1998 studio album by Yann Tiersen
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In this episode, we are speaking with Méliane Laurier-Cromp about the diversity of positions and partnerships she is currently involved in as a music therapist. Méliane also shares information about why she decided to get involved with the board of AQM and her journey towards becoming a professor in the graduate diploma program at Concordia. Here is a little more about Méliane: After graduating from a Masters in Music Theory at McGill University, Méliane wished to find a way to use music to reach people and help them live their full life. She studied music therapy at in the graduate certificate program at Concordia University in Montreal. After her certification, she mostly worked in social pediatrics. She enjoyed working in an interdisciplinary team, with physicians, social workers and other professionals and finding solutions to multi-faceted challenges. Méliane collaborates with the National Institute of Music Therapy to promote and advocate for music therapy. Lately, Méliane has been working with Le Phare, an organization for children facing a life-limiting illness. In September 2024, Méliane started teaching at Concordia in the graduate diploma program. She also serves as the secretary for Association Québécoise de musicothérapie. Sing it Girls program Information Beyond the Studio, Sing it Girls and the Canadian Music Therapy Podcast were founded by Adrienne Pringle and Cathy Thompson. Adrienne is a Registered Psychotherapist and Certified Music Therapist with over years of clinical experience working as a music therapist in hospital palliative care, and hospice. She currently works in private practice with Beyond the Studio and CHM Therapy, as an educator and supervisor with Concordia and Wilfrid Laurier Universities. She serves on the Board of Directors for the Canadian Music Therapy Fund and is a past President of the Canadian Association of Music Therapists. Adrienne co-founded Beyond the Studio, Sing it Girls! and The Canadian Music Therapy Podcast with Cathy Thompson in 2013. Adrienne's clinical work is focused in mental health, wellness care, bereavement support, hospice palliative care, chronic illness, and using voice, song and music to support emotional and physical health across the lifespan. She created the Singing Well bereavement support group, her research in collaboration with Concordia university is published in the Summer 2018 issue of Bereavement Care. Her most recent publication, "Reflections on the Canadian Music Therapy Podcast: The First 40," can be found in the Canadian Journal of Music Therapy, 2023. Contact Adrienne for Supervision Cathy is a leader in business development across Canada. She is passionate about helping people discover their own talents and gifts in the areas of personal and professional development. She partnered with Adrienne to establish Beyond the Studio because of the vision of the organization. To nurture a love of music in all clients and students. Music is such a critical part of our world and Beyond the Studio offers a gateway in which people can experience more of it, through therapy and lessons. She has seen firsthand the joy and milestones that can be reached through music therapy. I'm excited that we are able to help more people through our psychotherapy services launched in the fall of 2023. Author of: The Dandelion: Secrets to Growing Your Successful Business from the Ground Up Buy Now! Publications: "Reflections on the Canadian Music Therapy Podcast: The First 40," can be found in the Canadian Journal of Music Therapy, 2023. Thompson, C., Girls Talk : An anti-stigma program for young women to promote understanding of and awareness about depression: Facilitator's manual, Centre for Addiction and Mental Health. Canada.
"Ravie de vous retrouver… Aujourd'hui, nous allons continuer notre exploration de l'univers de Fouad Boussouf, un chorégraphe à la croisée des cultures et des influences. Dans cette deuxième partie, il nous parle de ses souvenirs d'enfance, qui continuent de nourrir ses créations, notamment à travers la figure emblématique d'Oum Kalthoum, la grande diva égyptienne. 'Oum Kalthoum, elle a réussi à toucher des centaines de milliers de personnes avec des textes qui, chantés par une autre femme, auraient pu être considérés comme subversifs. Elle a transcendé les frontières, et c'est ça qui me fascine. Mon père l'écoutait souvent, et même si je ne comprenais pas tout à l'époque, ces moments-là ont fini par me marquer profondément.' Fouad évoque également son rôle en tant que directeur du Centre Chorégraphique National du Havre, un poste qui lui permet de concrétiser sa vision artistique à une plus grande échelle. Installez-vous confortablement, et laissez-vous emporter par ce voyage au cœur de la danse, des souvenirs d'enfance et de la vision d'un artiste à la tête d'un centre chorégraphique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:36 - La 383, une course contre la montre dans le phare le plus haut d'Europe - La première montée en courant du phare de l'île Vierge le samedi 14 septembre est baptisée "La 383". Cette épreuve contre la montre permet aussi de mieux découvrir les richesses de Plouguerneau dans le nord Finistère.
Même pendant l'été, laissez-vous transporter par les récits de Stéphane Bern et de son équipe pour en apprendre toujours plus sur l'Histoire. Aujourd'hui, le Phare d'Ar Men, l'enfer des enfers.
Même pendant l'été, laissez-vous transporter par les récits de Stéphane Bern et de son équipe pour en apprendre toujours plus sur l'Histoire. Aujourd'hui, le Phare d'Ar Men, l'enfer des enfers.
durée : 00:59:40 - Les Grandes Traversées - par : Mattéo Caranta - De l'écriture du scénario à la postproduction, un film est pour Fellini une expérience totale. Il l'orchestre comme un peintre sa toile, se jouant des couleurs, des lumières, des décors et des costumes au gré de sa fantaisie. À Cinecittà, Fellini est chez lui. Le Studio 5 est sa maison.
Je reçois Julia Bourret, experte de la vente et du closing. Elle s'est spécialisée dans le closing des coachs et accompagnants du bien-être. Elle connait par coeur toutes les problématiques de ces entrepreneurs qui se dédient au bien-être et l'épanouissement des autres et qui sont allergiques à la vente. Et pourtant... sans vendre ses services, l'activité d'un entrepreneur du bien-être est voué à mourir. Dans cet épisode, nous avons parlé : ✨ des croyances liées à la vente qui nous empêchent de vendre avec simplicité nos accompagnements ✨des erreurs que commettent la plupart des thérapeutes quand ils parlent de leurs offres ✨ de soigner sa relation à l'argent pour soigner sa relation à la vente ✨ de comment bien suivre son client de A à Z de l'appel découverte jusqu'à la décision finale du prospect ✨ de vente éthique et avec le coeur Belle écoute ! Pour suivre les actualités de Julia Bourret et être au courant de son accompagnement pour s'améliorer dans la vente : ✨ Sur Instagram : https://www.instagram.com/julia.bourret/ ✨ Rejoindre son groupe Facebook "Happy closing family" : https://www.facebook.com/share/toyBFqkcS2Xc9Fab/?mibextid=K35XfP Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Extrait de l'interview de Nicolas Chabanne, où il parle du Ventoux et des producteurs, les deux pépites du Vaucluse.L'interview en intégralité est à écouter ici :Nicolas Chabanne, Le consommateur a le pouvoir avec C'est qui le Patron ?!Vous pouvez retrouver toutes les références citées dans cet épisode et lire la retranscription de l'interview sur mon blog (Merci Autoscript ! ).L'épisode est également disponible en version sous-titrée sur YoutubeMerci à l'OTI Ventoux Provence pour la photo !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu viens de terminer ta formation et tu veux lancer ton activité dans le bien-être ou l'accompagnement ? Dans cet épisode, je te partage les questions à se poser avant de lancer son activité pour te faire gagner du temps. On parlera de : ✨ Déterminer son grand pourquoi ✨ Définir son positionnement ✨ Etablir une stratégie de communication ✨ Réfléchir à la vie perso que l'on a envie de vivre pour poser son cadre ✨ Bâtir son réseau Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Dans cet épisode, je te partage les enseignements que je tire de la nature. Des enseignements concrets qu'on peut appliquer dans nos vies. On parlera : ✨ du sacré qui est partout autour de nous ✨ des cycles de la vie ✨ de passer du temps en nature pour se reconnecter à l'essentiel Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Dans cet épisode, je te propos de secouer le cocotier pour te faire prendre conscience de ton temps. C'est maintenant qu'il faut commencer à se mettre en mouvement vers ce qui est important pour toi. On parlera de : ✨ retrouver sa mémoire d'âme et sa mission ✨ d'où viennent nos désirs ✨ se mettre en mouvement Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Interview avec Florian du Phare Citadelle pour parler du lieu et de la programmation à venir. Réalisé en direct sur RBS dans Le 16-18 de Pierre Liermann le 10/05/24
Dans cet épisode, je te parle du syndrome de l'objet brillant, tu sais cette tendance à multiplier les formations, les projets ou les stratégies, sans jamais aller au bout. Dans cet épisode, je te partage : ✨ comment savoir si tu as cette tendance dans ton activité ✨ comprendre pourquoi tu as cette tendance là : peur de l'échec, peur de la réussite, etc. ✨ 4 idées pour t'aider à dépasser cette tendance pour vraiment t'engager à fond sur ton activité Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Dans cet épisode, je te propose de changer de lunettes pour envisager ta situation sous un autre regard. On parlera de : ✨ comment capitaliser sur tes choix ✨ comment développer ta confiance en soi ✨ ce que tu peux apporter de positif à tes clients Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Je te propose un épisode spécial où je te guide sur une méditation pour te permettre d'ouvrir ton cœur et t'ouvrir à l'énergie d'Amour. Installe-toi confortablement et laisse-toi porter par ce soin méditation. Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
durée : 00:53:59 - Circuit Bleu : Côté Saveur
Dans cet épisode, je te partage ma compréhension des mémoires transgénérationnelles : le point de départ, comment ça impacte nos vies sans qu'on en ait conscience, des pistes pour s'en libérer. On parlera de : ✨ des traumatismes de nos ancêtres ✨ comment se rendre compte d'une mémoire transgénérationnelle ✨ quelques pistes que j'ai expérimentées pour m'en libérer et celles dont j'ai entendu parler : par moi-même, par une lettre à mes aïeux, par les constellations familiales, etc. Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Dans cet épisode, je te partage mon point de vue sur l'expansion professionnelle. Pour moi, elle dépend de ton expansion personnelle. Ton activité découle de toi, de qui tu es, de ce que tu dégages, de tes apprentissages, de tes peurs, de tes croyances, de ce que tu penses de toi. On parlera de : ✨ L'entrepreneuriat comme chemin initiatique ✨ Incarner son message ✨ S'honorer pour être magnétique Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Comment se créer des relations harmonieuses aussi bien au niveau amoureux, qu'amical, familial ou professionnel ? Pour moi les bases c'est : ✨ Se connaitre soi-même pour s'honorer ✨ Exprimer ses besoins ✨ Poser des limites saines ✨ Accepter de laisser partir des relations qui ne nous correspondent plus Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Une pastille sonore avec en fond musical un concert du Kami Octet pour vous présenter le M![lieu], un lieu culturel unique qui va ouvrir ses portes à Sault en septembre 2024.Quelques minutes d'immersion pour vous donner envie d'écouter le reportage dans son intégralité.Si vous avez aimez cet extrait ou un épisode d'Esperluette, partagez-le à vos ami·es, familles, voisins & voisines, ça permet de soutenir le podcast et ses invité·es !Bonne écoute !—----------------------------------Pour écouter le reportage dans son intégralité : https://podcast.ausha.co/esperluette/playlist/le-m-lieu-a-saultCette série reportage a été pensée, enregistrée (décembre 2023) et produite par Marie-Cécile DrécourtMerci aux personnes interviewées (par ordre d'apparition) :Céline Delatte, les membres de l'association Li cha cha de Ventour, Loïc Guénin, Lucille Franc, Emilie LesbrosMusique en fond sonore par le Kami Octet composé de : Pascal Charrier : guitare, composition, directionÉmilie Lesbros : voixLeïla Soldevila : contrebasseNicolas Pointard : batteriePaul Wacrenier : pianoJulien Soro : saxophone altoSimon Girard : tromboneJean-Brice Godet : clarinettesLe Phare à Lucioles reçoit pour développer le soutien du Ministère de la Culture / Drac-Paca, de la Région Sud, du Département de Vaucluse, de la Communauté de Communes Ventoux Sud et de la Commune de Sault. Le Phare est également soutenu et accompagné par la Sacem, la Spédidam et l'Adami. Retrouvez toutes les interviews d'Esperluette sur : https://esperluette-podcast.fr/esperluette-le-podcast/ - Instagram - - Facebook
Je te parle aujourd'hui de business conscient en expliquant dans cet épisode comment construire une activité depuis l'espace du coeur. On verra ensemble : ✨ Comment reconnaitre quand on est dans le cœur et quand on l'est pas. ✨ A quel point les choses sont plus fluides quand on écoute son intuition, beaucoup plus fluide que de copier/coller une stratégie business qui a marché chez quelqu'un. ✨ Comment ça vient te faire travailler pile les bonnes peurs, résistances, croyances. Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Pour ce début de saison je commence fort avec un reportage en trois parties enregistré à Sault, dans le Vaucluse bien évidemment. Je vais vous parler d'un lieu extra-ordinaire, le M![lieu]et ici vous écoutez la 2ème partie du reportage.J'ai passé une journée entière avec toute l'équipe pour bien comprendre les tenants et les aboutissants du projet et ressentir l'énergie du lieu, et vous l'entendrez je n'ai été déçue.Le M![lieu] c'est le fruit du partenariat entre la compagnie Le Phare à Lucioles et la Commune de Sault pour réhabiliter l'ancien Collège du village et en faire un lieu culturel atypique dédié à la création artistique contemporaine, au spectacle vivant, à la recherche et à l'expérimentation dans ce territoire rural isolé. Pour faire vivre ces 700m² en plein centre de Sault, il faut une équipe et dans cette deuxième partie du reportage, je vous propose donc de rencontrer : Céline, Fany, Lucille, Thierry et également deux artistes. En effet, le jour de mon enregistrement, le Kami Octet étaient sur place pour répéter. L'occasion de leur demander leur regard d'artistes sur le lieu et le projet, la preuve par l'expérience.Bonne écoute !—---------------------------------Pour écouter le reportage dans son intégralité : https://podcast.ausha.co/esperluette/playlist/le-m-lieu-a-saultCette série reportage a été pensée, enregistrée (décembre 2023) et produite par Marie-Cécile DrécourtMixage : Alice Krief - Les Belles FréquencesMerci aux personnes interviewées (par ordre d'apparition) : Loïc Guénin, Claude Labro, Céline Delatte, Thierry Llorens, Fany Ridel, Lucille Frank, Julien Soro & Emilie LesbrosMusique (en fond sonore et dans la pastille sonore) par le Kami Octet composé de : Pascal Charrier : guitare, composition, directionÉmilie Lesbros : voixLeïla Soldevila : contrebasseNicolas Pointard : batteriePaul Wacrenier : pianoJulien Soro : saxophone altoSimon Girard : tromboneJean-Brice Godet : clarinettesLe Phare à Lucioles reçoit pour développer le soutien du Ministère de la Culture / Drac-Paca, de la Région Sud, du Département de Vaucluse, de la Communauté de Communes Ventoux Sud et de la Commune de Sault. Le Phare est également soutenu et accompagné par la Sacem, la Spédidam et l'Adami. ---------------Pour être accessible au plus grand nombre, il est possible de lire les épisodes d'Esperluette grâce à leur retranscription sur mon blog (Merci Autoscript ! ) ou sur Youtube, où ils sont sous-titrésRetrouvez toutes les interviews d'Esperluette sur : www.esperluette-podcast.fr - Instagram - - FacebookSi l'épisode vous a plu, pensez à mettre un commentaire sur votre appli audio préférée, à le partager et à mettre 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Merci pour votre soutien !Si vous souhaitez produire votre podcast ou sponsoriser Esperluette, contactez-mois via LinkedIN
Dans cet épisode on continue le reportage en trois partie enregistré à Sault au M![lieu].Le M![lieu] c'est le fruit du partenariat entre la compagnie Le Phare à Lucioles et la Commune de Sault pour réhabiliter l'ancien Collège du village et en faire un lieu culturel atypique dédié à la création artistique contemporaine, au spectacle vivant, à la recherche et à l'expérimentation dans ce territoire rural isolé. Dans les deux premiers épisodes consacrés au M![lieu] vous avez rencontré toute l'équipe qui porte le projet et le Maire de Sault pour vous expliquer en détails tout ce qui va se passer dans ce magnifique bâtiment et l'impact de ces activités artistiques sur ce territoire rural. Vous avez également entendu deux artistes en résidence le jour de mon enregistrement qui vous ont expliqué pourquoi ce type de lieu était si important pour permettre la création artistique.Dans cette troisième partie, je vais faire un focus sur les pastilles sonores commandées à des artistes par le M![lieu]. Elles font vibrer le village de Sault depuis quelques mois vous allez l'entendre et elles m'ont inspiré un petit bonus à la fin de cet épisode.Bonne écoute !—----------------------------------Pour écouter le reportage dans son intégralité :https://podcast.ausha.co/esperluette/playlist/le-m-lieu-a-saultCette série reportage a été pensée, enregistrée (décembre 2023) et produite par Marie-Cécile DrécourtMerci aux personnes interviewées (par ordre d'apparition) : Loïc Guénin, Céline Delatte, Alexis le passant curieuxMusique (en fond sonore et dans la pastille sonore) par le Kami Octet composé de : Pascal Charrier : guitare, composition, directionÉmilie Lesbros : voixLeïla Soldevila : contrebasseNicolas Pointard : batteriePaul Wacrenier : pianoJulien Soro : saxophone altoSimon Girard : tromboneJean-Brice Godet : clarinettesPour écouter toutes les pastilles sonores de Sault : https://pharealucioles.org/sault-village-sonore/Le Phare à Lucioles reçoit pour développer le soutien du Ministère de la Culture / Drac-Paca, de la Région Sud, du Département de Vaucluse, de la Communauté de Communes Ventoux Sud et de la Commune de Sault. Le Phare est également soutenu et accompagné par la Sacem, la Spédidam et l'Adami. ---------------Pour être accessible au plus grand nombre, il est possible de lire les épisodes d'Esperluette grâce à leur retranscription sur mon blog (Merci Autoscript ! ) ou sur Youtube, où ils sont sous-titrésRetrouvez toutes les interviews d'Esperluette sur : www.esperluette-podcast.fr - Instagram - - FacebookSi l'épisode vous a plu, pensez à mettre un commentaire sur votre appli audio préférée, à le partager et à mettre 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Merci pour votre soutien !Si vous souhaitez produire votre podcast ou sponsoriser Esperluette, contactez-mois via LinkedIN
Je vais te parler d'un sujet business hyper important aujourd'hui : comment attirer à soi les bons clients ? Tes clients de coeur. Tes clients d'âme. Ceux avec qui ce sera fluide, avec qui tu pourras avoir le + grand kiff et aussi les plus belles transformations. On verra ensemble : ✨ Des clefs pour mieux te connaitre et connaitre ton unicité ✨ Poser des limites saines ✨ Comprendre ton client de coeur Tu as aimé cet épisode ? Viens-me le dire en commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée et mets-moi 5 ⭐. Belle écoute ! Pour me suivre sur mes réseaux sociaux : ☀ Instagram : https://www.instagram.com/_sophiefernandes_/
Comment prendre du recul au quotidien? Sais-tu déjà lâcher-prise et éviter de suréeagir à chaque crise de ton enfant? Comment te calmer en quelques minutes et préserver le lien? Imagine: enfin réussir à te détendre en famille, dans la joie et la sérénité... Faire la paix avec les émotions: les tiennes et celles de tes enfants... Ressentir de la légèreté et du plaisir au quotidien et ne plus exploser... Aujourd'hui, dans cet épisode 142, je te détaille comment utiliser un des outils Les Petits Plus Zen, la technique du Phare, image récurrente de mes contenus depuis 2021. Cette visualisation va te donner un sas de décompression utile avant d'agir et te permettre d'arrêter de subir ta vie intérieure. Quel que soit l'âge de ton enfant, tu y découvriras des angles de réflexions sur la perception de tes émotions et du quotidien, afin de retrouver un peu de clarté dans tes ressentis. Tu y retrouveras aussi des notions chères à ma pratique, comme l'individualité de chaque famille, l'éducation sur le long terme, l'horizontalité des Besoins des enfants et des parents et la Cheminée des émotions©. J'ai hâte de lire tes retours en commentaires ou messages: Quelles sont tes astuces pour lâcher-prise au quotidien, toi ? Episodes connexes cités: 42: traduire les caprices de mon enfant 45: comprendre les bétises de mon enfant 98: tips pour arrêter de crier 101: soutenir l'enfant dans ses frustrations à lui 115: adopter une parentalité divergente & sur mesure 116: me dégager de ma culpabilité 125: savoir traduire mon émotion en besoins 126: réguler une émotion débordante Dis-moi si tu t'es retrouvé.e dans certaines anecdotes et ce que cela t'a donné envie de mettre en place pour toi ou avec ton enfant. Pour remettre de la joie et de la sérénité dans ta famille: Offres et Bénéfices: https://bit.ly/lespetitspluszen Je t'invite à commenter, mettre une note et un avis sur ta plateforme si tu apprécies cet épisode et ce podcast, et à me rejoindre sur les réseaux sociaux pour en savoir plus sur les bénéfices de mes programmes. ------------------------------ Imagine toi aussi ressentir de la légèreté et du plaisir au quotidien, d'avoir du temps pour toi? Pour avoir ces résultats, et retrouver l'harmonie en famille, tu peux réserver ta séance individuelle de guidance parentale ici: https://calendly.com/lespetitspluszen/ ---------------------- Les Petits Plus Zen, le podcast pour faciliter et savourer ta vie de famille! Réserve l'offre qui t'aiderait à faire évoluer ta parentalité: https://bit.ly/lespetitspluszen Je m'appelle Séverine, je suis Facilitatrice en Parentalité, après avoir été 22 ans Professeur des écoles en Maternelle Rep+. Chaque semaine, je te propose des pistes et des thèmes approfondis sur la Petite Enfance, l'Education et la Communication pour que tu retrouves le plaisir des relations familiales sereines et épanouies. Une de mes missions est de t'aider à mieux comprendre et apaiser l...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les opérations devaient s'achever avant-hier, mercredi, à 17 heures. Finalement, tard cette nuit, certains Congolais étaient encore au bureau de vote. Et pour cause, relate Jeune Afrique : depuis mercredi matin, « les retards n'ont fait que s'accumuler, alors même que l'affluence des électeurs était au rendez-vous. » Le Phare confirme que, d'après des agents de la Commission électorale, « certains ont voté [mercredi] au-delà de 20h ou encore près de 23h, (…) marqués à la culotte par les témoins des candidats, dont certains ont passé la nuit de mercredi à jeudi dans les bureaux de vote. » Une prolongation critiquée par l'opposition, pour qui ce délai supplémentaire est « hors-la-loi du vote » écrit Wakat Séra et qui « sauf miracle » rejettera les résultats du scrutin.Mais ça y est ! Cette fois, c'est fini. Radio Okapi reprend cette phrase de la Céni hier : « vendredi, nous n'ouvrirons plus les bureaux de vote »… c'est désormais, comme l'écrit Le Phare, « l'heure du suspense. »Dans certains bureaux de vote, le dépouillement a commencéEn raison des retards expérimentés par certains bureaux de vote, c'est un peu la « cacophonie » note Jeune Afrique, « chaque camp étant déterminé à faire circuler, au plus vite, sur les réseaux sociaux, les estimations en sa faveur. » Quant à la Céni, elle a promis de publier les premiers résultats dès aujourd'hui.Wakat Séra fait la moue face à cette « précipitation qui peut paraître bien suspecte pour des élections aussi laborieuses dans leur organisation. »Une circonspection que JA tient à calmer d'entrée de jeu : « l'affichage des résultats bureau par bureau était l'une des exigences de l'opposition, seule manière selon elle de juger de la transparence du processus. » Le Phare de son côté s'enthousiasme même de cette rapidité, une première puisque « dans le passé, on prenait deux semaines pour publier les premiers résultats de manière brute. »L'attente des résultats succède donc à l'attente devant les bureaux de vote… encore un peu de patience !Également à la Une, les suites de l'affaire Norbert Zongo au Burkina FasoOn l'a appris jeudi : la France a abrogé le décret d'extradition concernant François Compaoré, principal suspect dans l'assassinat du journaliste burkinabè Norbert Zongo, il y a 25 ans.Pour rappel pourtant, signale Wakat Séra, c'est bien la France qui, en 2020, « avait autorisé l'extradition de François Compaoré vers le Burkina Faso. » Sauf qu'entre-temps, Paris a « embouché la même trompette que la Cour européenne des droits humains » selon laquelle une extradition exposerait François Compaoré à la violation de ses droits fondamentaux.De quoi ajouter de l'eau « au moulin des contempteurs de la France », grimace Aujourd'hui au Faso, car « beaucoup, qui auraient aimé le voir menotté et se défendant devant la justice à Ouagadougou, ne [seront] pas satisfaits. » Les deux pays sont désormais « en quasi divorce », leurs relations se sont gravement dégradées cette dernière année… et, prévoit le journal, la décision de ne pas extrader François Compaoré « rend encore plus corsées les relations France-Burkina. » Mais attention : cette décision ne signe pas la fin du procès. Car même si c'est « le clap de fin du chapitre de l'extradition », ce n'est pas « celui du jugement par contumace. » Une question : comment Vladimir Poutine reprend-il en main Wagner sur le continent ?Question à laquelle Jeune Afrique tâche de répondre ce vendredi au travers d'une longue enquête. On se souvient de cette image du drapeau du groupe de mercenaires russes, hissé haut sur le fort de Kidal au Mali. « Un symbole de victoire », un « message » adressé aux détracteurs des groupes, mais aussi un avertissement clair, estime JA : « Wagner est indispensable, et entend le montrer. » Une façon aussi de dire que malgré la mort de son chef historique, Evgueni Prigojine, cet été, le groupe paramilitaire n'a pas dit son dernier mot.En fait, au Mali, « le nombre de mercenaires présents a même légèrement augmenté depuis août », expose le magazine. Et puis, surtout, le groupe sort de l'ombre : terminées, « les missions et réunions secrètes à Moscou, Bamako ou Bangui. » Désormais, les responsables russes se déplacent au grand jour sur le continent. Là encore, assène JA, « le message est clair » : le Kremlin a repris les rênes et veut le faire savoir.Changement de visage donc, mais pas de méthodes ; ni au Mali, ni en Centrafrique, où le magazine constate que « le dispositif mis en place par Wagner (…) n'a quasiment pas changé » depuis la mort de son cofondateur. « La tête a été coupée, mais le corps fonctionne encore », raconte une source au magazine. Dit autrement : tout change pour que rien ne change.
Les opérations devaient s'achever avant-hier, mercredi, à 17 heures. Finalement, tard cette nuit, certains Congolais étaient encore au bureau de vote. Et pour cause, relate Jeune Afrique : depuis mercredi matin, « les retards n'ont fait que s'accumuler, alors même que l'affluence des électeurs était au rendez-vous. » Le Phare confirme que, d'après des agents de la Commission électorale, « certains ont voté [mercredi] au-delà de 20h ou encore près de 23h, (…) marqués à la culotte par les témoins des candidats, dont certains ont passé la nuit de mercredi à jeudi dans les bureaux de vote. » Une prolongation critiquée par l'opposition, pour qui ce délai supplémentaire est « hors-la-loi du vote » écrit Wakat Séra et qui « sauf miracle » rejettera les résultats du scrutin.Mais ça y est ! Cette fois, c'est fini. Radio Okapi reprend cette phrase de la Céni hier : « vendredi, nous n'ouvrirons plus les bureaux de vote »… c'est désormais, comme l'écrit Le Phare, « l'heure du suspense. »Dans certains bureaux de vote, le dépouillement a commencéEn raison des retards expérimentés par certains bureaux de vote, c'est un peu la « cacophonie » note Jeune Afrique, « chaque camp étant déterminé à faire circuler, au plus vite, sur les réseaux sociaux, les estimations en sa faveur. » Quant à la Céni, elle a promis de publier les premiers résultats dès aujourd'hui.Wakat Séra fait la moue face à cette « précipitation qui peut paraître bien suspecte pour des élections aussi laborieuses dans leur organisation. »Une circonspection que JA tient à calmer d'entrée de jeu : « l'affichage des résultats bureau par bureau était l'une des exigences de l'opposition, seule manière selon elle de juger de la transparence du processus. » Le Phare de son côté s'enthousiasme même de cette rapidité, une première puisque « dans le passé, on prenait deux semaines pour publier les premiers résultats de manière brute. »L'attente des résultats succède donc à l'attente devant les bureaux de vote… encore un peu de patience !Également à la Une, les suites de l'affaire Norbert Zongo au Burkina FasoOn l'a appris jeudi : la France a abrogé le décret d'extradition concernant François Compaoré, principal suspect dans l'assassinat du journaliste burkinabè Norbert Zongo, il y a 25 ans.Pour rappel pourtant, signale Wakat Séra, c'est bien la France qui, en 2020, « avait autorisé l'extradition de François Compaoré vers le Burkina Faso. » Sauf qu'entre-temps, Paris a « embouché la même trompette que la Cour européenne des droits humains » selon laquelle une extradition exposerait François Compaoré à la violation de ses droits fondamentaux.De quoi ajouter de l'eau « au moulin des contempteurs de la France », grimace Aujourd'hui au Faso, car « beaucoup, qui auraient aimé le voir menotté et se défendant devant la justice à Ouagadougou, ne [seront] pas satisfaits. » Les deux pays sont désormais « en quasi divorce », leurs relations se sont gravement dégradées cette dernière année… et, prévoit le journal, la décision de ne pas extrader François Compaoré « rend encore plus corsées les relations France-Burkina. » Mais attention : cette décision ne signe pas la fin du procès. Car même si c'est « le clap de fin du chapitre de l'extradition », ce n'est pas « celui du jugement par contumace. » Une question : comment Vladimir Poutine reprend-il en main Wagner sur le continent ?Question à laquelle Jeune Afrique tâche de répondre ce vendredi au travers d'une longue enquête. On se souvient de cette image du drapeau du groupe de mercenaires russes, hissé haut sur le fort de Kidal au Mali. « Un symbole de victoire », un « message » adressé aux détracteurs des groupes, mais aussi un avertissement clair, estime JA : « Wagner est indispensable, et entend le montrer. » Une façon aussi de dire que malgré la mort de son chef historique, Evgueni Prigojine, cet été, le groupe paramilitaire n'a pas dit son dernier mot.En fait, au Mali, « le nombre de mercenaires présents a même légèrement augmenté depuis août », expose le magazine. Et puis, surtout, le groupe sort de l'ombre : terminées, « les missions et réunions secrètes à Moscou, Bamako ou Bangui. » Désormais, les responsables russes se déplacent au grand jour sur le continent. Là encore, assène JA, « le message est clair » : le Kremlin a repris les rênes et veut le faire savoir.Changement de visage donc, mais pas de méthodes ; ni au Mali, ni en Centrafrique, où le magazine constate que « le dispositif mis en place par Wagner (…) n'a quasiment pas changé » depuis la mort de son cofondateur. « La tête a été coupée, mais le corps fonctionne encore », raconte une source au magazine. Dit autrement : tout change pour que rien ne change.
Cela faisait des semaines que l'inquiétude montait quant à l'organisation du scrutin, ces craintes ont finalement été confirmées : la journée électorale d'hier, mercredi 20 décembre, a été « chaotique » pour de nombreux journaux et observateurs – Le Monde Afrique, Jeune Afrique… le terme se retrouve aussi dans les colonnes d'Actualite.cd.Retards d'ouverture, difficultés d'acheminement du matériel, parfois des violences... les « dysfonctionnements » ont été nombreux. Le Monde Afrique raconte ainsi les obstacles rencontrés dans plusieurs bureaux de Kinshasa : toujours pas de vote à 14 h dans le quartier Binza Delvaux ; des coupures d'électricité empêchant de lancer les machines à voter électroniques, arrivées déchargées (machines qui par ailleurs « étaient défectueuses dans 45 % des bureaux », note le quotidien) ; dans le quartier Basoko enfin, les électeurs étaient forcés d'attendre à l'ombre de gradins, puisque « à 15 heures, les machines n'étaient pas encore arrivées, pour une raison mystérieuse. »Et la capitale est loin d'être la seule à être concernée : « à Kisangani, raconte Actualite.cd, les électeurs sont toujours présents au centre de vote à la tombée de la nuit, utilisant des lampes torches » ; à Tshikapa, dans le Kasaï, Radio Okapi évoque de son côté une agression contre des agents de la Céni, une partie de la population « soupçonnant des agents (…) de vouloir modifier le vote ou de bourrer les urnes dans certains centres de vote. »Malgré tout, les élections tenues dans de nombreux bureaux Jeune Afrique le concède : même si les exemples de dysfonctionnements « sont loin d'avoir été des cas isolés, » « ils ne peuvent résumer à eux seuls la situation d'un pays qui compte plus de 75.000 centres de vote. » Par ailleurs, plusieurs journaux, dont Le Phare, se félicitent pour la motivation des électeurs et particulièrement que « le scrutin présidentiel a suscité le plus d'engouement », par rapport aux élections législatives et locales.Le Phare qui, dans un autre éditorial, va plus loin et, contre toute attente, se réjouit que les « prophètes de malheur » aient été « désillusionnés » : le site admet bien « quelques pépins techniques enregistrés par-ci par-là », quelques retards, mais martèle que « les élections se sont normalement déroulées sur l'ensemble du territoire national. »Prolongation du vote ce jeudiEt c'est bien le signe que tout ne s'est peut-être pas entièrement déroulé comme prévu. Cette mesure a été prise pour permettre aux électeurs, dont les bureaux de vote n'ont pas ouvert hier, de quand même pouvoir se prononcer.Sauf que cette décision suscite de nombreux questionnements. D'abord parce qu'il n'y a pas de cadre légal pour couvrir ce genre de situations. Ensuite, car, comme le déclare dans Jeune Afrique un membre de la mission d'observation de la conférence épiscopale nationale, les observateurs « n'ont pas mandat pour accompagner des élections chaotiques. » Et puis, le magazine s'interroge : « le prolongement du délai dans certains endroits suffira-t-il à permettre à tous les bureaux qui n'ont pas pu ouvrir le 20 décembre de le faire le 21 ? »Bref, soupire JA, « un large flou entoure désormais la suite du processus. »Des doutes sur la légitimité du scrutinC'est ce que craint, en tout cas, une bonne partie des observateurs, d'autant que l'expérience, dans d'autres pays, permet de craindre des débordements. « La RDC n'a pas le monopole de ces irrégularités », commente L'Observateur Paalga qui embraie : « ces dysfonctionnements entachent systématiquement la crédibilité des chiffres sortis des urnes », et peuvent entraîner « des crises post-électorales dont l'ampleur est souvent imprévisible. »Il y a ceux qui craignent des cafouillages, des erreurs dans le comptage des votes ; et puis il y a ceux qui s'inquiètent de fraudes : ainsi d'une opposition qui est, croit savoir Le Monde Afrique, « persuadée que les organes d'organisation, de contrôle et de certification du vote sont inféodées au pouvoir. » Radio Okapi rapporte d'ailleurs que, dans une déclaration commune, « cinq des dix-neuf candidats à la présidentielle (…) exigent la réorganisation des élections générales en RDC », avec une commission électorale remaniée pour l'occasion.À ce stade, le président de la Céni, Denis Kadima, a écarté toute prolongation supplémentaire du scrutin. Mais chacun reste sur le qui-vive et attend les prochains développements. Car, grimace enfin Le Monde Afrique, « c'est un peu comme dans la théorie du chaos : difficile de prévoir l'impact de petits problèmes initiaux sur le résultat final ».
Cela faisait des semaines que l'inquiétude montait quant à l'organisation du scrutin, ces craintes ont finalement été confirmées : la journée électorale d'hier, mercredi 20 décembre, a été « chaotique » pour de nombreux journaux et observateurs – Le Monde Afrique, Jeune Afrique… le terme se retrouve aussi dans les colonnes d'Actualite.cd.Retards d'ouverture, difficultés d'acheminement du matériel, parfois des violences... les « dysfonctionnements » ont été nombreux. Le Monde Afrique raconte ainsi les obstacles rencontrés dans plusieurs bureaux de Kinshasa : toujours pas de vote à 14 h dans le quartier Binza Delvaux ; des coupures d'électricité empêchant de lancer les machines à voter électroniques, arrivées déchargées (machines qui par ailleurs « étaient défectueuses dans 45 % des bureaux », note le quotidien) ; dans le quartier Basoko enfin, les électeurs étaient forcés d'attendre à l'ombre de gradins, puisque « à 15 heures, les machines n'étaient pas encore arrivées, pour une raison mystérieuse. »Et la capitale est loin d'être la seule à être concernée : « à Kisangani, raconte Actualite.cd, les électeurs sont toujours présents au centre de vote à la tombée de la nuit, utilisant des lampes torches » ; à Tshikapa, dans le Kasaï, Radio Okapi évoque de son côté une agression contre des agents de la Céni, une partie de la population « soupçonnant des agents (…) de vouloir modifier le vote ou de bourrer les urnes dans certains centres de vote. »Malgré tout, les élections tenues dans de nombreux bureaux Jeune Afrique le concède : même si les exemples de dysfonctionnements « sont loin d'avoir été des cas isolés, » « ils ne peuvent résumer à eux seuls la situation d'un pays qui compte plus de 75.000 centres de vote. » Par ailleurs, plusieurs journaux, dont Le Phare, se félicitent pour la motivation des électeurs et particulièrement que « le scrutin présidentiel a suscité le plus d'engouement », par rapport aux élections législatives et locales.Le Phare qui, dans un autre éditorial, va plus loin et, contre toute attente, se réjouit que les « prophètes de malheur » aient été « désillusionnés » : le site admet bien « quelques pépins techniques enregistrés par-ci par-là », quelques retards, mais martèle que « les élections se sont normalement déroulées sur l'ensemble du territoire national. »Prolongation du vote ce jeudiEt c'est bien le signe que tout ne s'est peut-être pas entièrement déroulé comme prévu. Cette mesure a été prise pour permettre aux électeurs, dont les bureaux de vote n'ont pas ouvert hier, de quand même pouvoir se prononcer.Sauf que cette décision suscite de nombreux questionnements. D'abord parce qu'il n'y a pas de cadre légal pour couvrir ce genre de situations. Ensuite, car, comme le déclare dans Jeune Afrique un membre de la mission d'observation de la conférence épiscopale nationale, les observateurs « n'ont pas mandat pour accompagner des élections chaotiques. » Et puis, le magazine s'interroge : « le prolongement du délai dans certains endroits suffira-t-il à permettre à tous les bureaux qui n'ont pas pu ouvrir le 20 décembre de le faire le 21 ? »Bref, soupire JA, « un large flou entoure désormais la suite du processus. »Des doutes sur la légitimité du scrutinC'est ce que craint, en tout cas, une bonne partie des observateurs, d'autant que l'expérience, dans d'autres pays, permet de craindre des débordements. « La RDC n'a pas le monopole de ces irrégularités », commente L'Observateur Paalga qui embraie : « ces dysfonctionnements entachent systématiquement la crédibilité des chiffres sortis des urnes », et peuvent entraîner « des crises post-électorales dont l'ampleur est souvent imprévisible. »Il y a ceux qui craignent des cafouillages, des erreurs dans le comptage des votes ; et puis il y a ceux qui s'inquiètent de fraudes : ainsi d'une opposition qui est, croit savoir Le Monde Afrique, « persuadée que les organes d'organisation, de contrôle et de certification du vote sont inféodées au pouvoir. » Radio Okapi rapporte d'ailleurs que, dans une déclaration commune, « cinq des dix-neuf candidats à la présidentielle (…) exigent la réorganisation des élections générales en RDC », avec une commission électorale remaniée pour l'occasion.À ce stade, le président de la Céni, Denis Kadima, a écarté toute prolongation supplémentaire du scrutin. Mais chacun reste sur le qui-vive et attend les prochains développements. Car, grimace enfin Le Monde Afrique, « c'est un peu comme dans la théorie du chaos : difficile de prévoir l'impact de petits problèmes initiaux sur le résultat final ».
durée : 00:04:46 - Le Phare de Contis fête ses 160 ans d'Histoire, le seul des Landes
Les électeurs tchadiens étaient en tout cas invités à se rendre aux urnes pour le référendum autour d'une nouvelle Constitution. Mais en dépit de plusieurs semaines de campagne, peu de votants ont fait le déplacement, y compris dans la capitale, rapporte Ial Tchad. Que ce soit, rapporte le journal, « dans le 2e arrondissement, dans le 3e, le 6e ou encore le 9e arrondissement de Ndjamena, pas d'électeurs alignés : il n'y a que les agents de bureau de vote avec quelques observateurs » qui entourent les urnes et les bulletins. Un agent rencontré par le site raconte que « sur 439 électeurs inscrits, il n'y a qu'une trentaine de votants ».Il s'agit même, poursuit une source interrogée par Tchad Infos, d'un « désert électoral », véritable « désaveu des Tchadiens ». Et une chose est sûre, indique Wakat Séra : on est bien « loin des 80% escomptés par les maîtres militaires par intérim du Tchad ! » et ce « malgré les moyens financiers et matériels » ainsi que « le large ratissage opéré au sein des partis politiques, des chefs traditionnels et de la société de façon générale ». Alors, même si les chiffres de participation ne sont pas encore connus, pour Tchad Infos, « le manque d'engouement constaté (...) suscite des préoccupations quant à la légitimité des résultats » qui découleront de ce vote.Plusieurs journaux croient déjà connaître les résultatsPour de nombreux titres dont L'Observateur Paalga au Burkina Faso, c'est sûr : « Les résultats de ce référendum seront sans surprise, le "oui" étant sûr de l'emporter. » Oui à la proposition de nouvelle Constitution qui défend un État unitaire, face à des fédéralistes appelés à boycotter en masse le scrutin. L'Observateur, dans le fond, est du même avis que ses collègues tchadiens : pour « la sincérité du scrutin, le sérieux des acteurs politiques (...), et la réalité de l'exercice démocratique du pouvoir, (...) il faudra repasser ». Mais qu'importe. « Les apparences seront sauves » et surtout le pouvoir fait « avec ce référendum, de grands pas vers la légitimation républicaine de son pouvoir. »Et ce d'autant plus que le gouvernement de Mahamat Idriss Déby a pu bénéficier d'un soutien inattendu : celui de l'opposant Succès Masra, pendant longtemps l'un des plus farouches critiques du pouvoir. Il faut dire, analyse Wakat Séra, que, poursuivi par la justice tchadienne, Succès Masra « n'a dû son retour à Ndjamena qu'à des négociations avec le régime de transition dirigé par le général Mahamat Idriss Déby ». Du coup, poursuit le titre, « son revirement pour le "oui" au référendum a vite été considéré comme un retour de service rendu, au profit du pouvoir de la transition ». Mais il y a peut-être du positif à en tirer, conclut le journal burkinabè : « Il faut […] espérer que la nouvelle Constitution contribue à accélérer la fin de la transition. »Élections générales en RDCPlus que quelques heures avant la fin de la campagne en vue du triple scrutin de ce mercredi. Et malgré les rumeurs de report, liées aux difficultés logistiques rencontrés par le pouvoir, Le Phare Online précise que la Céni a souhaité « tordre le cou aux rumeurs » et « confirmer la tenue des élections générales ». Pas d'inquiétude. Le Phare précise encore que « le déploiement des kits électoraux est effectué à environ 95% sur l'ensemble du territoire national ».Bref, tout est réuni pour que la vingtaine de candidats clôturent leur campagne ce soir – de toute façon, rappelle Jeune Afrique, le président sortant Félix Tshisekedi « tient fermement à ce que le calendrier soit respecté » car, croit savoir le magazine, « il espère effacer les doutes qui continuent d'entourer le vote de 2018 ». Des doutes qui ont « pollué les premières années de son mandat… »Un caillou dans la chaussure du président sortant aussi : l'ombre de Joseph Kabila, qui conservait, rappelle Le Monde Afrique, « à l'heure de l'intronisation de Félix Tshisekedi, une représentation parlementaire conséquente », lui donnant un « poids politique » conséquent. Et même si l'ancien président, taiseux, garde désormais le silence… Le Monde Afrique se prépare à une éventuelle réapparition. Forcés à faire « l'exégèse de ses silences, livrés à eux-mêmes », les partisans de l'ancien chef d'État continuent d'espérer, d'autant que Joseph Kabila s'est récemment, et publiquement, réconcilié avec Moïse Katumbi, l'un des principaux challengers du sortant. Bref, conclut un observateur, même si « Joseph Kabila est affaibli (…) il a de beaux restes ». À bon entendeur.
Les électeurs tchadiens étaient en tout cas invités à se rendre aux urnes pour le référendum autour d'une nouvelle Constitution. Mais en dépit de plusieurs semaines de campagne, peu de votants ont fait le déplacement, y compris dans la capitale, rapporte Ial Tchad. Que ce soit, rapporte le journal, « dans le 2e arrondissement, dans le 3e, le 6e ou encore le 9e arrondissement de Ndjamena, pas d'électeurs alignés : il n'y a que les agents de bureau de vote avec quelques observateurs » qui entourent les urnes et les bulletins. Un agent rencontré par le site raconte que « sur 439 électeurs inscrits, il n'y a qu'une trentaine de votants ».Il s'agit même, poursuit une source interrogée par Tchad Infos, d'un « désert électoral », véritable « désaveu des Tchadiens ». Et une chose est sûre, indique Wakat Séra : on est bien « loin des 80% escomptés par les maîtres militaires par intérim du Tchad ! » et ce « malgré les moyens financiers et matériels » ainsi que « le large ratissage opéré au sein des partis politiques, des chefs traditionnels et de la société de façon générale ». Alors, même si les chiffres de participation ne sont pas encore connus, pour Tchad Infos, « le manque d'engouement constaté (...) suscite des préoccupations quant à la légitimité des résultats » qui découleront de ce vote.Plusieurs journaux croient déjà connaître les résultatsPour de nombreux titres dont L'Observateur Paalga au Burkina Faso, c'est sûr : « Les résultats de ce référendum seront sans surprise, le "oui" étant sûr de l'emporter. » Oui à la proposition de nouvelle Constitution qui défend un État unitaire, face à des fédéralistes appelés à boycotter en masse le scrutin. L'Observateur, dans le fond, est du même avis que ses collègues tchadiens : pour « la sincérité du scrutin, le sérieux des acteurs politiques (...), et la réalité de l'exercice démocratique du pouvoir, (...) il faudra repasser ». Mais qu'importe. « Les apparences seront sauves » et surtout le pouvoir fait « avec ce référendum, de grands pas vers la légitimation républicaine de son pouvoir. »Et ce d'autant plus que le gouvernement de Mahamat Idriss Déby a pu bénéficier d'un soutien inattendu : celui de l'opposant Succès Masra, pendant longtemps l'un des plus farouches critiques du pouvoir. Il faut dire, analyse Wakat Séra, que, poursuivi par la justice tchadienne, Succès Masra « n'a dû son retour à Ndjamena qu'à des négociations avec le régime de transition dirigé par le général Mahamat Idriss Déby ». Du coup, poursuit le titre, « son revirement pour le "oui" au référendum a vite été considéré comme un retour de service rendu, au profit du pouvoir de la transition ». Mais il y a peut-être du positif à en tirer, conclut le journal burkinabè : « Il faut […] espérer que la nouvelle Constitution contribue à accélérer la fin de la transition. »Élections générales en RDCPlus que quelques heures avant la fin de la campagne en vue du triple scrutin de ce mercredi. Et malgré les rumeurs de report, liées aux difficultés logistiques rencontrés par le pouvoir, Le Phare Online précise que la Céni a souhaité « tordre le cou aux rumeurs » et « confirmer la tenue des élections générales ». Pas d'inquiétude. Le Phare précise encore que « le déploiement des kits électoraux est effectué à environ 95% sur l'ensemble du territoire national ».Bref, tout est réuni pour que la vingtaine de candidats clôturent leur campagne ce soir – de toute façon, rappelle Jeune Afrique, le président sortant Félix Tshisekedi « tient fermement à ce que le calendrier soit respecté » car, croit savoir le magazine, « il espère effacer les doutes qui continuent d'entourer le vote de 2018 ». Des doutes qui ont « pollué les premières années de son mandat… »Un caillou dans la chaussure du président sortant aussi : l'ombre de Joseph Kabila, qui conservait, rappelle Le Monde Afrique, « à l'heure de l'intronisation de Félix Tshisekedi, une représentation parlementaire conséquente », lui donnant un « poids politique » conséquent. Et même si l'ancien président, taiseux, garde désormais le silence… Le Monde Afrique se prépare à une éventuelle réapparition. Forcés à faire « l'exégèse de ses silences, livrés à eux-mêmes », les partisans de l'ancien chef d'État continuent d'espérer, d'autant que Joseph Kabila s'est récemment, et publiquement, réconcilié avec Moïse Katumbi, l'un des principaux challengers du sortant. Bref, conclut un observateur, même si « Joseph Kabila est affaibli (…) il a de beaux restes ». À bon entendeur.
Actualités Locales : - Les nouvelles structures de pédospychiatrie Le Phare et de psychiatrie adulte Liberté ont été inaugurés ce lundi 20 novembre- L'association caritative Aidons-nous LH va offrir un repas chaud servi à table aux plus démunis- La SNCF va installer des espaces de santé dans 300 de ses gares à travers la France- Grande roue, carrousel, marché, exposition : le coup d'envoi des animations de « Noël au Havre » sera donné le vendredi 1er décembre 2023- Les Rockeurs ont du coeur sont de retour au CEM ce samedi 02 décembreOn parle aussi d'espace avec une toute nouvelle émission sur Ouest Track en partenariat avec le CNES : Raconte-moi l'espaceBonne écoute !
Où l'on parle de Nicolas Bedos mais aussi de LA MORT.
durée : 00:05:14 - Dans la playlist de France Inter - Étienne Daho a chanté, chante l'amour, souvent, toujours. Le grand sommeil, Duel au soleil, Weekend à Rome, L'adorer, le thème amoureux parcoure nombre de textes du chanteur. Son dernier titre, Le Phare, ralluem la flamme à son tour avec le thème du coup de foudre version Daho 2023.
La chronique « Ça c'était là avant », tous les jours à 8h45 on vous fait découvrir un bâtiment ou monument alsacien, et surtout ce qui était là avant ce qui s'y trouve. (Exemple avec le Foot Locker, qui était avant un cinéma). - Nous nous sommes rendus cette fois-ci du côté du Phare Citadelle pour vous faire découvrir son utilité, avant de servir aujourd'hui comme point de rassemblement.
durée : 00:01:42 - Le Phare de Contis
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A 12 milles de Nouméa, Amédée marque l'entrée dans le lagon calédonien par la passe de Boulari. Construit en France en 1862, le phare a été démonté pour être transporté, puis reconstruit en Nouvelle-Calédonie. Découverte de l'histoire originale de ce Monument Historique. 👉 Lire l'article et voir les photos. En savoir plus sur les sujets abordés dans cet épisode : Nouvelle-Calédonie Phare Le magazine Bateaux.com apporte un éclairage nouveau aux plaisanciers au travers de 12 chaines d'information : Voilier.com MotorBoat.fr SemiRigide.com Multicoque.com Regate.com NavigationFluviale.com GrandeCroisiere.com Conseils Techniques Equipement et Accastillage SuperYachts.fr Culture Nautique GlisseNews.com Avec une diffusion en 5 langues (Français 🇫🇷, Anglais 🇺🇸, Allemand 🇩🇪, Italien 🇮🇹 et Espagnol 🇪🇸) et un lectorat reparti dans plus de 140 pays 🌍, Bateaux.com est considéré comme la première commaunauté de plaisanciers avec le réseau social dédié au nautisme Yacht-Club.com. Bateaux.com est édité de concert avec le magazine BoatIndustry.fr à destination des professionnels de la plaisance 🇫🇷, qui se décline à l'international avec BoatIndustry.de pour l'allemand 🇩🇪, BoatIndustry.com pour l'anglais 🇺🇸, BoatIndustry.es pour l'espagnol 🇪🇸 et BoatIndustry.it pour l'italien 🇮🇹. ✉️ N'hésitez pas à nous envoyer un commentaire ou une news en cliquant ici. 👉 Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles si l'information vous a plu 🙏.
Le média congolais 7 sur 7 résume ce que l'on sait : « L'ancien ministre des Transports et Voies de Communication a été retrouvé mort hier à bord de son véhicule. »Jeune Afrique précise que « son corps, criblé de balles, était sur le siège conducteur de la voiture. […] La police scientifique est intervenue dans la matinée sur la scène du crime. »Le Phare rappelle que Chérubin Okende a disparu « mercredi après-midi, après avoir fait déposer un courrier à la Cour constitutionnelle. Il a été retrouvé mort la nuit suivante, vers 2 heures du matin, dans sa jeep abandonnée devant un garage situé sur l'avenue des Poids Lourds ».Pour le quotidien, trop de « zones d'ombres » entourent cet assassinat, à commencer par la présence ou non de Chérubin Okende à la Cour constitutionnelle. Politico rappelle que la veille de son meurtre, « il était convoqué à la Haute Cour pour être auditionné sur ses patrimoines après son passage à la tête du ministère des Transports. Sur place, il a demandé à son garde du corps de déposer son courrier demandant un report de 24h », selon le journal.L'ancien ministre est-il réellement passé par la Cour constitutionnelle ?7 sur 7 confirme que la Cour a bien invité Chérubin Okende. Mais elle ne peut pas confirmer qu'il y est physiquement passé mercredi. Radio Okapi se fait d'ailleurs l'écho de l'appel à témoins lancé par le président de la cour constitutionnelle le 13 juillet : il demande « à toute personne qui aurait vu le porte-parole d'Ensemble pour la République de collaborer avec la justice ».En attendant, Jeune Afrique précise « qu'une enquête préliminaire est en cours ». Un suspect a d'ailleurs déjà été arrêté, selon Le Phare : il s'agit du garde du corps de Chérubin Okende. Cet assassinat provoque une cascade de réactions et de questionsEt notamment du côté de la presse burkinabè où WakatSera se demande s'il s'agit de « la mort de trop pour le pouvoir de Tshisekedi ? », alors qu'Aujourd'hui au Faso pose la question de savoir s'il s'agit « d'un crime crapuleux ou politique ? »Une chose est sûre selon les avocats de Salomon Kalonda, autre proche de Moise Katumbi inquiété lui par la justice congolaise : « Un point de basculement a été atteint en RDC. » Cités par le Congo libéré, ils s'étonnent de « l'enlèvement de Chérubin Okende sur le parking de la Cour constitutionnelle. Ce n'est pas un endroit sombre, une ruelle ». Le quotidien relaye la réaction sur Twitter de Moise Katumbi qui parle de « crime d'état ».Ensemble pour la République charge le régime en place, constate 7 sur 7 qui relaye la déclaration faite le 13 juillet à la presse depuis Kinshasa : « Cet assassinat rappelle les vielles pratiques dictatoriales des régimes aux abois. » Sur le site d'information Actualité, un analyste politique parle d'un « virage très dangereux à la fois sur le plan sécuritaire et sur le plan politique » après la mort de Chérubin Okende.Pour lui, « cette tragédie vient ajouter une dose de psychose dans un environnement sociopolitique déjà très incertain ici à Kinshasa et dans l'ensemble du pays. Elle met aussi en lumière le climat d'insécurité généralisé et à cinq mois des élections et soulève des préoccupations majeures sur l'exercice du jeu démocratique dans le pays ».De son côté, le pouvoir congolais l'assure : il veut connaître la vérité sur cette affaire. Le Phare se fait l'écho de la réaction de Felix Tshisekedi après cet assassinat : le président congolais « enjoint la justice à faire toute la lumière sur ce dossier afin de sanctionner les coupables de cet acte ignoble ».CAS-Info relaye les propos du ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya, qui s'exprimait à l'issue d'une réunion de sécurité avec le Premier ministre. « Nous sommes tous sous le choc, le président de la République en premier, le Premier ministre et nous tous membres du gouvernement, y compris toutes les autorités réunies ici mais aussi sûrement toute la communauté congolaise de voir cet acte ignoble contre l'un de nos collègues. »Le Phare qui conclut : « Tant que va persister le flou, les accusations et contre-accusations vont continuer de circuler en désordre, dans tous les sens. »
Le média congolais 7 sur 7 résume ce que l'on sait : « L'ancien ministre des Transports et Voies de Communication a été retrouvé mort hier à bord de son véhicule. »Jeune Afrique précise que « son corps, criblé de balles, était sur le siège conducteur de la voiture. […] La police scientifique est intervenue dans la matinée sur la scène du crime. »Le Phare rappelle que Chérubin Okende a disparu « mercredi après-midi, après avoir fait déposer un courrier à la Cour constitutionnelle. Il a été retrouvé mort la nuit suivante, vers 2 heures du matin, dans sa jeep abandonnée devant un garage situé sur l'avenue des Poids Lourds ».Pour le quotidien, trop de « zones d'ombres » entourent cet assassinat, à commencer par la présence ou non de Chérubin Okende à la Cour constitutionnelle. Politico rappelle que la veille de son meurtre, « il était convoqué à la Haute Cour pour être auditionné sur ses patrimoines après son passage à la tête du ministère des Transports. Sur place, il a demandé à son garde du corps de déposer son courrier demandant un report de 24h », selon le journal.L'ancien ministre est-il réellement passé par la Cour constitutionnelle ?7 sur 7 confirme que la Cour a bien invité Chérubin Okende. Mais elle ne peut pas confirmer qu'il y est physiquement passé mercredi. Radio Okapi se fait d'ailleurs l'écho de l'appel à témoins lancé par le président de la cour constitutionnelle le 13 juillet : il demande « à toute personne qui aurait vu le porte-parole d'Ensemble pour la République de collaborer avec la justice ».En attendant, Jeune Afrique précise « qu'une enquête préliminaire est en cours ». Un suspect a d'ailleurs déjà été arrêté, selon Le Phare : il s'agit du garde du corps de Chérubin Okende. Cet assassinat provoque une cascade de réactions et de questionsEt notamment du côté de la presse burkinabè où WakatSera se demande s'il s'agit de « la mort de trop pour le pouvoir de Tshisekedi ? », alors qu'Aujourd'hui au Faso pose la question de savoir s'il s'agit « d'un crime crapuleux ou politique ? »Une chose est sûre selon les avocats de Salomon Kalonda, autre proche de Moise Katumbi inquiété lui par la justice congolaise : « Un point de basculement a été atteint en RDC. » Cités par le Congo libéré, ils s'étonnent de « l'enlèvement de Chérubin Okende sur le parking de la Cour constitutionnelle. Ce n'est pas un endroit sombre, une ruelle ». Le quotidien relaye la réaction sur Twitter de Moise Katumbi qui parle de « crime d'état ».Ensemble pour la République charge le régime en place, constate 7 sur 7 qui relaye la déclaration faite le 13 juillet à la presse depuis Kinshasa : « Cet assassinat rappelle les vielles pratiques dictatoriales des régimes aux abois. » Sur le site d'information Actualité, un analyste politique parle d'un « virage très dangereux à la fois sur le plan sécuritaire et sur le plan politique » après la mort de Chérubin Okende.Pour lui, « cette tragédie vient ajouter une dose de psychose dans un environnement sociopolitique déjà très incertain ici à Kinshasa et dans l'ensemble du pays. Elle met aussi en lumière le climat d'insécurité généralisé et à cinq mois des élections et soulève des préoccupations majeures sur l'exercice du jeu démocratique dans le pays ».De son côté, le pouvoir congolais l'assure : il veut connaître la vérité sur cette affaire. Le Phare se fait l'écho de la réaction de Felix Tshisekedi après cet assassinat : le président congolais « enjoint la justice à faire toute la lumière sur ce dossier afin de sanctionner les coupables de cet acte ignoble ».CAS-Info relaye les propos du ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya, qui s'exprimait à l'issue d'une réunion de sécurité avec le Premier ministre. « Nous sommes tous sous le choc, le président de la République en premier, le Premier ministre et nous tous membres du gouvernement, y compris toutes les autorités réunies ici mais aussi sûrement toute la communauté congolaise de voir cet acte ignoble contre l'un de nos collègues. »Le Phare qui conclut : « Tant que va persister le flou, les accusations et contre-accusations vont continuer de circuler en désordre, dans tous les sens. »
Comment tout à la fois, lutter contre la pauvreté et le réchauffement climatique ? C'est le défi du Forum de Paris. Appelant à une « mobilisation » pour les taxations internationales, la France va réallouer aux pays pauvres 40% de ses droits de tirage spéciaux, c'est-à-dire la monnaie-maison dont elle dispose dans les comptes du Fonds monétaire international. Hier, déjà, une annonce, le rééchelonnement de la dette publique zambienne. À Lusaka, la capitale, le News Diggers applaudit. Le site de ce quotidien zambien rapporte les félicitations de la directrice générale du Fonds monétaire international à son « cher frère », le président zambien Hakainde Hichilema. « Vous ne rembourserez pas votre dette », lui a dit hier Kristalina Georgieva, s'enthousiasme le News Diggers. Félicitations également du site Le Djély. Lequel « se réjouit pour la Zambie, en défaut de paiement depuis 2020 ».Les leçons de Mahamat Idriss DébyChangement de ton, en revanche, de ce journal guinéen, au sujet de Mahamat Idriss Déby. À la tribune du Forum de Paris, hier, le président de la transition tchadienne a appelé à la « suppression pure et simple de la dette des pays africains pour compenser les dégâts énormes causés par les dérèglements climatiques », Le Djély, trouve anormal que Mahamat Idriss Déby soit « accueilli dans tous les cénacles, comme s'il était un dirigeant ordinaire » alors qu'au Mali, le président de la transition « Assimi Goïta est cloué au pilori à tout bout-de-champ ».Si Emmanuel Macron « déroule le tapis rouge et sert ainsi de parrain à un dirigeant dont tous les opposants sont contraints à l'exil », Le Djély se demande « en quoi une telle attitude serait (…) si différente de l'approche russe ou de la Chine ? », bucheronne Le Djély. Un et indivisible Mali ?C'est aujourd'hui, à Bamako, que l'Autorité indépendante de gestion des élections doit annoncer les résultats du référendum constitutionnel de dimanche dernier. Dans un communiqué, hier, les groupes armés signataires de l'accord de paix de 2015 affirmaient que le scrutin n'avait pas été organisé dans les zones qu'ils contrôlent, notamment dans la région de Kidal.Et dans l'attente des résultats de ce référendum constitutionnel, ce matin, à Bamako, le quotidien Malikilé, en Une, rapporte l'opposition « ferme » des groupes armés réunis au sein du Cadre Stratégique Permanent pour la paix, la sécurité et le développement. Lequel « ne reconnaît pas la constitution en raison des irrégularités qui ont entaché le processus » et se dit convaincu que « le retrait de la Minusma sera "un coup fatal" porté à l'Accord pour la paix (et une) menace pour la sécurité au Mali et dans toute la région », énonce Malikilé.Qui veut la peau de Matata au Congo ?En République démocratique du Congo, l'ancien Premier Ministre Matata Mponyo est poursuivi pour un détournement présumé de plus de 200 millions de dollars américains destinés au projet du parc agro-alimentaire de Bukangalonzo. Candidat déclaré à l'élection présidentielle du 20 décembre, cet actuel sénateur d'opposition, Matata Mponyo a récusé hier le procureur général près la cour constitutionnelle qu'il accuse d'être instrumentalisées pour l'éliminer de la course à la magistrature suprême, tout comme il avait auparavant traduit en justice le président du Sénat Modeste Bahati pour atteinte à ses droits. Pour bien comprendre cette procédure, le quotidien congolais Le Phare signalait avant son annonce que Matata Ponyo « continue » d'être privé de ses « immunités » depuis leur levée il y a près de deux ans. « Par conséquent, le Sénat considère qu'Augustin Matata Ponyo reste à la disposition de la justice, qui peut actionner le levier des poursuites judiciaires à tout moment ». Dont acte.Résultat, « Félix Thsisekedi s'acharne-t-il contre Augustin Matata Ponyo ? », se demande Afrik.com. Prudemment, ce journal africain en ligne se borne à souligner qu'à quelque six mois de l'élection présidentielle, « la tension monte de plus en plus en République Démocratique du Congo ».
Dans Podcast+, Jean-Jacques Deleeuw reçoit ce 6 juin Herve Brindel pour parler de "Raconter les environnements sonores", une série d'initiatives traitant du field recording dont une exposition et des conférences à la bibliothèque "Le Phare" à Uccle.
Sommaire du 5 à 6 du 30 Mai 202317h - 17h15 : actu et météo17h15 - 17h30 : Partenariat Férarock17h30 - Fin : On parle de la programmation estivale du Phare
L'Association des Stomisés Richelieu-Yamaska, Le Phare, Saint-Hyacinthe et régions et Les Amis du Crépuscule se sont associés pour organiser la conférence Mener la danse en santé mentale avec Florence K qui se tiendra le 1er mai prochain à 19h15. En entrevue dans le Club Sandwich, Jacques Beaudreault, Emy Pion et Alain Pelletier nous ont parlé de l'événement-bénéfice et de l'importance de l'accès aux soins et services en santé mentale.See omnystudio.com/listener for privacy information.
La Cove Communauté d'Agglomération Ventoux Comtat Venaissin a présenté ce mardi 07 février un point d'étape du projet "Le Phare - La Maison des familles" au cinéma Le Rivoli à Carpentras. Au programme : Présentation du projet par l'architecte lauréat du concours et présentation de la méthode et du travail issu de la communauté d'acteurs. Le début des travaux est prévu fin 2023 avec une livraison du bâtiment en février 2025 et un coût total de 5 073 344 euros hors acquisition de terrain . Si vous souhaitez en savoir plus rendez-vous sur le site de la Cove . À nos micros Elodie Coll Directrice du pôle cohésion sociale à la Cove et Adrien Champsaur de UNIC Architecture. ⬇️
À un an de l'élection présidentielle, l'ancien Premier ministre Augustin Matata, l'opposant Martin Fayulu et le Prix Nobel de la paix Denis Mukwege, ont publié le 27 décembre, une déclaration commune contre l'actuel président et son gouvernement. Les trois personnalités dépeignent un sombre tableau de la situation en RDC. « "Il n'est jamais trop tard pour bien faire", clament les trois signataires, rapporte la Libre Afrique. Cette déclaration commune n'est pas passée inaperçue au lendemain du début chaotique de la première vague des enregistrements des électeurs dans la perspective du scrutin du 20 décembre 2023. Cette charge contre le régime de Félix Tshisekedi, pointe la Libre Afrique, épingle aussi bien le manque de leadership du président, que les innombrables atteintes aux libertés individuelles, le non-respect fréquent de la Constitution par la présidence congolaise, l'échec de l'état de siège dans le Nord-Kivu et l'Ituri, l'externalisation de la sécurisation du pays ou les dérives de la Commission électorale nationale indépendante. […] Si les deux premiers signataires, Augustin Matata et Martin Fayulu, ont annoncé leur intention de se présenter à la présidentielle, la position de Denis Mukwege ne semble pas encore arrêtée », précise encore la Libre Afrique. Un attelage troublant ? Le site congolais Actu CD n'est guère convaincu par l'initiative des trois personnalités : « en République démocratique du Congo, le ridicule ne tue pas, affirme Actu CD. Les politiques congolais sont capables de tout jusqu'à descendre leurs culottes au nom du ventre. L'Alliance Mukwege-Fayulu-Matata vise à faire bloc contre Tshisekedi. […] Question : le rideau de fer formé par les trois hommes saura-t-il tenir devant la machine de l'actuel chef de l'État ? » « Fayulu–Matata–Mukwege : un attelage troublant ! », renchérit Le Phare à Kinshasa. Le Phare qui passe en revue le passé des trois hommes et qui s'attarde surtout sur celui l'ancien Premier ministre kabiliste. « Il est surprenant, affirme le quotidien kinois, que Matata puisse pointer un doigt accusateur sur l'actuel pouvoir dans le dossier de l'insécurité récurrente à l'est du pays […]. Qu'il plaise à l'opinion de rappeler à ce sénateur qu'il était Premier ministre, lors de la prise et de l'occupation de la ville de Goma en novembre 2012. […] Et s'agissant du secteur des droits de l'homme, c'est sous Matata que des dizaines des manifestants avaient été massacrés en janvier 2015 pour avoir protesté contre la révision constitutionnelle et le recensement préalable avant les élections qui auraient dû avoir lieu en décembre 2016. Et s'il y a un autre rappel à faire sous le mandat de Matata, rapporte encore Le Phare, c'est la tentative d'assassinat du docteur Denis Mukwege, dans sa résidence de Bukavu, un certain 25 octobre 2012. » Situations anormales ? En tout cas, remarque WakatSéra au Burkina, « le chapelet des récriminations égrené contre le président de la RD Congo par les trois leaders est des plus longs, notamment la rupture des relations avec le Rwanda, accusé de porter à bout de bras les rebelles du M23. Si Denis Mukwege se défend, en toute logique, de s'associer à une candidature commune contre Tshisekedi, il n'en demeure pas moins que sa détermination est grande dans ce combat commun contre "des situations anormales par rapport aux institutions de la république". Matata et Fayulu, les deux hommes politiques, sont encore loin de cette candidature unique qu'ils évitent cependant d'écarter. S'il faut ajouter à ces deux probables challengers du président actuel, le richissime homme d'affaires Moïse Katumbi, candidat déclaré et d'autres, on peut dire, sans aucun risque de se tromper, conclut WakatSéra, que "Fatshi" va se taper bien des nuits blanches jusqu'au 20 décembre 2023, date de la prochaine présidentielle. » Tshisekedi doit-il se remettre en cause ? Et justement, pour Le Pays, toujours au Burkina, « Félix Tshisekedi doit se remettre en cause. […] Et cela passe par un examen minutieux des questions soulevées par l'opposition. Et la première de ces questions, c'est la construction d'une armée nationale efficace et performante en mesure de reconquérir le territoire national. […] La seconde revendication est la mise en œuvre d'un processus électoral inclusif et transparent qui puisse accoucher d'un scrutin apaisé et accepté de tous. Il y va de la paix sociale dans le pays. Car, tous gardent encore en mémoire les violences meurtrières qui ont précédé les élections qui ont porté Félix Tshisekedi lui-même au pouvoir. »
Entrevue avec Ariane Parent-Lemay, directrice des soins et services ET Karine Philipps, maman du Phare : chaque année, on peut donner notre fête en cadeau afin de faire une différence dans la vie des enfants gravement malades et de leur famille. Tous ceux et celles qui participent à « Donner ma fête en cadeau » peuvent proposer à leurs proches de faire un don en ligne pour le Phare, Enfants et Familles et maison de soins palliatifs pédiatriques. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Entrevue avec Ariane Parent-Lemay, directrice des soins et services ET Karine Philipps, maman du Phare : chaque année, on peut donner notre fête en cadeau afin de faire une différence dans la vie des enfants gravement malades et de leur famille. Tous ceux et celles qui participent à « Donner ma fête en cadeau » peuvent proposer à leurs proches de faire un don en ligne pour le Phare, Enfants et Familles et maison de soins palliatifs pédiatriques. Chronique de Steve E. Fortin, chroniqueur et blogueur au Journal de Montréal Journal de Québec : deux suggestions d'œuvres en lien avec le jour du Souvenir. La rencontre Nantel-Durocher avec Guy Nantel : la maltraitance animale au Québec. Entrevue avec Maxime Laporte, président du Mouvement Québec français : le média anglophone Toronto Star a mis le blâme de la pénurie de Tylenol et d'Advil pour enfants sur le bilinguisme canadien. Selon eux, l'exigence d'étiquettes bilingues serait un des facteurs qui contribuerait à la crise. Une production QUB radioNovembre 2022Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les personnes ayant participé aux manifestations meurtrières de la semaine dernière à Conakry à l'appel du FNDC, pour exiger une gestion transparente de la transition, vont être traduites en justice. Le 1er août, déjà trois responsables politiques ont été inculpés et placés sous mandat de dépôt. Et mardi 2 août, rapporte Africa Guinée, « le Parquet Spécial près le Tribunal pour enfants de Conakry a annoncé l'ouverture d'une information judiciaire contre 56 personnes, interpelées suite à la manifestation du FNDC ». Majoritairement des jeunes : « 34 d'entre eux étaient mineurs, dont cinq âgés de moins de 13 ans. Le Parquet s'est abstenu à engager des poursuites pénales contre ceux-ci ». Pour les autres, « une information judiciaire pour des faits d'attroupement et de destruction de biens publics et privés a été ouverte. » Réaction d'Amnesty International reprise par Guinée News, après ces différentes décisions de justice : l'organisation de défense des droits humains « dénonce de nouvelles détentions arbitraires et l'usage excessif de la force après l'emprisonnement des leaders du FNDC. L'ONG de défense et de promotion des Droits de l'homme invite les autorités guinéennes à mettre fin à ces pratiques. » Le 2 août aussi, le ministre de la Justice et des Droits de l'homme, garde des Sceaux, Alphonse Charles Wright, a brandi une nouvelle fois la menace d'interdire les activités du Front national pour la défense de la Constitution. Qu'en pense la population ? Ledjely a posé la question à plusieurs citoyens. Une démarche jugée « improductive » pour l'un, « un abus de pouvoir » pour l'autre. L'article conclut : « le bras de fer politico-judiciaire entre l'ancien chef du parquet de la Cour d'appel et les responsables du mouvement anti-troisième mandat est loin de connaître son épilogue. » Les tensions et les violences perdurent dans l'Est de la RDC, contre la Monusco Près d'une semaine après les manifestations contre la Mission d'organisation des Nations unies, 7SUR7.CD s'est rendu dans la ville de Butembo et observe un « retour au calme ». « Boutiques, magasins, banques, stations-services et autres services ont rouvert leurs portes », « la circulation a repris » et « l'ambiance habituelle » est revenue. Mais le problème n'est pas réglé pour autant. Le quotidien burkinabè Aujourd'hui au Faso met en garde : « Pour ceux qui pensaient à une accalmie, voire à un armistice entre le gouvernement et la Monusco, ils risquent d'avoir tout faux. » Évoquant la réunion au plus haut sommet sur le sujet dans la nuit de lundi à mardi, l'article poursuit« apparemment, la RDC parait peu satisfaite des prestations des soldats de l'ONU ». Le Phare parle de « gaffe de trop » de la part de la Monusco, suite aux derniers événements à Kasindi et conclut : « Réclamé dans un climat de tension, le retrait de la Monusco de la RDC risque de se passer dans la grande précipitation. À qui la faute ? » Mort du chef d'al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri Il a été tué par les États-Unis lors d'une frappe aérienne. « Quel effet pour les Africains ? », s'interroge le média burkinabè WakatSéra qui répond dans la foulée : « Symbolique et pas plus ! ». Et poursuit : « Si les dividendes récoltés par les locataires de la Maison Blanche dans ces genres d'opérations sont énormes, car servant à rehausser leur cote de popularité de chefs de guerre capables de défendre leur tribu, l'Afrique, elle peut, tout au plus, se réjouir de voir un de ses bourreaux éliminé. Mais en même temps, elle est consciente que la tête de l'hydre décapitée repoussera presque aussitôt, et que ce sont des événements qui rendent comme davantage farouches les combattants endeuillés. [...] Comme la mort de Ben Laden à laquelle survit le terrorisme, celle de Ayman al-Zawahiri, loin d'être anecdotique, ne sonne pas, en tout cas pas pour les Africains, la mort de l'hydre terroriste. » Bien que reconnaissant la « capacité d'organisation et de nuire fortement avérées » d'Ayman al-Zawahiri, Aujourd'hui au Faso nuance aussi la portée de cet événement. « Ce sont des neutralisations symboliques, qui ont un coup sur les jihadistes, mais étêter une katiba n'a jamais été un gros problème, puisqu'il est aussitôt remplacé. Et le terrorisme continue. »
Aujourd'hui, je reçois Fouad Boussouf, danseur, chorégraphe, directeur du Centre Chorégraphique National du Havre Normandie, le Phare. Pour lui, la danse est un espace de création. Avec sa compagnie Massala, il mêle le hip hop, la danse contemporaine, la musique, des femmes et des hommes, des bouts du monde, du rythme et bien d'autres choses. Et cela donne Yës, Näss, Oüm. On écoute les mots de Fouad, sa poésie. Fouad Boussouf présente Näss au festival Paris l'Eté dès le 20 juillet (https://www.parislete.fr/le-programme/nass) Sa nouvelle création Corde(s) et Âme sera au théâtre du Volcan le 23 et le 24 novembre et à Suresnes le 28 et 29 janvier 2023. Abonnez-vous à la newsletter de Tous Danseurs sur www.tousdanseurs.com Pour en savoir plus sur Fouad Boussouf et sa compagnie : https://www.massala.fr