French politician
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La judiciarisation de la vie politique n'est pas nouvelle, mais le sentiment général est qu'elle ne cesse de s'accroitre. La faute à quoi ? à qui ? aux magistrats ou aux politiques ? Le peuple veut de la transparence et de l'intégrité, la HATVP, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique remplit des fonctions préventives et institutionnelles. Mais cela ne suffit guère à s'assurer d'une vie politique vertueuse. Et lorsque les faits reprochés aux personnes politiques relèvent de sa compétence, le juge intervient naturellement, mais alors la décision judiciaire prend une importance, un relief et a un écho sociétal et médiatique parfois considérable, allant bien au-delà de l'autorité traditionnelle de la chose jugée, si vous me permettez ce trait ironique, cet abus de langage du juriste que je suis. Ne serait-ce que dans les temps récents, on se rappelle des affaires Balkany, Cahuzac, Chirac, Fillon, Juppé, Jean-Marie Le Pen, Sarkozy, Thévenoud, Tron. Que tous ceux que j'ai oubliés me pardonnent, ils sont si nombreux… Parmi eux, certains ont été condamnés pour des faits extérieurs à la vie politique, d'autres à des infractions directement liées à celle-ci, emplois fictifs, détournements de fond. Parmi eux encore, certains ont été condamnés à des amendes, des peines d'emprisonnement, des peines d'inéligibilité avec ou sans exécution provisoire Le 31 mars 2025, Bruno Gollnish, Louis Aliot, Nicolas Bay ont été condamnés avec d'autres par le tribunal correctionnel de Paris. Marine Le Pen notamment, condamnée sur le fondement du délit de détournement de fonds publics. Comme il fallait s'y attendre, la décision rendue par le tribunal suscite une tempête politico-médiatique. Les uns se réjouissent car ils pensent que Marine Le Pen ne pourra pas se présenter aux élections présidentielles de 2027, les autres se lamentent et présentent Marine Le Pen comme la cible d'un complot politico-judiciaire fomenté par les « juges rouges », une « cabale judiciaire ». L'une des causes de la situation, même si ce n'est pas la seule, réside sans doute dans un débat juridique qui semble complexe et dont la compréhension exige tout à la fois un éclairage sur l'état du droit et une lecture attentive de la décision du tribunal, soit plus de 150 pages. Une autre cause évidente tient aux conséquences que cette décision et ses éventuelles suites pourraient avoir sur les élections présidentielles de 2027, madame Le Pen créditée aujourd'hui dans les sondages de plus 30% des suffrages au premier tour ne pourra-t-elle pas se présenter ? Faut-il revoir le droit pénal et la peine d'inéligibilité ? Faut-il écarter en certaines circonstances le prononcé de l'exécution provisoire ? Faut-il prévoir des procédures d'urgence en la matière ? Les hommes et femmes politiques doivent-ils, en certaines circonstances au moins, être extraits des procédures judiciaires de droit commun ? Pour répondre à ces questions et faire le point sur une situation finalement inédite je reçois Jean-Paul Gélin, professeur de droit public au sein de la Prépa ISP
C dans l'air du 31 mars 2025 - Marine Le Pen inéligible... 2027 c'est fini ?Le verdict était très attendu. Ce lundi, Marine Le Pen a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires du Front national (devenu Rassemblement national). Elle a été condamnée à 4 ans de prison dont 2 ans ferme, aménageables avec bracelet électronique, 100 000 euros d'amende et 5 ans d'inéligibilité avec application immédiate. Ce jugement est proche des réquisitions du parquet à l'issue du procès qui s'est tenu du 30 septembre au 27 novembre 2024. Les deux procureurs avaient avoir listé les éléments démontrant, selon eux, la stratégie d'"enrichissement" du parti, "qui a financé avec des emplois fictifs", "sur plus de dix années", "sa propagande et son développement à hauteur de plus de 4 millions d'euros au préjudice de la vie démocratique". Les magistrats avaient rappelé que les règles entourant le rôle de l'assistant parlementaire européen ont toujours été les mêmes, balayant la thèse de "l'acharnement politique". Une manière de répondre à la ligne de défense dictée, selon la partie civile, par Marine Le Pen à ses coprévenus, à savoir que la fonction d'un assistant est "politique" et sert ainsi au parti.Vingt-quatre autres prévenus étaient jugés aux côtés de la cheffe de file des députés du RN. Huit anciens députés européens, dont Louis Aliot, Marie-Christine Arnautu, Nicolas Bay et Bruno Gollnisch, ont été condamnés pour détournement de fonds publics. Douze autres personnes, soupçonnées d'avoir bénéficié d'emplois fictifs d'assistants parlementaires, ont pour leur part été déclarées coupables de recel de détournement de fonds publics. Le parti est par ailleurs condamné à 2 millions d'euros d'amende, dont 1 million ferme.Sans attendre le quantum de sa peine, Marine Le Pen a quitté ce matin le tribunal pour se rendre au siège du RN où elle a participé à une réunion de crise avec Jordan Bardella et d'autres élus. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle s'exprimera ce lundi soir dans le JT de TF1. Son avocat a déjà annoncé qu'elle allait faire appel. Alors quels sont les recours possibles pour l'ancienne candidate à l'élection présidentielle ? Que vont faire Marine Le Pen et le RN ? Qui pour la remplacer ? Après cette condamnation avec inéligibilité immédiate de Marine Le Pen, les regards se tournent vers le jeune président du Rassemblement national Jordan Bardella. Propulsé au tout premier rang de l'extrême droite française pourrait-il être un plan B pour le RN en 2027 ?Enfin nous reviendrons dans #cdanslair aujourd'hui sur le procès sur les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007. La semaine dernière le Parquet national financier a requis sept ans de prison et 300.000 euros d'amende à l'encontre de l'ancien président de la République, accusé d'avoir noué un "un pacte de corruption inconcevable, inouï, indécent" avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi pour satisfaire ses "ambitions politiques dévorantes". L'accusation a également réclamé une peine d'inéligibilité de cinq ans. Au terme de trois mois de procès et de 10 ans d'enquête, "c'est un tableau très sombre d'une partie de notre République qui s'est dessiné", a déclaré le procureur financier Sébastien de la Touanne.Les experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion de l'Institut de sondages IFOP- Dominique ROUSSEAU - Juriste et professeur de droit constitutionnel français - Pierre-Stéphane FORT - Journaliste réalisateur, auteur de "Le grand remplaçant, la face cachée de Jordan Bardella"
C dans l'air, l'invitée du 30 septembre : Charlotte Gillard, journaliste à France Télévisions et co-réalisatrice du Complément d'enquête "RN : où sont passés les millions de l'Europe ?"Le procès des assistants présumés fictifs du FN devenu le Rassemblement national s'est ouvert ce matin devant le tribunal correctionnel de Paris. L'affaire a commencé en 2014 après une enquête de l'Office européen de lutte antifraude, qui a révélé des irrégularités dans l'utilisation des fonds européens pour les salaires des assistants parlementaires. L'enquête a conduit à des soupçons de fraude impliquant plusieurs millions d'euros. Le RN est poursuivi pour des faits de "détournement de fonds publics" et de "complicité de détournement de fonds publics". Il est soupçonné d'avoir eu recours à des emplois fictifs au Parlement européen entre 2004 et 2016.Marine Le Pen a été mise en examen en juin 2017 pour "abus de confiance" et "complicité", des poursuites requalifiées après en "détournement de fonds publics". Le maire de Perpignan Louis Aliot, l'ex-trésorier du parti Nicolas Bay, le porte-parole du RN Julien Odoul, l'ancien député Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen figurent aussi sur le banc des accusés. Au total, 27 personnes sont accusées : 11 eurodéputés élus sur des listes RN, 12 autres ayant été leurs assistants parlementaires et auxquels s'ajoutent 4 collaborateurs du parti.Charlotte Gillard est journaliste à France Télévisions et co-réalisatrice du magazine de Complément d'enquête : "RN : où sont passés les millions de l'Europe ?". Elle reviendra sur les enjeux de ce procès.
In this special episode, we explore the nuances of French politics with expert Bastien Frimas, diving into the rise of Marine Le Pen and the challenges faced by right-wing parties like Rassemblement National (National Rally). We discuss the recent French general election, analysing strategic alliances formed to counter right-wing coalitions. We also examined potential coalition scenarios post-election and speculated on leadership changes within the French political landscape. Additionally, insights were shared on European political dynamics, including the formation of new alliances like Viktor Orban's Patriots for Europe and collaboration among right-wing factions on common policy objectives. Throughout this podcast, Bastien offers in-depth analysis on evolving political landscapes, coalition-building, and the impact of shifting ideologies on governance in Europe Bastien Frimas is French of Norman descent and father of two. He has been active in politics for more than a decade and working for 8 years in the European Parliament, where he currently is assistant of Nicolas Bay, member of the European Conservatives and Reformists group together with Marion Maréchal. Connect with Bastien... X/TWITTER x.com/BastienFrimas Interview recorded 8.7.24 Connect with Hearts of Oak... X/TWITTER x.com/HeartsofOakUK WEBSITE heartsofoak.org/ PODCASTS heartsofoak.podbean.com/ SOCIAL MEDIA heartsofoak.org/connect/ SHOP heartsofoak.org/shop/
Amandine Bégot et Yves Calvi décryptent les programmes, les intentions de votes, les secrets de campagne. Invités de cette émission : Julien Dray, ancien député PS, Arnaud Stéphan, communicant fondateur de l'agence de la note de com, ancien conseiller de Marine Le Pen lors de la présidentielle 2022. Sur les impôts : Clémence Guetté, députée sortante LFI, et Nicolas Bay, député européen et soutien de l'union RN/LR Ciotti avec Marion Maréchal. Le monde nous regarde, avec Richard Werly, correspondant France/Europe du quotidien "Blick", Birgit Holzer, correspondante pour la presse régionale allemande, et Alexia Kefalas, correspondante de RTL en Grèce.
durée : 00:16:11 - 8h30 franceinfo - L'eurodéputé Nicolas Bay était l'invité du “8h30 franceinfo”, le samedi 22 juin 2024.
À l'occasion de l'édition spéciale au lendemain des élections européennes et de l'annonce surprise de la dissolution de l'Assemblée nationale, Dimitri Pavlenko reçoit Nicolas Bay, eurodéputé et vice-président de Reconquête.
Au printemps prochain, les Européens seront amenés à renouveler leur parlement à Strasbourg. En France, l'élection aura lieu le 9 juin. Un scrutin de liste, à un seul tour. Mais derrière chaque campagne nationale, en coulisses, les négociations ont commencé pour recomposer les groupes politiques que vont rejoindre les députés européens, une fois élus ou réélus. Et la bataille est particulièrement rude à l'extrême droite. Les groupes politiques, comment ça marche à Strasbourg ?C'est un peu comme les groupes politiques à l'Assemblée nationale ou au sénat. Mais à Strasbourg, les règles sont un peu plus complexes. Pour constituer un groupe au Parlement européen, au moins 23 députés doivent s'allier, ce qui est assez facile. Là où ça se complique, c'est que ces eurodéputés doivent représenter un quart des États membres soit sept pays différents pour pouvoir créer un groupe. Alors bien sûr, si certains députés ne parviennent pas à constituer un groupe, ils peuvent toujours siéger seuls, parmi ce qu'on appelle les « non-inscrits » mais ils pèseront beaucoup moins.Pourquoi le Rassemblement national est-il dans une position délicate ?Les députés du RN font aujourd'hui partie du groupe Identité et Démocratie représenté dans seulement huit pays de l'Union, avec des alliés qui pourraient passer sous la barre des 5 % en juin prochain et donc tout simplement disparaître du Parlement. En cas de mauvais résultats pour les forces d'extrême-droite chez nos voisins, Jordan Bardella pourrait de fait se retrouver avec moins de six alliés et donc sans groupe à Strasbourg. Raison pour laquelle Marine Le Pen était au Portugal fin novembre, pour convaincre Chega !, le parti d'ultra-droite local, très en forme dans les sondages, de rejoindre le groupe du RN en juin prochain. C'est pour cela que le parti à la flamme ne veut pas couper les ponts avec ses alliés allemands de l'AfD, malgré la présence de néo-nazis dans ses rangs. Et c'est pour cela enfin que les élus du Rassemblement national ont plutôt mal vécu début février le ralliement du seul élu Reconquête (Nicolas Bay) à un autre groupe, le groupe ECR.ECR, un autre groupe d'extrême droite ?ECR, c'est l'autre groupe, beaucoup plus puissant, des droites radicales à Strasbourg. ECR comme Conservateurs et réformistes européens. C'est dans ce groupe que siègent les eurodéputés italiens du parti de Giorgia Meloni et que siègeront ceux du Hongrois Victor Orban, à partir de juin. ECR pourrait devenir le troisième groupe du Parlement, à l'issue du scrutin. Pas étonnant donc que le Rassemblement national voit ce ralliement avec une certaine jalousie. Car faire partie du groupe ECR, c'est plus de visibilité, plus de poids pour les députés européens d'Eric Zemmour qui pourraient faire leur entrée dans l'hémicycle. Quand Marine Le Pen et Jordan Bardella, eux, vont devoir batailler pour sauver un groupe avec des alliés parfois très embarrassants. La bataille ne fait que commencer.
Nicolas Bay, vice-président de Reconquête!, était l'invité de l'émission Ecorama du 7 novembre 2023, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : le risque géopolitique et son impact sur l'économie et la croissance française, le ralentissement de l'inflation, la fraude sociale et fiscale, les prévisions de croissance pour 2024 et le marché de l'emploi.
Samedi 30 septembre dernier, Livre Noir organisait “La Grande Confrontation” sur l'immigration. Une série de débats passionnants devant 1600 participants. Dans cette vidéo, un débat inédit entre Nicolas Bay, euroDeputé Reconquête! - Karl Olive, député Renaissance (MACRON) Avec un thème phare : “Banlieues et intégration : chimère ou défi ?” Soutenez-nous sur Tipeee !
Eric Zemmour, le patron du parti Reconquête! est en tournée dans toute la France pour dédicacer son dernier ouvrage Je n'ai pas dit mon dernier mot, livre qui revient sur son échec à la présidentielle. Pendant ce temps, son équipe prépare la suite : les élections européennes de 2024. C'est une question de survie pour Reconquête ! Pour continuer à exister, le parti d'extrême droite doit envoyer des élus à Strasbourg l'an prochain et faire oublier son échec aux législatives - aucun élu Reconquête ! n'est entré au Palais Bourbon en juin dernier. Le Parlement européen, c'est surtout une tribune médiatique pour ses élus. Alors, on met la barre plutôt haut au QG d'Éric Zemmour. L'un de ses lieutenants mise même sur un score supérieur à celui de la présidentielle : Éric Zemmour avait fait 7% au premier tour. Pourquoi pas faire plus aux Européennes ? « C'est typiquement une élection où les nouvelles forces politiques trouvent un espace », nous confie un cadre de Reconquête qui cite l'exemple de Bernard Tapie, l'ancien homme d'affaires dont la liste avait obtenu 12% en 1994. Trente ans plus tard, Éric Zemmour se verrait bien, lui aussi, créer la surprise avec son concept d'« Europe civilisationnelle ».Marion Maréchal pressentie pour mener la listeMais pas sûr qu'Éric Zemmour livre lui-même la bataille. De l'avis même de l'un de ses proches, l'ancien polémiste n'est pas emballé par l'idée d'aller siéger au Parlement européen. Plus les semaines passent, plus le nom de Marion Maréchal, la nièce de Marine Le Pen revient pour mener la liste. Elle est actuellement vice-présidente exécutive de Reconquête ! chargée notamment de la doctrine, des idées. Et c'est donc elle qui pourrait représenter le parti d'extrême droite aux Européennes. Même si Éric Zemmour n'a pas encore officiellement exclu l'idée d'y aller lui-même.Mettre de l'ordre dans la boutique Reconquête !En attendant, il faut mettre le parti en ordre de marche, transformer un mouvement naissant au service d'une campagne en un véritable parti. C'est Nicolas Bay, un député européen justement, venu du Rassemblement national qui a été chargé de mettre de l'ordre dans la boutique Reconquête !, après le double échec à la présidentielle puis aux législatives. Cet autre vice-président exécutif du parti a remplacé plus de la moitié des délégués départementaux du mouvement et travaille actuellement à la création d'un conseil national, sorte de futur Parlement du parti. Mais rien n'est gagné pour Éric Zemmour qui aura une fois de plus le Rassemblement national sur sa route. Le parti de Marine Le Pen, vainqueur des dernières européennes, en 2019. C'est Jordan Bardella, l'actuel président du RN qui devrait rempiler à la tête de la liste. Mais Éric Zemmour lorgne aussi sur les électeurs LR. Et pour les convaincre de voter pour Reconquête !, les cadres du parti s'activent en coulisses pour rallier des eurodéputés Les Républicains. « On discute avec Nadine Morano ou encore François-Xavier Bellamy », nous confie un élu zemmouriste. Deux personnalités également convoitées par le Rassemblement national.
A l'aube d'une mobilisation massive contre la réforme des retraites, quelle est la position de Reconquête, le parti d'Eric Zemmour sur ce dossier ? Comment se positionner dans un débat politique largement dominé par la Nupes et le Rassemblement National. Les réponses du vice-président du parti, Nicolas Bay. Ecorama du 20 février 2023, présenté par Julien Gagliardi sur Boursorama.com
Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 13 décembre 2022
Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 13 décembre 2022
Il espérait se refaire après sa défaite à la présidentielle. Eric Zemmour a encaissé un deuxième échec aux législatives. Pire, son parti Reconquête n'obtient aucun siège à l'Assemblée nationale. Les prochaines années seront difficiles pour le camp de l'ex-polémiste. Sa survie est en jeu. Aucun député, des troupes démotivées et pas de scrutin national avant 2026. Comment tenir, rester visible, ne pas disparaître ? En politique, on appelle ça une traversée du désert : comment remonter la pente pour un come-back victorieux ? La question hante Eric Zemmour. Son aventure présidentielle a fini avec 7% des voix, bien en dessous de ses espérances. Son parachutage dans le Var pour les législatives a été un fiasco, il a été éliminé dès le 1er tour. Et puis cerise sur le gâteau : le grand rival de Reconquête, le Rassemblement national fait une entrée massive à l'Assemblée. Au luxueux QG, c'est la soupe à la grimace. Règlements de comptes Signe des tensions, le journal Le Parisien rapporte une engueulade en bonne et due forme entre Eric Zemmour et l'ex-figure des « gilets jaunes » Jacline Mouraud. Des échanges houleux sur la stratégie de campagne et l'absence de message envoyé aux classes populaires. Au QG, on démine la passe d'arme en parlant de « discussions franches ». « Ils ne s'étaient pas vus depuis la défaite », explique une membre de l'équipe. Autre sujet de brouille : les finances. Reconquête et ses 3 partis alliés doivent se partager l'argent récolté aux législatives : plus d'un million et demi de dotation publique l'an prochain. Les négociations continuent. « Chacun a ses intérêts », confesse une participante. Quel retour pour Eric Zemmour ? Eric Zemmour va débuter en septembre une série de conférences pour faire ce qu'il adore et ce qui a fait son succès à la télévision : commenter l'actualité. Une revue est également en préparation. Son parti organisera sa rentrée dans le Var les 10 et 11 septembre. Et après ? Mystère. Le jeune parti d'Eric Zemmour est à un moment charnière, résumé par une des cadres du mouvement : « Comment on vit 5 ans dans l'opposition ? » Reconquête n'a personne à l'Assemblée, mais il peut s'appuyer sur quatre députés européens, deux sénateurs et une trentaine d'élus locaux. Et il y a aussi les jeunes militants, véritable armée de terrain qui a œuvré pendant la campagne. Les deux années avant les européennes, où Reconquête espère se relancer, s'annoncent longues. Il va falloir survivre dans l'ombre colossale du RN. Des départs possibles ? Les ralliés venus du RN et des LR - Guillaume Peltier, Nicolas Bay, Stéphane Ravier - misaient sur l'effondrement de leurs ex-partis. Pari raté. Mais de là, à claquer la porte encore une fois, c'est peu probable. « Partir ? Mais partir où ? », résume une source à la tête de Reconquête. Les zemmouristes sont isolés et amers mais condamnés à tenir ensemble jusqu'à la prochaine campagne
Nicolas Bay, vice-président de Reconquête et député européen, était, ce lundi 30 mai, l'invité du matin de RFI. Au micro de Frédéric Rivière, il évoque les incidents qui ont eu lieu le soir de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, ainsi que l'ouverture du Conseil européen extraordinaire ce 30 mai à Bruxelles.
Deux heures de débats en direct pour faire un point complet sur l'actualité du week-end.
Tous les samedis et dimanches à 18h17, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir Nicolas Bay, vice-président exécutif de Reconquête ! et candidat-suppléant aux législatives 4ème circonscription de Seine-Maritime.
Projet de loi sur le pouvoir d'achat, prime Macron, retraites, élections législatives, candidature d'Eric Zemmour : Nicolas Bay, vice-président de Reconquête, était l'invité d'Ecorama du 25 mai 2022 présenté par David Jacquot sur boursorama.com
durée : 00:26:21 - 8h30 franceinfo - Le vice-président de Reconquête était l'invité du "8h30 franceinfo" du vendredi 13 mai. Il répondait aux questions de Marc Fauvelle et Salhia Brakhlia.
durée : 00:02:30 - Le brief politique - Un nouvel organigramme a été dévoilé ce week-end, où sont notamment précisées les prérogatives des trois vice-présidents exécutifs : Marion Maréchal, Guillaume Peltier et Nicolas Bay.
Avec Nicolas Bay, Député européen et vice-président exécutif de Reconquête !
durée : 00:07:42 - 18h50 franceinfo - Le parti d'Éric Zemmour ne présentera pas de candidat aux législatives face à Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan, Eric Ciotti.
Lors de la session plénière du Parlement européen à Strasbourg du 4 au 7 avril 2022, la Commission européenne a enclenché la procédure de suspension de fonds européens à l'encontre de la Hongrie. Une annonce qui a suscité de vifs échanges au sein de l'hémicycle strasbourgeois.
Programme d'Emmanuel Macron, mesures économiques d'Eric Zemmour, sondages, campagne de Marine Le Pen : Nicolas Bay, vice-président du parti d'Eric Zemmour, Reconquête !, était l'invité de l'émission Ecorama du 21 mars 2022, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com
durée : 00:56:59 - Questions politiques - par : Thomas Snégaroff - Yannick Jadot, candidat écologiste, Fabien Roussel, candidat PCF, Jean-Luc Mélenchon, candidat de l'Union populaire, Jordan Bardella, président du RN, Philippe Poutou, candidat NPA, Nicolas Bay, Vice-président de Reconquête, sont les invités de Questions politiques spéciale élection présidentielle. - invités : Yannick JADOT, Jean Luc MELENCHON, Fabien Roussel, Nicolas Bay, Jordan Bardella, Philippe Poutou - Yannick Jadot : Homme politique, député européen, Jean-Luc Mélenchon : Homme politique, député La France insoumise, Fabien Roussel : Secrétaire national au parti communiste, candidat à l'élection présidentielle 2022, Nicolas Bay : député européen du Rassemblement National, Jordan Bardella : Homme politique, Philippe Poutou : Homme politique - Candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste à l'élection présidentielle 2017
Au programme : Le point de Matthieu - 15ème jour de guerre en Ukraine Invité : Jean Viard, sociologue et directeur de recherche associé au CEVIPOF-CNRS • Ukraine : une guerre qui rassemble les Français • Guerre en Ukraine : l'Europe à la hauteur ? • Sommet de Versailles, un sommet pour rien ? • Guerre en Ukraine : le retour des empires • Guerre en Ukraine : le sort des réfugiés • Élysée 2022 : une campagne électorale muselée La Story - Olena Zelenska, une première dame dans la guerre Invité : Nicolas Bay, vice-président exécutif du parti « Reconquête ! » et député européen • Pécresse/Zemmour : débat ou pugilat ? L'actu de Marion - Pécresse/Zemmour : débat ou pugilat ? • Éric Zemmour : candidat ou polémiste ? • Immigration : l'obsession des droites • Éric Zemmour : Poutine comme un boulet • Pas d'effet Marion Maréchal pour Éric Zemmour • Élysée 2022 : deux droites irréconciliables • Éric Zemmour : une campagne qui s'essouffle Le 5/5 : • Covid : le début de la 6ème vague ?
Mardi politique reçoit deux invités : - Yannick Jadot (@yjadot), candidat écologiste à l'élection présidentielle (de 18h10 à 18h30 sur RFI et France 24) et Nicolas Bay (@NicolasBay_), député européen et vice-président de «Reconquête!» (de 18h30 à 18h50 sur RFI et France 24). Yannick Jadot et Nicolas Bay sont interviewés par : - Frédéric Rivière (RFI) - Roselyne Febvre (France 24) Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol
Accusé d'espionnage et de sabotage envers Éric Zemmour, Nicolas Bay le porte parole de Marine le Pen a été suspendu de ses fonctions. Le lieutenant Colombo mène l'enquête en se rendant chez Nicolas Bay.
durée : 02:59:31 - Le 6/9 - Le 6/9 du samedi 19 février, avec Jérôme Cadet et Carine Bécard.
On commence avec cette nouvelle défection pour Marine Le Pen avec le départ de son porte parole Nicolas Bay pour rejoindre Éric Zemmour…
On commence avec cette nouvelle défection pour Marine Le Pen avec le départ de son porte parole Nicolas Bay pour rejoindre Éric Zemmour…
On commence avec cette nouvelle défection pour Marine Le Pen avec le départ de son porte parole Nicolas Bay pour rejoindre Éric Zemmour…
PRÉSIDENTIELLE : LE BAL DES RALLIEMENTS – 18/02/22 Invités ROLAND CAYROL Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » C'est un soutien qui suscite bien des remous à gauche. Ségolène Royal a estimé mercredi qu' « aujourd'hui, il est évident que le vote utile à gauche, c'est le vote Mélenchon ». Il est « le plus solide » et « fait la meilleure campagne » a affirmé l'ex-candidate socialiste à la présidentielle de 2007 qui conseille également à Anne Hidalgo de… se retirer. « Il faut qu'elle prenne ses responsabilités, à sa place, j'arrêterais, dans une dynamique de rassemblement », a asséné l'ancienne ministre. Ces déclarations n'ont pas manqué de faire réagir les socialistes et en premier lieu la principale intéressée. « C'est forcément choquant quand quelqu'un de votre famille politique, dans un moment comme celui-ci, n'est pas en soutien. Je le dis : on a besoin de Ségolène Royal, parce qu'elle a une expérience, elle a été souvent ministre dans des portefeuilles importants, donc c'est dommage », a affirmé Anne Hidalgo jeudi. Le même jour, le premier secrétaire du PS Olivier Faure a également réagi vivement : « Je ne sais pas si c'est la bonne boussole, Ségolène Royal. Il y a quelques jours elle disait qu'elle pourrait soutenir Valérie Pécresse, il y a cinq ans elle a soutenu dès le premier tour Emmanuel Macron, il y a trois ans elle voulait conduire une liste aux Européennes avec Yannick Jadot », a-t-il souligné. En revanche, la réaction de Jean-Luc Mélenchon a été plus positive. « Je remercie Ségolène Royal pour ses mots de rassemblement à l'égard de ma candidature », a réagi le candidat de la France Insoumise. « Son mérite est d'autant plus respectable, car je sais que son soutien n'est pas un ralliement. Je lui en suis donc très reconnaissant. » Dans le dernier baromètre quotidien OpinionWay-Kéa Partners pour Les Echos, le député des Bouches-du-Rhône grimpe pour la première fois à 11 % d'intentions de vote. S'il reste encore loin de ses rivaux de droite (Valérie Pécresse) et d'extrême droite (Marine Le Pen et Eric Zemmour) qui sont donnés autour de 15 % et surtout d'Emmanuel Macron estimé vers 25 % au 1er tour, Jean-Luc Mélenchon creuse ainsi l'écart avec les autres candidatures de gauche, qui restent à des niveaux très faibles : l'écologiste Yannick Jadot et le communiste Fabien Roussel sont à 5 % tandis que la socialiste Anne Hidalgo et l'ancienne ministre de la Justice Christiane Taubira restent bloquées à 3 % d'intentions de vote. Une situation qui pousse certains électeurs de gauche à envisager un « vote utile » dès le premier tour, soit pour Emmanuel Macron, soit pour le candidat de la France Insoumise. Une question des soutiens et ralliements qui agitent également cette semaine les rangs de l'extrême droite où la tension monte. L'ancien porte-parole de la campagne de Marine Le Pen, Nicolas Bay, a ainsi annoncé mercredi rejoindre l'équipe de l'ex-polémiste Éric Zemmour pour l'élection présidentielle et a été nommé dans la foulée numéro 2 du parti aux côtés de Guillaume Peltier. C'est le dixième ralliement venu du RN pour Eric Zemmour mais ce dernier prend une dimension judiciaire. Le député européen qui a été suspendu mardi du Rassemblement national, accusé d'espionnage pour avoir transmis « depuis des mois des éléments stratégiques et confidentiels » au concurrent direct, a annoncé qu'il allait porter plainte pour diffamation. La guerre des clans semble loin d'être terminée alors que la course aux parrainages va entrer dans sa dernière ligne droite. Les candidats ont en effet jusqu'au 4 mars prochain pour les obtenir. Or si Emmanuel Macron, Valérie Pécresse, Anne Hidalgo et quelques autres ont d'ores et déjà recueilli les 500 signatures d'élus nécessaires pour se présenter à la présidentielle, ce n'est pas le cas des candidats du Rassemblement national (139 parrainages), de Reconquête ! (149) et de La France insoumise (224). Alors pour éviter que des candidats qui atteignent 10 % d'intentions de vote ne puissent pas se présenter, le parti centriste a décidé de constituer une réserve de 200 à 300 élus capables d'accorder leur parrainage aux représentants situés aux extrêmes de l'échiquier politique. Car il faut « combattre les extrêmes par l'élection, pas par la sélection », a expliqué Patrick Mignola, le patron des députés MoDem. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec : Nicolas Bay, eurodéputé. - Chaque matin, Apolline de Malherbe reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour de la journaliste. Ce face-à-face est devenu le premier rendez-vous politique radio/TV de France.En simultané sur BFMTV. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
durée : 00:02:29 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Le Rassemblement national a renvoyé son porte-parole, Nicolas Bay, car il espionnait le parti pour le compte d'Eric Zemmour qu'il a donc fini par rejoindre…
durée : 00:03:20 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Daniel Morin dévoile les dessous de la grande affaire d'espionnage du moment.
À moins de deux mois du premier tour de la présidentielle, les élus du Rassemblement national continuent de déserter le parti d'extrême droite pour rejoindre le camp d'Éric Zemmour. Dernier en date, l'eurodéputé Nicolas Bay, accusé d'espionnage par le RN. La campagne se joue-t-elle à droite ? Roselyne Febvre et Jean-Marie Colombani, du site Slate.fr, en parlent avec David Revault d'Allonnes, rédacteur en chef politique du JDD, et Eric Le Boucher, éditorialiste et auteur de "Échec à la barbarie".
L'oeil de Philippe Caverivière face à Alexeï Mechkov, ambassadeur Russe en France Ecoutez L'oeil de... avec Philippe Caverivière du 17 février 2022
Psychodrame à l'extrême droite Accusé de trahison par Marine Le Pen, l'euro-député Nicolas Bay rejoint Eric Zemmour. Réalisé par Jean-Pierre Pellon.
Mardi, le Rassemblement national aurait suspendu de ses fonctions Nicolas Bay. L' eurodéputé et membre dirigeant du RN est accusé d'avoir transmis des informations stratégiques à Eric Zemmour. Il pourrait rejoindre ce dernier, mais rien n'est officiel. Entre Marine le Pen et Éric Zemmour, "c'est une guerre sans merci", estime Jean-Michel Apathie. Ce soir, Emmanuel Macron reçoit différents dirigeants pour discuter du départ de la France du Mali. Le 14 février, sur France 5, Jean-Yves Le Drian a déclaré : "Si les conditions ne sont plus réunies, ce qui est manifestement le cas, pour qu'on puisse être en mesure d'agir au Mali, on continuera de combattre le terrorisme à côté avec les pays du Sahel qui sont demandeurs". Pour Abnousse Shalmani, "il faut partir du Mali". La compétitivité française s'est dégradée durant la période du Covid. Il s'agit de la capacité d'un pays à accroître ses parts de marché. La capacité de production tricolore est inférieure de 6% en 2021 par rapport à 2018. "Nous sommes un pays peu productif", réagit Pascal Perri. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Ecoutez RTL Midi avec Amandine Bégot du 16 février 2022
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la suspension de Nicolas Bay, porte-parole de la campagne de Marine Le Pen et eurodéputé RN, à qui l'on reproche d'avoir donné des informations à Éric Zemmour.
durée : 00:04:58 - Le journal de presque 17h17 - L'eurodéputé RN Nicolas Bay suspendu du mouvement; Nathalie Arthaud, quatrième candidate à obtenir ses 500 signatures; fin probable du port du masque en intérieur mi-mars, une victime d'agression sexuelle traitée de grosse par un policier et metamates, c'est l'actu du jour!
Nouveau coup dur pour la campagne de Marine le Pen : Nicolas Bay, eurodéputé du Rassemblement national, a été suspendu mardi pour "sabotage". Il lui est reproché d'avoir transmis des "éléments stratégiques et confidentiels" au candidat rival Éric Zemmour. Roselyne Febvre en parle avec Pierre Jacquemain, de la revue Regards, et Bruno Jeudy de Paris Match.
durée : 00:55:14 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Pierre NEVEUX - Autour de Jean-François Achili, les informés débattent de l'actualité du mardi 15 février.
Au Rassemblement national, les défections se multiplient au profit d'Éric Zemmour. Dernière rumeur en date, celle d'un départ de l'eurodéputé et porte-parole de Marine Le Pen, Nicolas Bay, qui laisse planer le doute. Avant lui, Marion Maréchal a déclaré "réfléchir" à rejoindre l'ancien polémiste. "Éric Zemmour a le mojo, il plait", constate Philippe Caverivière, selon qui "on a tous envie" du candidat de Reconquête. Alors que Éric Zemmour a récemment proposé une bourse de 10.000 euros par nouvelle naissance dans les campagnes, ce dernier serait alors finalement "un mélange de Karine Le Marchand et Jean-Pierre Foucault, Karine Foucault ou Jean-Pierre Lemarchand", au choix.
1ère partie (12h/12h30) : Clément BEAUNE, secrétaire d'Etat aux Affaires européennes 2nde partie Débat (12h30/13h) : Clément BEAUNE face à Nicolas BAY, député européen Rassemblement national Ecoutez Le Grand Jury avec Benjamin Sportouch du 30 janvier 2022
ZEMMOUR DÉBAUCHE... HOLLANDE REVIENT - 24/01/22 Invités - Pascal PERRINEAU - Politologue - Professeur des universités à Sciences Po, auteur de « Le populisme » - Neila LATROUS - Journaliste politique - France Info - Raphaëlle BACQUÉ - Grand reporter – Le Monde - Frédéric MICHEAU - Directeur général adjoint – OpinionWay A moins de 80 jours du premier tour de l'élection présidentielle, Éric Zemmour engrange les soutiens venus de la droite et du Rassemblement national. Après le souverainiste Philippe De Villers, le sarkozyste Patrick Buisson, le cofondateur de Génération identitaire, Damien Rieu, l'ancien vice-président des Républicains Guillaume Peltier ou encore plus récemment l'eurodéputé RN Jérôme Rivière, c'est au tour de Gilbert Collard de rejoindre les rangs du parti Reconquête!. Le député européen RN a effectué sa première apparition au côté du candidat d'extrême droite ce samedi à Cannes, à l'occasion d'un meeting de campagne de l'ancien polémiste. « Je n'ai rien contre le Rassemblement national ni contre Marine Le Pen, aucune récrimination, aucune vindicte (...) Mais je pense qu'un jour viendra où Marine Le Pen fera comme moi, et rejoindra Eric Zemmour » a expliqué l'ancien avocat, membre du Rassemblement national depuis dix ans. Avec le départ de Gilbert Collard, Marine Le Pen perd l'un de ses plus fidèles lieutenants. Néanmoins cette nouvelle défection n'inquiète pas officiellement le Rassemblement national. « Ça fait trois ans que je m'attendais à ce que Gilbert Collard parte du RN. Déjà, aux élections européennes, il avait fait du chantage en disant que si on ne le mettait pas sur la liste, il partait chez Dupont-Aignan. Donc ses convictions sont à géométrie variable », a estimé samedi Louis Alliot, vice-président du RN et maire de Perpignan. Le lendemain Marine Le Pen a, de son côté, fustigé « la manière déplorable » choisie par Gilbert Collard pour se rallier à Eric Zemmour, dénonçant « une dérive du mercenariat ». La candidate du RN l'a également appelé à démissionner de son mandat puisque les électeurs ont « voté pour les idées du RN, pas pour les idées d'Éric Zemmour ». Du côté du parti Reconquête!, au contraire, on se félicite de ce ralliement politique de taille qui « en entraînera d'autres » d'ici avril. Les noms du sénateur Stéphane Ravier, de l'eurodéputé Nicolas Bay ou même de Marion Maréchal, la nièce de Marine Le Pen, circulent désormais pour rejoindre la campagne du candidat d'extrême droite. Dans les rangs des Républicains, les noms des sénateurs LR du Val d'Oise et du Rhône, Sébastien Meurant et Etienne Blanc, reviennent également avec insistance alors que Valérie Pécresse vient officiellement de recevoir le soutien des Centristes et l'UDI. Parallèlement à gauche, 467 000 personnes se sont inscrites à la primaire populaire dont le vote électronique aura lieu du 27 au 30 janvier pour peser sur leur camp toujours très divisé. Mais ce dernier n'engage pas les principaux candidats qui soit n'en veulent, soit refusent de se rallier à quiconque après la divulgation des résultats. Dans ce contexte, une petite phrase prononcée par François Hollande intrigue. Dans un reportage diffusé dimanche sur France 3, l'ancien chef d'Etat a souligné devant des lycéens que « pour l'instant » il « n'est pas candidat mais comme ça ne va pas bien, on pourrait se dire 'est-ce qu'une candidature de plus serait utile ?' Je ne sais pas, je ne pense pas, mais un ancien président peut très bien refaire de la politique. » François Hollande a également indiqué qu'il allait « prendre la parole bientôt », sans doute après les résultats de la primaire populaire. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Polémique autour des propos du Président de la République, pouvoir d'achat, sondage, candidature de Valérie Pécresse : Nicolas Bay, député européen RN et porte-parole de Marine Le Pen, était l'invité de l'émission Ecorama du 6 janvier 2022, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
durée : 00:02:01 - Le vrai du faux - par : Antoine KREMPF - L'eurodéputé Rassemblement national grossit le trait mais Londres exporte effectivement massivement ses produits de la mer.
Nicolas Bay, député européen du Rassemblement national, était ce vendredi 29 octobre, l'invité du matin de RFI. Politique nationale, fronde du Sénat français contre le texte sur la prolongation du passe sanitaire, nouvel épisode dans la guerre des poissons entre la France et le Royaume-Uni... Il répond aux questions de Julien Chavanne.
Nicolas Bay, député européen du Rassemblement national est l'invité de Caroline Roux. Après la visite d'Éric Zemmour en septembre, le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orbán prévoit de s'entretenir avec Marine Le Pen et son entourage mardi 26 octobre 2021. La Hongrie d'Orbán est-elle un modèle pour les leaders de l'extrême droite ? « Oui, il nous inspire en ce qu'il défend l'identité de son peuple et qu'il refuse les diktats de Bruxelles », affirme Nicolas Bay, député européen du Rassemblement national, invité sur le plateau des 4 Vérités lundi 25 octobre 2021. L'élu sera également présent lors du déplacement vers la capitale hongroise. En juillet 2021, Viktor Orbán a annoncé la tenue d'un référendum sur une loi interdisant « de montrer l'homosexualité et le changement de genre » aux mineurs. Ce texte très controversé assimilant l'homosexualité à la pédophilie, a suscité de vives critiques de la part de la Commission européenne, qui a entamé dès le 15 juillet une procédure de sanction contre Budapest. « Cette loi vise à protéger les enfants contre la pédophilie et elle inclue un volet contre la propagande LGBT dans les écoles. Cela me semble tout à fait raisonnable », estime le conseiller régional de Normandie, qui pense que « l'on devrait s'en inspirer ». Éric Zemmour revendique sa lutte politique contre ce qu'il appelle le « lobby gay ». « Ce sont des propos qui lui appartiennent, mais il y a un activisme LGBT bien réel, qui vise par exemple à promouvoir la transidentité dans les écoles, à imposer à GPA… Ce sont des sujets extrêmement graves. Il faut les combattre », a rétorqué Nicolas Bay. Marine Le Pen rencontrera-t-elle Vladimir Poutine lors de ce déplacement ? « Nous devons être des non-alignés, être capable de parler avec tout le monde », a assuré le député européen appelant à cesser les sanctions contre la Russie, appelant la France à « défendre ses intérêts ». E. Zemmour : toujours un allié potentiel ? À six mois du scrutin présidentiel, le journal Ouest-France, le plus grand groupe de presse régionale en France, a fait le choix de ne plus publier le moindre sondage politique durant la durée de la campagne présidentielle. « La profusion des sondages empêche un peu le débat de fond et on sait très bien qu'ils n'ont pas vraiment de valeur prédictive ». S'il ne s'est pas encore officiellement déclaré candidat à l'élection présidentielle, Éric Zemmour a considérablement grimpé dans les sondages. Certains l'annoncent même au second tour devant Marine Le Pen. Sur le plateau de RTL, l'éditorialiste a estimé que la candidate RN a enfermé ses électeurs dans un « ghetto politique ». « C'est le jeu électoral. Nous n'avons pas peur de la concurrence », a conclu Nicolas Bay, se disant favorable à une alliance au second tour.
durée : 00:16:48 - 8h30 franceinfo - Le député européen du Rassemblement national était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 22 juillet 2021.
Les auditeurs retrouvent leurs chroniques habituelles et des rendez-vous estivaux parmi lesquels David Castello-Lopes à 6h15 pour "les origines" une chronique dans laquelle il revient avec humour sur les inventions surprenantes des objets du quotidien. Mais aussi "Le plat du jour" signé Marion Sauveur à 6h52, "Un livre pour l'été" proposé à 7h40 par Stéphane Place, en partenariat avec l'incontournable librairie Mollat, et "Initiatives en France" à 8h49.
Chaque samedi et chaque dimanche, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique. Aujourd'hui, Nicolas Bay, eurodéputé et candidat RN aux régionales, revient sur l'enquête pour provocation à la haine raciale qui le vise après avoir réalisé une vidéo dénonçant la construction d'une mosquée à Guichainville, près d'Evreux dans l'Eure.
Dans les 4 vérités ce jeudi 21 mai 2021, Jeff Wittenberg reçoit Nicolas Bay, député européen et tête de liste du Rassemblement national aux élections régionales en Normandie. 2022, le RN est-il prêt ? Depuis deux jours et le lancement du plan de déconfinement prévu par le gouvernement, la France retrouve petit à petit des libertés et se projette sur le monde d’après. Le Premier ministre Jean Castex a annoncé l’accélération de la vaccination, qui sera ouverte à tous les plus de 18 ans à partir du 31 mai prochain. « C’est une bonne chose, il faut simplement qu’il y ait les doses correspondantes, on a pris un retard absolument considérable, rappelle Nicolas Bay. Je crains qu’on ne le rattrape pas et que la reprise économique en France ait lieu plus tard que dans d’autres pays, notamment les pays avec lesquels on est directement en concurrence économique », comme les Etats-Unis, le Royaume-Uni ou la Chine par exemple. « Après l’échec des tests, l’échec des masques, on a eu l’échec de la vaccination », estime celui qui est tête de liste du Rassemblement nationale aux élections régionales en Normandie. À quelques semaines du scrutin, c’est pourtant l’élection présidentielle de 2022 qui est dans toutes les têtes. Alors qu’un récent sondage lui donne 47 % d’intentions de vote dans un second tour face à Emmanuel Macron, Marine Le Pen peine à se montrer crédible – toujours selon le même sondage – d’un point de vue économique. « Ça montre qu’il va falloir continuer à convaincre, avance Nicolas Bay. Sur les questions économiques, on va montrer qu’on a un projet raisonnable. Peut-être moins caricatural et moins caricaturable (qu’en 2017). Notre projet économique c’est à la fois de libérer et de protéger ». Le 10 mai dernier, Marine Le Pen a apporté publiquement son soutien aux préfets, un corps que l’État souhaite réformer, après avoir soutenu également les militaires qui s’étaient exprimés dans une tribune polémique. « Elle exprime simplement ses convictions, défend son lieutenant. Les militaires ont un rôle fondamental, ils doivent être respectés en tant que tels, ils ne doivent pas être dénigrés comme l’a fait le gouvernement. Ils ont parfaitement le droit de s’exprimer. » Droite/RN un rapprochement souhaité ? Le député européen en profite pour placer son parti comme l’alternative possible à Emmanuel Macron. « Est-ce qu’il est encore crédible ? Est-ce que son gouvernement est encore crédible ? Est-ce que sa majorité parlementaire est encore crédible ? Je ne le crois pas ». Pour tenter de l’emporter l’an prochain, la stratégie du RN passera sans doute par des alliances avec certaines personnalités politiques, comme des membres des Républicains qui voient leur parti de plus en plus fragilisé. « On a déjà accueilli un certain nombre de personnalités qui venaient des Républicains, rappelle Nicolas Bay. Quand j’écoute Eric Ciotti ou Nadine Morano, je vois des personnalités qui ont beaucoup de sincérité, des convictions, ce sont des patriotes. J’ai le sentiment que les différences qui peuvent exister (avec le RN) ne sont pas dirimantes ».
durée : 00:25:19 - 8h30 franceinfo - Le député européen Rassemblement national était l'invité du "8h30 franceinfo", samedi 8 mai 2021.
Nicolas Bay, député européen du Rassemblement national et candidat aux élections régionales en Normandie, est l'invité de Wendy Bouchard ce dimanche. Ensemble, ils s'intéressent aux départements confinés, à la stratégie vaccinale européenne, aux élections régionales et à la candidature de Xavier Bertrand à la prochaine présidentielle.
durée : 00:25:50 - 8h30 franceinfo - Le député européen du Rassemblement national et candidat aux élections régionales en Normandie était l'invité du "8h30 franceinfo", samedi 27 mars 2021.
Nicolas Bay, député européen Rassemblement national, est ce mardi 16 février l'invité du matin de Frédéric Rivière.
durée : 02:58:34 - Le 6/9 - Le 6/9 du samedi 14 novembre, avec Pierre Weill et Patricia Martin.
durée : 02:58:34 - Le 6/9 - Le 6/9 du samedi 14 novembre, avec Pierre Weill et Patricia Martin.
durée : 00:02:03 - Le vrai du faux - L'eurodéputé a jugé que la France faisait partie des "quatre ou cinq pays" en Europe où il y a eu le plus de morts.
durée : 00:25:50 - 8h30 franceinfo - Le député européen du Rassemblement national était l'invité du "8h30 franceinfo", mardi 13 octobre 2020.
Discours sur le séparatisme, alliance avec Robert Ménard ? Nicolas Bay, député européen du RN
durée : 00:17:28 - 8h30 franceinfo - L'eurodéputé du Rassemblement national, Nicolas Bay, était l'invité du "8h30 franceinfo", lundi 13 juillet.
Nathalie Lévy embarque les auditeurs pour écrire ce grand journal du soir en compagnie de Lionel Gougelot. Deux heures d’actualité avec toute la rédaction d’Europe 1 et de nombreux invités. A 18h30, les Grandes voix débattent des sujets d'actualité du jour avant de laisser les commandes à Aurélie Herbemont pour l'interview politique à 19h10. Un quart d'heure de débat autour de la culture clôt ces deux heures d'infos.
Nicolas BAY, Député européen du Rassemblement national
Nicolas Bay, député européen du Rassemblement national (RN), revient sur la polémique des violences ayant secoué la ville de Dijon pendant plusieurs jours mais aussi sur celle concernant la présidente de son parti, Marine Le Pen, dans le cadre de l'anniversaire de l'appel du 18 juin 1940.
durée : 00:52:32 - Questions politiques - Nicolas Bay, député européen RN, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Solenn de Royer (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
durée : 00:52:32 - Questions politiques - Nicolas Bay, député européen RN, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Solenn de Royer (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
durée : 00:22:06 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand - Le Président du groupe LR à l’Assemblée Nationale Damien Abad, les députés européens Nicolas Bay (RN) et Yannick Jadot (EELV) sont les invités du grand entretien de la matinale de France Inter. - invités : Damien Abad, Nicolas Bay, Yannick JADOT - Damien ABAD président des députés LR à l'assemblée nationale, Député de l'Ain et membre de la commission des finances, Nicolas BAY, député européen RN, Yannick JADOT, Eurodéputé écologiste
durée : 00:53:03 - Questions politiques - Nicolas Bay, député européen Rassemblement National, est l’invité de "Questions Politiques" ce dimanche. Une émission présentée par Carine Becard avec Françoise Fressoz (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
durée : 00:53:03 - Questions politiques - Nicolas Bay, député européen Rassemblement National, est l’invité de "Questions Politiques" ce dimanche. Une émission présentée par Carine Becard avec Françoise Fressoz (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
durée : 00:53:55 - Questions politiques - par : Ali Baddou - Nicolas Bay, député européen RN, est l’invité de "Questions Politiques" ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Yaël Goosz (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Jeff Wittenberg (France Télévisions).
durée : 00:09:01 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Invité de Laetitia Gayet à 7h50, l'eurodéputé RN Nicolas Bay a fait part de ses doutes quant à la capacité du sommet du G7 à apporter des solutions concrètes et efficaces. Il considère également "légitime" la réaction du président brésilien qui dénonce l'ingérence étrangère au sujet des incendies en Amazonie.
durée : 00:23:47 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Nicolas Bay, député européen RN, est l'invité du grand entretien de Nicolas Demorand et Léa Salamé à 8h20.
durée : 00:23:03 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Yannick Jadot (EELV), Olivier Faure (PS), Nicolas Bay (RN), Pascal Canfin (LAREM), Geoffroy Didier (LR) sont les invités du 7/9 de France Inter.
En France, l'élection européenne se résume déjà à cette question: qui de la République en marche ou du Rassemblement national sortira en tête au soir du 26 mai? Nicolas Bay est député européen RN et vice-président du groupe Europe des nations et des libertés (ENL) au Parlement de Bruxelles, où il oeuvre notamment à rallier les autres partis nationalistes du continent et dont il espère faire le premier groupe politique à l'issue du prochain scrutin. Matteo Salvini, les gilets jaunes, l'immigration... il a répondu aux questions d'Europe Express. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Vous avez zappé les infos ? 20 Minutes vous a concocté un récap' audio de la mi-journée. « Minute Papillon ! », c’est deux minutes à écouter sur les supports de 20 Minutes (desktop, site et application mobile) et les réseaux sociaux. Vous pouvez aussi l’écouter sur iTunes, Deezer, Pippa, Soundcloud et sur les applications de podcast, iOS et Android, sur l’application Google Podcasts (pour Android) ou encore sur l’enceinte connectée Alexa.Au programme ce soir:-Le Brexit fait perdre à l'exécutif britannique deux de ses poids lourds. Après David Davis, le ministre chargé de la sortie du royaume de l'Union européenne, dimanche, c'était au tour du ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, ce lundi, de jeter l'éponge. "Nous sommes en désaccord avec la manière de sortir de l'Union européenne", a justifié la Première ministre Theresa May. -Rien ne va plus au RN. Quatre membres du parti frontiste, dont Nicolas Bay, son numéro 2, viennent d'être mis en examen dans le cadre de l'affaire des emplois présumés fictifs au Parlement européen. -A Nantes, les violences urbaines engendrées après la mort d'un jeune lors d'un contrôle routier la semaine passée se sont apaisées. La ville se mobilise pour aider les victimes dans leurs démarches d'indemnisation. -Entre le Mondial et le Tour de France, les occasions ne manquent pas pour vider le frigo. Un message à l'attention de ceux qui font appel régulièrement aux livreurs à vélo pour faire le plein : des coursiers des plateformes Uber Eats, Deliveroo, Stuart, Glovo et Foodora sont en grève cette semaine.Julie BossartCrédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits -Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Cuisine - Nctrnm freearchivemusic.org Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Le meurtre d'Angélique suscite une vive polémique. Le suspect avait été condamné en 1996 pour le viol d'une enfant de 12 ans. Il avait été libéré de prison sans suivi. Un scandale pour Nicolas Bay, le porte-parole du Front national qui affirme que les peines maximales ne sont jamais appliquées. Vrai ou faux ?