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L'émission 28 Minutes du 12/02/2024 L'aventurière Caroline Riegel réhabilite les grandes exploratrices « Ce qui m'a frappée chez ces femmes, c'est que, le plus souvent, elles ont passé leur temps à essayer de vendre leur intelligence, le fond de ce qu'elles faisaient plus que la forme. » Originaire d'Alsace, Caroline Riegel suit d'abord une formation d'ingénieure à l'École spéciale des travaux publics. Mais cette vie « entre quatre murs, derrière un ordinateur » ne parvient pas à assouvir son envie d'aventure. De sa première expatriation au Gabon, en passant par l'Ouganda, l'Equateur ou l'Inde, c'est à 32 ans que l'exploratrice rejoint la Société des explorateurs français. Ce qui ne l'empêche pas de ressentir « un sacré sentiment d'infériorité face à des monstres l'exploration. » Il faut dire que l'histoire de l'exploration s'est majoritairement écrite au masculin. Pourtant, les exploratrices existent, parfois célèbres — comme Jane Goodall et Alexandra David-Néel — mais le plus souvent oubliées — comme Gertrude Bell, mentor de Lawrence d'Arabie. Dans « Une histoire des grandes exploratrices », publié aux éditions Glénat, Caroline Riegel fait ainsi le portrait de quarante-cinq aventurières hors du commun, comme un hommage à toutes celles « qui ont fait bouger les lignes de la géographie ». Elle est notre invitée. 33 millions de Français piratés : qui en veut à nos données de santé ? C'est sans doute l'une des fuites de données les plus massives jamais observées en France : la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a révélé que les données de santé de plus de 33 millions de Français avaient fait l'objet d'une cyberattaque, soit celles d'un Français sur deux. En passant par Viamedis et Almerys — deux opérateurs de tiers payant — les pirates ont eu accès à l'état civil, à la date de naissance, au numéro de Sécurité sociale et au nom de l'assureur santé des usagers. Si ces données ne semblent pas « sensibles » a priori, elles peuvent toutefois servir comme appâts lors d'opérations de « phishing ». Ce « hameçonnage » prend l'apparence d'un email d'apparence légitime, mais vise en réalité à soutirer des identifiants ou informations bancaires. Si la CNIL a mis en garde les établissements de santé concernant leur sécurité informatique, certains soulignent que le partage numérique des données de santé ne comporte pas que des risques, et qu'il peut représenter une avancée. Comment concilier progrès et sécurité en la matière ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 12 février 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Début janvier l'Equateur a été plongé dans une crise sécuritaire hors du commun. Affrontements entre bandes rivales de trafiquants de drogue dans les prisons, mutineries : le tout après l'évasion de “Fito”, chef du groupe des Choneros. Près de 200 gardiens de prison ont été pris en otage et des hommes en armes ont débarqué sur le plateau d'une télévision nationale en direct, provoquant un vent de panique dans le pays. Il y a quelques années, l'Equateur était pourtant considéré comme un “havre de paix” dans une région gangrenée par le trafic de drogue. Mais les routes de la cocaïne passent désormais par ce petit pays andin, par où transite désormais 70% de la cocaïne consommée en Europe.Invité : Hervé Bar, directeur des bureaux de l'AFP en Equateur et en Colombie. Réalisation : Clara Guillard avec Edwin Tapia et Carlos Reyes sur le terrain. Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(00:00:39) L'Equateur à son tour déstabilisé par les cartels de la drogue (00:05:06) La campagne présidentielle US vue du côté démocrate: interview de Suzi LeVine
durée : 00:03:06 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Des bandes armées qui mettent le pays à feu et à sang ; le président qui déclare l'état d'urgence... L'Equateur vit une des pires périodes d'insécurité de son histoire récente.
« Les ménages sont coincés dans des maisons qui ne pouvaient pas accueillir trois, quatre familles. Dans le quartier Mpoli, nous avons enregistré cinquante-quatre maisons et dix bureaux de l'État. Mais dans le quartier Basoko, c'est au-delà de cinquante ». Ce témoignage de Martin Suta, président de la société civile de Kwamouth, dans la province du Mai-Ndombe, révèle l'ampleur des dégâts causés par les eaux du fleuve Congo, qui ont quitté leur lit ces derniers jours.Ce débordement a atteint jusqu'à 6,5 mètres au-dessus du niveau moyen de la mer, selon la Régie des voies fluviales (RVF). Il fait des ravages dans toutes les régions côtières de Kinshasa, Ituri, Kongo-central, Tshopo, Equateur, Mai-Ndombe, etc.A Kinshasa par exemple, le pont reliant le quartier Kinsuka à la carrière des grès (Carrigrès) dans la commune de Ngaliema est plongé sous les eaux tumultueuses du fleuve. Cette catastrophe naturelle a jeté de nombreux ménages dans la détresse, obligeant les riverains à payer 500 Fc par jour pour emprunter des pirogues afin de traverser le pont. Autrement, ils doivent entreprendre un long détour via Pompage, un trajet qui, autrefois, ne prenait que cinq minutes. A Mbandaka, dans la province de l'Equateur, les inondations, résultant des pluies incessantes, ont plongé les quartiers d'Ekundé, Basoko, Bongodjo et le territoire de Bikoro dans une situation critique. Les conséquences désastreuses de ces inondations sont particulièrement visibles avec plus de 100 familles se retrouvant sans abri, leurs maisons ayant été emportées par les eaux déchaînées. Ces familles endurent des conditions de vie précaires et inacceptables, dépourvues de tout moyen pour subvenir à leurs besoins fondamentaux. En outre, plusieurs activités commerciales ont été englouties, et le bon fonctionnement de certains ports a été sérieusement compromis.Cette situation dramatique était parmi les principaux thèmes évoqués par le Pape François dimanche 7 janvier 2024 après avoir récité la prière de l'angélus à la place Saint-Pierre à Rome en Italie.Comment expliquer le débordement des eaux du fleuve Congo ? Comment, dans l'avenir, en limiter les dégâts ? Hydrologue, professeur à l'Université de Kinshasa, directeur du Centre des recherches en ressources des eaux du bassin du Congo et de l'école régionale de l'eau, Raphael Tshimanga Muamba, répond à ces questions dans ce nouveau numéro de Podcast réalisé par Bruno Nsaka
Situation d'état d'urgence en Équateur après l'irruption d'un commando armé sur un plateau TV. Le président Noboa a déclaré le pays en état de "conflit armé interne". Une situation de crise sécuritaire, trois jours après l'évasion de Fito, ennemi numéro 1, baron de la drogue et chef du gang le plus puissant de l'Equateur. Les explications de Brice Dugénie, du service international de RTL.
durée : 00:03:06 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Des bandes armées qui mettent le pays à feu et à sang ; le président qui déclare l'état d'urgence... L'Equateur vit une des pires périodes d'insécurité de son histoire récente.
Toute cette semaine, Radio France Internationale donne la parole aux candidats à l'élection présidentielle congolaise. Quels sont leurs projets, quelle est leur ambition ? Tony Bolamba est consultant, c'est un ancien gouverneur de l'Equateur. Il défend un programme basé sur la redistribution, afin de remobiliser les fonctionnaires et de favoriser l'émergence d'une classe moyenne. RFI : Pourquoi êtes-vous candidat à la prochaine élection présidentielle ?Tony Bolamba : Je suis candidat parce que je dois redonner à mon pays tout ce qu'il m'a donné, tout ce qu'il a fait de moi, et j'ai un projet pour mon peuple. Je fus gouverneur de la province de l'Équateur, raison pour laquelle les plans que j'avais pour l'Équateur sur l'austérité, je souhaiterais amener ça au niveau national afin de créer l'équilibre social et de lutter contre l'injustice sociale. Qu'est-ce qui vous choque le plus à l'heure actuelle dans la société congolaise ? C'est le manque d'équité, parce que moi, je trouve inadmissible qu'un député national puisse percevoir 20 000 dollars américains, un sénateur, 50 000 dollars américains. Et ce qui me choque, ce sont les incompréhensions entre toute la classe politique, oubliant que nous n'avons qu'un seul point commun, qui est la RDC. Les injures ont remplacé un vrai projet social pour notre population.C'est ce projet que vous voulez porter ? Je porte le projet de l'austérité afin de faire renaitre l'équité dans mon pays. Si le peuple nous accorde sa confiance, nous commencerons d'abord par diminuer les salaires de toutes les institutions qui perçoivent de 20 000 à 50 000, voire 100 000 dollars américains le mois, et redistribuerons à ceux de nos fonctionnaires et autres employés qui n'ont pas de gros salaires. Si on augmente les salaires des enseignants, ils auront un devoir de résultats : améliorer l'enseignement. On redistribue aux militaires, ils auront un devoir de résultats : protéger le pays. On améliorera les professeurs, les médecins et ainsi de suite. Donc tout ce que nous prendrons à ceux qui ont des salaires, des rémunérations faramineuses, nous les redistribuerons à ceux qui n'en ont pas pour créer une classe moyenne et créer l'équilibre social et l'équité.Qu'est-ce que cette classe moyenne permettrait en République démocratique du Congo, selon vous ? La classe moyenne permettra la consommation, la consommation permettra l'appel aux nouveaux investissements, la classe moyenne permettra l'équilibre familial, parce qu'aujourd'hui, le tissu familial est détruit suite à la pauvreté, raison pour laquelle il faudrait absolument faire renaître cette classe moyenne.Au-delà de ce plan d'austérité, y a-t-il un autre point important de votre programme ? Mon programme ne sera basé que sur le plan d'austérité parce que tout part de l'inégalité sociale et de l'injustice sociale dans notre pays. Aujourd'hui, on parle des groupes armés, on parle des différents maux qui rongent notre pays, tout est dû à la pauvreté. Donc dès que nous mettrons ce plan en application, je pense que nous allons diminuer petit à petit tous les maux qui rongent notre pays.
La Synergie des Missions d'Observation Citoyenne des Élections (SYMOCEL) a levé le voile sur une cartographie révélatrice des poids électoraux des différentes provinces congolaises. À la tête de ce classement se trouve Kinshasa, avec 15% du total des électeurs, suivie par le Nord-Kivu (9%), le Sud Kivu et le Kongo Central (8%). Luc Lutala, coordinateur de la SYMOCEL, souligne l'impact potentiellement décisif de la pleine participation de tous les territoires du Nord-Kivu dans l'enrôlement des électeurs qui aurait pu renforcer davantage la puissance électorale de cette province. Cette mission d'observation électorale présente également un diagramme basé sur la population, mettant en lumière les mêmes provinces (Kinshasa, Nord-Kivu, Sud Kivu, Kongo Central et Ituri), qui figurent dans le top 5 en termes de poids démographique. En se basant uniquement sur les personnes enrôlées, Kinshasa, Nord-Kivu, Kongo Central et Kwilu occupent également les premières places. Luc Lutala soulève une autre problématique majeure : le poids des personnes enrôlées ne correspond pas toujours à celui de la population réelle, questionnant ainsi l'efficacité des opérations de sensibilisation lors de l'enrôlement des électeurs. Le fait que le Kwilu intègre le top 5 soulève des interrogations quant l'influence de la sensibilisation et de la mobilisation sur le taux d'enrôlement des populations. Il met également en lumière des déserts électoraux comme les provinces de l'Equateur, la Tshuapa, la Mongala et de Lomami. Par ailleurs, l'analyse de la SYMOCEL pointe du doigt aussi le nombre important de candidats, notamment pour les législatives nationales où l'on dénombre jusqu'à 51 candidats pour un seul siège. Cette prolifération de candidatures associée à une sensibilisation limitée constitue une contrainte majeure pour l'électeur, divisé entre plusieurs choix. Cette situation fait émerger le poids du régionalisme et de l'appartenance ethnique dans les choix électoraux. Luc Lutala explique tout dans cet entretien:
La SYMOCEL (Synergie des Missions d'Observation Citoyenne des Élections) a récemment présenté une cartographie révélatrice des poids électoraux des différentes provinces de la République Démocratique du Congo. Selon ces données, Kinshasa occupe la première place avec 15% du total des électeurs, suivie par le Nord-Kivu avec 9%, puis le Sud Kivu et le Kongo Central, chacun avec 8%. Luc Lutala, coordinateur de la SYMOCEL, souligne : « Si tous les territoires du Nord-Kivu étaient impliqués dans l'enrôlement des électeurs, cette province aurait encore plus de puissance électorale », lors d'une entrevue avec ACTUALITE.CD. Cette mission d'observation électorale a également présenté un diagramme basé sur la population, où les provinces de Kinshasa, Nord-Kivu, Sud Kivu, Kongo Central et Ituri se retrouvent en tête du classement. En revanche, en se basant uniquement sur les personnes enrôlées, Kinshasa, Nord-Kivu, Kongo Central et Kwilu dominent le Top 5. « Le poids des enrôlés n'est pas proportionnel au poids de la population. Cela interroge sur les opérations de sensibilisation lors de l'enrôlement des électeurs. L'entrée du Kwilu dans le top 5 soulève des questions sur le taux d'enrôlement des populations », explique Luc Lutala, notant également des déserts électoraux dans des provinces telles que l'Equateur, la Tshuapa, la Mongala et de Lomami. Parmi les points importants de cette analyse figure le nombre élevé de candidats aux législatives nationales : « Le nombre de candidats a augmenté et on a une faible proportion de personnes sensibilisées. Cela va exercer une forte contrainte sur l'électeur. Il sera partagé sur plusieurs candidats. C'est dans ce contexte qu'émerge le poids du régionalisme et de l'ethnie », conclut-il
Avant Florence Amaudru, elle était prof. Aujourd'hui elle vit en tant que digital nomade depuis l'Equateur avec Guillaume, son petit ami. Partir, ils en rêvent depuis plusieurs années et ce n'est pas faute d'avoir essayé de tout plaquer pour découvrir l'Amérique du Sud : la première fois, une mise en disponibilité de l'éducation nationale accordée verbalement lui est retirée quelques mois après son arrivée en Colombie et Florence doit rentrer en catastrophe retrouver ses élèves ; puis lors de la tentative suivante la pandémie du Coronavirus éclate au bout de 15 jours et après un mois confinés en Argentine, elle et Guillaume décident de rentrer. Mais cette fois-ci, c'est la bonne !Pour Florence, l'année passée fut pleine d'accomplissements. Parmi lesquels une démission de l'éducation nationale, la création de son entreprise, et enfin ... le départ qu'elle et son conjoint attendaient depuis si longtemps vers l'Equateur. Florence m'a annoncé son départ à venir au printemps 2022, alors je lui ai proposé de me raconter son cheminement par messages audios interposés et de venir faire le point une fois sur place. Et c'est à un voyage aussi bien géographique et culturel qu'intérieur que je vous invite aujourd'hui. Un épisode ensoleillé et positif !Plus d'infos sur le podcast de Florence, Avant j'étais prof, le podcast sur la reconversion des profs juste ici https://podcast.ausha.co/avant-jetais-profRetrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
Après plusieurs mois en Amérique du Sud, Anthony et Anne-Ségolène continuent leur périople à la rencontre des enfants fragilisées dans des centres spécialisés. Au fils du temps, ils parcourent La Colombie, l'Equateur pour arriver au Pérou. Sauf que quelques semaines après leur arrivée, le pays est complètement retournée, dévastée par une crise politique et sociale. Ils se retrouvent donc pris au piège par des routes bloquées par des "paro". Ils reviennent longuement sur ce moment difficile et comment ils ont pu finalement quitté le pays, sains et saufs. Vous pouvez écouter tous les épisodes du Projet FAMILARE sur parents-voyageurs.
Nous vous en parlions sur la chaîne il y a peu de temps, le Sri Lanka, un petit État insulaire situé à la pointe de l'Inde vient de faire défaut sur l'ensemble de sa dette extérieure. Face à une crise économique inédite et à la colère de la population, le gouvernement a quitté le pays. Le 12 avril dernier, privé de ressources sanitaires, alimentaires et financières, le Sri Lanka a annoncé à ses créanciers internationaux qu'il ne rembourserait pas ses dettes, une échéance de 4 milliards de dollars, sur un prêt de 51 milliards accordé par le FMI. Les conséquences de ce genre d'incident sont lourdes sur les marchés internationaux, et elles commencent à être bien connues, car depuis le début de la crise sanitaire, de nombreux pays en voie de développement, les plus vulnérables, se retrouvent eux aussi pris à la gorge par leur endettement. Le Liban, la Zambie, l'Equateur, Belize ou le Suriname ont tous fait défaut au cours des deux dernières années, dont 2 fois pour la Zambie, et aujourd'hui, je vais vous présenter les 10 pays qui ont le plus de chance de suivre le même chemin cette année.
Les Sénégalais ont réussi leur défi : remporter leur dernier match de poule face à l'Equateur (2-1), pour franchir le premier tour du Mondial, une première depuis 2002.
Dans un match sous tension, le Sénégal a arraché sa qualification pour les huitièmes de finale face à l'Equateur. Au programme des hommes d'Aliou Cissé, l'Angleterre de Gareth Southgate. Qualifiés sans difficulté dans leur groupe, les Three Lions ne font pas forte impression. Les coéquipiers de Kalidou Koulibaly peuvent-ils faire l'exploit ? Comment le Sénégal dot-il aborder ce huitième ?
Debrief de la journée de Coupe du Monde entre l'Equateur et le Sénégal. Le Sénégal de Kalidou Koulibaly, héros sénégalais, se qualifie pour les huitièmes de finale de la Coupe du Monde.
Avec des Lions qui ont sorti les griffes hier, en l'occurrence les Lions de l'Atlas, qui ont terrassé les Diables rouges de Belgique. « Les Lions de l'Atlas rugissent et s'imposent 2 à 0 face à la sélection belge », s'exclame le site du magazine marocain Tel Quel. « Le Maroc renverse la Belgique et s'accroche à la qualification », se réjouit le site marocain Yabiladi. « Avec deux buts sans réponse, contre les demi-finalistes du dernier Mondial, logés à la deuxième place du classement de la FIFA. Une belle performance pour les Lions de l'Atlas qui devront confirmer leur état de forme contre le Canada, jeudi prochain. » « En réalité, relève Aujourd'hui à Ouaga, ce score de 2 buts à 0 n'est que la juste sanction d'une confrontation restée sous le contrôle des Fauves marocains, soutenus à bras-le-corps par un public acquis à sa cause. Dans cet environnement favorable aux Lions de l'Atlas (tout comme aux Aigles de Carthage), il n'est pas exclu que les sujets de sa Majesté, conduits par un Hakim Ziyech éclaboussant, sortent le grand jeu tant espéré par ce continent africain, qui nourrit le secret espoir de voir son rêve de reconnaissance porter au firmament du toit mondial du football. » Nouvelle répartition des cartes ? En effet, remarque encore Aujourd'hui, « à ce Mondial du Qatar 2022, tout semble indiquer que le football est en train d'opérer sa mue vers une nouvelle répartition des cartes. L'Argentine de Lionel Messi qui tombe devant l'Arabie Saoudite, l'Allemagne qui fait allégeance au Japon… chaque journée de Coupe du monde y va de son surprenant feu d'artifice magique. » Alors, maintenant, lance WakatSéra, toujours au Burkina Faso, « aux Lions Indomptables du Cameroun et aux Black Stars du Ghana de mettre, ce lundi, respectivement face aux Serbes et aux Sud-Coréens, les pieds dans les sillons tracés par les Marocains ce dimanche et les Sénégalais qui, vendredi, ont battu et éliminé le Qatar, pays hôte. Certes, les rendez-vous seront de plus en plus à risque, vu que chaque adversaire vise la qualification qui se joue sur chaque match. Mais tout comme les autres équipes, les Africains doivent défendre les couleurs du continent noir qui ne doit plus se contenter d'exploits épisodiques. Le titre est mondial et n'est la propriété exclusive d'aucune partie de la planète ! » Le Cameroun toujours en piste Face à la Serbie, et malgré leur défaire face à la Suisse, les Camerounais veulent y croire… Pour Joël Babanda, l'ancien avant-centre de L'Union de Douala, interrogé par le site camerounais 237 Lions, « il faudra de la solidité, de l'agressivité et répondre aux défis physiques pour être collectivement présents autant offensivement que défensivement. Personne n'est imprenable. On doit être convaincu, renchérit-il, que la Serbie est à notre portée et on doit aller jouer ce match pour la gagne. » Le Sénégal joue son va-tout Les regards sont fixés aussi sur le Sénégal, qui joue contre l'Equateur demain mardi… Le Sénégal qui joue son va-tout après sa victoire face au Qatar et sa défaite face aux Pays-Bas. Pour le défenseur des Lions, Youssouf Sabaly, interrogé par WalfQuotidien, « il faudra être bon physiquement et dans le jeu face à ce genre d'équipes sud-américaines. » Et « il faudra faire un peu plus d'efforts pour pouvoir créer des occasions. Contre le Qatar, on a prouvé que quand on peut créer des situations, on peut mettre des buts. » Mais attention, relève WalfQuotidien, « le Sénégal est réputé physique dans son jeu. Et dans cette Coupe du monde, les Lions n'ont pas dérogé à la règle. Comme le confirment les 5 cartons jaunes reçus en deux matches dont quatre sont allés à des joueurs à vocation défensive. Tous sont sous la menace d'une suspension dans un éventuel 8e de finale en cas d'un autre avertissement contre l'Equateur. » Des portiers africains efficaces… Enfin, facteur positif pour les équipes du continent : leurs gardiens… « Depuis le début du Mondial, les portiers africains ont fait bonne impression, relève Le Monde Afrique. Ce n'est pas un hasard : la plupart jouent dans de grands clubs européens. » Exemples : « Face à la Croatie, le Marocain Yassine Bounou a repoussé, à plusieurs reprises, des frappes adverses. » Ou encore, « contre la Suisse, le Camerounais André Onana a empêché les Lions indomptables de concéder plus de buts. (…) Lors de ce Mondial au Qatar, on constate qu'une équipe nationale ne peut pas avoir un beau parcours 'sans avoir un excellent gardien', atteste Claude Le Roy, ancien sélectionneur qui a dirigé six sélections africaines. 'Quand nous avons remporté la CAN 88 avec le Cameroun, c'est parce que le nôtre – Joseph-Antoine Bell – était de très haut niveau. Et comme le Sénégal, le Cameroun et le Maroc ont de très bons spécialistes à ce poste, ils peuvent normalement avoir quelques ambitions…' »
Avec des Lions qui ont sorti les griffes hier, en l'occurrence les Lions de l'Atlas, qui ont terrassé les Diables rouges de Belgique. « Les Lions de l'Atlas rugissent et s'imposent 2 à 0 face à la sélection belge », s'exclame le site du magazine marocain Tel Quel. « Le Maroc renverse la Belgique et s'accroche à la qualification », se réjouit le site marocain Yabiladi. « Avec deux buts sans réponse, contre les demi-finalistes du dernier Mondial, logés à la deuxième place du classement de la FIFA. Une belle performance pour les Lions de l'Atlas qui devront confirmer leur état de forme contre le Canada, jeudi prochain. » « En réalité, relève Aujourd'hui à Ouaga, ce score de 2 buts à 0 n'est que la juste sanction d'une confrontation restée sous le contrôle des Fauves marocains, soutenus à bras-le-corps par un public acquis à sa cause. Dans cet environnement favorable aux Lions de l'Atlas (tout comme aux Aigles de Carthage), il n'est pas exclu que les sujets de sa Majesté, conduits par un Hakim Ziyech éclaboussant, sortent le grand jeu tant espéré par ce continent africain, qui nourrit le secret espoir de voir son rêve de reconnaissance porter au firmament du toit mondial du football. » Nouvelle répartition des cartes ? En effet, remarque encore Aujourd'hui, « à ce Mondial du Qatar 2022, tout semble indiquer que le football est en train d'opérer sa mue vers une nouvelle répartition des cartes. L'Argentine de Lionel Messi qui tombe devant l'Arabie Saoudite, l'Allemagne qui fait allégeance au Japon… chaque journée de Coupe du monde y va de son surprenant feu d'artifice magique. » Alors, maintenant, lance WakatSéra, toujours au Burkina Faso, « aux Lions Indomptables du Cameroun et aux Black Stars du Ghana de mettre, ce lundi, respectivement face aux Serbes et aux Sud-Coréens, les pieds dans les sillons tracés par les Marocains ce dimanche et les Sénégalais qui, vendredi, ont battu et éliminé le Qatar, pays hôte. Certes, les rendez-vous seront de plus en plus à risque, vu que chaque adversaire vise la qualification qui se joue sur chaque match. Mais tout comme les autres équipes, les Africains doivent défendre les couleurs du continent noir qui ne doit plus se contenter d'exploits épisodiques. Le titre est mondial et n'est la propriété exclusive d'aucune partie de la planète ! » Le Cameroun toujours en piste Face à la Serbie, et malgré leur défaire face à la Suisse, les Camerounais veulent y croire… Pour Joël Babanda, l'ancien avant-centre de L'Union de Douala, interrogé par le site camerounais 237 Lions, « il faudra de la solidité, de l'agressivité et répondre aux défis physiques pour être collectivement présents autant offensivement que défensivement. Personne n'est imprenable. On doit être convaincu, renchérit-il, que la Serbie est à notre portée et on doit aller jouer ce match pour la gagne. » Le Sénégal joue son va-tout Les regards sont fixés aussi sur le Sénégal, qui joue contre l'Equateur demain mardi… Le Sénégal qui joue son va-tout après sa victoire face au Qatar et sa défaite face aux Pays-Bas. Pour le défenseur des Lions, Youssouf Sabaly, interrogé par WalfQuotidien, « il faudra être bon physiquement et dans le jeu face à ce genre d'équipes sud-américaines. » Et « il faudra faire un peu plus d'efforts pour pouvoir créer des occasions. Contre le Qatar, on a prouvé que quand on peut créer des situations, on peut mettre des buts. » Mais attention, relève WalfQuotidien, « le Sénégal est réputé physique dans son jeu. Et dans cette Coupe du monde, les Lions n'ont pas dérogé à la règle. Comme le confirment les 5 cartons jaunes reçus en deux matches dont quatre sont allés à des joueurs à vocation défensive. Tous sont sous la menace d'une suspension dans un éventuel 8e de finale en cas d'un autre avertissement contre l'Equateur. » Des portiers africains efficaces… Enfin, facteur positif pour les équipes du continent : leurs gardiens… « Depuis le début du Mondial, les portiers africains ont fait bonne impression, relève Le Monde Afrique. Ce n'est pas un hasard : la plupart jouent dans de grands clubs européens. » Exemples : « Face à la Croatie, le Marocain Yassine Bounou a repoussé, à plusieurs reprises, des frappes adverses. » Ou encore, « contre la Suisse, le Camerounais André Onana a empêché les Lions indomptables de concéder plus de buts. (…) Lors de ce Mondial au Qatar, on constate qu'une équipe nationale ne peut pas avoir un beau parcours 'sans avoir un excellent gardien', atteste Claude Le Roy, ancien sélectionneur qui a dirigé six sélections africaines. 'Quand nous avons remporté la CAN 88 avec le Cameroun, c'est parce que le nôtre – Joseph-Antoine Bell – était de très haut niveau. Et comme le Sénégal, le Cameroun et le Maroc ont de très bons spécialistes à ce poste, ils peuvent normalement avoir quelques ambitions…' »
Les joueurs du Sénégal, opposé ce mardi à l'Equateur lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar, sont surnommés les Lions de la Teranga. Savez-vous pourquoi ? La réponse en moins de deux minutes dans le podcast "Tu veux une médaille" ? "Tu veux une médaille ?" est un podcast Eurosport, écrit et présenté par Clément Lefebvre et produit par Bababam.Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Pour les autres épisodes de "Tu veux une médaille ?" c'est ici, sur :SpotifyEurosport PodcastApple PodcastsDeezer Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En France, le Code pénal punit la maltraitance animale, sauf pour les taureaux, là « où une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. » La France est l'un des huit pays du monde où des corridas sont encore organisées avec l'Espagne, le Portugal, la Colombie, le Mexique, l'Equateur, le Pérou et le Venezuela, parfois avec des restrictions. Une centaine de corridas sont organisées chaque année en France, "ce qui représente moins de 1.000 toros" tués par an, selon André Viard, président de l'Observatoire national des cultures taurines (ONCT). Un nombre selon lui constant depuis plus de 15 ans qui s'accompagne selon lui de la vente de quelque 435.000 entrées dans les arènes en 2022. Le sujet fait de nouveau débat, car le député de la France Insoumise Aymeric Caron, défend un texte de loi demandant l'interdiction totale de la corrida, qui sera examiné jeudi. Tradition culturelle à préserver pour les uns, spectacle immoral à interdire pour les autres… cette nouvelle initiative a entraîné de nombreuses manifestations et le dépôt de 500 amendements. Avec sur le terrain Camille Cassou, Benoît Ducrocq, Sofiane Ouanes et Benoît Petit. Réalisation: Camille Kauffmann Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
Je vous livre le commentaire du site maxifoot.fr consacré à l'audimat du 1er match du mondial sur TF1 : « Malgré les nombreuses polémiques autour de la Coupe du monde 2022 au Qatar et une affiche entre deux pays mineurs dans le monde du football, le match d'ouverture entre le Qatar et l'Equateur (0-2) a réalisé […]
Dimanche 20 novembre, à l'occasion du match inaugural de Coupe du Monde de la FIFA 2022 au Qatar, l'équipe du Qatar rencontre celle de l'Equateur. Occasion d'une découverte de ce pays d'Amérique du Sud et de Quito, sa capitale, cise à 2900 mètres d'altitude.
Dans un mois, c'est le coup d'envoi de la Coupe du Monde ! Le Qatar, pays organisateur, affronte l'Equateur en match d'ouverture. Pour l'instant, ce mondial attire surtout les polémiques entre les questions écologiques, de respect des droits humains et les soupçons de corruption sur le choix du Qatar comme pays hôte. Dans Sur le fil, je vous propose un pas de côté, pour comprendre pourquoi ce pays du golfe souhaitait accueillir cette Coupe du Monde sur son sol. Comment ce petit émirat de moins de 3 millions d'habitants dont 90% d'étrangers, a-t-il fait du sport en général et du football en particulier un pilier de sa stratégie d'influence à l'international, de son soft power ? Invités : Raphaëlle Peltier, journaliste à l'AFP, basée à Doha et Raphaël Le Magoariec, géopolitologue au sein de l'équipe Monde Arabe et Méditerranée à l'Université de Tours, qui finit une thèse sur le sport dans la géopolitique des pays du Golfe et co-auteur, avec Nabil Ennasri, de “L'empire du Qatar. Le nouveau maître du jeu ?" Interview et réalisation : Antoine Boyer Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Nous aimons avoir de vos nouvelles. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Ne manquez pas nos épisodes inédits de "Slow fil", la version longue de Sur le fil.
Au programme de ce nouvel épisode de La Potion : polyphonies chamaniques du peuple aborigène Bunun de Taïwan ; les chants quechua, masques rituels et autres petites flûtes trop cute du collectif Humazapas, et les danses mystiques du maître coréen Yi Chul-Jin. Depuis 25 ans, le Festival de l'Imaginaire s'attache à transmettre des « témoignages du génie des peuples » selon Chérif Khaznadar, créateur du festival et cofondateur de la Maison des Cultures du Monde en 1982. Musique, théâtre, danses, rituels, expositions et conférences : en bref, le Festival de l'Imaginaire joue le rôle de porte-voix des cultures du monde actuel. Dans cet épisode, La Potion rencontre d'abord un groupe de musiciens Bunun, un des seize peuples aborigènes reconnus par l'Etat de Taïwan. Les Bunun vivent dans les montagnes du sud-est de l'île et leurs rites s'articulent autour de la chasse et de la culture du millet. Une culture chamanique et animiste aujourd'hui menacée de disparition faute d'intérêt de la part des nouvelles générations.Jeanne Lacaille vous entraîne ensuite à la rencontre du collectif Humazapas, formé il y a une dizaine d'années sur les flancs du volcan Mama Cotacachi, dans le nord de l'Equateur. Le collectif Humazapas se compose de douze musicien.ne.s, chanteur.euse.s et danseur.euse.s qui ont tous.tes entre 20 et 30 ans. Un collectif jeune, passionné et très dynamique qui s'est donné une mission : sauvegarder, transmettre et garder bien vivantes les traditions musicales de son peuple, le peuple quechua d'Equateur. Dans leur village, ces artistes accompagnent la vie de leur communauté, les temps forts du cycle agricole et les rituels qui les accompagnent, les mariages, les veillées funéraires, et autres fêtes populaires. En bref, un rôle social et politique très important. Les chants et les danses du collectif Humazapas témoignent de la très belle relation que les quechuas entretiennent avec leur environnement, une relation éminemment spirituelle car pour eux, la musique fait le lien entre trois mondes : celui des humains, celui des esprits de la nature et celui des dieux.Enfin, La Potion rencontre le danseur coréen Yi Chul-jin, spécialiste des danses taepyeongmu ("danse de la grande paix"), salpuri ("danse pour chasser les mauvais esprits") et seungmu ("danse des moines"). Trois danses issues des traditions bouddhiques et chamaniques, aujourd'hui considérées comme les formes les plus abouties et les plus esthétiques du répertoire chorégraphique coréen. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:55:01 - Le temps d'un bivouac - par : Daniel FIEVET - Loin du tumulte des humains, l'audio-naturaliste Fernand Deroussen parcourt la planète depuis plus de 30 ans pour enregistrer les sons de la nature. Ouvrez grand les oreilles, du Kenya à la Drôme en passant par l'Equateur, il nous emmène écouter les bruissements et les rugissements du monde. - réalisé par : Etienne BERTIN, Stéphanie TEXIER
L'Equateur est un pays qui compte de nombreux trésors architecturaux mais aussi un patrimoine naturel de toute beauté avec notamment les îles Galápagos. Pour ce voyage vers le plus petit des pays andins, Johanne Dussez reçoit Elizabeth Rojas Gilliand, guide nationale de tourisme en Equateur.
JAZZ INTERVIEW mardi et vendredi à 14h. Cette semaine, Julie Chaizemartin, Serge Mariani ou Fred Blanc rencontrent des personnalités du monde du jazz. Bien qu'elle vive depuis 20 ans en France, c'est de son pays natal, l'Equateur, que la contrebassiste, chanteuse et compositrice Helena Recalde nous fait entendre la musique de son nouvel album qu'elle a intitulé, comme par défi, « Karishina », un mot entre insulte et moquerie qui désigne les femmes incapables d'être de bonnes ménagères. Helena Recalde chante les poèmes qu'elle a écrits pour célébrer le désir de liberté et de respect de son identité qui est ancré en chaque être humain d'où qu'il soit, et son inspiration puise autant aux sources jaillissant des montagnes des Andes qu'à l'Afrique et au Moyen-Orient, d'où viennent aussi les musiciens invités sur son album, sorti ce 10 juin 2022 sur le label Finca Sud / Les Arpie'cultrices. Concert de lancement le 17 juin au Point Fort d'Aubervilliers / Villes de Musiques du Monde. Serge Mariani, Art District Radio . Programmation Campoazul (Afro Blue) / Helena Recalde / album KarishinaOne For Mark / Avishai Cohen / album ContinuoMalala / Henela Recalde / album Karishina
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William Wadoux vient nous présenter, depuis l'Equateur ou il est expat' depuis 1998, son livre "La voie des Eco-villages". William nous explique pour commencer le concept des "Eco-villages", pour recreer une mini société avec une conscience écologique forte. Relations humaines, gouvernance, fonctionnement des villages : William s'appuie sur des exemples qu'il a pu observer depuis l'Equateur. Ecoutez cet échange passionnant !https://www.linkedin.com/in/wwadoux/ ........................................... Podcast produit par StereoChic, la radio des Français dans le monde.Ecoutez la radio depuis le site www.stereochic.fr ou via l'appli gratuite pour Apple & Android .Libre. Indépendant. Soutenez notre media !Aidez la 1ère radio des Français dans le monde en faisant un don à notre association pour nous aider à nous développer. Nous ne vivons que par votre aide & par ceux de nos partenaires. https://www.helloasso.com/associations/stereochic/adhesions/adherez-a-l-association-stereochic & vous pourrez défiscalisez 66% de votre engagement.
Aujourd'hui nous allons faire un tour au Congo Brazza avec mon invité. J'ai l'honneur de recevoir dans le podcast Marien Fauney Ngombé qui est Responsable administratif et financier dans un cabinet d'avocats en France, mais que je reçois comme auteur, promoteur culturel, fondateur et président du think thank Soft Power “Ateliers Citoyens du Congo”. Il publie son dernier roman en septembre 2021 intitulé Tant que l'Equateur passera par Penda aux éditions Les Lettres Mouchetées. Dans notre échange, nous avons entre autres abordé les thématiques suivantes: L'importance du savoir culturel et patrimonial africain Son engagement dans vulgarisation et la transmission de ce savoir Les enjeux de l'industrie culturelle et créative en Afrique L'impact du soft power sur les sociétés Certaines de ces thématiques se retrouvent aussi dans le roman de Marien Fauney Ngombé, Tant que l'Equateur passera par Penda. C'est un roman qui questionne les traditions et la modernité en même temps. On y suit le parcours d'un jeune homme qui a vécu dans la bourgeoisie d'un pays qui se trouve en Afrique équatoriale, et dont le destin va basculer à ses 15 ans suite à la mort de son père. Son père a été un membre de la caste dirigeante du pays, caste originaire du village de Penda. Le jeune homme va devoir faire face à la vraie vie, hors de ce cocon de luxe, et devra affronter les challenges de cette dure vie qui, au fond, ressemble au quotidien de la grande majorité des habitants de ce pays. Livres cités dans le Podcast : Dieu- La science- Les preuves: À l'aube d'une révolution de Michel-Yves Bolloré Carte blanche à la lumière : Aller plus loin dans l'évolution de Aurélie Pech d'Arcadie L'étrange destin de Wangrin de Amadou Hampaté Bâ Franklin, l'insoumis de Marien Fauney Ngombé Tant que l'equateur passera par Penda de Marien Fauney et Collectif Épisode du podcast évoqué : "Comprendre les bases du droit d'auteur" avec Me Yvon Laurier Ngombe Toutes les notes lecture de Marien Fauney Ngombé sur Afrolivresque: https://www.afrolivresque.com/author/marienngombe/ Suivre Marien Fauney Ngombé et ses activités: Les ateliers citoyens du Congo : https://atelierscitoyensducongo.com/ Facebook : https://www.facebook.com/andre.matsoua Instagram : https://www.instagram.com/marien_fauney_ngombe/?hl=fr
Les conseils voyages en partenariat avec Terra Group Direction Quito, capitale de l'Equateur : 2850 m d 'altitude, 17 millions d'habitants pour y retrouver Laura qui nous parle des atouts touristiques de l'Equateur, elle est gérante de Terra Ecuador. Née au Maroc, pére Français et mére Espagnole, Laura est une citoyenne du monde : après le BAC, il y a eu la France, l'Irlande, l'Espagne, le Chili, plus récemment la Colombie et maintenant depuis 3 ans 1/2, l'Equateur. Laura donne 3 conseils à faire une fois sur place et 3 infos pratiques pour réussir votre voyage.https://www.instagram.com/voyages.sur.mesure/ ........................................... Podcast produit par StereoChic, la radio des Français dans le monde.Ecoutez la radio depuis le site www.stereochic.fr ou via l'appli gratuite pour Apple & Android .Lisez notre dernier communiqué de presseLibre. Indépendant. Soutenez notre media !Aidez la 1ère radio des Français dans le monde en faisant un don à notre association pour nous aider à nous développer. Nous ne vivons que par votre aide & par ceux de nos partenaires. https://www.helloasso.com/associations/stereochic/adhesions/adherez-a-l-association-stereochic & vous pourrez défiscalisez 66% de votre engagement.
Prenons la route de Melbourne en Australie pour retrouver Marie-Emilie, mariée, deux enfants qui nous raconte leur vie loin de leur pays d'origine. Après l'Equateur en solo et un véritable choc culturel, sans parler la langue Espagnole au début, l'expérience a été remarquable. Fin octobre 2017, elle repart avec sa petite famille pour vivre au soleil dans une ville trés agréable : de bonnes infrasctructures, des habitants de bonne humeur, Marie-Emilie raconte sa vie au quotidien.https://www.instagram.com/french_family_expat_melbourne/ ........................................... Podcast produit par StereoChic, la radio des Français dans le monde.Ecoutez la radio depuis le site www.stereochic.fr ou via l'appli gratuite pour Apple & Android .Lisez notre dernier communiqué de presseLibre. Indépendant. Soutenez notre media !Aidez la 1ère radio des Français dans le monde en faisant un don à notre association pour nous aider à nous développer. Nous ne vivons que par votre aide & par ceux de nos partenaires. https://www.helloasso.com/associations/stereochic/adhesions/adherez-a-l-association-stereochic & vous pourrez défiscalisez 66% de votre engagement.
durée : 00:53:56 - Le temps d'un bivouac - par : Daniel FIEVET - Loin du tumulte des humains, l'audio-naturaliste Fernand Deroussen parcourt la planète depuis plus de 30 ans pour enregistrer les sons de la nature. Ouvrez grand les oreilles, du Kenya à la Drôme en passant par l'Equateur, il nous emmène écouter les bruissements et les rugissements du monde. - réalisé par : Hélène KOUYOUMDJIAN
Episode #18 (partie 1) Jean-Marc Daniel est économiste, Professeur émérite à l'ESCP Business School Paris. Connu pour son insondable culture économique et historique, ses nombreux livres de vulgarisation économique et ses qualités d'éditorialiste et de conférencier, Jean-Marc Daniel est l'économiste complet par excellence. Dans la première partie de cet entretien nous abordons des questions d'ordre général sur l'économie en tant que science et abordons quelques problèmes économiques internationaux. La deuxième partie sera consacrée à son dernier ouvrage sur l'argent magique. Enregistré le 30 novembre 2021 à Paris. Interview et production par Pierre Schweitzer pour Contrepoints. Pensez à vous abonner et faites-nous part de vos commentaires. Vous pouvez soutenir ce travail en faisant un don. Programme : 01:08 - La chronique de Justine Colinet 05:00 - Présentation de l'invité 06:00 - Quelle a été l'évolution de la science économique en tant que discipline ? 11:30 - Quelle place pour les mathématiques en économie ? 17:23 - Pourquoi le consensus scientifique est-il si difficile en économie ? 22:44 - La science économique peut-elle réellement s'abstraire des préjugés politiques de ceux qui la font ? 29:40 - Quel concept économique est-il le plus difficile à faire comprendre à des étudiants ? 33:50 - La balance commerciale nous dit-elle réellement quelque chose sur la richesse d'un pays ? 45:20 - L'Equateur a-t-il vraiment bénéficié de son passage au dollar américain en tant que monnaie officielle ? Liens relatifs à l'émission : Histoire vivante de la pensée économique: Des crises et des hommes (Livre de Jean-Marc Daniel) Histoire de l'économie mondiale: Des chasseurs-cueilleurs aux cybertravailleurs (Livre de Jean-Marc Daniel) Les travaux de Jean-Marc Daniel revus et commentés dans Contrepoints Balance commerciale et abstractions comptables (article de Guillaume Nicoulaud) L'erreur protectionniste : conférence de Jean-Marc Daniel --- Nous contacter : podcast@contrepoints.org pierre.schweitzer@liberaux.org
Dans ce 12ème épisode, découvrez le témoignage de Floriane , partie en Amérique du Sud pendant plus d'un an. Ce voyage lui a reservé de belles surprises, de belles rencontres et surtout lui aura permi de prendre un virage à 180° pour changer de vie. Elle commencera par les Etats-Unis avant de visiter des pays un peu plus exotiques tels que la Colombie, l'Equateur, Le Pérou, Le Nicaragua pour finir dans une destination que je vous reserve dans un autre épisode ... BONNE ECOUTE
Le fleuve qui voulait écrire Les auditions du parlement de Loire Performance & rencontre autour du livre mis en récit par Camille de Toledo Avec Matthieu Duperrex, Sarah Vanuxem & Rodolphe Alexis, Bruno Marmiroli, Virginie Serna & Camille de Toledo Modération : Sophie Joubert Et si un fleuve, Loire, et les divers éléments terrestres écrivaient une constitution ? Et si les entités naturelles, rivières, montagnes, forêts, océans, glaciers et sols… étaient, à force d'exploitation, de prédation, en voie d'inventer leur grammaire, exigeant leur représentation ? Voici les auditions du parlement de Loire, voici l'histoire d'un soulèvement légal terrestre… Avec Les Liens qui Libèrent, Manuella éditions et le Pôle art et urbanisme ____________________ Déroulé de la soirée : 18h30 – HISTOIRE D'UN SOULÈVEMENT DE LA NATURE Avec Matthieu Duperrex, Sarah Vanuxem et l'audiographiste Rodolphe Alexis. En live, on entend des sons du monde, dix tableaux sonores mêlant des voix animales et végétales… et s'entrelaçant avec les voix de ces autres qu'humains, les trois protagonistes, Duperrex, Vanuxem et Toledo racontent, en dix dates, le soulèvement légal de la nature, des textes de Christopher Stone de 1972 jusqu'à la déclaration des droits de Loire en passant par la constitution de l'Equateur, la reconnaissance des fleuves Atrato, Whanganui, Mgapie… 19h30 – LE FLEUVE QUI VOULAIT ÉCRIRE… Avec Bruno Marmiroli, Virginie Serna & Camille de Toledo En partant d'une dizaine de couple-pages extraites du livre, Le fleuve qui voulait écrire, la discussion cherchera à mettre en partage les grandes questions qui naissent de ce soulèvement légal de la nature, notamment en suivant le cas du fleuve Loire et de son bassin versant. Virginie Serna et Bruno Marmiroli ont suivi l'intégralité du processus des auditions du Parlement de Loire. Ils témoigneront d'une évolution des représentations de la nature, dès lors que celle-ci devient sujet, personne, voix… À lire – Camille de Toledo, Le fleuve qui voulait écrire, Manuella Éditions – LLL- Les liens qui libèrent, 2021.
Pour sa première tournée en Amérique latine, Antony Blinken s'est rendu en Equateur et en Colombie. Le début d'une opération reconquête pour le chef de la diplomatie américaine, dans une région où la Chine est de plus en plus influente. La Colombie et l'Equateur sont deux pays amis de Washington, deux des rares pays latino-américains où les Etats-Unis sont encore le premier partenaire commercial, juste devant la Chine. Mais sans doute plus pour très longtemps. L'Empire du milieu, qui domine déjà le commerce en Amérique latine, pourrait rapidement supplanter les Etats-Unis dans ces deux pays qu'il courtise entre autres pour leurs gisements en énergies fossiles, et notamment pour leur charbon, très recherché en ce moment. Le président colombien a même récemment réactivé des mines de charbon pour relancer son économie ravagée par le coronavirus, avec la certitude de trouver un débouché sur le marché chinois. Pendant la pandémie, Pékin a marqué des points avec une vigoureuse diplomatie vaccinale. L'Equateur a reçu récemment 2 millions de doses made in usa, les Chinois eux avaient déjà expédié 13 millions de vaccins sur place. Quito veut boucler un accord de libre échange avec les Etats-Unis tout en négociant un accord similaire avec le grand rival asiatique. Comme en Afrique, les Chinois sont allés en Amérique latine, d'abord pour les matières premières Le fer, le cuivre, le soja, le porc, et bien sûr les hydrocarbures sont les principaux produits sud-américains importés par la Chine pour construire ses villes et nourrir sa population. Cela fait vingt ans que la Chine fait ses courses de première nécessité dans cette région ; la guerre commerciale lancée par Donald Trump a décuplé son appétit. Les Chinois sanctionnés par les Etats-Unis leur ont préféré les fournisseurs latinos pour le maïs ou le soja par exemple. Cette année avec le rebond précoce de son économie la Chine a repris ses importations à un rythme soutenu, elles sont bienvenues dans cette région très affectée par la pandémie. Selon Patricia Krause de la Coface, la Chine restera la destination numéro un des exportations latinos dans le futur proche ; et elle est de plus en plus insérée dans l'économie locale avec le financement des infrastructures ou des prises de participation dans des secteurs clé. Une société chinoise a racheté la compagnie péruvienne d'électricité, une autre a mis la main sur la moitié du réseau chilien. Malgré cette offensive chinoise, les Etats-Unis demeurent le premier investisseur en Amérique latine Mais la Chine tisse patiemment sa toile avec les Routes de la soie. Elle contribue à bâtir des ponts, des routes, les réseaux électriques, des réseaux 5G, du cloud ou des systèmes de surveillance. En réaction l'administration Biden a lancé l'initiative Build Back Better World, reconstruire un monde meilleur présenté dans le cadre du G7. ► À lire aussi : le G7 veut contrer la Chine et ses «Nouvelles routes de la soie» Un conseiller du président américain a précédé Antony Blinken en Colombie et en Equateur, avec une étape supplémentaire au Panama, pour proposer dans ce cadre comparable aux Routes de la soie les financements et l'expertise américaine dans le domaine des énergies renouvelables, du digital ou de la médecine. Une offre bienvenue dans tous ces pays qui ont besoin des investissements étrangers Ils peuvent aujourd'hui jouer de la concurrence entre les deux grandes puissances. Cette stratégie n'est pas sans risque. Car ces investissements s'accompagnent de contreparties. L'Equateur par exemple a bénéficié à la fin du mandat de Donald Trump d'un financement américain pour se désendetter à condition que Huawei soit exclu du déploiement de la 5G. Et car cette main-mise n'est pas toujours dans l'intérêt du développement. Comme la présence des Etats-Unis hier, celle aujourd'hui de la Chine provoque de plus en plus d'hostilité dans la population. ►En bref A la bourse de Hong Kong l'action du promoteur immobilier Evergrand s'effondre Elle a perdu 10% en début de séance. Un piètre retour en bourse pour le groupe chinois en lutte pour sa survie, il a suspendu sa cotation pendant 15 jours pour remettre de l'ordre dans ses finances mais la cession de la moitié de ses actifs a échoué ; la faillite guette toujours ce groupe plombé par une dette abyssale de 260 milliards d'euros.
EQUATEUR en Amérique du Sud Aujourd'hui on marque la première chronique consacrée à Exploration du Monde avec un premier film à l'affiche, actuellement en tournée ... et en partenariat avec SIS ... consacré à l'Equateur ! Voir le film : cliquez ici : ÉQUATEUR, terre de diversité Oui et je rappelle pour les jeunes auditeurs de SIS que le grand principe d'Exploration du Monde - Explo maintenant pour les intimes - ce sont des projections de films de voyages, documentaires d'aventures ... axés autour de 5 thématiques : l'aventure, le monde de demain, la nature, les cultures et le monde intérieur ... avec un cinéaste-explorateur qui vient non seulement présenter son film, mais le raconter en direct sur scène devant le public dans des grandes ou plus petites salles de spectacle à travers la Wallonie et Bruxelles ... c'est donc un spectacle vivant et très humain ou l'on se rencontre entre passionnés de voyages. Et donc le premier film est consacré à l' ÉQUATEUR ... et qui est le réalisateur ? Lynda Paquette et Martin Parent, un couple de grands voyageurs québécois. Avant le monde des ciné-conférences, ils avaient tous deux mené une passionnante carrière scientifique. Ils ont fini par troquer leurs marteaux de géologues pour une caméra. Et en 2003 ils entreprennent un long voyage aux quatre coins du monde. Ce périple a inspiré leurs premières réalisations. Les traditions de la Mongolie, la culture tibétaine, les peuples de la Patagonie sont quelques-uns des thèmes qu'ils ont abordés. Des vrais baroudeurs ... A ce jour ils ont visité plus 50 pays. Ensemble, ils sont particulièrement sensibles aux liens qu'entretiennent les populations avec leur environnement. Pour développer des liens de confiance avec ceux qui les accueillent, pour comprendre leurs réalités, Lynda et Martin voyagent lentement et s'attardent des semaines, voire des mois dans une même région. Et alors, l'Equateur ? Après avoir sillonné l'Équateur pendant 1 an, le duo de réalisateur vient nous raconter la beauté et la fragilité de ce « grand » petit pays d'Amérique du Sud, au cœur d'une des plus grandes biodiversités du globe. L'Équateur abrite 1642 espèces d'oiseaux, soit un sixième des espèces recensées dans le monde ... dans un hectare de sa forêt amazonienne il existe autant de variétés d'arbres que dans toute l'Amérique du Nord. À cette diversité naturelle s'ajoute une mosaïque ethnique importante composée de descendants d'ancêtres espagnols et amérindiens et de groupes indigènes. L'Équateur est une terre d'exception mais sa biodiversité est menacée par les changements climatiques et l'exploitation des ressources naturelles. Son patrimoine culturel subit quant à lui les pressions de l'économie globale. Pour contrer ces menaces, de nombreux Équatoriens résistent ! Aujourd'hui 6 octobre ils sont à Waterloo, demain à Huy, puis Ath, etc ... en tournée jusqu'au 26 octobre Toutes les infos sur la tournée se trouvent sur le site explorationdumonde.be, sur la page Facebook ou Instagram d'Exploration du Monde ... C'est parti pour un tour l'émission francophone sur SiS Radio qui vous parle de plus beaux voyages. En partenariat avec Exploration du monde L'émission de notre explorateur vedette Philippe Soreil est aussi disponible en podcast sur les apps gratuites : Spotify : https://open.spotify.com/show/4LwbgZ2cup5VApfkLLZePl?si=12360fbdc42d44f3 Deezer : https://deezer.page.link/Z5UMxXcL9XG6ymMVA iTunes : https://podcasts.apple.com/be/podcast/cest-parti-pour-un-tour/id1555437980?l=fr Application SiS Radio : Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.icreo.sisradio App Store : https://apps.apple.com/us/app/sisradio/id1547453358 Rejoins-nous sur nos réseaux sociaux : Facebook : @sisradio.officiel Instagram : @sisradio.officiel YouTube : @SISRadioofficiel
Cette semaine je reçois Valéria Rodriguez, porte parole de l'ONG Max Havelaar. Vous le connaissez sûrement, le label Fairtrade Max Havelaar c'est le petit rond bleu, vert et noir. Un pictogramme qui garantit des salaires vitaux pour les agricultrices et les agriculteurs, mais qui impose aussi des critères exigeants sur l'écologie, comme l'interdiction des OGM ou de certains produits chimiques. Alors le coton labellisé Fairtrade Max Havelaar n'est pas forcément biologique, contrairement au label GOTS par exemple, mais c'est l'un des labels les plus exigeants pour les conditions sociales. Et dans la mode c'est une thématique qui a tendance à disparaitre derrière les enjeux environnementaux. Pourtant la mode responsable c'est aussi, et peut-être surtout, une mode équitable. Car je ne vois pas très bien comment on peut distinguer les droits humains des droits de la nature… Avec Valéria on a parlé de salaires décents, des femmes agricultrices et de l'Equateur son pays d'origine. Je vous souhaite une très belle écoute ! —— Mixage : Thomas Lenglain
durée : 00:58:51 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Antoine Dhulster - Les chiliens ont désigné en mai dernier les citoyens chargés de rédiger la nouvelle Constitution du pays. L'Assemblée constituante, dont un tiers des membres est issu de la société civile, sera-t-elle à la hauteur des espoirs soulevés par le mouvement social de l'automne 2019 ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Emmanuelle Barozet sociologue à l'Université du Chili. Membre du COES - centro de estudios de conflictos y cohesión social.; Franck Gaudichaud professeur des universités en civilisation hispano-américaine à l'Université de Toulouse II - Jean Jaurès, chercheur au laboratoire FRAMESPA - France Amériques Espagne; Emmanuelle Sinardet professeure de civilisation latino-américaine à l'université Paris Nanterre et directrice du centre d'études Equatoriennes
Les trois nouvelles du jour et une histoire qui compte. Aujourd'hui les femmes des Galapagos, force invisible des champs et de l'océan. Cet archipel au large de l'Equateur est célèbre pour sa faune et sa flore uniques au monde, moins pour son agriculture sur un sol hostile de roches volcaniques ou leur pêche artisanale, secteurs où les femmes jouent un rôle aussi essentiel que méconnu. La journaliste de l'AFP Florence Panoussian nous raconte. Au micro, Antoine Boyer et Sarah-Lou Lepers. Ecrivez-nous vos histoires: podcast@afp.com ou contactez-nous via Instagram/afpaudio ! Et surtout, abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode. Retrouvez la dépêche de Florence Panoussian : http://u.afp.com/UmpL
Dans ce 52ème épisode, Cyrille raconte l'Equateur
Aujourd'hui, on part dans la poche de Lina, pour échanger sur son périple de 8 mois en sac à dos : on est parti des Etats Unis, pour redescendre l'Amérique centrale par voie terrestre et rejoindre la Colombie, l'Equateur, et le Pérou. Avec sa fraîcheur et son enthousiasme, Lina m'a parlé du voyage en sac à dos, seule, et de ce que cette expérience face à soi-même apportait. On a aussi discuté du voyage en tant que femme, de la facilité des rencontres, parfois éphémères, de toutes les choses qu'on n'avait jamais faites avant un tel voyage, de la liberté d'être soi même et de la confiance en soi que ça apporte. Et si cet épisode vous a plu, ou si vous avez des questions (pour moi et pour Lina) n'hésitez pas à m'envoyer un petit mot : unvoyageenpoche@gmail.com ou à me faire un coucou sur les réseaux sociaux. Vous pouvez aussi vous abonner, laisser des étoiles (5 c'est super !) sur itunes et en parler autour de vous ! J'espère que la musique d'intro vous a fait voyager de l'Asie à l'Amérique du Sud (en passant par les Fidji) : un grand merci à Nico pour le mixage, à partir de sons de mes voyages ramenés dans ma poche ! Un merci spécial pour Kévin et ses intermèdes au ukulele. Et un grand merci à Colin pour ce logo haut en couleur.
Interview réalisée en partenariat avec www.verylocaltrip.com. On retrouve William a 51 ans. Il vit prés de Quito, capitale de l'Equateur (pays deux fois plus petit que la France) :9300 kms le sépare de son pays d'origine, -6h de décallage horaire. Coincé entre la Colombie, le Pérou & le Brésil, l'Equateur a vu sur l'Océan Pacifique. Après des études dans le Nord de la France, il part au Mexique pour un programme de coopération. En 1998, pour Alcatel, il développe un réseau de communication pour les forces armées en Equateur. Il y rencontre sa future femme et, avec quelques rebondissements professionnels, William nous rencontre son engagement en tant que militant écologiste, notamment pour le peuple d'Amazonie. Ecoutez ce premier contact, car William a bien d'autres histoires & témoignages à nous raconter ! Suivez William sur sa page FaceBook : https://www.facebook.com/william.wadoux.1
Fan hardcore du manga « Berserk », ce rappeur parisien nous lâche un morceau inédit situé en 2717, où « tous les 200 ans, on change de galaxie, les cellules se régénèrent à l'infini », où « y a plus de frontières, pas d'chef, les drogues sont bonnes pour la santé ». Sérieux ?« J'veux pas de l'immortalité de Sméagol. » Début octobre, on l'a vu se multiplier par quatre. Dans le clip de Ti Amo, second single de son premier maxi intitulé L'Avent, Sidi Bench, alter ego du journaliste parisien Rémi Benchebra, « essaye de faire la part des choses, comme l'Equateur » en dansant autour d'une noble piscine intérieure entouré de quatre clones de lui-même, « se fait du souci la nuit et puis c'est pire à l'aube », constatant que petit, il voulait « être maintenant », mais que maintenant, il préférerait redevenir petit. Logique, quand on dévore depuis des années le manga Berserk, saga monumentale de dark fantasy médiévale en quarante volumes entamée en 1989 par le Japonais Kentaro Miura, narrant les errances d'un jeune mercenaire dans un univers ultra-violent. L'Avent, ainsi que les deux prochains EP de Sibi Bench à paraître en décembre puis au printemps, abonde en clins d'œil au manga tout comme à sa série d'animation dérivée, noire charogne, le temps d'une longue quête solitaire – démentie dans la réalité par le compagnonnage efficace de son ami producteur Yabu.Plume régulière du webzine Pan African Music, ex-assistant rédac' de Radio Nova, Rémi publiera ce mercredi la vidéo de Sidi Bendô, sa « voie du ninja » à lui. Caché dans son bunker, il s'interroge : « Qu'est-ce que tu veux que je te dise de pire que ce qui existe ? » Pour fêter ça, le rappeur de 26 ans s'est fendu d'une face B inédite, spécialement écrite pour L'Arche de Nova, où le futur paraît déjà plus désirable. « Y a plus de frontières, pas d'chef, les drogues sont bonnes pour la santé », mais nous ne sommes plus sur Terre, car « elle a péri ». Bienvenue à Teslaterri, en 2717. « Tous les 200 ans, on change de galaxie, les cellules se régénèrent à l'infini, selon le salaire tu peux t'payer 50 ou 1000 ans de vie. » Mais peut-être que tout ceci est une illusion générée par des lunettes pareilles « à un trip sous L ». Bilan, carbonisé : « T'as l'choix d'vivre un cauchemar ou d'mourir en rêvant / Askip c'est toujours mieux qu'avant. »Pour suivre et écouter Sidi Bench, c'est ici : https://www.instagram.com/sidi_bench/Image : Berserk, de Kentaro Miura (éditions Glénat). See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Tous les jours pendant l'été, Philippe Gougler reçoit un invité qui nous fait découvrir un pays. Aujourd'hui, l'Equateur.
Eparpillés à travers le vaste monde, ils racontent chaque soir comme se passe leur confinement et ce qu'ils voient autour d'eux alors que le coronavirus fait le tour de la planète. Dans ce nouvel épisode, on vous emmène au Royaume-Uni, Norvège, France, Belgique Nicolas à Londres Nicolas vit au Royaume-uni depuis presque 6 ans. Il vit plutôt bien cette période de confinement. Et pour cause : il travaille depuis la maison, possède un jardin et peut profiter de sa femme et de leur bébé de 16 mois. Ses amis en revanche lui manquent. Ils quittent la région pour d'autres pays, motivés par diverses raisons et des choix de vie différents. Il aimerait bien pouvoir profiter des pubs et organiser des brunchs avec eux. Les apéros virtuels sont sympathiques mais ne remplacent pas la présence ! Nicolas a annulé ses vacances du mois dernier et attend de voir comment se dérouleront les prochains mois pour déterminer ce qui va se passer cet hiver... Lucas en Norvège Lucas est actuellement confiné avec sa compagne Lou à Beitostolen en Norvège, une petite station de ski ! Lucas a fait un tour du monde pendant 5 ans et il est rentré fin 2018. Il travaille à présent comme guide à chien de traîneau en hiver ! Il est photographe de métier et a fait beaucoup de photos en parcourant les écoles du bout du monde. Il voyage pour présenter son travail sur les festivals de voyage. Pendant ses voyages, il partait en rando, sac à dos et tente à la rencontre de ces enfants du bout du monde, il a un projet qui est de faire un livre photo sur ces enfants et une autre sur le bivouac ! Il a fait le choix de rester en Norvège le 15 mars étant beaucoup mieux dans la nature qu'enfermé en France ! Le confinement est plus relax, il sort ses chiens en traineau tous les jours ! Les norvégiens rouvrent les commerces avec des restrictions. Les rassemblements de plus de 5 personnes sont interdits. En ce qui concerne ses activités, Cette année avec le covid, la saison touristique est compromise. habituellement des touristes viennent faire du traineau d'octobre à juin. En revanche, les touristes locaux vont revenir, et l'activité traineau pourra reprendre avec des mesures de sécurité, le prêt de gants et d'équipements divers ne pourra plus être accordé aux clients, il en est de même pour la possibilité de servir de la nourriture avant et qui est proscrite à présent. Les norvégiens ont la possibilité de quitter le territoire mais personne ne peut entrer en Norvège. Il devait présenter ses photos de voyage et animer des conférences aux festivals "Les clés de l'aventure" et "Partir autrement". Mais ils ont été annulés à cause de l'épidémie de Covid. Pour le suivre : www.lucaslepage.com, Laetitia en Loire-Atlantique Laetitia est confinée seule, chez elle, en Loire Atlantique. Kiné en libéral, elle travaille beaucoup toute l'année pour pouvoir prendre 12 semaines de vacances. Ses voyages sont organisés souvent autour de la plongée, et du surf en plus de la découverte. Rentrée fin janvier d'un voyage de 2 mois en Colombie pour subir une opération en février (accident de surf), elle était donc un peu confinée avant tout le monde ! L'an passé, elle a surtout voyagé en Europe (Andalousie Italie, Grèce). En 2018, après un mois et demi en Inde, elle est partie vivre et travailler 6 mois à Mayotte !, elle en a profité pour découvrir Madagascar qu'elle a beaucoup aimé. Elle devait repartir à Madère en juin, avant de reprendre le travail, et randonner dans l'ouest Américain en septembre mais cela a été annulé ! Elle souhaite y retourner dans le cadre d'une mission humanitaire dès que possible.Son prochain projet : partir dans sa région natale, la Bretagne et faire un bout du GR 34 à pied, depuis les Cotes d'Armor jusqu'à la presqu'île de Crozon. Elle lance un appel à tous ceux qui aimeraient partager ce projet avec elle ! Dorotea vit en Belgique D'origine Grecque, Dorotea habite en Belgique. Elle devait partir en Inde le 29 mars pour 3 mois de formation yoga et ayurvédique. Mais le Covid l'a bloque dans le plat pays. Dorotea a beaucoup voyagé au cours des 10 dernières années. Elle a quitté son boulot il y a 2 ans pour voyager. Elle est allé en Asie du sud-est, en Australie (3 fois), a traversé la Nouvelle Zélande, l'Amérique latine, la Colombie, l'Equateur, le Pérou, le chili, L'Europe. Son pays de cœur reste l'Inde où elle est allée 3 fois. Elle compte bien y retourner dès que ce sera possible ! Elle devait repartir cet été dans son pays natal la Grèce. Cependant le projet est surement compromis. Dorotea a rencontré Pauline en 2013 en Inde avec qui elle a aussi partagé un bout de voyage à Bangkok en 2014 avec elle. Sa rencontre avec Laetitia, s'est faite en Birmanie. Le trio d'amies était formée. Pauline confiné en Seine-Saint-Denis Pauline a toujours aimé voyager mais n'a pas osé le faire seule tout de suite en backpack. Elle a fait des voyages en famille puis en voyage organisés via une association qui propose des séjours alternatifs en petits groupes , transports locaux, logement chez l'habitant et dans des petits villages. Elle est d'abord allée à Madagascar puis en Inde. Plus tard elle a décidé de partir en sac à dos, et pendant plusieurs mois, elle a pris un congé sabbatique : elle est alors allée en Asie du sud-est, pendant 8 mois entre 2014 et 2015. Pauline a commencé le voyage avec Dorotea en Thaïlande, puis en Birmanie où elle a croisé la route de Laetitia ! Elle a poursuivi au Népal, et en Inde avec son frère qui voyage aussi beaucoup. Depuis, elle continue à voyager un mois par an. Cette année, elle était au Sri Lanka quand le covid est arrivé. Elle a fait un peu plus de la moitié du séjour prévu et a dû rentrer en France plus tôt que prévu. C'était le lendemain du confinement. Musique : Zoufris Maracas "Bande de moules" Soutenez-nous !
Depuis qu'on est confinés parce que notre planète s'est chopée un bon gros virus, on prend le micro en direct tous les soirs à 21h pour donner la parole aux expats et aux voyageurs coincés, quelque part dans le monde ! On vous appelle, voyageur, expat, habitant d'un autre pays ou continent. On vous écoute, racontez-nous comment ça se passe là où vous êtes. Comment se passe votre confinement à rallonge. Mettez vous ce temps à profit ? Comment ? Des réflexions peut-être sur l'après covid ? Une vision de changement ou pas pour l'après, qu'en pensez-vous ? Eparpillés à travers le vaste monde, ils racontent chaque soir comme se passe leur confinement et ce qu'ils voient autour d'eux alors que le coronavirus fait le tour de la planète. Dans ce nouvel épisode, on vous emmène aux Etats-Unis, en Colombie, au Sri Lanka et au Mexique Romain vit avec sa femme Haily à Buena Vista dans le Colorado, un gros village de 3000 habitants à 2400 m d'altitude. Il est habité par une forte population de personnes âgées, religieuses et conservatrices qui ne se confine pas. L'hôpital le plus proche se situe à 35 min de chez eux, à Salida avec seulement 25 lits. Les couple a eu le covid mais n'a pas été hospitalisé. L'entreprise de Haily a fermé et n'est pas sûre de pouvoir reprendre ses employés. Romain lui, vient d'obtenir sa carte verte et peut officiellement travailler la bas. En attendant, il construit leur maison. Il vit aux Etats-Unis depuis 2 ans. Haily est originaire du Connecticut. Elle est partie en 2012 sur une ile du Nicaragua, Little Corn Island. C'est là qu'ils se sont rencontrés. Ils sont restés là-bas 3 ans. Ils ont alors quitté le Nicaragua pendant la crise sociale et sont rentrés aux Etats Unis il y a deux ans. La Famille Nesta est confinée dans un camping en Colombie. Nesta est en fait, un nom formé des premières lettres de chacun des membres de la famille : Natéo, Enoha, Saona, Thomas et Alisson. Les parents et leurs trois enfants voyagent en camion 4X4 rebaptisé "Nestaman". Partis initialement pour un voyage de 3 ans en août 2018, ils ont décidé, en accord avec les enfants , de ne plus rentrer en France ni reprendre leurs emplois. Ils veulent rester sur les routes et ce, aussi longtemps que les membres de la famille le souhaitera. Avant les mesures de confinement officielles et la fermeture des frontières, ils ont roulé deux jours pour trouver un lieu où se poser en attendant la fin de la crise. C'est finalement à coté de Silvia, à 100 km au sud de Cali, qu'ils ont fini par se poser. Dans ce camping, d'autres voyageurs ont trouvé refuge. Toutefois, chacune des familles ou des couples est resté dans son propre véhicule pendant 15 jours. Le temps d'une quarantaine imposée. Bien installés dans cette petite communauté (18 adultes et 15 enfants), ils ont commencé un potager même s'ils parviennent à se faire livrer des denrées de première nécessité. Il en achète également pour les habitants du secteur qui ne peuvent plus travailler. Par ailleurs, la famille Nesta envisage toujours de reprendre la route. L'objectif est de finir de visiter la Colombie, dès que les conditions le permettront. Puis, elle continuere vers l'Equateur ! Leur site : Nesta autour du monde ; Leur page Youtube : Nesta autour du Monde Ludivine vient de rentrer du Sri Lanka. Elle était à Kandy jusqu'au 8 avril. Elle y a passé 22 jours confinée, H24 ! Partie de France en 2018, elle a fait un tour d'Asie avant de changer ses plans pour rester au Sri Lanka en septembre 2019. Elle y a donné des cours Français Langue Etrangère (FLE) durant 7 mois car il y a un grand besoin de profs de Francais. Les écoles ont été fermées, les magasins non essentiels aussi fermés. Un couvre-feu a par ailleurs été instauré. Le pays compte peu de morts. Bon nombre de malades ont été regroupés en quarantaine dans la capitale Colombo. Ludivine raconte ses difficultés pour s'approvisionner au début du confinement : les habitants ayant interdiction de sortir et des services de livraison ont été mis en place. Des food-trucks vendant des fruits et légumes ainsi que du pain ont été mis en place. La police et l'armée contrôlent les motifs de déplacement. Confinée avec 2 collègues de FLE, Ludivine a été bien malade. Ne se sentant pas en sécurité, elle a pris la décision de rentrer en France. Ludivine raconte ses difficultés pour avoir un avion : le prix des billets a explosé atteignant les 950 euros ! David, qu'on avait eu il y a 3 semaines dans l'émission #10, vit à Mexico City. Il y dirige une entreprise d'export de Combi Volkswagen qu'il restaure avant de les revendre. Lui et des copains s'apprêtaient à bouger à la campagne, histoire de se mettre au vert quelques jours. Il nous raconte et nous explique comment la situation a évolué. On parle avec lui notamment des cartels qui s'adaptent à l'épidémie et des nouvelles pour endiguer l'épidémie. Le président Lopez Obrador, accusé de laxisme il y a encore quelques semaines, appelle aujourd'hui la population à un isolement volontaire et massif.Le site de Combimport. Soutenez-nous !
Ce podcast hors-série donne la parole à trois étudiantes latino-américaines confinées en Europe à cause du Coronavirus. Michelle, Joryet et Diana nous partagent leur quotidien, leurs inquiétudes, et l'état d'esprit dans lequel elles se trouvent. Leurs familles sont confinées de l'autre côté de l'Atlantique et elles nous expliquent quelle est la situation dans leurs trois pays respectifs, à savoir l'Equateur, le Mexique et la Colombie.
Depuis qu'on est confinés parce que notre planète s'est chopée un bon gros virus, on prend le micro en direct tous les soirs à 21h pour donner la parole aux expats et aux voyageurs coincés, quelque part dans le monde ! Eparpillés à travers le vaste monde, ils racontent chaque soir comme se passe leur confinement et ce qu'ils voient autour d'eux alors que le coronavirus fait le tour de la planète. Dans ce nouvel épisode, on vous emmène à Mayotte, en Jordanie, en Equateur et aux Philippines Rose vit à Mayotte depuis mai 2019. Originaire de Bretagne, elle vit à Passamainty, un village de Mamoudzou. Grande baroudeuse (7 fois en Australie du sud, 3 fois en Guyane, en Martinique, en Guadeloupe et la Réunion), elle travaille toujours dans la gestion d‘achats locaux dans une entreprise alimentaire. L'activité est réduite depuis le confinement (3 jours par semaine de travail et 2 jours chômage partiel). Mais les Mahorais n'ont pas que la Covid-19 à gérer, ils ont aussi la dingue (2500 cas environ) et un volcan qui s'est manifesté 2 fois depuis le début du confinement et qui a provoqué deux tremblement de terre (5,8 et 3,6 sur l'échelle de Richter. Donc avec le coronavirus, il ont touché le tiercé ! Il n'empêche que dans ce département d'outre-mer, le confinement pas toujours respecté Sur la route, pas de police, pas de gendarmerie. Cécile habite à Amman en Jordanie depuis début décembre. Lors de la toute première émission d'Au-delà des murs, cette jeune expat nous avait expliqué qu'elle donnait des cours de français en ligne pour pouvoir voyager et travailler en même temps. Elle mettait aussi à profit ce temps de confinement pour apprendre l'arabe avec une amie avec qui elle partageait l'appartement. Mais au fil des jours, les demandes de cours ont augmenté et Cécile a moins de temps pour elle. Le confinement est respecté et le pays dénombre très peu de cas. Roselyne appelée "Rose" est rentrée il y a quelques jours d'Equateur. Elle s'est confinée et est en quarantaine en Ardèche. Elle a passé 20 jours à Guayaquil avec une amie qui venait voir son fils actuellement en mission humanitaire pour 18 mois. Avec d'autres jeunes de nationalités différentes, ils visitent et s'occupent des enfants d'un bidonville, jouent avec eux, organisent des rencontres dans leur maison, visitent les familles et les malades… La capitale économique de l'Equateur est surnommée la « Perle du Pacifique » mais elle est surtout connue depuis quelques semaines pour son nombre du morts dû à l'épidémie de Covid-19. Guayaquil connaît une véritable hécatombe. Lorsqu'elle y était, Rose raconte qu'il n ‘ y a plus de transports en commun. Ils n'avaient pas d'autorisation de circuler. Beaucoup de touristes étaient encore là bas se souvient Roselyne dont le le vol retour est passé par Barcelone. C'est en voiture qu'elle est rentrée à Largentière en Ardèche. Angélique est rentrée des Philippines. On l'avait eu dans l'émission du 1er avril . Elle nous avait expliqué avoir tout lâché en France en juin 2019, pour faire le tour de l'Asie en solo. Les Philippines étaient le dernier pays de sa liste avant de partir en Australie où elle envisageait de travailler ! Angélique était confinée à El Nido à Palawan avec des amis. Après que ces derniers aient décidé de quitter le pays, Angélique a subitement fait le choix de rentrer en France d'autant que sa mère présentait des symptômes du Covid-19. Mais ce retour précipité fut mouvementé avant même de prendre l'avion ! Une rapatriement organisé par l'ambassade d'Allemagne puis de France qu'Angélique félicite. Elle témoigne ! Soutenez-nous !
Voici un sujet chaud, un sujet politique, mais surtout un sujet de science : le changement climatique. Montée des océans, désertification, raréfaction de l'eau potable, phénomène climatique violent, déplacement et disparition des écosystèmes, … La catastrophe est annoncée. Oui oui, ça fait peur ! Mais n'éloignez pas les enfants du poste ! Éloignons-nous plutôt de l'actualité, et tentons à tâtons de mieux comprendre quelles peuvent être les causes et les conséquences d'un changement climatique. Embarquons dans le meilleur des vaisseau à voyager dans le temps et l'espace : l'imagination. N'oublions pas de faire le plein de science comme carburant. Et pour le voyage qui nous intéresse, je prendrais 30 litres de paléo-climatologie. Le soleil et la pluie sont parmi les personnages principaux de la grande histoire de la vie. Les paléo-climatologue tentent de lire dans la roche ce que les historiens cherchent dans leurs archives. Des traces de ce qui a été, des mondes disparus où il faisait 60 degrés dans les forêts tropicales de l'Equateur et un bon petit 10 degrés durant l'hiver arctique au Pôle. Puis d'autres, beaucoup plus froides, où des km de glace couraient jusqu'au limite des Tropiques. La capacité des chercheurs à faire revivre l'histoire lointaine de la terre fait partie des plus grandes révolutions scientifiques de la seconde moitié du XXème siècle. Et malgré la jeunesse de la discipline et le peu de traces que le temps nous a laissé, la science nous dévoile humblement les grandes phase de l'histoire de la vie. Le Labo des savoirs vous emmène en voyage dans le temps, dans la ronde infinie comme ils le disent dans le roi lion, à la recherche des paradis perdus et périodes cauchemardesques où la vie a failli s'éteindre. Invité-es Elsa Cariou, docteur en géologie sédimentaire à l'Université de Nantes Camilo Arias, biologiste marin, actuellement en thèse d'océanographie et d'écologie marine. CréditsUne émission préparée et animée par Maxime Labat, initiateur du projet La Tram' du temps, membre du Labo des savoirs, avec Anna Tuyen Tran, Vassili Moreau, Thibault Poncin, et Pauline Verbaenen. MusiqueTéléphone – Un autre monde