Place in Ombella-M'Poko, Central African Republic
POPULARITY
Neste episódio do Stemma Esporte, Fábio Bessa e Thiago recebem Rodrigo Barros, CEO da Boali, para uma conversa inspiradora sobre empreendedorismo, o poder transformador da comunicação e o impacto motivador do esporte na carreira. Rodrigo compartilha sua visão de tornar a Boal a maior empresa mundial em seu segmento e revela insights valiosos sobre como a mentalidade de atleta e práticas de resiliência, como o triatlo, podem alimentar o crescimento pessoal e empresarial. A conversa explora a importância de se cercar de influências positivas e adaptar perspectivas para alcançar o sucesso e a felicidade genuína.Timestamps das Seções Importantes00:00 - Introdução e Objetivos da BoaliRodrigo discute sua meta de tornar a Boali a maior empresa mundial.00:30 - Importância dos Indicadores e ProcessosAções práticas para alcançar grandes sonhos empresariais.01:58 - O Valor da Comunicação no EmpreendedorismoComo a habilidade de comunicação impulsiona negócios e conexões.04:09 - Participação em Podcasts e Rede de InfluênciaA estratégia e o impacto de participar ativamente em podcasts.07:22 - Superando Barreiras e CríticasComo lidar com críticas externas e manter o foco nos objetivos.09:22 - O Impacto do Triatlo na Vida e NegóciosBenefícios do triatlo na resiliência empresarial e pessoal.57:44 - Insights sobre Saúde Mental e Bem-estarA importância do equilíbrio emocional no sucesso empreendedor.1:04:42 - Recomendações de Leitura e EspiritualidadeA conexão entre propósito, espiritualidade e liderança.#Empreendedorismo#ComunicaçãoEficaz#RodrigoBarros#Triatlo#Boal#DesenvolvimentoPessoal#Liderança#Resiliência#PerspectivaPositiva#PodcastNegócios⚡Cupom STEMMAZ2 em todo site: https://www.z2foods.com/shop
À Bangui, on le croit dans les prisons des mercenaires russes depuis neuf mois, ou mort. Le journaliste Ephrem Yalike a été pendant près de trois ans un rouage de la communication du groupe Wagner en Centrafrique, jusqu'à ce qu'il soit soupçonné de traitrise après la révélation d'une bavure commise par les mercenaires. Mais il a pu fuir le pays avec l'aide la plateforme des lanceurs d'alerte en Afrique (PPLAAF).Dans une enquête du consortium Forbidden stories à laquelle RFI est associée avec neuf autres médias, il raconte comment fonctionne le système de désinformation à Bangui, entre placement d'articles contenant des fausses informations et manifestations montées de toutes pièces.« Plongée dans la machine de désinformation russe en Centrafrique » est une enquête à retrouver sur RFI.fr et nos environnements numériques. RFI : De 2019 à 2022, vous avez été un des communicants des mercenaires russes qui opèrent en Centrafrique. Pourquoi avez vous décidé de quitter le pays, de raconter votre histoire et de lever le voile sur les opérations de communication qu'ils mènent dans votre pays?Ephrem Yalike : J'ai décidé de raconter ce que j'ai vécu et ce que moi aussi j'ai eu à faire, parce que je me suis rendu compte que les Russes en Centrafrique opèrent dans un mode où il n'y a pas le respect des droits humains. C'est pourquoi je me suis dit je ne peux pas rester silencieux, je dois dénoncer ce qui se passe dans mon pays pour que ça puisse aider et que les Centrafricains puissent comprendre réellement la présence russe en Centrafrique.À lire aussiDésinformation russe en Centrafrique: Ephrem Yalike, le repenti de l'OubanguiEt pour cela, vous avez dû quitter Bangui. Parce qu'aujourd'hui, pour un journaliste centrafricain, donner la réalité de la présence russe dans le pays, c'est impossible ?Aujourd'hui en Centrafrique, pour un journaliste centrafricain, dénoncer et dire la réalité de ce que les Russes font, c'est se mettre en danger. Parce que je peux vous dire, que toutes les actions des Russes échappent au contrôle du gouvernement. Dans leur mode opératoire, quand tu dénonces, tu deviens automatiquement leur cible. C'est pour cela que je me suis dit pour que pour être libre, dire ce que je pense, et ce que je faisais, il me fallait quitter le territoire.D'ailleurs, jusqu'à ce matin à Bangui, tout le monde pense que vous êtes soit en prison au camp de Roux, dans les geôles des Russes, soit mort ?Tout à fait. En ce moment dans la capitale, le doute plane sur ma situation. Mais, je ne suis pas en prison, je suis bel et bien hors du territoire.Quand vous avez été approché fin 2019 par les Russes à Bangui, vous avez tout de suite accepté. Pourquoi ?J'ai accepté tout de suite de collaborer avec les Russes, parce que, à cette époque, la République centrafricaine venait de sortir d'une crise. En tant que Centrafricain, il était de mon devoir de contribuer au retour de la paix dans mon pays. À cette époque, la République centrafricaine a été abandonnée par son ancien partenaire, lors du départ des forces Sangaris du pays. Et l'arrivée des Russes était considérée comme un ouf de soulagement pour tout le peuple centrafricain. Donc moi étant journaliste, contacté par les Russes pour collaborer avec eux, ça m'a fait plaisir de contribuer au retour de la paix dans mon pays.Pour soutenir les actions des Forces armées centrafricaines. Mais il y avait aussi une motivation financière. Vous ne le cachez pas.Tout à fait, cette action qui m'avait été demandée était de vulgariser les actions de neutralisation menées par les forces armées centrafricaines conjointement avec les Russes, ça ne me posait aucun problème. J'ai accepté. Et deuxièmement, il y avait cette oportunité financière qui pouvait me permettre de financer mes études. En étant journaliste en République centrafricaine, c'était difficile de joindre les deux bouts seulement avec le salaire mensuel du journaliste. Dans les journaux de la place, je n'atteignait pas 70 000 francs CFA, mais quand j'ai commencé à travailler avec les Russes, automatiquement j'ai gagné plus de 200 000 francs200 000 puis même 500 000 plus tard ?Tout à fait.L'homme qui vous a recruté et qui sera votre interlocuteur pendant toute votre collaboration, c'est Mikhaïl Prudnikov, que vous connaissiez comme « Michel » ou « Micha ». Il était toujours flanqué d'un interprète. Qui est il exactement à Bangui ? Quelle est sa mission en Centrafrique ?Lui, il me dit qu'il est responsable, directeur de la communication et des relations publiques de la mission russe en République centrafricaine. Donc, c'est toujours avec lui que je collabore. Selon ce qu'il me dit, il est chargé d'analyser la méthode de la communication de la mission en République centrafricaine et d'impacter sur les médias centrafricains pour parler positivement de la mission russe dans le pays. Et maintenant d'étudier comment faire à ce que le peuple centrafricain puisse avoir confiance aux Russes qui sont dans le pays.Mais en réalité, il fait beaucoup plus que ça ?En réalité, il fait beaucoup plus que ça, et à ma connaissance, il part dans d'autres pays africains pour faire la même chose qu'en République centrafricaine.Alors parmi les missions que « Micha » vous assigne, il y a faire des revues de presse de tout ce qui se dit sur la présence russe dans le pays, écrire des articles pour discréditer les voix critiques, mais aussi placer des sujets favorables dans des journaux contre rétribution. Concrètement, comment est ce que ça fonctionnait?Tout à fait. Il me donnait une thématique, il vérifiait si c'était conforme à ses exigences. Il m'indiquait ensuite certains médias dans lesquels je devais les publier. je leur donnais 10 000 francs à chaque fin du mois. Je tenais un tableau Excel que je lui donnais avec le nom du média, l'article publié, la date et la photo pour qu'il me donne l'argent, que je puisse rémunérer chacun de ces journalistes.La situation de la presse en Centrafrique est-elle et si précaire au point que cette pratique n'ait jamais posé de problème ?La situation de la presse en République centrafricaine, reste et demeure précaire. Donc cette situation n' gêné personne. Quand tu travailles, tu dois aussi vivre. Donc certains journalistes, même s'ils étaient contre, étaient contraints par le besoin d'argent de prendre et de publier ces articles.Autre mission, vous avez organisé des manifestations parfois contre la France, parfois contre les Etats-Unis, souvent contre l'ONU. Comment ça se passait exactement l'organisation de ces manifestations ?Parfois lui Micha m'appelait et me donnait une thématique pour la semaine. Il me disait : « Nous souhaitons que tu puisses organiser une marche pour dire que la population en a marre de la présence de la Minusca (mission de l'ONU) ». Je devais cibler un leader de la place, lui demander s'il avait la capacité de mobiliser 500 personnes pour une manifestation devant le siège de la Minusca à telle date, et il me disait que c'était possible. La veille, « Micha » et son équipe écrivaient des mots sur les cartons, sur les papiers, pour que les manifestants puissent les tenir et faire semblant que ces écrits étaient les leur, alors qu'en réalité ça venait de Michel. Par rapport au nombre des manifestants, je remettais l'enveloppe aux leaders. Je faisais cela dans la discrétion totale pour que personne ne soit au courant.Et chaque jeune qui venait recevait environ 2000 francs (3euros)Environ 2000 francs CFA.Une cible récurrente de ces manifestations, c'était la Minusca, la mission de l'ONU. Pourquoi ?Les Russes et la Minusca sont dans le pays à peu près pour un même objectif, aider le gouvernement à pacifier le pays. Donc du coup, les Russes veulent se faire passer aux yeux du peuple centrafricain comme les meilleurs, et pour cela, il faut qu'ils puissent discréditer les actions menées par l'ONU en République centrafricaine. C'est pourquoi toutes ces manifestations visent la MINUSCA.Les manifestations hostiles à la présidente de la Cour constitutionnelle, madame Darlan, en 2022, et pour le changement de Constitution en 2023, ce sont aussi les Russes qui étaient à la manœuvre ?Les manifestations concernant la destitution de madame Darlan, les manifestations pour la Constitution, tout ça, c'était la mais des Russes derrière. Il y a certaines manifestations qui sont organisées. Mais moi qui travaille avec eux, je ne suis pas au courant. Après, ils m'appellent, ils me donnent seulement des articles, des photos à publier.Ce n'est pas vous qui avez organisé celles là, mais vous avez la certitude que ce sont les Russes qui les ont organisées via d'autres canaux ?Oui.Et là arrive l'épisode de Bouar. On vous a demandé d'écrire que les mercenaires de Wagner sont venus en aide à des civils peuls blessés, alors que ce sont eux qui leur ont tiré dessus. Est ce que vous pouvez nous raconter cet épisode.À cette époque, un matin, Micha m'appelle et me dit « Il y a une urgence, nous devons partir à Bouar pour sauver certains peuls qui sont en difficulté ». J'ai dit OK. « Nous avons retrouvé deux peuls qui blessés à l'hôpital régional de la ville de Bouar ». Dans l'avion, Micha m'a dit qu'ils avaient été attaqués par les groupes armés, notamment les 3R. On arrive sur les lieux, il y a un interprète, la manière avec laquelle l'interprète leur demande de me parler et pour qu'il puisse m'interpréter, étant journaliste, je savais que c'était pas concrètement ce qu'ils étaient en train de lui dire et qu'il me transcrivait , donc je prenais note de tout ce qu'il me disait.Et quand on était dans l'avion avec lui, je lui ai dit « Michel, tu penses réellement que ce sont des 3R qui ont fait du mal à ce groupe ? Parce que je travaille avec toi, tu dois me dire la vérité pour me permettre de voir dans quel angle orienter pour que l'article puisse prendre du poids ». Il me regarde en me disant « ok, ce que je te dis, ça doit rester confidentiel entre nous. Certains de nos de nos confrères les ont attaqués. C'est après qu'on s'est rendu compte que c'étaient des innocents et nous sommes venus à leur secours pour les sauver. Donc tu dois tout faire pour que l'article soit positif à notre égard »Ils ont voulu prendre le contrôle du narratif. Le problème, c'est que la vérité est sortie quelques semaines plus tard dans un journal local et que vos patrons ont cru que vous les avez trahis et qu'ils vous ont menacé physiquement à ce moment là.Oui, un mois plus tard, la vraie information est sortie dans un journal de la place, et à ma grande surprise, un matin, j'ai reçu un appel : « je suis devant devant ta maison » alors que je ne lui ai jamais montré ma maison depuis qu'on collabore. Il m'a conduit quelque part, je ne savais même pas où on allait. Donc c'était derrière, à la sortie nord, route de Boali, on a dépassé PK 26. Il s'est arrêté et m'a dit « je vais te poser une seule question. Tu dois me dire ce qui t'a poussé à dire la vérité à ces journalistes qui ont dévoilé l'information ». A ce moment-là, il a déposé son arme à côté. Automatiquement, il a ramassé mon téléphone.Son interprète a commencé à fouiller pour voir avec qui j'avais été en contact. Il a fouillé. Il n'a rien trouvé. Il m'a menacé. « Tu dois l'avouer, ici, il y a personne ici. Tu sais ce qui peut t'arriver » J'ai dit « Michel, je ne peux pas dire ce que je n'ai pas fait ». Il a insisté, avec des menaces à l'appui, des intimidations de mort. Je lui ai dit « Si je l'avais fait, je te l'aurais dit. Je n'ai rien fait, je te l'ai dit ». J'étais apeuré. Mais comme je n'avais rien fait, je ,'ai pas avoué ce que je n'avais pas fait. Il a pris mon téléphone, il est parti. Il m'avait abandonné dans cette brousse. Cette information, je l'ai dite à personne parce qu'en me quittant, il m'a dit : « tout ce qui vient de se passer ici, mettons en tête que nos services secrets sont désormais derrière toi. Si on entend un seul instant que tu as été menacé, tu ne resteras pas vivant ».Effectivement, ils vous tiennent bien à l'œil, puisque deux ans plus tard, après une longue préparation, vous vous apprêtez à quitter le pays en février 2024 et au moment où vous allez partir de l'aéroport de Bangui, vous êtes retenu. Et là, vous comprenez que ce sont les Russes qui sont à la manœuvre et qui vous font retenir à l'aéroport dans un bureau de police.Tout à fait. À ma grande surprise, à mon départ, j'ai été retenu à l'aéroport, empêché de voyager par le commissaire qui n'arrivait pas à m'en donner la raison en plus. Il m'a dit : « Tu penses partir avec toutes les informations que tu détiens ». Je lui ai demandé : « quelles informations ? » « Tu vas voir avec les Russes ». Le commissaire de l'aéroport a été commissionné par les Russes pour m'empêcher de voyager à l'aéroport ce jour là.Donc le reste de votre famille a pu partir. Vous, vous vous êtes caché quelques jours, êtes parvenu à traverser l'Oubangui en pirogue et ensuite via le Congo, à gagner la France. Avec le recul, est ce que vous regrettez cette collaboration ? Est ce que vous regrettez vos actions ?Si je n'avais pas regretté cette collaboration, je n'aurais pas décidé de les dénoncer. J'ai regretté cette collaboration parce que moi, au départ, je croyais que c'était pour aider mon pays. Ils se présentent comme des partenaires venus aider à ce pour la paix, mais font autre chose, violentent, sont dans la désinformation, trompent l'opinion. C'est pas en faisant ça, qu'on va aider le peuple. Du coup, j'ai regretté l'action que moi-même j'ai posée en collaborant avec eux.Comment vous qualifieriez aujourd'hui la présence russe en Centrafrique?C'est une présence d'intérêts personnels, des intérêts des Wagner, des intérêts des Russes. Ils n'aident pas. Je parie ma tête que s'il était question d'arrêter la violence en Centrafrique, les Russes l'auraient fait depuis longtemps. Il font semblant pour que la crise perdure et que leur présence puisse s'élargir en République centrafricaine, pour qu'ils puissent mettre en œuvre tous les plans qu'ils ont en tête.C'est un pays sous emprise ?Selon moi, c'est un pays sous emprise des Russes, on le voit avec les actions menées par les Russes, l'exemple est simple : quand j'ai été empêché à l'aéroport de voyager, ça c'est une violation à ma liberté d'aller et de revenir. Mon avocat a contacté les autorités judiciaires et policières. Jusqu'alors, il n'y a eu aucune réponse parce que l'instruction vient des Russes. Rien ne peut se faire sans eux.Votre témoignage et les éléments factuels qui sont présentés dans l'enquête de Forbidden Story amèneront des attaques contre vous au pays. On vous appellera sûrement un traître ou un vendu. Que répondez vous à ceux qui douteraient de votre franchise ou de votre honnêteté ?C'était moi seul qui ai travaillé avec eux et quand je travaillais avec eux, je ne l'ai dit à personne. Et si aujourd'hui j'ai décidé de dénoncer, il en va de mon honnêteté et de ma dignité. Ceux qui pensent que j'ai été manipulé, que je suis un vendu, c'est leur point de vue. D'ailleurs, j'ai la conscience tranquille. Les vrais patriotes en Centrafrique m'ont encouragé. Tout ce qui se dira, me sera égal parce que je ne regrette rien.L'enquête est à lire ici : Plongée dans la machine de désinformation russe en Centrafrique
Rodrigo Barros é o CEO da Boali, a maior rede de restaurantes saudáveis do Brasil, com mais de 80 unidades. De futebol ao Vale do Silício, sua paixão pela inovação o levou a decifrar os ecossistemas mais inovadores do mundo. Anteriormente, chefiou a Secretaria de Desenvolvimento Científico, Econômico e Tecnológico e Inovação de Guarulhos, propondo um ecossistema integrado para impulsionar o empreendedorismo e a economia criativa. Temas: 00:00 - Trailer 04:09 - Curei a intolerância a lactose. 06:33 - Minha experiência no Win Hof 26:00 - Liderança e Auto Liderança 34:50 - O quanto das boas práticas tem impactado o meu discurso? 01:20:40 - Spoiler da Boali 01:23:10 - Deus existe? A ferramenta para a busca da iluminação 01:33:15 - Construindo bons hábitos 01:45:26 - Joe Dispensa é para todo mundo? 01:48:23 - Win Hof é para todo mundo? Rodrigo: https://www.instagram.com/rodrigobarros.rb YouTube: https://www.youtube.com/excepcionaispodcast Siga: Marcelo Toledo: https://instagram.com/marcelotoledo Instagram: https://instagram.com/excepcionaispodcast TikTok: https://tiktok.com/@excepcionaispodcast
Luiz Candreva, um dos maiores futuristas do Brasil, é Head de inovação na Ayoo, board member na Boali e 4Pay. Professor na Fundação Dom Cabral e HSM, mentor no MIT Venture Services. Colunista na CBN e CNN. Luiz Candreva: https://www.instagram.com/luizcandreva/ Escute: Spotify: http://excepcionais.com/spotify Siga: Marcelo Toledo: https://www.instagram.com/MarceloToledo/ Instagram: https://www.instagram.com/ExcepcionaisPodcast/ TikTok: https://www.tiktok.com/@excepcionaispodcast Patrocinador: G4 Educação Leve seu negócio para o próximo nível. 10% de desconto em todos os cursos digitais. Cupom: excepcionais https://bit.ly/excepcionais-g4educacao
Rodrigo Barros é sócio e CEO da BOALI, a maior rede de restaurantes saudáveis do Brasil, atualmente com mais de 80 restaurantes.Dos campos de futebol ao Vale do Silício, Rodrigo ama as pessoas e a inovação e tem decifrado a mentalidade das pessoas e ecossistemas mais inovadores do mundo para realizar seu propósito maior - transformar os sonhadores em criadores. Chefiou a Secretaria de Desenvolvimento Científico, Econômico e Tecnológico e Inovação (SDCETI) de Guarulhos, até julho de 2019 propondo a criação de um ecossistema que funcionasse como um todo. Plataforma para fomentar a livre iniciativa, o empreendedorismo e a economia criativa e colaborativa. https://www.instagram.com/rodrigobarros.rb/〰️〰️〰️〰️〰️〰️〰️〰️〰️〰️〰️〰️SOBRE O EXCEPCIONAIS
Les chutes de Boali font partie des sites touristiques les plus célèbres de Centrafrique. Le site abrite aussi un zoo qui accueille près d'un millier de touristes chaque semaine, selon ses guides touristiques. Alors que la Centrafrique est confrontée à une baisse de ses recettes fiscales, ces chutes pourraient constituer une source de revenus potentiels pour l'État. De notre correspondant à Bangui,Le dos tourné à la vallée, le regard fixé à 50 m de hauteur, Rosmon Zokouè observe les eaux qui tombent d'un air émerveillé. « C'est spectaculaire pour moi. Les chutes de Boali font partie des merveilles du monde. Les chutes de Boali représentent un lieu de culte et de rituels pour les habitants, mais aussi, cela représente toutes leurs richesses, parce que toutes les activités d'ici sont concentrées autour de la pisciculture, mais aussi de la pêche », décrit-il.Avant d'entrer dans le site des chutes, il y a des conditions à remplir. Les prix sont affichés sur des pancartes à chaque carrefour. Vêtus de chemises blanches et pantalons noirs, une dizaine de guides sont là pour conduire les touristes. Antony fait partie des guides : « Comme vous le voyez, les chutes d'eau de Boali sont incroyables avec six cascades de 50 m de hauteur. Les installations d'accueil sont très bonnes et le prix est abordable. Nous accueillons près d'un millier de visiteurs chaque semaine. Les enfants paient 1 000 francs CFA et les adultes 2 000 francs CFA. Nous avons des chambres, des nourritures aux prix abordables. Contrairement aux Centrafricains, les étrangers doivent payer 5 000 francs CFA pour visiter le site. »Investir pour le tourismeLe site possède également un zoo avec quelques animaux exposés à l'exemple des serpents boas, singes, oiseaux, caïmans, tortues ou encore des perroquets. Melissa Yérimo qui vient de Bangui a fait une belle découverte. « C'est vraiment une grande richesse pour notre pays, la République centrafricaine. À chaque fois qu'on arrive, on a envie de le voir, on a envie d'aller visiter, donc du coup, c'est un endroit touristique. »Au sommet des cascades, il y a un restaurant fait en bois et des appartements. Les chutes de Boali peuvent être une source de revenus pour l'État. Mais selon l'économiste Didace Sabone, beaucoup reste à faire.« Je crois qu'il faut faire des investissements. D'abord des investissements en termes de route, il faut des infrastructures d'accueil. Il faut qu'il y ait des chaînes de restauration, sans oublier un réseau téléphonique fiable », explique Didace Sabone, qui ajoute : « Les touristes, quand ils viennent de tous les côtés, ils aimeraient être connectés au monde. Il va falloir qu'il y ait aussi l'installation des succursales des agences bancaires. L'État et le régulateur peuvent faire pour la ville un plan et à travers ce plan susciter des investissements privés. »Pillé en 2013 puis réhabilité en 2021, le site des chutes de Boali constitue une source de revenus potentielle pour le pays.
Recebemos hoje o Rodrigo Barros, CEO da Boali. Até chegar na marca que é hoje, ele passou por muitos desafios que sempre o motivaram a seguir em frente empreendendo. E principalmente a mentalidade de vá é faça, pois não tem como saber se vai dar certo, sem antes tentar.
No #PODACELERAR está conosco um grande amigo: @RodrigoBarrosTV CEO da Boali uma das maiores franquias de comida saudável do pais, tendo unidades espalhadas pelo Brasil inteiro. Marcus e Rodrigo discutem sobre como você pode ter uma empresa que vende e retém mais , usando apenas uma coisa, se você quer descobrir então confira o episodio e não perca nada. Me siga no Instagram, lá eu sempre compartilho conteúdos de extremo valor e altamente exclusivos sobre gestão, liderança e processos. Para acompanhar, basta clicar neste link. https://instagram.com/marcusmarquesoficial Se você é empresário e tem mais de 10 funcionários participe da seleção para o Acelerador Empresarial, são 3 dias de imersão para conquistar 5 anos de lucros e resultados em até 12 meses: https://www.aceleradorempresarial.com.br/spotifyp3/
Nesta semana o papo aqui no MT Cast é sobre empreendedorismo com Rodrigo Barros, CEO da Boali. Após desistir da carreira de jogador de futebol, ter seu próprio negócio foi a solução que ele encontrou para correr atrás dos seus objetivos. A dedicação aos negócios foi tão intensa que a saúde ficou em segundo plano até que a Boali e depois o triathlon apareceram em sua vida. O objetivo da empresa é ensinar a Boa Alimentação (daí a origem do nome) para os brasileiros. A empresa é patrocinadora do COB e anunciou na semana passada o patrocínio ao circuito do Ironman Brasil. Confira como foi o nosso papo! Lembrando que o MT Cast está disponível no Youtube do Mundo Tri e em todos os agregadores de podcast! Patrocinadores: O atleta merece uma experiência única e é por isso que a Dynami é a marca de vinho dos atletas! Para harmonizar o nosso episódio da semana, trazemos o vinho Triatlo Full, um Syrah de forte cor vermelha, de estrutura e muito corpo, porém equilibrado, de acidez e taninos firmes e macios. Conheça mais em https://www.dynami.com.br/ A GU também chegou no Mundo Tri. Simplesmente os géis mais consumidos no mundo para você alcançar todos seus objetivos. Aproveite o descontaço de 15% com o cupom MUNDOTRI15. http://guenergy.com.br/ A Tri Designs é importadora oficial de marcas como a Orca e a Zoggs. E agora acaba de trazer mais uma novidade para o Brasil: a Incylence, marca alemã especializada em meias de alta performance e cheias de estilo. A marca tem usuários de renome como Blummenfelt, Iden, Sebastian Kienle, Laura Philipp, dentre outros triatletas e corredores. Se ainda não conhece a Incylence, corre no site da Tri Designs para ver as novidades. E claro, tudo da Orca vocês também encontram por lá com o desconto de 10% com o cupom MUNDOTRI no site https://www.tridesigns.com.br/? tracking=6312303cb4819 ️ Bananinha Santa Lídia é uma marca de Doces de Banana 100% artesanais, produzidos com bananas premium de altíssima qualidade muito macio e saboroso. Os doces estão disponíveis em 3 opções de sabores e seguidor Mundo Tri tem 10% de desconto com o cupom MUNDOTRI10. Entre agora em https://www.bananinhasantalidia.com.br/ e peça já o seu. A Bike Fan é a mais nova patrocinadora do MT Cast e uma loja de apaixonados pelo esporte ! Há 10 anos no mercado, é especializada em Bikes, Corrida, Trekking, Hiking e Triathlon! E com o cupom MUNDOTRI você garante 10% de desconto na loja (exceto produtos ON CLOUD). https://www.bikefanstore.com.br/
LíderCast - Instituto de Formação de Líderes de São Paulo (IFL-SP)
NOVO EPISÓDIO: Acendendo as Luzes – Como a tecnologia pode acelerar a sua carreira? Entrevistamos Maira Habimorad, CEO do Inteli, Instituto de Tecnologia e Liderança, voltado a formar as futuras lideranças de tecnologia que vão transformar o Brasil. Sendo também Board Member na Cia de Talentos, Bettha, Boali e Recode. Nesse episódio, Maira nos contou sobre como a tecnologia pode acelerar carreiras e empresas e como o Inteli se posiciona para formar líderes com esses skills. Além disso, Maira nos contou como foi tirar um projeto tão grande do papel e tornar ele real em um ano e nove meses, e o que ela não abre mão na hora das contratações. Clique aqui para assistir! Compartilhe nas suas redes sociais, envie para amigos e ajude a divulgar esse grande conteúdo! Vamos juntos!
Nesse episódio você vai entender a mente empreendedora de Rodrigo Barros, o cara por trás da BOALI, uma das grandes redes de franquia de alimentação saudável. A Criatividade para mudar o mercado e a ousadia aplicada no momento certo são parte dos segredos de um dos empreendedores de maior destaque no Brasil.
De atleta profissional a CEO da maior rede de alimentação saudável do Brasil. Nesse episódio, você vai descobrir quais foram os desafios enfrentados até que ele chegasse a esse posto na Boali. INSTAGRAM: @paporaizpodcast; CANAL NO YOUTUBE: paporaizpodcast. Disponível nas principais plataformas de podcast. Hosts: Guilherme Barbosa (@guilherme_3mind), Yuri Melo (@yuricmelo), Juninho Conceição (@juninhoaloha); Convidado: Rodrigo Barros (rodrigobarros.rb) ; Edição: Tiago Campos. LEFARMA.COM.BR / 3MINDCONTENT.COM.BR / LOOPFOOD.COM.BR
Luciano é head e founder da Nutrire Gastronomia Social, uma startup que apoia o pequeno produtor local com a vendas de alimentos da agricultura familiar e capacitação para pessoas em vulnerabilidade social, com o foco na redução do desperdício de alimentos. CEO e cofundador da Restin, uma plataforma marketplace B2B para o combate ao desperdício de alimentos, colocando à venda os alimentos de alta qualidade, porém fora do padrão estético e/ou próximo da data de validade.
Deiverson atua no setor de franquias há mais de 11 anos. É graduado em Desenho Industrial (Universidade Bandeirante de São Paulo) e pós-graduado em Comunicação (ESPM). Ele faliu algumas vezes até encontrar o segmento de cafés especiais. Depois de fazer mochilão e passar por 60 países, veio o ‘start': em 2015, aos 32 anos, abriu a primeira cafeteria dentro de um hospital. Um ano depois, em junho de 2016, nascia a primeira unidade do Sterna. Hoje já é considerada a maior rede de cafeterias de cafés especiais do Brasil.
Com mais de 18 anos de experiência em varejo de supermercados, Fernanda conecta marcas e profissionais do universo do varejo de supermercados, ajudando-os a entender como aplicar melhores práticas e estratégias de marketing e trade marketing efetivas, evitando que gastem tempo e dinheiro e criando um ponto-de-venda otimizado, inteligente e multicanal.
Priscila é uma entusiasta e estudiosa do comportamento alimentar. Trabalhou nos últimos 15 anos em diferentes áreas da teia do alimento, até fundar a Foodpass em 2012. Coordenou consultorias com a chef Ana Soares, tempo em que se apaixonou pela cozinha. Reforçou sua visão de avaliação com o crítico Josimar Melo e entre outras atuações, foi coordenadora de PR na Anexo Comunicação e gerente de Marketing da empresa AMMA Chocolate. A bagagem adquirida ao longo de sua trajetória profissional e empreendedora convergiu para que ela se tornasse curadora gastronômica e passasse a marcar presença em importantes eventos internacionais.
Dennis é engenheiro pela Poli-USP e especialista em Finanças pela FGV-SP. É sócio-CEO da Relp! Aceleradora de Restaurantes, além de mentor de Startups para a Oracle e para a Aceleradora da Universidade Presbiteriana Mackenzie. Foi um dos gestores do Westwing, um dos maiores e-commerces de Casa e Decoração do mundo e ajudou o iFood a melhorar sua eficiência, ultrapassando a marca de R$ 1 bilhão de reais por ano.
Marinho, como é conhecido, trabalhou durante dez anos em algumas das melhores agências de publicidade do país, como a J.W. Thompson, DPZ e Almap/BBDO. Em 1990, ingressou na área de shopping centers, tendo sido gerente de marketing do BarraShopping e Fashion Mall, ambos no Rio de Janeiro, do Plaza Shopping, em Niterói e do ParkShopping, em Brasília. Em 1997 foi nomeado diretor nacional de marketing da Comapps, sendo responsável pelo marketing de 16 shoppings em todo o país. Em 2001, fundou a BrandWorks com o objetivo de prestar serviços de marketing ao mercado. Em 2012, uniu-se ao Grupo Gouvêa de Souza, formando a Gouvêa Malls.
Bangui est sous couvre-feu de 18H à 5H du matin. La capitale centrafricaine a subi lundi des attaques des rebelles de la CPC, une première depuis que cette coalition s’est formée en décembre dernier. La CPC est parvenue jusqu’aux portes de Bangui malgré la présence, aux côtés des forces armées centrafricaines, de la mission des Nations-Unies la Minusca, des Russes et des Rwandais. Le calme est certes revenu hier jeudi mais comment interpréter ces attaques, pourquoi ont-elles lieu en ce moment ? Que cherchent les rebelles ? L’analyse de Hans De Marie Heungoup, chercheur sur l'Afrique centrale, spécialiste de la Centrafrique, à International Crisis Group. RFI : Est-ce que ces attaques sur Bangui, la capitale, vous ont surpris ? Hans de Marie Heungoup : Oui, il y a un effet de surprise pour le chercheur que je suis, dans la mesure où, si l’on s’en tient au discours officiel du gouvernement centrafricain et de la Minusca, le plan de sécurisation du territoire ne permettait pas que les rebelles puissent se retrouver aux portes de Bangui. Mais en même temps, les rebelles ont fait montre d’un ensemble de tactiques innovantes. Par exemple, en utilisant des routes secondaires ou des couloirs de transhumance habituels, pour échapper à la surveillance des forces gouvernementales et des forces onusiennes, qui soutiennent le gouvernement centrafricain. Ce ne sont donc pas des colonnes de pick-up qui descendent sur des axes, comme on l’a vu dans le passé, mais des hommes à moto, qui contournent les positions des Faca. Pourquoi ? Faute de moyens, faute d’armements lourds ? Probablement, faute de moyens et d’armements lourds, mais parce qu’ils ont probablement fait une analyse, également, du rapport de force. Ils sont conscients que, face à la présence de 12 000 casques bleus, équipés de blindés, d’hélicoptères, la présence de centaines de soldats russes et plus d’un millier de soldats rwandais, en plus des Faca, ils ne pouvaient pas aller dans le combat frontal. Ils risqueraient de souffrir une défaite, du fait de cette asymétrie de forces. Ils sont capables, en tout cas, de mener des attaques coordonnées sur plusieurs axes… Tout à fait. Et cela ne traduit pas nécessairement un niveau de coordination très élevé. Il semblerait plutôt que, même si l’attaque de Bangui s’est déroulée de façon coordonnée, au sein même de cette coalition, des problèmes de commandement, chaîne de commandement et problèmes de logistique commencent à voir le jour. Comment interprétez-vous ces attaques ? Soit, il pourrait s’agir d’attaques dans une tactique visant davantage à couper la capitale du reste du pays, à asphyxier économiquement la capitale, de manière à démontrer aux yeux de la Communauté régionale et internationale que le président actuel n’est que le président de Bangui et donc le forcer à la table du dialogue. Mais peut-être aussi que la coalition rebelle, comme elle le prétend, voudrait réellement s’emparer du pouvoir et userait alors, à ce moment, d’une technique de guerre d’usure, visant à mener une campagne asymétrique aux portes mêmes de la capitale et à installer le découragement et le doute, tant à l’intérieur des forces armées centrafricaines, que parmi les forces bilatérales russes et rwandaises, qui soutiennent le gouvernement centrafricain. Par ailleurs, l’offensive rebelle récente sur Bangui pourrait aussi s’expliquer par une volonté de marquer les esprits, ou de jouer avec la psychologie des juges de la Cour constitutionnelle, alors que cette institution est appelée à proclamer les résultats définitifs des élections dans les prochains jours et à décider de l’annulation, ou non, de l’élection présidentielle. Il me semble que nous devrions attendre, pour savoir si, là, les rebelles ont démontré leur capacité ultime ou s’il ne s’agissait que de répétitions, en vue d’attaques de plus grande envergure, dans les jours ou semaines à venir. Et du côté des forces progouvernementales, quel est l’état de la coopération sur le terrain, entre la Minusca et les forces étrangères, notamment russes et rwandaises ? La question que vous posez est épineuse, parce qu’effectivement, c’est l’une des rares fois dans l’histoire des missions de paix, au monde, où l’on voit une force des Nations unies combattre côte à côte avec des forces bilatérales étrangères, mais aussi des forces beaucoup plus privées, comme par exemple des forces de la société Wagner, appartenant à la Russie. Ces relations sont des relations de coexistence, pour le moment. Il se trouve des configurations où la Minusca est obligée de combattre côte à côte avec ces différentes forces et donc d’organiser une forme de coopération dans le « command and control » entre ces différentes forces et la Minusca. Et d’autres, où la Minusca s’est montrée réticente à combattre côte à côte avec les forces en question. Je pense, par exemple, à certaines localités dans l’arrière-pays, comme, par exemple, Mbaïki, Boali et Damara. Il est question d’un renfort sous-régional. Or, on a beaucoup dit que le président Touadéra était isolé sur cette scène sous-régionale. Cette force, il ne sera pas facile qu’elle soit mise en œuvre. Parce que, d’un, certains pays de la sous-région -sans les nommer-, ont une attitude pas toujours favorable vis-à-vis du président en place. Il n’est pas certain que les contingents venant de ces pays puissent être acceptés facilement à Bangui. Et enfin, parce qu’au plan politique, la sous-région elle-même est divisée sur la manière dont elle appréhende le problème centrafricain. On sait, par exemple, que le Congo Brazzaville soutient un dialogue inclusif, mais sous contrôle de la CEEAC. Le président Touadéra, lui, semble opposé à cette forme de tutelle sous-régionale, dans le cadre d’un dialogue, qui, à son regard, devrait être entre Centrafricains.
« Les militants du Mouvement Cœurs Unis peuvent fêter leur victoire, pointe Le Monde Afrique. À Bangui, la capitale centrafricaine, l’ANE, l’Autorité nationale des élections, a annoncé hier dans la soirée les résultats provisoires du scrutin présidentiel et législatif du 27 décembre : leur candidat, le président sortant, Faustin-Archange Touadéra, l’emporte au premier tour avec 53,92 % des voix au terme d’un cycle électoral mouvementé. Les résultats définitifs doivent être publiés le 19 janvier, après examen des éventuels recours. Mais, déjà, les contestations pleuvent. » En effet, relève Afrik.com, arrivé « en deuxième position, l’ancien Premier ministre, Anicet Georges Dologuélé, crédité de 21,01 % des voix, affirme : ‘c’est une farce, il y a eu de nombreuses irrégularités et fraudes’. » Par ailleurs, poursuit Afrik.com, « grande préoccupation depuis le 27 décembre, le taux de participation à cette élection s’élève tout de même à 76,31 %, selon les calculs de l’ANE. Ce chiffre pourrait paraître fort surprenant », s’exclame le site panafricain. « En effet, il est clairement ressorti, au soir du 27 décembre, que de nombreuses localités n’avaient pas pu participer aux opérations électorales, du fait de la présence des groupes rebelles armés qui occupent les 2/3 du territoire centrafricain et qui ont ouvertement promis d’empêcher le déroulement du scrutin. D’où l’ANE a-t-elle alors tiré ce taux de participation ?, s’interroge Afrik.com. La question reste entière. » Un pays éclaté En effet, pointe le site d’information Oubangui Médias, « la République centrafricaine est réduite à Bangui, la capitale. (…) De Garoua Boulay à Boali en passant par Bouar, Berberati ou encore Mbaiki, on constate une absence totale de l’administration et des Forces de Défense et de Sécurité. (…) Et Bangassou, Boda ou Bossangoa sont sous la coupe de la Coalition des Patriotes Centrafricains, la CPC qui réclame un dialogue que le pouvoir de Bangui annonce après la proclamation définitive des résultats par la Cour Constitutionnelle d’ici le 19 janvier. » Suspicions… Ce qui fait dire à Ledjely en Guinée que Touadéra a remporté « une victoire au goût insipide. » En effet, affirme le site guinéen, « seule la moitié des bureaux de vote a été prise en compte. Autrement dit, la victoire dont pourrait se prévaloir le président Touadéra ne porte que sur 910.000 électeurs, et non sur les 1,8 millions de Centrafricains inscrits. En termes de légitimité, ce n’est pas fameux. Or, poursuit Ledjely, il s’y ajoute des accusations de fraudes, notamment par le biais d’un recours +massif+ au vote par dérogation, accusations qui ne sont pas nécessairement dénuées de sens. Certes, en Afrique, les opposants sont connus pour être notoirement de mauvaise foi. Mais il convient néanmoins d’admettre que le 27 décembre dernier l’atmosphère volatile qui régnait à Bangui et dans le reste de la Centrafrique est de nature à justifier toutes les suspicions. » Tel Sisyphe… En tout cas, « à présent, pointe Aujourd’hui au Burkina, Touadéra devra désormais œuvrer à ramener la paix dans toute la Centrafrique ballotée par les assauts répétés des groupes armés. Car comment pourrait-il dérouler son projet de société dans un pays occupé par 14 seigneurs de guerre ? Le deuxième défi qui se dresse devant lui reste sans conteste le cas François Bozizé, relève encore Aujourd’hui, qui constitue une menace permanente pour la République. Le patron du Kwa Na Kwa vient de démontrer qu’il n’avait rien perdu de sa capacité de nuisance. Et n’eut été la présence de forces armées étrangères notamment les 13.000 hommes de la MINUSCA, les soldats Rwandais et Russes dont les actions ont permis de repousser plusieurs percées, cette élection serait restée lettre morte. » Alors, « à présent, estime le quotidien ouagalais, il faut aider Touadéra à cesser d’ahaner avec le gros caillou de Sisyphe, par l’instauration de l’État, partout en RCA, pas seulement à Bangui ; il faut aussi reconstituer une vraie armée et organiser un nouveau dialogue national inclusif, dans l’espoir d’empêcher une nouvelle escalade de la violence avec les groupes armés et faire rentrer les bandits dans le rang. »
Rafael tem mais de dez anos de experiência em vendas, trade, marketing online e desenvolvimento de negócios, e ocupa hoje a função de head de marketing, pessoas e exportação da Natural One. Iniciou sua carreira na AB Inbev, onde passou de Trainee Global a Gerente Nacional Corporativo de Refrigerantes. Em 2014 fundou uma Startup, chamada ProCompra e, a partir daí, foi convidado a ocupar a posição de COO em um dos maiores e-commerces de beleza do Brasil, que sob sua liderança assumiu o primeira posição em vendas no mercado brasileiro.
O que a cadeia alimentícia leva de aprendizados e já pode esperar de oportunidades para o próximo ano? Neste episódio, executivos dão um overview de como foi 2020 e falam suas previsões para o próximo ano. Conheça os entrevistados: Gustavo Moreira de Aquino, sócio fundador do Sabores da Índia Rodrigo Barros, CEO da Boali Juntos somos mais fortes!
Felipe é formado em Mecatrônica, criou sua primeira startup aos 15 anos quando desenvolveu um jogo de RPG online monetizado. Desde então nunca mais parou de empreender. Entusiasta e empreendedor nato, dedicou os últimos dez anos para criar e desenvolver projetos de tecnologia disruptiva, tendo três patentes em seu nome.
O convidado é engenheiro de produção formado pela PUC PR especialista em gestão de negócios pela Esade Business School (Espanha), tem mais de 15 anos de experiência no setor industrial de alimentos e bebidas.
O convidado possui mais de 30 anos de experiência no setor de alimentos, tendo atuado nos três elos da cadeia, como Operador, Indústria e Distribuidor. Como Indústria fundou a Miss Daisy e atuou por 16 anos na Sadia/BRF chegando à posição de VP Global Food Services. A partir de 2015, assumiu a posição de sócio e CEO da Delly's Holding. Desde 2009 atua como Conselheiro Independente em empresas do setor de alimentos e é o atual presidente do Instituto Foodservice Brasil (IFB).
A convidada é sócia-diretora da Nutty Bavarian, diretora de microfranquias e relacionamento da ABF e mentora Endeavor.
O convidado é empreendedor da indústria digital desde 1997, foi apontado pela revista Proxxima como uma das personalidades pioneiras da internet brasileira e, pela revista Época Negócios, como um dos pais das startups no Brasil. Alexandre é palestrante e escreve sobre inovação, alimentação, empreendedorismo e terceiro setor.
A convidada, que acumula mais de sete anos de experiência em empresas de alimentos com foco no setor de Food Service é publicitária e pós-graduada em Gestão de Negócios. Camille foi responsável por diversos projetos de inovação durante sua trajetória por indústrias de bens de consumo, é apaixonada pelo poder transformador do alimento e acredita que a indústria tem um papel fundamental para acelerar essa transformação.
O convidado é responsável por grandes nomes da alta gastronomia paulistana como os restaurantes Attimo e Kinoshita, além de iniciativas mais casuais como Mercearia do Francês, Hamburgueria Tradi e o Yzakaya Kurá. Como todos empresários do ramo de alimentação, foi atingido pela pandemia e precisou se reinventar.
A convidada, que atua há mais de 20 anos em foodservice, é nutricionista e pós-graduada em Marketing de Serviços com Extensão em Gestão de Empresas de Varejo. É especialista em estratégia, gestão, operações e marketing para alavancagem de negócios. Acumula ainda experiência em gestão de marca, produto, pesquisa & desenvolvimento, comunicação, responsabilidade corporativa, programas de relacionamento e eventos.
O convidado é engenheiro de alimentos pela Unicamp, sócio fundador e CTO da R & S BLUMOS, que traz soluções em proteínas alternativas, grãos ancestrais germinados, novas tecnologias naturais para redução de calorias e diversos ingredientes naturais para substituição de aditivos artificiais em alimentos e bebidas.
A convidada acumula mais de 25 anos de experiência em foodservice. Foi executiva em grandes multinacionais como o Compass Group e Arby's Restaurant Group e em empresas nacionais como Sapore, Luft Foodservice e Liotécnica. É coach e mentora de executivos, realiza palestras sobre tendências do foodservice e participa dos grupos de foodservice da ABF e ABIA. Há mais de quatro anos é uma das representantes do Brasil no Global Summit da National Restaurant Association (NRA). Seu propósito é contribuir ativamente para a evolução do mercado de foodservice, compartilhar sucesso com felicidade e catalizar o progresso dos clientes e de sua equipe.
O interesse da convidada pela saúde surgiu ainda na adolescência. Aos 15 anos, Bianca teve anorexia e só conseguia comer cenoura. Ao se curar, a busca por uma alimentação equilibrada virou meta. Ela fez cursos de nutrição e escolhia a dedo o que entrava em sua casa. Mas foi só quando tirou férias no Havaí, em 2013, que conheceu os sucos prensados e pensou neles como negócio. Viajante animada e ultra antenada, ela resolveu trazer o conceito para o Brasil e fundou a Greenpeople como seu sonho pessoal e profissional.
O convidado é sócio-fundador da Food Consulting, uma das mais importantes consultorias especializadas no mercado de Foodservice no país. Atua como conselheiro, consultor, docente e curador com uma ampla carteira de mais de 100 empresas nos últimos cinco anos, em segmentos como Indústrias de Alimentos e Bebidas, Canais de Distribuição, Operadores de Foodservice (restaurantes, lanchonetes, padarias, hotéis, etc) e Entidades do Setor.
A convidada é especialista no mercado de alimentos e bebidas, já atuou no agronegócio e promove iniciativas com o objetivo de acelerar a inovação por meio de conexões entre empresas e foodtechs, além de ser a idealizadora e fundadora das edições do evento Food Tech Movement e CEO da Builders Construtoria.
O episódio 11 sobre "O Futuro da Alimentação", é com o idealizador do projeto, Rodrigo Barros e Rodrigo Andrade que é um profissional da área de tecnologia com expertise em varejo e já atuou em grandes empresas no Brasil. Hoje é diretor da Linx, e é responsável pelas estratégias e soluções de tecnologia para o mercado de food service.
O convidado é fundador e CEO da startup Eats For You, considerada uma das 100 Ideias mais inspiradoras do mundo pois promove inclusão produtiva, revoluciona o sistema de produção e logística de alimentos preparados.
O episódio 9 sobre "O Futuro da Alimentação" é conduzido por Rodrigo Barros, CEO da Boali e a convidada Regina Coppo, fundadora e CEO da Yo.u Foods (@you_foods), a startup com o projeto v
Ele é um empreendedor social, ativista, articula programas e ações em combate à má nutrição e pelo direito da alimentação saudável mais atrativa e acessível e é também um expert em Cloud Kitchen & Plant-Based Food. Formado em hotelaria, visionário e apaixonado por gastronomia, trouxe o grupo Matthew Kenney Cuisine ao Brasil e implantou no início da pandemia um novo conceito de hospitalidade digital. Junto com sua esposa Daniele Zuckerman, construíram um hub de negócios Plant-Based, o Grupo Planta, investindo e aproximando investidores a foodtechs do setor e operando marcas como o PlantMade, Green Kitchen, Why Not by NotCo e outras marcas nos setores de restaurantes, delivery, produção e distribuição.
Ele já atua há 20 anos nesse mercado, já liderou vários restaurantes próprios em São Paulo, dentre eles: Zena Caffè, Negroni, Estepe e Itsu; também atuou no operacional e foi Maitre do programa de TV Hell's Kitchen, há 6 anos é professor e conselheiro da ONG Chefs Especiais, voltada a inclusão de pessoas com síndrome de down na gastronomia e atualmente ministra palestras e cursos sobre delivery eficiente e estratégico, e trará para nós uma visão do futuro do delivery para a alimentação.
Em nosso episódio 6 sobre "O Futuro da Alimentação", o Rodrigo Barros CEO da Boali Brasil fez o bate papo com o Daniel Avanzi que é o CEO e fundador da Moove e Inove Nutrition, Ele lidera negócios na área de alimentação funcional há 8 anos, compartilhará conosco a sua experiência e sobre a evolução do mercado de bebidas funcionais aqui no Brasil.
Em nosso episódio 5 sobre "O Futuro da Alimentação", o CEO da Boali Brasil Rodrigo Barros, receberá Rodrigo Polesso (@rodrigopolesso) que é o autor do best seller sobre a alimentação forte. O convidado também é certificado em Nutrição Otimizada para Saúde e Bem Estar na Universidade Estadual de San Diego na Califórnia, tem mais de 1,3 milhões de inscritos no YouTube com diversos conteúdos sobre os resultados da boa alimentação no cotidiano.
Em nosso episódio 4 sobre "O Futuro da Alimentação", o CEO da Boali Brasil Rodrigo Barros , receberá a Dra. Katia Santana (@dra.katia.oftalmo) que é médica especialista em oftalmologia em unidades do hospital São Camilo com especialização pela Faculdade de Ciências Médicas da Santa Casa de São Paulo (FCMSCSP) e falará conosco sobre o impacto da boa alimentação na prevenção de diversas doenças da visão, que têm se agravado e aumentado com o decorrer dos anos.
Em nosso episódio 3 sobre "O Futuro da Alimentação", o CEO da Boali Brasil Rodrigo Barros, recebeu o Gustavo Guadagnini que é o diretor no Brasil do The Good Food Institute e autor do TED Talk sobre a revolução no seu prato.
Estamos iniciando a série de talks sobre o “ Futuro da Alimentação”. Em nosso episódio 1, o idealizador do projeto Rodrigo Barros, CEO da Boali Brasil, receberá o Chef Bruno Caraça, que com suas formações em Relações Internacionais com Especialização em Epidemiologia e Contenção Econômica Internacional, Gastronomia com especialização em Alimentação Funcional, e também com toda sua experiência de pesquisas irá nos ajudar a entender como componentes de uma dieta pode afetar nossos genes, saúde e imunidade.
BrilhoCast 10 - As 9 Tendências Disruptivas para Vender mais!
COMO LIDAR COM PESSOAS PESSIMISTAS? - PARTE 2 Veja o que Rodrigo Barros, CEO da BOALI, grupo com mais de 32 de restaurantes saudáveis em 8 estados do Brasil, falou sobre pessoas pessimistas tanto na vida profissional quanto no dia-a-dia pessoal. É sempre bom sabermos o que líderes na prática pensam e como motivam suas equipes no alcance de suas metas. Assista e aprenda mais um pouco. #BORABRILHAR http://www.andreortiz.com.br - A Palestra de Vendas mais Assistida do Brasil - Sob medida para Convenção de Vendas !
BrilhoCast 10 - As 9 Tendências Disruptivas para Vender mais!
ENTREVISTA PARTE 1 - RODRIGO BARROS - CEO BOALI - COMO EMPREENDER DIANTE DAS DIFICULDADES? Dentro de uma van na Inglaterra, indo de Manchester para Liverpool, entrevistei o Presidente de uma das Maiores Redes de Restaurante de Alimentação Saudável do Brasil, o Rodrigo Barros da BOALI. Perguntei para ele quais dicas daria para uma pessoa que deseja começar a EMPREENDER e veja o que ele respondeu. Vamos aprender mais e #BORABRILHAR ! http://www.andreortiz.com.br - A Palestra de Vendas mais Assistida do Brasil - Sob medida para Convenção de Vendas !
Rodrigo Barros, CEO da Boali, entrevista Rodrigo Andrade, diretor da Linx, para falar sobre tecnologia no varejo.
Rodrigo Barros, CEO da Boali, entrevista o franqueador da rede Boali de Fortaleza, que comenta sobre sua experiência como franqueador.
O CEO da Boali, Rodrigo Barros, entrevista Bruno Romano, um comediante de empresas.
O CEO da Boali, Rodrigo Barros, bate um papo com Marcelo Marinis, fundador da Wraps, que comenta sobre o mercado do foodservice do Brasil.
O CEO da Boali, Rodrigo Barros, conversa com Mauricio Vendrusculo, do Brasil Gourmet, que fala sobre soluções tecnológicas no ramo da alimentação saudável.
O CEO da Boali, Rodrigo Barros, conversa Francois Mallard, idealizador do Brasil Gourmet, que comenta sobre o mercado do foodservice no Brasil.
Rodrigo Barros, CEO da Boali, conversa com Giuliano Bittencourt, CEO da Be Green, sobre a primeira fazenda urbana da América Latina, a Be Green.
Rodrigo Barros, CEO da Boali, conversa com Giuliano Bittencourt, CEO da Be Green, sobre gestão horizontal. Escute aqui!
Rodrigo Barros, CEO da Boali, conversa sobre o mundo da alimentação saudável e da franchising.
Rodrigo Barros, CEO da Boali, entrevista um dos principais responsáveis pela manutenção do site Portal do Franchising e discute sobre como se tornar presente nos meios digitais.
Rodrigo Barros, CEO da Boali, dá dicas para você empreender e ser dono do seu próprio negócio
Rodrigo Barros, CEO da Boali, entrevista Gulherme Mynssen, co-fundador e CEO do ChefsC, que fala sobre a era digital no foodservice.
Rodrigo Barros, CEO da Boali, conversa com o fundador do Externa Café, e debatem sobre o empreendedorismo.
Rodrigo Barros, CEO da Boali, comenta sobre o lançamento do 1º Hackathon da Boali! Confira.
Suas escolhas determinam a sua felicidade! Tem dúvidas? Rodrigo Barros, CEO da Boali, afirma que sim. Escute sobre o que ele tem para falar sobre escolhas!
Rodrigo Barros, CEO da Boali, entrevista Hermano Hening, que comenta sobre o futuro político e econômico do Brasil. Ouça aqui!
Rodrigo Barros, CEO da Boali, comenta no novo episódio do podcast da Boali sobre mobilidade sustentável. Confira!
Rodrigo Barros, CEO da Boali, entrevista Murilo Gun, um dos pioneiros da internet, que conta a sua trajetória no mundo dos negócios.
O CEO da Boali, Rodrigo Barros, entrevista o diretor da distribuidora Platlog, que fala sobre as oportunidades do setor logístico no Brasil
Rodrigo Barros, CEO da Boali, traz a definição de inovação no novo podcast da semana!
No episódio de hoje, André Abdala, franqueado da loja Boali em Maceió, conta um pouco da sua experiência como operador. Escute
André Friedheim , CEO da ABF, discute com o CEO da BOALI, Rodrigo Barros, sobre o futuro do franchising no Brasil em 2019.
A Boali é uma rede de restaurantes de alimentação saudável presente em 10 estados do Brasil e mais de 40 lojas. Somos apaixonados por comer bem! O objetivo desse canal é trazer sempre um bate-papo falando do varejo, do franchising, sobre alimentação saudável, inovação, empreendedorismo, entre outros. Divirta-se!
Juntos por uma nação e por um mundo mais Boali. Neste 28º episódio, o franqueador e CEO, Rodrigo Barros, bate um super papo com Ricardo Cruz, fundador da Nação Verde. Eles abrem essa conversa falando sobre gestão horizontal, ambientação do time que chega, falam também sobre comportamentos tóxicos, cultura e inovação, estratégia de expansão, entre outros assuntos. Vem ouvir!
No episódio de hoje o franqueador e CEO, Rodrigo Barros, conversa com Francois Mallard, fundador e diretor de Pesquisa e Desenvolvimento, da Brasil Gourmet, indústria brasileira especializada em processamento de alimentos de alta tecnologia. Francois é um dos maiores especialistas em “Sous vide” (tecnologia francesa de cocção a vácuo, em baixa temperatura e longo tempo) no mundo. Ele tem levado muito sabor e muita qualidade para a casa das pessoas e para os restaurantes, a Boali é um exemplo disso, com comida congelada.
O mercado de alimentação saudável cresce a cada dia e o nível de consciência do consumo aumenta. E é por isso que estamos sempre atentos, não só através das nossas ações com a BOALI, mas também por meio dos nossos parceiros, como o MUNDO VERDE, por exemplo. Hoje quem bate um super papo com o franqueador e CEO Rodrigo Barros, é Lincoln Martins, CEO da Sforza Holding, e a Cláudia Abreu, a nova CEO da Mundo Verde. Eles falam do mercado de healthy food, alimentação consciente, autocuidado, cuidado com o mundo, sobre a operação do mundo verde, food service, conveniência e consistência de experiência para usuário e muito mais.
Tecnologia cada vez mais inserida na vida do consumidor. Chegamos ao episódio 20 do Boali News, em formato podcast, com Rodrigo Andrade, diretor da LINX, maior software house da América Latina em sistemas de gestão para o varejo, grande parceira da Boali quando o assunto é tecnologia. Aqui nos falamos sobre autoatendimento, controle de estoque no ponto de venda, apuração do CMV, recorrência de cliente com aumento do ticket médio, as grandes tendências do PDV aliado a tecnologia e muito mais. Vem ouvir que esse podcast tá recheado com um baita conteúdo de valor!
Rodrigo Barros, sócio da Boali, a maior rede de alimentação saudável do Brasil, conversa com o Murilo sobre toda a sua bagagem de experiências aplicada agora na sua atuação como executivo na empresa.
Conhecer o seu principal Stakeholder é estar perto dele é fundamental para construir uma relação de confiança e gerar resultados positivos. Direto de Fortaleza, o franqueador, Rodrigo Barros, conversa com o franqueado das unidades Boali no Shopping Iguatemi Fortaleza e no Shopping Del Paseo. Eles falam sobre a experiência de empreender, sobre a importância do suporte de um modelo de negócio já consolidado: no marketing, na operação, o supply chan (cadeia de suprimentos) e obviamente, na marca. Vem ouvir!