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Hey, c'est Edouard, bienvenue dans ce nouvel épisode “Ma vision de l'immobilier suisse - interview par Zyed, Foster Invest Club“.Dans ce nouveau podcast un peu spécial, j'ai la chance de rencontrer Zyed Meddeb, fondateur de Foster Invest Club, pour une interview inversée, puisque c'est moi que l'on interview, pour une discussion 100% autour de l'immobilier.Dans cet épisode, nous discuterons rapidement de mon parcours dans l'immobilier, de ma première acquisition mais aussi de la digitalisation dans le domaine de l'immobilier.Plus en général, nous parlerons de ma vision sur les perspectives du marché immobilier mais aussi du rendement, des fonds immobiliers et des alternatives pour booster les investissements immobiliers en Suisse.Je vous donnerai également mes conseils pour investir vos fonds propres dans l'immobilier."After", le podcast dédié à l'immobilier et au monde des affaires en Suisse romande. L'objectif de ce podcast est de vous permettre de continuer à apprendre même après votre journée de travail.Bon épisode ! Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hey, c'est Edouard, bienvenue dans ce nouveau podcast “Marchés financiers vs Immobilier Suisse avec Zyed de Foster Invest Club“.Dans ce nouveau podcast, j'ai la chance de recevoir Zyed, fondateur de Foster Invest Club, pour une discussion qui mêle marchés financiers et immobilier Suisse.Découvrez au cours de cette discussion, les fondements de l'investissement : Comment savoir où investir ? Quelles sont les stratégies efficaces pour maximiser les rendements et minimiser les risques ? Zyed offre des perspectives précieuses et des conseils pratiques pour les investisseurs de tous niveaux.Nous verrons aussi les rouages de la finance et les facteurs qui influent sur les décisions financières.Zyed aborde enfin la question de l'accès à l'information privilégiée : Quelles sont les sources d'information que les investisseurs peuvent exploiter pour prendre des décisions éclairées ? Comment identifier des opportunités que d'autres pourraient manquer ?"After", le podcast dédié à l'immobilier et au monde des affaires en Suisse romande. L'objectif de ce podcast est de vous permettre de continuer à apprendre même après votre journée de travail.Bon épisode ! Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous connaissez peut-être son visage, pas forcément son nom. Cet homme, c'est François Molins, un magistrat qui a longtemps été procureur de la République dans des moments qui nous ont tous marqués. Aujourd'hui, après avoir quitté la magistrature, sa parole est plus libre et c'est notamment pour ça que Charles Villa a eu envie de discuter avec lui. Si vous ne l'avez pas déjà fait, abonnez-vous à ce podcast, mettez un maximum d'étoiles et rendez-vous du lundi au vendredi, à 7h00 !
Triggerwarnung: Im ersten Fall wird häusliche Gewalt, sexualisierte Gewalt und Gewalt gegen Kinder thematisiert, im zweiten Rassismus Frankreich, das Land des Käses und des Baguettes - aber auch das Land, das eine der höchsten Kriminalitätsraten in ganz Europa aufweist. In diesem Länder-Spezial von “Mordlust - Verbrechen und ihre Hintergründe” sprechen wir über Verbrechen à la française. Camille ist 12 Jahre alt als ihr neuer Stiefvater Thierry zu ihnen zieht. 23 Jahre später ist sie mit ihm verheiratet, hat vier Kinder und ist gefangen in einem Alltag aus Kontrolle, Gewalt und Missbrauch. Bis das Fass eines Tages überläuft und sie keinen anderen Ausweg mehr sieht, als sich zu wehren. Der 27. Oktober 2005 ist für den 15-jährigen Bouna ein Tag wie jeder andere. Er genießt seine Ferien und verabredet sich mit ein paar Freunden zum Fußballspielen. Dass dieser Tag ein gesellschaftliches Erdbeben und eine Lawine von politischen Diskussionen in Frankreich auslösen wird, ahnt er zu diesem Zeitpunkt noch nicht … Das Thema der Polizeigewalt in Frankreich könnte nicht aktueller sein. Erst im Juli dieses Jahres ist ein 17-Jähriger durch die Hände eines Polizisten gestorben. Doch das ist längst nicht das einzige Problem, was Frankreich beschäftigt. Warum Frankreich auch mit Rassismus und Rechtsextremismus zu kämpfen hat, erfahrt ihr in dieser Folge. Interviewpartnerin in dieser Folge: Dr. Jana Windwehr, Politikwissenschaftlerin an der FU Berlin **Kapitel** 1. Fall “Camille” 2. AHA: Battered woman syndrome 3. Zwischendiskussion: Haustyrannenmord juristisch Deutschland vs. Frankreich 4. Fall “Bouna und Zyed” 5. AHA: Polizeigewalt in Frankreich 6. Rassismus 7. Gefängnisse 8. Catcalling 9. Extraterritoriale Gerichtsbarkeit 10. Schuldunfähigkeit **Credit** Produzentinnen/Hosts: Paulina Krasa, Laura Wohlers Recherche: Paulina Krasa, Laura Wohlers, Vera Grün Schnitt: Pauline Korb Rechtliche Abnahme: Abel und Kollegen **Shownotes** *Fall “Camille”* Le Parisien: Valérie Bacot, cette femme qui risque la prison pour avoir tué son bourreau: https://bitly.ws/Yjvz Le Monde: Procès de Valérie Bacot: https://bitly.ws/YjvT Le Monde: Au procès de Valérie Bacot, le déni d'une mère et le calvaire des frères et sœurs du « monstre » Daniel Polette: https://bitly.ws/Yjwb *Fall “Bouna und Zyed”* Le Monde: Le dernier jour de Bouna Traoré et Zyed Benna: https://bitly.ws/Yjwo Le Monde: Zyed et Bouna: juste après la mort, juste avant l'émeute: https://bitly.ws/Yjwu Le Monde: Zyed et Bouna : le jugement qui relaxe les deux policiers: https://bitly.ws/YjwF *Diskussion* NZZ: Viele Tote bei Polizeieinsätzen in Frankreich: https://bitly.ws/YjwS Lenore E. A. Walker, EdD: The Battered Woman Syndrome: https://bitly.ws/Yjx5 W. Mitsch: Mord im deutschen und französischen Strafrecht: https://bitly.ws/Yjxj taz: Soziologe über die Unruhen in Frankreich: https://bitly.ws/Yjxs **Partner der Episode** Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/Mordlust
A peine une semaine après le début des révoltes qui ont suivi la mort de Nahel, abattu à bout portant mardi 27 juin par un policier à Nanterre, les procédures judiciaires dirigées contre des personnes soupçonnées d'avoir participé aux violences, en grande majorité des jeunes, s'enchaînent. Beaucoup d'entre eux sont jugés en comparution immédiate et un grand nombre de prévenus avait un casier judiciaire vierge. Parmi les 3 625 gardes à vue comptabilisées par la chancellerie, 1 124 concernaient des mineurs, soit presque 30 %. De très jeunes garçons, qui n'étaient même pas nés lorsque ont éclaté les révoltes de 2005, après la mort de Zyed et Bouna, à Clichy-sous-Bois. Me Morad Falek, du barreau de Nanterre témoigne : «On note aussi une absence frappante d'antécédents judiciaires, ils sont perdus devant le juge. Ils ne bombent pas le torse, ne revendiquent rien, ne savent pas vraiment expliquer leur participation.». Pourtant la juges se sont montrés particulièrement sévères, allant parfois au-delà des réquisitions du parquet et la circulaire Moretti semble y être pour quelque chose. Ce document de 4 pages, diffusée vendredi 30 juin dernier par le ministre de la justice, demandant une réponse judiciaire « rapide, ferme et systématique » résonne très fort dans les prétoires. La justice connue pour son extrême lenteur, retrouve soudainement les moyens de jeter en prison des jeunes condamnés en raison de la crise que traverse notre pays et non plus au regard de leur dossier. Leur situation n'est plus examinée individuellement ce qui fait dire à leurs avocats qu'ils sont victimes d'une justice expéditive, collective et partiale : les magistrats du siège, pourtant indépendants, semblent céder aux pressions des politiques. La disproportion des peines infligées aux jeunes des quartiers populaires, pour la plupart issus de l'immigration postcoloniale, est-elle banlieue est un fait nouveau ? Ou bien doit-on la lier à une longue tradition française ? On en discute avec Julien Théry, historien et Mathieu Slama, essayiste et auteur de Adieu la liberté. ▶ Soutenez Le Média :
C dans l'air du 29 juin : Emeutes : le spectre de 2005 LES EXPERTS : - DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice Le Parisien - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique – France Télévisions - VANESSA SCHNEIDER - Grand reporter – Le Monde - FABIEN JOBARD - Sociologue spécialisé sur les questions de police et de justice – CNRS, auteur de "Politiques du désordre" - FLORIAN BERCAULT (en duplex) - Maire de Laval Des tensions ont éclaté en marge de la marche blanche organisée cet après-midi à Nanterre à l'appel de la mère de Nahel, le jeune garçon de 17 ans, tué par le tir d'un policier, au volant d'une voiture avant-hier dans la ville. Une vidéo de la scène, dans laquelle on voit le brigadier tirer sur l'adolescent, a suscité beaucoup de colère. Lors des deux nuits qui ont suivi, et en particulier la nuit dernière, des émeutes ont éclaté dans plusieurs villes de France. Incendies, tirs de mortier, affrontements avec la police… Sur les réseaux sociaux, une surenchère de scènes filmées aux quatre coins de France. La violence est montée d'un cran en banlieue parisienne et bien au-delà. Des bus, tramways et véhicules ont brûlé, des commissariats et des mairies ont été ciblés, des bâtiments ont été incendiés, des commerces pillés, et la prison de Fresnes attaquée. Une cellule interministérielle de crise a été convoquée ce matin place Beauvau par Emmanuel Macron qui a dénoncé "des scènes de violences" contre "les institutions et la République" "injustifiables". La Première ministre qui a annulé un déplacement en Vendée a également insisté sur le fait que "rien ne justifie les violences qui se sont produites cette nuit". "Ce sont des réactions qui attaquent la République. Mais ce n'est pas la République qui est en garde à vue, ce n'est pas la République qui a tué ce jeune homme. C'est un homme qui doit être jugé si la justice l'estime nécessaire" a également déclaré ce matin le porte-parole du gouvernement. Peu après le procureur de la République de Nanterre a annoncé avoir requis le placement en détention provisoire du policier auteur du tir qui a causé la mort de l'adolescent. "En l'état des investigations, le parquet considère que les conditions légales d'usage de l'arme ne sont pas réunies", a précisé Pascal Prache lors d'une conférence de presse. Le fonctionnaire a été déféré devant deux magistrats à l'issue de sa garde à vue ce jeudi. Gérald Darmanin a de son côté demandé "au préfet de police de suspendre administrativement le policier". Parallèlement les réactions politiques se multiplient. "La Justice avance. L'assassin reste sous son contrôle. La politique doit suivre. La loi "permis de tuer" de l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve doit être abrogée" a écrit Jean-Luc Mélenchon. La France Insoumise a indiqué avoir déposé dans ce sens une proposition de loi à l'Assemblée nationale afin de faire abroger la loi de 2017 encadrant l'utilisation des armes à feu par les policiers. Selon Mathilde Panot, "Depuis 2017, les tirs mortels sur des véhicules en mouvement ont été multipliés par 5. Ces meurtres doivent cesser", écrit-elle. Chez EELV, après la secrétaire nationale Marine Tondelier, Yannick Jadot a dénoncé lui aussi une "américanisation" de la police "au sens où les policiers peuvent se faire justice eux-mêmes". Evoquant une IGPN aujourd'hui "pas indépendante", Il a dit souhaiter "qu'elle ne relève plus du ministère de l'Intérieur". De l'autre côté de l'échiquier politique, la nuit dernière émaillée de nombreux incidents contre des infrastructures publiques, inquiète la droite et l'extrême droite au point de réclamer l'état d'urgence. "Mairies et commissariats attaqués, destruction du mobilier urbain, vol de matériel aux forces de l'ordre, tramway incendié… C'est le bilan d'une nuit d'émeutes et de saccages qui coûteront des millions d'euros", a déploré dans un communiqué le président du parti Les Républicains, Eric Ciotti."Je demande le déclenchement sans délai de l'état d'urgence partout où des incendies ont éclaté", a-t-il ajouté. Eric Zemmour, à l'unisson, a également réclamé "la mise en place de l'état d'urgence dès ce soir", dans un tweet publié ce jeudi matin. L'état d'urgence est un régime d'exception controversé qui doit être déclaré par décret pris en Conseil des ministres. Il résulte d'une loi votée en 1955, au commencement de la guerre d'Algérie. Il possède une durée initiale de douze jours, mais peut être prolongé par une loi votée au Parlement. L'objectif étant de renforcer les pouvoirs des autorités civiles tout en restreignant certaines libertés publiques ou individuelles. Du fait de la nature exceptionnelle de l'état d'urgence, il n'a été déclaré que peu de fois depuis 1955 : trois fois pendant la guerre d'Algérie, une fois en 1984 lors des événements en Nouvelle-Calédonie, lors des révoltes de 2005 après la mort de Zyed et Bouna, et en 2015, après les attentats terroristes à Paris et Saint-Denis. La dernière fois que l'état d'urgence a été déclaré, il était sanitaire, lors de la pandémie de Covid-19. Pour le moment le gouvernement a décidé de ne pas déclencher l'état d'urgence mais il mobilise 40.000 membres des forces de l'ordre cette nuit. Elisabeth Borne a également appelé à "éviter toute escalade" dans les violences. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Bonjour et bienvenue dans cet épisode hors-série de Started From The Banlieue J'ai abordé plusieurs thématiques autour du podcast et de ses possibles évolutions de format (je reviendrai dessus en story également), les nouveaux projets de Beaux Parleurs sans oublier des remerciements pour votre fidélité, évidemment ! (Une petite erreur s'est glissé dans le podcast, pour Zyed et Bouna ça fait 17 ans et non pas 15 ans !) Instagram Beaux Parleurs : https://www.instagram.com/beauxparleurs/ Linktree Beaux Parleurs : https://linktr.ee/beauxparleurs Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un projet inattendu qui a vu le jour à Clichy-sous-Bois, la ville la plus pauvre de France, située en Seine-Saint-Denis. Les Ateliers Médicis, un centre culturel international, a ouvert ses portes dans cette ville qui a vu naître les émeutes de 2005, après la mort de deux jeunes adolescents, Zyed et Bouna, électrocutés alors qu'ils tentaient d'échapper à un contrôle policier. Après les émeutes, qui ont mis en lumière le malaise social dans les banlieues, les élus changent de cap. Ils veulent ramener la culture dans les quartiers populaires. C'est chose faite, en 2018, avec un premier bâtiment qui accueille résidences d'artistes, concerts, ateliers ... En 2025, un nouveau bâtiment de 5 000 m² et six étages, avec des salles de concerts, ateliers menuiseries et coutures, doit voir le jour.
Loyalty360's Mark Johnson interviews Zyed Jamoussi and Ken Kaufmann, Unite Nots, to discuss the trends in customer loyalty and customer experience, and the changing industry landscape.
Militante féministe, écologiste, antiraciste et contre les LGBTphobies, Nadhéra Beletreche incarne le renouveau en politique. Elle est candidate Nupes aux élections législatives, dans le 9e circo de l'Essonne. Lors de la convention des investitures Nupes, Nadhéra a eu un mot pour Zyed et Bouna, morts électrocutés à Clichy-sous-Bois en octobre 2005. D'eux et de son programme, il sera question lors de sa venue Au Poste.
Cette semaine, 500 reçoit la journaliste Nesrine Slaoui. Née au Maroc, Nesrine arrive à Apt dans le Vaucluse à l'âge de trois ans. Fille d'ouvriers, elle grandit dans la cité de Saint Joseph auprès de sa mère et de son père, arrivé quant à lui quelques années plus tard du Maroc. Fille unique, elle se passionne dès son plus jeune âge pour la culture HIP HOP ainsi que la lecture. Élève studieuse, c'est avec brio que Nesrine traverse sa scolarité. Baccalauréat en poche, elle décide de suivre une préparation aux grandes écoles. Étape qui l'emmènera par la suite à sciences po où elle sera diplômée quelques années plus tard. Aujourd'hui journaliste, Nesrine dénonce le racisme et la discrimination présente dans sa corporation. Au détour d'une longue discussion, Nesrine nous livre sans concession son histoire, sa relation tout aussi importante avec les membres de sa famille, son amour pour la littérature sans oublier son amour pour le Maroc, son pays d'origine.
Quit sending all your customers all the same promotions, and while you're at it, make it fun! In this live recording of the Omni Talk Spotlight Series, Anne Mezzenga and Chris Walton sit down with UntieNots co-founders, Zyed Jamoussi and Cédric Chéreau to talk about how they're utilizing AI and gamification to make loyalty programs better for retailers, and more importantly, for their customers. The UntieNots team has deployed their loyalty and promotion platform with retailers throughout Europe, tackling the challenges that can come with personalization and privacy and in this podcast, they share with the audience how they're applying that knowledge in their move into the North American market. Cédric and Zyed explain why the key to a successful loyalty program is not grouped promotions, but instead in tapping AI within their platform to create highly personalized offers that have netted their customers over $35M in discounts in just a few short years. For more on UntieNots, head to https://untienots.com/en/home **Sponsored Content** Music by HookSounds.com
Avoir « le cul entre deux chaises » : c’est le sentiment partagé par beaucoup de personnes ayant grandi et vécu entre différentes cultures. Nadia Slimani revient dans le podcast Na3na3 sur les difficultés de construction d’une identité identité lorsque celle-ci est plurielle, marquée par les histoires personnelles, à l’intersection entre différentes cultures. Comment trouver un équilibre lorsqu’on évolue entre plusieurs mondes ? Pour explorer cette question, Nadia Slimani reçoit Nesrine Slaoui. Journaliste et autrice, elle revient dans son ouvrage « Illégitimes » sur le syndrome de l’imposteur et la nécessité de renouer avec son histoire personnelle et familiale pour mieux se connaître. Cet épisode est ponctué d’autres témoignages: pour Nawal Benali, journaliste franco-tunisienne, il est essentiel d’être à l’écoute des histoires pour accepter et comprendre la pluralité des identités qui composent la France car oui, il y a autant de français·e·s que de manières de l’être. La psychologue et docteure en psychologie sociale Racky Ka-Sy propose une approche plus systémique concernant les personnes ayant plusieurs cultures, notamment en évoquant les troubles que cela peut causer chez certaines personnes. Enfin, Raïssa Leï, fondatrice de la troupe de danse Kif-Kif Bledi, prône la valorisation de son histoire à travers la culture et l’éducation. Nadia est partie à la rencontre de ces quatre femmes pour échanger ensemble sur la quête d’identité et l’importance de connaître son histoire, pour faire évoluer les mentalités. Les invitées : · Nesrine Slaoui : @nesrineslaoui Livre : Illégitimes (2021) - https://www.fayard.fr/litterature-francaise/illegitimes-9782213717791 · Nawel Benali : @nanupharr · Racky Ka-Sy : https://rackykapsy.com/ · Troupe Kif-Kif Bledi : https://www.kifkifbledi.com/ Références citées dans l’épisode : · Zyed et Bouna : https://www.mediapart.fr/journal/france/dossier/dossier-clichy-sous-bois-morts-sans-justice · Bondy Blog : https://www.bondyblog.fr/ · Nacira Guénif-Souilamas : https://www.franceculture.fr/personne/nacira-guenif-souilamas · Fabien Truong : https://www.cairn.info/revue-idees-economiques-et-sociales-2016-1-page-73.htm · Seulement 4 % des personnes diplômées d’un Bac+5 sont enfants d’ouvriers non qualifiés - Interview de Nesrine Slaoui pour Brut : https://www.youtube.com/watch?v=Ah_t88ifep4 · Faïza Guène : https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/roman/la-discretion-le-nouveau-roman-de-faiza-guene-merite-tous-les-prix_4054963.html · La transmission transgénérationnelle des traumatismes et de la souffrance non dite par Florence Calicis : https://www.cairn.info/revue-therapie-familiale-2006-3-page-229.htm · Alice Coffin, Le génie lesbien : https://www.grasset.fr/livres/le-genie-lesbien-9782246821779
durée : 00:04:50 - Le Journal des idées - par : Jacques Munier - Il y a 15 ans, jour pour jour, Zyed et Bouna, deux adolescents qui cherchaient à échapper à la police à Clichy-sous-Bois, trouvaient la mort dans un transformateur électrique, déclenchant des émeutes pendant près de trois semaines. C’est l’occasion d’évoquer la politique de la ville.
Koba La D feat YNW Melly - Bouna & Zyed 15 ans après ...
Toujours décisives pour ceux qu’elles défendent, certaines plaidoiries ont aussi un impact déterminant sur l’évolution de la société. Elles restent pourtant ignorées du grand public, puisque par nature éphémères et cantonnées au prétoire. Retour cette semaine sur cinq plaidoiries marquantes de l’histoire judiciaire française avec l’acteur Richard Berry, qui a choisi de faire entendre ces textes sur scène pour leur redonner une place dans la mémoire collective. Aujourd’hui : maître Jean-Pierre Mignard dans l'affaire Zyed et Bouna. Pour aller plus loin : Plaidoiries avec Richard Berry, à partir du 24 septembre 2020 au Théâtre Libre, 75010 Paris. D’après Les grandes plaidoiries des ténors du barreau de Matthieu Aron, Mareuil éditions.
La mort de George Floyd aux États-Unis et la colère qui en a suivi ont donné naissance à une vague de manifestations à travers le pays. Le mouvement Black Lives Matter et de nombreux et nombreuses militant.e.s pointent du doigt la responsabilité de la police et le racisme qui la traverse. De l’autre côté de l’atlantique, même constat mais les récentes déclarations de Camélia Jordana et la réouverture de l’affaire Adama Traoré sont critiquées et perçues comme une menace à “l’unité de la nation.”Puisque l’institution policière n’est pas imperméable aux problématiques de genre, de racisme ou de classe, Clémentine et Kaoutar reviennent aujourd’hui sur les violences policières et leur poid dans l’histoire et la pop culture.Références entendues dans l’épisode : “Sécurité, territoire, population” est un cours donné par Michel Foucault au Collège de France pendant le premier semestre de l'année 1978.La Charge Sexuelle, Clémentine Gallot et Caroline Michel (Éditions First, 2020) L’intervention de la chanteuse Camélia Jordana sur le plateau d’On est pas couchés, 24 mai 2020. George Floyd est un homme noir américain tué pendant son arrestation à Minneapolis le 25 mai 2020. L’officier de police est à ce jour poursuivi pour homicide volontaire. L’affaire Adama Traoré fait référence à la mort d’un jeune homme après son arrestation le 19 juillet 2016 à la gendarmerie de Persan dans le Val-d'Oise. Après avoir porté plainte pour homicide involontaire et non assistance à personne en danger, sa sœur, Assa Traoré a créé à la suite de sa mort le comité Vérité et justice pour Adama, contre les violences policières.La proposition de loi visant à rendre non identifiables les forces de l’ordre lors de la diffusion d’images dans l’espace médiatique proposée par Éric Ciotti le 26 mai 2020. Le Ministre de l’intérieur Christophe Castaner refusant d’employer le mot de violences policière, 8 juin 2020. Un article sur Monde sur les annonces récentes du Ministère de l’Intérieur concernant les violences policières. Le rapport annuel de 2020 du Défenseur des droits sur les plaintes déposées pour violences policières. Les révélations de Street Press sur des groupes facebook de milliers de policiers échangeant des propos racistes et sexistes le 4 juin 2020 et le 10 juin 2020. Le témoignage de Gabriel, 14 ans, passé à tabac par la police à Bondy Jean-Marc Berlière, “Histoire de la police. Quelques réflexions sur l’historiographie française”, Histoire de la Police, Revue Hypermedia, 1er janvier 2008. Maurice Papon était le Préfet de police de Paris en mars 1958 qui a donné l’ordre de la répression sanglante de la manifestation du 17 octobre 1961 organisée par le FLN, puis de celle du 8 février 1962, connue depuis sous le nom de l’affaire du métro Charonne. Il a été condamné en 1998 à 10 ans de réclusion criminelle pour complicité de crime contre l’humanité. Un article de Slate sur la propension des policiers qui votent pour le Front National, 8 mars 2017. Naissance de la prison, Surveiller et punir est un livre de Michel Foucault (éditions Gallimard) paru en février 1975 dans lequel il évoque les notions de société panoptique et de biopouvoir. Le panopticon de Bentham est un type d'architecture carcérale imaginée par le philosophe utilitariste Jeremy Bentham et son frère, Samuel Bentham, à la fin du XVIIIème siècle. Elle permet au gardien de surveiller en permanence tous les prisonniers sans qu’ils ne le sachent. Michel Foucault s’en inspire dans Surveiller et punir pour expliquer le contrôle social au sein de la société. Achille Mbembe est un philosophe et théoricien du post-colonialisme. À la suite de la biopolitique de Foucault, il crée le néologisme “nécropolitique” qui fait référence au pouvoir d’un État qui décide de qui doit ou ne doit pas mourir. Mathieu Rigouste est un sociologue indépendant et spécialiste des politiques de sécurité. Il a écrit en 2020 Un Seul Héros le Peuple, La contre-insurrection mise en échec par les soulèvements algériens de décembre 1960 (Éditions Premiers Matins de Novembre). Les émeutes de mai 1967 en Guadeloupe surviennent après une agression raciste par des gendarmes sur l’île. Elles entraînent trois journées de répression à Pointe-à-Pitre le 26, 27 et 28 mai qui provoquent officiellement la mort de 8 personnes bien que ce nombre ait été parfois revu à la hausse.L’affaire Malik Oussekine est une affaire de violence policière française dans le contexte des révoltes étudiantes contre le projet de réforme Devacquet où Malik Oussékine étudiant de 22 ans perd la vie dans la nuit du 5 décembre au 6 décembre 1986 à Paris. Un article de LCI sur l’hommage rendu à Malik Oussékine par une plaque commémorative en 2006 qui avait fait débat, 6 décembre 2016.Les émeutes de 1992 à Los Angeles surviennent après qu'un jury ait acquitté quatre officiers de police blancs accusés d'avoir passé à tabac un automobiliste noir américain, Rodney King. Elles dureront 6 jours et feront plus de 50 morts et 2300 blessés. L’affaire Zyed et Bouna Traoré désigne la mort de deux jeunes hommes tentant d’échapper à la police le 27 octobre 2005 et ayant entraîné des affrontements violents entre les habitants de Clichy-sous-Bois et la police puis des émeutes dans l’ensemble de la Seine Saint-Denis la même année. L’affaire Théo désigne l'arrestation et le viol présumé par la police de Théodore Luhaka, 22 ans, connu le jeudi 2 février 2017 dans le quartier de la Rose-des-Vents à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.L’affaire est décryptée dans un reportage d’Envoyé Spécial en en 2017. En 2018, 150 lycéens sont mis à genoux par la police à Mantes-la-Jolie pour "participation à un attroupement armé" pendant une manifestation de Gilets Jaunes. Assa Traoré a publié avec Elsa Vigoureux, Lettre à Adama (Seuil, 2017) et avec Geoffroy de Lagasnerie, Le Combat Adama (Stock, 2019).Walter Benjamin, Pour une critique de la violence, traduction d’Antonin Wiser, Paris (édition Allia, 2019). L’expression “monopole de la violence physique légitime” est une définition sociologique du pouvoir de l'État développée par Max Weber dans ses cours “Le Savant et le Politique” au début du XXème siècle. Fabien Jobard, Bavures policières ?, (éditions La Découverte, 2002)Les Whiteness Studies désignent les travaux interdisciplinaires analysant les structures qui produisent “le privilège blanc” et ses différentes représentations dans les discours et les oeuvres. Le Numéro 77 de la revue Vacarme sur les violences policières, automne 2016. Tous les articles sont disponibles gratuitement en ligne. Le collectif La Chapelle Debout ! est un collectif militant anti-raciste qui dénonce les violences policières. Un article de Cheek Magazine sur l’intervention de Rockhaya Diallo sur RTL qui peine à exposer son point de vue sur le racisme en France, 4 juin 2020. Un extrait de C l’Hebdo où l’historien Pascal Blanchard s’exprime sans interruption sur le racisme. Nassira El Moaddem est journaliste et l’ancienne directrice du Bondy Blog. La députée démocrate Maxine Waters s’insurge contre le term de “riot” (soulèvement) dans un entretien pour le New York Magazine le 3 juin 2020. Un article du Bondy Blog sur le rassemblement tenu le 2 juin dernier devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, à l’appel d’Assa Traoré. L’application Urgences violences policières a été lancée en mars par Amal Bentounsi fondatrice du collectif Urgence Notre Police Assassine. Le podcast “Gardien de la paix” d’Arte Radio, Reni Edo Lodge, Le Racisme est un problème de blancs (Éditions Autrement, 2018).Les Misérables est un film de Ladj Ly réalisé en 2019. Dans leurs regards (When they see us) est une mini série produite par Netflix et créée par Ava DuVernay en 2019 sur l’affaire des cinq de Central Park. Un article du New York Times qui traite de la façon de parler de la police aux enfants. L’expression “The Talk” (“LA discussion” )renvoie à la conversation que les parents noirs doivent avoir avec leurs enfants pour leur expliquer comment ne pas être arrêté à tort ou violenté par la police. Une vidéo du New York Times sur “The Talk” en 2015. Black-ish est une série produite par ABC et créée par Kenya Barris en 2014. L’épisode consacré à “the Talk” (LA discussion) s’intitule “Hope” (Espoir). L’appel du Washington Post pour arrêter la diffusion de séries ou de films policiers. L’article du magazine Vox sur la valorisation de la police dans l’histoire des séries. L’article du Washington Post sur l’expérience des policiers minorisés. L’article de Wonderwall sur la représentation des policières dans les séries. Un édito de John Fram pour le New York Times sur la façon dont les scénaristes blancs justifient la violence policière dans leurs séries. The Hate U Give est un film réalisé par George Tillman Jr. en 2019. Atlanta est une série produite par FX et créée par Donald Glover en 2016. Insecure est une série produite par HBO et créée par Issa Rae and Larry Wilmore en 2016. The Chi est une série produite par Showtime et créée par Lena Waithe en 2018. Queen & Slim est un film réalisé par Melina Matsoukas en 2019. Un article de The Guardian sur la représentation des policiers dans The Hate U Give. Un article du New York Times sur la traumatisation du spectateur par la dramatisation des scènes. À nos corps défendants est un documentaire réalisé par Ian B en 2020, disponible sur Youtube. Un article de Politis sur le documentaire de Ian B. Do the right thing est un film de Spike Lee réalisé en 1989. Detroit est un film de Kathryn Bigelow réalisé en 2017. Un article de France Info sur les réactions des militants de #Blacklivesmatter à la publicité de Kendall Jenner pour Pepsi dans laquelle elle offre une cannette à un policier pour le “calmer”. “Fuck da police” de NWA, issue de l’album Straight Outta Compton, 1988. “Alright” de Kendrick Lamar, issue de l’album To Pimp a Butterfly, 2015, hymne du mouvement #BlackLivesMatter. “Hell you talmabout” de Janelle Monae en 2015 proteste contre les violences policières et rend hommage à Walter Scott, assassiné par la police en 2015. “Sandra’s smile” de Blood Orange en 2015 rend hommage à Sandra Bland “Sacrifice de Poulet” du Ministère A.M.E.R paru sur la bande originale du film La Haine en 1995. “Fuck le 17” de 13Block issu de l’album BLO en 2019. La race tue deux fois. Une histoire des crimes racistes en France (1970 - 2000), de Rachida Brahim à paraître aux éditions Syllepse en décembre 2020. Le recueil Ceci est mon corps (Causette/Rageot, 2020). Le podcast “What’s the F* #5 : En finir avec les privilèges” de Fania Noël sur le blog Vudelabas. Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes, cet épisode est conçu par Clémentine Gallot avec Kaoutar Harchi, mixé par Laurie Galligani. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Montage et coordination Ashley Tola.
3 juin 2020. Addictions.- Zyed, Bouna, Théo, et Adama... (microson gazée par Tyb)- Il y a 20 ans je buvais (rencontre par Joe)- Nina dans la nuit, d'après "Nino dans la nuit" de Capucine et Simon Johannin (lecture & créa par Namé & Luigi)- Réduire ses risques (rencontre par Sissi)- le Juke box, les addictions de Mayday (par Boscop, Sissi, Jiji, Zéon, Tyb, le Frigo)- Mes désirs font écran (rencontre par Luigi)- Luc fume (rencontre par le Frigo)- Le présent (récit bouclé par Namé)Musiques- Juliette - Le diable dans la bouteille- Nitta Joe - Cocaïne- Jonathan Fitoussi - Orion
"Si je porte un survêtement ? On va me traiter de racaille. Un voile ? De soumise ? Des talons ? Beurette. Dans tous les cas, je vais m'en prendre plein la figure, donc autant être moi-même", résume Nesrine dans l'épisode 33 d'Extimité. Elle y évoque notamment : Son enfance, du Maroc à la France, bercée par l'ennui, dans un quartier populaire isolé d'une ville de campagne (01:00). Sa scolarité de première de la classe, au milieu du racisme et de la montée du FN (09:00). Son arrivée à Sciences-Po, où elle devait sans cesse prouver son intelligence (14:00). Le harcèlement scolaire qu'elle a subi, parce qu'elle n'est pas "restée à sa place" de banlieusarde (22:00) : "J'ai mis du temps à comprendre que ce n'était pas moi, Nesrine, le problème, mais ce que je leur renvoyais, ce qu'ils projetaient sur moi." La culture de boys' club dans les grandes écoles où il fallait être complices du racisme et du sexisme ambiants pour s'intégrer (28:00). #LaPrécaritéTue ou l'injonction à rester et surtout paraître pauvre afin d'être perçu.e comme suffisamment légitime pour en parler (33:00). Son sentiment d'être transfuge de classe (37:00) : "Être transfuge de classe, c'est ne plus jamais être à sa place nulle part. Je ne serai plus jamais populaire, et ne deviendrai jamais complètement bourgeoise." En quoi la méritocratie n'est qu'un mythe (45:00) : "Le système scolaire est fait pour valider des savoirs, mais surtout des savoir-être sociaux des bourgeois. Pour y parvenir, j'ai dû changer. Mais pas les bourgeois.es." Le déclic Zyed et Bouna en 2005 et les révoltes des banlieues qui lui ont donné envie de devenir journaliste (47:00). Le stéréotype de la beurette (54:00). Ce podcast est une création originale de Douce Dibondo et Anthony Vincent.Pistes sonores diffusées :Extrait du documentaire "Chercheurs de notre temps Pierre Bourdieu" (France 5, 1991)Extrait de "J'oublie tout" de JulExtrait de l'émission "Apostrophes" où Annie Ernaux était invitée à parler de son ouvrage "La Place" (Antenne 2, le 6 avril 1984) Extrait de "À qui la faute" de Kery James et OrelsanNesrine vous recommande :La série "The Wire" pour comprendre comment le journalisme et la sociologie peuvent créer une série entrée dans les annales sur la vie des quartiers populaires américains.Le livre d'Annie Ernaux "La Place" sur son enfance dans un milieu ouvrier et la vie de son père. Le livre du journaliste Nadir Dendoune "Nos rêves de pauvres" qui explique comment on reste, malgré l'ascension sociale, des enfants populaires issus de l'immigration. La pièce de théâtre "A vif" de Kery James qui posent la question de la responsabilité de la situation dans les banlieues françaises.Le livre d'Edouard Louis "Qui a tué mon père ?" qui explique que la politique pour les dominants ce sont des divergences de point de vue alors que pour les dominés elle a des conséquences quotidiennes.Le générique est un extrait du morceau To Na Bi de l'artiste Persian Empire. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Cette semaine, je vous propose de découvrir cette discussion avec Yacine Belhousse.Yacine est l'un des humoristes les plus doués de sa génération. Il joue d'ailleurs son spectacle en ce moment à La Nouvelle Seine, je vous mets les liens dans les notes du podcast - allez le voir, vous ne serez pas déçus.Avec Yacine, on parle de ses souvenirs d'enfance, de petits ponts massacreurs au collège, et de ces tournants qui l'ont amené à monter sur scène, puis à faire du standup.On parle aussi de ce moment avec Eddie Izzard, son idole, qui l'a poussé à jouer 60 minutes en anglais chaque soir au festival d'Edimbourg, alors qu'il parlait à peine la langue de Shakespeare. Merci à Yacine pour sa gentillesse et sa disponibilité, vraiment, ce mec est d'une gentillesse absolue, vous devez le découvrir si ce n'est pas encore fait.Les liens dont on parle dans l'émission :Yacine en spectacle à La Nouvelle Seine https://www.lanouvelleseine.com/event/yacine-belhousse-joue-son-spectacle/all/Cette émission est de mieux en mieux https://soundcloud.com/user-185688498 La borne d'arcade de Yacine https://www.youtube.com/watch?v=w7pPaFss4J8Yacine Belhousse et Eddie Izzard https://www.youtube.com/watch?v=NX5TPUMeIGQPremières Fois https://www.facebook.com/premieresfoisofficiel/Les émeutes à Clichy-sous-Bois suite à la mort de Zyed et Bouna https://fr.wikipedia.org/wiki/Incidents_de_Clichy-sous-BoisYacine sur Instagram https://www.instagram.com/yacinebelhousse/
"Quand je me suis rendu compte de mon identité de genre et de ma sexualité, j'ai commencé à me renfermer. J'ai créé un autre moi qui n'était ni celui de l'intérieur ni celui du dehors." (1:45) Son enfance au Pakistan jusqu'à 5-8 ans, puis en France (5:30) Ses premières questions sur le racisme, auprès de son père réfugié politique pakistanais (7:00) Le déclic qu'a été la mort de Zyed et Bouna, ainsi que les révoltes des banlieues de 2005 : "S'était créée une forme de solidarité entre personnes qui subissent le racisme. On se rendait compte qu'on vivait les mêmes choses, et qu'on devait créer des stratégies de survie." (10:30) Son métissage : "Ça n'avait pas de sens pour moi de rejeter une culture ou l'autre. J'étais pakistanais-marocain, puis français. […] Le métissage, ce n'est pas que noir et blanc. Ça peut aussi être quelqu'un comme moi qui ai des origines nord-africaines et asiatiques." (16:30) Le privilège d'être "light skin" = clair de peau (19:00) Ses vacances au Maroc, et surtout au Pakistan d'où il a pu se faire une vision du Conflit du Cachemire (26:00) Le manque de représentation pour les personnes sud-asiatiques, "brown people" ou "desi" (32:45) Son identité de genre et sa sexualité queer (38:30) Son rapport aux préjugés sur les masculinités desi : "En France, on me surnomme pak-pak, vendeur de rose ou de maïs, ou me perçoit comme arabo-musulman. Alors qu'en Angleterre, les personnes desi sont justement perçus comme Asiatiques." (45:30) Comment la danse l'aide à se réconcilier avec son corps (51:40) Ce qu'il ressent quand il danse : "Quand je danse, apparemment je fixe beaucoup les gens comme dans une forme de séduction ou comme si je renvoyais le regard qu'on m'assigne depuis la naissance. Je deviens maître du regard, du corps, de l'espace." (1:03:00) Sa transidentité : "C'est un principe du patriarcat : que personne ne se sente bien par rapport à son genre." Ce podcast est une création originale de Douce Dibondo et Anthony Vincent. Pistes sonores diffusées : Fela Kuti - Lady Kelela feat Kaytranada - Waitin Bolewa Sabourin, la résilience par la danse, le Monde Afrique, septembre 2018 Sevdaliza - Shahmaran Rumi vous recommande : - Le blog photo Just me and allah : A queer Muslim Photo Project de Samra Habib(https://queermuslimproject.tumblr.com/) - Le livre Halal if you hear me de Safia Elhillo et Fatimah Asghar(https://www.haymarketbooks.org/books/1273-the-breakbeat-poets-vol-3) - Le poème "Trans/Generation" de Alok Vaid-Menon (https://youtu.be/iLPwZZjMqyI) - Le zine Lotus a south asian lgbt charity (https://lotuszine.bigcartel.com/) - Le film "Angry Indian Goddesses" de Pan Nalin (https://youtu.be/a-jyKun4yFA) Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:32:07 - Mouv' 13 Actu - Il y a 13 ans, des émeutes éclataient à Clichy-sous-Bois, suite à la mort de 2 adolescents, leurs noms : Zyed Benna et Bouna Traoré . Marion a rencontré Ibrahim Koudié, réalisateur du court métrage « Ya R » (« y’a rien »), ce court est inspiré de l'histoire de ces 2 jeunes de quartier.
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Funding for the Bojinka Plot came from Osama bin Laden and Hambali, and from front organizations operated by Mohammed Jamal Khalifa, bin Laden's brother-in-law. Wali Khan Amin Shah, an Afghan, was the financier of the plot. He funded the plot by laundering money through his girlfriend and other Manila women, several of whom were bar hostesses and one of whom was an employee at a KFC restaurant. They were bribed with gifts and holiday trips so that they would open bank accounts to stash funds. The transfers were small, equivalent to about 12,000 to 24,000 Philippine pesos ($500 to $1,000 US), and would be handed over each night at a Wendy's or a karaoke bar. The funds went to "Adam Sali", an alias used by Ramzi Yousef. The money came through a Filipino bank account owned by Jordanian Omar Abu Omar, who worked at International Relations and Information Centre, an Islamic organization run by Mohammed Jamal Khalifa. A company called Konsojaya also provided financial assistance to the Manila cell by laundering money to it. Konsojaya was a front company that was started by the head of the group Jemaah Islamiyah, an Indonesian named Riduan Isamuddin, also known as Hambali. Wali Khan Amin Shah was on the board of directors of the company. As soon as Yousef arrived in Manila along with other "Arab Afghans" who were making cells in Manila, he started to work on making bombs. Yousef had shown up in Singapore with Shah earlier in the fall of 1994. The two got their Philippine visas in Singapore. He left Manila for several days, but was met by Islamist emissaries upon his return to Metro Manila. They asked him to attack United States President Bill Clinton, who was due to arrive in the Philippines on November 12, 1994 as part of a five-day tour of Asia. Yousef thought of several ways to kill the president, including placing nuclear bombs on Clinton's motorcade route, firing a Stinger missile at Air Force One or the presidential limousine, launching theater ballistic missiles at Manila and or killing him with phosgene, a chemical weapon. He abandoned the idea, as it would be too difficult to kill the President. However, he incorporated his plan to kill the Pope into the Bojinka plot. In 1994, Yousef and Khalid Sheik Mohammed started testing airport security. Yousef booked a flight between Kai Tak International Airport in Hong Kong and Taiwan Taoyuan International Airport near Taipei. Mohammed booked a flight between Ninoy Aquino International Airport near Manila and Kimpo International Airport near Seoul. The two had already converted fourteen bottles of contact lens solution into bottles containing nitroglycerin, which was readily available in the Philippines. Yousef had taped a metal rod to the arch of his foot, which would serve as a detonator. The two wore jewelry and clothing with metal to confuse airport security. To support their claim that they were meeting women, they packed condoms in their bags. On December 8, Yousef moved into the Doña Josefa Apartments under the alias "Najy Awaita Haddad" and purported himself to be a Moroccan. Edith Guerrera, the manager, laughed with the receptionist after the two men asked for new registration forms. "Perhaps they have forgotten their names", she said as the first ones were torn up. Yousef had accidentally put his "real name" on the first form. He did not want to get discovered too early. Yousef had booked Room 603 in advance. He had made an Php 80,000 (Philippine peso) deposit, and added Php 40,000 more up front before taking the elevator to Room 603. A conspirator named Abdul Hakim Murad came to Manila with Yousef and stayed at the same apartment. The apartments are located in the Malate district, 200 meters away from the embassy of the Holy See in the Philippines, and 500 meters down the street from Manila Police Station No. 9 on Quirino Avenue. One of the windows of Room 603 looks down on the path that the Papal motorcade was to take. People were suspicious of the men in Room 603. The men renting the apartment were very secretive. According to Guerrera, "They gave me the impression that they were here to study", said Mrs. Guerrera. "They looked like students. They double locked the door when they were inside or out. They didn't ask the room boy to clear up the room." The men, who had chemical burns on their hands, were carrying boxes and never hired other people to carry them up. The boxes contained chemicals bought from suppliers in Manila and Quezon City in Metro Manila. Yousef would use these to make his bombs. Mohammed purported himself to be a Saudi or Qatari plywood exporter named "Abdul Majid." Yousef and Mohammed had already started planning Operation Bojinka. According to Abdul Hakim Murad, Yousef got an idea for crashing a plane into the CIA from Murad while at the apartments. According to Murad, Yousef replied, "OK, we will think about it", before heading off with Mohammed to Puerto Galera for scuba diving. Yousef's first operational test of his bomb was inside a mall in Cebu City. The bomb detonated several hours after he put it in a generator room. It caused minor damage, but it proved to Yousef that his bomb was workable. On December 1, Shah placed a bomb under a seat in the Greenbelt Theatre in Manila to test what would happen if a bomb exploded under an airline seat. The bomb went off, injuring several patrons. On December 11, 1994, Yousef built another bomb, which had one tenth of the power that his final bombs were planned to have, in the lavatory of an aircraft. He left it inside the life jacket under his seat (26 K) and got off the plane when it arrived in Cebu. Yousef had boarded the flight under the assumed name of Arnaldo Forlani, using a false Italian passport. The aircraft was Philippine Airlines Flight 434 on a Manila to Narita route, stopping partway at Cebu. Yousef had set the timer for four hours after he got off the aircraft. The bomb exploded while the aircraft was over Japan's Minamidaitō Island, part of Okinawa Prefecture. A Japanese businessman named Haruki Ikegami occupying the seat was killed and an additional 10 passengers were injured. The flight was carrying 273 passengers in total. The blast blew a hole in the floor and the cabin's rapid expansion severed several control cables in the ceiling, cutting off control of the plane's right aileron, as well as both the pilot and first officer's steering controls. Usually, 26K, the seat that Yousef chose to plant the bomb, would be positioned directly over the centre fuel tank, and the detonation of the bomb would have caused a crippling explosion, but on this particular airframe, a former Scandinavian Airlines aircraft, the seat was two rows forward from normal. The flight crew kept control of the Boeing 747-200 and brought it into an emergency landing at Okinawa's Naha Airport. Satisfied with the deadly results of the attack, Yousef then planned which flights to attack for "Phase II" of the plot. The first plan was to assassinate Pope John Paul II when he visited the Philippines during the World Youth Day 1995 celebrations. On January 15, 1995, a suicide bomber would dress up as a priest, while John Paul II passed in his motorcade on his way to the San Carlos Seminary in Makati City. The assassin planned to get close to the Pope, and detonate the bomb. The planned assassination of the Pope was intended to divert attention from the next phase of the operation. About 20 men had been trained by Yousef to carry out this act prior to January 1995. The details of Phase I were found in the evidence discovered in the investigation into Room 603 in the Doña Josefa. The next plan would have involved at least five terrorists, including Yousef, Shah, Murad and two more unknown operatives. Beginning on January 21, 1995, and ending on January 22, 1995, they would have placed bombs on 11 United States-bound airliners which had stopovers scattered throughout East Asia and Southeast Asia. All of the flights had two legs. The bombs would be planted inside life jackets under seats on the first leg, and each bomber would then disembark. He would then board one or two more flights and repeat. After all of the bombers had planted bombs on all of the flights, each man would then catch flights to Lahore, Pakistan. The men never needed U.S. visas, as they only would have been on the planes for their first legs in Asia. United States airlines had been chosen instead of Asian airlines so as to maximize the shock toward Americans. The flights targeted were listed under operatives with codenames: "Zyed", "Majbos", "Markoa", "Mirqas" and "Obaid". Obaid, who was really Abdul Hakim Murad, was to hit United Flight 80, and then he was to go back to Singapore on another United flight which he would bomb. Zyed, probably Ramzi Yousef, was to target Northwest Flight 30, a United Flight going from Taipei to Honolulu, and a United Flight going from Bangkok to Taipei to San Francisco. The explosions were to be timed by the operatives before they disembarked from the plane. The aircraft would have exploded over the Pacific Ocean and the South China Sea almost simultaneously. If this plan worked, several thousand passengers would have perished, and air travel would likely have been shut down worldwide. The U.S. government estimated the prospective death toll to be about 4,000 if the plot had been executed. (For comparison, about 3,000 were killed during the September 11 attacks in the United States.) If Phase II of the plot had been successful, it would have been, in terms of casualties, the most devastating terrorist attack in recent history. The "Mark II" "microbombs" had Casio digital watches as the timers, stabilizers that looked like cotton wool balls, and an undetectable quantity of nitroglycerin as the explosive. Other ingredients included glycerin, nitrate, sulfuric acid, and minute concentrations of nitrobenzene, silver azide(silver trinitride), and liquid acetone. Two 9-volt batteries in each bomb were used as a power source. The batteries would be connected to light bulb filaments that would detonate the bomb. Murad and Yousef wired an SCR (silicon controlled rectifier) as the switch to trigger the filaments to detonate the bomb. There was an external socket hidden when the wires were pushed under the watch base as the bomber would wear it. The alteration was so small that the watch could still be worn in a normal manner. Yousef got batteries past airport security during his December 11 test bombing of Philippine Airlines Flight 434 by hiding them in hollowed-out heels of his shoes. Yousef smuggled the nitroglycerin on board by putting it inside a small container, reputedly containing contact lens cleaning solution. Abdul Hakim Murad's confession detailed Phase III in his interrogation by the Manila police after his capture. Phase three would have involved Murad either renting, buying, or hijacking a small airplane, preferably a Cessna. The airplane would be filled with explosives. He would then crash it into the Central Intelligence Agency headquarters in the Langley area in Fairfax County, Virginia. Murad had been trained as a pilot in North Carolina, and was slated to be a suicide pilot. There were alternate plans to hijack a 12th commercial airliner and use that instead of the small aircraft, probably due to the Manila cell's growing frustration with explosives. Testing explosives in a house or apartment is dangerous, and it can easily give away a terrorist plot. Khalid Sheik Mohammed probably made the alternate plan. A report from the Philippines to the United States on January 20, 1995 stated, "What the subject has in his mind is that he will board any American commercial aircraft pretending to be an ordinary passenger. Then he will hijack said aircraft, control its cockpit and dive it at the CIA headquarters." Another plot that was considered would have involved the hijacking of more airplanes. The World Trade Center (New York City, New York), The Pentagon (Arlington, Virginia), the United States Capitol (Washington, D.C.), the White House (Washington, D.C.), the Sears Tower (Chicago, Illinois), and the U.S Bank Tower (Los Angeles, California), would have been the likely targets. In his confession to Filipino investigators, prior to the foiling of Operation Bojinka, Abdul Hakim Murad said that this part of the plot was dropped since the Manila cell could not recruit enough people to implement other hijackings. This plot would eventually be the base plot for the September 11 attacks which involved hijacking commercial airliners, as opposed to small aircraft loaded with explosives, and crashing them into their intended targets. However, only the World Trade Center (which was destroyed) and The Pentagon (which suffered partial damage) were hit. The plot was abandoned after an apartment fire at the six-story Doña Josefa apartments occurred in Manila, Philippines, on the evening of Friday, January 6, 1995. The fire occurred before Pope John Paul II was scheduled to visit the Philippines on January 12. According to the initial accounts of the Philippine authorities, Abdul Hakim Murad started a chemical fire in the kitchen sink in Room 603 in the 6th floor of the Doña Josefa apartment by pouring water on a substance. The fire was spotted at about 11 pm after residents complained about a strange odour. Edith Guerrera, the owner of the apartments, called the fire brigade, but the fire went out unassisted. Yousef and Murad had told the firefighters to stay away before they fled. Police Major Francisco F. Bautista and his men, including watch commander Aida D. Fariscal, decided to investigate the situation and saw four hot plates in their packing crates, what looked like cotton batting soaked in a beige solution, and loops of green, red, blue, and yellow electrical wiring. The telephone rang, and the police ran downstairs, thinking that it was a trap.Fa riscal had been suspicious of the men in Room 603 due to the recent wave of bombings (committed by Yousef) that hit Metro Manila and Philippine Airlines Flight 434. Seeking a search warrant, they left and asked 11 judges before finding one that would grant a warrant. After police discovered the evidence, they arrested a man who called himself "Ahmed Saeed." "Saeed", who later proved to be Murad, claimed that he was a commercial pilot who was on his way to the precinct house to explain that what he claimed to be firecrackers had gone off. Murad initially tried to run away, but he was arrested after he tripped over a tree root. The arresting officer, having lost his handcuffs, improvised a solution by tying Murad's hands with the elastic cord taken from the officer's raincoat. Murad was hauled to the precinct in a taxi van with the help of two other people. He offered 110,740 Philippine pesos (US$2,000) to the policemen if they would agree to let him go, but the officers refused. At the precinct, Murad signed a statement saying that he was innocent and that he was a tourist visiting his friend in his chemical import/export business. He then mumbled about "two Satans that must be destroyed: the Pope and America." 55-year-old Fariscal was later depicted (although by a much younger actress) in the 2006 docudrama The Path to 9/11, in which US agencies in the script gave her much credit. An actress portrays her in the Mayday episode "Bomb on Board." The widow of a slain police officer, she had spent seventeen years as a homemaker before enrolling in the police department in 1977. She became well known in her home nation, which awarded her the equivalent of 33,222 pesos ($700) and a trip to Taiwan. The CIA awarded her a certificate reading "in recognition of your personal outstanding efforts and co-operation." Her decision to investigate the fire was key to disrupting the plot and forcing Yousef to flee. When the officers returned to Suite 603 at 2:30 am on January 7, they found: street maps of Manila with routes plotting the papal motorcade, a rosary, a photograph of the pontiff, bibles, crucifixes, papal confessions, and priest clothing, including robes and collars. This collection of objects, and a phone message from a tailor reminding the occupant that "the cassock was ready to be tried on", along with the fact of the Pope's impending visit, was enough for Police Major Francisco F. Bautista to infer that an assassination plot had been interrupted. A search warrant was granted by 4 am on January 7. The most conclusive piece of evidence found was a manual written in Arabic on how to build a liquid bomb. Stacks of 12 false passports, including Norwegian, Afghan, Saudi, and Pakistani were also found in the apartment. Investigators found a business card from Mohammed Jamal Khalifa; Saeed apparently possessed five telephone numbers from Khalifa. Investigators also found phone numbers for Rose Masquera, Mohammed's girlfriend. Yousef's project was discovered on four floppy disks and an off-white Toshiba laptop inside his apartment, two weeks before the plot would have been implemented. Several encrypted files on the hard drive contained flight schedules, calculations of detonation times, and other items. The first string of text in one of the files states, "All people who support the U.S. government are our targets in our future plans and that is because all those people are responsible for their government's actions and they support the U.S. foreign policy and are satisfied with it. We will hit all U.S. nuclear targets. If the U.S. government keeps supporting Israel, then we will continue to carry out operations inside and outside the United States to include..." and the text ends. A file named "Bojinka" lists the 11 flights between Asia and the United States, which were grouped under five codenames. Strings were found, such as "SETTING: 9:30 pm to 10:30 pm TIMER: 23HR. BOJINKA: 20:30-21:30 NRT Date 5" (for United flight 80), and "SETTING: 8:30-9:00. TIMER: 10HR. BOJINKA: 19:30-20:00 NRT Date 4" (for Northwest Flight 30).[7] The laptop had names of dozens of associates, including some photographs of a few of them and including contact information for Mohammed Jamal Khalifa. They contained records of information about five-star hotels, dealings with a London trading corporation, a meat market owner in Malaysia, and an Islamic center in Tucson, Arizona. Information about how money moved through an Abu Dhabi banking firm was found. A communication signed "Khalid Shaikh + Bojinka" was also found on Yousef's computer that threatened to attack targets "in response to the financial, political and military assistance given to the Jewish state in the occupied land of Palestine by the United States Government." The letter also said that the bombers claimed to have "ability to make and use chemicals and poisonous gas... for use against vital institutions and populations and the sources of drinking water." The letter also threatened to assassinate Fidel V. Ramos, the President of the Philippines at the time, as well as attack aircraft if the United States did not meet the group's demands. The letter said that the group claiming responsibility was the "Fifth Division of the Liberation Army".[7] The evidence found at the Doña Josefa filled three police vans. U.S. investigators did not find the connection with Khalid Sheikh Mohammed to al-Qaeda until several years later. The 9/11 attacks evolved from the original Bojinka plot Khalid Sheikh Mohammed decided that explosives were too risky to use in his next plot, and chose instead to use airplanes. The plot was later revised and executed during the September 11 attacks. Khalid Sheikh Mohammed was arrested in Rawalpindi, Pakistan in 2003. Yousef filed a motion for a new trial in 2001. The United States Court of Appeals for the Second Circuit heard the case on May 3, 2002, and announced on April 3, 2003 the decision that Yousef and his partners were to remain incarcerated.
Ce soir, dans la Matinale de 19h, nous interviewons par téléphone Gwenael Bourdon, journaliste au Parisien qui publie Zyed et Bouna, un livre enquête sur le procès qui a suivi la mort des deux adolescents, qui a déclenché les émeutes de 2005 en banlieues.Dans ce livre, Gwenael Bourdon nous raconte les événements qui ont conduit à la mort de Zyed et Bouna en octobre 2005. On suit aussi les familles dans leur deuil et leur combat pour réclamer un procès, au cours des dix années qui ont suivi le drame. "C'est un récit qui adopte un point de vue: celui des familles" En deuxième partie, nous nous intéressons au festival de cinéma LGBT Chéries Chéris, dont la 21ème édition se déroulera du 24 novembre au 1er décembre, aux cinémas MK2 de Quai de Loire et Beaubourg à Paris. Pour en parler, le directeur du festival Cyril Legann et Hervé Joseph Lebrun, programmateur du festival sont avec nous. La programmation de ce festival est extrêmement variée: plus de 70 films programmés. "Le festival est ouvert vraiment à tous les publics: des plus jeunes aux plus âgés" Côté chroniques, Camille nous parle de l'engouement exceptionnel des jeunes français pour l'armée, au lendemain des attentats du 13 novembre : le nombre de candidatures par jour a quintuplé. Et comme le week-end arrive à grands pas, Florence, elle, vous propose un agenda culturel pour sortir à Paris dès vendredi soir : des expos, une soirée au Petit Bain, et un goûter d'écoute d'Arte Radio. Bonne (ré)écoute, et bon week-end à tous ! Présentation : Alban Barthélémy / Réalisation : Nedjim Danimon / Co-interview : Elia Chalom et Camille Molza / Chroniques: Camille Ragache et Florence Dauly / Coordination : Camille Regache et Elsa Landard / Web : Julien Abou
Ce soir, dans la Matinale de 19h, nous interviewons par téléphone Gwenael Bourdon, journaliste au Parisien qui publie Zyed et Bouna, un livre enquête sur le procès qui a suivi la mort des deux adolescents, qui a déclenché les émeutes de 2005 en banlieues. Dans ce livre, Gwenael Bourdon nous raconte les événements qui ont conduit à la mort de Zyed et Bouna en octobre 2005. On suit aussi les familles dans leur deuil et leur combat pour réclamer un procès, au cours des dix années qui ont suivi le drame. "C'est un récit qui adopte un point de vue: celui des familles" En deuxième partie, nous nous intéressons au festival de cinéma LGBT Chéries Chéris, dont la 21ème édition se déroulera du 24 novembre au 1er décembre, aux cinémas MK2 de Quai de Loire et Beaubourg à Paris. Pour en parler, le directeur du festival Cyril Legann et Hervé Joseph Lebrun, programmateur du festival sont avec nous. La programmation de ce festival est extrêmement variée: plus de 70 films programmés. "Le festival est ouvert vraiment à tous les publics: des plus jeunes aux plus âgés" Côté chroniques, Camille nous parle de l'engouement exceptionnel des jeunes français pour l'armée, au lendemain des attentats du 13 novembre : le nombre de candidatures par jour a quintuplé. Et comme le week-end arrive à grands pas, Florence, elle, vous propose un agenda culturel pour sortir à Paris dès vendredi soir : des expos, une soirée au Petit Bain, et un goûter d'écoute d'Arte Radio. Bonne (ré)écoute, et bon week-end à tous ! Présentation : Alban Barthélémy / Réalisation : Nedjim Danimon / Co-interview : Elia Chalom & Camille Molza / Chroniques: Camille Ragache & Florence Dauly / Coordination : Camille Regache & Elsa Landard / Web : Julien Abou
En se fendant d'un tweet stupide sur le verdict du procès des policiers dans l'affaire Zyed et Bouna, Marion m'a donner envie de lui faire le portrait. ► Facebook : www.facebook.com/LemondeselonPitoum ◄ ► Twitter : twitter.com/Pitoum ◄ ► Radio CultureS : http://www.radio-cultures-dijon.fr/ ◄ ► YouTube : www.youtube.com/Pitoum ◄
Recorded by Ismael Zyed, student of Cynthia Marie VanLandingham at Tally Piano & Keyboard Studio in Tallahassee, Florida (www.tallypiano.com)
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