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Le président sortant Daniel Noboa, tenant d'une ligne sécuritaire et soutenu par la droite équatorienne, a été réélu avec 56% des voix. La candidate socialiste Luisa Gonzalez demande un recomptage des votes. « À l'annonce des résultats hier soir [dimanche 13 avril 2025], les partisans du président Noboa ont fait la fête dans les trois grandes villes du pays », témoigne notre reporter sur place, à Quito, Rafael Moran. Ces résultats restent difficiles à expliquer, précise-t-il : « Le rejet du courant politique de gauche de Luisa Gonzalez, le corréisme, a pu compter (…) Certains analystes se demandent si la politique du carnet de chèques a pu compter : le président Noboa a distribué 14 aides différentes depuis le début de l'année ».Cette élection contestée laisse beaucoup de questions et d'incertitudes, selon Christophe Ventura, directeur de recherche à l'Iris (l'Institut de relations internationales et stratégiques), spécialiste de l'Amérique latine, au micro de Clotilde Dumay : « C'est le signe d'une élection qui ne résout pas la crise politique enÉquateur, sur fond de crise économique et sécuritaire », estime le chercheur. Il souligne des résultats « inattendus », qui marquent la polarisation de la société.« Le recomptage des voix va être très compliqué, car le Conseil national électoral réduit la possibilité de recomptage en fonction de conditions très limitées, ce n'est pas du tout gagné que ce recomptage soit accepté », ajoute Christophe Ventura à notre micro.La mort du prix Nobel péruvien Mario Vargas Llosa. Il s'est éteint au Pérou, à 89 ansMario Vargas Llosa laisse une œuvre considérable, une quarantaine d'essais, de romans et de pièces de théâtre : des textes autobiographiques comme La ville et les chiens, relatant son passage à l'académie militaire où son père l'avait envoyé de force ou encore La tante Julia et le scribouillard, qui raconte sa fuite avec sa tante de quinze ans son ainée. L'auteur avait touché à tous les genres, épiques, sensibles, libertins, fresques historiques. La littérature était pour lui une manière de façonner l'esprit et le monde, détaille le journaliste Olivier Rogez, du service culture de RFI.Grand amateur de politique, ex-candidat déchu à la présidentielle péruvienne, Mario Vargas Llosa, communiste dans les années 50 avant de soutenir la Révolution Cubaine, avait, sur la fin de sa vie, donné son soutien à des candidats populistes d'extrême-droite comme Jair Bolsonaro.Dans la presse latino-américaine, les hommages sont unanimes. El Comercio, journal péruvien pour lequel l'auteur écrivait, regrette la disparition du « péruvien le plus universel », « le plus grand écrivain » du pays. La Republica se fait, elle, l'écho de nombreux hommages nationaux et internationaux au « dernier écrivain du boom latino-américain ». Du côté de la Colombie, El Tiempo se souvient tout de même le lien tumultueux entre Mario Vargas Llosa et Gabriel Garcia Marquez. L'écrivain péruvien avait frappé, à la fin des années 70, son ami Colombien d'alors, mettant fin à leur relation.Dans la presse Argentine, le premier jour de la flexibilisation des taux de change« Le gouvernement cherche à détourner l'attention de ce premier jour sans restriction des taux de change » et préfère insister sur sa rencontre avec Scott Bessent, secrétaire du trésor américain, analyse La Nacion.En Argentine, le dollar est désormais « flottant », entre 1 000 et 1 400 pesos. Pas de quoi entraîner de l'inflation, se sont échinés à démontrer le président Milei et ses proches ce week-end, usant de longs tweets et autres démonstrations sur papier, comme le rapporte La Nacion.Le média Pagina12 n'est pas rassuré : « L'impact de ses mesures est incertain et ne sera connu qu'à l'ouverture des marchés ce lundi [14 avril 2025] », lit-on.Aux États-Unis, le cas emblématique du Salvadorien expulsé par erreur et la politique migratoire de Donald Trump scruté de près par les journaux« Le ministère de la Justice dit qu'il n'est pas obligé de ramener le migrant expulsé par erreur au Salvador », écrit le Washington Post, alors que le président du Salvador Nayib Bukele est reçu ce lundi à la Maison Blanche.Le journal explique comment l'administration Trump interprète en sa faveur la décision de la Cour Suprême. Pour le gouvernement, « faciliter » le retour de Kilmar Abrego Garcia ne reviendrait, en fait, qu'à retirer les « obstacles nationaux » à ce retour. Le tout s'appliquant, selon le gouvernement, uniquement si le Salvador décidait de lui-même de libérer M. Abrego Garcia.« Ces affirmations ouvrent la voie à un nouveau test de la capacité du pouvoir judiciaire fédéral à maîtriser une administration (…) qui s'est efforcée d'étendre de manière agressive son pouvoir exécutif », commente le Washington Post. Par ailleurs, le New York Times publie une longue enquête décrivant comment le gouvernement utilise l'application mobile d'une entreprise pénitentiaire privée pour surveiller les migrants et faciliter leur arrestation. Le Washington Post révèle, lui, que la détention et la révocation du visa de la doctorante étrangère Rumesya Ozturk n'est fondée sur aucune preuve d'antisémitisme ou d'apologie du terrorisme, contrairement aux dires du gouvernement.À la Une du journal des Outre-mers, de notre partenaire de la 1ʳᵉLa Guyane où les maires contestent les chiffres du recensement.
Aujourd'hui, nous allons revenir sur un moment clé de l'histoire de Cuba : le 5 avril 1956, lorsque Fidel Castro a déclaré la guerre au président Fulgencio Batista. Cet événement marque le début d'une série de luttes qui mèneront, quelques années plus tard, à la révolution cubaine. Retrouvons Francois Vantomme pour ce nouveau moment d'histoire
Aujourd'hui, nous allons revenir sur un moment clé de l'histoire de Cuba : le 5 avril 1956, lorsque Fidel Castro a déclaré la guerre au président Fulgencio Batista. Cet événement marque le début d'une série de luttes qui mèneront, quelques années plus tard, à la révolution cubaine. Retrouvons Francois Vantomme pour ce nouveau moment d'histoire
Suite à mon périple à Cuba, je vous résume la révolution cubaine en quelques minutes. Bonne écoute! Merci à nos partenaires! Constructions Rivard - https://www.constructionsrivard.com/ Miel Abitémis - https://www.mielabitemis.com/ Animalerie Croc Bête - https://crocbete.com/ Devenez membre Patreon en vous rendant au / sltdh et profitez de dizaines d'heures de contenu exclusif! Procurez-vous votre marchandise aux couleurs de SLTDH en vous rendant au https://www.teepublic.com/user/sltdh?... Rejoignez-nous sur Twitch : / sltdh Abonnez-vous à notre chaîne YouTube: / @sltdhpod Une présentation des Éditions Dernier Mot: https://editionsderniermot.com/
durée : 00:58:56 - « Guantanamera » (Joseíto Fernández / José Martí) (1929) - par : Laurent Valero - "Joseíto Fernández fut une figure importante de la musique populaire cubaine, on le surnommait le roi de la mélodie pour ses qualités de chanteur et ses talents d'improvisateur. Il était fréquent qu'il change les paroles des chansons, et notamment sur la musique de Guantanamera !" Laurent Valero
durée : 00:58:56 - « Guantanamera » (Joseíto Fernández / José Martí) (1929) - par : Laurent Valero - "Joseíto Fernández fut une figure importante de la musique populaire cubaine, on le surnommait le roi de la mélodie pour ses qualités de chanteur et ses talents d'improvisateur. Il était fréquent qu'il change les paroles des chansons, et notamment sur la musique de Guantanamera !" Laurent Valero
durée : 00:38:59 - Rendez-vous avec X... - par : Patrick PESNOT - Le Che est mort alors qu'il tentait, en vain, d'exporter la révolution Cubaine dans toute l'Amérique Latine... Que s'est-il passé exactement en Bolivie, à la Higuera, là où Che Guevara a été capturé et exécuté le 9 octobre 1967 ?
durée : 00:16:04 - Septeto Nabori Fiesta Cubaine samedi 20 janvier 2024 à la Fabrique de St Astier - Le groupe Septeto Nabori de Santiago de Cuba est un des groupes de musiques traditionnelles cubaines le plus dynamiques et pour ses 30 ans il passe par la Fabrique de St Astier. Huit musiciens qui nous font voyager dans le cœur de CUBA au travers de leurs compositions et de reprises connues.
durée : 00:38:45 - Rendez-vous avec X... - Le Che est mort alors qu'il tentait, en vain, d'exporter la révolution Cubaine dans toute l'Amérique Latine... Que s'est-il passé exactement en Bolivie, à la Higuera, là où Che Guevara a été capturé et exécuté le 9 octobre 1967 ? - réalisé par : Michèle BILLOUD
J'ai coupé mon expatriation provisoire au Costa Rica par une petite semaine à Cuba. Une aventure qui m'a fait grandir et prendre confiance en moi, car je suis partie seule mais surtout cette innocente semaine à Cuba a joué un rôle crucial dans la direction qu'à prise mon futur. Elle méritait donc un épisode à elle toute seule. Canva : https://www.canva.com C'est mon outil favoris pour faire des présentations. Il a été parfait pour me faire ma feuille de route. GARDONS LE CONTACT : Mon compte Instagram : https://www.instagram.com/morrissey_wilde ou @Morrissey_Wilde Mon Compte de Tarologue : https://www.instagram.com/la_reine_de_batons/ ou @la_Reine_de_batons Mon Compte de Céramiste : https://www.instagram.com/pauchaceramique/ ou @Pauchaceramique Et ma Boutique Etsy : https://pauchaceramique.etsy.com MUSIQUES : La Fleur Aux Dents – Joe Dassin
Vu sur Une médecine cubaine exemplaire ? Interview de Maïlys Khider, invitée de l'Huma-café de Nantes, auteure de « Médecins cubains, les armées de la paix » livre paru aux éditions LGM. Interview réalisée en compagnie de Marc Schoene, auteur « d'Histoire(s) de santé » livre paru aux éditions PSD. Un magazine de Michel Sourget https://www.alternantesfm.net/?s=marc+schoene&et_pb_searchform_submit=et_search_proccess&et_pb_include_posts=yes&et_pb_include_pages=yes Les prochains invités de l'Huma-café de Nantes seront : Jean-Claude Zancarini, […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
Table ronde organisée à l'occasion de la parution de l'ouvrage Une révolution iranienne : Femme, Vie, Liberté, avec Odile Burluraux, conservatrice du patrimoine au musée d'Art moderne de Paris, Chahda Chafiq, écrivaine et sociologue, Rachida El Azzouzi, journaliste à Mediapart et photographe, Hugo Vitrani, commissaire d'expositions au Palais de Tokyo et Julien Sirjacq, artiste chef d'atelier aux Beaux-Arts de Paris. Elle s'appelait Mahsa Amini, jeune femme kurde tuée par la police iranienne des mœurs le 16 septembre 2022.Plus de 100 graphistes et dessinateurs de presse s'engagent pour soutenir le combat des femmes et la liberté en Iran avec des affiches et des créations graphiques inspirées des affiches des révolutions Russe ou Cubaine, de mai 68 et des codes graphiques forts, efficaces propres à la Perse.4 institutions se mobilisent, les Beaux-Arts de Paris, le Musée d'art moderne de Paris, le Palais de Tokyo et le Palais de la porte Dorée pour éditer le premier ouvrage de référence sur ces luttes. Véritable hommage au combat et à la dignité, cet ouvrage s'inscrit dans les luttes fondamentales pour les droits des femmes et des hommes. Richement illustré ce beau livre rassemble plus de 250 affiches et documents photographiques. Cette publication s'inscrit dans le prolongement du soutien aux Iraniennes et Iraniens face à la répression, mené en mars dernier à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes. Les Beaux-Arts de Paris, le Musée d'Art Moderne, le Palais de Tokyo et le Palais de la Porte Dorée s'étaient accordés pour habiller leurs façades et espaces intérieurs d'affiches issues des manifestations iraniennes, imprimées généreusement par l'atelier Julien Sirjacq aux Beaux-Arts de Paris. Cet engagement est présenté dans l'un des chapitres de l'ouvrage. Prix 35 € - Format 170 x 240 mm - 244 pages - Broché Amphithéâtre des LogesMercredi 4 octobre 2023 Crédit photo : © Anonymous Designer for From Iran
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Sur les rives du festival Rio Loco (Toulouse), rencontre avec l'une des pionnières du hip hop à La Havane : Telmary Diaz. De la chanson campesina (paysanne) au jazz, en passant les prières propres à la santeria (culte africain), elle nous raconte comme elle a trouvé sa voix et en a fait un instrument de pouvoir. Telmary Diaz est née il y a une quarantaine d'années dans les Caraïbes et plus précisément à La Havane, la capitale de Cuba. Sa mère était journaliste à Radio Rebelde (la radio créée clandestinement en 1958 par Che Guevara dans la jungle de la Sierra Maestra) et son père, sociologue. Elle, est devenue chroniqueuse du quotidien. On la surnomme : la "poétesse de la rue". A la fin des années 90, celle qui est tour à tour poétesse, rappeuse et artiste de spoken word, s'est imposée comme une pionnière en matière de musiques urbaines à Cuba. D'abord au sein du groupe hip hop Free Hole Negro puis du collectif jazz Interactivo.En 2007, le succès de son 1er album solo Diaro donne carrément naissance à la catégorie Meilleur album hip hop au Cubadisco, l'équivalent des Victoires de la Musique. Dans le même temps, il pose les bases du style unique de Telmary, puisé dans les racines africaines de la culture cubaine et en grande partie basée sur l'improvisation : une voix profonde et mélancolique, un phrasé tantôt doux, tantôt rapide porté par un mélange de rythmes afro-cubains et de jazz. Le tout avec une seule ambition : transmettre un message positif et valorisant, toujours conscient.Après de nombreuses distinctions et notamment une nomination aux Grammy Latin Awards pour son 3e album, Fuerza Arara (2018), Telmary Diaz collabore aujourd'hui avec une pléiade d'artistes cubains et internationaux, tout en se produisant avec son groupe, Habana Sana, dans les plus grands festivals. Et c'est justement au RIO LOCO, à Toulouse, un événement festif et familial qui se tient depuis bientôt 30 ans en bord de Garonne, que nous la rencontrons.De l'ile de Cuba au Canada où elle a vécu, de la chanson "campesina" (paysanne) au jazz, en passant les prières propres à la santeria (culte africain), Telmary Diaz nous raconte comment elle a trouvé sa voix et en a fait un instrument de pouvoir.Facebook / Instagram / YouTubeJournaliste : Hortense VolleRéalisation : Benjamin SarraliéMixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie BessetResponsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier GibertTitres diffusés : Extraits de l'album Maradentro (Unfit Records – 2021) : Mardentro ; Equivocao 8.6 ; Hablate feat Pedrito Martinez ; Salvate ; Calienta El Bombo Extrait de l'album Fuerza Arara (Unfit Records – 2018) : Fuerza Arara ; Cogela Como Arde feat El Ruzzo ; Soy El Verso ; Como Se Pone La Habana Extrait de l'album Libre (BisMusic - 2016) : El Poder de los Ancestros Extrait de l'album A Diario (BisMusic – 2007) : Marilu feat Interactico ; Fiesta feat Athanai ; Que Equivoca'o feat Roberto Carcasses ; Libre ; Spiritual Sin Egoismo Et aussi :Extraits de l'émission de Valérie Nivelon, La Marche du Monde (RFI) Samara de Camaron de la IslaSuperfinos Negros de Free Hole Negro
durée : 00:39:25 - Rendez-vous avec X... - par : Patrick PESNOT
Toujours à Cuba, l'équipe de Priorité Santé rencontre des médecins engagés dans le projet de coopération franco-cubaine en oncoréhabilitation de la fertilité et de la sexualité, dans le cadre du déplacement de l'équipe hospitalière du CHU de la Martinique, à la Havane. Le projet franco-cubain allie recherche et transmission de compétences. Il vise notamment à renforcer la surveillance des cancers dans la zone Caraïbes et à établir des registres fiables pour rendre les politiques publiques plus pertinentes. Le projet a également permis de créer une plateforme collaborative permettant d'améliorer la formation des personnels soignants. Ainsi, une équipe cubaine complétera sa formation lors d'une visite prochaine à Toulouse, au CHU Paule de Viguier. Dr Rodolfo Enríquez Rodriguez, directeur de l'Hôpital Gonzalez Coro de La Havane Dr Carlos Alberto Martínez Blanco, chef de la Section Indépendante des Soins contre le Cancer au Ministère de la Santé Publique Dr Thierry Almont, épidémiologiste, responsable de l'Unité d'Oncosexologie au CHU de Martinique Dr Jacqueline Véronique-Baudin, épidémiologiste, responsable de l'Unité de Recherche en Cancérologie au CHU de Martinique Pr Louis Bujan, professeur en Médecine et Biologie de la reproduction en charge de l'oncofertilité, ancien président de la Fédération française des CECOS et praticien hospitalier au CHU de Toulouse.► Reportage au sein de l'Hôpital Gonzalez Coro de La Havane, hôpital partenaire étranger du projet.
Toujours à Cuba, l'équipe de Priorité Santé rencontre des médecins engagés dans le projet de coopération franco-cubaine en oncoréhabilitation de la fertilité et de la sexualité, dans le cadre du déplacement de l'équipe hospitalière du CHU de la Martinique, à la Havane. Le projet franco-cubain allie recherche et transmission de compétences. Il vise notamment à renforcer la surveillance des cancers dans la zone Caraïbes et à établir des registres fiables pour rendre les politiques publiques plus pertinentes. Le projet a également permis de créer une plateforme collaborative permettant d'améliorer la formation des personnels soignants. Ainsi, une équipe cubaine complétera sa formation lors d'une visite prochaine à Toulouse, au CHU Paule de Viguier. Dr Rodolfo Enríquez Rodriguez, directeur de l'Hôpital Gonzalez Coro de La Havane Dr Carlos Alberto Martínez Blanco, chef de la Section Indépendante des Soins contre le Cancer au Ministère de la Santé Publique Dr Thierry Almont, épidémiologiste, responsable de l'Unité d'Oncosexologie au CHU de Martinique Dr Jacqueline Véronique-Baudin, épidémiologiste, responsable de l'Unité de Recherche en Cancérologie au CHU de Martinique Pr Louis Bujan, professeur en Médecine et Biologie de la reproduction en charge de l'oncofertilité, ancien président de la Fédération française des CECOS et praticien hospitalier au CHU de Toulouse.► Reportage au sein de l'Hôpital Gonzalez Coro de La Havane, hôpital partenaire étranger du projet.
La Santeria est une religion ou une spiritualité cubaine qui puisent ses origines dans les traditions animistes de l'Afrique et plus précisément des peuples yorubas. Les esclaves africains furent conduits aux Caraïbes par les Espagnoles dans le cadre du commerce triangulaire, mais ils ont aussi emporté avec eux leurs cultures et les croyances. De la s'est opéré un syncrétisme entre la religion Yoruba et le Christianisme, ce qui va aboutir par un long processus à la naissance de la Santeria cubaine. Parente proche du Vaudou haïtien, la Santeria possède des spécificités uniques, notamment via l'apport insolite du Spiritisme d'Allan Kardec. C'est ainsi que je vous propose de découvrir l'histoire et les origines de la Santeria, les croyances aux grands esprits (les Orishas), mais aussi les pratiques rituelles de cette tradition. Nous terminerons avec une présentation du processus initiatique des Santeros/Santera, une cérémonie qui s'étale sur sept jours et fera intervenir des purifications, des sacrifices, la réception des amulettes de protection, la possession par l'esprit et la révélation du nom magique de l'initié. Peu connue en France, la Santeria où le culte de l'adoration des saints (Orishas) représente l'un des derniers vestiges de l'animisme, mais qui a su s'adapter, via le syncrétisme à l'époque moderne. ⛎ TIPEEE : https://www.tipeee.com/arcana-mysteres-du-monde
durée : 02:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Radio libre - Raul Rivero : L'autre voix cubaine (1ère diffusion : 15/04/2006)
Il y a quelques semaines, Joe Biden qualifiait cette frange trumpiste du Parti républicain de semi-fasciste. Les républicains MAGA (pour Make America Great Again) sont des « extrémistes qui menacent la démocratie », a répété le président américain pendant la campagne. Une radicalisation des républicains trumpistes qui pousse certains républicains traditionnels à se tourner vers les démocrates. De notre correspondant à Miami, Sur les listes électorales de Floride, elle est toujours enregistrée comme républicaine, mais plus pour longtemps. Cette année, Karen vote démocrate. Une décision qui n'a pas été évidente : à 60 ans, cette Américaine d'originaire Cubaine s'est toujours considérée comme républicaine. Mais cette fois c'en est trop, l'annulation du droit constitutionnel à l'avortement par la Cour suprême cet été l'a convaincue qu'elle n'était plus du tout en phase avec sa famille politique. « Le changement s'est produit quand j'ai réalisé que je ne retrouvais plus les valeurs du Parti républicain avec lequel j'ai grandi », explique Karen. « Par exemple, pour eux, l'avortement, c'est forcément un meurtre et, ça, c'est vraiment un gros problème pour moi. Je suis la matriarche de ma famille. J'ai trois filles et deux petites-filles. C'est ma responsabilité de voter de façon responsable pour que, dans leur futur, elles ne soient pas obligées un jour de changer d'État parce qu'elles doivent interrompre une grossesse et qu'elles ne peuvent pas le faire dans leur État. Je ne veux pas qu'elles risquent leur vie pour ça, que l'on fasse marche arrière et qu'on revienne à l'époque des avortements clandestins comme on le faisait autrefois », ajoute-t-elle. ► À lire aussi : Portraits de l'Amérique qui vote: la question de l'avortement dans la campagne des «midterms» Devenue une « traître » auprès de ses anciens amis Un changement politique qui ne va pas sans conséquence sur la vie sociale de cette nourrice qui vit seule à Miami depuis le décès son mari il y a deux ans. Sa communauté cubaine américaine reste largement fidèle à Donald Trump. En tournant le dos aux républicains, Karen a également perdu de nombreux amis. « Ils me traitent de petite chose fragile, de traître, je ne suis plus invitée à certaines fêtes », déplore-t-elle. Karen assimile les MAGA – ces républicains trumpistes –, a une secte acquise à son chef et quitter cette secte, c'est devenir une ennemie. Ses anciens amis l'accusent aujourd'hui d'être une communiste, un comble pour cette fille de réfugiés cubains qui ont fui le castrisme dans les années 1950. « Ça me fait du mal. Comment osent-ils me dire ça à moi, moi qui ai grandi dans une famille anti-communiste ? », s'offusque Karen. « Et d'ailleurs, il y a des programmes d'inspiration socialiste déjà en place dans notre pays. J'en bénéficie et l'ironie, c'est que beaucoup de gens qui votent républicain en bénéficient aussi ! Mais ils n'en ont aucune idée ! Ils ne se rendent pas compte qu'ils mordent la main qui les nourrit ». Karen veut croire qu'ils sont de plus en plus nombreux, comme elle, à faire le choix de fuir ce Parti républicain devenu le parti de Donald Trump. Le résultat de ces élections de mi-mandat permettra de le mesurer.
durée : 00:38:43 - Rendez-vous avec X... - Le Che est mort alors qu'il tentait, en vain, d'exporter la révolution Cubaine dans toute l'Amérique Latine... Que s'est-il passé exactement en Bolivie, à la Higuera, là où Che Guevara a été capturé et exécuté le 9 octobre 1967 ? - réalisé par : Michèle BILLOUD
Pour la sortie du 2è album « In Paris », les 7 musiciennes béninoises (12 à 19 ans) du Star Feminine Band jouent 2 titres dans la #SessionLive, puis nous recevons Grupo Compay Segundo de Cuba, dignes rejetons de Compay Segundo, voix légendaire du Buena Vista Social Club qui présente le nouvel album « Vivelo ». Star Feminine Band : un premier aller et puis le retour par Jacques Denis Produire un disque, ça peut être une aventure. Le faire avec des jeunes filles originaires du nord-ouest du Bénin, cela relève de la gageure. C'est ce premier défi qu'a relevé Born Bad, pas franchement un label dans le genre world music, en publiant à la fin 2020 le premier album du Star Feminine Band. Concert de louanges, tout le toutim, et patatras : annulée pour cause de Covid, la tournée qui aurait dû concrétiser en direct tous les espoirs placés par le groupe et son entourage. La pandémie n'aura néanmoins pas eu raison de leur doux désir de les voir sur les scènes européennes. Un an plus tard, le combo sera de nouveau sur l'affiche des Transmusicales, point d'orgue d'une première tournée malgré toutes les galères et péripéties. « Cela n'a pas été facile comme c'était la première fois pour les formalités. » Auto désigné « papa du groupe » (deux de ses filles en font partie et il en fut à l'initiative dès 2016), l'auteur-compositeur André Balaguemon décrit par ce délicat euphémisme le parcours d'obstacles qu'il a fallu franchir pour atterrir en France. « Il fallait que l'on se déplace tous de Natitingou, notre ville au Nord-Ouest, à Cotonou la capitale où l'ambassade centralise les demandes de visa. Chacune avait son dossier. » Et c'est ainsi qu'a commencé le périple, plusieurs allers, tant de retours, à chaque fois trente heures de bus pour ces gamines dont la plus jeune, la batteuse Angélique, a fêté ses douze ans en mars 2022 et l'aînée a tout juste dix-huit printemps. « Partir revenir, partir revenir… On en a fait des navettes avant que cela aboutisse. » Et ce même si JB avait fait en sorte que toutes aient des cartes d'identité et passeports en bonne et due forme et des vaccins à jour, avant même d'envisager la première tournée. « C'était la condition sine qua non pour envisager séduire un tourneur européen. Ces jeunes filles n'avaient même pas d'état civil au début de l'aventure ». Lequel ajoute a posteriori, mi-lucide, mi-acide : « Tout le monde avait envie de les faire jouer. Mais une fois le dossier envoyé, quarante-huit heures après, jaugeant le parcours administratif, tout le monde se défilait. » Tous sauf Bernard et Geneviève d'Azimuth face à l'insistance de leur booker Léo Tran qui vont adhérer au projet, avec toutes les conséquences que cela supposait. C'était un pari mais, pour eux, cela en valait la peine. Faire venir des mineures africaines, forcément cela n'est pas gagné, qui plus est en période Covid. « Il leur fallait être vaccinées, sauf qu'au Bénin, les mineurs n'avaient pas accès au vaccin. Et nous ne pouvions même pas avoir recours au motif impérieux, dont la culture ne bénéficiait pas », se souvient Morgane Bois qui sera chargée chez Azimuth de ce dossier du genre épais, à l'image de ceux qu'il lui aura fallu constituer à chaque étape, avec tout un tas d'argumentaires pour rentrer dans les clous de la législation du travail des mineurs, et puis du code du travail la nuit, celle-ci commençant à 20h selon les autorités. CQFD : tout n'était pas simple dans cette histoire. « Administrativement un peu lourd », reprend Morgane. Doux euphémisme. Et une fois avoir bénéficié de laisser-passer, puis débarquées, elles devront encore respecter une période de quarantaine à Juvisy, non loin de Massy, la salle de banlieue parisienne. Une semaine plus tard, les voilà enfin libres. Enfin presque. Elles devront quand même se soumettre à un test Covid quotidien, et être astreintes à un suivi scolaire avec leurs profs au Bénin par visioconférence, avec certificats en bonne et due forme à l'appui. On ne rigole pas avec ces choses-là, mais toujours est-il qu'une fois remplies toutes ces obligations, le Star Féminine Band était enfin prêt à monter sur scène. Une première dans cette tournée de toutes les premières fois : quitter le Bénin, prendre l'avion, découvrir Paris. « Tout les intriguait ! », renchérit JB, jamais en panne d'une anecdote fleurie. Comme celle où face aux escalators, plusieurs peinent à mettre le pied dessus. Ou quand devant un ascenseur, elles demeurent figées. Sans parler de celle du GPS : « Une voix qui indique la direction, c'était de la science-fiction pour elles. Ma bagnole, c'était l'Enterprise, alors que c'est un pov' Peugeot Partner. » Chemin faisant, elles vont donc apprendre les codes de bonne conduite à l'européenne. Assurer un sound-check, affronter la scène, ce n'est finalement pas si difficile quand vous avez essentiellement joué sous le cagnard, avec une électricité défaillante et sans retour. Comme répondre aux interviews, qui s'enchaînent face au phénomène. Les journaux nationaux comme les magazines spécialisés, des radios comme des télés, Arte et TV5, et puis aussi la BBC. « Tant d'intérêt, tant d'interviews, on ne croyait pas à une telle réception. Cela n'arrêtait pas, mais malgré la fatigue elles étaient si contentes de raconter leur histoire. », reprend André Balaguemon. « Une fois qu'elles ont joué, on a évidemment eu la sensation de la mission accomplie, que toute cette énergie déployée a servi à quelque chose ! » Morgane n'aura pas été la seule à vibrer à l'occasion de cette tournée, un mois où de Massy à Bobigny, de l'opéra de Lyon à L'Usine une salle de Genève, le Star Féminine Band aura mis tout le monde raccord. À commencer par la critique venue en rang serré aux Transmusicales jauger le phénomène sur pied. Ils en sont revenus convaincus, comme le public alpagué par leur formule live et direct. « Dès qu'elles sont montées sur le podium, c'était parti. », s'exclame « papa » André. Et ce fut tout pareil quand il s'est agi pour elles d'enregistrer en studio, encore de l'inédit, comme un ultime défi qu'elles ont relevé par le talent de la jeunesse, grâce au sens de l'écoute de Laurent de Boisgisson du studio One Two Pass It. Justement, qu'en est-il de la suite des aventures de ces nouvelles ambassadrices de l'Unicef ? Elles persistent et signent dans la même voie, une fiévreuse et énergétique bande-son où les rythmes nabo, peulh, waama sont relevés de rythmiques, épicés de sons plus « modernes », portant un message de tolérance et de bienveillance, avec leurs mots. Simples et directs, ils parlent de leur réalité, des maux de jeunes femmes qui n'ont pas toujours le choix. Souvent déscolarisées et promises à vendre des arachides, des bananes ou du gari sur le bord de la route, la plupart des jeunes filles de la région n'ont guère d'avenir. Les mariages forcés, les grossesses précoces… « Ce sont des héroïnes ces gamines ! », reprend JB, qui en les accueillant en studio leur permet d'affûter leur formule, une forme de garage band relevé de tourneries afro. Grâce au cours d'anglais que Jérémie Verdier, leur manager, prodigue aux filles par visioconférence tous les dimanches soir depuis 2 ans, les filles s'essaient même à des titres en anglais avec « We Are Star Feminine Band » et « Woman Stand Up » In Paris, donc, c'est l'histoire aboutie de ce pari. C'est aussi le début de nouvelles aventures, la promesse de lendemains qui pourraient bien dézinguer, à l'heure où s'annonce une tournée d'été éclatante: Dour, Les Eurockéennes, Roskilde ou encore Les Nuits de Fourvière. À leur retour au pays, l'accueil a été triomphal. Leurs vidéos tournaient en boucle à la télé, la radio leur a consacré des focus et la chaîne nationale béninoise ORTB a même diffusé à plusieurs reprises leur concert filmé pour Arte. Ce groupe d'inconnues est devenu une référence nationale. « Alors cette fois, pour les visas, c'est plus facile. » - Voir le clip « Le Droit de l'Enfant » Titres interprétés au grand studio - Le Mariage Forcé Live RFI - Igousouno, extrait de l'album « In Paris » - La Musique Live RFI - We Are Star Feminine Band, extrait de l'album « In Paris » Line Up : André Balaguemon – directeur musical, Anne – guitare, Julienne – basse, Grace - claviers et chant, Angélique – batterie, Sandrine - percussions et chant, Dorcas - percussions et chant, Urrice - percussions et chant. Son : Mathias Taylor et Jeremie Besset. ► Album In Paris (Born Bad Records 2022). ► Concert 9 novembre 2022 Paris, La Maroquinerie. Puis nous recevons le groupe cubain Grupo Compay Segundo pour la sortie de l'album « Vivelo ». Fondé en 2003, après le décès de Compay Segundo, par son fils Salvador Repilado, le Grupo Compay Segundo se veut un groupe qui perpétue la tradition de la musique Cubaine : le Son. Comme son nom l'indique, il a pour vocation de prolonger l'œuvre de Compay Segundo. Composé à l'origine en grande partie par les musiciens qui ont accompagné Compay Segundo au sein de « Compay Segundo y su Grupo » de 1992 à 2003 et de musiciens issus du « Buena Vista Social Club », le groupe a au fil du temps évolué en s'entourant de jeunes musiciens talentueux formés au conservatoire de la Havane. Enregistré avec la fine fleur de la musique actuelle cubaine, le quatrième album du Grupo Compay Segundo sonne avec brio le retour du Son cubain. Compay Segundo nous quitte en 2003 et ses compagnons de vie et de scène décident alors de continuer ce qu'il a toujours souhaité – « Tocar Música tradicional Cubana ! » Compay Segundo y sus Muchachos deviendra El Grupo Compay Segundo et ces infatigables compañeros vont parcourir le monde entier avec la volonté de raconter « l'histoire de leur Compay. » Sur l'album « Vivelo » et pour la première fois dans l'histoire du Grupo, 8 titres originaux seront co-signés par Salvador Repilado, le fils, contrebassiste et directeur musical historique de Compay, et l'une des étoiles montantes cubaines Maikel Dinza. Celui-ci a collaboré avec de nombreux artistes Cubains et reçu de nombreux prix musicaux dont le prestigieux premium Cubadisco (Victoire de la musique cubaine). Ce nouvel opus marque d'un tournant dans leur carrière. À la fois plus personnel, il a su garder le savoir-faire de la musique de Compay tout en inscrivant Vivelo au cœur de la musique actuelle cubaine. L'osmose entre tradition du son et modernité de la musique actuelle fonctionne à merveille et pour cela, ils vont accueillir la fine fleur de la musique cubaine, Issac Delgado, Julio Padrón, Alexander Abreu, Joya Sory Pérez et Rolando Luna. Côté reprises, ce nouvel opus dévoile une version revisitée de San Luisera, que Compay chantait déjà dans les années 40 avec Los Compadres et une incroyable adaptation en espagnol des Mains d'Or du plus cubain des artistes français, Bernard Lavilliers. À l'écoute, le choc des générations est une réussite et l'écriture des arrangements enveloppe le tout à merveille. - Voir le clip « Con La Magia de Compay » Titres interprétés au grand studio San Luisera Live RFI Les Mains d'Or (extrait Bernard Lavilliers) Manos de Oro, extrait de l'album Vivelo Sarandoga Live RFI Chan Chan Live RFI Line up : Rafael Fournier Navarro - percussions, Yoel Matos Rodriguez - guitare & chœurs, Alberto Rodriguez Piñeda - armónico & chœurs, Rafael Inciarte Rodriguez – clarinette, Hugo Garzón Bargalló – chant, Salvador Repilado Labrada – contrebasse & directeur musical , Nilso Arias Fernández – guitare & chœurs. Traduction : María Margarita Santiago Son : Mathias Taylor et Jeremie Besset. ► Album Vivelo (AnZn 2022).
Cimafunk est devenu la révélation musicale cubaine de l'année 2018 avec son thème Me Voy, qui lui a valu d'être désigné "artiste de l'année" par le magazine Vistar et de recevoir le prix Lucas de la vidéo la plus populaire. Les chansons de son premier album Terapia comme Me Voy, Paciente ou Parar el tiempo ont conquis inexorablement une multitude de publics. Il a rompu des records d'assistance dans des salles iconiques à Cuba et dans le monde, avec des milliers de fans transportés par le groove du funk afro-cubain. À Cuba, les millenials reproduisant son style et son apparence, qui s'inspire fortement de ses racines africaines et des showmen noirs du XXème siècle. Le nom de Cimafunk fait référence à son héritage de « cimarrón », des Cubains d'origine africaine qui ont résisté et échappé à l'esclavage, ainsi qu'à l'essence de sa musique qui vise à subvertir les sons conventionnels en innovant avec les rythmes. En faisant ressortir le meilleur des rythmes et des traditions cubaines et en y infusant des sons et des styles d'Afrique et des États-Unis, Cimafunk a créé quelque chose d'unique et de spécial, non seulement en termes de musique, mais aussi des valeurs qu'il défend. Nommé par Billboard comme un des "Top 10 des artistes latinos à suivre", Cimafunk a fait un début fracassant au festival de musique South by Southwest 2019 et a effectué une tournée encensée aux États-Unis et en Europe. Fito Paez l'a qualifié de "futur" de la musique latino-américaine, et Rolling Stone a décrit sa musique comme "une combinaison électrisante de funk et de soul, superposée à la clave à cinq temps, ou le battement de cœur de la musique cubaine, apportée à Cuba par les esclaves en provenance de l'Afrique de l'Ouest." Cimafunk a sorti un EP Cun Cun Prá, en décembre 2020. Composé de 5 morceaux dont un son afro-caribéen contagieux : Cun Cun Prá ; un morceau de pop funky La Papa, avec la sensation pop cubaine Diana Fuentes ; un remix R&B sensuel de Parar El Tiempo, avec la prometteuse chanteuse mexicaine Salma ; Caliente, un morceau de hip-hop où la Nouvelle-Orléans rencontre la Havane en featuring avec Tarriona "Tank" Ball de Tank and the Bangas et le brass band The Soul Rebels ; et El Potaje où Cimafunk invite les légendes vivantes Omara Portuondo, Chucho Valdés, Pancho Amat et la Orquesta Aragón pour unir le passé, le présent et l'avenir de la musique cubaine. Lors d'un concert historique à Miami, le 16 octobre 2021, Cimafunk a réuni sur scène ses deux principales inspirations : le pianiste légendaire d'Irakere, Chucho Valdés, et le parrain du Funk, George Clinton de Parliament Funkadelic. Titres interprétés : Funk Aspirin Live RFI Rompelo Live RFI Te Quema La bemba Live RFI Salvaje Feat. Chucho Valdes Musiciens : Erik Alejandro Iglesias Rodriguez dit Cimafunk, chant Arthur Luis Alvarez Torres, piano Raul Zapata Suri, cajon Son : Fabien Mugneret, Benoît Letirant. Playlist : ♦ Bonga Feat. Camelia Jordana, Kudia Kuetu (Lusafrica 2021) ♦ Kepa, Sodade extrait de l'album Divine Morphine (Miliani/Peer Music) ♦ De La Crau, Shaman extrait de l'album Temperi (Pagans 2022) ♦ Tina Mweni, Nayikimba, extrait de l'album Nayikimba (WePresent 2021) (Rediffusion du 9 janvier 2022)
durée : 00:12:31 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Aujourd'hui, la romancière, poète et scénariste cubaine, exilée en France, Zoé Valdés. Elle publie un nouveau roman "Paul" aux Editions Arthaud.
Pianiste cubain qui fait une carrière internationale depuis plus de 20 ans, Roberto Fonseca sera ce samedi 3 septembre en concert à Paris dans le cadre du festival Jazz à la Villette. Rencontre.
Aujourd'hui à l'émission, Marie-Claude force Sébastien à nous raconter son expérience sur le « mush » dans un restaurant à Mont Tremblant! On fait croire à une auditrice qu'elle pourrait être atteinte de la variole du singe, on aide un auditeur à annoncer à sa nouvelle blonde qu'il est marié avec une Cubaine et on visite la maison à vendre de Guy Lafleur avec Ron Strudel!
durée : 00:58:27 - El Cafetal, 1ère grande zarzuela cubaine - par : Marcel Quillévéré - Cette émission nous invite à une soirée au Théâtre Regina de La Havane en 1929, lors de la création le 1er mars de la première grande zarzuela cubaine : El Cafetal, la Plantation de café, d'Ernesto Lecuona.
durée : 00:58:27 - La Havane afro-cubaine de la fin des années 20 - par : Marcel Quillévéré - L'écrivain Alejo Carpentier continue à se battre à Paris pour faire connaître la musique de son ami cubain, le compositeur Amadeo Roldán avec l'aide du chef d'orchestre français Marius François Gaillard.
Cette semaine, deux de nos chroniqueurs nous emmènent dans des pays qui ont pour point commun d'avoir été soumis au joug colonial portugais. Pierre-Luc Noël vient nous parler de l'intervention cubaine en Angola dans le contexte politique trouble qui suit l'indépendance du pays. De son côté, Robert Barkan nous explique le rôle de l'URSS au Mozambique dans le cadre de la guerre civile qui ravage le pays à partir de 1977. Dans un tout autre registre, Pierre-Luc Baril continue ses chroniques axées sur le thème de la nature et nous présente l'épisode de la « Guerre des forêts » dans l'Angleterre du 18e siècle. À l'animation, vous avez le plaisir de retrouver Camille Payeur et Clément Broche à la régie.
Entouré de toute sa bande, Vincent Moscato offre tous les jours des moments de franche rigolade en traitant l'actualité sportive sous l'angle de la dérision ! Cette année, le « Super Moscato Show », c'est 3 heures : de 15h à 18h ! Plus de sports, plus de débats, plus d'infos, et surtout encore plus de rires ! RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
durée : 02:00:00 - Les Nuits de France Culture - Par Alexandre Héraud - Avec Raul Rivero (poète, écrivain et journaliste cubain), Eduardo Manet (écrivain d'origine cubaine), Jacobo Machover (écrivain cubain exilé) et Zoé Valdès (écrivaine cubaine) - Avec en archives, lecture d'un texte de Raul Rivero par Laurent Fabius (homme politique) - Réalisation Marie-France Thivot et Dominique Costa
Interview d'Heidi Hassan, cineaste.
C'est que Janie nous a appris ce matin dans sa série d'entrevue avec les candidats régionaux! on a aussi joué à la Chasse aux classiques, à Bats le Boost et on a jasé de nom d'animaux!
A 6h45 et 7h45, Europe 1 reçoit chaque matin un invité pour décrypter, commenter et analyser l'actu du jour. Aujourd'hui, Zoé Valdés, romancière et poète cubaine, revient sur les manifestations qui secouent le pays, sur fond de famine, de crise économique et de difficultés à se soigner.
Tout l'été, Geneviève Bridel nous emmène à la rencontre de femmes inspirantes et tenaces. Des "défricheuses" qui ont pris leur destin en main, mues par le désir dʹapprendre et dʹêtre les égales des hommes. Pour ce premier épisode, on rencontre Henriette Favez (1786-1856). Vaudoise mariée à un soldat de Napoléon puis veuve à 18 ans, elle devient médecin sous des habits dʹhomme et part pour Cuba. Elle y soigne les plus démunis sous le nom dʹEnrique Faber et épouse une Cubaine. Condamnée pour offense à lʹordre et la morale, elle finit ses jours dans les ordres en Louisiane. Avec la cinéaste Laura Cazador, co-réalisatrice avec Fernando Perez du film qui lui est consacré "Insoumises". Film à voir sur la plateforme Filmingo.ch A lire aussi un portrait dʹHenriette Favez dans le livre "100 femmes qui ont fait Lausanne" (Ed. Antipodes). Réalisation: José Moreno Archives: Josette Suillot
S’approvisionner à tout prix : c’est le mot d’ordre des Cubains qui doivent faire face à une crise économique des plus dures. Et les habitants de l’État caribéen survivent plus qu’ils ne vivent. La crise, liée à des difficultés de gestion interne, aux sanctions américaines ainsi qu’au Covid-19, a engendré des pénuries d’aliments et de médicaments. Dans ces conditions, les Cubains s’adaptent, reviennent même au troc et inventent une nouvelle économie. De notre correspondante à La Havane, Chaque matin, c’est la même routine pour Emilio : « D’une main je prépare le café et de l’autre j’actualise l’application d’achat en ligne ». Le jeune guide touristique, sans emploi du fait de la crise du coronavirus, tente d’acheter des produits de consommation de base sur le seul site de vente en ligne proposé par l’État cubain. Si l’opération peut sembler simple comme trois clics, à Cuba elle relève du casse-tête. « On ne sait pas quand ils vont commencer la vente, alors il faut actualiser régulièrement l’application, ça rend un peu fou mais je préfère ça plutôt que de faire la queue sous le soleil devant un magasin, avec plein de gens agglutinés ». Le site d’État d’achat en ligne ne propose des produits qu’une fois par jour et en quantité très limitée. Il faut donc rester à l’affût toute la matinée. Après deux heures d’actualisation frénétique de l’application, toujours rien. « Je suis esclave de mon téléphone, mais il faut bien se nourrir », commente Emilio. Alors il ne lâche rien et comme lui, ils sont sûrement des centaines à tenter le coup. « Hier, je n’ai pas réussi à acheter, je n’ai pas été assez rapide, j’étais super frustré et le pire, c’est que j’ai perdu de l’argent. Parce qu’à force d’actualiser, ça m’a coûté 60 mégas ! », s'exclame Emilio. À Cuba 1 giga de 3G coûte 250 pesos, soit 10 dollars. La seule entreprise d’État des télécommunications, Etecsa, propose un réseau internet mobile depuis 2018, un service coûteux pour les Cubains, dont le salaire moyen est de 50 dollars. Hyperconnectés « Gling » l’application du téléphone s’active ! La concentration est à son maximum, un moindre faux pas et le produit disparaîtra du panier virtuel. Le stress est palpable, il faut à présent passer quatre étapes avant de conclure l’achat. « Siiiii », crie Emilio de victoire ! Il a réussi à acheter, mais il ignore quoi, tant il a dû aller vite. Une autre application lui indique ensuite le contenu du lot acheté à 14 dollars : de la lessive, du papier toilettes, une serpillière, deux sodas et deux bouteilles d’huile. « Ce n’est pas terrible, mais ça servira toujours, ou bien on pourra l’échanger, le revendre ou le donner à la famille » explique Erick, son conjoint. En plus de l’application, Emilio et Erick sont hyperconnectés sur les réseaux sociaux, qui leur permettent de résoudre bien des situations. À Cuba, il existe de nombreux groupes Telegram et WhatsApp d’achat et revente de produits en tout genre et d’autres groupes de troc. Erick préfère échanger ses produits plutôt que les vendre, car l’argent n’a plus tellement de valeur estime-t-il, et « quand on en a, on ne peut rien acheter parce qu’il n’y a rien ! ». Sur les messageries cryptées, c’est donc tout un marché noir virtuel qui s’organise. On y échange tout et n’importe quoi : farine contre préservatif, lessive contre lait en poudre… Et sur les groupes de revente, les prix de certains produits atteignent des sommets. Mais internet permet au moins d’éviter les files d’attente, par l’achat et revente entre particuliers ou sur des sites officiels. « J’ai demandé à ma mère en Espagne de m’acheter des produits sur un site en dollars, mais elle n’a pas voulu parce que les prix sont vraiment exagérés », commente un jeune homme, qui fait la queue devant un magasin du Vedado. Ysel s’est levé à 5h du matin. En attendant de pouvoir entrer, il raconte qu’il existe d’autres options d’achat légales sur internet. Les familles à l’étranger peuvent ainsi envoyer directement de la nourriture et des produits d’hygiène à leur famille à Cuba, plutôt que d’envoyer de l’argent « mais sur ces sites un savon coûte 3 dollars, c’est abusé ! ». Pourtant, on y trouve de tout, le service est fonctionnel et bon, géré par des compagnies privées étrangères, mais reste excessivement cher. Sur internet à Cuba, on trouve bien des moyens de s’approvisionner, mais cela est surtout source de frustration, pour Ysel ou de stress, comme pour Emilio. Des bulles de solidarité Heureusement, parfois, émergent quelques bulles de solidarité. « La dernière fois, j’étais désespéré par la situation de ma mère qui s’est retrouvé sans médicament », raconte le YouTubeur Julio Lusson. Alors il a posté un message sur Twitter indiquant ce qu’il recherchait. « Ça m’a fait chaud au cœur parce que très rapidement plein de gens se sont proposés de me donner le médicament en question ». Il a ainsi pu résoudre sa situation, mais sa notoriété sur les réseaux explique sans doute la vague de solidarité levée, avoue-t-il. Des groupes d’entraide existent aussi sur WhatsApp. « Ici, au magasin de Flores, il y a des yaourts, dépêchez-vous il n’y a pas beaucoup la queue pour l’instant », indique une Cubaine à travers un message vocal sur un groupe nommé « Donde Hay ». Chaque quartier de La Havane a le sien, cela permet ainsi aux Cubains de s’informer entre eux sur les produits vendus dans tel et tel magasin, ce qui facilite la chasse aux produits de consommation, dans une capitale cubaine devenue une immense file d’attente.
Eileen Hofer et Mayalen Goust offrent une plongée en bande dessinée dans La Havane à travers la vie et l'œuvre d'Alicia Alonso. Cette danseuse cubaine qui fut «prima ballerina assoluta», emblème du Ballet National de Cuba et qui vaincra le handicap de sa cécité pour arriver à réaliser son rêve. L'histoire se déroule à La Havane, sur plusieurs époques, entre 1959 et 2011. Le lecteur découvre la vie de trois femmes : Amanda, une jeune ballerine pleine d’avenir ; Manuela, une mère célibataire qui rêvait d'être danseuse classique mais qui fait du cabaret et tente d’élever seule son fils ; et l’incomparable Alicia Alonso qui, malgré sa cécité, a su devenir à force de travail et de talent, une gloire nationale et la figure de proue du régime communiste. C’est à Cuba que nous vous emmenons aujourd’hui, à travers un album de bande dessinée qui porte en elle les couleurs chaudes de l’île castriste, la fierté nationale et les difficultés du quotidien des Cubains, mais aussi et surtout le destin d’une danseuse exceptionnelle. La bande dessinée «Alicia, prima ballerina assoluta», d’Eileen Hofer et Mayalen Goust, est parue aux éditions Rue de Sèvres. Reportage : À Cuba comme dans l’ensemble de l’Amérique latine, l’art du transformisme est assez répandu. Mais bien souvent, il s’agit d’hommes qui se transforment en femme dans des spectacles de chant et danse, pleins de paillettes et maquillage. Mais une Cubaine s’est lancée dans cet art en créant un personnage d’homme qui sort de l’ordinaire, entre transformisme et militantisme. Reportage de notre correspondante Domitille Piron.
C'est une journée historique aujourd'hui pour Cuba. Ce n'est plus un Castro qui est secrétaire du Parti communiste cubain, et c'est la première fois depuis sa création. Après avoir succédé à son frère Fidel, Raul Castro a décidé de prendre sa retraite à près de 90 ans. Il cède les commandes du parti à Miguel Diaz-Canel, qui était déjà président de Cuba. Changement de génération donc, changement symbolique. D'ici à parler d'un changement politique, il y a un pas qu'il serait imprudent de franchir hâtivement. Car les difficultés économiques sont toujours là. De même que les reproches sur les droits politiques et humains. Où va la révolution cubaine ? C'est la question du jour. Pour en débattre : Janette Habel, chercheuse à l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine François Michel Lambert, député liberté Écologie Fraternité (LEF), président du groupe France Cuba à l'Assemblée Nationale Michel Faure, journaliste et écrivain, spécialiste de l'Amérique latine, auteur de «Cuba en 100 questions», aux éditions Tallandier.
Inès a commencé son parcours par l'ingénierie qui est son métier depuis, dans une société de télécommunications.Mais en parallèle de son côté scientifique, elle était aussi très créative et libre. Passionnée par la danse, elle s'y est formée. Danse modern jazz, contemporaine, africaine, orientale, hip hop, Rock, mais elle découvre ensuite la Salsa et trouve en celle ci une richesse artistique. Aujourd'hui, elle donne des cours de Salsa Portoricaine et Cubaine.Mais quand le yoga est il venu dans sa vie ? Inès a toujours été passionnée de philosophie, elle lit beaucoup et s'imprègne des sujets qui l'intéressent. C'est en cela que le yoga a fait son apparition dans sa vie, pas pour une pratique sportive, mais car elle était à la recherche de la philosophie, l'encrage, trouver son alignement... elle a commencé à prendre des cours lorsqu'elle habitait dans le sud, et c'est resté car elle ressentait le besoin de cette pratique.Celle-ci s'est intensifiée au fils du temps et est devenue une véritable passion. Inès a donc décidé de se former avec Clothilde Swartley, en 2019. Elle donne désormais des cours dans des studios et en ligne. Elle a ensuite suivi 2 autres formations après celle de Clotilde, une en Yin avec Amélie Annoni et une en yoga fonctionnel avec Paul Grilley.Et depuis août 2020, elle a lancé Karma Project, un collectif alliant le yoga, le fitness, et le caritatif. Pour elle, c'est essentiel de partager cette passion qui fait tant de bien, au plus de monde possible. Quoi de mieux que de reverser des donations des cours de yoga à des projets caritatifs ? C'est le but qu'elle s'est fixée, et c'est avec une petite équipe de professeurs que Karma Project est né !Découvrez le parcours d'Ines dans cet épisode et pour aller plus loin sur son site et ses réseaux sociaux :https://linktr.ee/yogidancerhttps://instagram.com/karmaproject.fr?igshid=1j6sci6igjiq5
Bonjour à toutes et tous, et bienvenue en 2021 ! Et pour bien commencer cette année, voici un peu de bonne humeur avec le second volet de notre saga sur la rumba. Alors que le premier volet de notre saga sur la Rumba avait présenté la trajectoire de la Nkumba du Kongo vers Cuba, ce second volet va nous permettre de comprendre les différents types de Rumba cubaine et les artistes qui l’ont popularisée. Désolé mes amis, vous patienterez jusqu’au dernier volet pour parler de Rumba congolaise, pour un retour au bercail de cette enfant prodigue.
Désignée « ville créative de l’Unesco » il y a plusieurs années, Brazzaville, comme sa sœur jumelle Kinshasa, est surtout présentée comme le berceau de la rumba. Mais, bien d’autres sonorités venues d’ailleurs raisonnent ou sont fredonnées dans cette cité de 1,5 million d’habitants. C’est le cas de la salsa cubaine qui se danse chez les jeunes grâce à une production de l’orchestre local SOS Salsa, composé d’anciens étudiants congolais ayant étudié à Cuba, et qui fête cette année ses 25 ans d’existence.
Tous les jours pendant l'été, Olivier Poels vous fait découvrir un plat et son histoire. Aujourd’hui, la cuisine cubaine.
Texte: La BBC a appris qu'un patient a été diagnostiqué avec le choléra dans la capitale Cubaine, la Havane, plusieurs jours après la mort de trois personnes dans le sud-est. Traduction: The BBC learns that a patient has been diagnosed with cholera in the Cuban capital, Havana, days after the deaths of three people in the south-east. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Texte: La BBC a appris qu'un patient a été diagnostiqué avec le choléra dans la capitale Cubaine, la Havane, plusieurs jours après la mort de trois personnes dans le sud-est. Traduction: The BBC learns that a patient has been diagnosed with cholera in the Cuban capital, Havana, days after the deaths of three people in the south-east.
SOLENOÏDE, émission de 'musiques imaginogènes' diffusée sur 30 radios dans le monde
Solénoïde (29.06.2020) - Plongez dans la magie mélodico-rythmique de CUBA ! Solénoïde tente de vous révéler un Cuba atypique et parfois hérétique. Soit un cocktail de traditions, de fusions et de transgressions, émanant d'artistes cubains natifs ou exilés, souvent méconnus, auxquels s'ajoutent des cubains de cœur venus d'Europe ou des Etats-Unis !
Philippe Cohen Solal & La Dame Blanche EP A Paris (Ya Basta) Philippe Cohen Solal (Gotan Project) continue sa série de collaborations, ayant déjà sorti des singles remarqués avec Chassol What Goes Around, Los Calchakis et Horace Andy. Série réunissant artistes établis et émergents, balançant entre dancefloor du passé et futur. Ici avec La Dame Blanche (Yaïté Ramos et Baby Lotion), ils reprennent la chanson parigote populaire de Francis Lemarque A Paris dans une version caliente, chantée par la Cubaine au cigare qui égrène les scènes internationales avec son cuban trap. Ici, le rythme cumbia avec accordéon et programmation électronique n’en finit pas de rendre un chaleureux et dansant hommage à Paris. → Vidéo La Dame Blanche x Cohen Solal A Paris Lucie Antunes Cd Sergeï (InFiné/Cry Baby)SERGEÏ, c’est le projet furieux d’une jeune percussionniste qui a fait ses armes de façon plutôt classique : finaliste du concours international ARD de Munich en 2007, résidente de la Cité Internationale des Arts à 2 reprises, lauréate de la bourse Marcel-Bleustein Blanchet pour la vocation, titulaire de plusieurs prix de conservatoire et d’un Master du Conservatoire National Supérieur de Lyon, ou encore lauréate de la bourse Fondation de France "Déclic Jeunes". En 2013, Lucie verse dans la pop-music et se trouve propulsée sur le devant de la scène aux côtés de Moodoïd, puis enchaînera les projets des autres à la batterie : Aquaserge, Yuksek, Susheela Raman… → Lucie Antunes Cd Sergeï → Vidéo Lucie Antunes Láska Titres interprétésLive1 Lucie Antunes Blue ChildLive 2 Philippe Cohen Solal + Dame Blanche A ParisCd Lucie Antunes KalimätLive3 Philippe Cohen Solal + Dame Blanche Me alma te AmaLive4 Lucie Antunes IcelandCd Philippe Cohen Solal Aquarius avec Horace Andy Son : Benoît Letirant & Fabien Mugneret Musicien.ne.sLucie Antunes, percussionsJean-Sylvain Le Gouic, moog, prophetFranck Berthoux, traiteur de son Philippe Cohen Solal, machinesLa Dame Blanche (Yaite Ramos Rodriguez), chant Baby Lotion (Marc Damblé), machines. (Rediffusion du 5 octobre 2019)
durée : 00:58:32 - Le boogie woogie et une Electre cubaine à La Havane - par : Marcel Quillévéré - (Mexico, Paris, La Havane, New York) - réalisé par : Géraldine Prutner
durée : 00:26:38 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec la commissaire Amélie Gastaut au Musée des Arts Décoratifs, à Paris, à l’occasion de l’exposition "Affiches cubaines, Révolution et Cinéma" - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Amélie Gastaut Conservatrice en chef au Musée des Arts Décoratifs, chargée des collections de design graphique et publicité
durée : 00:26:38 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec la commissaire Amélie Gastaut au Musée des Arts Décoratifs, à Paris, à l’occasion de l’exposition "Affiches cubaines, Révolution et Cinéma" - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Amélie Gastaut Conservatrice en chef au Musée des Arts Décoratifs, chargée des collections de design graphique et publicité
durée : 00:12:32 - Et la culture dans tout ça ? FB Roussillon -
Pour ce troisième épisode de la saison 2 de notre émission, posons un pied sur l’île de Porquerolles et l’autre pied sur les plages de La Havane, d’où vient notre invité du jour, Harold López-Nussa. Une fois n’est pas coutume, nous commencerons par laisser la musique parler - en suivant simplement le groove lancé par le piano d’Harold lors de sa prestation récente au festival, en juillet 2018. La suite de l’émission nous emmènera d’abord à la découverte de l’enfance de ce pianiste, né en 1983 dans une famille de grands musiciens cubains. Dans notre amphithéâtre de nature, Harold répondait volontiers à l’entière curiosité du public, à propos des tendances sociétales du jour à La Havane en cette époque post-Fidel… ou encore sur les conséquences du succès du Buena Vista Social Club sur les musiciens cubains. En cet automne pluvieux, Cuba n’est qu’à une portée de notes, alors, vamos !!! RETROUVEZ SON CONCERT À PORQUEROLLES SUR https://www.youtube.com/watch?v=73AUuwiu_Kg
Ciné-Brunch-47FM | N°22 | 17 Juin 2018 Le sommaire du N°22 : - Le film de la semaine > 3 VISAGES de Jafar Panahi - L'autre film de la semaine > JURASSIC WORLD : FALLEN KINGDOM de Juan Antonio Bayona - L'Envoyé Spatial > CHASSEUSE DE GÉANTS d'Anders Walter (Gérardmer 2018) - Les recommandations de la semaine > Soirée Cubaine à Ste Livrade & Peace and Love à Aiguillon (actualité locale) - Qu'est-ce qu'on regarde ce soir chéri(e) ? > LE PROGRAMME TV du 17/06/18.
L’île caribéenne intrigue et provoque des réactions contrastées dans le monde. Depuis l’accélération du dégel entre Cuba et les États-Unis, les interrogations fusent sur les modalités de coexistence entre la Révolution de 59 et les « révolutions » à venir. Le cinéma national est depuis 1959 un fabuleux informateur qui aide à appréhender les ambivalences de Cuba. Ses productions, loin d’être uniformes, instillent de multiples nuances et poussent à explorer différentes voies dans ce processus d’ouverture de l’île « qui rêvait d’être un continent ».
durée : 00:53:24 - Les Grandes Traversées - Archives. Quelles sont les étapes de la révolution cubaine ? Une histoire en sons, du renversement du dictateur Batista à l'accession au pouvoir de Castro, avec notamment des extraits de discours de l'orateur extraordinaire qu'était Fidel Castro.