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durée : 00:02:40 - L'info d'ici, ici Maine - La circulation à vélo ou à trottinette sera interdite prochainement dans les rues piétonnes du centre-ville du Mans, le samedi de 11h à 23h, a annoncé Stéphane Le Foll la semaine dernière.
La fin de l'histoire semble déjà écrite : les députés se prononceront à partir de 16h demain sur la motion de censure qui vise le gouvernement de Michel Barnier, et ils devraient, sauf surprise, mettre fin à la mission du locataire de Matignon. Le RN a décidé en effet, malgré les mains tendues de l'exécutif, de joindre ses voix à celles de la gauche. Des Insoumis aux Socialistes qui ont décidé de renverser le gouvernement... tous ou presque, puisque quelques voix dissonantes se font entendre. Ecoutez celle de Stéphane Le Foll, maire PS du Mans, président de Le Mans Métropole et ancien ministre de l'agriculture sous la présidence de François Hollande. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 03 décembre 2024.
La fin de l'histoire semble déjà écrite : les députés se prononceront à partir de 16h demain sur la motion de censure qui vise le gouvernement de Michel Barnier, et ils devraient, sauf surprise, mettre fin à la mission du locataire de Matignon. Le RN a décidé en effet, malgré les mains tendues de l'exécutif, de joindre ses voix à celles de la gauche. Des Insoumis aux Socialistes qui ont décidé de renverser le gouvernement... tous ou presque, puisque quelques voix dissonantes se font entendre. Ecoutez celle de Stéphane Le Foll, maire PS du Mans, président de Le Mans Métropole et ancien ministre de l'agriculture sous la présidence de François Hollande. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 03 décembre 2024.
Lors de la table ronde « IA : Transformer le secteur – Atout stratégique ou défi ? », Sylvia Pucar (insurance Leader and Audit Partner – PwC Luxembourg), Loïc Le Foll, Responsable de l'épargne patrimoniale Groupe AG2R LA MONDIALE et Directeur Général de La Mondiale Europartner), Pierre Nemeth (CEO & Co-Founder – SOPIAD) et Jean Louis Schiltz (Senior Partner – Schiltz & Schiltz, avocats à la Cour) ont exploré les opportunités et défis liés à l'adoption de l'intelligence artificielle dans le secteur de l'assurance, en particulier l'IA générative. En parcourant le champ des possibles, les discussions ont mis en lumière l'impact stratégique de l'IA pour améliorer l'efficacité opérationnelle, optimiser la gestion des risques et enrichir l'expérience client. Plusieurs défis ont été identifiés, celui des compétences disponibles alors que toutes les entreprises voudront prendre le virage de l'IA sur une période similaire, le coût d'investissement des technologies reposant sur l'IA, nécessitant d'envisager certaines initiatives communes au sein du pays. Les intervenants ont également insisté sur l'importance d'une mise en œuvre éthique et responsable, notamment face aux défis de gouvernance, de biais algorithmiques et de protection des données. La table ronde a également souligné que l'IA ne se substituera pas à l'humain, mais le complétera, notamment par une formation accrue des collaborateurs pour maximiser les bénéfices de ces outils. Enfin, les panélistes ont appelé à un cadre réglementaire clair et pragmatique, tout en réaffirmant leur optimisme quant à la capacité du secteur à relever ces défis et à intégrer pleinement l'IA comme levier d'innovation et de compétitivité.
durée : 00:11:15 - L'INVITE franceinfo soir - Stéphane Le Foll était l'invité de "franceinfo soir", lundi 18 novembre.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Après son succès aux européennes, rapidement éclipsé par le Nouveau Front populaire, l'essayiste veut jouer un rôle dans la recomposition de la gauche et se prépare pour 2027. Mais son discours essentiellement anti-mélenchoniste et la modestie de son organisation peinent à rassembler. Un article de Mathieu Dejean, Névil Gagnepain et Clément Le Foll, publié sur Mediapart le 2 octobre 2024, le par Jérémy Zylberberg.
Le maire du Mans fait sensation auprès de la gente féminine ! Isabelle Mergault et Liane Foly semblent séduites par Stéphane Le Foll... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
A l'occasion de la délocalisation de la matinale de RTL au Mans, écoutez l'interview du maire de la ville et président de la métropole mancelle. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 13 septembre 2024.
A l'occasion de la délocalisation de la matinale de RTL au Mans, écoutez l'interview du maire de la ville et président de la métropole mancelle. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 13 septembre 2024.
"Quel plaisir d'être à Le Mans, ou au Mans comme disent les gens qui parlent correctement Français. Depuis que je suis gosse, je rêve de travailler dans un grand média français pour pouvoir faire des déplacements, car quand j'étais gosse, je regardais Canal+ qui déplaçait son studio à Cannes en mai où ils recevaient Sharon Stone et Antonio Banderas... Et bien RTL choisit plutôt Le Mans en septembre et nous recevons Stéphane Le Foll".
"Quel plaisir d'être à Le Mans, ou au Mans comme disent les gens qui parlent correctement Français. Depuis que je suis gosse, je rêve de travailler dans un grand média français pour pouvoir faire des déplacements, car quand j'étais gosse, je regardais Canal+ qui déplaçait son studio à Cannes en mai où ils recevaient Sharon Stone et Antonio Banderas... Et bien RTL choisit plutôt Le Mans en septembre et nous recevons Stéphane Le Foll".
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Profitant du cadre expérimental fixé par les Jeux olympiques, Saint-Denis a acquis en début d'année un logiciel de vidéosurveillance algorithmique. La mairie espère qu'il sera opérationnel pour les Jeux paralympiques. L'opposition dénonce l'opacité du processus. Un article de Clément Le Foll publié mardi 30 juillet et lu par Christine Parìs.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Depuis quelques jours, des algorithmes de surveillance sont utilisés par la RATP et la SNCF dans plus de cinquante gares d'Île-de-France. Des drones sont autorisés à survoler certaines villes de Seine-Saint-Denis pendant plus d'un mois. Un recours à ces technologies jamais vu dans sa quantité comme dans sa durée. Un article de Clément Le Foll publié jeudi 25 juillet et lu par Jérémy Zylberberg.
Chaque week-end, à 8h13, Cédric Chasseur reçoit un invité au cœur de l'actualité.
Chaque week-end, à 8h13, Cédric Chasseur reçoit un invité au cœur de l'actualité.
La colère agricole qui continue à 2 jours du Salon de l'agriculture. La grand-messe annuelle du monde agricole qui se retrouve au cœur d'une bataille politique avec d'un côté, Emmanuel MACRON et Gabriel ATTAL ; de l'autre Marine LE PEN et Jordan BARDELLA. Alors, à 6 mois des européennes, les politiques réussiront-ils à “récupérer le malaise agricole” ? La colère des agriculteurs a-t-elle d'ailleurs une couleur politique ? On en parle avec : Christophe BARBIER, Éditorialiste politique, ancien directeur de la rédaction de L'Express (2006-2016), chroniqueur à l'hebdomadaire franc-tireur, auteur de « Peuple de Colère » aux éditions Fayard (17/01/2024) Lucile SCHMID, Co-fondatrice et vice-présidente du think tank « La Fabrique écologique » Noémie CALAIS, Éleveuse bio dans le Gers, co-autrice de « Plutôt nourrir » aux éditions Tana (22/09/2022) Andréa KOTARAC, Porte-parole du Rassemblement National Rémi BRANCO, Vice-président du conseil départemental du Lot, ancien chef de cabinet du ministre de l'Agriculture et porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll, auteur de « Loin des villes, loin du cœur » aux éditions de l'Aube / Fondation Jean Jaurès (16/02/2024)
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Sous l'impulsion du ministère de l'intérieur, de nombreuses communes accueillant des épreuves des JO augmentent leurs moyens de vidéosurveillance comme à Châteauroux, Torcy ou Saint-Denis. Une poignée d'élus, de citoyens et d'ONG s'inquiètent. Un article de Clément Le Foll, publié le dimanche 18 février 2024, lu par Jérémy Zylberberg.
Au programme de C à vous la suite : Invités : Marc Madiot, ancien cycliste professionnel & directeur sportif de l'équipe Groupama-FDJ, Julien Jurdie, directeur sportif de l'équipe AG2R-Citroën et Yann Le Bourbouac'h, producteur de la série “Tour de France, au cœur du peloton” • Au cœur du peloton du Tour de France • La grande boucle comme vous ne l'avez jamais vue • La série captivante sur les coulisses du Tour de France • Le Tour de France raconté comme un thriller • Le Tour de France raconté de l'intérieur • Plongée captivante dans l'épopée du Tour de France • La course qui nous fait perdre les pédales • J-19 avant le Tour de France • Le Tour de France, ils en connaissent un rayon L'Oeil de Pierre - Les Sparks, 50 ans et “frais du jour” Invité : Lorànt Deutsch • La Bretagne de Lorànt Deutsch • Sur les routes bretonnes avec Lorànt Deutsch • Tonnerre de Breizh • Bienvenue chez les bretons L'ABC - Les actualités de Bertrand Chameroy • La pochette d'album de Beyoncé avant Photoshop • La gauche s'est réveillée à Créteil • Stéphane Le Foll en direct de ses toilettes • Le point Roland Gratos
• La pochette d'album de Beyoncé avant Photoshop • La gauche s'est réveillée à Créteil • Stéphane Le Foll en direct de ses toilettes • Le point Roland Gratos
C'est jour de match pour l'équipe de France. A 16h, les Bleus chercheront à décrocher la première place du groupe face au Danemark. On prend les dernières nouvelles des Français avec notre envoyé spécial en Russie. On parle aussi des Danois et d'un ancien joueur, qui a connu une retraite sportive bien animée entre secte et performance défécatoire. Ce soir, l'Argentine joue sa peau dans ce Mondial face au Nigeria. Il va falloir un coup à plusieurs bandes pour que la bande à Messi s'en sorte. Et comme tous les jours, on retrouve les pronostics d'une personnalité. Aujourd'hui, l'ancien ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À moins de deux mois du Congrès du PS, Stéphane Le Foll, maire socialiste du Mans, publie une tribune relayée par le journal Ouest France dans lequel il fustige ardemment le rapprochement avec La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, à l'initiative de la Nupes. « La gauche radicale ne propose que la confrontation », écrit-il, estimant que « la gauche française est en crise profonde ». « Depuis l'élection présidentielle et le score de Jean-Luc Mélenchon, la gauche est aujourd'hui dominée par La France Insoumise, dans une ligne qui, selon moi, ne correspond pas à ce que veulent les Françaises et le Français », commente l'intéressé, sur le plateau des 4 vérités, jeudi 1er décembre, sur France 2. « La gauche telle qu'elle est aujourd'hui est enfermée dans des schémas et n'arrive plus à réfléchir », souligne-t-il. Pour l'ancien ministre de l'Agriculture, sous François Hollande, « la sociale démocratie n'est pas morte ». Et pour « rebattre les cartes et ouvrir des nouvelles perspectives », il propose d'organiser des Assises de la Gauche, d'ici le début de l'année 2023, en présence de « tous les signataires du manifeste de Bernard Cazeneuve » « ouvert à toutes celles et ceux qui souhaitent une nouvelle gauche, sociale, écologique, européenne et républicaine ». « La sociale démocratie, c'est être capable de créer une dynamique dans la société qui permette de donner de l'espoir à ceux qui sont le plus en difficulté. Cela se fait par le biais de la démocratie et pas d'injonctions », commente l'édile, qui souhaite remettre l'enjeu européen au cœur du projet de la gauche. Fustigeant le bilan du secrétaire général du Parti socialiste, Olivier Faure, ainsi que la « faiblesse intellectuelle de réflexion », il souhaite « repenser un projet social écologique et démocratique ». « Cela nécessite une volonté de s'affirmer », assure-t-il. Reste la question de l'incarnation. Écologie : une autre ligne possible à gauche ? Sur l'écologie également, l'ancien porte-parole du gouvernement propose une autre ligne, et s'oppose notamment à « l'écologie de décroissance ». Au Mans, il a notamment décidé de laisser les illuminations de Noël, la patinoire et le marché de Noël. « Le calcul est toujours dans le rapport relatif que l'on a par rapport aux gens à qui on veut essayer d'apporter un peu d'espoir. Dans l'écologie, j'ai choisi le fait d'emmener un maximum de personnes et de rassurer les couches insécurisées », estime-t-il. « Il faut redonner de l'espoir, c'est tout le débat de la social-démocratie et du progrès ». Emmanuel Macron est actuellement aux États-Unis pour une visite d'État. Il souhaite notamment défendre l'économie européenne face aux États-Unis. « A l'échelle européenne, si on veut avoir comme seule ligne, la désobéissance, comme la Nupes le propose, on se divise, on s'affaiblit et on renforce les autres », estime Stéphane Le Foll.
durée : 00:03:59 - Le journal de presque 17h17 - La victoire de Giorgia Meloni en Italie, Stéphane Le Foll qui menace de quitter le PS et Julien Bayou qui renonce à son poste de secrétaire national d'Europe Ecologie Les Verts, c'est l'actu du jour !
durée : 00:03:59 - Le journal de presque 17h17 - La victoire de Giorgia Meloni en Italie, Stéphane Le Foll qui menace de quitter le PS et Julien Bayou qui renonce à son poste de secrétaire national d'Europe Ecologie Les Verts, c'est l'actu du jour !
durée : 00:03:59 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - La victoire de Giorgia Meloni en Italie, Stéphane Le Foll qui menace de quitter le PS et Julien Bayou qui renonce à son poste de secrétaire national d'Europe Ecologie Les Verts, c'est l'actu du jour !
Bernard Cazeneuve a rendu sa carte du Parti socialiste (PS), suite à l'accord passé entre le PS et la France Insoumise (LFI), afin de s'opposer à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), à l'initiative de Jean-Luc Mélenchon, lors des élections législatives. Le 4 septembre 2022, l'ancien Premier ministre socialiste a publié un manifeste dans lequel il assure qu'une « autre gauche est possible ». Il milite pour une gauche sociale-démocrate « qui rompe avec l'outrance et le sectarisme, mais qui demeure ardente dans le refus des inégalités, des injustices et des discriminations, dans la défense des valeurs de la République ». Près de 400 personnalités de gauche, dont la quasi-totalité sont des opposants à la ligne pro-Nupes adoptée par l'actuel premier secrétaire du PS, Olivier Faure. Parmi elles ? Le maire du Mans, Stéphane Le Foll, l'ex-premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin (Rhône), ou encore la présidente de la région Occitanie, Carole Delga. Dix jours plus tard, Bernard Cazeneuve revendique avoir obtenu plus de 4000 signatures. « J'ai choisi un texte long, pas un tweet, c'est-à-dire, la réflexion de fond, avec la volonté d'apporter la démonstration qu'un autre chemin est possible à gauche », explique-t-il, le 16 septembre, sur le plateau des 4 vérités, sur France 2, plaidant pour un « esprit d'ouverture et de tolérance » contre le « repli sectaire ». Dans un premier temps, l'ancien ministre de l'Intérieur, sous François Hollande, entend « structurer cette initiative sur le plan local, autour de ceux qui se sont engagés localement ». Créer un élan contre l'extrême droite L'idée ? Créer un mouvement de réflexion afin d'exposer collectivement leurs idées et de faire un certain nombre de propositions. « Nous ne voulons pas créer un nouveau parti. Les appareils ont montré toutes leurs faiblesses. Au contraire, nous voulons essayer de démontrer qu'il y a de la place pour créer un nouvel espace politique, qui permette, autour de cette synthèse entre les enjeux républicains, écologiques et sociaux, de créer les conditions du dialogue et d'une longue dynamique », développe-t-il au micro de Jeff Wittenberg, assurant qu'il n'y aura pas « d'étiquette partisane ». L'ancien Premier ministre veut « créer les conditions d'un élan », notamment auprès de la jeune génération, afin de lutter contre l'extrême droite. « Je n'ai pas d'agenda personnel ni d'intérêt d'appareil », assure l'homme politique, précisant qu'il agissait en raison de ses propres convictions. Bernard Cazeneuve accuse Olivier Faure de s'être « toutouisé » à Jean-Luc Mélenchon. « Si on veut que l'Union de la gauche soit possible, il faut qu'elle se fasse avec des femmes et des hommes qui ont un minimum d'attache à l'Europe, la République, la transition écologique et la solidarité », affirme-t-il, insistant sur la dissociation entre « la gauche et l'extrémisme ». Il dénonce également « l'absurdité des débats tels qu'ils se sont engagés à gauche ».
Stéphane Le Foll, maire PS du Mans et ancien Ministre
Cela fait maintenant six mois jour pour jour que la Russie a déclaré la guerre à l'Ukraine. Depuis, la France et les autres pays se demandent si nous sommes aux bords d'un nouveau conflit mondial. Stéphane Le Foll, maire socialiste du Mans rappelle que ce qui compte, « c'est l'arrière », à savoir « l'Europe et la capacité de soutenir l'Ukraine avec le soutien des États-Unis ». Cette guerre a d'ores et déjà des répercussions notamment sur les énergies. Au moment où la Russie décide de fermer le robinet de gaz vers l'Europe, Emmanuel Macron se rend en Algérie. En effet, le chef de l'État sera en déplacement à partir du 25 août prochain et ce pour une durée de trois jours. « Il faut avoir de bonnes relations avec l'Algérie. Déjà parce qu'il y a plein de binationaux, parce que l'histoire qui lie la France à l'Algérie est très importante », déclare l'ancien porte-parole du gouvernement sous le mandat de François Hollande. Il poursuit : « La relation avec le Maghreb, de la même manière que la relation avec l'Afrique, c'est un enjeu pour la France spécifique, mais aussi pour l'Europe d'une nouvelle coopération ». Une rentrée et des polémiques mercredi 24 août 2022 sonne aussi la rentrée du gouvernement avec le premier Conseil des ministres. L'ancien député déplore une absence de plan réel depuis la réélection d'Emmanuel Macron. « Quel est le cap ? On a l'impression qu'on répond à des sujets circonstances après circonstances, mais on a du mal à savoir quelle est la stratégie », explique-t-il. L'été a été des plus chargés avec une succession de polémiques. Le budget et les moyens alloués aux pompiers pour lutter sur la sécurité de notre territoire, des refus d'obtempérer quotidiens, et le fameux « Kohlantess » de la prison de Fresnes. « Bien sûr que je n'étais pas au courant » a déclaré le ministre de la Justice, Éric Dupont-Moretti. Pour Stéphane Le Foll, la problématique n'est pas que des jeux aient été organisés au sein d'une prison. « On doit obliger les détenus à travailler, à se réinsérer. Le garde des Sceaux dit « qu'il n'était pas au courant », mais, en même temps, prend une décision qui est tout à fait légitime : c'est de créer un cadre clair avec une circulaire pour pouvoir encadrer ces activités qui, je le rappelle, contrairement à ce que disent certains, sont nécessaires. Si on veut la sanction, il faut aussi être capable de penser à la réinsertion. Sinon, il n'y a pas de prison ». Le ministre de l'Intérieur souhaite ouvrir des centres de rééducation et de redressement pour les mineurs encadrés par les militaires. Le premier de ces lieux devrait voir le jour à Mayotte. « Cela me rappelle une campagne présidentielle », déclare le maire du Mans. « Celle de Ségolène Royal. (…) Je ne suis pas franchement en adhésion avec cette proposition. Je suis convaincu que des centres fermés sont nécessaires. L'idée qu'il y ait des centres avec un encadrement militaire, ça existe déjà. (…) L'idée que tout centre fermé ait comme condition l'encadrement militaire, cela serait une erreur ».
Trois heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Stéphane Le Foll, maire PS du Mans, répond aux questions de Lionel Gougelot au sujet de l'enjeu politique de la forêt, des incendies qui ont frappé la France, du retrait des troupes françaises au Mali et des liens entre le Parti socialiste et la Nupes.
Stéphane Le Foll était l'invité d'Europe 1 ce mardi matin. Au micro de Lionel Gougelot, le maire PS du Mans s'est exprimé sur les incendies qui ont ravagé les forêts françaises ces dernières semaines. Face aux effets du réchauffement climatique, qui se font de plus en plus ressentir, Stéphane Le Foll estime qu'il faudra mettre "chaque département en situation d'agir".
Tous les vendredis, samedis et dimanches, Jeanne Baron reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.
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Chaque matin, à 8h15, une personnalité politique au centre de l'actualité est l'invitée d'Europe 1. Un moment d'échanges et de vérité... sans concession !
Stéphane Le Foll ancien ministre et maire du Mans constate l'angoisse qui gagne le cœur de ses compatriotes.
Avec Stéphane Le Foll, Maire PS du Mans et ancien Ministre
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Après des incidents en 2015 avec des gens du voyage, cette petite ville de l'Isère s'est d'abord dotée d'une cinquantaine de caméras, puis de puissants algorithmes d'analyse d'images. Une surveillance illégale, selon l'association La Quadrature du Net, aujourd'hui en procès contre la commune. Un article de Clément Le Foll et Clément Pouré publié dimanche 8 mai 2022, lu par Jeremy Zylberberg.
MÉLENCHON : HOLD-UP SUR LA GAUCHE ! – 04/05/22 Invités ROLAND CAYROL Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) RAPHAËLLE BACQUÉ Grand reporter - « Le Monde » CAROLINE VIGOUREUX Journaliste politique - « l'Opinion » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Après les écologistes lundi et les communistes mardi, c'est au tour des socialistes d'avoir topé ce matin pour un « accord de principe » avec le parti de Jean-Luc Mélenchon. Les discussions sur le fond se poursuivent ce mercredi mais les deux partis se sont entendus après d'âpres négociations sur la répartition des circonscriptions. Finalement, le PS obtient 70 circonscriptions, dont 25 à 30 gagnables, soit environ le nombre de députés socialistes actuellement. Le Conseil national du PS qui rassemble près de 200 cadres du parti va se réunir jeudi soir pour le valider. Mais Olivier Faure y a la majorité, le suspense est donc très limité. Ce vote indiquera surtout l'ampleur de la fracture au PS. L'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve a déjà promis hier de quitter le parti en cas d'accord. Stéphane Le Foll a lui brandit la menace ce matin de « conduire la campagne » des dissidents socialistes si les roses rejoignent la « nouvelle union populaire sociale et écologique » pour partir à la conquête du Palais-Bourbon. Alors cette alliance pour les législatives va-t-elle faire imploser le PS ? Dix jours après le second tour de la présidentielle, la trajectoire du Parti socialiste est suivie de près par Emmanuel Macron qui sera officiellement investi pour un second mandat le samedi 7 mai. D'ici là le chef de l'Etat continue de chercher activement un successeur à Jean Castex. La fiche de poste est connue : profil social, écolo, productif… Approchée au lendemain du second tour, Véronique Bédague, ex-directrice de cabinet du Premier ministre Manuel Valls devenue DG du groupe immobilier Nexity, n'a pas donné suite, selon une information du Parisien. Hier, la présidente du groupe socialiste à l'Assemblée nationale Valérie Rabault a dit avoir été approchée et avoir décliné. Officiellement, l'Élysée assure n'avoir proposé Matignon à personne et fait le choix de prendre son temps. Le gouvernement, qui s'est réuni en Conseil des ministres ce mercredi matin, restera en place au moins jusqu'au vendredi 13 mai a indiqué ce mercredi le porte-parole du gouvernement. Et après ? Quelles sont les options d'Emmanuel Macron ? Qui à Matignon ? Que contient l'accord à gauche sur une large alliance en vue des législatives ? Pourquoi certains ténors du PS ne veulent pas d'un accord avec l'Union populaire ? Avec cette alliance, la gauche peut-elle remporter la majorité à l'Assemblée en juin ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Après la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, le 24 avril dernier, la gauche se mobilise en vue des élections législatives des 12 et 18 juin prochain. L'objectif ? Faire front derrière Jean-Luc Mélenchon, arrivé en troisième position au premier tour de l'élection présidentielle, et former la « Nouvelle union populaire écologique et sociale » en opposition au chef de l'État. Après les écologistes, les communistes sont tombés sur un accord avec La France Insoumise, mardi 03 mai. « Nous souhaitons fédérer sur la base d'un programme ambitieux toutes les forces qui le partagent, en respectant leur pluralité et leur autonomie », a fait savoir le PCF dans un communiqué. Si les pourparlers sont en cours avec le Parti socialiste, aucun accord n'a encore été signé. Certains au sein du parti s'y opposent, notamment l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve qui s'est montré très critique envers cette potentielle alliance. Dans un message publié sur Facebook, il menace même de quitter le PS si un accord était signé. Invité sur le plateau des 4 Vérités, mercredi 4 mai, sur France 2, Stéphane Le Foll, maire PS du Mans, estime que « la perspective d'une victoire à gauche est un leurre » quand « la candidate arrivée au second tour s'appelle Marine Le Pen ». « Jean-Luc Mélenchon a cette force persuasive. Certains y croient mais c'est une fable. C'est un moyen de continuer la présidentielle », a-t-il lâché au micro de Caroline Roux. Selon l'ancien ministre de l'Agriculture, si le PS signe un accord avec LFI, le nombre de députés PS à la fin de cette séquence législative sera inférieur aux députés actuels. « Construire la gauche de l'avenir » Sur le fond, Stéphane Le Foll s'est également montré très critique envers la stratégie d'Olivier Faure, l'actuel patron du PS. Selon lui, cette « stratégie d'effacement derrière les écologistes puis de La France Insoumise a conduit à ces résultats catastrophiques ». S'il affirme vouloir mener cette campagne législative, il souhaite rebâtir une ligne politique « qui n'est pas celle qui a été bâtie depuis cinq ans ». « Le Parti socialiste tourne le dos à toute son histoire », a-t-il réagi. Il n'exclut pas de quitter sa famille politique si elle ne se réforme pas. « Jean-Luc Mélenchon, c'est la gauche du passé. Il faut construire la gauche de l'avenir », a-t-il renchéri, se montrant très hostile à la « désobéissance européenne » mise en avant par le candidat insoumis. Selon Le Parisien et Le Figaro, Manuel Valls, ancien Premier ministre de François Hollande, va être investi par La République en marche (LREM) dans la cinquième circonscription des Français de l'étranger. « La volonté d'exister et l'ambition du pouvoir vous conduit à faire n'importe quoi. Ce n'est pas ma conception de la politique », a affirmé Stéphane Le Foll.
Moscou, rappelle le journal La Croix, « menace de couper le robinet », si bien que l'Europe « se rue sur le gaz américain » et les États-Unis entendent bien devenir leader mondial en matière d'exportation de gaz naturel liquéfié. « Les États-Unis ont les moyens de leurs ambitions. Leur capacité d'export est évaluée à 100 millions de tonnes, auxquelles s'ajoutent 186 millions de tonnes de "potentiel dormant" », détaille le journal tout en précisant que « les États-Unis manquent pour l'instant de contrats à long terme». De son côté, L'Opinion évoque les « faiblesses de l'Allemagne » mises à jour dans cette crise du gaz avec cette métaphore de la cigale et la fourmi, la fable de La Fontaine : « la Pologne s'est préparée au pire. Ignorant les avertissements, la République fédérale s'est accrochée au gaz de Vladimir Poutine (…) Berlin a même laissé Gazprom, qui opère un tiers des structures de stockage de gaz en Allemagne, ne les remplir que partiellement avant l'hiver. Résultat : ces réserves n'atteignent que 33% des capacités. Et l'Allemagne pourrait se trouver fort dépourvue quand la bise sera venue. » Alors pour s'affranchir du gaz russe, d'autres pays mettent des solutions en place, à l'image de l'Estonie et de la Finlande, auxquels s'intéresse Libération avec un reportage sur le port de Paldiski. Un « navire titanesque qui joue le rôle de petit port méthanier » y sera bientôt visible au large : « près de 300 mètres de longueur, une cinquantaine de largeur, cette infrastructure peut stocker (et réfrigérer) jusqu'à 170 000 mètres cubes de gaz liquéfié ». Un projet de taille et des problématiques qui le sont tout autant car, rappelle Libération, « le gaz naturel liquéfié pourrait être jusqu'à deux fois plus polluant que le gaz naturel ». Libération publie aujourd'hui une vaste enquête sur Carlos Ghosn Le journal révèle le contenu de son audition en juin 2021 par un juge du tribunal judiciaire de Nanterre. Et « les enquêteurs soupçonnent l'existence d'un système de "corruption" et de "blanchiment en bande organisée" dont l'épicentre se situerait loin de la France et du Japon, où Renault et Nissan ont leur siège respectif. Précisément à Oman ». Carlos Ghosn « aurait ainsi pu se constituer une caisse de quelque 80 millions d'euros grâce à l'un des distributeurs de Renault-Nissan dans le golfe Persique » Le Parti socialiste et le Parti communiste se joindront-ils à l'accord conclu entre La France insoumise et Europe Écologie Ves Verts « Si près du but », titre L'Humanité, qui précise que les négociations sont toujours en cours. Peut-être pourraient-elles aboutir aujourd'hui : « que le sceau de l'accord intervienne un 3 mai, pour les 86 ans de la victoire du Front populaire ne gâterait rien », imagine déjà le quotidien. Quel que soit finalement le jour, cet accord « ouvre la possibilité de déjouer le scénario habituel de législatives réduites à une simple formalité pour le président élu ». Lui refuse de s'associer à La France insoumise, Stéphane Le Foll s'exprime dans les colonnes du Parisien/Aujourd'hui en France. L'ancien ministre socialiste de François Hollande et maire du Mans estime « qu'une partie de l'électorat du PS s'abstiendra ou votera Macron » pour les législatives. Pour Le Figaro, « les mélenchonistes ont réussi à faire plier leurs partenaires » mais « la cathédrale de la gauche unie reste encore à bâtir. » et le journal cite deux participants à ces discussions qui s'allongent. « Un socialiste résume : "C'est vraiment les montagnes russes." Et une Insoumise conclut : "Vous voyez Baron noir ? C'est la même chose, mais fois 100." » Journée mondiale de la liberté de la presse L'Humanité donne la parole à Stella Moris, l'épouse et avocate du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, qui risque d'être extradé et condamné à 175 ans de prison. Stella Moris estime que « sa santé décline au fur et à mesure de ses années de prison et de captivité ». Surtout, elle met en garde : « Anthony Blinken parle de liberté de la presse, de condamner les crimes de guerre en Ukraine. C'est une très bonne chose. Mais pourquoi extrader et tenter d'envoyer un journaliste en prison pour avoir dénoncé des crimes de guerre en Irak et en Afghanistan ? Ce type de position amène les autres gouvernements à faire de même », selon elle. Évoquant le sort d'une journaliste ukrainienne assassinée, Ouest France évoque la propagande menée par la Russie et rappelle ce credo dans son éditorial : « La vérité vous rendra libre. » Car c'est la liberté qui est menacée, selon Michel Beuret, dans Libération. Responsable éditorial de la Fondation Hirondelle présente dans dix pays d'Afrique et d'Asie, il estime que des contraintes « de plus en plus fortes » pèsent sur les professionnels de l'information dans les zones de conflit. Avec une vraie disparité de situations. Ainsi « il est peut-être plus facile aujourd'hui pour un journaliste de se déplacer en Ukraine qu'au Mali ou au Burkina Faso ».
Philippe Caverivière face à Stéphane Le Foll, ancien ministre, membre du PS et maire du Mans.
Philippe Caverivière face à Stéphane Le Foll, ancien ministre, membre du PS et maire du Mans.
Ministre sous la présidence de François Hollande et toujours maire du Mans, le socialiste Stéphane Le Foll fustige une possible alliance entre le PS et la France insoumise. Ecoutez L'invité de RTL avec Alba Ventura du 02 mai 2022
Ministre sous la présidence de François Hollande et toujours maire du Mans, le socialiste Stéphane Le Foll fustige une possible alliance entre le PS et la France insoumise. Ecoutez L'invité de RTL avec Alba Ventura du 02 mai 2022
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Stéphane Le Foll, maire socialiste du Mans, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet du devenir du parti socialiste et d'une éventuelle alliance avec La France Insoumise.
[Podcast
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Entre avril 2018 et septembre 2021, une thésarde a passé plusieurs nuits dans des laboratoires sensibles à Metz et Strasbourg, permettant à un de ses compatriotes d'y pénétrer. La DGSI s'inquiète des nombreuses vulnérabilités des établissements de recherche français. Un article de Clément Le Foll et Matthieu Suc publié lundi 14 février, lu par Christine Pâris.
Philippe Foussier de l'UFAL Paris présente des livres pour faire la république laïque et sociale. Episode 46 : "Renouer avec la France des Lumières" de Stéphane Le Foll. Musique générique Titre: Translate Auteur: Artner
Dimanche 6 février au soir, à Romainville (Seine-Saint-Denis), s'est tenue une réunion d'une absolue discrétion entre les états-majors de Christiane Taubira et Yannick Jadot, en vue d'engager les prémices d'une tentative d'union pour le premier tour de l'élection présidentielle, le 10 avril prochain. Si aucun accord n'a définitivement été scellé, on évoque une candidature commune derrière le candidat écologiste (EELV). « Quel mic-mac, et quelle immaturité. Cet enfermement dans ces stratégies d'alliances répétées depuis deux ans me désespère », a estimé le maire PS du Mans, Stéphane Le Foll, invité des 4 Vérités, mercredi 9 février. « Tout cela me paraît conduire à une impasse politique, à une présence de la gauche qui n'a jamais été aussi basse », a-t-il ajouté, estimant que cette démarche était « immature ». Pour lui, un ralliement derrière Yannick Jadot « n'est pas une solution ». « En politique, c'est une erreur que de croire qu'il suffit d'additionner toutes les voix de chacun pour créer une dynamique commune », a expliqué l'élu. De son côté, Anne Hidalgo entend maintenir sa candidature jusqu'au bout. Alors qu'elle vient d'obtenir les précieux 500 parrainages, elle est à peine créditée de 3% des intentions de vote dans les sondages. Fait marquant ? L'absence des poids-lourds du Parti socialiste dans la campagne de leur candidate. « Anne Hidalgo montre de la pugnacité, mais la question, c'est la capacité de la gauche et du Parti socialiste, à s'adresser à nos concitoyens. A 63 jours de l'élection, c'est trop tard », a affirmé Stéphane Le Foll. Aujourd'hui, la gauche semble plus éparpillée que jamais. Selon un sondage Ifop, pour le Journal du dimanche, 41% des électeurs de François Hollande en 2012 sont aujourd'hui prêts à se tourner vers Emmanuel Macron. L'ex-député PS de Seine-et-Marne et ancien porte-parole du Parti socialiste, Eduardo Rihan Cypel, a récemment annoncé son soutien à Emmanuel Macron. De son côté, Stéphane Le Foll a assuré qu'il respecterait ses engagements auprès du PS en votant Anne Hidalgo. « Mais après tout ça, il va falloir se poser les bonnes questions, les questions de fond », a-t-il nuancé. Le Parti socialiste joue-t-il sa survie ? « Sa survie est déjà largement entamée », déplore l'ancien ministre de l'Agriculture. « Notre démocratie est en danger » En déplacement à Kiev, dans le cadre la gestion de la crise ukrainienne avec la Russie, Emmanuel Macron a été interrogé sur sa candidature à l'élection présidentielle, qu'il tarde à officiellement annoncer. Le chef de l'Etat n'a pas hésité à ironiser sur la situation. « Il va falloir y songer à un moment », a-t-il lâché, avec le sourire. Bien qu'il ne soit toujours pas officiellement déclaré candidat, Emmanuel Macron a déjà récolté 926 parrainages depuis la semaine dernière. « Laisser durer trop longtemps le suspense, laisse cette campagne entre la droite et l'extrême droite s'installer. Attention, notre démocratie est en danger » a averti Stéphane Le Foll.
Chaque samedi, Jean-Pierre Elkabbach reçoit un invité au cœur de l'actualité. Aujourd'hui, Stéphane Le Foll, maire PS du Mans et ancien ministre de l'Agriculture, revient sur la difficulté d'Anne Hidalgo et de la Gauche plus largement, à mobiliser les électeurs. Pour le maire du Mans, "il va falloir refonder un nouveau PS" après l'élection présidentielle.
Les Jeux olympiques de Paris 2024 vont servir d'immense terrain de jeu pour « expérimenter » de nouvelles technologies (analyse d'images, de foules, suivi d'individus en temps réel...). Une aubaine pour les industries de la surveillance. Un article de Clément Le Foll et Clément Pouré, publié sur Mediapart le jeudi 14 octobre 2021 et lu par Arnaud Romain.
durée : 00:05:20 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Du pénalty marqué par Emmanuel Macron à la visite de Jean Castex au Vatican en passant par le refus de Stéphane Le Foll de soutenir la candidature d'Anne Hidalgo, voici les actualités de ce vendredi 15 octobre.
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durée : 00:13:16 - Journal de 7 h - Anne Hidalgo devrait être investie, ce mercredi soir, par le Parti socialiste pour la présidentielle. La maire de Paris est donnée gagnante face à son seul adversaire, Stéphane Le Foll, l'élu du Mans.
BERTRAND : OPÉRATION RECONQUÊTE – 14/10/21 Invités NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » LAURELINE DUPONT Directrice adjointe de la rédaction – « L'Express » CARL MEEUS Rédacteur en chef – « Le Figaro Magazine » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondages Elabe Les candidats à l'investiture de la droite avaient jusqu'à ce mercredi pour se déclarer. Ils sont finalement six à entrer dans la course en vue de la présidentielle 2022. Il s'agit de l'ancien négociateur européen pour le Brexit Michel Barnier (LR), le député LR des Alpes-Maritimes Éric Ciotti, le maire LR de La Garenne-Colombes Philippe Juvin, l'homme d'affaires Denis Payre, la présidente (ex-LR) de la région Île-de-France Valérie Pécresse et le président des Hauts-de-France (ex-LR) Xavier Bertrand. L'ancien ministre du Travail de Nicolas Sarkozy, qui avait refusé l'idée de participer à une primaire, a finalement annoncé lundi sur TF1 sa participation au congrès LR de décembre. Les six personnalités de droite ont désormais jusqu'au 2 novembre pour réunir les 250 parrainages d'élus nécessaires à la validation de leur candidature, avant le vote des militants réunis en congrès du 1er au 4 décembre prochain. Un vote décisif pour la droite, auquel participeront les seuls adhérents LR à jour de leur cotisation. Les sympathisants LR ont jusqu'au 16 novembre pour prendre leur carte. Ils étaient exactement 87 764 au dernier pointage, un chiffre en forte hausse ces dernières semaines. Alors d'ici au 4 décembre, les candidats vont faire activement campagne dans les fédérations : jeudi Xavier Bertrand sera à Oyonnax dans l'Ain, Valérie Pécresse à Dijon et Michel Barnier à Château-Renard dans les Bouches-du-Rhône. Tous en profiteront pour rencontrer les adhérents LR qui pour certains s'interrogent sur l'absence de la participation d'Éric Zemmour au congrès, quand d'autres craignent que la désignation tardive de leur candidat en décembre ne donne un avantage substantiel au polémiste d'extrême droite. Pas encore officiellement candidat, l'essayiste poursuit lui sa tournée promotionnelle dans le pays, officiellement pour dédicacer son dernier livre et participer à des conférences. Mais en coulisse, Éric Zemmour est bien parti à la chasse aux parrainages et aux fonds. Il s'appuie pour cela sur une équipe composée de la jeune énarque Sarah Znafo, de deux banquiers d'affaires passés chez Rothschild, Julien Madar et Jonathan Natdler, mais aussi d'Antoine Diers, ancien directeur de cabinet de la maire LR de Calais, et du communiquant Olivier Ubeda. A gauche, Anne Hidalgo s'apprête de son côté à recevoir l'investiture du Parti socialiste ce jeudi soir, en vue de l'élection présidentielle de 2022. Depuis qu'elle a fait part de sa volonté de se lancer dans la course à l'Elysée, la maire de Paris s'est imposée sans efforts dans son parti. Elle distance nettement son unique concurrent Stéphane Le Foll, ne serait-ce qu'au niveau des parrainages pour être candidat à l'investiture : 208 pour elle contre 34 pour le maire du Mans. Mais si elle a reçu les soutiens d'Olivier Faure, de la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, de la maire de Lille Martine Aubry, et du maire de Montpellier Michaël Delafosse, la maire de Paris est à la peine dans les sondages. Selon une dernière enquête Harris Interactive pour Challenges publié le 13 octobre, la candidate socialiste plafonnerait à 5 %. Alors pourquoi le PS, après avoir tiré son épingle du jeu lors des élections municipales et régionales, est-il donné au plus bas au niveau national ? Qui sont les six candidats de droite au congrès LR ? Quels sont leurs programmes ? Enfin qui sont les gens qui travaillent avec Éric Zemmour ? D'où viennent-ils et quels sont leurs réseaux ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:13:16 - Journal de 7 h - Anne Hidalgo devrait être investie, ce mercredi soir, par le Parti socialiste pour la présidentielle. La maire de Paris est donnée gagnante face à son seul adversaire, Stéphane Le Foll, l'élu du Mans.
durée : 00:25:40 - 8h30 franceinfo - Le maire du Mans et candidat à l'investiture du PS pour l'élection présidentielle de 2022 était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 10 octobre 2021.
Olivier Faure est l'invité des 4 Vérités sur France 2 le lundi 20 septembre 2021. Le second tour des primaires écologistes opposera l'eurodéputé Yannick Jadot (27,7 %) et l'économiste Sandrine Rousseau (25,14 %). Les deux candidats s'affronteront du 25 au 28 septembre en vue de représenter leur famille politique à l'élection présidentielle de 2022. Cependant, le Premier secrétaire du parti socialiste souhaiterait une grande coalition de la gauche afin de porter une candidature unique. « Je ne veux pas rentrer dans un débat interne aux Verts », a estimé Olivier Faure au micro de Caroline Roux, ne souhaitant pas « s'immiscer dans une procédure ». « Si vous voulez mon avis, on a une excellente candidate pour l'écologie, qui n'est pas Verte mais qui s'appelle Anne Hidalgo », a-t-il ajouté sans détour. En effet, la maire de Paris a annoncé sa candidature à la présidence de la République il y a quelques jours en marge d'un déplacement à Rouen. Les deux candidats finalistes sont néanmoins sur des lignes plutôt divergentes. Il l'assure : il discutera indifféremment avec l'un ou l'autre. « Je discute toujours avec les uns et les autres. Nous avons un dialogue fructueux, parfois difficile aussi car nous avons de réelles différences », a-t-il expliqué. Le 18 septembre 2021, Olivier Faure, député de Seine-et-Marne, a officiellement été réélu à la tête du Parti socialiste avec 73% des voix face à Hélène Geoffroy. Il appelle aujourd'hui au rassemblement de la gauche. « J'y crois à nouveau », a-t-il martelé. « Pendant longtemps, le Parti socialiste, après l'élection présidentielle de 2017, était dans une situation très difficile. Mais nous ne sommes pas morts, nous sommes bien vivants », a-t-il ajouté. Pas de primaire, pas de débat Entre le 17 et le 19 septembre, les membres du Parti socialiste se sont réunis à Villeurbanne en banlieue lyonnaise pour le 79e congrès. Seule Anne Hidalgo, dont la candidature est pourtant soutenue par le Premier secrétaire, manquait à l'appel. Lors de ce rassemblement, le parti a décidé qu'il n'y aurait pas de primaire. « Les candidats qui se déclareront, pour l'instant Stéphane Le Foll, Anne Hidalgo viendront devant les militants ». Sur le sujet, il s'est montré ferme : « Je ne veux pas de surenchère. C'est un débat qui ne concerne que nous », a-t-il poursuivi, se disant favorable à ce que d'autres candidats se déclarent. Pourquoi Anne Hidalgo était-elle absente du congrès socialiste ? « Sa vocation n'est pas simplement d'être dans un débat interne mais de se déployer. Je souhaite qu'il y ait quelqu'un qui s'adresse plus largement aux Françaises et au Français », a-t-il expliqué. Son ambition est claire : « Je ne suis pas pour le témoignage, pour figurer, je suis là pour gagner ».
MACRON DÉVOILE SA CAMPAGNE – 02/09/21 Invités YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » ISABELLE FICEK Journaliste politique – « Les Echos » JÉRÔME FOURQUET Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP Serait-ce une campagne qui ne dit pas son nom ? En déplacement à Marseille pour trois jours, le président Emmanuel Macron semble candidat sans le dire. Quoi qu'il en soit, pendant qu'il laboure le terrain, dans son camp, on fourbit ses armes. Dès la semaine prochaine à Paris, puis dans 80 autres villes à partir du 10 septembre, 50 000 affiches seront placardées en faveur du président sortant, pas encore officiellement candidat mais déjà clairement descendu dans l'arène. Cette opération, validée en haut lieu, est-on ne peut plus explicite. Les affiches sont siglées « avril 2022-Macron ». Le style se veut à contre-pied des codes classiques. Le président y apparaît en héros d'une série. La typographie et le code couleur noir et rouge sont empruntés à la plate-forme de vidéos Netflix. Le slogan est dans le même registre : « Vivement qu'on signe pour 5 saisons de plus ». C'est l'électorat jeune qui est ciblé. L'offensive de cette rentrée s'étalera jusqu'à début octobre avec en clôture un meeting sur la jeunesse, avec des ministres et des membres de la société civile, le 2 octobre à Avignon. Pour l'heure, au deuxième jour de sa visite à Marseille, Emmanuel Macron campe sa posture de chef d'Etat, abordant les sujets régaliens de la justice et de sécurité. Mais si ces thèmes sont chers à l'aile droite de son électorat, dans cette campagne, il ne va pas falloir qu'il néglige son aile gauche. Et la tâche ne s'annonce pas si simple. Car les enquêtes d'opinion se suivent et se ressemblent pour indiquer que les questions relatives à l'environnement s'imposent comme une préoccupation majeure de Français. Or, en la matière, son bilan est jugé avec une certaine sévérité. Et la démission fracassante de son populaire ministre Nicolas Hulot est restée dans les esprits. Sur le front social également, il n faudra rien négliger pour celui qui a longtemps eu l'étiquette de "président des riches". En la matière, Jean Castex est à la manœuvre. Le Premier ministre reçoit à partir d'aujourd'hui et jusqu'à vendredi les partenaires sociaux en entretiens bilatéraux pour évoquer les sujets d'actualité. Il tient à afficher une « posture d'écoute » qui laisse dans le flou les intentions de l'exécutif, notamment sur l'explosif sujet des retraites. C'est contre cette réforme des retraites et celle de l'assurance-chômage, qu'étudiants et salariés manifesteront le 5 octobre, à l'appel d'une intersyndicale réunissant la CGT, FO, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse. Pendant ce temps-là, où en sont les oppositions ? Certains, comme à EELV, sont au stade d'une primaire interne et n'ont donc pas encore désigné leur candidat. A droite, le parti LR n'a lui même pas encore choisi quel serait le mode de désignation de son candidat. Chez les socialistes, si Anne Hidalgo est pressentie pour se voir octroyer l'investiture du parti, deux anciens ministres n'ont pas dit leur dernier mot. Stéphane Le Foll, qui réclame encore une primaire, et Arnaud Montebourg pourraient venir jouer les trouble-fêtes. D'autres se disent que dans toute cette confusion, il y a des places à prendre pour une candidature hors de tout parti. C'est notamment le cas du polémiste Eric Zemmour. Il a annoncé hier qu'il ne tiendrait plus sa chronique hebdomadaire dans Le Figaro le temps de la promotion de son prochain livre. Ce qui ressemble fort au lancement en bonne et due forme d'une campagne politique. Il égratigne d'ailleurs déjà Xavier Bertrand et Marine Le Pen dans ses prises de paroles publiques. Emmanuel Macron a-t-il déjà lancé sa campagne ? Peut-il garder avec lui un électorat de gauche qui lui a été essentiel en 2017 ? Eric Zemmour peut-il vraiment profiter de la cacophonie à droite pour trouver un espace politique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 22h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:06:10 - L'info vue par France Bleu Maine
Stéphane Le Foll, Maire PS du Mans, ancien Ministre et auteur de "Renouer avec la France des Lumières" (Calmann-Lévy)
C'EST LA RENTRÉE… DES CANDIDATS ! – 25/08/21 ROLAND CAYROL - Politologue Directeur conseil - « Régions magazine » BRUNO JEUDY Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » ALIX BOUILHAGUET Editorialiste politique - « France Télévisions » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'institut de sondages Elabe L'heure de la rentrée politique a sonné. Et elle s'annonce bien chargée pour président de la République et le gouvernement, alors que se profile déjà l'échéance présidentielle de 2022. Depuis lundi, les membres de l'exécutif sont de retour à Paris. Aujourd'hui se tiennent un Conseil de défense consacré au Covid et un Conseil des ministres de rentrée, afin de faire le point sur les mesures à venir. De nombreux dossiers épineux sont au programme, qu'il s'agisse de social, de santé ou de sécurité. Première étape importante, un sommet social le 2 septembre à Matignon, où le Premier ministre Jean Castex recevra à tour de rôle les dirigeants des syndicats et du patronat. Au menu : la réforme des retraites, pour l'instant au point mort, et la réforme de l'assurance-chômage, qu'Emmanuel Macron veut faire appliquer dès le 1er octobre. Mais il s'agira aussi pour l'éxécutif de ne pas se faire déborder, ni par l'épidémie de Covid-19, qui a explosé cet été dans les Antilles, ni par les questions de sécurité internationale, après la prise de pouvoir des talibans en Afghanistan, et intérieure, comme à Marseille, confrontée à des assassinats quotidiens liés au trafic de drogue et où s'est en conséquence rendu hier le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti. La vigilance devra donc être de mise. Car du côté des opposants, si l'élection présidentielle n'est encore que dans plusieurs mois, elle est déjà dans toutes les têtes. À droite, chacun avance ses pions, convaincu de trouver un espace politique face à Emmanuel Macron. Pour Les Républicains (LR), la rentrée donc s'annonce des plus compliquées. Le parti n'a encore réussi ni à désigner son candidat pour 2022, ni même le mode de désignation. Nombreux sont ceux qui se bousculent au portillon. L'université d'été du parti, qui débute samedi à La Baule (Loire-Atlantique), verra défiler plusieurs prétendants : Michel Barnier, Bruno Retailleau ou encore Philippe Juvin, chef du service des urgences au sein de l'hôpital européen Georges-Pompidou de Paris (XVème arrondissement), intervenu à de nombreuses reprises sur la scène médiatique pour commenter l'épidémie de Covid-19. Mais certains préfèrent faire leur rentrée seuls, comme le président de la région Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, qui pourrait également se déclarer lors de sa rituelle ascension du mont Mezenc, en Haute-Loire, le 29 août, à en croire Le Parisien. C'est bien sûr aussi le cas des deux anciens membre du parti : Xavier Bertrand, le président réélu de la région Hauts-de-France, qui mène une campagne en solitaire et refuse tout net de participer à une primaire, et Vaérie Pécresse, la présidente de l'Ile-de-France, ex-LR mais ouverte à une primaire. La direction de LR s'est fixée pour objectif de mettre au point un processus de sélection le 25 septembre, si les potentiels candidats de droite ne s'entendent pas d'ici là. A l'autre bout de l'échiquier politique, la gauche est plus que jamais divisée en cette rentrée. Certains, déjà candidats, comme Jean-Luc Mélenchon (LFI), Fabien Roussel (PCF) ou Philippe Poutou (NPA) veulent accélerer. Les universités d'été leur servent de tribune pour donner de l'écho à leurs thématiques favorites. D'autres, comme les écologistes, vont prochainement choisir leur candidat dans le cadre d'une primaire. Pour le PS, le défi est déjà de se faire une place dans la course. Selon Libération, le premier secrétaire, Olivier Faure, souhaite propulser Anne Hidalgo, la maire de Paris, comme candidate. La proposition sera soumise au vote au congrès du parti. Mais deux anciens ministres socialistes se positionnent eux aussi. Arnaud Montebourg, pourtant officiellement retiré de la vie politique, doit annoncer le 4 septembre qu'il se lancera dans la course à l'Elysée. Quant à Stéphane Le Foll, il s'est également dit prêt à se lancer, dimanche 18 juillet, et a souhaité une primaire au sein du PS. Sans être entendu, semble-t-il. Emmanuel Macron parviendra-t-il à imposer son calendrier de réforme ? La droite peut-elle à nouveau se fracturer ? Qui, à gauche, parviendra à prendre le leadership ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 22h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
À partir de 8h20 (heure de Paris), Stéphane Le Foll, maire du Mans, ancien ministre et porte-parole du Parti socialiste, est l'invité de Valérie Gas.
Le lundi 28 juin, au lendemain des élections régionales, marquées par un fort taux d'abstention, Stéphane Le Foll était invité sur le plateau des 4 vérités sur France 2. « Il n'y a pas de cadre politique qui organise le débat démocratique. Plus personne n'a envie de se déplacer pour des grandes idées. (…) Emmanuel Macron a une responsabilité dans le fait d'avoir dynamité les partis politiques sans être capable d'en construire lui-même un. Cela donne le résultat qu'on a aujourd'hui », a estimé le maire du Mans au micro de Caroline Roux. L'ancien ministre de l'Agriculture sous François Hollande a également réagi à l'échec du Rassemblement national qui n'a remporté aucune région ce dimanche 27 juin. « Le Rassemblement national a clairement trébuché. Ces élections régionales ont montré qu'il était incapable de se donner la capacité de gagner une région. Un message très important est passé », a-t-il analysé. Néanmoins, selon lui, « le taux d'abstention doit faire réfléchir tout le monde ». À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, qui se tiendra en avril 2022, quelles conséquences doit donc en tirer Emmanuel Macron ? « Ce n'est pas un sujet aujourd'hui. Il est président de la République, il a une part de responsabilité très importante. (…) Ce n'est pas mon sujet », a-t-il déclaré. En Île-de-France, la candidate Les Républicains Valérie Pécresse a été réélue en tant que présidente de région avec 45,1% des voix, devant la liste de rassemblement de la gauche conduite par l'écologiste Julien Bayou (33,9%). « L'union fait la force ? », interroge alors la journaliste. « Non, en politique, c'est la force qui fait l'union. Quand vous additionnez mais qu'il n'y a pas de force propulsive, le rassemblement ne crée pas de dynamique. Cela s'est vu en Île-de-France, dans les Pays de la Loire. L'Union du premier tour dans les Hauts-de-France ou en PACA a donné les résultats que vous savez… », a décrypté l'élu socialiste qui appelle à la formation d'une « force de gauche capable d'aller au-delà d'un simple rassemblement des électeurs de différents partis ». La gauche a résisté Lors de cette élection, le Parti socialiste a gagné cinq régions. Concernant la place de l'écologie, « elle a marqué des points », reconnaît-il, mais a atteint un « plafond de verre ». « Elle n'a pas été en mesure de gagner quoi que ce soit », a-t-il déclaré. Et de poursuivre : « Pour aller plus loin, il faut créer une grande dynamique qui intègre à la fois la grande question écologique et la question sociale ». Stéphane Le Foll souhaite aujourd'hui redonner de la clarté aux électeurs. « Il faut être clair dans les choix, clair dans les objectifs. On ne peut pas continuer comme on l'a fait depuis deux ans », a-t-il affirmé. Mais qui pour la représenter ? « Il faut qu'un débat s'ouvre. Je proposerai dans un livre début septembre un débat sur les idées, sur ce que l'on veut pour la France, l'Europe et l'international », a rappelé l'élu qui veut renforcer la vocation internationaliste de la gauche mais aussi aborder la question de la redistribution des richesses et du pouvoir vivre. « Les cartes sont rebattues, il y a un espoir, à condition de lui donner un débouché clair », a-t-il conclu.
Stéphane Le Foll, Maire PS du Mans et ancien Ministre
Épisode 3 | Christian Estrosi, passion sécuritéCaméras, reconnaissance faciale, mesure du stress de la population, contrôles numérisés… Nice est devenue un laboratoire, où les entreprises de sécurité du monde entier viennent déployer leurs nouvelles technologies, où toutes les nouveautés ou presque sont testées, où la population est le sujet -consentant ou non- de ces expérimentations qui ne sont pas de science-fiction. Le tout sous l’oeil bienveillant du maire, Christian Estrosi, qui travaille depuis des années à faire de sa ville, la vitrine de la vidéosurveillance. Sans vraiment se soucier des questions de libertés publiques.« Nice, laboratoire du lobby de la surveillance » est une série de Clément Pouré et Clément Le Foll, réalisée par Vincent Hiver.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Ces épisodes ont été produits en mai 2021. Réalisation : Vincent Hiver. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Épisode 2 | Nice, showroom des entreprises de sécuritéCaméras, reconnaissance faciale, mesure du stress de la population, contrôles numérisés… Nice est devenue un laboratoire, où les entreprises de sécurité du monde entier viennent déployer leurs nouvelles technologies, où toutes les nouveautés ou presque sont testées, où la population est le sujet -consentant ou non- de ces expérimentations qui ne sont pas de science-fiction. Le tout sous l’oeil bienveillant du maire, Christian Estrosi, qui travaille depuis des années à faire de sa ville, la vitrine de la vidéosurveillance. Sans vraiment se soucier des questions de libertés publiques.« Nice, laboratoire du lobby de la surveillance » est une série de Clément Pouré et Clément Le Foll, réalisée par Vincent Hiver.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Ces épisodes ont été produits en mai 2021. Réalisation : Vincent Hiver. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Épisode 1 | Nice, paradis de la vidéosurveillanceCaméras, reconnaissance faciale, mesure du stress de la population, contrôles numérisés… Nice est devenue un laboratoire, où les entreprises de sécurité du monde entier viennent déployer leurs nouvelles technologies, où toutes les nouveautés ou presque sont testées, où la population est le sujet -consentant ou non- de ces expérimentations qui ne sont pas de science-fiction. Le tout sous l’oeil bienveillant du maire, Christian Estrosi, qui travaille depuis des années à faire de sa ville, la vitrine de la vidéosurveillance. Sans vraiment se soucier des questions de libertés publiques.« Nice, laboratoire du lobby de la surveillance » est une série de Clément Pouré et Clément Le Foll, réalisée par Vincent Hiver.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Ces épisodes ont été produits en mai 2021. Réalisation : Vincent Hiver. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Épisode 4 | Libertés publiquesCaméras, reconnaissance faciale, mesure du stress de la population, contrôles numérisés… Nice est devenue un laboratoire, où les entreprises de sécurité du monde entier viennent déployer leurs nouvelles technologies, où toutes les nouveautés ou presque sont testées, où la population est le sujet -consentant ou non- de ces expérimentations qui ne sont pas de science-fiction.Le tout sous l’oeil bienveillant du maire, Christian Estrosi, qui travaille depuis des années à faire de sa ville, la vitrine de la vidéosurveillance. Sans vraiment se soucier des questions de libertés publiques.« Nice, laboratoire du lobby de la surveillance » est une série de Clément Pouré et Clément Le Foll, réalisée par Vincent Hiver.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Ces épisodes ont été produits en mai 2021. Réalisation : Vincent Hiver. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:05:07 - 08H20, l'invité de France Bleu Armorique
Comme le relève Le Parisien, le Premier ministre appelle à « la plus grande vigilance » et au respect des gestes barrière à l'approche des vacances scolaires, dès aujourd’hui en France. Mais en effet, comme le souligne ce journal, Jean Castex a tenu à préciser que « si un confinement venait à être décidé » pendant les vacances scolaires, l'intention de l'exécutif serait « d'autoriser les gens à regagner leur domicile ». Avec cette pandémie, le moindre relâchement se paie au prix fort. Et le Premier ministre l’a encore dit hier soir aux Français… sans forcément les avoir convaincus : Le Figaro trouve que Jean Castex, hier soir, a adopté un « ton martial » face à la menace des variants du coronavirus, appelant « à la discipline collective, à la mobilisation générale ». Autrement, dit, « ce n’est pas parce que l’exécutif écarte pour l’instant le reconfinement généralisé - excepté à Mayotte, où il vient d’être mis en place - qu’il faut que les Français relâchent leurs efforts », traduit ce quotidien. Qu’en pensent les Français ? Selon un sondage Odoxa pour ce même Figaro et pour France Info, 7 d’entre eux sur 10 (69% exactement) s’attendent à un nouveau confinement, 60% d’entre eux ne font toujours pas confiance au gouvernement pour gérer la crise sanitaire liée à l’épidémie de coronavirus (une défiance qui a très peu évolué), mais aussi et surtout 81% des Français estiment que le gouvernement ne sait pas « où il va », et 73% pensent qu’il ne leur dit pas « la vérité » ! Trois Français sur quatre ne sont pas rassurés par le gouvernement, et 71% l’accusent de ne pas avoir pris « les bonnes décisions au bon moment ». À La Haye, aux Pays-Bas, la Cour pénale internationale a, sans surprise, jugé Dominic Ongwen coupable de crimes de guerre et crimes contre l’humanité : Pesaient sur lui au total « près de 70 motifs qui balaient presque tout ce que le code pénal réprime : meurtres, viols, enlèvements, tortures, pillages, mises en esclavage et même grossesses ou mariages forcées », énumère Le Figaro. Lequel quotidien relève un paradoxe, en soulignant que « la justice a condamné (hier) Dominic Ongwen (…) quand elle aurait protégé le même Dominic Ongwen trente ans plus tôt ». Car avant de devenir bourreau, cet Ougandais de 45 ans a d’abord été victime, après avoir été enlevé alors qu’il était encore enfant puis tourné en « fighter », autrement dit en combattant impitoyable, à la tête de la brigade Sinia, l’une des quatre de la LRA, l’Armée de résistance du Seigneur du chef de guerre Joseph Kony. Une existence « marquée par le sang, le sien et celui des autres », soupire Le Figaro. Les soucis de financement du Parti socialiste français, le très « hollandiste » Stéhane Le Foll s’insurge : Étant rappelé que le PS a été contraint de licencier 21 salariés et de réduire ses coûts de fonctionnement, Le Parisien signale que le PS a aussi décidé d’une « aplanissement » de ses relations avec les fédérations, mais également avec l’Office universitaire de recherche socialiste et la Fédération nationale des élus socialistes et républicains afin d'« assurer une meilleure répartition des dotations entre le parti et ces instances », dit au Parisien la trésorière du PS. Comptes et mécomptes qui mécontentent Stéphane Le Foll. « Il n'y a aucune transparence. On n'a aucun chiffre sur la masse salariale, sur l'ensemble des dépenses, fulmine cet ancien ministre de François Hollande dans Le Parisien. Il semble qu'il n'y aura pas de primaire, et maintenant pas d'argent, donc pas de congrès ni de campagne présidentielle. Or, pas de campagne, pas de victoire ! ». CQFD !
durée : 00:08:06 - 18h50 franceinfo - L'ancien ministre de l'Agriculture estime que le Premier ministre "devrait être dans une stratégie collaborative en impliquant les collectivités". Il dénonce "l'improvisation" du gouvernement.
Stéphane Le Foll, maire PS du Mans et ancien ministre de l'Agriculture
durée : 00:06:04 - L'info vue par France Bleu Maine
Stéphane Le Foll, maire PS du Mans et ancien ministre de l'Agriculture
durée : 00:05:53 - L'info vue par France Bleu Maine
durée : 00:06:43 - L'info vue par France Bleu Maine
Stéphane LE FOLL, Maire PS du Mans et ancien ministre
Show notes: In the show, The Bio Busters professors, Dr. A and Dr. C, along with Dr. Keller and Dr. Scully, discuss the research behind the use of marijuana for medicinal purposes. The topic of medical marijuana is often discussed in the media; however, the Drs. discuss some more recent studies regarding the use of medical marijuana, as well as state and federal regulations concerning this topic. Keep the discussion and comments going on the iTunes review section, or feel free to e-mail the podcast with future show ideas and thoughts on the current show. Music by Bahaa Naamani Email us at thebiobusters@gmail.com References: https://www.webmd.com/a-to-z-guides/medical-marijuana-faq Gruber SA, Sagar KA, Dahlgren MK, et al. The Grass Might Be Greener: Medical Marijuana Patients Exhibit Altered Brain Activity and Improved Executive Function after 3 Months of Treatment. Front Pharmacol. 2018;8:983. Published 2018 Jan 17. doi:10.3389/fphar.2017.00983 Elsaid, S., Le Foll, B. The complexity of pharmacology of cannabidiol (CBD) and its implications in the treatment of brain disorders. Neuropsychopharmacol. 45, 229–230 (2020) doi:10.1038/s41386-019-0518-1
Né le 08 septembre 1979 à Paris XIV. Fondateur du mouvement Parisiennes, Parisiens Candidat à la Mairie de Paris 2020 Ex Conseiller en communication du Président de la République (2014-2017) Sort diplômé en 2001 de l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po Paris) et de l’ENA en 2004. On évoquera son parcours: son enfance dans le 15e arrondissement, ses 4 enfants, sa famille, ses années lycée, les concours, ses études, ses stages, sa fronde à l’ENA, son séjour à New-York, la politique, l’élimination de Lionel Jospin le 21 avril 2002 au profit de JM Le Pen, son passage au Ministère des Affaires Sociales à 24 ans, au CNC, son soutien à Ségolène Royal en 2007, son rôle de directeur de cabinet de Christophe Girard alors adjoint au maire de Paris, puis il deviendra le Conseiller en communication à la mairie de Paris et porte-parole de Bertrand Delanoë pour lequel il a une admiration, son passage au Quai d’Orsay sous Laurent Fabius avec lequel il fera le tour du monde, son absence auprès de ses enfants, l’appel qui lui annonce ses nouvelles fonctions en tant que de chef du pôle communication à la présidence de la République française occupé de 2014 à 2017, sa relation avec le Président Hollande, son quotidien, son engueulade avec le Premier Ministre Manuel Valls (33’), les attentats, sa candidature à la Mairie de Paris, le bilan d' Anne Hidalgo, Barack Obama plus impressionnant lors de discours que dans le réel, son programme, sa vision de la politique, la nuit du 13 novembre 2015, ses erreurs, le livre à lire absolument Les Racines du Ciel de Romain Gary (1956), Seront cités : Bertrand Delanoë, François Hollande, l’Elysée, Manuel Valls, les attentats, les enseignant(e)s, Lionel Jospin, Bernard Gaudillère, Emilie Gantzer, Laurent Fabius, Stéphane Le Foll, Philippe Grangeon, Guillaume Gomez, Emmanuel Macron, Anne Hidalgo, Barack Obama https://www.parisiennes-parisiens.fr/
Les élections européennes ont lieu le 26 mai en France. Ouest-France est allé à la rencontre de l'eurodéputé Éric Andrieu. Il nous explique pourquoi le travail des eurodéputés est important à suivre pour les citoyens. Un entretien audio à retrouver dans « Mon Parlement à moi », une série proposée par Le Mur des Podcasts d'Ouest-France. Comment les eurodéputés ont-ils vécu leur arrivée au Parlement européen ? À quelques semaines des élections européennes du dimanche 26 mai, Ouest-France est allé à la rencontre des élus pour qu'ils nous parlent de « leur » parlement, notamment Eric Andrieu, eurodéputé PS qui siège au sein du groupe des Socialistes et démocrates (S & D). Ce qui l'a marqué à son arrivée au Parlement européen, « c'était la richesse et la diversité des membres du parlement. Quand vous arrivez dans une enceinte qui rassemble 751 députés européens, c'est beaucoup. Ils représentent 28 pays, 28 cultures, 24 langues… Cette richesse-là est impressionnante et vous amène aussi à un devoir d'humilité. » D'autant plus qu'il a rejoint les bancs de l'hémicycle européen en cours de mandat. « Non seulement, je remplaçais Kader Arif, mais j'ai succédé également à Stéphane Le Foll au sein de la commission agriculture (il partait porter ce dossier au sein du gouvernement de Jean-Marc Ayrault en 2012, N.D.L.R.). Or j'arrive en 2012 alors qu'on discutait d'une nouvelle politique agricole commune qu'on devait valider en 2013. J'ai dû plonger dans la PAC intensément pour pouvoir apporter ma pierre à l'édifice. » Il espère une forte participation aux élections européennes. « Les citoyens doivent s'intéresser au fait européen, un continent de 500 millions de citoyens », estime l'eurodéputé socialiste. « Nous sommes au cœur d'un monde qui bouge très vite. » Retrouvez tous les émissions dédiées aux élections européennes sur Le Mur des podcasts de Ouest-France. Découvrez à cette occasion ces élus trop méconnus qui ont pourtant un pouvoir important dans la conception de nos lois. Le scrutin du dimanche 26 mai 2019 correspond à l'équivalent des législatives au niveau européen et sert à élire des eurodéputés qui siègent au sein du Parlement européen. Crédit Musique: Version hip-hop de l'hymne européen par Florian Müller
Les élections européennes ont lieu le 26 mai en France. Ouest-France est allé à la rencontre de l'eurodéputé Éric Andrieu. Il nous explique pourquoi le travail des eurodéputés est important à suivre pour les citoyens. Un entretien audio à retrouver dans « Mon Parlement à moi », une série proposée par Le Mur des Podcasts d'Ouest-France.Comment les eurodéputés ont-ils vécu leur arrivée au Parlement européen ? À quelques semaines des élections européennes du dimanche 26 mai, Ouest-France est allé à la rencontre des élus pour qu'ils nous parlent de « leur » parlement, notamment Eric Andrieu, eurodéputé PS qui siège au sein du groupe des Socialistes et démocrates (S & D). Ce qui l'a marqué à son arrivée au Parlement européen, « c'était la richesse et la diversité des membres du parlement. Quand vous arrivez dans une enceinte qui rassemble 751 députés européens, c'est beaucoup. Ils représentent 28 pays, 28 cultures, 24 langues… Cette richesse-là est impressionnante et vous amène aussi à un devoir d'humilité. »D'autant plus qu'il a rejoint les bancs de l'hémicycle européen en cours de mandat. « Non seulement, je remplaçais Kader Arif, mais j'ai succédé également à Stéphane Le Foll au sein de la commission agriculture (il partait porter ce dossier au sein du gouvernement de Jean-Marc Ayrault en 2012, N.D.L.R.). Or j'arrive en 2012 alors qu'on discutait d'une nouvelle politique agricole commune qu'on devait valider en 2013. J'ai dû plonger dans la PAC intensément pour pouvoir apporter ma pierre à l'édifice. »Il espère une forte participation aux élections européennes. « Les citoyens doivent s'intéresser au fait européen, un continent de 500 millions de citoyens », estime l'eurodéputé socialiste. « Nous sommes au cœur d'un monde qui bouge très vite. »Retrouvez tous les émissions dédiées aux élections européennes sur Le Mur des podcasts de Ouest-France. Découvrez à cette occasion ces élus trop méconnus qui ont pourtant un pouvoir important dans la con...
C'est jour de match pour l'équipe de France. A 16h, les Bleus chercheront à décrocher la première place du groupe face au Danemark. On prend les dernières nouvelles des Français avec notre envoyé spécial en Russie. On parle aussi des Danois et d'un ancien joueur, qui a connu une retraite sportive bien animée entre secte et performance défécatoire. Ce soir, l'Argentine joue sa peau dans ce Mondial face au Nigeria. Il va falloir un coup à plusieurs bandes pour que la bande à Messi s'en sorte. Et comme tous les jours, on retrouve les pronostics d'une personnalité. Aujourd'hui, l'ancien ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll.
Les conditions de détention dans la prison de Fresnes font de plus en plus parler d'elles : des détenu.e.s ont déposé une requête contre la prison devant la cour européenne des droits de l'homme. Pour en témoigner, nous recevons Julia Poirier et Marie Cuzin, deux bénévoles de l'association Genepi, ainsi que Mathieu Quinquis, membre de l'OIP qui a suivi la campagne de dépôts de requêtes. " L'établissement se détériore deux à trois fois plus vite car il y a deux à trois fois plus de monde que ce qui a été envisagé." Et si l'esprit de Victor Hugo nous rendait visite ? C'est à la question à laquelle répond le comédien Yves-Pol Deniélou du 15 janvier au 1er mai à l'Essaïon Théâtre). Yves-Pol Deniélou y interprète cette figure de la littérature du XIXe siècle, interviewé par une journaliste dans une mise en scène de Charlotte Herbeau. Ils viennent tous les deux nous en parler dans La Matinale. Côté chroniques, Simon nous parle de la candidature de Stéphane Le Foll à l'élections du prochain secrétaire général du parti socialiste et Lili nous propose un reportage sur le spectacle "L'oiseau migrateur" (au théâtre de Sartrouville) dont elle a rencontré le protagoniste principal. Présentation : Élodie Hervier / Réalisation : Adel Ittel / Co-interview : Élodie Mulin et Lili Douard / Chroniques : Simon Marry et Lili Douard / Web : Simon Marry / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard
Les conditions de détention dans la prison de Fresnes font de plus en plus parler d'elles : des détenu.e.s ont déposé une requête contre la prison devant la cour européenne des droits de l'homme. Pour en témoigner, nous recevons Julia Poirier et Marie Cuzin, deux bénévoles de l'association Genepi, ainsi que Mathieu Quinquis, membre de l'OIP qui a suivi la campagne de dépôts de requêtes. " L'établissement se détériore deux à trois fois plus vite car il y a deux à trois fois plus de monde que ce qui a été envisagé." Et si l'esprit de Victor Hugo nous rendait visite ? C'est à la question à laquelle répond le comédien Yves-Pol Deniélou du 15 janvier au 1er mai à l'Essaïon Théâtre). Yves-Pol Deniélou y interprète cette figure de la littérature du XIXe siècle, interviewé par une journaliste dans une mise en scène de Charlotte Herbeau. Ils viennent tous les deux nous en parler dans La Matinale. Côté chroniques, Simon nous parle de la candidature de Stéphane Le Foll à l'élections du prochain secrétaire général du parti socialiste et Lili nous propose un reportage sur le spectacle "L'oiseau migrateur" (au théâtre de Sartrouville) dont elle a rencontré le protagoniste principal. Présentation : Élodie Hervier / Réalisation : Adel Ittel / Co-interview : Élodie Mulin et Lili Douard / Chroniques : Simon Marry et Lili Douard / Web : Simon Marry / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard
Les conditions de détention dans la prison de Fresnes font de plus en plus parler d'elles : des détenu.e.s ont déposé une requête contre la prison devant la cour européenne des droits de l'homme. Pour en témoigner, nous recevons Julia Poirier et Marie Cuzin, deux bénévoles de l'association Genepi, ainsi que Mathieu Quinquis, membre de l'OIP qui a suivi la campagne de dépôts de requêtes. " L'établissement se détériore deux à trois fois plus vite car il y a deux à trois fois plus de monde que ce qui a été envisagé." Et si l'esprit de Victor Hugo nous rendait visite ? C'est à la question à laquelle répond le comédien Yves-Pol Deniélou du 15 janvier au 1er mai à l'Essaïon Théâtre). Yves-Pol Deniélou y interprète cette figure de la littérature du XIXe siècle, interviewé par une journaliste dans une mise en scène de Charlotte Herbeau. Ils viennent tous les deux nous en parler dans La Matinale. Côté chroniques, Simon nous parle de la candidature de Stéphane Le Foll à l'élections du prochain secrétaire général du parti socialiste et Lili nous propose un reportage sur le spectacle "L'oiseau migrateur" (au théâtre de Sartrouville) dont elle a rencontré le protagoniste principal. Présentation : Élodie Hervier / Réalisation : Adel Ittel / Co-interview : Élodie Mulin et Lili Douard / Chroniques : Simon Marry et Lili Douard / Web : Simon Marry / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard
En réponse à la colère des éleveurs, le Premier ministre a annoncé ce mercredi que les agriculteurs à faibles revenus pourront bénéficier d'une "année blanche" de leurs cotisations sociales, tandis qu'une baisse immédiate de 7 points est observée pour tous les autres. En écho à la crise agricole, le Premier Manuel Valls a annoncé deux mesures ce mercredi à l'Assemblée nationale. Les agriculteurs ayant touché des faibles revenus en 2015 pourront bénéficier, sans aucune démarche, d'une "année blanche" de cotisations sociales. 500 millions d'euros La FNSEA exigeait une baisse de 45 à 35 % des charges sociales pour tous les agriculteurs. Mais Manuel Valls indique avoir pris en compte dans son calcul les 3 points pris en charge par les allocations familiales depuis janvier 2015. Le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, a précisé de son côté que cette baisse était évaluée à 500 millions d'euros. Cette "année blanche" est en réalité un report automatique d'un an des cotisations sociales de 2016. Ce report pourra être reconduit jusqu'à trois ans, sans que les agriculteurs n'aient à payer d'intérêts ou de pénalités. PRIX en chute libre Les éleveurs de bovins et de porcs restent en colère. Depuis le début de l'année 2015, ils craignent de ne plus pouvoir faire face à leurs frais, les prix du lait et de la viande étant trop bas. La plupart des filières agricoles ont vu leur prix stagner depuis trente ans. Ils se sont même éffondré dans le secteur laitier. De 0,38 centime d'euro le litre il y a deux ans, un producteur laitier le vend désormais 0,30 centime. Dans la filière porcine le prix avoisine 1,11 euro le kilo, contre 1,40 euro l'été dernier. En chute libre, le prix d'un produit agricole ne permet plus de combler son coût de production. On fait le point sur la sitation des agriculteurs, y compris en région, avec Jo Giroud, vice-président de la chambre d'agriculture du Rhône dans Droit de Citer.
Le ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, Stéphane Le Foll, sur le stand de l’école AgroParisTech.