l'endroit où elles ont été prises. Que l'on soit en France ou de l'autre côté de la Manche, rien ne permet de le comprendre vraiment.La côte semble une gigantesque palette sur laquelle la mer a essayé ses couleurs : les mauves se marient aux jaunes et aux verts de chlorophylle et de boue mêlées, les ocres lépreux bourgeonnent de buissons nains, les gris entaillés de dépressions bleuâtres semblent s'incliner sous la poussée des vents, les grès sombres veinés de rose se découpent sur le ciel gris, les falaises dressent le profil crénelé de leurs murailles blanches décapées par le sel, leurs tourelles coiffées de gazon ras, parfois maculées de lichen sombre, ou striées de bandes verticales dessinées par les eaux de ruissellement.Gilles A. Tiberghien Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
“Pierres précieuses” à la Grande Galerie de l'Évolution – Muséum National d'Histoire Naturelle, Parisdu 16 septembre 2020 au 14 juin 2021Extrait du communiqué de presse :Commissaires scientifiques :François Farges, professeur au Muséum national d'histoire Naturelle, spécialisé en minéralogie environnementale et patrimonialeLise MacDonald, directrice du patrimoine et des expositions, Van Cleef & ArpelsPierres précieuses embrasse l'histoire plurimillénaire des minéraux tout en révélant l'adresse que l'Homme déploie, depuis des siècles, pour servir leur éclat. Cette approche — tant scientifique qu'esthétique — plonge aux origines de la Terre, s'appuie sur les récentes découvertes minéralogiques et souligne l'intérêt, la passion voire la fascination que minéraux, gemmes et bijouxsuscitent depuis toujours dans la plupart des civilisations.Suivant un parcours à la fois chronologique et thématique, bâti en trois sections, Pierres précieuses brosse en premier lieu une histoire de la Terre et des savoir-faire, explorant la formation originelle des minéraux et leur emploi par l'Homme dont le geste habile se perfectionne au fil du temps.Puis une deuxième partie — des minéraux aux bijoux— explique les phénomènes naturels que subissent pierres, roches et cristaux, dans les profondeurs de la Terre, avant que la main de l'Homme ne les métamorphose en joyaux. Leur transformation est mise en lumière grâce à une quarantaine de vitrines-écrins, accompagnées de stèles thématiques, de dispositifs audio-visuels et tactiles, qui ponctuent la visite et présentent chaque espèce — diamants, topazes, saphirs, aigues-marines… — sous trois aspects : minéraux bruts, gemmes façonnées et bijoux de haute joaillerie, offrant ainsi une constante mise en perspective de la nature à l'oeuvre.Dans sa troisième partie, l'exposition rappelle l'importance historique, scientifique et artistique que tient Paris, lieu de savoirs, dans l'avancée et la diffusion des connaissances en minéralogie dont se sont emparés esthètes et artistes jusqu'à nos jours.Suscitant une déambulation immersive et un dialogue constant entre science et création, Pierres précieuses met en regard quelque 360 minéraux, gemmes et objets d'art issus de la prestigieuse collection du Muséum et plus de 250 créations joaillièrespuisées dans la collection patrimoniale de la Maison Van Cleef & Arpels. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Vigie-Ciel est un programme de recherche participatif, qui est animé par des chercheurs du Muséum National d'Histoire Naturelle, de l'Observatoire de Paris et des universités de Paris Sud et de Grenoble. Il propose à tout un chacun de participer à son niveau à la recherche scientifique sur les petits corps du système solaire que sont les astéroïdes, en se penchant sur leurs variantes qui parviennent jusqu'au sol de la Terre et qu'on appelle les météorites.