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Entre les trois régimes putschistes du Sahel et l'Algérie, c'est la crise ouverte. Dimanche, le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont accusé l'Algérie d'avoir abattu un drone malien en territoire malien et ont rappelé leurs ambassadeurs à Alger. Lundi 7 avril, l'Algérie a répliqué du tac au tac et est allée encore plus loin en fermant son espace aérien à tous les avions en provenance ou à destination du Mali. Et dans la soirée d'hier, Bamako a décidé de faire de même en fermant son espace aérien aux avions en provenance ou à destination d'Algérie. Pourquoi ce clash ? Le Niger est-il prêt à une telle escalade ? Et la France dans tout cela ? L'essayiste nigérien Seidik Abba préside le Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. RFI : Pourquoi le torchon brûle entre Alger et Bamako ? Seidik Abba : Je crois qu'on peut situer la dégradation des relations entre les deux pays à la prise de Kidal en novembre 2023 par l'armée malienne. À la suite de cette prise de Kidal, les ex-rebelles s'étaient repliés sur la frontière algérienne et se sont réorganisés militairement. Pour Bamako, au bas mot, l'Algérie a fermé les yeux sur leurs efforts de réorganisation.Alors, depuis ce dimanche 6 avril, il y a une nouvelle crise parce que les trois pays de l'Alliance des États du Sahel (AES) ont rappelé leurs ambassadeurs à Alger et parce que l'Algérie vient de répondre du tac au tac. Pourquoi cette nouvelle montée de tension ? Oui, cette nouvelle crise est liée à un drone malien qui a été abattu dans la nuit du 31 mars au 1ᵉʳ avril. L'aviation algérienne a abattu ce drone au-dessus de la frontière commune et les deux pays sont d'accord sur cet incident. Mais les versions divergent sur la localisation de l'endroit où le drone a été abattu. En tous les cas, le régime de Bamako a rappelé cette fois-ci en renfort les deux autres pays de l'AES, le Niger et le Burkina Faso, pour créer un rapport de force plus favorable parce que, par le passé déjà, le Mali a eu à protester contre ce qu'il considère comme des actes d'hostilité de la part de l'Algérie, mais ça n'a pas changé. Ça veut dire qu'on s'installe dans une confrontation entre les pays de l'AES et le pouvoir algérien.Alors vous parlez du Niger, est-ce que ce pays est prêt à l'escalade avec l'Algérie ?Non, je ne pense pas que le Niger soit prêt parce que, lorsqu'on regarde, il y a quand même des intérêts importants du Niger qui sont en jeu. Sur le plan diplomatique, le Premier ministre nigérien Ali Mahaman Lamine Zeine s'est rendu en août 2024 à Alger à la tête d'une forte délégation. Il avait à l'époque été reçu par le président du pays Abdelmadjid Tebboune. Ça traduit quand même le réchauffement des relations diplomatiques. Au plan économique aussi, le ministre nigérien du Pétrole était à Alger en février 2025 et la Sonatrach, qui a mené des prospections dans la partie nord du Niger, dans la région d'Agadez…La compagnie algérienne Sonatrach…C'est ça, la grande compagnie de pétrole et des hydrocarbures algériens, la Sonatrach, a fait des prospections au Niger qui se sont révélées concluantes et il y a même eu un essai. Il est question de passer aujourd'hui au forage des puits et il est envisagé dans un schéma inédit que le pipeline soit connecté à partir du Niger au pipeline algérien. En plus de ça, la Sonatrach est dans une perspective de former des Nigériens aux métiers du pétrole. Donc, il y a sur le plan économique et politique un réchauffement avec Niamey qui, à mon avis, pourrait être affecté par cet alignement de Niamey sur Bamako dans le cadre de la solidarité inter AES.Depuis le dégel entre Alger et Paris, c'était ce 6 avril avec la visite à Alger du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, l'Algérie et la France engagent un dialogue stratégique sur le Sahel. Concrètement, qu'est-ce que ça veut dire ? Je crois que, comme la France n'a plus aucun canal de discussion avec les pays de l'AES, elle souhaite se rapprocher de l'Algérie parce qu'il y a des intérêts réciproques entre les pays de l'AES et l'Algérie. Et la France parie sur justement le retour à la normale entre les pays de l'AES et l'Algérie pour pouvoir faire passer des messages politiques et diplomatiques.Mais au contraire, est-ce qu'on ne pourrait pas imaginer un soutien de l'Algérie et de la France aux rebelles touaregs du FLA, le Front de libération de l'Azawad ? Non, je pense que l'Algérie a toujours été très prudente dans le soutien à l'irrédentisme qu'il y a au Mali parce que, elle-même, elle n'a pas fini de régler les questions irrédentistes qu'il pourrait y avoir dans son propre territoire national. Et je ne pense même pas que la France, d'ailleurs, a intérêt encore à aggraver la situation de ses relations avec les pays de l'AES.Depuis douze ans, Iyad Ag Ghaly, le chef du groupe jihadiste du JNIM, est protégé par l'Algérie. Est-ce qu'un rapprochement entre Alger et Paris pourrait se faire au détriment de ce chef jihadiste ? Je crois que c'est tout à fait possible. Iyad Ag Ghaly avait par le passé échappé de justesse à une élimination par les forces françaises à la suite d'un couac avec l'Algérie.C'était à Tamanrasset…C'était à Tamanrasset. Il avait échappé justement à une élimination physique par les forces françaises. Et je crois que, s'il y a un rapprochement intensif entre Paris et Alger, ça pourrait justement se faire au détriment d'un personnage comme Iyad Ag Ghaly, qui a toujours été évalué comme une cible à haute intensité par la France et qui a échappé à l'élimination alors que d'autres chefs jihadistes importants ont été éliminés par l'armée française.
Full Text of ReadingsFirst Sunday of Advent Lectionary: 3The Saint of the day is Saint Charles de FoucauldSaint Charles de Foucauld's Story Born into an aristocratic family in Strasbourg, France, Charles was orphaned at the age of 6, raised by his devout grandfather, rejected the Catholic faith as a teenager, and joined the French army. Inheriting a great deal of money from his grandfather, Charles went to Algeria with his regiment, but not without his mistress, Mimi. When he declined to give her up, he was dismissed from the army. Still in Algeria when he left Mimi, Charles reenlisted in the army. Refused permission to make a scientific exploration of nearby Morocco, he resigned from the service. With the help of a Jewish rabbi, Charles disguised himself as a Jew and in 1883, began a one-year exploration that he recorded in a book that was well received. Inspired by the Jews and Muslims whom he met, Charles resumed the practice of his Catholic faith when he returned to France in 1886. He joined a Trappist monastery in Ardeche, France, and later transferred to one in Akbes, Syria. Leaving the monastery in 1897, Charles worked as gardener and sacristan for the Poor Clare nuns in Nazareth and later in Jerusalem. In 1901, he returned to France and was ordained a priest. Later that year Charles journeyed to Beni-Abbes, Morocco, intending to found a monastic religious community in North Africa that offered hospitality to Christians, Muslims, Jews, or people with no religion. He lived a peaceful, hidden life but attracted no companions. A former army comrade invited him to live among the Tuareg people in Algeria. Charles learned their language enough to write a Tuareg-French and French-Tuareg dictionary, and to translate the Gospels into Tuareg. In 1905, he came to Tamanrasset, where he lived the rest of his life. A two-volume collection of Charles' Tuareg poetry was published after his death. In early 1909, he visited France and established an association of laypeople who pledged to live by the Gospels. His return to Tamanrasset was welcomed by the Tuareg. In 1915, Charles wrote to Louis Massignon: “The love of God, the love for one's neighbor…All religion is found there…How to get to that point? Not in a day since it is perfection itself: it is the goal we must always aim for, which we must unceasingly try to reach and that we will only attain in heaven.” The outbreak of World War I led to attacks on the French in Algeria. Seized in a raid by another tribe, Charles and two French soldiers coming to visit him were shot to death on December 1, 1916. Five religious congregations, associations, and spiritual institutes—Little Brothers of Jesus, Little Sisters of the Sacred Heart, Little Sisters of Jesus, Little Brothers of the Gospel, and Little Sisters of the Gospel—draw inspiration from the peaceful, largely hidden, yet hospitable life that characterized Charles. He was beatified in 2005 and canonized in 2022. Reflection The life of Charles de Foucauld was eventually centered on God and was animated by prayer and humble service, which he hoped would draw Muslims to Christ. Those who are inspired by his example, no matter where they live, seek to live their faith humbly yet with deep religious conviction. Saint of the Day, Copyright Franciscan Media
En ce mois de juillet, nous vous proposons de revivre les entretiens avec nos grands invités de l'économie, venus ces derniers mois confier leur vision de l'avenir de ce monde chamboulé et notamment de l'Afrique. Cette semaine, l'économiste Kako Nubukpo livre ses positions sur le nouveau pouvoir au Sénégal, l'avenir de la CEDEAO et le développement de l'agriculture sur le continent dans le contexte de dérèglement climatique. Dans la seconde partie de l'émission, direction l'Algérie avec Kheira Nawel Benaissa, directrice générale de Green Al Energy, start-up basée à Tamanrasset près des frontières du Niger et du Mali. Par ailleurs, docteure en gestion des déchets, elle veut transformer les déchets organiques en gaz pour les usages domestiques. Green Al Energy produit des bio digesteurs à destination des populations isolées dans cette région rocheuse où il est impossible d'installer des infrastructures lourdes.
En ce mois de juillet, nous vous proposons de revivre les entretiens avec nos grands invités de l'économie, venus ces derniers mois confier leur vision de l'avenir de ce monde chamboulé et notamment de l'Afrique. Cette semaine, l'économiste Kako Nubukpo livre ses positions sur le nouveau pouvoir au Sénégal, l'avenir de la CEDEAO et le développement de l'agriculture sur le continent dans le contexte de dérèglement climatique. Dans la seconde partie de l'émission, direction l'Algérie avec Kheira Nawel Benaissa, directrice générale de Green Al Energy, start-up basée à Tamanrasset près des frontières du Niger et du Mali. Par ailleurs, docteure en gestion des déchets, elle veut transformer les déchets organiques en gaz pour les usages domestiques. Green Al Energy produit des bio digesteurs à destination des populations isolées dans cette région rocheuse où il est impossible d'installer des infrastructures lourdes.
Esta semana tenemos con nosotros a Miguel Puertas y a Mario Montoro que nos hablarán del viejo Dakar y del Raid 1000 Dunas. Después de escucharlos apetece liarse la manta a la cabeza (o el turbante) y subirse en una vieja Yamaha Teneré camino de Tamanrasset
durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Retrouvailles à Tamanrasset, 3 : Sur les traces du Père de Foucauld (1ère diffusion : 07/06/1972)
Militaire français issu de la noblesse, converti, ermite dans le désert à Tamanrasset, nous avons tous dans la tête les photographies de cet homme au regard brûlant, que Benoît XVI a béatifié en 2006 : Charles de Foucauld. Derrière ce qui semble parfois être des clichés, qui se cache derrière cette figure attachante du XXe siècle ? Quelle postérité a-t-il laissé ? Quelle fut son oeuvre ? Quelle influence exerce-t-il encore ? Et pourquoi cette fascination opère-t-elle encore aujourd'hui et que nous dit Charles de Foucauld sur la vie chrétienne en terre musulmane ? Pour y répondre, deux invités : le Père Jean-François Six, Théologien, et Petite soeur Monique-Colette de la Fraternité des Petites soeurs de Jésus.
Le film : documentaire de Laurent Boullard, 2022, 64min Artiste mondialement reconnu, Rachid Koraïchi nous entraîne aux sources de son inspiration dans le désert… Ce voyage artistique qui prend sa source entre Djanet et Tamanrasset, se poursuit au cœur de la Zaouïa Tidjaniya à Temacine pour nous faire partager son discours de paix et d'humanisme que l'on retrouve dans ses œuvres et installations. C'est ce parcours artistique et cet engagement que ce film tente de mettre en lumière. Illustrateur, Peintre et plasticien, Rachid Koraïchi est né à Aïn-Beïda, en Algérie. Il est diplômé de l'École nationale supérieure d'Alger, de l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris et de l'Institut d'urbanisme de l'académie de Paris. L'exploration de l'écriture par l'artiste a rapidement évolué pour fusionner des caractères arabes avec son propre système de symboles. Il a qualifié son lexique visuel d'« alphabet de la mémoire », l'utilisant pour exprimer non seulement sa vision esthétique, mais aussi sa vision du vivre-ensemble et de la résilience. Vous pouvez retrouvez plus d'informations sur : https://rachidkoraichi.com/ Crédits: documentaire de Laurent Boullard, 2022, 64min Scénario : Laurent Boullard Image : Philippe Floquet Son : Omar Zitouni Montage : Sylvie Millet, Laurent Boullard Producteur : Khalid Djilali
Le dossier du Sahara occidental connaît quelques remous. Il faut dire que le torchon brûle entre le Mali et l'Algérie depuis que l'Algérie a reçu, il y a dix jours, des rebelles touaregs du Nord-Mali. Le Mali a rappelé son ambassadeur en poste à Alger. L'Algérie a fait de même. En ligne de Nouakchott, Ahmedou Ould Abdallah, l'ancien ministre mauritanien des Affaires étrangères, préside une société de conseil, le Centre 4S (Stratégie, Sécurité, Sahel, Sahara). Il livre son analyse. RFI : À l'origine de ce coup de colère des Maliens, il y a l'invitation des rebelles touaregs et de l'imam Mahmoud Dicko à Alger. Mahmoud Dicko a même été reçu par le président Abdelmadjid Tebboune en personne. Pourquoi ce double geste de la part des Algériens ?Ahmedou Ould Abdallah : Il me semble qu'Alger peut-être pensait qu'ayant contribué aux négociations des accords de paix, les tout derniers, il était nécessaire de faire un sondage auprès des principales parties prenantes au conflit. Naturellement, l'usage est de consulter le gouvernement officiel du pays. Je pense que cela a été fait. Si ce n'est pas le cas, ce sont les Maliens qui le savent.Depuis quelques mois, les autorités maliennes mettent dans le même sac les rebelles touaregs du Cadre stratégique permanent (CSP) et les jihadistes du Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans (Jnim) d' Iyad Ag Ghaly. Ce n'est pas le cas des autorités algériennes, la preuve cette invitation du CSP à Alger. Est-ce que ce n'est pas cela qui fâche le plus les autorités maliennes ?Les autorités maliennes sont fâchées, mais le Mali a connu beaucoup de crises internes. Tous les accords, qu'ils soient de Tamanrasset dans les années 1990 [6 janvier 1991] ou avant, ont été réalisés par l'intermédiaire de la diplomatie et de l'influence algérienne. Mais ceci étant, cela n'exclut pas le rôle du Maroc. Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), l'ancien président, me disait que, dès la montée violente du terrorisme, le Maroc a créé un institut pour former les imams, pour encourager l'islam pacifique et modéré, ce que beaucoup de Maliens, et pas seulement des Maliens, mais des gens de la région, ont apprécié, pensant que le terrorisme venait au contraire d'autres parties du Maghreb en passant par le Sahara, qui effectivement est difficile à contrôler.Cette brouille entre Bamako et Alger est tombée la semaine dernière, au moment où le ministre malien des Affaires étrangères se rendait à Marrakech pour participer à une conférence régionale entre le Maroc et 4 pays sahéliens -le Mali, le Burkina, le Niger, le Tchad-, en vue de resserrer les liens économiques entre le Maroc et le Sahel. Est-ce que le Mali pourrait retirer sa reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique et basculer dans le camp du Maroc ?Ce que je sais, c'est que, sous le général Moussa Traoré [1969-1991], le Mali a reconnu la RASD, le République arabe sahraouie démocratique. Le président IBK m'a toujours dit son souci de vouloir reconnaître la marocanité, comme on dit, du Sahara, mais il ne voulait pas gêner un partenaire algérien qui est très important dans la lutte contre le terrorisme. Beaucoup de Maliens pensent la même chose. Ils ont une frontière commune avec l'Algérie. Donc, il y a ce poids. Mais d'un autre côté, le poids de l'histoire des relations humaines fait qu'il y a une grande sympathie pour les positions du Maroc, que les Maliens ont toujours connu à travers les caravanes qui partaient du Maroc vers le Mali, en particulier Gao, Tombouctou, bien avant la présence européenne, la colonisation, et les échanges non seulement d'or, de sel, et les routes des pèlerinages, tout passait par le Maroc à travers le Sahara.Donc, d'un côté, il y a le poids de l'histoire qui rapproche le Mali du Maroc, mais de l'autre, il y a le poids de la géographie qui rapproche le Mali de l'Algérie, car il y a une frontière commune entre le Mali et l'Algérie. Ce qui n'est pas le cas entre le Mali et le Maroc…Oui. Je me souviens parfaitement de IBK me disant, après son élection [en 2013], son désir de reconnaître la marocanité du Sahara, mais qu'il ne voulait pas, en période de tensions, offenser ou se mettre à dos Alger. Je sais que, pour des tas de raisons, de nombreux Maliens, exceptées quelques populations du Nord qui sont liées par le commerce ou des problèmes humains à l'Algérie, et la plupart des officiels maliens que je connais souhaitent que ce dossier du Sahara soit clos avec une reconnaissance, sinon de la marocanité du Sahara, du moins pas d'activités qui la met en cause. Donc, oui, je pense que cette reconnaissance de la marocanité du Sahara n'est pas à exclure.À lire aussiSahara occidental: les Nations unies appellent le Maroc à libérer des prisonniers sahraouis
Full Text of ReadingsFriday of the Thirty-fourth Week in Ordinary Time Lectionary: 507The Saint of the day is Saint Charles de FoucauldSaint Charles de Foucauld's Story Born into an aristocratic family in Strasbourg, France, Charles was orphaned at the age of 6, raised by his devout grandfather, rejected the Catholic faith as a teenager, and joined the French army. Inheriting a great deal of money from his grandfather, Charles went to Algeria with his regiment, but not without his mistress, Mimi. When he declined to give her up, he was dismissed from the army. Still in Algeria when he left Mimi, Charles reenlisted in the army. Refused permission to make a scientific exploration of nearby Morocco, he resigned from the service. With the help of a Jewish rabbi, Charles disguised himself as a Jew and in 1883, began a one-year exploration that he recorded in a book that was well received. Inspired by the Jews and Muslims whom he met, Charles resumed the practice of his Catholic faith when he returned to France in 1886. He joined a Trappist monastery in Ardeche, France, and later transferred to one in Akbes, Syria. Leaving the monastery in 1897, Charles worked as gardener and sacristan for the Poor Clare nuns in Nazareth and later in Jerusalem. In 1901, he returned to France and was ordained a priest. Later that year Charles journeyed to Beni-Abbes, Morocco, intending to found a monastic religious community in North Africa that offered hospitality to Christians, Muslims, Jews, or people with no religion. He lived a peaceful, hidden life but attracted no companions. A former army comrade invited him to live among the Tuareg people in Algeria. Charles learned their language enough to write a Tuareg-French and French-Tuareg dictionary, and to translate the Gospels into Tuareg. In 1905, he came to Tamanrasset, where he lived the rest of his life. A two-volume collection of Charles' Tuareg poetry was published after his death. In early 1909, he visited France and established an association of laypeople who pledged to live by the Gospels. His return to Tamanrasset was welcomed by the Tuareg. In 1915, Charles wrote to Louis Massignon: “The love of God, the love for one's neighbor…All religion is found there…How to get to that point? Not in a day since it is perfection itself: it is the goal we must always aim for, which we must unceasingly try to reach and that we will only attain in heaven.” The outbreak of World War I led to attacks on the French in Algeria. Seized in a raid by another tribe, Charles and two French soldiers coming to visit him were shot to death on December 1, 1916. Five religious congregations, associations, and spiritual institutes—Little Brothers of Jesus, Little Sisters of the Sacred Heart, Little Sisters of Jesus, Little Brothers of the Gospel, and Little Sisters of the Gospel—draw inspiration from the peaceful, largely hidden, yet hospitable life that characterized Charles. He was beatified in 2005 and canonized in 2022. Reflection The life of Charles de Foucauld was eventually centered on God and was animated by prayer and humble service, which he hoped would draw Muslims to Christ. Those who are inspired by his example, no matter where they live, seek to live their faith humbly yet with deep religious conviction. Saint of the Day, Copyright Franciscan Media
Qu'on le veuille ou non, l'économie et la guerre sont des mots qui vont bien ensemble. En tous cas, ils ne peuvent pas être dissociés. Le conflit en Ukraine l'a démontré de façon éclatante par une déflagration mondiale sur les marchés de l'énergie et des céréales. Qu'en sera-t-il de celui qui oppose Israël et le Hamas depuis l'agression commise par le mouvement terroriste palestinien et la riposte militaire de l'Etat Hébreu ? Au-delà des nombreux morts et blessés, on pense à la détresse y compris économique des populations de Gaza. Mais il y a aussi des conséquences côté israëlien : l'activité économique est considérablement réduite, le shekel (la monnaie nationale) est en forte chute. L'État hébreu réussira-t-il à redresser la barre ? Bénéficie-t-il de réserves monétaires suffisantes ? Devra-t-il compter sur l'aide américaine à long terme ? NOTRE INVITÉE : - Nadine Baudot Trajtenberg, professeure à l'Université Reichman de Tel Aviv, ancienne sous-gouverneure de la Banque d'Israël.Dans la deuxième partie de l'émission, nous faisons la connaissance de Kheira Nawel Benaissa, startupeuse algérienne basée à Tamanrasset, près des frontières du Mali et du Niger. Sa société, Green Al Energy, produit des kits mobiles capables de transformer les déchets organiques en gaz pour les usages domestiques, des biodigesteurs destinés notamment à des populations isolées dans cette région rocheuse où il est impossible d'installer des infrastructures lourdes. Lauréate du prix spécial Entrepreneuriat féminin Emerging Mediterranean 2022, cette dirigeante engagée décrit aussi la dynamique de ce secteur indispensable à la transition énergétique, ses ambitions en Afrique et en Europe et sa trajectoire de financement, sur la voie des levées de fonds. NOTRE INVITÉE : - Kheira Nawel Benaissa, directrice générale de Green Al Energy.Nous donnons ensuite la parole aux travailleurs sans-papiers en France et à ceux qui les défendent. Plusieurs centaines, d'origine malienne notamment, ont cessé le travail pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer au passage leur régularisation. Avec le soutien des syndicats français, ils ont installé des piquets de grève dans une trentaine d'entreprises de région parisienne, y compris sur un chantier des Jeux Olympiques 2024. Et ils ont finalement obtenu satisfaction. Un mouvement suivi par Nathanaël Vittrant, du service économie de RFI. Retrouvez ici notre série de reportages sur les sans-papiers dans le monde. En fin d'émission, nous décryptons les enjeux qui entourent l'information et l'intelligence économique, devenues indispensables aux entreprises qui veulent conquérir de nouveaux marchés, soumis à la concurrence internationale et aux menaces sécuritaires de tous ordres. NOTRE INVITÉ : - Alain Tiba, directeur de Best Intelligence, organisateur de l'événement Let's Talk Best Business, le 4 novembre 2023, à l'Africa Museum de Bruxelles.
Qu'on le veuille ou non, l'économie et la guerre sont des mots qui vont bien ensemble. En tous cas, ils ne peuvent pas être dissociés. Le conflit en Ukraine l'a démontré de façon éclatante par une déflagration mondiale sur les marchés de l'énergie et des céréales. Qu'en sera-t-il de celui qui oppose Israël et le Hamas depuis l'agression commise par le mouvement terroriste palestinien et la riposte militaire de l'Etat Hébreu ? Au-delà des nombreux morts et blessés, on pense à la détresse y compris économique des populations de Gaza. Mais il y a aussi des conséquences côté israëlien : l'activité économique est considérablement réduite, le shekel (la monnaie nationale) est en forte chute. L'État hébreu réussira-t-il à redresser la barre ? Bénéficie-t-il de réserves monétaires suffisantes ? Devra-t-il compter sur l'aide américaine à long terme ? NOTRE INVITÉE : - Nadine Baudot Trajtenberg, professeure à l'Université Reichman de Tel Aviv, ancienne sous-gouverneure de la Banque d'Israël.Dans la deuxième partie de l'émission, nous faisons la connaissance de Kheira Nawel Benaissa, startupeuse algérienne basée à Tamanrasset, près des frontières du Mali et du Niger. Sa société, Green Al Energy, produit des kits mobiles capables de transformer les déchets organiques en gaz pour les usages domestiques, des biodigesteurs destinés notamment à des populations isolées dans cette région rocheuse où il est impossible d'installer des infrastructures lourdes. Lauréate du prix spécial Entrepreneuriat féminin Emerging Mediterranean 2022, cette dirigeante engagée décrit aussi la dynamique de ce secteur indispensable à la transition énergétique, ses ambitions en Afrique et en Europe et sa trajectoire de financement, sur la voie des levées de fonds. NOTRE INVITÉE : - Kheira Nawel Benaissa, directrice générale de Green Al Energy.Nous donnons ensuite la parole aux travailleurs sans-papiers en France et à ceux qui les défendent. Plusieurs centaines, d'origine malienne notamment, ont cessé le travail pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer au passage leur régularisation. Avec le soutien des syndicats français, ils ont installé des piquets de grève dans une trentaine d'entreprises de région parisienne, y compris sur un chantier des Jeux Olympiques 2024. Et ils ont finalement obtenu satisfaction. Un mouvement suivi par Nathanaël Vittrant, du service économie de RFI. Retrouvez ici notre série de reportages sur les sans-papiers dans le monde. En fin d'émission, nous décryptons les enjeux qui entourent l'information et l'intelligence économique, devenues indispensables aux entreprises qui veulent conquérir de nouveaux marchés, soumis à la concurrence internationale et aux menaces sécuritaires de tous ordres. NOTRE INVITÉ : - Alain Tiba, directeur de Best Intelligence, organisateur de l'événement Let's Talk Best Business, le 4 novembre 2023, à l'Africa Museum de Bruxelles.
Au moins 34 personnes ont été tuées et 14 blessées lors d'une collision entre un autocar et un véhicule utilitaire, près de Tamanrasset, dans le sud de l'Algérie, a annoncé la Protection civile.
PCP#772... Later...with Pete Cogle....with tracks by... Prima Queen, Imarhan, Florence Arman, Teke-Teke, Memes, N'famady Kouyaté, Orions Belte, Genn, Opus Kink, Low Hummer, Bob Vylan, Deadletter, King Lagoon's Flying Swordfish Dance Band, Peaness, The Heavy Heavy Prima Queen - Eclipse. Bristol, England. Imarhan - Imarhan. Tamanrasset, Algeria. Florence Arman - Out of the Blue. [...] The post PCP#772… Later…with Pete Cogle appeared first on Pete Cogle's Podcast Factory.
C'est sans encombre que, le 17 décembre 2022, le vol direct Air Algérie Paris-Charles-de-Gaulle/Djanet, le premier depuis douze ans a acheminé les premiers touristes enchantés de pouvoir rallier ainsi, en moins de quatre heures, cette destination. Un premier vol qui permet de rouvrir la perle du Grand Sud algérien. Le 17 décembre, à 23 heures à l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, en chaussures de trek et sac à dos, Julie Mater est fin-prête pour avaler les sables du désert : « Nous allons embarquer pour Djanet dans un vol inaugural que nous avons trouvé par le biais de Point Afrique, qui propose très nouvellement la destination de Djanet, qui est sortie de la zone rouge début décembre, nous confie-t-elle. Nous partons marcher quinze jours avec une équipe chamelière, nous partons en trek. On était déjà en Mauritanie avec Point Afrique. Tout s'est très bien passé, donc nous réitérons l'expérience. Nous n'avons aucune appréhension. » Vol de nuit, cap plein sud, tout va bien à bord. Soudain le steward prend la parole : « Mesdames, messieurs, notre atterrissage à l'aérodrome de Djanet est imminent. Pour votre sécurité et confort, nous vous prions de laisser vos ceintures attachées, de redresser le dossier de votre siège et de relever vos tablettes, merci. » Moins de quatre heures après le décollage, bienvenue à Djanet. À l'arrivée, le PDG de l'Office national algérien du tourisme, Tahar Aresky, ne cache pas son soulagement : « Pour nous, c'est un évènement très important, explique-t-il. C'est la première fois depuis pratiquement douze ans que l'on n'a pas eu un vol direct depuis Paris sur Djanet, ou bien Tamanrasset. C'est beaucoup pour des considérations que nous ignorons surtout en matière de vol direct. Et la population vit essentiellement du tourisme ici. » « Les touristes n'ont rien à craindre » Rétablir la confiance, c'est le défi que doivent relever les professionnels du tourisme. Le directeur de l'agence Tadrart Voyages, Abdelkader Hamid, a récemment rénové son hôtel de 280 lits, et dont s'enorgueillit Djanet : « Les années passées ont été très dures avec le Covid-19, et tout ce qui se passe dans le monde... ». Pas d'appréhension à avoir pour les touristes : « Non, les touristes n'ont rien à craindre, assure Abdelkader Hamid. La sécurité est totale, on certifie à nos clients qu'ils peuvent venir. Et surtout, qu'ils profitent au maximum du vol Paris-Djanet. » Profiter au maximum, Julie et son mari en sont bien décidés, qui vont – qui sait – réveillonner dans le canyon d'Essendilène, époustouflant joyau du parc national du Tassili n'Ajjer. ► À lire aussi : Algérie : premier vol entre Paris et Djanet après une suspension de douze ans
Full Text of ReadingsThursday of the First Week of Advent Lectionary: 178All podcast readings are produced by the USCCB and are from the Catholic Lectionary, based on the New American Bible and approved for use in the United States _______________________________________The Saint of the day is Saint Charles de FoucauldBorn into an aristocratic family in Strasbourg, France, Charles was orphaned at the age of 6, raised by his devout grandfather, rejected the Catholic faith as a teenager, and joined the French army. Inheriting a great deal of money from his grandfather, Charles went to Algeria with his regiment, but not without his mistress, Mimi. When he declined to give her up, he was dismissed from the army. Still in Algeria when he left Mimi, Charles reenlisted in the army. Refused permission to make a scientific exploration of nearby Morocco, he resigned from the service. With the help of a Jewish rabbi, Charles disguised himself as a Jew and in 1883, began a one-year exploration that he recorded in a book that was well received. Inspired by the Jews and Muslims whom he met, Charles resumed the practice of his Catholic faith when he returned to France in 1886. He joined a Trappist monastery in Ardeche, France, and later transferred to one in Akbes, Syria. Leaving the monastery in 1897, Charles worked as gardener and sacristan for the Poor Clare nuns in Nazareth and later in Jerusalem. In 1901, he returned to France and was ordained a priest. Later that year Charles journeyed to Beni-Abbes, Morocco, intending to found a monastic religious community in North Africa that offered hospitality to Christians, Muslims, Jews, or people with no religion. He lived a peaceful, hidden life but attracted no companions. A former army comrade invited him to live among the Tuareg people in Algeria. Charles learned their language enough to write a Tuareg-French and French-Tuareg dictionary, and to translate the Gospels into Tuareg. In 1905, he came to Tamanrasset, where he lived the rest of his life. A two-volume collection of Charles' Tuareg poetry was published after his death. In early 1909, he visited France and established an association of laypeople who pledged to live by the Gospels. His return to Tamanrasset was welcomed by the Tuareg. In 1915, Charles wrote to Louis Massignon: “The love of God, the love for one's neighbor…All religion is found there…How to get to that point? Not in a day since it is perfection itself: it is the goal we must always aim for, which we must unceasingly try to reach and that we will only attain in heaven.” The outbreak of World War I led to attacks on the French in Algeria. Seized in a raid by another tribe, Charles and two French soldiers coming to visit him were shot to death on December 1, 1916. Five religious congregations, associations, and spiritual institutes—Little Brothers of Jesus, Little Sisters of the Sacred Heart, Little Sisters of Jesus, Little Brothers of the Gospel, and Little Sisters of the Gospel—draw inspiration from the peaceful, largely hidden, yet hospitable life that characterized Charles. He was beatified in 2005 and canonized in 2022. Reflection The life of Charles de Foucauld was eventually centered on God and was animated by prayer and humble service, which he hoped would draw Muslims to Christ. Those who are inspired by his example, no matter where they live, seek to live their faith humbly yet with deep religious conviction. Saint of the Day, Copyright Franciscan Media
Germinal nace después de tres discos en los que exploramos la raíz étnica de la tradición para buscar lo que nos unía con el resto del planeta. De aquella fusión de raíces y alas han brotado ahora estas 14 canciones Son canciones, son poemas, son ritmos y latidos recién estrenados y con una diversidad exultante porque nacen del viaje. Son sonidos exóticos y autóctonos al tiempo, provenientes de Afroiberia, de las arenas del Sáhara, de los acantilados atlánticos y tienen además el ingrediente de los sonidos contemporáneos, el jazz, las músicas étnicas… pero en esta ocasión además cuenta con un importante influjo de la América campesina e indígena, la de ida y vuelta, la de las cien almas y mil rostros. Seguramente Germinal está hermanado con la música de raíz de cualquier lugar del mundo porque nace de la inspiración de las músicas populares y campesinas que están unidas entre sí por un hilo invisible, pero imborrable. Desde 2008, Imarhan se ha ido labrado una carrera que los ha convertido en uno de los principales referentes del rock del desierto gracias a un estilo ecléctico que fusiona riffs de guitarra cercanos al rock, melodías pop y ritmos panafricanos con la música Tuareg y assouf tradicional. Con su disco debut, Imarhan (2016), se hicieron un hueco en una escena llena de grandes artistas, abanderando una nueva ola de música argelina. Temet (2018) no hizo más que confirmar la calidad y el brillante futuro de la agrupación. Imarhan presentará en Alicante su último disco Aboogi, publicado en enero de 2022. En este disco, la banda argelina refleja los problemas cotidianos, la belleza y la diversidad de su ciudad, Tamanrasset, al sur del país magrebí. Recordaros que os podéis suscribir directamente desde el reproductor de Ivoox. O desde Spotify, desde Itunes, The podcast app de Google. O incluso desde Tune-in. Que tenéis toda la info en el blog, pobrecitosatanas.es Un podcast que tiene vida en las redes a través de @pobrecitosatana en twitter y también en facebook.
Emmanuel Macron s'est rendu la semaine dernière en Algérie. Une visite de trois jours qualifiée de réussie par le président Abdelmadjid Tebboune et qui s'est conclue par la signature d'une déclaration commune dans laquelle les deux présidents renouvellent « leur engagement à inscrire leurs relations dans une dynamique de progression irréversible ». Après des mois de tension, Paris et Alger semblent donc être sur la voie de la réconciliation. Mais que retenir concrètement de ce déplacement ? Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie, est notre invité. RFI : La France et l'Algérie ont signé la semaine dernière une déclaration conjointe dans laquelle ils promettent un partenariat renouvelé. Les deux présidents ont parlé d'une « dynamique irréversible ». Vous y croyez ? Xavier Driencourt : Écoutez, je crois qu'il y a beaucoup de bonnes paroles, il y a beaucoup de phrases auxquelles on est habitué dans la diplomatie internationale, et on peut faire un copier-coller avec d'autres déclarations précédentes. Cela étant, dans ce texte, moi, je retiens trois choses : la première chose, c'est la création d'un comité militaire, parce que ça faisait déjà un certain temps que la France demandait des échanges, des renseignements, une coopération avec l'Algérie sur les questions militaires, sur la Libye, sur le Sahel, et c'est toujours Alger qui se dérobait. La deuxième chose, c'est évidemment les affaires de mémoire et autres. La troisième chose, c'est l'absence de précision en ce qui concerne ce qu'on appelle les mobilités, c'est-à-dire, en gros, l'immigration. De voir les deux présidents réunis avec leurs chefs d'État-major des armées et du renseignement extérieur, ça, c'est une sacrée évolution tout de même ? Oui, tout à fait. Je crois que c'est le point le plus important de cette visite, pour nous en tout cas, parce que ça fait longtemps que nous demandions la réunion d'un tel comité, et il ne faut pas oublier que l'Algérie connait bien cette région, elle connait le Mali, elle connait le Sahel, son arrière-cour, et elle connait bien la Libye, donc c'est vrai que c'est important. De quelles façons le partenariat entre Alger et Paris peut-il être renforcé pour lutter contre la menace terroriste au Sahel ? Il ne faut rien attendre, je pense, sur le plan militaire, c'est-à-dire qu'il n'y aura pas d'engagement militaire armé de l'Algérie au Mali. Je crois qu'il ne faut pas attendre quoi que ce soit là-dessus. En revanche, on peut penser que l'Algérie qui a de bonnes relations avec la Russie qui est très présente au Mali pourra, non pas, servir d'intermédiaire, mais pourra nous permettre à nous aussi de faire avancer le dossier malien, et plus généralement le dossier sahélien. Par exemple, vous me demandez comment tout cela peut se traduire, vous savez qu'il y a le G5 Sahel du côté français et du côté algérien, ils ont créé ce qui s'appelle le Cemoc, qui est un comité d'État-major des pays du Sahel qui est installé à Tamanrasset. On peut penser que les choses évolueront vers un rapprochement de ces deux structures, voilà, ce sont des choses concrètes. Les exportations de gaz algérien vers la France devraient sensiblement augmenter. La question énergétique, c'était l'un des enjeux de cette visite du président Macron ? Non, je ne crois pas. On ne pouvait pas ne pas parler de gaz, de pétrole… de gaz, surtout avec l'Algérie. Donc ce n'était pas l'enjeu de cette visite, l'enjeu, c'était un reformatage, une refondation, je ne sais pas quel est le bon terme, de la relation franco-algérienne. Le gaz était un des sujets sans doute de discussion, mais ce n'était pas le sujet central. L'un des points marquants, c'est l'annonce de la création de cette commission mixte d'historiens chargée de travailler sur les archives des deux pays. Mais Alger et Paris sont-ils réellement prêts selon vous à accepter de regarder leur passé commun en face ? Ce sera compliqué. Ce sera difficile pour plusieurs raisons : parce que ce passé est complexe, parce qu'on va se pencher non pas sur la guerre d'Algérie, mais on va se pencher sur les 132 années de colonisation, c'est-à-dire depuis 1830, et entre 1830 et 1945 environ, la colonisation française n'a pas toujours été exemplaire, je dirais, donc on va tomber sur des dossiers extrêmement difficiles. Ce sera également difficile parce qu'il faudra trouver des historiens indépendants, compétents et indépendants des deux côtés, ça va être très compliqué à mon avis. Et puis enfin, ça va être un dossier difficile parce que derrière tout cela, il y a aussi des dossiers connexes, je dirais notamment la question des essais nucléaires. Et donc, en ouvrant ce dossier « mémoire » au sens large, histoire plutôt, on ouvre quelque chose d'incontrôlable. Et je connais un petit peu ce dossier algérien pour vous dire que ce n'est pas demain qu'on va trouver une solution. Alors, les deux présidents se sont donnés un an pour avancer. On verra dans un an.
Charles de Foucauld (1858-1916), dopo una radicale conversione decise di «vivere solo per Dio», entrò dapprima tra i monaci trappisti, ma ne uscì dopo alcuni anni per recarsi in Terra Santa e abitarvi come Gesù, in povertà e nascondimento. Ordinato sacerdote, con l'intento di poter celebrare e adorare l'Eucaristia nella più sperduta zona del mondo, tornò in Africa, si stabilì vicino a un'oasi del profondo Sahara, indossando una semplice tunica bianca, sulla quale aveva cucito un cuore rosso di stoffa, sormontato da una croce. Trascorse tredici anni nel villaggio tuareg di Tamanrasset. La sera del primo dicembre 1916, fu ucciso da predoni. È stato beatificato nella basilica di San Pietro a Roma il 13 novembre 2005, sotto il pontificato di Benedetto XVI. Il 27 maggio 2020 la Santa Sede ha attribuito alla sua intercessione un miracolo, che ha consentito la sua canonizzazione, avvenuta il 15 maggio 2022. In una lettera scrisse: «Non appena credetti che c'era un Dio, compresi che non potevo fare altro che vivere per Lui: la mia vocazione religiosa risale alla stessa ora della mia fede. Dio è così grande! C'è una tale differenza tra Dio e tutto quello che non è Lui!» Compose questa bellissima preghiera: Padre mio, io mi abbandono a te, fa di me ciò che ti piace. Qualunque cosa tu faccia di me Ti ringrazio. Sono pronto a tutto, accetto tutto. La tua volontà si compia in me e in tutte le tue creature. Non desidero altro, mio Dio. Affido l'anima mia alle tue mani Te la dono mio Dio, con tutto l'amore del mio cuore perché ti amo, ed è un bisogno del mio amore di donarmi di pormi nelle tue mani senza riserve con infinita fiducia perché Tu sei mio Padre.
Le "frère universel" Charles de Foucauld a été canonisé dimanche 15 mai par le Pape François. Officier de cavalerie, explorateur, moine, ermite, ce prêtre est originaire de notre région, diocèse de Viviers en Ardèche.Témoignage du père Michel Monterrat, originaire du diocèse de Belley-Ars, prêtre fidei donum à Tamanrasset depuis décembre 2021 et de Dominique Thévenon qui était sur la place St Pierre à Rome pour la célébration.
C'est demain matin, place Saint-Pierre, que, parmi dix figures de l'Église catholique, sera canonisé le Français Charles de Foucauld. Si son état de santé le permet, le pape François célébrera la canonisation de « l'ermite de Tamanrasset ». Charles de Foucauld ? C'est au Sahara, où il vécut une quinzaine d'années parmi les Touaregs, que s'est forgé le « destin incroyable » de cet ancien officier de cavalerie devenu moine, que le quotidien Libération n'hésite pas à comparer à Lawrence d'Arabie ou Arthur Rimbaud. Assassiné par des pillards dans son fortin de Tamanrasset, en 1916, ce « pauvre parmi les pauvres » avait élaboré « le premier dictionnaire touareg-français », rappelle Libé. « Quel chemin parcouru pour le lieutenant noceur qui défraya la chronique de son temps, et pas par ses exploits militaires », s'émerveille Le Figaro, dans un hommage de Une, rappelant que l'officier explorateur « découvrit Dieu en traversant le Maroc musulman déguisé en Juif. Ses innombrables écrits le montrent, il voulait témoigner auprès des Touareg de l'amour du Christ, les évangéliser par le seul exemple de sa vie ». Le Figaro voit en lui « le précurseur des moines de Tibéhirine et des dix-neuf bienheureux martyrs d'Algérie ». Le miraculé Lui aussi s'appelle Charle (mais sans « s » à la fin de son prénom). Son nom, en revanche, on ne le connaîtra pas. Sa famille n'a pas souhaité le divulguer. « Non baptisé, non croyant, 28 ans, charpentier de son état, français (…) en 2016, il a survécu à une chute de près de 16 mètres de haut en restaurant une église (…), raconte encore Le Figaro. Au vu du peu de blessures, de sa totale rémission, sans séquelle aucune, alors qu'il aurait dû y laisser la vie, et des incroyables circonstances de l'accident - qui a eu lieu le jour du centième anniversaire de la mort de Charles de Foucauld, alors que des gens de cette paroisse priaient pour qu'un miracle ait lieu en vue de sa canonisation -, l'Église a retenu cette « protection » comme un « miracle », attribué à l'ermite du Sahara et nécessaire pour passer du statut de béatifié à celui de canonisé ». Marine Le Pen rompt le silence L'ex-candidate du Rassemblement national lors de la récente élection présidentielle – son ultime candidature « a priori » - vise une soixantaine de députés et se pose en première opposante à Emmanuel Macron. « Lors de ce scrutin, les Français m'ont choisie comme première opposition à Emmanuel Macron », dit Marine Le Pen au Figaro. Dans cet entretien, la chef du Rassemblement national fixe l'objectif d'obtenir « au moins 60 députés » aux législatives des 12 et 19 juin, afin de pouvoir notamment disposer des moyens de « saisir le Conseil constitutionnel ». Marine Le Pen assure que l'union avec Éric Zemmour à ces législatives n'était « pas possible. Parce que nous n'avons pas la même vision stratégique », dit-elle à ce journal. Marine Le Pen redit que 2022 était sa dernière présidentielle, « sauf événement exceptionnel ». Suspecte manipulation Un ostéopathe de renom mis en examen pour viol ? C'est Le Parisien qui le révèle. Selon ce journal, l'ostéopathe Marc Bozzetto, 82 ans, fondateur d'une école d'ostéopathie dans le sud de la France, déjà mis en examen l'an dernier pour agression sexuelle, a de nouveau été mis en examen en mars dernier pour « viols par personne usant de son autorité » sur trois de ses anciennes étudiantes. Ce quotidien signale que « ses étudiantes ou employées l'accusent d'agressions sexuelles et de viols lors de séances d'ostéopathie » Marc Bozzetto, qui « se retrouve plus que jamais dans le collimateur de la justice », souligneLe Parisien, nie toute agression sexuelle et viol, criant à la diffamation et dénonçant « un complot ».
Religions du Monde - Dimanche 15 mai 2022 - 11H10-12H Heure de Paris Assassiné le 1er décembre 1916 dans son ermitage de Tamanrasset, le frère Charles de Foucauld est canonisé ce dimanche (15 mai 2022) à Rome. Tour à tour officier de cavalerie, explorateur et géographe au Maroc, moine chez les trappistes en Ardèche et en Terre Sainte, ermite à Béni-Abbès, puis dans le Grand Sud algérien où il vivra les onze dernières années de sa vie aux côtés des Touaregs, qui était Charles de Foucauld ? C'est à cette question que tente de répondre la biographie de Christophe Mory « Charles de Foucauld, pèlerin de l'Éternel » (Pygmalion). Pour le frère dominicain Jean-François Bour, tout nouveau directeur du Service national pour les relations avec les musulmans, le frère Charles de Foucauld, a compris que le sens de sa présence dans le désert algérien était la rencontre et non la conversion. Manuscrits rares, objets, tableaux : l'exposition « L'Évangile au Pays du Sourire », raconte trois siècles et demi de présence des Missions étrangères en Thaïlande. C'est, en effet, au Royaume de Siam qu'a commencé au XVIIème siècle la grande aventure évangélisatrice en Asie de la Société des missions étrangères. Visite guidée avec l'historien Jacques Charles-Gaffiot et Éric Henry du commissariat de l'exposition qui se tient rue du Bac, au siège des MEP, jusqu'à la fin juin 2022.
Aujourd'hui, pour des raisons de sécurité, les touristes ne peuvent plus visiter Tamanrasset, cette ville du sud du Hoggar, dans le désert algérien, où vécut Charles de Foucauld. En 2005, à l'occasion de sa béatification, Thierry Lyonnet avait pu se rendre sur place. Aujourd'hui, alors que l'Église catholique s'apprête à canoniser Charles de Foucauld, RCF rediffuse ce reportage.
Aujourd'hui, pour des raisons de sécurité, les touristes ne peuvent plus visiter Tamanrasset, cette ville du sud du Hoggar, dans le désert algérien, où vécut Charles de Foucauld. En 2005, à l'occasion de sa béatification, Thierry Lyonnet avait pu se rendre sur place. Aujourd'hui, alors que l'Église catholique s'apprête à canoniser Charles de Foucauld, RCF rediffuse ce reportage.
On March 6, 2003 An Air Algerie 737-200 is doing a flight out of Tamanrasset whensomething goes wrong. What caused this flight to crash so soon after take off? --- Support this podcast: https://anchor.fm/hard-landings-podcast/support
Aujourd'hui, nous allons revenir sur la participation de la seule R5 qui s'engagea en 1983, au sein d'un team complet, la R5 « Secret » de Jack Guédé et Thierry Lefèvre…
D'aussi loin que Vincent Murgat se souvienne, il a toujours été fasciné par les Side-Cars. A l'âge où tous les ados rêvent de mobylettes et autres scooters, lui, ce sont les motos avec un « panier » qui le fascinent !
C'est un de ces véhicules américains qui nous intéresse aujourd'hui, le Chevrolet AAA n°150 qui partit lors de ce Dakar 1981.
C'est un de ces véhicules américains qui nous intéresse aujourd'hui, le Chevrolet AAA n°150 qui partit lors de ce Dakar 1981.
Full Text of ReadingsWednesday of the First Week of Advent Lectionary: 177All podcast readings are produced by the USCCB and are from the Catholic Lectionary, based on the New American Bible and approved for use in the United States _______________________________________The Saint of the day is Blessed Charles de FoucauldBorn into an aristocratic family in Strasbourg, France, Charles was orphaned at the age of 6, raised by his devout grandfather, rejected the Catholic faith as a teenager, and joined the French army. Inheriting a great deal of money from his grandfather, Charles went to Algeria with his regiment, but not without his mistress, Mimi. When he declined to give her up, he was dismissed from the army. Still in Algeria when he left Mimi, Charles reenlisted in the army. Refused permission to make a scientific exploration of nearby Morocco, he resigned from the service. With the help of a Jewish rabbi, Charles disguised himself as a Jew and in 1883, began a one-year exploration that he recorded in a book that was well received. Inspired by the Jews and Muslims whom he met, Charles resumed the practice of his Catholic faith when he returned to France in 1886. He joined a Trappist monastery in Ardeche, France, and later transferred to one in Akbes, Syria. Leaving the monastery in 1897, Charles worked as gardener and sacristan for the Poor Clare nuns in Nazareth and later in Jerusalem. In 1901, he returned to France and was ordained a priest. Later that year Charles journeyed to Beni-Abbes, Morocco, intending to found a monastic religious community in North Africa that offered hospitality to Christians, Muslims, Jews, or people with no religion. He lived a peaceful, hidden life but attracted no companions. A former army comrade invited him to live among the Tuareg people in Algeria. Charles learned their language enough to write a Tuareg-French and French-Tuareg dictionary, and to translate the Gospels into Tuareg. In 1905, he came to Tamanrasset, where he lived the rest of his life. A two-volume collection of Charles' Tuareg poetry was published after his death. In early 1909, he visited France and established an association of laypeople who pledged to live by the Gospels. His return to Tamanrasset was welcomed by the Tuareg. In 1915, Charles wrote to Louis Massignon: “The love of God, the love for one's neighbor…All religion is found there…How to get to that point? Not in a day since it is perfection itself: it is the goal we must always aim for, which we must unceasingly try to reach and that we will only attain in heaven.” The outbreak of World War I led to attacks on the French in Algeria. Seized in a raid by another tribe, Charles and two French soldiers coming to visit him were shot to death on December 1, 1916. Five religious congregations, associations, and spiritual institutes—Little Brothers of Jesus, Little Sisters of the Sacred Heart, Little Sisters of Jesus, Little Brothers of the Gospel, and Little Sisters of the Gospel—draw inspiration from the peaceful, largely hidden, yet hospitable life that characterized Charles. He was beatified on November 13, 2005. Reflection The life of Charles de Foucauld was eventually centered on God and was animated by prayer and humble service, which he hoped would draw Muslims to Christ. Those who are inspired by his example, no matter where they live, seek to live their faith humbly yet with deep religious conviction. Saint of the DayCopyright Franciscan Media
Michel Monterrat est prêtre du diocèse de Belle-Ars. Il est né en 1949, ordonné prêtre en 1978 il a occupé diverses charges pastorales : aumonier scolaire, prêtre fidéi donum en Centrafrique, curé de paroisse, aumonier d'hopital, aumonier de prison. Il repart comme prêtre fidéi donum à Tamanrasset
Les derniers instants de Charles de Foucauld, racontés par Marie-Martine Bisson, sont présentés dans le CD éponyme disponible sur Diffusia.fr
Cet épisode important de la vie de Charles de Foucauld, raconté par Marie-Martine Bisson, est présenté dans le CD éponyme disponible sur Diffusia.fr
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Les premières années de Charles de Foucauld, racontées par Marie-Martine Bisson, sont présentées dans le CD éponyme disponible sur Diffusia.fr
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Cet épisode de la vie de Charles de Foucauld, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD éponyme disponible sur Diffusia.fr
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Post Face, émission littéraire présentée par Caroline Gutmann qui reçoit Sophie Avon pour son roman « Une femme remarquable » paru au Mercure de France et Barbara Lambert pour ses coups de cœur À propos du livre : «Une femme remarquable » paru aux éditions Mercure de France Ma grand-mère a beau se transformer en personnage de roman, elle a néanmoins traversé les aventures que je lui prête. Les faits sont là. Le reste est en mon pouvoir, je me glisse dans le coeur de Mime qui se soigne avec les mots. Les femmes de ma famille sont infirmières ou institutrices, elles ont foi en l'utilité de leur métier. Education et santé : les deux ressources d'un pays qui va de Dunkerque à Tamanrasset. 1925. Dans l'écho joyeux des Années folles, Mime et Marius sont jeunes et amoureux. Ils ont tout pour être heureux. Très vite, Henri vient au monde, puis Simone. Lorsque la petite fille meurt brutalement, le couple est terrassé. La douleur hantera Mime toute son existence. Mais en dépit du chagrin, elle avancera coûte que coûte, traversant les années quarante, les aléas de son mariage, les rêves entrevus, et cette guerre mondiale qui jusqu'en Algérie saccage, épuise, affame. Fresque des années trente aux années cinquante, le roman de Sophie Avon raconte une Algérie lumineuse et l'itinéraire d'une femme forte, figure émouvante d'une mythologie familiale.
durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Gilbert Ganne - Réalisation Georges Godebert - réalisation : Virginie Mourthé
Algérienne, berbère, africaine, Leila Assas est de celles qui porte fièrement la pluralité de sa culture. Née à Oran , elle y fait ses études en langues et y travaille jusqu'à ses 28 ans. Si beaucoup quittent leurs villes natales pour s'installer dans la capitale ou partir à l'étranger, Leila prend une toute autre direction celle du sud algérien. Elle fait un premier arrêt à Adrar puis Timimoun avant de poser son baluchon pour plusieurs années dans le petit village de Lahmar (Azegagh en berbère) où elle devient institutrice. Passionnée d'histoire berbère, africaine et saharienne, Leila devient également rédactrice pour des magazines tels que Babzman ou esprit bavard, participe à l'organisation de festivals comme Diwan à Bechar ou le festival international des arts de l'Ahaggar à Tamanrasset. Durant ce mois de ramadan vous pourrez aussi la voir en tant que chroniqueuse dans l'émission Qaadetna Djazairia diffusée sur Samira TV. Leila est une femme aux multiples facettes, soucieuse de la préservation du patrimoine et pour qui la transmission est devoir inné. Dans un esprit solidaire et éco responsable, Leila Assas est en phase de lancer Ziara, son propre projet dont elle nous parle dans cet épisode. - - - N'hésitez pas à partager l'épisode autour de vous et à nous laisser des commentaires pour nous dire ce que vous en avez pensé. Rejoignez-nous sur Facebook, Instagram et Linkedin pour poursuivre la discussion
01 - Toto Chiavetta - Nothing Really Matters (Trikk Private Dub) - Innervisions 02 - Kincaid - Tyrant - Disco Halal 03 - Kintar, Santiago Garcia - El Camino - Sudam Recordings 04 - Moscoman - I Ran - Disco Halal 05 - Autarkic - Strange Alliances (Trikk Selvica Cosmica Mix) - DGTL 06 - Musumeci, Phunkadelica - Babilonia - Innervisions 07 - Lazaros - Byzantion - Sum Over Histories 08 - Pablo Fierro - Timanfaya - Compost Germany 09 - Simple Symmetry - Dervish Euphoria - Disco Halal 10 - Red Axes, Insaac Students - Musica Electronique - K7 Records 11 - Jd Twitch - Dalbouka - Malka Tuti 12 - Unknown Artist - Algérie (Tamanrasset, Tendi) - JD 741
Empezaremos en África, en pleno desierto del Sahara con el grupo tuareg, Imarhan, del que ya presentamos su anterior obra,Imarham,en Pobrecito Satanás 006, y que en 2018 nos presentaron su segundo CD, “Temet”. Y después, cruzaremos el Atlántico, directos a México, de la mano de Natalia Lafourcade, para conocer su Cd “Musas Vol. 2” Cuando Imarhan lanzó su álbum debut homónimo en 2016, su visión tierna, conmovedora e intensa de un género de música que ya estaba inundado de talento los escenarios de todo el mundo, logró escalar hasta la cima y ser considerado como un disco esencial de la "New Wave of Tuareg Music ". La banda de Tamanrasset, Argelia, regresó a principios de este año con su segundo álbum “Temet”, en City Slang, un gran salto creativo en el sonido y la producción de la banda. Mientras que su debut estuvo anclado en la tradición meditativa del blues del desierto, “Temet” mezcla su sonido con funk, fuzz, disco y rock. La cantautora Natalia Lafourcade presentó su nueva producción discográfica “Musas Vol. 2”, con la cual se adentró en los sonidos y géneros que conforman el folclore latinoamericano y afirma que es un proyecto que tomó vida propia desde “Musas Vol 1”. Pero resulta curioso cómo este segundo volumen, más que una continuación, resulta ser un paso más allá, como si hubiera tomado decisiones en función de su ‘Vol. 1’. Y es que este parece un disco más equilibrado, rico –también en arreglos: esas apabullantes percusiones de ‘Tus ojitos’– e interesante aún que aquel. ‘Vol. 2’ también tiene canciones harto conocidas, clasicazos tamaño ‘La llorona’ o ‘Luz de luna’.
Zenobia - Into the Floor Majid Bekkas - Mrhaba (Cervo edit) Jakam - Wabi Sabi (Moscoman remix) Fortuna Edits - Tabla Solo (Cervo edit) Cain - Atai Red Axes + Moscoman + Krikor - Subaru Pesha Tartit - Ehe Ehenia (El Remolón Schaffel remix) You can also check Tamanrasset Vol.2 directly on INNA DI MOOD Podcast.
Esto de las etiquetas siempre es discutible. Nunca estoy seguro de que las músicas que presentamos tengan una unidad precisa. A veces creo que la unidad entre ellas solo está en mi mente. Todo es posible. Hoy nuestro program nos llevará desde un caribe amediterraneado a un rock africanado. Ya veis, nada es lo que parece. Después de haber dado vueltas y más vueltas al Mediterráneo, Maria del Mar Bonet ha decidido celebrar el 50 aniversario de su irrupción en los escenarios con un cambio radical de aguas, dirigiéndose hacia Cuba, donde ha grabado este Ultramar, que traza un interesante puente entre la tradición del campo de la isla caribeña y el de su Mallorca. “Teneré” es nuestra segunda apuesta. El Cd de Afous d’Afous apareció en el mercado local en 2015 pero fue reeditado por Sahael Sounds para el mercado internacional en junio del 2017. Este conjunto de rock de seis personas, liderado por Kader Tarhanine, de Tamanrasset, en el sur de Argelia, es desconocido por todos los círculos de la música mundial. Sin embargo, en su casa, en la comunidad Tuareg, es sin duda, el grupo más famoso, famoso y de mayor demanda, solo superado por Tinariwen. Además de esta estética clásica del rock, la producción agrega elementos poco probables, que reflejan el globalismo contemporáneo: capas de sintetizador del norte de África, doblaje saturado con reverberación e incluso tabla india y sitar. Lo dicho… nada es bien bien lo que parece.
explmore presents a reading from Strangers Like Angels, With a Devil or Two to Boot, by Alec and Jan Forman. Alec and Jan narrate Chapter 9, The Hoggar Mountains. Alec and Jan make it to Tamanrasset with glee! After exploring the peaks of the Hoggar Mountains, a delay has them waiting for days, but a not all is lost as they experience the hustle and bustle of fellow overlander groups going about their upkeep chores.
"Imarhan", un CD per entendre les beceroles del blues i el seu llarg viatge. "Blues assouf", nost
Charles de Foucauld (Carlos de Jesús) nace en Francia, en Estrasburgo, el 15 de septiembre 1858. Huérfano a los 6 años, creció con su hermana Maria, bajo los cuidados de su abuelo, orientándose hacia la carrera militar. Adolescente, pierde la fe. Conocido por su gusto de la vida fácil él revela, no obstante una voluntad fuerte y constante en las dificultades. Emprende una peligrosa exploración a Marruecos (1883- 1884). El testimonio de fe de los Musulmanes despierta en él un cuestionamiento sobre Dios: «Dios mío, si existes, haz que te conozca ». Regresando a Francia, le emociona mucho la acogida discreta y cariñosa de su familia profundamente cristiana, y comienza una búsqueda. Guiado por un sacerdote, el Padre Huvelin, él encuentra a Dios en octubre 1886.Tiene 28 años. «Enseguida que comprendí que existía un Dios, comprendí que no podía hacer otra cosa que de vivir sólo para El». Durante una peregrinación a Tierra Santa descubre su vocación: seguir Jesús en su vida de Nazareth. Pasa 7 años en la Trapa, primero N.S. de las Nieves, después Akbes, en Syria. Enseguida después, él vive solo en la oración y adoración cerca de las Clarisas de Nazareth. Ordenado sacerdote a los 43 años (1901) parte al Sahara, primero Beni-Abbes, después Tamanrasset en medio de los Tuaregs del Hoggar. Quiere ir al encuentro de los más alejados, «los más olvidados y abandonados».Quiere que cada uno de los que lo visiten lo consideren como un hermano, «el hermano universal». El quiere «gritar el evangelio con toda su vida» en un gran respeto de la cultura y la fe de aquellos en medio de los cuales vive. «Yo quisiera ser lo bastante bueno para que ellos digan: “Si tal es el servidor, como entonces será el Maestro...”?». En el atardecer del 1° de Diciembre 1916, fue matado por una banda que rodeó la casa. Siempre soñó compartir su vocación con otros: después de haber escrito varia reglas religiosas; pensó que esta «vida de Nazareth» podía ser vivida en todas partes y por todos. Actualmente la «familia espiritual de Charles de Foucauld» comprende varias asociaciones de fieles, comunidades religiosas e institutos seculares de laicos y sacerdotes. Fue beatificado por Benedicto XVI el 13 de Noviembre de 2005 en la Basílica de San Pedro en Roma. (fuente: catholic.net) Vidas de Santos y Beatos. Los videos se encuentran en www.magnificat.tv