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Première rediffusion depuis l'été 2023, pour mieux revenir avec épisode inédit le 23 avril. J'ai choisi cet épisode avec Louise Jussian et Chloé Tegny, chargées d'études à l'Ifop, car elles ont travaillé sur la "déconstruction" supposée des hommes (particulièrement les hommes cis hétéro). A l'heure où les discours masculinistes sont de plus en présents, et où les bonnes intentions affichées de certains sont rarement suivies d'actes concrets, il est temps de faire le point. Les questions posées dans l'étude IFOP / Wyylde (lien ci-dessous) sont un très bon outil pour vos futures rencontres ! Votre temps est précieux, la vie est courte, on ne peut plus perdre de temps avec des hommes qui nous méprisent. Bonne écoute !L'épisode a été diffusé la première fois le 27/02/2022. Si vous voulez soutenir Single Jungle, avec un don en une seule fois, j'ai ouvert un Tipeee : https://fr.tipeee.com/single-jungle. J'ai suivi le conseil d'auditrices et d'auditeurs qui ont proposé de participer à la hauteur de leurs moyens, ponctuellement, aux frais des épisodes (prise de son/montage). Merci aux premières personnes qui ont participé ! Références citées dans l'épisode (ou en bonus) :Articles / infographiesEtudes Ifop : ¤ Etude Ifop en partenariat avec Wyylde "Observatoire de la déconstruction", par François Kraus, Louise Jussian et Chloé Tegny https://www.ifop.com/publication/observatoire-wyylde-de-la-deconstruction/ ¤ Etude Ifop en partenariat avec Gleeden : "Enquête sur le poids de la politique dans la vie de couple des français à une semaine du premier tour (des élections présidentielles), par François Kraus https://www.ifop.com/publication/enquete-sur-le-poids-de-la-politique-dans-la-vie-de-couple-des-francais-a-une-semaine-du-premier-tour/ ¤ Etude Ifop en partenariat avec CAM4 "Comment trouve-t-on l'amour à Paris à l'heure de Tinder ?" de François Kraus, étude de 2017, avec ce chiffre qui montre bien qu'il y a bcp plus de femmes célibataires (50%) que d'hommes célibataires (35%) à Paris, donc forcément, c'est problématique. https://www.ifop.com/publication/comment-trouve-t-on-lamour-a-paris-a-lheure-de-tinder/ article de Laetitia Reboulleau sur Yahoo Life "Trop grosse, trop grande, racisée...Un homme sur deux refuse d'être en couple avec une femme qui ne correspond pas aux normes de la société" https://fr.style.yahoo.com/homme-grossophobie-couple-093428758.html The Economist "Why young men and women are drifting apart " https://www.economist.com/international/2024/03/13/why-the-growing-gulf-between-young-men-and-women48,9% des femmes déclarent vouloir être en couple uniquement être avec un homme plus grand. 13,5% des hommes ne veulent être qu'avec une femme plus petite. (source : étude Journal of family issues, 2014). A voir sur le compte de FranceTVslash https://www.instagram.com/p/CbCcfNzoxEA/ Livres "Les hommes hétéros le sont-ils vraiment ?" de Leane Alestra (Editions JC Lattès) "Amours silenciées : repenser la révolution romantique depuis les marges" de Christelle Murhula (éditions Daronnes), à écouter dans l'épisode 50 https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-50-christelle-murhula-amours-silenciees-repenser-la-revolution-romantique-depuis-les-marges "Vous ne baiserez pas : la misère sexuelle n'est pas un problème d'hommes" de Naya Ali (éditions Les Insolentes/Hachette), à écouter dans l'épisode 98 https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-98-naya-ali-vous-ne-baiserez-pas-la-misere-sexuelle-nest-pas-un-probleme-dhommes Podcasts épisode 8 de "Single Jungle", avec Anaïs Orsini, créatrice de la chaîne Youtube "Je suis moi & toi T toi", mode grande taille et body positive, pour cet épisode intitulé "être ronde et sereine". On y parle de ces hommes qui aiment les femmes rondes mais refusent d'être vus en public avec elles, car ils en ont honte. épisode 7 de "Single Jungle" sur "Politique et rencontres" avec Hadrien Bibard, du podcast Restons polis épisode 16 de "Single Jungle" avec France Ortelli, autrice de "Nos coeurs sauvages", et le concept de "célibataire définitif ou définitive" repéré par Jean-Laurent Cassely, extrait ici : https://twitter.com/Single_Jungle/status/1409489524095324165 épisode de "C'est compliqué" par Lucile Bellan, produit par Slate Podcasts (Benjamin Hours, Aurélie Rodrigues) avec une femme féministe qui fréquente un homme d'extrême droite. Et ça se pas mal. Evidemment. http://www.slate.fr/podcast/177006/c-est-complique-je-couche-avec-un-mec-dextreme-droite-je-le-vis-mal "Le cœur sur la table", de Victoire Tuaillon, Solène Moulin, Naomi Titti, Diane Jean etc, chez Binge Audio. Les questionnements de Victoire Tuaillon sur les hommes qui demandent une sodomie aux femmes, sans jamais avoir exploré leur propre anus, sont dans le tout 1er épisode (sauf erreur). Le sujet de la sodomie et du rapport anal en général, réclamé très souvent par les hommes hétéros (très influencés par le porno), avec beaucoup d'insistance, alors que la partenaire n'en a pas forcément envie. Il va y avoir ce jeu malsain, consistant à essayer de la convaincre, évoqué aussi dans cet épisode des Couilles sur la table (Binge Audio) : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/maia-mazaurette-sortir-la-tete-du-trou-1-2 Sujet évoqué aussi dans cet épisode d''Un podcast à soi" de Charlotte Bienaimé, sur Arte Radio : https://www.arteradio.com/son/61661608/sexualite_des_femmes_la_revolution_du_plaisir_18 J'espère que les femmes plus jeunes (ou moins expérimentées) pourront les écouter, se documenter, et s'écouter elles, AVANT TOUT, surtout. Combien de femmes ont accepté ce type de rapports "pour faire plaisir", "ne pas vexer", par peur etc, alors qu'elles n'en avaient pas envie, trouvaient ça douloureux, désagréable, sans intérêt etc. De même pour les hommes gay, bi, personnes non binaires, à qui on proposerait avec autant d'insistance un rapport anal. Votre corps, vos choix. "Des hommes déconstruits", épisode de l'émission "Les pieds sur terre" sur France Culture, 1ère diffusion le 4 octobre 2022 : "Après #MeToo, Paul et Sébastien entreprennent un parcours de "déconstruction" pour démanteler leurs réflexes patriarcaux. Le premier change radicalement de sexualité jusqu'à y renoncer. Le second met ses 30 ans d'expérience dans la pub pour conquérir le marché du féminisme." https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/des-hommes-deconstruits-5944418 DocumentaireDerniers condamnés pour homosexualité en France https://www.france.tv/france-5/la-case-du-siecle/3366538-homosexualite-les-derniers-condamnes.htmlAVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez-vous une dépense inutile. Episode enregistré en mai 2022, à Paris, chez Isabelle, merci à elle pour son accueil.Prise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
Avec : Jean-Laurent Cassely, essayiste et auteur de l'étude sur la France des bars tabac. - L'invité qui fait l'actu. Le samedi et le dimanche à 8h40, Anaïs Castagna reçoit un acteur majeur de l'actualité et donne la parole aux auditeurs de RMC.
Alexandre Le Mer échange avec Jean-Laurent Cassely sur l'évolution des bars tabac en France. Ces lieux, emblématiques mais marginalisés en ville, s'adaptent en diversifiant leurs activités pour survivre, devenant des "couteaux suisses" dans les zones rurales. En ville, ils affrontent la concurrence des coffee shops, attirant une clientèle plus aisée. Jean-Laurent Cassely plaide pour préserver leur essence tout en les modernisant pour rester des espaces de sociabilité face à la digitalisation croissante des interactions.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Alexandre Le Mer, en compagnie de Marion Gagnot et la rédaction d'Europe 1 vous accompagnent chaque jour de la semaine dès les premières lueurs du soleil avec de l'information et de la convivialité. L'émission parfaite pour commencer la journée du bon pied, et s'informer.
durée : 02:30:06 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Wassim Nasr, journaliste à France 24, spécialiste des mouvements jihadistes / Jean-Michel Eymeri-Douzans, professeur de science politique / Sandra Hoibian, Jean-Laurent Cassely, Marie-Christine Tabet - réalisation : Félicie Faugère
C dans l'air l'invité du 13 septembre avec Jean-Laurent Cassely, journaliste et essayiste, co-auteur avec Jérôme Fourquet de La France sous nos yeux. Le gouvernement a lancé, lundi 11 septembre, un programme expérimental de transformation des zones commerciales situées à l'entrée des villes, qui couvrent près de 500 millions de mètres carrés et constituent un enjeu économique et écologique majeur, à mesure que le foncier se raréfie. Symbole de ce que certains observateurs appellent "la France moche", mais aussi du "tout voiture" et de la consommation de masse, ces zones à l'aspect uniforme construites dans les années 1960 ressemblent à de larges voies bordées de panneaux publicitaires, avec des façades généralement en tôle ondulée et entourées de vastes parkings. Notre invité reviendra sur ces zones périphériques et sur les enjeux pour le gouvernement d'amorcer leur transformation.
Débat, autour d'Alexandre Devecchio, entre le géographe et essayiste Christophe Guilluy, qui vient de publier « Les Dépossédés » (Flammarion) et le journaliste Jean-Laurent Cassely, auteur de « La Révolte des premiers de la classe » (Éditions l'Arkhé).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cet épisode, nous avons lu pour vous La France sous nos yeux de Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely. On part donc à la (re)découverte de notre pays: ses paysages, ses modes de vie, ses économies et ses cultures. Restez bien jusqu'à la fin de l'épisode pour découvrir la suite de notre entretien avec Sébastien d'Ornano de Yomoni.
Sommes nous à la veille d'un “tsunami d'inflation”, comme le prédit l'un des patrons français les plus emblématiques, Michel Edouard LECLERC, qui annonce donc une explosion des prix dans les prochains mois… Ce “tsunami d'inflation” peut-il se transformer en “tsunami de pauvreté” ? L'Etat a-t-il durablement les moyens de limiter la casse ? La réponse passe-t-elle par une indexation des salaires sur l'inflation? Avec : Roland LESCURE, Ministre délégué auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargé de l'Industrie Thomas PORCHER, Économiste, membre des Économistes atterrés, docteur en économie à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, auteur de « Mon Dictionnaire d'économie » aux éditions Fayard (28/09/2022) François LENGLET, Journaliste, éditorialiste économique, auteur de « Rien ne va mais… » aux éditions Plon (13/10/22) Véronique DEVISE, Présidente du Secours Catholique Charlotte Blandiot-Faride, Maire de Mitry-Mory (77) Jérôme FOURQUET, Politologue, directeur du département « Opinion et stratégies d'entreprise » à l'IFOP, co-auteur avec Jean-Laurent Cassely de « La France sous nos yeux » éditons augmentée aux éditions Points (30.09.22)
J'ai une passion pour les statistiques sociologiques. Je suis donc plus que ravie que Louise Jussian et Chloé Tegny, chargées d'études à l'Ifop, aient accepté mon invitation. Avec pédagogie, elles expliquent la méthodologie et les enseignements de cette étude Ifop / Wyylde qui a fait grand bruit. Et à raison : grâce à cette étude, on sait enfin où en sont les hommes français concernant leur "déconstruction". Au-delà des beaux discours, quels sont leurs comportements vis à vis des femmes, concernant les tâches ménagères, leur rapport à leur image et à autrui, leur grossophobie, leur sexisme, etc. Et les jeunes ne sont pas forcément plus ouverts, loin de là. Attention, ça pique ! Bonne écoute ! Références citées dans l'épisode (ou en bonus) :Articles / infographies Etudes Ifop : ¤ Etude Ifop en partenariat avec Wyylde "Observatoire de la déconstruction", par François Kraus, Louise Jussian et Chloé Tegny https://www.ifop.com/publication/observatoire-wyylde-de-la-deconstruction/ ¤ Etude Ifop en partenariat avec Gleeden : "Enquête sur le poids de la politique dans la vie de couple des français à une semaine du premier tour (des élections présidentielles), par François Kraus https://www.ifop.com/publication/enquete-sur-le-poids-de-la-politique-dans-la-vie-de-couple-des-francais-a-une-semaine-du-premier-tour/¤ Etude Ifop en partenariat avec CAM4 "Comment trouve-t-on l'amour à Paris à l'heure de Tinder ?" de François Kraus, étude de 2017, avec ce chiffre qui montre bien qu'il y a bcp plus de femmes célibataires (50%) que d'hommes célibataires (35%) à Paris, donc forcément, c'est problématique. https://www.ifop.com/publication/comment-trouve-t-on-lamour-a-paris-a-lheure-de-tinder/ 48,9% des femmes déclarent vouloir être en couple uniquement être avec un homme plus grand. 13,5% des hommes ne veulent être qu'avec une femme plus petite. (source : étude Journal of family issues, 2014). A voir sur le compte de FranceTVslash https://www.instagram.com/p/CbCcfNzoxEA/ Podcasts épisode 8 de "Single Jungle", avec Anaïs Orsini, créatrice de la chaîne Youtube "Je suis moi & toi T toi", mode grande taille et body positive, pour cet épisode intitulé "être ronde et sereine". On y parle de ces hommes qui aiment les femmes rondes mais refusent d'être vus en public avec elles, car ils en ont honte. Episode 7 de "Single Jungle" sur "Politique et rencontres" avec Hadrien Bibard, du podcast Restons polis Episode 16 de "Single Jungle" avec France Ortelli, autrice de "Nos coeurs sauvages", et le concept de "célibataire définitif ou définitive" repéré par Jean-Laurent Cassely, extrait ici : https://twitter.com/Single_Jungle/status/1409489524095324165 Episode de "C'est compliqué" par Lucile Bellan, produit par Slate Podcasts (Benjamin Hours, Aurélie Rodrigues) avec une femme féministe qui fréquente un homme d'extrême droite. Et ça se pas mal. Evidemment. http://www.slate.fr/podcast/177006/c-est-complique-je-couche-avec-un-mec-dextreme-droite-je-le-vis-mal "Le cœur sur la table", de Victoire Tuaillon, Solène Moulin, Naomi Titti, Diane Jean etc, chez Binge Audio. Les questionnements de Victoire Tuaillon sur les hommes qui demandent une sodomie aux femmes, sans jamais avoir exploré leur propre anus, sont dans le tout 1er épisode (sauf erreur). Le sujet de la sodomie et du rapport anal en général, réclamé très souvent par les hommes hétéros (très influencés par le porno), avec beaucoup d'insistance, alors que la partenaire n'en a pas forcément envie. Il va y avoir ce jeu malsain, consistant à essayer de la convaincre, évoqué aussi dans cet épisode des Couilles sur la table (Binge Audio) : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/maia-mazaurette-sortir-la-tete-du-trou-1-2 Sujet évoqué aussi dans cet épisode d''Un podcast à soi" de Charlotte Bienaimé, sur Arte Radio : https://www.arteradio.com/son/61661608/sexualite_des_femmes_la_revolution_du_plaisir_18 J'espère que les femmes plus jeunes (ou moins expérimentées) pourront les écouter, se documenter, et s'écouter elles, AVANT TOUT, surtout. Combien de femmes ont accepté ce type de rapports "pour faire plaisir", "ne pas vexer", par peur etc, alors qu'elles n'en avaient pas envie, trouvaient ça douloureux, désagréable, sans intérêt etc. De même pour les hommes gay, bi, personnes non binaires, à qui on proposerait avec autant d'insistance un rapport anal. Votre corps, vos choix. Documentaire Derniers condamnés pour homosexualité en France https://www.france.tv/france-5/la-case-du-siecle/3366538-homosexualite-les-derniers-condamnes.html AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez-vous une dépense inutile. Episode enregistré en mai 2022, à Paris, chez Isabelle, merci à elle pour son accueil.Prise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
Bienvenue dans cette quatre-vintième édition de Pierres de touche, l'émission hebdomadaire de la Grande Loge Mixte de France. Nous avons choisi d'intituler cette émission « Rassembler ce qui est épars ». Pour commencer cette émission, Marie Francalanci a recensé les événements organisés prochainement dans le cadre des 40 ans de l'Obédience. Pour la chronique Histoire de franc-maçons, Sylvie Lycasion nous propose la suite de la série sur Ernest Lavisse, le franc-maçon qui a beaucoup œuvré pour l'enseignement de l'histoire. Une deuxième partie intitutlée « entre la méthode et l'ennui ». Pour introduire la chronique à venir, Fou, peut-être, titre de Julien Clerc. Une chanson en écho à la chronique psycho-philo-artistique de Michel Baron, une chronique élaborée à deux voix avec Myfanwy Thomas. L'existence d'un musée et d'une Collection d'œuvres d'art à l'hôpital Sainte-Anne est assez peu connue. rSainte-Anne, asile clinique créé par Napoléon III, fut aussi un lieu culturel où se rencontraient et débattaient psychanalystes et artistes et un lieu de création, dès sa fondation. Les psychiatres encourageaient le talent artistique de certains patients ou suggéraient à d'autres de s'exprimer par le biais de l'art. Débutée à la fin du XIXe siècle, la Collection réunit donc des œuvres d'une grande diversité de styles : art asilaire, art brut ou singulier, art naïf, mais aussi art néoclassique. Le monde qui vient, la rubrique hebdomadaire de Pierre Yana, est aujourd'hui dédiée à l'ouvrage de Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely, La France sous nos yeux. Un portrait sociologique de l'Hexagone où sont mises en avant les réalités sociales, économiques et culturelles de notre pays mais également ses mutations profondes. Pour illustrer cette réflexion sur le monde qui vient, C'est ça la France, la chanson de Marc Lavoine reprise en duo avec Gaëtan Roussel. Pour sa chronique internationale, notre chroniqueur Willima Bres s'est intéressé à la Suisse et à sa neutralité bien connue mais dont la défense est pourtant solide. Une chronique, suivie du titre de William Sheller, Genève. Et pour la dernière chronique de cette édition, nous rediffusons une chronique de la 67ème édition de Pierres de Touche. Une chronique qui s'inscrit également dans le cycle de la défense des valeurs de la République. Pour la 10ème édition de Pierres de touche au printemps 2020, nous avions accueilli Naem Bestandji. Marc Tullepois vous propose une recension de son récent ouvrage, Le linceul du féminisme, ouvrage paru aux éditions Seramis. Merci à l'équipe de chroniqueurs de Pierres de touche, merci à Gilles Saulière qui réalise et produit cette émission. Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux : twitter, facebook, instagram, et youtube. Nous nous quittons avec The dogs of War, un titre de des Pink Floyd, groupe qui vient d'être interdit en Russie – comme de nombreux artistes – parce qu'ils avaient dénoncé l'invasion russe en Ukraine. Évidemment, en ce dimanche matin, c'est à l'Ukraine que nous pensons. Conception & animation: Elise Ovart-Baratte Production: Gilles Saulière - RadioDelta Déroulé de l'émission: 00:00:00 Présentation de l'émission Élise Ovart-Barrate 00:00:30 Chronique 40 ans : La GLMF a 40 ans ! - Marie Francalanci 00:03:05 Chronique Histoire de Franc-maçon : Ernest Lavisse 2 : entre la méthode et l'ennui - Sylvie Lycasion 00:10:31 Musique : Fou, peut-être - Julien Clerc 00:13:24 Chronique Psycho-philo : Art brut et Dubuffet à l'hôpital Sainte-Anne Michel Baron 00:23:06 Chronique Le monde qui vient : La France sous nos yeux, Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely - Pierre Yana 00:30:49 Musique : C'est ça la France - Marc Lavoine 00:34:38 Chronique Internationale : La Suisse, Etat démocratique, neutre, mais doté d'une solide défense - William Bres 00:41:26 Musique : Genêve - William Sheller 00:44:53 Chronique La république vue par MT : Rediff : Bestandji PdT #67 : le linceul du féminisme - Marc Tullepois 00:46:37 Fin : Remerciements - Élise Ovart-Barrate 00:49:21 Musique : The dogs of war - Pink Floyd
Marina se décrit sur Instagram comme "fille spirituelle de Liv Strömquist". Autant vous dire que nous nous sommes très vite entendues sur Instagram, puisqu'elle y créé des contenus liés aux rencontres, à l'amour, mais aussi à ses projets personnels et professionnels, comme celui de vivre dans un village de tiny houses (petites maisons, à partir de 15m2). Marina me fait beaucoup penser à moi au début de mon célibat, il y a 6 ans, avec ces désillusions sur les applis de rencontres qui n'entament pas l'optimisme et la croyance chevillée au corps que "aimer, c'est ce qu'il y a de plus beau", comme dans la comédie musicale, dédicace au podcast dédié "Les rois du monde est stone etc." https://podcasts.apple.com/fr/podcast/les-rois-du-monde-est-stone-etc/id1452721126 Bref, je vous présente Marina, célibataire sensible, attachante, qui a plein de projets et de rêves. Références citées dans l'épisode : Retrouvez Marina sur Tik Tok, Youtube, Instagram Sa vidéo sur Tinder : https://youtu.be/1vlubouvWM0 Son "Guide des relations amoureuses en 2021" https://youtu.be/hbcOSijpjAk L'expression à bannir "attachiante", expliquée dans le livre "En finir avec le couple" de Stéphane Rose, éditions La Musardine : https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782364905412-en-finir-avec-le-couple-stephane-rose/ et à retrouver dans l'épisode 9 https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-9-en-finir-avec-le-couple-avec-stephane-rose-et-marc-gibaja L'estime de soi sur les applis de rencontres peut être mise à mal par le manque de réponses, le manque de "matchs" etc, voir l'enquête de Judith Duportail et du datajournaliste Nicolas Kayser-Bril https://www.huffingtonpost.fr/entry/sur-tinder-les-femmes-ont-25-fois-plus-de-chances-de-matcher-que-les-hommes_fr_5d3c0c66e4b0a6d6373fb646 Passion stats : Dans de nombreuses villes (en France et dans d'autres pays), le ratio hommes (hétéros) / femmes (hétéros) est déséquilibrée. Ainsi à Paris, il y a 2 fois plus de femmes célibataires hétéros (entre 25 et 55 ans) que d'hommes hétéros (source : François Kraus - Ifop. Le rapport s'inverse à Brest ou Toulouse. Voir l'article de Jean-Laurent Cassely et Julien Jégo : "Les villes où l'écart entre le nombre d'hommes et de femmes célibataires est le plus grand" http://www.slate.fr/story/91305/villes-femmes-hommes-celibataires. Et la vidéo de Chloé Delaume interviewée par Brut. Dernière BD de Liv Strömquist, "le palais des miroirs" : https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782878272505-dans-le-palais-des-miroirs-liv-stromquist/ Le coeur sur la table, INDISPENSABLE podcast de Victoire Tuaillon, Solène Moulin, Naomi Titti, Diane Jean etc. Episode bonus enregistré en public où j'ai pu poser une question à Victoire et Judith : "Est-ce que ça vaut le coup de débattre avec des masculinistes [et/ou hommes pas du tout déconstruits, machistes etc], est-ce qu'on peut les "sauver" ou on laisse tomber ?" Leur réponse ici : https://twitter.com/Louisa_A/status/1415911741373001731 Episode entier : https://www.binge.audio/podcast/le-coeur-sur-la-table/le-coeur-en-live-avec-judith-duportail Le Coeur sur la table est disponible également en livre https://boutique.binge.audio/Egalement cet extrait sur le sentiment de culpabilité des femmes lorsqu'elles sont victimes de violences, la psychologisation à outrance ("si elle rencontre les mauvaises personnes, c'est de sa faute, elle a des schémas répétitifs etc). https://www.instagram.com/p/CZXpaHaO9Wh/ "Les mecs que je veux ken", podcast de Rosa Burzstein, épisode avec Tristan Lopin https://podcasts.apple.com/fr/podcast/tristan-lopin/id1474961176?i=1000497692740 Bruno Podalydès à propos de l'expression "Je suis en mode" : https://twitter.com/Louisa_A/status/1461661360471916551 , émission en entier : https://www.franceinter.fr/emissions/on-aura-tout-vu/on-aura-tout-vu-12-juin-2021 Solange Te Parle, qui évoque la possibilité de tester les champignons hallucinogènes, en étant accompagnée par quelqu'un de confiance, de manière sécurisé. En attendant de retrouver la vidéo exacte, découvrez sa chaîne Youtube https://www.youtube.com/channel/UCQfakletOMk9zXVRSHUdyDA et son Patreon https://www.patreon.com/solangeteparle "Le prix à payer : ce que le couple hétéro coûte aux femmes" de Lucile Quillet, éditions Liens qui libèrent https://www.placedeslibraires.fr/livre/9791020910349-le-prix-a-payer-ce-que-le-couple-hetero-coute-aux-femmes-lucile-quillet/ bientôt dans Single Jungle, et à retrouver dans "C'est compliqué", podcast de Lucile Bellan (avec Benjamin Saeptem Hours, Aurélie Rodrigues etc) sur Slate : http://www.slate.fr/audio/cest-complique/couple-heterosexuel-couter-trop-cher-femmes-85 Un podcast à soi, épisode avec notamment les propositions du collectif Very Bad Mother, pour de l'entraide entre familles, voisins, amis, pour s'occuper des enfants, faire des petits travaux etc https://www.arteradio.com/son/61663279/le_pouvoir_des_meres_23 Episode enregistré en décembre 2021, à Paris, chez Isabelle, merci à elle pour son accueil.Prise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
«Ça va bien se passer.» Cette petite phrase répétée à Apolline de Malherbe par Gérald Darmanin a fait polémique pour sa misogynie… mais le problème est en réalité plus profond. Plongée dans le jargon masculiniste, avec l'intervention de l'activiste et écrivaine Anna Toumazoff. Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes. Références: «Gérald Darmanin face à Apolline de Malherbe en direct», BFMTV «Maître Yoda clash et menace Lorenzo Becker», Thomas B, Youtube «2007: Ségolène Royal en colère», Herodote.net, Vimeo «Sarkozy: Je me suis énervé, ça prouve que je suis humain», Figaro Live, Youtube Post Instagram Anna Toumazoff Définition «Dog Whistle» «La dieudonnisation des esprits, une (grosse) quenelle qui vient d'en bas», Jean-Laurent Cassely, Slate.fr «Pécresse répond aux critiques sur son meeting du Zénith», BFMTV «Valérie Pécresse: "Le wokisme, c'est le contraire de la République"», BFMTV «Les Grosses Têtes - Émission du jeudi 10 février 2022», les Grosses Têtes, Youtube «Gérald Darmanin « regrette » ses propos envers la journaliste Apolline de Malherbe», Sud Ouest «"Calmez-vous": la vieille rhétorique sarkozyste de Darmanin», Charlotte Chaffanjon, Libération «"Calmez-vous, ça va bien se passer” : une longue tradition de sexisme et d'antiféminisme, Rose Lamy, Huffpost Mansplaining est un podcast de Thomas Messias, produit par Slate.fr sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours. Réalisation: Aurélie Rodrigues Montage: Victor Benhamou Prise de son: Thomas Messias Musique: «Warm Sea», Savvier Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook.
Tiphaine a créé et co-anime avec son amie Sarah, @LesCassosdeTinder_, compte Instagram qui réunit des captures d'écran de profils Tinder étonnants, qui en deviennent drôles tant ils sont absurdes, extrêmes. Elle y accumule aussi des conversations ubuesques que des gens lui envoient, femmes et hommes. C'est aussi ça, le vrai vécu des applis de rencontres. Autant rire de tout ça, non ? Tiphaine nous raconte aussi son parcours de célibataire trentenaire, entre la Nouvelle-Calédonie et Paris, sa situation actuelle, et ses aspirations. Elle évoque avec beaucoup de transparence ses expériences, ses réflexions, ses émotions. Références citées dans l'épisode : Film "Comme des bêtes", où l'un des héros, interprété par Denis Ménochet est victime d'une cyberarnaque, par un "brouteur" basé à Abidjan en Côte d'Ivoire https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=270615.html Blanche Gardin parle du fait de fréquenter un homme marié : https://youtu.be/M2_tmKz3gBI Bingo des célibataires, par Marie Albert, créatrice du podcast "Sologamie" https://mariealbert.info/2020/12/24/tu-es-trop-grosse-tu-es-trop-exigeante-le-bingo-des-celibataires-%F0%9F%8F%86/ Statistiques IFOP (par François Kraus) sur le décalage entre le nombre de femmes célibataires hétéros, plus important, que le nombre d'hommes célibataires hétéros : https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2018/03/3905-1-study_file.pdf et https://www.datapressepremium.com/rmdiff/2010052/118063_Rapport_Ifop_Cam4_2021.09.011.pdf et l'article de Jean-Laurent Cassely et Julien Jégo sur Slate.fr http://www.slate.fr/story/91305/villes-femmes-hommes-celibataires Film "Deux moi" de Cédric Klapisch avec Anaïs Demoustier et François Civil https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=268136.html Georgia O'Keefe https://www.facebook.com/watch/?v=292796052307532 et https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/60bdJRm Ocytocine (hormone de l'attachement, des moments agréables) : https://espacesantebienetre.quartzprod.com/wp-content/uploads/2018/05/ocytocine2.png | Expo "De l'amour" au Palais de la Découverte https://www.palais-decouverte.fr/fr/ressources/expositions-passees/de-lamour/lexposition/ Très important : faire pipi après la pénétration vaginale, pour éviter les cystites et mycoses, on en parlait avec Lucile Bellan, et Laetitia Reboulleau dans le hors série de l'été de "C'est compliqué", podcast Slate http://www.slate.fr/audio/cest-complique/talk-sexualite-sextoys-preservatifs-accessoires-partenaires-77Sujet évoqué aussi dans le podcast Hot Line : https://open.spotify.com/show/0awfiXK6dqA8gi5XRZOlRK spectacle "Nanette" d'Hannah Gadsby sur Netflix https://www.netflix.com/title/80233611 en attendant son spectacle en France prochainement Episode du podcast Slate "Première & Dernière fois" de Lucile Bellan, avec Vanessa, femme transgenre hétéro. Episode récompensé au Paris Podcast Festival 2021 : Prix du podcast de conversation soutenu par la DGMIC du ministère de la Culture. http://www.slate.fr/audio/premiere-derniere-fois/vanessa-28-ans-je-voulais-pas-etre-un-fantasme-mais-quon-me-considere Compte Instagram Les perruques de Thomas https://www.instagram.com/les.perruques.de.thomas/ Compte Instagram https://www.instagram.com/explorefr/ Musée de l'Homme https://www.museedelhomme.fr/fr Musée des Arts et Métiers https://www.arts-et-metiers.net/ "L'Exoconférence" d'Alexandre Astier, mise en scène : Jean-Christophe Hembert https://youtu.be/eZnUlVnERBg et dans ce spectacle génial est expliqué le paradoxe de Fermi (en gros, les extraterrestres existent sûrement, puisqu'on n'a aucune preuve que nous sommes seuls dans l'univers) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_de_Fermi "Que ma joie demeure" d'Alexandre Astier, mise en scène : Jean-Christophe Hembert, sur la musique, et particulièrement Bach https://youtu.be/ezSWoXiz9lg Interview d'Alexandre Astier https://www.youtube.com/watch?v=LwkmqvmcyEw Florence Porcel, "Mars Horizon" et ses autres livres https://www.placedeslibraires.fr/listeliv.php?mots_recherche=&auteurs=florence%20porcel&base=allbooks Episode enregistré en décembre 2021, à Paris, chez Tiphaine, merci à elle pour son accueil, pour les livres et les pommes :) (petite astuce pour éviter les bruits de bouche)Prise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo : Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
Pierre-Édouard Deldique reçoit dans son magazine Idées : Jérôme Fourquet, analyste politique, expert en Géographie électorale, directeur du Département Opinion à l'IFOP, auteur de « L'archipel français, naissance d'une nation multiple et divisée » au Seuil. Il vient d'écrire aussi avec Jean-Laurent Cassely, « La France sous nos yeux » chez le même éditeur.
Chronique Lire la Politique, Luce Perrot reçoit Jérôme Fourquet Prix du livre d'économie 2021 pour son livre « La France sous nos yeux. Economie, paysages, nouveaux modes de vie. » aux éditions du Seuil À propos du livre : « La France sous nos yeux. Economie, paysages, nouveaux modes de vie. » Paru aux éditions Seuil Qu'ont donc en commun les plateformes logistiques d'Amazon, les émissions de Stéphane Plaza, les restaurants de kebabs, les villages de néo-ruraux dans la Drôme, l'univers des coaches et les boulangeries de rond-point ? Rien, bien sûr, sinon que chacune de ces réalités économiques, culturelles et sociales occupe le quotidien ou nourrit l'imaginaire d'un segment de la France contemporaine. Or, nul atlas ne permet de se repérer dans cette France nouvelle où chacun ignore ce que fait l'autre. L'écart entre la réalité du pays et les représentations dont nous avons hérité est dès lors abyssal, et, près d'un demi-siècle après l'achèvement des Trente glorieuses, nous continuons à parler de la France comme si elle venait d'en sortir. Pourtant, depuis le milieu des années 1980, notre société s'est métamorphosée en profondeur, entrant pleinement dans l'univers des services, de la mobilité, de la consommation, de l'image et des loisirs. C'est de la vie quotidienne dans cette France nouvelle et ignorée d'elle-même que ce livre entend rendre compte à hauteur d'hommes et de territoires. Le lecteur ne s'étonnera donc pas d'être invité à prendre le temps d'explorer telle réalité de terrain, telle singularité de paysage ou telle pratique culturelle, au fil d'un récit soutenu par une cartographie originale (réalisée par Mathieu Garnier et Sylvain Manternach) et des statistiques établies avec soin. Qu'ils fassent étape dans un parc d'attraction, nous plongent dans les origines de la danse country, dressent l'inventaire des influences culinaires revisitées, invoquent de grandes figures intellectuelles ou des célébrités de la culture populaire, les auteurs ne dévient jamais de leur projet : faire en sorte qu'une fois l'ouvrage refermé, le lecteur porte un regard nouveau sur cette France recomposée. Jérôme Fourquet, auteur de L'Archipel français (Seuil, 2019), est analyste politique, expert en géographie électorale, directeur du département Opinion à l'IFOP. Jean-Laurent Cassely est journaliste (Slate.fr, L'Express) et essayiste, spécialiste des modes de vie et des questions territoriales.
Lydie AKA Brunette Royalty, 33 ans, bisexuelle, nous raconte comment elle a rencontré son compagnon après 6 ans de célibat, avec toutes les galères de dating, et aussi les expériences positives. Le but n'est pas de la féliciter pour cette rencontre ou de dire "Youpi il y a de l'espoir !". Mais plutôt de comprendre que chaque parcours est différent, et que parfois c'est une question de timing, de hasard et de chance, d'état d'esprit aussi parfois, et ce sont des paramètres qu'on ne maitrise pas. Donc pas de culpabilité à avoir. Merci à Lydie pour sa grande sincérité sur tous les sujets abordés. Références citées dans l'épisode : Le blog de Lydie http://brunetteroyalty.fr/, Instagram : https://www.instagram.com/brunetteroyalty/, Twitter : https://twitter.com/BrunetteRoyalty "L'amour sous algorithme" de Judith Duportail. Sur Tinder, on ne nous montre pas tous les profils, c'est comme si on allait en soirée et qu'on ne voyait pas tout le monde. Voir son interview sur Loopsider https://www.facebook.com/Loopsider/videos/2351455111754761 Post Instagram des Gentilshommes sur la question qui serait la plus soûlante (mais pourtant indispensable) sur les applis de rencontres : https://www.instagram.com/p/CW84q4itdSR/ @Lacelibataire_lavraie propose de formuler différemment la question en disant "Où en es-tu actuellement ?". Extrait : https://www.instagram.com/p/CVaeCJgA6K7/ Mabrouck Rachedi, auteur, recommande de ne pas forcément répondre à toutes les questions, qu'on peut trouver indiscrètes, inappropriées etc, et de garder le mystère. Je vous recommande pour ma part TOUS ses livres. Dont celui qui a un titre qui me parle beaucoup : "Tous les hommes sont des causes perdues" (non ce n'est pas de la misandrie) https://www.placedeslibraires.fr/listeliv.php?mots_recherche=&auteurs=mabrouck%20rachedi&base=allbooks France Ortelli, autrice de "Nos coeurs sauvages" et Jean-Laurent Cassely, qui ont repéré le concept de "célibataire définitif ou définitive" inventé par l'Insee, extrait : https://www.instagram.com/p/CQo9IOGqA9W/ "Je cours, je me raccroche à la vie", paroles extraites de "Tous les cris, les SOS" de Daniel Balavoine https://www.youtube.com/watch?v=X7aI3hM7J0Y Bumble a mis beaucoup de temps à bloquer plusieurs comptes d'agresseurs signalés par plusieurs femmes. Donc attention à cette appli qui se dit plus safe que les autres, mais en fait... Complément d'Enquête sur BlaBlaCar qui a mis plusieurs mois à bloquer le compte d'un agresseur de plusieurs femmes : https://twitter.com/Louisa_A/status/1297678223753519104 et à 8'00 https://youtu.be/oF1AsGgbbnc Uber a également été épinglé pour son manque de réactivité pour le même problème. Marie Albert, son podcast "Sologamie", ses articles, son compte Instagram à suivre : https://mariealbert.info/ Podcast "5 pour cent" d'Anaïs de Muret sur la bisexualité https://podcast.ausha.co/cinq-pour-cent Roman graphique LGBT+ "La fille dans l'écran" de Lou Lubie (Dessins), Manon Desveaux (Scénario) https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782501133043-la-fille-dans-l-ecran-lou-lubie-manon-desveaux/ Séries : "Sex education", "Sex and the city" et la suite "And just like that" disponible sur Salto Film "500 jours ensemble" https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=128377.html coachs sur Instagram, comme @benjamindaly : https://www.instagram.com/benjamindaly/ qui publient régulièrement des rappels d'utilité publique : La personne qui a envie de faire partie de ta vie, agit vraiment pour faire partie de ta vie, donc cette personne te traite mal, ne répond pas aux messages, est plus distante qu'avant, fuis ! Next ! Il faut cesser de courir après des gens qui nous font du mal, sous prétexte qu'on a vu ça dans les films, séries, livres. C'est un comportement toxique qui nous fait perdre du temps, de l'énergie, et nous blesse profondément, durablement. Voir aussi bien sûr toutes les références citées par Victoire Tuaillon dans "Le coeur sur la table" (Binge Audio). Podcast "Le gratin" https://paulinelaigneau.com/le-podcast-francais/ Episode enregistré en décembre 2021, à Paris, dans les locaux où travaille Lydie, merci à elle et à son employeur pour leur accueil.Prise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
Dans La France sous nos yeux, le directeur du département opinion à l'Ifop, Jérôme Fourquet et le journaliste Jean-Laurent Cassely analysent les évolutions de la société française au cours de ces quarante dernières années et observent que la hiérarchie des territoires et des classes sociales dans notre pays ont été profondément modifiées. À la veille de l'élection présidentielle, leur enquête porte aussi sur les nouveaux modes de vie et de consommation qui façonnent le pays. Interview de Jean-Laurent Cassely. La France sous nos yeux de Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely, paru aux éditions Le Seuil.
Avec l'élection présidentielle on parle beaucoup de la France, mais qui est elle cette France de 2021 ? Ressemble-t-elle au pays des années 90, 80 ou même 70 ? Pour Jean-Laurent Cassely la réponse est non ! Il publie avec Jérôme Fourquet, “La France sous nos yeux” aux éditions du Seuil.
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit le Journaliste et essayiste Jean-Laurent Cassely, co-auteur de « La France, sous nos yeux ».
Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 21 octobre 2021.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée Nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Lucile Schmid, membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LA FRANCE SOUS NOS YEUX Dans « La France sous nos yeux », le directeur du département Opinion à l'IFOP, Jérôme Fourquet et le journaliste Jean-Laurent Cassely, analysent les grandes métamorphoses de la France depuis le milieu des années 1980 : accélération de la désindustrialisation, apogée de la société des loisirs et de la consommation, poursuite de la périurbanisation, hybridation des traditions populaires sous l'influence de la mondialisation, syncrétisme spirituel et religieux. Autant de réalités nouvelles qui structurent en profondeur un pays qui a irrémédiablement changé depuis la fin des Trente Glorieuses.Dans la France d'après, une nouvelle hiérarchie des territoires s'est mise en place en fonction de leur degré d'attractivité, incarné par le prix du mètre carré, avec une « lutte des places » qui fonctionne en cascade. A l'ombre de la France « triple A » composée des villes touristiques, des bords de mer, des montagnes ; la France des banlieues et des couronnes périurbaines, des zones rurales sans cachet, ou éloignées des sites remarquables, constitue la France backstage. De vastes territoires pavillonnaires occupent une place intermédiaire que les auteurs ont baptisé mode de vie « Plaza majoritaire », du nom de l'animateur d'une émission télévisée de recherche de logement avec happy end.Si les classes moyennes n'ont pas disparu, Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely estiment que nous assistons depuis plusieurs décennies à un processus de bipolarisation à la fois par le haut et par le bas. Un effet de « sablier », perceptible dans l'univers de la consommation et des loisirs avec, d'une part, la premiumisation des offres destinées aux classes moyennes supérieures, et, d'autre part, l'apparition d'un second marché et d'une « économie de la débrouille », illustrant le désarrimage progressif du bas des classes moyennes. Les professions peu qualifiées dont les effectifs croissent, sont celles des ouvriers de la logistique, femmes de ménage, agents de sécurité, chauffeurs VTC, auxiliaires de vie. Ses membres parfois baptisés de « premiers de corvée » ou « travailleurs essentiels » depuis le Covid-19, forment le « back office » exercent les activités de soutien de la société de marché. De nouvelles professions surgissent en marge de la santé, dans la sphère du bien-être individuel. D'autres sont liées à la numérisation et à la complexification croissante de la société de service. Désormais, la possession d'un diplôme est indispensable pour travailler. Le niveau bac+2 est nécessaire pour accéder à la classe moyenne, et un bac+5 requis pour exercer les fonctions d'encadrement ou liées à l'économie de l'innovation et du numérique. Dans le domaine spirituel, parallèlement à la perte d'influence du catholicisme et tandis que la religion musulmane est montée en visibilité avec un développement de son audience, qu'illustre l'essor du marché halal, une autre religion connait un essor significatif : celle des évangéliques. Dans la carte politique de la France d'après, les trois forces politiques dynamiques ces dernières années (RN, les écologistes, LRM), sont des partis d'avant pour représenter les clivages nouveaux surgis de la France d'après concluent les auteurs.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
paru aux éditions du Seuil.
durée : 02:00:30 - Les Matins - par : Guillaume Erner - .
Chaque samedi, Laurent Mariotte et son invité vous livrent conseils, trucs et astuces autour de la gastronomie et l'alimentation. Un éclairage utile sur l'art du bien-manger. Aujourd'hui, tout savoir sur comment on mange en France de nos jours avec notre invité Jean-Laurent Cassely, auteur de La France sous nos yeux aux éditions du Seuil.
Longtemps stigmatisée, la ville de Marseille serait-elle devenue la nouvelle destination en France où s'installer dans un monde post-Covid-19 ? Chaque année, 21 600 personnes s'installent dans la deuxième métropole française. Dans ce podcast, Jean-Laurent Cassely, journaliste au « Monde », revient sur l'installation et les profils de ces nouveaux Marseillais séduits par le mode de vie qu'offre la ville.Un épisode produit par Clément Baudet, réalisé par Amandine Robillard et présenté par Jean-Guillaume Santi
Pour ce dernier épisode de Poire et Cahuètes de la saison, nous vous recommandons quelques livres à glisser dans votre valise. Des livres pour les vacances, mais pas des livres de vacances: pas de page turner ici (quoique) mais des ouvrages que nous avons aimés et qui méritent qu'on s'y arrête. Prendre la route, Matthew B. Crawford (La Découverte). Pour le grand air dans les cheveux et le plaisir de passer la troisième après les bouchons. La Poudrière, Jean-Michel Décugis, Marc Leplongeon et Pauline Guéna (Grasset). Pour comprendre dans quelles sphères gravite l'homme qui a giflé Emmanuel Macron. De si violentes fatigues, Romain Huët (PUF). Parce que si vous êtes épuisé et démoralisé après cette pandémie, vous n'êtes pas seul. La Grande Extension, Jean-David Zeitoun (Denoël). Pour être prévenu: il y aura d'autres pandémies. Beurettes: un fantasme français, Sarah Diffalah et Salima Tenfiche (Seuil). Pour les confidences, les préjugés subis et les tactiques pour les déjouer quand on est une femme d'origine maghrébine en France. Et deux revues de qualité: Socialter, avec une nouvelle formule et un dossier consacré aux cadres qui se rebiffent. Exercice, une revue qui vient tout juste d'être lancée, dédiée aux formes, aux paysages et aux espaces créés et habités par l'humain. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Nous sommes bien entrés dans la campagne pour l'élection présidentielle de 2022 et les événements s'enchaînent déjà très très vite, une gifle à Emmanuel Macron chassant une tirade aux accents complotistes de Jean-Luc Mélenchon. Ajoutez à cela un échiquier politique recomposé depuis 2017 et vous obtiendrez… une situation trouble. Comment y voir clair dans le champ politique français actuel? Quelle grille de lecture adopter pour comprendre ce qui se passe? C'est l'objet de cet épisode de Poire et Cahuètes, dans lequel nous accueillons Raphaël Llorca, planneur stratégique, doctorant en philosophie du langage à l'EHESS et auteur d'un essai remarqué paru cette année: La Marque Macron (Éditions de l'Aube). Qu'en est-il de son concept de «marque politique»? Parmi les candidats déclarés pour 2022, qui possède la plus forte? Voilà quelques-uns des thèmes de discussion abordés dans cet épisode. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Pour cet épisode de Poire et Cahuètes, nous avons lu pour vous La fin d'un monde de Patrick Buisson (Albin Michel, mai 2021). Historien, conseiller politique, homme de média, engagé à l'extrême droite, Patrick Buisson s'attarde dans cet essai dense sur les quinze années qui ont, à ses yeux, marqué une rupture anthropologique en France: 1960-1975. La thèse générale de son livre? «C'était mieux avant!» Que trouve-t-on dans ce livre? Le courant décliniste et réactionnaire se vend-il bien en librairie? En quoi Patrick Buisson se distingue-t-il d'un Éric Zemmour ou d'un Philippe de Villiers? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on parle du moche. Du kitsch, du mauvais goût, du ringard. Comment Kim Kardashian a-t-elle remis au goût du jour une esthétique qui semblait vulgaire? Pour en discuter, on accueille Séverine Pierron, rédactrice en chef du Magazine en ligne du Centre Pompidou, également journaliste freelance, notamment chez Slate. Et on s'appuie sur un livre: Le goût du moche, d'Alice Pfeiffer, paru le 12 mai 2021 aux Éditions Flammarion. Cette journaliste mode y confesse son amour du moche: oui, elle aime les tongs en moumoute, les imageries chaton à paillettes et les toilettes en plastique qui vomissent de la mousse. Comment se définit le moche? Est-on toujours le moche de quelque chose? Tout ce qui est moche aujourd'hui sera-t-il beau un jour? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on parle du repli sur soi comme idéal de vie et de mise à distance d'un monde qui nous oppresse comme projet sociétal. On veut se sentir tranquille, se protéger de ce qui nous agresse, n'entendre que ceux qu'on aime et qui nous aiment, quitte à se créer une bulle ou, parfois, s'enfuir dans des mondes imaginaires. Ça tombe bien, le Covid nous a poussé à rester chez nous. Certains ont découvert là qu'ils vivaient leur meilleure vie, d'autres le savaient déjà. Pourquoi la tendance au cocooning s'est-elle imposée sur la période récente? Rester dans sa bulle, est-ce si grave? Quelles sont les conséquences de ce lounge idéologique? On en discute à partir de l'essai de Vincent Cocquebert La Civilisation du cocon, récemment paru chez Arkhê. Vincent Cocquebert est également l'invité de cet épisode. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
L'actualité a récemment été marquée par plusieurs polémiques touchant aux questions raciales: l'archive de Pépita dans le jeu télé «Pyramide», les réunions non mixtes de l'Unef, la prise de position d'Audrey Pulvar sur le sujet. Pour mettre en perspective ces événements, pour les penser et les comprendre, on parle dans cet épisode de Poire et Cahuètes de la France et de ses minorités, de ce qui les travaille, de ce qu'elles expriment. Comment vivent-elles dans ce pays qui est le leur, tout en ayant une ascendance subsaharienne, maghrébine, asiatique, tout en n'ayant pas la peau blanche? On discute particulièrement de deux livres: Afropea de Léonora Miano (Grasset, septembre 2020 ) et Une minorité modèle? - Chinois de France et racisme anti-Asiatiques de Ya-Han Chuang (La Découverte, mars 2021). Auxquels s'ajoutent d'autres lectures que nous vous conseillons: L'Épreuve de la discrimination, un ouvrage collectif de sociologues (PUF), La fragilité blanche, de Robin J. DiAngelo (traduit en français chez Les Arènes), La vie psychique du racisme, de Livio Boni et Sophie Mendelsohn (La Découverte) –dont nous avons publié les bonnes feuilles sur Slate.fr. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet de la fragilité blanche, vous pouvez réécouter notre épisode de Poire et Cahuètes sur le sujet. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on se demande si vivre à Paris et en région parisienne est aujourd'hui toujours un privilège. La vie parisienne? Pour de nombreuses personnes, elle évoque désormais les transports en commun, la pollution, l'éloignement en banlieue, le tout à des prix prohibitifs. D'ailleurs, les différents confinements nous le prouvent: beaucoup quittent la région parisienne quand ils le peuvent pour se réfugier dans des espaces plus grands et plus verts. La capitale ne fait-elle plus rêver? Assiste-t-on vraiment à un exode urbain de Parisiens sur le long terme? Connaît-on si bien l'Île-de-France? Pour en parler, nous recevons dans cet épisode Olivier Razemon, journaliste indépendant, spécialiste des questions de mobilité, de territoire, d'urbanisme, et auteur de «Les Parisiens», une obsession française (éditions Rue de L'échiquier, février 2021). Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Pour compléter et enrichir la discussion de cet épisode, nous vous recommandons ces lectures: La banlieue du Turfu, Makan Fofana (éditions Tana) Le tumulte de Paris, Éric Hazan (La Fabrique) Les Passagers du RER, ouvrage collectif (Les Arènes) Le Grand Paris, Aurélien Bellanger (Gallimard) Guide des Grands Parisiens (Magasins généraux) Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on parle des faits divers et de la manière dont ils s'invitent de plus en plus, et avec succès, dans le cadre littéraire. Loin d'être cantonnés à la presse bas de gamme, les faits divers sont désormais un matériau d'enquête, jusqu'à en devenir parfois des récits à part entière. C'est le cas du dernier livre de Florence Aubenas, L'Inconnu de la poste (Éditions de l'Olivier, février 2021), dont nous parlons dans cet épisode. Comment raconte-t-on un fait divers? Quelle place donner à la victime? Pourquoi choisir de couvrir tel procès plutôt qu'un autre? Réponses avec notre invitée, Élise Costa, journaliste et chroniqueuse judiciaire. À la manière de Florence Aubenas, elle propose des récits polyphoniques pour retracer les procès qu'elle publie sur Slate sous forme de séries d'articles. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. On discute aussi dans cet épisode de la narrative non-fiction, ce genre littéraire très populaire aux États-Unis et qui se développe aussi en France. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Des termes comme «véganisme» ou «antispécisme» ont fait une entrée remarquée dans les discussions des Français ces dernières années. Consensuel jusqu'à peu, le sujet des animaux et de leur place à nos côtés est devenu politique, clivant. Dans cet épisode de Poire et cahuètes, on se penche en particulier sur notre rapport à la souffrance animale et sur la façon dont il a évolué sur la période récente. Pour en discuter, nous accueillons Ariane Nicolas, journaliste à Philosophie Magazine et autrice de l'essai L'imposture antispéciste (2020, Desclée de Brouwer). Qui est végétarien ou vegan aujourd'hui en France? Est-ce que ce sont les mêmes personnes qui votent pour le Parti animaliste, né en 2016 dans le paysage politique français? Comment le monde rural vit-il la popularité de ces nouveaux comportements? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, nous abordons l'un des sujets, sinon LE sujet qui divise le plus les universitaires et intellectuel·les de France depuis maintenant plusieurs années: la pertinence du concept de «race» dans les sciences sociales. Le sujet pourrait sembler technique et ne concerner que quelques spécialistes, mais il s'invite régulièrement dans les grands médias. Un événement éditorial est venu remettre une pièce dans la machine: la parution du livre de l'historien Gérard Noiriel et du sociologue Stéphane Beaud Races et sciences sociales – Essai sur les usages publics d'une catégorie (Agone, février 2021). Les deux auteurs y déplorent que les questions raciales et postcoloniales prennent de plus en plus le pas sur les rapports de classes sociales. Ce reproche est-il fondé? Nous avons convié dans cet épisode Julien Talpin, chercheur en sciences politiques au CNRS qui travaille plus particulièrement sur l'engagement dans les quartiers populaires, pour en discuter. La sortie de ce livre intervient dans un contexte particulièrement tendu, où l'exécutif s'en prend à la liberté académique et où des ministres fustigent la présence «d'indigénistes» ou «d'islamo-gauchistes» dans les rangs des enseignants et chercheuses. Frédérique Vidal, en charge de l'Enseignement supérieur, souhaite lancer une enquête sur le sujet, ce qui suscite un tollé dans le monde universitaire. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Il n'y aura ni planté du bâton, ni vin chaud en haut des pistes cette année. À cause du Covid, les remontées mécaniques des stations de ski sont à l'arrêt et les vacanciers, en conséquence, bien peu nombreux. Mais si la montagne est en plein questionnement existentiel, ce n'est pas seulement à cause du virus. Son modèle de tourisme de masse, qui s'est développé depuis les années 1960, est mis à mal par le changement climatique. Et dépenser une petite fortune pour s'agglutiner au télésiège et skier sur de la neige artificielle fait-il encore rêver? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Dans cet épisode, nous avons invité l'anthropologue et sociologue Nicolas Nova, qui étudie depuis plusieurs années les Alpes contemporaines sous l'angle des imaginaires et des mutations sociologiques. Pour prolonger cet épisode, nous vous conseillons ces lectures: «De l'après-ski à l'après-tourisme, une figure de transition pour les Alpes?», un article du géographe Philippe Bourdeau paru dans La Revue de géographie alpine. La revue L'Alpe (numéro 91, Neige et glace, le goût de l'hiver). «À l'origine du ski français, le discours commun de l'Armée et du Club alpin français (1902-1907)», un article de Yann Drouet, Antoine Luciani paru dans la revue Staps. «Chamouny RPG. Un jeu de rôle pour expérimenter l'adaptation à la crise environnementale», le projet de Nicolas Nova. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Pour ce premier épisode de 2021 de Poire et Cahuètes, on a choisi de vous parler du trumpisme en France. Le trumpisme, c'est quoi? C'est le style et la force politique qu'a exercés Donald Trump sur les États-Unis pendant quatre ans. Est-ce qu'il a infusé chez nous en France? Si oui, qui l'incarne? Est-ce que c'est parti pour durer? On en parle avec Christian Salmon, écrivain, penseur de nos sociétés, auteur de Storytelling et de La tyrannie des bouffons. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Dans cet épisode, on vous conseille la lecture de: Pauvre petit blanc, le livre de Sylvie Laurent, (éditions de la Maison des sciences de l'Homme) «Les fous et les sages – réflexions sur la fin de la présidence Trump», un article de Jacques Rancière paru dans AOC «Diaboliser Trump, c'est refuser de voir le trumpisme dans nos sociétés», l'interview de François Busnel dans Le Temps «Le trumpisme, un courant qui est là pour durer dans le paysage politique américain», un article de François Vergniolle de Chantal dans The Conversation La tyrannie des bouffons, livre de Christian Salmon (éditions Les liens qui libèrent). Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
En cette folle année 2020, l’actualité a été chargée et des parutions d’essais ont été bouleversées. Certains sont même injustement passés inaperçus. Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on vous propose donc une séance de rattrapage: quels sont les essais qui ont marqué 2020? On vous indique aussi dans cet épisode nos recommandations de lecture. Parmi elles, Les Grands remplacés de Paul Conge aux éditions Arkhê, dont vous pouvez découvrir les bonnes feuilles ici. Mais aussi La tête, la main, le coeur de David Goodhart, aux Arènes, dans la droite ligne de son précédent ouvrage dont on vous avez parlé dans cet épisode de Poire et Cahuètes «Les Partout contre les Quelque Part: la nouvelle lutte des classes». «On identifie trois grandes familles qui ont remporté beaucoup de succès: les essais réac, la famille des essais féministes, et ceux autour de l’écologie et du monde d’après.» Dans la catégorie des essais féministes, Hélène Decommer vous recommande La Puissance des mères. Pour un nouveau sujet révolutionnaire, de Fatima Ouassak (La Découverte) et l’écoute de notre épisode «Détester les hommes», le nouveau cool de l'édition féministe?» Côté écologie et monde d’après, Jean-Laurent Cassely vous conseille de lire Ariel Kyrou et ses Imaginaires du futur, chez Actu SF et Un Hiver à Wuhan d’Alexandre Labruffe, aux éditions Verticales. Le philosophe Baptiste Morizot a marqué l’année des essais avec son Manières d’être vivant (Actes Sud), dont on vous avait parlé dans l’épisode «Pourquoi tout le monde veut lire des livres sur les loups, les cabanes et les champignons?». Dans un style un peu plus léger mais non moins instructif, vous pouvez lire Les nouveaux nomades de Maxime Brousse (Arkhé) et faire le test ici pour découvrir si vous avez le bon profil pour tout plaquer et vivre dans une yourte. Enfin, pour boucler cette année 2020 des essais, on vous recommande Le magasin du monde. La mondialisation par les objets du XVIIIe siècle à nos jours, dirigé par Pierre Singaravélou et Sylvain Venayre (Fayard) et La maison des Français, Discours, Imaginaires, Modèles (1918 - 1970), de Monique Eleb et Lionel Engrand (éditions Mardaga). Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on va parler complot mondial, Bill Gates qui tire les ficelles du Covid et vaccins destinés à tous nous espionner... On va vous parler de Hold-Up, ce film qui se présente comme un documentaire et qui prétend nous révéler la vérité sur le Covid-19. Mais on va surtout se demander pourquoi les médias traditionnels ont tant de mal à contrer ce type de théorie du complot. C'est une histoire de désamour, de quête de sens et de perte de confiance. Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on vous recommande de lire la tribune du philosophe Éric Sadin dans Marianne, «Hold-Up: “Ce qui est à l'œuvre, c'est l'expression d'une scission, qui, depuis longtemps, germe dans la société”» et l'interview de Nicolas Lebourg dans Temps présents. On parle aussi de la série The Loudest Voice, consacrée au parcours de Roger Ailes, le fondateur de Fox News. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on discute vie sauvage, chasseur-cueilleur et cabanes dans les bois. On vous parle de cette envie de nature qui tente beaucoup de monde aujourd'hui, par lassitude des villes et des petits espaces, mais qui fait aussi le bonheur des maisons d'édition. D'ailleurs, sachez qu'aujourd'hui on ne dit plus «nature», mais «vivant». Pourquoi? Nous avons invité Philippe Vion-Dury, rédacteur en chef de la revue Socialter, pour en parler. Socialter consacre un numéro hors-série cet automne sur le thème «Renouer avec le vivant», avec Baptiste Morizot comme invité spécial. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on se penche sur la thématique du terrorisme, après l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine. Et plus particulièrement sur la manière dont des penseurs et intellectuelles l'associent, ou non, à la religion musulmane. Quelles sont les différentes analyses de l'assassinat de Samuel Paty? Comment interpréter l'usage normalisé du terme «islamo-gauchisme»? Quelles sont les lignes de fracture sur le sujet du terrorisme, à propos duquel la tension est palpable, même et surtout dans la sphère intellectuelle française? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Les tribunes citées dans cet épisode: François Dubet, sociologue, «Le piège de nos débats se referme sur notre vie démocratique», dans Le Monde Gilles Kepel, spécialiste du monde arabo-musulman, «Le dispositif législatif n'est plus opérant face à un djihadisme d'atmosphère», dans Le Monde Bertand Delais, PDG de la chaîne de télé LCP-Assemblée nationale, «L'assassinat de Samuel Paty, une étrange défaite», dans Libération Bernard Haykel, professeur à l'Université de Princeton, et Hugo Micheron, chercheur à l'Université de Princeton, «Une déroutante cécité américaine face au phénomène du djihadisme dans l'Hexagone», dans Le Monde Aymeric Patricot, professeur et essayiste, «Entre élèves et professeurs, le gouffre du temps qui passe», dans Le Monde Tribune collective «L'appel de 49 personnalités “pour une laïcité pleine et entière”», dans le JDD Samuel Hayat, chercheur en science politique, «L'islamo-gauchisme: comment (ne) naît (pas) une idéologie», dans L'Obs Pierre Tévanian, professeur et essayiste, «Je suis prof – Seize brèves réflexions contre la terreur et l'obscurantisme, en hommage à Samuel Paty», dans Les Mots sont importants Chloé Morin, experte associée à la Fondation Jean-Jaurès, «La bataille de responsabilités est en décalage avec les attentes de la population», dans Paris Match Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on se penche sur deux livres de la rentrée qui ont fait beaucoup parler: Moi les hommes, je les déteste, de l'écrivaine et féministe Pauline Harmange (Éditions du Seuil), et Le Génie lesbien, de la journaliste et militante LGBT+ Alice Coffin (Grasset). Leur point commun apparaît dès le titre: les femmes, c'est mieux. Comment ces deux autrices manient-elles le concept de misandrie? Pourquoi leurs ouvrages ont-ils été si mal reçus? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Poire et Cahuètes, notre podcast dédié à l'actualité des idées, redémarre pour une nouvelle saison! Au programme de cet épisode de rentrée: règlements de comptes chez les intellectuels français. Dans son dernier ouvrage La Fièvre, la journaliste Aude Lancelin s'en prend à l'inertie des penseurs de la gauche radicale lors de l'éclosion du mouvement des «gilets jaunes». On s'intéresse aussi à la fin de la revue Le Débat, après quarante ans d'existence, que ses fondateurs ont sabordée pour protester contre le climat intellectuel ambiant. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Encore plus aujourd’hui, on le ressent. Ce frémissement général de la société sur cette urgence de changer, de donner du sens à ce que l’on fait, de s’éloigner du rythme « métro-boulot-dodo » pour être plus en phase avec soi-même et avec notre rapport au monde. De plus en plus de gens troquent les tableaux Excel par des travaux plus manuels. C’est le cas de Sarah Boyeldieu, qui après un burn out, a plaqué son job de directrice de clientèle dans la pub à Paris, pour user de ses mains à la céramique. ✔️Elle avait coché toutes les cases qui correspondaient au modèle de réussite que l’on croit être : beau salaire, statut social qui envoie du lourd, vie parisienne, des responsabilités. Mais il lui manquait une chose : la simplicité, qu’elle n’avait tout bonnement plus le temps d’apprécier. Alors elle a redéfini son modèle de réussite, elle a osé franchir le pas, et elle nous partage aujourd’hui ce qu’est le VRAI bonheur pour elle.
Pour cet épisode de Poire et Cahuètes, nous avons choisi de parler du racisme —un thème remis sur le devant de la scène, de manière internationale, par la mort de George Floyd. En s'intéressant plus particulièrement à la façon dont les personnes blanches appréhendent le racisme. Nous sommes à un moment où certaines d'entre elles semblent découvrir leur couleur de peau et le fait que cette dernière joue un rôle dans les constructions sociales. Comment réagissent-elles? Comment se positionnent-elles? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Dans cet épisode, on vous recommande: La mécanique raciste, Pierre Tévanian, La Découverte «I Don't Know What to Do With Good White People», Brit Bennett, Jezebel «Ce que James Baldwin nous apprend du racisme français», Julien Suaudeau, Slate.fr Les Grands remplacés, Paul Conge, Arkhê Je ne suis pas votre nègre, documentaire de Raoul Peck «Je me suis fait racketter», sketch de Paul Mirabel «Être blanc», sketch de Norman Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Bonjour à tous, Je suis ravie de vous retrouver pour cet épisode spécial, "La chronique". Après cette période très particulière que nous venons de vivre, j'ai eu envie de prendre la plume en faveur d'un droit à la pause ! Dans cet épisode, on entend les extraits suivants : - Astat, Daily Dozen - Les Publicitaires, Les Inconnus - L'homme pressé, Noir désir Et je vous parle du livre de Jean-Laurent Cassely, "La révolte des premiers de la classe", que je vous conseille! Bonne écoute !
Parmi les révolutions du confinement, il y a la généralisation du télétravail. Nous sommes nombreux à nous y mettre mis, environ un tiers de la population active française, alors que notre pays ne semblait pas spécialement friand de ce mode de travail. Et on y a pris goût! À tel point qu'aujourd'hui, seul un tiers des employé·es souhaite retourner au bureau et les deux-tiers disent mieux se concentrer à la maison. Le télétravail renvoie intrinsèquement au lieu d'habitation. Si cette pratique s'ancre durablement dans les entreprises françaises -et certains indices le laissent penser- on peut se demander si ça ne va pas redistribuer les cartes du territoire. Si les gens vont s'installer de manière plus homogène en France. Car pourquoi s'entasser dans un petit appart dans une métropole, quand on pourrait exercer son travail de la même façon, mais au vert et dans une grande maison? Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Dans cet épisode, on vous recommande: Le télétravail à la croisée des chemins. Avec James Galbraith, Danièle Linhart, Boris Cyrulnik…, Matthieu Garrigou-Lagrange et Anne-Vanessa Prévost, France Culture Encourager le télétravail? Julia de Funès VS Danièle Linhart, Philonomist The Coming Age of Dispersion, Joel Kotkin, Quillette The new magnetism of mid-size cities, Patrick Sisson, Curbed Le Sacre de la terre, Jean Viard, L’Aube Nos vies post-confinement: la revanche des campagnes?, Poire et Cahuètes, Slate.fr La revanche des villages, Eric Charmes, La République des Idées, Le Seuil Exode urbain, Manifeste pour une ruralité positive, Claire Desmares-Poirrier, agricultrice installée en Bretagne, Édition Terres Vivantes La Renaissance des campagnes, Enquête dans une France qui se réinvente, Vincent Grimault, Seuil Les articles de Ze Village Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Nous voilà déconfiné·es, la France redémarre, les librairies ont rouvert et les maisons d'édition peuvent à nouveau publier des livres. Après plus de deux mois sans (presque) rien de neuf à se mettre sous la dent, que nous réserve cette mini-rentrée littéraire post-confinement? Le Covid a-t-il vampirisé tous les essais à venir? Assiste-t-on à un opportunisme éditorial pour relever un secteur durement touché ou à l'émergence de nouvelles paroles et idées? On en parle dans cet épisode de Poire et Cahuètes. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Après le confinement, le Podcast Club de Nouvelle Écoutes continue ! Chaque jour, un.e membre de l’équipe mettra en avant son épisode préféré d’un podcast Nouvelles Écoutes. Aujourd'hui, il s'agit de la recommandation de Marine Raut, productrice. __________________Ce triangle jaune et tremblotant en ravit certains quand il en écœure d’autres. Pour cet épisode sur le flan, Émilie nous plonge dans l’histoire de ce dessert assez simple qui fait son come-back sur les réseaux sociaux, sur fond de mode des terroirs de France. Parfois trouvable dans le commerce dans un genre trop fluo pour être honnête (lorsqu’il est fait à base de poudre industrielle), le flan existe sous différentes versions partout dans le monde (tarte aux œufs à Hong-Kong, pastel de nata au Portugal, custard tarte au Royaume-Uni, flan au lait de coco en Thaïlande, etc.)Le flan fait partie de nos souvenirs de cantine, mais il a également su traverser les époques puisqu’il existe depuis le Moyen-Âge ! Sûrement à la faveur de sa recette, qui tient au triptyque « lait / œuf / sucre » (auquel on ajoute de la fécule de maïs et un fond de tarte, dans le cas du flan pâtissier). Sur cette question, Émilie s’est entretenue avec l’historienne de l’alimentation Ségolène Lefèvre. Cette universitaire explique que grâce à son côté « pratique à manger dans la rue » pour les gens n’ayant pas de cuisine chez eux, le flan a été synonyme de « street food » médiévale. Ensemble, elles ont égrené les types de flans qui existent en France, du fion vendéen au far breton.Mais d’abord, Émilie a reçu la pâtissière Hélène Thouin, qui travaille au T’Time du Jardin Privé aux côtés du chef pâtissier Quentin Lechat. Tous les jours, Hélène réalise un flan, dont elle nous révèle ici quelques étapes de fabrication.Pour préparer cet épisode, Émilie a ingurgité près d’un flan par jour pendant une semaine ; et rien que pour ça, elle mérite une écoute !Références entendues dans l'épisode :Hélène Touin travaille avec Quentin Lechat est le chef pâtissier du T’ Time du Jardin Privé situé 8 Place Marguerite de Navarre dans le 1er arrondissement de Paris.L’expression “foncer la pâte” désigne le fait d’étaler la pâte dans un moule à tarte.Cédric Grolet est le chef pâtissier du Meurice, un palace dans le 1er arrondissement, et très connu pour ses pâtisseries en trompe l'oeil.Le célèbre pâtissier Cyril Lignac propose un flan au lait et à la fécule de maïs. On les retrouve dans l’une de ses nombreuses pâtisseries “Gourmand Croquant” à Paris.Les Pastéis de nata sont des petits flan portugais. On retrouve ces pâtisseries croquantes à la crème dans toutes les boulangeries et cafés du Portugal.Le flan custard est une crème au caramel, aux œufs, au beurre, au sucre, à la farine et au lait.Le flan thaïlandais est une tartelette d’origine britannique aux œufs, au lait de coco et à la crème fraîche.La Pâtisserie de Choisy évoquée par Emilie est située 62 avenue de Choisy 75013, Paris.Le far breton s’apparente au clafoutis, il est souvent garnis aux pruneaux.Le flan picard aussi appelée tarte “ale barbrée” est une tarte rustique aux bords dorés garnie d’une crème aux œufs. On peut y ajouter des fruits.Le fion vendéen est une flan aux œufs parfumés à la croûte échaudée.Jean-Laurent Cassely est l’auteur de No fake : Contre-histoire de notre quête d'authenticité. Il y explique que le goût pour l’ancienneté est une signe de distinction pour les classes sociales supérieurs.C’est à l’époque d’Apicius que le flan fait son apparition. C’était un riche romain amateur de cuisine au Ier siècle.Au Moyen-Age, la patina était un mélange d’œufs battus et parfois de lait qu’on versait sur des fruits ou des légumes.Retrouvez Bouffons sur Mapstr, Instagram, Twitter et Facebook !Bouffons est une émission de Nouvelles Écoutes animée par Émilie Laystary. Montée et Mixée par Thomas Decourt. Coordination Laura Cuissard avec l'aide d'Emilie Mendy.
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes on s’intéresse à Didier Raoult. Pas pour savoir si la chloroquine est efficace contre le coronavirus, mais parce que ce professeur de microbiologie est devenu un personnage incontournable de l'épidémie, au-delà du cercle médical. Il a réussi à diviser la France, en tous cas à mettre à jour des lignes de clivage déjà latentes. Didier Raoult est venu combler un vide, il y avait une place à prendre laissée vacante par la déroute des élites dans cette crise. Élites politiques jugées incompétentes, culturelles jugées hors-sol, économiques jugées opportunistes, techniques jugées dépassées. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on s'intéresse à la manière dont la pandémie de Covid-19 met en lumière les différentes configurations du travail en France. Ce qu'elle révèle, aussi, sur le sens de nos métiers, la façon dont on juge l'utilité du nôtre et celui des autres. Est-ce que cette crise va modifier notre vision du travail? Est-ce qu'on est en train de remettre en cause, en ce moment, la hiérarchisation symbolique des métiers? Le spécialiste des relations sociales Denis Maillard développe dans un podcast et dans une note pour la Fondation Jean Jaurès ce qu'est la société du back-office, ces «travailleurs modestes –du livreur à la caissière– qui sont, avec les soignants, ceux qui risquent leur vie pour maintenir les services essentiels par temps de crise». À l'opposé on trouve la France qui télétravaille, 30% des personnes actives, très largement des cadres et professions intellectuelles supérieures. Des privilégié·es? Certainement. Mais la question du sens de leur métier, déjà posée il y a quelques années par l'anthropologue David Graeber et ses «bullshit jobs», ressort avec acuité dans la période actuelle. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Peut-être avez-vous vu passer sur les réseaux sociaux le jeu «Avec qui aimeriez-vous être confiné?», dans des maisons regroupant par exemple des écrivain·es. Pour cet épisode de Poire et Cahuètes, nous l'avons adapté en familles d'intellectuel·les, regroupées autour de mouvements de pensée. On a donc façonné cinq maisons: la maison écolo-collapso, la maison Orwell / Foucault, la maison réac, la maison libérale optimiste, et la maison de la pensée critique. Les parutions d'essais et les ventes de livres étant à l'arrêt en raison du confinement, les penseurs et intellectuelles s'expriment beaucoup ces temps-ci via des tribunes ou des interviews. Autant de ressources qui nous ont permis de construire ces cinq familles. Maison écolo-collapso Plus rien ne sera jamais comme avant. Le Covid-19 nous donne l'opportunité de changer notre système de production et de consommation. On n'arrivait pas à sauter le pas avec la seule crise climatique, maintenant qu'on a une crise sanitaire, n'hésitons plus. On y trouve: Bruno Latour, Pablo Servigne, Hartmut Rosa, Yves Cochet. Maison Orwell / Foucault Le confinement, c'est 1984 d'Orwell. On mobilise le concept foucaldien de biopolitique pour commenter la situation actuelle. Non à l'État policier. On y trouve: Alain Damasio, Yuval Noah Harari, Mathieu Potte-Bonneville. Maison réac Le déclinisme appliqué au Covid-19: tout foutait déjà le camp et en plus maintenant, on va mourir à cause de l'Union européenne et des Chinois. Particularité: ils adorent le professeur Raoult. On y trouve: Sylvain Tesson, Éric Zemmour, Michel Onfray. Maison libéraux optimistes Ne changeons rien, ou pas grand-chose. La mondialisation peut nous sauver du Covid-19. Il ne faut pas s'alarmer outre mesure. Reprenons le travail. On y trouve: André Comte-Sponville, Jacques Attali, Blaise Wilfert Maison pensée critique Une sorte de croisement entre la maison Orwell / Foucault et celle des écolos. Ici on est critique du capitalisme, voire anticapitaliste. On y trouve: Eva Illouz, Naomi Klein, Nancy Fraser, Annie Ernaux. Choisissez la vôtre! Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
La pandémie du coronavirus Covid-19 et la situation de confinement que nous vivons actuellement nous donneront-elles envie de changer nos modes de vie? De déménager, de quitter par exemple un appartement en ville pour un mas provençal ou une maison avec jardin dans le périurbain? C'est le thème de ce nouvel épisode de Poire et Cahuètes, animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Dans cet épisode on discute de: «L'exode sanitaire: nouvelle manifestation de la sécession des catégories supérieures», une Étude de la fondation Jean Jaurès. Le Sacre de la terre, de Jean Viard, co-écrit avec Michel Marié et Bertrand Hervieu. Ecotopia, d'Ernest Callenbach (Rue de l'Échiquier, en accès gratuit). Et on vous recommande aussi la lecture des ouvrages de Bruno Latour, ainsi qu'Abondance et liberté - Une histoire environnementale des idées politiques, de Pierre Charbonnier (éditions La Découverte). Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Cette semaine on vous propose un Poire et Cahuètes un peu spécial, confinement oblige. Au lieu d'un débat autour d'un ouvrage comme d'habitude, Hélène Decommer et Jean-Laurent Cassely ont sélectionné une série d'essais pour penser la période actuelle, faite d'ambiance de fin du monde, de temps suspendu, d'enfermement. Vous n'êtes pas obligé·es de les lire, mais on vous parle de: Comment tout peut s'effondrer, Pablo Servigne (Seuil, 2015) La revue Yggdrasil, numéro 4 «Effondrement et renouveau» Les métropoles barbares, Guillaume Faburel (Le Passager clandestin, 2018) Rendre le monde indisponible, Hartmut Rosa (La Découverte, 2020) La revue Constructif, «Le retour du local» (en accès libre) Éloge du magasin, Vincent Chabault (Gallimard) Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Puisque les librairies sont fermées et que les colis ne sont plus acheminés, des maisons d'édition prennent des dispositions inédites: La Découverte offre en accès libre certains de ses ouvrages à télécharger, idem pour La Fabrique. La plateforme Youboox a baissé le prix de son abonnement à 90 centimes. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Dans cet épisode de Poire et Cahuètes, on se penche sur l'ouvrage de Johann Chapoutot Libres d’obéir - Le management du nazisme à nos jours (Gallimard, janvier 2020). Point Godwin en ligne de mire? Non, l'ouvrage de l'historien spécialiste d'histoire contemporaine et du nazisme consiste plutôt en une réflexion sur le management moderne développée par les nazis et qui a continué à être utilisé bien après la guerre. Est-il convainquant pour autant? Nous en avons discuté avec Anne-Sophie Moreau, rédactrice en chef de Philonomist, le média en ligne de Philosophie Magazine dédié au monde du travail, de l'entreprise et de l'économie, et Johann Visentini, éditeur chez Arkhê. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.
Un livre d'Emmanuel Todd qui sort en France, c'est toujours un petit événement. On se demande comment il va nous bousculer cette fois-ci, quelles intuitions il va balayer d'un revers de main ou qui il va insulter avec panache. On ne pouvait donc pas ne pas consacrer un épisode de Poire et Cahuètes aux Luttes des classes en France au XXIe siècle, le dernier ouvrage de l'essayiste sorti le 23 janvier au Seuil, écrit en collaboration avec le journaliste Baptiste Touverey. On en parle avec Arthur De Grave, cofondateur d'une agence de communication et auteur de Start-Up Nation - Overdose Bullshit (dont on avait parlé dans un précédent épisode), et Julien Damon, professeur associé à Sciences Po, spécialiste des questions de pauvreté et auteur de Qui dort dehors?. Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste, chroniqueur à Slate et essayiste. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», Latashá
Écolos, unissez-vous! Mais contre les riches et la croissance. L'alliance rouge-vert, c'est le projet de François Ruffin, le député insoumis qui vient de publier Il est où, le bonheur (Les liens qui libèrent, octobre 2019). Pour gagner, pour être majoritaire dans les urnes, il faudra réconcilier ce qu’il appelle les deux cœurs de la gauche, les prolos et les intellos. L'écologie peut-elle faire ce lien? C'est le sujet de ce nouvel épisode de Poire et Cahuètes, notre podcast sur l'actualité des idées, animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste collaborateur à Slate et essayiste, en présence de deux invités: Gérald Andrieu, directeur adjoint de la rédaction de Marianne et essayiste, et Richard Robert, historien des idées et éditeur du site internet Telos, think tank de la gauche réformiste. Mais s'il y a bien un type d'écologie auquel François Ruffin ne souscrit pas, c'est celui des petits gestes citoyens, du consom'acteur seul face à son caddie, des marches bien intentionnées qui ne se traduisent pas dans les urnes. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.
Elles sont entrées de façon fulgurante dans notre quotidien ces dix dernières années. Au point qu'on se demande, parfois, comment on faisait avant. Ça a commencé par des bouts de vie publiés sur Facebook, puis des achats réglés par PayPal, des rendez-vous médicaux pris sur Doctolib, un Uber réservé à la place d'un taxi, une location de vacances choisie sur AirBnB, un livre, puis un câble HDMI, puis du papier toilette commandés sur Amazon et peut-être même un repas livré par un cycliste Deliveroo. Ces innovations technologiques sont toutes le fruit de start-ups, ce mot magique promettant un nouvel élan économique et une vie plus belle. Ce mot si désirable aux oreilles d'Emmanuel Macron qu'il a souhaité, au lendemain de son élection en 2017, que la France devienne «une start-up nation». Pourtant le bilan social, environnemental et même économique est loin d'être satisfaisant. Le réveil du rêve californien tourne à la gueule de bois. C'est le sujet de ce nouvel épisode de Poire et Cahuètes, notre podcast sur l'actualité des idées, appuyé par deux livres: Les Possédés de Lauren Boudard et Dan Geiselhart (Arkhê, 4 octobre 2019) et Start-up nation, overdose bullshit d'Arthur de Grave (Éditions Rue de l'échiquier, 19 septembre 2019). Poire et Cahuètes est animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste collaborateur à Slate et essayiste. Les invité·es de cet épisode sont Anaïs Richardin, directrice de Maddyness, et Hubert Guillaud, rédacteur en chef d'InternetActu.net. Si vous avez aimé cet épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», LATASHÁ
Le Brexit au Royaume-Uni, l'élection de Donald Trump aux États-Unis, les «gilets jaunes» en France... Un peu partout dans le monde, une partie de la population fait entendre sa voix, sa colère, s'élève contre les élites. Ce sont les Somewhere, les «Quelque Part», théorise le journaliste et économiste britannique David Goodhart dans son livre Les deux clans, la nouvelle fracture mondiale (Les Arènes, 13 novembre 2019). Par opposition, une personne aux idées progressistes, libérale, bien lotie sur le plan socio-économique appartiendra certainement à la catégorie des Anywhere, les «Partout». Le clivage de David Goodhart est-il pertinent? Est-il l'équivalent de l'opposition entre la France des métropoles et la France périphérique? Êtes-vous plutôt un «Quelque Part» ou un «Partout»? Les deux clans pourront-ils un jour se rejoindre? On en parle dans Poire et Cahuètes, le nouveau podcast de Slate.fr consacré à l'actualité des idées, animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef adjointe de Slate.fr et Jean-Laurent Cassely, journaliste et essayiste. Les deux invités de cet épisode sont Elena Scappaticci, éditrice chez Arkhé, et Jean-Marie Pottier, journaliste indépendant. Si vous avez aimé ce premier épisode de Poire et Cahuètes, n'hésitez pas à nous donner la note maximale sur iTunes et ailleurs, et à parler de ce podcast autour de vous. Vos remarques et commentaires sont les bienvenus sur nos réseaux sociaux. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Retrouvez ici l'article que Jean-Marie Pottier avait consacré au livre de David Goodhart en 2017 sur Slate.fr. Musique: «Candelabra (Saeptem imPeC cut)», LATASHÁ
Cinq millions de personnes ont téléchargé l'application Yuka qui scanne les codes barre des produits en supermarché et nous informe sur leur composition. Résultat ? Des industriels bien mal en peine obligés de se remettre en question. Et les initiatives de ce type se multiplient, car les consom'actrices et consom'acteurs ne veulent plus être bernés. Chut en a parlé au MAIF Social Club le 10 octobre dernier, avec : - Laurence Allard, sociosémiologue des usages numériques et mobiles, - Florian Breton, cofondateur de La Ferme Digitale et fondateur de la plateforme Miimosa, - Jean-Laurent Cassely, journaliste à Slate.fr et auteur de No Fake. Chut, écoutez cette conférence sonore et abonnez-vous pour découvrir les prochaines !
Ce triangle jaune et tremblotant en ravit certains quand il en écœure d’autres. Pour cet épisode sur le flan, Émilie nous plonge dans l’histoire de ce dessert assez simple qui fait son come-back sur les réseaux sociaux, sur fond de mode des terroirs de France. Parfois trouvable dans le commerce dans un genre trop fluo pour être honnête (lorsqu’il est fait à base de poudre industrielle), le flan existe sous différentes versions partout dans le monde (tarte aux œufs à Hong-Kong, pastel de nata au Portugal, custard tarte au Royaume-Uni, flan au lait de coco en Thaïlande, etc.)Le flan fait partie de nos souvenirs de cantine, mais il a également su traverser les époques puisqu’il existe depuis le Moyen-Âge ! Sûrement à la faveur de sa recette, qui tient au triptyque « lait / œuf / sucre » (auquel on ajoute de la fécule de maïs et un fond de tarte, dans le cas du flan pâtissier). Sur cette question, Émilie s’est entretenue avec l’historienne de l’alimentation Ségolène Lefèvre. Cette universitaire explique que grâce à son côté « pratique à manger dans la rue » pour les gens n’ayant pas de cuisine chez eux, le flan a été synonyme de « street food » médiévale. Ensemble, elles ont égrené les types de flans qui existent en France, du fion vendéen au far breton.Mais d’abord, Émilie a reçu la pâtissière Hélène Thouin, qui travaille au T’Time du Jardin Privé aux côtés du chef pâtissier Quentin Lechat. Tous les jours, Hélène réalise un flan, dont elle nous révèle ici quelques étapes de fabrication.Pour préparer cet épisode, Émilie a ingurgité près d’un flan par jour pendant une semaine ; et rien que pour ça, elle mérite une écoute !Références entendues dans l'épisode :Hélène Touin travaille avec Quentin Lechat est le chef pâtissier du T’ Time du Jardin Privé situé 8 Place Marguerite de Navarre dans le 1er arrondissement de Paris.L’expression “foncer la pâte” désigne le fait d’étaler la pâte dans un moule à tarte.Cédric Grolet est le chef pâtissier du Meurice, un palace dans le 1er arrondissement, et très connu pour ses pâtisseries en trompe l'oeil.Le célèbre pâtissier Cyril Lignac propose un flan au lait et à la fécule de maïs. On les retrouve dans l’une de ses nombreuses pâtisseries “Gourmand Croquant” à Paris.Les Pastéis de nata sont des petits flan portugais. On retrouve ces pâtisseries croquantes à la crème dans toutes les boulangeries et cafés du Portugal.Le flan custard est une crème au caramel, aux œufs, au beurre, au sucre, à la farine et au lait.Le flan thaïlandais est une tartelette d’origine britannique aux œufs, au lait de coco et à la crème fraîche.La Pâtisserie de Choisy évoquée par Emilie est située 62 avenue de Choisy 75013, Paris.Le far breton s’apparente au clafoutis, il est souvent garnis aux pruneaux.Le flan picard aussi appelée tarte “ale barbrée” est une tarte rustique aux bords dorés garnie d’une crème aux œufs. On peut y ajouter des fruits.Le fion vendéen est une flan aux œufs parfumés à la croûte échaudée.Jean-Laurent Cassely est l’auteur de No fake : Contre-histoire de notre quête d'authenticité. Il y explique que le goût pour l’ancienneté est une signe de distinction pour les classes sociales supérieurs.C’est à l’époque d’Apicius que le flan fait son apparition. C’était un riche romain amateur de cuisine au Ier siècle.Au Moyen-Age, la patina était un mélange d’œufs battus et parfois de lait qu’on versait sur des fruits ou des légumes.Retrouvez Bouffons sur Mapstr, Instagram, Twitter et Facebook !Bouffons est une émission de Nouvelles Écoutes animée par Émilie Laystary. Montée et Mixée par Thomas Decourt. Coordination Laura Cuissard avec l'aide d'Emilie Mendy.
Sommaire de l'émission avec Stéphan Bureau; Sur le radar avec M.-André Mongrain, Valérie Gaudreau, Marjorie April et Angélique Kourounis; Le retour de David St-Jacques sur Terre avec Marc Garneau et Isabelle Tremblay; Sommaire de la 2e heure; Essai No Fake:Entrevue avec Jean-Laurent Cassely; L'exposition Zïlon et le Montréal underground:Entrevue avec Zïlon; Ipod battle de la Saint-Jean avec Yves P. Pelletier et Geneviève Borne; Anne Hébert:Discussion avec Manon Dumais et Samuel Archibald; Suggestions de lecture avec Jérémy Laniel
durée : 00:33:00 - La Grande table (2ème partie) - La culture hipster : au nom d'un retour à l'"authentique", un nouveau stade du faux? Le journaliste Jean-Laurent Cassely s'est intéressé à cette contre-culture dans "No Fake, contre-histoire de notre quête d'authenticité" (Arkhê, 2019).
Épisode 209 : Les modes se font et se défont au rythme auquel se suive les générations. Le monde change et Instagram aussi ! Les montages photoshopés de la perfection : le décor avec un mur floral en fond, les cappuccinos en forme de cœur, l’apéro spritz sur son rooftop parisien… Tout ça est peut-être bientôt derrière nous. Et si l’esthétique Instagram était en train de disparaître ? Les meilleures versions séduisantes et glamour de nous-mêmes, popularisées sur Instagram, se heurtent à des réactions très négatives ces derniers temps. Le superficiel ce n’est plus cool Ces images sont loin d'être réelles. Ce sont avant tout des photos issues d'une mise en scène, des images embellies et irréalistes de la beauté. Figurez vous que la recherche d’esthétisme qui prévalait sur Instagram est sans doute en train de passer de mode A l’ère de l’authenticité, ces posts superficiels et fabriqués ne sont plus cool. —— Pourquoi ? Les mises en situation idéalisées sont devenues la norme L’overdose. Peut-être même pire : la norme. Un trop plein de belles images qui se ressemblent toutes. Le mot Instragrammable est même entré dans le dictionnaire urbain, décrivant une situation et une photo dignes d'un post Instagram. Digne d'intérêt parce que les mises en situation idéalisées sont devenues la norme dans notre façon de voir le monde sur les médias sociaux. —— Instagram qui encourage aussi la transition Instagram lui-même favorise ce mouvement : le réseau qui était à sa création un flux visuel de photos filtrées, a multiplié depuis les formats novateurs, obligeant le format photo à se battre avec les stories, IGTV, les GIFs et les clips video clips pour attirer l’attention. L'image n'est donc plus exclusive, elle partage l'affiche avec le message ! —— Les influenceurs abandonnent l'esthétique d'Instagram pour plus d'authenticité Un groupe de jeunes et nouveaux influenceurs rejette l'idée d'un fil d'actualité stylé et superficiel au profit d'une ambiance plus désordonnée et avec moins de filtres. Fini la lumière parfaite, l'angle de prise de vue parfait, ou même la prise de vue parfaite. Place aux images non filtrées et de faible qualité, valorisant l'authenticité du post plutôt que la perfection de la photo. On peut aussi parler du retour du fanzine. Les marques s’adaptent et cherchent à être plus inclusives La disparition progressive des modèles trop photoshopés L’émergence des stories backstage Le boom des contenus UGC sur les instagram de marques ou même directement sur leurs sites. —— Dans le monde de la Food et de la restauration aussi on cherche l’authenticité Même vague de recherche d’authenticité dans la restauration et le monde de la food. Fini le Glamour, le sexy, le sophistiqué et le manucuré place aux cantoches de quartiers et au pot de rouge servit sur sa nappe à carreaux. Les pokeball, salades de Kalé et dressages ultra Instagramables sont peut être derrière nous. Jambon-beurre sur un coin de comptoir en zinc, Routier avec nappes à carreaux rouges et blancs, Bouillon « dans son jus », bistrot vintage aux tables en Formica… les nouveaux lieux branchés semblent tout droit sortis de la France des années 70. Sauf que le jambon-beurre est d’« exception » et coûte 5€ et le Routier du 11e arrondissement de Paris n'a jamais vu passer un camionneur. — Sur le sujet : Il faut lire le livre de Jean-Laurent Cassely, auteur de No Fake Contre-histoire de notre quête d’authenticité. Il y décrit très bien ce qu’il appelle l’Hyper France, trop authentique pour être vraie. « Cette quête de l’authenticité nous a mené à l’Hyper France, une vision exacerbée de la France d’antan plus authentique que la réalité. » —- Le fake d’un jour peut devenir l’authentique de demain. Même phénomène dans la musique. De même, il existe un style musical né sur Internet qui s'appelle la vaporwave : c'est de la musique d'ascenseur qui parodie l'ambiance kitsch des centres commerciaux des années 1990. Le fake d'un jour peut devenir l'authentique du lendemain... . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon. Nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
L'ObSoCo reçoit Jean-Laurent Cassely, essayiste et auteur, notamment, de "La révolte des premiers de la classe. Métiers à la con, quête de sens et Reconversions urbaines"(Éditions Arkhê, 2017). Il revient sur l'étude réalisée fin 2018 avec l'ObSoCo sur les jeunes urbains créatifs, qui déconstruit les idées reçues sur ce que l'on pourrait appeler le "nectar de millénials".
Bullshit jobs et quête de sens J'ai souvent l'impression d'être Astérix avec son formulaire A89 Aurore conçoit des publicités sur le web pour des banques ou des marques de luxe. Au début, les paillettes du CDI et des tickets restos lui suffisent. Mais très vite, elle se demande pourquoi, après avoir dépensé 30 000 euros dans une école de commerce avec l'espoir d'une bonne carrière , elle se pose autant de questions sur le sens de son travail. Et puis, un jour, elle découvre l'existence du "bullshit job" ou "job à la con". Un bullshit job, pour Jean-Laurent Cassely, journaliste et auteur du livre "La révolte des premiers de la classe", c'est un métier qu'on ne peut pas expliquer à sa grand-mère. Chef de projet, community manager, responsable marketing... Tous ces nouveaux boulots, valorisés socialement, mais dont l'impact sur la société est nul ou négatif. Et donnent à ceux qui les occupent un fort sentiment d'inutilité. Elle enquête sur ce phénomène et rencontre celles et ceux qui pensent être plus utiles à boire des cafés au bar du coin plutôt que de passer leur journée à "bullshiter". Enregistrements : janvier, février, septembre 18 - Mise en ondes et mix : Arnaud Forest - Réalisation : Aurore Le Bihan - Production : ARTE Radio
Envie d'aller plus loin ? > Participez au prochain événement Paumé.e.s pour se rencontrer dans la vraie vie : bit.ly/paumées > Rejoignez la communauté Facebook où une joyeuse bande de Paumé.e.s s'échangent bons plans, conseils et offres d'emplois : bit.ly/pauméesgroupe Les métiers manuels reviennent à la mode : de plus en plus de gens veulent une vie qui ne consiste pas à remplir des PowerPoint toute la journée. Sur Instagram l'artisanat fait rêver : des photos léchées dans des ateliers lumineux décorés avec des plantes vertes grimpantes. Sans compter les nombreux magazines qui mettent en avant leur "success story". Mais quelle est la réalité derrière ces reconversions de ceux qu’on appelle les « néo-artisans »? Dans cet épisode de Paumé.e.s, on écoute le témoignage Sarah qui a plaqué son job de directrice de clientèle dans la pub pour se former à la céramique. Elle raconte son chemin vers un choix qui peut faire peur mais qu'elle ne regrette pas. Philippe, entrepreneur qui monte sa boîte qui permettra à chacun de tester le mode de vie artisanal lui répond et donne quelques pistes de réflexion pour savoir si c'est fait pour vous. Pour aller plus loin : Rejoindre la communauté Paumé.e.s : https://www.facebook.com/groups/257362941667861/ Suivre le compte Instagram de Sarah pour prendre sa dose d'inspiration : https://www.instagram.com/sarah.boyeldieu/?hl=fr Suivre le projet de Philippe si vous avez envie de tester des travaux manuels https://www.facebook.com/artisansdavenir/ Le révolte des premiers de la classe de Jean-Laurent Cassely : http://www.arkhe-editions.com/portfolio/cassely-revolte-premier-classe/ Eloge du carburateur de Matthew B. Crawford : https://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-_loge_du_carburateur-9782707160065.html
Fini les ‘bullshit jobs’ à remplir des tableaux Excel pour un bon salaire : place aux néo-maraîchers, au retour de l’artisanat et aux restaurateurs zero-waste. Alors qu’une nouvelle génération rêve d’une vie professionnelle autour de l’alimentation avec davantage de sens, le fantasme d’un monde où tout est permis côtoie une réalité où le champ voisin est bien moins vert qu’il n’y paraît. Et puisqu’elles rêvent d’ouvrir un bar à vin, Axelle et Elisabeth sont parties à la rencontre de celles qui ont franchi le pas. Salade Tout est une coproduction de la RTBF et du Centre de l’Audiovisuel et du Cinéma de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Écriture et réalisation : Elisabeth Debourse & Axelle Minne Production exécutive : Studio Faim Montage, habillage et mixage : Simon Leens Générique : Paul Marique Visuels : Camille Pirritano, Victor Pattyn, Maud Samaha Et après Salade Tout, on vous conseille : - le best-seller de Matthew Crawford, le philosophe qui répare des mots, “Éloge du carburateur”, - le bouquin pratique et réaliste de Jean-Laurent Cassely, “La révolte des premiers de la classe”, - l’interview croisée du philosophe belge spécialiste du burn out Pascal Chabot et de Matthew Crawford par Philosophie Magazine (article disponible en ligne) - une visite chez Co-oking, une cuisine partagée qui propose désormais son aide aux entrepreneurs de la bouche qui veulent se lancer.
Les informations choisies et présentées par Nausicaa Ferro pour Binge Actu.Le son de la semaine : la voix de Margaret Hamilton, qui a élaboré les logiciels de la mission Apollo 11.L'enquête de la semaine : Jean-Laurent Cassely analyse la France de Stéphane Plaza.L'histoire de la semaine : l'otage américain Otto Warmbier, retenu en Corée du Nord pour avoir volé un poster de propagande à son hôtel. L'avancée de la semaine : la possible disparition de l'article qui associe la femme au foyer dans la constitution irlandaise. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Où en est le futur ? Une question essentielle pour Ground Control qui accueille le OFF de Futur.e.s Festivals ! Emission présentée par Louis Hamelin Où en est futur de la ville ? Les nouveaux urbains sont tous des artisans connectés ! Notre ville bouge à une vitesse sans précédent. Les espaces verts s’agrandissent, les vélos gagnent du terrain, les journées s’allongent. Nos habitudes, nos lieux de vie, nos modes de consommation changent au gré des évolutions de notre époque. Qui seront donc les nouveaux urbains? Invités : -Philippe Gargov, fondateur du pop-up urbain, spécialiste de l'imaginaire des villes -Jean-Laurent Cassely, journaliste et chroniqueur pour le site Slate. Il écrit sur les modes de vie et les valeurs des urbains et sur la nouvelle société de consommation -Magali Perruchini, auteur de l'ouvrage “Nouveaux Artisans" paru en mars 2018 aux Editions Eyrolles. Elle a lancé le blog “Les Mains Baladeuses” grâce auquel elle part à la rencontre d'une nouvelle génération d'artisans entrepreneurs -Alice Cabaret, fondatrice de l’agence collaborative The Street Society, spécialisée dans la reconversion de quartiers industriels et dans la mise en oeuvre de plateformes d'incubation et d'expérimentation de projets urbains
Chaque soir, Nicolas Carreau nous emmène à la découverte des plus belles nouveautés littéraires.
Pourquoi s'embêter à faire de longues études, si c'est pour obtenir en bout de course un job à la con. Cela fait partie des questions que soulève le livre de notre invité, Jean-Laurent Cassely. Dans La révolte des premiers de la classe le journaliste enquête sur le rapport de la nouvelle génération de jeunes diplômés qui décide de tout plaquer pour des métiers manuels. Quête de sens, ennui, manque de réalité, qu'est-ce qui pousse ces jeunes à quitter leur situation confortable pour laquelle ils ont étudié tant d'années ?Pour Jean-Laurent Cassely, le statut de cadre s'est banalisé, les professions intellectuelles se sont précarisées et beaucoup de cursus universitaires ne sont en adéquation avec le monde professionnel. Cela concerne de plus en plus de gens, ce n'est plus juste cette marge d'intellos bohèmes qui a toujours existé à Paris. Cela concerne beaucoup de jeunes diplômés. En seconde partie, on reçoit Simon Bierlaire, le co-directeur artistique des Brunch Electronik ! Ces brunchs dominicaux, inspirés des versions espagnoles et portugaises, voient enfin le jour à Paris, au Parc Floral, dans le bois de Vincennes. Trois dimanches (21, 28 mai et le 4 juin), une quinzaine de mix (avec entre autres Pachanga Boys, Mind Against ou encore Joy Orbison), à boire, à manger, un petit marché et des activités pour les enfants : le festival se veut "family friendly". Ça vous dit ? Radio Campus Paris vous offre des places. Envoyez un mail à concours@radiocampusparis.org ! On est pas un festival, on est pas un club, on est un rendez-vous familial (...) L'idée c'est que les enfants soient occupés et que les parents soient heureux ! Au programme également, la chronique actus étudiantes de Clémence qui nous parle du PIEED, de l'Invisible du visible et de la LUDI ! Présentation : Alban Barthelemy / Co-interview : Christelle Puga et Tessa Robinson / Réalisation : Mikel Perez / Chronique : Clémence Pesnot / Coordination : Marion Guichaoua et Elsa Landard
Pourquoi s'embêter à faire de longues études, si c'est pour obtenir en bout de course un job à la con. Cela fait partie des questions que soulève le livre de notre invité, Jean-Laurent Cassely. Dans La révolte des premiers de la classe le journaliste enquête sur le rapport de la nouvelle génération de jeunes diplômés qui décide de tout plaquer pour des métiers manuels. Quête de sens, ennui, manque de réalité, qu'est-ce qui pousse ces jeunes à quitter leur situation confortable pour laquelle ils ont étudié tant d'années ?Pour Jean-Laurent Cassely, le statut de cadre s'est banalisé, les professions intellectuelles se sont précarisées et beaucoup de cursus universitaires ne sont en adéquation avec le monde professionnel. Cela concerne de plus en plus de gens, ce n'est plus juste cette marge d'intellos bohèmes qui a toujours existé à Paris. Cela concerne beaucoup de jeunes diplômés.En seconde partie, on reçoit Simon Bierlaire, le co-directeur artistique des Brunch Electronik ! Ces brunchs dominicaux, inspirés des versions espagnoles et portugaises, voient enfin le jour à Paris, au Parc Floral, dans le bois de Vincennes. Trois dimanches (21, 28 mai et le 4 juin), une quinzaine de mix (avec entre autres Pachanga Boys, Mind Against ou encore Joy Orbison), à boire, à manger, un petit marché et des activités pour les enfants : le festival se veut "family friendly". Ça vous dit ? Radio Campus Paris vous offre des places. Envoyez un mail à concours@radiocampusparis.org !On est pas un festival, on est pas un club, on est un rendez-vous familial (...) L'idée c'est que les enfants soient occupés et que les parents soient heureux !Au programme également, la chronique actus étudiantes de Clémence qui nous parle du PIEED, de l'Invisible du visible et de la LUDI !Présentation : Alban Barthelemy / Co-interview : Christelle Puga et Tessa Robinson / Réalisation : Mikel Perez / Chronique : Clémence Pesnot / Coordination : Marion Guichaoua et Elsa Landard
Journaliste à Slate.fr, Jean-Laurent Cassely a écrit avec Camille Saféris un "Dictionnaire franco-parisien" (éditions Parigramme, 2015). Son recueil de mots à la mode permet de mieux maîtriser les derniers tics du langage parisien, tel qu'on le parle dans les agences créatives du graphisme, du web et de la planète "fashion". Au-delà de l'aspect ludique de l'exercice, cette exploration confirme que le langage est un bon indicateur d'évolutions sociales (ici, la montée en puissance des "classes créatives" à Paris et dans le monde). Le dictionnaire "franco-parisien" de Cassely et Caféris permet de mieux savourer les mots et inventions langagières, de les utiliser en toute conscience et si possible avec des guillemets, sans pour autant laisser ces mots souvent creux et ces formules parfois ridicules prendre le pouvoir sur nous.
« Transports saturés, boboïsation des quartiers, vie nocturne menacée : quelles perspectives pour la capitale ? Dans quel Paris souhaitons-nous vivre ? Avec Clément Léon R., maire de la nuit à Paris, Jacques Lévy, géographe et urbaniste, Marie-Hélène Massot, professeur à l'Institut d'Urbanisme de Paris, et Jean-Laurent Cassely et Camille Saféris, auteurs de Je parle le parisien (2013). »
« Transports saturés, boboïsation des quartiers, vie nocturne menacée : quelles perspectives pour la capitale ? Dans quel Paris souhaitons-nous vivre ? Avec Clément Léon R., maire de la nuit à Paris, Jacques Lévy, géographe et urbaniste, Marie-Hélène Massot, professeur à l’Institut d’Urbanisme de Paris, et Jean-Laurent Cassely et Camille Saféris, auteurs de Je parle le parisien (2013). »